Allemagne : 4 à 5 % des « vaccinés » anti-Covid seraient sous traitement suite aux effets secondaires

[Source : BusinessBourse]



[Note de Joseph : 5 % de 55 millions d’Allemands doublement vaccinés, cela représenterait 2 millions et 750 mille personnes avec des effets secondaires chroniques !]




Fin de partie

[Source et auteur : Régis Chamagne]

L’ampleur et la nature de l’engagement militaire russe en Ukraine ont une signification qui me semble claire : la partie est finie !

Le changement de paradigme géopolitique que j’évoque depuis de nombreuses années à l’occasion de conférences ou dans des articles, sous l’aspect d’une courbe de Stuart Kauffman, est arrivé à son terme. Il ne reste plus qu’à l’accepter et à le traduire dans le droit international. C’est ce qu’avait proposé récemment Vladimir Poutine dans ce que la propagande occidentale avait nommé « ultimatum ». Le problème est qu’une puissance sur le déclin a du mal à accepter que sa grandeur soit passée. Par un phénomène naturel d’hystérésis elle continue à se voir dans la position de dominant alors que la réalité est déjà autre.

Différents scénarios sont alors possibles :

  • Le système de pouvoir est suffisamment intelligent pour percevoir l’effondrement de puissance, avec un temps de retard certes, et les dirigeants essaient de gérer au mieux « l’atterrissage ». C’est ce qu’avait tenté Mikhaïl Gorbatchev, mais il avait largement sous-estimé le manque de fiabilité des promesses anglo-américaines dont le génocide des indiens d’Amérique du nord offre un exemple saisissant. Je conseille au passage la lecture du livre d’Howard Zinn Une histoire populaire des États-Unis.
  • Le système de pouvoir est de type gérontocratique, réel ou symbolique (méfiez-vous des vieux qui ont l’air jeunes), et il vire à la paranoïa, au dogmatisme fondé sur une représentation désuète (le destin exceptionnel…) et devient totalement idéologique. Dans ce cas, on peut tenter d’amener ce système de pouvoir à revenir les pieds sur terre, petit à petit, de façon impressionniste, mais si cela ne fonctionne pas, il reste la douche froide ; c’est ce qui se passe en ce moment en Ukraine.

Anticipation

Si Vladimir Poutine a décidé l’action qu’il mène, c’est qu’il a envisagé tous les scénarios possibles et en particulier les réponses des pays occidentaux et qu’il a les moyens d’y répondre. Or la politique des pays occidentaux, qu’elle soit intérieure ou extérieure, est gouvernée par l’idéologie, non par la raison. Dans la situation actuelle, elle mène à l’hystérie. Mais surtout, du point de vue de V. Poutine, elle est prévisible car les idéologues sont prévisibles.

La suite sera pathétique

Les pays occidentaux ont commencé à « dénoncer très fermement et avec la plus grande vigueur cet acte d’agression russe ». En somme, ça pousse des cris d’orfraie, ça hurle, ça montre du doigt, ça donne des leçons, bref ça n’agit pas. Ça n’agit pas parce que ça ne peut pas agir, ça n’en a pas les moyens… Mais ça menace de sanctions, et c’est là que la situation risque de dégénérer pour les pays occidentaux, car la Russie, par la voix du porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, a annoncé « Les mesures de riposte suivront, bien évidemment. À quel point elles seront symétriques ou asymétriques, cela va dépendre de l’analyse des restrictions » imposées à la Russie.

Non seulement la Russie ne craint pas les sanctions, mais en outre sa réponse risque encore de surprendre tout le monde.

La Russie ne craint pas les sanctions :

  • En 2014, les sanctions européennes conséquentes à l’annexion de la Crimée ont renforcé la décision de Vladimir Poutine d’investir 52 milliards de dollars dans l’agriculture, afin de ne plus dépendre de l’extérieur en alimentation, et de ne plus craindre des pénuries en cas de sanctions occidentales. Depuis, d’importatrice de blé, la Russie est devenue le premier pays exportateur. D’ailleurs, en ce moment, les cours du blé et des céréales explosent. En outre, alors qu’avant 2014 elle n’avait quasiment pas d’élevages, aujourd’hui la Russie est autosuffisante en volailles et quasiment en viande de porc, grâce à des investissements massifs dans l’élevage industriel.
  • Dans la même dynamique, la Russie est un pays manufacturier en développement. D’ailleurs, elle manque de main d’œuvre pour soutenir ce développement. À cet égard, l’afflux de réfugiés russes d’Ukraine en Russie pourrait être une aubaine.
  • Dans le domaine des métaux, la Russie disposerait de 16 % des réserves mondiales de béryllium, 11 % du chrome, 22 % du cuivre, 38 % du manganèse, 79 % du mercure, 15 % du nickel, 16 % du niobium, 10 % du platine, 7 % du tantale, 49 % du vanadium, 24 % du zinc, ainsi que de réserves importantes en métaux rares comme le rhodium. En somme, des ressources variées qui couvrent les besoins dans les domaines stratégiques de la technologie du futur.
  • La Russie est autonome sur le plan de l’énergie tandis que les pays européens ne peuvent se passer du gaz russe. Le gaz russe, c’est 40 % du gaz européen. De plus, l’Europe n’a pas assez de capacités pour traiter le GNL américain. Elle manque de terminaux et de capacités de regazéification du gaz liquide. En particulier, l’Allemagne n’a aucun terminal ; c’est le maillon faible.
  • La Russie pourrait être exclue du système SWIFT, le système international de transactions financières. Mais là encore, la Russie a développé officiellement son propre système, ainsi que la Chine, et il y fort à parier qu’un système russo-chinois est déjà opérationnel. Or la Chine est actuellement « l’usine du monde », donc tous les pays qui importent des produits fabriqués en Chine devront utiliser le nouveau système de transactions ; ça fait du monde ! Ce n’est pas la Russie qui sera exclue de SWIFT, c’est SWIFT qui sera exclu des transactions internationales. Cela fait partie du changement de paradigme géopolitique.

La réponse de la Russie : une autre prise de judo ?

Que faut-il comprendre des paroles de Dmitri Peskov ? « Les mesures de riposte suivront, bien évidemment. À quel point elles seront symétriques ou asymétriques, cela va dépendre de l’analyse des restrictions. » Comme d’habitude, V. Poutine annonce la couleur.

La dépendance des différents pays occidentaux à la Russie (énergie, nourriture, métaux…) est très variable. Derrière les mots « symétriques » et « asymétriques », il y a une arme pour diviser le bel édifice occidental, pour créer des lignes de fracture. Il y aura ceux qui seront gentils avec la Russie et les têtus. Les premiers seront épargnés et invités à rejoindre le nouvel ordre mondial rapidement, les seconds auront du mal à passer l’hiver. Tout cela se passera sur fond de pièce de théâtre afin que les Occidentaux ne perdent pas la face. Gageons que Vladimir Poutine sera magnanime.

En résumé, Vladimir Poutine a décidé de siffler la fin de la partie de poker menteur avec les Occidentaux, USA en tête. Son jeu à lui sont les échecs ou le judo. Par cette action surprise, rapide et extrêmement bien préparée et coordonnée, la Russie démontre une fois de plus l’efficacité de son armée et sa supériorité technique. Le changement de paradigme géopolitique est en train d’être achevé et ceux qui voudront continuer à l’ignorer resteront un moment au bord de la route.

Régis Chamagne




Précisions et point de vue sur l’intervention russe en Ukraine

[Source : Qactus]

À 5 heures du matin des explosions sont entendues sur la rive droite de Kiev… Des attaques par drones sont faites sur des sites stratégiques, (Armes, matériel, commandement militaire, station électriques, gaz, pétrole.) ….

L’invasion des troupes Russes a commencé, c’est le service de presse du ministère de l’Intérieur Ukrainien qui rapporte ces informations.

Le lancement du BM-30 « Smerch » depuis le Belgorod russe en direction de l’Ukraine :



Les aéroports de Kiev, Kharkov Dniepropetrovsk fermés ainsi que les espaces aériens… Toutes les villes sont touchées… Les hackers Russes ont mis hors service les sites Web gouvernementaux, les banques de données du ministère de la Défense sont touchées…

L’arrivée d’un missile de croisière à Ivano-Frankivsk :



Poutine a officiellement déclaré à 5 heures du matin, que la Russie est en guerre avec l’Ukraine… et que ceux qui veulent se mêler de cette histoire sont attendus de pied ferme.
Il a déclaré que celui qui désire donner des ordres à la Russie devra bien réfléchir dorénavant…

Des troupes aéroportées sont déjà en position dans les villes et lieux stratégiques… Le pays est bloqué.

Embouteillage à Kiev

Les missiles viennent de frapper le centre de l’administration militaire, des aérodromes, des dépôts militaires stratégiques à Kiev, Karkhok, Dniepropetrovsk. Le bombardement d’artillerie de la frontière est en cours.

Carte des objets de l’infrastructure militaire des forces armées de l’Ukraine qui ont subi des frappes

Poutine vient de dire que cette opération d’envergure n’est pas dirigée contre le peuple Ukrainien, mais contre tous ceux et celles qui depuis 30 ans se moquent d’eux, des Russes et pensent diriger ou contrôler le monde…

Poutine est vraiment en colère et emploi un ton martial… Il invite tous pays complices et manipulateurs à intervenir directement comme ils le promettent dans les médias et journaux complices…

Malheureusement, c’est bien ce que nous disons depuis des années…

Il est très dangereux de vouloir humilier un peuple… Souvenez-vous de l’Allemagne et de son humiliation après la première guerre mondiale…

[Note de Joseph :
la partie suivante de l’article est nettement plus « complotiste », avec une part qui relève (très ?) probablement davantage d’opinions, d’espoirs, d’illusions et/ou de croyances que de faits avérés. À prendre avec un grain de sel, comme on dit au Québec.]

Les khazars Sionistes Rothschild sont vraiment dans la merde… Poutine vient de dire qu’il va désarmer l’Ukraine, mettre le drapeau Russe sur le pays, arrêter toutes celles et ceux qui ont été complices de cette situation depuis les premiers jours de l’indépendance de l’Ukraine…

Tous les oligarques fanfarons, ces imbéciles profonds et incompétents que nous avons connus, sont soit en fuite, soit-on déjà quittés le pays depuis 15 jours à destination de l’Angleterre, Monaco et autres…

C’est à la fin du bal que l’on sait si la musique était bonne…

L’addition vient d’être présentée à celles et ceux qui ont festoyé comme des porcs…

Maintenant, l’arbitre vient de siffler la fin du match…
Les grands spécialistes de politique, économie, stratégie et autres conneries vont devoir réapprendre l’humilité, le respect et le bon sens…

Ce n’est pas un vieux pédophile sénille qui n’est même pas président des États-Unis qui va pouvoir trop longtemps manipuler le monde avec ses fidèles et serviles vassaux…

Poutine a lancé le grand nettoyage mondial !!

La fin prochaine du virus bidon et des vaccins/poisons ou plutôt des piqûres mortelles… Une peur terrifiante va s’abattre sur tous les dirigeants crétins des pays idiots qui vont devoir se réveiller vraiment… Ce n’est pas une guerre de conquête, mais de nettoyage…

La peur fait parler et délie les langues… Ça commence par les journalistes ukrainiens qui commencent à raconter tout ce qu’ils savent et n’ont jamais dit…

Ce que disent les journalistes ce matin…

L’Ukraine est sous le contrôle total d’un groupe de Sionistes (ils ne parlent pas encore des khazars Sionistes Rothschild, mais je suis sûr que ça va venir) qui dirigent et contrôlent tout le pays, le SBU (ex-KGB services secrets), l’armée, les ministères et tous les ministres et politiques…

Une journaliste vient de téléphoner pour l’informer que Trump est avec Poutine pour mettre en place le grand nettoyage… C’est un plan bien ficelé, planifié et prévu depuis très longtemps… Pendant que les idiots voleurs et psychopathes dansaient, Poutine et Trump travaillaient dur et efficacement…

Prions pour que tout se déroule selon le plan de Dieu…




Ukraine, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie : implications et compromissions !

Par Jean-Loup Izambert et Claude janvier

Emmanuel Macron, à propos de la crise ukrainienne, joue à cache-tampon entre Joe Biden et Vladimir Poutine ! Magistrale poudre aux yeux juste destinée à ce que vous votiez prochainement pour lui en avril ou l’un de ses complices. 5 ans de règne sans dialogues, sans partages, — sauf avec ses amis et relations — et sans compassions. Vous croyez que l’on exagère ? Lisez ce texte documenté issu du chapitre 8 de notre livre « Le virus et le président » IS édition, et faites vous votre propre opinion.

« Nous sommes en guerre ». En écoutant Emmanuel Macron prononcer ces mots à six reprises avec un ton martial lors de son allocution du 16 mars 2020, nous étions inquiets. Car en effet, un énarque-bancarisé en costard-cravate qui parlotte sur la guerre, ça fout la trouille.

Ça fout la trouille pour la simple raison qu’un tel chef des armées, constitutionnellement parlant, élevé au biberon de l’ENA et poudré-finance « pour plaire un peu comme une prostituée » — c’est lui qui l’a dit(([1] France’s Hollande Casts Fate With Ex-Banker Macron, par Stacy Meichtry et William Horobin, Wall Street Journal, 8 mars 2015)) — dans les allées de la Rothschild ne peut que nous la faire perdre.

Surtout celle contre la « pandémie » du SRAS-CoV-2. Du reste, celle-ci était déjà perdue d’avance pour cause de bousillage du budget de la Santé depuis des décennies. Donc, pas de gros soucis. Il restait juste à compter les morts, dont la plupart auraient pu ne pas mourir sur ce champ de bataille du déshonneur.

Nous avons pensé qu’il allait vous parler enfin du bilan de la guerre contre l’Afghanistan de 2001 à 2014 avec l’OTAN. Pas vous ? Non, c’est vrai, vous êtes complètement désinformés sur le sujet et vous vous contentez de payer les aventures militaires de l’Élysée contre les peuples.

L’Afghanistan, c’est loin, et officiellement terminé depuis décembre 2014. Interloqués nous fûmes. « Guerre », « ennemi invisible », « première ligne », « combat »… Nous nous sommes dit : « Tiens, il va enfin nous parler des guerres françaises en Afrique ». L’Afrique, c’est plus proche que l’Afghanistan, et la France y entretient sa vieille tradition de massacres afin de sauver régulièrement des dictateurs corrompus qui permettent à ses sociétés transnationales de piller les richesses.

Tenez, par exemple, la République démocratique du Congo (RDC), l’un des pays les moins développés du monde à force de Françafrique, détient près de la moitié des ressources globales en cobalt et assure 60 % de la production mondiale. La réglementation de cette industrie y est pratiquement inexistante, les institutions très faibles, en grande partie en raison de son histoire d’exploitation étrangère depuis la période coloniale. Le cobalt entrant dans la fabrication des batteries Lithium-ion, la décision de certains constructeurs automobiles de privilégier la voiture électrique a entraîné une augmentation considérable de la demande.

Derrière les publicités en quadrichromie des villes silencieuses et propres de ces constructeurs se cache une autre réalité, beaucoup moins belle : l’extraction du cobalt se fait dans des mines artisanales congolaises dans des conditions souvent déplorables.

« Généralement, des travailleurs — y compris des enfants — creusent avec un équipement de base dans des tunnels dangereux. Alors que le risque mortel d’effondrement est permanent, ils gagnent à peine assez pour se nourrir », indique Alexander Lefteris Papadovassilakis, chercheur au Centre de Politique de Sécurité de Genève.(([2] Le lithium et le cobalt : les producteurs doivent faire face à leurs responsabilités, par Alexander Lefteris Papadovassilakis, Le Temps, 13 février 2017))

Idem pour le lithium (Bolivie, Chili, Argentine), le nickel et le graphite destinés aux producteurs des mêmes batteries, dont l’extraction dans des conditions souvent inhumaines met de plus en péril l’équilibre écologique des pays d’où ils sont extraits en détruisant des sites naturels. Pratiquement pas de Code du Travail, peu ou pas de réglementation, surexploitation…

Mais non, rien sur le pillage de l’Afrique par les transnationales françaises. Pourtant, ce ne sont ni les pays, ni les destructions, ni les assassinats, ni les bains de sang qui manquent. Avec 4 500 militaires engagés en Mauritanie, au Mali — terminé depuis peu —, au Burkina Faso, au Niger ainsi qu’au Tchad et en Libye, « le guerrier » Macron avait le choix. D’autant que Florence Parly, l’énarque en jupon devenue ministre des Armées, avait préparé le terrain à l’énarque-guerrier assurant, en décembre 2019, que l’opération Barkhane en Afrique « c’est la France qui combat le terrorisme à sa source ». Mort de rire ! À se demander si Florence n’est pas nouvelle au bercail de l’Élysée-Matignon. Parce qu’en matière de terrorisme, le président français a côtoyé plus d’un expert de lutte antiterroriste qui soutenait le… terrorisme

Ministre, il participa au gouvernement Valls qui fut l’un des principaux responsables du développement du terrorisme sous la présidence de François Hollande. Devenu président, sans doute pour s’assurer que « la France combat (bien) le terrorisme à sa source », il fit embaucher par son premier Premier ministre, Édouard Philippe, l’un des principaux soutiens au terrorisme en la personne de Jean-Yves le Drian. Celui-là même qui, avant de devenir ministre de l’Europe et des Affaires étrangères au sein de ce gouvernement, fut ministre de la Défense dans les gouvernements Ayrault, Valls et Cazeneuve. Voilà qui fait beaucoup, mais Le Drian est un cumulard et pas seulement de mandats.

Un vrai trafiquant d’armes doublé d’un spécialiste du mensonge d’État. De son bureau, Le Drian alimentait « la source » du terrorisme — celle-là même que dame Parly dit combattre —, tantôt diplomatiquement à l’ONU, tantôt militairement en protégeant et en armant, par DGSE interposée, les groupes terroristes qui répandaient la terreur en Libye, puis en République arabe syrienne. Après l’échec du coup d’État de Damas du 18 juillet 2012, auquel participa la DGSE, certains chefs de ces groupes criminels furent reçus plus tard à l’Assemblée nationale, à Matignon et à l’Élysée, tandis que d’autres se réfugiaient en France.(([3] Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels 56, tome 1, L’État français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.))

« Le guerrier » allait-il vous parler de la Libye, dont vos médias vous désinforment sur l’engagement de l’Élysée ? Allait-il vous dire que sans aucun vote du Parlement, il embourbe la France, avec l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes Unis, la Fédération de Russie et Israël, dans les ingérences étrangères qu’il… dénonce en soutenant le maréchal autoproclamé Khalifa Haftar, homme de la CIA en Libye ? Celui-ci, en échange du soutien militaire de ses maîtres, doit leur donner accès libre aux ressources pétrolières — celles qui du temps de Kadhafi étaient investies dans la modernisation du pays —, à la recherche de gaz off-shore dans le Golfe de Syrte et, dit-on, « l’utilisation de la base aérienne d’Al-Koufrah pour faire le plein de kérosène des avions-cargos transportant l’uranium et l’or extraits au Mali ».(([4] En intervenant en Libye, la France déstabilise le Maghreb, par Gilles Munier, France-Irak Actualité, 1er juillet 2020, article publié en langue arabe sur le site algérien El Bahdja news le 1er juillet 2020))

Dans le cadre d’un « plan diabolique, pensé et mis en œuvre par la Banque mondiale, au profit des multinationales », des sociétés anglo-saxonnes et la Somadex, filiale du groupe Bouygues, pillent ces richesses du Mali, qui reste l’un des pays les plus pauvres du monde.(([5] Main basse sur l’or du Mali, par Oumar Babi, Mondafrique, 1ermai 2016, www.mondafrique.com))

Mais non, pas d’Afrique ni même de Syrie ou de Libye au rendez-vous présidentiel télévisuel.

Pourtant plus de 1 000 militaires français sont engagés en Syrie et en Irak, où ils n’ont rien à y faire si ce n’est de soutenir l’invasion étasunienne pour en piller les richesses. L’armée US et l’armée française y ont pris la place de l’État islamique après avoir protégé ce groupe terroriste dans son trafic de pétrole vers la Turquie. Les parents ont pris la place de leur enfant sauvage adoptif après l’avoir répudié.

Du mois de juin 2014, période de lancement par Washington de sa prétendue « Coalition internationale pour combattre le terrorisme », au 30 septembre 2015, début de la coopération entre l’armée russe et l’armée arabe syrienne, en quinze mois de violation de l’espace aérien syrien, cette coalition à laquelle participe l’armée française sous commandement US n’a ni révélé l’existence de ce gigantesque trafic ni réalisé aucune frappe pour le détruire !

Comme ces faits, que les médias vous ont également dissimulés, datent de 2016, nous avons pensé que « le guerrier » allait vous présenter fièrement le bilan désastreux, le coût des activités de l’armée coloniale française en Syrie et alentour.

Nous trouvions suspect le silence du « guerrier » après les bombardements de la Syrie qu’il ordonna en avril 2018 à la demande de Washington et sans consultation du Parlement ni mandat de l’ONU.

Lorsque des terroristes de l’État islamique capturés par l’armée arabe syrienne confessent qu’ils ont été entraînés par les forces d’occupation étasuniennes stationnées dans la région syrienne d’Al-Tanf, vous n’en avez rien su par les médias des milliardaires.

Lorsque d’autres terroristes du même groupe, tel Mohammad Houssayn Saoud, indiquèrent que ce sont les renseignements britanniques qui l’ont forcé, avec d’autres terroristes travaillant pour lui, à collaborer en recueillant des informations sur les institutions et les sites militaires syriens et russes en Syrie, les mêmes médias vous ont dissimulé ces faits mettant à jour, avec d’autres, le rôle de l’Élysée et d’autres capitales occidentales dans le soutien au terrorisme.

Lorsque les États-Unis, soutenus dans leur guerre par la France, l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique et la Turquie volent ouvertement 200 000 barils de pétrole par jour des champs de pétrole syriens, vous n’en savez encore rien par ces médias.

Lorsque les mêmes volent en plus 400 000 tonnes de coton, 5 millions de têtes de bétail, vous n’en savez toujours rien par ces médias.

Lorsqu’ils mettent le feu à des milliers d’hectares de champs de blé, se vantent de diviser la Syrie et de délibérément affaiblir la valeur de sa monnaie nationale, ces médias vous dissimulent ces faits.

De même que ces médias vous taisent les mesures économiques coercitives des États-Unis visant à étouffer le peuple syrien, qu’ils occupent certaines parties de son pays et protègent leur partenaire turc occupant d’autres vastes parties de terres syriennes.

Aussi lorsque la représentante des États-Unis à l’ONU parle du souci de son administration devant la détérioration des conditions de vie des citoyens syriens en l’attribuant à ce qu’elle qualifie de « régime », la question légitime devient : n’est-ce pas là une phase de maladie aiguë et ne sommes-nous pas face à des symptômes de schizophrénie politique ?

Et, vous ne serez pas informé non plus par ces médias que le 31 mai 2020, la République arabe syrienne a adressé une plainte officielle au Secrétaire général des Nations Unies et au président du Conseil de sécurité contre les gouvernements de certains États membres, au premier rang desquels les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et la Turquie. Objet :

« Mettre un terme aux ingérences hostiles d’États étrangers dans les affaires intérieures de la République arabe syrienne et engager tous les États membres à s’abstenir de toute pratique visant à saper l’indépendance et la poursuite du processus politique. »(([6] Intervention du Dr Bachar Al-Jaafari, chef de la mission de la République arabe syrienne auprès des Nations unies, 29 juin 2020))

Tout au long de dix années de guerre meurtrière, de 2010 à 2020, les gouvernements des États-Unis, de l’Angleterre, de la France et de la Turquie ont soutenu, financé et armé des groupes et organisations de terroristes multinationaux de multiples allégeances et de diverses casquettes, ainsi que des milices séparatistes à leurs ordres. Ils ont délibérément mené des agressions militaires unilatérales et tripartites contre la République arabe syrienne, occupé certaines parties de son territoire, commis des meurtres et des destructions, procédé à des déplacements et à des changements démographiques, pillé ses richesses naturelles et historiques dont le pétrole, le gaz, les cultures agricoles et les antiquités, brûlé et détruit tout ce qu’ils n’ont pu voler, imposé toujours plus de mesures coercitives unilatérales au peuple syrien.

Mais qu’en avez-vous réellement su par les médias des milliardaires ? Une fois de plus, vous êtes complètement désinformés sur ces faits, bien plus graves que la petite pandémie de la Covid-19. Un peu comme si la guerre n’existait plus. Donc, pas de Syrie non plus dans le discours du président qui, il est vrai, a plutôt intérêt à faire profil bas sur le crime d’agression qu’il perpètre contre la République arabe syrienne, crime ouvert par la présidence Hollande.(([7] Lire sur les relations entre dirigeants français et chefs de groupes criminels : 56, tome 1, L’État français complice de groupes criminels et 56, tome 2, Mensonges et crimes d’État, par Jean-Loup Izambert, IS Édition.))

Les Gilets jaunes, alors ? Car, vous l’avez sans doute remarqué, les mouvements sociaux sont aujourd’hui assimilés par des grands patrons et certains politiciens à des actes de violence et « d’atteintes aux libertés par une minorité ». En décembre 2016, en pleine manifestation contre la « loi Travail », le « patron des patrons » du moment, Pierre Gattaz, avait donné le ton en comparant les militants de la CGT à des « voyous » et des « terroristes ».

Le tribunal correctionnel de Bobigny relaxa le Gattaz poursuivi pour diffamation, le juge du tribunal considérant que ses propos ne sont « pas suffisamment précis pour constituer une diffamation » (sic). En magistrature française, la diffamation oblige à la précision. Par exemple, dire qu’un magistrat est un con ne suffit pas. Il faut, afin d’être entendu en tribunal, donner son identité complète.

Depuis les attentats de 2015, 7 000 à 10 000 soldats ont été déployés en plus des forces de police et de gendarmerie. Leur rôle est surtout de réprimer les mouvements sociaux, comme celui des Gilets jaunes en 2019. Là, ça sent la guerre. « Le guerrier » allait-il monter au front, vous lançant un clairvoyant et tonnant « Français, je vous ai compris ! » et répondre aux revendications qui montent du cher et vieux pays en pleine ébullition ?

Rien de tout cela ! Le refus du dialogue est devenu permanent. Nous sommes bel et bien en dictature.

Révolution cherche mouvement révolutionnaire pour stopper les drames d’aujourd’hui et affronter les réalités de demain. Vous en êtes ?

Jean-Loup Izambert et Claude janvier. Auteurs du livre « Le virus et le président ». IS édition. Extrait du chapitre 8. www.is-edition.com

Notes :




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

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Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019

[Source : Nexus]

Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et présidente de l’association Children’s Health Defense, est spécialisée dans la question des politiques vaccinales mondiales. En mars 2019, elle publiait dans le magazine Nexus n°121 une vaste enquête sur l’idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination dans ce qui semblait émerger en tant que marché global mondial. [Nexus le propose] en accès libre, ainsi qu’un second article d’elle paru dans le même numéro, avec en bonus un entretien vidéo avec elle tourné en février 2022.

Le travail de Senta Depuydt a récemment été découvert par beaucoup et reconnu comme étant « prophétique » puisqu’il décrivait avec précision, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.

La prophétie n’est pas l’objectif du journalisme, mais lorsqu’il se confond avec, alors on peut parler d’une enquête bien menée !

◆ Un article qui fait le buzz 3 ans après sa parution

Notre article de mars 2019 a rencontré un vif succès et a généré un buzz début janvier 2022 sur les réseaux sociaux : Twitter, Telegram, Facebook… Tout cela à partir d’un seul tweet. Les mots de cet article, avec le recul de la crise Covid, ont résonné fort dans l’esprit de beaucoup de Français :

Je viens de lire un article de Nexus qui date de mars 2019 et où tout ce qui arrive est décrit jusque dans le moindre détail.
Le prochain qui me dit qu’il n’y pas de plan, je lui fais bouffer le magazine feuillet par feuillet.

— Rhume 19 (@Rhume19) January 8, 2022

VACCINS UN PLAN MONDIAL

nexus n° 121 | mars-avril 2019

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politi-que de vaccination constante à l’échelle planétaire se déploie à grande vitesse.

par Senta Depuydt

À PROPOS DE L’AUTEURE

Senta Depuydt est diplômée en communication et journalisme de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales, tout en explorant des domaines parallèles. Confrontée à l’autisme, elle a mis en place de nouvelles approches médicales et éducatives, afin d’aider son fils à retrouver un développement optimal. Elle a ensuite approfondi et partagé abondamment ces informations dans des conférences et des articles, notamment lors du congrès Sortir de l’autisme, abordant aussi des sujets con-troversés comme l’impact des facteurs environnementaux ou de la vaccination.

Sans que cela ne provoque le moindre débat dans les médias ni au sein des assemblées, un programme de vaccination organise la mise en place d’un contrôle permanent des populations et des individus de tous âges. Cette stratégie élaborée dans le cadre de l’Agenda global pour la sécurité sanitaire, ou GHSA, est-elle en train de précipiter notre société à toute vitesse dans « le Meilleur des mondes » ?

Étrange passivité

C’est l’Argentine qui donne le coup d’envoi de cette politique de contrôle totalitaire par le biais de la vaccination. Le Congrès y a approuvé au mois de décembre une loi qui requiert de présenter le carnet de vaccination unique attestant d’une vaccination à jour lors de chaque formalité administrative : carte d’identité, passeport, permis de conduire, certificat pour une demande de mariage, etc.1 Alors que le pays s’est déchaîné sur les questions touchant à l’intégrité du corps, comme les lois concernant l’avortement ou pour le mariage pour tous, et s’est passionné pour des affaires d’abus de mineurs, c’est à l’unanimité et sans le moindre débat que cette loi imposant une ingérence permanente dans le corps de chaque individu a été votée. Bien évidemment, cette contrainte conditionne aussi l’accès à l’éducation, aux services de santé et à l’emploi.

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constituée de rats de laboratoire2 », écrit-il, en référence aux multiples essais cliniques dangereux, voire mortels, qui y ont été menés sans consentement, notamment avec le vaccin Synflorix3. Les médias argentins se sont pourtant abstenus de toute critique, ne relayant que les propos officiels.

Renforcer le leadership

Selon le Dr Carla Vizzotti, présidente de la Société de vaccinologie et d’épidémiologie,

« il s’agit d’une grande nouvelle pour la santé publique. Un projet qui est devenu loi en moins d’un an, une loi fédérale, appuyée par tous les partis du Congrès. Elle instaure la vaccination tout au long de la vie pour tous les vaccins qui seront inscrits au programme national. Et elle définit aussi la vaccination comme un bien d’intérêt social qui établit la prévalence de la santé publique sur les intérêts particuliers. »

De l’Allemagne à la Russie, la Corée du Nord ou la Chine, cette rhétorique de la prévalence du bien commun sur les intérêts de l’individu est la porte ouverte à tous les abus.

Rappelons que c’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. Lors de la réunion des ministres de la Santé, la vaccination y était largement à l’honneur, notamment avec le sujet de la résistance aux antibiotiques (contre laquelle la seule solution semble être la vaccination), mais aussi et surtout avec la thématique majeure de « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies ».

Dans la déclaration commune du 4 octobre 20184, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système propre pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent également en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, notamment par le soutien à la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat encore plus rapproché entre l’OMS et la Banque mondiale5.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne (organe le plus influent parmi les institutions européennes) émet une recommandation pour « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale6 », dans laquelle il préconise entre autres mesures de renforcer la vaccination et son financement, d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et de surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». Tout comme en Argentine, on y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de routine et des occasions de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré)scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. Pour ce faire, l’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Endoctrinement

C’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en France, qui est chargé de piloter ce projet «Joint Action on Vaccination » (« Action commune en faveur de la vaccination ») et d’organiser une banque de données avec le statut vaccinal de chaque citoyen en temps réel, permettant de croiser et d’échanger les données entre différents systèmes de santé, ou d’envoyer des SMS ou des mails pour notifier les rappels de vaccins aux individus concernés.

La recommandation prévoit aussi d’inculquer les principes de la vaccination dans les écoles, notamment les écoles européennes, ainsi que dans tous les types d’enseignement. Par ailleurs, on prévoit d’éliminer les contestations sous prétexte d’une stratégie européenne pour lutter contre les fake news et la désinformation en ligne7. Enfin, démarche inquiétante, l’Union prévoit de financer la recherche en sciences sociales et comportementales pour déterminer les facteurs menant à la réticence à la vaccination dans différentes catégories de population et parmi les travailleurs de la santé (article 15 de la recommandation du Conseil de l’UE)8.

Des motifs de résistance

Il s’agit bien là d’une politique extrêmement contraignante et qui s’appliquera dans toute l’Europe, même s’il pourrait être difficile d’instaurer une obligation légale dans certains pays. Dans la plupart des démocraties d’Europe de l’Ouest, le principe du libre consentement éclairé et l’interdiction de l’expérimentation médicale forcée ont imprégné les esprits avec le procès et ensuite le code de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies. D’ailleurs, Angela Merkel, interrogée en octobre 2017 alors que l’extension des obligations vaccinales en France était à l’ordre du jour, déclarait dans un podcast vidéo :

« En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous paraît tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa propre décision. »

Quelques mois plus tôt, en mai 2017, le Parlement suédois avait lui aussi rejeté une loi instaurant des obligations vaccinales9, au motif que, d’une part, le programme vaccinal en place semblait remplir ses objectifs et que, d’autre part, les associations avaient rappelé à juste titre l’existence de dommages vaccinaux et le fait qu’une telle obligation était contraire aux libertés garanties par la Constitution.

Forcing

Quoi qu’il en soit, là où le respect du libre consentement semble bétonné par différentes lois, il sera toujours possible d’imposer une forme d’obligation dans la pratique. Les contraintes sont nombreuses : refus d’accès aux lieux et services publics, aux établissements d’enseignement ou centres commerciaux, ou aux moyens de transport, ce qui reviendrait presque à une forme d’assignation à résidence.

Les incitations à la vaccination pourraient se décliner à travers des bonus et des compensations ou, au contraire, une augmentation des tarifs d’assurance et de soins de santé, voire la diminution des allocations pour les non-vaccinés, comme c’est déjà le cas en Australie, où le gouvernement mène une politique draconienne.

En effet, à la suite de la campagne « No jab, no play », organisée par News Corp – le groupe de presse de Rupert Murdoch, dont le fils James a longtemps siégé au conseil d’administration du laboratoire GSK –, le gouvernement australien a adopté en janvier 2016 la loi coercitive « No jab, no play ; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés10.

Politique autoritaire

L’Australie semble inspirer l’Europe et cette ligne autoritaire et « criminalisante » a d’ailleurs été esquissée par Martin Seychell, le directeur général adjoint de la direction générale Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, lorsqu’il a affirmé que « la non-vaccination menace la vie d’autrui » dans une position qui exclut tout droit à la non-vaccination. S’adressant aux associations et partenaires de la société civile lors d’une réunion au Parlement organisée par Active Citizens in Europe advocate for vaccination (« Citoyens actifs en Europe pour la vaccination »), une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance. Parmi ses objectifs prioritaires : la vaccination de la population adulte et le rattrapage des « rappels ». C’est bien entendu le vaccin de la grippe qui sera au cœur de cette campagne, un produit qui a l’avantage commercial indéniable de devoir être refait chaque année.

Lors de cette réunion, un autre intervenant, le Dr David Salisbury, a poursuivi dans la même veine en vantant les bienfaits d’une vaccination « comme à l’armée ». Chaque citoyen sera convoqué par mail ou SMS via un message lui proposant une heure de rendez-vous dans un centre de vaccination où l’on vaccine à la chaîne, sans qu’une visite préalable soit nécessaire. Gain de temps, données inscrites sans délai dans le carnet de santé numérique, la vaccination devient une obligation citoyenne et passe de l’acte médical à l’acte administratif. Ce qui n’a rien de rassurant11.

Prudence de longue date

Le principe de l’obligation vaccinale a toujours été contesté partout, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, y compris à l’époque de la variole. C’est sur la seule base du caractère d’« état d’urgence » et de « danger imminent » que les premières obligations vaccinales ont été admises. Il est intéressant de noter que dans le verdict initial américain Jacobson vs Massachusetts rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1905, et qui autorise pour la première fois une obligation vaccinale contre la variole en vertu de ce motif d’exception, on peut lire des mises en garde très sérieuses. Face à « la possibilité d’un usage arbitraire et oppresseur d’un pouvoir policier », ou au « fait d’aller bien au-delà de ce qui était indispensable pour assurer la santé publique », la Cour appelle clairement à rester « vigilant afin d’examiner et de contrecarrer les prétentions déraisonnables du pouvoir étatique12 ».

Passe-droit incompréhensible

Un siècle plus tard, les obligations sont désormais motivées par de simples impératifs commerciaux, sans qu’il y ait la moindre urgence de santé publique. Il faut se rappeler qu’en France, il y a à peine deux ans, l’État avait été condamné pour excès de pouvoir, car en l’absence d’un triple vaccin DTP sur le marché correspondant aux vaccins prescrits par la loi, il imposait dans les faits l’utilisation d’un vaccin hexavalent13. En l’absence d’épidémies de polio ou de diphtérie (le tétanos n’étant jamais contagieux), le maintien de telles obligations ne se justifiait plus14 et la France aurait pu les supprimer, s’alignant ainsi sur le principe du libre choix comme c’est le cas dans de nombreuses démocraties européennes. Malheureusement, l’État a choisi d’étendre et d’adapter les obligations à l’offre du marché. Avec une législation solide en faveur des droits des patients, des experts partagés sur la sûreté, l’utilité et l’efficacité des vaccins et des taux de vaccination en hausse, personne n’imaginait que cette mesure puisse être votée. Pourtant, un passe-droit a été créé avec la redoutable « stratégie de la menace », développée et menée à l’échelle internationale par le GHSA (Agenda global pour la sécurité sanitaire) à travers la campagne d’une menace du retour de la rougeole.

[Voir cependant :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
et
L’enterrement de la théorie virale]

État d’urgence permanent

C’est en novembre 2014, lors d’une première réunion à la Maison Blanche, que le GHSA a véritablement lancé cette stratégie globale de la menace. Y participaient non seulement les principaux responsables de la santé du monde entier, mais aussi le département de la Défense américain et Interpol. Alors que l’objectif du GHSA est d’assurer la sécurité sanitaire en cas d’alerte majeure pour la santé, par exemple en cas d’accident nucléaire ou de bioterrorisme (imaginons la réintroduction de la variole lors d’une guerre), une première dérive s’opère d’emblée dans la désignation de la rougeole comme menace sanitaire. Élément essentiel déjà évoqué, l’argument sécuritaire est en réalité le seul qui permette de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. Mais la désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient quelques mois à peine après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole15. Loin de représenter un véritable danger, la menace de la rougeole intervient comme une contre-attaque face aux accusations de fraude scientifique, tandis que la vaccination en masse et surtout les obligations se profilent comme le moyen le plus efficace de garantir un marché qui pourrait accuser des pertes.

Les principaux objectifs annoncés à l’issue de cette réunion furent de développer une surveillance accrue, de renforcer les leaderships et de modifier les législations nationales en faveur de la vaccination généralisée. Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95 % sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe16 ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Deux ans plus tard, quelques jours avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent ainsi la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Comme la rougeole ne décime pas des populations et que les taux de vaccination ont augmenté dans la majorité des pays, le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera soit le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger inconnu, comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard17 ». La grippe est l’un des thèmes favoris de Bill Gates et des producteurs de vaccins, mais en 2018 s’ajoute dans la liste des dangers prioritaires la « maladie X18 », une maladie qui n’existe pas encore, mais qui permet de financer en priorité « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

[Note de Joseph : cette maladie X a été nommée Covid-19, mais son virus n’a jamais été effectivement isolé, de même que pour les autres prétendues maladies virales, et ses symptômes regroupent ceux d’affections déjà connues, notamment les grippaux. Voir notamment :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais (leur nombre dépasse maintenant les 120)
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

Tout récemment, l’OMS a même qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé19. Si les médias et les nombreux lobbies scientifiques sont déjà sous contrôle des institutions et de l’industrie, le rôle de l’information sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs sera sans doute un élément décisif dans cette bataille pour un libre choix.

Autre dérive qui s’inscrit dans la même logique de menace sanitaire : « Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme des fléaux majeurs ! » selon les textes de l’Union européenne20. En d’autres termes, peu importe la maladie et son degré de dangerosité ou de contagion. Il suffit qu’un vaccin soit développé pour que cela puisse justifier le fait de le promouvoir, et même de le rendre obligatoire. Au-delà d’une interrogation légitime sur ce qui s’apparente à une forme de racket, il est aussi nécessaire d’envisager cette politique de vaccination sous d’autres aspects.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a un glissement manifeste qui s’opère de la surveillance des maladies, où il s’agit de détecter les foyers infectieux et d’y apporter une réponse sanitaire, à une surveillance accrue des citoyens. À partir de là, différentes dérives sont susceptibles de se produire. D’une part, les données récoltées pourraient être utilisées (« valorisées », c’est-à-dire commercialisées) ou exploitées d’une manière ou d’une autre (par les assurances notamment), sans le moindre consentement.

Le suivi des recommandations officielles pourrait-il conditionner l’accès à d’autres prestations ou leur remboursement ? Ne risquerait-on pas d’aboutir à une sorte de carnet de santé à points ?

D’autre part, Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé qui permet de poursuivre les individus à travers différents États. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu Eugenics Building au Kansas Free Fair était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menaces à la santé globale » et que l’Union européenne finance par ailleurs des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents à la vaccination, il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Il ne s’agit pas ici de porter des accusations ni de spéculer sur les intentions des politiques actuelles, mais de fournir des éléments permettant de comprendre les enjeux de la vaccination dans un cadre élargi, afin de mettre en place une série de garde-fous. Ce sujet n’est jamais abordé de manière sérieuse, alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opi-nions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui.

Éliminer les faibles

Il est intéressant de se pencher sur l’exemple de la Fondation Rockefeller, qui joue un rôle crucial dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut de recherche de la fondation a été créé en 1901 sous la direction de William Welch, un scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin contre la polio. Welch, comme nombre de ses collaborateurs, était un eugéniste notoire et siégeait au conseil d’administration de l’Eugenics Record Office21, un organisme qui avait entrepris de ficher des millions d’Américains afin d’identifier les lignées les plus faibles de la population et de les éliminer par différentes méthodes, incluant la stérilisation et l’euthanasie22. D’après les documents retracés dans l’ouvrage d’Edwin Black War Against the Weak : Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race (Guerre contre les faibles : l’eugénisme et la campagne américaine visant à créer une race de maîtres) (Expanded Edition, Dialog Press, 2012), les racines idéologiques et même les méthodes d’extermination nazies, y compris les chambres à gaz, furent empruntées aux eugénistes californiens. La Fondation Rockefeller aurait versé près de 100 millions de dollars à l’Eugenics Record Office, mais elle joua aussi un rôle capital dans le développement des instituts eugénistes en Allemagne, notamment le Keiser Wilhelm Institute. Elle y soutenait déjà les travaux de l’épouvantable Dr Mengele avant la guerre, ainsi que ceux de Rudin23. Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben24. La Standard Oil poursuivit son partenariat avec IG pendant la guerre et facilita le déploiement militaire allemand. IG Farben est la compagnie qui fit construire des camps de travail à Auschwitz et participa aux expérimentations humaines dans les camps de concentration, dont certaines portaient d’ailleurs sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies25. C’est aussi IG Farben qui fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

Malheureusement, la guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la Fondation Rockefeller a continué de les soutenir via les programmes menés sur le plan national et international. Aux États-Unis, les programmes de stérilisation ont eu lieu jusque dans les années 1950 ou même 1970 (en Caroline du Nord)26 et ce n’est que récemment que des programmes d’indemnisation des victimes ont été approuvés27. De nombreux présidents américains ont partagé ces mêmes conceptions et objectifs politiques. En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt estime « que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire28 ». Entre la Deuxième Guerre mondiale et la fin des années 1980, plusieurs générations de la famille Bush sont aussi étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la Fondation Rockefeller29. En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain dans lequel il définit les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population, dont la mise en œuvre est notamment prévue par des programmes internationaux comme l’USAID30.

C’est principalement sous l’impulsion du Britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme avec son frère Aldous, auteur du Meilleur des mondes, que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial31.

Bien que farouchement opposé au nazisme (car il contestait la sélection à partir de la race), Huxley était toutefois profondément influencé par les théories évolutionnistes et prônait une philosophie sociale enracinée dans la biologie… En résumé, éliminer les plus faibles, pour favoriser les plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’UNESCO, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer de manière systématique les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale demeure la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développer des vaccins stérilisants a été lancé par l’OMS en 197232 en collaboration avec le FNUP (Fonds des Nations unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés (Rockefeller, Planned Parenthood, UNAIDS, etc.) dans le cadre du « Expanded Program of Research, Development, and Research Training in Human Reproduction33 » (« Programme élargi de recherche, de développement et de formation sur la reproduction humaine »). Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 199334, un premier vaccin efficace est mis au point en combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse (hCG). Ce vaccin a donc des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes non fécondées pour une période allant de six mois à un an. Essentiellement destinés aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient censés être proposés comme contraceptif à des femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause », mais qu’en est-il dans la pratique ?

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, de nouveaux produits sont apparus et le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit des noms plus neutres de produits ou de leurs composants35. Par exemple, le DMPA, ou Depo-Provera, contraceptif injectable qui est largement promu par la fondation Bill et Melinda Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, une campagne amorcée avec le gouvernement britannique et qui cible particulièrement les pauvres, notamment en Inde (Mission Parivar Vikas). Ce produit a pourtant reçu une mention « black box36 » aux États-Unis, car il est associé à une augmentation des cancers du sein, de l’ostéoporose et d’un retour à la fertilité difficile après arrêt du traitement. Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 201737, le libre consentement éclairé affiché de cette campagne est une farce. On attire des femmes illettrées en leur donnant cent roupies sans leur parler des risques, alors qu’il existe sans doute d’autres moyens contraceptifs plus sûrs et plus appropriés à leur besoin.

En Inde, la plupart des médecins ont encore une approche très malthusienne de la santé et la société est toujours imprégnée du système de castes et de divisions ethniques. Aussi, quand le gouvernement a introduit les campagnes de contraceptifs injectables, de nombreuses associations s’y sont opposées, afin de se prémunir contre d’éventuelles dérives eugénistes. Par ailleurs, comme le précisent ces associations, promouvoir de telles options, sans même prendre en considération la santé globale et le bien-être de la femme, résulte tout simplement d’une forme de contrôle et de privation de liberté des femmes.

En ayant cela à l’esprit, s’interroger sur les campagnes de vaccination menées par les puissants de la planète et les organisations internationales qu’ils dirigent tient d’un devoir de précaution légitime. Les faits qui se sont déroulés il y a quelques années au Kenya en sont bien la preuve.

Tétanos à l’hormone de grossesse

En novembre 2014, l’Église catholique du Kenya a sonné l’alarme après avoir constaté une importante augmentation de fausses couches et de problèmes de fertilité. Des médecins kényans avaient fait analyser dans quatre laboratoires du pays des échantillons du vaccin antitétanique distribué par l’OMS. Près de la moitié des lots semblaient contenir des hormones de grossesse. L’association des médecins catholiques a accusé l’OMS de procéder à un programme de dépopulation. Le fait que le calendrier vaccinal proposé ait différé du calendrier habituel recommandé pour le tétanos indique qu’il s’agit là soit d’une grave négligence, soit d’un acte intentionnel38.

Si l’OMS a bien rédigé une réponse indignée devant des accusations aussi lourdes, elle s’est contentée de discréditer la fiabilité des laboratoires ayant procédé aux analyses.

Contraceptif télécommandé

Les récentes plaintes pour faits de sexisme et de discrimination raciale systématique au siège même de l’OMS viennent ternir un peu plus les images d’humanité et de bienfaisance véhiculées dans les campagnes de communication de l’organisation.

Pas de quoi renforcer la confiance dans l’OMS, ni en Bill Gates, qui en est le principal financier et pour qui le contrôle de la population sous toutes ses formes semble être une obsession majeure, comme en témoigne une conférence Tedx 201039, alimentant depuis longtemps les doutes quant à ses véritables intentions. S’il n’affiche pas d’opinion raciste ou ouvertement eugéniste, il faut noter que ses parents étaient parmi les dirigeants de « Planned Parenthood », organisation qu’il gère encore actuellement et dont l’activité principale consiste à pratiquer l’avortement. Or, à l’origine, cette association plaidait ouvertement pour une stérilisation forcée des « moins désirables », minorités pauvres (en particulier Afro-Américains), handicapés physiques et mentaux ou même épileptiques40.

La fondation Gates finance en tout cas de nombreuses recherches sur la contraception, notamment un contraceptif télécommandé via une microcapsule qui libère des hormones durant près de seize ans, mais qui peut être désactivée par un signal envoyé par un médecin… Plutôt stressant lorsque l’on apprend que la FDA a émis une mise en garde préalable sur le fait que ce type de dispositif est susceptible d’être piraté41 !

Il est aussi effrayant de voir à quel point toutes ces « avancées » impliquent un assujettissement accru au corps médical.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Élaborés avec l’aide du gouvernement américain 42, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien43, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de polysorbate 8044 et de borate45 pourrait en être la cause. Ces deux produits ont une action toxique sur le système reproductif et peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation ainsi que des malformations fœtales. Une étude récente de Gayle DeLong a noté que, dans une population de 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, celles vaccinées avec l’anti-HPV avaient presque deux fois moins de grossesses46. Pour l’instant, il n’y a, comme souvent, pas assez de données permettant de confirmer ou de réfuter un lien de causalité entre l’infertilité et le vaccin.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont en tout cas au rendez-vous de l’agenda vaccinal, et les organisations internationales investissent dans ces outils pour assurer leur mission. Dans une interview de novembre 201747, Seth Berkley, le directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide du Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

L’utilisation régulière de drones pour le transport de vaccins commence aussi à se répandre, notamment au Rwanda ou dans l’archipel de Vanuatu48. Enfin, il explique qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec une compagnie nommée Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous forme de collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné et mis à jour avec un téléphone portable par les équipes de vaccination, afin d’avoir une information fiable. Toujours selon Berkley, tout cela devrait permettre de devenir plus ambitieux et de viser une couverture vaccinale de 100 % des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Face à un tel déploiement de moyens, il convient de s’interroger. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre en cause le développement de la recherche ou de la technologie. Des thérapies génétiques pourraient un jour renverser un pronostic mortel, et un médicament délivré en urgence par drone sauver une vie. Mais les meilleures intentions peuvent aussi avoir les pires conséquences. Plus que jamais, il convient de rester vigilant. Ces questions doivent impérativement être évaluées sur un plan éthique, car elles peuvent entraîner une forme d’assujettissement de la personne et un risque de privation de liberté peu acceptables.

[Note de Joseph : les thérapies géniques ont largement démontré leur nocivité et leur incapacité à réellement améliorer la santé humaine, notamment par les récents pseudo vaccins anti-Covid.
Voir :
La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Sauvons les enfants des injections géniques
Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité
Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ
Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans
Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19]

Vaccins et injections transhumantes

Pour voir encore plus loin la portée des enjeux d’une politique de vaccination obligatoire et massive, il faut s’intéresser au développement de nouvelles technologies dans le domaine des vaccins et des injections. L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain. Ici, l’on n’injecte plus un antigène (par exemple le virus atténué de la rougeole) pour susciter une réponse sous forme d’anticorps, mais un nouveau matériel génétique synthétique véhiculé par un vecteur (un virus qui circule rapidement), encodant des protéines résistantes à diverses maladies. Cette nouvelle approche, que l’on nomme aussi plus discrètement immunoprophylaxie vectorielle49, court-circuite le fonctionnement traditionnel du système immunitaire et modifie le profil génétique de l’individu vacciné. Les recherches actuelles visent à l’utiliser pour des vaccins contre la malaria, la dengue, l’hépatite C, le VIH et… la grippe.

On imagine facilement que ces nouveaux produits pourraient venir à point nommé remplacer les vaccins classiques trop critiqués en raison de la toxicité de leurs adjuvants. Mais d’autres risques se profilent… celui de la mutagenèse (ou la modification non prévue du patrimoine génétique propre). De même, que penser de la tolérance et des effets à long terme d’une technologie dont on ignore tout ? Enfin, cela met à disposition de ceux qui contrôlent la production et la diffusion des vaccins un moyen de modification constant de la génétique de différents groupes d’êtres humains.

Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole. Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes est une situation hautement alarmante. Un débat ouvert sur la démographie, la contraception ou les modifications génétiques doit pouvoir avoir lieu, mais le plus urgent est de sauvegarder nos libertés et nos droits fondamentaux.

Senta Depuydt

Références

Note : seuls quelques liens sont fonctionnels…

  1. https://www.lanacion.com.ar/2202208-para-renovar-dni-pasaporte-registro-habra-presentar
  2. https://loveartnotpeople.org/2018/12/20/mi-resena-de-como-la-verdadera-vio-lacion-no-fue-la-de-juan-darthes-sino-la-del- estado-entongado-con-dios-sabe-quien-forzandonos-a-darnos-todas-las-vacunas-contra-nuestra-voluntad/
  3. https://redbioetica.com.ar/glaxosmithkline-sigue-pagando-multas/
  4. http://www.g20.utoronto.ca/2018/2018-10-04-health.html
  5. https://www.worldbank.org/en/news/press- release/2018/09/10/global-prepa-redness-monitoring-board- convenes-for-the-first-time-in-geneva ; https:// www.who.int/ news-room/detail/24-05-2018-who-and-world-bank-group-join-forces-to-strengthen-global-health-security
  6. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  7. Commission Communication on Tackling Online Disinformation: a European Approach, COM(2018) 236. Communication de la commission intitulée « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne », COM(2018) 236 final.
  8. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  9. http://freedomeurope.net/en/riksdagen-rostade-nej-till-lagar-om-obligatorisk-vaccinering/
  10. https://www.ageofautism.com/2018/07/are-the-murdochs-dictating-vaccina-tion-policy-in-australia-in-the-best-interests-of-glaxosmithkline.html
  11. Propos entendus lors de la réunion « Active Citizens for vaccination in Eu-rope » du 7 novembre 2018 au Parlement européen et article
    https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-%20de-vie/news/no-freedom-of-choice-in-vaccination-top-eu-health-official-insists/
  12. https://supreme.justia.com/cases/federal/us/197/11/ et https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-mandates-results-dont-safeguard-chil-drens-rights-or-health-how-did-we-get-here/
  13. http://www.avocat-bergel.com/wp-content/uploads/2017/06/VACCINS-let-tre-à-la-Ministre-exécution-2.pdf
  14. Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politique, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017).
  15. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117 (juillet-août 2018) ;
    Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politi-que, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017) ;
    Aveux enre-gistrés dans le documentaire Vaxxed :
    www.vaxxedthemovie.com/fr ;
    Déclara-tion officielle de William Thompson suite au documentaire :
    https://www.rescuepost.com/files/william-thompson-statement-27-august-2014-3.pdf
  16. Ce dogme est pourtant contredit par la réalité épidémiologique : le vaccin n’offre qu’une protection temporaire, ne fonctionne pas dans 10 % des cas et n’agit que sur certaines souches, ce qui explique que la rougeole affecte aussi les personnes vaccinées. Malheureusement, même si des experts réputés tels que le professeur Didier Raoult ou l’épidémiologiste Bernard Guennebaud n’hési-tent pas à la qualifier de « fantascience », cette notion fait passer la vaccination de masse pour un acte éthique et scientifique (cf. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117, juillet-août 2018). Interview par Prévention Santé du professeur Didier Raoult : « Vaccins, Science et Vérité » :
    https:// www.youtube.com/watch?v=gssKVHpKBwk&t=773s
  17. https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019
  18. https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/en/ ;
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-oms-estime-que-la-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-menace-mondiale_121999
  19. https://www.newsweek.com/world-health-organization-who-un- global-health-air-pollution-anti-vaxxers-1292493
  20. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/ ;
    http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8679-2018-INIT/en/pdf
  21. https://www.dnalc.org/view/10950-Eugenics-Record-Office-board-of-scien-tific-directors-and-functions.html
  22. https://vactruth.com/2010/08/18/rockefeller-vaccine-secret-revealed/ ;
    http://ahrp.org/eugenics-the- california-connection-to-nazi-policies/ et
    https://www.sfgate.com/opinion/article/Eugenics-and-the-Nazis-the-California-2549771.php
  23. Black E., « The horrifying American roots of Nazi Eugenics », History News Network, Columbian College of Arts and Science, G. Washington University, sept. 2003 :
    http://historynewsnetwork.org/article/1796
  24. https://www.legrandsoir.info/rockefeller-un-symbole-de-l-emprise-des-lob-bies-sur-les-politiques-de-sante-publique.html ;
    http://theamericanchronicle.blogspot.com/2012/02/treason-of-standard-oil-exxon-during.html ; http://www.gabyweber.com/dwnld/artikel/eichmann/ingles/se-cret_pact_standard_oil.pdf
  25. Weindling P. « Consent, Care and Commemoration: the Nuremberg Medical Trial and Its Legacies for Victims of Human Experiment », p. 29-33, dans Si-lence, Scapegoats, Self-Refelection: the Shadow of Nazi Medical Crimes on Medicine and Bioethics, Roekcle V, V&R. Unipress, 2014 ;
    http://www.operationpaperclip.info/kurt-blome.php
  26. https://files.nc.gov/ncdoa/JSV/JS-brochure.pdf
  27. https://leginfo.legislature.ca.gov/faces/billTextClient.xhtml
  28. https://www.dnalc.org/view/11219-T-Roosevelt-letter-to-C-Davenport-about-degenerates-reproducing-.html
  29. Tarplay W. et Chaitkin A., « The Bush family Ties to Eugenics and Race Hygiene », Press for Conversion !, issue 54, 2004 et « Race Hygiene: Three Bush Family Alliances » (chapitre 3), in George Bush: The Unauthorized Bio-graphy, 1991 :
    http://coat.ncf.ca/our_magazine/ links/54/54_26-34.pdf
  30. https://www.hli.org/resources/exposing-the-global-population-control/ ; https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/Pcaab500.pdf
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4366572 ;
    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/extraits-d-ouvrages/article/la-face-cachee-d-al-dous-huxley-183372
  32. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1874951
  33. https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rspb.1976.0103
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8439385
  35. Gupta Satish Kumar, Shrestha Abhinav & Minhas Vidisha (2014), « Milesto-nes in contraceptive vaccines development and hurdles in their application », Human Vaccines & Immunotherapeutics, 10:4, 911-925, DOI: 10.4161/ hv.27202.
  36. https://www.accessdata.fda.gov/drugsatfda_docs/label/2010/ 020246s036lbl.pdf
  37. https://fit.thequint.com/her-health/risks-in-contraception-and-pregnancies-in-india-2
  38. Oller J. W., Shaw C. A., Tomljenovic L., Karanja S. K., Ngare W., Clement F. M. and Pillette J. R. (2017), « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Ke-nya Raises Concern in the Developing World », Open Access Library Journal, 4: e3937 :
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    https://africa24.info/2018/03/21/un-ancien-premier-ministre-programme-cible-de-sterilisation-de-masse/
  39. https://www.ted.com/talks/bill_gates/transcript?language=fr
  40. https://www.americamagazine.org/politics-society/2017/11/27/margaret-san-ger-was-eugenicist-why-are-we-still-celebrating-her
  41. https://www.theverge.com/2014/7/7/5876837/the-gates-foundation-is-deve-loping-a-remote-control-contraceptive
  42. https://www.ageofautism.com/2016/07/gardasil-a-license-to-kill-what-has-changed-since-this-report-in-2010.html
  43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26125978
  44. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8473002
  45. http://www.sordalab.com/RESSOURCES/documents/FR/141644.pdf
  46. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622
  47. S. Berkley, « Immunization needs a technology boost », Nature 273, 16 no-vembre 2017, vol. 551.
  48. https://www.vaccinestoday.eu/stories/adult-vaccination-can-technology-help-improve-access-and-uptake/
  49. https://tdtmvjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/ s40794-017-0046-0

◆ Un retour trois ans plus tard, en 2022

Senta Depuydt revient dans un entretien au micro de Nexus sur les raisons de ce succès, les enjeux et les contours de l’idéologie vaccinale mondiale, les grandes institutions impliquées dans l’agenda vaccinal, le lien avec la crise Covid et les solutions qui s’offrent aux citoyens.

Interview intitulée « Covid-19 & Vaccination mondiale, retour sur la “prophétie Nexus” avec Senta Depuydt »(([1] https://odysee.com/@MagazineNexus:b/LaProphetieNexus:5 ))




Exigeons la suppression immédiate du pass vaccinal et des fichiers sanitaires et refusons le passeport numérique européen

Dr Gerard Delépine

Partout dans le monde, la pression populaire pour la reconquête des libertés fait reculer les enfermistes et les gouvernants provax, pro-pass, pro fichage.

L’échec patent des pseudo vaccins et des pass incapables de contrôler l’épidémie et la colère populaire contre les restrictions injustifiées forcent partout les tyrans à reculer.

Après la Suède, la Norvège, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Croatie, la Catalogne, la Lituanie qui les ont déjà abandonnés, c’est au tour de la Suisse et de l’Autriche et même de la quasi-totalité des provinces du Canada de libérer leurs populations. Et les discussions en cours en Allemagne présagent son prochain abandon.

Resterons-nous longtemps les retardataires des grands pays de l’Europe, avec l’Italie et la Grèce en conservant ces restrictions inefficaces et même contre-productives ?

Les pass sanitaires(([1] Accordés aux personnes vaccinées ou guéries ou porteurs d’un test PCR négatif)) comme vaccinaux(([2] Vaccinées ou guéries)) sont totalement inefficaces !

Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner l’évolution du nombre de contaminations quotidiennes publiées par l’OMS dans les différents pays avant et après les pass.

En Autriche, le pass sanitaire imposé le 1er juillet 2021 (alors que le nombre de nouveaux cas journaliers moyen s’élevait à 78) a été suivi par une augmentation considérable des contaminations qui ont dépassé les 32 000 fin janvier 2022 (quatre cents fois plus qu’avant le pass !). Qui peut encore prétendre qu’il a été utile ?

En Grèce, l’instauration du pass a été également suivie par une augmentation très importante des contaminations quotidiennes (multipliées par 40)

Même effet délétère constaté en Roumanie :

Dans la majorité des pays qui ont instauré un pass vaccinal à la suite des demandes de la Commission européenne son échec sanitaire avéré a justifié son abandon

Comme en Irlande :

ou en Croatie :

Ou en Grande-Bretagne :

Dans aucun pays, les pass ont été sanitairement efficaces et leur abandon n’a nulle part été suivi d’une aggravation de l’épidémie.

L’échec des pass sanitaires ou vaccinaux était parfaitement prévisible d’emblée, car ils reposent sur l’hypothèse fallacieuse que les pseudos vaccinés seraient résistants au virus et incapables de le transmettre. Ces deux hypothèses sont totalement contredites par les faits depuis déjà de nombreux mois. Rassurer à tort les injectés les incite à négliger les gestes d’hygiène qu’ils respectaient auparavant et accroît logiquement les risques de contamination.

Les pass ne sont qu’un moyen de préparer la dictature à la chinoise

Mais les pass n’ont jamais eu pour but réel le contrôle de l’épidémie ; ils sont destinés à ficher les gens ! Une preuve supplémentaire est apportée par la volonté affirmée (et votée) de les intégrer au passeport numérique européen dès septembre 2022. Ce passeport numérique européen regrouperait carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale…

Dire qu’en France il existe une commission informatique et liberté totalement silencieuse depuis la crise !

Trop d’entre nous avons accepté sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les interdictions de promenades seul en forêt, de s’asseoir sur les plages, de boire debout, le Pass sanitaire, le Pass vaccinal, deux doses pour être libre, puis trois doses et bientôt quatre…

Désormais, totalement engourdis et soumis, trop sont préparés pour accepter la surveillance individuelle, ultime prélude à l’esclavage généralisé : le passeport numérique européen(([3] Olivier Demeulenaere Le pass vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen : Vous serez numérisé, tracé puis pucé Publié le 17 février 2022)) en attendant la puce sous-cutanée qu’on utilise pour surveiller les animaux domestiques.

Dans cette optique, la commission a proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE.

Stella Kyriakidès « Madame Vaccin », qui a signé les contrats d’achats des pseudo vaccins expérimentaux(([4] Et dont le mari a reçu juste après, des crédits de plusieurs millions d’euros dans des conditions opaques.)) a déclaré :

« Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

Et on peut être certain que nos dirigeants trouveront un nouveau motif sanitaire chaque année.

Les mesures prétendument sanitaires et les pass inefficaces constituent des atteintes intolérables à nos libertés fondamentales. Il faut accentuer les manifestations pour exiger leur suppression immédiate.

MAIS IL NE FAUT SURTOUT PAS SE CONTENTER DE L’ABROGATION DES PASS.
IL FAUT EXIGER LA SUPPRESSION DES FICHIERS SANITAIRES ET DES QR CODES CONSTITUÉS À CETTE OCCASION ET DE TOUTES LES MESURES COERCITIVES




Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen. Numérisé, tracé, et bientôt pucé !

Par Claude Janvier

Mauvaise nouvelle : le portefeuille d’identité numérique européen a passé le stade de la puberté. Il va devenir adulte à partir de septembre 2022. Merci à Mike Boroswki pour son entretien réalisé le 8 février 2022, de Madame la députée européenne Virginie Joron,(([1] https://www.youtube.com/watch?v=TPPEcotXK04)) que je relate dans les grandes lignes.

À feu doux pendant deux ans, vous avez accepté, en grande majorité, et sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les plages où la position assise était interdite, les brasseries où prendre son café debout était prohibé mais le siroter assis était autorisé et enfin, le passe sanitaire. Puis, mijotage oblige, la sauce a été réduite à un passe vaccinal, trois doses. Désormais, totalement confits, engourdis et soumis, vous êtes cuits à point pour accepter l’esclavage ultime : le passeport numérique européen.

Virginie Joron, députée EU, travaille entre autres, dans la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs. Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM. — Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft —, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial.

Cette commission voudrait les réglementer, car ils ne respectent aucune loi mise à part les leurs. But louable. Mais les explications de Virginie Joron laissent à penser que ce ne sera pas si simple.

En effet, à peine le sujet GAFAM débattu en commission, elle a été sommée, avec un autre rapporteur de la commission, de s’expliquer en « visio » avec la Maison-Blanche. Des députés européens obligés de s’expliquer devant le gouvernement américain, incroyable, mais malheureusement réel.

Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington leur a demandé d’y aller mollo avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ».

Ça devrait vous éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder.

Quand vous vous faites grattouiller les sinus par un test RT-PCR,(([2] RT-PCR : Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction)) savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor.(([3] Le Mordor, le pays noir, dans l’œuvre magistrale de Tolkien, « Le seigneur des anneaux ».)) Souriez, vous êtes tracés.

La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » — au cas où vous perdriez le nord — pour traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets.(([4] https://labo.societenumerique.gouv.fr/2021/06/17/une-boussole-numerique-pour-leurope/))

Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code.(([5] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/qr-code-et-identite-bientot-lies)) Étant donné que la majorité des gens se sont habitués à exhiber leur passe vaccinal sous forme de QR code, vous aurez bientôt le plaisir de pouvoir montrer votre minois, avec le sourire bien évidemment proscris, genre tête de bagnard. Le top !

D’ailleurs, le QR code existe quasiment partout. Asseyez-vous à la terrasse d’une brasserie, et très souvent vous avez le QR code de la carte des mets et des boissons collé sur la table. Vous scannez et vous profitez — pour employer le slogan niaiseux apprécié d’une grande majorité de restaurateurs bien dans le moule. Ces derniers ne réalisent pas qu’ils sont en train de se faire manger — un comble pour un restaurateur — par le Grand Reset (Klaus Schwab, fondateur de Davos) qui écrit dans cette « bible » les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agroalimentaires et ses franchises mondiales.

« Une identité fiable et sécurisée pour tous les Européens ». Tel est le slogan de l’UE. Dans un monde peuplé d’humanistes, ce serait merveilleux. Malheureusement, la vérité est ailleurs. L’oligarchie mondiale veut contrôler chaque citoyen de la Terre, avec pour credo : contrôle, puissance et bénéfices engrangés.

Mme Stella Kyriakidès ou Stella Kyriakidou, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, est aussi « Madame vaccin », puisque c’est elle qui a signé les contrats d’achats des liquides expérimentaux ARNm de Pfizer, Moderna, et des deux autres. Elle déclare :

« … Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

La commission a donc proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE. Les arguments sont simples :

« Le virus Covid-19 reste largement répandu en Europe, avec les nouveaux variants qui ne cessent d’apparaître ».

Cerise sur le gâteau, la sémillante Chypriote a une affaire non résolue sur les bras :

« … Des crédits de plusieurs millions d’euros ont été accordés dans des conditions opaques au mari de la commissaire européenne. L’affaire a poussé un eurodéputé à demander des explications à celle qui est en charge de l’achat des vaccins au nom de l’UE… »

Oh, la vilaine… — RT France 17 mai 2021 : corruption : la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakidou au cœur d’une polémique.(([6] https://francais.rt.com/international/86789-prets-bancaires-la-commissaire-europeenne-a-la-sante-kyriakidou-au-coeur-d-une-polemique))

Le certificat Covid est donc là pour longtemps, car le portefeuille d’identité numérique a été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique.

Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité — la nouvelle CI Française est écrite en anglais. Cherchez l’erreur —, permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale, maîtresses et amants (presque)… Mais la première chose qu’ils veulent mettre en place dedans est le dossier médical. Tiens donc… Cela vous étonne ? On comprend mieux l’empressement à entériner le passe vaccinal. En ce moment, quelques pays de l’UE ont levé le pied à son propos, mais rassurez-vous, c’est pour mieux l’intégrer dans votre futur portefeuille électronique. N’en doutez pas, nous l’aurons à vie.

Le texte date de 2014 — 8 ans déjà —, avec en substance la volonté de digitaliser les informations. Le travail est pratiquement terminé, car les parlementaires et commissaires européens ont mis le turbo pour y arriver.

Un des articles phares du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais depuis deux ans, sans respect des règlements ni des lois, tout a été balayé d’un revers de la main. Il faut avoir un passe vaccinal pour se déplacer dans l’UE. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam.

25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité.

L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire. « …Ne cherchez plus vos papiers dans vos poches. À la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone… ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore…

Facultatif demain, obligatoire après-demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Pas de risque de perte, votre mémoire sera sous la peau. Jason Bourne sort de ce corps !(([7] Jason Bourne est le héros d’une trilogie de l’écrivain Robert Ludlum : La mémoire dans la peau, La mort dans la peau et La vengeance dans la peau.)) Le grand piège mondial dans toute sa splendeur.

Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt.

Un « magnifique » futur s’ouvre devant chacun de nous. Et vous avez encore confiance dans ceux qui nous gouvernent ? Franchement, vous ne devriez pas. Ce sont des menteurs patentés. Un exemple : ils nous ont garanti l’anonymat lors du scan de votre QR code à un serveur de restaurant. Ils nous ont dit que le serveur ne verrait que la couleur verte — passe valide — ou la couleur rouge — passe invalide —. C’est vrai, mais ils ont oublié de vous signaler que votre nom et votre date de naissance s’affichent aussi.

Étant donné que nous sommes gouvernés par l’oligarchie financière mondiale apatride, les excès sont à prévoir. Le monde des bisounours n’existe que dans l’imaginaire, et franchement, on a du mouron à se faire. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous mélangez un peu les pinceaux, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés.

À méditer :

« Confier nos vies numériques au gouvernement et aux sociétés privées, plutôt qu’à Facebook et Google, c’est sauter de la poêle à frire pour aller dans le feu », a déclaré le député européen Patrick Breyer (Allemagne)

Claude Janvier

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

Pour aller plus loin :

https://www.latrompette.fr/articles/posts/l-europe-s-apprete-a-lancer-une-carte-d-identite-numerique-pour-tous-les-citoyens

https://www.crashdebug.fr/l-ue-lance-un-portefeuille-numerique-derniere-etape-vers-une-societe-sans-argent-liquide-zerohedge-com

https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/l-ue-va-lancer-un-portefeuille-numerique-pour-faciliter-la-vie-des-europeens_AN-202106010139.html

https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr

https://www.nouvelobs.com/politique/20210603.OBS44840/l-ue-veut-creer-une-identite-numerique-europeenne-pour-rassembler-tous-vos-documents-officiels.html#modal-msg

https://www.carbone4.com/analyse-taxonomie-europeenne

Notes




De Pétain à Macron : Bernanos contre leur France robotisée

Par Nicolas Bonnal

Bernanos publie sa fastueuse France contre les robots en 1945. Il rêve d’une France qui serait reine de la Liberté dans le futur, mais nous savons ce qu’il en est. Pour le reste il ne se trompe sur rien ; il voit un monde déjà unifié (le monde multilatéral est un simulacre sur le plan du réalisme) :

« Car, à la fin du compte, la Russie n’a pas moins tiré profit du système capitaliste que l’Amérique ou l’Angleterre ; elle y a joué le rôle classique du parlementaire qui fait fortune dans l’opposition. Bref, les régimes jadis opposés par l’idéologie sont maintenant étroitement unis par la technique. »

Il résume le monde moderne :

« Un monde gagné pour la Technique (qui) est perdu pour la Liberté. »

Il voit déjà un monde fermé, comme celui de nos passes vaccinaux et politiques (voyez les émissions de l’avocat Pierre Gentillet) :

« Jamais un système n’a été plus fermé que celui-ci, n’a offert moins de perspectives de transformations, de changements, et les catastrophes qui s’y succèdent, avec une régularité monotone, n’ont précisément ce caractère de gravité que parce qu’elles s’y passent en vase clos. »

Le monde moderne est le fils de la civilisation capitaliste anglo-saxonne ; les démocraties et les dictatures ne sont pas très différentes :

« Ce qui fait l’unité de la civilisation capitaliste, c’est l’esprit qui l’anime, c’est l’homme qu’elle a formé. Il est ridicule de parler des dictatures comme de monstruosités tombées de la lune, ou d’une planète plus éloignée encore, dans le paisible univers démocratique. Si le climat du monde moderne n’était pas favorable à ces monstres, on n’aurait pas vu en Italie, en Allemagne, en Russie, en Espagne, des millions et des millions d’hommes s’offrir corps et âmes aux demi-dieux, et partout ailleurs dans le monde — en France, en Angleterre, aux États-Unis — d’autres millions d’hommes partager publiquement ou en secret la nouvelle idolâtrie. »

Bernanos résume son époque de pétainistes de 1945 :

« … contre de Gaulle cette poignée de nobles dégénérés, de militaires sans cervelle et sans cœur, d’intellectuels à la solde des spéculateurs, d’académiciens sans vergogne, de prélats serviles… »

Les seuls à défendre la tyrannie vaccinale sont d’ailleurs les gaullistes (il est vrai qu’en Gaule éternellement occupée tout le monde se réclame de lui). Bernanos aussi souligne une « coalition d’ignorance et d’intérêts… ». On est bien d’accord.

Pour le reste il rappelle :

« Ce sont les démocrates qui font les démocraties, c’est le citoyen qui fait la République. Une démocratie sans démocrates, une République sans citoyens, c’est déjà une dictature. »

Depuis la Révolution Française on a créé le citoyen docile :

« Tel est le résultat de la propagande incessante faite depuis tant d’années par tout ce qui dans le monde se trouve intéressé à la formation en série d’une humanité docile, de plus en plus docile, à mesure que l’organisation économique, les concurrences et les guerres exigent une réglementation plus minutieuse. »

Bernanos a été marqué par une pièce du méprisé Courteline :

« Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats… Ce n’était pas ses doigts que le petit bourgeois français, l’immortel, La Brige de Courteline, craignait de salir, c’était sa dignité, c’était son âme. »

Ce résistant annonçait un monde sinistre :

« Le petit bourgeois français n’avait certainement pas assez d’imagination pour se représenter un monde comme le nôtre si différent du sien, un monde où à chaque carrefour la Police d’État guetterait les suspects, filtrerait les passants, ferait du moindre portier d’hôtel, responsable de ses fiches, son auxiliaire bénévole et public. »

Avant le marquage numérique, le marquage digital n’est guère acceptable ; mais il fut accepté par tout le monde :

« Depuis vingt ans, combien de millions d’hommes, en Russie, en Italie, en Allemagne, en Espagne, ont été ainsi, grâce aux empreintes digitales, mis dans l’impossibilité non pas seulement de nuire aux Tyrans, mais de s’en cacher ou de les fuir ? »

Brève allusion au code QR ou au Nombre de la Bête :

« Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée. »

La civilisation de la liberté sous l’Ancien Régime (que Bernanos reconnaît, mais pas Foucault — par exemple) a disparu, car le monde de l’Ancien monde est mort. Ce qui reste c’est le bobo acidulé ou le retraité téléphage que Bernanos décrit dans ses termes :

« Une civilisation ne s’écroule pas comme un édifice ; on dirait beaucoup plus exactement qu’elle se vide peu à peu de sa substance, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que l’écorce. On pourrait dire plus exactement encore qu’une civilisation disparaît avec l’espèce d’homme, le type d’humanité, sorti d’elle. »

Le service militaire a joué son rôle (la France toujours est responsable…) :

« L’institution du service militaire obligatoire, idée totalitaire s’il en fut jamais, au point qu’on en pourrait déduire le système tout entier comme des axiomes d’Euclide la géométrie, a marqué un recul immense de la civilisation. »

Il ne faut pas s’étonner de la passivité et de la collaboration de la population. L’homme hait la Liberté :

« Des millions et des millions d’hommes ne croyaient plus à la liberté, c’est-à-dire qu’ils ne l’aimaient plus, ils ne la sentaient plus nécessaire, ils y avaient seulement leurs habitudes, et il leur suffisait d’en parler le langage. Depuis longtemps, l’État se fortifiait de tout ce qu’ils abandonnaient de plein gré. Ils n’avaient que le mot de révolution à la bouche, mais ce mot de révolution, par une comique chinoiserie du vocabulaire, signifiait la Révolution Socialiste, c’est-à-dire le triomphal et définitif avènement de l’État, la Raison d’État couronnant aussi l’édifice économique… »

Et notre écrivain ajoute magnifiquement :

« Ils le savaient bien, ils souhaitaient en finir le plus tôt possible avec leur conscience, ils souhaitaient, au fond d’eux-mêmes, que l’État les débarrassât de ce reste de liberté, car ils n’osaient pas s’avouer qu’ils en étaient arrivés à la haïr. Oh ! ce mot de haine doit paraître un peu gros, qu’importe ! Ils haïssaient la liberté comme un homme hait la femme dont il n’est plus digne… »

Je vous laisse redécouvrir ce texte inoubliable et inutile.

https://fr.wikisource.org/wiki/La_France_contre_les_robots

https://fr.wikisource.org/wiki/Boubouroche_et_autres_pi%C3%A8ces/L%E2%80%99Article_330




Pfizer, un colosse aux pieds d’argile ?

Par Nicole Delépine

Chaque seconde, les fabricants de vaccin les plus importants (Pfizer, BioNTech, Moderna) réalisent, ensemble, plus de 1000 dollars de profits.

Argent public, profits privés

« Cette entreprise américaine a réalisé 900 millions de dollars de profits au cours du seul premier trimestre de 2021. La source de ces profits est à chercher dans les près de 4 milliards de doses de vaccins à ARN messager (ARNm) que les gouvernements du monde entier lui ont commandées dont 2,4 milliards par la seule Commission Européenne et 600 millions par les USA.

Pourtant, Pfizer n’a contribué ni à la recherche scientifique autour de ce vaccin ni à son développement. La technologie ARNm a été inventée dans les laboratoires de BioNTech, cette innovation a été financée par d’énormes subventions publiques. Par exemple Les États-Unis ont financé à hauteur de 11 milliards de dollars la recherche, le développement et la précommande de doses. L’État allemand y a investi 375 millions d’euros.

Pfizer possédait la capacité de produire ce vaccin en masse et détenait les brevets des procédés industriels utilisés, l’entreprise a pu vendre le vaccin comme son propre produit. La propriété privée des moyens de production a donc permis à Pfizer d’avoir la main sur une avancée scientifique financée, à l’origine, par de l’argent public ».

Avidité maximale

Pour des frais de production s’élevant à 1,18 dollar par dose de vaccin, Pfizer a vendu au gouvernement américain la dose au prix de 19,50 dollars !

L’Union Européenne avait réussi à négocier le prix des injections Pfizer à 12 euros, mais lorsqu’elle a décidé de multiplier sa demande de vaccins, l’entreprise a augmenté ses prix de plus de 25 %.(([1] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf))

Au 14 février 2022, un total de 10 101 955 700 doses de vaccin a été administré, et 66 % des habitants des pays du G7 — Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni — ont reçu au moins deux doses.

À l’opposé, à peine 6 % de la population globale du continent africain a été injectée (?), ce qui leur a évité les effets secondaires majeurs.

Les données de l’OMS montrent pourtant que les injections Pfizer n’ont pas diminué la mortalité Covid19 dans les pays les plus vaccinés qui se retrouvent dans le groupe des plus fortes mortalités.

L’inefficacité médicale multiplie les profits

La très faible durée (2-3 mois) de la protection alléguée de l’injection Pfizer a constitué un formidable accélérateur de profits pour Pfizer, car les gouvernements ont depuis multiplié les commandes.

Ainsi la Commission européenne qui avait initialement commandé 600 millions de doses (300 en décembre 2020 et 300 janvier 2021) a signé pour plus de 1,8 milliard de doses (à prix majoré !) en mai 2021 prévoyant ainsi 6 rappels par adulte en 2022 et 2023 !

Une propagande omniprésente pour Pfizer s’accompagne d’une dévalorisation des produits concurrents

« il est attesté que Pfizer a mené des campagnes de désinformation visant ses concurrents. Ainsi, un documentaire diffusé par Channel 4 — une chaîne britannique — a révélé que Pfizer avait payé de prétendus “experts” pour affirmer que le vaccin d’AstraZeneca (beaucoup moins cher) pouvait entraîner un cancer et menaçait la vie des patients immunodéprimés ».

MAIS L’AVENIR EST PEUT-ÊTRE MOINS ROSE

Les dissimulations de la FDA condamnées en justice.

Cet article(([2] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf)) relate les réactions de Pfizer à la suite des révélations hautement probables de la justice quand elle aura connaissance de documents cachés jusque-là.

Pfizer met discrètement en garde les investisseurs contre les conséquences possibles des révélations de fraudes.

Cette tribune craint que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis obéisse aux tribunaux qui l’ont condamnée à communiquer le premier lot mensuel de 55 000 pages de données de Pfizer concernant le « vaccin Pfizer ». Est-ce imaginable que ce monstre de pouvoir obéisse ?

L’agence avait initialement décidé de ne produire que 500 pages de documents Pfizer par mois, ce qui aurait nécessité plusieurs décennies pour en obtenir la totalité. Tout le monde avait hurlé, mais personne n’espérait une issue positive. Cependant, les contestations judiciaires ont abouti à l’accélération de ce calendrier d’accès aux documents.

On imagine que Big Pharma cherche des solutions pour poursuivre les dissimulations comme Pfizer en a l’habitude. Mais ici le scandale est mondial et les bénéfices encore plus époustouflants que les fois précédentes. Y arriveront-ils ?

Cette année, Pfizer s’attend à générer plus de 54 milliards de dollars de ventes, à moins que son énorme arnaque ne s’effondre complètement. Rêvons un peu.

Dans son plus récent rapport sur les résultats du quatrième trimestre de l’année 2021, Pfizer a averti les investisseurs que les choses ne s’annonçaient pas aussi bien que prévu.

Aurons-nous rapidement la totalité des rapports qui révèlent la fraude et la tromperie comme certains l’espèrent ?

Le communiqué Pfizer prévient les investisseurs

« qu’il pourrait y avoir de nouvelles données précliniques, cliniques ou de sécurité défavorables et d’autres analyses de données précliniques, cliniques ou de sécurité existantes ou d’autres informations concernant la qualité des données précliniques, cliniques ou de sécurité, y compris par audit ou inspection »

En d’autres termes, les rapports fournis à la FDA pour obtention d’une AMM PROVISOIRE auraient été falsifiés… Quelles seront les conséquences ?

Le communiqué Pfizer mentionne que « les publications à venir pourraient affecter le cours de l’action de la société », prévenant les investisseurs que le temps des bénéfices record de Pfizer touche bientôt à sa fin en raison de « préoccupations concernant l’intégrité des données cliniques ».

Maintenant que Pfizer a engrangé des milliards grâce à la fraude, la société affirme que le covid pourrait magiquement « disparaître complètement ».

Pfizer fait référence dans son rapport au fait que le temps de la plandémie pourrait prendre fin alors qu’une masse critique de la population mondiale réalise enfin à la vérité sur l’escroquerie plandémique.

« Il semblerait que l’objectif de Pfizer depuis le début était de pressurerla planète pour des profits obscènes aussi longtemps que possible grâce à son arnaque au “vaccin”. Sachant que les gens finiraient par tout comprendre, cependant, le plan a été conçu de manière à cacher toutes les données incriminantes des essais cliniques jusqu’en 2076 ».

Rappelons qu’en France les délibérations du conseil de défense sont dissimulées par un secret défense pour 50 ans, mais que le gouvernement se flatte de la gestion transparente de ses décisions.

MAIS le calendrier des publications prévu en 2076 est bousculé par la justice. « Quel serait l’impact d’un procès pour crimes contre l’humanité sur l’entreprise ? » a demandé quelqu’un de Zero Hedge.

« Ce n’était pas pour rien », a déclaré quelqu’un d’autre à propos de la persistance des confinements et des obligations vaccinales, dont nous savons maintenant qu’ils n’ont rien fait pour arrêter la propagation. « C’était pour les profits et instaurer le contrôle social ».

Plus de nouvelles connexes sur les injections mortelles de covid de Pfizer peuvent être trouvées sur Corruption.news et aussi sur de nombreuses sources établies à partir des données officielles des agences sanitaires.(([3] EFFETS DÉLÉTÈRES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! / LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))
Les sources de cet article incluent ZeroHedge.com, NaturalNews.com, Brighteon.TV

Effectivement de nombreuses informations apparaissent, comme cette conversation entre Fauci — le Mr Santé des présidents des USA toujours en poste — et un biologiste sur la « fabrication du virus » en mars 2020 ! On comprend que Pfizer et Fauci soient inquiets des révélations qui n’attendront pas cinquante ans comme prévu (y compris en France !). Le Grand Jury démarré en ce mois de février 2022 par l’avocat international Reiner Fuellmich et associés permettra aussi d’en savoir plus.

Les actions Pfizer

QUAND VOTRE SANTÉ N’EST PLUS QU’UN JEU EN BOURSE ! ARRIVEZ-VOUS À Y CROIRE ? Triste réalité, pourtant…

Selon Boursorama La valeur du jour à Wall Street Pfizer déçoit les investisseurs avec ses perspectives 2022 – 08/02/2022 à 17:22 — Boursorama

AOF•08/02/2022 à 17:22

(AOF) — Pfizer occupe la dernière place du S&P 500 avec un repli de 5,8 % à 50,10 dollars, dans le sillage de perspectives 2022 décevantes. En même temps que la publication de ses résultats trimestriels, le laboratoire pharmaceutique a en effet annoncé viser cette année un bénéfice ajusté par action de 6,35 à 6,55 dollars, alors les analystes de FactSet en attendent 6,71. De même, les revenus devraient être compris en 98 et 102 milliards de dollars, pour un consensus s’élevant à 103,2 milliards.

Parmi ces revenus, Pfizer espère réaliser environ 32 milliards de dollars de ventes pour son vaccin anti-covid, le Comirnaty, ainsi que 22 milliards pour sa pilule antivirale, le Paxlovid. Malheureusement, cela reste là aussi en dessous des attentes du marché, puisque les données Refinitiv font état d’anticipations de 33,79 milliards et 22,88 milliards de dollars respectivement.

Au niveau de la production, le laboratoire a dépassé son objectif de réaliser 3 milliards de doses du Comirnaty en 2021 et veut désormais en fabriquer plus de 4 milliards cette année.

Mais malgré des perspectives en deçà des attentes, Pfizer a toutefois su engendrer plus de bénéfices que prévu au quatrième trimestre 2021. Le groupe a en effet publié un profit trimestriel de 3,39 milliards de dollars, soit 59 cents par action, très loin des 847 millions, ou 15 cents par action, générés un an plus tôt à la même époque. Hors éléments exceptionnels, le BPA ressort ainsi à 1,08 dollar (+151 %), bien au-dessus du consensus FactSet de 87 cents.

Les revenus du laboratoire pharmaceutique ont quant à eux plus que doublé (+105 %) à 23,84 milliards de dollars.

Sur l’ensemble de l’année 2021, le bénéfice ajusté s’est élevé à 4,42 dollars par action et le chiffre d’affaires a atteint 81,3 milliards. Les ventes du vaccin anti-covid ont contribué à hauteur de 36,8 milliards de dollars, alors que celles de l’antiviral, autorisé à partir de fin décembre, ont été limitées à 76 millions.

Mais probablement cela va aller beaucoup plus mal pour les ventes de vaccins, comme le PDG de Moderna le craint probablement qui a vendu de grosses quantités d’actions avant la chute récente des cours.

En attendant, Pfizer tente de prolonger l’autorisation « d’urgence » du pseudovaccin en ce 14 février 22.





Tant que les crimes de gauche ne seront pas punis, tout soutien à la « liberté » sera catalogué d’extrême droite

Par Lucien SA Oulahbib


Ce qui frappe dans ces mouvements récents pour « la liberté » c’est l’extrême maturité qui vient ces temps-ci du fond du froid [au Canada], peut-être avec un tantinet d’érable et d’étendues infinies et qui aujourd’hui, malgré les reductio ad hitlerum (peuplé de « teubés » pour la radio dite « publique » — admirez le ton de haute tenue), mobilise de partout, s’organise à la base avec des relais et des points d’ancrage démultipliés. Ceci n’a plus rien à voir avec les improvisations héroïques d’il y a trois ans [en France]. C’est un cri du cœur, l’expression tenace et spontanée de toutes les bonnes volontés. Celles-ci ne sont pourtant que de la chair à injections pour la nouvelle Secte lyssenkiste qui tient les hauts lieux du Pouvoir.

C’est peut-être cela l’effluve Révolution dans ses prémisses et ses bons côtés : chacun trouve sa place, met sa pierre, se fait utile, apporte son pack, étend les victuailles sur les tables, réconforte les isolés. Les gens dansent, chantent. Il y a comme une vague immense qui bien sûr se heurte aux récifs biscornus des murs médiatiques et des zones urbaines déjà passées sous mode de la réalité virtuelle depuis des lustres. Les gens n’y votent plus, mais acceptent la piquouse comme le dernier Pif gadget, abrutis par les mitraillettes de ricanements provenant des associations subventionnées jusqu’à la moelle (dernière en date : les Meutes Traoré faisant la chasse au « Livre Noir » parce que « d’extrême droite ») ou alors un Jadot qui dans un éclair de lucidité à l’envers réduit aussi le nucléaire à un parti pris d’extrême droite.

Car rien n’y faitla secte ultragauche qui donne toujours le la en France et en Occident (surtout depuis qu’elle est devenue le bras armé de l’affairisme hygiéniste djihadisé) appuie toujours son mensonge d’avenir radieux et le maquillage éhonté de ses crimes odieux (amorcés sous Trotski, mentor de Plenel) en falsifiant l’Histoire que hélas d’aucuns renforcent en adoubant la fiction d’une URSS qui aurait gagné, seule, la Seconde Guerre mondiale alors que sans l’appui anglo-américain en arsenal militaire massif : camions, jeeps, chars, chasseurs

  • 400 000 jeeps et camions
  • 14 000 avions
  • 8 000 tracteurs
  • 13 000 chars

jamais l’armée rouge n’aurait tenu. Par ailleurs Staline implorait les Anglo-Américains d’ouvrir un second front à l’ouest. D’où le débarquement en Normandie adoubé par Staline et même participant à une ruse pour le camoufler… (On est loin là aussi de la non-nécessité stratégique d’un tel front…).

Tout cela pour dire que la symbolique communiste a pu lestement effacer le sang des millions de morts des camps soviétiques, maoïstes, polpotiens (castristes, guévaristes, FLN algérien…) grâce à cette « victoire » très aidée sur le nazisme.

Il faudrait pourtant en finir avec ces deux poids deux mesures (vœux pieux), les millions de morts du communisme n’ont pas à être passés à l’as, il n’est pas possible que d’aucuns se prévalent des crimes de l’autre côté pour excuser les leurs alors qu’ils partagent parfois la même rhétorique  :

Manifeste du Parti communiste févier-mai 1941. Pour le salut du peuple de France (…).

« Le peuple de France empli d’un profond mépris à l’égard de la tourbe des politiciens de Vichy et de Paris ne veut être ni le soldat de l’Angleterre ni le soldat de l’Allemagne, ni le soldat de Churchill ni le soldat de Hitler : il ne veut pas être le soldat de la ploutocratie sous quelque visage qu’elle se présente. (…). Établissement de rapports fraternels entre le peuple français et le peuple allemand en rappelant que l’action menée par les communistes et par le peuple français contre le traité de Versailles, contre l’occupation du bassin de la Ruhr, contre l’oppression du peuple par un autre peuple (…) Nationalisation sans indemnités des banques, compagnies d’assurances, mines, chemins de fer, et de l’ensemble des sociétés capitalistes aryennes et juives (…) Recensement des fortunes et biens des gros capitalistes (aryens et juifs) (…) »

Cette mise dos à dos — ce relativisme — revient à la mode en remplaçant « aryennes » par « blanches » et « juives » par « sionistes » ; le tour est joué. Oubliées bien sûr toutes ces expropriations faites en Russie en Chine, en Algérie et ailleurs parce que l’on était « bourgeois », paysans riches, pieds-noirs… Il n’y avait certes pas l’apanage « racial », mais c’était tout comme puisque la « classe » était une sorte de race métaphysique, à commencer par le « Prolétaire », ce salvateur de l’Humanité et dont l’appartenance était aussi âprement débattue que la filiation directe à la famille de Mahomet. Ainsi était-on « prolétaire ou demi, ou quasi » parce que produisant « directement » ou pas de la « plus-value », ou alors assimilé prolétaire tout de même si l’on se trouvait une filiation chez les cheminots et autres tourneurs-fraiseurs. Et il y avait aussi ces exceptions, depuis 14, car adoubées par les plus authentiques d’entre eux lors de « Congrès » : ainsi des petits-bourgeois comme Lénine pouvaient faire oublier ces origines honnies grâce à leur surenchère sur « le renégat Kautsky », les « droitiers » ou les « gauchistes »…

Nous en sommes encore là : le niveau du débat politique est tellement étriqué que la Secte ne se préoccupe même plus de démontrer ses arguments (concept réactionnaire). Il suffit de les asséner comme le font Jadot, la meute Traoré, Mélenchon, Castex, Enthoven, Darmanin, etc.. Il suffit d’aboyer « extrême droite, complotiste, contaminateur, raciste, populiste » pour avoir son rond de serviette dans les officines du Service Public et Privé, et cela passe : « calmez-vous, cela va bien se passer, vous verrez », un propos de geôlier que peuvent reprendre en chœur tous ceux de la Secte. Et si vous ne vous calmez pas, c’est que vous êtes d’extrême droite (ou hystérique dans la version féminine).

Il faut décidément et en urgence (vœu pieux) l’organisation d’un tribunal mondial des crimes communistes et affiliés (en attendant celui des injections actuelles et du refus « systémique » de soins), quelque chose que l’on pourrait négocier avec Poutine (qui devrait réouvrir les archives) en échange de la levée des sanctions et de lutte contre la propagande queer. Et puis après : Pékin… Gros morceau en perspective, tant le régime maoïste est devenu l’un des piliers majeurs de la Secte hygiéniste affairiste racialiste.




Passe vaccinal : la femme médecin de santé publique qui fait tomber les sénateurs de leurs fauteuils

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par LaurianeB

La Commission des affaires sociales s’est réunie mardi 8 février pour entendre la Docteur Alice Desbiolles, médecin de santé publique et épidémiologiste. En 1h et 45 minutes, avec un calme olympien, l’intervenante met en pièces détachées le passe vaccinal, démonte la stratégie sanitaire gouvernementale, désosse les schémas de modélisation, abat les fondations de la vaccination des enfants et donne une bonne leçon de déontologie médicale à toute l’assemblée. Les sénateurs, n’ayant pas l’habitude d’entendre une voix si dissonante sur la gestion du Covid, sont ressortis de cet entretien complètement désarçonnés (mais nous ça va).

Les Sénateurs ont dû se mordre les doigts d’avoir invité cette médecin de santé publique. En voulant se donner l’illusion de donner la parole à tous les bords, ils n’avaient peut être pas soupçonné à quel point cette dernière n’a pas l’air d’avoir peur des représailles venant de ses pairs. Oups. 

L’instauration du passe vaccinal ne repose sur aucun critère scientifique

Pour rappel la Commission des affaires sociales est en charge de contrôler l’action du gouvernement dans la mise en place du passe vaccinal. Ses travaux ont débuté le 1er février et elle a 6 mois pour remettre un rapport et formuler des propositions.

La Sénatrice Chantal Deseyne intervient la première en donnant son ressenti sur la décision de changer le passe sanitaire en passe vaccinal. Elle a l’impression que c’est un outil qui sert uniquement à renforcer (voire à forcer tout court) la vaccination, mais jusqu’à présent aucune donné scientifique probante n’est venue étayer cette décision (ce que nous vous avions rapporté une première fois ici). Peut-on mesurer l’impact du dispositif et est-il toujours nécessaire ?

La réponse du Docteure Desbiolles est sans appel, il n’existe à ce jour aucun rationnel scientifique ou donnée probante su l’efficacité du passe sanitaire ni aucune étude de bonne qualité avec un fort niveau de preuve.

De plus, les différents passes ont effectivement renforcé la vaccination, mais pas chez les personnes les plus vulnérables. Il n’aide en rien à pondérer la saturation des hôpitaux puisqu’un rapport interne récent de l’AP-HP précise que la plupart des déprogrammations d’interventions sont dues à un départ du personnel soignant.

Une étude du conseil d’analyse économique considère bien que 4000 morts ont pu être évités grâce à la mise en place de ce dispositif mais un des ses auteurs est membre du conseil de scientifique, on ne peut pas recommander un outil et juger impartialement de son efficacité.

En réalité, ce qui a contribué à la mise en place du passe vaccinal, ce sont les données de modélisation, pour lesquelles le médecin en santé publique émet de grandes réserves – sans blague. 

Des outils de mesure remplis de biais

Depuis mars 2020, il y a un recours systématique aux modélisations pour justifier les décisions de santé publique. Alice Desbiolles explique que les modélisations ont un niveau de preuve extrêmement faible, elles n’ont pas vocation à servir de base pour instaurer de telles mesures contraignantes sur la population.

Qui plus est, aucune évaluation a posteriori sur la confrontation des modèles avec le réel n’a été effectuée.

Par exemple, la base de décision à l’implémentation du passe sanitaire dépend de l’avis du conseil scientifique datant du 6 juillet 2021 , partant de l’hypothèse que les vaccins réduisent le risque d’hospitalisation de 95%, le risque d’infection de 80% et de transmission de 50%.

L’intervenante remet aussi en cause la neutralité des bulletins épidémiologiques hebdomadaires publiés par Santé Publique France. Le dernier en date indique que la part de patients ne présentant pas de comorbidités a augmenté, en oubliant de préciser plus de 80% des patients actuellement en réanimation ont au moins une comorbidité. En plus, le surpoids a disparu des facteurs de risques et toutes les classes d’âge sont mélangées.

TousAntiCovid rapporte un nombre de patients hospitalisés en réanimation et en soins critiques, mais en soins continus l’indicateur de référence est le nombre de lits. Comment peut-on comparer plusieurs services avec un indicateur différent ?

Elle regrette également le manque de données s’agissant des enfants. Sur les causes de soit disant décès Covid chez l’enfant et sur l’efficacité de la vaccination chez les 11-18 ans, Santé Publique France ne communique qu’à l’oral, et pour cause …

Les études concernant la vaccination des enfants ne sont pas probantes

La sénatrice Laurence Cohen interroge sur l’utilité de la vaccination des enfants, vu que les écoles sont fortement touchées par l’épidémie. Pour rappel, l’évaluation du vaccin à destination des enfants est toujours en cours jusque 2026 selon ClinicalTrials.gov.

Selon Mme Desbiolles, le virus circule partout, les écoles ne sont que la représentation de la circulation virale à l’échelle du pays. La vaccination des plus jeunes sur ce type de virus peut être une  stratégie contreproductive. En Allemagne par exemple, lorsqu’on a mis en place la vaccination contre la varicelle, on a observé une forte augmentation  du nombre de formes graves de varicelle chez les adultes vaccinés.

Le suivi médian des sujets de l’étude en cours est de 2 mois et le panel représente peu de personnes. Pour la Docteure il est clair que l’étude n’est pas assez probante pour mettre en lumière de potentiels effets indésirables.

Enfin, elle rappelle que le port du masque dans les écoles ne fait l’objet d’aucun rationnel scientifique ni d’aucun essai clinique de bonne qualité. L’OMS ne recommande pas de faire l’activité physique avec un masque « On impose des choses aux enfants en dépit du bon sens et de données sérieuses ».

Merci, Madame, nous sommes toujours en attente d’un éclair de génie de la part du Conseil d’Etat.

La stratégie zéro covid est vouée à l’échec, alors pourquoi persister ?

La sénatrice Emilienne Poumirol demande elle s’il est possible de faire un éventuel mea culpa et de changer de stratégie, elle qui a toujours plaidé pour la vaccination obligatoire.

La vaccination obligatoire en population générale fait partie de la Stratégie dite « zéro covid », qui a été abandonnée dans la plupart des pays qui ont tenté de la pratiquer.

Il existe des réservoirs animaux, il est totalement illusoire de prétendre pouvoir éradiquer un virus de cette nature par la vaccination. De plus, le risque d’échappement vaccinal induisant une pression de sélection est réel (simulé par un modèle du CRNS en 2022). 

Enfin – l’apothéose de l’entretien, du miel à mes oreilles – elle rappelle le principe le plus basique qui soit et qui n’aurait jamais dû être oublié : on ne protège pas un individu contre son gré. L’obligation vaccinale n’a pas sa place dans sa vision de la médecine, qui a vocation à être suggestive, et pas normative. Le respect du consentement des personnes est un élément majeur de la progression du droit des patients, consacré par la loi Kouchner de 2002.

Aller dans le sens d’une telle démarche romprait définitivement le lien de confiance entre la population et les scientifiques, les politiques et la médecine.

L’audition se termine dans une ambiance tendue, certains Sénateurs n’acceptant pas l’idée de remettre en cause la stratégie adoptée jusqu’alors. Alice Desbiolles conclu en mettant les pendules à l’heure – et en énonçant ce principe cher à tout juriste :

« La charge de la preuve de l’efficacité d’une politique publique incombe à la puissance qui l’a mise en place, ce n’est pas à moi de démontrer que cela fonctionne ou que cela ne fonctionne pas ».

Nous saluons ici la parfaite déontologie dont a fait preuve Alice Desbiolles tout au long de son audition. Quand certains Sénateurs minimisent et ricanent au fait de présenter un passe pour accéder à l’hôpital et qu’on lui répond « oui mais c’est un passe sanitaire, pas vaccinal …» elle récite à la lettre le serment d’Hippocrate. Et oui, l’éthique, ça calme. 

Toute sa démonstration est parfaitement sourcée, de bout-en-bout, dans des termes clairs et précis (il y en a pour qui c’est le métier), contrairement à d’autres président de conseil scientifique qui viennent les mains dans les poches affublés d’une assurance déconcertante et d’une attitude qui laisserait presque penser que c’est l’auditionné qui auditionne.  

Le Président de séance Alain Milon ne sait pas trop comment conclure la séance et se dit perturbé car trop de scientifiques ont un point de vue différent. Tant mieux, les choses avancent, mercredi 9 janvier a été décidé la mise en place d’une nouvelle commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des vaccins.

On y arrive.




Lettre ouverte à l’Académie de Médecine : « La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE — Chères et chers membres de l’Académie Nationale de Médecine,

Votre réputation n’est plus à faire. C’est vous qui avez, il y a déjà plus d’un an, prescrit à la population de remettre son masque entre deux bouchées pendant les repas, ou de ne pas parler dans les transports en commun, derrière les mêmes masques, pour limiter la transmission du virus, et autres conseils frappés au sceau du bon sens et de la rationalité.  Comme le dit un comique génial, récemment censuré sur YouTube, Sébastien Recchia : « Si ces gens sont médecins, moi, je suis spécialiste en fission nucléaire ».

Je ne doute pas une seconde que des expressions comme “conflits d’intérêt” ou “compte en banque offshore” soient totalement absentes de votre vocabulaire, et donc que vous soyez, déontologiquement, au-dessus de tout soupçon.

C’est donc en vertu de votre réputation, de votre compétence et de votre intégrité inattaquables que vous vous êtes fendus, tout récemment, d’un communiqué à l’adresse du personnel enseignant français, en particulier des directrices et directeurs d’école, intitulé sobrement : “Vaccination des enfants de 5-11 ans : ne plus hésiter”. Le menteur compulsif qui nous tient lieu de ministre de la Santé a commencé à prêcher publiquement en ce sens : ça sent, comme on dit, le tir croisé. Pour vous appuyer dans vos louables efforts, vous pouvez d’ores et déjà compter sur le médecin et haut franc-maçon Gilbert Deray (dont le nom évoque étrangement Gilles de Rais…), l’un des plus visibles sur les plateaux télévisés, et aussi l’un des mieux payés par l’industrie pharmaceutique en France ; sa spécialité étant la néphrologie, on peut dire que le fait de quitter gaillardement son domaine de compétence est, dans le monde où nous vivons, un sport très à la mode. Le plus grand penseur politique des cinquante dernières années, Guy Debord, qualifiait ce monde de “société du spectacle”, et disait qu’on y assistait à “la fin carnavalesque de la division du travail”.

“Un financier va chanter, un avocat va se faire indicateur de police, un boulanger va exposer ses préférences littéraires, un acteur va gouverner, un cuisinier va philosopher sur les moments de cuisson comme jalons dans l’histoire universelle. Chacun peut surgir dans le spectacle afin de s’adonner publiquement, ou parfois pour s’être livré secrètement, à une activité complètement autre que la spécialité par laquelle il s’était d’abord fait connaître.”

Au plus haut niveau, par exemple, on intronisera président de l’OMS (Organisation Mondiale du Sadisme) quelqu’un qui n’a jamais fait d’études de médecine, mais est plutôt connu, dans son pays, comme assassin, tortionnaire et dissimulateur d’épidémies de choléra. Le principal bâilleur de fonds de la même Organisation, qui dirige nos vies depuis deux ans, un informaticien médiocre, mais multimilliardaire eugéniste, qui n’a jamais étudié la médecine non plus, sera baptisé “médecin du monde” par la chaîne télévisée qu’il finance tout aussi bien. Enfin, un neurologue mythomane va vacciner de ses propres mains des femmes enceintes. Vous avez donc de qui tenir, vous qui n’êtes que les sous-fifres de ces gens-là.

Vous n’aurez jamais fait état, dans vos communiqués, des effets traumatisants et débilitants que deux années du port du masque auront provoqué sur nos enfants, diminuant considérablement leur taux d’oxygénation, et les mutilant d’une gamme presque infinie de capacités cognitives, ainsi que de leurs capacités de concentration. Pire, vous aurez avalisé les mesures qui ont déterminé cet état de fait, et donc collaboré activement à la martyrisation de toute une génération de têtes blondes. Vous aurez parrainé ce tournant civilisationnel majeur, qui consiste à rendre des enfants responsables de leurs parents et grands-parents (“si tu ne fais pas ce qu’on te dit, tu mets en danger la vie de papi et mami”), lors même que, dans toutes les innombrables cultures anthropologiques connues à ce jour, c’était le contraire qui était censé fonctionner, et les parents et grands-parents être responsables de leurs enfants et petits-enfants. J’avoue appartenir à cette vieille école, comme en témoigne la présente lettre, de façon sans doute déplorable à vos yeux “progressistes”.

Je suis un citoyen français, écrivain et philosophe, et père d’un merveilleux enfant de six ans. J’ai fait de très nombreuses interventions publiques depuis un an pour défendre l’avenir de ce dernier, et c’est donc plus que jamais à ce titre que je m’adresse à vous. Soit dit en passant : par mon métier, j’ai l’amour de la belle langue, et la mère de mon fils est professeure d’italien, à ses heures poétesse. Je trouve que la moindre des choses, quand on rédige des communiqués prenant une responsabilité si grave concernant la vie de nos enfants, c’est tout de même d’écrire un français correct. Or, à vous lire, la chose laisse largement à désirer, comme j’en donnerai quelques exemples croquignolets.

Je commence par la fin de votre communiqué, car là s’y trouve l’essentiel, à savoir vos consignes au corps enseignant pour populariser la “vaccination” de masse de nos lardons. De toute façon, peu importe l’endroit par lequel on prend votre lettre : celle-ci consiste en un frichti psychédélique d’aberrations sémantiques, une insulte à chaque ligne de la rationalité discursive, un copier-coller aléatoire d’inconsistances logiques.

« Afin de prévenir les risques individuels et collectifs liés à l’imprévisible évolution de la pandémie, les Académies recommandent de hâter la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans contre la Covid-19… » C’est une sorte d’oxymore modal, comme il en abonde tant depuis deux ans de délire “sanitaire” à crâne ouvert : si l’évolution de cette “pandémie” est imprévisible, comment faites-vous pour la “prévenir” ? Toujours la “fin carnavalesque” de la division du travail : nous attendions des médecins, et nous avons en fait affaire à des diseuses de bonne aventure. Il faut “prévenir” une “pandémie” qui, de l’avis de nombreux spécialistes, est en train de s’éteindre partout. Au-delà des spécialistes, c’est l’écrasante majorité des gouvernements qui le pense, des pays de l’Est à l’Angleterre et à l’Espagne, des pays scandinaves à (au-delà de l’Europe) Israël, le pays le plus “vaccinoleptique” du monde : partout, les dictatoriales “mesures sanitaires” ont été levées, passe “sanitaire” ou “vaccinal” compris. Les quelques pays qui font un baroud d’honneur (c’est-à-dire de déshonneur) en ce sens, se comptent en Europe sur le doigt d’une main : France, Italie, Allemagne, Autriche et Belgique.

Lire aussi : L’Angleterre lève aujourd’hui toutes les restrictions sanitaires, le Danemark le 1er février

Pourquoi donc, attendu ce tableau d’ensemble, se “hâter”, toutes affaires cessantes, de “vacciner” des enfants qui ont un taux de survie de 99,998 % à ce virus ? Voici vos arguments : le variant Omicron atteint bien davantage les enfants que les autres (variants), même si ses symptômes sont ceux d’un simple rhume. Pourquoi donc, depuis que la vaccination existe, n’a-t-on donc pas vacciné les enfants contre le rhume ? Pourquoi la chose devient-elle tout à coup si urgente, et même frénétiquement nécessaire ? Mystère et boule de gomme.

Vous surenchérissez ensuite dans “l’art” de l’antiphrase : « Le bénéfice individuel doit être clairement expliqué aux parents : c’est un bénéfice direct incontestable par l’induction d’une immunité qui sera plus forte que celle induite par l’infection seule, ou qui la renforcera, et protègera les enfants en réduisant le risque de formes graves lié à de nouveaux variants, à court et moyen termes. » Si la “vaccination” induit une immunité plus forte que celle garantie par l’infection seule, comment pouvez-vous savoir que celle-ci ressortira renforcée par l’injection ? Cette phrase est, encore une fois, une insulte à la logique modale la plus élémentaire. Puis, vous reprenez du service divinatoire : il y aura, c’est certain, de nouveaux variants, et la “vaccination”, qui n’a pas protégé les adultes et adolescents des variants surgis après les injections, y parviendra pourtant avec nos enfants, par on ne sait quel miracle performatif. Bien plus : les meilleurs spécialistes du monde ont établi que lesdits nouveaux variants provenaient directement de la frénésie “vaccinale”. L’antiphrase est donc encore plus spectaculaire que sa simple forme signifiante immédiatement intelligible : vous conseillez, pour combattre les éventuels futurs variants, d’exercer la pratique même qui les provoque.

Vous devriez donc, à mon humble avis, retirer cette lettre de votre site, et vous adresser plutôt au personnel enseignant au titre suivant : vous réapprendre à vous exprimer dans un français correct, au sens de Boileau : “ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement”. À l’inverse, et comme vous le démontrez à chaque ligne, quand on a vocation à justifier l’injustifiable, à argumenter l’intenable, ou à être un vulgaire camelot, on s’enlise dans un marécage sémantique putride, où se noient toutes les règles élémentaires de ce qu’un illustre collègue, Ludwig Wittgenstein, appelait la “grammaire logique”.  

Vous n’en continuez pas moins sur cette prometteuse lancée, en nous disant “vouloir atteindre le plus rapidement possible une bonne couverture vaccinale”. Il est merveilleux de constater qu’un mot relevant plus du business model que de la santé, « couverture vaccinale », a remplacé le bon vieux mot qui désignait le bénéfice qui était attendu, naguère encore, d’un vaccin, à savoir l’immunité. Car ces vaccins n’empêchent ni la transmission ni l’infection (comme il est de notoriété officielle, et comme chacun a pu les constater dans son entourage), et le Covid-19 ne menace pas les enfants. Pourquoi voudrait-on les « couvrir », si ce n’est pour écouler des marchandises achetées en excès démentiel avec nos impôts, et qu’on ne pourra bientôt plus administrer à des adultes, excédés par la multiplication de « doses de rappel » d’un produit qui n’a si manifestement servi jusqu’ici à rien ? Ce sont les pays les plus vaccinés, comme Israël, Gibraltar ou… la France, qui ont enregistré les plus hauts taux de contamination, les plus grands nombres d’hospitalisations, ainsi que les pics de mortalité les plus verticaux. “On ne change pas une équipe qui perd” : telle semble être la devise, depuis deux ans, de nos plus hautes autorités “sanitaires”.

Voir aussi : « Nous vivons une grave crise de l’intelligence »: Ivan Rioufol publie son « Journal d’un paria »

Mais si, mais si, nous avancerez-vous en désespoir de cause, le vaccin a une utilité : celle de protéger les personnes à risque, lit-on à tout instant dans la presse oligarchique et subventionnée dont vous vous faites les vertueux relais, à moins que ce ne soit l’inverse. “Protéger les plus fragiles”, nous serine-t-on à longueur de temps pour promouvoir la panacée “vaccinale” universelle, et désormais à nos chères têtes blondes. Demain, leur demandera-t-on de marcher avec une canne parce que leur grand-père boite ? De porter des lunettes parce que leur tonton est bigleux ? « Tu dois protéger papi et mami, tous deux triples vaccinés, donc censément protégés, en te vaccinant contre une maladie qui ne te concerne pas, et qui n’empêche personne d’être contaminé ou infecté. » Autant leur dire de marcher sur la tête ; ou, de manière plus “crédible”, à quatre pattes, au prétexte que le virus circule à un mètre de hauteur du sol à peu près.

Vous envisagez ensuite plusieurs moyens « d’augmenter l’offre de vaccination (…) pour les enfants » (toujours le registre lexical du business) :

1° « en diversifiant les personnes autorisées à vacciner les enfants ». Là, je dois admettre que vous faites preuve d’une certaine générosité. Ce ne seront plus seulement les soignants, médecins ou infirmières, qui profiteront de la manne vaccinale en étant surpayés à vacciner à tour de bras : une infirmière peut se “faire” près de 12 000 euros de plus-value par mois grâce à cette activité, et un médecin s’est publiquement vanté de s’être “fait” plus de 165 000 euros grâce à la “vaccination” depuis plus d’un an. Mais il est hors de doute que toute cette mobilisation vise à une protection désintéressée de la santé publique. Il semblerait pourtant que cette “mobilisation totale”, comme le disait l’écrivain Ernest Jünger, ne suffise pas. À suivre votre “logique” jusqu’au bout, on pourrait convoquer à la rescousse les vétérinaires, les mécaniciens, les bouchers, les coiffeurs. À ce compte, le plus simple est encore, bien sûr, de demander au personnel enseignant lui-même d’apprendre à jouer de la seringue, sans prendre les balourds détours phraséologiques de votre lettre.

Dans la foulée, pourquoi ne pas aussi rééduquer vos collègues de l’Ordre des médecins, en leur administrant la piqûre de rappel sémantique suivante, totalement oubliée par eux depuis deux ans : que le but premier d’un médecin, c’est tout de même de soigner, non de sommer les malades de rester chez eux en prenant du Doliprane, ou de faire la promotion de potions chimiques expérimentales.

2° « en allégeant les obstacles administratifs qui limitent l’accès des enfants à la vaccination ». Ach ! La lourdeur administrative ! Quelle entrave à l’efficacité ! Car oui, sans toutes ces lois, ces codes civils, ces codes de Nuremberg ou d’Helsinki, ces conventions d’Oviedo, ces déclarations des droits de l’homme, tout serait tellement plus simple. On organiserait une sortie scolaire au vaccinodrome de Skyrock, et hop ! La fête à la piquouze pour tous les enfants, avec confiseries et joujous gratuits à la clé. Il est même permis d’interpréter cette phrase faussement anodine en un sens politiquement plus radical : ces enfants, pour lesquels la notion de « consentement libre et éclairé » n’a pas de sens, doivent aussi bien être soustraits au consentement de leurs parents. L’État sait mieux que ces abusifs géniteurs ce qui est bon pour leurs rejetons. Les Académies, comme la vôtre, qui pourvoient les conseils appuyant ces États bienveillants, et qui ont donné tant de preuves de leur rationalisme, de leur intégrité et de leur efficacité depuis deux ans, ne font qu’appuyer ce changement de paradigme civilisationnel, à côté de quoi les plus délirantes mesures prises par les pires régimes totalitaires du vingtième siècle sont de la petite bière. Nos remuants moutards doivent être matés sans ménagement, en étant de plus en plus soustraits à l’autorité de leurs parents, et livrés pieds et poings liés à la gestion des États, des Académies et des Multinationales bienfaisants.

3° « en favorisant les prises de rendez-vous de vaccination pour les enfants scolarisés ». Cela veut dire, par exemple, en les convoquant chez la directrice, où les attendrait l’institutrice ou la dame de la cantine une seringue à la main ? Vous parlez plus loin d’”équipes mobiles” : pourquoi ne pas dès lors inventer un nouveau jeu, sur le mode de la chasse à courre, où ce seraient les professeurs de sport qui cavaleraient derrière les enfants rétifs à l’injection-miracle ? Pourquoi ne pas organiser des rodéos vaccinaux, où l’on attraperait nos gosses récalcitrants au lasso ? Comme on disait en mai 68 : “l’imagination au pouvoir”, que diable !

4° « en organisant des séances de vaccination à l’école par des équipes mobiles, en concertation avec la médecine scolaire ». Si la médecine scolaire est de la partie, alors, c’est rassurant, et nous pouvons enfin respirer un bon coup (votre lettre a tout de même quelque chose de suffocant). Car la médecine scolaire est censée être correctement informée du caractère encore expérimental de ces thérapies géniques, qui n’ont reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, suite à des essais cliniques dont il a été démontré (le “Pfizergate”) qu’ils ont été truqués.

Lire aussi : « PfizerGate » ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA

Vous évitez, dans cette lettre d’anthologie, de faire état des plus de 40 000 morts officiellement enregistrés à ce jour dans la seule Europe suite aux injections de masse, comme des plus de 3 000 000 d’effets indésirables, dont la moitié très grave ; mais vous mettez cependant en avant, toujours munis de votre cartomancie, la “rareté des effets indésirables post-vaccinaux” sur nos enfants.

5° « en “allant vers” les enfants porteurs de comorbidités et non vaccinés pour convaincre les parents de la nécessité de les vacciner face au risque de formes graves ». Là encore, votre maniement du français m’est tout à fait opaque. Pourquoi mettre “allant vers” entre guillemets, et en italiques ? Peut-être faites-vous là usage de quelque langage initiatique. Serait-ce trop vous demander que de m’en livrer quelques clés ? Car sinon, prise dans sa littéralité, la phrase est encore une fois une pure aberration sémantique : c’est en se jetant sur les enfants très fragiles que les enseignants vont convaincre les parents ? Avec vous, il y a décidément besoin d’explication de texte, voire d’exégètes spécialisés… On ne peut en tout cas pas vous reprocher votre manque d’inventivité. Depuis deux ans, la psychose covidiste a installé toute une Novlangue qui foule aux pieds tout ce qui nous tenait lieu jusque-là de rationalité clinique : “porteur asymptomatique”, “comorbidités”, “cas contact”… c’est à chaque ligne que vous enrichissez ce qui constituera un jour le Dictionnaire des idées covidistes, qui aura son Flaubert, ou son Léon Bloy.

6° « en utilisant tous les moyens d’information et de communication dévolus à l’éducation pour la santé afin de convaincre et rassurer les parents hésitants ». Ici, je sais bien que vous demander d’économiser l’usage des périphrases relèverait du vœu pieux, comme de vous conseiller d’aller plus droitement au but : “mettez en place tous les moyens de propagande dont vous disposez, pour convaincre les parents sceptiques d’utiliser sur leurs enfants un produit qui s’est déjà avéré inefficace, et souvent dangereux, sur eux-mêmes”. Ici, vous êtes en parfaite affinité avec la stratégie communicationnelle de notre président, qui a pourvu les médias grand public de trois milliards d’euros depuis son investiture ; argent qu’il eût été malvenu d’utiliser pour construire des hôpitaux, ou pourvoir de nouveaux lits ceux qui existent déjà. Le même a payé presque aussi grassement, pour la gestion de la prétendue “crise”, un cabinet d’affaires connu pour sa responsabilité dans la mort de plus de 500 000 américains.

7° « Les bénéfices collectifs de la vaccination des enfants doivent aussi être rappelés dans plusieurs domaines (scolaire, familial, état psychique, social, …), ainsi que le renforcement de l’immunité collective, nécessaire pour réduire la propagation des virus et limiter la possible émergence de nouveaux variants. » Cette phrase synthétise à merveille tout votre sérieux. Car, comme l’écrasante majorité d’entre vous se tient dans un confortable anonymat, il est impossible de vous demander publiquement quels sont vos domaines exacts de compétence. Cette phrase vous trahit, et nous les fait deviner en un éclair : vous êtes en vérité toutes et tous dentistes, au sens moyenâgeux du terme, tel notre ministre de la Santé, qui a quitté depuis deux ans sa spécialité neurologiste pour l’extraction de gencives signifiantes.

Car nous les avons vus, en deux ans, les “bénéfices” incommensurables du type d’instructions que vous nous avez délivrées sans compter : sur le plan “scolaire”, un sabotage presque total de l’éducation de nos enfants ; sur le plan “familial”, une sorte d’instauration de la guerre civile domestique (par exemple, “booster” les taux de divorce en statufiant sur le fait que l’autorisation d’un seul des parents est suffisante pour faire de l’enfant un cobaye) ; sur le pan de “l’état psychique”, une exponentiation vertigineuse des troubles psychiatriques, dépressifs et suicidaires chez nos adolescents et chez nos enfants ; sur le plan social, une aimable atmosphère de délation, de persécution et de pulsions génocidaires à l’encontre des non-vaccinés, qui rappellent les heures les plus glorieuses de notre longue histoire.

8° Je finis par mentionner ce qui constitue peut-être la perle de votre prosopopée informe, et qui prend une forme tout anodine, entre parenthèses : “La rareté des effets indésirables post-vaccinaux doit être mise en balance avec l’existence de formes sévères (PIMS, myocardite, Covid long) dont la fréquence risque d’augmenter avec la recrudescence des cas symptomatiques actuellement observés chez l’enfant.” Passe encore que vous vouliez faire accroire que c’est le virus lui-même qui provoque chez des enfants en bonne santé des PIMS et des Covids longs. Mais la myocardite ? Toute personne correctement informée sait que c’est avec la “vaccination” de masse qu’a commencé la flambée de myocardites (et de péricardites) chez d’innombrables jeunes gens et adolescents en parfaite santé. Et donc vous couronnez votre lamentable laïus par un mensonge patenté où, comme très souvent depuis deux ans, on inverse la relation de cause à effet (le sociologue Baudrillard parlait de façon prémonitoire de “précession des effets sur les causes”).

Je serais donc vous, je prévoirais de plaider, à l’avenir, la débilité mentale précoce, plutôt que de vous voir acculés à avouer le mensonge délibéré ; car il est impossible d’ignorer cet effet secondaire massif auprès de nos jeunes gens et adolescents. Promouvoir cette injection en pleine connaissance de connaissance sera donc, quand viendra l’heure des comptes, considéré comme sciemment criminel. La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée, à laquelle votre prose invertébrée fournit de très solides arguments, est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire. Prenez donc les devants, dès maintenant, et présentez sans plus attendre, dans votre future lettre publique, vos excuses à la population, pour deux années de mensonges patentés, et à jets continus.

Je finis cette lettre sur un appel d’offres public : j’aimerais savoir qui se cache, depuis deux ans, derrière tous ces entérinements “scientifiques” des mesures gouvernementales. Comme je l’ai dit plus haut, l’écrasante majorité d’entre vous se terre dans le plus confortable anonymat. Même les médecins de plateaux télévisés sont, à ce titre, plus loyaux que vous. Or, le jour où une démocratie digne de ce nom aura recommencé à exister en France, vous aurez, comme tous les complices de la mascarade quasi-littérale que nous subissons depuis deux ans, à répondre de vos prises de position en matière de santé publique : et ce, non seulement sur le plan de la médecine physique et mentale, mais aussi sur le plan politique, économique, social.

Voilà, je vous laisse sur ces menues considérations. Veuillez en tout cas ne surtout pas recevoir, en aucune façon, l’expression de mes salutations distinguées, ni celle de ma sympathie, pas plus que de mes cordialités.

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Du Grand Reset à la grande claque économique occidentale

Par Nicolas Bonnal

Les élites occidentales sont folles, c’est entendu. Elles veulent à la fois détruire/transformer leur population par les injections et la dictature sanitaire, le passeport vaccinal ou le délire vert. En même temps elles sont coincées du fait de l’effondrement rapide de leurs économies : Snyder parlait de trois millions d’emplois disparus cet hiver en Amérique, données trafiquées par les « données corrigées de variations saisonnières ». En Espagne nous avons eu une augmentation de la facture énergétique de 60 % l’an dernier, et cette année on parle de 70 % d’augmentation des prix de l’électricité en Grande-Bretagne qui veut en même temps livrer une guerre nucléaire à la Russie (l’Allemagne veut la guerre et le gaz…). Les prix alimentaires ont aussi monté de 20 à 30 %. Comme on sait, l’inflation est niée par le pouvoir comme les effets des vaccins du démentiel duo Bourla-Bancel. Les banques centrales, avant de créer leur euro numérique et de tout confisquer sur ordre de papa Schwab, font si j’ose dire « bonne impression » pour acheter des voix et enrichir un peu plus nos oligarques : c’est ainsi que Bernard Arnault pèse mille milliards de francs (oui, oui, 190 milliards de dollars)… pour vendre des sacs à main produits par des ouvrières payées par exemple en Bourgogne 1400 euros par mois (info de première main, la femme d’un lecteur y travaille). Mais cette fortune virtuelle ne pèsera pas cher le jour du grand effondrement.

Il est alors impressionnant de voir pourquoi la Russie les exaspère : excédent commercial prodigieux (le troisième du monde), économie matérielle et réelle, autarcie à volonté, excédent budgétaire, faible dette, bref tout ce qui peut « exaspérer les imbéciles » (Léon Bloy) LGBTQ ou autres ; les sociaux-démocrates et autres keynésiens qui dévastent l’économie occidentale depuis un demi-siècle maintenant, voient avec leur cerveau de chien Ran-Tan-Plan (« je sens confusément quelque chose ») qu’ils sont arrivés à un point de rupture. La plaisanterie est en train d’avoir assez duré. Le blanc occidental arrogant progressiste et raciste (racisme renforcé par son pathologique caquetage antiraciste) est en train de dérouiller sur le plan intellectuel et matériel, comme je le montrais déjà dans ma Lettre ouverte il y a dix ans. Il ne lui reste plus que la péroraison où il a toujours excellé depuis les vieux orateurs gréco-romains et les théologiens baroques.

Xavier Moreau a expliqué pourquoi le criminel et débile Zelensky a dû se calmer dans ses ardeurs guerrières : il était en train de ruiner l’économie de son pays déjà bien mal en point, et la baisse trimestrielle du PNB va sans doute être de 10 %. S’il peut toujours écouter les conseils de l’infatigable BHL (qui propose aussi de coffrer les non-vaccinés factieux en France), il n’a pas les moyens de faire sa guerre ni sur le plan militaire ni sur le plan économique. Nos abrutis ici aussi sont en train d’être rattrapés par la réalité : voir les rayons vides dans les supermarchés américains, l’explosion des prix de la bouffe (alimentaire, mon cher Watson !), l’inflation à deux chiffres pour les logements ou les automobiles, et en France cette donnée intéressante : 55 % des bagnoles roulent encore au Diesel et Macron, auteur du plus fantastique déficit commercial de l’histoire de… l’Europe (on nous l’a vendu comme génie économique) veut les INTERDIRE. On ne peut que se réjouir quand on apprend en même temps que 1 % des bagnoles sont électriques, et que ces bagnoles ne marchent pas ou presque (essayez une longue distance pour rire). Dans le même temps, le sinistre et prétentieux rêve nucléaire français prend fin faute d’uranium ou d’entretien ou de savoir-faire et nos centrales connaissent un sort proche de celle de Tchernobyl (souvenez-vous comme on s’en gaussa alors).

Le futur (le présent) de l’occident, c’est donc la déglingue, comme disait Lucien Cerise. Pas de chance pour nous, nous sommes mal tombés. Cette déglingue est folle, est provoquée par la politique (les banquiers Draghi-Macron sont de furieux destructeurs), mais pas seulement : l’écroulement face à la pénurie énergétique qu’on a trop longtemps masqué derrière l’écologie et le « réchauffement climatique » se produit sous nos yeux et nous allons tous en pâtir plus, alors que la Chine comme la Russie, pour des raisons communes et complémentaires (espace ; énergie ; savoir-faire ; discipline des populations et compétence de la classe dirigeante) se préparent un siècle à leur mesure — mais qui ne sera pas long si la crise démographique persiste.

Car s’il faut se réjouir de l’effondrement US ou européen, vu ce que ces épaves morales et culturelles sont devenues, il ne fait pas non plus trop trompeter. « Le destin du Spectacle n’est pas de finir en despotisme éclairé », disait Guy Debord, qui pressentait sans doute ce mixte de déglingue et d’atroce tyrannie. De toute manière leur destructeur monde moderne créé par la consommation effrénée des énergies fossiles était bien condamné. Je citerai pour finir cette belle envolée de Drieu la Rochelle écrite au lendemain de l’ignoble Guerre de 14-18 :

« Tous se promènent satisfaits dans cet enfer incroyable, cette illusion énorme, cet univers de camelote qui est le monde moderne où bientôt plus une lueur spirituelle ne pénétrera… Il n’y a plus de partis dans les classes plus de classes dans les nations, et demain il n’y aura plus de nations, plus rien qu’une immense chose inconsciente, uniforme et obscure, la civilisation mondiale, de modèle européen. »

Reste à savoir maintenant si la grande claque économique nous évitera la dictature des Schwab-Gates-Leyen…




« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Les manifestations contre les mesures sanitaires se poursuivent dans la capitale canadienne. Une situation « hors de contrôle » pour le maire de la ville qui sollicite l’aide des autorités fédérales. La « répression » a déjà commencé, la police d’Ottawa a menacé d’arrêter quiconque apporterait de l’essence ou un autre soutien matériel aux camionneurs. Autre manœuvre de coercition, la plateforme de récolte de dons « GoFundMe », grâce à laquelle les organisateurs du « Freedom Convoy » canadien ont réussi à récolter dix millions de dollars, a communiqué qu’elle ne leur reverserait pas les fonds. À l’instar des milliers de camionneurs canadiens qui protestent dans la capitale Ottawa, les camionneurs d’autres pays ont commencé à organiser leurs propres versions du « Freedom Convoy ».

Le maire d’Ottawa déclare l’état d’urgence

Le maire d’Ottawa, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence alors qu’environ 500 camions et véhicules du « Freedom Convoy » continuent de s’attarder dans les rues de la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination.

“Déclarer l’état d’urgence reflète le grave danger et la menace pour la sûreté et la sécurité des résidents posés par les manifestations en cours et souligne la nécessité du soutien d’autres juridictions et niveaux de gouvernement”, a déclaré la ville dans un communiqué.

Une situation «hors de contrôle», Jim Watson. La capitale fédérale a besoin de renforts pour mettre fin à l’état de «siège» dans lequel elle se trouve, a-t-il expliqué dans une lettre au gouvernement, plaidant pour l’envoi de 1800 policiers supplémentaires. «Nous devons mettre fin à cette manifestation, mais nous ne pouvons pas le faire seuls», a reconnu lundi le chef de la police Peter Sloly, appelant lui aussi «à l’aide».

Le chef de la police d’Ottawa a laissé entendre que les Forces armées canadiennes pourraient devoir être appelées pour gérer les manifestants persistants dans la capitale canadienne.

“Il s’agit d’un problème national, pas d’un problème d’Ottawa“, a déclaré le chef de la police d’Ottawa, Peter Sloly , lors d’une séance d’information aux conseillers municipaux. “Je suis de plus en plus inquiet qu’il n’y ait pas de solution policière à cela.”

Justin Trudeau, de retour en personne à la Chambre des communes, après une semaine d’isolement pour cause de Covid, a déclaré “Il faut que ça cesse”.

Néanmoins, le premier ministre a admis que l’envoi de l’armée pour mettre fin au mandat anti-vaccin et à la manifestation anti-gouvernementale qui a paralysé la capitale nationale pendant près d’une semaine n’est “pas dans les cartes pour le moment”.

Insensibles aux déclarations politiques, les manifestants, eux, continuent de réclamer “la levée des obligations vaccinales, des restrictions, et le rétablissement des droits et des libertés des Canadiens”, a déclaré lundi Tamara Lich, l’une des organisatrices du mouvement, lors d’un live sur YouTube.

“Nous essayons, en ce moment, de tendre la main à tous les partis fédéraux afin que nous puissions commencer des pourparlers et voir comment nous pouvons avancer”, a-t-elle ajouté.

Les politiciens “ne savent pas quoi faire de nous. Mais tout ce qu’ils ont à faire, c’est de revenir à la raison. C’est à eux de résoudre ça”, a estimé auprès de l’AFP John Lambert, 59 ans, camionneur et manifestant.

Trudeau amplifie la répression

“Quiconque tenterait d’apporter des supports matériels (gaz, etc.) aux manifestants pourrait faire l’objet d’une arrestation. L’application est en cours”, a annoncé la police dans un tweet arborant la mention “IMPORTANT”.

Les manifestants, de leur côté, se sont dits étonnés de l’élan de soutien de leurs concitoyens canadiens. 

“Le soutien a été incroyable”clame un camionneur. “Je n’ai jamais rien vu de tel. Je n’ai jamais été aussi fier d’être Canadien.”

Nicholas Wansbutter, qui a été engagé par le Justice Centre de Calgary pour représenter le « Freedom Convoy », a condamné les actions de la police d’Ottawa comme potentiellement illégales

“Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière. “, a déclaré Wansbutter dans un communiqué.

« Dans une société libre et démocratique régie par la primauté du droit, les citoyens peuvent librement s’associer les uns aux autres, y compris pour donner et recevoir des biens et des cadeaux. Il n’y a aucune loi qui permettrait à la Police d’Ottawa d’arrêter des personnes pour avoir donné du carburant ou de la nourriture à un autre Canadien », a poursuivi Wansbutter. 

“Les camionneurs eux-mêmes exercent leurs libertés d’expression, d’association et de réunion pacifique, comme ils ont légalement le droit de le faire.”

La police d’Ottawa a annoncé, dimanche 6 février, que plus de 450 contraventions avaient été émises depuis samedi matin pour des infractions allant du bruit excessif et des violations de la ceinture de sécurité aux plaques d’immatriculation obstruées et aux silencieux inappropriés. Ils ont également annoncé avoir ouvert 97 enquêtes pénales liées au Freedom Convoy.

Encore plus absurde, un juge ontarien a accordé, lundi 7 février, une injonction de 10 jours interdisant aux camionneurs stationnés dans les rues du centre-ville d’Ottawa de klaxonner constamment.

“Tonner un klaxon n’est pas l’expression d’une grande pensée à ma connaissance”, a déclaré le juge de la Cour supérieure de l’Ontario, Hugh McLean, lors d’une procédure judiciaire, selon la CBC.

La plateforme GoFundMe suspend la collecte de fonds du mouvement des camionneurs canadiens

Le GoFundMe a été lancé le 14 janvier par Tamara Lich, qui est également secrétaire du parti séparatiste occidental Maverick. Elle indique que l’argent servira à payer le carburant ainsi que la nourriture et l’hébergement des camionneurs participants.

La page GoFundMe pour soutenir le “Freedom Convoy” des camionneurs canadiens approchait les 10 millions de dollars lundi 1er février, soit plus d’argent que les principaux partis politiques fédéraux du Canada n’ont collecté au cours du dernier trimestre de 2021.

Des reportages avaient commencé à circuler la semaine dernière, signalant que la page GoFundMe pour “Freedom Convoy 2022” avait été gelée et que les organisateurs devaient expliquer comment les millions de dollars de fonds collectés seraient dépensés

«Cette cagnotte est actuellement suspendue car nous la vérifions afin de nous s’assurer qu’elle est conforme à nos conditions d’utilisation et aux lois et réglementations applicables» : telle est la mention ajoutée par la plateforme de financement participatif GoFundMe le 2 février à propos de la collecte de soutien.

La plateforme précise «collaborer avec les forces de l’ordre locales» à cet effet.
« Nous avons maintenant la preuve par les forces de l’ordre que la manifestation auparavant pacifique s’est transformée en occupation, avec des rapports de police faisant état de violence et d’autres activités illégales. ». Un narratif que Trudeau et les libéraux employaient aussi pour discréditer le mouvement quelques jours auparavant.

Après avoir versé le premier million récolté aux organisateurs, la plateforme a décidé de geler les neuf millions restants et de clore la campagne de dons

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms , le cabinet d’avocats basé à Calgary, a annoncé qu’il représentait le Freedom Convoy 2022 à Ottawa et qu’il avait une équipe d’avocats sur le sol fournissant une assistance et des conseils juridiques.

“L’équipe juridique du Justice Center travaille au nom des organisateurs du convoi pour s’assurer que tous les fonds collectés par GoFundMe sont remis aux camionneurs aux fins prévues“, a déclaré le cabinet d’avocats dans un communiqué.

Preuve que ce « racket » choque, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a déclaré que lui et le procureur général de l’État enquêteraient sur GoFundMe après que la plate-forme en ligne de financement participatif ait mis fin à la campagne de financement officielle canadienne “Freedom Convoy”. Confronté à des allégations de fraude, GoFundMe est ensuite revenu sur sa position concernant la redistribution des fonds et a déclaré qu’il rembourserait automatiquement les milliers de donateurs.

Un vent de liberté qui s’internationalise

Des camionneurs du monde entier roulent en solidarité avec le convoi canadien. Des initiatives comparables ont été observées à Leeuwarden aux Pays-Bas, à Schwerin en Allemagne, ou encore à Canberra en Australie.

Au moins 1 000 personnes se sont rassemblées près du Parlement à Canberra pour protester contre le mandat du vaccin et les restrictions, a rapporté samedi le Canberra Times. Les organisateurs ont appelé 5 millions d’Australiens à converger vers la capitale avant le retour du Parlement le 8 février.

Les camionneurs à travers l’Europe prévoient également des convois. Un groupe du World Freedom Convoy sur Signal prévoit deux manifestations distinctes, a rapporté le Brussels Times . En une semaine environ, 40 000 personnes ont rejoint le chat Signal. Les camionneurs prévoient de se rendre dans leurs capitales respectives le 7 février, et le groupe européen élargi se dirigera vers Bruxelles le 14 février.

Aram Lemmer, propriétaire d’une entreprise et organisateur en Autriche, a déclaré au Toronto Star que lui et deux autres organisateurs s’étaient engagés à envoyer 2 500 véhicules à Vienne en convoi le 13 février, y compris des voitures, des camions, des tracteurs et des cyclistes. Ils exigent que le gouvernement renonce à toutes les restrictions et démissionne. 

En France, le mouvement semble monter en puissance puisque des centaines de publications ont été postées sur les réseaux. Parmi elles, des appels à la mobilisation pacifique et des offres pour fournir logement, boissons, nourriture, ou couvertures en guise de soutien. De plus en plus d’automobilistes affichent également leur participation au mouvement en publiant des photos de leur véhicule avec une feuille A4 accrochée sur le tableau de bord ou un sticker: “je soutiens le convoi de la liberté”.

Sans surprise les syndicats ont indiqué qu’ils ne participeront pas au convoi.

“Aujourd’hui, on n’a pas de renseignements démontrant que cela s’organise de manière importante”, a répondu ce mardi 8 février sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. “Mais nous sommes attentifs et la réponse de l’Etat sera extrêmement ferme si c’est le cas.”

Enfin côté américain, un groupe de camionneurs prévoit une manifestation aux États-Unis, se rendant au Capitole américain à Washington, DC.

Brian Brase, co-organisateur de la manifestation américaine, a déclaré à que l’effort des camionneurs américains était “un peu moins de 140 000 personnes lorsque Facebook nous a censuré”Le 2 février, Facebook a supprimé une page Facebook intitulée “Convoy to DC 2022”.

Brase a déclaré que des camionneurs de partout aux États-Unis appelaient à se joindre à l’effort. “Nous avons des entreprises de camionnage de tout le pays qui nous appellent, chauffeurs”, a-t-il déclaré. Il a taquiné un communiqué de presse majeur avec des détails le mardi 8 février. “Le volume de réponse… Je vais dire que nous serons aussi grands que le Canada, sinon plus.”

Le soulèvement du peuple canadien est incroyable et ce « siège » de leur capitale Ottawa se fait avec un niveau d’intelligence rarement vu auparavant. Ils savent à quoi s’attendre en détail de la part des médias, des agitateurs/contre-manifestants ainsi que des personnes introduites dans la foule pour causer des problèmes.

Ils ont apporté assez de fournitures pour être là pendant des semaines. Ils ont installé des cantines et des services dans les rues.

Ce sont des gens qui savent ce qu’ils font et Trudeau le sent. Malgré cela il s’obstine comme en atteste son gouvernement libéral qui tente de ressusciter un projet de loi sur la censure en ligne. 




Terreur républicaine et dictature sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Terreur républicaine et dictature sanitaire :
un retour sur Hyppolite Taine et son anglaise anonyme

Texte publié par votre bloggeur préféré en août 2021 (54 000 lecteurs). « Quoique les Français subissent ce despotisme sans oser en murmurer ouvertement, on voit beaucoup de chuchotements mélancoliques et de petits mouvements d’épaules significatifs… Cependant leur courage s’évapore en conversations. »

août 2021
Strategika
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La France se paie de mots depuis 1789, droits de l’homme, liberté. Ces mots mènent à l’abattoir ou à la dictature, et ce de manière récurrente et régulière. J’en ai parlé déjà en citant Cochin ou Guénon.

De 1792 à 1795, une Anglaise anonyme (Une espionne ! Une espionne !) décrit les horreurs librement consenties de la Révolution Française. Taine préface. Florilège de citations du Séjour en France alors ; la première est notre préférée. Le Français supporte la tyrannie si on lui laisse (déjà) miroiter un petit amusement au bout de son code QR :

« Au lieu d’imposer sa douleur à la société, un Français est toujours prêt à accepter des consolations et à se joindre aux divertissements. Si vous lui racontez que vous avez perdu votre femme ou vos parents, il vous dit froidement : “ Il faut vous consoler ” — et s’il vous voit atteint d’une maladie : “ Il faut prendre patience. ” — Lorsque vous leur dites que vous êtes ruiné, leurs traits s’allongent davantage, leurs épaules se lèvent un peu plus et c’est avec plus de commisération qu’ils répondent : “ C’est bien malheureux; mais enfin, que voulez-vous ? ” Et, au même instant, ils vous racontent leur bonne fortune aux cartes ou s’extasient sur un ragoût. »

Les Français adorent leur administration, surtout si elle est oppressive (Macron a compris que plus il tape, plus il est respecté) :

« Les Français semblent n’avoir d’énergie que pour détruire, et ils ne s’insurgent que contre la douceur ou l’enfance. Ils se courbent devant une administration oppressive; mais ils deviennent agités et turbulents devant un prince pacifique ou pendant une minorité. »

Les préfets, les commissaires, les experts, les décideurs, on adore ça :

« La plupart des départements sont sous la juridiction d’un de ces souverains dont l’autorité est presque illimitée. Nous avons en ce moment dans la ville deux députés qui arrêtent et emprisonnent selon leur bon plaisir. Vingt et un habitants d’Amiens ont été saisis, il y a quelques nuits, et sont encore enfermés, sans qu’on ait spécifié aucune charge contre eux.
Les grilles de la ville sont fermées; on ne permet à personne d’entrer ni de sortir sans un ordre de la municipalité, et on exige cet ordre même pour les habitants des faubourgs. Les fermiers et les paysans qui viennent à cheval sont obligés de faire noter sur leur passeport les traits et la couleur de leur bête aussi bien que les leurs. »

Parfois on se rend compte que tout va mal, mais, comme dit notre Anglaise (elle en a fait autant pour la Liberté que mon Tolkien), le courage s’évapore en conversations :

« Vous pouvez voir maintenant combien la liberté s’est accrue en France depuis la révolution, la déposition du roi et l’avènement d’une république. Quoique les Français subissent ce despotisme sans oser en murmurer ouvertement, on voit beaucoup de chuchotements mélancoliques et de petits mouvements d’épaules significatifs. Le mécontentement politique a même un langage approprié qui, quoique peu explicite, n’en est pas moins parfaitement compris. Ainsi, quand vous entendez un homme dire à un autre : “ Ah ! mon Dieu ! on est bien malheureux dans ce moment-ci ! ” — “ Nous sommes dans une position très-critique; ” — ou : “ Je voudrais bien voir la fin de tout cela ! — vous pouvez être sûr qu’il désire ardemment la restauration d’une monarchie et qu’il espère avec une égale ferveur vivre assez longtemps pour voir pendre la Convention. Cependant leur courage s’évapore en conversations ; ils avouent que leur pays est perdu, qu’ils sont gouvernés par des brigands; puis ils rentrent chez eux et cachent tous leurs objets précieux qui sont encore exposés. Cela fait, ils reçoivent avec une complaisance obséquieuse la prochaine visite domiciliaire. La masse du peuple, quoique aussi peu énergique, est plus obstinée et naturellement moins traitable. Mais quoiqu’ils murmurent et usent de délais, ils ne résistent pas, et tout se termine généralement par leur soumission implicite. »

Guerre contre le virus, contre l’islam, contre la Russie, contre l’Allemagne, contre l’Europe ? On est toujours en guerre et on recrute le surplus de population affamée :

« Les députés-commissaires dont je vous ai parlé ont passé quelque temps à Amiens pour hâter la levée des recrues. Les dimanches et jours de fête, ils ordonnaient aux habitants de se rendre à la cathédrale, où ils les haranguaient en conséquence, les appelant à la vengeance contre les despotes coalisés, s’étendant sur l’amour de la gloire et sur le plaisir de mourir pour son pays. »

La clé c’est l’absence de courage :

« Enfin, après beaucoup de murmures, la présence des commissaires et de quelques dragons a fini par arranger les choses très-pacifiquement. Beaucoup sont partis, et, si les dragons restent, les derniers suivront bientôt. Ceci est un compte rendu exact de l’état des choses entre la Convention et le peuple; tout est effectué par la crainte, rien par l’attachement; l’une n’est obéie que parce que l’autre n’a pas le courage de résister. »

La presse est aussi manipulée et monocorde qu’aujourd’hui (pas besoin des oligarques !) :

« Tous les journaux français sont remplis des descriptions de l’enthousiasme avec lequel les jeunes gens s’élancent aux armes à la voix de leur patrie. »

Crise financière et économique, une question d’habitude :

« La défiance contre les assignats et la rareté du pain ont fait promulguer une loi qui oblige les fermiers, sur tous les points de la république, à vendre leur blé à un certain prix, infiniment au-dessous de celui qu’ils exigeaient depuis quelques mois. La conséquence fut qu’aux marchés suivants il n’y eut aucun arrivage de blés, et maintenant les dragons sont forcés de courir la contrée pour nous préserver de la famine. »

Notre écrivaine note dans un bel élan le beau bilan :

« Dans ces douze mois, le gouvernement de la France a été renversé, son commerce est détruit, les campagnes sont dépeuplées par la conscription, le peuple est privé du pain qui le faisait vivre. On a établi un despotisme plus absolu que celui de la Turquie, les mœurs de la nation sont corrompues, son caractère moral est flétri aux yeux de toute l’Europe. Une rage de barbares a dévasté les plus beaux monuments de l’art; tout ce qui embellit la société ou contribue à adoucir l’existence a disparu sous le règne de ces Goths modernes. Même les choses nécessaires à la vie deviennent rares et insuffisantes pour la consommation le riche est pillé et persécuté, et cependant le pauvre manque de tout. »

La dette immonde est déjà là, c’est une habitude révolutionnaire qu’on ne perdra jamais :

« Le crédit national est arrivé au dernier degré d’abaissement, et cependant on crée une dette immense qui s’accroît tous les jours; enfin l’appréhension, la méfiance et la misère sont presque universelles. Tout ceci est l’œuvre d’une bande d’aventuriers qui sont maintenant divisés contre eux-mêmes, qui s’accusent les uns les autres des crimes que le monde leur impute à tous, et qui, sentant qu’ils ne peuvent plus longtemps tromper la nation, gouvernent avec des craintes et des soupçons de tyrans. Tout est sacrifié à l’armée et à Paris; on vole aux gens leur subsistance pour subvenir aux besoins d’une métropole inique et d’une force militaire qui les opprime et les terrorise… »

Vive les commissaires qui en profitent pour se venger (on dénonce et guillotine aussi les prêtres qui confessent) :

« Tous les points de la France sont infestés par des commissaires qui disposent sans appel de la liberté et de la propriété de tout le département où ils sont envoyés…ces hommes sont délégués dans des villes où ils ont déjà résidé; ils ont ainsi une opportunité de satisfaire leur haine personnelle contre tous ceux qui sont assez malheureux pour leur avoir déplu. »

Dans cette maison des morts digne de Dostoïevski (cf. l’homme qui s’habitue à tout – voyez mon livre), on exige en plus le sourire :

« L’homme est enclin à tout supporter, et souvent la volonté de faire le mal suffit pour nous donner un plein pouvoir sur le bonheur des autres. Mais le système de la Convention est plus original; non contente de réduire le peuple à l’esclavage le plus abject, elle exige un semblant de satisfaction et édicte des peines, à des époques déterminées, contre ceux qui refusent de sourire…Il y a à Paris de splendides fêtes où chaque mouvement est réglé d’avance par un commissaire; les départements, qui ne peuvent imiter la magnificence de la capitale, sont obligés néanmoins de témoigner leur satisfaction. Dans toutes les occasions où une réjouissance publique est ordonnée, on garde la même discipline; et les aristocrates, dont les craintes surmontent généralement les principes, ne sont pas les moins zélés… L’extrême despotisme du gouvernement semble avoir confondu tous les principes de bien et de mal, d’honneur et de déshonneur. » 

La soumission des imbéciles est telle qu’on n’a plus besoin de les arrêter. Ils vont d’eux-mêmes à la prison. Un email, pardon, un message suffit :

« Cependant, telle est la soumission du peuple à un gouvernement qu’il abhorre, qu’on juge à peine nécessaire maintenant d’arrêter quelqu’un dans les formes. Souvent ceux dont on veut s’assurer ne reçoivent rien de plus qu’un mandat écrit, leur enjoignant de se rendre à telle prison et ils sont plus ponctuels à ce désagréable rendez-vous qu’à la visite la plus cérémonieuse ou à la plus galante assignation. On empaquette à la hâte quelques objets nécessaires, on fait ses adieux, on va à pied à la prison et on place son lit dans le coin désigné, comme si la chose était toute naturelle. »

La centralisation rêvée, la voici :

« Le comité de salut public marche rapidement à la concentration absolue du pouvoir suprême, et la Convention, qui est l’instrument de l’oppression universelle, devient elle-même un corps insignifiant, dont les membres sont peut-être moins en sûreté que ceux qu’il tyrannise. Ils cessent de discuter et même de parler. »

On arrêtera là. Les amateurs pourront aussi découvrir un grand livre en quatre volumes recommandé par Taine : l’Histoire de la Terreur de Mortiner-Ternaux. C’est en six volumes.

Sources :




Dr Wodarg : extrême prudence en raison de la dissimulation de la composition du vaccin Covid 19 !

[Source : Kla.tv]



Arne Burkhardt et Walter Lang, pathologistes de Reutlingen, ont pu confirmer pour la première fois que la protéine Spike, produite dans le corps par le vaccin Covid-19, pourrait être responsable d’inflammations et de lésions des vaisseaux sanguins pouvant entraîner la mort.

Des militants américains ont montré, en analysant les dommages causés par les vaccins, à quel point les lots de vaccins ont des effets extrêmement variables, allant de l’absence quasi-totale d’effets secondaires à des milliers de complications très graves, souvent mortelles. Cela est dû à une composition différente des doses de vaccin, ce qui ne devrait pas exister et qui est passé sous silence par Big Pharma, la politique et les médias.

Regardez maintenant les conclusions novatrices et les recommandations urgentes que le Dr Wodarg, spécialiste allemand en immunologie, donne sur ces faits.


Bonjour chers « promeneurs » ! [à l’écran : nom que se donnent en Allemagne les manifestants depuis l’interdiction de manifester]

Je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous. Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai appris beaucoup de nouvelles choses. Après m’être occupé des virus pendant de nombreuses années, je n’ai en fait plus guère envie de m’occuper de ce sujet, car il n’y a en fait rien de nouveau en matière de virus. Il y a du nouveau dans la biotechnologie. La biotechnologie prend un essor prodigieux, car elle s’est mise au service de ceux qui veulent changer le monde, qui veulent étendre leurs intérêts, étendre leur pouvoir. Avant, ils le faisaient avec des guerres. Aujourd’hui, les guerres sont difficiles. Aujourd’hui, celui qui déclenche une guerre doit s’attendre à devenir lui-même une victime. Aujourd’hui, on utilise d’autres choses pour faire peur et la biotechnologie s’y prête très bien. Elle fait des choses qui sont très petites, on ne peut les voir qu’avec des appareils spéciaux. On peut y croire ou ne pas y croire. Les effets des interventions biotechnologiques arrivent parfois beaucoup plus tard.

Cette pandémie à laquelle on nous fait croire à l’aide du test PCR, est en totale contradiction avec ce que la plupart des gens vivent. Et ils font à nouveau l’expérience de la grippe cet hiver. Certains l’ont attrapée ; elle a touché un grand nombre de personnes, certaines en meurent. Mais ce qui est nouveau cette année, cet hiver, c’est qu’après un an d’applications génétiques et biotechnologiques imposées à des milliards de personnes, les prétendus vaccins, qui sont en fait des interventions génétiques, ont des conséquences. Au début, il était très difficile de savoir quelles étaient ces conséquences, ce n’était pas toujours le cas. Certaines personnes ont eu des effets secondaires très graves, d’autres n’ont rien ressenti du tout ou ont seulement ressenti quelque chose à l’endroit de l’injection. Il y a eu des séries où, dans une maison de retraite, beaucoup de ces personnes qui avaient reçu cette injection sont mortes peu après. Il y a ces nombreux sportifs, ces jeunes hommes musclés qui ont reçu une injection dans le muscle et qui ont ensuite eu une myocardite ou une insuffisance cardiaque. Donc il y a eu beaucoup de phénomènes différents que nous avons vus, mais ce n’était pas non plus chez tout le monde. Maintenant, on voit un peu plus clair dans cette obscurité : après que quelques scientifiques très, très intelligents ont analysé de plus près les données de la base de données des effets secondaires VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] aux États-Unis. Ils ont en effet constaté que seuls quelques lots provoquaient ces effets secondaires graves. La plupart des lots ne provoquent presque pas d’effets secondaires, pas plus d’effets secondaires que d’autres vaccins connus également. Mais quelques lots sont très dangereux. Certains ont entraîné un risque trois mille fois plus élevé que les vaccins normaux, d’autres un risque mille fois plus élevé, deux mille fois plus élevé. Et des centaines, voire des milliers de personnes en sont mortes. Cela signifie qu’en fait, ce n’est pas possible, parce que les seringues qui sont vendues doivent contenir la même chose partout. Et cela n’existe pas ailleurs, qu’un prétendu vaccin contienne parfois quelque chose de dangereux et parfois non.

Nous assistons actuellement à l’apparition d’une toute nouvelle technologie censée nous immuniser, mais ce n’est pas le cas. Car ces injections dans le muscle ne nous empêchent pas de continuer à être infectés par des virus et de transmettre ces virus. Même de transmettre les Coronavirus, même le variant Omicron, qui est l’un des nombreux variants à venir, elle se transmet. Et nous nous contaminons avec eux. Mais ce n’est pas ce qui nous rend si malades, ce qui nous rend malades maintenant, ce qui rend beaucoup de gens malades, ce sont les effets secondaires de ces injections. Ce sont les thromboses dues aux protéines Spike. Ce sont aussi les inflammations, les déficiences immunitaires qui apparaissent. Tous ces effets sont dus en partie aux protéines formées dans le corps, ou au fait que le système immunitaire est réorienté dans le corps et que le système immunitaire n’est pas confronté à des parties de virus là où il le fait habituellement, c’est-à-dire dans la bouche et le pharynx, mais quelque part dans le corps. Et ça irrite le système immunitaire, ça le perturbe et ça conduit à des réactions erronées. En outre, comme on le sait maintenant, les protéines Spike peuvent pénétrer dans le noyau des cellules immunitaires et peuvent y provoquer de graves perturbations et entraîner une déficience immunitaire. Cela aussi est de plus en plus observé, mais curieusement, ce n’est pas le cas partout. Sinon, des millions de personnes mourraient et des millions de personnes tomberaient malades dès maintenant. Nous ne savons pas si des millions de personnes ne tomberont pas malades plus tard à cause des effets à long terme. Mais ce qu’on observe dans la banque de données, c’est que justement, pour certains lots, beaucoup tombent malades, mais ça veut dire que les entreprises pharmaceutiques ne mettent pas toujours la même chose dans les seringues.
Et ça ne doit pas se produire, nous avons en fait des autorités de contrôle qui garantissent que c’est une norme, que ce qui est écrit est bien ce qu’il y a dedans. Elles ne le font pas. Et ça s’explique à mon avis par le fait que nous avons maintenant, ce qu’on appelle la « procédure télescopique ». Nous sommes soi-disant en situation de pandémie, et dans cette situation beaucoup de choses sont autorisées, qui ne le seraient jamais autrement.

Il y a des phases où les vaccins sont testés : Phase un – deux – trois – et ensuite l’autorisation de mise sur le marché et ensuite une étude d’observation – phase quatre – encore après. En fait, nous sommes dans la phase quatre, où toutes les autres étapes devraient déjà avoir eu lieu. Mais nous savons que pour beaucoup de ces vaccins, il n’y a pas eu de véritables tests sur les animaux. Et beaucoup de choses n’ont pas été exclues. Des essais n’ont été réalisés que sur des personnes en bonne santé, bien que ces vaccins soient maintenant recommandés pour les malades et même pour les femmes enceintes ! Cela signifie que beaucoup de choses sont inconnues et que beaucoup de choses sont en train d’être testées.

Et c’est bien sûr une énorme opportunité. Il y a maintenant 128 fabricants de vaccins différents qui font des essais cliniques – certains même avec des virus qui se reproduisent eux-mêmes ; c’est-à-dire des vaccins qui se reproduisent eux-mêmes – jadis cela n’aurait jamais été autorisé. Et le patron de Bayer a lui-même déclaré lors du « Global Health Summit » à Berlin : « Il est étonnant de voir tout ce que les gens acceptent maintenant. Il y a deux ans, personne n’aurait accepté ce qu’on injecte aujourd’hui. Et l’industrie est ravie ; ils ont de nombreux brevets, ils peuvent maintenant tout essayer, et personne ne le remarque. Le comité d’éthique approuve tout…, après tout, c’est une pandémie. Et maintenant, beaucoup se réjouissent déjà des nouveaux vaccins, des vaccins qu’on prétend meilleurs. Ils essaient quelque chose qui n’existait pas auparavant. Et ils ne savent pas comment ils vont l’essayer. Il existe les études pour la détermination de la dose, le vaccin est injecté à forte dose à des gens et à dose plus faible à d’autres. Nous observons la même chose actuellement, par exemple Biontech l’a fait avec des millions de personnes aux États-Unis. Ils ont eu des seringues, des lots, qui ont eu 3 000 fois plus de létalité – 3 000 fois plus d’effets toxiques, d’autres ont eu 2 500 fois plus, puis ils en ont eu une avec 2 000 fois d’effets toxiques, puis avec 1 500, 1 000 et 500. Ils ont donc correctement titré, et cela pendant la phase quatre. D’habitude, on le fait avec peu de gens en phase deux. Et maintenant, on le fait comme ça, sans que personne ne le remarque.

Et vous, chers médecins, vous êtes d’accord avec cela ! Vous faites ces injections. Vous transformez vos patients en cobayes. Saviez-vous que ce sont des expériences qui sont faites ici ? Vous pouvez le lire, c’est publié dans les données VAERS. J’ai mis les sources sur mon site et je l’explique également. Ce qui se passe actuellement est un crime. Ce sont des essais sur l’homme – ; et les gens ne sont pas d’accord, ils sont contraints de le faire. C’est une chose très grave que de transformer en cobayes des personnes qui n’ont pas le choix. Cela s’est déjà produit en Allemagne et a conduit aux procès de Nuremberg. Et ces personnes qui ont fait cela ont été condamnées. Ce qui se passe actuellement ce n’est pas un hasard ; mais ce sont des expériences qu’on fait volontairement, et intentionnellement. Et on profite de la peur des gens et de la prétendue « situation d’urgence » et de la stupidité des politiciens qui laissent passer ça, et de la corruption des institutions qui sont censées nous protéger. Ils nous exposent à ces expériences. La biotechnologie donne des possibilités inimaginables. Maintenant pendant la pandémie, ils peuvent essayer tout ce qu’ils voulaient essayer depuis longtemps. Mais les politiques qui sont censés nous protéger ne le comprennent manifestement pas, ou alors ils sont corrompus.

Je peux bien imaginer que certains le comprennent très bien, ceux qui sont particulièrement bruyants et qui nous disent : c’est nécessaire, il faut le faire. Ceux qui ont aussi de très bonnes relations avec l’industrie. Je suis consterné par cette énergie criminelle que nous observons, et surtout que les médecins acceptent ça et y participent. Je me réjouis qu’il existe désormais une base de données dans laquelle on peut faire des recherches. Si on va sur Google, on la trouve sous le titre : « How bad is my batch » « A quel point mon lot est mauvais ». Là, on peut voir lesquelles de ces doses étaient très dangereuses, lesquelles sont moins dangereuses. Bien sûr, il est possible que les doses futures n’y figurent pas encore. Mais si vous devez ou voulez vous faire injecter ou si vous y êtes contraint et que vous voulez quand même le faire, demandez à votre médecin s’il sait de quel lot il s’agit, s’il s’agit d’un des lots dangereux ou d’un lot qui ne l’est pas, où il n’y a que du sel de cuisine, ou qui ne contient rien de nocif.

Demandez à votre médecin, ne vous faites pas injecter n’importe quoi. Chaque médecin devrait savoir quels lots lui sont livrés et devrait être sûr qu’on a vérifié ce qu’il y avait dedans, non ? Nous savons maintenant qu’il n’y a pas la même chose dans tous les lots. C’est interdit. Nous savons que cela se fait quand même. On nous force à prendre ces injections. Et c’est pourquoi, chers médecins, vous devez demander ces informations, demandez ce que vous avez reçu, ce qu’on vous a livré. Chers pharmaciens, demandez : « qu’est-ce que vous me livrez-là ? Comment puis-je être sûr de ce qu’il y a dedans ? » Et chers patients, dites NON. Dites non à l’injection si vous n’êtes pas sûr qu’il s’agisse d’un produit contenant ce qui est écrit. Et même dans ce cas, dites non. Car vous ne pouvez toujours pas être sûr – ce sont des criminels qui sont à l’œuvre. Et vous ne devez pas vous livrer à ces criminels. J’espère vraiment que notre justice se remettra en marche. Elle pourrait bien sûr se rendre immédiatement chez Biontech, confisquer les ordinateurs, aller immédiatement voir ce qui se passe réellement. Vérifier immédiatement, dans les livres, dans les ordinateurs, partout, pour voir ce qu’ils ont fait. Mais notre justice préfère aller voir les médecins qui essaient de protéger les patients de ces injections et elle fouille le cabinet de ceux-ci plutôt que d’aller voir ces criminels. Nous vivons dans un monde terrible.

Les gens qui sont responsables de tout cela, qui ont planifié cela depuis longtemps, ils abusent des biotechnologues et des virologues et des pharmacologues pour entretenir notre peur. Les gens qui meurent maintenant dans les hôpitaux, prétendument avec le Covid, la plupart d’entre eux meurent des effets secondaires des injections. Et quand on dit que ceux qui se trouvent dans les hôpitaux sont tous des non vaccinés ! Vous savez, les non vaccinés, ce sont aussi des gens qui ont reçu le vaccin, l’injection, au cours des 14 derniers jours et qui ne sont pas encore comptés parmi les vaccinés. Mais c’est justement pendant ces 14 premiers jours que se produisent les effets secondaires aigus et graves. Cela signifie que de nombreuses personnes sont rendues malades en recevant une injection et on les compte parmi les non vaccinés. Ce qui est bien sûr totalement faux et c’est délibérément un aveuglement épidémiologique.

C’est incroyable tout ce qu’on nous demande de faire. Et je trouve merveilleux que vous descendiez dans la rue. Je trouve ça merveilleux que vous vous défendiez et que vous ne vous laissiez pas transformer en victimes d’un projet criminel. Je vous remercie tellement de vous engager et je vous souhaite tout le bonheur possible, une bonne santé et beaucoup de plaisir les uns avec les autres quand vous vous promenez dans les rues lors des manifs pacifiques. Vous ne devez pas avoir peur les uns des autres, les personnes vaccinées qui ont survécu ne doivent pas non plus avoir peur. Et j’espère qu’il n’y aura pas de conséquences à long terme pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires. Restons unis, vaccinés et non vaccinés. Et chassons les criminels de la maison, afin que nous puissions à nouveau débattre et nous entendre démocratiquement, conformément à notre loi fondamentale, dans des conditions de vie normales, comme nous en avons l’habitude. Restez courageux. Restez engagés. Restez unis.
Et oui, à la prochaine fois. Au revoir, Wolfgang Wodarg.

de hm

Sources / Liens : Dr. Wodarg zu den verschwiegenen Covid-19-Impf-Zusammensetzungen
https://www.bitchute.com/video/JqINeUu312v3/




Roumanie : Un sondage montre que les deux tiers de la population savent que le covid est une arnaque

[Source : Aube Digitale]

Les populations se réveillent tout doucement.

Via le Romania Journal :

Plus de 60% des Roumains pensent que la pandémie de Covid19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. En outre, près de 30 % d’entre eux pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, selon le chapitre sept du sondage d’opinion intitulé « Méfiance du public : l’Ouest vs l’Est, la montée du courant nationaliste à l’ère de la mésinformation et le phénomène des fausses nouvelles » réalisé par INSCOP Research en partenariat avec Verifield et commandé par le think tank STRATEGIC Thinking Group.

En ce qui concerne les théories du complot répandues, selon près de deux tiers des Roumains (65,7 %), la pandémie de Covid-19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Moins d’un tiers (28,4%) pense que la pandémie de Covid-19 s’est produite naturellement, comme d’autres pandémies dans l’histoire de l’humanité. 5,9% des répondants ne savent pas ou ne répondent pas à cette question.

Par ailleurs, 28,5 % des personnes interrogées pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, tandis que 66 % rejettent cette théorie et 5,5 % ne savent pas ou ne répondent pas.

Exposition aux fake news

En ce qui concerne l’intention d’exposition personnelle aux fausses nouvelles, 54,7% des personnes interrogées considèrent qu’au cours des derniers mois, elles ont été exposées à des fausses nouvelles ou à des mésinformations dans une très large mesure (contre 55,6% en septembre 2021, 50,1% en juin 2021 et 55% en mars 2021), et 41,8% qu’elles ont été exposées dans une faible ou très faible mesure / pas du tout (contre 40,8% en septembre 2021, 45,6% en juin 2021 et 42,6% en mars 2021). 3,6% ne savent pas ou ne répondent pas à cette question (contre 3,6% en septembre 2021, 4,3% en juin 2021 et 2,5% en mars 2021).

« En ce qui concerne la vulnérabilité des Roumains à la mésinformation, nous notons les réponses inquiétantes concernant deux types de complots largement diffusés au cours des deux dernières années. Ainsi, un peu plus d’un quart des Roumains croient qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, et près de deux tiers pensent que la pandémie a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Ce dernier chiffre ne reflète pas un déni de la pandémie et de ses graves effets, mais la tentation d’une très grande partie de la population pour les interprétations conspirationnistes, alimentées un temps par la mésinformation, les fausses nouvelles, certaines même diffusées par diverses voix influentes en Roumanie ou dans le monde, au détriment des explications raisonnables, acceptées par la communauté scientifique concernant les causes naturelles du virus COVID19 », a déclaré Remus Ștefureac, président de Strategic Thinking Group.

Quels sont les pays qui soutiennent la propagande ?

Concernant les pays qui soutiennent les actions de propagande, 27,3% des Roumains pensent que la Russie est la principale source d’actions de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie (contre 18,1% en septembre 2021, 25,2% en juin 2021, 24% en mars 2021). Dans le même temps, l’Union européenne est considérée comme la principale source de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie par 17% des répondants (contre 18,5% en septembre 2021, 13,8% en juin 2021, 18,5% en mars 2021), tout près de la Chine avec 17,7% (contre 14,3% en septembre 2021, 12,2% en juin 2021, 14,9% en mars 2021).

La Hongrie vient ensuite avec 5,4% (contre 6,9% en septembre 2021, 8% en juin 2021, 9,2% en mars 2021), les États-Unis – 4,9% (7,3% en septembre 2021, 7,9% en juin 2021, 9,2% en mars 2021) et l’Allemagne – 3,8% (2,2% en septembre 2021, 3,5% en juin 2021, 3,3% en mars 2021).

« La perception de la dimension conspirationniste du contrôle mondial est plus forte parmi le segment de la population ayant un niveau d’éducation primaire et de faibles revenus et vivant dans les zones rurales, mais, apparemment paradoxalement, lorsque le sujet de la cause de la pandémie de COVID est abordé, la part de la population qui croit en ce scénario augmente non seulement parmi les personnes vivant dans les zones urbaines et ayant un niveau d’éducation secondaire, mais aussi parmi la population ayant un niveau d’éducation supérieur et des revenus élevés. »

Les pays pauvres seront toujours plus terre à terre. Il faut avoir un niveau de domestication vraiment élevé pour croire que Poutine mange des bébés et que ce sont les antivax qui perpétuent le covid.




Totalitarisme français : les prophéties de Tocqueville et Marx

Par Nicolas Bonnal

Nous affrontons en France et en Europe la pire vague de terrorisme sanitaire, économique et politique de toute notre histoire. Le totalitarisme s’est imposé et va encore progresser avec le code QR plus qu’avec le vaccin et nous allons pouvoir dire adieu à toutes les dernières libertés, y compris comme en Italie celle de bouffer.

La situation est plus grave qu’en 1940. Il y avait défaite militaire. Le nazisme avait gagné une guerre pour imposer son système : ici nous imposons un système que nous avons fabriqué nous-mêmes avec des élites folles et pourries et des populations avilies et abruties (le « citoyen superflu » de Zarathoustra, que Kissinger veut éliminer). Ce n’est pas la même chose et c’est plus grave. Le révérend Schwab et sa meute affairiste vont nous laisser quelques semaines de répit grâce à Omicron et aux routiers (qui à terme seront manipulés et utilisés, s’ils ne le sont déjà), ensuite ils repasseront à l’attaque. Rappelez-vous la tactique nazie : une dose, une pause, comme disait Stefan Zweig rappelé par mes soins. Certaines personnes n’avaient plus le droit de s’asseoir sur un banc. Les autres se sont habituées : mais pourquoi tu sors ?

Malheureusement tout cela vient de loin, l’administration pléthorique, l’État républicain-moderne tout-puissant et sa population dégradée.

Lisons et relisons ces lignes, presque sans rien commenter :

« Il semble que si le despotisme venait à s’établir chez les nations démocratiques de nos jours, il aurait d’autres caractères : il serait plus étendu et plus doux, et il dégraderait les hommes sans les tourmenter. »

Tocqueville dit même :

« Je pense donc que l’espèce d’oppression dont les peuples démocratiques sont menacés ne ressemblera à rien de ce qui l’a précédée dans le monde. »

L’ère des masses (voyez mes textes sur Le Bon et Ortega Y Gasset) arrive déjà, vers 1840 (voyez aussi l’Homme des foules de Poe, texte d’une portée hypnotique) :

« Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde : je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux, qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils remplissent leur âme. »

Au-dessus de cette masse, le Moloch :

« Au-dessus de ceux-là, s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leurs jouissances, et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux.

Il ressemblerait à la puissance paternelle, si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur ; mais il veut en être l’unique agent et le seul arbitre ; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages ; que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ? »

Ces lignes ont été écrites pour Attali : nous ôter la peine de vivre ! Tocqueville n’avait pas évoqué l’alliance des milliardaires avec ce socialisme du super-État totalitaire mondialiste. London la décrira plus tard (voyez mon texte sur le Talon de fer). Tocqueville trouve le mot clé : on nous retire l’usage de nous-même. Et ça donne :

« C’est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. L’égalité a préparé les hommes à toutes ces choses ; elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait. »

Après on multiplie les petites règles compliquées (avec le Covid on a beaucoup progressé et la masse a beaucoup accepté) :

« Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l’avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière ; il en couvre la surface d’un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule ; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige ; il force rarement d’agir, mais il s’oppose sans cesse à ce qu’on agisse ; il ne détruit point, il empêche de naître ; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n’être plus qu’un troupeau d’animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. »

Paul Virilio dont j’ai parlé aussi (au point d’être repris par son éditeur) a dit que nous étions une société de dissuadés. Avec son accumulation (gêne, comprime, éteint, hébète…), Tocqueville décrit le même superbe résultat. Pour une poignée de routiers qui ont garé leurs camions combien de résistants ?

Tocqueville rappelle que tout repose sur l’illusion électorale. Nous croyons être maîtres de notre destin alors que nous ne faisons que nous livrer à un autre tyran (c’est ce que disait Rousseau d’ailleurs) :

« Ils imaginent un pouvoir unique, tutélaire, tout puissant, mais élu par les citoyens. Ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple. Cela leur donne quelque relâche. Ils se consolent d’être en tutelle, en songeant qu’ils ont eux-mêmes choisi leurs tuteurs. Chaque individu souffre qu’on l’attache, parce qu’il voit que ce n’est pas un homme ni une classe, mais le peuple lui-même qui tient le bout de la chaîne. Dans ce système, les citoyens sortent un moment de la dépendance pour indiquer leur maître, et y rentrent. »

Ce qui gêne Tocqueville ?

« La nature du maître m’importe bien moins que l’obéissance. »

De toute manière on perd la faculté de penser, de sentir et d’agir ; et c’est avant la télé, avant le smartphone…

« En vain chargerez-vous ces mêmes citoyens que vous avez rendus si dépendants du pouvoir central de choisir de temps à autre les représentants de ce pouvoir, cet usage si important, mais si court et si rare de leur libre arbitre n’empêchera pas qu’ils ne perdent peu à peu la faculté de penser, de sentir et d’agir par eux-mêmes, et qu’ils ne tombent ainsi graduellement au-dessous du niveau de l’humanité. »

Tocqueville aussi décrit la fin : le chaos, la tyrannie absolue (Macron réélu puis président à vie) ou la révolte (on peut toujours rêver) :

« Les vices des gouvernants et l’imbécillité des gouvernés ne tarderaient pas à en amener la ruine ; et le peuple, fatigué de ses représentants et de lui-même, créerait des institutions plus libres, ou retournerait bientôt s’étendre aux pieds d’un seul maître. »

Quelques années après on a la Révolution de 1848, suivie de la dictature la plus rude de notre histoire (on ne pouvait écrire ni parler ni penser) : c’est le Second Empire dont j’ai parlé ici il y a cinq ans en évoquant la figure du prince-président. Et cette fois c’est Marx qui écrit, et qui ne rate au passage ni la France ni sa prospère administration :

« On se rend compte immédiatement que, dans un pays comme la France, où le pouvoir exécutif dispose d’une armée de fonctionnaires de plus d’un demi-million de personnes et tient, par conséquent, constamment sous sa dépendance la plus absolue une quantité énorme d’intérêts et d’existences, où l’État enserre contrôle, réglemente, surveille et tient en tutelle la société civile, depuis ses manifestations d’existence les plus vastes jusqu’à ses mouvements les plus infimes, de ses modes d’existence les plus généraux jusqu’à la vie privée des individus, où ce corps parasite, grâce à la centralisation la plus extraordinaire, acquiert une omniprésence, une omniscience une plus rapide capacité de mouvement et un ressort, qui n’ont d’analogues que l’état de dépendance absolue, la difformité incohérente du corps social, on comprend donc que, dans un tel pays, l’Assemblée nationale, en perdant le droit de disposer des postes ministériels, perdait également toute influence réelle. »

Classe a priori régnante au sens kantien, la bourgeoisie en France suit Macron comme elle suivit Bonaparte et nos différents militaires. Marx explique pourquoi :

« Mais l’intérêt matériel de la bourgeoisie française est précisément lié de façon très intime au maintien de cette machine gouvernementale vaste et compliquée. C’est là qu’elle case sa population superflue et complète sous forme d’appointements ce qu’elle ne peut encaisser sous forme de profits, d’intérêts, de rentes et d’honoraires. D’autre part, son intérêt politique l’obligeait à aggraver de jour en jour la répression, et, par conséquent, à augmenter les moyens et le personnel du pouvoir gouvernemental, tandis qu’en même temps il lui fallait mener une guerre ininterrompue contre l’opinion publique, mutiler et paralyser jalousement les organes moteurs indépendants de la société, là où elle ne réussissait pas à les amputer complètement. »

Le parlement comme toujours en France ne sert à rien (l’obscène cinquième république l’a avili depuis longtemps) :

« C’est ainsi que la bourgeoisie française était obligée, par sa situation de classe, d’une part, d’anéantir les conditions d’existence de tout pouvoir parlementaire et, par conséquent aussi, du sien même, et, d’autre part, de donner une force irrésistible au pouvoir exécutif qui lui était hostile. »

Avec tous ces bons rappels, je nous garantis peu de chances. Et pour ceux qui voudraient comprendre pourquoi la France et l’Italie sont les pays plus tyranniques du monde, je rappellerai ces lignes de Debord :

« La place prédominante qu’ont tenue la Russie et l’Allemagne dans la formation du spectaculaire concentré, et les États-Unis dans celle du spectaculaire diffus, semble avoir appartenu à la France et à l’Italie au moment de la mise en place du spectaculaire intégré, par le jeu d’une série de facteurs historiques communs : rôle important des parti et syndicat staliniens dans la vie politique et intellectuelle, faible tradition démocratique, longue monopolisation du pouvoir par un seul parti de gouvernement, nécessité d’en finir avec une contestation révolutionnaire apparue par surprise. »

Gare aux putschs à venir, celui de Trudeau, celui de Biden (qui a déjà frappé une fois), ou celui à venir de Macron. Debord encore :

« … Et pourtant Marx est malheureusement resté trop longtemps actuel, qui évoque dans le même livre ce gouvernement “qui ne prend pas la nuit des décisions qu’il veut exécuter dans la journée, mais décide le jour et exécute la nuit”. »

Sources principales :

http://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/18_brumaine_louis_bonaparte/18_brumaine_louis_bonaparte.pdf

https://www.institutcoppet.org/wp-content/uploads/2012/01/De-la-d%C3%A9mocratie-en-Am%C3%A9rique.pdf

http://achard.info/debord/CommentairesSurLaSocieteDuSpectacle.pdf

https://www.dedefensa.org/article/ortega-y-gasset-et-la-montee-eschatologique-de-la-stupidite

http://www.bibebook.com/files/ebook/libre/V2/poe_edgar_allan_-_l_homme_des_foules.pdf

https://www.dedefensa.org/article/karl-marx-et-le-prince-president-macron




La fin des pass

Par Gérard Delépine

« Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire et de nombreux experts s’accordent à le dire »

(Avigdor Lieberman, ministre d’Israël)

Dans le monde réel, les pass se révèlent à l’usage sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux.

Les pass favorisent les contaminations.

Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle !

Israël en est le modèle

Avant les injections Pfizer, le record des cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les vagues ont été de plus en plus fortes. Fin janvier (malgré ou peut-être à cause des injections et des pass) le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000.

L’échec des pass traduit l’échec des injections Pfizer incapables d’éviter les contaminations. La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le “pass vert” sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».

Les injections Pfizer n’empêchant ni les contaminations ni les transmissions réunir des gens en leur faisant croire que les pass les protègent peut favoriser les contaminations.

Constatant cet échec, le ministre des Finances israélien Avigdor Lieberman s’est prononcé pour la fin du pass sanitaire qui sera effective en février 2022.

Grande-Bretagne : sévère échec du pass

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est évident.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

L’Irlande constate l’échec du pass et le supprime également

Le Danemark constate l’échec du pass et l’abandonne

À l’arrivée d’Omicron, le Danemark a imposé le pass qui s’est révélé totalement incapable de ralentir l’épidémie et qui vient logiquement d’être abandonné.

Malte

Malte espérait contenir « épidémie grâce au Pass. L’explosion de l’épidémie malgré le pass a confirmé son inutilité et justifié son abandon »

l’Espagne abandonne le pass inefficace

La Suède a annoncé la fin de son pass vaccinal « éclair ».

Le pays avait mis en place la mesure en décembre, en espérant contrer la vague liée au variant Omicron.

Il n’aura duré que 6 semaines !

La Suisse abolit le pass à partir du 9/2/22

En France aussi les pseudo vaccins et les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron

Comme en Israël et en Grande-Bretagne, nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques et souffert d’autant de contaminations chaque jour !

Tout dirigeant sensé reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ces mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie.

Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits et persistent dans leur autoritarisme religieux hygiéniste médicalement stupide et socialement tragique.

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agit que d’un chantage politique sans intérêt médical.

Actuellement les pays européens adeptes des pass vaccinaux ne sont plus qu’une poignée (France, Allemagne, Autriche, Italie, Lettonie, Grèce) et leurs mesures liberticides médicalement infondées ne pourront pas se prolonger très longtemps maintenant que les peuples comprennent qu’il n’y a pas de surcharge hospitalière réelle.





Liste de sportifs vax décédés, par un groupe d’avocats

[Source : https://t.me/joinchat/oogvX6U4Y903ZWZk]

[Voir aussi :
Matt Le Tissier : « Je n’ai jamais rien vu de tel… C’est incroyable le nombre de sportifs qui s’effondrent »
2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections
Brisons le silence, sauvons nos enfants : la liste effroyable des décès de sportifs depuis le début de la vaccination !
Sportifs de haut niveau, les vaccins covid diminuent vos performances ! MàJ]

Sportifs professionnels et olympiques décédés ou gravement blessés au point d’arrêter ou suspendre leurcarrière après vaccination+amateurs décédés pendant la pratique de leur sport !

Liste évolutive – Les plus récents en haut de la liste, par date de décès ou d’annonce des blessures subies

Vous souhaitez aider ?

1 — Vous trouvez trace dans un article sur le web de : un autre sportif PROFESSIONNEL décédé récemment (et souvent brutalement) ou se plaignant de problèmes de santé l’obligeant à suspendre ou interrompre sa carrière OU un sportif amateur décédé ou subissant des troubles cardiaques et/ou AVC,etc. PENDANT LA PRATIQUE de son sport.

2 — Vous vérifiez dans la liste ci-dessous, avec la date du décès ou d’annonce des blessures, que le sportif n’est pas encore mentionné (svp, n’envoyez pas de listes complètes, la comparaison avec ce que nous avons déjà recensé nous prendrait des heures).

3 — Si le sportif n’y figure pas encore, vous envoyez un message dans le groupe Telegram (https://t.me/joinchat/oogvX6U4Y903ZWZk) avec le nom et le prénom du sportif, et un lien au moins vers un article qui en parle (PAS dans une liste de nom de victimes, il faut réellement un article ou un morceau d’article consacré à l’incident, avec quelques détails [âge, lieu, etc.].

4 — Nous vérifierons ensuite toutes les informations, et si l’info remontée correspond bien à notre recherche, nous l’ajouterons dans la liste. Cette liste est régulièrement transmise à de nombreux avocats qui luttent, afin qu’ils disposent toujours de la plus récente possible.

4 — Ensuite vous surveillez sur le même groupe, la liste sera fréquemment remise à jour pour être à nouveau diffusée, afin que chacun puisse aider.

VOTRE AIDE COMPTE !! Cette liste pourra ensuite servir dans de très nombreuses procédures !

14/11/2021 Joly en pleine course ce dimanche à Nantes C’est durant la première course de la réunion PMH de Nantes, ce dimanche 15 novembre, que le professionnel Pascal Joly (62 ans) est décédé, vraisemblablement des suites d’un arrêt cardiaque, au sulky d’un de ses jeunes pensionnaires Jigove du Greny.
https://www.equidia.fr/articles/actualite/disparition-tragique-de-pascal-joly-en-course-ce-dimanche-a- nantes
14/11/2021 Dombasle-sur-Meurthe : l’ex-championne de France Julie Le Galliard nous a quittés Le monde de la boxe est en deuil. Ce dimanche, l’une de ses figures féminines s’en est allée. Julie Le Galliard avait 31 ans. L’article indique toutefois qu’elle est décédée du covid. Ceci devra être confirmé. https://www.estrepublicain.fr/sport/2021/11/15/dombasle-l-ex-championne-de-france-julie-le-galliard- nous-a-quittes
13/11/2021 En Mayenne. Le joueur Martin Jégu (U18, donc entre 16 et 18 ans) fait « deux arrêts cardiaques » à l’issue du match de foot. Samedi 13 novembre 2021, un jeune joueur de football de Renazé (Mayenne) a été victime de deux très graves malaises cardiaques à l’issue d’un match disputé à Saint-Ouën-des-Toits. Il n’a dû la vie sauve qu’à l’intervention très rapide du public et des secours. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/en-mayenne-le-joueur-fait-deux-arrets-cardiaques-a-l-issue- du-match-de-foot-137cf0bc-457b-11ec-8acd-08271a51a470
12/11/2021 Jean-Yves Artu décède d’un arrêt cardiaque à 61 ans. C’était un type bien, un personnage attachant, franc et droit. Jean-Yves Artu, ancien grand jockey d’Auteuil devenu entraineur à succès, est décédé à Chantilly le vendredi 12 ,novembre des suites d’une crise cardiaque survenue sans aucun signe avant-coureur, à 61 ans. Jean-Yves, qui avait pris tous les risques physiques pendant sa carrière de jockey, est mort d’une crise cardiaque survenue à 17H00.  » Il n’y a eu aucun signe avant-coureur » explique sa femme et associée, l’indispensable Carole Artu, autre grande figure des hippodromes. http://www.france-sire.com/article-grand_destin-30972-jean_yves_artu_decede_d_un_arret_cardiaque_a_61_ans.php https://www.equidia.fr/articles/actualite/disparition-tragique-de-pascal-joly-en-course-ce-dimanche-a-nantes
10/11/2021 Le Norvégien Daniel Aakervik, un des meilleurs juniors du pays, ne peux pas faire d’efforts intensifs depuis plusieurs mois suite à une injection et ce n’est pas le seul… Considéré comme un des meilleurs Norvégiens de son âge en ski de fond et en biathlon, il a vu sa préparation stoppée suite à la première injection. « J’ai tout de suite senti que quelque chose ne marchait plus » indique t’il. « J’ai fait des analyses de sang qui ont montré que beaucoup de mes paramètres n’étaient pas bons, les médecins ont considéré cela comme des effets secondaires du vaccin » poursuit-il. « Depuis je ne peux plus m’entrainer de manière intensive, je peux le faire uniquement de manière tranquille, patienter et attendre que cela se passe mieux. Je pensais débuter ma saison début décembre, ce ne sera pas le cas. »
https://www.ski-nordique.net/encore-un-jeune-sportif-assomme-par-le-vaccin.6421343-72348.html
7/11/2021 Bodybuilder Kali Muscle has massive heart attack after thinking blood clot was heartburn a day after Shawn Rhoden’s death
https://www.the-sun.com/news/4021747/kali-muscle-heart-attack-blood-clot-shawn-rhoden/
6/11/2021 Jens De Smet, un jeune footballeur de 27 ans, est décédé ce samedi en plein match. Le jeune homme jouait dans une équipe au plus bas échelon du foot amateur avec ses amis, pour le plaisir. Ses deux frères ne comprennent pas ce décès aussi douloureux que soudain…
https://planetes360.fr/un-jeune-de-27-ans-decede-en-match-de-foot-amateur-mon-frere-etait-en-forme/
6/11/2021 LEGEND LOST Shawn Rhoden dead at 46 – Mr Olympia champion passes away as pro bodybuilder is mourned by loved ones. MR Olympia champion Shawn Rhoden has reportedly died at the age of 46. The pro bodybuilder suffered a fatal heart attack, according to sources close to Generation Iron.
https://www.the-sun.com/news/4012756/shawn-rhoden-dead-mr-olympia-champion/
5/11/2021 Tous ces sportifs vaccinés qui meurent jeunes ou qui deviennent cardiaques… Voici un petit tour du monde des grands et moins grands sportifs morts ou atteints après s’être fait vacciner sous la pression de leurs fédérations et des gouvernements qui les chapeautent. On se souvient tous de Kylian Mbappé qui se fait shooter pour Macron devant la France entière, et qui foire lamentablement son Euro 2020. Évidemment, les journalistes mainstream et Tristan Mendès diront qu’il n’y a aucun lien. Les liens et l’amalgame existent uniquement quand il s’agit de dénoncer les conspirationnistes ou « l’extrême droite », l’expression méprisante pour « la France ».
https://fr.sott.net/article/38656-Tous-ces-sportifs-vaccines-qui-meurent-jeunes-ou-qui-deviennent- cardiaques
(A propos des amateurs ET des professionnels)
5/11/2021 Un athlète d’élite explique la blessure causée par un vaccin et l’ignorance des médecins. Kyle Warner a 29 ans et était au sommet de sa carrière de coureur de VTT lorsqu’il a reçu, en juin 2021, sa deuxième dose du COVID-19 de Pfizer. Il a souffert d’une réaction si extrême qu’en octobre, il passait encore des journées entières au lit, simplement accablé par un effort psychologique ou physique excessif. Warner a partagé son expérience détaillée avec John Campbell, un infirmier et instructeur à la retraite basé principalement en Angleterre, et s’est rendu à Washington, D.C., au début du mois de novembre 2021 pour faire passer le message que les photos de COVID-19 ne sont pas toujours aussi sûres qu’on l’a laissé croire. Même une personne d’une vingtaine d’années, en pleine forme physique, peut être gravement blessée, c’est pourquoi Warner peut s’exprimer contre les mandats de vaccination.
https://www.tidewaternews.com/uncategorized/elite-athlete-explains-vaccine-injury-and-doctors- ignorance-jpg/
5/11/2021 Caroline Graham Hansen (footballeuse professionnelle norvégienne de 26 ans), sortie en attendant des tests cardiaques
https://www.lelibrepenseur.org/inquietudes-au-barca-deux-cas-darythmie-en-une-semaine/
https://www.lavanguardia.com/deportes/futbol-femenino/20211105/7841651/caroline-graham-hansen- baja-pendiente-pruebas-cardiologicas.html
5/11/2021 Tous ces sportifs vaccinés qui meurent jeunes ou qui deviennent cardiaques… Voici un petit tour du monde des grands et moins grands sportifs morts ou atteints après s’être fait vacciner sous la pression de leurs fédérations et des gouvernements qui les chapeautent. On se souvient tous de Kylian Mbappé qui se fait shooter pour Macron devant la France entière, et qui foire lamentablement son Euro 2020. Évidemment, les journalistes mainstream et Tristan Mendès diront qu’il n’y a aucun lien. Les liens et l’amalgame existent uniquement quand il s’agit de dénoncer les conspirationnistes ou « l’extrême droite », l’expression méprisante pour « la France ».
https://fr.sott.net/article/38656-Tous-ces-sportifs-vaccines-qui-meurent-jeunes-ou-qui-deviennent- cardiaques
2/11/2021 Un match de football de deuxième division norvégienne a été interrompu lundi après que le milieu de terrain islandais Emil Pálsson a été victime d’un arrêt cardiaque pendant le jeu. Le joueur de 28 ans de Sogndal a subi l’attaque alors que le match contre Stjordals-Blink entrait dans la 12e minute, a indiqué son club dans un communiqué. Le match a eu lieu au stade du Campus de Fosshaugane. « Le milieu de terrain Emil Pálsson a fait un arrêt cardiaque à la 12e minute », indique le communiqué. Il a ensuite été réanimé par l’équipe médicale présente sur place et transporté d’urgence à l’hôpital où il est actuellement en convalescence.
https://www.independent.co.uk/sport/football/norway-footballer-emil-palsson-cardiac-arrest- b1949583.html
1/11/2021 Une footballeuse vaccinée meurt deux mois après son frère – tous deux d’un arrêt cardiaque La joueuse de football italienne Vittoria Campo est décédée hier à Palerme, deux mois après son frère Alessandro. La sportive de 23 ans, bien connue dans la ville sicilienne, est décédée d’un arrêt cardiaque le 1er novembre après avoir été transportée d’urgence à l’hôpital. Son frère de 25 ans avait été retrouvé mort le 1er septembre après être allé faire une sieste. Dans un premier temps, on a supposé que sa mort soudaine était due à l’ingestion d’une toxine ou d’une drogue illicite. Finalement, l’autopsie a déterminé que la cause du décès était un arrêt cardiaque. Ses amis ont alors révélé qu’il avait en fait été vacciné quelques jours seulement avant sa mort prématurée. Leur père, accablé de douleur, a confirmé que les deux frères et sœurs avaient reçu les vaccins COVID.
https://www.hollywoodlanews.com/soccer-player-cardiac-arrest-brother/
30/10/2021 Les raisons du décès du basketteur Doudou Faye enfin connues C’est le Stade sportif sfaxien, club dont Doudou Faye portait jusque là les couleurs, qui a donné la triste nouvelle via sa page facebook. Doudou FAYE, basketteur sénégalais, a été rappelé à Dieu le samedi 30 octobre 2021, selon son club qui a annoncé la triste nouvelle sur ses canaux officiels. Une bien triste novelle pour le basket sénégalais. Le défunt athlète est décédé à l’âge de 35 ans. Il a été victime d’un malaise cardiaque, précise-t-on. Suite à cette mauvaise nouvelle, le championnat tunisien de basketball a tenu à rendre hommage à l’un de ses membres éminents.
https://chrono-actu.com/2021/10/31/les-raisons-du-deces-du-basketteur-doudou-faye-enfin-connues/
30/10/2021 Espagne, l’attaquant de 33 ans Kun Agüero du FC Barcelone a dû être remplacé lors d’un match en raison de problèmes cardiaques. Il est maintenant à l’hôpital pour des examens. https://kurier-at.translate.goog/sport/fussball/herzprobleme-barcelona-drei-monate-ohne- agueero/401790371?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui On annonce ensuite qu’il pourrait mettre fin à sa carrière (« Aguero va peut-être devoir prendre sa retraite ! »
https://www.sport.es/es/noticias/barca/aguero-retirarse-12839601
29/10/2021 Allemagne, Selim Levent (48 ans) co-entraîneur du Hertha BSC, meurt subitement et de façon inattendue.
https://www.naphire.hu/felfoghatatlan-tragedia-meghalt-dardai-pal-48-eves-segitoje-covidos-volt/
29/10/2021 Boris Sadecki jouait pour les Capitals de Bratislava, de l’Ice HL, lorsqu’il est tombé au sol lors d’un match contre les Bulldogs de Dornbirn le 29 octobre. Les médecins auraient passé plusieurs minutes à soigner le jeune homme de 24 ans, le réanimant avant de le transporter à l’hôpital, où il avait passé 11 jours avant l’annonce de son décès. Dans un communiqué, l’équipe a demandé qu’aucune autre information ne soit rendue publique sur la mort de Sadecki pour le moment.
https://news-24.fr/profond-chagrin-le-chagrin-alors-que-lancien-but-de-24-ans-du-joueur-de-hockey- vainqueur-de-la-saison-decede-11-jours-apres-setre-effondre-sur-la-glace/
28/10/2021 Un garçon de 12 ans en Pennsylvanie s’effondre et meurt lors d’un entraînement de basket-ball au collège
https://www-pennlive-com.translate.goog/crime/2021/10/pa-boy-12-collapses-dies-at-middle-school- basketball-practice.html?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui
27/10/2021 Moment de silence en mémoire de Jayson Kidd lors du match de football de Chartiers Valley. Kidd est l’élève de 7e année qui s’est effondré et est mort pendant un entraînement de basket-ball en début de semaine. The Medical Examiner says he had a rare condition that restricts blood flow to the heart.
https://pittsburgh.cbslocal.com/2021/10/30/chartiers-valley-moment-of-silence-jayson-kidd/
27/10/2021 Ronald Biglione, un joueur de football du Deportivo Club Independencia est décédé une semaine après avoir été diagnostiqué avec des caillots sanguins. Les médias ont d’abord rapporté qu’il souffrait d’une “maladie rare” au moment de son décès. Il a ensuite été révélé que la cause de sa mort était en fait un PTI (purpura thrombocytopénique thrombotique) résultant de sa deuxième dose de vaccin COVID-19. Le PTI est une maladie du sang dans laquelle des caillots se forment dans les petits vaisseaux sanguins de l’organisme. La thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par les vaccins a été largement rapportée dans la littérature médicale à la suite des campagnes de vaccination contre la nouvelle maladie COVID-19. La nouvelle est tombée au moment où la star argentine du football Sergio Aguero a été diagnostiquée comme souffrant d’arythmie cardiaque – un rythme cardiaque irrégulier – après avoir souffert de problèmes cardiaques lors de ses débuts à domicile avec le FC Barcelone contre Alaves. L’attaquant est absent pour un minimum de 3 mois.
https://www.profession-gendarme.com/ronald-biglione-un-joueur-de-football-du-deportivo-club- independencia-est-decede-une-semaine-apres-avoir-ete-diagnostique-avec-des-caillots-sanguins/
https://www.hollywoodlanews.com/footballer-dead-blood-clots-vaccine/
26/10/2021 La star équestre adolescente Cienna Knowles hospitalisée pour des caillots sanguins après un vaccin Pfizer Une star de l’équitation « en super bonne santé », hospitalisée pour des caillots sanguins, a mis cela sur le compte du vaccin Pfizer. Les autorités n’ont pas confirmé ses dires.
https://www.news.com.au/lifestyle/health/health-problems/teen-equestrian-star-cienna-knowles- hospitalised-with-blood-clots-after-pfizer-vaccine/news-story/286e7cd42e896b091e4b257322296a05
24/10/2021 Michaël Englebert, 37ans, décède à la suite d’un malaise cardiaque après son match avec Ortho. Après le match disputé au matin par son équipe réserve à Mageret, les joueurs ont regagné le vestiaire. C’est là que Michaël Englebert, joueur d’Ortho né en 1984, est tombé, victime d’un malaise cardiaque, environ une heure après la rencontre, au moment de sortir de la douche. L’homme, père de deux enfants, a pu être réanimé grâce à un défibrillateur. Il a ensuite été emmené à l’hôpital de Bastogne, avant d’être transféré à Liège. On apprenait malheureusement son décès ce lundi en soirée.
https://www.lavenir.net/cnt/dmf20211025_01629177/un-joueur-d-ortho-victime-d-un-malaise- cardiaque-apres-son-match
24/10/2021 Un véritable drame s’est déroulé ce dimanche 24 octobre dans le Nord Isère, au cours d’un match de football, comme il y en a tous les dimanches. Lors de la rencontre entre la Bâtie Montgascon et Dolomieu, un homme de 46 ans a fait un malaise cardiaque à la mi-temps, aux alentours de 13h30. Il n’a pas pu être réanimé.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nord-isere-un-gardien-de-decede-d-un-arret- cardiaque-a-la-mi-temps-d-un-match-1635141400
23/10/2021 NEW JERSEY – Un joueur de rugby de 28 ans en bonne santé s’est effondré le samedi 23 octobre pendant un match et a été déclaré cliniquement mort après n’avoir eu aucun battement de cœur pendant 28 minutes. Tevita Bryce a été transporté à l’hôpital sans pouls et une intervention chirurgicale d’urgence a été pratiquée pour retirer un caillot de sang qui s’était déplacé vers son cœur. Il a miraculeusement survécu à cet incident qui s’est produit deux mois seulement après que sa femme a publié sur Facebook qu’ils avaient pris rendez-vous pour se faire vacciner.
https://thecovidworld.com/tevita-bryce-28-year-old-rugby-player-collapses-on-field-2-months-after- facebook-post-from-wife-telling-theyre-getting-vaccinated/
17/10/2021 Un joueur de 41 ans est mort subitement lors d’un match de foot ce dimanche à Avignon.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-joueur-de-foot-decede-sur-le-terrain-a-avignon- 1634490552
17/10/2021 Vers 21 heures ce vendredi soir au Tampon, Christophe Ramassamy, un footballeur de 54 ans, a été victime d’une crise cardiaque mortelle. Les secours n’ont rien pu faire pour le réanimer. Vers 21 heures ce vendredi 15 octobre, un drame s’est produit au Tampon . Alors qu’un match de football se déroulait au Bras de Pontho, un joueur s’est effondré au sol.
https://www.archysport.com/2021/10/death-of-christophe-ramassamy-its-a-great-loss-for-reunion- football/
16/10/2021 Le jeune joueur de cricket de Saurashtra, Avi Barot, est décédé après un arrêt cardiaque. Le joueur, qui a également représenté l’Haryana et le Gujarat au cours de sa carrière, est décédé vendredi alors qu’il était emmené à l’hôpital après s’être senti mal à son domicile à Ahmedabad. Il laisse derrière lui sa mère et sa femme, qui attend le premier enfant du couple.
https://www.thehindu.com/sport/cricket/young-saurashtra-cricket-player-avi-barot-dies-after-suffering- cardiac-arrest/article37015873.ece
15/10/2021 Un homme de 53 ans, originaire d’Eraclea, qui se trouvait à Trévise sur un terrain de football du quartier de la Fiera, dans la Via Zanella, a été pris d’un malaise alors qu’il s’entraînait avec des amis hier, jeudi 14 octobre 2021. Crise cardiaque sur le terrain de football Un arrêt cardiaque, selon les rapports.
https://it.geosnews.com/p/it/veneto/tv/infarto-sul-campo-da-calcio-a-treviso-giocatore-salvato-dai- compagni-di-squadra_35815673
15/10/2021 Une adolescente lutte pour sa vie à l’hôpital après s’être effondrée pendant un match de football à Surfers Paradise cette nuit. Ava Azzopardi a été victime d’un « incident médical grave » après être entrée sur le terrain de l’Apollo Soccer Club de Surfers Paradise vers 18h30 vendredi.
https://sportyjones.com/gold-coast-teen-critical-after-collapsing-during-soccer-game-mygc-com-au/
14/10/2021 Le FCV pleure Andréa Lombard, 21 ans, décédée mercredi des suites d’un AVC. Joueuse de l’équipe Féminine Sénior du FC Villefranche de Lauragais, le club lui rendra un vibrant hommage ce dimanche avant la rencontre de l’équipe fanion face à l’Entente Astarac Bigorre.
https://www.rugbyrama.fr/rugby/amateur/2020-2021/carnet-noir-le-fcv-perd-brutalement-andrea- lombard-joueuse-de-l-equipe-feminine_sto8586270/story.shtml
14/10/2021 Le football brésilien a failli subir une tragédie. Fellipe de Jesus Moreira, jeune de l’Atlético Goianiense, a subi un double arrêt cardiaque qui a failli mettre fin à ses jours d’un coup de crayon. Le club lui-même a communiqué la nouvelle par ses canaux officiels et a félicité les services médicaux pour l’action rapide qui a permis de sauver la vie du garçon de 18 ans. Selon les docteurs Avimar Teodoro et Lucas Ricci , Fellipe a subi le premier arrêt cardiaque au centre de formation et le second a déjà eu lieu aux urgences. Pour le moment, le mineur est intubé dans une unité de soins intensifs à Goiania et reste en danger de mort, comme l’indiquent les médecins.
https://es.besoccer.com/noticia/un-jugador-sufrio-una-doble-parada-cardiaca-1055104
13/10/2021 L’adolescent s’est senti mal après une crise d’asthme. Puis son état a subitement empiré et le garçon a succombé à une crise cardiaque. « C’est un grand choc pour tous. » Ce mercredi, un adolescent du collège Henri IV à Nay, dans le Béarn, est mort après une crise cardiaque consécutive à une crise d’asthme lors d’un cours d’éducation physique et sportive, rapporte le quotidien Sud-Ouest. Pyrénées-Atlantiques: un collégien meurt d’une crise cardiaque en cours de sport
https://www.bfmtv.com/police-justice/pyrenees-atlantiques-un-collegien-d-une-crise-cardiaque-en- cours-de-sport_AN-202110130516.html
13/10/2021 Mexique – Le décès d’un mineur de moins de 16 ans a été signalé, identifié comme étant Héctor Manuel Mendoza. Les médecins du centre médical ont confirmé le décès du mineur à 18h10 après avoir tenté d’appliquer des actions pour le réanimer, la cause du décès était due à une crise cardiaque fulminante.
https://www.el-mexicano.com/estatal/fallece-deportista-de-16-anos-en-unidad-deportiva/2130616
10/10/2021 PIEDIMONTE MATESE – Pompeo Tretola, joueur de Matese qui s’est écroulé à la 22ème minute du match à domicile contre Vastese, valable pour la quatrième journée de la ronde F de la Serie D, a été immédiatement transporté à l’hôpital. Le jeune joueur de Matesino a réussi à appeler à l’aide avant de s’effondrer sur le sol suite à un malaise, perdant ainsi connaissance.
https://casertace.net/guarda-il-video-giocatore-18enne-sviene-improvvisamente-in-campo-soccorso-da-un-avversario/
10/10/2021 Un joueur de foot fait un arrêt cardiaque avant le match Saint-James contre Avranches. Juste avant le début du match Saint-James contre Avranches, un joueur a fait un arrêt cardiaque dimanche 10 octobre. Il a été secouru par un pompier qui joue dans l’équipe adverse.
https://actu.fr/normandie/avranches_50025/un-joueur-de-foot-fait-un-arret-cardiaque-avant-le-match-saint-james-contre-avranches_45566459.html
9/10/2021 Ryan Bowman, star de Shrewsbury, est transporté d’urgence à l’hôpital pour des douleurs thoraciques « inquiétantes » et un cœur battant à environ 250 bpm L’attaquant de SHREWSBURY Ryan Bowman a été transporté à l’hôpital samedi après-midi après avoir quitté le terrain contre Ipswich en se tenant l’estomac et la poitrine. Le joueur de 29 ans a dû quitter le terrain après 35 minutes et a été transporté à l’hôpital d’Ipswich près de Portman Road.
https://www.the-sun.com/sport/premier-league/3825491/shrewsbury-ryan-bowman-rushed-hospital-heart-issue-ipswich/
9/10/2021 Arrêt cardiaque en piste L’athlète de Colverde (17 ans) est toujours sérieux, sauvegardé par le défibrillateur Il a été maintenu en vie par la nervosité des entraîneurs et l’utilisation correcte du défibrillateur au centre sportif de via al Pascolo à Gironico. Le dramatique jeudi soir, qui, dans la dernière partie de la séance d’entraînement de l’équipe d’athlétisme, a vu un jeune de 17 ans de Colverde, un athlète de compétition de la Polisportiva, perdre connaissance à la suite d’un arrêt cardiaque, n’a pas tourné au drame grâce à premiers secours.
https://www.laprovinciadicomo.it/stories/Cronaca/arresto-cardiaco-in-pista-latleta-di-colverde-e-ancora-grave-salvato-dal-defib_1409337_11/
8/10/2021 Quandarius Wilburn, un joueur de football universitaire de 18 ans meurt après s’être effondré pendant un entraînement Un joueur de football universitaire de Virginie est décédé après s’être soudainement effondré pendant un entraînement dimanche. Le Richmond Times-Dispatch rapporte que Quandarius Wilburn, 18 ans, qui jouait au poste de défenseur pour les Panthers de la Virginia Union University, est décédé le 8 août alors qu’il participait à des exercices de conditionnement au Hovey Stadium de l’école.
https://www.msn.com/en-us/news/us/18-year-old-college-football-player-dies-after-collapsing-during-practice/ar-AANa1dQ
8/10/2021 Un joueur de foot meurt en plein match à Massay, dans le Cher Un joueur du SC Massay, près de Vierzon (Cher), est mort en plein match ce vendredi 8 octobre. Cet homme de 49 ans, père de deux garçons, était licencié dans le club depuis plus de 15 ans.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-joueur-de-foot-meurt-en-plein-match-dans-le-cher-1633808920
6/10/2021 Florian Dagoury, recordman du monde d’apnée, diagnostiqué avec une myocardite et une péricardite après sa vaccination Pfizer. Le Français, basé en Thaïlande, a connu une diminution significative de sa capacité à retenir sa respiration et s’est rendu chez un cardiologue qui lui a dit qu’il s’agissait d’un effet secondaire courant du vaccin Pfizer. Un autre cardiologue lui diagnostiquera une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale (Insuffisance mitrale). Voici son témoignage : « Après ma deuxième dose, j’ai remarqué que mon rythme cardiaque était beaucoup plus élevé que la normale et que ma capacité à retenir mon souffle avait considérablement diminué. Pendant le sommeil, je suis à 65-70bpm — battement par minute (BPM) — au lieu de 37-45bpm. Pendant la journée, je suis toujours au-dessus de 100bpm au lieu de 65bpm, même lorsque je m’assois et me détends. Une fois, j’ai même atteint 177bpm alors que je dînais avec des amis ! Dix jours après mon deuxième vaccin, j’ai consulté un cardiologue qui m’a dit que c’était un effet secondaire courant du vaccin Pfizer, qu’il ne fallait pas s’inquiéter et qu’il fallait se reposer. Quarante jours après le deuxième vaccin, je n’avais pas progressé et j’ai donc consulté un autre cardiologue qui m’a diagnostiqué une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale ! Il s’agit essentiellement d’une inflammation des muscles cardiaques causée par le système immunitaire et de petites fuites de sang provenant des valves qui ne se ferment plus correctement. J’ai maintenant du mal à atteindre 8 mn d’apnée, 150 m de plongée et j’ai même une forte envie de respirer en faisant des plongées de 40 m. Une diminution de 30 % de mes performances de plongée en gros. » Florian Dagoury recommande aux plongeurs d’apnée du monde entier d’éviter les vaccins ARNn et de choisir les vaccins « fait à l’ancienne comme Sputnik, Sinovac, Sinopharm ».
https://lemediaen442.fr/florian-dagoury-recordman-du-monde-dapnee-diagnostique-avec-une-myocardite-et-une-pericardite-apres-sa-vaccination-pfizer/
https://www.instagram.com/p/CUrJkJ-FuFd/
3/10/2021 L’ancien meneur de jeu des Atlanta Hawks, Brandon Goodwin, a déclaré avoir développé des caillots sanguins après avoir reçu le vaccin Covid, ce qui lui a fait manquer la fin de la saison 2020-21 de la NBA. Dans un post sur Twitch, Goodwin a déclaré : « Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. À mille pour cent. » Il a également déclaré qu’on lui avait dit « de ne rien dire à ce sujet, de ne le dire à personne ». Goodwin poursuit : « Je suis tombé malade et je ne m’en suis jamais vraiment remis. J’avais toujours mal au dos, j’étais juste super fatigué pendant les matchs. J’avais l’impression que je ne pouvais pas courir sur le terrain. J’avais mal au dos. J’ai vraiment commencé à avoir mal au dos. Alors, je me suis dit : « OK, il faut que j’aille chez le médecin ». C’est là que j’ai découvert que j’avais des caillots sanguins. Tout ça s’est passé en l’espace d’un mois. J’allais bien jusque là. J’allais bien jusqu’à ce que je prenne le vaccin, j’allais bien… Oui, le vaccin a mis fin à ma saison. Mille pour cent. »
https://www.peachtreehoops.com/2021/10/3/22706769/former-atlanta-hawks-guard-brandon-goodwin- claims-covid-19-vaccine-ended-his-season et
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
1/10/2021 Le gardien de but junior et pêcheur amateur Bruno Stein du FC An der Fahner Höhe est décédé à l’âge de 15 ans. Il avait assumé le rôle de son père, décédé lui aussi, auprès de ses frères et sœurs jusqu’à la fin.
https://web.archive.org/web/20211003020525/https://www.thueringer-allgemeine.de/sport/im-himmel-mit-handschuhen-und-angel-fahner-torwart-stein-stirbt-mit-15-id233468250.html
30/9/2021 Le triathlète Antoine Méchin met un terme à sa saison à cause du vaccin Moderna Suite à une première injection Moderna le 28 juin 2021, le triathlète ressent une oppression et un manque de souffle, le 17 juillet lors d’une course trail, toujours cette sensation d’oppression très présente, douleur au bras gauche, nous explique Antoine Méchin sur sa page Facebook. Le lendemain 18 juillet, après un examen à l’hôpital de Saintes, pas d’inquiétude selon le médecin, rien à signaler, le stress et la fatigue sont sûrement les causes des symptômes. Le 16 aout, il fait sa deuxième injection Moderna — pour pouvoir nager en piscine, c’est obligatoire. Le 13 septembre les mêmes symptômes persistent (impression d’oppression, de souffle court, de poids sur le sternum). Rendez-vous à la clinique du sport à Bordeaux le 21 septembre avec le médecin cardiologue qui annule tout de suite les tests d’effort, soupçonnant une embolie. Le médecin et ses collègues lui expliqueront que « depuis quelque temps nous avons un nombre croissant de patients sportifs dans le même cas ! » Le médecin décide de lui donner rendez-vous en urgence pour une scintigraphie pulmonaire. Comprenant l’arnaque vaccinale, Antoine Méchin dira : « Je suis désormais sous traitement et j’espère retrouver mes capacités pulmonaires (dans 3-6-9-12 mois ?) En attendant : repos et basse intensité pendant plusieurs mois ». « Abîmer la santé des personnes en pleine forme pour préserver la santé des plus faibles, un choix d’une logique implacable ».
https://www.wikistrike.com/2021/09/le-triathlete-antoine-mechin-met-un-terme-a-sa-saison-a-cause-du- vaccin-moderna.html
29/9/2021 Mort subite du manager de l’équipe de football : Thalheim entre choc et deuil pour Dietmar Gladow
https://www.mz.de/lokal/bitterfeld/plotzlicher-tod-des-fussball-teamleiters-thalheim-zwischen-schock- und-trauer-um-dietmar-gladow-3253245
28/9/2021 Un adolescent de Philadelphie est mort d’une maladie cardiovasculaire en jouant au football
https://www.dailylocal.com/2021/09/28/chester-county-coroner-philadelphia-teen-died-of- cardiovascular-disease-while-playing-football/
28/9/2021 Tragédie sur un terrain de football lundi soir à Usini, commune de la province de Sassari. Antonello Campus, 53 ans de Sassari et entraîneur des Juniors de l’Usinese, à la fin de l’entraînement du soir s’est subitement effondré sur le gazon synthétique du terrain de sport Peppino Sau : il est décédé d’une crise cardiaque, selon le premier rapport. Le campus a été immédiatement secouru, avec un massage cardiaque et un défibrillateur dans le complexe sportif.
https://www.today.it/citta/antonello-campus.html
27/9/2021 Hann. Münden : Les premiers intervenants sauvent la vie d’un footballeur de 17 ans Les personnes concernées n’oublieront jamais ce jour : Lors d’un match de jeunes à Hann. Münden, un footballeur de 17 ans de l’équipe de la ligue du district JSG Hoher Hagen est tombé et a dû être réanimé. L’entraîneur des adversaires, TG Münden, administre un massage cardiaque.
https://www.goettinger-tageblatt.de/Die-Region/Hann-Muenden/Hann.-Muenden-Ersthelfer-retten-17- jaehrigem-Fussballer-das-Leben
27/9/2021 Arbitre victime d’un arrêt cardiaque : choc pour le football amateur 85 minutes ont été jouées dans le match de classe régionale du Lauber SV contre le SG Buchdorf-Daiting dimanche lorsque l’arbitre s’effondre. Il a subi un arrêt cardiaque et est en danger de mort. Le lendemain, les personnes impliquées étaient sous le choc lorsqu’elles ont raconté l’incident. « Un de nos joueurs se tenait près de l’arbitre », raconte Armin Scheuerer, le responsable de division du SG Buchdorf-Daiting, qui était spectateur sur le parcours. « Au début, il pensait que l’arbitre avait trébuché. Mais ensuite, il a vite vu que c’était grave et a appelé à l’aide. »
https://www.augsburger-allgemeine.de/donauwoerth/Herzstillstand-von-Schiedsrichter-schockt- Amateur-Fussball-in-der-Region-Donauwoerth-id60657326.html
26/9/2021 « C’était une crise cardiaque. » Le père Stefano est précis en tentant de donner une justification scientifique à la situation dramatique qui a frappé sa fille de 20 ans à l’issue d’une course au centre équestre européen centre équestre  » de Masotti , dans le Pistoiese. « Elle venait de terminer l’exhibition – raconte le père de la jeune femme, avec une émotion non dissimulée – et elle remerciait son cheval, comme il arrive toujours à la fin des courses. Au bout de quelques secondes, nous l’avons vue s’effondrer au sol : le cheval à un de l’autre côté et vous de l’autre. Vous pouvez aussi très bien voir sur la vidéo de la course ». Une scène terrible qui s’est déroulée sous les yeux de tous, y compris des parents, mais qui pour cette raison même a permis au médecin de garde présent à la compétition d’intervenir immédiatement pour porter secours.  »
https://www.lanazione.it/firenze/cronaca/amazone-infarto-1.6844981
24/9/2021 Le prodige du cyclisme Greg Luyssen (22 ans) de De Panne à propos de son départ forcé à cause d’un problème cardiaque : « Je ne veux plus jamais ressentir cette horrible sensation ».
https://kw.be/sport/wielrennen/wielerbelofte-greg-luyssen-22-uit-de-panne-over-gedwongen-afscheid- door-hartprobleem-dat-akelig-gevoel-wil-ik-nooit-meer/
24/9/2021 Le joueur de Tennis Jérémy Chardy a annoncé suspendre sa saison en raison de réactions au vaccin contre le Covid-19. Le Français 73e mondial évoque des douleurs quasiment paralysantes. Jérémy Chardy, 73e mondial, a été contraint de suspendre sa saison sans savoir pour combien de temps, en raison d’une réaction au vaccin Pfizer contre le Covid, a-t-il annoncé le 23 septembre à l’AFP. «Depuis que j’ai eu mon vaccin, j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer», a-t-il justifié en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/91011-tennis-francais-jeremy-chardy- suspend-apres-reaction-contre-vaccin-contre-covid
https://francais.rt.com/france/91011-tennis-francais-jeremy-chardy-suspend-apres-reaction-contre- vaccin-contre-covid
21/9/2021 Match de la DFB interrompu ! Une femme de ligne transportée hors du terrain Après une bonne demi-heure de jeu à Chemnitz mardi, Helen Edwards a dû être soignée puis transportée dans les catacombes sur une civière. Elle a montré son cœur à plusieurs reprises avant que le personnel médical de l’équipe allemande ne se précipite vers elle.
https://www.rtl.de/cms/dfb-spiel-unterbrochen-linienrichterin-vom-platz-getragen-4834888.html
21/9/2021 Le triathlète saintais Antoine Méchin met un terme à sa saison et « ne se referait pas vacciner si c’était à refaire » Le triathlète saintais Antoine Méchin a officialisé sa fin de saison via un post Facebook, mardi 21 septembre 2021. Il affirme que son embolie pulmonaire est liée au vaccin Moderna qu’il a pris contre le Covid.
https://www.sudouest.fr/sport/course-pedestre/triathlon/le-triathlete-saintais-antoine-mechin-met-un- terme-a-sa-saison-et-ne-se-referait-pas-vacciner-si-c-etait-a-refaire-6234090.php
20/9/2021 Tragédie lors d’un match de football à Divitz : un entraîneur (50 ans) s’effondre et meurt sur le bord du terrain. Dirk Splisteser, entraîneur et président du SG Traktor de Divitz près de Barth, est victime d’une crise cardiaque pendant le match de son équipe. Les tentatives de réanimation d’une heure ne peuvent le sauver. La femme et le fils doivent assister au drame sur place.
https://www.ostsee-zeitung.de/Nachrichten/MV-aktuell/Tragoedie-bei-Fussballspiel-in-Divitz-bei-Barth- Trainer-bricht-zusammen-und-stirbt-am-Spielfeldrand
19/9/2021 OTTAWA — L’Université d’Ottawa pleure le décès du joueur de football des Gee-Gees Francis Perron, qui est décédé peu après le premier match de la saison des Gee-Gees. Dans une déclaration publiée sur le site Web des Gee-Gees, le président de l’Université d’Ottawa, Jacques Fremont, a déclaré que Perron est décédé peu de temps après le match de samedi entre les Gee-Gees et l’Université de Toronto à Toronto. Perron, 25 ans, était un étudiant en génie mécanique à l’Université d’Ottawa et un joueur de ligne défensive à sa cinquième saison avec l’équipe de football des Gee-Gees.
https://ottawa.ctvnews.ca/university-of-ottawa-student-athlete-francis-perron-dies-shortly-after-gee- gees-football-game-1.5591964
18/9/2021 Opération cardiaque surprenante : le FC Bayern sans Coman pour le moment Le Bayern Munich devra se passer de l’international français Kingsley Coman pour le moment. Selon l’entraîneur Julian Nagelsmann, l’ailier a dû être opéré jeudi en raison d’un « trouble mineur du rythme cardiaque ». Coman devrait rejoindre l’entraînement de l’équipe dans une semaine et demie ou deux semaines.
https://sport.sky.de/fussball/artikel/fc-bayern-news-kingsley-coman-faellt-nach-herz-operation- aus/12410380/34090
17/9/2021 Le FC Nantes vient de publier un communiqué annonçant que l’un de ses jeunes joueurs avait fait un malaise cardiaque à l’entraînement jeudi après-midi. Il a été pris en charge très vite et se trouve désormais à l’hôpital. Les secours sont intervenus très rapidement notamment avec le défibrillateur situé proche du terrain d’entraînement.
https://sport.gentside.com/football/malaise-cardiaque-un-jeune-joueur-du-fc-nantes- hospitalise_art67051.html
15/9/2021 John Stokes, 21 ans, membre de l’équipe de golf de la NCAA Tennessee State University, s’est récemment exprimé sur les médias sociaux pour raconter comment il a souffert d’une myocardite, ou inflammation cardiaque, quatre jours après sa deuxième dose de Pfizer. « Je suis un étudiant-athlète de division 1 sans aucun problème de santé antérieur et j’ai reçu la deuxième injection de COVID mardi, et en quatre jours, on m’a diagnostiqué une myocardite et on m’a dit que je ne pourrai probablement pas jouer ma saison senior maintenant. » Stokes a poursuivi en exprimant son désaccord avec le mandat de vaccination de la NCAA, et a affirmé qu’il y a beaucoup d’autres étudiants athlètes qui ont également contracté des problèmes cardiaques à la suite de la prise du vaccin. « Il n’est pas juste que les gens soient obligés de se faire vacciner parce qu’il y a des effets secondaires réels comme ceux-là qui peuvent vous arriver, et la NCAA ne devrait pas obliger les étudiants athlètes à se faire vacciner à cause de ce qui pourrait arriver aux problèmes de santé de tant d’autres étudiants athlètes, ce qui m’est arrivé », a poursuivi Stokes. « J’ai parlé avec d’autres étudiants-athlètes qui ont dû subir une chirurgie cardiaque ou qui ont eu des problèmes cardiaques à cause de cela et c’est très effrayant. Et beaucoup de personnes de notre groupe d’âge présentent apparemment un risque plus élevé de problèmes cardiaques à cause du vaccin et il faut vraiment en parler », a-t-il ajouté.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
12/9/2021 Dimitri Liénard s’est écroulé sur la pelouse du Groupama Stadium ce dimanche lors du déplacement de Strasbourg à l’OL (3-1). Victime d’un malaise, il a été évacué sur civière, ce qui a naturellement rappelé de mauvais souvenirs aux amateurs de football après le drame dont a été victime Christian Eriksen durant l’Euro 2020. Heureusement, Alexander Dijku a rassuré après la rencontre : « C’était juste un malaise, il nous a rejoints dans le vestiaire après la rencontre », déclare le Strasbourgeois dans des propos relayés par RMC Sport.
https://www.walfoot.be/news/2021-09-13/dimitri-lienard-capitaine-de-strasbourg-sest-effondre-sur-le- terrain
11/9/2021 Le footballeur Wessam Abou Ali, 22 ans, est réveillé mais « choqué » à l’hôpital après s’être effondré sur le terrain lors d’une « expérience horrible ». Le FOOTBALlEURR Wessam Abou Ali est réveillé mais « choqué » à l’hôpital après s’être effondré sur le terrain samedi. Le Danois a été transporté d’urgence à l’hôpital après l’incident déchirant survenu alors qu’il jouait pour le club de deuxième division Vendyssel FF contre Lyngby.
https://www.thesun.co.uk/sport/football/16118079/footballer-wessam-abou-ali-awake-hospital-collapse/
11/9/2021 Le joueur danois de deuxième division Wessam Abou Ali s’effondre sur le terrain – le jeu est abandonné L’attaquant Wessam Abou Ali de la deuxième division Vendsyssel FF s’est effondré lors du match contre Lyngby samedi. Le joueur de 22 ans a été soigné sur le terrain, ses coéquipiers ont formé un cercle autour de lui. Selon l’association, Abou Ali était de nouveau « conscient » lorsqu’il a été transporté à l’hôpital en ambulance. Il est dans un état stable
https://www.spox.com/de/sport/fussball/international/2109/News/daenischer-zweitligaspieler-wessam- abou-ali-kollabiert-auf-dem-platz.html
11/9/2021 Trévise, le directeur sportif meurt à 45 ans après un entraînement Andrea Astolfi était retourné à son domicile. Au cours de la soirée, il avait dit à ses amis qu’il ne se sentait pas bien. Ses parents ont été les premiers à l’aider.
https://corrieredelveneto.corriere.it/treviso/cronaca/21_settembre_11/treviso-dirigente-sportivo-muore- 45-anni-l-allenamento-84b27b18-130c-11ec-8a90-29d83ddfbd2a.shtml
10/9/2021 Décès d’un joueur de foot après un match : ses coéquipiers ont tout tenté pour le sauver. Un habitant de Béard Géovreissiat est décédé d’un arrêt cardiaque vendredi soir dans les vestiaires du stade du village.
https://www.leprogres.fr/culture-loisirs/2021/09/11/deces-d-un-joueur-de-foot-apres-un-match-ses- coequipiers-ont-tout-tente-pour-le-sauver
10/9/2021 Ce serait très amer pour BSG Chemie ! Le flanker Lucas Surek (24 ans) risque d’être absent pendant des mois – on soupçonne une inflammation du muscle cardiaque. Des examens plus détaillés sont à venir. Il serait le cinquième absent après Max Keßler, Alexander Bury, Stephane Mvibudulu et Andy Wendschuch. L’entraîneur Miroslav Jagatic (45) : « Nous devons nous serrer les coudes encore plus maintenant. Et ce, avant le choc de demain (13 heures) chez l’ancien champion de RDA, le BFC, leader incontesté avec son buteur de neuf buts Christian Beck (33). « Il a le dessus là-dessus », sait Jagatic. « Ce sera brutalement difficile. Nous allons essayer de rendre l’impossible possible. »
https://www.bild.de/sport/fussball/fussball/chemie-leipzig-personalsorgen-vorm-bfc-knaller- 77642120.bild.html#remId=1696410702268304075
9/9/2021 Christian Blandini, un joueur de volley-ball de l’Université de Catane décrit comme une « étoile montante », est décédé de façon inexplicable le 9 septembre. Dans un communiqué, l’université a décrit le décès de l’étudiant en génie industriel comme une « mort soudaine ».
https://newsicilia.it/catania/cronaca/fai-buon-viaggio-lacrime-per-christian-blandini-morto-a-soli-20-anni- lunedi-i-funerali/706923
6/9/2021 Le cœur d’un enfant de 13 ans s’arrête pendant qu’il joue au football : Pietro est sauvé par un défibrillateur. Le cœur s’arrête à 13 ans alors qu’il jouait au football : Pietro est sauvé in extremis par un défibrillateur. L’utilisation opportune du défibrillateur du centre sportif municipal et la présence de médecins ont sauvé la vie de Pietro, 13 ans, qui s’est effondré en plein entraînement de football. Un événement soudain et inattendu s’est produit vendredi après-midi dans les installations sportives de Viale dello Sport à Saccolongo (Padoue) et a tenu tout le monde en haleine.
https://www.leggo.it/italia/cronache/malore_campo_calcio_cuore_defibrillatore_padova_5_settembre_2 021-6177403.html
5/9/2021 Le club de West Bridgford Colts est sous le choc. Victime d’un malaise cardiaque lors d’un match disputé quelques jours plus tôt, le footballeur Dylan Rich est décédé à seulement 17 ans ce dimanche 5 septembre.
https://www.voici.fr/news-people/actu-people/mort-de-dylan-rich-a-17-ans-le-footballeur-a-ete-victime- dun-malaise-cardiaque-en-plein-match-711936
4/9/2021 Le footballeur Okafor Kelechi, 21 ans, meurt à l’entraînement. « Nous étions partis à l’entraînement ce jour-là. Il est allé faire une bataille aérienne. En descendant, il a perdu l’équilibre et s’est cogné la tête sur le sol. « Immédiatement, les entraîneurs lui ont administré les premiers soins, essayant de le ranimer. Comme cela n’a donné aucun résultat, ils l’ont emmené d’urgence à l’hôpital. Mais il est mort en chemin.
https://www.vanguardngr.com/2021/09/newly-recruited-footballer-dies-few-hrs-before-he-was-to-leave- nigeria-for-europe-2/
4/9/2021 Hospitalisé en soins intensifs à l’hôpital Papa Giovanni XXIII. Le directeur du centre sportif est en contact avec son père : « Il devrait être hors de danger ». L’état de santé du jeune garçon de 16 ans qui a fait un arrêt cardiaque sur le terrain de football du centre sportif de la Villa d’Almè peu avant 20 heures samedi est stable. Le jeune homme se trouve dans l’unité de soins intensifs de l’hôpital « Papa Giovanni XXIII » de Bergame.
https://www.ecodibergamo.it/stories/premium/Cronaca/malore-in-campo-a-villa-dalme-il- ragazzo-di-16-anni-e-stabile_1406260_11/
4/9/2021 Des scènes dramatiques ont eu lieu le week-end dernier dans la 2. Klasse Triestingtal en Basse-Autriche lors du match entre SC Berndorf et ASV Baden. À la huitième minute du match, un joueur de l’ASV Baden s’est soudainement effondré sur le terrain et a dû être réanimé et stabilisé. Un hélicoptère d’urgence a été demandé car on soupçonnait une insuffisance cardiaque, a décrit le SC Berndorf sur sa page Facebook. En attendant, on dit que le joueur se porte bien dans ces circonstances.
https://www.fanreport.com/at/news/spieler-bricht-bei-unterhaus-partie-zusammen-1360143
4/9/2021 Un jeune joueur de l’ASPTT Caen victime d’une crise cardiaque en plein match.
https://www.archyworldys.com/a-young-player-of-the-asptt-caen-victim-of-a-heart-attack-in-full-match/
4/9/2021 Quelle est la cause de la mort subite de Dave Hyde (29 ans) à l’hôpital ? Nous sommes tristes d’annoncer le décès du joueur de deuxième ligne des Henley Hawks. La cause du décès de Dave Hyde n’est pas révélée officiellement après qu’il ait été transporté d’urgence à l’hôpital après un match de la dernière journée. Le club de rugby de National League 2 South, Henley, a révélé la nouvelle de son décès. Il a été emmené à l’hôpital, après s’être effondré après le match du club d’Oxfordshire contre Old Albanian le samedi 4 septembre 2021.
https://usdaynews.com/celebrities/celebrity-death/dave-hyde-death-cause/
4/9/2021 Jens De Smet, 27 ans, de Maldegem, est décédé samedi dernier après un malaise pendant un match de football. « C’est tellement irréel qu’il soit parti maintenant ». Jens jouait au football pour le FCC Filosoof, une équipe de café qui joue ses matchs à domicile juste de l’autre côté de la frontière néerlandaise, à Eede. « La deuxième mi-temps était en cours et notre adversaire venait de marquer », raconte son coéquipier Benjamin Buysse. « Soudain, Jens s’est assis sur le sol et peu après, il s’est allongé dans l’herbe. Quelques coéquipiers se sont précipités vers lui et on a tout de suite compris que ça n’allait pas. Quelqu’un a commencé le massage cardiaque sur Jens et nous avons immédiatement appelé une ambulance. Lorsque les services d’urgence sont arrivés, ils ont repris le massage cardiaque. Un peu plus tard, ils l’ont emmené à l’hôpital de Bruges. Un jour plus tard, nous avons appris que Jens n’avait pas survécu… »
https://newswep.com/jens-27-collapses-on-the-football-field-and-dies-this-is-not-maldegem/
2/9/2021 MERIDIAN, Miss. (WTOK) – La ville de Philadelphie pleure la perte d’un ancien étudiant-athlète et étudiant de l’East Central Community College, Jalen Leavey, qui est décédé de façon inattendue jeudi soir. L’ECCC a déclaré que Leavey s’est effondré après que le groupe soit rentré sur le campus après un match de football contre l’East Mississippi Community College à Scooba jeudi.
https://www.msn.com/en-us/sports/ncaafb/eccc-band-member-dies-after-football-game/ar-AAO6WK3
2/9/2021 Drame du football : un jeune talent de 17 ans meurt d’un arrêt cardiaque. Il s’est effondré sur le terrain. Dylan Rich avait un grand rêve : devenir footballeur professionnel. Il a tout donné pour son équipe britannique, les West Bridgford Colts – également dans le duel contre Boston United jeudi dernier. Mais le jeune homme de 17 ans s’est effondré sur le terrain. Une crise cardiaque. Sur le chemin de l’hôpital, son cœur aurait subi une nouvelle crise cardiaque. Les médecins urgentistes se sont battus pour sa vie. Quatre jours plus tard, cependant, c’est une triste certitude : le cœur de Dylan a perdu le combat, le jeune joueur de football est mort.
https://www.rtl.de/cms/fussball-drama-nach-doppeltem-herzinfarkt-17-jaehriges-talent-dylan-rich-stirbt- an-herzversagen-4826938.html
2/9/2021 Jeux Paralympiques: Joachim Gérard, victime d’un malaise, hospitalisé d’urgence à Tokyo Joachim Gérard a été hospitalisé d’urgence mercredi à Tokyo à la suite d’un malaise, a communiqué le Comité paralympique belge dans la soirée. Le joueur de tennis, qui a participé aux Jeux Paralympiques, a repris connaissance et « les premiers examens semblent indiquer que le problème serait d’ordre cardiaque » précise le communiqué. Joachim Gérard « a été victime d’un malaise soudain et totalement inattendu », explique-t-on dans le communiqué. « Les services d’urgence sont arrivés rapidement sur place et ont emmené Joachim Gérard à l’hôpital. Ayant repris connaissance, il a pu répondre aux questions qui lui ont été posées. Les premiers examens semblent indiquer que le problème serait d’ordre cardiaque.
https://www.msn.com/fr-be/sport/other/jeux-paralympiques-joachim-g%C3%A9rard-victime-d-un- malaise-hospitalis%C3%A9-d-urgence-%C3%A0-tokyo/ar-AAO0mZl
2/9/2021 Greg Van Avermaet : L’ancien champion olympique sur route abandonne la Coupe du monde de cyclisme en raison des effets secondaires du vaccin. Le cycliste médaillé d’or olympique 2016, Greg Van Avermaet, a jeté l’éponge pour les Championnats du monde de cette année après avoir déclaré que son système immunitaire a été compromis par le vaccin contre le coronavirus qu’il a reçu en juin. « J’ai reçu mes résultats lundi soir et ils ne sont pas vraiment bons. C’est-à-dire que : Les valeurs sanguines ne révèlent rien. Parfait, comme toujours, ce qui est aussi ma grande force. D’autres données prouvent qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans mon système immunitaire. Mon corps se bat contre un adversaire inconnu et c’est probablement le vaccin. Je dors bien, je m’entraîne bien et je me sens bien, mais il me manque 3 % de ma forme optimale. »
https://cyclingtips.com/2021/09/greg-van-avermaet-blames-lack-of-form-on-covid-vaccination/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/
https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
29/8/2021 C-Liga : Un joueur s’effondre, le match se termine à Flammersbach Football C-League Dillenburg : Dans le groupe 1, Weidelbach a célébré sa première victoire, et dans le groupe 2, un joueur de Hirzenhain a perdu connaissance. L’ambulance est arrivée.
https://www.mittelhessen.de/sport/fussball/dillenburg/c-liga-spieler-bricht-zusammen-partie-in- flammersbach-endet_24378553
26/8/2021 Francesca Marcon : Une joueuse de volley-ball de 38 ans développe une péricardite après avoir reçu son deuxième vaccin COVID-19 de Pfizer. La joueuse de volley-ball italienne Francesca Marcon a immédiatement souffert d’essoufflement et de douleurs thoraciques après avoir reçu le vaccin Pfizer. Elle s’est rendue aux urgences le lendemain où les médecins lui ont diagnostiqué une péricardite. La joueuse de volley-ball a partagé sa réaction indésirable sur Instagram : « Peut-être que mon discours est un peu blasphématoire, mais je me demande s’il n’existe pas une forme de compensation pour ceux qui subissent des dommages pour la santé après avoir reçu le vaccin ? Je précise que je ne suis pas anti-vax mais je n’ai jamais été convaincu de faire ce vaccin et j’ai eu la confirmation. Je ne sais pas si cela vous intéresse mais j’ai eu et j’ai toujours une péricardite post- vaccinale. Qui paie le prix de tout cela ? »
https://thecovidblog.com/2021/08/26/francesca-marcon-38-year-old-italian-volleyball-player-develops- pericarditis-after-second-pfizer-mrna-injection-wonders-who-pays-the-price/
et https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
24/8/2021 Match abandonné après un effondrement Un incident dramatique s’est produit lors du match de la Ligue du district d’Augsbourg entre le FC Emersacker et le TSV Pfersee. À la 77e minute, l’assistant de l’arbitre s’interrompt. À la 77e minute, l’assistant de l’arbitre s’effondre sur le banc de touche. Elle a dû être soignée dans une ambulance pendant plus d’une heure jusqu’à ce qu’elle soit apte au transport. Le jeu a ensuite été abandonné. Le football a été relégué au second plan.
https://www.augsburger-allgemeine.de/augsburg-land/sport/Kreisliga-Augsburg-Spielabbruch-nach- Zusammenbruch-id60410841.html
24/8/2021 LUXEMBOURG – Les membres du club du Red Black Pfaffenthal sont sous le choc. Un de leurs joueurs s’est effondré sur le terrain et a dû être réanimé.
http://www.lessentiel.lu/de/sport/sports_in_luxemburg/story/luxemburger-fu-baller-ereilt-eriksen- schicksal-15405892
23/8/2021 La tristesse envahit le programme de football de Fort Scott avec la mort de Tirrell Williams (19 ans) suite à un effondrement sur le terrain.
https://www.chanute.com/sports/article_92dcfab8-0463-11ec-b027-dbb87f1a9d05.html
23/8/2021 Santo Giuliano : un danseur professionnel de 33 ans subit une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le « vaccin » Pfizer COVID-19 DUBAI – Un danseur professionnel italien a été victime d’une crise cardiaque 5 jours après avoir reçu le « vaccin » Pfizer COVID-19. Santo Giuliano, 33 ans, a reçu son injection le 15 juillet. Santo a été hospitalisé le 19 juillet avec une forte fièvre et une « très forte pression dans la poitrine ». Il a fait une crise cardiaque un jour plus tard, où le personnel hospitalier a dû le réanimer à l’aide d’un défibrillateur. Le jeune danseur se trouvait à Dubaï pour un événement lié à son travail, où il lui a été demandé de se faire vacciner pour « plus de sécurité ». Santo a pris la parole sur Instagram pour partager son histoire : « Cinq jours après la première dose », écrit- il, « je me suis retrouvé dans un hôpital avec un arrêt cardiaque ». Une vidéo de son lit d’hôpital accompagne son post Instagram avec une mise à jour à ses followers sur son état de santé actuel :
https://web.archive.org/web/20210919204419/
https://thecovidworld.com/santo-giuliano-33-year-old- professional-dancer-suffers-heart-attack-5-days-after-receiving-the-pfizer-covid-19-vaccine/
https://www.italy24news.com/entertainment/news/40391.html
22/8/2021 Fabrice N’Sakala, défenseur du Besiktas, s’effondre pendant un match de championnat turc
https://gulfnews.com/sport/football/besiktas-defender-fabrice-nsakala-collapses-during-turkish-league- match-1.81739546
22/8/2021 SASSUOLO, ITALIE – Un footballeur professionnel a été diagnostiqué avec une myocardite après sa vaccination au COVID-19. Pedro Obiang, 29 ans, a reçu son vaccin COVID-19 en juillet. Il a été hospitalisé peu après pour des problèmes cardiaques. Il est sorti de l’hôpital après 10 jours, mais ne pourra pas jouer au football pendant au moins 6 mois. Un médecin, qui préfère rester anonyme, a confirmé que le footballeur souffrait d’une myocardite.
https://thecovidworld.com/pedro-obiang-29-year-old-professional-footballer-suffers-myocarditis-after- covid-19-vaccine/
22/8/2021 Ce dimanche, la tragique nouvelle a été confirmée : la marathonienne, Alexaida Guédez, est décédée d’une crise cardiaque alors qu’elle participait à une course de 5 km à Naguanagua. La jeune femme s’est effondrée environ 50 mètres avant d’atteindre la ligne d’arrivée, tout près de l’endroit où son fils l’attendait. Elle a été emmenée dans un centre médical où des spécialistes ont tenté de la réanimer, mais sans résultat positif. L’athlète a un palmarès de médailles dans les jeux nationaux. En l’absence de Yulimar Pineda, elle a été la coureuse d’élite du Venezuela, remportant le semi-marathon de Valence, le Caracas Rock et la course IVOO.
https://www.el-carabobeno.com/alexaida-guedez-muere-de-un-infarto/
21/8/2021 Fabrice N’Sakala, professionnel de Besiktas, s’est effondré pendant le match des Aigles contre Gaziantep (0-0). N’Sakala s’était effondré au milieu de la deuxième mi-temps sans aucun contact avec son adversaire et à une certaine distance du ballon. Le joueur a été transporté en urgence dans un hôpital voisin dès que possible.
https://www.spox.com/de/sport/fussball/international/2108/Artikel/besiktas-profi-fabrice-n-sakala- kollaps-entwarnung-krankenhaus.html
20/8/2021 L’athlète italien Orlando Gallucci retrouvé mort quelques jours après les Championnats du monde européens NPC 2021 Un autre athlète a été retrouvé mort en Espagne. Orlando Gallucci a été retrouvé mort quelques heures après une séance d’entraînement.
https://fitnessvolt.com/orlando-gallucci-found-dead/
17/8/2021 La fille (15 ans) de l’entraîneur de football d’une école secondaire est morte lors d’un entraînement avec son club, selon l’école texane. « Il a été porté à notre attention qu’une jeune femme s’est effondrée hier à l’entraînement de football alors qu’elle s’entraînait avec l’Académie des Toros, et est décédée plus tard », a déclaré RGV FC Toros dans un communiqué, selon MyRGVNews.
https://www.msn.com/en-us/sports/more-sports/high-school-soccer-coach-e2-80-99s-daughter-dies-at- practice-with-her-club-texas-school-says/ar-AANtik8
14/8/2021 Dimitri McKee, star du football des lycées d’Alabama, est mort la nuit dernière à l’âge de 17 ans après s’être évanoui lors d’un entraînement de football.
https://www.nfldraftdiamonds.com/2021/08/dimitri-mckee/
14/8/2021 L’athlète kenyan Gilbert Kwemoi est mort Kwemoi est décédé vendredi dans un hôpital de Mt Elgon, à l’âge de 23 ans. https://www.the-star.co.ke/news/2021-08-14-kenyan-athlete-gilbert-kwemoi-is-dead/
https://diasporamessenger.com/2021/08/kenyan-gold-medalist-in-china-gilbert-kwemoi-collapses-dies/
14/8/2021 Il ne peut toujours pas le comprendre, mais heureusement, il peut raconter son histoire. Jente Van Genechten, 25 ans, s’est soudainement effondré sur le terrain lors d’un match de football avec sa nouvelle équipe, Lanaken. Tout comme l’international danois Christian Eriksen lors du championnat d’Europe, Jente a perdu connaissance après un arrêt cardiaque.
https://www.hbvl.be/cnt/dmf20210817_97727440
12/8/2021 Drake GEIGER, 16 ans, joueur de football lycéen du Nebraska s’est effondré et est mort d’un coup de chaleur alors que son équipe s’entraînait dans la région d’Omaha où l’indice de chaleur a dépassé les 100 degrés (Fahrenheit), ont déclaré des proches et des responsables. Drake Geiger, un jeune attaquant et défenseur de 16 ans de l’Omaha South High School, est mort mardi après avoir été victime d’un malaise 10 minutes après le début de l’entraînement, alors que sa température corporelle atteignait 122 degrés, a déclaré son père au Omaha World-Herald. « Il ne s’en est pas sorti », a déclaré Scott Hoffman. « Ils ont dit que sa température corporelle était extrêmement élevée et qu’ils n’arrivaient pas à la faire baisser. » M. Hoffman a déclaré que son fils mesurait 6 pieds 3 et pesait 389 livres, mais qu’il n’avait pas de problèmes de santé connus et n’avait jamais été hospitalisé auparavant.
https://nypost.com/2021/08/12/nebraska-hs-football-player-dies-during-first-practice-of-season/
10/8/2021 Un jeune père et footballeur meurt d’une crise cardiaque pendant un entraînement. On se souvient d’un jeune père de famille comme d’un homme au cœur d’or, décédé subitement lors d’une séance d’entraînement de football. Lee Moses, 29 ans, a quitté son domicile le 12 août pour s’entraîner avec le Palmerston North Marist Football Club à la Central Energy Trust Arena. Il a souffert de douleurs à la poitrine pendant l’entraînement et est décédé après une crise cardiaque inattendue, laissant derrière lui sa compagne Tori Batley, 26 ans, et deux jeunes enfants.
https://www.stuff.co.nz/manawatu-standard/news/300387209/young-father-and-footballer-dies-of- heart-attack-during-training
10/8/2021 Sassuolo annonce qu’une maladie « de nature virale » contraint son milieu équato-guinéen Pedro Obiang au repos jusqu’à nouvel ordre. En ces temps de pandémie, ce communiqué publié lundi par Sassuolo sème le trouble. Le club italien a annoncé que son milieu de terrain Pedro Obiang ne pouvait pas reprendre le football pour le moment. En cause, « la détection d’une maladie bronchopulmonaire de nature virale » chez l’international équato- guinéen de 29 ans lors de ses derniers tests médicaux.
https://www.football365.fr/maladie-de-nature-virale-prive-pedro-obiang-sassuolo-de-football- 9981742.html
7/8/2021 Un joueur de football de 15 ans de Detroit Catholic Central meurt quelques jours après s’être effondré lors d’une séance de conditionnement. Le Detroit Catholic Central a annoncé le décès du joueur de football Stephen Sylvester, âgé de 15 ans, qui est décédé samedi dernier après s’être effondré lors d’une séance de conditionnement physique organisée le lundi de la semaine dernière.
https://www.mlive.com/highschoolsports/2021/08/15-year-old-football-player-from-detroit-catholic- central-dies-days-after-collapsing-at-conditioning.html
6/8/2021 Ce joueur du VfB Schloß Holte a sauvé la vie de son adversaire. Julian Pietsch du VfB Schloß Holte 2 réanime un joueur du SpVgg. Oelde 2 après qu’il se soit effondré pendant le match sur le terrain de sport. L’urgentiste ne tarit pas d’éloges.
https://www.nw.de/sport/lokalsport/kreis_guetersloh/guetersloh/23065338_Dieser-Spieler-vom-VfB- Schloss-Holte-rettete-seinem-Gegenspieler-das-Leben.html
6/8/2021 Le Franc-Comtois d’origine Christian Dumont est mort subitement à 58 ans d’une crise cardiaque, il était un grand personnage du biathlon français
https://www.estrepublicain.fr/sport/2021/08/06/le-franc-comtois-d-origine-christian-dumont-est-mort- subitement-a-58-ans-il-etait-un-grand-personnage-du-biathlon-francais
3/8/2021 Yusuke Kinoshita : un joueur de baseball professionnel de 27 ans est mort 5 semaines après la vaccination au COVID-19 Le joueur de baseball japonais Yusuke Kinoshita est décédé 5 semaines après sa vaccination au COVID-19. L’homme de 27 ans, qui jouait pour les Chunichi Dragons, s’est effondré pendant un entraînement de rééducation de son épaule droite le 6 juillet et a été transporté d’urgence à l’hôpital où il a été placé sous respirateur. Il est mort sans reprendre conscience le 3 août. Il avait reçu son vaccin huit jours avant de s’effondrer. Le propriétaire des Dragons de Chunichi, Uichiro Oshima, a déclaré peu avant sa mort : « J’ai entendu dire qu’il était tombé malade après sa vaccination. Il est hospitalisé et lutte actuellement pour sa vie. Je ne connais pas la relation de cause à effet entre sa vaccination et son effondrement. » Le lanceur de 27 ans originaire d’Osaka aurait fait des exercices intenses immédiatement après sa vaccination, ce qui pourrait être à l’origine de son effondrement et de son décès.
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
2/8/2021 Rune Coghe, un footballeur s’est effondré pendant un match. Dimanche, à Eltendorf, un joueur s’est effondré pendant un match de football entre Eltendorf et Gerersdorf-Sulz. Le jeune homme de 18 ans a été transporté à l’hôpital par un hélicoptère de secours.
https://burgenland.orf.at/stories/3115210/
31/7/2021 Selon le magazine de handball néerlandais Handballstarpunt, Whitnée Abriska, 19 ans, de l’équipe de première division belge Handball Fémina Visé, est décédée subitement d’une crise cardiaque. Whitnée Abriska, originaire de l’île de la Réunion, était en vacances avec sa famille et devait reprendre l’avion pour la Belgique lundi. Quelques heures avant le vol de retour, son cœur s’est arrêté de manière totalement inattendue, a rapporté le magazine sportif belge Les Sports+. La cause du décès n’est pas encore connue.
https://www.handball-world.news/o.red.r/news-1-2-17-43217.html
31/7/2021 Nos pensées vont à Daniel Brito (23 ans) et à ses proches après que le joueur mineur des Phillies se soit effondré sur le terrain pendant le match de samedi entre les IronPigs de Lehigh Valley (Phillies) et les Red Wings de Rochester (Nationals). Le match a été suspendu, et Brito a été transporté d’urgence dans un hôpital voisin où il a été opéré. Peu d’informations ont été rendues publiques pour le moment, mais les Phillies ont publié une déclaration.
https://thatballsouttahere.com/2021/07/31/phillies-minor-leaguer-daniel-brito-undergoes-emergency- surgery/
27/7/2021 Les responsables de la Southwest High School déclarent que Joshua Ivory, Jr., 15 ans, a été emmené à l’hôpital après avoir eu de graves problèmes médicaux pendant l’entraînement lundi soir. Il est décédé à l’hôpital.
https://deaddeath.com/joshua-ivory-death-obituary-joshua-ivory-has-died/
24/7/2021 L’équipe de football de la Little Rock Central High School a annoncé le décès de son coéquipier senior, Devon DuHart, le samedi 24 juillet. Le jeune homme de 16 ans a été retrouvé mort à l’intérieur de sa maison après avoir fait une crise dans son sommeil, selon sa famille. Il s’était plaint de sa santé après l’entraînement la semaine dernière et avait été emmené à l’hôpital jeudi. Il a été libéré mais a été retrouvé vendredi matin.
https://www.msn.com/en-us/sports/nba/little-rock-central-high-school-mourns-sudden-death-of-senior- football-player/ar-AAMDm4g
24/7/2021 Un footballeur de Bielefeld fait un arrêt cardiaque sur le terrain.
https://www.lz.de/owl/23056948_Bielefelder-Fussballer-erleidet-Herzstillstand-auf-dem-Platz.html
21/7/2021 Kjeld Nuis : un patineur de vitesse de 31 ans, deux fois médaillé d’or olympique et détenteur du record du monde, développe une péricardite après avoir pris du Pfizer. Le patineur de vitesse néerlandais, Kjeld Nuis, a été diagnostiqué avec une péricardite une semaine après sa première vaccination Pfizer. Le double médaillé d’or olympique a publié sur son Instagram qu’il présentait de graves symptômes de grippe et une pression thoracique avant que son médecin et son cardiologue ne diagnostiquent une péricardite enflammée. M. Nuis a d’abord signalé qu’il était très malade, mais il a ensuite posté sur son Instagram qu’il se rétablissait heureusement grâce au diagnostic précoce de son médecin du sport et de son cardiologue. « Il y a exactement 2 semaines aujourd’hui, j’étais à l’hôpital avec un péricarde enflammé. Heureusement, mon médecin du sport était là très tôt et m’a examiné avec le cardiologue. »
https://kanekoa.substack.com/p/world-class-athletes-suffer-vaccine et
https://www.instagram.com/p/CRl0twZIYiu/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/
https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
16/7/2021 Kyle Warner, vététiste professionnel, atteint de péricardite, de tachycardie posturale et d’arthrite après l’injection Pfizer La combativité de Kyle Warner, professionnel vététiste de montagne, n’est plus à démontrer. Le coureur d’enduro professionnel a connu bien des difficultés dans le passé et doit faire face aujourd’hui aux effets secondaires du vaccin Pfizer. Loin de se morfondre, il décide de parler et de témoigner sans relâche, il le fait comme un devoir envers ses semblables. L’homme de 29 ans a révélé sur Instagram comment le vaccin Pfizer a détruit sa carrière après la deuxième dose anti-covid.
https://lemediaen442.fr/kyle-warner-vetetiste-professionnel-atteint-de-pericardite-de-tachycardie- posturale-et-darthrite-apres-linjection-pfizer/
https://www.instagram.com/p/CRZmdZgHvgg/
14/7/2021 Kjeld Nuis très malade après la vaccination :  » Le corps ne coopère pas « . Kjeld a déclaré à RTL Boulevard qu’il était très malade après sa vaccination. Pour cette raison, le début de son entraînement pour la prochaine saison de patinage est très difficile.
https://www.rtlboulevard.nl/entertainment/showbizz/artikel/5241690/kjeld-nuis-ziek-na-vaccinatie
11/7/2021 Le footballeur amateur Marvin Schumann, 17 ans, de Gifhorn a dû être réanimé
https://www.braunschweiger-zeitung.de/region/article232757649/Gifhorner-Amateurfussballer-musste- reanimiert-werden-wie-Eriksen.html
10/7/2021 Le culturiste George Peterson est mort à 37 ans … Trouvé dans une chambre d’hôtel Le bodybuilder George Peterson – alias « Da Bull » – est décédé de façon inattendue cette semaine à seulement 37 ans, quelques jours avant de participer à une compétition de bodybuilding de haut niveau. George Peterson se trouvait à Orlando lorsqu’il est décédé. Il se préparait pour la compétition Olympia, qui débute mercredi.
https://www.tmz.com/2021/10/07/bodybuilder-george-peterson-dead-37-years-old-mr-olympia-arnold- classic/
28/6/2021 Cajetan Chinoyelum Nsofor, élève 13 ans du lycée Legacy meurt pendant une séance d’athlétisme
https://www.ktnv.com/news/legacy-high-school-student-dies-during-athletic-practice
26/6/2021 Une élève de 11 ans est morte ce vendredi dans son école d’Eure-et-Loir après un malaise cardiaque.
https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2021/06/26/une-eleve-de-cm2-meurt-apres-un- malaise-cardiaque-a-l-ecole
13/6/2021 Christian Eriksen, la star du football danois qui s’est effondrée sur le terrain lors d’un match du Championnat d’Europe samedi, a subi un arrêt cardiaque et « était parti » avant d’être réanimé à l’aide d’un défibrillateur, a déclaré le médecin de son équipe. L’état d’Eriksen, 29 ans, un milieu de terrain, était stable et « continue d’être hospitalisé pour des examens complémentaires », a déclaré dimanche l’Union danoise de football dans un communiqué publié sur Twitter. Elle a ajouté qu’Eriksen « envoyait ses salutations à ses coéquipiers ».
https://www.nbcnews.com/news/world/euro-2020-denmark-soccer-player-christian-eriksen-stable-after- collapsing-n1270602
7/6/2021 Fulda (oz/sm) – Le FV Horas, tout le district de tennis de table de Fulda et de nombreux compagnons de toute l’Allemagne pleurent le décès de Michael Schneider, qui est décédé de manière totalement inattendue mardi dernier à l’âge de 38 ans.
https://www.osthessen-zeitung.de/einzelansicht/news/2021/juni/nachruf-tischtennis-kreis-trauert-um- michael-schneider.html
4/6/2021 Giuseppe Perrino est mort : crise cardiaque à 29 ans ! Un footballeur s’effondre sur le terrain et meurt Le choc du décès dans la communauté italienne de Poggiomarino. Lors d’un match de charité pour son frère décédé, l’ancien footballeur professionnel italien Giuseppe Perrino est mort. L’homme de 29 ans s’est soudainement effondré sur le terrain de football.
https://www.news.de/sport/855921508/giuseppe-perrino-ist-tot-todesursache-herzinfarkt-fussballer-mit- 29-jahren-gestorben-bei-benefiz-spiel-fuer-bruder-rocco/1/
26/5/2021 Le lycéen de deuxième année en bonne santé de 6’9″ 17 ans, Everest Romney, a été hospitalisé après avoir souffert de migraines sévères et d’un gonflement du cou après la vaccination. Cet événement indésirable grave a laissé Everest à peine capable de marcher. Dans les 24 heures qui ont suivi le vaccin, Everest a commencé à ressentir une « quantité exorbitante » de douleur et d’enflure au cou qui provenait du même côté que celui où il avait reçu le vaccin. Cherie a emmené son fils chez le pédiatre, qui a diagnostiqué un muscle froissé et lui a mis une minerve. Le médecin a été « plutôt dédaigneux », a déclaré Cherie. « On nous a renvoyés à la maison ». After the headaches went on for days, Everest was taken to an emergency room visit where he was diagnosed with blood clots in his brain.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
23/5/2021 Article général sur la « perte de vitesse » des sportifs pros après vaccination
https://www.rtl.be/sport/football/diables-rouges/les-sportifs-de-haut-niveau-en-perte-de-vitesse-apres- le-vaccin-cela-pourrait-avoir-un-impact-sur-les-diables-rouges-1301170.aspx
17/5/2021 Dans une vidéo TikTok déchirante, un homme a décrit comment un athlète universitaire anonyme de 23 ans fréquentant une école de l’Ivy League, décrit comme un « pilier de sa communauté », est décédé après avoir pris un vaccin imposé par l’université. « Il est maintenant mort parce qu’il était tenu de se faire vacciner », a décrit l’homme.
https://www.newswars.com/healthy-athletes-suddenly-fall-ill-die-after-forced-covid-injection-and-the- medias-silent/
14/5/2021 Haziq Kamaruddin : un archer de 27 ans, deux fois olympique, est mort 10 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer. L’archer malaisien Haziq Kamaruddin est décédé à l’âge de 27 ans le 14 mai après s’être effondré à son domicile quelques jours après avoir reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer. L’archer, qui avait participé à deux Jeux olympiques, a succombé à l’obstruction d’une artère coronaire. Kamaruddin a reçu la première dose du vaccin le 13 avril. Il a reçu la deuxième dose le 4 mai et a posté une photo sur Instagram. Kamaruddin a représenté la Malaisie aux Jeux de Londres en 2012 et de Rio en 2016 et espérait se qualifier pour les Jeux olympiques de Tokyo cet été, la compétition de qualification devant se dérouler à Paris en juin. Il était également membre de l’équipe de recurve de son pays qui a remporté l’argent aux Jeux asiatiques d’Incheon en 2014. https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
https://www.thestar.com.my/sport/archery/2021/05/14/national-archer-haziq-kamaruddin-passes-away- at-age-27
27/4/2021 Craig Jones : le champion du monde de jiu-jitsu brésilien de 29 ans abandonne la compétition après avoir été blessé par un vaccin Craig Jones, ceinture noire de jiu-jitsu brésilien et champion du monde, a annoncé sur Instagram qu’il ne pouvait plus combattre ni s’entraîner après avoir fait une mauvaise réaction au vaccin Covid-19, provoquant une accumulation de liquide dans son estomac. Craig Jones a été le champion du monde Polaris 205 lbs et le champion du monde Polaris 185 lbs en 2018 et 2019. Il a également terminé à la 2e place du championnat du monde ADCC en 2019.  » Je suis sorti les gars. Un des malchanceux qui a fait une réaction indésirable au vaccin Covid. Je ne vais pas vous ennuyer avec tous mes symptômes, mais j’ai fini par porter un tas de liquide autour de mon estomac et je ne peux pas m’entraîner et encore moins faire des compétitions. »
https://www.instagram.com/p/COJafoMlxvn/ et
https://web.archive.org/web/20211110091806/https://thecovidworld.com/world-class-athletes-who- died-or-suffered-severe-injuries-after-covid-19-vaccine/
(la page doit être consultée via ce site d’archive, puisqu’elle a été supprimée à son emplacement initial)
23/4/2021 Luis Ojeda Suárez, footballeur et ancien joueur de l’équipe de jeunes de l’UD Las Palmas, est décédé subitement à l’âge de 20 ans. La nouvelle a choqué le monde du football et l’UD Las Palmas a montré sur son compte Twitter son chagrin et sa consternation face au décès du joueur de 20 ans.  » Consterné par le décès soudain de Luis Ojeda Suárez, canterano qui a fait partie de notre équipe de jeunes pendant deux saisons (2017/18 et 2018/19). L’UD Las Palmas exprime ses plus sincères condoléances à sa famille, ses amis et toute la famille jaune. DEP », a écrit le club des Canaris sur son compte Twitter.
https://www.antena3.com/noticias/deportes/futbol/emotiva-carta-lola-ortiz-muerte-novio-futbolista-luis-ojeda-soporto-idea-volver-ver-verte-nunca-mas_20210426608696616e5d5b0001eb20e9.html
29/3/2021 Un joueur de lycée californien meurt après s’être effondré pendant un match Emmanuel Antwi, un élève de terminale du lycée John F. Kennedy de Sacramento, a été transporté à l’hôpital après être tombé pendant un match vendredi soir.
https://www.nbcnews.com/news/us-news/california-high-school-player-dies-after-collapsing-during- game-n1261706
20/3/2021 La mort du culturiste Andy Haman, à 54 ans, choque ses fans et sa famille Haman serait décédé le samedi 20 mars 2021. La cause de son décès n’a pas encore été communiquée. La communauté du bodybuilding a été laissée stupéfaite par son décès soudain.
https://nypost.com/2021/03/22/bodybuilder-andy-hamans-death-at-54-shocks-fans-family/
17/3/2021 Décès de Miguel Antonio Lugo (17 ans) Miguel Antonio Lugo est décédé tragiquement le lundi soir 1er mars 2021 à l’entraînement de football.
https://deaddeath.com/death/miguel-antonio-lugo-death-obituary-miguel-antonio-lugo-has-died/



Le premier ministre canadien s’est-il réfugié en Allemagne ?

[Source : Radio QFM]

[Transmis par Christine Côte]

[Image : Capture d’écran Radarbox.com]

[Ndlr : après la rumeur de Trudeau réfugié aux USA (pour brouiller les pistes ?) en voici une autre.]

Le Premier ministre canadien a-t-il fui en Allemagne ?

Suite à notre article d’hier, une information récente nous est parvenue ce matin.

De nombreux observateurs du monde de l’aviation suivent les décollages et les atterrissages des avions dans le monde entier.

Ces passionnés sont particulièrement attentifs lorsqu’il s’agit d’appareils exceptionnels.

Plus la machine est rare, plus elle attire l’attention, les avions militaires, les supersoniques, les nouveautés, les jumbos ou surtout les machines gouvernementales sont particulièrement intéressants.

Ainsi, un appareil qui a décollé hier du Canada a suscité une attention particulière. Un avion gouvernemental et militaire qui n’avait pas de décollage prévu et qui s’est dirigé vers l’Allemagne. Un avion des « forces armées » que seuls les membres les plus hauts placés du gouvernement ou les invités de l’État sont autorisés à utiliser.

Cet avion, portant le numéro de vol « CFC3112 », a décollé hier matin de Trenton (Canada) et a atterri à Berlin -(EDDB) Schönefeld après 6,25 heures de vol sans escale.

Ce vol était si spontané et non programmé qu’il a attiré l’attention de nombreux observateurs aériens, qui ont immédiatement entrepris des recherches sur les passagers et le but du vol.

Selon des informations qui n’ont pas encore été confirmées, le Premier ministre canadien Trudeau et son entourage se trouvaient à bord. Le ministère au Canada a confirmé qu’il ne donnerait plus d’informations sur la localisation des chefs de gouvernement.

Au même moment, l’immense convoi des routiers canadiens est arrivé à Ottawa après un long voyage à travers le pays – acclamé par des millions de Canadiens.

La première action du convoi a été de hisser pacifiquement mais fermement son drapeau sur le complexe gouvernemental de Parliament Hill.

Jusqu’à 5.000 camions ont participé au voyage*, le convoi principal aurait parcouru plus de 20 kilomètres, ce qui représente entre 1500 et 2000 camions qui sont arrivés à Ottawa.

[*Selon toutes les autres sources, il s’agit de 50.000 Camions et de 70km de convoi, le plus long que lhumanité ait jamas connu].

Pour les « vérificateurs de faits »* , un camion au Canada peut mesurer jusqu’à 20 mètres de long et les camions sont espacés les uns des autres… et voilà la règle de trois…

Que nous apprend cette information ?

[*Agences payées par les multi-millairdaires pour étouffer la vérité. Le fameux “correctiv par exemple a été fondé eet finacé par Soros. Source: der Spiegel c.c.].

Regardons l’histoire – chaque fois que des dictateurs ont pris la fuite, ils se sont réfugiés dans un « pays sûr ».

De nombreux Africains se sont rendus en Suisse, souvent à Genève, et d’autres en Angleterre ou aux Etats-Unis.

Mais qui se réfugie en Allemagne ?

Ou une meilleure question serait :

« Pourquoi Trudeau et son entourage fuient-ils vers l’Allemagne ? ».

En Allemagne aussi, des millions de personnes descendent dans la rue plusieurs fois par semaine pour protester contre la folie et la perte des droits fondamentaux / de la démocratie.

En Allemagne aussi, il y a plus de 2000 recours contre les élections au Bundestag et au Landtag.

En Allemagne aussi, des centaines de plaintes ont été déposées contre les mesures délirantes et totalement illogiques des différents gouvernements et de plus en plus de médecins et d’avocats, mais aussi de juges et de fonctionnaires, condamnent les violations draconiennes et incompréhensibles des droits fondamentaux des gouvernements et du Parlement.

En Allemagne aussi, on dénonce de plus en plus la corruption absurde de parlementaires et de membres du gouvernement, alors pourquoi l’Allemagne ?

Trudeau et ses conseillers pensent-ils que l’Allemagne est le dernier pays où le narratif Corona tombera ou bien l’Allemagne est-elle le point de départ avec Biontech et ses pseudo-élites et « chroniqueurs de village » achetés au Spiegel, Focus, Stern, etc. et est-ce là que la dernière bataille sera livrée ?

Si c’était le cas, nous sommes prêts et n’abandonnerons que lorsque le dernier criminel aura été condamné et exécuté.

Comme l’a si bien expliqué l’avocat Rainer Füllmich de la commission Corona :

« Il est bien trop tard pour changer de camp » – vous avez fait votre lit – vous devez maintenant y être aussi.

Comme nous l’avons déjà écrit, les informations non confirmées méritent certainement que l’on y réfléchisse.

En complément, nous avons reçu des dizaines de messages au cours de la journée nous informant que des convois similaires étaient en train d’être organisés dans toute l’Europe et qu’ils se rendraient à Bruxelles et dans les capitales.

Ceux qui ont un camion ou qui peuvent en louer un doivent se mettre en réseau avec leurs groupes télégraphiques ou écrire des commentaires sur nos blogs en demandant une mise en réseau. Nous serons heureux de les publier et de les transmettre.

Source : Flightchecker – Radarbox.com 




Comment ma vision de l’Holocauste a été modifiée pendant la COVID

[Source : theepochtimes.com]

Par Roger L. Simon

L’Holocauste a toujours fait partie de ma vie, personnellement et/ou professionnellement, depuis l’âge de 7 ans environ. Je dis « environ » parce que c’était il y a longtemps et j’aurais pu avoir 6 ou 8 ans. C’était au tout début des années 1950, à peine plus d’une demi-décennie après la libération des camps.

À l’époque, j’accompagnais occasionnellement mon père, radiologue, à son cabinet. La plupart du temps, je traînais dans la salle de développement et regardais les radiographies arriver, mais un jour, mon père m’a interrompu et m’a conduit vers l’une des infirmières.

« Mme Mindus, voudriez-vous montrer votre bras à Roger », a-t-il dit — quelque chose comme ça en tout cas — parce que je me souviens distinctement de Mme Mindus, une douce femme d’Europe de l’Est que je pensais âgée (elle avait probablement environ 40 ans), en train de retrousser sa manche.

Pour la première fois, j’ai vu les numéros tatoués par les nazis sur les prisonniers d’Auschwitz.

Même maintenant, je peux les voir dans mon esprit. Ils y sont restés gravés à jamais.

J’ai appris peu de temps après que plusieurs autres infirmières et techniciens du bureau étaient des survivants de l’Holocauste. Mon père s’était efforcé de les employer.

Mais naturellement, quand j’étais petit, je me suis demandé… des camps de concentration ? … des chambres à gaz ? … Comment quelqu’un a-t-il pu faire une chose pareille ?

J’ai donc grandi, même si j’ai essayé de mieux connaître, craignant et détestant les Allemands. En 1968, je me suis retrouvé à Hambourg, en route pour Amsterdam, et j’ai passé une nuit blanche dans un bed and breakfast, fantasmant que j’étais sur le point d’être arrêté comme juif par la Gestapo. Je m’éclipsai à l’aube, anxieux d’arriver le plus vite possible en Hollande, où je fis la première de plusieurs visites à la Maison d’Anne Frank.

Finalement, cependant, cette attitude a changé. Plusieurs livres de ma série policière Moses Wine, dont un se déroulant en Israël, ont été traduits en allemand et y étaient relativement populaires. J’ai rencontré les traducteurs et les éditeurs aux États-Unis et plus tard à Berlin, traînant avec eux et d’autres littérateurs locaux dans leurs cafés. Ils n’étaient pas si mauvais, souvent pleins d’esprit, les genres artistes habituels avec les bizarreries habituelles. Ils étaient comme nous.

Mais, à certains égards, j’étais plus confus. Qui a pu faire une chose pareille ? C’étaient des gens normaux. Leurs parents et grands-parents étaient-ils tellement pires ?

En même temps, j’allais mieux à Hollywood (avant de faire mon coming-out conservateur et de tout tuer). Presque par accident, j’ai écrit deux longs métrages sur le thème de l’Holocauste (était-ce vraiment un accident ?), l’un d’eux, « Enemies, A Love Story », basé sur le roman d’Isaac Singer — un succès critique, nominé aux Oscars. Ironiquement, cela se passait parmi les survivants de l’Holocauste à New York en 1949, presque au même moment où moi, petit garçon, j’ai vu les numéros sur le bras de Mme Mindus.

Naturellement, j’avais beaucoup lu pour ces scénarios et rencontré un certain nombre de survivants, mais j’avais du mal à comprendre comment des nations modernes peuplées d’une population civilisée, souvent hautement éduquée, pouvaient devenir si extraordinairement barbares.

Je comprenais dans les livres et les films, mais pas de manière réelle, pas dans la vie. J’ai supposé que vous deviez être là à ce moment-là pour le faire.

Maintenant c’est le cas.

Je parle, bien sûr, de ce que nous avons vécu dans nos vies pendant la pandémie, si c’est bien de cela qu’il s’agissait. Plus précisément, je l’appellerais, selon les termes de cette entreprise de médias, le temps du virus du PCC.

Ce dont nous avons été témoins à travers le monde, ce sont des millions, voire des milliards, de personnes recevant des ordres sans réfléchir ou, dans la majorité des cas, sans enquêter même sérieusement sur ce qu’on leur a dit.

Dans une enquête personnelle auprès de ceux qui ont accepté les vaccins (si c’est ce qu’ils sont) le plus volontiers et sans douter aucunement, ont porté des masques et ont vécu docilement sous le confinement comme si c’était le seul moyen de survivre, je n’ai rencontré absolument personne qui ait lu les travaux de Robert F. Kennedy Jr., Alex Berenson ou Dr Scott Atlas ou entendu les conférences ou vu les vidéos facilement disponibles par des personnes comme les Drs Robert Malone, Peter McCullough, Harvey Risch ou Vladimir Zelenko, sans oublier bien d’autres, dont l’auguste groupe qui a signé la Déclaration de Great Barrington. Beaucoup ne savent même pas ce que c’est ou même qu’elle existe. Ils n’ont certainement pas lu la déclaration, bien qu’elle ne fasse que quelques pages.

C’est vrai, aucun. Zéro. Même si, dans le cas des livres, les œuvres des trois premiers auteurs sont des best-sellers. Et, oui, ils les ont peut-être vus critiqués sur CNN ou une autre « source scientifique fiable ». Mais c’est à peu près tout. Lire par eux-mêmes ? Pourquoi faire ça quand on leur dit que c’est n’importe quoi ? Cela vous semble familier, « meine Damen und Herren ? »

Nous vivons dans une culture d’obéissance omniprésente, ce qu’on a récemment appelé la psychose de formation de masse, mais vous n’avez pas besoin d’un terme fantaisiste pour le voir. C’est partout, les gens renoncent à leur agence personnelle, même leur capacité à raisonner, par peur et en adhérant volontairement à la masse.

Une génération de conformistes a été créée comme jamais dans notre histoire. Cela ressemble plus à l’Allemagne nazie, ou, d’ailleurs, à la Chine communiste, que nous ne voudrions l’admettre.

Je ne sous-entends pas que ces conformistes de masse accepteraient les camps de concentration, pas à ce stade en tout cas, mais ils ont permis à leurs enfants d’être vaccinés avec un composé dont les résultats éventuels sont à peine, voire pas du tout, compris, et d’envoyer ces mêmes enfants l’école avec des masques (si toutefois ils y vont), incapables même de voir leurs visages, de lire les expressions de l’autre, de se voir sourire.

Cela a été une forme de maltraitance nationale des enfants au-delà de ce qu’on peut imaginer, notre propre progéniture se dirigeant vers l’avenir le plus incertain avec leurs processus de développement normaux déformés au-delà de toute reconnaissance.

Donc, pour répondre à ma propre question, je n’ai plus « de problème pour comprendre comment des nations modernes remplies d’une population civilisée, souvent très éduquée, pourraient devenir si extraordinairement barbares ».

Je l’ai vécu, au jour le jour, loin d’être au niveau de l’Holocauste, bien sûr, mais suffisamment pour le savoir.

J’ai aussi vu comment de bonnes personnes peuvent se défendre. Elles ont réussi pendant la Seconde Guerre mondiale et elles peuvent réussir maintenant. Nous devons juste le faire. En ce moment, les camionneurs canadiens montrent la voie ; il y en a beaucoup d’autres, bien sûr. Nous devons tous participer à notre manière ou nous écouterons une nouvelle version de cet avertissement à glacer le sang que les grands Kander et Ebbs ont écrit pour « Cabaret ».

« Patrie, Patrie, montre-nous le signe
Tes enfants ont attendu de voir
Le matin viendra
Quand le monde est à moi
Demain m’appartient »

Les opinions exprimées dans cet article sont les opinions de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement les opinions de The Epoch Times.




Les origines secrètes de la première guerre mondiale

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Hidden History [Histoire cachée] : les origines secrètes de la première guerre mondiale

Par Anthony C. Black − Le 19 juillet 2017 − Source Unz Review

Présentation du livre Hidden History de Gerry Docherty & Jim Macgregor

Parmi les nombreux mythes qui troublent l’esprit politique contemporain, celui qui pollue le plus la compréhension des faits historiques est la notion selon laquelle les grandes fortunes et les puissants ne fomentent pas de conspiration.

Il se trouve qu’ils le font.

Ils conspirent continuellement, ordinairement, efficacement, diaboliquement, et à une échelle qui dépasse l’imagination. Réfuter l’existence de ces conspirations revient à fermer les yeux à la fois sur des preuves empiriques écrasantes, et à refuser la rationalité la plus élémentaire.

A contrario, pour l’observateur avisé du « Grand Jeu » de la politique, c’est une source d’émerveillement sans fin que de trébucher chaque fois sur des exemples plus incroyables les uns que les autres des machinations monstrueuses dont les fortunés et les élites puissantes sont capables. Et de fait, c’est bien sur ce registre que les auteurs Docherty et Macgregor entrent dans la mêlée et menacent de nous couper tout à fait le souffle.

Ainsi, nous disent-ils, l’histoire officielle et canonisée de la première guerre mondiale est un vaste mensonge absolu du début à la fin. La thèse soutenue par les auteurs s’inscrit à fond sur ce registre conspirationniste, qui énonce que — et pour paraphraser un mot prononcé plus tard par un Churchill qui s’activa au premier-plan de ce récit — on n’a jamais assassiné plus de gens aussi inutilement, pour satisfaire à l’ambition et aux bénéfices de quelques-uns.

En démolissant les nombreux schibboleths qui entourent les origines de la « Grande Guerre » (parmi lesquels « la responsabilité allemande »« les efforts de paix britanniques »« la neutralité belge » et « l’inéluctabilité de la guerre »), Docherty et Macgregor pointent du doigt ce qu’ils considèrent comme la véritable source du conflit : une cabale plus ou moins secrète fomentée par des impérialistes britanniques, dont l’ensemble de l’existence politique, durant une quinzaine d’années, fut consacrée à façonner une guerre européenne visant à détruire le concurrent émergeant à l’Empire britannique, en cours d’émergence sur les sphères commerciale, industrielle et militaire, à savoir l’Allemagne.

En résumé, loin de « marcher tels un somnambule vers une tragédie globale », Docherty et Macgregor soutiennent qu’il « fut piégé par une embuscade posée par une cabale secrète ourdie par les fomenteurs de guerre », et que son origine n’était pas à Berlin, mais bien « au cœur de Londres ».

Je dois bien avouer à ce stade que j’entretiens une tendance à accorder du crédit à une thèse aussi frappante, ne serait-ce que par principe. Après tout, qui considère sans s’illusionner la réalité politique de notre temps distingue bel et bien la gueule du cauchemar décrit par Orwell. Qui plus est, trois décennies de journalisme indépendant m’ont amené à conclure non seulement que presque rien de ce qui est présenté comme « les informations » n’est vrai de près ou de loin, mais que le récit et la présentation conventionnels de l’histoire sont une imposture s’apparentant à un billet de banque d’une valeur de trois dollars. Mais pour autant, il convient d’exiger un ou deux arguments crédibles soutenant cette thèse. Considérons quelques arguments présentés dans le livre « Hidden History ».

Les Joueurs

Avant de se lancer au petit bonheur dans le labyrinthe argumentaire, il convient que nous commencions par présenter les personnages principaux de cette sinistre histoire.

Cecil Rhodes (Source: Wikipedia)

Au commencement était Cecil Rhodes, premier ministre de Cape Colony, mais qui, nous rappellent les auteurs, était « en réalité un opportuniste dont l’activité consistait à s’accaparer des terres », dont la fortune avait été constituée à parts égales « par une élimination brutale des indigènes et les intérêts d’extraction minière, au niveau mondial, de la maison Rothschild ». Rhodes avait, semble-t-il, depuis longtemps à l’esprit le projet d’établir une « société semblable aux Jésuites » pour contribuer aux ambitions globales de l’Empire britannique. Au mois de février 1891, il sollicita les services de ses proches associés, William Stead, un journaliste de premier-plan, et Lord Esher, un proche conseiller de la Monarchie britannique.

Deux autres personnages furent bientôt acceptés au cercle restreint constituant le groupe clandestin : Lord Nathaniel (Natty) Rothschild, membre de la célèbre dynastie bancaire britannique et européenne, ainsi qu’Alfred Milner, un universitaire brillant et administrateur colonial qui allait rapidement devenir le génie organisateur et le maître déterminé des cérémonies tenues par le groupe.

Ces quatre figures centrales allaient par la suite s’adjoindre : Lord Northcliffe, propriétaire du journal « The Times », qui allait compléter l’effort de Stead dans la tâche de propagande et de travail sur l’esprit du public britannique vers la guerre contre l’Allemagne ; Arthur Balfour et Herbert Asquith, deux futurs premiers ministres britanniques qui allaient apporter l’influence parlementaire nécessaire ; les lords Salisbury et Rosebery, qui allaient amener un nouveau cercle de connexions politiques à la table ; et Lord Edward Grey, ministre des affaires étrangères en 1914, qui allait enfoncer le dernier clou dans le cercueil de la paix européenne.

Personnage particulièrement important à avoir rejoint le groupe, le prince Edward (qui allait bientôt devenir le Roi Edward VII), qui malgré son image de coureur de jupons, était bel et bien un politicien sagace dont les fréquentes incursions sociales à l’international allaient apporter la couverture parfaite pour aider à façonner les alliances militaires et politiques, souvent secrètes, entre la Russie, la France, la Grande-Bretagne et la Belgique.

Cette garde prétorienne centrale étendit ensuite ses tentacules dans toutes les branches de la hiérarchie britannique (et, sur la fin, internationale) du pouvoir, en recrutant avec vigueur son « Association de Contributeurs », la myriade de bureaucrates de plus bas niveau, officiers militaires, universitaires, journalistes et hauts fonctionnaires, dont il s’avère que nombre sortaient des Colleges de Balliol et All Souls, à Oxford.

Et avec eux, le légendaire Churchill, généreusement gonflé de sa propre grandiloquence, et bien huilé avec l’argent des Rothschild, allait monter pour prendre sa sainte position parmi les élus secrets avides de guerre.

Premières aventures

La première percée menée par cette cabale d’élites se produisit en Afrique du Sud, avec la fomentation délibérée de la (seconde) guerre des Boers (1899 – 1902). En 1886, on avait trouvé de l’or dans la région du Transvaal, et les impérialistes britanniques étaient déterminés à mettre la main dessus. Après une suite de machinations ratées menées par Rhodes en personne pour faire tomber les Boers, l’élite secrète reçut un as dans son jeu lorsque Alfred Milner fut nommé haut-commissaire à l’Afrique du Sud. Saisissant l’occasion, Milner entra en guerre sans autre forme de procès, avec sa tristement célèbre politique de la terre brûlée, et ses exigences catégoriques de reddition sans condition, et fit montre d’une philosophie martiale générale qui serait par la suite déployée contre l’Allemagne.

Une carte de l’Empire britannique tel qu’il était en 1898, avant la seconde guerre des boers (1899-1902).
(Source: Wikimedia Commons)

Suite à la défaite des Boers, Milner & Co (Rhodes était mort durant les « négociations de paix ») pénétrèrent rapidement les principaux organes de la gouvernance impériale britannique, y compris les services des relations étrangères, coloniales, et le ministère de la guerre. Arthur Balfour alla encore plus loin en établissant, en 1902, le Committee for Imperial Defence (CID). Ce dernier s’avéra particulièrement utile pour aider à contourner presque entièrement le Cabinet britannique au fil des années, mois et jours amenant à août 1914. Balfour allait bel et bien s’avérer constituer l’un des deux seuls membres permanentes de cette institution impériale de prime importance ; l’autre fut Lord Frederick Roberts, commandant-en-chef des forces armées, et ami proche de Milner. Ce fut Roberts qui nomma par la suite deux parasites tragiquement incompétents, Sir John French et Douglas Haig, à leurs postes de supervision du meurtre de masse de centaines de milliers de soldats alliés.

L’année 1902 vit également l’établissement du traité anglo-japonais. La Grande-Bretagne entretenait de longue date des craintes pour son empire d’Extrême-Orient, à cause de la Russie, et voulait renforcer le Japon comme contre-pouvoir. L’alliance fructifia avec le conflit russo-japonais de 1904-1905, qui infligea une défaite décisive à la Russie. Gardant toujours leur objectif à long terme en tête, c’est-à-dire la guerre contre l’Allemagne, Milner et ses comparses changèrent adroitement d’appât, et se mirent immédiatement à courtiser le Tsar Nicolas II, débouchant sur la convention anglo-russe de 1907. Au cours de la même période (en 1904), la Grande-Bretagne, avec l’assistance incontournable d’Edward VII — rompit son inimitié de presque mille ans avec la France, et signa l’Entente Cordiale avec son ancienne rivale.

Dans le même temps (en 1905), un accord plus ou moins secret fut conclu avec le Roi Leopold II, autorisant la Belgique à annexer l’État libre du Congo. Il s’agissait pour ainsi dire d’une alliance entre la Grande-Bretagne et la Belgique ; une alliance qui, au cours de la décennie à suivre, allait se trouver continûment approfondie par de nombreux accords militaires bilatéraux (pour la plupart secrets, c’est-à-dire inconnus du Parlement britannique) et « mémorandums d’entente », choses qui supprimaient toute notion de « neutralité » quant au positionnement de la Belgique dans le conflit à venir contre l’Allemagne.

Le cœur de l’alliance était désormais prêt, à savoir la Grande-Bretagne, la France et la Belgique, et tout ce qui restait à faire était de garantir la fidélité et l’obéissance des colonies britanniques. Pour y contribuer, Milner convoqua la Conférence de Presse Impériale de 1909, qui assembla quelque 60 propriétaires de journaux, journalistes et auteurs en provenance de tout l’Empire, fréquentant quelque 600 journalistes, hommes politiques et figures militaires britanniques, dans une vaste orgie de propagande de guerre. Le message martial fut alors durement délivré aux multitudes d’habitants des colonies, qui n’avaient rien demandé. On put mesurer la réussite de la Conférence particulièrement au Canada, où malgré l’extrême discorde sur ce sujet, la nation allait finir par envoyer plus de 640 000 soldats sur les champs de la mort européens, pour le compte d’une petite poignée d’impérialistes britanniques.

La « Crise » marocaine

Docherty et Macgregor nous rappellent que l’historienne renommée Barbara Tuchman, dans son ouvrage lauréat du prix Pulitzer, « The Guns of August »« a très clairement indiqué que la Grande-Bretagne était déterminée à la guerre dès 1911 au plus tard. » De fait, les préparations de guerre avaient été bon train dès 1906.

Mais 1911 marqua un tournant lorsque l’élite secrète se permit pour la première fois d’essayer de démarrer une guerre contre l’Allemagne. Le prétexte en fut le Maroc. À dire vrai, la Grande-Bretagne ne disposait d’aucun intérêt colonial direct au Maroc, mais c’était bien le cas pour la France et l’Allemagne. À ce moment-là, la cabale de Londres — avec Edward Grey au poste de ministre des affaires étrangères — avait intronisé un ministre français, Théophile Declasse, dans son cercle de confiance, et fut en mesure de fabriquer ce qui fut fondamentalement une opération sous faux drapeau à Fez. La France fit suivre l’incident en envoyant une armée d’occupation sur place. L’Allemagne dépêcha une réponse minimaliste en envoyant une petite canonnière à Agadir, ce qui permit à l’ensemble de la presse britannique — reflétant les intérêts de l’« État profond » britannique — d’entrer dans un état d’hystérie condamnant les « menaces allemandes pour les voies maritimes britanniques », etc. La mèche allumant la guerre ne fut finalement éteinte qu’en toute dernière minute, lorsque le premier ministre français (tout juste élu) Joseph Caillaux initia des pourparlers de paix avec le Kaiser. La guerre contre l’Allemagne allait devoir attendre.

Dans l’intervalle, la Grande-Bretagne, sous la direction de ses mandarins secrets — c’est-à-dire presque totalement sans examen ni approbation parlementaire — poursuivit ses préparatifs de guerre. À cette fin, par exemple, Churchill, qui avait en 1911 été nommé Premier Lord de l’Amirauté, redéploya la flotte britannique de l’Atlantique de Gibraltar à la Mer du Nord, et la flotte de la Méditerranée à Gibraltar. Dans le même temps, la flotte française fut retirée de l’Atlantique pour pallier à l’absence britannique en Méditerranée. Ces manœuvres étaient toutes stratégiquement dirigées contre la marine allemande de la Mer du Nord. On était en train de placer les pièces sur l’échiquier global.

En France, Caillaux, homme de gauche et non-violent, fut remplacé en 1913 au poste de premier ministre par l’un des « contributeurs » tout acquis aux élites britanniques, en la personne de Raymond Poincaré, un germanophobe enragé de droite. Poincaré rappela rapidement son ambassadeur anti-guerre déployé en Russie, George Louis, et le remplaça par le revanchard Declasse. Dans le même temps, aux États-Unis, la cabale secrète, agissant en grande partie au travers de la Pilgrim Society et au travers des Maisons de Morgan et de Rockefeller, machina pour faire élire un démocrate inconnu mais malléable, Woodrow Wilson, en préférence au partisan d’un contrôle public des banques centrales, le président Taft. Ce fut depuis ce noble perchoir que l’« État profond » anglo-étasunien lança l’US Federal Reserve System, une banque centrale privée dédiée dès le départ à financer la guerre contre l’Allemagne.

Le coup monté des Balkans

Le récit simple que l’on répète à satiété au sujet des circonstances autour de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914, nous indiquent Docherty et Macgregor, contient aussi peu de vérité que la version officielle de l’assassinat de JFK deux générations plus tard. De fait, les ressemblances structurelles entre les deux événements — du retrait quasiment total de l’appareil de sécurité aux éléments indiquant clairement la complicité de l’État (dans cette instance, au départ de Serbie, mais menant droit à Londres) — sont remarquables. Il suffit d’affirmer qu’il se produisit une chaîne d’événements en cascade — les événements ne furent pas pilotés par les instincts humains de base ainsi que par des forces inéluctables dépassant tout contrôle humain, comme on le profère souvent, mais par des esprits calculateurs et un dessein conspirationniste.

Ainsi, juste après l’assassinat, l’Autriche-Hongrie fut l’objet d’un vaste soutien sur la scène internationale, ce pays était largement perçu comme la partie lésée. Néanmoins, les suspects habituels, ayant contribué à organiser le meurtre en premier chef, furent en mesure d’orienter adroitement la propagande contre l’Autriche ainsi que l’Allemagne, au moyen d’une ruse ingénieuse. Ayant secrètement obtenu le contenu de la « Note », qui contenait les exigences autrichiennes (raisonnables au vu des circonstances) pour la contrition serbe, la cabale secrète fut en mesure d’accéder directement à la rédaction de la « réponse serbe ». La « réponse » fut bien entendu conçue pour être inacceptable du point de vue de l’Autriche. Dans le même temps, le président français, Poincaré, fila à Moscou pour assurer au Tsar et à ses généraux que, si l’Allemagne devait agir pour honorer les responsabilités de son alliance avec l’Autriche, la France soutiendrait la Russie dans le déclenchement d’une guerre européenne à grande échelle. La France savait naturellement que l’Angleterre — ou plutôt sa clique de l’élite impériale — était tout aussi déterminée à la guerre. Ce fut en réalité durant ce moment d’opportunité, que Grey et Churchill se mirent d’accord pour acheter l’Oil Company anglo-perse, pour garantir les approvisionnements en pétrole de la marine britannique.

Durant tout ce temps, il resta visible que le Kaiser Guillaume et le chancelier Bethmann étaient les seuls dirigeants à véritablement poursuivre un objectif de paix. Leur diabolisation, par la suite, par les hordes d’historiens malpropres sonne des mêmes accents orwelliens que la diabolisation contemporaine des nations et des individus qui résistent à l’Imperium étasunien.

Grey déclenche les opérations

Étant parvenus à attiser les flammes d’un incendie local aux Balkans pour en faire un enfer général européen, Grey, ministre britannique des affaires étrangères, et Asquith, premier ministre, déployèrent ensuite tous les coups les plus bas sur la scène diplomatique pour gâcher toute possibilité de paix, et garantir la survenue de la guerre.

Par exemple, le 9 juillet, l’ambassadeur allemand en poste à Londres, le prince Lichnowsky, reçut plusieurs fois l’assurance de la part de Grey que la Grande-Bretagne n’était engagée dans aucune négociation secrète pouvant faire survenir la guerre. Il s’agissait évidemment d’un mensonge patent. Le 10 juillet, Grey trompa le Parlement et l’amena à croire que la Grande-Bretagne n’était pas le moins du monde préoccupée par l’idée que les événements de Sarajevo pourraient déboucher sur une guerre à l’échelle du continent. Dans le même temps, Berchold, le premier ministre autrichien, fut trompé de même par les trois gouvernements de l’Entente, lui affirmant que leur réaction à la « Note » ne dépasserait pas le seuil des protestations diplomatiques. Cependant, lors de la troisième semaine du mois de juillet, chacun de ces mêmes gouvernements fit volte-face, et affirma un rejet total de la réponse de l’Autriche.

Le 20 juillet, comme nous l’avons déjà noté, Poincaré, le président français, se rendit à St. Petersbourg pour réaffirmer les accords martiaux respectifs des deux nations. Le 25 juillet, Lichnowsky se présenta sans s’être annoncé au Foreign office britannique, muni d’un plaidoyer désespéré produit par le gouvernement allemand, implorant Grey d’user de son influence pour mettre fin à la mobilisation russe. Chose incroyable, nul ne fut disponible pour le recevoir. La Russie avait de toutes façons déjà entamé, en secret le 23 juillet, sa mobilisation, et le 26 juillet, Churchill mobilisa sans bruit la flotte britannique à Spithead.

Aucun de ces événements, bien entendu ne fut soumis à un quelconque contrôle démocratique. Comme Docherty ey Macgregor, l’énoncent,

Pour autant que le grand public [britannique] fût concerné, rien de fâcheux n’était en cours. On vivait simplement un week-end estival.

Le 28 juillet, l’Autriche, bien qu’elle ne fût pas en position de pratiquer une invasion avant une quinzaine de jours, déclara la guerre à la Serbie. Dans le même temps, le Foreign office britannique se mit à faire circuler des rumeurs selon lesquelles les préparations allemandes pour la guerre étaient plus avancées que celles de la France et de la Russie, alors que c’était l’exact opposé qui se produisait. Les événements dépassèrent rapidement le contrôle de Guillaume.

Le 29, Lichnowsky supplia de nouveau Grey d’empêcher une mobilisation russe aux frontières de l’Allemagne. La réponse de Grey fut de rédiger quatre dépêches à destination de Berlin, dont l’analyse, une fois la guerre terminée, a prouvé qu’elles ne furent en réalité jamais envoyées. Ces dépêches se sont avérées relever purement de la charade totalement inventée pour faire passer la Grande-Bretagne (et spécifiquement Grey) comme faisant tout son possible pour éviter la guerre. Dans la soirée du 29, Grey, Asquith, Churchill et Richard Haldane s’assemblèrent pour discuter ce qu’Asquith appela la « guerre en approche ». Docherty & Macgregor insistent ici encore sur le fait que ces quatre hommes étaient en pratique les seules personnes de Grande-Bretagne qui étaient dans le secret de la calamité qui approchait, c’est-à-dire à l’exclusion de tout autre membre du cabinet, des membres du Parlement, et absolument des citoyens britanniques. C’étaient eux qui en furent les architectes.

Le 30, le Kaiser envoya un câble au Tsar Nicolas, contenant un appel du cœur pour négocier la prévention des hostilités. De fait, Nicolas fut tellement remué par le plaidoyer de Guillaume qu’il décida d’envoyer à Berlin son émissaire personnel, le général Tatishchev, pour négocier une paix. Malheureusement, Tatishchev ne parvint jamais à Berlin, car il se fit arrêter et emprisonner cette même nuit par Sazonov, le ministre russe des affaires étrangères, que l’ouvrage « Hidden History » désigne de façon convaincante comme un atout dans la manche de la cabale secrète de Londres. Sous la pression soutenue des hauts-membres de son armée, Nicolas finit par céder, et dans l’après-midi du 30, il ordonna la mobilisation générale.

L’annonce officielle de la mobilisation russe ferma dans les faits toutes les portes à la paix. Les Allemands, comprenant qu’ils avaient été piégés, et réalisant également qu’ils allaient subir des attaques sur deux fronts — depuis l’Ouest par la France, et depuis l’Est par la Russie — finirent par ordonner le 1er août leur propre mobilisation ; de manière éloquente, la dernière puissance continentale à prendre cette décision. L’Allemagne, à ce stade, commit une grave erreur tactique : elle décida de faire suivre sa mobilisation par une déclaration de guerre formelle, tenue par l’honneur, contre la France. Ce faisant, elle tomba encore plus profondément dans le piège tendu par Grey & Co, qui avaient du début à la fin fomenté une machination pour faire tout ce qui était possible pour assurer la guerre, sans pour autant apparaître comme ayant officiellement déclenché la guerre.

Grey disposait encore d’une carte à jouer pour amener à la fois un Cabinet et une Chambre des Communes, rétifs à la guerre, à abandonner leur sens commun et à plonger derechef dans une guerre pan-européenne à grande échelle. De la même manière que le mythe des « armes de destruction massive » allaient, dans une ère ultérieure, servir à promouvoir l’agression impériale étasunienne, ce fut alors le mythe de la pauvre petite « Belgique neutre » exsangue qui porta la bannière de l’impérialisme britannique.

Le discours qui a scellé le sort de millions de gens

Le 2 août 1914, le premier ministre Asquith convoqua une réunion spéciale du Cabinet afin de discuter de la crise (fabriquée). Bien que le Cabinet ne fût pas d’humeur à approuver l’engagement britannique dans une guerre européenne, il se retrouva mis sous pression, et pris de cours par des révélations d’un « réseau d’obligations [militaires et politiques], dont il avait été assuré qu’il ne s’agissait pas d’obligations, [et] qui avaient été entortillées autour d’eux durant leur sommeil. » Qui plus est, Grey s’abstint bien de leur révéler le fait que l’ambassadeur allemand, Lichnowsky avait, la veille encore (le 1er août) spécifiquement proposé de garantir la neutralité belge. En réalité, les manœuvres trompeuses de Grey auraient pu ne jamais être révélées, si le chancelier Bethmann n’avait pas présenté cette proposition au Reichstag le 4 août.

Le Cabinet suffisamment dominé, confondu — et trompé, car Asquith, sans assentiment du Cabinet et sans que celui-ci le sût, avait déjà ordonné la mobilisation de l’armée et de la marine — il ne restait plus qu’à en mettre plein les yeux au Parlement. Ainsi, le 3 août, Sir Edward Grey monta au pupitre et se lança dans un panégyrique épique sur les folies de la paix et les vertus de la guerre. Là non plus, son public n’était pas particulièrement réceptif, mais le sermon rassembla des forces.

Après avoir donné le ton en annonçant que la paix en Europe « ne peut pas être préservée », Grey poursuivit par une suite stupéfiante de mensonges et de fausses représentations sur les accords militaires compliqués et longs entre l’Angleterre, la France, la Russie et la Belgique. À en croire Grey, ils n’existaient pas. Mais qu’en était-il du dense écheveau d’accords diplomatiques ? Il n’existait pas d’accord de cette nature, il n’existait pas de tel imbroglio. Le Parlement était « libre » de voter en conscience, d’exercer son mandat démocratique. Pourvu, bien entendu, qu’il ne se prononçât pas en faveur de la paix.

Tout ce qui précède, en tous cas, ne constituait que le préambule de l’axe central du discours de Grey : la neutralité de la Belgique. La duplicité que constituait ce pur simulacre ne fut dépassée que par la dissimulation pratiquée par Grey, non seulement au Cabinet, mais à présent face au Parlement, de l’offre de l’Allemagne proposant de garantir très précisément ce point, c’est-à-dire la neutralité de la Belgique. Au lieu de cela, Grey produisit de manière dramatique un télégramme envoyé par le roi de Belgique au roi George, demandant son assistance. Le calendrier n’aurait pas pu être plus parfait que s’il avait été délibérément envoyé pour servir à cette occasion. Et bien entendu, c’était le cas. Les affirmations favorables à la guerre, suivant ce sermon, énoncées par les dirigeants des divers partis d’opposition étaient tout aussi préparées. Chacun d’eux avait été évalué et convaincu de rejoindre le mouvement par Churchill avant la session du jour. Seul Ramsay Macdonald, dirigeant du parti travailliste, nagea contre la marée bien orchestrée de l’« inévitabilité » qui marqua du début à la fin les péroraisons martiales de Grey.

La session du jour se termina sans débat ; Asquith n’en avait autorisé aucun, bien qu’il fût mis sous pression par le président de la Chambre des Communes pour reconvoquer l’assemblée plus tard le même soir. Dans l’intervalle, Grey scella l’accord, c’est-à-dire la guerre, en expédiant un ultimatum à l’Allemagne, exigeant qu’elle n’envahît pas la Belgique, alors que Grey savait que cette même invasion avait déjà commencé. Comme l’énoncent Docherty et Macgregor, ce fut un « coup de maître ». La guerre ne pouvait plus être évitée. Et même si, durant la nuit, la session connut un débat vigoureux et important, qui démolit en grande partie la position de Grey, ce fut en pure perte. Au moment choisi, Arthur Balfour, « ancien premier ministre conservateur et membre du cercle rapproché de l’Élite Secrète, se leva de manière menaçante. Il en avait assez. » Usant de tout le poids de son autorité magistrale, il condamna, tourna au ridicule et écarta les arguments des opposants à la guerre, les qualifiant des « dernières miettes et lies du débat. » La Chambre des Communes se retrouvant ainsi contrainte au silence par l’émotion, la dernière chance pour la paix en Europe s’éteignit.

Plus ça change

Ce qui est frappant, de manière répétée, lorsqu’on lit « Hidden History », ce sont les accents de vérité qui résonnent en chaque page, au timbre de chaque révélation. Qu’un aussi petit groupe d’individus membres de l’élite, au-delà de tout contrôle démocratique, ait pu déterminer le destin — et la mort — de millions de gens, voilà qui devrait être choquant. Cela devrait l’être, mais cela n’est pas vraiment le cas. Ce n’est pas le cas, car nous voyons de nos jours le même phénomène se reproduire, de manière répétée, sous nos yeux. De fait, l’état actuel de « guerre permanente » relève plus ou moins de la substance de la modernité.

Docherty et Macgregor ont ici produit une contribution précieuse. Ils sont allés plus loin que ceux que David Irving a identifié comme les « historiens courtisans », c’est-à-dire les historiens qui sont fondamentalement prostitués au service du consensus de l’élite / de l’establishment, et ils nous donnent un aperçu de ce qu’écrire l’histoire signifie véritablement. Et s’il existe un enseignement — ou plutôt, un contre-enseignement, que nous pouvons en tirer, c’est que nous ne sommes condamnés à répéter l’histoire que tant que nous écouteront ceux qui s’occupent de l’obscurcir et de l’inverse ; ceux qui nous mentent, en deux mots.

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

Note du Saker Francophone

L’excellent ouvrage de Russell Grenfell, Haine Inconditionnelle, traduit par nos soins et en libre accès, fait également mention des origines du premier conflit mondial dans ses premiers chapitres. On pourra également se reporter aux révélations stupéfiantes du même acabit, concernant la seconde guerre mondiale, dans l’ouvrage La guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle de Harry E. Barnes, également disponible en français dans notre bibliothèque de livres gratuits.




Les pays les plus vaccinés ont TOUS eu une forte augmentation des décès en 2021

[Source : numidia-liberum]

« Je pense qu’il est très probable que la prochaine phase impliquera la mort à une échelle qui éclipsera les allégations de « décès dus au Covid-19″ à ce jour. »

Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer

Question : Pourquoi la mortalité en Écosse était-elle plus élevée en 2021 qu’en 2020 ?

Réponse : Parce que plus de gens mouraient. Et la raison pour laquelle plus de gens mouraient, c’est parce que plus de gens avaient été vaccinés. En d’autres termes, il existe un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin Covid-19.

Question : Vous ne pouvez pas prouver cela.

Réponse : Vous avez raison, je ne peux pas. Les preuves sont toutes circonstancielles. Mais c’est convaincant, tout de même. Par exemple, la hausse de la mortalité ne s’est pas seulement produite en Écosse. Cela s’est produit dans de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination de masse au début de 2021. Ils ont tous constaté une augmentation significative de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi donc? Qu’ont-ils fait de différent en 2021 par rapport aux années précédentes ?


Par Mike Whitney



Question : Je vois où vous voulez en venir, mais je ne pense toujours pas que vous ayez suffisamment de preuves pour plaider votre cause.

Réponse : D’accord, alors vous me dites : pourquoi plus de personnes sont-elles décédées en 2021 qu’en 2020 ? Et, gardez à l’esprit que la mortalité toutes causes confondues n’est pas seulement en hausse ; elle a brisé la moyenne quinquennale. Découvrez ce post d’Alex Berenson sur Substack :

L’Écosse compte 87 % d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont maintenant 30% au-dessus de la normale

14 octobre, Ceci provient du tableau de bord quotidien Covid-19 de Public Health Scotland :

« Les 315 décès supplémentaires enregistrés la semaine dernière représentent une augmentation de 30% par rapport à la moyenne quinquennale pré-pandémique pour cette période de l’année. Il s’agit de la 20e semaine consécutive avec un excès de décès supérieur à la moyenne quinquennale et le plus élevé depuis la semaine se terminant le 10 janvier 2021. »

Même en excluant les décès de Covid, ils étaient près de 20 % au-dessus de la normale pour la semaine la plus récente, et la tendance est à la hausse. » ( « L’Écosse compte 87 % d’adultes vaccinés ; les décès hebdomadaires sont désormais supérieurs de 30 % à la normale » , Alex Berenson Substack)

Question : Mais comment pouvez-vous construire un dossier sur les données d’un seul pays ? C’est ridicule.

Réponse : Mais il n’y a pas que l’Écosse. La même règle s’applique à de nombreux pays qui ont lancé des campagnes de vaccination au début de 2021. Voici plus de Berenson :

Ajoutez l’Allemagne – la nation la plus peuplée d’Europe – aux pays qui connaissent une mortalité toutes causes confondues inhabituellement élevée qui n’est PAS liée à Covid.

En septembre, l’Allemagne a signalé près de 78 000 décès, soit plus de 10% de plus que le chiffre attendu, ont déclaré les démographes du gouvernement allemand plus tôt cette semaine.

Presse : « Chiffres de mortalité (en Allemagne) en septembre 2021 : 10 % au-dessus de la médiane des années précédentes. » ( « Ce n’est pas seulement au Royaume-Uni ; les décès toutes causes confondues sont également bien au-dessus de la normale en Allemagne (80 % d’adultes entièrement vaccinés) », Alex Berenson Substack)

Et puis il y a ceci sur le compte Twitter de Data Analyst (consultez les graphiques):
Data Analysis @Data_is_Louder

26 octobre
Mystère COVID Les décès au Danemark, en Finlande et en Norvège sont plus nombreux que lors de leur pire épidémie de Covid. Ces décès excessifs mystérieux se sont produits en même temps que le déploiement de la vaccination.

​Danemark – – « 5 mois d’affilée 2021 a battu le record de 10 ans de personnes décédées de toutes causes … ..alors que les décès dus au Covid-19 sont proches de zéro au cours de la même période.

Il en va de même en Irlande, au Royaume-Uni et en Israël. Jetez un œil à l’Angleterre (10 à 59 ans).

en bleu décès des non vaxxés, en marron clair décès des vaxxés

Ce qui est si troublant dans ce tableau, c’est qu’il montre comment les vaccins ciblent les jeunes. « Alors que le nombre de décès dus au COVID se limite en grande partie aux personnes âgées… ce sont les jeunes qui portent le poids des blessures (effets indésirables)  causées par le vaccin. Selon VigiAccess, la base de données des événements indésirables de l’Organisation mondiale de la santé, 41 % des plus de 2,4 millions de blessures causées par le vaccin signalées à ce jour concernent des personnes de moins de 44 ans, et seulement 6 % concernent des personnes de plus de 75 ans . la pandémie vient de commencer, et ce sont des crises cardiaques induites par les injections de COVID chez les jeunes » , Lifesite News)

C’est quelque chose que vous n’allez pas lire dans les médias, et pour une bonne raison aussi. Parce que cela saperait leur objectif mortel de continuer à faire la promotion du vaccin.

Voici plus de l’analyste quantitatif Joel Smalley :

Joel@RealJoelSmalley

Mise à jour hebdomadaire des décès du CDC. « Bien que » plus de 80 % soient entièrement vaccinés, depuis le 24 juillet, les décès de plus de 65 ans en Floride sont 14 % plus élevés qu’à la même période l’an dernier. « Malgré » au moins 50% de vaccination complète chez les moins de 65 ans, les décès ont augmenté de 46% et augmenteront à mesure que les rapports se rattraperont.

Les exemples sont partout sur Internet. Vous n’avez pas besoin de chercher très loin. Partout où des vaccinations de masse ont eu lieu, là aussi, la moralité a augmenté. Et – encore une fois – ce ne sont pas des décès de Covid. Il s’agit principalement des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des caillots sanguins, des maladies circulatoires et des problèmes neurologiques ; les mêmes maladies induites par les vaccins contre lesquelles nous avons été avertis par les médecins et les scientifiques qui nous ont dit la vérité depuis le début. Il s’avère qu’ils avaient raison après tout.

En termes simples, les vaccins augmentent les décès, ils ne les réduisent pas. Ils aggravent les choses et ne les améliorent pas. Ils perpétuent la crise sans y mettre fin. Et c’est pourquoi la ligne rouge du graphique pointe vers le haut. C’est une indication que le nombre de morts continuera d’augmenter tant que nous continuerons à faire ce que nous faisons maintenant, en inoculant à des millions de personnes un agent pathogène cytotoxique qui déclenche des caillots sanguins, une inflammation et une auto-immunité. Voici un autre graphique de l’Écosse avec un court commentaire du Daily Skeptic :

“…. la présence d’une épidémie de Covid ne s’est pas vue à l’été 2020, mais s’est vue à l’été 2021. Qu’est-ce qui diffère entre les deux années ? La réponse évidente est le déploiement de la vaccination COVID-19. Il n’y avait pas de programme de vaccination contre le COVID-19 en 2020, mais il y a eu un déploiement séquentiel des vaccinations contre le Covid à des tranches d’âge de plus en plus jeunes en 2021, un schéma que nous voyons dans la manifestation de décès excessifs . …. Le système de notification des événements indésirables de la carte jaune,…. a déjà enregistré plus de 1700 décès dans la population britannique associés aux vaccins COVID-19. Il existe donc un cas prima facie pour que la vaccination contre le COVID-19 soit un facteur contribuant à l’augmentation spectaculaire des décès excessifs en été en Écosse en 2021. »
(« Les vaccins entraînent-ils des décès excessifs en Écosse, demande un professeur de biologie » , The Daily Skeptic)

Avez-vous remarqué comment les médias tentent de dissimuler la soudaine augmentation de la mortalité ? Voici un bon exemple tiré d’un article du UK Telegraph :

« Alors que l’attention reste fermement fixée sur Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge tranquillement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès en excès qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, c’est très inhabituel pour l’été. Bien que des décès excessifs soient attendus pendant les mois d’hiver, lorsque le temps froid et les infections saisonnières se combinent pour exercer une pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une aberration inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9.619 décès supplémentaires en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4 635) n’ont pas été causés par Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, il y a eu 2.103 enregistrements de décès supplémentaires avec une cardiopathie ischémique, 1.552 avec une insuffisance cardiaque, ainsi que 760 décès supplémentaires avec des maladies cérébrovasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes et 3. 915 avec d’autres maladies circulatoires. .” (« Des milliers de personnes de plus que d’habitude meurent… mais ce n’est pas à cause du Covid », Telegraph)

Donc, selon l’article, il y avait:

  • 24 % de décès par insuffisance cardiaque en plus par rapport au niveau de référence
  • 19 % de cardiopathie ischémique
  • 16 % de maladies cérébrovasculaires (AVC)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Toutes ces maladies cérébrovasculaires, cardiaques et circulatoires ne sont pas soudainement tombées du ciel en 2021. Ce sont des blessures générées par le vaccin. Vous pouvez  voir?

Et ils sont tous liés à la protéine de pointe qui est le « mécanisme d’action biologique » qui « endommage les vaisseaux sanguins, les organes et provoque des caillots sanguins, et qui peut tuer un être humain ? » (Citation : Dr Peter McCullough)

Vous êtes-vous demandé pourquoi plus de personnes sont mortes cette année de Covid que pendant toute l’année 2020 ? Selon Johns Hopkins, Covid a tué 353.000 personnes aux États-Unis en 2020. Mais en seulement 10 mois en 2021, 390.000 personnes sont mortes. Comment est-ce possible ? Après tout:

  1. Beaucoup de personnes extrêmement vulnérables sont déjà décédées
  2. Les experts disent que Delta n’est pas aussi mortel que l’infection originale de Wuhan
  3. 100 millions de personnes (selon le CDC) ont déjà survécu au Covid et bénéficient désormais d’une immunité naturelle
  4. Et 190 millions de personnes ont été doublement vaxxées

Ce sont quatre raisons pour lesquelles les décès devraient diminuer. Mais ils ne diminuent pas, ils augmentent.

Pourquoi?

Le vaccin, voilà pourquoi.

Et pourquoi les pays avec les taux de mortalité Covid-19 les plus élevés sont-ils aussi les pays les plus vaccinés ?

C’est parce qu’« il existe une corrélation positive massive entre le pourcentage de vaccination et les décès ».

Mais ne me croyez pas sur parole. Vérifiez par vous-même. Faites vos propres recherches.

Récemment, le professeur Norman Fenton de l’Université Queen Mary de Londres a passé au crible les statistiques du gouvernement (ONS) pour voir s’il pouvait « déterminer le rapport risque-bénéfice global des vaccins Covid-19 » en comparant « les taux de mortalité toutes causes confondues entre les vaccinés et les non vaccinés ». dans chaque catégorie d’âge.

Sa réflexion à ce sujet était simple :

« Si Covid est aussi dangereux qu’on le prétend – et si le vaccin est aussi efficace qu’on le prétend – nous devrions maintenant avoir vu beaucoup plus de décès liés à Covid parmi les non vaccinés que parmi les vaccinés… .(et) Si le vaccin est aussi sûr qu’on le prétend, alors il aurait dû y avoir très peu plus de décès de causes non liées au Covid parmi les vaccinés que les non vaccinés (dans chaque tranche d’âge). Ainsi, le nombre de décès toutes causes confondues devrait être plus élevé chez les non vaccinés que chez les vaccinés (dans chaque groupe d’âge), confirmant que les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques. ( Les divergences et les incohérences dans les ensembles de données du gouvernement britannique compromettent l’exactitude des comparaisons des taux de mortalité entre vaccinés et non vaccinés »)

Simple, non ? En d’autres termes, si le vaccin est si bon, cela devrait être clair à partir des données. Mais ce n’est pas ce que Fenton a découvert. Ce qu’il a découvert, c’est le contraire. Il a constaté que la mortalité toutes causes confondues est plus élevée chez les personnes vaccinées que chez les non vaccinées. (Et selon la façon dont vous interprétez les données, cela pourrait être beaucoup plus élevé.) Fenton espérait que son analyse aurait un impact sur le débat sur le programme de vaccination en cours, mais au lieu de cela, il a été violemment dénoncé comme un extrémiste de droite, ce qui arrive à quiconque ose défier le récit officiel. Voici plus de NPR:

« À l’intérieur du service des urgences de l’hôpital Sparrow à Lansing, dans le Michigan, les membres du personnel ont du mal à soigner des patients qui se présentent beaucoup plus malades qu’ils ne l’ont jamais vu. Tiffani Dusang, la directrice des soins infirmiers de la salle d’urgence, vibre pratiquement d’anxiété refoulée en regardant tous les patients allongés sur une longue file de civières appuyées contre les murs beiges des couloirs de l’hôpital. « C’est difficile à regarder », dit-elle dans son chaleureux accent texan.

Mais elle ne peut rien faire. Les 72 chambres des urgences sont déjà remplies.

« Je me sens toujours très, très mal quand je marche dans le couloir et que je vois que les gens souffrent ou ont besoin de dormir ou de se taire. »

Même dans les régions du pays où le COVID-19 ne submerge pas le système de santé, les patients se présentent aux urgences plus malades qu’ils ne l’étaient avant la pandémie , leurs maladies sont plus avancées et nécessitent des soins plus compliqués.

Des mois de retards de traitement ont exacerbé les maladies chroniques et aggravé les symptômes. Les médecins et les infirmières disent que la gravité de la maladie varie considérablement et comprend des douleurs abdominales, des problèmes respiratoires, des caillots sanguins, des problèmes cardiaques et des tentatives de suicide, entre autres. ( « Les urgences sont maintenant submergées de patients gravement malades – mais beaucoup n’ont même pas de COVID », NPR)

Répétez : « douleurs abdominales, problèmes respiratoires, caillots sanguins, problèmes cardiaques ». En d’autres termes, le surpeuplement des salles d’urgence pourrait aussi bien être lié aux blessures induites par les vaccins qu’aux «traitements retardés». Et remarquez comment l’auteur semble véritablement préoccupé par les urgences en plein essor, mais ne mentionne jamais une seule fois l’éléphant dans la pièce ; le vaccin. Était-ce juste une erreur de sa part ou était-ce sa véritable intention d’embobiner ses lecteurs dès le départ ?

Ensuite, il y a ce joyau du New York Post qui tente de préparer le public à l’assaut des troubles « thromboemboliques » auxquels nous serons confrontés dans un avenir très proche. L’article est intitulé à juste titre « La crise cardiaque peu connue qui frappe des femmes » en forme et en bonne santé « dès l’âge de 22 ans ». Voici un extrait de l’article :

« Lorsque vous pensez à une crise cardiaque, vous imaginez immédiatement quelqu’un qui est plus âgé et qui pourrait déjà avoir des problèmes de santé sous-jacents. Mais les experts ont averti que des femmes aussi jeunes que 22 ans pourraient être frappées par une maladie peu connue.

La dissection spontanée de l’artère coronaire (SCAD) se produit lorsqu’une déchirure se forme dans un vaisseau sanguin du cœur, rapporte le New York Post. Il peut ralentir ou bloquer le flux sanguin vers le cœur, provoquant une crise cardiaque , des anomalies du rythme cardiaque ou une mort subite, selon les experts de la clinique Mayo.

En général, il s’agit d’une affection peu courante, mais les médecins exhortent les femmes à faire pression pour obtenir un diagnostic et des soins en ce qui concerne les symptômes. La condition est plus fréquente chez les femmes âgées de 30 à 60 ans – mais les experts ont averti qu’elle atteint des femmes en forme et en bonne santé dès l’âge de 22 ans. La crise cardiaque peu connue qui frappe des femmes « en forme et en bonne santé » dès l’âge de 22 ans , New York Post)

C’est compris? Ainsi, selon le Post, il est tout à fait normal qu’un jeune de 22 ans en pleine forme soit frappé de mort par une crise cardiaque. Pensez-vous que l’auteur essaie peut-être d’adoucir les attitudes envers les blessures induites par les vaccins avant qu’elles ne nous frappent comme une tonne de briques ? En effet, il l’est, tout comme l’article du Times of India sur la célébrité superstar et maniaque du fitness, Puneeth Rajkumar, décédé il y a quelques jours d’un arrêt cardiaque. Il avait 46 ans. Selon le Times of India :

La mort soudaine de Rajkumar a une fois de plus mis en évidence les périls auxquels de nombreux trentenaires et quarantenaires sont confrontés aujourd’hui, à savoir le risque croissant de maladies cardiaques et d’arrêts cardiaques … (Rajkumar) souffrait d’une grave maladie cardiaque alors qu’il faisait de l’exercice au gymnase. Connu pour être ouvertement en forme et en bonne santé, Rajkumar avait l’habitude de s’entraîner souvent…

Il y a eu une augmentation choquante du nombre d’arrêts cardiaques observés chez les personnes en bas âge, voire dans la vingtaine. Alors que les maladies cardiaques et les arrêts cardiaques étaient généralement considérés comme une «condition de personnes âgées», ce n’est plus le cas, et maintenant un signe d’avertissement dont les médecins exhortent les gens à être extrêmement conscients. …

En raison de la pandémie, les médecins ont également souligné que les préoccupations concernant les questions liées à la santé cardiaque ont été repoussées et qu’il est maintenant plus probable qu’auparavant que les gens souffrent de crises cardiaques silencieuses et d’arrêts cardiaques. ( « L’acteur de Kannada Puneeth Rajkumar décède à 46 ans, a subi un grave arrêt cardiaque alors qu’il s’entraînait », Times of India)

Semble-t-il que les médias ont accepté leur rôle de complices de l’extermination de masse ou est-ce une exagération ?

Quoi qu’il en soit, on peut s’attendre à voir un déluge d’articles similaires surgir un peu partout dans un futur proche. Des articles comme celui-ci :

« L’activité physique peut augmenter le risque de crise cardiaque, selon une étude – Les nouvelles découvertes ne l’emportent pas sur les bienfaits de l’exercice pour la santé, soulignent les chercheurs », The Irish Times

Ou ca:

« Les crises cardiaques chez les jeunes sont en hausse » The Hindu

Ou ca:

«Les cas de crise cardiaque ont augmenté en 2021 sans barre d’âge; voici ce qui y a conduit », cnbctv18

Pouvez-vous voir ce qui se passe ? Ces articles à l’emporte-pièce ont tous été concoctés dans le même but, faire croire au public que l’extraordinaire vague de décès parmi les jeunes en bonne santé est tout à fait normale. (« Rien à voir ici. Passez votre chemin. ») Mais, bien sûr, rien de tout cela n’est normal. Tout cela est épouvantablement étrange et choquant, c’est pourquoi nous nous concentrons tellement sur les décès excessifs et la mortalité toutes causes confondues. Parce que, selon nous, ceux-ci fourniront les preuves dont nous avons besoin pour montrer que le vaccin est un élément essentiel du programme de dépopulation de l’élite visant à réduire la population mondiale de milliards de personnes. Nous croyons toujours que c’est ce qui se passe réellement.Les gros sous ont décidé d’éradiquer quelques milliards d’entre nous des cafards afin qu’ils aient plus d’espace pour garer leurs Learjets. Il se trouve qu’ils ont choisi le vaccin comme une alternative « moins salissante » pour nous faucher dans les rues avec des mitrailleuses. Non pas qu’ils en perdent le sommeil.

Alors, comment se passe le plan, demandez-vous? Vérifiez-le:

« Selon les statistiques de mortalité toutes causes confondues, le nombre d’Américains décédés entre janvier 2021 et août 2021 est supérieur de 18% au taux de mortalité moyen entre 2015 et 2019. »

Et voici un extrait d’un article qui a extrait ses données de recherches plus diverses. Regarde:

« Le COVID Jab est-il responsable de décès excessifs ?…

Matthew Crawford du Rounding the Earth Newsletter, a examiné les statistiques de mortalité avant et après le déploiement des vaccins COVID… Crawford poursuit en examinant les données des pays qui ont une utilisation substantielle des vaccins tout en ayant simultanément des taux très faibles de COVID-19 . De cette façon, vous pouvez avoir une meilleure idée de savoir si les piqûres COVID pourraient être responsables de l’excès de décès , par opposition à l’infection elle-même.

Il a identifié 23 pays qui répondent à ces critères, représentant 1,88 milliard d’individus, soit environ un quart de la population mondiale….. Crawford procède à un certain nombre d’ajustements pour supprimer les valeurs aberrantes qui pourraient fausser les ensembles de données, (mais) après avoir supprimé les nations avec plus de 100 décès par COVID par million avant leur programme de vaccination, il a proposé 13 pays avec une population combinée de 354 millions. 

Remarquablement, cependant, le nombre de décès par COVID dans ces 13 pays est 11,61 fois plus élevé après la vaccination, par rapport à avant le déploiement des piqûres . Dans cinq des 13 pays, 90 % de leurs décès dus au COVID-19 ont été enregistrés après le début de leurs campagnes de vaccination.

« À première vue, ces résultats renforcent le fait que les vaccins expérimentaux tuent des gens », écrit Crawford. « À tout le moins, c’est un signal de sécurité de plus qui devrait inciter les autorités qui se soucient de notre santé à venir à la table pour une discussion sur la façon d’affiner les données qu’elles n’analysent à la connaissance de personne… » ( » Are The COVID Jabs responsable des tendances à la hausse de la mortalité ? » Mercola.com)

Intéressant, hein ? Donc, si vous prenez les pays où il n’y a pas beaucoup de virus et que vous vaccinez quand même une tonne de personnes, vous pouvez vraiment voir combien de personnes sont tuées par le vaccin. Au moins 10 fois plus !

En revanche, dans les pays où il y a beaucoup de propagation virale, les effets néfastes du vaccin sont beaucoup moins visibles. Mais peu importe comment vous la coupez, la protéine de pointe érode l’infrastructure vitale du corps, affaiblissant le système vasculaire, tuant les cellules saines et les mitochondries, épuisant les lymphocytes tueurs et court-circuitant le système immunitaire. Les effets d’entraînement de cette attaque féroce peuvent être l’une des myriades de maladies qui évoluent inévitablement à partir d’un système circulatoire ravagé par des agents pathogènes, notamment l’arrêt cardiaque, l’accident vasculaire cérébral, l’embolie pulmonaire, l’auto-immunité et une foule d’autres. À l’heure actuelle, les crises cardiaques semblent en tête de liste. Découvrez ce bref article du Dr Peter McCullough :

Le monde assiste actuellement à une pandémie de crises cardiaques N-STEMI causées par des caillots sanguins

Un certain type de crise cardiaque est en augmentation dans le monde. Les professionnels de la santé en Écosse ont constaté une forte augmentation d’un type de crise cardiaque potentiellement mortel appelé crise N-STEMI. Cette condition est le résultat d’artères partiellement bloquées qui coupent l’apport sanguin au cœur. Il présente moins de lésions tissulaires qu’une attaque STEMI régulière mais peut être tout aussi fatale…. Les cas d’attaques STEMI sont restés stables pendant des années, (mais) ont récemment augmenté … Au cours de l’été, l’hôpital a dû augmenter son nombre de lits de cardiologie de 44 %, car les travailleurs de la santé de première ligne ont dû faire face à une demande accrue de patients victimes d’une crise cardiaque… .

Une pandémie de crises cardiaques provoquée par une injection cytotoxique qui inflige des dommages à ses victimes, qu’elles meurent ou non. Est-ce un résumé exact du vaccin Covid-19 ?

Il est. Voici plus de The Expose:

« Les données disponibles du Center for Disease Control aux États-Unis montrent que depuis le lancement du programme de vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis, les décès dus à des » résultats cliniques anormaux non classés ailleurs « ont augmenté de façon exponentielle par rapport aux niveaux de vaccination pré-Covid-19. …

Les décès dans cette catégorie comprennent les cas pour lesquels aucun diagnostic plus précis n’a pu être établi… ou les symptômes étaient difficiles à déterminer… ou les cas ont été référés ailleurs.)

« … le nombre de décès dus à des résultats cliniques anormaux… a maintenu une moyenne stable d’un peu plus de 1 000 par semaine depuis février 2020, et était également à ces niveaux avant la prétendue pandémie qui frappe les États-Unis. Cependant, vers la fin mars / début avril 2021, il y a eu une augmentation soudaine du nombre de décès anormaux enregistrés par semaine, grimpant soudainement… à plus de 7 000 par semaine à la mi-septembre, ce qui représente une augmentation de 600 % en moyenne observée chaque semaine avant le début du déploiement de la vaccination Covid-19.

La question est bien sûr, pourquoi ?

… La seule chose que des millions de personnes ont en commun depuis que les décès anormaux ont commencé à augmenter par rapport à la moyenne attendue, c’est que des millions de personnes ont reçu une injection expérimentale, pour laquelle il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme pour savoir quelles en seront les conséquences. sera.

Les données officielles du CDC suggèrent que les conséquences d’un déploiement expérimental de masse de la vaccination sont une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales non identifiées… » ( « Enquête : les données officielles du CDC montrent une augmentation choquante du nombre de décès dus à des causes anormales causes mystérieuses depuis le début des vaccinations contre le Covid-19 » , The Expose)

L’article est cohérent avec les nombreuses histoires que nous avons entendues d’infirmières rapportant des patients présentant des symptômes inhabituels «excentriques» qui échappent au diagnostic traditionnel. Cela ne devrait pas être surprenant étant donné les propriétés uniques de la protéine de pointe dont l’attaque furtive sur le système vasculaire a déjà déclenché un tsunami de maladies cardiovasculaires, neurologiques et immunologiques sans précédent. Tous ces décès peuvent être attribués à un « coup de mort empoisonné » qui pousse sans relâche la mortalité toutes causes plus élevée tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes. Si vous en doutez, regardez combien d’athlètes meurent peu de temps après avoir été injectés. C’est une histoire qui ne manquera pas de déprimer tout être humain normal.

Voir ici : « VAGUE DE SPORTIFS DANS LE MONDE SOUFFRANT D’UNE MALADIE INATTENDUE », Pas The Beeb.com

Regardez également cette vidéo éclairante de 2 minutes traitant de l’arrêt cardiaque et de notre faux système de signalement des blessures causées par les vaccins. (VAERS)

Le Dr Mike Yeadon a résumé les développements récents dans un commentaire qu’il a récemment publié sur la chaîne Robin Monotti . Il a dit :

« Il n’y a pas de fin de jeu logique… mais la tyrannie totalitaire… et le dépeuplement de masse… Certains collègues sont d’accord avec la partie tyrannie, mais rechignent au dépeuplement. (Mais) les preuves le montrent fermement.

En effet, c’est le cas.

Source : L’Exposé




L’espace circumterrestre, bientôt une poubelle ?

[Source : cielvoile.fr]

Par Arthur Firstenberg

Alors que l’attention d’un monde terrifié a été rivée sur un virus, et que les préoccupations concernant les radiations se sont concentrées sur la 5G au sol, l’assaut des cieux a atteint des proportions astronomiques. Au cours des deux dernières années, le nombre de satellites qui tournent autour de la terre est passé de 2 000 à 4 800, et une avalanche de nouveaux projets a porté le nombre de satellites en fonctionnement, approuvés et proposés à au moins 441 449. Et ce nombre ne comprend que les satellites en orbite basse (LEO) qui résideront dans l’ionosphère.

[Voir aussi :
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
►Dossier 5G et ondes pulsées
et pour ce qui concerne son lien possible avec la Covid :
La nanotechnologie dans les vaccins
Graphène et 5G
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?]

Les projets de satellites comprennent ceux énumérés ci-dessous. Les entreprises sont basées aux États-Unis, sauf indication contraire.

17 270 satellites déjà approuvés par la Commission fédérale des communications des États-Unis :

Amazon (Kuiper) – 3 236 satellites
Astro Digital – 30 satellites
Black Sky Global – 36 satellites
Boeing – 147 satellites
Capella Space Corp. 7 satellites
Globalstar (en activité depuis 2000) – 48 satellites
Hawkeye 360 – 80 satellites
ICEYE – 6 satellites (FINLANDE)
Iridium (en service depuis 1998) – 66 satellites
Kepler Communications – 140 satellites (CANADA)
Loft Orbital – 11 satellites
OneWeb – 720 satellites (ROYAUME-UNI)
Planet Labs (en activité) – 200 satellites
R2 Space, LLC – 8 satellites
Spire Global – 175 satellites
SpaceX – 11 943 satellites
Swarm – 150 satellites
Telesat – 117 satellites (CANADA)
Theia Holdings – 120 satellites
Umbra Lab – 6 satellites
Viasat – 24 satellites

Demandes pour 65 912 satellites en cours devant la FCC :

Amazon (Kuiper) – 4 538 satellites supplémentaires
AST & Science – 243 satellites
Astra Space – 13 620 satellites
Boeing – 5 789 satellites supplémentaires
Black Sky Global – 14 satellites supplémentaires
Fleet Space Technologies – 40 satellites (AUSTRALIE)
Hughes Network Systems – 1 440 satellites
Inmarsat – 198 satellites (ROYAUME-UNI)
Kepler Communications – deux constellations supplémentaires de 360 satellites et 212 satellites (CANADA)
Lynk Global – 10 satellites (HONG KONG)
Maxar Technologies – 12 satellites
New Spectrum – 30 satellites (CANADA)
OneWeb – 6 368 satellites supplémentaires (ROYAUME-UNI)
Orbital Sidekick – 6 satellites
SN Space Systems – 1 190 satellites (ROYAUME-UNI)
SpaceX – 30 000 satellites supplémentaires
Telesat – 1 554 satellites supplémentaires (CANADA)
Terra Bella – 24 satellites (15 déjà opérationnels)
Viasat – 264 satellites supplémentaires

Constellations totalisant 14 872 satellites annoncées par les gouvernements :

Guowang – 12 992 satellites (CHINE)
Roscosmos – 264 satellites nommés Marathon (RUSSIE)
Roscosmos – 640 satellites nommés Sfera (RUSSIE)
Defense Advanced Research Projects Agency – 20 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
Space Development Agency – 500 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
UN:IO – 400 satellites (COMMISSION EUROPÉENNE)
Yaogan – 76 satellites (déjà en service) (MILITAIRE CHINOIS)

Autres constellations LEO prévues par des sociétés américaines et étrangères, totalisant plus de 16 055 satellites :

4pi Lab – 16 satellites (CANADA)
ADA Space – 192 satellites (CHINE)
Aerospacelab – deux constellations (nombre de satellites inconnu) (BELGIQUE)
Aistech – 20 satellites (ESPAGNE)
Albedo Space – 24 satellites
Alpha Insights – nombre inconnu (CANADA)
Analytical Space – 36 satellites (sous contrat avec U.S. SPACE FORCE)
Apogee Networks – 18 satellites (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Astrocast – 100 satellites (SUISSE)
Astrome – 198 satellites (INDE)
Aurora Insight – 12 satellites
Avant Space – 30 satellites (RUSSIE) équipés de lasers pour servir de panneau d’affichage dans l’espace pour diffuser des publicités
Axelspace – 50 satellites (JAPON)
BeetleSat – 80 satellites (ISRAËL)
Canon – 100 satellites (JAPON)
Capella Space Corp – 29 satellites supplémentaires
Carbon Mapper – 20 satellites
Care Weather – 50 satellites
Chang Guang – 138 satellites (CHINE)
China Aerospace Science and Industry Corporation – 80 satellites (CHINE)
Climavision – 50 satellites
Commsat – 72 satellites (8 déjà opérationnels) (CHINE)
ConstellR – 30 satellites (ALLEMAGNE)
Curvalux – 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Earth Observant – 30 satellites
EarthDaily Analytics – 6 satellites (CANADA)
Earth-i – 15 satellites (ROYAUME-UNI)
EchoStar – 30 satellites (CANADA)
Elecnor Deimos – nombre inconnu (ESPAGNE)
EOSAgriSat – 12 satellites (FRANCE)
Eutelsat – 25 satellites (FRANCE)
ExactEarth (en activité) – 68 satellites (CANADA)
Fleet Space – 60 satellites supplémentaires (AUSTRALIE)
Future Navigation – 120 satellites (CHINE)
GalaxEye – 15 satellites (INDE)
Galaxy Space – 1 000 satellites (CHINE)
Geely – nombre inconnu (CHINE)
GeoOptics – 50 satellites
GHG Sat – 10 satellites (CANADA)
GP Advanced Projects – 9 satellites (ITALIE)
Guodian Gauke – 38 satellites (CHINE)
Hanwha Systems – 2 000 satellites (CORÉE DU SUD)
HEAD Aerospace – 48 satellites (CHINE)
Hera Systems – 50 satellites
Horizon Technologies – 13 satellites (ROYAUME-UNI)
Hydrosat – 16 satellites
Hypersat – 6 satellites
ICEYE – a déjà lancé 14 satellites et en prévoit 18, soit 12 satellites de plus que ce qui a été approuvé par la FCC (FINLANDE)
Innova Space – 100 satellites (ARGENTINE)
IQPS – 36 satellites (JAPON)
Kinéis – 25 satellites (FRANCE)
KLEO – 300 satellites (ALLEMAGNE)
Kleos Space – 80 satellites (LUXEMBOURG)
Lacuna Space – 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Launchspace – 124 satellites
LunaSonde – nombre inconnu (ROYAUME-UNI)
Lynk Global – 4 990 satellites supplémentaires (HONG KONG)
LyteLoop – 6 satellites
MDA – nombre inconnu
Mission Space – nombre inconnu (LETTONIE)
Modularity Space – 150 satellites
Muon Space – nombre inconnu
Myriota – 50 satellites (AUSTRALIE)
NanoAvionics – 72 satellites (LITUANIE)
Ningxia – 10 satellites (CHINE)
NorthStar – 52 satellites (CANADA)
OHB Italia – 20 satellites (ITALIE)
Omnispace – 200 satellites
OQ Technology – 60 satellites (LUXEMBOURG)
Orbital Micro Systems – 40 satellites
OroraTech – 100 satellites (ALLEMAGNE)
PION Labs – nombre inconnu (BRÉSIL)
PIXXEL – 36 satellites (INDE)
PlanetIQ – 20 satellites
PredaSAR – 48 satellites
Prométhée – nombre inconnu (FRANCE)
QEYNet – numéro inconnu (CANADA)
QianSheng – 20 satellites (CHINE)
Reaktor Space Lab – 36 satellites (FINLANDE)
Rocket Lab – « Méga-constellation » de nombre inconnu (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Rogue Space Systems – 40 satellites
Rovial – nombre inconnu (FRANCE)
Saab – 100 satellites (SUÈDE)
SaraniaSat – nombre inconnu
Sateliot – 100 satellites (ESPAGNE)
Satellogic – 90 satellites (ARGENTINE)
SatRevolution – 1500 satellites (POLOGNE)
Scanworld – 10 satellites (BELGIQUE)
Scepter et ExxonMobil – 24 satellites
SCOUT – nombre inconnu
Shanghai Lizheng – 90 satellites (CHINE)
Skykraft – 210 satellites (AUSTRALIE)
Space JLTZ – 200 satellites (MEXIQUE)
Space Union – 32 satellites (LITUANIE)
SpaceBelt – 12 satellites
SpaceFab – nombre inconnu
Spacety – 56 satellites (CHINE)
Stara Space – 120 satellites
Startical – 200 satellites (ESPAGNE)
Sternula – 50 satellites (DANEMARK)
Synspective – 30 satellites (JAPON)
Telnet – 30 satellites (TUNISIE)
Tomorrow.io – 36 satellites
Totum Labs – 24 satellites
Trion Space – 288 satellites (LIECHTENSTEIN)
Trustpoint – nombre inconnu
Umbra Labs – 18 satellites supplémentaires
UnseenLabs – 50 satellites (FRANCE)
Vyoma Space – nombre inconnu (ALLEMAGNE)
WiseSat Space – nombre inconnu (SUISSE)
Xona – 300 satellites
ZeroG Lab – 378 satellites (CHINE)
Zhuhai Orbita – 34 satellites (CHINE)

Le Rwanda, qui veut catapulter l’Afrique au rang de leader mondial de l’espace, a déposé le 21 septembre 2021 auprès de l’Union internationale des télécommunications (UIT) une demande de 327 320 satellites. Sa proposition comprend 937 plans orbitaux, répartis en 27 coquilles orbitales (couches de satellites à différentes altitudes), avec 360 satellites dans chaque plan.
Agence spatiale rwandaise – 327 320 satellites (RWANDA)

TOTAL : 441 449 SATELLITES OPÉRATIONNELS, APPROUVÉS ET PROPOSÉS
(+18 constellations dont le nombre n’est pas encore connu)

La plupart des satellites de la liste ci-dessus seraient en orbite à des altitudes comprises entre 325 km (200 miles) et 1 100 km (680 miles), sauf que certaines des orbites proposées par le Rwanda descendent jusqu’à 280 km (174 miles). La liste ci-dessus ne comprend pas les applications pour les satellites en orbite géostationnaire (GEO), ou pour les constellations LEO de moins de 5 satellites, ou les constellations en orbite terrestre moyenne (MEO) telles que :
Intelsat (à 8600 km) – 216 satellites (LUXEMBOURG).
Mangata Networks (à 6 400 km et 12 000 km) – 791 satellites
O3b (à 8 062 km) – 112 satellites (LUXEMBOURG)

ÉCLAIRER LE CIEL NOCTURNE

Les scientifiques ont déjà commencé à publier des articles analysant l’effet que tous ces satellites auront, non seulement sur l’astronomie, mais aussi sur l’aspect du ciel nocturne et la visibilité des étoiles pour tous les habitants de la planète. Un article publié en ligne le 29 mars 2021 dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society par des scientifiques de Slovaquie, d’Espagne et des États-Unis est intitulé « La prolifération des objets spatiaux est une source rapidement croissante de luminosité artificielle du ciel nocturne. » La diffusion de la lumière solaire de tous les objets dans l’espace, écrivent les auteurs, provoque une « nouvelle lueur du ciel » au début et à la fin de chaque nuit qui a déjà éclairci le ciel nocturne naturel d’environ 10 %. Les auteurs craignent que « la contribution supplémentaire des nouvelles méga-constellations de satellites » ne ruine le ciel nocturne dans des proportions bien plus importantes.

Un groupe d’astronomes canadiens a publié un article dans le numéro de janvier 2022 de The Astronomical Journal. « Des mégaconstellations de milliers à des dizaines de milliers de satellites artificiels (satcons) sont rapidement développées et lancées », écrivent-ils. « Ces satcons auront des conséquences négatives sur la recherche en astronomie observationnelle, et sont sur le point d’interférer radicalement avec l’observation des étoiles à l’œil nu dans le monde entier. » Ils ont analysé quel serait l’effet sur l’astronomie si 65 000 nouveaux satellites en orbite basse étaient lancés. À 40 degrés de latitude (milieu des États-Unis, Méditerranée, milieu de la Chine, Japon, Buenos Aires, Nouvelle-Zélande), disent ces auteurs, plus de 1 000 de ces satellites seront ensoleillés et visibles dans le ciel en été, même à minuit. À des latitudes plus élevées (nord des États-Unis, Canada, la plupart de l’Europe, Russie), des milliers de ces satellites seront visibles toute la nuit.

Un autre document, intitulé Report on Mega-Constellations to the Government of Canada and the Canadian Space Agency, a été commandé par la Société canadienne d’astronomie et soumis au gouvernement canadien le 31 mars 2021. Il s’agit d’un document émouvant. Ces astronomes écrivent :

« Dans les temps anciens, les humains, partout dans le monde, avaient accès à un ciel complètement noir. En revanche, aujourd’hui, 80 % des Nord-Américains ne peuvent pas voir la Voie lactée depuis leur lieu de résidence en raison de la pollution lumineuse. Le manque d’obscurité que de nombreuses personnes connaissent aujourd’hui en raison de la pollution lumineuse urbaine a été associé à de nombreux problèmes de santé physique et mentale, tant chez les humains que chez les animaux sauvages. Mais il existe encore des poches d’obscurité où les citadins peuvent échapper à la pollution lumineuse et découvrir des cieux presque aussi sombres que ceux vus par nos ancêtres. Malheureusement, la pollution lumineuse des satellites sera un phénomène mondial : il n’y aura plus aucun endroit sur Terre où l’on pourra profiter d’un ciel exempt de satellites lumineux en orbite.

« Quiconque a déjà passé du temps dans un endroit vraiment sombre à regarder les étoiles comprend le puissant sentiment d’union et d’humilité que cet acte inspire. Nos vies, nos soucis, voire notre planète entière, semblent si relatifs à cette échelle – un sentiment qui a façonné la littérature, l’art et la culture dans le monde entier. En observant le ciel nocturne, il devient immédiatement évident que nous faisons partie d’un univers vaste et merveilleux, rempli d’innombrables étoiles… Le lien avec le ciel fait partie de notre humanité, et tous les être humains sur Terre sont en réel danger de perdre cela…

« À l’œil nu, l’observation des étoiles à partir d’un endroit où le ciel est sombre permet de voir environ 4 500 étoiles… Lorsque Starlink approchera des 12 000 satellites en orbite, la plupart des gens au Canada verront plus de satellites que d’étoiles dans le ciel. »

LA PLUS GRANDE FOSSE À ORDURES DU MONDE

Non seulement des milliers de satellites entiers menacent les cieux, mais une quantité phénoménale de débris gravitent autour de la Terre à la suite de collisions, d’explosions ou d’autres destructions de satellites dans l’espace. Depuis 64 ans que l’homme lance des fusées, les couvertures protectrices de l’ionosphère et de la magnétosphère sont devenues la plus grande poubelle de la Terre.

Selon l’Agence spatiale européenne, il y a aujourd’hui, en orbite autour de la Terre, 7 790 satellites intacts, dont 4 800 fonctionnent. Depuis 1957, il y a eu plus de 630 ruptures, explosions, collisions et autres événements destructeurs de satellites. Cela a entraîné la création de plus de 9 700 tonnes de débris spatiaux. Il y a, en orbite aujourd’hui :
30 430 débris actuellement suivis.
36 500 objets d’une taille supérieure à 10 cm
1 000 000 d’objets d’une taille comprise entre 1 cm et 10 cm
330 000 000 d’objets d’une taille comprise entre 1 mm et 1 cm.

EFFETS SUR L’OZONE, LES TREMBLEMENTS DE TERRE ET LES ORAGES

La couche d’ozone

Dans un article de 2020 intitulé « The environmental impact of emissions from space launches : A comprehensive review « , Jessica Dallas et ses collègues de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud ont écrit que  » l’appauvrissement de la couche d’ozone est l’une des plus grandes préoccupations environnementales entourant les lancements de fusées depuis la Terre. « 

En 2021, il y a eu 146 lancements de fusées orbitales pour mettre 1 800 satellites dans l’espace. À ce rythme, pour maintenir et remplacer continuellement 100 000 satellites en orbite basse, dont la durée de vie moyenne est de cinq ans, il faudrait plus de 1 600 lancements de fusées par an, soit plus de quatre par jour, pour toujours.

Les années 2020 et 2021 ont été marquées par deux des plus grands trous d’ozone en Antarctique depuis le début des mesures en 1979. Le trou de 2020 a également été le plus long jamais enregistré, et celui de 2021 n’a été que de quelques jours plus court ; plus grand que le continent Antarctique, il a commencé fin juillet 2021 et s’est terminé le 28 décembre 2021. Tout le monde accuse encore les chlorofluorocarbones (CFC), qui ont été interdits par le protocole de Montréal en 1978. Personne ne se penche sur les lancements de fusées, qui ont été plus nombreux en 2020 et 2021 qu’au cours des années précédentes. En plus des 146 lancements orbitaux de 2021, il y a eu 143 lancements suborbitaux de fusées à plus de 80 kilomètres d’altitude, soit un total de 289 lancements à haute altitude pour l’année, ou presque un par jour.

Tremblements de terre et orages

En 2012, Anatoly Guglielmi et Oleg Zotov ont examiné les preuves que l’utilisation mondiale de l’électricité a un effet sur l’activité sismique et les orages. En particulier, la consommation mondiale d’électricité connaît un pic chaque heure à l’heure juste, et il en va de même pour le nombre moyen de tremblements de terre dans le monde. En 2020, un groupe de scientifiques italiens a fourni des informations supplémentaires : l’activité solaire est également en corrélation avec les tremblements de terre, et elle semble le faire en augmentant la tension de l’ionosphère. Comme cela doit augmenter le flux de courant dans le circuit électrique mondial (voir le chapitre 9 de mon livre, L’arc-en-ciel invisible), cela augmenterait les courants électriques qui traversent la croûte terrestre à tout moment, ce qui augmenterait la tension sur les failles sismiques et augmenterait la fréquence des tremblements de terre. Le titre de l’article italien est « Sur la corrélation entre l’activité solaire et les grands tremblements de terre dans le monde ».

On peut douter que 100 000 satellites, bien qu’émettant de puissantes ondes radio, puissent élever la tension ionosphérique. Cependant, l’échappement des fusées de chaque lancement émet des tonnes de vapeur d’eau, qui est plus conductrice que l’air sec. La stratosphère est sèche et contient très peu d’eau, et toute eau que les humains y déposent y reste pendant des années et s’accumule. Les multiples lancements quotidiens de fusées, à perpétuité, rempliront la stratosphère de vapeur d’eau, augmenteront sa conductivité et le courant circulant dans le circuit électrique mondial. Le courant circulant dans la croûte terrestre augmentera, ce qui pourrait accroître la fréquence des tremblements de terre.

Je suppose également que cela augmenterait la fréquence et la puissance des orages dans le monde. S’il n’y avait pas d’orages, la tension ionosphérique, qui est en moyenne de 300 000 volts, se déchargerait en 15 minutes environ. Une centaine d’éclairs par seconde, quelque part sur la Terre, la rechargent en permanence. En augmentant le flux de courant dans le circuit électrique mondial, l’ionosphère se déchargerait plus rapidement, et comme ce sont les orages qui rechargent la batterie de la Terre, la fréquence et la violence des orages devraient augmenter.

MODIFICATION DE L’ENVIRONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DE LA TERRE

Ce que tout le monde ignore complètement, c’est l’effet de toutes les radiations des satellites sur l’ionosphère, et par conséquent sur la force vitale de tout être vivant. La relation de l’électricité avec le qi et le prana a échappé à l’attention de l’homme moderne. Les physiciens de l’atmosphère et les médecins chinois n’ont pas encore partagé leurs connaissances les uns avec les autres. Or, à l’heure actuelle, un tel partage est crucial pour la survie de la vie sur Terre.

« Le Yang pur forme le ciel, et le Yin turbulent forme la terre. Le Qi de la terre monte et se transforme en nuages, tandis que le Qi du ciel descend et se transforme en pluie. » C’est ainsi que le Classique de médecine interne de l’Empereur jaune a décrit le circuit électrique mondial il y a 2 400 ans — le circuit qui est généré par l’ionosphère et qui circule perpétuellement entre le ciel Yang (positif) et la terre Yin (négatif). Le circuit qui nous relie à la terre et au ciel et qui circule dans nos méridiens en nous donnant vie et santé. Un circuit qui ne doit pas être pollué par les fréquences émises par cent mille satellites, dont certains faisceaux auront une puissance effective allant jusqu’à dix millions de watts. C’est de la folie pure, et jusqu’à présent, personne n’y prête attention. Personne ne se demande même si les satellites ont quelque chose à voir avec le déclin profond et simultané, à l’échelle de la planète, du nombre d’insectes et d’oiseaux, et avec la pandémie de troubles du sommeil et de fatigue que connaissent tant de personnes. Tout le monde est tellement concentré sur un virus et sur les antennes au sol que personne ne prête attention à l’holocauste qui descend de l’espace.

Arthur Firstenberg
Auteur, The Invisible Rainbow : Une histoire de l’électricité et de la vie
Administrateur, Appel international pour stopper la 5G sur Terre et dans l’espace
Gardien, ECHOEarth.org (End Cellphones Here On Earth) P.O. Box 6216
Santa Fe, NM 87502 USA téléphone : +1 505-471-0129
arthur@cellphonetaskforce.org

Les 33 derniers bulletins d’information, y compris celui-ci, peuvent être téléchargés et partagés sur la page des bulletins d’information du Cellular Phone Task Force. Certaines de ces lettres sont également disponibles en allemand, espagnol, italien, français, norvégien et néerlandais.

Pour signer l’appel, rendez-vous sur :

https://www.5GSpaceAppeal.org




Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

[Source : RL]

Propos recueillis par Pierre Cassen

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

Riposte Laïque : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

Riposte Laïque : Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

Riposte Laïque : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

Riposte Laïque : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

Nicole Delépine : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

Riposte Laïque : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

Nicole Delépine : Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

Riposte Laïque : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

Riposte Laïque : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

Nicole Delépine : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram




La misère intellectuelle du Ministre de la Justice

Par Lucien SA Oulahbib


Au fur et à mesure que les « dommages collatéraux » d’une politique visant à faire disparaître les notions mêmes de « crime » et de « sanction » (comme relatés plus longuement ici et ) déploie ses conséquences des plus néfastes, il semble opportun de faire comme un point d’étape autour de cette emphase intitulée « sentiment d’insécurité » assimilé à un « fantasme » pour l’actuel Garde des Sceaux afin de comprendre « d’où il parle »…

Il recycle en réalité une affirmation lapidaire issue du compostage lénifiant d’un Michel Wieviorka (dont voici un florilège. Le ministre actuel de la Justice en vient ainsi à réduire la notion de « sentiment » à une sorte de fugacité pulsionnelle, alors que pour Pierre Janet la notion même de « sentiment » n’est pas une émotion/pulsion parmi d’autres, mais bien un « jugement » visant à une « régulation de l’action » — ainsi, après avoir accumulé un ensemble de sensations synthétisées en impressions plus ou moins traumatisantes, celles-ci viennent alors se proposer à l’analyse pour en tirer précisément un jugement. Ce travail, logique, vient alors en chercher les points communs, tout en les recoupant peu à peu avec d’autres impressions provenant de tiers [de manière réaliste, sans préjugés ou biais, ou le moins possible, d’où justement la confrontation des points de vue avec les « pairs »], afin de passer de cette saisie [inter] subjective [provenant d’un sujet observant en lien avec des groupes et cercles de référence qui lui permettent de comparer et d’affiner] vers une étude synthétique plus vaste dite « objective » et ainsi passer du « logique » au » rationnel ».

Il s’agira alors de peser si l’on peut passer du singulier au particulier puis au général, à savoir l’universel, c’est-à-dire de juger si telle action violente est « seulement » un fait « divers » [que l’on peut diluer sur cinq cents ans…] ou un fait « phénomène » au sens qu’il synthétise « chimiquement » en lui de nombreux cas dont la sédimentation physique forme alors de plus en plus de distorsions de troubles, ici et maintenant [ne pas confondre alors les analyses historiques, démographiques, et politiques]. Ceci fait déjà que l’observation ne peut se diluer dans la seule approche « socio-économique » [pauvreté, misère, environnement urbain], puisque des zones bien plus marginalisées encore ne connaissent pas ce genre de dégradation.

Aussi, si « sentiment d’insécurité » il y a, cela signifie qu’il se passe bien quelque chose de signifiant [et même le fantasme ne provient pas de « rien »], car lorsque cette jeune fille en minijupe ou short passe sous les yeux de divers mâles à la culture peu encline à admettre qu’elle ne doit pas être sifflée de manière méchante, tout en la traitant verbalement de « pute », alors qu’autrefois le sifflet [populaire] pouvait être plutôt admiratif, à l’ancienne, mais sans plus, force est de constater qu’il existe bien une différence, objective, et non pas fantasmée, entre la culture française populaire — celle qui aime la beauté des femmes et qui a fait évoluer son regard depuis les années Yé-Yé — et la culture plus inégalitaire envers les femmes comme l’est encore la culture islamique et qui pense toujours que l’aspect seyant d’une femme fait qu’elle doit être d’emblée consommée physiquement [voire sans son consentement] et non pas seulement perçue plastiquement, esthétiquement, quitte à ce qu’ensuite, lors d’une rencontre entre deux regards qui s’apprécient et la séduction opérant, les choses s’affichent autrement….

Mais de telles subtilités dans l’analyse n’ont visiblement plus lieu d’être : un ministre de la justice va ainsi écarter le sentiment d’insécurité de cette jeune femme en minijupe en le jugeant imaginaire, tandis que d’autres, dans sa foulée, vont considérer qu’elle exagère ou ne comprend pas les demandes « naturelles » et qu’elle est donc « raciste ») si elle les refuse. D’autres encore proposeront « d’élargir les trottoirs » ou constateront seulement qu’il n’y a pas les mêmes critères d’appréciation de part et d’autre, ce qui fait que lors d’un jugement pénal, en cas d’agression, les personnes n’ayant justement pas ces « critères » (ces « codes ») seront jugées selon leur provenance. Ainsi les unes, étrangères, seront excusées (puisque ne connaissant pas les « codes »). Les autres, autochtones, et surtout ayant un nom du cru (lesdits « souchiens ») seront elles sévèrement réprimandées…

D’où le fait que l’actuel ministre de la Justice ne veuille plus incarcérer. Ce long détour n’aura donc pas été vain : c’est bien parce que ce sieur est issu de tout un courant de pensée qui dilue les notions de « crime » et de « sanction » jusqu’à les réduire à des dommages exogènes que nous nous trouvons dans une impasse que bien des policiers également relèvent. Quand bien même en effet il y aurait des arrestations, celles-ci se heurtent de plus en plus à des jugements relativisant crime et sanction.

Ceci fait que l’on bascule d’un « sentiment d’insécurité » à une réalité d’injustices, suite à l’illusion dominante qui stipule que les violences envers autrui ne seraient « que » des pulsions sociales fomentées par une « violence symbolique des dominants blancs », alors qu’il s’agit non pas de pulsions, mais d’impulsions c’est-à-dire d’intentions en partie préméditées et formatées par toute une culture non seulement de l’excuse, mais exaltant l’inégalité (en l’occurrence féminine). Or tant qu’un travail de fond n’aura pas été fait dans cette direction en rappelant la responsabilité de chacun à respecter le fait d’être ensemble (et non pas de seulement cohabiter), on en restera à un vague rappel institutionnel (comme le propose Habermas) au sens par exemple de faire des brochures et des conférences en milieu scolaire alors qu’il s’agit réellement de se demander pourquoi de telles violences « gratuites » ont lieu de plus en plus un peu partout, jusqu’à faire penser à un nihilisme du quotidien lorsque « sentant » qu’ils bénéficient d’une atmosphère d’impunité, d’aucuns iront attaquer les cibles dont l’agression est de toute façon légitimée à longueur d’ondes par les entrepreneurs/vendeurs de perceptions qui stipulent que la femme blanche est une proie, de même que le mâle sera un raciste colonisateur qui a pillé l’Afrique et que sans cela cette dernière aurait le niveau de vie des USA ou de l’Allemagne (discours de dirigeants FLN dans les années 60). C’est du pain béni pour le djihadisme « en marche » (qu’une Valérie Pécresse avalise également)…

Du pain sur la planche, donc, qu’un « arrêt » de l’immigration ne résoudra cependant pas tant celle-ci est aussi un problème mondial de corruption généralisée et de globalisation ratée, et que tout un travail de profondeur en interne reste à faire à tous les niveaux (voir d’ailleurs la série La belle et les truands en particulier 2 et 3 ou :
La belle et les truands
La belle et les truands (Partie 2)
La Belle et les truands (partie III)).




La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :

    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.

  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020




Ces 30 banques qui peuvent faire « sauter » le système

[Source : elucid.media]

Par Marine Rabreau

On les dit « systémiques » : si l’une d’elles fait faillite, c’est tout le système financier mondial qui vacille. Elles sont américaines, françaises, britanniques, suisses, chinoises… Malgré les avancées en matière de réglementation bancaire depuis la crise de 2008, les États restent, au fond, garants de leurs dettes.

Elles sont soi-disant « too big to fail » : trop grosses pour faire faillite. Certaines banques sont dites « systémiques » : c’est-à-dire que si l’une d’elles fait faillite, c’est tout le système financier mondial qui est ébranlé.

C’est exactement ce qu’il s’est passé avec la chute de la banque américaine Lehman Brothers en 2008, qui a entraîné un séisme financier mondialisé sans précédent, nécessitant un renflouement urgent des plus grandes banques internationales par les États, via un endettement public massif. Ce sauvetage du « système » reste encore aujourd’hui en travers de la gorge des citoyens contribuables du monde entier, qui ont eu le sentiment de « payer » pour un secteur qui avait pris des risques inconsidérés, en toute impunité.

Même la Fed, le FMI ou encore la Banque des règlements internationaux comparent ces banques à de véritables « réacteurs nucléaires »… Il faut dire que ces banques-là savent, au fond, que les pouvoirs publics ne peuvent décemment pas laisser le système péricliter. C’est ce qu’on appelle l’aléa moral : elles ont tendance à prendre plus de risques que de raison, puisqu’elles ont la garantie d’être sauvées.

Trente banques systémiques à travers le monde

Pour éviter un nouveau Lehman Brothers, le Conseil de stabilité financière (le Financial Stability Board), qui réunit des représentants des autorités de supervision bancaire des pays du G20, publie chaque année depuis 2011 la liste des « Global systemically important banks » (ou « G-SIBs »). Une telle identification constitue une avancée indéniable : il est fort probable que les autorités américaines n’auraient pas décidé de lâcher Lehman Brothers si elles avaient su que sa faillite était de nature à mettre la planète finance en danger.

Le FSB prend en compte plusieurs critères pour évaluer le risque systémique d’une banque : la taille de son bilan, bien sûr, mais aussi la complexité de ses activités, sa présence dans différentes juridictions, son degré d’interconnexion avec l’écosystème financier, et son caractère substituable en cas de faillite.

Ainsi, en 2022, soit 14 ans après la plus grosse crise financière depuis la Grande Dépression, il y a encore quelque 30 banques ultra-concentrées et hyper complexes dans le monde susceptibles de faire « sauter » le système en cas de faillite. Huit d’entre elles sont des banques américaines, huit autres font partie de la zone euro, quatre sont chinoises, trois japonaises, trois britanniques, deux suisses, et deux canadiennes.

Les banques sont classées par catégories, de 1 à 5. Plus la catégorie est élevée, plus la banque présente un risque systémique important, et plus elle se voit appliquer une exigence supplémentaire de fonds propres pour faire face en cas de choc. En 2021, la banque américaine JP Morgan Chase fait son retour dans la catégorie 4. Elle devra donc constituer un coussin supplémentaire de liquidités de 2,5 % par rapport aux banques « normales ».

En la matière, la France s’avère être vice-championne du monde des banques systémiques, avec BPCE, Crédit Agricole, Société Générale, et BNP Paribas, qui pèse de plus en plus lourd : en montant de la catégorie 2 à la catégorie 3, elle rejoint l’américaine Citigroup et la britannique HSBC. Notons néanmoins que cette « promotion » n’affecte pas la banque française puisqu’elle dispose déjà d’un ratio de fonds propres durs de 13 % et sa « capacité totale d’absorber les pertes » atteint 26 %, soit 6 points au-dessus des exigences du FSB.

Le cas préoccupant de la Chine

Depuis sa création, le classement du FSB a toujours recensé entre 29 et 30 banques systémiques, avec quelques entrées et quelques sorties qui ne bouleversent pas l’analyse globale d’une année sur l’autre. Néanmoins, sur les 10 années écoulées, la percée de la Chine dans le paysage bancaire systémique est particulièrement impressionnante.

En 2011, le classement FSB ne comptait qu’une banque chinoise ; aujourd’hui, il en compte quatre, qui s’avèrent être aujourd’hui les quatre plus grandes banques du monde, comme le confirme le classement mondial des 100 plus grandes banques du monde publié chaque année par le S&P Global Market Intelligence. À elles seules, elles totalisent plus de 17 000 milliards de dollars d’actifs (c’est 17 % de plus qu’en 2020), contre 1 900 milliards en 2011.

L’État reste, au fond, garant des dettes bancaires

Avec les nombreuses réformes bancaires menées dans le monde entier, la capacité financière des banques systémiques à absorber des pertes s’est améliorée, certes. Mais aujourd’hui encore, la valeur des actifs de ces banques représente 20 fois celle de leurs fonds propres. Un levier bien trop élevé pour résister à un choc majeur.

Pour ne plus faire peser les risques sur les pouvoirs publics, la réglementation bancaire a tendu vers la responsabilisation les banques, en leur imposant le principe du sauvetage en interne. On est passé du « bail-out » au « bail-in« . En Europe par exemple, les banques en difficulté sont censées mettre à contribution d’abord leurs actionnaires et leurs créanciers. Si besoin, les dépôts de plus de 100 000 euros peuvent être ponctionnés (c’est ce qu’il s’était passé à Chypre en 2013).

Enfin, elles peuvent faire appel à un Fonds européen de « résolution unique », qui serait doté en 2023 d’environ 55 milliards d’euros. Ce qui paraît bien mince : rappelons qu’à elle seule, BNP Paribas pèse plus de 2400 milliards d’euros, autant que le PIB français ! C’est pourquoi, aujourd’hui encore, les investisseurs considèrent toujours la dette bancaire comme une dette « garantie » par l’État… L’aléa moral du « too big to fail » n’a donc pas disparu.

Enfin, si les banques sont beaucoup moins interconnectées sur le marché interbancaire qu’il y a dix ans, elles le sont bien plus avec d’autres intermédiaires financiers, notamment des sociétés de gestion ou des fonds d’investissement qui opèrent dans le « shadow banking » (la finance de l’ombre), et qui passent sous le radar des régulateurs. Dans sa définition la plus large, cette finance non bancaire pèse 184 000 milliards de dollars, soit presque la moitié du total des actifs mondiaux, selon les dernières estimations du FSB datant de 2019. À peine identifié, le risque systémique se déplace subrepticement dans des sphères bien plus opaques.




Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




Sans argent liquide = le seuil de l’enfer

[Source : Kla.tv]

Par Ivo Sasek



Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 1977, et si ce que vous allez entendre ne se produit pas exactement de cette manière, comme je vais le dire maintenant, alors on peut me traiter de faux prophète.

J’esquisse ici encore une fois sans ambiguïté la destination vers laquelle toute cette pandémie de Covid veut nous pousser.

Enfin, il ne faut pas oublier de proposer une issue réalisable. Mais passons directement au point essentiel : quelles sont les instructions que l’on nous martèle depuis des mois dans presque tous les grands magasins d’alimentation ? « Payez sans contact ».

Oui, c’est ça : « Payez sans contact ». Je l’entends tout le temps. Et les médias, ces infatigables porte-parole de quelque mystérieux commanditaire, évoquent l’utilisation de l’application « Contact-Tracing ». Bien sûr, tout cela en anglais dans l’espace germanophone. En d’autres termes, nous devons nous rendre de plus en plus traçables partout et à tout moment. Oui, j’ai délibérément choisi ce terme de « traçable », car son ambiguïté nous met déjà dans l’ambiance de la thématique centrale dont il est question ici.

Vous savez, la destination de la plandémie n’est pas seulement la surveillance totale, mais plutôt le contrôle total, la domination totale de chaque citoyen de la Terre !

Tant que c’est possible, ils veulent atteindre cet objectif au moyen du Covid.

La santé à tout prix, telle est la devise politique. Les privations de liberté imposées par les confinements ne peuvent déjà plus être rachetées que par le biais d’indulgences de toutes sortes – et le commerce de billions de dollars est florissant : tout a commencé avec le commerce des indulgences des masques, bien que les experts qui ont donné le ton aient ouvertement souligné au préalable que les masques n’apportaient absolument rien ; cette constatation a toutefois fourni le prétexte idéal pour pouvoir imposer les premiers pas vers la surveillance totale souhaitée du monde entier. Vous comprenez cela ? Cette démarche forcée s’est bien sûr accompagnée depuis d’un commerce toujours plus florissant d’indulgences d’autotest, d’indulgences de tests PCR, puis d’indulgences de vaccins, d’indulgences de passes sanitaires, etc. Mais que ce soit clair : ce ne sera jamais la liberté promise que vous achèterez avec toutes ces indulgences mentionnées et à venir. Vous achetez ainsi uniquement votre état d’esclave total. Et chaque jour, dans les magasins, vous entendez dans les haut-parleurs la manière dont vous achetez votre esclavage : Payez sans contact ! Ecoutez comme ils disent ça : « Payez sans contact ! » « Payez sans contact ! » Bien avant le Covid, d’innombrables lanceurs d’alerte avaient déjà révélé comment la suppression de l’argent liquide constituait une base stratégique pour les dirigeants mondiaux auto-proclamés.

À ce moment-là, nous ne savions encore rien sur le Covid.

Malgré cela, même la plupart des médecins de ce monde essaient d’acheter leur liberté par le biais du commerce des indulgences de certificats et des indulgences de vaccins. Ecoutez-moi, vous tous les médecins qui faites de telles choses : Vous savez très bien qu’avec le Covid, on a jeté aux orties tout, mais vraiment tout ce que vous avez appris sur le sujet dans vos universités. Mais au lieu de vous unir et de vous lever contre ce scandale pour défendre votre savoir chèrement acquis, vous vous taisez, tout simplement ! Et je vais vous dire pourquoi : par pure peur de perdre vos droits d’exercer. Et ce faisant, vous soutenez le plan directeur qui se cache derrière toute cette propagande épidémique et cette terreur des peuples – et vous suivez même l’ordre stratégique du paiement sans contact. Alors que si vous mainteniez fermement et proclamiez haut et fort vos premières leçons de pathologie, de virologie, de biologie ou de quoi que ce soit d’autre, cela pourrait conduire à la mise en échec immédiate de cette stratégie sans argent liquide. Mais même toute personne ayant reçu une formation moyenne dans les domaines de l’anatomie médicale devrait encore avoir en tête ces connaissances de base empiriquement prouvées. Toute infirmière ou par exemple toute sage-femme a appris lors de sa formation de base que les virus ne peuvent pas subsister tout seuls mais qu’ils ont besoin d’un hôte vivant. Alors comment les virus pourraient-ils survivre sur de la matière morte comme des billets de banque ?

Mais venons-en maintenant au point le plus important : la suppression de l’argent liquide rendra chaque citoyen de la Terre vulnérable au chantage jusqu’au bout. Réfléchissez bien à ce que je vais dire ! Les extorsions actuelles ne sont qu’un petit avant-goût de ce qui se passera lorsque nous perdrons l’argent liquide. Ça c’est mon pronostic ! Déjà maintenant, tous ceux qui ne se conforment pas exactement aux diktats sanitaires sont exclus de toutes sortes de commerces, de divertissements, de locaux, de services, de professions, etc. Le rachat de libertés partielles ne peut se faire que par des soumissions ainsi forcées. Une fois l’argent liquide supprimé, les mêmes dictateurs bloqueront les comptes des personnes peu dociles jusqu’à ce qu’elles fassent exactement ce qu’ils veulent. Vous comprenez ? Et, voyez-vous, c’est là que les choses deviennent vraiment difficiles pour nous tous. Aujourd’hui déjà, ces despotes forcent les gens à participer à leur « expérience de vaccination ». Malgré les mises en garde de milliers de spécialistes éminents, qui les avertissent qu’il s’agit de « faux vaccins » dangereux. Ces gens s’en fichent totalement.

Reconnaissez donc que les hommes qui tiennent actuellement les leviers de commande du monde ne peuvent en aucun cas être issus du véritable système de santé. Ils viennent des âmes extrêmement morbides du complexe financier numérique mondial ou, comme l’a prouvé le nouveau chancelier allemand, ils sont au moins mêlés aux cercles financiers les plus influents. Mais les leviers de la domination mondiale sont également détenus par les parties corrompues de Big Pharma et leurs associés, par diverses sociétés secrètes de haut niveau et leurs vassaux souvent ignorants, etc. On en a déjà souvent parlé. Leurs véritables intérêts résident uniquement dans l’assouvissement de leurs désirs de pouvoir anormaux, qu’ils souhaitent pousser à l’extrême sur la voie de l’hyper-maximisation des profits, jusqu’à la domination ultime du monde.

Et l’humanité arrivera à cette destination, à moins que nous n’arrêtions enfin cette guerre hybride ! Mais si la communauté mondiale ne met pas un terme à cette évolution anormale par une décision mondiale claire ou par des décisions mondiales, ces dirigeants malades de l’argent numérique ne tarderont pas à émettre des décrets qui nous semblent aujourd’hui encore totalement impensables.

Alors rien de plus abject, de plus malsain ou de plus pervers ne sera impossible. Je vous le garantis ! Et que personne ne dise que je ne fais que fantasmer. Rappelez-vous la phrase que j’ai dite au début. Si tout ne va pas dans cette direction, avec ou sans le Covid, je serai un faux prophète.

Le Covid n’est qu’un des nombreux fléaux qui nous poussent vers le but ultime que je viens d’évoquer. Aujourd’hui déjà, ces fous, je ne peux pas les appeler autrement, nous obligent à commettre les actes les plus insensés, tu le sais de par ta propre expérience, et nous en avons expliqué des centaines dans nos émissions kla.tv ; mais demain, ces mêmes manipulateurs te couperont les vivres au moindre refus d’obéissance. Ce qui est malheureusement inconcevable pour la plupart des gens de ce monde, c’est le fait que ces maîtres de la contrainte exigeront toutes les perversions encore impensables aujourd’hui. N’oubliez pas à quel point il aurait été impensable, il y a vingt ans encore, que la théorie du genre fasse partie du programme politique mondial, ou que rien qu’en Allemagne, des centaines de milliers d’enfants soient arrachés à leurs parents chaque année, ou que le monde entier soit réduit à la plus stricte nécessité s’il ne se soumet pas à une expérience de vaccination massivement contestée, etc. Et pourtant, toutes ces choses et bien d’autres sont devenues des évidences depuis longtemps. Mais dès que l’argent liquide sera supprimé, tu pourras rapidement subir des prélèvements automatiques, voire des blocages de compte, pour tout écart par rapport au « politiquement correct » à venir. Je dis cela en tant que personne à qui les élites financières dénient depuis de nombreuses années, sans explication, toute solvabilité, bien que je n’aie jamais rien eu à me reprocher. Mais revenons à notre situation : il se pourrait aussi que les dirigeants mondiaux qui viennent d’apparaître trouvent bientôt préférable que tu te fasses vacciner encore plus, puis tester à nouveau, pour protéger la collectivité ; ou que tu changes volontairement de sexe au risque qu’on te bloque ton argent, afin de mieux t’intégrer dans leur image globale ; tu comprends ? Ou alors que tu cèdes tes enfants ou ton partenaire aux dirigeants pour le bien de l’État, sinon ton argent sera bloqué. Suis bien ce que je suis en train de dire.

Si tu commences à douter de moi, demande à ton dictionnaire ce que signifie « Jus Primae Noctis » (c’est-à-dire « droit de cuissage »).

Croyez-le ou non, c’était le droit légal des seigneurs médiévaux de passer la première nuit avec la femme d’un serf, d’un sujet, etc. qui venait de se marier. Oui, la première nuit ! Malgré toutes les moqueries sur les dérives médiévales, nous ne nous rendons même pas compte qu’actuellement, leurs coutumes inhumaines et le commerce des indulgences sont en train d’être décuplés.

Les maîtres de l’argent numérique pourraient aussi trouver tout à coup plus utile que tu partages ta maison avec des immigrés pour renforcer le sens de la communauté, sinon ton argent sera bloqué ; que tu travailles dans une autre profession pour mieux t’intégrer, sinon ton argent sera bloqué ! Ou que tu vives avec un partenaire plus approprié pour te ménager, sinon ton argent sera bloqué ! Vous comprenez de quoi je parle ? Ou que tu n’aies pas de partenaire du tout afin de te protéger. On peut tout décider pour toi, sinon ton argent sera bloqué !

Chacun peut continuer cette énumération à sa guise. Et, croyez-le bien, quoi que vous imaginiez d’impossible, ça pourrait toujours être pire. C’est ce que j’affirme avec conviction à ce stade !

Mais cela ne se produira que si la communauté mondiale n’entreprend pas très rapidement des démarches communes et ne prend pas de décisions à caractère obligatoire.

Je ne peux pas inclure dans cette partie la question de savoir par quels moyens et sous quelle bannière ces décisions mondiales sont prises. Que chacun se saisisse de ce qu’il peut. Que chacun agisse selon ses talents. Pour conclure, je vais juste esquisser trois des décisions mondiales les plus importantes parmi toutes celles que nous devrions prendre. Le premier point est le plus urgent :

  1. Prenons la décision mondiale de ne plus tirer aucun profit des crises, épidémies, pandémies, catastrophes et autres.
    Vous avez bien compris ? Cette décision mondiale de temps de crise doit s’appliquer aussi bien aux individus qu’à tous les types d’entreprises qui profitent de la crise, comme les banques, les entreprises pharmaceutiques, les assurances, les spéculateurs de toutes sortes, les associations, les gouvernements, les organisations caritatives, etc.
    Il est désormais inacceptable qu’une seule et même crise provoque d’un côté d’innombrables victimes tandis que de l’autre, une quantité vraiment infime de profiteurs cupides s’enrichissent sans mesure grâce à ces victimes. Ce n’est tout simplement pas possible. Ce premier point me semble donc, comme je l’ai dit, le plus urgent et le plus nécessaire, c’est la décision mondiale.
  2. Une deuxième décision mondiale doit être la préservation absolue de notre argent liquide pour les raisons susmentionnées et bien d’autres encore. Paye autant que tu le peux en espèces et témoigne partout que l’argent liquide est synonyme de liberté.
  3. Une troisième décision mondiale doit être prise pour y parvenir – il doit donc également y avoir une décision mondiale qui exige l’arrêt inconditionnel de la production de toute technologie de surveillance numérique. Avant tout, il faut empêcher et interdire la technologie 5G qui sert à cela. Elle est de toute façon extrêmement dangereuse pour notre santé, tout comme les générations précédentes d’ondes électromagnétiques.
    Enfin, il faut refuser à tous les médias à redevances obligatoires le droit d’être payés tant qu’ils refusent, comme ils le font depuis longtemps, de publier les contre-arguments et censurent les voix alternatives importantes de la vérité.
    Une fois de plus, il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg. Je qualifierais la première décision mondiale – c’est-à-dire l’interdiction absolue de « tirer du profit de la crise » – d’obligatoire et les trois autres sont des options possibles.
    Encore un pronostic pour la fin : la prétendue pandémie se terminera du jour au lendemain si personne ne peut plus en tirer profit. Toute crise provoquée par les hommes se terminera exactement de la même façon.
    S’il vous plaît, diffusez si possible ces avertissements et ces appels sur vos canaux. Informez constamment ceux qui ne sont pas encore au courant. Prenez les choses en main et connectez-vous avec les personnes activement réveillées, partout où c’est possible et avec qui c’est possible.
    Je m’appelle Ivo Sasek, vous connaissez la suite…



2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections

[Source : etouffoir via Nicolas Bonnal]

[Photo : Daniel Aakervik]

« VACCINS » anticovid : des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur santé ou leur vie, par annexion tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Cette liste, fantastique travail de mémoire en hommage aux sportifs sacrifiés de ce système, a été établie par un internaute du forum covid-factuel.fr

A

Aakervik Daniel : 17 ans (skieur de fond norvégien professionnel) Saison suspendue après une réaction grave à l’injection. Novembre 2021. 

Abgrall Mathieu : 36 ans pompier volontaire, sportif. L’homme fait un malaise à la caserne de Camaret-sur-Mer et après tentative de réanimation par ses collègues, il décède. Décembre 2021.

Abdel-Rahman Atef : 20 ans (footballeur professionnel égyptien de club de G.Mahalla) Mort en plein match. Mars 2021. 

Abriska Whitnée : 19 ans (handballeuse réunionnaise, équipe belge, club du Fémina Visé) Décède subitement alors qu’elle s’apprête à prendre l’avion pour revenir de La Réunion. Juillet 2021.

Aguero Sergio : 33ans (footballeur argentin professionnel, joueur star du F.C Barcelone, Espagne) En octobre 2021, il fait un malaise en plein match contre le Deportivo Alavés. Les médecins lui diagnostiquent une arythmie cardiaque. En décembre 2021, Aguero annonce mettre un terme à sa carrière pour raisons de santé.

Aukuso Lavea Sulamai : 48 ans (ex-joueur professionnel de rugby néo-zélandais, équipe des Manly Sea Eagles, Australie) Il décède d’une crise cardiaque pendant un entraînement. Décembre 2021.

Al Raqadi Mukhaled : 29 ans (footballeur omanais professionnel, club de Muscat, Oman) Victime d’une crise cardiaque pendant l’échauffement de son équipe, avant le match contre Swabik en championnat. Il est transporté à l’hôpital, mais malheureusement il décède. Décembre 2021.

Ali Abou : 22 ans (footballeur professionnel, joueur du club danois de deuxième division Vendyssel) Fait un malaise en plein match contre le club de Lyngby. Septembre 2021.

Alfasi Arik : 49 ans (entraîneur de la Premier League israélienne de basket) Malgré deux doses d’injection, l’homme jusqu’ici en bonne santé décède du covid, ses proches suspectant qu’il soit mort à cause des injections. Septembre 2021.

Alkhatib Jack : 18 ans (joueur d’une équipe de football américain du lycée Dutch Fork High School, South Carolina, USA) S’effondre après un entraînement et décède. Août 2021.

Allen Imogen : 22 ans (cavalière anglaise, championne de saut d’obstacles) Hospitalisée pour une réaction grave à la première injection Moderna en Juillet 2021, avec deux caillots de sang massifs sur ses poumons. Ne pourra plus jamais monter à cheval.

Amin Ahmed : 24 ans (gardien de but, équipe de troisième division égyptienne Al-Rebat & Al-Anwar SC, Port Saïd) Le joueur meurt d’une crise cardiaque juste après un entraînement. Décembre 2021.

Amoroso Jérémy : 37 ans (militaire français, caporal-chef 1ère classe du 13e Bataillon de chasseurs alpins) Victime d’un malaise après une « marche section » à l’île de La Réunion, il est évacué au centre hospitalier de Bellepierre avec un pronostic vital engagé. Malheureusement il décède deux jours plus tard. Décembre 2021.

Anchan Devaraj : 33 ans (joueur de volley-ball indien de niveau national)  S’effondre alors qu’il participait à un tournoi. Mort sur le chemin de l’hôpital. Mars 2021.

Antwi Emmanuel : 18 ans (Joueur de football américain du club Kennedy High School) Mort après malaise pendant un match. Mars 2021.

Apolinário Alex : 24 ans (footballeur professionnel brésilien, club portugais FC Alverca) Mort  après arrêt cardiaque en plein match. Janvier 2021. 

Archibald Josh : 28 ans (Joueur professionnel américano-canadien de hockey sur glace, équipe de des Oilers d’Edmonton, Canada) En congé indéfini en raison d’une myocardite. Octobre 2021.

Arias Guillermo : 31 ans (footballeur vénézuélien, club du Camaguán FC, troisième division) Meurt en plein match d’un arrêt cardiaque lors d’un tournoi régional. Septembre 2021. 

Armando Montiel Diego : 25 ans (footballeur professionnel argentin, club Atlético de Rafaela, division 2 d’Argentine) En Août 2021, le joueur confie ne plus jamais vouloir recevoir de vaccins, laissant entendre qu’il souffrait de symptômes après avoir reçu l’injection Covid. Il décède d’une méningite en Décembre 2021. 

Arney Moira Claire : 15 ans (jeune footballeuse américaine, club de Toros Academy) Morte pendant un match. Août 2021.

Astolfi Andrea : 45 ans (directeur sportif du Calcio Orsago, Italie) victime d’une crise cardiaque au retour d’un entraînement et décéde sans antécédents médicaux. Septembre 2021.

Azzopardi Ava : 14 ans (adolescente australienne, footballeuse du Runaway Bay Soccer Club, Queensland, Australie) La jeune fille s’effondre après être entrée sur le terrain de foot en Octobre 2021. Dans un état critique, elle est plongée dans un coma artificiel. Revient à la vie et passe plusieurs semaines en unité de soins intensifs pédiatriques. Porte désormais un défibrillateur.

B

Badara Wade Alioune : 28 ans (footballeur amateur sénégalais, équipe du Dakar University Club, Sénégal) Le joueur s’effondre lors d’un entraînement et décède d’un arrêt cardiaque. Décembre 2021 

Banks Isaiah : 16 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : Norcross High School, Georgia, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Barklage Blake : 17 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : La Salle College High School, Wyndmoor, Pennsylvania, USA) L’adolescent décède d’un arrêt cardiaque après un match de football. Novembre 2021.

Barot Avi : 29 ans (joueur de cricket professionnel indien, club de Saurashtra) Mort d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Bartee Kimera : 49 ans (entraîneur et ex-joueur américain d’une équipe de baseball : les Detroit Tigers, USA) L’homme s’effondre et  décède alors qu’il rend visite à son père. Décembre 2021. 

Bayumi Imad : 45 ans (footballeur égyptien, ancien joueur de l’équipe de la République de Shebin) S’effondre sur le terrain et décède lors d’un match amical en Égypte. Juillet 2021. 

Bedodi simone : 40 ans (Joueur italien de baseball et entraîneur de l’équipe des Carega Park Rangers, Italie) Fait un malaise chez lui et décède. Octobre 2021.

Bell Amish : 20 ans (joueur de rugby du Blairgowrie RFC et étudiant de l’université d’Aberdeen, Écosse) Il fait un arrêt cardiaque pendant un entraînement et est ramené à la vie. Juin 2021. 

Berrier Franck : 37 ans (ex joueur footballeur professionnel français, entraîneur du club KV Ostende) Mort d’un arrêt cardiaque en faisant du sport. Août 2021.

Best Dale : 34 ans (rugbyman australien, équipe des Swans de Maroochydore, Queensland, Australie) Malaise cardiaque pendant un match. Décédé une fois arrivé à l’hôpital. Février 2021.

Betjes Wouter : 14 ans (joueur hollandais de hockey sur gazon) L’élève de l’école de Beverwijk s’effondre sur le terrain pendant un match avec ses copains de classe. Malgré une réanimation cardiaque, il décède plus tard à l’hôpital. Décembre 2021.

Biglione Ronald : 32 ans (footballeur professionnel argentin, équipe du Deportivo Club Independencia, Division 1 Argentine) Décède une semaine après avoir été diagnostiqué avec des caillots sanguins. Octobre 2021.

Binet Gaëtan : 27 ans (sportif et gendarme à la brigade de Port-Jérôme, Seine-Maritime, France) Alors qu’il fait un footing, il est victime d’un arrêt cardiaque et décède . Octobre 2021.

Bitktimirova  Arina : 19 ans ( Championne d’Europe de Taekwon-Do ITFArina Biktimirova) La jeune femme russe est décédée de morte subite. Novembre 2021.

Bitner Mélanie : 47 ans (femme d’affaires et sportive canadienne) La femme fait une réaction grave à sa première injection en Avril 2021 et est admise en urgence à l’hôpital général de Vancouver pour de multiples caillots sanguins. Aujourd’hui malade d’une thrombocytopénie immunitaire, elle a dû arrêter de travailler.

Bizu Borislav : 24 ans (canoé-kayakiste ukrainien, triple champion d’Europe et du monde) Mort d’une septicémie. Décembre 2021.

Blandini Christian : 20 ans (Jeune italien, une « étoile montante » du volley-ball de l’Université de Catane, Italie) Décède d’un arrêt cardiaque foudroyant . Septembre 2021.

Bommer Lucas : 25 ans (gardien de but de handball de l’équipe du HC TuRa Bergkamen, Allemagne) Mort subite. Octobre 2021.

Bos Sebastiaan : 19 ans (joueur de hockey sur gazon, équipe de Laren, Pays-Bas) Mort subite. Septembre 2021.

Böttcher Elly : 17 ans (Footballeuse allemande, club semi-professionnel de Rostocker FC, Allemagne) S’effondre sur le terrain de lors d’un match à Brandenburg et est évacuée à l’hôpital. Octobre 2021.

Bounds Adam : 41 ans (footballeur anglais amateur du Devon, Angleterre) Il fait une réaction grave à l’injection AstraZeneca et décède onze jours plus tard d’une hémorragie cérébrale à l’hôpital de Plymouth. Mai 2021.

Bowman Ryan : 29 ans (footballeur professionnel anglais, joueur de l ‘équipe de Shrewsbury, 3 ième division anglaise) Il est transporté d’urgence à l’hôpital après avoir souffert de palpitations cardiaques lors du match de League One contre Ipswich. Le médecin de l’équipe a constaté que son rythme cardiaque était de « 250 battements par minute » Octobre 2021.

Bozinovski Marko : 20 ans (joueur professionnel de handball du club RK Butel, Macédoine du Nord) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Juin 2021.

Bradshaw Joe : 19 ans (joueur de football américain à l’université Charleston Southern) Fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Mars 2021.

Braun Tim : 27 ans (footballeur amateur allemand, club du SV Hamberge, Schleswig-Holstein, Allemagne) Le joueur s’effondre pendant un match. Il sort du terrain et insiste pour pouvoir rentrer chez lui se reposer. Il va s’allonger mais malheureusement décède dans son sommeil. Juillet 2021.

Bruers Keanu : 19 ans (footballeur belge, club régional de Svelta Melsele, Flandres) Mort subite. 

Bristot Davide : 18 ans (joueur de voleyball amateur italien) Vacciné première dose Pfizer le 17 Juin 2021, il souffre de terribles maux de tête la deuxième semaine de Juillet, suivis de vomissements. Le 14 Juillet, sa mère le trouve mort au pied de son lit le matin. 

Brito Daniel : 23 ans (joueur vénézuélien de baseball, équipe des Phillies, Philadephia, USA) S’effondre sur le terrain pendant un match et doit subir une opération d’urgence. Juillet 2021.

Bruce Alex : 20 ans (rugbyman anglais, club de deuxième division des Batley Bulldogs) Le jeune homme est retrouvé mort dans une chambre d’hôtel française le lendemain de ses débuts en première division contre l’équipe de Toulouse. Août 2021.

Bryce Tevita : 28 ans (joueur de rugby tonguien, équipe de Montclair Rugby Football Club, USA) Arrêt cardiaque pendant un match de demi-finale de la ligue masculine du New Jersey. À environ 15 minutes de la fin du match, Tevita a donné un coup de pied dans le ballon et s’est effondré. Il a subi une crise d’épilepsie, une attaque cérébrale et une crise cardiaque majeure. Miraculeusement réanimé. Octobre 2021.

Bulu Charles : 34 ans (arbitre de foot ghanéen professionnel) S’effondre alors qu’il officie le match de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations 2021 entre la Côte d’Ivoire et l’Ethiopie. Emmené en urgence à un hôpital d’Abidjan. Mars 2021.

Butler Roy : 23 ans (footballeur professionnel irlandais, club anglais de Watford) Le 13 Août, après avoir reçu l’injection J&J, il souffre de graves maux de tête. Malaise général dans l’heure qui suit. Le samedi 14 août, il vomit et a des convulsions. Coma artificiel le 16. Décédé le 17.

C

Cabrera Óscar : 26 ans (basketteur dominicain, équipe de la quatrième division de la Liga EBA espagnole) À la fin du premier quart-temps, apparemment confus ou dans une sorte de transe pendant une seconde ou deux, le joueur reste statique, lâche le ballon de basket et s’effondre sur le sol. Transporté à l’hôpital. Décembre 2021.


Cabrera Roider : 30 ans (basketteur philippin professionnel, club de Terrafirma Dyip) Arrêt cardiaque juste après un match. Novembre 2021.

Čačic Marin : 23 ans (footballeur croate, troisième division de Croatie, club de Nehaj) Après s’être effondré pendant un entraînement, il est immédiatement transporté d’urgence à l’hôpital où il décède. Décembre 2021.

Cairns Chris : 51 ans (Joueur de cricket néo-zélandais, anciennement de l’équipe australienne Black Caps) En Août 2021, il fait une crise cardiaque massive et une rupture de l’aorte. Après de multiples opérations à cœur ouvert, il est aujourd’hui (Décembre 2021) paralysé et ne pourra peut-être plus remarcher.

Campo Alessandro : 25 ans. Frère de Vittoria Campo, trouvé mort chez lui deux jours après l’injection Pfizer. Septembre 2021.

Campo Vittoria : 23 ans (Footballeuse italienne du club de Palerme. Sœur d’Alessandro Campo) Morte après arrêt cardiaque. Octobre 2021

Campus Antonello : 53 ans (entraîneur de foot italien d’une équipe de jeunes de Sardaigne) S’effondre et meurt sur le terrain alors qu’il entraînait son équipe. Septembre 2021.

Canaday Sage : 35 ans (Coureur tchèque d’ultra-marathon) Après une chute sur l’Ultra Trail du Mont Blanc, il s’est avéré que le coureur est mort d’une embolie pulmonaire bilatérale et de caillots sanguins. Il était doublement vacciné et a commencé à avoir des problèmes en Mai au retour d’un vol. Après le rappel injection Pfizer, dans une vidéo il avait témoigné à ses fans avoir subi des effets secondaires sévères, notamment des difficultés à respirer. Juin 2021.

Cattigan Siobhan : 26 ans (joueuse de rugby professionnelle écossaise) Mort subite en novembre 2021.

Chabrera Dani : 29 (ex-footballeur professionnel espagnol du Villareal FC. Entraîneur des gardiens de but du Lokomotiv Tashkent en Ouzbékistan) L’homme est rentré en Espagne plusieurs jours après s’être senti mal et est décédé dans le pays. Décembre 2021

Chardy Jeremy : 34 ans (tennisman professionnel français) « Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les Jeux olympiques et l’US Open, ndlr), j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer», a-t-il dit en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. Septembre 2021.

Chedean Nation et Chinelle Henry : les deux jamaïcaines de 35 et 26 ans sont des joueuses de cricket professionnelles, de l’équipe Cricket West Indies. Les deux femmes s’effondrent à 10 minutes d’intervalle en plein match contre le Pakistan. Juillet 2021.

Chiazari Dean : 31 ans (champion de canoë-kayak sud-africain) Décède d’une crise cardiaque lors du marathon de canoë de Fish River, Afrique du Sud. Octobre 2021.

Coghe Rune : 18 ans (footballeur belge, club du KFC Eendracht Hooglede) Réanimé sur le terrain après arrêt cardiaque en plein match. Août 2021

Coman Kingsley : 25 ans (footballeur français professionnel, club du Bayern de Munich) Arythmie cardiaque. Septembre 2021.  

D

D’Arendonk Joppe Erpels, Verhagen Xander, Van Herck Yarno : (Trois cyclistes néerlandais, catégorie junior. Club de Campine) Les trois ados récemment injectés contre le Covid développent des problèmes cardiaques après une course. Direction l’hôpital, dont l’un des trois en soins intensifs. Août 2021.

Dagoury Florian : 34 ans (sportif français, recordman du monde en apnée statique) Myocardite, péricardite et régurgitation mitrale triviale suite vaccin Pfizer. Novembre 2021.
Dale Cameron : 29 ans (Navigateur australien) Décédé six semaines après un avc foudroyant. Août 2021.

Dalibor Nicky : 36 ans (footballeur allemand, Landesliga. Club de SV Olympia Schlanstedt) Le joueur fait un arrêt cardiaque en plein match lors de de la Bruch-Cup en Juillet 2021. Il est réanimé sur le terrain.

De Angelis Romina : 43 ans (volleyeuse italienne) S’effondre pendant un match avec des amis et décède d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021.

Dejan Oršuš : 24 ans (Footballeur professionnel croate, club d’Osk Otok) Décède après un match contre Radničkog en deuxième ligue de comté. Les médias croates ont rapporté que le jeune homme s’est effondré pendant le match. Il a été transporté à l’hôpital de Čakovec et les médecins n’ont pas pu l’aider. Cause du décès due à une crise cardiaque. Avril 2021.

De Jesus Moreira Fellipe : 18 ans (footballeur professionnel brésilien, équipe de l’Atlético-GO, Goiânia, Division 1 du Brésil) Le joueur fait un arrêt cardiaque à l’entraînement, est réanimé puis fait un deuxième arrêt cardiaque dans l’ambulance. Octobre 2021.

Dembélé Moussa : 25 ans (joueur professionnel franco-malien de l’Atlético Madrid. Malaise à l’entraînement, quitte le terrain pour recevoir des soins médicaux. Mars 2021.

De Lorenzo Luciano : 15 ans (jeune cycliste italien) Alors qu’il fait du vélo avec son père, l’adolescent fait un malaise et décède. Novembre 2021.

De Oliveira Faustino Riuler : 23 ans (footballeur professionnel brésilien, joueur du club japonais Shonan Bellmare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

De siano Domenico : 25 ans (basketteur italien et masseur de l’équipe Forio Basket, Campania, Italie) Le jeune homme décède après un mois à l’hôpital La Schiana de Pozzuoli, suite à une ischémie cérébrale dûe à des caillots de sang dans le cerveau. Décembre 2021.

De Smet Jens : 27 ans (footballeur amateur belge, club de FCC Filosoof) S’effondre et meurt en plein match. Septembre 2021.

De Vecchi Michele : 25 ans (étudiant et coureur de trail) Le jeune homme fait son jogging avec un ami dans les collines de Proseccoen Italie, et décède d’un arrêt cardiaque sur le sentier. Novembre 2021.

De wolff Niels : 27 ans (footballeur amateur belge, équipe des White Star Sombeke,Waasmunster, Belgique) Le joueur est victime d’un arrêt cardiaque après un match contre l’équipe de Warbrook. Réanimé par RCP et défibrillateur. Décédé à l’hôpital trois jours plus tard. Octobre 2021. 

Del Carmen Alvarado Ceylin : 23 ans (cycliste professionnelle néerlandaise, championne d’Europe de l’équipe Alpecin-Fenix) Carrière interrompue suite « perturbation de la numération sanguine » Octobre 2021.

Dimattina Paul :  47 ans (football australien, ex pro des Western Bulldogs) Se retrouve en soins intensifs après la troisième injection Pfizer (booster.) Novembre 2021. 

Dixon Bobby : (footballeur anglais, équipe de Cumbria, Angleterre) Le joueur s’effondre au début du match de Cumberland County League contre Gosforth à Gillford Park. Le staff utilise un défibrillateur pour le ramener à la vie. Décembre 2021.

Dixon Harriet : 15 ans (jeune anglaise sportive de Manchester, en bonne santé et qui avait l’ambition de devenir institutrice) La demoiselle a des migraines très fortes et soudain son état de santé se dégrade. Elle fait un arrêt cardiaque au domicile de ses parents et décède. Juin 2021.

Donadrian Robinson : 17 ans (étudiant, joueur d’une équipe de football américain : la Keenan High Scholl, Columbia, USA) Mort subite. Septembre 2021.

Dorozhkin Vladimir : 38 ans (entraîneur russe et athlète) Il est mort le jour même où il a reçu l’injection Spoutnik. Vacciné juste après midi, mort à minuit. Cardiomyopathie. Juillet 2021.

Dos Reis José : 29 ans (footballeur professionnel, club luxembourgeois Red-Black-Egalité 07)Arrêt cardiaque pendant match, miraculeusement réanimé sur le terrain. Août 2021.

Downey Jacob : 18 ans (Joueur de Hockey, étudiant canadien à l’Université Queen’s de Kingston) Mort subite. 29 septembre.

Downie Josh : 24 ans (joueur professionnel de cricket anglais, de la Nottinghamshire Cricket Board Premier League) mort après arrêt cardiaque à l’entraînement. Mai 2021.

Doyle Conor : 17 ans (étudiant américain et joueur de baseball de la Mustang High School, Oklahoma, USA) L’adolescent s’effondre à la suite d’un arrêt cardiaque pendant une séance d’entraînement matinale. Il est réanimé par les entraîneurs et emmené à l’hôpital. Novembre 2021. 

Dubrovolski Maxim : 17 ans (Footballeur russe amateur) S’effondre et décède pendant un match de la Ligue du Sud-Ouest de Moscou. Juin 2021.

DuHart Devon : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Tigers de Little Rock Central High School, Arkansas) Se plaint de sa santé après un entraînement et se rend à l’hôpital. Décède dans la foulée dans son sommeil. Juillet 2021.

Dumervil-Jean Dejmi : 22 ans (joueur d’une équipe de football américain : St. Thomas Aquinas Raiders, l’Université de Louisville, USA) Décède subitement en Novembre 2021.

Duran Ferran : 27 ans (footballeur espagnol, équipe de Maia CE, 4ième Division Catalogne, Espagne) En plein match l’équipe de contre Bescanó B, le joueur fait un arrêt cardiaque. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, nouvel arrêt cardiaque sur le terrain, puis deux autres à l’hôpital de Girona à son arrivée en hélicoptère. Miraculeusement ramené à la vie. Octobre 2021.  

E

Edwards Helen : Arbitre de foot professionnel anglaise. La jeune femme fait une crise cardiaque en plein match de qualification à la World Cup. Septembre 2021.

Elhard Mike : 39 ans (marathonien amateur américain de Minneapolis, USA) L’homme sort s’entraîner en vue du marathon de Chicago, s’effondre et décède peu de temps après le début de son footing. Septembre 2021. 

Elijah Hicks Antonio : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Citrus High School, à Inverness, en Floride, USA) L’adolescent fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’entraîne avec l’équipe de football de son école. Il est transporté d’urgence au Citrus Memorial Hospital, situé à côté de l’école, mais décède un peu plus tard. Septembre 2021.

Elitok Halil : 25 ans (footballeur amateur turque, équipe de SG Gahmen, Allemagne) S’effondre juste avant un match au sommet de la Kreisliga A2 de football de Dortmund contre Eving Selimiye Spor. Plongé dans le coma artificiel à l’hôpital. Octobre 2021.

Englebert Michaël : 37 ans (footballeur amateur luxembourgeois, club d’Ortho, Belgique) Fait un malaise cardiaque dans le vestiaires après un match. Il est réanimé à l’aide d’un défibrillateur et transporté à l’hôpital de Bastogne, puis Liège. Décède le lendemain. Octobre 2021.

Eriksen Christian : 29 ans (footballeur danois professionnel, joueur star de l’Inter Milan) P.S : les sources sont contradictoires car certaines affirment que le joueur n’était pas vacciné, d’autres au contraire stipulent que son arrêt cardiaque – en Juin 2021, en plein match de l’Euro – a eu lieu 12 jours avoir reçu une injection Pfizer. Toujours est-il que Eriksen est un miraculé, réanimé in extremis à l’aide d’un défibrillateur. Il aura besoin d’un stimulateur cardiaque pour le reste de sa vie.

Eubank Sebastian : 29 ans (boxeur professionnel, fils du célèbre boxeur Sebastian Eubank)
Décède  d’une crise cardiaque pendant une séance de natation. Juillet 2021.

Esparza Nathan : 16 ans (Jeune joueur de football américain, lycée de Castaic High School, Californie, USA) Appelés au domicile de ses parents, les secours de Los Angeles n’ont pas pu réanimer le garçon qui est décédé d’un arrêt cardiaque. Juillet 2021.

Evans Alex : 31 ans (joueur amateur de rugby de l’équipe de Cwmllynfell RFC, pays de Galles) L’homme fait un arrêt cardiaque en plein match du championnat du pays de Galles. Malgré l’intervention des secours, qui tentent de le réanimer à l’aide d’un défibrillateur, il décède quelques instants plus tard. Août 2021.

F

Fathallah Haitem Jabeur : 32 ans (basketteur tunisien, équipe de troisième division italienne : Fortitudo Messina) Le joueur est décédé dans un hôpital de Reggio Calabria, après avoir été victime d’une crise cardiaque pendant le match de son équipe contre Reggio Calabria. Octobre 2021.

Faye Doudou : 35 ans (ex-basketteur professionnel sénégalais du Stade sportif sfaxien en Tunisie) Décède d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Felton Tom : 34 ans (Golfeur et acteur britannique, star de la série de films Harry Potter) S’effondre durant une partie de golf. Septembre 2021.

Ferchaud Diego : 16 ans (footballeur français amateur, ASPPT Caen) Malaise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Fleck John : 30 ans (footballeur professionnel écossais, joueur de l’équipe des Blades, Sheffield United Football) S’effondre en plein match contre Reading et est évacué en urgence du terrain sous oxygène, direction l’hôpital. Novembre 2021.

Follmer Greyson : 19 ans (étudiant américain de l’Ohio, USA. Athlète d’élite, membre des ROTC –   programme de formation des forces armées américaines dans les collèges et universités pour le recrutement et la formation d’officiers) Après sa deuxième injection Pfizer en mai 2021, le jeune homme développe en très peu de temps de graves complications cardiaques : myocardite aiguë.

Forstenlechner Leo : 12 ans (Jeune joueur autrichien de hockey sur glace qui a joué avec l’équipe des Gunners, Oberwart, Autriche) Le gamin décède après avoir été hospitalisé pendant quelques jours à la suite d’un arrêt respiratoire à son domicile.

Fraser Ewan : 30 ans (joueur de hockey sur gazon de Glasgow, équipe de Clydesdale HC) Le joueur est un miraculeusement réanimé par un ami après avoir fait un arrêt cardiaque pendant un match. Dix minutes après s’être effondré, il revient à la vie. Octobre 2021.

Frei Stefan : 36 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Seatlle Sounders, USA) À cause de caillots sanguins en Mai 2021, le joueur doit être soigné avec des anticoagulants et ne reprend les matchs qu’en septembre. 

Freitas Vinicius : 20 ans (footballeur amateur du club Macaé Esporte FC, Brésil) Ancien athlète des catégories jeunes du club qui rêvait de jouer au football en tant que professionnel, le joueur est victime d’une crise cardiaque et décède. Décembre 2021. 



G

Gabriel 16 ans (jeune français de Haute-Garonne passionné de basket) Myocardite suite première injection) Septembre 2021

Gallucci Orlando : 49 ans (culturiste italien, entraîneur personnel et athlète décédé d’un arrêt cardiaque après une séance d’entraînement lors des Championnats Européens) Août 2021.

Gard Stéphanie : 19 ans (cavalière australienne) Tombe gravement malade après avoir reçu l’injection Pfizer. Neuropathie périphérique et péricardite. Novembre 2021.

Gare Lanny : 43 ans (joueur de hockey sur glace, équipe des Selber Wölfe, Allemagne)  Après un match contre l’équipe des Lausitzer Füchse, il fait une attaque cérébrale. Décembre 2021.

Garissone Innocent : 20 ans (Un des gardiens de but de l’équipe du P.S.G) Problème cardiaque. S’effondre et perd connaissance lors d’un match contre Chambly. Janvier 2021

Gavazzi Giani Chloe : 12ans (jeune joueuse de tennis italienne, membre de l’Académie Golarsa à Milan) Décédée subitement. Retrouvée morte à domicile par sa mère. Juin 2021

Georgiev Ivo : 49 ans (ex footballeur professionnel bulgare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Gérard Joachim : 32 ans (tennisman professionnel belge, handisport) Malaise cardiaque, jeux paralympiques de Tokyo. Septembre 2021.

Gigante Sarah : 21 ans (cycliste olympique et champion australienne en titre du contre-la-montre) La jeune femme fait une réaction grave à l’injection : fortes douleurs thoraciques la contraignant à des hospitalisations répétées après les Jeux olympiques de Tokyo. On lui diagnostique une myopéricardite. Novembre 2021.

Giuliano Santo : 33 ans (Danseur professionnel italien) Victime d’une crise cardiaque cinq jours après avoir reçu la première injection Pfizer et est réanimé par le personnel hospitalier à l’aide d’un défibrillateur. Juillet 2021.

Glenn Jordan : 16 ans (jeune basketteur américain de la Wisconsin Lutheran High School) S’effondre lors d’une pause au début de la mi-temps d’un match. Malaise cardiaque, réanimation avec un défibrillateur, transféré à l’hôpital par ambulance. Janvier 2021.

Gomes Ricardo : 30 ans (footballeur professionnel cap-verdien, joueur de l’équipe du Partizan Belgrade, Serbie) Moins de six semaines après avoir reçu l’injection covid, le joueur s’effondre à l’entraînement. Graves séquelles. Saison de foot à priori finie. Décembre 2021. 

Goodwin Brandon : 26 ans (Joueur américain professionnel NBA, club d’Atlanta Hawks) Souffre de caillots sanguins peu après l’injection de COVID-19 en octobre 2021. Fin de carrière possible, toujours sur la touche 7 mois plus tard.

Goszko Michelle : 44 ans (joueuse de cricket australienne, directrice des North Sydney Bears cricket ) Fait une attaque cérébrale foudroyante et est transportée en urgence à l’hôpital. Novembre 2021.

Gourdon Kevin : 31 ans (rugbyman professionnel, membre du XV de France et de l’équipe de La Rochelle) Il doit mettre un terme à sa carrière suite à un problème cardiaque. Décembre 2021.

Gouveia Jenn : 38 ans (amatrice canadienne, fan de course à pieds) Arrêt cardiaque alors qu’elle faisait son footing à High Park, Toronto. Transportée en urgence à l’hôpital. Décédée. Juillet 2021. 

Graham Sofia : 27 ans (bodybuilder américaine, décède pendant une préparation à la NPC North Americans. Août 2021.

Graham Hansen Caroline : 26 ans (footballeuse professionnelle norvégienne, joueuse du club de Barcelone. Malaise cardiaque pendant la mi-temps d’un match de championnat contre la Real Sociedad. Octobre 2021.

Greb Lukas : 34 ans (entraîneur et footballeur amateur allemand, club du SV Mardorf, Allemagne) Il fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’apprête à prendre la parole devant son équipe, pendant la mi-temps d’un match contre le SV Schönstadt. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il placé en soins intensifs et dans un coma artificiel. Il s’en réveille trois jours plus tard. Novembre 2021.

Greenway Tom : 38 ans (ex-jockey professionnel anglais) Mort subite. Novembre 2021

Gross Jalen : 18 ans (jeune américain de Milwaukee, basketteur de la Marshall High School ) Il meurt d’un arrêt cardiaque en plein match lors d’un tournoi de basket : le All-American Showcase à Chicago. Juin 2021.

Guedez Alexaida : 30 ans (marathonienne vénézuélienne) Décède d’une crise cardiaque lors d’une course dans l’état de Carabobo, Vénézuela. Août 2021.

Gurajdowski Michal : 40 ans (arbitre polonais de la Ligue de football de la WL et parkrunner) Mort subite. Décembre 2021.

Gut-Behrami Lara : 30 ans (coureuse suisse de Coupe du monde de ski alpin) Depuis son injection  en octobre 2021, elle a eu des difficultés respiratoires extrêmes et se plaint d’effets secondaires sévères. Malgré les deux injections, elle tombe malade du Covid courant Décembre.

H

Hagler Marvin : 66 ans (ancienne star de la boxe professionnelle, champion mondial incontesté des poids moyens entre 1980 et 1987) Effets secondaires sévères après l’injection : il est transporté d’urgence à l’hôpital pour des douleurs à la poitrine et des difficultés à respirer avant de mourir quatre heures plus tard selon son fils, James. Mars 2021.

Hall Jamarcus : 16 ans (lycéen et joueur d’une équipe de football américain : les Hilltoppers de la Houston High School, USA) L’adolescent décède le jour où son équipe doit jouer les éliminatoires d’une compétition. Novembre 2021.  

Haman Andy : 54 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Mars 2021.

Hamilton Jamie : 19 ans (footballeur professionnel écossais, équipe The Accies, Écosse)  Le joueur s’écroule lors d’un match contre le club de Arbroath. Il doit être sorti du terrain alors qu’il se tient la poitrine. Novembre 2021.

Hans Aurélie : 21 ans (ex-footballeuse française amatrice du FC Vendenheim, Alsace, France) L’étudiante en sciences sociales à l’université Strasbourg succombe à un arrêt cardiaque foudroyant. Décembre 2021.

Haralson Parys : 37 ans (ex star de football américain de plusieurs équipes professionnelles de la National Football League, USA) Décédé de mort subite, hors match. Septembre 2021.

Harrison Maxwell : 21 ans (danseur de salon international anglais) Douleurs thoraciques et  difficultés respiratoires cinq jours après la deuxième injection Pfizer. Hospitalisé, on lui diagnostique une péricardite. Carrière de danseur compromise pour au moins un an. Décembre 2021. Touché par ce qui lui arrive, le jeune homme a pris la parole à la télé, sur Britain’s news channel : « Je suis pro-vaccins et je pense que les gens doivent faire leur devoir en protégeant les autres! Mais nous avons besoin d’une conversation nationale sur les implications potentielles du vaccin sur la santé. Plus de mensonges! »

Hatvani Kosinová Alena : 46 ans (culturiste tchèque) Sur le point de participer au NPC/Pro
League Europa Pro 2021, elle décède après avoir été transportée à l’hôpital à Alicante. Août 2021.

Harward Richard : 24 ans (basketteur professionnel américain, équipe des BYU, USA) S’effondre sur le terrain lors d’un match d’exhibition contre Colorado Christian le 4 novembre. En Décembre 2021, Le joueur annonce qu’il se retire du basket-ball en raison de problèmes cardiaques.

Hayes Jimmy : 31 ans (Joueur professionnel Hockey sur glace. Club américain Les Devils du New Jersay) Décédé, Hors match. Août 2021.

Hegedüs Viktor Marcell : 18 ans (footballeur professionnel hongrois, Tarr Andráshida)
Le jeune homme s’effondre et décède pendant un échauffement à l’entraînement. Juin 2021.

Henderson Laura : 42 ans (amatrice écossaise de cross) Arrêt cardiaque pendant un entraînement.
Morte quelques jours plus tard. Mars 2021.

Ho Baek Sang : 20 ans (joueur de baseball d’origine coréenne, élève de l’université George Mason, Virginie, USA) Le jeune homme développe des caillots de sang après une opération bénigne et décède. Juin 2021.

Hoffman Jedd : 15 ans (lycéen et footballeur d’une équipe de football américain : Park City High School, Montana, USA) L’adolescent décède une semaine après avoir fait un arrêt cardiaque lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Hicks Ivan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Philadelphia High School, USA) Meurt en plein match pendant une mêlée. Crise cardiaque. Juin 2021.

Hirata Ryōsuke : 33 ans (joueur japonais professionnel de baseball, club des Chuchini Dragons. Développe une angine atypique (maladie cardiaque) Juillet 2021.

Holman Hayden : 22 ans (Marathonien américain de Sugar City, Idaho, USA) S’est effondré pendant le marathon de St. George dans l’Utah. Réanimé dans un premier temps. Décédé à l’hôpital. Octobre 2021.

Hueter Florian : 33 ans (entraîneur autrichien d’une équipe de football américain : les Swarco Raiders Tirol, Innsbruck, Autriche) Mort subite. Décembre 2021. 

Hyde Dave : 29 ans (rugbyman, club du Henley Football Club, Australie) S’effondre et meurt après un match, après avoir subi deux arrêts cardiaques. Septembre 2021.

I

Ibushi Kōta : 39 ans (catcheur star internationale japonais de la fédération de catch New Japan Pro Wrestling) En juillet 2021 il développe des problèmes respiratoires suite à l’injection. Plusieurs mois plus tard, il ne peut toujours pas remonter sur un ring la presse soutient que son état de santé ne s’est pas dégradé à cause de l’injection. Vrai ou faux?

Icenogle Zachary : 19 ans (basketteur et volleyeur au Carthage College de Kenosha, Wisconcin, USA) Mort subite dans son sommeil.

Ingebrigtsen Filip : 28 ans (coureur norvégien professionnel du 1500m) Souffre d’un manque d’énergie pendant plusieurs mois et n’a pu terminer qu’une seule séance d’entraînement après avoir reçu l’injection en Mars 2021.

Ishkeldin Maxim : 31 ans (champion du monde de hockey sur gazon, joueur professionnel de l’équipe russe SKA-Neftyanik) Décède subitement à Novossibirsk, à la suite un problème de coagulation sanguine. Juin 2021. 

Islam Mohammad : 30 ans (footballeur, club de Raziq, Pakistan) S’effondre pendant un match de la coupe du Balochistan Deputy Commissioner, dans la ville de Chaman. Octobre 2021. Décède à l’hôpital.

Ivory Joshua : 15 ans (footballeur américain, élève de la Southwest High School de Macon, Géorgie, USA) S’effondre et meurt pendant un entraînement. Juillet 2021.



J

Jajov Adenan : 30 ans (footballeur amateur macédonien) Trois jours après la deuxième injection Pfizer, l’homme – qui vivait avec des connaissances à Piansano en Italie – jouait au football à cinq sur le terrain du village. Lors d’une pause, il s’effondre sur un banc d’une hémorragie cérébrale et décède. Novembre 2021.

Jelagat Morwa Yvonne : 27 ans (athlète kényane, membre du Volare Sports Running Club, basé à Iten, Kenya) La jeune femme en pleine santé décède peu après une course, à la surprise de ses proches sous le choc. Août 2021.

Jelovac Stevan : 32 ans (basketteur professionnel serbe, équipe de AEK Athens, Grèce) S’effondre en plein match d’une attaque cérébrale. Décède trois semaines plus tard en Décembre 2021.

Jenkins David : 31 ans (Entraîneur de plongeon acrobatique de la Grande-Bretagne pour les Jeux olympiques de Tokyo 2020 et entraîneur principal du Dive London et London Aquatics Center) Mort subite. Octobre 2020.

Joao Kisonga Alexandre : 37 ans (basketteur professionnel, d’origine angolo-congolaise, équipe de   Corsico Basket, Lombardie, Italie) Il développe une périmyocardite aiguë après l’injection Moderna et doit être hospitalisé. Six mois plus tard, il ne peut toujours pas jouer. Juin 2021

John Matty : 33 ans (bodybuilder australien) Péricardite suite injection Pfizer. Décembre 2021.

Johnson Joshua : 16 ans (joueur de football américain, lycée William Monroe de Stanardsville, Virginie, USA) En vacances  avec sa famille,alors qu’il pêche avec son père, il décède subitement. Juin 2021.

Jones Craig : 29 ans (Ceinture noire et champion du monde australien de jiu-jitsu brésilien) ne peut plus s’entraîner ni combattre après une injection Covid. Avril 2021.

Jovani Trejo Ethan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, lycée de Princeton High School, New Jersey, USA) Lors d’un entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède un peu après son arrivée à l’hôpital. Juin 2021

K

Kalu Samuel : 24 ans (footballeur professionnel nigérian, club des Girondins de Bordeaux) Malaise en plein match. Août 2021. 

Kamaruddin Haziq : 27 ans (archer olympique malaisien) Le double champion olympique est mort d’une maladie coronarienne, dix jours après la deuxième injection Pfizer en Mai 2021 . 

Karlsson Erik : 23 ans (athlète suédois de l’équipe Högby IF, Suède) Il fait un arrêt cardiaque dans le dernier kilomètre de la course Sylvesterloppet à Kalmar. Transporté à l’hôpital en ambulance, il décède quelques jours plus tard.  Décembre 2021. 

Kazmarek Jake : 28 ans (culturiste américain) Décède 4 jours après avoir reçu sa deuxième dose de l’injection Moderna. Octobre 2021.

Khambikova Aliya : 21 ans (Joueuse de volley-ball russe, club de deuxième division d’Ufimochka-Ugntu, Russie) Des rumeurs dans la presse annoncent que la jeune femme est décédée du Covid, mais l’entraîneur de l’équipe révèle que c’est d’une maladie grave et foudroyante. Novembre 2021.

Kyeong-Bo Kim : 20 ans (star e-sport américaine des jeux vidéos, équipe des Fusion de Philadelphie, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Kidd Jayson : 12 ans. L’enfant s’effondre et décède en jouant au basket à l’école de Chartiers Valley, Pittsburgh, USA. Octobre 2021.

Kido Markis : 36 ans (star indonésienne du Badminton, médaillé or olympique en double) Décède d’une crise cardiaque alors qu’il jouait dans un complexe sportif à Tangerang, Indonésie. Juin 2021.

King Branson : 23 ans (joueur de hockey sur glace américain de l’Université de Pennsylvanie, USA) Mort subite.

Kinoshita Yusuke : 27 ans (joueur japonais de base-ball professionnel, club de Chunichi Dragons) Fait un malaise alors qu’il jouait au base-ball en Juin 2021. Décède à l’hôpital en Août 2021.

Kirsch Benedikt : 25 ans (footballeur allemand, capitaine de l’équipe du SpVgg Bayreuth, 4ième division allemande) S’effondre en plein match et est transporté à l’hôpital. Octobre 2021. 

Klose Miroslav : 42 ans (ancien footballeur professionnel allemand et entraîneur adjoint du Bayern Munich) Souffre de caillots de sang dans la jambe suite injection Covid en Mai 2021. Il a dû arrêter d’entraîner. Il attend que le traitement médical aide à son rétablissement avant une éventuelle reprise

Knowles Cienna : 19 ans (Cavalière australienne) Hospitalisée pour caillots sanguins suite injection Pfizer. Octobre 2021.

Khosh Hava Navid : 30 ans (footballeur iranien, ancien défenseur de l’équipe de football U23 d’Iran) L’homme décède des suites d’une crise cardiaque. Décembre 2021.

Kozek Krystian : 17 ans  (footballeur amateur polonais, équipe de Wisłok Strzyżów, Division 3 Pologne) Le jeune homme décède de mort subite. 

Krsić Aleksandar : 30 ans (football professionnel serbe, équipe du FK Radnicki, Division 1 Serbie) Le joueur fait un arrêt cardiaque pendant l’entraînement. Il meurt dans l’ambulance en route vers le centre clinique de Novi Sad. Novembre 2021.

Kruglova Anna : 27 ans (championne de l’équipe nationale russe de taekwondo) Le site de réseau social Vkontakte stipule que la jeune femme est décédée deux jours après l’injection. Octobre 2021.

Kuhn Shawn : 21 ans (étudiant en Sport Management de l’Université de Géorgie, USA) Après une deuxième injection Pfizer en Mai 2021, il réagit mal. Il développe une pneumonie sévère en plein mois d’Août et sa santé se détériore rapidement. Il décède en Octobre 2021.

Kwemoi Soet Gilbert : 23 ans (athlète kényan professionnel, ancien médaillé or olympique 1500m) S’effondre à son domicile de Kitale et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.  

L

Laksour Badr : 41 ans (footballeur amateur, club de Rasteau, France) Lors de la Coupe Grand Vaucluse, alors que son équipe affronte Avignon, le joueur s’écroule quelques minutes après être entré en jeu. Malgré la prise en charge des secours, il décède. Octobre 2021.

Lartillot Frédéric : 49 ans (footballeur français amateur, association des vétérans du football de Nurieux-Volognat) Mort dans les vestiaires, après un match. Septembre 2021.

Lawrinas Nickolas : 17 ans (étudiant américain footballeur, équipe des Tigres du MCHS) Mort subite. Mai 2021.

Leavey Jalen : 19 ans (étudiant et joueur d’une équipe de football américain : Philadelphia High School, USA) Le jeune homme décède en rentrant sur le campus après un match.

Lebel-Farrell Kamila : 19 ans (étudiante canadienne, joueuse de l’équipe de basketball de l’Université Queen’s) Décédée. Elle s’effondre en s’étirant avant son jogging matinal. Juin 2021.

Lefèvre Simon : 21 ans (footballeur belge, Ligue de la Coupe, équipe de Mons Nord) Malaise cardiaque en plein match. Décembre 2021.

Lefèvre Martin : 16 ans (footballeur français d’Agneaux) Malaise en plein match de coupe Gambardella. Octobre 2021. Le gamin tombe subitement sur le terrain, paralysé de tout le côté droit, il perd la parole mais reste conscient) Diagnostic à l’hôpital : AVC ou inflammation d’une artère du cerveau.

Leite Costa Marilio : 48 ans (coureur de fond professionnel portugais) Disparaît lors d’un cross country à Marco de Canaveses, au Portugal. Un autre coureur dit l’avoir vu à 3 km de la ligne d’arrivée, assis et se reposant. Interrogé sur le fait de savoir s’il avait besoin d’aide Leite Costa répond qu’il ne fait que récupérer l’effort et qu’il va bientôt reprendre sa course. On le retrouve dans une ravine 2 jours plus tard. Décédé. Sa famille affirme « que l’injection Pfizer contre le Covid-19 deux jours avant la course pourrait être la cause. Juillet 2021. 

Lemaître Christophe : 31 ans (sprinter français) Il doit renoncer aux J.O suite réaction à l’injection. Juin 2021.

Lever Jake : 25 ans (Joueur de football australien de l’équipe des Demons, Melbourne F.C, Australie) Il s’effondre sur la pelouse en plein entraînement. Décembre 2021.

Liénard Dimitri : 33 ans (footballeur français professionnel, club de Strasbourg) Malaise sur le terrain. Septembre 2021.

Lima Robert : 49 ans (Ancien footballeur professionnel de l’Olympia, originaire d’Uruguay) Mort d’un arrêt cardiaque alors qu’il jouait au football avec des amis. Juin 2021.

Lindelöf Victor : 27 ans (footballeur suédois professionnel, jouant à Manchester United) Obligé de quitter le terrain pendant un match contre Norwich car ne se sent pas bien (douleurs thoraciques, du mal à respirer) Décembre 2021.

Lodhgar Murtaza : 45 ans (entraîneur de l’équipe de cricket de Mizoram, Inde) Lors d’un déplacement sportif avec son équipe, l’homme meurt d’une crise cardiaque après un dîner. Septembre 2021. 

Lokar Soufiane : 30 ans (footballeur professionnel et capitaine de l’équipe d’Algérie Mouloudia Saida) S’effondre et décède en plein match de ligue 2 algérienne suite à une crise cardiaque. Décembre 2021.

Lombard Andréa : 21 ans (jeune française, gendarme et passionnée de rugby) La gendarme mobile était basée en Ariège, et appartenait à l’escadron 33/6 de Pamiers. Elle décède à l’hôpital après un accident vasculaire cérébral. Octobre 2021.

López Antonio : 32 ans (footballeur professionnel espagnol de l’équipe Real Murcia, Division 2 Espagne) Le joueur souffre d’une cardiomyopathie qui, inévitablement, l’oblige à prendre sa retraite du football. Octobre 2021.

López Jony : 16 ans (footballeur amateur, club Sol del Este, de la ville de Ciudad del Este, Paraguay) L’adolescent s’effondre et décède lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Loth Frédéric : 40 ans (footballeur amateur français, équipe de Salouël RC) Il fait un arrêt cardiaque après un entraînement de football à Salouel. Sauvé par un massage cardiaque et un défibrillateur. Juin 2021.

Lucchu Clément : 25 ans (basketteur camerounais, ex joueur du club universitaire philippin de Manille, le College of Saint Benilde Blazersen) Mort d’un arrêt cardiaque. Février 2021.

Lugo Antonio Miguel : 17 ans (étudiant joueur de football américain, club de Wallkill High School’s) Mort suite à un malaise, juste après entraînement. Mars 2021. 

Lugo Julio : 45 ans (ancien joueur dominicain professionnel de baseball – 20001-2011 – vainqueur des World Series avec son équipe des Red Sox, Boston, USA) Décédé d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Luker Logan : 17 ans (Capitaine de l’équipe galloise de rugby du Penygraig, Pays de Galles) Mort subite. Novembre 2021.

Luyssen Greg : 22 ans (cycliste belge professionnel) Annonce qu’il met un terme à sa carrière suite à des lésions cardiaques induits par l’injection Pfizer. Novembre 2021. 

M

Macedo Bruno : 22 ans (footballeur français du FC Nueil-les-Aubiers, en équipe réserve) mort subitement à son domicile. Novembre 2021.

Magden Ben : 36 ans (ex basketteur australien professionnel) Péricardite. Décembre 2021.

Maqsood Anwar : 44 ans (joueur de cricket gallois, équipe de Sully Centurions, à Glamorgan, Pays de Galles) Décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021. Dead

Marcon Francesca : 38 ans (volleyeuse professionnelle italienne, club de Bergame) La joueuse développe une péricardite. Août 2021.

Marques Edgar : 20 ans (footballeur amateur portugais, équipe de Pedrógão de São Pedro, Beira Baixa, Portugal) Le jeune homme s’effondre au milieu de la deuxième mi-temps d’un match. Il est transporté en urgence à l’hôpital Amato Lusitano de Castelo Branco. Décembre 2021.

Martínez Canosa Ezequiel : 20 ans (footballeur amateur du club de Fisterra, Espagne) Alors que son équipe joue contre le club de Puebla, le joueur fait un malaise et s’effondre sur le terrain. Il dit avoir ressenti un pincement très fort au niveau du cœur et ne plus pouvoir respirer. Novembre 2021.

Matos Ian : 32 ans (plongeur acrobatique brésilien qui a participé aux Jeux olympiques de 2016) Il décède après avoir été hospitalisé pendant deux mois d’une infection de la gorge, qui s’est finalement propagée à son estomac et à ses poumons. Décembre 2021.

McGonagle Meaghan : 41 ans (Femme professeur et entraîneur de volley-ball des garçons et des filles de la Cranston High School East, Rhode Island, USA) Décès suite maladie foudroyante.

McKee Dimitri : 17 ans (joueur de l’équipe de football américain Lee-Montgomery, Alabama, USA) Le jeune homme perd connaissance après un entraînement et est transporté à l’hôpital où il décède. Août 2021. 

Meadows John : 49 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Août 2021.

Mears Dave : 58 ans (ancien champion d’arts martiaux anglais) L’homme est sur un long chemin de guérison et d’adaptation après une réaction indésirable suite à l’injection AstraZeneca le 4 mars 2021. En Avril, alors que son état de santé se dégrade, il fait une thrombose veineuse profonde et doit être amputé d’une jambe.

Méchin Antoine : 31 ans (triathlète français professionnel) Suite à une première injection Moderna le 28 juin 2021, le triathlète ressent une oppression et un manque de souffle, le 17 juillet lors d’une course trail, toujours cette sensation d’oppression très présente, douleur au bras gauche.
Le lendemain 18 juillet, après un examen à l’hôpital de Saintes, pas d’inquiétude selon le médecin, rien à signaler, le stress et la fatigue sont sûrement les causes des symptômes. Le 16 août, il fait sa deuxième injection Moderna — pour pouvoir nager en piscine, c’est obligatoire. Le 13 septembre les mêmes symptômes persistent (impression d’oppression, de souffle court, de poids sur le sternum).,
 Rendez-vous à la clinique du sport à Bordeaux le 21 septembre avec le médecin cardiologue qui annule tout de suite les tests d’effort, soupçonnant une embolie. Le médecin et ses collègues lui expliqueront que « depuis quelque temps nous avons un nombre croissant de patients sportifs dans le même cas ! » Le médecin décide de lui donner rendez-vous en urgence pour une scintigraphie pulmonaire. Comprenant l’arnaque vaccinale, Antoine Méchin dira : « Je suis désormais sous traitement et j’espère retrouver mes capacités pulmonaires (dans 3-6-9-12 mois ?) En attendant : repos et basse intensité pendant plusieurs mois. » « Abîmer la santé des personnes en pleine forme pour préserver la santé des plus faibles, un choix d’une logique implacable. »

Melandez Andres : 20 ans (joueur de baseball américain, équipe des Guardians, Cleveland, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Mendoza Manuel Hector : 16 ans (Athlète de l’Institut municipal des sports et loisirs d’Ensenada, Mexique. Club d’athlétisme des Halcones Zinnia Garayar) L’adolescent meurt d’une crise cardiaque lors d’un entraînement. Octobre 2021.

Mirosavljević Nemanja : 25 ans (ex-footballeur professionnel serbe, club de de Grafičar, division 2 Serbie, et entraîneur équipe de jeunes) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède après 7 jours de coma. Décembre 2021.

Moa Taniela : 36 ans (ancien joueur tongien international de rugby à XV des Tonga, qui a joué principalement en Nouvelle-Zélande et en France) Mort subite. Décembre 2021.

Moira Claire Arney : 15 ans (Joueuse de football américaine du lycée de McAllen, au Texas) S’effondre et décède pendant l’entraînement.

Morando Filippo : 37 ans (joueur amateur italien de football, Padoue, Italie) Il s’effondre pendant un jogging. Réanimé par d’autres personnes présentes, il est transporté à l’hôpital puis est renvoyé chez lui. Décède 5 jours plus tard. Octobre 2021.

Moscon Giani : 27 ans (cycliste professionnel italien, club de Ineos Grenadiers) Le 4ième du Paris-Roubaix 2021 doit subir des investigations médicales après des anomalies du rythme cardiaque. Octobre 2021.

Mosheur Raman : 16 ans (Jeune homme sportif originaire du Bangladesh) Vacciné fin Août 2021 avec l’injection Moderna, il développe de multiples symptômes tels qu’une forte fièvre et des maux de tête sévères. Décède quelques jours plus tard en Octobre à l’hôpital de Venise, Italie.

Moses Lee : 29 ans (footballeur néo-zélandais, club des Maristes de Palmerston North) Il décède d’une crise cardiaque au cours d’une séance d’entraînement. Août 2021.

Mould-Leonard Sammy : 19 ans (étudiant anglais et footballeur, équipe de Texas A&M International University men’s soccer, USA) Deux jours après deuxième injection Moderna, caillot de sang dans les poumons, altération de la capacité à parler, marcher et respirer. Décembre 2021.

N

Nair James Rory : 26 ans (jeune néo-zélandais, en bonne santé et sportif amateur) Ville de Dunedin, New-Zealand. Palpitations cardiaques pendant plusieurs jours suite à l’injection PfizerDécède douze jours après la piqûre. Novembre 2021.

Ni Heldhin Daire : 29 ans (joueuse irlandaise de football gaélique de la Young Ireland GAA de Dundalk, Irelande) Elle fait un malaise et décède pendant ses vacances à Prague. Novembre 2021.

Nikoličová Julija : 38 ans (ex-volleyeuse professionnelle macédonienne d’origine ukrainienne, 60 sélections en équipe nationale de Macédoine et championne de France avec l’Arvor 29 en 2012) Décédée d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

N’Sakala Fabrice : 31 ans (footballeur professionnel congolais, club de Besiktas Istanbul) Malaise en plein match. Août 2021.

Nsofor Chinoyelum Cayetano : 13 ans. (Le garçon est un adepte du football américain, lycée Legacy High School, Las Vegas, USA) Il décède pendant un entraînement. Juin 2021. 

Nuis Kjeld : 31 ans (patineur de vitesse professionnel néerlandais, double médaillé or olympique) Péricardite une semaine après 1ère injection Pfizer. Juillet 2021. 

Núñez Martín Juan Manuel : 17 ans (jeune basketteur espagnol, équipe de Málaga, Espagne) Mort subite. Juillet 2021.


O

Obiang Pedro : 29 ans (footballeur professionnel équato-guinéen, joueur de l’équipe italienne Sassuolo) Hospitalisé suite myocardite. Août 2021. 

O’Donnell Tim : 41 ans (Triathlète professionnel, 22 fois victorieux dont 2 Ironman) Crise cardiaque pendant une compétition. Mars 2021

Ojeda Suárez Luis : 20 ans (footballeur argentin professionnel, ex-titulaire du club espagnol UD Las Palmas. Mort subite. Avril 2021.

Olguin Alberto : (Jeune caddie mexicain de golf PGA pour Manuel Torres) S’effondre et décède d’une crise cardiaque sur le parcours lors d’un événement du Tour Latinoamerica au Mexique. Octobre 2021.

Oršuš Dejan : 24 ans (footballeur professionnel croate du NK Otok) Crise cardiaque en plein match. Décède un peu plus tard à l’hôpital du comté de Čakovec. Avril 2021.

P

Pálsson Emil : 28 ans (footballeur professionnel islandais, joueur de l’équipe de Sogndal, deuxième division norvégienne) Il fait un arrêt cardiaque foudroyant lors d’un match contre Stjordals-Blink. Réanimé par l’équipe médicale présente sur place, il est transporté à l’hôpital. Novembre 2021.

Paollaci Teddy : 42 ans (footballeur amateur, club de Ourville-en-Caux) Malaise cardiaque dans les vestiaires après le match. Octobre 2021.

Parks Keaton : 24 ans (footballeur professionnel américain (soccer), club de New York) Doit interrompre ponctuellement sa saison en raison de caillots sanguins. Novembre 2021.

Payton Carmyne : 15 ans (élève d’une école de Long Island, New York, USA) Il s’effondre pendant l’entraînement d’un stage de basket-ball scolaire et décède d’un arrêt cardiaque. Novembre 2021. 

Pedretti Fabio : 24 ans (traileur italien) Arrêt cardiaque pendant une course. Décédé peu après à l’hôpital. Décembre 2021.

Peeters Daouda : 22 ans (footballeur professionnel belge, milieu de terrain de la Juventus de Turin, Italie) En Novembre 2021, on lui diagnostique avec une neuropathie, des troubles sensoriels et des difficultés motrices. 1 mois plus tard, il ne peut toujours reprendre le foot pense à une fin de carrière

Pérez Francisco : 35 ans ( sportif espagnol et militaire de la caserne d’Aizoáin, Navarre, Espagne) 17 jours après l’injection AztraZeneca, il fait une thrombose du sinus cérébral avec thrombocytopénie et hémorragie cérébrale et décède. Mai 2021.

Perrier Michaël : 32 ans (footballeur suisse professionnel, équipe de Stade Lausanne Ouchy, deuxième division suisse) Suite à la première dose de l’injection Moderna en Avril 2021, lors d’un entraînement le joueur est victime d’un grave arrêt cardiaque. Reçoit 5 chocs d’un défibrillateur, puis reste 3 jours dans un coma artificiel. Après 5 mois de repos, une arythmie cardiaque et une légère inflammation sont encore présentes. Fin de carrière.

Perrino Giuseppe : 29 ans (footballeur italien, ex-pro du Parma Calcio) Mort après arrêt cardiaque en plein match. Juin 2021.

Perron Francis : 25 ans (football américain. Club universitaire canadien d’Ottawa.) Mort après un match. Septembre 2021. 
Petterson George : 37 ans (culturiste américain) Retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel avant la compétition Mr Olympia. Rupture d’anévrisme. Octobre 2021.

Pietro : 13 ans (footballeur italien. Club Janus Nova de Saccolongo) Malaise cardiaque pendant match. Le gamin est ramené à la vie grâce à un défibrillateur. Septembre 2021.

Plakhuta Victor : 35 ans  (champion russe de Power Lifting) Contrairement à ce qu’annonce le ministère de la Santé du Primorsky Krai, les amis du sportif annoncent qu’il est mort deux semaines après avoir été injecté contre le coronavirus. Décédé d’une pneumonie bilatérale. Novembre 2021.

Ploner Florian : 22 ans (handballeur de l’équipe SC Ferlach, Autriche) Le joueur fait arrêt cardiaque pendant un match. Septembre 2021.

Portjanko Julija : 38 ans ( Joueuse de handball macédonienne d’origine ukrainienne, son dernier club était le WHC Vardar) Succombe à une crise cardiaque. Octobre 2021.

Preciado Jose Edgar : (Golf, caddie colombien) Victime d’une crise cardiaque fatale à son hôtel après le deuxième tour du Holcim Colombia Classic à Bucaramanga, en Colombie. Juin 2021

Q

Quandarius Wilburn  : 19 ans (footballeur américain,  club de l’université Virginia Union, USA) Le joueur fait un malaise pendant un entraînement et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.

Quintana Alfredo : 32 ans (Handballeur professionnel cubain, club de FC Porto) Lors d’une séance d’entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède. Février 2021

R

Raducanu Emma : 19 ans (tenniswoman professionnel canadienne) En détresse respiratoire, la joueuse doit interrompre un mach contre Ajla Tomljanovic lors du tournoi de Wimbledon, Angleterre. Abandon de la compétition. Juillet 2021.

Ramassamy Christophe : 54 ans (footballeur français senior, club de AS Saint Yves, La Réunion) S’effondre et décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021.

Ramirez Ernesto : 16 ans (jeune basketteur américain du Texas) Alors qu’il joue avec des copains au basket, il s’effondre sur le terrain et meurt, cinq jours après l’injection Pfizer. Une autopsie montre que son cœur était deux fois plus gros que la normale. Avril 2021.

Rhoden Shawn : 46 ans (culturiste jamaïcain, Mr Olympia 2018) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021. 

Rico Gonzalez Leticia : 51 ans (triathlète mexicaine) Décède subitement lors du triathlon de Cozumel au Mexique. Septembre 2021.

Riggles Lexi : 16 ans (Collégienne américaine du Hanover College et diplômée en 2018 du Danville High School) L’adolescente jouait au basket pour l’équipe des Danville Warriors. Mort subite. Octobre 2021.

Ritch Dylan : 17 ans (Footballeur anglais, club des West Bridgford Colts, fédération du Nottinghamshire ) Lors d’un match de FA Youth Cup contre le Boston United, Dylan Ritch fait un arrêt cardiaque. Traité à l’aide d’un défibrillateur sur le terrain, il est transporté au Queen’s Medical Centre et subit un second arrêt cardiaque dans l’ambulance. Décède par la suite. Septembre 2021.

Robinson Donadrian : 17 ans (footballeur d’une équipe de football américain du lycée W.J. Keenan de Columbia, South Carolina, USA) Mort subite. Août 2021.

Rokicki Michael : 37 ans (ex nageur professionnel polonais) Mort subite. Décembre 2021.

Romney Everest : 17 ans (Joueur de basket du lycée de l’Utah) Hospitalisé après avoir souffert de migraines sévères et d’un gonflement dans son cou suite à la vaccination. Dans les 24 heures après avoir reçu l’injection Pfizer en Mai 2021, Everest a commencé à ressentir une « quantité exorbitante » de douleur et de gonflement dans le cou qui provenait du même côté qu’il a reçu l’injection. Une radiographie a révélé qu’il avait plus de 100 caillots de sang dans ses poumons.

Ros José Javier : 22 ans (footballeur espagnol, équipe de UCAM Murcia B) Doit arrêter la saison de foot suite péricardite. Décembre 2021.

Roseman Andrew : 17 ans (lycéen américain et joueur de baseball, équipe des Red Land Patriots en Pennsylvanie) Mort subite. Juillet 2021.

Rossi Marco : 19 ans (Joueur de hockey professionnel autrichien, joueur du club de Minnesota Wild, USA) Myocardite diagnostiquée suite injection. Avril 2021.

Roth Meghan : 34 ans (marathonienne américaine et entraîneur de course à pied dans le Minnesota, USA) La femme fait une crise cardiaque pendant le marathon de Boston) Octobre 2021.

Rud Jensen Benjamin : 25 ans (footballeur amateur danois, équipe de Vordingborg, île de Seeland, Danemark) Le joueur s’effondre sur le terrain à la fin du match contre le FC Nakskov. Réanimé, il est transporté à l’hôpital de Nykøbing Falster pour des examens complémentaires. Novembre 2021. 



S

Sabard Benoit : 49 ans (footballeur senior français, Sporting Club de Massay) s’effondre et décède en plein match. Octobre 2021.

Sádecký Boris : 24 ans (Star slovaque du hockey sur glace, équipe des Bratislava Capitals, Slovaquie) Il fait un arrêt cardiaque en plein match contre les Dornbirn Bulldogs et décède quelques jours plus tard. Novembre 2021.

Salase Mike : 39 ans (rugbyman, joueur de la Northland rugby league, Nouvelle-Zélande. Membre de plusieurs équipes masculines seniors de Northern Swords, y compris l’équipe 2020 qui a remporté le championnat national) S’effondre et décède lors d’un match. Juillet 2021  

Sandjo Adrien : 18 ans (footballeur amateur camerounais, équipe régionale des moins de 19 ans Piémont et Vallée d’Aoste, Italie) S’effondre et décède en plein match. Décembre 2021.

Santos Alencar Adans João : 38 ans (ancien footballeur professionnel de l’équipe brésilienne Brusque) Décède après avoir subi une crise cardiaque fulgurante pendant un match de footvolley. Octobre 2021.

Saracevic Zlatko : 59 ans (légendaire handballeur arrière droit yougoslave des années 80, 90, entraîneur ces dernières années du club RK Podravka, Croatie) Il décède d’une crise cardiaque juste après la victoire de son équipe dans le derby contre le RK Lokomotiva. Février 2021.

Sarpong Owusu Albert : 20 ans (Sportif étudiant à l’université du Ghana) Décède en Décembre 20021, deux jours après avoir été injecté. Un de ses amis, anéanti, confie : « Pourquoi encourageons-nous, forçons-nous les gens prendre ce vaccin alors que nous ne sommes pas totalement sûrs qu’il fonctionne pleinement, et maintenant qui tenons-nous pour responsable de sa mort ? Une jeune vie fauchée. Il aurait vécu s’il n’avait pas pris le vaccin. »

Sauret Pablo : 21 ans (élève gardien de la paix) Le jeune homme est victime d’un arrêt cardiaque au cours d’une séance d’entraînement, dans le cadre de sa formation réalisée à l’école nationale de police de Nîmes, 263ème promotion. Transporté par les médecins du SMUR aux urgences de l’hôpital local, il est malheureusement déclaré décédé à son admission. Décembre 2021.

Schneider Michael : 38 ans (pongiste allemand professionnel) Mort subite. Juin 2021.

Schulz Kwabenaboye :  23 ans (footballeur allemand, équipe régionale, club Berliner AK) Le joueur s’effondre à la fin du match. Problèmes cardiaques. Évacué sous oxygène à l’hôpital. Juste après, un autre joueur Ugur Ogulcan Tezel s’effondre à son tour. Décembre 2021.

Scorteccia Lorenzo: 23 ans (gardien de but amateur de l’équipe de  Campitello, Italie) Meurt d’un arrêt cardiaque 15 jours après l’injection Pfizer. Juin 2021.

Shabbaz Fatimah : 22 ans (joueuse américaine du club de volley-ball A&T de Caroline du Nord) Mort subite d’un anévrisme. Novembre 2021.

Sharanovich Aidan : 45 ans (ancien footballeur professionnel, club slovène de Primorja) Décède des suites d’une crise cardiaque. Août 2021.

Shelby Grace Allen : 17 ans (Adolescente de l’équipe de bowling du comté de Dyer, Tennessee, USA) Hospitalisée en raison d’une réaction grave à l’injection Covid-19, la demoiselle a commencé à souffrir de douleurs dorsales alors qu’elle jouait au bowling, en lançant la boule elle ne sentait plus ses bras et ses jambes. On lui diagnostique un syndrome de Guillain-Barré. Octobre 2021.

Scherer Matt : 38 ans (athlète, sprinter américain originaire de l’Oregon, réputé pour ses chronos aux USA) Mort subite. Décembre 2021.

Sidorov Nikita : 18 ans (footballeur russe, joueur de l’équipe de jeunes de Znamya Truda, Russie) Décède d’un anévrisme cérébral pendant un match de foot. Avril 2021.

Siegfried Alexander : 42 ans (footballeur amateur allemand, club de VfB Moschendorf,
Allemagne) S’effondre et décède pendant un match. Octobre 2021.

Setniewski Karol : 14 ans (jeune footballeur du club de Znicz Pruszków en Pologne) Il se plaint d’un mal de tête le lendemain d’un match de football et est emmené à l’hôpital. Victime d’une inflammation du cerveau il tombe dans le coma et malgré une opération décède. Décembre 2021.

Simpson Mark : (footballeur de la ligue semi-professionnelle Northern Counties Est League, Angleterre) Suite à des palpitations cardiaques, le joueur s’effondre dans le vestiaire à la mi-temps. Décembre 2021.

Singh Luther : 24 ans (footballeur professionnel sud-africain, joueur de l’équipe du FC Copenhague, Danemark) Il est admis à l’hôpital pour observation et tests après être tombé malade lors d’un match. Il n’est pas état de rejouer au moins jusqu’à la fin de l’année. Novembre 2021. 

Smith Bert : 56 ans (arbitre américain de basket-ball universitaire, NCAA) Malaise pendant un match. Diagnostic hôpital : caillots de sang dans les poumons. Avril 2021

Solano Nelson : 21 ans (footballeur amateur paraguayen, équipe de 1º de Marzo F.C, San Antonio, Paraguay) Décède d’une crise cardiaque à la fin d’un match. Novembre 2021. 

Somanna Thottiyanda : 23 ans (joueur indien de hockey sur gazon) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède lors d’un match du championnat de hockey Chowrira. Décembre 2021. 

Soravilla sabrina : 25 ans (footballeuse professionnelle de l’équipe nationale uruguayenne) Suite à un problème cardiaque, elle est contrainte de stopper sa carrière. Novembre 2021. 

Spiltsteser Dirk : 50 ans (entraîneur et président du SG Traktor de Divitz, près de Barth, Allemagne) Meurt d’une crise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Stalock Alex : 34 ans (joueur professionnel américain de hockey sur glace, équipe des Oilers d’Edmonton, Canada) Saison à l’arrêt suite diagnostic myocardite. Mars 2021.

Stein Bruno : 15 ans (Jeune gardien de but belge, club allemand du FC An der Fahner Höhe) Mort subite. Septembre 2021.

Stevenson Carly : Adolescente américaine (athlète de lancer de poids et de disque du Wartburg College, Colorado, USA) S’effondre et est transportée d’urgence à l’hôpital avec des caillots de sang dans les poumons et le cœur. Revient à la vie après trois arrêts cardiaques mais garde de graves séquelles. Juillet 2021.

Stewart Tremaine : 32 ans (Footballeur professionnel jamaïcain du FC Dunbeholden) S’effondre et est décède pendant un match. Avril 2021. 

Stokes John : 21 ans (étudiant américain, athlète de l’université du Tennessee) Il développe une Myocardite quatre jours après sa seconde injection Pfizer. Septembre 2021.

Surek Lucas : 24 ans (footballeur professionnel allemand, club BSG Chemie Leipzig) Le jeune homme développe une myocardite. Septembre 2021.

Sylvester Stephen : 15 ans (footballeur américain, Detroit Central Catholic High School, USA) S’effondre et  décède lors d’une séance d’entraînement. Août 2021.

T

Taft Benjamin : 33 ans (entraîneur-joueur allemand de football, club de SV Unterferrieden, Bavière. Allemagne) Fait un arrêt cardiaque après le match de son équipe. Décède quelques jours plus tard à l’hôpital. Octobre 2021. 

Tampwo Marco : 19 ans (footballeur professionnel, club italien de l’Atletico Fiuggi de Rome) Il meurt d’une crise cardiaque à son domicile. Août 2021. 

Tatum Azorean : 13 ans (jeune footballeur d’un lycée de Memphis, Tennessee, USA) Ayant reçu l’injection contre le Covid, il tombe peu à peu malade, jusqu’à s’effondrer en plein cours et devoir être transporté à l’hôpital. Un test Covid signale qu’il est positif au virus. L’état de santé du gamin ne s’améliore pas, au contraire il décède une semaine plus tard. Août 2021. 

Taylor Leah : 22 ans (étudiante en doctorat dans l’Iowa, USA, et promotrice de fitness) La jeune femme est hospitalisée pour myocardite après une injection Pfizer en Juillet 2021. Plusieurs mois après, elle est incapable de faire de l’exercice et fait face à un avenir précaire après avoir succombé à la pression de son université de se faire injecter le vaccin expérimental.

Taylor Leon : 34 ans (footballer anglais, équipe semi-professionnelle de Darlaston Town 1874, Walsall, Angleterre) Mort subite. Novembre 2021.

Teare Cooper : 22 ans (athlète américain de cross-country) Le jeune homme s’effondre dans les derniers mètres des championnats de cross-country D1 de la NCAA, USA) Novembre 2021.

Terrier Martin : 24 ans (footballeur français professionnel, club de Lyon) S’effondre sur le terrain en plein match contre Toulouse, victime d’un malaise. Direction l’hôpital pour des examens. Décembre 2021.

Timoucin Sen :  (footballeur turque, membre du club régional de Großkrotzenburg, Allemagne) Après dix minutes de jeu, le joueur s’effondre en plein match contre l’équipe du Spvgg Oberrad et est transporté dans une clinique de Gelnhausen. Octobre 2021.

Torp carl-Erik : 27 ans (footballeur professionnel du club norvégien de Brann Bergen) Crise cardiaque en plein match. Septembre 2021. 

Tounkara Guimbala : 34 ans (footballeur professionnel malien, club de l’AS Police, Mali) Après un entraînement, le joueur fait un malaise cardiaque et décède. Novembre 2021.

Traoré Adama : 26 ans (footballeur professionnel malien, club du Fc Sheriff Tiraspol, Transnistrie) Malaise en plein match de ligue des Champions contre le Real Madrid. Novembre 2021

Trejo Jovani Ethan : 16 ans. Le jeune footballeur américain fait un malaise et décède sur un terrain de sport du lycée de Princeton. Juin 2021.

Tretola Pompéo : 18 ans (footballeur italien, équipe de Matese évoluant en Série D) S’effondre dans un match joué à domicile contre Vastese. Transporté à l’hopital. Octobre 2021.

Trotta Antonio : 34 ans (commissaire de police italien, ville de Catanzaro, Calabre, Italie) L’homme fait un avc alors qu’il contrôle l’entrée des supporters de Foggia pour le match de Serie C contre Catanzaro. Puis il fait une crise cardiaque et est transporté d’urgence au service de soins intensifs de l’hôpital de Cosenza, où il décède. Décembre 2021.

Tucker Jordan : 20 ans (footballeur semi-pro de la North West Counties Football League, Lancashire, Angleterre) Décédé de mort subite. Novembre 2021. 

Turner Eric : 41 ans (mannequin de fitness et culturiste américain de Salt Lake City, Utah, USA) Suite à l’injection, le sportif fait une dissection spontanée de l’artère coronaire. Novembre 2021. 

Uğur Ogulcan Tezel : 24 ans (footballeur tunisien, équipe régionale club Berliner AK) Le joueur s’effondre juste après son collègue de la même équipe, Schulz Kwabenaboye. Des problèmes cardiaques nécessitent un transfert à l’hôpital sous oxygène. Décembre 2021. 

Usta Anil : (footballeur amateur turque, club du VfB Schwelm, Allemagne) Le joueur fait un malaise cardiaque pendant un match. Septembre 2021.  

V

Valastro Roberto : 42 ans (policier italien de Siderno, Calabre, Italie) l’homme fait un jogging sur la plage de Locri lorsqu’il s’effondre. Il succombe à un anévrisme cérébral. Décembre 2021.  

Van Avermaet Greg : 36 ans (cycliste professionnel belge, équipe AG2R Citroën) Suite à l’injection Pfizer en Juin 2021, sa carrière est à l’arrêt. Des tests sanguins révèlent que son système immunitaire est déréglé.

Van Barneveld Raynomd : 54 ans (joueur néerlandais professionnel de fléchettes, quintuple champion du monde) Il s’effondre et reçoit des soins paramédicaux lors de l’événement PDC Darts’ Player Championship. Mars 2021.

Van Dierman Kane : joueur de rugby, équipe des Sydney Convicts, Australia) Mort subite. Décembre 2021. 

Van Genechten Jente : 25 ans (footballeur professionnel belge, club de Het Belang van Limburg) Arrêt cardiaque pendant un match. Août 2021.

Vasquez Aaron : 14 ans (adolescent du New Jersey, école de Dumont) Le gamin fait un arrêt cardiaque et décède alors qu’il joue au basket avec des amis à l’école) Novembre 2021.

Verdú Morales Juan Carlos : 27 ans (footballeur amateur espagnol, équipe du quartier de Numancia, ville de Elda en Espagne.) Lors d’un match, il demande à sortir du terrain car il ne sent pas bien. Après la partie, il commence à se sentir mal, à avoir des convulsions et perd connaissance. Il est rapidement transporté à l’hôpital général universitaire d’Elda, où il décède. Décembre 2021

Vidal Lise : 43 ans (ex championne planche à voile, deux titres de championne d’Europe) Décédée d’une hémorragie cérébrale. Juillet 2021.

Vilellas Soros Héctor : 27 ans (athlète amateur espagnol) Fait un arrêt cardiaque et décède lors du semi-marathon Behobia-San Sebastián. Novembre 2021.

Vinny Curry : 33 ans (joueur d’une équipe de football américain professionnel, les New York Jets, USA)  Le joueur a été diagnostiqué avec un trouble sanguin rare en juillet 2021 qui a nécessité l’ablation de sa rate.

W

Wakefield David : 27 ans (joueur de cricket néo-zélandais, capitaine de l’équipe du Old Boys Collegians Cricket Club) S’effondre pendant l’entraînement à cause d’une myocardite. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il est hospitalisé trois semaines en soins intensifs et doit suivre une rééducation intensive avant de pouvoir marcher et parler. Mars 2021.

Walker Simon : 42 ans (entraîneur de football et athlète anglais de la ville d’Oswestry) Moins d’une semaine après sa première injection AstraZeneca en Mai 2021, il est hospitalisé pour des des caillots sanguins massifs et des dommages cardiaques permanents. Aujourd’hui, son cœur ne fonctionne qu’à 20 % de son niveau de fonctionnement normal.

Wandão : 33 ans (ex footballeur professionnel brésilien, équipe de São Mateus, de la première division d’Espírito Santo) Victime d’une crise cardiaque alors qu’il joutait un match avec des amis, le joueur est transporté à l’hôpital mais y décède. Mars 2021.

Warner Kyle : 29 ans (vététiste professionnel) Fin de carrière suite à injection Pfizer: péricardite, syndrome de tachycardie orthostatique posturale et arthrite. Juillet 2021.

Wendland Brad : 48 ans (entraîneur d’une équipe de football américain, les Bluejays de Waseca, Minnesota, USA) L’homme fait un arrêt cardiaque sur la touche lors d’un match. Septembre 2021.

Williams Tirrel : 19 ans (footballeur américain, club de Fort Scott community college, Kansas, USA) Décède après s’être effondré sur le terrain pendant un entraînement. Août 2021. Dead

Willson Luke : 31 ans (joueur professionnel d’une équipe de football américain, né au Canada. Vainqueur du super Bowl avec son équipe en 2014, les Seahawks de Seattle) Péricardique grave, il doit mettre un terme à sa carrière en Août 2021.

Wingate Major : 37 ans (basketteur américain, ancien capitaine de l’équipe de basket du Tennessee) Meurt subitement. Octobre 2021.

Wolfe Lewis John : 20 ans (étudiant américain et joueur de tennis amateur, champion d’Alabama, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Woodward Rob : 36 ans (entraîneur anglais de football, équipe junior amateur du club Stonydelph) Décédé suite crise cardiaque. Décembre 2021.

Wyke Charlie : 28 ans (footballeur professionnel anglais, équipe des Wigans) hospitalisé après un malaise à l’entraînement. Novembre 2021.

XY

Young Jordan : 27 ans (combattant de MMA originaire de Urbandale, USA) mort subite. Décembre 2021. 

Yu-bin Lee : 20 ans (étudiante coréenne, sportive amatrice) S’effondre quatre jours après sa première dose de l’injection Moderna et est transportée d’urgence à l’hôpital où elle subit une opération du cerveau. La jeune femme de 20 ans décède une semaine plus tard. 




Z

Zemmouri Damien : 37 ans (ancien boxeur de la JS Fleury full-contact, Caen, France) Le sportif meurt subitement d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021. 

Zey Jascha : 16 ans (jeune footballeur allemand, club de  d’Eisbachtaler Sportfreunde (Rhénanie-Palatinat) Malaise. Décède à l’hôpital. Juillet 2021.

Zielinski Piotr : 27 ans (footballeur professionnel polonais, joueur du club SSC Naples) Obligé de sortir du terrain en plein match contre Empoli après 20 minutes de jeu. Douleur dans la poitrine, du mal à respirer. Décembre 2021.

Zisper Paul : 27 ans (basketteur du Bayern Munich, Allemagne) Après l’injection J&J, le jeune homme développe une hémorragie cérébrale spontanée qui nécessite une opération d’urgence. Septembre 2021.

Zucolini Arthur : 29 ans (ancien basketteur professionnel monégasque, joueur de l’équipe La Chorale en France et Charleroi en Belgique) Mort arrêt cardiaque pendant le sommeil. Juillet 2021.

JANVIER    2022

Angola Braian : 27 ans (joueur de basket-ball professionnel colombien de l’AEK Athènes) Le sportif a subi des scans détaillés après avoir signalé un malaise, révélant une myocardite. Il est exclu du jeu pour une durée indéterminée. 16 janvier.
 

Atcho Sarah : 26 ans (sprinteuse suisse, détentrice avec ses coéquipières du record suisse du relais 4 * 100m) Suite à sa troisième injection (booster) la jeune athlète souffre d’une péricardite. Saison à l’arrêt. 18 Janvier. 

Astudillo Aaron : 21 ans (footballeur amateur chilien, équipe de Deportes Melipilla) Le jeune homme fait un malaise cardiaque pendant un match amical. 12 Janvier. 

Aubameyang Pierre-Emerick : 32 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club d’ Arsenal, Division 1 Angleterre) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Basilashvili Nikoloz : 29 ans (tennisman professionnel géorgien) En détresse respiratoire sévère, le joueur doit interrompre un mach contre Stefanos Tsitsipas lors de la coupe ATP de Sydney, Australie. Abandon du tournoi. 05 Janvier.

Bastías Fischer Renato : 38 ans (triathlète chilien de haut niveau) Il fait un arrêt cardiaque et décède lors du triathlon Ironman de Pucόn au Chili. 13 Janvier

Cann Robin : 19 ans (cycliste amateur francais de l’UC Briochine, National 3) Le jeune homme a commencé à souffrir d’arythmies cardiaques qui le rendent mal à l’aise pendant l’effort. Les médecins lui ont conseillé de subir une opération cardiaque. 12 Janvier.

Cavichioli Mateus : 34 ans (footballeur professionnel de l’équipe América Futebol Clube, Brésil)
Le 15 janvier 2022, un examen médical de routine du club a détecté un problème cardiaque, ce qui n’était pas le cas des examens médicaux précédents. Diagnostic d’une artère obstruée. A reçu son premier vaccin covid-19 en septembre 2021.

Coulibaly Ousmane : 32 ans (footballeur professionnel, équipe de Al-Wakrah, Qatar Stars League) Le joueur fait un malaise cardiaque durant un match du championnat du Qatar contre l’équipe de Al-Rayyan. Il est réanimé sur le terrain et transporté en urgence à l’hôpital. 08 Janvier.

Davis Alphonso : 21 ans (footballeur canadien professionnel, club du Bayern Munich, Division 1 Allemagne) Suite à la troisième injection Pfizer (booster) il développe une myocardite, sa saison de foot est à l’arrêt. 14 Janvier.

Da Graca Marco : 19 ans (footballeur professionnel de la Juventus de Turin, Division 1 Italienne) Le joueur a développé une arythmie cardiaque diagnostiquée le 17/01. Doublement injecté, le 28 Décembre il est testé positif au COVID-19. En Janvier 2022, il doit être opéré en raisons de ses problèmes cardiaques. Saison à l’arrêt.

Ferreira Fernando : 26 ans (triathlète brésilien et policier militaire de Pernambuco, État du Brésil) Alors qu’il fait du sport, le jeune homme s’effondre et décède. 13 Janvier.

Fields Oisin : 30 ans (footballeur amateur irlandais, équipe de Navan Harps) L’homme décède subitement alors qu’il joue au foot avec des amis. 05 Janvier

Henrique Oliveira da Silva Souza Pedro : 15 ans. Le jeune footballeur décède à la suite du tournoi de la Coupe nationale de football de Goianésia, une municipalité de l’État de Goiás, au Brésil. 11 Janvier.

Isaías : 17 ans (jeune footballeur brésilien amateur, club de Flamengo de Piauí) Lors d’un entraînement, il se dirige vers le banc de touche, où il s’est effondré et décède. 11 Janvier.

Janaína Piske Monique : 32 ans (combattante de MMA) Elle fait un arrêt cardiaque chez elle à Santa Catarina au Brésil, où elle est retrouvée morte par ses parents. 02 Janvier.

Jakupovic Dalila : 30 ans (tenniswoman professionnelle slovène) Durant l’Open d’Australie, elle est contrainte d’abandonner son match contre Stefanie Vögele après être tombée au sol. Alors que la presse met son abandon sur le dos des fumées provoquées par les incendies du pays, elle déclare au média The Western Australian : « J’avais vraiment peur de m’effondrer. C’est pourquoi je suis tombée par terre parce que je ne pouvais plus marcher. Je n’ai pas d’asthme et je n’ai jamais eu de problèmes respiratoires. En fait, j’aime la chaleur. J’ai déjà joué en Chine et la pollution ne m’a jamais fait un pareil effet. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais c’est angoissant. » 13 Janvier.

Kondilios James : 23 ans (scientifique et sportif – champion de dynamophilie – reconnu dans son pays, l’Australie) La mort de ce jeune homme LE 04 Janvier 2022 a fait beaucoup de bruit du côté de Canberra. Officiellement il est mort du Covid alors qu’il était double vacciné et en bonne santé. Des voix se sont élevées : soulevant cette première question à propos de l’innocuité des piqûres, dont certains n’hésitent pas à dire qu’elles sont mortelles ; soulevant également cette deuxième question : si ce jeune homme était protégé contre le COVID-19 parce qu’il était doublement vacciné et qu’il n’avait pas de problème de santé sous-jacent, que s’est-il passé ? Cela remet en cause l’argument selon lequel l’injection vous protège du virus.

Lemina Mario : 28 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de l’OGC Nice, Division 1 France) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier. 

Menaldo Marcos : 25 ans (footballeur guatémaltèque professionnel, club du DeportivoMarquense, Division 1 ; Guatemala)  Le joueur s’effondre à l’entraînement et a décède suite à une crise cardiaque. 03 Janvier. 

Merlo Nascimento Mariano : 27 ans (championne brésilienne de Moutain Bike) Alors qu’elle est en famille, la jeune femme se sent mal et s’effondre. Malgré l’arrivée des secours et son transport à l’hôpital, elle décède. 14 Janvier.

Meyé Axel : 26 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de Ittihad Tanger, Division 1 Maroc) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Santana Lucas :18 ans (footballeur brésilien, équipe de São Bento) Il s’effondre sur le terrain à la 17e minute de la deuxième mi-temps du match de la Copa São Paulo contre EC São 

Bernardo au stade Baetão. Transporté à l’hôpital en ambulance pour examens. 05 Janvier. 

Schlumpf Fabienne : 31 ans (marathonienne suisse, détentrice du record suisse du marathon) Depuis sa troisième dose (booster), l’athlète souffre d’une myocardite qui lui interdit la pratique du sport. Elle ne pourra sans doute plus jamais faire de compétitions. 07 Janvier.

Strbak Miroslav : 32 ans (combattant polonais d’arts martiaux mixtes) L’homme fait un arrêt cardiaque à l’entraînement. 07 Janvier.