Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972

(…) Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. (…)

L’intérêt du document de Glaser de 1972 est de contrer les déclarations selon lesquelles il n’existe pas de recherches « crédibles » montrant les effets non thermiques. Il s’agit d’une fausse déclaration promue par ceux qui, soit ne connaissent pas la littérature, soit ne veulent pas admettre que ce rayonnement, aux niveaux auxquels nous sommes actuellement exposés, peut être nocif.

Des recherches crédibles existent, elles existent depuis des décennies et elles ont été largement ignorées par les responsables de la santé publique et professionnelle.