Réchauffement planétaire et environnement : Rejeter l’alarmisme et se concentrer sur des améliorations concrètes

[Source : Parti Populaire du Canada]

Enjeu

Le gouvernement libéral dépense des milliards de dollars ici et à
l’étranger pour lutter contre le réchauffement planétaire – que l’on
préfère maintenant appeler « changement climatique » pour inclure
n’importe quel événement météorologique naturel et son contraire.

Afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre, il a imposé
des taxes et d’innombrables règlements, il subventionne des
« technologies vertes » inefficaces et coûteuses, et bloque le
développement des ressources pétrolières essentielles à notre
prospérité.

Il est indéniable que le climat mondial a toujours changé et
continuera de changer. Jusqu’à il y a douze mille ans, une grande partie
du Canada était recouverte de glace, et c’est grâce au changement
climatique naturel que nous pouvons aujourd’hui vivre ici.

Il n’existe cependant aucun consensus scientifique sur la théorie
disant que le CO2 produit par l’activité humaine est la cause d’un
réchauffement planétaire dangereux ou le sera dans l’avenir, et que le
monde est confronté à des catastrophes environnementales si ces
émissions ne sont pas réduites de manière draconienne. De nombreux
scientifiques renommés continuent de contester cette théorie.

Le débat politique sur le réchauffement n’est plus fondé sur la
science. Il a été détourné par les partisans d’un gouvernement
interventionniste qui utilisent des techniques de propagande grossières
pour imposer leurs vues. Ils ridiculisent et harcèlent publiquement
quiconque exprime des doutes. Ils exagèrent les faits afin d’effrayer
les gens. Ils manipulent même les enfants dans les écoles en les
incitant à faire pression sur leurs parents et à manifester dans la rue.

Faits

L’alarmisme climatique est basé sur des modèles imparfaits qui n’ont
jamais réussi à prédire correctement l’avenir. Aucune des prédictions
cataclysmiques faites depuis les années 1970 ne s’est réalisée. Pas de
nouvelle ère glaciaire. Pas de réchauffement constant en relation
directe avec l’augmentation des niveaux de CO2. Pas de disparition des
calottes polaires. Pas de hausse exceptionnelle du niveau des océans.
Aucune augmentation anormale des événements météorologiques
catastrophiques. Pas d’effondrement de l’agriculture et de famine
généralisée.

En fait, le CO2 est bénéfique pour l’agriculture et il y a récemment
eu un « verdissement » mesurable du monde en partie grâce à des niveaux
plus élevés. Malgré ce que prétend la propagande sur le réchauffement,
le CO2 n’est pas un polluant. C’est un ingrédient essentiel à la vie sur
Terre et nécessaire à la croissance des plantes.

Notre plan

Compte tenu des incertitudes entourant les fondements scientifiques
du réchauffement et des coûts énormes certains des mesures conçues pour
le combattre, il n’y a aucune raison impérieuse de compromettre notre
prospérité en augmentant l’intervention gouvernementale sur ce plan.

Un gouvernement du Parti populaire :

  • Se retirera de l’Accord de Paris et abandonnera les objectifs irréalistes de réduction des émissions de gaz à effet de serre.
  • Cessera d’envoyer des milliards de dollars aux pays en développement pour les aider à réduire leurs émissions.
  • Abolira la taxe sur le carbone du gouvernement libéral et laissera
    les gouvernements provinciaux adopter des programmes de réduction des
    émissions s’ils le souhaitent.
  • Abolira les subventions aux technologies vertes et laissera les
    acteurs privés développer des alternatives rentables et efficaces.
  • Investira dans des stratégies d’atténuation si des problèmes résultent d’un changement climatique naturel.
  • Priorisera la mise en œuvre de solutions pratiques pour rendre
    l’air, l’eau et les sols plus propres au Canada, y compris en s’assurant
    que les communautés éloignées des Premières Nations aient accès à de
    l’eau potable.