« Sound of freedom » détrône « Indiana Jones » aux USA et cela fait très peur à la Secte SHAA

Par Lucien SA Oulahbib

Pour noyer son chien dites qu’il a la rage, pour empêcher que des vérités remontent à la surface dites qu’elles sont « complotistes » ou « d’extrême-droite » bien sûr, mais comme pour le film « Sound of freedom » relatif au trafic d’enfants ce sortilège ne marche pas vu le nombre d’entrées aux USA et les demandes nombreuses de sortie en France, ce qui affole, il faut alors user de l’artillerie de plus en plus lourde. Ainsi Nice Matin tentera à tout prix d’empêcher le flot en rappelant diverses qualifications étiquetées sur le dos des promoteurs de ce film au lieu de se concentrer plutôt sur le pourquoi de ce trafic ; procédé de l’accusation inversée dans laquelle excellent nos Dupont et Dupond de l’anti « fake news » sévissant en France et qui en dehors de tripatouiller dans le fonds Marianne ou les subsides anti-antivaxx, sortent, en plus de l’artillerie et les chars, les armes à sous-munitions pour associer « en même temps » la dénonciation du trafic d’enfants en vue d’actes et de meurtres pédocriminels avec, mais oui, « l’éternel retour » du refoulé antisémite, celui du fameux meurtre rituel sans oublier l’amalgame entre les buveurs de sang d’enfant avec ceux qui ne voudraient pas de transfusion de sang injecté…

À cela font écho, comme le relate très justement Radio Québec, les propos de pédopsychiatres, psychologues qui dénoncent ce vaste amalgame, orchestré par l’OMS et relayé par le ministère de l’Éducation nationale français, entre une information nécessaire sur le harcèlement et la discrimination avec une inculcation de type idéologique puisqu’elle « confond » d’un côté, psychisme de l’enfant et fantasme adulte sur ce que « pense » l’enfant de son corps (voir page 23 ici : progression du développement sexuel), et, de l’autre côté, attribution de rôles sociaux qui évoluent historiquement et distribution naturelle des sexes dont la consistance intrinsèque n’est pas seulement physico-chimique, mais psycho-différentielle (Nuttin 1980, Reuchlin 1995) ce qui implique que l’ajout/retrait ou le blocage d’hormones et d’organes ne suffit pas à en réorganiser le « câblage » neuropsychologique distinguant mâle et femelle, surtout chez les mammifères, et en particulier humains…

Preuve si l’en est de cette « confusion » entre rôle et sexe cette défense-panique d’un tableau clairement nihiliste prétendant dénoncer le viol comme arme de guerre alors que jamais (jamais) les tortionnaires ne se mettent nu devant leurs victimes. C’est une affabulation, un mensonge, mais que d’aucuns s’empresseront de masquer (paradoxe du menteur systématisé par Foucault, voir page 5) avec la complicité d’un jugement (et observez comme l’article masque le tableau en question).

Chassez la pédophilie par la porte, taxez là même de « pédocriminalité », elle revient par la fenêtre sous le couvert de « droits sexuels », voire de « citoyenneté sexuelle », masqués certes par l’idée de « consentement », mais qui, comme dans la « santé » se trouve aisément contournée par des passe-droits tels que « l’urgence-à » (« instruire, protéger ») comme dans la fable du petit chaperon rouge :

« Ma mère-grand, que vous avez de grands bras !
— C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes !
— C’est pour mieux courir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles !
— C’est pour mieux écouter, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux !
— C’est pour mieux voir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents !
— C’est pour mieux te manger. »
Et en disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.