Parlons de… la crise informatique mondiale

Mise à jour :

La panne informatique mondiale que vous avez observée n’était pas un accident !

Ehden Biber, expert reconnu en cybersécurité et auteur du #PfizerLeak, expose les raisons pour lesquelles la récente panne informatique mondiale provoquée par une mise à jour de #Crowdstrike n’est pas accidentelle. Voici les trois points principaux de son analyse :

1 — Échec improbable des Tests de Qualité

Biber souligne que dans une entreprise de cybersécurité moderne, une mise à jour logicielle passe par plusieurs phases de tests de qualité automatisés avant d’être déployée. Ces tests vérifient que le code ne provoque pas de problèmes majeurs comme l’affichage du fameux Blue Screen of Death (BSoD). Selon lui, il est impossible qu’une mise à jour aussi défaillante ait pu passer ces tests sans être détectée. Il en conclut donc que ce déploiement problématique n’était pas une erreur, mais une action intentionnelle.

2 — Problèmes de Sécurité et de Signature de Code

L’article explique que chaque mise à jour de logiciel, particulièrement dans le domaine de la cybersécurité, est signée numériquement pour garantir son authenticité et empêcher toute manipulation par des acteurs malveillants. Biber argue que cette mise à jour de Crowdstrike aurait été vérifiée et signée par l’entreprise, ce qui suggère qu’elle n’a pas été compromise par des attaquants extérieurs, mais délibérément conçue pour provoquer des dysfonctionnements.

3 — Motivations criminelles

La panne massive causée par cette mise à jour a conduit à la perte de données sur de nombreux systèmes. Biber propose que cette perte de données pourrait bénéficier à des criminels cherchant à effacer des preuves d’activités illégales récentes. Il fait le lien avec des événements criminels majeurs récents, suggérant que ces pannes pourraient avoir été orchestrées pour couvrir ces actes.


[Source : off-guardian.org]

Par Off Guardian

Une panne massive des ordinateurs fonctionnant sous Windows a touché les systèmes du monde entier. Les cabinets médicaux, les compagnies aériennes, les gares, les chaînes de télévision, les plateformes de paiement — pratiquement tous les secteurs de la société humaine ont été touchés. Le trafic est bloqué, les vols sont cloués au sol.

Pour l’instant, Microsoft rejette la faute sur un « tiers » et exclut toute cyberattaque. En fait, ce « tiers » est CrowdStrike, une société spécialisée dans la protection des systèmes contre les cyberattaques.

C’est soit très ironique… soit autre chose.

Le PDG de CrowdStrike, George Kurtz, a déjà commencé à faire son mea culpa public, tout en prévenant qu’il ne s’agirait pas d’une solution rapide :

M. Kurtz, de Crowdstrike, a déclaré à NBC News que la société avait pour « mission » de veiller à ce que chacun de ses clients se remette complètement de la panne. Mais il a ajouté que cela ne se ferait pas automatiquement et que « cela pourrait prendre un certain temps » avant que tout soit rétabli comme avant.

En attendant, il semble que beaucoup de gens n’aient pas le droit de voyager. Oups !

On pourrait croire qu’il s’agit encore d’une fausse crise destinée à perturber la vie quotidienne et à normaliser ce type de restrictions. Ou peut-être s’agit-il simplement d’un symptôme de la dépendance excessive à l’égard de l’automatisation.

Qu’elle soit réelle ou non, artificielle ou non, cette crise devrait rappeler à tous, une fois de plus, l’importance de l’argent liquide, des copies papier et de l’autonomie.

Mais qu’en pensez-vous ?

  • Est-ce réel ou non ?
  • Croyez-vous à l’explication officielle ?
  • Est-ce que cela a eu un impact sur vos appareils ou votre vie jusqu’à présent ?
  • Êtes-vous un utilisateur d’Apple, de Microsoft ou de Linux ?
  • Les gens sont-ils trop dépendants des ordinateurs ?
  • Comment vous protégez-vous et protégez-vous vos données contre les « accidents » ou les « cyberattaques » à l’avenir ?