Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar

Par Gérard Delépine

Depuis 20 mois, nos gouvernants et les médias prétendent qu’il n’y aurait pas de traitement du Covid et que le seul espoir de sortie de crise résiderait dans l’injection génique appelée fallacieusement vaccin.

Deux îles de l’Océan indien éloignées seulement de 1800 kilomètres ont choisi des stratégies anticovid différentes : les Seychelles ont opté, comme la France, pour le tout vaccin.

Madagascar a choisi les traitements précoces et tout particulièrement le CVO+, composé de plantes locales, entre autres d’artémisinine et de ravintsara. La comparaison de l’évolution de ces deux îles semblables par leurs populations, leurs climats et leur mode de vie permet d’évaluer l’efficacité des deux approches.

Les Seychelles

La population des Seychelles avait été épargnée par le Covid, mais son activité touristique principale source de devises, était paralysée par les restrictions des voyages et la peur des touristes potentiels.

Pour tenter de sauver sa saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner l’ensemble de la population. La campagne de vaccination a débuté le 10 janvier 21 avec l’injection télévisée du président et a depuis touché près de 80 % des habitants.

Depuis la « vaccination », le nombre de cas a été multiplié par 40 et celui des morts par plus de cent. La mortalité cumulée globale au 17/10/2021 atteint 1120 par million (112/100000) ainsi que le montre ce graphique publié par l’OMS(([1] À consulter sur l’OMS Covid Dashboard en choisissant sur la carte du monde les Seychelles)) et annoté par nos soins en rouge.

Localisation des Seychelles (îles entourées en rouge)
En zoomant

L’explosion du nombre des contaminations et la forte augmentation de la mortalité apparus après le début de la campagne de vaccination censée stopper l’épidémie font craindre que celle-ci ait paradoxalement facilité l’épidémie.

Madagascar

À Madagascar, le président a refusé de suivre les recommandations de l’OMS et de confiner sa population. Il a fortement milité pour les traitements précoces par les plantes traditionnellement utilisées avec succès contre le paludisme, distribuées et contenues dans le CVO+.

« La formulation de la gélule CVO+ a suivi les normes et protocoles sanitaires internationaux en vigueur », a affirmé la présidence de la République en octobre 2020 dans le cadre du lancement de la formule produite par la société Pharmalagasy. Ses recommandations, raillées par les médias dominants et critiquées par l’OMS, ont été largement suivies par son peuple avec succès, comme l’objective ce schéma de l’évolution de l’épidémie publié par l’OMS.

Le 20 mars 2021, le président malgache s’est montré prudent sur la vaccination dans son intervention télévisée, en indiquant que lui et sa famille n’avaient pas l’intention de se faire vacciner, et préfèrent encore toujours le Covid Organics maintenant distribué en gélules. En réponse aux critiques de ses adversaires, il leur a proposé de servir de cobayes. « Si on commande un vaccin, on va d’abord le tester sur l’opposition ».

Le 5 juillet 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu qu’elle avait décidé d’étudier les données scientifiques fournies par les épidémiologistes et les hôpitaux malgaches concernant le Covid-Organics en s’intéressant plus particulièrement au médicament appelé CVO.

Au 13 octobre 2021, Madagascar ne recense que 43 610 cas de Covid (1615 par million soit 125 fois moins que les Seychelles) et pleure 960 morts, mortalité cumulée de 35 par million, soit trente fois moindre que celle des Seychelles.

Dans l’Océan indien, le match traitements précoces/pseudo-vaccin a été gagné par KO par Madagascar et ses traitements précoces !