Chauffage agricole à Bruxelles

Et autres nouvelles du monde paysan




« J’irai jusqu’à la mort ! » : Le combat héroïque de l’agriculteur Pierre-Guillaume Mercadal

[Source : Tocsin]

Pierre-Guillaume Mercadal, éleveur de cochons laineux à Montjoi, dans le Tarn-et-Garonne (@CochonsLaineux), remet l’église au centre du village :

« Tuer les paysans français pour sauver des petits paysans ukrainiens, ça n’aurait aucun sens ! Nous tuons des paysans français pour enrichir des milliardaires américains qui ont confisqué les terres des Ukrainiens. Le vrai danger, il est pour les Français, car après, la France n’aura plus de souveraineté alimentaire ! »




Mégabassines, histoire secrète d’un mensonge d’État

[Source : Off Investigation]

Entre Niort et La Rochelle, s’étend sur 100 000 hectares le parc naturel du Marais poitevin, deuxième zone humide de France. Depuis quelques années, il est asséché et pollué par des cultures intensives de céréales irriguées par des « mégabassines » massivement subventionnées par les pouvoirs publics. Pour Off investigation et Reporterre, la réalisatrice Clarisse Feletin a rencontré les principaux acteurs de cette guerre de l’eau et confronté les pouvoirs publics à leurs responsabilités. Elle en a tiré ce documentaire de 55 minutes, second épisode de la saison 2 de notre série « Emmanuel, un homme d’affaires à l’Élysée ».




« UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité

Suite de Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara

Manifeste original de Unabomber, Theodore Kaczynski :

Voici le nœud gordien

celui qui explique et cause la détresse de dizaines de milliers de fermiers, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs en France et en Europe et donne l’explication en détail de leur ruine programmée (et de la nôtre) par L’AGENDA 2030/GREAT RESET des Globalistes.

Toujours présenté pour le « bien de tous », pour la planète et luttant contre le C02 et le « Changement climatique ».

FARM TO FORK — UE:

https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en

Document :

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52020DC0381
[Ci-dessous, la capture PDF de la page du document :]

« Farm to fork » [« de la ferme à la fourchette »] ou aussi Green Deal, approuvé par le gouvernement français, est ce programme européen (et mondial) au cœur de la colère et de la détresse de nos éleveurs, paysans, agriculteurs.

« Farm to fork » exige une BAISSE de la production agricole Européenne de FRANÇAISE de 20 % pour s’adapter à la COP 28, au « Changement climatique » Agenda 2030 visant à faire baisser drastiquement « les émissions de CO2 » d’ici 2050.

Bien sûr l’Agriculture et l’Élevage sont VISÉS avec les mêmes MENSONGES à l’appui que j’ai décryptés dans mon article : Partie 1 de Unabomber 2030 le Great Reset des pommes de terre et des vaches :

Agenda 2030 basé sur une fausse science « climatique » toute acharnée contre le CO2, qui est avant toute chose l’Élément de la VIE, un agenda canular asséné aux masses depuis 40 ans.

https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

Bien que de nombreux points semblent très positifs, dans « Farm to Fork » : réduction des pesticides, produits chimiques, de la pollution… Il faut bien tout lire, en détail…

Il faut décoder le double langage, car tout cela est promu au nom du « zéro net carbone » en 2050, pas juste de « la fin des plastiques dans les océans ! »

Or, « ZÉRO NET » est une fausse théorie très dangereuse, une ABSURDITÉ SCIENTIFIQUE conduisant à l’Extinction des ressources de la terre et de ses espèces et non à leur préservation.

LE BUT RÉEL

Brimer et faire disparaître des milliers d’élevages de fermes, d’exploitations ? Pourquoi ?

Pour le contrôle absolu sur la Nourriture pour l’humanité par quelques-uns, avec une main de fer face au petit humain qui doit bien se nourrir tous les jours

Le But est d’asseoir le Règne des grandes entreprises de bio technologie et génétique sur l’Agriculture et l’Alimentation en général et mettre l’IA au cœur d’un nouveau système alimentaire mondial Transnaturel.

Tout cela au nom de « la nature et de l’écologie », au nom d’un « système agricole et élevage durable » triple mensonge, au service de « cette nouvelle Humanité responsable et consentante pour sauver la Planète. »

Nos agriculteurs (hormis les très gros), éleveurs de vaches, moutons, chèvres, poulets fermiers ou de terroir, les pêcheurs, les laiteries de Normandie et fromagers de France sont les premiers à en souffrir et à aller vers leur expropriation, ou la vente de leurs terres, causées par la ruine, taxes, règlements draconiens, jachères, importation de produits toxiques à bas prix, venant d’autres pays par Traités de libre-échange UE, règles bureaucratiques « au nom du Climat » sans fin, menant à une production réduite par ces règles, pas achetée ou achetée à ZÉRO gain, que de la perte ! Et c’est pareil dans tous les pays européens et ailleurs aussi (INDE, CANADA, etc.. )

Seuls les très gros exploitants adhérents au Programme se développent ou font du profit, mais des milliers de petites et moyennes exploitations sont abandonnées, vendues, ou alors les exploitants se suicident !

De plus les cheptels, les volailles, les bêtes sont soumises à des contrôles sanitaires incessants sous prétexte de suspicion de « grippe aviaire » ou autre maladie des bovins par exemple, avec pour RÉSULTAT, en tant que « Prévention des épidémies » par l’OMS, qu’à la moindre suspicion réelle ou supposée d’un poulet ou une vache patraque, des MILLIONS de bêtes sont abattues en France et dans le monde et toutes les autres « vaccinées » dare-dare, avec les nouveaux vaccins vétérinaires à ARN ou ADN. (Qui contiennent aussi du GRAPHÈNE, des HYDROGELS ET de la BIOLOGIE SYNTHÉTIQUE).

SANS OUBLIER LES POISSONS

Ils « vaccinent » sur une chaîne automatisée le poisson norvégien sauce ADN :



« Chaque dose de 0,05 ml contient : Substance active : ADN plasmidique pUK-SPDV-poly2 # 1 codant pour les protéines du virus de la maladie du pancréas du saumon : 6,0 à 9,4 μg. »

LA DÉTESTATION DE LA VIANDE ET DE L’ÉLEVAGE
même traditionnel

est répétée tout au long des documents de Farm to Fork.

Alors que NOUS, demandons la FIN des monstrueux élevages industriels de torture avec millions de poulets ou vaches dans des conditions sanitaires et des conditions de non-vie INNOMMABLES et CRUELLES, en cages, nous demandons la préservation des élevages traditionnels à taille humaine respectant le bien être des animaux, leur accès à la terre, au mouvement en liberté, à l’herbe, aux pâturages, au soleil, à l’air libre, avec une nourriture SAINE et naturelle pour chaque espèce.

Dans Farm to Fork :

la Viande, même l’élevage fermier ou même l’élevage laitier et fromages, sont désignés comme Le problème, l’ENNEMI NUMÉRO UN, avec un record de « gaz à effet de serre » CO2 et de méthane émis et donc designés directement responsables à un haut degré du « Changement climatique » sur Terre.

( FURIEUX MENSONGE au niveau de la réalité et de la SCIENCE)

Or, les obèses, ne changeront rien à leur addiction, les addicts au fast food idem, les Hallal épris de mouton rôti ne changeront rien, les végans hystériques non plus ne changeront rien, les « bio plus que bio » ne changeront rien, les Français épris de bœuf bourguignon non plus, ou pas de sitôt.

COMMENT CONTRAINDRE LES CONSOMMATEURS ?

L’uniformisation industrielle et bio technologique de la nourriture et les « pass carbone » coercitifs feront accepter n’importe quoi, si :

  • 1 ) le prix est assez BAS
  • 2 ) les points carbone du mois sont épuisés en quelques jours par 1 vrai steak et 4 vrais œufs pour votre famille !
  • 3 ) ÇA RESSEMBLE à de la viande ou à des plats traditionnels.

VERS UNE NOURRITURE DE SYNTHÈSE et de LABOS

Sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (Farm fo Fork document).

3- 1 Recherche, innovation, technologie et investissements

La recherche et l’innovation (R&I) sont des facteurs essentiels pour accélérer la transition vers des systèmes alimentaires durables, sains et inclusifs de la production primaire à la consommation.

La R&I peut contribuer à mettre au point et tester des solutions, à surmonter les obstacles et à mettre au jour de nouvelles perspectives commerciales
Dans le cadre du programme Horizon 2020, la Commission prépare un appel à propositions supplémentaire concernant les priorités du pacte vert pour 2020 pour un montant total approximatif de 1 milliard d’euros.

Dans le cadre du programme Horizon Europe, elle propose de consacrer 10 milliards d’euros à la R&I dans les domaines de l’alimentation, de la bioéconomie, des ressources naturelles, de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de l’environnement,

Ainsi que d’utiliser des technologies numériques et des solutions naturelles dans le secteur agroalimentaire.
L’un des principaux domaines de recherche concernera le microbiome, les denrées alimentaires provenant des océans, les systèmes alimentaires urbains ainsi que l’augmentation de la disponibilité et des sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (de synthèse).

https://www.kla.tv/GenieGenetique/25436
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=C.

(D’où j’en déduis que la dernière marotte de BILL GATES sur le MICROBIOME n’est pas arrivée par hasard)
du PDF :
https://food.ec.europa.eu/document/download/472acca8-.
https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork.
[ou https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en?prefLang=fr&etrans=fr en traduction française]

Il est clair que la révolte agricole Française légitime a été rondement menée sous un contrôle de Syndicats alliés du gouvernement, qui eux adhèrent à l’UE, aux règles, à l’Agenda 2030 ONU et à FARM TO FORK UE, pour tenter de désamorcer la possible révolte incontrôlable de la base, des petits et moyens exploitants, qui eux, sont ruinés par cet agenda.

Le Salon de l’Agriculture survolté et en révolte depuis le 24 février 2024 à PARIS démontre que les agriculteurs et éleveurs n’ont pas été dupes des magouilles et des mensonges du gouvernement et certains comprennent progressivement l’énormité et l’insanité pour eux et pour toute l’HUMANITÉ des plans cachés dans les documents de l’UE et du WEF

UN « GREAT RESET » ANTI NATURE :

Extrait de la vidéo de Ernst Wolff Kla.TV :

« Nous vivons actuellement dans le monde entier un changement d’époque économique et social, l’entrée dans l’ère numérique. Une infime minorité nous y conduit toutefois. Et ce, sans que la majorité ait le moindre droit de regard. Cette minorité, un cartel de puissants groupes financiers et informatiques, poursuit plusieurs objectifs, désormais connus sous le nom de “Great Reset”. Elle veut nous enregistrer tous de manière biométrique, elle veut nous imposer une nouvelle monnaie, c’est-à-dire la monnaie numérique de la banque centrale, et elle veut transformer l’agriculture de fond en comble.

Et ce, grâce à ce qu’on appelle “le smart farming” [l’agriculture intelligente]. Cela comprend l’automatisation du travail des tracteurs et des outils, l’utilisation de drones ou de robots de travail et l’utilisation de l’intelligence artificielle, par exemple par l’application d’algorithmes à la production végétale. Mais ce n’est pas tout.

Le Great Reset dans le domaine de l’agriculture mise avant tout sur les découvertes de la biologie synthétique, c’est-à-dire sur les semences génétiquement modifiées et, depuis peu, sur la viande de laboratoire. Les protagonistes du Great Reset nous vendent tout cela comme des mesures prises dans notre intérêt pour lutter contre le changement climatique.

Les semences doivent soi-disant être manipulées pour rendre les plantes résistantes au changement climatique. Et la viande de laboratoire doit remplacer la viande normale. Puisque les bovins, les porcs et les moutons émettent trop de méthane. Tout cela n’est pas une satire, mais une amère réalité.

Derrière tout cela se cache un business de plusieurs milliards de dollars dans lequel de nombreux grands investisseurs se sont déjà lancés. Mais cela signifie également la soumission totale de l’agriculture à ces investisseurs. Car les licences et les brevets, aussi bien sur les semences résistantes au climat que sur la viande de laboratoire neutre pour le climat, ne reviennent évidemment pas aux agriculteurs, mais aux représentants du cartel.

Le smart farming, soyons clairs à ce sujet, ne contribuera pas plus à sauver le monde que tout le reste de l’agenda climatique.

Le smart farming n’est rien d’autre qu’un énorme business au profit d’une infime minorité et, en outre, la fin de l’agriculture telle que nous la connaissons. La politique joue un rôle particulièrement peu glorieux dans cette évolution fatale, car elle s’est presque entièrement soumise à l’agenda du Great Reset. »

https://www.kla.tv/28044

Viande de Laboratoire :

« Après Singapour, les États-Unis sont le deuxième pays au monde à autoriser la consommation humaine de viande produite artificiellement. Cela pourrait signifier la percée de cette nouvelle technologie. Le marché mondial de la “viande artificielle” est déjà estimé à 247 millions de dollars, avec un taux de croissance annuel de plus de 50 % d’ici 2030. »

Le FOND :

https://www.kla.tv/27996

LES COUPABLES : ONU, OMS et le FEM

Les trois ont déclaré conjointement la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » :

https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire »

de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’humanité.

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs bio technologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO2, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de Heiko Schöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” »

ARN ET ADN contaminant les Nourritures et les Vaccins proposes par ONE HEALTH

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté.

Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

Théara :

L’ÉLEVAGE AU NIVEAU MONDIAL doit être « VACCINÉ » AVEC DES NOUVEAUX « VACCINS à ARN et ADN »

PROGRAMME ONE HEALTH

Extrait :

« D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN »

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1

https://www.intvetvaccnet.co.uk/blog/taking-a-one-health-approach-to-tackling-infectious-diseases

Suite article L’Arme Alimentaire :

« Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. »

« Les “vaccins autodisséminés”, des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission. »

« De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [Tracking Devices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce “code-barres ADN”, comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — “généralement inoffensives” ! »

« Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! »

« Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la “régulation” de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. »

food.ec.europa.eu
Farm to Fork Strategy

SVP lire partie 1 :
https://wordpress.com/post/lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/4787
SUR NOUVEAU MONDE :
https://nouveau-monde.ca/unabomber-2030-le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches/

Article rédigé par Theara Truth News FRANCE
le 4 février 2024, mis à jour le 25/02/2024
avec de nombreux passages d’émissions de Kla.TV en vidéos et par écrit.




Fin de règne : les 4 mensonges de Macron au Salon de l’agriculture

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Nicolas Dupont-Aignan revient sur les 4 grands mensonges et sur le fiasco de l’inauguration du Salon de l’agriculture 2024 par Emmanuel Macron. Dans une ambiance « fin de règne », des CRS étaient présents pour la première fois de l’histoire du Salon.




L’unique solution pour sauver la France et le peuple ?

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]

Dans un monde en constante évolution, où les débats autour de la globalisation et de ses répercussions sur les sociétés locales prennent de plus en plus d’ampleur, une question émerge : comment les individus et les communautés peuvent-ils résister à ce changement drastique de notre société, voire de notre modèle civilisationnel ?

Lors de cet entretien, nous allons explorer diverses perspectives et réflexions sur les moyens de résister à ce que certains perçoivent comme l’emprise du mondialisme, tout en envisageant la construction d’un avenir plus équilibré, qui préservera ce qui est fait la grandeur de l’histoire française, et de son identité.

La résistance au mondialisme se manifeste sous diverses formes, reflétant une quête de souveraineté et d’autodétermination. Dans ce contexte, le terme « mondialisme » est souvent associé à une perte de contrôle culturel, économique et politique au profit d’entités supranationales.

Face à cela, la résistance s’organise à travers des initiatives visant à renforcer la souveraineté financière, à promouvoir les économies locales et à valoriser les systèmes monétaires alternatifs qui s’opposent à la domination oligarchique bancaire. Le projet de Franc Libre d’Alexandre Juving-Brunet, et d’autres initiatives similaires sont scrutés sous l’angle de leur potentiel à offrir des alternatives viables au système actuel.

L’idéologie et la spiritualité jouent un rôle crucial dans la compréhension et la critique du mondialisme. Certains arguments soulignent la dimension éthique et spirituelle de la résistance, s’interrogeant sur les valeurs sous-jacentes à la globalisation, comme la vision progressiste ainsi que la transmission de valeurs que certains rapprocheraient d’une vision satanique. Une réflexion sur les modes de vie qui privilégient le communautarisme alternatif en harmonie avec l’identité locale et cherchant un équilibre économique pour tous les citoyens devient nécessaire.

Le concept de vivre en communauté pour résister soulève l’idée de la création de microsociétés où les valeurs partagées, la justice sociale et l’équité sont au cœur des préoccupations. Ces communautés cherchent à développer une indépendance énergétique, une agriculture durable et des systèmes d’éducation alternative, favorisant ainsi une plus grande autonomie vis-à-vis des systèmes dominants.

La colère populaire grandissante, notamment chez les agriculteurs, est souvent perçue comme un prélude à une révolution populaire. Cette frustration vis-à-vis des pressions économiques et environnementales pourrait catalyser un mouvement plus large en faveur d’un changement systémique, où la transformation sociale et la véritable démocratie populaire joueraient un rôle central.

En somme, cet entretien veut mettre en lumière les diverses facettes de la résistance au mondialisme, en explorant des voies alternatives qui embrassent la liberté économique, la transformation sociale, l’activisme environnemental et la quête d’une société plus juste et équilibrée. À travers cette réflexion, il apparaît clairement que les défis posés par la globalisation exigent une réponse réfléchie, mais immédiate, fondée sur la collaboration, l’innovation et un engagement profond envers les principes de souveraineté, d’autonomie et de solidarité.




Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara TRUTH NEWS

Le dernier COMBAT de l’Humanité contre les Élites technocratiques et transhumanistes / SOUTENONS NOS AGRICULTEURS, ÉLEVEURS, PÊCHEURS !

Introduction

https://www.kla.tv/28044

Déjà deux grands pays agricoles qui, face à l’UE et aux gouvernements traîtres de leur pays, ont décidé de monter un parti politique INDÉPENDANT des Agriculteurs Eleveurs.

IRLANDE :

https://www.farmersalliance.ie/

PAYS-BAS

https://www.theguardian.com/environment/2022/nov/18/dutch-pro-farming-party-fires-up-the-anti-establishment-vote

https://www.lifesitenews.com/opinion/the-dutch-farmers-have-created-their-own-political-party-and-its-doing-well-in-the-polls/

ÉCOSSE : ras-le-bol des Agriculteurs éleveurs !

https://expose-news.com/2024/01/25/scottish-farmers-protest-weve-had-enough/

Les IRLANDAIS et NÉERLANDAIS ONT BIEN COMPRIS que le but n’est pas seulement pour leurs gouvernements via l’UE de promouvoir l’importation de produits dévalorisant les leurs, ou de les asphyxier de RÉGLEMENTATIONS et de TAXES et NORMES ou d’augmenter le prix du Gaz oil.

LES INDIENS SE REBIFFENT AUSSI ( Février 2024 ) :

https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/xqux0xq

En fait cela VA BIEN AU-DELÀ : sous prétexte d’« agenda VERT » et « préserver des espèces », sous prétexte d’arrêter le azote « des bouses de vaches », d’amoindrir « le méthane et le CO2 émis par le bétail », les Élites du WEF/ONU/OMS/UE/AGENDA 21 VEULENT SUPPRIMER L’AGRICULTURE et l’ÉLEVAGE TRADITIONNELS.

DOCUMENTAIRE :

https://www.theepochtimes.com/epochtv/nofarmersnofood-5390883

Le prétexte du CO2

Toutes ces absurdités de pollution CO2 ou méthane par ces pauvres bêtes ou par l’agriculture sont évidemment des faits manipulés et sans rapport aucun avec un « global warming » ou « des gaz à effets de serre » dont NI L’HOMME, NI LES ÉLEVAGES, NI LES CULTURES ne sont RESPONSABLES. Ni au Néolithique ni au 21e siècle.

Étant donné que le « méchant CO2 » de AL GORE EST UNE MONUMENTALE ARNAQUE (DOCUMENTÉE) inventée au CLUB DE ROME dès 1972 pour RÉDUIRE LA CROISSANCE, DÉPOPULER, BRIMER, CONTRÔLER l’AGRICULTURE, SAISIR LES TERRES ET PARQUER au final le bétail HUMAIN :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/ LIMIT TO GROWTH — CLUB DE ROME — 1972

Des variations de températures et du CO2 existent depuis des millénaires et sont dus à des influences de la planète Terre et du système solaire sur le climat de la Terre, pendant des milliers d’années et cela est documenté et prouvé.

https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui

Les causes de variation du climat « dues à l’activité humaine », même celle de L ’ère industrielle, sont négligeables, en tant que valeurs de CO2 en plus ou en moins.

De plus, le CO2 est BON POUR LES PLANTES ET LA PLANÈTE.

Seuls BILL GATES et ses adeptes disent le contraire. Sans preuve. Comme le GIEC.

Bill Gates qui rachète des milliers d’hectares de terres agricoles, de prairies, tandis que les exploitants conduits à la ruine ou au suicide s’en vont.

Pendant ce temps, la réalité agricole

Pendant ce temps les traités de Libre Échange avec l’autre bout du monde sont établis, prouvant l’hypocrisie de l UE et de son « Agenda Vert ».

Pendant ce temps des milliers de poulets ukrainiens ou de pays lointains gavés d’hormones et d’antibiotiques sont déversés sur le marché français, sans étiquette sur les conditions d’élevage, sans informations au Consommateur, ruinant la filière volaille française.

Pendant ce temps l’Agro-industrie ou la Grande Distribution achète un kilo de patates 40 cm et le revend 3, 90 euros ou plus en supermarché..

Idem pour le LAIT les ŒUFS la VIANDE les FRUITS, etc.

Pollution électromagnétique et électrique

Pendant ce temps et pendant cet enfumage « Green Agenda » des centaines d’éleveurs perdent leurs veaux, vaches, poulets, œufs à cause des ANTENNES RELAIS 4G/5G, des ÉOLIENNES et lignes haute tension, tout le VIVANT étant hypersensible à la pollution électromagnétique.

Tous les pollinisateurs et Oiseaux disparaissent à cause de cette pollution EMF intense de micro-ondes sur tout l’environnement, cela est prouvé par plus de 10 000 études scientifiques :

https://www.5gspaceappeal.org/

La seule pollution réelle du 21e siècle est : CHIMIQUE, NANOTECHNOLOGIQUE, ONDES EMF et PLASTIQUE, elle ne vient pas de « gaz à effet de serre »

IRLANDAIS ET NÉERLANDAIS sont en avance sur les « agriculteurs français »

Car ils ont BIEN COMPRIS que le VRAI BUT c’est de les CHASSER de leurs terres et REPRENDRE LES TERRES pour l’AGENDA 21 / 2030 du WEF ONU (dans l’AGENDA 21, c’est BUT des ÉLITES)

Que l’alimentation échappe à l’humanité, aux paysans, aux fermiers, et soit sous total contrôle de LOBBIES, DE SCIENTISTES comme BILL GATES et dirigeants auto proclamés de la planète comme SCHWAB et son WEF, comme l’OMS et L’ONU… Pour passer de l’alimentation traditionnelle à des aliments modifiés par la Biotechnologie, la génétique, l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels.

L’invasion numérique

L’agriculture doit selon eux être renouvelée en « SMART FARMING » par le Numérique, la robotisation avec des Algorythmes à la Production au moyen de l’Intelligence artificielle, des drones, du traçage numérique via 5G, des « bio-sensors » dans les animaux, des colliers 5G au cou des vaches, etc..

Évidemment les petits producteurs et éleveurs locaux ou traditionnels doivent être éliminés d’office et ce sont les grands ou les très grands qui vont avoir droit à ce « Smart Farming », à ce « Great Reset des pommes de terre et des vaches » (mon image).

Altération biologique par les vaccins et les OGM

En ce qui concerne les vaccins pour les élevages :

ONU ET OMS ont mis en place un programme récent et DANGEREUX pour les GÉNOMES NATURELS, nommé « ONE HEALTH » qui lie la santé humaine directement à la santé animale, avec un programme mondial de « vaxins » biotechnologiques ou à « ARNm » pour tout le monde (tous les animaux, poulets, humains, poissons, poussins, tomates, salades, etc.)

https://www.woah.org/fr/ce-que-nous-faisons/initiatives-mondiales/une-seule-sante/

« Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. » 

(Source)

Suppression du naturel pour imposer l’artificiel

L’OMS prévient et prétend que l’alimentation, les fermes, les cultures sont néfastes pour l’humanité et la planète !!

Et je vais vous dire ce qui est prévu pour vous et vos enfants, si nous laissons faire et si les agriculteurs et fermiers et pêcheurs disparaissent ou sont empêchés de produire de bonnes choses ou obligés pour les restants d’OBÉIR a des NORMES technocratiques sans fin qui leur feront rendre la Clef des Champs.

D’abord il y a aura une FAMINE MONDIALE OU en tout cas de très sévères RESTRICTIONS ET PÉNURIES pour que ces élites diaboliques puissent faire « le Great Reset des Pommes de terre et des vaches » (c’est une image) et que votre droit à s’alimenter soit sous contrôle d’un ID numérique polyvalent (Identité, Energie, transports, santé et vaccins, « compte bancaire » de monnaie numérique, Alimentation)

Bien sûr la « SOLUTION » « SOLEIL VERT » ARRIVERA DU WEF de l’UE, de TOUS LES GOUVERNEMENTS AUX ORDRES et de l’OMS :

  • Manger des insectes !
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/01/16/lunion-europeenne-veut-vous-faire-manger-des-vers-et-des-insectes-pour-sauver-la-planete/

  • De la viande de chanvre ou de compost
  • De la viande artificielle de BILL GATES poussée en labo ou imprimée en 3D
    Le marché en pleine expansion de la viande artificielle est également dominé par un très petit nombre de géants de l’agroalimentaire qui, eux aussi, sont détenus par BlackRock et Vanguard.
  • Des légumes OGM, aseptisés et VACCINÉS
    Oui vous avez bien lu, VACCINÉS et ainsi soi-disant résistant au « Climate change ».
  • Des FRUITS « VACCINÉS »
  • Du LAIT OGM
    Bien sûr de vaches « VACCINÉES » à ARNm
  • Du lait VÉGÉTAL aussi toxique que l’autre avec des plantes OGM à la base (soja OGM, Riz transgénique, etc.)

Rarement, très rarement, vous aurez droit à du poisson d’élevage ou du vrai poulet ou du bœuf VACCINÉS à VACCINS ARNm pour « votre sécurité », les achats étant décotés de vos points sur votre PASS CARBONE.

GRAPHÈNE, PEG et QUANTUM DOTS sont déjà présents dans toute l’alimentation industrielle : rien que cela produit une altération, une corruption évidente de la biologie (voire des ADN), celle des animaux, de L’HOMME et même des plantes, des poissons, des crevettes, des pommes, des salades, des légumes, etc.

Un quota de protéines animales à ne pas dépasser, sera attribué à chacun, associé à ton pass CARBONE.

Objectif : dépopulation et contrôle

Ainsi le « monde d’après » PSYCHOPATHIQUE du « WEF & CO » compte bien contrôler une population dépendante, sans accès a la nourriture à l’ancienne, une population pucée, vaccinée, hybridée, parquée dans des Smart Cities ou « villes 15 min » sous 5G/ 6G, avec un pass carbone, un ID Numérique et un réseau nano intracorporel graphène/quantum dots/ Luciferase et donc neuromodulable par les ondes, pour le lier au CLOUD et à l’IA à jamais où votre ID Numérique vous permettra ou pas d’acheter votre ration alimentaire.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/19/liran-lance-le-rationnement-alimentaire-couple-a-un-systeme-didentification-biometrique/

Un Transhumain robotisé et obéissant, ne « possédant rien, mais étant heureux », sous le SOMA multiforme du BRAVE NEW WORLD 2.0

« Qui contrôle l’ALIMENTATION
et les terres contrôle le MONDE »

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines.

MANIFESTO « UNABOMBER 2030 »

Chers Paysans, fermiers, éleveurs nous vous soutenons, mais allez vous enfin dire le FOND du PROBLÈME ? Qui est que le WEF veut VOS terres, qu’ils veulent contrôler tous les peuples en contrôlant l’alimentation et la propriété privée (et les annihiler pour leur « monde d’après »), parquer l’Humain dans des villes 15 min sous 5G, dans un monde tout numérique, une vie quasi virtuelle et sans âme, sans plus de contact entre l’Homme et la Nature…

Un de leurs buts premiers pour cela étant d’arriver à exproprier les paysans fermiers, éleveurs, en les poussant au désespoir par la coercition, les taxes, les normes, la misère financière puis les exproprier et récupérer les terres quasiment pour rien. Ce que fait BILL GATES de manière exponentielle. Cet agenda a commencé il y a des décades.

Ils font actuellement semblant de favoriser le BIO, mais ce n’est qu’un stade 1, pour « normer » plus et pourrir la vie et les revenus des non-bios et vice versa.

Mais sachez que favoriser le bio et l’autonomie alimentaire d’un pays d’une région ou d’une famille n’est PAS LEUR AGENDA.

A la place, ils souhaitent une alimentation sous contrôle, au mieux OGM et Production en agrochimique, mais ils veulent AUSSI et FONT déjà de nouveaux vaccins sur les élevages qui se retrouvent vaccinés avec QUOI ? Avec les nouveaux vaccins à ARN m de type vaxin covid (graphène, poisons, métaux, etc.. )

PROGRAMME ONE HEALTH ONU/OMS

Au stade suivant, ils veulent proposer une alimentation de plus en plus synthétique de LABO, viande, légumes et fruits OGM « vaccinés », tout cela soi-disant « antiCO2 », les aliments étant sous Patentes et Propriété des Industriels.

Bien sûr toutes semences naturelles et reproductives qui sont déjà attaquées de tous bords seraient interdites, hors la loi.

Pour cela une bonne « famine pandémique » qui bien sûr serait mise sur le dos du « climate Change » et non sur l’extermination systématique des exploitations par leurs politiques, offrirait le motif et c’est LEUR AGENDA

Quand on voit que ces ÉLITES osent dire que « produire ses propres légumes potagers, produit 5 fois plus de CO2 que l’industrie agricole », TOUT EST DIT !!

ILS MENTENT BIEN SÛR. Y en a-t-il qui sont assez stupides pour les croire ? OUI, des jeunes biberonnés au smartphone, addicts au smartphone et aux vidéos sans intérêt, avec un QI en constante baisse, ne connaissant plus rien de la vie, de la Nature, du monde réel et… C’ETAIT LE BUT.

Solution ?

Comment faire tomber un système aussi puissant ? Je ne sais pas.

Au moins dénoncer et faire savoir

Mais déjà il faut le dire haut et fort, en LE nommant précisément, pas juste parler des normes ou du fait que la vie est dure.

Elle est dure parce qu’une pieuvre au-dessus de tous les gouvernements et même de L’UE dicte un agenda génocidaire, transhumaniste et inhumain de dépopulation, ennemi de TOUT ce qui fait de nous des humains.

Ce même Agenda au final et contrairement à leurs dires de façades et aussi contre la Nature. La Nature originelle que nous aimons et qui nous soutient et nous nourrit, ils n’en veulent pas, car elle ne peut être ni patentée ni contrôlée, ni exportée sur Mars.. Ils la modifient donc de toutes les manières possibles.

Leur délire transhumaniste d’Homme augmenté par la technologie est réel, la Nature augmentée ou « Transnature » envahie de biologie synthétique et de nanobots est leur rêve absolu (voir AVATAR)

« Alors qu’une série d’incendies détruit soudainement des usines de transformation alimentaire, de viande et d’engrais, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir, un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. …

L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … »

La base d’action des Élites du Club de Rome et leurs successeurs transhumanistes :

La base trompeuse est AGENDA 21 ou AGENDA 2030 un vaste MENSONGE de longue date et très organisé déployé globalement et localement, avec des déclarations alarmistes sur le « global warming », le « climate change », Agenda qui prétend ne vouloir que du bien à la nature et à l’humanité, mais c’est tout l’opposé.

Qui ne parle pas bien sûr des Armes climatiques servant à perturber le climat, stations HAARP, profusion de chemtrails, armes à énergie dirigée ou DEW weapons, canons à micro-ondes, pulsage d’ondes ELF très basses fréquences dans l’atmosphère et l’Ionosphère, satellites 5G en basse orbite (Starlink, One web, One Earth, etc.) tours 5G décimatoires du vivant = ces armes sont si puissantes qu’elles servent à faire à la demande : Ouragans amplifiés, incendies, griller des forets ou des villes ciblées au choix (Californie, Australie, Maui, USA, Canada, monde) activer des tremblements de terre, des tsunamis, des inondations, des précipitations massives ou créer des sécheresses artificielles terribles, faire neiger au Sahara ou en Inde, créer de la neige artificielle, des tornades, etc.

L’Agenda 21 / 2030

L’Agenda 21 / 2030 for « sustainable development » [développement durable] est l’outil parfait de manipulation mentale pour faire faire à l’Humanité ce que l’on veut qu’elle fasse. En fait c’est le Great Reset promu par Schwab, ONU et FEM travaillant en partenariat.

C’est contre l’HUMANITÉ et contre les animaux d’élevage, voués au massacre vaccinal et à une drastique réduction du nombre de bêtes sous prétexte d’« azote, de méthane, de CO2 » produit par les vaches ou les poules !

Présentation EN FRANÇAIS de « Agenda 21 » par ROSA KOIRE.

VISIONNER :



AGENDA 21 AGENDA 2030 : LE BUT

Dans AGENDA 21/ 2030 les ZONES préservées de NATURE sans AUCUNE ACTIVITÉ HUMAINE sont prévues constituer 70, voire 80 % de la surface des terres de la Terre

Un pourcentage des terres serait autorise avec « activité humaine » sous contrôle TRÈS strict

Un autre petit pourcentage des terres serait ULTRA peuplé : ce sont les zones URBAINES CONCENTRÉES et en fait concentrationnaires ou 98 % de la population mondiale doit être poussée à vivre dans un environnement terrible de tout numérique, basé SUR UN ID NUMÉRIQUE avec passeport carbone, passeport vaccinal, alimentation, monnaie numérique, déplacements 15 MN maxi, avec 5G / 6G à tous les coins de rue et dans les domiciles.

Je précise que ce n’est pas que pour les USA, c’est global.

le CO2 et le « climate change » servant AUSSI DE PRÉTEXTE à cet agenda URBAIN de « VILLES INTELLIGENTES » [SMART CITIES] SOUS CONTRÔLE NUMÉRIQUE et ANTENNES 5G/6G + AI

L’addiction des gens des jeunes des enfants au smart phone, au WIFI et l’acceptation du tout numérique, de la monnaie numérique, d’un ID Numérique, de la 5G de la 6G est la BASE ET LE SEUL MOYEN POUR EUX D’INSTAURER CE « GREAT RESET » GLOBAL et LOCAL.
C’est ainsi que le smart phone a été mis dans les mains de la population mondiale, ce n’était pas pour vous libérer, même s’il est très utile au départ, ainsi que l’Internet (voué à être sous contrôle total), mais au final pour vous enfermer.

J’espère que les agriculteurs ont bien conscience qu’ils sont ou vont être manipulés par les syndicats, les gouvernements et certains meneurs, ne rien lâcher, dénoncer le WEF haut et fort, faire tomber Bruxelles

N’obéir à personne. C’est le dernier combat : la liberté, l’humanité et la Nature OU le Transhumanisme, la fin de l’humain et de l’animal naturel et de notre civilisation millénaire, quelque soit le pays et l’ethnie.

Par contre que ces paysans arrêtent de dire qu’ils veulent avoir droit a plus de pesticides à cause de la « concurrence » déloyale étrangère, car c’est contre eux, contre nous, contre les pollinisateurs et contre la terre et le Vivant au final.

Qu’ils COMMENCENT aussi par se rendre compte que les « vaccins » pour leurs bêtes deviennent à présent des armes biologiques destructrices de même TYPE que les vax covid, institués et imposés globalement par le programme ONE Health de OMS ONU qui est déjà en cours !

Qu’ils arrêtent de les « VACCINER » avant que tout déraille au niveau génétique.

Qu’ils vendent au peuple de la nourriture saine, produisant peut-être un peu moins, mais à UN prix PLUS élevé pour eux à la vente, qui les fera VIVRE et sera bien au-dessous de ceux de la grande distribution.

Comment ? Sans les gros intermédiaires Leclerc et compagnie, sans Nestlé, Danone, Lidle, Carrefour, Auchan et sans UE et sans syndicats. 

Sans intermédiaires, que le peuple leur achète leur production, dans les villages, les villes, sur les routes, partout.

Une révolution pacifique globale aussi majeure ne peut avoir lieu que par une conscience aiguë des buts réels du WEF dont l’UE n’est qu’un des petits exécutants, agenda qui avance par stades, masqués, sauf pour ceux qui étudient avec acuité leurs documents et plans.

Lire aussi : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/06/09/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/

extrait :

La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est en cours — s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.

L’histoire en un coup d’œil :

  • La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
  • Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine.
  • L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
  • Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
  • À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.

Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. »

AUTRE ARTICLE RELIÉ : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/11/maladie-guerre-et-famine-le-troisieme-cavalier-du-mondialisme-approche-au-galop/

Autre très bon article : https://nouveau-monde.ca/larme-alimentaire-cest-ce-qui-relie-les-protestations-paysannes-lagenda-2030-et-lattaque-contre-lalimentation/

Theara TRUTH NEWS, 27 janvier 2024

Manifesto « Unabomber 2030 » par Theara
FRANCE

Article de Theara, directement RELIÉ à celui-ci :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/

Plus de nombreux autres articles de Theara sur le Great Reset, L’Agriculture et l’Élevage et le Transhumanisme, sur Pro Fide Catholica :

https://profidecatholica.com/?s=Theara+

À suivre : partie 2. (https://lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/2024/02/04/le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches-partie-2/
ou « UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité)




Quelle France, quel système de valeurs, quels peuples demain?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




Ce que cachent les substituts de viande

[Source : Kla.tv]

Est-ce que vraiment aucun animal ne meure pour produire de la viande artificielle ? Et le fait de manger des tumeurs, est-ce une alternative saine pour son propre corps et pour l’environnement ? Les déchets biologiques toxiques générés par la production artificielle ne sont-ils vraiment pas nocifs ? Comment sont produits les aliments qui, selon l’Agenda 2030, doivent éliminer la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire ? La réponse à ces questions devrait être connue de TOUT LE MONDE !

Avez-vous remarqué, chers téléspectateurs, lors de vos dernières courses, que presque tous les supermarchés, qu’ils s’appellent Rewe, Aldi, Lidl ou autre, ont désormais des rayons entiers consacrés aux végétaliens ? McDonalds, Burger King et autres proposent également des burgers ou des nuggets plant based, c’est-à-dire « à base de plantes ». Les végétariens et les végétaliens devraient se réjouir de cette évolution : plus de choix, une alimentation plus consciente, cela ne peut être que bon pour l’homme, l’animal et l’environnement – pourrait-on penser. Mais l’Agenda 2030 de l’ONU, de l’OMS et du FEM, poursuivi avec insistance, et l’avancée systématique vers l’application de leurs plans prouvent qu’il n’y a pas de sollicitude ni de prudence derrière tout cela.

Comme Kla.TV l’a déjà précisé dans l’émission « L’arme alimentaire » www.kla.tv/27996, l’Agenda 2030 est une énorme tromperie sur la marchandise.

Pour rappel :

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d‘éliminer la faim, d‘assurer la sécurité alimentaire, d‘améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable.

En commençant par les paysans déjà découragés, on observe cependant que l’agriculture naturelle à petite échelle est détruite, tandis que, dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais d’une agriculture industrielle, du génie génétique et de l’agrochimie.

Une des nombreuses annonces sur la manière dont Bill Gates et consorts veulent apaiser la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire réside dans les aliments synthétiques et l’agriculture verticale, qui est censée n’offrir que des avantages.

En octobre 2023, Uncut-News a publié un article intitulé « Pourquoi les aliments synthétiques sont-ils très dangereux ». Nous en résumons pour vous les principaux points et abordons les questions suivantes :

• Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

• Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

• Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

• La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

• Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

• La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

Qu’en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

La viande cultivée est un exemple d’aliment synthétique. Les partisans de ce substitut de viande insistent sur le fait que ce produit n’est pas de la « viande artificielle », mais de la « vraie viande », à la seule différence qu’il ne nécessite pas l’abattage d’un animal pour sa production.

De nombreuses personnes se tournent vers la viande cultivée en raison du bien-être des animaux et d’une approche consciente de l’alimentation. Malheureusement, ils tombent alors dans le piège d’une énorme tromperie en matière de relations publiques. En effet, l’affirmation selon laquelle aucun animal n’est tué dans le cadre de ce processus est tout simplement fausse. Actuellement, la plupart des viandes de culture ou à base de cellules sont produites à l’aide de sérum fœtal de bovin (FBS), qui est obtenu à partir du sang de veaux à naître. En bref, selon les affirmations de l’article d’Uncut News, les vaches gestantes sont abattues pour prélever le sang du fœtus à naître.

Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

Pour faire croître les cultures cellulaires, certaines entreprises utilisent par exemple des cellules immortelles, qui sont techniquement précancéreuses, c’est-à-dire qu’elles sont en fait complètement cancéreuses. D’autres entreprises utilisent des cellules souches embryonnaires ou des cellules d’animaux vivants.

Les substituts de viande cultivés sur des cellules cancéreuses pourraient donc être considérés comme des tumeurs, puisque la viande est entièrement composée de cellules cancéreuses. La raison pour laquelle on utilise des cellules immortelles est que les cellules qui se comportent normalement ne peuvent pas se diviser indéfiniment. Ainsi, si on voulait cultiver des milliers de kilos de tissus avec des cellules de viande musculaire normales à partir d’un petit nombre de cellules, cela ne fonctionnerait pas.

Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

En ce qui concerne la sécurité, on pourrait également argumenter que la viande de bœuf naturelle pourrait être contaminée lors de la transformation, de l’emballage, du transport, du stockage ou pendant le processus de cuisson. Et de même dans le cas de la viande cultivée, chaque ingrédient et chaque étape de transformation présente un potentiel de contamination, et chacun des centaines d’ingrédients pourrait avoir des effets toxiques, seul ou en synergie. Une analyse approfondie des données disponibles, publiée en mai 2023 par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et un groupe d’experts de l’OMS, a conclu qu’au moins 53 risques potentiels pour la santé sont associés à la viande cultivée en laboratoire. Il s’agit notamment de la possibilité de contamination par des métaux lourds, des Sz08_, des nanoplastiques et des produits chimiques, des additifs allergènes, des composants toxiques et des antibiotiques. Cela vaut également pour les produits de substitution à base de plantes déjà disponibles dans le commerce. À cet égard, il convient de souligner que même les produits déclarés comme « végétaux » ne sont absolument pas sains. Ils sont eux aussi fabriqués à grand renfort de produits chimiques et contiennent entre autres des quantités inquiétantes d’huile minérale.

La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

Comme nous l’avons brièvement mentionné précédemment, la production de viande cultivée génère également des biodéchets toxiques. Les biodéchets issus de ces fermentations biologiques synthétiques doivent d’abord être désactivés, puis éliminés en toute sécurité. Ils ne doivent pas finir dans une décharge.

Chers spectateurs, il faut prendre le temps de réfléchir à ce qui suit : La fabrication de produits que nous sommes censés manger génère des déchets dangereux qui ne peuvent pas être éliminés de manière traditionnelle, alors qu’ils seraient totalement inoffensifs pour nous ?

Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

La chair obtenue dans la solution nutritive doit être résistante aux antibiotiques, car elle doit survivre aux antibiotiques utilisés pour tuer d’autres organismes indésirables dans la cuve dans laquelle la masse est cultivée. En conséquence, des organismes résistants aux antibiotiques sont également intégrés dans le produit final, et on ne peut que supposer quels types de maladies d’origine alimentaire pourraient être causés par des E. coli génétiquement modifiés et résistants aux antibiotiques. Voici une citation tirée de l’émission « L’arme alimentaire » [https://www.kla.tv/27996 ] :

« (…) Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. »

La production de viande synthétique permet-elle réellement d’économiser du CO2 ?

On prétend également que la viande cultivée et les autres aliments synthétiques sont plus respectueux de l’environnement. Cela aussi est incorrect : non seulement la production génère des déchets spéciaux, mais en plus, l’industrie de la viande de laboratoire produit 4 à 25 fois plus de CO2 que l’élevage traditionnel. Cette information est destinée à ceux qui croient encore à l’arnaque du CO2. Car tout cet agenda concernant la sécurité alimentaire, etc. repose sur un mensonge concernant le CO2, qui justifie la prétendue nécessité de réduire l’agriculture naturelle. Dans d’autres émissions, Kla.TV a abordé la question des vaches tueuses de climat [« Les vaches, tueuses de climat ? »] ainsi que celle du Green Deal [« Destruction ciblée de l’agriculture »].

Comme nous venons de le voir, avec l’Agenda 2030, il est difficile pour les agriculteurs de bien nous nourrir, nous, la population qui dépend d’eux, et encore moins de maintenir leur existence.

Comme vous l’avez vu, les aliments synthétiques et transformés ne sont pas promus dans un réel souci de durabilité. Non, la biologie synthétique est recherchée pour mettre en place un énorme mécanisme de contrôle. Ceux qui détiendront toute la production alimentaire synthétique domineront littéralement le monde.

Voici une citation de Henry Kissinger à ce sujet :

« Celui qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »

C’est également Kissinger qui, en 1974, a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » dans lequel il déclarait, en d’autres termes, que la nourriture était un « instrument de puissance nationale ».

En bref, les mondialistes possèdent et contrôlent déjà la majeure partie des produits agricoles naturels cultivés dans le monde aujourd’hui. En remplaçant les véritables aliments d’origine animale par des alternatives protéinées brevetées et produites en laboratoire, on se dirige vers un pouvoir sans précédent sur la population mondiale. On sait également que la consommation d’aliments ultra-transformés contribue aux maladies, et le bénéficiaire est bien entendu Big Pharma. Pendant de nombreuses décennies, l’industrie alimentaire a encouragé les maladies chroniques, qui sont ensuite traitées par des médicaments plutôt que par une meilleure alimentation.

Notre nourriture originelle est pourtant une création parfaite et, sous sa forme naturelle, elle est adaptée à 100 % aux besoins de tous les êtres vivants. Et si Bill et consorts y touchent, ils nous créent « un buffet diabolique de Frankenstein avec un arrière-goût écœurant ». Toutefois, à Kla.TV, nous serions volontiers prêts à suivre les mondialistes, Big Pharma et les profiteurs de l’Agenda 2030 sur une période d’expérimentation plus longue, afin qu’ils puissent nous prouver dans leur propre chair quels sont les avantages de leurs produits.

Merci de diffuser cette émission et de rester avec nous pour que les projets de l’Agenda 2030 pour les peuples du monde puissent être mis à jour et ainsi déjoués. Ensemble, brisons le mur de la complexité et de l’ignorance.

de abu./tt.

Sources / Liens :

Pourquoi les aliments synthétiques sont très dangereux / Citation de New Scientist Albert-László Barabási
https://uncutnews.ch/warum-synthetische-lebensmittel-sehr-gefaehrlich-sind/

Pollution par les huiles minérales et additifs chimiques dans les produits végétariens/végétaliens
https://www.agrarheute.com/land-leben/oeko-test-veggie-wuerste-mineraloelen-belastet-585760
https://www.chip.de/news/Wurst-Alternative-im-Test-Fast-alle-Produkte-muessen-Kritik-einstecken_184187264.html

Les investissements de Gates dans les substituts de viande et les aliments synthétiques
https://odysee.com/@investmentdenker:c/Teil12:4

Document stratégique de Henry Kissinger de 1974
https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

Objectifs de l’Agenda 2030
https://www.kla.tv/19023

L’arme alimentaire
https://www.kla.tv/27996

Contrôle des aliments / Vertical Farming / Citation de Kissinger / Contrôle des semences
https://www.kla.tv/23292

Découverte du mensonge sur le climat
https://www.kla.tv/27736

Décimation de l’élevage bovin
https://www.kla.tv/25420

Destruction ciblée de l’agriculture / Green Deal
https://www.kla.tv/22252

Interview avec Heiko Schöning :Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?
https://www.kla.tv/27963




L’UE n’en a pas fini avec les paysans

https://www.ladepeche.fr/2024/02/20/colere-des-agriculteurs-un-convoi-de-tracteurs-va-relier-villecomtal-a-lacq-gare-aux-embouteillages-en-bigorre-ce-mardi-11776207.php




Immersion dans une ferme qui n’a pas bougé depuis 50 ans

[Source : neo – Sacrés Français]

Jean-Bernard Huon et sa compagne Florence ont toujours refusé de prendre le virage de l’agriculture moderne. Ils travaillent à l’ancienne comme leurs parents et grands-parents, sans tracteurs, sans machines, sans produits chimiques ni subventions. Le Finistérien laboure même ses champs avec des bœufs : « Tout le monde se moquait de moi. Personne ne pensait que j’y arriverais. Et pourtant ça fait plus de dix ans que je le fais ! » Des ovnis pour certains, des pionniers pour d’autres. « Je ne suis pas un mouton et je n’ai pas l’intention de rentrer à la bergerie ».

À 76 ans, Jean-Bernard, poète et philosophe à ses heures perdues, continue de travailler sur sa ferme de 15 hectares et à transmettre sa passion. Lui et sa femme reçoivent même des woofers du monde entier.




France — Toujours en difficulté, des agriculteurs poursuivent leur lutte

J’ai 3000 euros de prêt à payer chaque mois. Je ne peux même pas produire mon fromage et en plus de ça j’ai l’électricité, les assurances à payer […] je n’ai plus qu’une solution, c’est la générosité et la solidarité des gens. Sinon ma ferme coule, et mes chèvres partiront à l’abattoir.

Delphine Serreau, éleveuse de chèvres qui a lancé une cagnotte en ligne sur Leetchi. (Source)




Les paysans français n’ont pas dit leur dernier mot




La crise mondiale du secteur agricole — L’exemple français

[Source : les7duquebec.net]

Par Robert Bibeau.

En quelques termes l’auteur de la vidéo ci-dessous résume le présent et l’avenir du secteur agricole dans tous les pays capitalistes. Ces mots choisis pour décrire le « modèle » français sont : Concentration – monopolisation – fusion – financiarisation – spéculation – mécanisation – robotisation – rationalisation – rentabilisation – marchandisation et mondialisation de l’agriculture industrielle française, européenne, occidentale et mondiale. Ce secteur économique subit le même sort que le reste de l’économie marchande moderne et mondialisée. La voix paysanne a disparu depuis longtemps des champs et des prairies françaises et européennes…, remplacée par les flux numériques transitant sur les marchés boursiers interconnectés.

Les petits propriétaires fonciers capitalistes agraires entonnent leur chant du cygne désespéré… alors que les prolétaires agricoles, de plus en plus nombreux sur ces immenses exploitations mécanisées, cherchent une voix parmi les décombres anthropiques, coincés entre les mythes du « retour à la paysannerie », du « retour au lopin mystique », du « retour au marché national protectionniste », en avant pour le « Frexit » et la sortie de l’Union Européenne honnie, en avant pour l’utopique « démondialisation ». Enfin, de la part des fascistes « verts » on entend « développons une agriculture industrielle de masse sans engrais, fertilisants, pesticides et herbicides »… et autres fadaises.

Ces stratégies de confinement agricole nationaliste sont irréalistes… dans un monde déjà très fortement mondialisé, numérisé, interconnecté, mécanisé, robotisé et massifié. Ne pas oublier que le secteur économique agricole et l’industrie agroalimentaire doivent nourrir plus de 8 milliards d’individus. Le Grand capital international qui commande aux succursales nationales du capital gouvernemental ne laissera aucune force politique ou populiste s’opposer à ses plans de guerre généralisé, pas davantage à ses volets agraire, ou alimentaire, qu’à son volet militaire.

Que faire alors ? Il est faux de prétendre que le Grand capital mondial – multinational et national français cherche à détruire le secteur agricole français, canadien, américain ou européen ! Au contraire, les contraintes que le Capital mondial impose aux marchés agricoles visent à rendre ces secteurs plus productif, plus performant, plus rentable, à son profit bien entendu. Pour atteindre ces objectifs, l’agriculture doit se plier aux contraintes de : Concentration — monopolisation – fusion – financiarisation – spéculation – mécanisation – robotisation – rationalisation — rentabilisation – marchandisation et mondialisation… quitte à jeter sur le pavé des milliers de petits capitalistes agraires et des milliers de travailleurs agricoles excédentaires.

Il est impossible de « réformer » ou d’améliorer le fonctionnement du capitalisme pour le bénéfice du peuple, des travailleurs agricoles et du prolétariat international. Pour survivre, le prolétariat agricole et de l’agroalimentaire comme celui de tous les secteurs de l’économie bourgeoise doivent renverser ce mode de production décadent et créer un nouveau mode de production.

En attendant, nous soutenons la révolte des petits agriculteurs en cours de paupérisation et de prolétarisation, et des ouvriers agricoles qui luttent pour la défense de leurs conditions de vie et de travail à la ferme et à l’usine, en France, au Canada, en Europe et dans le monde.




Davos tue l’agriculture pour financer la guerre

[Source : Chaîne officielle TVL]

Pourquoi la paysannerie est-elle en phase terminale ? Qui tire les ficelles du monde agricole, le plus gros marché mondiale (7 000 milliards $) ? Après les manifestations de colère légitime des agriculteurs, Jean-François Auzolle, ingénieur centralien, apporte une série d’explications que les grands médias prennent bien soin de cacher. Le problème est ancien et global. À l’origine : la capitalisation primitive, de puissantes fortunes qui s’organisent entre elles pour chasser en meutes. Les paysans ayant toujours été à leurs yeux une variable d’ajustement. Mais comme il faut que tout le monde mange et que « business is business », le coût doit être le plus faible possible (les insectes arriveront bientôt dans les assiettes). La guerre en Ukraine et ses milliards de débouchés n’attendent pas. Par ailleurs, la maîtrise du foncier étant l’objectif ultime (comme Bill Gates et ses 100 000 hectares aux États-Unis), cette caste cherche par tous les moyens à empêcher les agriculteurs de capitaliser. Jean-François Auzolle revient en détail sur la PAC, le rôle de la FNSEA, les lois Egalim et surtout décrypte les dessous d’une organisation dont les cerveaux sont aujourd’hui les invités du Forum économique mondial de Klaus Schwab… (Des informations complémentaires seront mises en ligne sur lefalotier.fr à compter du 21 février)

[NDLR : concernant le Glyphosate,
voir https://www.mnhn.fr/fr/actualites/le-glyphosate-est-il-nefaste,
https://www.linternaute.com/actualite/societe/3925110-a-quel-point-le-glyphosate-est-il-dangereux-ce-que-dit-vraiment-la-science/,
https://theconversation.com/impacts-du-glyphosate-sur-la-sante-et-lenvironnement-ce-que-dit-la-science-75946,
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/pesticides-pourquoi-les-effets-du-glyphosate-sur-la-sante-sont-ils-encore-controverses-3703305]




Immigration et paysans : Darmanin n’a pas expliqué tout ça lors du vote de sa loi

Par Gérard Le Maître

Ce qu’il faut savoir, et le monde agricole est concerné sans le connaître…

Le terroir, c’est son grand défaut, n’est pas délocalisable

Nos élites mondialistes s’acharnent donc à le faire crever, c’est leur projet.

Nos champs brûlent et nous regardons ailleurs. Les Français sauront-ils sacrifier leurs plats cuisinés sous blister pour soutenir le labourage et le pâturage, leurs deux mamelles ?

Le Sinistre de l’agriculture Marc Fesneau a fait une annonce

Annonce pas innocente, mais chargée d’intentions dégueulasses : que l’agriculture serait classée « MÉTIERS EN TENSION » pour fournir après formation (au frais de L’État ?) de la main-d’œuvre (pas chère ?) au monde paysan… ainsi ils pourront embaucher, prendre des vacances…! Ha ! bon ?? ça va en faire rêver quelques-uns, mais ce sera quand les grands groupes financiers mondialistes qui misent sur la disparition des petites exploitations agricoles auront mis la main à vil prix leurs terres abandonnées pour cause de faillites, liquidations, suicides… et c’est ceux-là qui auront besoin de main-d’œuvre low cost pour travailler dans les grandes étendues agricoles regroupées façon Ukraine…

https://www.bfmtv.com/politique/marc-fesneau-annonce-que-le-secteur-agricole-sera-reconnu-comme-secteur-de-metiers-en-tension_VN-202402010525.html
Quel tableau représente le mieux la paysannerie française que l’Angélus de Millet, peint en 1857 ?
Au crépuscule, un couple de pauvres cultivateurs de pommes de terre prie en écoutant l’angelus. En 1889 la toile est vendue aux enchères. Face à face, des acheteurs américains et le gouvernement français. L’opinion se passionne pour conserver l’icône. La France met 553 000 Francs pour garder l’œuvre emblématique. Après moultes transactions, le tableau reviendra au Louvre en 1909. Ce tableau, plus que la Joconde, c’est la France, nulle part ailleurs.
La terre, plus que toute autre activité, représente le terroir, l’enracinement, le paysan, les paysages, la patrie. La culture de la terre, c’est notre culture, notre art de vivre.
Les Français de souche(1), ce sont eux.
https://nice-provence.info/2024/01/31/paysans-angelus-glas-tocsin/

Aux fourches, citoyens ! Rats des villes, soutenez les rats des champs, ils vous nourrissent.

Et expliqué en humour noir et caustique : censure de la loi immigration, le retour des hommes enceints, macron en Inde, les paysans se rebiffent, faits divers, analyses, etc. :

L’enfumage n’a pas marché ! Voici ce qu’Attal va faire.

« Liberté, égalité, IVG », bienvenue en république où, pendant qu’on tue 250 000 potentiels contribuables par an et toute leur descendance cumulative, on essaie de compenser en allant chercher ailleurs des d’intellectuels de haut viol en tension, prêts pour les métiers éponymes avec l’attribution, en 2023, d’un nombre record de 323.000 titres de séjour, en ce qui concerne les seules entrées légales.

https://www.medias-presse.info/humour-noir-et-caustique-censure-de-la-loi-immigration-le-retour-des-hommes-enceints-macron-en-inde-les-paysans-se-rebiffent-faits-divers-analyses-etc/185774/




Billet agricole : l’égoïsme et la fatuité sont en train de tuer la France

[Source : russiepolitics]

Par Karine Bechet-Golovko

Sans aucune surprise, les syndicats et les politiques ont parfaitement manœuvré pour faire échouer le mouvement sincère de révolte des agriculteurs. Non seulement ils n’obtiendront finalement rien de sérieux, mais l’on voit la France se diviser en trois : ces personnes, qui se battent pour (sur)vivre ; la majorité, qui s’en fout totalement ; et une minorité privilégiée, qui du haut de son néant, les tourne en ridicule. L’échec des agriculteurs, c’est notre échec. Quand l’impératif de survie viendra frapper à votre porte, il sera alors trop tard. L’égoïsme et la fatuité sont en train de tuer la France.

La FNSEA s’est dépêchée d’accepter les propositions du Gouvernement et d’applaudir bien haut et bien fort, incitant les agriculteurs à rentrer chez eux. Assez joué, il ne faut pas déranger le bon peuple, il ne faut pas déranger les élites, ils ont tous autre chose à faire que de s’occuper de la France. Alors, des agriculteurs, de vous, vous pensez bien… Il est important de bien connaître sa place.

Et d’ailleurs, les voix officielles du Gouvernement en sont largement gré à leur syndicat, comme on a pu le lire dans un article de Public Sénat, média officiel s’il en est :

Le premier syndicat agricole appelle à la levée des blocages et indique rester attentif à la mise en œuvre des engagements pris par l’Etat pour répondre à la grogne des agriculteurs. En quelques jours, la FNSEA a su confirmer son rôle d’interlocuteur privilégié avec le gouvernement, alors que le mouvement, apparu spontanément en Occitanie, a pu sembler lui échapper par sa radicalité.

Autrement dit, le Gouvernement remercie sincèrement la FNSEA d’avoir pu tuer dans l’œuf une révolte, qui semblait dangereuse en raison de son ampleur et de l’impératif des revendications. Mais la FNSEA appelle à rentrer dans la niche. Ce qui ne plaît pas, et loin de là, aux agriculteurs, qui se sentent à juste titre trahis.

« On n’est pas contre le commerce international, mais quand les produits arrivent à un coût en dessous de notre coût de production on demande à ce qu’ils soient taxés », explique-t-il, avant de prendre l’exemple d’un haricot importé du Kenya : « Il est à 3 euros le kilo, le coût de production des haricots du secteur est plutôt entre 7 et 7,50 euros, donc on dit OK. Il y a du haricot du Kenya qui arrive, mais il sera au même prix. »

Sans oublier que les déclarations concernant les accords internationaux de libre-échange, absolument sacrés dans notre monde, n’ont pas convaincu :

« On n’est pas là pour retravailler (les accords), on est là pour dire non, on n’en veut pas, que ce soit le Mercosur (…) le CETA avec le Canada, le Tafta avec les États-Unis, arrêtons de faire circuler notre alimentation sur toute la planète », martèle Jérôme Barange.

Surtout, que finalement rien ne changera. Le délire écolo-bobo va continuer et le plan Ecophyto est n’est plus suspendu par le Gouvernement, malgré les promesses faites en ce sens. Et le commissaire européen Thierry Breton a fait comprendre que l’UE se moque totalement des agriculteurs français, elle a d’autres priorités. Ce que l’on savait déjà avec les 50 milliards d’euros pour l’Ukraine.

Si ponctuellement, des manifestations continuent, ce n’est plus le même élan. Il a été brisé et tel était bien le rôle des syndicats. Mais en dehors de cela, l’on doit bien noter le manque d’implication de la majorité des Français, toujours à grogner sur les inconvénients que cela leur pose. Ils grognaient contre ceux qui se révoltaient contre les masques et les vaccins, plus que contre le Gouvernement qui leur imposait ces restrictions sanitairement absurdes, mais conformes au diktat globaliste. Ils grognent contre la révolte des paysans, plus que contre les politiciens qui conduisent les forces vives de notre pays au suicide. Tant que la majorité de la population restera cette masse molle, ces « veaux » dont parlait De Gaulle, nous resterons dans la casserole à nous faire cuire doucement, mais sûrement.

Et l’on pourra trouver sur les chaînes publiques de tels propos, faisant soi-disant de l’humour au sujet de ces personnes, qui vivent dans la précarité, ces travailleurs pauvres, avec 500 euros par mois. En effet, que c’est drôle…

C’est une honte de pouvoir montrer cela. De voir ces individus, se sentant privilégiés, ces gens du système, rire autour de la table d’une « autre France », qu’ils méprisent ouvertement. De voir ce public d’abrutis dociles, fiers d’avoir été conviés à lorgner sur les miettes du repas des privilégiés, rire eux aussi. Ainsi, pendant quelques minutes, il leur semble, à tort d’ailleurs, ne pas faire partie de cette « autre France ». C’est une honte de ne voir aucune réaction officielle après cette séquence.

Oui, les agriculteurs se sont fait avoir. Comme beaucoup d’autres avant eux. Comme tous ceux, qui pensent encore que ce système est réformable, qu’il suffit de demander une petite place un peu plus confortable pour que tout aille bien. Ce système est programmé pour nous faire disparaître, économiquement, politiquement, socialement — et humainement. Je ne parle pas uniquement de la vie biologique, avec l’augmentation des suicides et les dérives anti-médicales. Je parle de la richesse et de la complexité de la personne humaine. Cet être humain, riche, cultivé, travailleur, aimant la vie et sa famille autant que son pays, n’entre pas dans la matrice.

Soit vous changez de matrice et vous vous relevez, soit vous riez à cette émission de France 2 et vous disparaissez.




Le peuple doit s’unir contre le projet de Bruxelles !

[Source : Tocsin]

🔷 Avec Marc Doyer Porte-parole de Verity France
🔷 Et Sébastien Béraud Agriculteur non syndiqué et en colère.




Les globalistes utiliseront le contrôle du carbone pour vous empêcher de cultiver votre propre nourriture

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith — Le 2 février 2024 — Source Alt-Market

Au début de l’année 2020, au milieu des confinements Covid, les états bleus dirigés par des gouverneurs gauchistes ont poursuivi les obligations avec un préjudice extrême. Dans les États rouges comme le Montana, après le premier ou le deuxième mois, la plupart d’entre nous ont simplement ignoré les restrictions et ont continué à vivre comme d’habitude. Il était clair que la Covid-19 n’était pas la menace que les autorités fédérales faisaient peser sur lui. Cependant, dans des États comme le Michigan, l’étau s’est resserré de plus en plus sous l’impulsion de dirigeants véreux comme Gretchen Whitmer.

Gretchen Whitmer a profité de l’occasion pour imposer des restrictions étranges au public, notamment en interdisant aux grandes surfaces de vendre des graines et des produits de jardinage à leurs clients. « Si vous n’achetez pas de nourriture, de médicaments ou d’autres produits essentiels, vous ne devriez pas aller au magasin », a déclaré Gretchen Whitmer lors de l’annonce de son décret. La gouverneure gauchiste n’avait rien contre l’achat de billets de loterie et d’alcool, mais pas contre celui d’outils de jardinage et de semences.

Elle n’a jamais donné de raison logique pour expliquer pourquoi elle ciblait les produits de jardinage, mais la plupart des membres de la communauté des survivalistes ont très bien compris de quoi il s’agissait : Il s’agissait d’un bêta-test en vue de restrictions plus importantes en matière d’indépendance alimentaire. Tout au long de l’année 2020, les médias se sont largement répandus en discours attaquant tous ceux qui stockaient des produits de première nécessité en les qualifiant de « thésauriseurs », et maintenant ils s’en prenaient à ceux qui planifiaient à l’avance et essayaient de cultiver leur propre nourriture. L’establishment ne veut PAS que les gens stockent ou produisent des réserves alimentaires personnelles.

Une autre perspective ouvertement discutée par les globalistes était l’idée que les mesures de confinement étaient « utiles », au-delà de l’arrêt de la propagation de la Covid-19 (les mesures de confinement étaient en fait inutiles pour arrêter la propagation de la Covid-19). Ils ont suggéré que ces mesures pourraient être efficaces pour prévenir les émissions mondiales de carbone et sauver le monde du « changement climatique ». L’idée de l’enfermement climatique a commencé à se répandre.

Depuis, les grands médias ont menti sur l’existence de ce programme de confinement climatique, mais il est facile de trouver et de lire des articles et des livres blancs vantant les vertus de l’arrêt de la planète au nom du changement climatique. Les globalistes et leurs défenseurs universitaires voulaient des confinements PERMANENTS, ou des fermetures tournantes tous les deux mois, interrompant la plupart des activités humaines et des déplacements en dehors de la production de base.

J’ai soutenu par le passé que ce que Whitmer faisait dans le Michigan faisait partie de cet agenda — que son interdiction de l’approvisionnement des jardins faisait partie d’un objectif plus large qui n’avait rien à voir avec la sécurité de la santé publique et tout à voir avec le fait d’empêcher les gens de se préparer. Les contrôles Covid n’étaient qu’un précurseur des contrôles sur le carbone.

La semaine dernière, nous en avons eu la confirmation avec une étude de l’université du Michigan qui affirme que les aliments cultivés à la maison produisent cinq fois plus d’émissions de carbone que les méthodes d’agriculture industrielle. En d’autres termes, les jardins privés pourraient être considérés comme une menace pour l’environnement. Le Telegraph et d’autres plateformes commerciales se sont emparés de l’affaire, et je pense qu’il y a de quoi s’inquiéter.

L’étude comprend l’analyse de divers jardins, depuis les parcelles familiales individuelles jusqu’aux parcelles urbaines et communautaires, et affirme que les « infrastructures de jardinage » pour les parcelles individuelles (telles que les plates-bandes surélevées) contribuent à une pollution par le carbone bien plus importante que l’agriculture à grande échelle. L’étude semble ignorer le fait que les plates-formes surélevées sont plus efficaces et permettent de cultiver plus d’aliments dans un espace plus restreint, mais je doute qu’ils se soucient vraiment de prendre ce genre de choses en considération.

Le commun des mortels pourrait s’en étonner et penser que le contraire est vrai : la culture d’aliments à domicile ne serait-elle pas MEILLEURE pour l’environnement ? Ce n’est pas le cas si votre financement repose sur l’idée que l’approvisionnement indépendant en nourriture est mauvais pour la planète. L’étude est financée par un grand nombre de groupes internationaux, dont le programme Horizon de l’Union européenne, dont l’un des objectifs est de créer « 100 villes intelligentes et neutres sur le plan climatique d’ici à 2030 ». Ces 100 villes sont censées servir de modèles phares pour la prise de contrôle de toutes les villes d’ici 2050.

Ces groupes disposent de milliards de dollars et concentrent la majeure partie de cette puissance de feu monétaire sur la recherche (propagande) en matière de changement climatique. Est-ce que je pense que l’étude du Michigan est truquée en faveur d’un résultat prédéterminé ? Probablement. Lorsque ces études sont financées par des intérêts globalistes, leurs résultats semblent toujours favoriser les objectifs globalistes. L’étude elle-même n’affirme pas nécessairement que les gens devraient cesser de jardiner, mais elle pousse l’idée que les contrôles carbone sont nécessaires, même au niveau individuel.

Le rapport du Michigan peut sembler une note de bas de page sans importance. Cependant, comme nous l’avons vu l’année dernière avec une étude de la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC) sur les appareils à gaz naturel, ces petites études obscures sont souvent utilisées pour justifier des interventions gouvernementales à grande échelle dans la vie quotidienne des gens. L’étude de la CPSC a suscité des mois de débats de la part des Démocrates américains, qui ont demandé l’interdiction des appareils à gaz, y compris les cuisinières, parce qu’ils PEUVENT avoir des effets secondaires sur la santé, en particulier chez les enfants (il s’est avéré que l’étude ne reposait sur aucune base concrète pour cette affirmation).

Les gauchistes et les globalistes ne se soucient pas de protéger votre santé ; ils se préoccupent de la manière dont ces études peuvent être utilisées pour semer la peur et accroître ainsi leur pouvoir. En d’autres termes, si l’on peut truquer la science, on peut truquer les lois.

Nous avons vu quelque chose de similaire dans une étude de l’ONU en 2006 qui affirmait que la production de viande contribuait à près de 20 % de toutes les émissions de carbone et était pire pour l’environnement que les transports. L’étude a été révélée en 2010 comme étant « viciée » (frauduleuse), mais pendant des années, les médias et les organisations globalistes ont utilisé ses fausses conclusions comme tremplin pour exiger des limitations et des interdictions de la production de viande au nom de la sauvegarde du climat.

Si vous pensez que la guerre contre l’agriculture qui fait rage actuellement en Europe ne concerne que les exploitations industrielles, détrompez-vous. L’establishment va tenter d’utiliser le mensonge du changement climatique provoqué par l’homme pour dicter TOUTE la production alimentaire, jusqu’à votre modeste jardin. Et ils ne limiteront pas leurs efforts à l’UE ; ils s’en prendront aux exploitations agricoles américaines avec les mêmes restrictions.

C’est là tout l’intérêt des programmes globalistes « net zero » et des villes de 15 minutes : ils reposent sur l’idée que toute activité humaine doit être surveillée et gérée. Ils disent que c’est pour le bien de la planète, mais les systèmes qu’ils veulent mettre en place entre 2030 et 2050 ressemblent à un nouveau féodalisme numérique, une société où les bureaucraties suivent, tracent et micro-gèrent chaque aspect de votre vie. Les élites en profiteront largement sans jamais prouver que les émissions de carbone représentent un danger pour qui que ce soit.

Pourquoi cette focalisation obsessionnelle sur l’alimentation ? Parce que si les gens ont leur propre nourriture, ils seront peut-être plus enclins à se rebeller contre de nouvelles obligations. C’est aussi simple que cela. La finalité est évidente : contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le monde. Faites-le au nom de la sauvegarde de la planète et beaucoup de gens vous remercieront même si vous les affamez.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Tedros: le parcours du directeur de l’OMS depuis ses débuts au sein d’une organisation terroriste

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

En réaction aux dernières déclarations de Tedros qui se plaint du « torrent de fake news » qui s’abat sur lui et sur les futurs « traités pandémies », le Dr Meryl Nass, experte en politiques de santé publique, s’est lâchée : « Tedros a la langue fourchue » !

Il faut bien l’avouer, on n’en peut plus de son éternel blabla de compassion et d’équité, alors qu’il devrait être derrière des barreaux avec ses acolytes de l’OMS. Certains diront que j’exagère. Mais le désastre infligé par la déclaration d’une urgence sanitaire injustifiée est un crime à l’échelle planétaire. Et il a même récidivé, lorsqu’il a tenté de remettre la sauce avec la variole du singe en mai 2022, histoire de faire voter en urgence quelques amendements au Règlement sanitaire international. Et que dire des scandaleuses études sur l’hydroxychloroquine où des patients sont morts à cause des surdosages préconisés par l’OMS ?

En réalité, Tedros est un loup qui se déguise en agneau. Il n’est pas question de laisser ce bonhomme prendre la tête « d’une gouvernance mondiale par la santé » comme ce serait peut-être le cas si le « traité pandémies » ou la révision du règlement sanitaire international sont adoptés à la prochaine Assemblée de l’OMS fin mai 2024. (voir mes articles et vidéos à ce sujet)

Voilà pourquoi je reprends un portrait du personnage que j’avais publié dès le début de la « pandémie », le 16 avril 2020 sur Health Impact News (et dont j’avais aussi parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio).

L’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? Tedros Adhanom Ghebreyesus…

Gates et la Chine engagés dans la bataille mondiale pour le leadership

En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. [1] 

Alors, qui est cet homme qui a notre destin entre ses mains ?

Le directeur de l’OMS, Tedros, et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, ont signé en 2018 un protocole d’accord entre le NIAID et l’OMS pour améliorer les futures collaborations sur les activités de recherche menées en réponse aux nouvelles flambées de maladies infectieuses et aux urgences de santé publique.

Au cours d’une des nombreuses conférences de presse de Covid-19 à la Maison Blanche, le Dr Fauci a montré toute son appréciation pour Tedros Ghebreyesus, son nouveau héros :

« Tedros est vraiment une personne exceptionnelle. Je le connais depuis qu’il était ministre de la Santé en Éthiopie. L’OMS a très bien réussi sous sa direction. »[2]

Mais après ce qui semblait avoir été de nombreuses « bévues » dans les annonces et recommandations de l’OMS depuis le début de la pandémie, beaucoup le voient maintenant suivre la marche de la honte, plutôt que celle de la gloire.

Né le 3 Mars 1965 à Asmara (Ethiopie), Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu Directeur général de l’OMS en 2017.

Il est le premier Africain à diriger l’agence de santé et le premier à ne pas être médecin. Il détient un B.Sc. en biologie de l’Université d’Asmara en Érythrée, un doctorat en santé communautaire de l’Université de Nottingham au Royaume-Uni en 2000 et il a été ministre de la Santé de l’Éthiopie de 2005 à 2012.

De 2009 à 2011, Tedros Ghebreyesus a également été directeur du Fonds mondial, un programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, lancé par la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que chef du Conseil de coordination du programme de l’ONUSIDA.

Membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI (B. Gates), Tedros Ghebreyesus était en outre étroitement associé à la Fondation Clinton et à la Clinton AIDS Initiative (CHAI). Souriant et posé, il est décrit comme une figure humble et compatissante, un bienfaiteur de l’humanité, dévoué à ses lourdes responsabilités.

Le Front de libération du peuple tigré (TPLF)

Il est assez étonnant de découvrir que la carrière politique de Tedros Ghebreyesus a commencé au bureau politique du Tigray People’s Liberation Front (TPFL), une organisation terroriste, inscrite à la US Homeland Security. Cette base de données sur le terrorisme mondial a classé le TPFL parmi les organisations terroristes de niveau III [4] pour une série d’enlèvements, d’attentats à la bombe et de vols à main armée. [3]

Dans son manifeste de 1975, la TPFL avait déclaré une « guerre éternelle » contre les populations voisines, principalement les ethnies amhara et oromo, représentant 30 % et 34 % de la population.

Après plusieurs années de guérilla, le TPFL a renversé le régime de Mengistu avec l’aide d’un autre mouvement de libération érythréen et a pris le pouvoir en 1991 en tant que branche d’un seul parti d’inspiration marxiste, le Front révolutionnaire démocratique du peuple éthiopien (EPDRF), dont seul le nom est démocratique.

Alarmes répétées des organisations de défense des droits de l’homme

Amnesty International a dénoncé sa violence politique depuis des décennies [5]. Un rapport publié dans une revue de droit international [6] affirmait qu’en dépit des efforts pour dissimuler sa dictature, le TPFL « abusait en fait des notions d’autodétermination et de démocratie pour piller l’Éthiopie ».

C’était aussi l’alarme déclenchée par un document de l’Oakland Institute qui estimait que les 3,5 milliards de dollars d’aide financière reçus par l’Éthiopie (60 % du budget national) étaient principalement utilisés pour la répression politique. [7]

Cela a aussi été confirmé par Human Rights Watch (HWR), qui a accusé le Parlement européen en 2016 d’avoir négligé les nombreuses violations commises par le régime éthiopien qu’il subventionne. [8]

HWR a affirmé que sous la direction de l’EPRDF, le gouvernement avait détourné des fonds des programmes d’aide internationale, les utilisant comme armes politiques pour contrôler la population, punir la dissidence et réprimer ses opposants. Les programmes d’aide alimentaire, d’agriculture, de microcrédit ou de soins de santé ont profité exclusivement à certains groupes ethniques (e. a. Tigray), tandis que d’autres en ont été systématiquement privés.

Accusations de génocide

On pourrait peut-être donner à Tedros Ghebreyesus le bénéfice du doute, en l’imaginant comme un noble réformateur qui, s’étant égaré au début, se serait transformé en un humanitaire dévoué apportant sa lumière dans l’obscurité d’un mauvais régime.

Cette illusion s’estompe rapidement lorsque l’on découvre le dossier accablant présenté par l’Amhara Professional Union (APU), l’accusant d’avoir mené une véritable politique génocidaire en tant que ministre éthiopien de la Santé. [9]

L’ethnie Amhara affirme avoir perdu plus de 2,5 millions de personnes entre les recensements de 1997 et 2007, alors que les autres grands groupes ethniques ont augmenté en moyenne annuelle de 2,6 %, les Amharas ont connu une croissance démographique plus lente, avec seulement 1,9 %.

Ils ne bénéficiaient pas des mêmes services de santé et ne bénéficiaient pas des mêmes ressources que la population dominante du Tigré. Les habitants du Tigray avaient une couverture sanitaire 5 fois supérieure en termes d’infrastructures et de nombre de prestataires de soins. Le seul programme en faveur des Amhara était la campagne de contraception.

Les femmes Amhara recevaient beaucoup plus de contraceptifs injectables, tels que Depo-Provera, tout en ayant moins d’informations sur la planification familiale et les autres méthodes contraceptives (Tigray a reçu 2 à 3 fois plus d’informations sur TV, Radio et Print).

Le Depo-Provera est un produit très controversé qui a reçu un avertissement de boîte noire [10, 11] aux États-Unis pour une incidence accrue d’ostéoporose et un risque plus élevé de cancer du sein. Il a également été associé à une augmentation des cas de sida et à des difficultés à retrouver la fertilité après une utilisation prolongée, deux conditions qui semblaient également prévaloir parmi la population d’Amhara. L’APU a accusé le gouvernement éthiopien de discrimination raciale en poussant l’utilisation de Depo sur leurs femmes, sans obtenir leur consentement éclairé. [12]

Selon un autre rapport « Depo-Provera Violence Reproductive Mortelle Contre les Femmes », [13] la planification familiale faisant la promotion de ce médicament en Afrique s’engage dans des politiques de discrimination de facto, par de fausses déclarations sur les effets du produit, en omettant d’informer les femmes sur ses méfaits et ses effets secondaires.

Ces produits ont été limités ou même interdits en Europe et aux États-Unis, mais ils sont toujours inclus dans la planification familiale de l’OMS, et des programmes tels que le FP2020, soutenu et dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates (et Tedros).

Cela a suscité de vives critiques [14] de la part des groupes de santé et des défenseurs des droits de l’homme.

Peut-être que l’administration Trump a également pris en compte certains de ces arguments lorsqu’elle a annoncé qu’elle cesserait de financer le Fonds des Nations Unies pour la population et les politiques qui exécutent ou fournissent des informations sur l’avortement.

Bill Gates a déclaré qu’il était « profondément troublé » par les coupes annoncées aux États-Unis, mais lors du sommet international sur la planification familiale qui s’est tenu à Londres plus tard en 2017, le Royaume-Uni, le FMI, la Banque mondiale et des ONG internationales se sont engagés à un nouveau financement pour un total de 2,5 milliards de dollars.

Tedros Ghebreyesus, qui a assisté à la réunion en tant que nouveau chef de l’OMS, a promis de « défendre personnellement la question des droits sexuels et reproductifs comme une priorité absolue » [15], réaffirmant son intérêt personnel à participer aux politiques de contrôle des naissances.

Tout sauf le choléra

Mais Tedros Ghebreyesus est également connu pour avoir dissimulé plusieurs épidémies de choléra en Éthiopie (2006, 2009, 2011), en les renommant « Diarrhée aqueuse aiguë » (AWD). [16]. Il y avait pourtant des rapports d’expert de l’OMS certifiant que le choléra avait bien été identifié comme l’agent causal. [17]

Tedros a préféré ne pas nuire à l’image de son parti et de son pays. En refusant de déclarer l’épidémie, il a privé ces populations de l’aide de base dont elles avaient besoin, comme des mesures de réhydratation et l’assainissement de l’eau.

Le même scénario s’est répété en 2009 et 2011, même sous sa direction à l’OMS, lorsqu’il a ignoré une épidémie massive au Soudan, voisin en conflit avec l’Éthiopie, selon une lettre ouverte signée par une équipe de médecins américains et Genocide Watch. [18]

Le Fonds mondial est un partenariat dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates pour lutter contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 

En juillet 2009, Tedros a été élu président du conseil d’administration du Fonds pour un mandat de deux ans. Dans un profil publié en avril 2010, The Lancet a indiqué qu’il était « un nom familier au Secrétariat du Fonds mondial » et que ses réalisations ont conduit à nommer l’Éthiopie comme un pays hautement performant et exemplaire.

Une conclusion surprenante, quand on découvre que sous sa direction, l’utilisation des fonds d’aide internationale qu’il supervisait était très discutable.

En 2012, un audit [19] du Fonds mondial a examiné les dépenses du programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dans plusieurs pays africains, dont l’Éthiopie, qui avait reçu 1,3 milliard de dollars de subventions dans ce cadre.

L’inspecteur général John Parson qui était en charge de l’audit, a révélé un manque flagrant de transparence et de nombreuses lacunes dans la comptabilité et la gestion des fonds, au point de suggérer un remboursement minimum de 7 millions de dollars à l’organisation.

Surtout, l’enquête a également montré un écart important entre les résultats présentés comme exemplaires et la réalité observée en Éthiopie lors des visites sur le terrain.

Exemplaire ? 77 % des centres médicaux construits n’avaient pas d’eau potable et 32 % n’avaient pas d’installations sanitaires. Seulement 14 % avaient un microscope ou une table d’accouchement et seulement 12 % avaient une pharmacie.

Le rapport aurait dû conduire à une série de mesures garantissant plus de transparence et d’efficacité dans la gestion du programme, mais l’inspecteur général et ses conclusions ont été écartés.

De toute évidence, de bonnes relations avec les dirigeants des gouvernements africains avaient une importance bien plus grande.

Sanglant ministre des Affaires étrangères

Puis, en 2012, à la fin de son mandat au ministère de la Santé, Tedros Ghebreyesus a été nommé chef des Affaires étrangères (de 2012 à 2016), ce qui confirme qu’il était toujours resté au cœur des décisions du Parti et de ses objectifs et méthodes criminelles.

Par exemple, en 2013, lorsque l’Arabie saoudite a choisi de renvoyer des immigrants de différentes nations, le seul pays qui n’a pris aucune mesure pour rapatrier ses ressortissants était l’Éthiopie. Cette inaction, dont il était responsable, a provoqué des violences contre les Éthiopiens par les Saoudiens. [20]

En 2014, Tedros, l’ancien terroriste du TPLF, a également organisé l’enlèvement, l’extradition et la condamnation de plusieurs dirigeants dissidents et de centaines de demandeurs d’asile au Yémen, avec la complicité du gouvernement yéménite. [21]

Elu à l’OMS par Bill Gates et la Chine

On se demande comment un tel homme a pu devenir directeur général de l’OMS. Nul doute que le travail réalisé par l’agence de communication américaine Mercury Public Affairs (spécialisée dans les campagnes politiques) pour préparer la présentation de sa candidature a été efficace, à la fois en ce qui concerne l’édulcoration de son image sulfureuse et en le poussant comme « la voix des pays en développement ». Certains États membres de l’OMS se sont pourtant immédiatement opposé à lui.

Lorsque les candidats ont été entendus avant l’élection, l’ambassadeur du Brésil a demandé à Tedros comment il entendait « représenter la voix des pays en développement en proposant un programme beaucoup plus aligné sur les priorités des pays du Nord ». Il faisait ainsi référence à son approche de la santé par la sécurité (préparation à une pandémie), et à sa volonté de traiter la notion « d’égalité » en termes de « couverture vaccinale » (vaccins), plutôt que dans le développement de systèmes de santé universels (par exemple, infrastructure médicale et formation ou accès à l’eau).

Il a également fait remarquer que Tedros n’avait rien proposé de concret en termes de développement durable pour les pays vulnérables. [22] 

En fait, ce « programme pour le Nord » était très aligné sur les priorités du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda), promu par les principaux bailleurs de fonds et influenceurs de l’OMS, en particulier celle de Bill Gates.

Dans un article publié quelques semaines avant le vote intitulé « Rencontrez le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates » [23], le journal Politico écrivait :

« Certains milliardaires sont satisfaits de s’acheter une île. Bill Gates s’est payé une agence des Nations Unies à Genève. »

Des insiders ont déclaré qu’il était traité comme un chef d’État, non seulement à l’OMS, mais également au sommet du G20, et qu’il avait une influence démesurée sur l’agenda de l’organisation. Bien entendu, Tedros était le candidat préféré de Bill Gates, compte tenu de leurs liens étroits avec le Fonds mondial et les politiques de planification familiale.

Mais l’élection de Tedros à l’OMS en mai 2017 a également été soutenue par la Chine. En tant que membre du gouvernement éthiopien, il avait déjà établi une collaboration de longue date avec Pékin.

M. Tedros Ghebreyesus au Forum international des politiques publiques
de l’Université de Pékin, mars 2017

Pour commencer, le TPLF est un mouvement d’inspiration marxiste qui s’engage dans le même genre de politique autoritaire. Mais aussi, la Chine a fait d’énormes investissements en Ethiopie. Les Chinois ont développé près de 70 % des infrastructures éthiopiennes et financent la construction du siège du futur Centre africain de prévention et de contrôle des maladies.

Pour sa part, l’Éthiopie occupe une position stratégique, car elle est la porte d’entrée du continent africain, en venant de l’Est. Pas étonnant qu’en mars 2017, deux mois avant les élections à l’OMS, Ghebreyesus ait été invité à prononcer un discours d’ouverture à l’Université de Pékin.

Fait intéressant, Bill Gates a participé au même événement, avec une conférence intitulée « Regard vers l’avenir : innovation, philanthropie et leadership mondial » [24], dans laquelle il a résumé ses partenariats avec le gouvernement chinois dans quatre domaines essentiels : la santé, l’agriculture, les technologies informatiques, et même l’énergie nucléaire. Voici quelques citations révélatrices qui montrent que Bill Gates investit en Chine parce qu’elle est pour lui, « le nouveau leader mondial » :

« La Chine est prête à devenir un leader mondial. C’est formidable de voir la Chine monter en puissance pour combler le vide du leadership. Elle est particulièrement bien équipé pour le faire. Aucun autre pays n’a accompli ce que la Chine a accompli au cours des dernières décennies (…) à une échelle et à une vitesse sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Et en encourageant l’investissement grâce à des mécanismes de financement innovants comme le Fonds de développement Chine-Afrique, la Chine renforce non seulement la capacité économique de l’Afrique, mais aussi, au fil du temps, les marchés des produits chinois.

La Chine a une grande opportunité d’être un leader mondial de l’innovation en santé. Avec son riche bassin de scientifiques talentueux et sa capacité à développer de nouveaux médicaments et vaccins, la Chine a été notre choix évident pour créer un nouvel Institut mondial de découverte de médicaments pour la santé. Cet institut — une collaboration entre notre fondation, le gouvernement municipal de Pékin et l’Université Tsinghua — aidera à accélérer la découverte et le développement de nouveaux médicaments vitaux. »

Mais Gates n’est évidemment pas le seul allié de la Chine. Ses liens avec une grande partie de l’élite mondialiste occidentale méritent une enquête plus approfondie.

En regardant les membres du conseil d’administration [25] de l’École d’économie et de gestion de l’Université Tsinghua, hébergée par Wang Qishan, le vice-président de la République de Chine, nous trouvons des individus tels que Henry Paulson, PDG de Goldman Sachs, Jamie Dimon de JP Morgan Chase, Corbat de Citigroup, Mark Zuckerberg, Elon Musk, Tim Cook, Laurence Fink et les PDG de Dell, McKinsey, IBM, Walmart, General Motors, BlackRock, Tata et bien d’autres.

Que font-ils vraiment au conseil d’administration d’une université chinoise ? Cela ne ressemble-t-il pas plutôt à un conseil stratégique mondial ?

Le rôle de Tedros dans la pandémie de coronavirus

Ces liens expliquent notamment pourquoi la gestion par l’OMS de la crise de Covid-19 a été largement influencée par Pékin et pourquoi Tedros a ouvertement félicité le gouvernement chinois après sa rencontre avec Xi Jinping.

« Nous apprécions le sérieux de la réponse de la Chine à cette épidémie, en particulier la force de son leadership [26] et la transparence dont ils ont fait preuve. » [27]

et

« La Chine illustre de nouvelles normes en matière de préparation et de riposte aux épidémies. » [28]

Tedros a même qualifié les mesures de quarantaine draconiennes prises par le gouvernement de Pékin d’« héroïques » [29], tout en insistant paradoxalement sur le maintien du trafic aérien avec la Chine. Le 3 février, Tedros a réprimandé les États-Unis et d’autres pays qui avaient fermé leurs frontières quand il est devenu clair que la nation communiste ne contenait pas la propagation du virus.

[Voir aussi :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]

« Il n’y a aucune raison pour que des mesures interfèrent inutilement avec les voyages et le commerce internationaux. Nous appelons tous les pays à mettre en œuvre des décisions fondées sur des preuves et cohérentes », a-t-il déclaré.

Bien que la plupart des compagnies aériennes aient rapidement suspendu leurs vols, Ethiopian Airlines est l’une des rares à avoir maintenu des connexions avec la Chine tout au long de la crise. [30]

Le Forum sur la coopération sino-africaine a rapporté un appel téléphonique [31] entre le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed Ali et Xi Jinping qui confirme une fois de plus les liens étroits entre les deux pays.

« Cet appel téléphonique ainsi que les deux lettres de sympathie du Premier ministre témoignent de la profonde amitié et du soutien mutuel entre la Chine et l’Éthiopie en tant que partenaires de coopération stratégique globale. L’Éthiopie a suivi les recommandations de l’OMS et a maintenu ses liens et échanges normaux avec la Chine. La Chine apprécie cette expression de confiance. »

Le contrôle de la santé et de l’économie de l’Afrique est évidemment un enjeu important dans la gestion de l’épidémie de coronavirus. L’administration Trump a mis en garde contre l’espionnage chinois dans la future installation du Centre africain de contrôle des maladies, affirmant qu’elle cesserait de financer si Pékin poursuivait la construction de son siège social en Éthiopie.

Le Financial Times [32] a cité un responsable de l’administration américaine :

« C’est une menace pour l’Afrique. L’Afrique possède de grandes quantités de données génomiques et les Chinois veulent construire le CDC pour éventuellement voler les données de tous les autres centres », se référant à cinq centres régionaux des CDC africains, « ils traitent les virus à haut risque, les crises sanitaires, la recherche et la collecte de données. »

Washington a déclaré que les États-Unis avaient investi 900 millions de dollars pour soutenir la santé en Afrique au cours des 15 dernières années et avaient donné 14 millions de dollars au CDC africain lors de sa première année de fonctionnement, en 2017. Mais les Chinois sont allés de l’avant et ont investi 200 millions de dollars dans la construction du centre de conférence de l’Union africaine, « sur écoute », qui abrite actuellement le secrétariat du CDC africain. Il semble que la Chine et les États-Unis aient trouvé un accord de coopération sur la question sous l’administration Obama, mais cela ne pourrait pas durer très longtemps sous la présidence de Trump.

L’OMS et la Chine jouent-ils un rôle dans la situation italienne ?

Au début de l’épidémie, Ghebreyesus a appelé les Italiens (1er pays à avoir déclaré des cas après la Chine) « à ne pas stigmatiser les Chinois » en insistant sur le fait que « le temps n’était pas au jugement, mais à la solidarité. » Les précieuses recommandations du directeur de l’OMS ont ainsi empêché le gouvernement italien de confiner les personnes de retour de Chine. Pire encore, le maire de la ville de Florence, qui compte un nombre important d’immigrants chinois, a été encouragé à lancer une campagne nationale invitant ses concitoyens à « embrasser un chinois dans la rue ! »[33]. Mais une telle complaisance envers la Chine est également due au fait que l’année dernière, le gouvernement Salvini a été le premier pays du G7 à signer un partenariat économique avec la Chine dans le cadre du projet Belt and Road, qui leur donnerait un accès direct à la Méditerranée.

Maintenant que le parti de Salvini a quitté le gouvernement, le déclenchement de l’épidémie de coronavirus a peut-être incité la nouvelle majorité à réévaluer ses liens avec Pékin. L’Italie est en tous cas devenue le premier gouvernement occidental à interrompre ses vols en provenance de Chine. Mais le pays pourrait payer le prix de son infidélité, car il est fort isolé politiquement. Ses partenaires européens ont refusé de l’aider, alors que la Chine tente de maintenir son emprise en envoyant une aide médicale et des experts pour résoudre la crise. Entre-temps, l’OMS, qui a son siège européen à Venise, l’une des principales zones touchées, a délégué un de ses principaux experts pour diriger la réponse à la pandémie. Malgré (ou à cause de ?) cela, le nombre de cas de décès en Italie continue de monter en flèche et dépasse de loin les autres pays. Aucune explication scientifique convaincante n’a été fournie, même si des facteurs tels qu’une population plus âgée et un manque d’unités de soins intensifs ont aggravé la situation et si la notification des cas est biaisée.

Interpellée par la situation, la Russie a envoyé toute une équipe d’experts et de médecins militaires pour aider le nord de l’Italie à faire face à la crise. Il est certain que cette délégation mènera sa propre enquête sur la situation italienne. Quoi qu’il en soit, il est maintenant évident que l’OMS et ses dirigeants ont un programme de riposte à la Pandémie qui a plus à voir avec le gouvernement mondial et le leadership mondial qu’avec la santé.

Bill Gates semble mener l’initiative avec le fonds CEPI pour accélérer la production de vaccins.

Il fait avancer son programme de gouvernance mondiale avec son armée d’experts en santé dévoués, tels que les membres du Coronavirus Response Task Force, Fauci et Birx, qui sont des partenaires de longue date de la campagne du Fonds mondial contre le sida. Étant donné leurs liens proches avec Pékin, il n’est pas étonnant que Fauci ait refusé de répondre à la presse quand elle lui a demandé de commenter le fait que Tedros louait l’exemple de la Chine.

… (fin de l’article rédigé en avril 2020)

Références




La civilisation est-elle en train de s’effondrer ?

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Le week-end dernier, des activistes climatiques sont entrés dans le Musée du Louvre à Paris et ont lancé de la soupe de carottes sur la Joconde de Léonard de Vinci. Si une telle chose s’était produite au Whitney Museum de New York, personne n’aurait remarqué la différence. Mais la Joconde est le tableau le plus vénéré de toute la chrétienté (un mot qu’on n’entend plus !).

Le tableau n’a pas été endommagé, car il se trouve derrière une vitre pare-balles. Il n’en reste pas moins que cet événement a quelque chose d’effrayant.

Bien sûr, on peut mettre cela sur le compte d’activistes climatiques au cerveau endommagé probablement drogués à quelque chose, comme la plupart d’entre eux. L’idéologie prônée par le Forum économique mondial, Harvard et l’Université de Paris fait partie des drogues qu’ils prennent. Ces enfants stupides ne font que mettre en pratique ce qu’on leur enseigne.

Et que leur enseigne-t-on ? Si l’on met de côté le langage alambiqué et les théories complexes des grands traités, le message se résume à une seule chose. La civilisation est corrompue. La beauté est un mensonge. La liberté est une exploitation. Les droits sont des mythes. Toutes les institutions que les gens considèrent comme répondant à leurs besoins sont en fait en train de détruire mère Nature et d’empoisonner tout ce qui existe. Par conséquent, rien de tout cela n’a de valeur. Tout doit disparaître.

Ils sont tellement convaincus de cette vision du monde qu’ils pensent faire de l’activisme efficace et fondé sur des principes en tentant de détruire la peinture la plus appréciée au monde. On pourrait parler de folie, mais il faudrait alors en dire autant d’une grande partie du consensus qui règne parmi les élites mondiales des médias, des gouvernements, des fondations à but non lucratif et des universités. Cette pourriture est dominante parmi eux.

Comment en sommes-nous arrivés là ? Il y a des années, je me suis plongé dans la littérature conservatrice catastrophiste de l’époque, qui annonçait l’arrivée d’attaques fondamentales contre les valeurs de l’Occident. Je les ai tous pris au sérieux, mais seulement intellectuellement. Je n’ai jamais vraiment cru que la menace passerait du monde universitaire au monde réel et finirait par affecter nos vies publiques et privées.

Et pourtant, nous y sommes. J’avais largement sous-estimé le pouvoir des vraies mauvaises idées. Elles ne restent pas dans les salles de classe. Si les enfants qui occupent ces chaises, qui trichent à l’école et prennent des pilules pour faire des nuits blanches, finissent par être embauchés par des institutions prestigieuses du gouvernement et de la finance, ils en viennent à habiter les sommets des institutions les plus puissantes du monde.

Dans ma période de pensée la plus naïve, à l’époque de l’essor de la technologie numérique, je m’étais convaincu que toutes ces menaces n’étaient que du bruit. Nous les surmonterions toutes grâce à une innovation admirable et à la libération de l’énergie créatrice de l’esprit d’entreprise dans l’espace numérique. Dans ce cas, les institutions traditionnelles comme les universités n’ont guère d’importance. C’est l’Ancien Monde, alors que nous étions en train de construire le nouveau.

Cette perspective m’a empêché de voir la pourriture sous nos pieds. Les nouvelles entreprises numériques se sont développées et ont fini par être capturées par l’ennemi. Les médias ont suivi le mouvement. L’État administratif, que personne n’avait élu, s’est emparé de tout et de tous. C’est ainsi qu’une vision néfaste du monde a fini par être imposée au monde. Tout cela semblait se produire pendant que nous dormions.

Des signes avant-coureurs annonçaient que tout cela allait se produire après 2016. Le peuple a élu Donald Trump. Il n’a jamais été mon préféré, comme vous le savez probablement, mais c’est le président que le peuple a élu. Nous sommes censés vivre dans un système où c’est le peuple qui contrôle le gouvernement, et non l’inverse.

Presque immédiatement, il est devenu évident que l’ensemble de « l’Establishment » traiterait sa présidence comme si elle était fausse. Ils ont dit que les Russes l’avaient élu comme par magie. Ils ont dit que c’était un homme mauvais et qu’il ne pouvait donc pas être à la tête de l’État. La presse lui était constamment hostile, jour après jour. L’ensemble de la bureaucratie administrative s’est employée à défier ses moindres ordres.

Il ne s’agissait pas seulement d’une opposition à ses politiques. Il s’agissait d’une opposition à toute une éthique et une philosophie de vie, enracinée dans quelque chose d’authentiquement américain. C’est à ce moment-là que l’ensemble de « l’Establishment » a décidé de faire comme si Donald Trump n’existait pas, ou peut-être de travailler à sa non-existence.

Quelque chose de similaire s’est produit au Royaume-Uni à la même époque. Les électeurs se sont prononcés en faveur de l’abandon de la gouvernance par la Commission européenne et du retour au même groupe d’États autonomes appelé Angleterre, Écosse, Irlande et Pays de Galles. Ils s’en sortiraient très bien. Boris Johnson a été élu Premier ministre avec un mandat : mettre en œuvre le Brexit. L’État profond était déterminé à résister.

Quant à Trump, il est arrivé terriblement mal préparé et naïf. Il croyait que le système fonctionnait encore. Maintenant qu’il était président, c’est lui qui dirigerait. Il a progressivement appris qu’il en était autrement. Il lui a fallu beaucoup de temps pour se rendre compte de l’ampleur de la conspiration qui l’entourait. À la fin de son premier mandat, épuisé par les luttes incessantes, la bureaucratie profonde a trouvé le moyen de le faire tomber et de ruiner sa présidence. Ils l’ont piégé pour qu’il donne des ordres de confinement. La même chose s’est produite au Royaume-Uni.

Les confinements ont fait plus que cela. Ils ont introduit dans le monde entier l’idée que même les violations les plus scandaleuses des droits et libertés traditionnels n’étaient pas interdites. Le monde peut changer en un clin d’œil. Nous pouvons tenter des expériences complètement folles sur l’ensemble de la population humaine. Nous pouvons même faire en sorte que les médias, la technologie, le monde universitaire et la médecine soient d’accord, tout en punissant et en réduisant au silence toute dissidence.

Le but n’était pas de parvenir à quoi que ce soit. Il n’y a jamais eu de finalité. Le but était d’illustrer ce qui était possible. C’était l’imposition globale du choc et de l’effroi. Et cela s’est poursuivi jusqu’à ce que ceux qui étaient perçus comme les vandales, comme Donald Trump et Boris Johnson, soient chassés du pouvoir une fois pour toutes, afin que l’État administratif et son programme malfaisant pour le reste d’entre nous aient les mains libres.

Depuis lors, le monde s’est embrasé avec des guerres, des migrations de masse, d’énormes divisions politiques et un effort frénétique de la part des peuples du monde entier pour retrouver la paix et la sérénité que nous avons tous connues autrefois. Nous connaissons quelques succès, mais ils sont très limités. La raison en est que les responsables en sont venus à considérer les peuples qu’ils gouvernent comme des insurgés, une foule indisciplinée qu’il faut contenir, de peur que leur révolution échoue et que tous leurs efforts ne soient vains.

Ils l’ont souligné dans l’absurde « tribunal kangourou » sur la prétendue « insurrection » du 6 janvier 2021. Des efforts ont été déployés pour empêcher Donald Trump de figurer sur les bulletins de vote, en citant l’article 3 du 14e amendement, rédigé à l’époque pour empêcher les officiers confédérés d’exercer des fonctions, mais qui avait été annulé par le Congrès. Cette même section de l’amendement interdit toute participation politique à quiconque « aide et encourage » une insurrection. Il s’agit probablement d’un autre moyen pour les vrais vandales de salir tous ceux qui veulent les arrêter.

La révolution contre la civilisation prend de nombreuses formes, certaines calmes et apparemment scientifiques, d’autres absurdes et directement destructrices. Ils parlent de la nécessité d’arrêter le changement climatique, mais la véritable cible est votre niveau de vie, même votre capacité à rester au chaud dans votre maison ou à parcourir des distances. Ils parlent de la nécessité d’une agriculture « durable », mais ils s’attaquent en réalité à l’agriculture et à l’élevage traditionnels, et même à votre capacité à vous procurer du bœuf et du porc. Ils parlent de diversité, d’équité et d’inclusion, mais il s’agit en fait d’exclure et de cibler un groupe entier de personnes qui résistent à la grande remise à zéro.

Les élites renâclent devant ce genre de discours, comme s’il était trop extrême et alarmiste. Elles disent que nous devrions nous calmer et nous détendre parce que tout va bien se passer. Et si elles se trompaient ? Et s’il n’y avait pas de retour en arrière possible sur le chemin où les élites sont en train de nous emmener ? Je pose la question parce qu’il n’y a vraiment pas de retour en arrière possible. L’un des piliers de la vie civilisée — même les principes de base comme la liberté et les droits de l’homme — a disparu, et il n’y aura pas de retour possible, pas avant des générations, bien après que nous ayons quitté cette terre.

Ce sont là de grandes réflexions, mais nous vivons une période d’urgence. La tentative de dégradation de la Joconde peut sembler être une farce de bas étage commise par quelques jeunes fous, mais je crains qu’elle ne soit le symbole de bien davantage. Combien de choses de ce genre devrons-nous encore voir avant de réaliser que nous vivons une époque qui pourrait changer le cours de l’histoire ? Soit nous agissons, soit nous regardons tout s’écrouler.




L’agriculteur Sébastien Béraud balance tout

[Source : UPRTV]

François Asselineau a reçu Sébastien Béraud, un des artisans de la révolte des agriculteurs. Cet éleveur cultivateur de Haute-Loire s’est fait remarquer sur CNEWS en affirmant que la seule et unique solution pour résoudre la crise agricole française est de sortir de l’Union européenne. Ce qui a semé un vent de panique sur le plateau et lui a valu d’être immédiatement coupé et ridiculisé.

L’entretien sur UPRTV entre Sébastien Béraud et François Asselineau, empreint de sincérité et de bon sens, permet de comprendre la façon dont les différents gouvernements français, liés par l’appartenance de la France à l’Union européenne, ont mis l’ensemble des agriculteurs sur des rails conduisant tout droit à la mort de leurs exploitations.

François Asselineau et Sébastien Béraud ont constaté leur convergence de vues sur la nécessité absolue de sortir de l’Union européenne et de l’OTAN.

Ils ont également souligné la duplicité des faux opposants qui détournent la colère des agriculteurs sans avoir le courage de proposer le Frexit.

Sébastien Béraud a ainsi évoqué Éric Zemmour, qu’il avait invité pour faire plaisir à sa mère âgée. L’ex-chroniqueur de CNEWS, après avoir promis monts et merveilles à notre invité, qu’il avait chargé de travailler sur le volet agricole de son programme présidentiel, l’a tout bonnement planté là une fois l’opération de communication terminée.

C’est également vrai du Rassemblement national, qui à l’image de Julien Odoul, reconnaît en coulisse que l’Union européenne est une folie, mais qui s’interdit de le dire devant micros et caméras.

Sébastien Béraud et François Asselineau se sont accordés sur le fait que Marion Maréchal et Jordan Bardella, qui refusent l’un et l’autre la sortie de l’UE et soutiennent l’action de l’OTAN contre la Russie, sont également à classer dans la catégorie des faux opposants

Enfin, les deux hommes ont conclu sur l’impérieuse nécessité d’un réveil des Français pour sortir la France de la spirale infernale qui la mène à la ruine.




Philippe De Villiers et la crise de civilisation

[Source : Philippe de Villiers]


[Source : Confédération paysanne]

Ce chant a été écrit collectivement par des paysannes et paysans de la Confédération paysanne de Drôme et du Var. A l’initiative de Vincent Delmas, maraîcher et éleveur dans la Drôme, ce projet est issu d’un atelier d’écriture collectif de paysannes et paysans dans ce département. Avec la participation du chanteur HK, de Mathilde Dupuch et Saïd Zarouri. Direction artistique et arrangement à trois voix de David Bardy.




Big Brother surveille les agriculteurs

Big Brother et Big Tech

Rien n’est réglé

L’Ukraine favorisée

Le combat continue partout

L’Irlande se joint à la révolte

L’Allemagne bloquée

En Belgique, des flics au service de l’UE, mais contre les agriculteurs qui pourtant les nourrissent

Pas de fermiers
Pas de nourriture

En France, des flics comprennent les agriculteurs

L’illusion de l’UE

[Note de Joseph : Orbán ne comprend pas que l’UE représente la mort de l’agriculture traditionnelle,
mais l’expansion de l’agrobusiness (ou bien il représente une fausse opposition).
Les prochaines élections européennes n’y changeront rien.]

Soutenir les agriculteurs

« Tu as vu mes mains… Regarde mes mains ».

Ce cri… ce geste du vieux paysan devant le gendarme

(Gravez cette vidéo dans votre mémoire)

Elle résume tout

Un peuple d’une incroyable dignité qui ne veut pas mourir… juste être reconnu et vivre de son travail.

Ce peuple de la terre est notre socle notre racine… l’âme du chant des terroirs de notre pays.

S’il se tait… les ténèbres d’un monde informatisé, robotisé, mondialisé vont recouvrir et stériliser notre humanité.

Cela évoque cet épisode fondateur de notre civilisation occidentale… et ce cantique si connu :
« quand j’ai vu tes mains… »

Ces deux semaines écoulées ne pourront éteindre ces cris… Passons vite après la pub à autre chose…

Des temps difficiles nous attendent.
Du pain et des jeux… olympiques… Non !

Notre civilisation en pleins bouleversements et conflits, résistance des peuples.

C’est un combat immense. On le voit dans toute l’Europe pour les paysans, bientôt pour d’autres classes professionnelles en grandes difficultés.

Et dans ce contexte mondial de guerres multiples, crises économiques, monétaires… d’intelligence artificielle ou transhumaniste.

On voit des mains qui sorties d’un rideau de fumée agitent notre planète. Celles du mal.

« Regarde mes mains »… celle de ton frère en humanité.

On les serre très fort.
Courage !
On vous aime,
Vous êtes notre humanité.

Allez on va prendre beurre tartine un bon café à l’auberge… Tes mains me donnent mon pain quotidien…




Suite à la trahison de la FNSEA, la lutte des vrais agriculteurs français se poursuit



https://twitter.com/ConfPaysanne/status/1753126512969003469




La révolte paysanne s’étend : Europe enracinée contre UE hors-sol

Mise à jour :


[Source : bvoltaire.fr]

Par Gabrielle Cluze

Ce jeudi 1er février se tient à Bruxelles un Conseil européen extraordinaire. Au calendrier, notamment, un entretien entre Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen. Il y sera question des agriculteurs français et des accords de libre-échange. Le symbole est assez désastreux : pour accéder aux demandes d’agriculteurs français, le Président — que l’on croyait souverain — doit consulter l’échelon supérieur : européen. On croirait, au choix, un chef de service venant plaider pour une revalorisation salariale de ses salariés auprès du patron, un vassal demandant audience au suzerain pour demander une diminution de la taille servie par ses gueux.

La gronde monte

Mais la gronde n’est pas que française, loin de là. Allemagne, Pays-Bas, Pologne, Hongrie, Roumanie, Grèce et même, à présent, Espagne et Italie : la fronde monte un peu partout. Même s’ils peuvent souffrir les uns des autres, car la concurrence déloyale est aussi intra-européenne — la tomate espagnole tue la tomate française —, ils souffrent ensemble, écrasés par le même ennemi : l’Union européenne, attelage d’épiciers né des intérêts économiques de l’acier et du charbon — y a-t-il pierre fondatrice plus prosaïque et moins transcendante ? — devenu patchwork de bric et de broc aux contours flous, fluctuants, en perpétuel mouvement, et toujours plus lointains, comme des wagons que l’on raccroche sans penser à se demander si le moteur de la locomotive suffira à les porter. Neuf pays sont aujourd’hui reconnus comme officiellement sur le pas de la porte : Turquie, Macédoine du Nord, Monténégro, Serbie, Albanie, Ukraine, Moldavie, Géorgie et, depuis le 15 décembre 2023, Bosnie-Herzégovine. Si tout est Europe, rien n’est Europe. Elle n’a pas voulu inscrire ses racines (chrétiennes) dans sa Constitution, comme pour démontrer à quel point elle était hors-sol. Ce sont ses racines, au sens propre comme au figuré, qui viennent aujourd’hui se rappeler à elle. Cette Europe que l’Union européenne a échoué à construire se bâtit non pas grâce à elle, mais contre elle, dans une cohésion négative : la révolte d’une paysannerie ancestrale, celle de la terre et des morts, comme disait Barrès, de la mer et des vivants, comme enchérissait Claudel, qui laboure et domestique — c’est le premier geste de civilisation — un humus commun et entend transmettre à ses enfants l’héritage qu’elle a reçu. Elle ne veut pas être le dernier maillon. Sur le barrage de Buchelay, BV s’est rendu, la plupart des agriculteurs viennent de terroirs où leurs familles sont là depuis trois, quatre, cinq générations et, pour certains, beaucoup plus encore (depuis, au moins, que les registres baptismaux existent, parce qu’ils constituent le premier état civil dans notre pays, et sans doute bien avant).

À ce sujet — Vive la paysannerie française !

Les paysans allemands opposent, sur les pancartes de leurs manifestations, leurs tracteurs diesel à la Tesla électrique, les paysans français pourraient en faire autant : c’est bien sur l’autel du lithium nécessaire aux batteries que l’agriculture a été sacrifiée au moment de la signature du traité de libre-échange avec le Chili. Une convergence des luttes, comme on dit à gauche.

Technotables

La petite élite européisme forcenée et déconnectée qui gravite autour de Bruxelles, loin des « bouseux », n’a visiblement tiré aucune leçon de l’Histoire. Une des causes de la Révolution française a été la distance mise par Louis XIV entre l’aristocratie et la paysannerie : pour la tenir à l’œil, licou serré – car échaudé par la Fronde -, il a attiré la première à la cour, l’éloignant, ce faisant, des préoccupations de la deuxième (famine, météo, impôts…). Si la Vendée militaire a su unir les deux dans le même combat pour la monarchie, explique Tocqueville, c’est parce que les hobereaux locaux avaient boudé Versailles au grand dam du roi qui « se [plaignait] de ce que les gentilshommes de sa province se plaisent à rester avec leurs paysans, au lieu de remplir leurs devoirs auprès du roi » :

« Ils n’ont dû cette glorieuse distinction qu’à ce qu’ils avaient su retenir autour d’eux ces paysans, parmi lesquels on leur reprochait d’aimer à vivre ».

(L’Ancien Régime et la Révolution, 1856)

Peu de chances que nos technotables arrivent à convaincre le moindre paysan de se sacrifier pour sauver la reine Ursula.





Lettre à un ami paysan : ils veulent vous voler vos terres !

[Source : ripostelaique.com]

Par Yves Maillard

Cher ami,

Me permettrez-vous de vous dire ce que je pense des manifestations paysannes actuellement en cours ?

Si oui, voici ce qu’il en est, pour moi.

L’enjeu de ces mouvements, ce n’est pas, et de loin, ce qu’on en dit, à savoir quelques revendications, pour parfaitement légitimes qu’elles soient, portant sur le prix du gazole, la complexité administrative excessive, la concurrence déloyale avec les producteurs étrangers, etc., mais la survie, je dis bien la survie du monde agricole français, naturellement français. 

Une armée de prédateurs financiers étrangers, essentiellement anglo-saxons (on les appellera ici les PFAS), celle-là même qui, créancière de l’État français à hauteur des montants colossaux que l’on sait, lui dicte la politique qu’il doit suivre, à travers ses hommes liges tels Macron et son clone Attal, a entrepris de détruire méthodiquement la classe paysanne française en l’asphyxiant économiquement par des règlements iniques et inapplicables. Toutes les difficultés à vivre du monde agricole actuel, alors que notre pays est en paix depuis quatre-vingts ans, qu’il est prospère comme il ne l’a jamais été, que l’agriculture est la première richesse française, sont purement artificielles, voulues, organisées, cyniquement organisées. Ces prédateurs impitoyables prévoient de racheter leurs terres aux paysans français, toutes leurs terres, à vil prix, et de constituer de vastes domaines, de mille hectares ou plus, en substitution aux domaines actuels tournant autour de la centaine d’hectares, détenus par des Français. Ce sera la fin de la paysannerie française. C’est ce qui est prévu, et en route.

Ce mouvement de concentration entre des mains étrangères, facilité par un gouvernement corrompu qui a été mis en place pour cela, a déjà commencé (y compris ici, en Charente, voir en particulier le vignoble du Cognaçais, mais pas seulement). Rien ne l’arrêtera si le peuple français ne se lève pas, pas seulement le monde paysan. 

Rappelons, comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire à propos de la guerre en Ukraine, que les sommes énormes mises sur la table par ces PFAS pour corrompre et tout acheter sur la planète, dont maintenant les terres agricoles françaises, ne sont pas des fonds provenant du travail de leurs concitoyens, comme le sont les réserves monétaires chinoises, japonaises ou indiennes, mais produits par la planche à billets américaine qui émet à tout-va, sans contrepartie, ses dollars en quantité phénoménale, et dont le cours est artificiellement maintenu par sa puissance militaire écrasante et agissante. En d’autres termes, cette appropriation est parfaitement illégitime. C’est du vol, de la piraterie.

À propos de l’Ukraine, dont on vient de parler, où les Américains ont mis en place en 2014 un gouvernement qui leur est totalement inféodé, les PFAS y ont acquis depuis cette date 30 % des terres du pays, ces fameux « tchernozioms » parmi les meilleures terres agricoles au monde, terres acquises avec des « dollars de papier ». C’est le sort qui attend la France agricole si on ne réagit pas.

Il est évident que la guerre que Poutine mène sur ce territoire, est, aussi, une guerre pour empêcher/limiter ces acquisitions pirates par les PFAS. On peut être certain que les terres repassées sous souveraineté russe ne redeviendront jamais la propriété de Monsanto, Cargill et autres Black Rock. Si la population russe approuve Poutine à 80 %, c’est bien évidemment, aussi, pour ça.

C’est pourquoi, malheureusement, je pense que les négociations qui finiront par avoir lieu entre les représentations paysannes et le gouvernement n’ont strictement aucune chance d’aboutir, ce dernier n’étant que le bras armé de ceux qui organisent la destruction du modèle paysan français, tant économique qu’anthropologique. Ce gouvernement est le premier ennemi du monde paysan.

Le monde paysan français, s’il veut survivre, se débarrasser de l’emprise de ces prédateurs conquérants, de cette nouvelle forme de colonisation par l’argent artificiel, doit s’appuyer sur les forces politiques du pays encore à même de soutenir ce combat, d’abord pour être conscient de sa nécessité. 

Attention aux mauvaises réactions à prévoir de la part du pouvoir quand les manifestations vont commencer à peser sur la vie du pays. Attisé par les PFAS, comme au temps des Gilets jaunes, il aura recours à la violence, la brutalité. Attention à préserver votre matériel. L’agriculteur qui perdra son tracteur dans la bagarre, qu’il ne pourra pas remplacer, aura perdu vraisemblablement aussi tout son outil de travail. Les PFAS auront gagné. Et ce ne sont pas les bourgeois parisiens égoïstes et pour beaucoup dégénérés qui viendront à leur secours.

Prenez donc bien garde à vous.

Bien amicalement,

Yves Maillard




Paysans, agriculteurs, vous êtes l’âme de la France. Notre survie, c’est vous. Alors tenez bon !

[Source : Alexandre Juving-Brunet]




La révolte agricole se poursuit et gagne de nouveaux pays de l’UE

Mise à jour :

Approfondissement de la révolte

https://twitter.com/fr_russie/status/1752693161443356987?s=43



Répliques gouvernementales

https://twitter.com/gauchemafia/status/1752759442779578539?s=43

[Voir aussi :
6 étapes pour mater un mouvement social]

Pendant ce temps


Bonus humoristique




Rappel des Khmers rouges pour éviter le règne des Khmers verts

[Source : @Cobra_FX_ via insolentiae.com]

Par Antoine Copra

Saviez-vous qu’un jour, un pays a réellement mis fin au capitalisme ? Un lieu sans argent, sans propriété, sans inégalités, basé sur une saine agriculture vivrière… où le collectif subvenait aux besoins de la communauté. Plongée au cœur des seventies [les années 1970], au Cambodge.

Au matin du 17 avril 1975, des soldats vêtus de noir et d’un foulard rouge entrent dans Phnom Penh. La plupart des habitants sont confiants, voire enthousiastes : ces jeunes idéalistes se battent pour le peuple, une vie rurale, la fin des inégalités.

Ils connaissent souvent certains de leurs membres, et il y a beaucoup de femmes dans leurs rangs. Mais très vite, leur agressivité et leur mépris interrogent : ordre leur a été donné de ne toucher personne, sinon à la pointe du fusil.

D’appartement en appartement, ceux qu’on appelle Khmers rouges ordonnent aux habitants de fuir au plus vite : bientôt, les États-Unis bombarderaient la ville.

Si ce mensonge ne suffit pas, la force est employée. En 48 h, deux millions de personnes doivent quitter leurs logements, dans l’urgence et dans des conditions désastreuses.

Les malades sont tirés des hôpitaux, sans assistance médicale. Leurs familles en sont réduites à pousser lits ou brancards de fortune sous un soleil de plomb. Les plus faibles sont achevés sur place.

Les voitures sont réquisitionnées et tout bien de valeur confisqué. Un mot revient sans cesse dans la bouche des soldats : « dollars, dollars, qui a des dollars ? » La stupeur envahit ceux que l’on dépouille : immédiatement, les billets sont brûlés.

Derrière eux, des explosions retentissent : c’est la banque centrale que l’on dynamite. Le Kampuchéa démocratique sera un état sans monnaie.

Les soldats cherchent aussi des traîtres : enseignants, médecins, religieux, intellectuels… Ceux qui parlent français ou transportent des livres sont suspects, comme ceux qui portent des lunettes. Sous peine d’être sommairement abattus, ils devront s’en passer.

Ceux à la peau trop blanche également : c’est le signe qu’ils ne travaillent pas dans les champs.

Car ces soldats se voient comme l’« ancien peuple » : paysans au mode de vie séculaire, ils seraient l’âme du Cambodge. Ils haïssent ce « nouveau peuple » citadin, symbole du capitalisme, de la technologie & de l’impérialisme.

Pourtant, c’est dans une autre capitale que tout a commencé. En 1949, Saloth Sâr arrive à Paris avec d’autres boursiers. C’est par son nom de guerre qu’il se fera plus tard appeler : Pol Pot.

En parallèle de ses études d’électricité, il rejoint un cercle marxiste-léniniste créé par d’autres étudiants cambodgiens. Sa structure s’apparente à une société secrète : les militants sont regroupés dans des mini cellules et ne se connaissent pas les uns les autres.

Beaucoup sont logés à la Maison de l’Indochine de la Cité universitaire, à ce qu’on appelle alors « l’étage rouge ». Ils adhèrent au parti communiste français. Certains participent à des sessions de formation organisées dans des mairies tenues par le parti.

Pol Pot y côtoie Khieu Samphan, futur chef de l’État du Kampuchéa démocratique, Son Sen, ministre de la Défense, ou encore Ieng Sary, ministre des Affaires étrangères.

Il y rencontrera Jacques Duclos, Secrétaire général du PCF, qui deviendra son mentor, ainsi que Jacques Vergès, qui deviendra son ami. 60 ans plus tard, l’« avocat de la terreur » défendra ses anciens camarades poursuivis pour Génocide, crimes de guerre & crimes contre l’humanité.

Outre la Chine maoïste, la Commune, et particulièrement l’intransigeance de Robespierre, les fascine. L’idéal rousseauiste de retour à l’état de nature, inspirateur de l’écologie politique, également.

Rousseau est alors un auteur de référence pour les communistes : idéalisant l’égalité économique, rejetant les arts et l’industrie, il présente la propriété privée comme la source de toutes les misères humaines. « Les fruits sont à tous et la terre n’est à personne ».

Ainsi, le « nouveau peuple » qu’on a mis sur les routes va devoir travailler aux champs, de façon ancestrale, sans mécanique ni intrants. La société que les Khmers rouges veulent édifier sera collectiviste, égalitariste et fondée sur un retour la terre.

Toutes les commodités modernes « capitalistes » sont abandonnées, détruites. Radios, bicyclettes, machines à coudre sont interdites. Les voitures ne serviront plus au transport : elles sont dépecées pour faire des socs de charrues.

La propriété et le commerce, bien sûr, sont interdits. Non rémunérés, les Cambodgiens sont réduits à l’esclavage pour l’« Angkar », l’« organisation » khmère rouge. Le pays devient le plus grand camp de travaux forcés au monde.

Tous travaillent 10 h à 12 h par jour, femmes, vieillards, et même enfants à partir de 5, 6 ans. Les écoles sont supprimées. Les repas doivent être pris en commun dans les coopératives agricoles. Toute autre cuisine, privée ou familiale, est interdite.

Mais pour atteindre l’égalité absolue, il faut aller plus loin. L’individualité doit être niée, tout lien affectif aboli. Les papiers d’identité sont supprimés. Les citadins sont déplacés plusieurs fois, afin de couper les ponts avec leurs racines ou leurs amitiés.

La vie elle-même doit se conformer : toute démonstration d’affection est interdite. L’expression artistique, le divertissement, les plaisanteries sont bannis. Seuls les chants révolutionnaires sont tolérés.

Pol Pot s’inspire de la révolution culturelle chinoise. Qui, outre liquider le capitalisme, veut transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond. Staline le pensait avant eux : c’est la condition nécessaire à la réalisation de l’idéal socialiste.

Staline s’interroge. Indécrottablement individualiste, l’homme semble bien incompatible avec la réalisation de l’idéal socialiste. Qu’à cela ne tienne, pour que le socialisme advienne, l’homme doit changer.

Ils sont aidés en cela par la culture bouddhiste : le rejet de la matérialité et des aspirations individuelles, le détachement de l’homme vis-à-vis de son ego en font une religion compatible avec le marxisme.

On est dans l’exact opposé de la pensée libérale d’Adam Smith ou de Frédéric Bastiat, pour qui la recherche des intérêts particuliers — tant qu’elle reste dans la moralité — sert l’intérêt général.

Les mariages sont organisés par l’Angkar. Les époux ne se connaissent pas et ne se voient que quand l’Angkar le décide, pour — de force — consommer leur union. Si tout le monde se vaut, pourquoi avoir ses préférences ? Tous les autres rapports sexuels sont interdits.

Pour être parfaitement égaux, s’ils n’ont pas d’héritage matériel, les enfants ne doivent pas en recevoir de culturel non plus. Les nouveau-nés sont retirés à leurs parents. Placés, embrigadés, le régime en fera ses premiers délateurs. Et parfois ses soldats.

Chacun doit assister à de longues séances d’endoctrinement et faire son autocritique devant la communauté. Cacher un péché, c’est s’exposer au châtiment des Khmers. Le confesser, également.

La moindre infraction ou maladresse — casser un verre, mal maîtriser un buffle pendant les labours — peut être mortellement sanctionnée. Dans un pays sans tribunal ni jugement, les chefs de village ont droit de vie et de mort.




Diviser pour régner entre jeunes et boomers pour faire avaler la société de la mort

Par Nicole et Gérard Delépine

On entend trop souvent affirmer que le confinement aurait eu pour but de protéger les boomers et qu’ils l’auraient demandé… Il faut être encore dupe de la propagande covidiste du gouvernement pour répéter pareille fadaise, car rien n’est moins contraire aux faits.

Les boomers n’ont été ni instigateurs, ni bénéficiaires du confinement, ni de l’ensemble des mesures liberticides se multipliant de façon exponentielle depuis une dizaine d’années. Ces mesures appliquent des recommandations mortifères de Davos (euthanasie, abandon des malades par casse du système de santé, constitutionnalisation du droit de tuer par l’infanticide — avortement jusqu’à neuf mois —, destruction de l’école, des services publics, et de faire disparaître l’agriculture française, etc.).

« Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale. » Nous l’expliquions déjà en 20201.

« La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents est que la génération des jeunes aurait été sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans trop de jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux ?

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année 2020 par le gouvernement qui a fait prescrire une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en EHPAD en cachette pendant que les visites y étaient interdites.

Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que cette privation de liberté avait pour but de protéger les aînés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias corrompus dont la propagande est fort efficace ».

Corruption de la médecine et des revues médicales

Grâce à l’article totalement mensonger du Lancet Gate, le traitement par hydroxychloroquine qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations et des morts a été calomnié, puis interdit.

Ce scandale témoigne une fois de plus de la corruption en médecine qui a toujours existé, mais s’est développé de façon industrielle depuis les années 80, à l’âge où les boomers étaient dans la force de l’âge. Ne la découvrir que maintenant, et l’attribuant en partie à la « panique » des boomers qui ne voudraient pas mourir et feraient développer en ce sens tous les vaccins possibles et inimaginables relèvent de la naïveté, de l’ignorance, et de l’efficacité de manipulation par le pouvoir dont l’intérêt est de « diviser pour régner ». La dernière illustration de cette tradition manipulatoire est la démonstration devant une botte de paille de notre tout neuf premier ministre tentant de diviser les agriculteurs. Et aujourd’hui encore qui dirige ? Un jeune homme de 33 ans, pas vraiment un boomer, plutôt un petit-fils de boomer…

Un certain nombre de jeunes ou moins jeunes qui ont découvert la médecine à l’occasion du covid se trompent complètement sur les causes de la corruption en médecine, et sur la responsabilité des « sentiments » de peur de la mort d’une génération, celle des boomers à qui les médias imputent les dérives de la prise en charge du covid.

On voit bien là la manipulation de pseudo résistants qui ne voient qu’un aspect du problème et n’ont pas abordé la destruction systématique du système de santé qui a commencé avec l’ère Thatcher Mitterrand en 1983 à une époque où nos fameux boomers qui étaient alors dans la force de l’âge et dont un certain nombre d’entre eux, une petite minorité, ont pris le pouvoir. Ils sont à l’origine du désastre actuel, le restant de la population étant coupable de leur « soumission intellectuelle » qui a conduit au « déni de tyrannie »2.

Pour certains égarés, les boomers qui arriveraient à l’âge de la mort auraient corrompu la médecine en privilégiant les médicaments, les préventions, les vaccins contre toutes les maladies et auraient contribué à faire développer une médecine robotisée. Erreur totale : si le pouvoir a présenté le confinement comme un moyen de protéger les vieux en isolant aussi les jeunes et en fermant les écoles, les naïfs qui peuvent encore faire ce genre d’affirmation ont oublié la précipitation du gouvernement d’Édouard Philippe pour publier le décret Rivotril fin mars 2020, qui a permis et poussé les infirmiers et médecins à injecter un produit mortel à tout vieillard ou handicapé qui osait avoir une quinte de toux3.

Ce sont les générations post boomer qui ont défendu et imposé le confinement !

Les médias ont délivré une information anxiogène, voire catastrophique, alimentée en permanence par la peur de la pandémie. Parmi les plus actifs des propagandistes de la peur et du confinement, on distingue Karine Lacombe4 (50 ans), Yazdan Yazdanpanah (56 ans) et Timsit (62 ans) dont aucun ne peut être qualifié de boomer.

C’est un président de 43 ans qui a décidé de nous enfermer à domicile, nous imposer le masque, des couvre-feux, de prendre nos cafés debout, les pass et les injections anti-covid qualifiées mensongèrement de vaccins. Et c’est Édouard Philippe (51 ans) le soi-disant candidat préféré des Français qui a signé le décret pour faire administrer du Rivotril aux boomers afin de les euthanasier, cosigné par Olivier Véran jeune ministre (de 41 ans)5.

Et parmi les opposants les plus précoces et les plus déterminés à ces mesures liberticides médicalement stupides, on remarque beaucoup de boomers (dont nous-mêmes dès les premiers jours de mars 2020)6 7.

La responsabilité du confinement incombe aux moins de 60 ans et n’avait aucunement pour but réel de protéger les boomers, mais bien d’en éliminer les plus fragiles réglant dans la foulée une partie du « problème des retraites ».

Les boomers n’ont pas bénéficié du confinement qui en a tué beaucoup

La base traditionnelle de la prévention des maladies infectieuses transmissible est la séparation des malades des biens portants le temps nécessaire à ce que les premiers ne soient plus contagieux8 ; c’est la mesure appelée quarantaine d’après la durée (40 jours) d’isolement adopté empiriquement contre la transmission de la peste.

Le confinement a au contraire, volontairement et consciemment enfermé ensemble les personnes saines et les malades augmentant ainsi fortement le risque de transmission.

Cette aberration a été dénoncée d’emblée et ce n’est pas par ignorance que les dirigeants ont imposé cette absurdité.

Cela a été confirmé par la comparaison des courbes des contaminations en Belgique (confinée) et aux pays bas (non confinés)

En France, le confinement, l’interdiction de traitements précoces, l’impossibilité ou plutôt l’interdiction d’évacuer les malades âgés à l’hôpital et les difficultés, faute de moyens de les isoler dans les EHPAD a abouti à des pics de contaminations dans les lieux de vie des plus fragiles expliquant les pics de mortalités observés (en l’absence de traitement précoce autorisé).

Cette catastrophe du confinement était parfaitement prévisible depuis l’expérience du confinement de Marseille en 1720 qui a entraîné la mort de la moitié de la population confinée sans aucunement protéger les populations de Provence ni d’Italie !

Nous l’avions d’ailleurs rappelé dès le 4e jour du confinement 9 10 sans que les médias traditionnels ni Google ne reprennent l’information qui a été soigneusement occultée. Après 3 ans de recul, on constate que globalement ce sont les pays qui ont imposé les confinements les plus sévères qui ont le plus souffert du covid.

En France le confinement a multiplié les contaminations et a interdit les visites de leurs proches à leurs parents hospitalisés, alors que de telles visites constituent souvent le seul moyen de les motiver à vivre. Qui a imposé cet apartheid mortifère inhumain des vieux, non pas les boomers (tous plus de 70 ans) dans une volonté de suicide, mais les générations suivantes !

Le témoignage de ce fils est déchirant :

« Ma mère a 97 ans, elle vit seule chez elle et est autonome, mais le confinement est une maltraitance psychologique majeure pour les personnes dans sa situation. Si je comprends bien les recommandations officielles, je n’ai pas le droit de me rendre auprès d’elle pour lui prêter temporairement assistance. »11

Et cet autre : Hedwig, 79 ans, a été verbalisée pour avoir « stationné » à la fenêtre de la chambre de l’EHPAD de Graulhet (Tarn) où est hébergé Jean-Jacques, son mari de 93 ans. Chaque jour, Hedwig remplissait son attestation, cochait la case « assistance à personne vulnérable » et venait devant la fenêtre de plain-pied de sa chambre, 5 ou 10 minutes, pour que son mari puisse la voir. Munie d’une ardoise, elle lui adressait des petits messages à travers la vitre. Dans son fauteuil, Jean-Jacques qui ne peut pas bouger ne risquait pas d’ouvrir, mais il savait qu’Hedwig était là. Mais jeudi dernier, deux gendarmes ont interpellé Hedwig devant la fenêtre, l’ont verbalisée et renvoyée chez elle.

« Ils lui ont dit qu’elle n’avait pas le droit de stationner là et qu’elle le savait bien ».12

Et encore : Le 4 avril 2020, Patrice Dupas a été verbalisé alors qu’il souhaitait rendre visite à son père mourant. Son père est décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir. Comment peut-on avoir imaginé et accepté une telle inhumanité ?

Qui a osé poursuivre jusqu’à ce jour certaines restrictions en EHPAD13 et même à l’hôpital, alors que l’on sait la bénignité de ce virus aujourd’hui moins pathogène que la grippe saisonnière ? La torture des personnes âgées en EHPAD se poursuit sans l’ombre d’une explication sanitaire valable — interdiction de visites sans masques, pression pour des injections complémentaires dont l’inefficacité est maintenant évidente.

15 juillet 2022, il y avait 22 446 décès liés au coronavirus aux Pays-Bas qui ont refusé le confinement pour une population de 18 millions (1247/M) contre plus de 150 000 en France pour une population de 67 millions (2238/M) malgré les deux confinements que le gouvernement Macron nous a imposés 80 % de plus !

Ceux qui prétendent actuellement que ce sont les boomers qui ont demandé le confinement et qu’ils en auraient bénéficié reprennent en fait la désinformation du gouvernement qui essaie d’accuser les victimes des mesures ignobles et contraires à la science qu’il a imposées, victimes des confinements qui ont souffert des mortalités les plus élevées. Le but évident est de diviser les générations.

QUI A RAPIDEMENT INFORME QU’IL EXISTAIT UN TRAITEMENT SIMPLE ET EFFICACE DE LA PSEUDO PESTE ANNONCÉE PAR LE CROQUE MORT DU SOIR ?

Le Pr Raoult, Boomer lui aussi, a rapidement annoncé l’existence d’un traitement simple et efficace que les autorités, jeune président et jeunes ministres se sont empressés de calomnier et d’interdire ! La comparaison des données de l’OMS relatives aux mortalités observées en France (chloroquine interdite) et en Algérie (traitement Raoult conseillé) pays dont la proportion de personnes à risque (les plus de 65 ans) est semblable montre que nous aurions pu éviter plus de 120 000 morts par ce traitement.

Qui a imposé aux Français dans le silence quasi général l’injection expérimentale sous pression, restriction et avec l’accord voire l’aide de jeunes progressistes, écologistes, députés LFI, renaissance, etc.

LE POUVOIR, LES BOOMERS ET LEURS SUCCESSEURS

Il ne faut pas confondre la génération des boomers avec quelques milliardaires qui ont confisqué le pouvoir et distribué à leurs affidés. Chacun peut découvrir le système des Young leaders anglo-saxons14 et maintenant aussi chinois15 qui a permis depuis une quarantaine d’années de se repasser le pouvoir et les milliards, et les paradis fiscaux entre puissants choisis et convertis (ou conditionnés via les surveillances de leurs vies, cf. scandale Epstein). Il suffit d’examiner le profil de nous dirigeants, quasiment tous choisis par le WEF et Young leaders.

LES BOOMERS ET LA TÉLÉVISION

Quant aux boomers qui ont voté E Macron, ne sont-ils pas les victimes de la propagande permanente qui règne sur les médias officiels ? Qui possède ces médias ? Huit milliardaires. Qui se soumet à ces patrons si ce n’est nos journalistes fort bien rémunérés dont certains très jeunes et de bonne famille16 et qui obéissent au doigt et à l’œil pour intoxiquer les vieillards handicapés des EHPAD ou des résidences seniors qui sont installés devant la télévision toute la journée et gobent leur leçon du jour.
Quel âge ont les journalistes vedettes de nos journaux télévisés ?

ET qui a élu le président actuel et la chambre de nos députés soumis qui acceptent la vingtaine de 49 -3 d’affilée ? Certes certains boomers bien travaillés au corps par l’intoxication télévisée, mais aussi la majeure partie des cadres supérieurs, ingénieurs, enseignants et d’autres qui ont cru à la technologie, et au président des start-ups qui allait changer le monde.

LES VÉRITABLES RESPONSABILITÉS DES BOOMERS DATENT DE L’EUPHORIE DE L’APRÈS-GUERRE ET DES DÉCISIONS ERRONÉES QU’ILS ONT ACCEPTÉES

Il ne s’agit pas ici de nier ni exonérer les responsabilités des baby-boomers dans l’état actuel du monde occidental et singulièrement de la France, mais plutôt de remettre les choses dans l’ordre en lieu et place de cette simplification affligeante.

Les baby-boomers sont nés dans l’euphorie de la victoire sur le nazisme et l’abondance apparente fournie par le plan Marshall qui a astucieusement mis en place la colonisation de la France et de l’Europe par les États-Unis. Celui-ci s’est doté rapidement d’un instrument mortifère, la communauté européenne suivie de la création de l’UNION Européenne, basée sur les travaux des collaborateurs d’Hitler et de la construction du Reich.

Ils sont nés dans l’euphorie de la naissance de la sécurité sociale appliquant les programmes politiques de la résistance pour garantir à chaque français la protection sociale en cas de maladie et de chômage (cadeau aux classes populaires pour éviter une révolution rouge).

Ils ont découvert la machine à laver, le frigidaire et le plein emploi, même dans des conditions souvent difficiles de temps de travail (48 heures par semaine) et de distance… Grands et petits bonheurs après les drames et restrictions de la longue guerre.

Ils ont eu bien des torts et des responsabilités dans l’évolution de notre monde occidental actuellement en voie d’effondrement, après la sape insidieuse de ses principes. Cette génération s’est fait copieusement manipuler par la machine industrielle dénoncée par Mary Holland17 dans son discours à l’ONU en 2016 contre l’obligation vaccinale et la violation du code de Nuremberg.

Notre responsabilité à nous boomers est immense, mais absolument pas là où certains la voient, et n’est pas liée à la panique de la mort qu’à cet âge on a su, normalement, dominer.

Les boomers en état de penser, de parler, de transmettre, d’enseigner s’efforcent de tenter de mettre en garde les jeunes générations contre les dangers actuels du totalitarisme qu’ils reconnaissent comme le pendant du vécu de leurs parents pendant la période ayant précédé leur naissance 1870-1950.18

Les boomers ont voulu donner à leurs enfants une vie meilleure que la leur et ils y sont globalement parvenus. Leur tort principal de ne pas leur avoir enseigné qu’il fallait pour cela qu’ils travaillent et que les libertés ne durent que tant qu’on se bat pour elles. Cette éducation trop cool et permissive sous l’influence américaine, via les réformes de 1968, a peut-être facilité l’acceptation des confinements par les générations plus jeunes, mais les a conduits globalement dans une société du tout « tout de suite » et du prédigéré et du recul devant l’effort.

Les boomers aveuglés par les bons sentiments et les apparentes facilités du nouveau monde d’après-guerre ont la lourde responsabilité d’avoir laissé détruire l’école, que la génération des cinquantenaires actuels n’a pas su dénoncer ni réparer.19 Ils n’ont pas mesuré l’importance de l’influence des réseaux sociaux dans la vie des jeunes générations matraquées par la publicité intrusive et diffuse, leur faisant presque croire que la pseudo intelligence artificielle pourra tout remplacer du médecin à l’enseignant et même à l’élève pour rendre ses devoirs.

Les boomers et leurs enfants ont laissé l’UE détruire l’Europe sous les ordres des USA. Ils ont tout de même voté contre la Constitution européenne en 2005, mais, trahis par le président Sarkozy en 2007, ils se sont soumis à ce coup d’État insidieux asservissant progressivement toutes les professions jusqu’alors libres : destruction de l’éthique médicale et du système de santé, du métier d’agriculteur et de l’agriculture par des normes souvent absurdes et des contrôles incessants20, destruction de tous nos services publics, police, mairies en imposant partout internet comme seul interlocuteur, entraînant la désertification des campagnes au profit d’un entassement dans les villes de plus en plus invivables (le rêve du WEF d’imposer les villes de 15 min déjà repoussées par de nombreuses municipalités et citoyens en voie d’éveil).

Les boomers et leurs enfants ont laissé manipuler les plus jeunes par l’école soumise au programme du wokisme, prônant l’écologie punitive, l’éducation sexuelle à l’école intégrant la théorie du genre, et les miracles attendus de l’immigration, tous plans inclus dans les ordres du WEF et des Young leaders intronisés chaque année depuis 1970. Tous nos dirigeants jeunes en sont issus, de Gabriel Attal notre Premier ministre, à l’actuelle ministre de l’Éducation nationale et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra.

Ce ne sont pas les boomers qui ont voulu les confinements qui ont ruiné la classe moyenne, mais les mondialistes et leurs complices rémunérés pour imposer les pseudo vaccins et multiplié les fortunes des milliardaires.

Prétendre qu’ils auraient été les instigateurs d’une mesure symbolique qui leur a été aussi néfaste, vise en fait à éluder la responsabilité des décideurs pour l’ensemble des mesures liberticides de la période de plandémie. Cette idée qui court montre l’aveuglement qui persiste de toute une population soumise et dans le déni, dont d’autres manifestations sont encore répandues comme la négation du nombre énorme des effets indésirables des injections ARNm et même du rôle pourtant indéniable de ce pseudovaccin dans l’explosion des turbocancers.

L’urgence n’est pas de séparer, diviser, opposer les générations, mais bien de sortir ensemble du déni de tyrannie et de la soumission généralisée qui a permis la destruction de notre monde et de tenter de le reconstruire ensemble pour l’avenir de nos petits-enfants et arrière-petits-enfants.





Centres de données : leur consommation d’eau va exploser

[Source : reporterre.net]

Par Fabien Benoit

De plus en plus nombreux, les centres de données, piliers du numérique, sont gourmands en électricité et en foncier, mais aussi en eau. Une consommation amenée à exploser avec le développement de l’intelligence artificielle.

Philippe de Fruyt et Jean-Luc Touly ne décolèrent pas. En cette glaciale matinée de janvier, emmitouflés dans leur parka, ils égrènent les chiffres du projet d’extension du data center [Centre de données] d’Amazon, installé dans leur commune de Wissous, 7 000 habitants, dans l’Essonne. « À terme, on va atteindre 15 000 m2, avec 14 cheminées de 18 mètres pour évacuer la chaleur produite par le site, auxquelles il faudra ajouter 24 groupes électrogènes fonctionnant au fioul. Et tout ça, à deux pas du centre-ville, à 200 mètres d’une école et en face d’un centre sportif », résume Philippe de Fruyt, 69 ans, conseiller municipal d’opposition (centre droit).

La guerre des chiffres

Son camarade, tout aussi prolixe, dénonce un projet opaque. « Sur les 400 pages de l’étude d’impact, on ne trouve rien sur la consommation d’eau. Quelle quantité d’eau sera utilisée ? Pour faire quoi ? Au départ, il s’agissait seulement d’eau pour les toilettes, puis ensuite de 2 000 m3 par an avec des rejets dans la nature. Si c’est le cas, il faut soumettre un dossier “Loi sur l’eau” à la préfecture. Or, il n’y en a pas. Pour moi, ils sont hors-la-loi sur cette question », affirme celui qui connaît bien son affaire pour avoir passé toute sa carrière à la Compagnie générale des eaux, puis chez Veolia.

Les opposants se livrent à une bataille des chiffres avec le porteur de projet étasunien, CyrusOne, qui opère pour le compte d’Amazon. Ce dernier évoque un projet exemplaire en matière environnementale, dont la consommation d’eau sera dérisoire et sans rejet extérieur, limitée à 850 m3 par an, soit la consommation de sept habitations. Si le sujet prête autant à discussion, c’est que les centres de données peuvent, dans certains cas, consommer beaucoup d’eau et qu’il s’agit là d’un angle mort de la folle croissance numérique, peu documenté et discuté.

L’eau est utilisée en masse pour refroidir les serveurs des data centers.
Flickr/CC BY-SA 2.0 Deed/École polytechnique

L’équation est pourtant assez simple. Les data centers, toujours plus nombreux et plus grands, concentrent des machines qui produisent de la chaleur et qu’il faut refroidir. Différentes techniques existent et se font concurrence. La climatisation classique, mais aussi l’utilisation de circuits d’eau — ouverts, avec rejet d’eaux usées, ou fermés — pour refroidir l’air à l’intérieur des installations, ou bien des systèmes dits « adiabatiques » par pulvérisation d’eau.

« Ce qui est assez paradoxal, c’est qu’au moment où l’on met en place des indicateurs pour mesurer l’efficacité énergétique des data centers, comme le PUE [Power Usage Effectivness, rapport entre l’énergie totale consommée par un centre de données et l’énergie consommée par ses seuls équipements informatiques] une solution pour avoir un bon PUE et se présenter comme plus “vert”, c’est d’utiliser plus d’eau et moins d’électricité », explique Clément Marquet, coordinateur du groupe de travail Politiques environnementales du numérique au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Un sujet « énorme »

Dans son rapport environnemental, Google a ainsi révélé avoir prélevé 28 milliards de litres d’eau dans l’année, dont les deux tiers — de l’eau potable — pour refroidir ses data centers. Entre 2018 et 2022, ses prélèvements ont bondi de 82 %. Mais si le géant de Mountain View a décidé de communiquer, très récemment, il fait figure d’exception. Et, alors que les centres de données fleurissent partout dans le monde, avec un taux de croissance de 12,6 % par an, et que la France veut devenir, selon les mots du ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, le leader européen en la matière, la publication des chiffres relatifs à la consommation d’eau reste soumise au bon vouloir des industriels.

Une situation amenée à changer en partie avec la révision de la directive européenne sur l’efficacité énergétique de juillet 2023. Elle contraindra les data centers de plus de 500 kW à plus de transparence sur leur consommation, mais pas ceux situés hors de l’Union européenne (2 701 aux États-Unis, 443 en Chine ou 456 au Royaume-Uni, contre 2 904 dans l’UE).

« L’IA consommera autant que 4 ou 6 Danemark »

« On est conscients que la consommation d’eau est un sujet énorme, dit l’urbaniste Cécile Diguet, coautrice d’une étude sur le développement des data centers en Île-de-France et de l’ouvrage Sous le feu numérique (avec Fanny Lopez). On sait que les opérateurs de data centers font des forages dans les nappes, plus ou moins déclarés. On voit que, en Île-de-France, il y a des nappes de plus en plus fragilisées, notamment dans l’Essonne. Mais personne n’a encore creusé la question à ma connaissance. »

Si cette problématique vient s’ajouter à celle de l’artificialisation des sols et de la consommation vertigineuse d’énergie des data centers, elle pourrait devenir une préoccupation majeure avec le déploiement de l’intelligence artificielle. « C’est le gros sujet derrière tout ça, affirme le sociologue Clément Marquet. Avec l’IA, on utilise des ordinateurs qui consomment 5 à 10 fois plus d’électricité et cette électricité est dissipée en chaleur par les ordinateurs. Pour l’heure, on ne connaît pas de solution aussi bon marché que l’eau. » Déjà aujourd’hui, les conflits d’usage autour des data centers se multiplient aux États-Unis, en Uruguay, aux Pays-Bas, en Irlande ou bien encore Espagne, avec le mouvement « Tu nube seca mi rio » (« Ton nuage assèche ma rivière »).

Au-delà des data centers, c’est toute l’IA qui est pointée du doigt.
Flickr/CC BY-NC-SA 2.0 Deed/NYC Office of Technology & Innovation

Des études émergent peu à peu, comme celle de l’article intitulé Making AI less thirsty, publié par plusieurs chercheurs californiens, qui révèle qu’un échange de vingt questions avec ChatGPT nécessite l’équivalent d’une bouteille d’eau de 0,5 L.

« L’IA va faire exploser la consommation d’eau, tient à souligner un de ses rédacteurs, Shaolei Ren, contacté par Reporterre. D’ici à 2027, l’IA consommera autant que la moitié du Royaume-Uni ou 4 à 6 Danemark. Tous les discours des géants du numérique sur le fait d’être “water positive” relèvent de la plus pure communication. L’utilisation d’indicateurs comme le WUE [Water use effectivness, l’eau consommée pour chaque kWh] n’est de surcroît pas éclairante, car elle ne tient pas compte de la consommation d’eau indirecte, due notamment à la production d’électricité [l’eau utilisée dans les centrales hydroélectriques ou pour refroidir les centrales nucléaires]. »

Fermes intensives et fermes de serveurs : même combat

Si les industriels s’en remettent à leur credo technosolutionniste, à savoir améliorer l’efficacité de leurs systèmes de refroidissement, le seul horizon soutenable reste celui de la frugalité, selon le chercheur en sciences de l’information Olivier Ertzscheid.

Il établit un parallèle entre fermes de l’agriculture intensive et fermes de serveurs, deux modèles qui partagent selon lui un même ADN extractiviste :

« L’affrontement central dans les conflits d’usage à venir [autour de l’accès à l’eau] se fera autour de deux lignes de front : d’un côté le lobby technologique, ses data centers et ses fermes de serveurs, et de l’autre le lobby de l’agriculture industrielle […]. Le point de convergence des deux modèles est qu’ils concourent à un appauvrissement et à un épuisement des sols autant qu’au stress hydrique des populations avoisinantes. Et que, pour l’essentiel, ils s’en moquent. »




Agriculteurs en colère : une colère pour rien ?

[Source : h16free.com via RI]

Par H16

La scénographie est efficace, les cascades réglées au millimètre, la musique et les effets sonores parfaitement synchronisés avec les gesticulations : tout y est, le mouvement paysan peut passer sur BFMTV, et les caméras peuvent suivre le frétillant nouveau Premier ministre résoudre avec brio sa première crise.

Tout a pourtant commencé d’une façon qu’on pourrait qualifier sans rire de bio d’organique : des agriculteurs, ployant sous le poids des normes, des contraintes et des obligations légales que leurs exploitations subissent, finissent par protester contre la fiscalisation des carburants qui fait s’évaporer les maigres marges qu’ils parvenaient à conserver jusqu’à présent.

Plusieurs semaines s’écoulent pendant lesquelles on peut observer deux phénomènes intéressants : d’une part, le mouvement gagne progressivement en ampleur en partant du sud-ouest de la France, aidé en cela par les réseaux sociaux ; d’autre part, les médias se montrent fort timides, relatant de façon vague et discrète les actions de blocage en cours. Plaisante bizarrerie : aucune action de maintien de l’ordre n’a lieu et les agriculteurs échappent jusqu’alors aux tirs de LBD et autres charges de CRS.

Et puis, rapidement, en l’espace de quelques jours, tout se met en place : le gouvernement, soudain sorti de sa léthargie, semble s’intéresser aux revendications agricoles ; rapidement, une tête élue par personne — Jérôme Bayle — semble apparaître pour fédérer les meneurs de ces troubles paysans qui agitent le pays ; les syndicats fleurissent aux micros commodément tendus par toutes les chaînes d’information continue ; des députés, des politiciens, des ministres harpent sur la nécessité vitale des fiers agriculteurs pour maintenir nos beaux paysages, nos belles traditions, nos bons produits et nos belles ressources vivrières. Et alors que les blocages se multiplient, que certaines actions paysannes se font plus violentes, les CRS ne rentrent toujours pas dans la danse.

Des négociations sont courtoisement entamées. Les paysans ne céderont pas, expliquent-ils : il y a trop de contraintes délirantes ; l’écologie, ça va bien deux minutes, mais le déluge normatif que les Gaïatollah ont provoqué les empêche de travailler et de gagner décemment leur vie ; la transition écologique se traduit littéralement par des faillites et des suicides et ce qui a été observé en Allemagne, aux Pays-Bas, en Pologne s’observe aussi en France…

Pourtant directement responsables de la situation en ayant pourri toutes les administrations, toutes les politiques avec leurs idées catastrophiques, les écolos se défaussent partout où ils le peuvent : « nous ne sommes pas au pouvoir, nous n’avons rien fait et nous sommes pour la Nature et avec les agriculteurs » (ceux-là mêmes qu’ils accusent pourtant de ruiner la terre, l’environnement et la santé des gens).

Et alors que la tension monte, qu’on craint même le pire lorsqu’un triplet d’OQTF vient blesser un agriculteur, tuer sa femme et sa fille sur un barrage d’autoroute, les négociations avancent et, à la faveur d’un vendredi bien troussé et d’un Premier ministre en tournée communicationnelle entre un tracteur et une balle de foin, voilà que déboule un accord et que, bientôt, les agriculteurs et le gouvernement se féliciteront enfin d’une paix retrouvée.

Ah, que voilà belle victoire pour le nouveau et jeune Premier ministre qui, ainsi, montre d’évidentes capacités à gérer les conflits sociaux et les résoudre prestement ! Ah, que voilà belle victoire pour Jérôme Bayle, l’agriculteur qui s’est ainsi mis en avant et qui va pouvoir repartir, fier d’avoir contribué à l’amélioration des conditions de vie de ses collègues !

Et tant pis si, finalement, les autres agriculteurs comprennent vite que tout ceci est un théâtre grotesque, que les mesurettes ainsi « gagnées » ne sont que des bricolages marginaux qui ne résoudront rien aux problèmes profonds de l’agriculture française…

En réalité, tout se déroule comme prévu, c’est-à-dire très mal.

Le déclassement de l’agriculture française était garanti tant le délire normatif français perfuse dans toutes les administrations, toutes les politiques, toutes les lois mises en place ; la concurrence avec les autres pays européens, déjà peu égale, est féroce, mais elle tourne au tragique avec le reste du monde qui n’a cure des boulets législatifs que la France (et la France seule) s’attache aux pieds. S’y ajoutent les délires maintenant hystériques d’écologie destructrice (« farm to fork », l’ARENH — véritable honte énergétique, taxes à gogos, etc.) qui transforment des questions épineuses en véritables obus à sous-munitions.

Il est évidemment hors de question d’abaisser nos contraintes pour les aligner avec nos voisins. Logiquement, le gouvernement, comprenant très bien que les agriculteurs ont la faveur de l’opinion publique — comme du reste au début des manifestations de boulangers, de marins-pêcheurs, des Gilets Jaunes, des Bonnets Rouges, etc. — déploie donc les mêmes procédés et les mêmes artifices pour dégonfler le conflit.

D’une part, en utilisant une figure emblématique du mouvement, il se dégotte une voix et un visage avec lequel faire semblant de négocier. Une personne seule est facile à acheter, à faire plier, à amadouer ou persuader.

D’autre part, on essoufflera le mouvement par infiltration de syndicats et de militants aux revendications de plus en plus lunaires, tout en accroissant progressivement la violence et les destructions arbitraires (préférablement débiles) de biens privés. Il est ainsi aisé de retourner l’opinion publique, et de caricaturer les demandes en les réduisant à réclamer encore plus de subventions pour eux-mêmes et de taxes pour les autres.

Le gauchisme le plus crasse est venu à bout de tous les mouvements populaires récents, celui-ci a donc très peu de chance d’y échapper.

Il va bien sûr de soi que ce ne sont pas les petits aménagements, les subventions et les chèques tracteur (ou je ne sais quelle idée du même acabit) qui résoudront les problèmes des agriculteurs : la régulation délirante, la suradministration et la paperasserie continueront de croître ; l’appauvrissement continuera donc des petits exploitants, explicitement voulus par le pouvoir afin de concentrer le secteur agricole dans les mains de quelques gros industriels bien en cour. Rien ne devra remettre en cause la connivence entre Big Farm et le pouvoir en place.

Dès lors, il est fort peu probable qu’il sortira quelque chose de positif de ce mouvement : les paysans vont rapidement se retrouver coincés entre des messages de plus en plus confus et collectivistes, voire marxistes, une opinion publique défavorable et un gouvernement qui aura beau jeu, alors, de se montrer ferme avec ce qui apparaîtra comme des débordements déraisonnables.

On pourrait imaginer les paysans, parvenant à se débarrasser de leurs syndicats pourris jusqu’à l’os et de la racaille gauchiste qui va gangrener leurs rangs. On pourrait les imaginer qui comprennent que leur ennemi n’est ni le peuple, ni les distributeurs ou les industriels, mais l’État qui ponctionne, régule et taxe partout et ne sert plus à rien. On pourrait les imaginer se retourner contre les vrais responsables de leur situation (administrations, élus, gouvernement), et leur imposer ce retour à la raison par l’usage de la force, qui seule fonctionne contre les psychopathes, les pervers et les corrompus. Mais on avouera que ça demande un effort d’imagination vraiment très fort.

C’est pour cela que ce pays est foutu.




Contre le double-enfumage et pour soutenir les agriculteurs

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]