Pourquoi une telle indifférence aux enfants, aux étudiants et aux vieillards ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte laïque]

Médias et réseaux sociaux : abordons les vrais sujets, cessons d’être le bon opposant qui se fait imposer son timing par le pouvoir !

« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre, contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez ».

Professeur Denis Rancourt

Saint-Lô. Suspension de la vaccination Astra Zeneca : vingt soignants avec des effets secondaires (lamanchelibre.fr)

Voilà, le nouveau vaccin dont le ministre a fait la pub fait parler de lui et prive les services hospitaliers d’un quart de leur personnel pour syndrome grippal intense. Il semble que la durée d’immobilisation ne soit pas longue, mais néanmoins embarrassante pour les hôpitaux qui ont fait la pub à outrance de ce vaccin anticovid.

Vidéo Sandrine Sarroche “quand Véran dégrafa son corsage”

(20+) Facebook

Mise à l’écart des généralistes de terrain

Il est aberrant que les généralistes soient exclus du système de prise en charge et que les gens se fassent vacciner sans avoir été examinés par leur médecin généraliste qui connaît leurs antécédents et leurs éventuelles contre-indications, en particulier allergiques. Comme en 2008 avec les vaccinodromes de la grippe H1N1 qui restèrent vides, la volonté d’exclure les généralistes de la prise en charge des malades. Et pourtant, comme de nombreux médecins de terrain tentent de le dire en vidéos multiples, c’est bien le médecin de famille (notion que les médias décrédibilisent en permanence, mais ô combien fondamentale) qui est le pilier de la vraie médecine, celle d’Hippocrate, celle que la quatrième révolution industrielle veut  faire disparaître et remplacer par des robots.. Les vrais médecins rencontrent physiquement leurs patients, les examinent, les interrogent avant toute prescription médicale ; et en particulier celle d’un vaccin génique expérimental jamais utilisé auparavant et quasiment pas testé. C’est pourquoi l’injection par une infirmière ou un pharmacien n’est pas acceptable. Un vaccin est un médicament à risques de complications, comme les deux mois écoulés et les vaccinations à la chaîne le démontrent de façon spectaculaire.

Les soldes et les ruées vers les stocks de Nutella chez Lidl ou vaccin, même combat

Cet engouement pour le vaccin en général semble invraisemblable et ne cesse de surprendre. Il évoque les ruées de foules lors des ouvertures des soldes ou bien de promotion sur des baskets Nike ou des lots de Nutella. Pauvre France qui n’écoute pas les messages d’alerte donnés par les pro-vaccins covid eux-mêmes et sur lesquels les habitants se précipitent à l’aveugle. Même les médias racontent comment tel ou tel hôpital arrête ou suspend la campagne de vaccination, le temps que le personnel vacciné soit en état de se remette au travail. Quant aux morts multiples survenues dans des zones jusque-là quasiment indemnes de covid-19, comme Gibraltar ou Monaco, ils n’intéressent pas les médias ni les auditeurs bientôt cobayes eux-mêmes. Lorsque les mathématiques dites modernes ont détruit l’enseignement de la mathématique et de la logique, l’esprit critique a progressivement disparu, transformant des citoyens normaux en moutons avides de téléréalité et de biens de consommation comme le vaccin.

Nous ferions mieux d’évoquer la réforme indispensable et urgente de l’enseignement plutôt que de lire un xième article sur l’activité de l’hydroxychloroquine dont on sait depuis le début de l’histoire qu’elle marche. Et, si on veut en reparler, republier les courbes de survie des pays qui l’ont utilisée (ou des drogues du même type comme l’artémisine à Madagascar. Oui, on sait indubitablement que les traitements précoces fonctionnent et qu’ils sont de plus variés. L’objectif n’est plus de démontrer que la terre est ronde mais bien d’imposer aux gouvernants d’autoriser les docteurs à retrouver leur fidélité au serment d’Hippocrate bafoué.

Les traitements précoces marchent, cela est démontré depuis mars 2020. Les médecins sont interdits de pratiquer la médecine mais autorisés à euthanasier les patients suspects de covid-19 par deux décrets, celui de mars signé Véran et E. Philippe alors Premier ministre, et celui d’octobre par Véran. Le Conseil de l’Ordre poursuit les médecins qui soignent, et ce dans l’indifférence générale. Les écoliers sont gravement maltraités par le port du masque imposé à longueur de journée. Et le discours de panique raconté par leurs enseignants pour se justifier à eux-mêmes leur lâcheté de priver les petits et même très petits des visages de leurs nurses ou de leur institutrice.

Soulignons la maltraitance qui tue les vieux, mais, pire encore, condamne l’avenir des jeunes générations

C’est de ces conséquences dramatiques qu’il faut parler maintenant, afin que cesse la maltraitance imposée par les dirigeants, mais acceptée, voire soutenue, par les syndicats d’enseignants et supportée par les familles dans le confort de l’obéissance aveugle, plutôt que de la résistance à des mesures illogiques, indignes et sans justification médicale.

Les jeunes, de la crèche à l’université, abandonnés

Il faut dénoncer le port du masque et toutes les formes de confinement, supprimer toutes mesures liberticides et donc rouvrir TOUT dès demain.
Et qu’on ne me dise pas qu’ils ne peuvent pas savoir, et croient protéger leur prochain. Des dizaines d’articles internationaux ont exposé en clair l’inutilité du masque (et la seule étude prospective randomisée sur le sujet Danmasq19 réalisée par des partisans de cette obligation n’a pas pu en prouver l’efficacité). Et la toxicité constatée du port prolongé tant sur le plan physique que psychologique. Qu’on ne nous dise pas que les enseignants ou leurs parents ne sont pas capables de lire un article du réanimateur belge Pascal Sacré ou du professeur canadien Denis Rancourt qui, dès juillet, expliquaient clairement la mascarade.

À jouer sur les joutes pseudo-scientifiques, sur les essais ou leur absence sur chloroquine ou ivermectine, nous jouons dans leur camp, sur le terrain choisi par les autorités qui veulent cacher l’absence de conséquences de cette pseudo-pandémie dans les pays qui ont choisi de ne pas confiner et de ne pas écouter les ordres de l’OMS et du gouvernement mondial, plus ou moins en place de fait.

Les vieux des EHPAD abandonnés, condamnés par isolement et euthanasie si besoin, et cobayes des vaccins

Et qu’on ne me dise pas que les jeunes sont martyrisés pour protéger les vieux.  Ils sont sacrifiés sans raison sanitaire mais uniquement pour leur faire accepter la dictature et les vaccins. La moyenne d’âge des décès étant de 84 ans, il fallait tenter de masquer la réalité sordide : se débarrasser de quelques vieux (dont Attali répète depuis 20 ans qu’ils devraient se suicider quand ils ne sont plus utiles dès qu’ils sont à la retraite). L’eugéniste Laurent Alexandre répète à loisir et ouvertement qu’il faut utiliser les vieux comme cobayes puisque leur espérance de vie est faible.

La fermeture des bars est arrivée fin février alors que les manifestations contre la réforme des retraites se multipliaient avec moults drames – perte d’œil, etc. Le 29 février aurait dû rester dans les mémoires comme un jour noir. Le Parlement se réunissait pour parler des retraites et cela finit par l’état d’urgence et l’interdiction des manifestations. Oui, les Français ne voulaient pas être vendus à BlackRock et bien pas de problème, le virus servirait de leurre pour détruire la grande majorité des lois qui protégeaient les travailleurs et les aînés seraient maltraités.  Et ce fut fait dans le silence général des politiques de tous bords et des syndicats.

MALTRAITANCE DES AÎNÉS

Maltraitance par isolement, séparation des familles, interdiction des visites des bénévoles, bises à travers un plexiglas lors de la demi-heure parfois autorisée de visites sur ordre vague de confinement, dans l’application plus ou moins violente de directeurs d’ARS et/ou d’Ehpad qui auraient une certaine liberté d’adaptation des mesures carcérales de nos aînés venus finir leur vie dans un établissement convivial (pensaient-ils) de soins. Ils se sont retrouvés dans un univers carcéral, pas encore Guantanamo, mais on y vient avec punitions, rétorsions, si on n’accepte pas le fameux vaccin qui à 95 ans vous assurera un avenir riant des trente prochaines années.

 Raoult l’a dit très tôt ; ils sont devenus fous ! Mais l’étrange est la contagion de la folie plutôt que la révolte. Les nouveaux dictateurs mondiaux sont très forts et leur argument « les autres pays font pareil » est très efficace. On apprend d’ailleurs que des chercheurs anglo-saxons ont été rémunérés pour écrire des articles sur la Suède pour tenter de masquer que la vie normale sans confinement, sans fermeture des écoles ne constituait pas un danger puisque ce pays ne pleure pas plus de morts attribués au Covid-19 que nous.

De même, le gouvernement allemand a fait rédiger un rapport alarmiste par des complices du Robert Koch Institute de Berlin. Oui, l’OMS a proposé à Madagascar 20 millions de dollars pour mettre de petites doses de poison dans leur médicament efficace. Oui, l’OMS a voulu corrompre le Président de Biélorussie par des dizaines de millions de dollars pour instaurer le confinement de son peuple qu’il a heureusement refusé, etc. Toutes ces manipulations sont maintenant démontrées dans un silence encore général des médias mainstream où on tente de faire semblant d’être scientifiques pour démontrer l’efficacité des traitements précoces déjà bien établie, la nocivité des vaccins géniques déjà avérée, au lieu de faire éclater au grand jour les énormes manipulations organisées par les politiques afin de mettre en place leur quatrième révolution industrielle et effacer la civilisation occidentale et aussi de détruire les classes moyennes sur lesquelles repose la démocratie.

Il est temps d’oublier le virus, leurre du véritable objectif, et de bloquer le système destructeur avant qu’il ne soit trop tard.

NE NOUS LAISSONS PAS IMPOSER LES SUJETS PAR LES MÉDIAS

Il faudrait que les psychiatres expliquent quel dérèglement de l’esprit peut amener à vacciner des vieillards de 110 ou 115 ans qui ont résisté à tant de périodes difficiles comme les deux guerres mondiales. Quel est le but ? Les protéger d’un virus en voie de disparition, les faire servir de cobayes, mais il semble bien y avoir plus de volontaires que de vaccins ? Donc, discuter pendant des heures des vaccins, des morts, des effets secondaires et, comme pour la chloroquine ou l’ivermectine, oublier le bilan d’un an de manipulations et de destruction de la médecine, de l’enseignement universitaire, de destruction de 70 ans de protection sociale par les soins et les retraites, et donc de notre système de santé.

Oui les traitements précoces marchent, mais grâce à l’état d’urgence, à l’hystérie et au Plan Blanc, les cancers ne sont plus soignés et les lits d’hôpitaux continuent à fermer sans que la population ne se rebelle. Les ARS – dont la nocivité a été mise en évidence aux yeux de tous lors de cette crise – sont toujours en place avec les pleins pouvoirs pour imposer des tests PCR ou salivaires aux écoliers et fermer les écoles pour un test positif, dont l’OMS et les tribunaux ont déjà jugé l’incapacité à affirmer seuls que les « cas » sont malades ou contagieux. Mais cela, on n’en parle pas, on continue d’être un « bon opposant » discutant des sujets choisis par le pouvoir.

Reprenons la main et abordons les vrais problèmes que sont la fermeture des écoles et universités, les interdictions des visites en Ehpad ou à l’hôpital, le retard aux soins des malades urgents sous prétexte de test PCR positif. Claironnons le malheur des gens dont un proche meurt sans visite, d’accompagnement des dernières heures et même au cimetière.
L’indifférence aux appels de la comédienne Stéphanie Bataille pour l’autorisation des visites hospitalières (de quel droit divin les interdire), l’indifférence à tous les articles sur les souffrances des enfants masqués ou des vieux interdits de bisous doit cesser, si tant est que notre société veuille retrouver un peu d’humanité.

Cessons d’avoir peur d’une maladie qui n’est qu’une grippe sévère (comme l’a été la grippe asiatique de 1958-1959). Retrouvons notre humanité, notre joie de vivre, notre respect réel des vieux et notre plaisir de voir nos jeunes heureux de faire la fête et, à nouveau, de croire en leur avenir. Refusons le confinement et les couvre-feux totalement inutiles et parfaitement suicidaires. Exigeons le respect de nos droits fondamentaux et du premier d’entre eux, la Liberté.

À moins que la société projetée par Klaus Schwab, faite d’obéissance aveugle, ne plaise à la majorité d’entre nous…[1]

Tyrannie mortifère ou liberté, c’est l’heure du choix !

Nicole Delépine


Note

[1] Covid-19 : Un meurtre social qui en prépare un plus violent


[Voir aussi : «J’ai envie de mourir» le récit bouleversant d’une petite fille souffrant des mesures sanitaires : ]