Rationner et immobiliser les citoyens européens pour mieux les soumettre

Par Lucien SA Oulahbib

Les évènements aux Pays-Bas, les accords dits de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande (en attendant le Chili et d’autres comme le Mexique et le Mercosur) ont en vue de détruire l’agriculture européenne afin de rendre dépendants les citoyens d’importations qui seront distribués à terme par « passe » à l’instar de ce qui se passe au Venezuela ou naguère dans l’ancienne URSS.

Quant à la récente annonce de vouloir nationaliser EDF il s’agit juste d’un gage donné à l’Allemagne pour qu’elle puisse continuer à fermer les yeux devant l’accroissement de la dette française puisque cette nationalisation implique que le déficit d’EDF sera financé par elle. L’Allemagne y gagne étant donné que cette entreprise va investir de plus en plus dans l’éolien, les minicentrales nucléaires « promises » servant à compenser son intermittence et d’éviter une dépendance au gaz et au charbon, alors que pour l’instant et depuis la fermeture de Fessenheim et le quasi-sabotage, de fait, de la moitié des centrales nucléaires la France devient de plus en plus dépendante du… charbon allemand…. Cherchez l’erreur (il n’y en a pas).

Par ailleurs, et comme l’a rappelé Christian Girondaux dans son dernier livre sur la voiture électrique il est clair que sur longue distance la plupart des gens seront forcés de prendre le train étant donné l’extrême difficulté de la recharge hormis pour les grosses cylindrées inabordables.

Ainsi s’esquisse durablement le monde qui vient : rationner peu à peu par des pénuries et l’inflation galopante les populations pour qu’elles se tiennent continuellement tranquilles ; en même temps leur faire peur par un énième virus fabriqué, les pousser ainsi peu à peu à moins se déplacer (« le » virus est partout) et à aller de plus en plus dans le Métaverse (au sens large : séries, porno, talk shows inutiles) pour « vivre » ses imaginaires, à l’identique au fond de ce qui était prévu dans Matrix…

Le monde réel est visiblement de plus en plus réservé à la Secte qui peut se transporter à sa guise en compagnie de ses esclaves SM made in Bergé, et de ses migrants lui servant de serviteurs « racisés » ; le monde hyperréel, lui, et déjà là, sert de plus en plus de réserves d’Indiens pour un peuple inutile sinon comme réservoir d’organes et de chair fraîche pour le renouvellement de la Secte en cadres « bi » idéologiquement (style Cohn-Bendit, Ménard, Roussel, Rousseau…), en esclaves « multi » en serviteurs « poly » (mais polis).

Par ailleurs, avec la disparition à terme de l’autonomie monétaire individuelle, tous les échanges devenant numériques, les « salaires » ne seront que des validations autorisées ou non distribuées par une sorte de blockchain globale interétatique, du moins en Occident et dans l’espoir que ce mécanisme deviendra seulement bicéphale (Occident lobotomisé, Orient sous contrôle maoïste, Russie défaite ou sous la dépendance de ce dernier : reste l’Inde, l’Afrique, le Brésil…). 

Et cette numérisation des relations interpersonnelles et collectives va de plus en plus de pair avec un marché noir autorisé pour les influenceurs/euses qui n’ont pas pu se vendre comme experts médicaux et/ou climatiques sur les médias de grand chemin.

Bien sûr, tout ceci se déroule avec le terme enchanteur à la bouche du moment : sauver la planète. Ce nouveau mantra (toujours aussi faux que lorsqu’il avait été prononcé dans les années 60) fait office de gong ou de nouveau chant du muezzin pour des populations avides d’être soumises.

Acculés dans nos « réserves » (de sens) le fait de savoir s’il « nous » faut un Cochise ou un Geronimo semble bien pour le coup superfétatoire… D’autant qu’il nous faut les deux, mais placés et gagnants façon Alexandre, Louis XIV, et surtout l’époque victorienne. Au lieu de ces querelles de clocher comme l’expression le précise si justement…