Quand Bruno Toussaint (BFMTV) s’habille en Pravda

Par Lucien Samir Oulahbib

Lors d’un entretien avec Didier Raoult, ce sire sournois ([Bruno Toussaint] cachant hypocritement ses serres fallacieuses sous une physionomie bonhomme) a insisté, lourdement, (et à deux reprises) pour proposer, littéralement, à Raoult de s’associer à son attaque en dessous de la ceinture envers cette tribune de FranceSoir (qui fait décidément réagir puisqu’elle appuie là où cela fait mal) en lui demandant de lui retirer officiellement son soutien (Raoult l’ayant relayée via « tweeter »). Cette insistance sourde, ce chantage tout en filigrane dévoile la réalité sordide de « notre » gabegie politico-hygiéniste (dans sa faction franco-française) que les Toussaint et Cie veulent à tout prix masquer, entraînant alors dans leur chute aujourd’hui si visible y compris ceux qui ont été les premiers à vouloir l’empêcher, tel Didier Raoult.

Or, lorsqu’il a été question lors de cet « entretien » (cet interrogatoire plutôt) de cet énorme scandale, si mortifère, que fut le LancetGateToussaint l’écarte d’un revers de main et à plusieurs reprises, alors que ce fait crucial fut un élément pivot fondamental de l’impasse sanitaire actuelle que lui rappelle pourtant Raoult lorsqu’il compare la tribune controversée de FranceSoir, somme toute liée à la liberté d’exposer les faits comme on l’entend, à la monstruosité encore impensée que fut cette manipulation gravissime opérée par le LancetGate. Rien n’y fait pourtant. Toussaint regarde en l’air, puis s’obstine à revenir sur FranceSoir qu’il traite bien sûr de « complotiste », faute de mieux, etc., sans avancer l’ombre d’une preuve, ce qui est de la diffamation à l’État PUR (et le directeur de FranceSoir devrait en tirer toutes les conséquences idoines…).

Car le LancetGate a empêché, littéralement, la mise en place de traitements précoces (du moins en Occident) qui auraient sauvé des dizaines, voire des centaines, de milliers de viespuisque toutes les expérimentations furent arrêtées et jamais reprises, ou alors en suivant un mauvais protocole. Voilà ce qui, semble-t-il, EST grave, voire criminel, et non pas une tournure de phrase telle que « la Veuve s’impatiente » qui indique seulement que la Justice doit en effet passer, ce qui peut seulement troubler ceux qui se sentent de plus en plus coupables (du fait des piètres résultats actuels, y compris aux Antilles, et du manque crucial de lits, sans oublier la raréfaction de stocks d’ivermectine toujours « déconseillée » malgré des dizaines d’études favorables). Ce qui fait que ces irresponsables commencent déjà à sentir sur leur cou coupable le souffle, sinon du couperet, du moins du Glaive de la Justice. Et « Le glaive de la justice n’a pas de fourreau ».