Quand la pensée unique, la quête de notoriété, une bêtise sans limite, la corruption ou, pourquoi pas, des menaces, mènent à l’immonde ?

[Source : https://7milliards.fr/tortosa20210224-le-guen-masques-vomir.pdf]

Par Alain Tortosa

Au « 20 heures » de France 2 du 23 février 2021, la présidente de la Société Française de Pédiatrie. le docteur Christèle Gras-Le Guen[1] qui a changé de discours depuis le mois d’octobre affirmait :

« Le masque ne présente aucun danger pour les enfants bien au contraire. »

Rappelons qu’il est indispensable de défendre le récit du fléau du Covid qui n’épargnerait personne, des rues jonchées de cadavres, des enfants fauchés par le virus…

Quoiqu’il en coûte, il faut « vendre » du geste barrière, du port du masque et surtout du vaccin «libérateur » (selon le discours officiel) et c’est ainsi qu’on en arrive à affirmer des conneries monumentales, comme le fait que porter un masque toute la journée ne présenterait strictement aucun risque, et ce alors même que l’OMS énumère largement ses dangers.

Cela pourrait faire sourire tant le discours est caricatural et déconnecté de toute réalité, aussi bien scientifique que dénué de toute logique, mais c’est sans compter que des millions de personnes manipulées gobent ce message « rassurant ».

Message qui par ailleurs les dispense de réfléchir et du moindre sentiment de culpabilité.

Mme Le Guen précise aussi dans son intervention, de toute évidence purement politique, que les symptômes induits par le masque et rapportés par une étude allemande.

Étude relayée notamment par Reinfocovid, Réaction19 ou Enfance et libertés, pour ne citer qu’eux…

ces symptômes, donc, pourraient être induits « uniquement » par la situation épidémique ou le stress et non par le port du masque !

En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur », car comment pourrais-je lui accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie ?. Un pédiatre est un médecin au service des enfants, primum non nocere) était corédactrice d’un texte appelé « Primum non nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! »

Primum non nocere qui veut dire « en premier, ne pas nuire ».

Texte dans lequel il était possible de lire notamment :

«Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »

«Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »

«Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances institutionnelles »

Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie e t des sociétés de spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur établissement scolaire[2] » il était précisé :

«Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »

«De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des mains est tout aussi important. »

Le 2 septembre, dans une interview pour 20 minutes[3], elle déclarait :

«Le Covid-19 est-il dangereux pour les enfants ? »

«C’est une maladie que l’on connaît de mieux en mieux, certainement mieux qu’au moment du confinement. Et ce que l’on sait, c’est que ce virus concerne vraiment très peu les enfants. Il y a deux aspects à ça. Le premier : la proportion d’enfants infectés est très faible par rapport aux adultes, autour de 1 à 5 % parmi les cas positifs. Le second : lorsque les enfants s’infectent, ils font des formes bénignes dans l’immense majorité des cas. Près de la moitié n’ont même pas de symptômes. Donc ils s’infectent rarement et lorsqu’ils s’infectent, ce n’est pas grave. Ce sont des données confirmées par tous les pays concernés par cette pandémie. »

«Et, malheureusement, cette idée d’enfants transmetteurs persiste comme une idée reçue. Les informations récoltées depuis, lors de l’étude des clusters notamment, démontrent que l’enfant est très peu en cause dans les contaminations. Un enseignant a plus de risque de contaminer un élève que l’inverse. »

«… Il faut éviter les mesures de distanciation qui peuvent être stressantes pour l’enfant, contraires au déroulement d’une journée normale, et qui ne s’appuient pas sur des données scientifiques. Les mesures barrière et la distanciation doivent concerner surtout les adultes. Il faut que les enfants puissent reprendre une vie d’enfant, qu’ils jouent entre eux, qu’ils interagissent entre eux, sans que ça génère d’inquiétude excessive de la part de leurs encadrants ou de leurs parents. Je constate que ces derniers sont encore très inquiets alors qu’on aurait dû être en mesure de les rassurer beaucoup plus tôt. »

Le 24 septembre, elle était officiellement interrogée par la « Commission d’enquête pour mesurer et prévenir les effets de la crise du Covid-19 sur les enfants et la jeunesse[4] » à l’Assemblée Nationale.

«Cette maladie n’est pas une maladie pédiatrique au sens virologique du terme. J’entends par là que le virus infecte très peu les jeunes enfants, et [ceci] d’autant moins qu’ils sont jeunes. »

«les enfants qui sont infectés développent, dans l’ immense majorité des cas, des formes bénignes de la maladie »

«Enfin, les enfants ne contribuent que très peu aux chaînes de contamination. Avec le recul, riches de l’analyse des clusters, nous savons que les enfants sont exceptionnellement à l’origine de la contamination d’adultes. »

«Avec nos connaissances actuelles, nous sommes rétrospectivement en mesure de considérer que certaines mesures prises durant la première phase de l’épidémie étaient manifestement excessives »

«Si nous parvenons à rassurer les enseignants, les parents et les enfants, nous pourrons faire reprendre aux enfants leur vie en collectivité et en milieu scolaire avec une meilleure sérénité, tout en respectant des mesures barrières bien entendu »

«Je considère que la représentation de la voix de l’enfant durant la crise sanitaire a été très modeste. Nous avons eu du mal à faire entendre les besoins spécifiques de l’enfant. Les mesures de distanciation sociale qui ont été appliquées étaient totalement déraisonnables. Elles n’étaient pas adaptées aux besoins des tout-petits en particulier. »

«Quant au caractère anxiogène des informations brutes délivrées au grand public, je viens de recevoir sur mon téléphone une information émanant d’un journal que je ne citerai pas, qui fait état en gros titre de quatre enfants en réanimation à Bordeaux, concluant que « le Covid touche tout le monde ». Pourquoi communiquer des informations aussi anxiogènes ? À qui profite le crime ? Nous n’avons jamais prétendu que les enfants ne développaient jamais de formes graves de la maladie, mais ces cas graves sont rares. Plus le virus circulera, plus nous verrons de cas chez les enfants, bien évidemment, mais en proportion, ils représenteront toujours une part fortement minoritaire. Je me demande réellement où réside l’intérêt à entretenir ainsi le sentiment de peur des Français. Les parents risquent, en lisant de telles informations, de remettre en cause le discours des épidémiologistes et des scientifiques. »

«Lorsque je vois à la télévision un film mettant en scène un adolescent qui embrasse une amie, l’anniversaire de la grand-mère puis cette même grand-mère en réanimation, je pense que ce mode de communication n’aidera pas nos concitoyens à traverser les mois qui viennent »

«Pour répondre à votre question sur les masques, les tout-petits sont peu souvent infectés et participent peu à la transmission du virus, mais cela devient de moins en moins vrai à mesure qu’ils grandissent. C’est ce qui explique pourquoi un seuil à onze ans a été défini. Cela correspond au passage au collège. C’est donc la raison pour laquelle le masque est introduit au collège. Toutefois, le port du masque ne doit pas être source de conflits . »

«Mme Maud Petit. Des élèves reçoivent des avertissements pour non-port du masque. »

Mme Christèle Gras-Le Guen. « Tout à fait. Nous avons affaire à des enfants qui sont excédés, car ils ont été convoqués cinq fois par le proviseur depuis la rentrée. Le port du masque doit rester une préconisation et doit être expliqué aux enfants, mais nous savons que certains enfants auront du mal

à respecter ces consignes . Si un enfant est déjà sujet à un comportement difficile à l’école, le port du masque pourra difficilement lui être imposé en permanence. Il faudra donc s’adapter et apprendre à vivre avec sa ns que ce soit une source de tensions. »

Essayez alors de m’expliquer ce qui suit au regard de ses déclarations précédentes.

Comment Mme Le Guen qui affirme que le Covid n’est pas une maladie pédiatrique, qui affirme sous serment devant une commission d’enquête de l’Assemblée Nationale que les enfants ne sont pas des contaminateurs d’adultes.

Qui de plus considère que les enfants ont été victimes des protocoles et qu’ils avaient le droit de vivre une vie d’enfant… peut oser dire aujourd’hui que le masque est utile, bénéfique et sans danger pour des enfants ?!!

A-t-elle été soudoyée, payée, menacée par la dictature sanitaire ?? Je suis en quête de sens…

Le 30 octobre 2020 dans une interview à France Info[5], changement donc de cap.

Il n’y a que les imbéciles ou les personnes intègres ou courageuses qui ne changent pas d’avis ?

France-info :

« Port du masque dès 6 ans à l’école. »

Christèle Gras Le Guen :

«C’était une MESURE IMPORTANTE À PRENDRE POUR PROTÉGER les enseignants, LES ENFANTS ET QUI DEVRAIT CERTAINEMENT RASSURER L’ENSEMBLE DES FAMILLES ET LES PROFESSIONNELS DE L’ENFANCE », estime jeudi 30 octobre sur France-info la professeure Christèle Gras Le Guen, cheffe du service de pédiatrie au CHU de Nantes, secrétaire générale de la société française de pédiatrie. »

France-info : Le port du masque pour les élèves dès six ans, est-ce une bonne mesure ?

Christèle Gras Le Guen :

«C’ÉTAIT LA BONNE IDÉE, QUI NOUS PARAISSAIT ABSOLUMENT INDISPENSABLE, à la lumière de ce qu’on avait vécu pour le premier confinement et des effets secondaires qui avaient pu être observés. Le fait de pouvoir retourner à l’école , c’est la bonne nouvelle de ce nouveau confinement. »

«Avant l’efficacité de la mesure, cela va mathématiquement augmenter le nombre d’enfants infectés et susceptibles de transmettre, MÊME SI LES ENFANTS RESTENT TRÈS PEU CONCERNÉS PAR CETTE MALADIE, TRÈS PEU CONTAMINÉS, ET SURTOUT TRÈS PEU CONTAMINATEURS. C’ÉTAIT UNE MESURE IMPORTANTE À PRENDRE POUR PROTÉGER LES ENSEIGNANTS, LES ENFANTS ET QUI DEVRAIT CERTAINEMENT RASSURER l’ensemble des familles et les professionnels de l’enfance. »

«On ne demande pas aux enfants d’appliquer à la lettre le port du masque comme on pourrait l’exiger de collégiens ou de lycéens, pour autant on a vu l’efficacité du port du masque sur la transmission entre adultes. CE PORT DU MASQUE, MÊME S’IL N’EST PAS APPLIQUÉ DE FAÇON PARFAITE PAR LES PLUS JEUNES, SERA CERTAINEMENT INTÉRESSANT À ÉVALUER ET À OBSERVER. »

Merci de bien noter les mots « intéressant à évaluer et à observer » concernant le masque pour les

jeunes enfants…

France-info :

« Est-ce que ça reste l’école pour des enfants qui doivent porter le masque, et limiter les contacts les uns avec les autres ? »

Christèle Gras Le Guen :

« On a vu des images convaincantes de tout petits, de 3-4 ans, qui appliquaient de façon très rigoureuse les solutions hydroalcooliques. Nos enfants sont extrêmement attentifs aux informations qu’ils reçoivent. Ils sauront porter ce masque comme on leur demande.

Ça a été très très bien appliqué dans les collèges e t les lycées. Je n’ai pas d’inquiétude quant au fait que les plus petits puissent eux aussi porter ce masque.

Pour ce qui est des relations, on est confrontés toute la journée à des gens masqués et on communique, on a des relations. Je sais que les enfants en auront aussi. »

Tout ceci pour finir par affirmer le 23 février sur le 20 h de France 2 devant des millions de familles, exactement le contraire de la pensée et de ses affirmations qu’elle avait avant le mois d’octobre.

« Le masque ne présente aucun danger pour les enfants bien au contraire.»

Vivons-nous sous le règne de la terreur et de la corruption ?

Comment cette femme, qui plus est présidente de la société française de pédiatrie, qu’elle soit corrompue ou menacée, peut-elle encore se regarder dans un miroir avec de telles affirmations délirantes ?

Comment fera-t-elle pour vivre en ayant connaissance du sang d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes déprimés qui mettront fin à leur jour ?

Comment qualifier autrement que de « criminel » ce type d’annonces politiques et de manipulation des masses dans un journal de grande écoute ?

Sans compter la piètre image qu’elle offre de sa profession et qui éclabousse ses collègues intègres.

Comment ne pas dire que cette femme est une complice active de cette dictature aux mains des maîtres du monde et de cette industrie pharmaceutique dénuée de la moindre conscience ?

J’espère que la justice finira par passer et j’assisterais avec satisfaction à son procès, sinon judiciaire, tout du moins médiatique.

Je sais que « je suis dur », « je ne suis pas gentil », « je ne suis pas diplomate »

Et j’imagine que cette femme a probablement de nombreuses raisons comme sa carrière, ses peurs,

son compte en banque… ou je ne sais quoi…

Mais il y a des limites infranchissables, dont la santé et l’avenir de nos enfants.

On ne transige pas avec certaines valeurs…

À titre personnel, je n’en veux pas aux maîtres du monde, aux exploiteurs de la misère, ils ne font

que dérouler leur tapis macabre…

Non c’est à tous ces soignants, ces médecins complices ou silencieux, tous ces enseignants, tous ces

petits chefs qui obéissent et se taisent par lâcheté o u par opportunisme…

Il faudrait être fou ou irresponsable pour faire une confiance aveugle à un soignant dans ce premier quart du 21e siècle.

Comment faire confiance à tous ces moutons, ces corrompus ou ces lâches qui ne prennent même pas le temps de réfléchir pour enfin ouvrir les yeux et agir pour le bien de tous.

Je vous invite à prendre la santé de vos enfants à bras le corps !

Soutenez la campagne « oxychild » lancée par Carlo Alberto Brusa, président de réaction19.

Mesurez le taux d’oxygène de vos enfants masqués à l’aide d’un oxymètre.

Au-delà des troubles psychologiques ou des troubles de l’apprentissage induits de façon certaine par le port du masque.

Au-delà de la dangerosité certaine d’inhaler toute la journée des produits chimiques des masques synthétiques ou des produits chimiques de la lessive des masques en tissu.

Au-delà de la pouponnière à bactérie certaine qu’ils représentent quand on observe leur utilisation.

Ils sont de plus probablement extrêmement dangereux pour le cerveau par la baisse d’oxygénation

induite par un port prolongé des heures et des jours durant…

Testez l’oxygénation de vos enfants et n’écoutez plus ces médecins-là qui ont perdu toute dignité !

Merci

Alain Tortosa. Révolté !

24 février de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210224-le-guen-masques-vomir.pdf


Notes

[1] 20 h du 23 février 2021 https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html

[2] propositions_sfp_pathologies_chroniques.pdf (sfpediatrie.com)

[3] https://www.20minutes.fr/societe/2851419-20200902-coronavirus-enfant-positif-justifie-fermeture-classe-second-non-plus

[4] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/opendata/CRCANR5L15S2020PO773514N007.html

[5] Port du masque dès 6 ans à l’école : « Une mesure importante à prendre pour protéger les enseignants et les enfants », estime la société française de pédiatrie (francetvinfo.fr)