Des Nahel et de l’État davosien, qui nous menace le plus ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Modeste Schwartz

Au moment où on découvre que l’assassin de Nahel avait été décoré par le préfet Lallement pour son zèle dans les tabassages de Gilets Jaunes, on ne peut plus faire l’économie d’une clarification des principes : un libertarien peut-il applaudir la violence de l’État ?


Il y a des français qui pensent que Macron avait raison d’instituer, sur ordre de Davos, un « passe sanitaire », pour nous exposer à l’AVC climatique protéger de la grippe. Soyons clair : je n’écris pas plus pour eux que pour les raëliens. Qu’ils lisent Bouzou !

Mais que dire à ceux qui ont protesté contre le passe, et trouvent néanmoins normal que la police puisse tirer sur des prévenus qui ne la menacent pas ?

On pourrait, pragmatiquement, leur citer l’exemple des pays (avant tout : des USA) où les politiques de tolérance zéro — tout comme la catastrophique guerre contre la drogue ont systématiquement mené à des résultats diamétralement opposés à ceux que faisaient miroiter les démagogues sécuritaires.

Eric Verhaeghe a choisi la voie de la logique, en les appelant à faire preuve de cohérence dans l’application des principes. Mais sont-ils vraiment incohérents — ou simplement hypocrites ?

Qui nous protégera de nos protecteurs ?

Car il y a un énorme non-dit dans cette affaire — qui est un non-dit ethnique. Beaucoup de Gaulois, convaincus que le grand remplacement (qui est indéniable) est une invasion « arabo-islamique », considèrent que la « sévérité » policière dont ils font les frais (par exemple, sous leurs gilets jaunes) et un certain « laxisme » reproché aux mêmes administrations face « aux racailles » seraient les deux faces d’une même médaille.

On pourrait ergoter longtemps sur l’exactitude de cette perception de la situation politico-sociale.

Étant pour ma part — à partir de prémisses fort éloignées de celles d’un Zemmour — aussi arrivé à la conclusion que le mondialisme actuel veut la disparition des Blancs, j’éviterai d’ergoter, préférant raisonner ainsi, cyniquement :

Admettons qu’une communauté, post-nationale, ethnique — la nôtre — soit en proie à l’hostilité de diverses maffias : la plupart, locales, ethniques, désorganisées et peu armées ; et l’une d’entre elles, omniprésente, omnisciente et armée jusqu’aux dents : l’État. Je laisse à chaque gaulois doué de raison le soin de décider laquelle de ces maffias il souhaite désarmer en premier en vue de maximiser ses chances de survie.




40 ans de gabegie politico-judiciaire en « France »

Par Lucien SA Oulahbib

Les séditieux à la manœuvre brûlant maternelles et bus depuis 2005 sont les petites mains serviles des membres de la Secte (SHAA) qui sévissent depuis des lustres pour détruire la Nation France, ce bien populaire qui permet(tait) à chacun de se transcender, pas seulement tous les quatre ans à la coupe du monde ou d’Europe, mais dans chaque belle réalisation. Ainsi Le Concorde, Ariane, que sont-ils devenus ? Perdus, écrabouillés par la machinerie du démantèlement faisant de la nation une contrée parmi d’autres, même pas régie par elle-même, ne serait-ce que la composition de ses fromages, le nombre des loups, son énergie, incapable d’enseigner une Histoire permettant à tout un chacun d’apprendre que l’Algérie n’existait pas en 1830, qu’elle était chrétienne avant l’invasion arabo-musulmane et que tous les malheurs suintant de ce pays et de bien d’autres ne proviennent pas de « la » colonisation française, mais de la gabegie installée depuis plus de soixante ans en son sein, et que la France n’a pas, devant ce problème en réalité mondial, à y répondre seule…

Ajoutez à cela le nihilisme bouée de secours d’une pseudo-élite verbeuse et illettrée en réalité ânonnant le racisme du multiculturalisme qui confond de plus en plus pluralité et multiplicité, la première admettant des différences dans certaines limites, la seconde les mettant de telle sorte toutes en équivalence que cela revient à inférioriser la culture autochtone dont les acquis en France permettent paradoxalement aux autres de prospérer, mais à ses dépens (la tolérance par exemple) ce qui n’est pas/plus possible. Même dans un État fédéral, ce n’est pas tenable, ce que nous ne sommes pas malgré les efforts bruxellois. Et puis au fond, le français, déjà comme langue, n’a que cinq cents ans (depuis François 1er et La Pléiade en gros). Ses penseurs principaux surgissent il y à peine quatre cents ans. La démocratie méritocratique à peine deux siècles et demi. Et même si les fils judéo-chrétiens et gréco-romains sont depuis bien plus longtemps (que la France depuis au moins Charlemagne est Fille aînée de l’Église) il n’empêche que la France en tant que Nation moderne transcendant les origines de classe et d’ethnies reste bien jeune en réalité…

D’où l’idée de ne pas flancher devant les péripéties de l’heure, car des siècles, voire des millénaires, sont encore devant nous. N’oublions pas le temps long. N’écoutons plus ceux qui n’ont plus rien à dire — n’ayant que deux locutions à la bouche comme au temps des absolutismes triomphants : « hérétique/complotiste », « extrême droite/social-traître ». Écartons ces ignares qui nous ont menés là où nous sommes : dans l’effondrement lui-même. Le « grand bond en avant » a donc été effectué et pour l’instant, comme l’énoncent les humoristes, la falaise de départ étant haute, et l’abîme profond, « pour l’instant tout va bien », cela « va bien se passer madame (la Marquise) ne vous inquiétez pas ». La Secte peut continuer ainsi à se dilater, hilare, tandis que les faux coqs la ramènent dans le côté « multi », oubliant qu’ils finiront en coq non plus au vin, mais à l’eau, mais pas trop, car elle est désormais vendue par le-tenant-du-troisième-mandat, qui devra donc démissionner un an avant, en 26, mais comment tenir encore trois ans (sans être Chirac) au vu de la décrépitude actuelle ?…

« Heureusement », la « pandémie » de la guerre globale contre la Russie, déclarée sans doute mi-juillet comme d’habitude (ou après un autre 5 août en perspective) viendra le positionner en chef de guerre qu’il est depuis 2020 : guerre contre le peuple, guerre contre la science raisonnée, contre la médecine d’Hippocrate, contre la démocratie d’opinion, contre la culture française (qui « n’existe pas »), guerre contre l’égalité homme/femme en implosant leur différence sur le livret familial (pour commencer). Et vous comprenez pourquoi Poutine ou Orban (même Erdogan) ne peuvent pas perdre, pourquoi les théocrates iraniens se rapprochent de leurs homologues wahhabites, parce que les ennemis des ennemis deviennent « amis », ce qui fait que devant ces bouleversements multiformes et complexes la France ne peut se permettre pour les « soixante siècles » à venir, et non plus passés, de se contenter d’avoir à sa tête des commis d’affaires douteuses (ventes fumeuses de biens publics, destruction d’EDF comme gage afin de pouvoir emprunter encore sous l’égide d’un euro allemand) ou des rentiers qui n’ont toujours pas compris 1789 ou 1940…

Tout cela se paiera, se paye déjà… Mais sachons admettre qu’il faut aussi observer la poutre nichée dans l’œil de ceux qui aujourd’hui prétendent être les mieux placés pour redresser le pays, et qui ne s’en aperçoivent toujours pas. Leur stratégie ne marche pas, pas plus que leurs analyses. Cela se saurait sinon…




La fuite en avant : le nouveau logiciel politique de la France ?

Par Jacques MYARD (https://www.nationetrepublique.org/)

Le dictionnaire nous donne du concept de la fuite en avant une définition limpide et précise : fait de fuir ses problèmes sans les résoudre ou poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences !

Il faut se poser la seule question qui vaille : la fuite en avant est-elle devenue le nouveau logiciel de la société, tout comme celui du gouvernement, la raison non rationnelle de ses décisions qui le pousse à aller de l’avant au mépris des réalités de tous ordres ? En avant, on verra bien !

Relevons au passage que les médias utilisent très souvent ce terme accusant les politiques, mais aussi les clubs ou associations de succomber à cette fuite.

Certes, nos concitoyens n’aiment pas l’immobilisme et le sur-place, ils se disent parfois : allons de l’avant, quoi qu’il arrive. Cette politique suiviste des événements n’est pas sans danger, car le propre d’une politique est de comprendre les tenants et aboutissants des événements sans succomber aux émotions du tout-venant.

Prenons quelques exemples pour illustrer cette dangereuse dérive :

— L’écologie, travestie en idéologie apocalyptique, fait feu de tout bois et s’acharne contre toute autorité, vociférant la menace de la fin du monde, à chaque occasion les Khmers écolos choisissent la fuite en avant dans la violence…

— Dans le même ordre d’idées, les délinquants règlent leurs différends avec des Kalachnikovs, fuite en avant des faibles qui seront rattrapés et exécutés par d’autres délinquants, scellant ainsi le cercle de la violence au quotidien ; police et justice sont devenues les simples comptables des assassinats en série…

— La France compte toujours 3 millions de chômeurs, nombre d’entreprises ne parviennent pas à recruter des saisonniers ou des employés pérennes, les marchands d’esclaves poussent le gouvernement à ouvrir les frontières, déjà fort perméables, afin de faire venir de nouveaux migrants, sous-payés et incapables à se loger ; voilà une superbe politique de gribouille, l’exemple parfait de la fuite en avant du gouvernement…

— Délivrance du permis à 17 ans : pourquoi pas ? disent les communicants de Macron-Jupiter, en quête d’une sympathie perdue par la saga des retraites, mais le gouvernement a-t-il mesuré les conséquences de cette proposition ? Non il a pris la décision et pour le reste, on verra après : jolie fuite, en avant surprise…

— Procédures judiciaires tatillonnes et dirimantes : il ne se passe de jours sans que des tribunaux annulent des procédures policières et obligent à remettre en liberté des malfrats, voire des assassins pour le plus grand plaisir des avocats qui ont manipulé le Parlement et complexifié les procédures afin de réussir les requêtes en annulation… cela pourrait presque apparaître comme une fuite en avant… juridico-complotiste…

— Le Président de la République a pris de multiples décisions en faveur de l’Ukraine, livraison d’armements, aides alimentaires, mais la France s’est toujours montrée très réservée, voire hostile à son entrée dans l’OTAN — refus français au Sommet OTAN de Bucarest en 2008 — ; quant à son adhésion à l’UE, nombre de pays s’inquiètent de la compatibilité de Kiev avec les principes de l’UE

Ô surprise, E. Macron laisse entendre que la France serait favorable à l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, sans doute pour plaire aux ultras européens anti-russes, ou pour garantir la pérennité de cette guerre en Europe ; voilà une superbe fuite en avant qui cadre parfaitement avec la définition du dictionnaire « poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences » !

— Le français est la langue de la République, article 2 de la Constitution, visiblement Emmanuel Macron l’a oublié et sous l’effet d’un suivisme béat de l’empire américain, n’a de cesse de glorifier le « globish » anglo-saxon, pratiquant la plus belle fuite en avant suicidaire : c’est ainsi qu’à l’occasion du « Sommet de Paris pour un nouveau Pacte Financier Mondial », la Présidence de la République invite les chefs d’État à un dîner utilisant le Sabir globish et reléguant le français au second rang ; plus qu’une faute c’est une trahison culturelle !

Il est urgent que la France retrouve la cohérence de ses fondamentaux, son indépendance et la défense de ses intérêts.

Tout n’est pas perdu cependant !

— C’est avec délice que nous avons entendu le PDG de Dassault, Éric Trappier, fustiger la naïveté du gouvernement en matière d’armements européens, notamment sur le projet de l’avion SCAF, en dénonçant la subordination totale de nos partenaires européens aux Américains, il faut se féliciter qu’à nouveau Dassault aviation et Dassault Systèmes s’associent pour créer un système informatique indépendant de Washington, un Internet souverain dans les secteurs géostratégiques, BRAVO !

J’avais proposé de le faire il y a quelques années à l’Assemblée nationale, les bons esprits avaient ricané. Merci Dassault !

« Tout a sombré, rien n’est perdu,
Tout s’est englouti, rien n’a péri,
Tout s’est abimé, rien n’est mort,
Tout a disparu, tout reparaît »

Victor Hugo

Mais surtout, gardons en mémoire l’Appel du 18 juin de Charles de Gaulle

« Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. »

Tout est affaire de volonté, la volonté d’être nous-mêmes, d’être libre !




Hommage au Dr Olivier Soulier

[Source : arianebilheran.com]

Par Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès du Docteur Olivier Soulier, qui était homéopathe de profession et de ce fait, habitué depuis plus de trente-cinq ans à combattre les détracteurs des médecines alternatives.

Il s’est révélé force d’idées et de projets dans le cadre de cette crise, fut à l’origine du lancement du CSI, de Reinfoliberté, du groupe soignants de Reinfocovid et du SLS auprès d’autres de ses confrères.

C’était un être plein de vitalité, d’énergie, de paix intérieure, mais aussi un hypersensible qui souffrait en silence des discordes et des médisances.

Il s’impliquait avec humanité, générosité et loyauté dans les actions entreprises pour la défense de la médecine dans ses bases hippocratiques.

Il venait juste de recevoir le prix Humanity Award 2023 décerné par la World Academy of Biomedical Sciences and Technologies, des mains de son président le Professeur Joseph Tritto, un prix amplement mérité.

Son amitié, son sourire et son entrain nous manqueront beaucoup. Il était encore là à nos côtés pour nous soutenir lors du colloque intitulé « La dérive totalitaire sur les enfants » à Paris le 13 mai 2023.

Nous apportons notre profond soutien à sa famille, ses proches et à tous les membres de son équipe.

Que son âme repose en paix.

Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran


[Source : pgibertie.com]

La mort d’un homme de bien, le Dr Olivier Soulier

Par Patrice Gibertie

Je connaissais Olivier et je l’appréciais, c’était un homme de bien, j’ignore ce qui lui est arrivé, je ne le savais pas malade. Dans ses derniers messages, je le sentais peiné par sa mise à l’écart du CSI qu’il avait contribué à lancer, mais il avait plein de projets…(([1] Concernant le CSI, voir
https://odysee.com/@laminutedericardo.com:f/CSI_de_Saintes_analyse_au_vitrio_Natacha:f))

Il était encore en ligne au téléphone hier soir à 23 h avec un membre de @Laissonslespre1 qui précise « Et il m a encore dit en rigolant… si on me retrouve mort cela ne sera pas un suicide »

Le Dr Olivier Soulier reçoit l’Humanity Award 2023 des mains du Pr Tritto à sienne pour avoir cofondé le @ConseilCsi et le @SyndicatSLS. Merci, Olivier, tu as fondé une vraie communauté soignante, éthique et solidaire.







LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés

[Source : pgibertie.com]

[Sur l’illustration :
« Pourquoi la Covid ne vous affecte-t-elle pas ? »
« Nous n’avons pas la télévision. »]

Par Patrice Gibertie

Les Amish sont morts du Covid à un taux 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique « J’ai fait le calcul », a témoigné @stkirsch devant le Sénat de l’État de Pennsylvanie. Étant donné que cinq Amish sont morts dans le pays de Lancaster, en Pennsylvanie, « les Amish sont morts à un taux 90 fois inférieur au taux de mortalité par infection des États-Unis d’Amérique ». « Maintenant, comment est-ce possible ? » a demandé @stkirsch. « C’est possible parce que les Amish ne sont pas vaccinés. Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule directive du CDC », a-t-il répondu. « Ils n’ont pas verrouillé, ils n’ont pas masqué. Ils n’ont pas fait de distance sociale, ils n’ont pas vacciné, et il n’y avait aucun mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner. Ils ont fondamentalement ignoré toutes les directives que le CDC nous a données. Ignorer ces directives signifiait un taux de mortalité 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique.

[Note de Joseph : lorsque l’on sort du conte de fées qu’est devenue la théorie virale il y a 70 ans (au lieu d’être abandonnée en tant que théorie qui s’était alors réfutée elle-même devant l’absence de preuves de l’existence de virus pathogènes), ce constat est tout à fait compréhensible et il était même prévisible. Si en effet les maladies telles que la grippe rebaptisée en Covid-19 (mêmes symptômes) ne sont nullement causées par des virus (qui n’ont jamais été isolés, contrairement à ce que prétendent les virologues), alors une communauté qui vit sans la technologie électronique moderne, qui ne se confine pas, qui ne s’empoisonne pas avec des vaccins, qui ne porte pas de muselières nuisant à la respiration et qui ne se distancie pas socialement ne peut qu’être en bonne santé, puisque notamment la cause fondamentale des symptômes grippaux/covidiens a toutes les chances d’être plutôt l’existence des ondes électromagnétiques artificielles et des champs électriques émis par cette technologie dont eux se passent sans problème. Les Amish n’ont pas connu plus de grippe/Covid-19 que d’habitude, car ils n’utilisent pas ou peu d’appareils électriques et ne sont presque jamais exposés à des ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 5G, Bluetooth…), sauf par les membres qui ont introduit en douce des smartphones.
Voir les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus et en particulier les articles suivants :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
À quel point les virus sont-ils morts ?
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid ».]




Lara Logan dit la vérité sur le conflit entre l’Ukraine et la Russie

[Source : israelunwired.com]

Depuis le début de la crise russo-ukrainienne, on nous a appris à croire que l’Ukraine était innocente et que la Russie était l’agresseur.

Or, rien n’est plus éloigné de la vérité. La Russie n’est pas en train de perdre cette guerre, malgré ce que les personnalités intelligentes et médiatiques occidentales veulent vous faire croire. L’armée russe mène ses opérations dans le cadre de son plan global. La Russie veut bombarder l’Ukraine pour la soumettre.

Quelle que soit l’image que les médias donnent de la Russie et de ses dirigeants, la propagande occidentale est tout aussi inquiétante. Lara Logan met à mal certains mythes sur la situation actuelle. Ce que fait la Russie est brutal et horrible. Mais le récit qui en est fait n’est pas du tout fidèle à la réalité. C’est ici que Lara Logan aborde des questions qui nous éclairent et nous permettent d’avoir une vision plus large de la situation.



Extrait traduit :




Le Monde condamné : « Les fact-checkeurs ont été fact-checkés »

Décryptage de l’avocat de France-Soir, Me Arnaud Dimeglio

[Source : FranceSoir]

Débriefing avec Me Arnaud Dimeglio, avocat au barreau de Montpellier et de Paris, qui a défendu le site d’information généraliste France-Soir dans le cadre du procès face au journal Le Monde.

Me Dimeglio s’exprime sur cette décision de justice :

« France-Soir est reconnu comme un service de presse en ligne qui bénéficie d’un certificat d’information politique et générale. Donc, il y avait un décalage total entre la qualité professionnelle du service de presse en ligne de France-Soir et une information contraire diffusée par le journal Le Monde, [qui le décrivait comme] un “simple blog” qui diffuserait de “fausses informations”. […] La justice a statué que l’on ne peut pas dire que France-Soir diffuse de fausses informations. […] C’était une campagne de dénigrement, à un moment donné on dit stop, ça suffit. »

Arnaud Dimeglio a aussi défendu Xavier Azalbert, directeur de la publication de France-Soir face au médecin Matthias Wargon, il annonce que son client va faire appel de la décision de justice.



Voir : Le Monde condamné : dire que France-Soir est un « blog » et diffuserait de « fausses informations » constitue un acte de concurrence déloyale par dénigrement




Autoritarisme climatique : le Forum Économique Mondial veut diminuer le nombre de véhicules de tourisme de 75 % d’ici à 2050

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Tyler Durden − Le 18 juin 2023 − Source Zero Hedge

Le prétexte du changement climatique tient lieu de justification à toutes sortes de changements sociaux, politiques et économiques, voués à réduire fortement la liberté et la survie financière du terrien moyen. Comme le monde a pu le constater au moment de la pandémie de Covid, les institutions globalistes s’acoquinent avec les gouvernements et les grandes entreprises pour faire monter la sauce sur des menaces imaginaires et inspirer une hystérie publique, dès lors que ces acteurs estiment pouvoir utiliser la peur afin de supprimer nos droits individuels. La mode des « émissions de gaz à effet de serre » ne fait pas exception à cette règle.

L’écrasante majorité des politiques climatiques et de régulation du CO2 semblent viser l’Occident, et il s’agit de l’une des raisons pour lesquelles nous savons que ces affirmations sont fausses. La Chine cumule à elle seule environ 32 % des émissions mondiales de CO2, alors que les États-Unis n’en produisent que 14 % et l’UE environ 8 %. Mais les think tanks [groupes de réflexion] comme le Forum Économique Mondial (FEM), ainsi que les repères de globalistes, comme l’ONU, se concentrent absolument sur l’Europe, cependant que la Chine agit comme elle l’entend.

Pourquoi ? Peut-être parce que la population chinoise est déjà fermement sous contrôle et qu’il n’est pas nécessaire d’y implanter des craintes au sujet du climat pour la soumettre ? En tous cas, le sujet des émissions de gaz à effet de serre est douteux : il n’existe absolument aucune preuve d’une relation de cause à effet entre les émissions de gaz carbonique et le réchauffement global. Les éléments de corrélation entre les deux phénomènes sont d’ailleurs très suspects. Et si vous demandez à un alarmiste climatique de vous exposer la preuve de la « crise climatique » qui le fait hurler, attendez-vous à ce qu’il vous réponde en évoquant des événements météorologiques normaux (où à des feux de forêt), qui sont des phénomènes courants dans les archives de l’humanité.

On a ces derniers temps beaucoup entendu parler de tentatives de diminuer ou d’interdire les chaudières à gaz aux États-Unis, de ralentir la production agricole en Europe, et de réduire la consommation de viandes au sein du public, mais les limitations les plus répandues en matière de dioxyde de carbone vont s’appliquer aux voitures et aux transports publics. Le FEM a récemment publié un schéma de réduction du nombre de véhicules personnels de 75 % d’ici à l’année 2050.

Le livre blanc, paru sous le titre « Évaluation de la transition vers une mobilité urbaine durable », établit diverses pratiques visant à faire adopter par la majorité de la population humaine des transports en commun au sein de « villes intelligentes » compactes. Le FEM suggère également que plus de 70 % de la population mondiale doive vivre dans ces villes intelligentes d’ici à l’année 2050 — actuellement, 45 % de la population mondiale vit dans des régions rurales, ce qui exige que 15 % de la population soit contrainte à migrer dans des villes au cours des deux décennies à venir. Et ce n’est pas tout : il va falloir que les villes moyennes et les petites agglomérations s’agrègent en des réseaux homogènes. En d’autres termes, en mégalopoles.

L’agenda des transports du FEM exige que sur les 2 milliards de propriétaires de véhicules personnels, 1,5 milliard de personnes perdent l’option d’utiliser un moyen de transport personnel. Cela ne laisserait dans le monde que 500 millions de personnes disposant du « privilège » de posséder leur véhicule.

N’oublions pas non plus que l’ONU veut des émissions de gaz carbonique à l’équilibre pour 2050, ce qui signifie qu’aucun véhicule à énergie fossile n’existe plus dans 25 ans.

Le document émis par le FEM est inondé de mots à la mode ineptes, couvrant la rhétorique de « l’équité et l’inclusion » ainsi que d’« objectifs de développement durable » et d’une terminologie de « capitalisme par les parties prenantes. »

En résumé, la réduction des transports est l’extension d’un machin appelé « Cadre de gouvernance de la mobilité partagée, électrique et automatisée », et de projets de villes à zéro émission. En retirant leur voiture aux populations, on va contraindre les gens à des zones de plus en plus petites, au sein desquelles les transports de masse sont disponibles. Ces régions de population extrêmement concentrée seront reliées par des réseaux numériques et supervisées par des IA, et feront l’objet de mesures de surveillance sans précédent, et les gouvernements seront en mesure de centraliser et d’édicter les mouvements publics, les consommations d’énergie, les accès à la nourriture et même la manière de se comporter dans l’espace public.

Et tout ceci est vendu comme un compromis utopique rendant la vie plus simple et plus sécuritaire, alors qu’il s’agit dans les faits de la fin de la liberté que nous connaissons. La Chine tient lieu de pays béta-testeur pour ces mesures, qui dispose des plus grandes villes intelligentes et des plus vastes réseaux de surveillance au monde.

Nous savons que l’objectif derrière la déconstruction du transport personnel est de rassembler les gens comme du bétail au sein de villes de plus en plus compactes et oppressives, mais comment réaliser une réduction du nombre de véhicules à cette échelle ?

[Voir aussi :
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert]

Cela va passer par une suite de régulations sur le carbone et par une montée des prix. Les taxes sur le carbone vont être appliquées afin de rendre intenables l’achat et la possession d’un véhicule à énergie fossile, et l’inflation des prix des véhicules électriques va faire en sorte que seules les classes les plus aisées pourront s’en offrir. Ainsi, l’establishment pourra affirmer « ne jamais avoir interdit les voitures », mais aura créé les conditions économiques qui vont contraindre la plus grande partie de la population à abandonner son véhicule personnel.

En examinant les projets de zéro-émissions comme une entité pleine et entière, et non plus comme des éléments épars, on comprend que ces projets n’ont rien à voir avec la préservation de l’environnement, de la planète, et tout à voir avec la centralisation du pouvoir.


Note du Saker Francophone

Cet article est parfaitement en ligne avec l’anticipation publiée en 2017 par Andrew Korybko sous le titre Géopolitique de l’ordre mondial techno-civilisationnel, à lire ou relire. On passe simplement de la phase stratégique à la mise en application.

Traduit par José Martí pour le Saker Francophone




La France en feu

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Sur Odysee : https://odysee.com/@Cielvoile:e/feu:7]





Le policier aurait dû tirer dans les pneus…

Par Lucien SA Oulahbib


Plus facile à écrire qu’à faire, c’est vrai. Mais en écoutant le procureur et aussi quelques réactions, dont celle du Courrier des Stratèges, force est de constater que pour éviter toute polémique le second policier situé à l’arrière pouvait tirer dans les pneus, mais il y avait le fait qu’en riposte le conducteur pouvait braquer à gauche et écraser le premier policier sur le mur… Dilemme… Qui n’en est plus un hélas…

Et sans doute également dès les premières sommations effacées par la persistance du conducteur à continuer, il aurait été dangereux de tirer dans les pneus lorsque le véhicule roulait, mais à l’arrêt coincé dans l’embouteillage, c’était tout de même possible…

D’où l’idée de revoir les dispositions de riposte (laïque bien sûr…) en cas de refus d’obtempérer…

Mais cela n’empêche pas de trouver abjects les divers opprobres hypocrites provenant de « responsables » qui ne sont même pas capables de comprendre pourquoi ce gamin n’a pas été pris en main dès les premiers rappels à la loi, et, plus généralement pourquoi n’existe-t-il pas des dispositions ludiques permettant à ces jeunes de pouvoir jouer à « fast and furious » dans des espèces de rallyes balisés qui sont hélas uniquement réservés aux bobos marathoniens et autres cyclistes anti-automobiles…

Comprenons-nous bien, dans cette espèce de « fureur de vivre » à la James Dean ou encore le « vivre vite » de Saura, voire le « Scarface » avec Al Pacino, les enjeux dépassent de loin le problème des « territoires perdus » ou « conquis », même les « frérots » en perdent leur latin, non, il s’agit aussi d’un problème de sociologie urbaine qui s’était d’ailleurs déroulé ainsi dans le Bronx à Harlem et à L.A, et qui ne s’est pas seulement résolu par la politique de fermeté du « zéro vitrine brisée », mais aussi par toute une politique de prise en charge à base de réorganisation culturelle également ; ce qui implique d’entamer également ce processus en France à commencer par les MJC, les piscines et gymnases laissés à la bureaucratie municipale et à la gauche ou la droite opportuniste toujours au pouvoir…

IL faudra bien en tout cas réaliser une vraie politique de pacification à la David Galula (20 % de répression 80 % de politique) si l’on veut éviter dans la mesure du possible un bain de sang lorsque la remise en ordre viendra, car elle viendra, mais certainement pas en foutant tout le monde dehors, et surtout pas avec des gens qui n’auront pas de toute façon la légitimité pour le faire, qu’on le regrette ou pas, mais c’est ainsi (n’est pas Blueberry qui veut) : il faut faire monter des gens capables de faire du Galula, pas seulement des aboyeurs.




Les Choniques du Totalitarisme : la bureaucratie au pouvoir

[Source : @Kairospresse]

Nicole Delépine, pédiatre, oncologue, est notamment l’auteur, avec son époux, de « Les enfants sacrifiés du Covid » et « Soigner ou obéir ». Lucide depuis de nombreuses années, elle nous explique comment la soumission des médecins s’est installée dès les années 80 en France (et ailleurs…), expliquant leur féroce obéissance lors de l’événement Covid-19. Celle-ci s’est en partie faite par l’organisation bureaucratique des cancers en France : ils ont imposé des protocoles de soin et de traitement, chapeauté par une structure bureaucratique hors-sol, appuyé entre autres sur la diminution des coûts et l’augmentation des bénéfices des actionnaires. Tiens, cela nous rappelle l’enseignement, l’agriculture, l’urbanisme, les guerres, l’alimentation… posant la question essentielle : qui décide ? Pas les populations, c’est sûr.

[À partir de 0:45]






Bientôt un compte carbone individuel pour traquer ses émissions de CO2 ?

Les pays, les régions, les départements, les villes, les entreprises se sont fixé des quotas d’émission de CO2 à ne pas dépasser. De nombreux experts, spécialistes de l’énergie, écologistes, hommes politiques pensent désormais que les individus devaient prendre leur part dans le combat que la société est en train de mener contre le réchauffement climatique et ont pensé à la création d’un compte carbone individuel. Décryptage.




Soupçonné de racisme, il est privé de sa maison connectée par les nouvelles technologies

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

C’est une histoire surréaliste, ou plutôt dystopique, qui nous est racontée. Aux États-Unis, suite à un simple malentendu en son absence, le propriétaire d’une maison connectée a été suspecté de propos racistes par Amazon. Suite à cela, le propriétaire de cette maison s’est vu privé de l’usage de sa maison connectée et de tous ses matériels connectés pendant près d’une semaine, le temps de prouver que l’accusation était fausse. Que se serait-il passé si Amazon avait estimé que l’accusation était fondée ?

Cette affaire démontre le pouvoir de plus en plus totalitaire accordé aux multinationales qui contrôlent les nouvelles technologies et ont désormais les moyens de vous surveiller en permanence.






Les bizarreries de Marburg

[Source : neosante.eu]

[Illustration : PHOTO THOMAS W. GEISBERT, UNIVERSITÉ DU TEXAS, VIA ARCHIVES DU NEW YORK TIMES]

Par Yves Rasir

Les paris sont ouverts : Marburg ou grippe aviaire ? Dans ma lettre du 29 mars, je pariais que la seconde serait le prochain épouvantail brandi par les plandémistes pour faire avancer l’agenda mondialiste de contrôle numérique sous prétexte sanitaire. Je misais sur la maladie des volatiles, car la perspective d’un double jackpot — les vaccins pour animaux et pour humains sont déjà prêts — doit certainement faire frétiller les cercles pharmafieux et les politiciens qui leur servent d’hommes (ou de femmes) de main. Mais réflexion faite, je me demande si le virus de Marburg ne va pas dribbler celui prétendument transmis par les oiseaux. Pour terrifier les foules et imposer de nouvelles injections expérimentales assorties d’un pass vaccinal, le premier ferait finalement mieux l’affaire.

Un épouvantail de rêve

Du nom de la ville allemande où il a été identifié en 1967, le Marburg est en effet un spectre idéal pour semer la panique et justifier une nouvelle vague d’hystérie totalitaire. D’abord, c’est un virus filiforme de la même famille qu’Ebola et qui est supposé causer les mêmes symptômes impressionnants : forte fièvre, troubles neurologiques violents et multiples hémorragies internes souvent mortelles. Les malades finissent par se vider de leur sang via tous leurs orifices, et notamment les yeux, ce qui a le don d’épouvanter le personnel soignant. Étant donné que la fausse pandémie covid n’a pas pris en Afrique, le Marburg est un bon candidat pour corriger ça et pour inclure le continent noir dans le programme vaccino-terroriste. Comme par hasard, la Tanzanie est l’un des trois pays, avec le Ghana et la Guinée équatoriale, où le virus serait réapparu en 2023 et aurait fait quelques victimes. Or l’on se souviendra que l’ancien président tanzanien avait ridiculisé l’affolement covidiste en faisant tester des chèvres et des papayes et en dévoilant que leurs tests PCR étaient positifs. Son mystérieux décès et son remplacement par une ministre inféodée à l’OMS a permis de briser net cet embryon de sédition africaine. C’est aussi en Tanzanie qu’ont démarré les essais cliniques de l’un des 28 (!) vaccins postulant à homologation contre la pandémie pressentie. En Occident, l’épouvantail viral pourrait également convenir puisque la mini-épidémie de Marburg avait quand même tué 7 des 33 Allemands touchés et que le scénario d’un accident de labo a été évoqué à l’époque et est toujours évoqué dans la complosphère. Pour embarquer celle-ci dans le narratif virophobe, le cousin germain d’Ebola est parfait puisqu’une théorie circule aussi sur internet selon laquelle il est une arme biologique fabriquée au départ par des chercheurs soviétiques, lesquels auraient manipulé et croisé le virus avec celui de la variole. Pour faire bonne mesure, il existe également la thèse que les fièvres hémorragiques seraient issues de recherches américaines initiées à Fort Detrick et poursuivies en Sierra Leone, épicentre de la première « pandémie » ébolesque. Bref, c’est le scénario idéal pour décupler la hantise des « gains de fonction » et entretenir la paranoïa pasteurienne envers les « ennemis invisibles », qu’ils soient naturels ou militarisés.

Une hécatombe qui pose question

Et si on allait voir ce qui s’est réellement passé à Marburg en 1967 ? Selon le récit communément admis, l’épidémie a démarré avec l’arrivée d’une centaine de singes verts en provenance d’Ouganda. La moitié des primates était déjà morte ou mourante à l’atterrissage à Francfort, puis les chercheurs et ouvriers allemands auraient été contaminés en manipulant les tissus simiens infectés. C’est notamment la narration adoptée par l’immunologiste Norbert Gualde dans son ouvrage « Comprendre les épidémies ». Dans son livre « Virus », l’écrivain scientifique Richard Preston raconte pourtant autre chose : les singes étaient en bonne santé lorsqu’ils sont montés dans l’avion. L’auteur américain a certes quelque peu romancé son enquête, mais il a retrouvé le vétérinaire ougandais chargé d’inspecter les animaux expédiés. L’homme avait l’habitude de procéder à cet examen — plus de 13 000 singes étaient exportés chaque année de ce pays pour les besoins de l’industrie pharmaceutique occidentale — et il n’a rien remarqué de spécial concernant cette cargaison. Il a tamponné les papiers et donné son feu vert au décollage. Et quoi, les mammifères auraient eu le mal de l’air ou auraient mal digéré le plateau-repas ? Un virus implacable aurait réussi à décimer les cages en quelques heures de vol ? C’est ce que suggère Preston, mais que contredit la suite des événements. En Allemagne, personne ne semble s’être inquiété de cette hécatombe inédite. Comme d’habitude et sans protection particulière, les tortionnaires de labo ont utilisé les cadavres et tué les survivants pour prélever leurs précieuses cellules rénales.

Bouteille à encre vaccinale

Car c’est évidemment dans le cadre du développement de vaccins, en l’occurrence contre la polio, que les laboratoires Behring assassinaient les malheureux vervets et recyclaient leurs reins. Dans ce temple de la vaccinologie, il va de soi que les travailleurs étaient eux-mêmes « protégés » contre les fléaux viraux exotiques. Combien de valences et combien de doses ? L’info est impossible à retrouver. En revanche, Preston détaille le « menu » vaccinal reçu par les chercheurs recrutés aux États-Unis pour étudier Ebola au début des années 80 : ils étaient vaccinés contre la fièvre jaune, la fièvre Q, la virus de la vallée du Rift, les virus de l’encéphalite du Venezuela, de l’encéphalite équine de l’Est et de l’Ouest, la tularémie, l’anthrax, le botulisme et la rage, excusez du peu ! Quinze ans avant cette orgie de vaccins, dont Preston mentionne qu’elle a rendu sévèrement malade une vétérinaire de l’armée américaine « contaminée » par Ebola sans y être exposée, on peut imaginer que les collègues allemands recevaient moins d’injections à visée immunisante. Le délire viroparano n’avait pas encore totalement ravagé les cerveaux. Mais il est très probable que les laborantins teutons devaient déjà se prémunir contre toute une série de pathologies virales ou bactériennes. Or à l’époque, on employait déjà l’aluminium comme adjuvant immunostimulant et on ne lésinait pas sur le mercure comme conservateur des mixtures. L’empoisonnement chimique était probablement accompagné d’une agression génique puisque de l’ADN de singe vert se retrouvait dans les fioles. Selon la loi du karma, les tourmenteurs de singes auraient ainsi « payé » par où ils péchaient. C’est en tout cas l’hypothèse que je vous soumets.

Une étrange coïncidence

Ma supposition n’est pas si insensée qu’elle y paraît au vu de l’incroyable « hasard » que j’ai récemment découvert : le site de production de Behring a été racheté en 2020 par BioNtech, cette « start-up » allemande elle-même rachetée par Pfizer pour mettre au point des vaccins à ARN messager, dont bien sûr celui contre le covid. Selon cet article de Daily Sceptic, c’est également à Marburg que Novartis, maison-mère de Behring, produisait ses vaccins contre la grippe, dont elle est le leader mondial. Pour acquérir les installations et le personnel, Pfizer/BioNtech a déboursé la bagatelle de 375 millions d’euros. Pourquoi, je vous le demande, dépenser une somme pareille si ce n’est pas pour récupérer un certain « savoir-faire » ? Au lieu de se lancer dans la course, la multinationale Novartis a d’ailleurs bizarrement coopéré avec sa concurrente Pfizer. Plus intrigant encore, les bâtiments de Marburg n’ont pas seulement été le théâtre de la première flambée filovirale de type Ebola. Bien avant ça, ils étaient occupés par la célèbre compagnie chimique IG Farben, qui y a fabriqué les vaccins expérimentaux testés sur les détenus du camp de Buchenwald pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ça fait beaucoup, vous ne trouvez pas ? Comme si ça ne suffisait pas, le journal Epoch Times a récemment divulgué que de l’ADN de singe vert aurait été trouvé dans les vaccins covid Pfizer et Moderna. C’est ce qu’a affirmé le microbiologiste américain Kevin McKernan, ancien chercheur sur le génome humain au MIT, lors d’une réunion à la FDA, l’agence américaine du médicament. D’après Mc Kernan, le matériel génique provient du virus simien SV40, lequel est soupçonné de provoquer le cancer chez l’homme. Et si c’était vrai ? Sans adhérer à la théorie du germe pathogène et cancérigène, on peut concevoir que l’introduction de gènes de singe par effraction dans un corps humain ne lui fait pas du bien. Surtout si le produit charrie son lot d’adjuvants et de conservateurs chimiques, de nanoparticules lipidiques, d’ARN synthétique et d’autres saloperies encore. Pour mémoire, le SV40 avait déjà été accusé d’avoir déclenché, ou à tout le moins contribué à l’épidémie de sida via sa présence dans le vaccin polio inoculé au Congo belge. Selon la littérature médicale, les co-infections avec le HIV sont d’ailleurs très fréquentes. Ce postulat étiologique n’a évidemment pas mes faveurs, mais force est de constater qu’il y a toujours des cocktails vaccinaux et du matériel génétique de singe vert impliqués dans les maladies infectieuses « émergentes ». Les bizarreries de Marburg mériteraient assurément une investigation approfondie.




Notre époque pressentie par Barjavel en 1947




Selon le Dr P. Marik, l’objectif de Big Pharma est de nous rendre aussi dépendants que possible des médicaments

[Source : Etresouverain via PG]

Le Dr Paul Marik affirme que la médecine est contrôlée par l’industrie pharmaceutique et les grandes entreprises dont le but n’est pas de promouvoir la santé, mais de vendre des médicaments coûteux et de nous rendre dépendants d’eux jusqu’à notre mort. Presque tous les membres du Congrès ont été soudoyés par Big Pharma. Des maladies comme le diabète et le cancer peuvent être guéries.

[À partir de 0:46]






Pourquoi l’académie de médecine proclame-t-elle des positions contraires à la science sur les vaccins Covid ?

Par Gérard Delépine

Les communiqués successifs de l’Académie de Médecine sur les « vaccins Covid » sont particulièrement étonnants, car ils sont constamment contraires à l’éthique et à la science.

Que se passe -t-il dans cette vénérable assemblée pour qu’elle se transforme ainsi en représentante de commerce de Pfizer et de l’État ?

L’académie a violé l’éthique médicale et la convention d’Oviedo en demandant une « obligation vaccinale » pour un médicament expérimental

Dans son communiqué du 25 mai 2021, 12 l’académie a préconisé « de rendre le vaccin (Covid) obligatoire ». Pourtant il ne s’agissait pas de vaccin ni selon la définition de Pasteur et ni de celle de l’Académie Française : « microbe atténué ou même virulent ou produit microbien qui, injecté à l’homme ou à un animal, le prémunit contre la maladie que ce microbe pourrait provoquer », car ils ne contiennent aucun produit microbien.

Les premiers pseudo vaccins sont en fait des médicaments à ARN messager.

De plus en 2021 ces traitements étaient expérimentaux, car leurs essais phase 3 n’étaient ni terminés ni publiés, comme ils le sont d’ailleurs encore en juin 2023.3

Or l’éthique médicale rappelée par l’association médicale internationale, le procès de Nuremberg et la convention d’Oviedo signée par la France interdisent formellement toute obligation d’un traitement expérimental.

Les médecins académiciens ne pouvaient ignorer le caractère expérimental du traitement (facile à vérifier sur le site officiel américain « clinicaltrials.gov ») ni cette interdiction éthique formelle reconnue internationalement. Comment ont-ils pu violer ainsi l’éthique médicale ?

L’académie a demandé une « obligation » pour un médicament inefficace

Chacun connaît dans son entourage proche plusieurs personnes contaminées par le Covid alors qu’elles étaient à jour de leurs injections dont certaines en sont mortes. Les académiciens aussi vraisemblablement.

Mais dans son communiqué du 25 mai 2021, l’académie a prétendu que ces médicaments auraient « un taux d’efficacité de 90 à 95 % contre les formes graves de Covid-19 » reprenant ainsi, sans la moindre modération, les communiqués publicitaires de Pfizer. Or les données publiées de l’OMS sur Israël prouvaient déjà sans ambiguïté que les injections Pfizer étaient incapables de prévenir ni les contaminations :

Ni les formes graves qui conduisent à la mort

Alors comment les académiciens pouvaient-ils être aussi mal informés ?

Et pourquoi ont-ils prétendu que des taux de vaccinés de « 90 % de la population adulte ou 80 % de la population totale » seraient le « seul moyen d’atteindre une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie » alors que ces taux se sont révélés totalement incapables de le faire dans les pays qui les ont atteints ? Alors, qu’au contraire, les pays très peu vaccinés adeptes des traitements précoces ont bien mieux supporté l’épidémie.

Pour reprendre les termes du communiqué de l’académie : « l’obligation vaccinale qu’elle prônait n’était pas un gros mot » mais une colossale erreur contraire à l’éthique et aux données de la science. Comment peut-on faire confiance à une institution capable d’une telle bévue dans laquelle elle se complaît encore en 2023 ?

L’académie a suggéré des atteintes inusitées aux libertés fondamentales

Dans ce même communiqué, elle reconnaissait « une telle obligation ne pourra être instaurée que de façon progressive ». Elle recommandait d’abord de l’imposer à « toute une série de catégories, à commencer par les professions essentielles (enseignants, professions de santé, police et fonction publique en général, services d’approvisionnement en alimentation, eau, énergie, argent liquide et matériel informatique) », puis aux «activités professionnelles comportant un contact avec le public (commerces, restauration, hôtellerie, établissements culturels et sportifs) », avant d’interdire « les activités comportant déplacements ou rassemblements les voyages internationaux, cures thermales, événements associatifs » et la reprise des études aux non-vaccinés « avant la rentrée universitaire 2021 ».

Les masques comme le pass vaccinal que l’Académie nationale de médecine avait « recommandé de mettre en œuvre sans tarder » se sont révélés totalement inefficaces contrairement à ce qu’elle avait affirmé.

Ce n’était pas le rôle d’une académie d’un pays démocratique de soutenir un tel ensemble de mesures tellement contraires aux libertés fondamentales. Mais l’académie l’a fait !

Le ministre Olivier Veran, qui les a mises en œuvre, vient d’être condamné le 13 juin 2023 pour abus de pouvoir par le Conseil d’État. Celui-ci a estimé qu’il est allé au-delà de ses prérogatives lorsqu’il a organisé le contrôle de l’obligation vaccinale des professionnels de santé libéraux, car il ne pouvait pas suspendre les remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné, ni interdire à ces professionnels de se faire remplacer pendant leur suspension, ou encore les contraindre à fermer leur officine.

On pourrait croire qu’en 2020 nos académiciens, souvent très âgés, étaient terrorisés et qu’ils espéraient ainsi protéger leurs vies, mais pourquoi persistent-ils toujours dans le déni de réalité trois ans plus tard alors que l’échec complet des injections est maintenant évident et que l’obligation vaccinale Covid pour les soignants est abandonnée par tous les pays du monde qui l’avaient instaurée ?

En juin 2023, l’académie persiste dans ses erreurs et continue de désinformer. Le communiqué de l’Académie nationale de médecine du 19 juin 2023 reprend les mensonges précédents et en rajoute !

Il prétend entre autres que :

« Le contexte endémo-sporadique actuel de la Covid-19 justifie le maintien d’une surveillance vigilante afin de restaurer l’obligation vaccinale par décret en cas de résurgence épidémique. »

Les académiciens paraissent ignorer que la poussée Omicron a octroyé à la population mondiale une immunité collective suffisante pour vaincre l’épidémie que la pseudo vaccination avait été incapable d’assurer comme le montrent les dernières données de l’OMS.

Le communiqué de l’Académie nationale de médecine du 19 juin 2023 prétend encore contre toute évidence : « la période a été marquée par l’efficacité remarquable de la vaccination contre la Covid-19 », alors que les faits constatés montrent qu’il s’agit du plus sévère échec connu de la vaccination depuis qu’elle existe. L’épidémie paraît même avoir été favorisée par les injections, les pays les plus vaccinés, dont la France, ayant comptabilisé le plus grand nombre d’infectés par million d’habitants !

Comment la majorité jusqu’ici silencieuse des académiciens peut-elle laisser une minorité de membres trop liés aux firmes pharmaceutiques nier les faits constatés et se contenter de répéter le crédo de Pfizer au risque de totalement décrédibiliser leur institution ?

De plus, en continuant de recommander des traitements inefficaces qui entraînent parfois des complications graves (myocardites, mort subite, insuffisance rénale, etc.) l’Académie s’expose à d’éventuelles poursuites judiciaires pour désinformation mettant en danger de la vie d’autrui.

De la cécité à la propagande marchande vaccinale des certains académiciens… Jusqu’où ira la régression de l’Académie ?





Elle se fait euthanasier plutôt que de subir les dommages du vax

« Bonjour, au cours des 10 derniers jours, je suis tombée gravement malade et je suis de nouveau confinée à la maison, incapable de faire quoi que ce soit. Mon corps est trop faible pour lutter contre cette maladie et je n’ai plus de force. J’ai donc pris la décision de mettre fin à mes jours à l’hôpital Pagasos en Suisse. On m’a diagnostiqué une maladie neurologique chronique incurable, l’EM/SFC, causée par une piqûre de rappel, en plus d’une suspicion de SLA respiratoire. Cette maladie m’a rendue handicapée, incapable de travailler ou d’avoir une vie sociale et incapable d’apprécier la vie tout court. La respiration est devenue de plus en plus difficile et douloureuse pour moi et ma fonction pulmonaire est en déclin. Je vous remercie pour votre amitié et votre soutien au cours de l’année écoulée. La piqûre de rappel que j’ai reçue il y a plus d’un an a complètement détruit ma santé, mon corps et ma vie. Il n’y a pas d’autre moyen de mettre fin à mes souffrances que la décision que j’ai prise. »



Attali prophète ?

Ou très bien renseigné sur le plan mondialiste ?

Source : https://vk.com/video597468040_456252109
via Profession Gendarme

[Source : Divulgation.fr]






Michèle Rivasi interroge sur la mondialisation du certificat numérique européen




Des nihilistes contre la liberté d’expression

Les nihilistes Angot Attali Badinter Bruckner Bronner (etc.) contre la liberté d’expression

Par Lucien SA Oulahbib


Les masques tombent : des nihilistes, lyssenkistes, globalistes, néoléninistes viennent de signer une ignoble pétition contre la nomination d’un patriote français à la tête du JDD, pas ultra pour un sou, et juste désireux que la France ne devienne pas un terrain vague (d’où la condamnation de son ancien journal pour délit d’opinion) ; mais c’en est bien trop pour tous ces redresseurs de torses sommant la réalité de ne pas être ce qu’elle est (ce qu’il faut certes vérifier) mais seulement ce qu’ils disent (tout va bien, madame La Marquise… Ou tout ira mal si vous ne suivez pas mes injonctions et autres injections…).

C’est une véritable honte. Tous ces pourfendeurs de la liberté même de s’exprimer sont si lâches qu’ils insultent indirectement Voltaire et tant d’autres (Locke). Comment osent-ils parler « d’extrême droite » tout en pratiquant ce que celle-ci serait censée faire ou l’interdiction de diffuser de débattre ?… Les dénonciateurs énoncent par ce geste ce qu’ils sont : des censeurs (bonsoir !…).

Tous ces gens, à la pensée médiocre en réalité (au sens littéral de ne pas casser une patte à une mouche) malgré leur style ampoulé, tous ces Homais du Politiquement Correct à la française avouent qu’ils sont sortis et de la démocratie (depuis longtemps), et de la République au sens de la Politeia ou le fait d’être ensemble et pas seulement cohabiter. Des Français veulent rester français, voilà le drame pour eux voilà ce qu’ils appellent l’extrême droite…

L’implosion donc de la « gauche divine ». Ici gît ce que fut la pensée critique… Mais une autre pensée se lève, heureusement… D’où cette volonté farouche des ennemis de la liberté à la voir émerger.





René Quinton, savant oublié, inventeur du plasma isotonique à partir d’eau de mer

[Source : @Miniver]

René Quinton dans « Savants maudit, chercheurs exclus » par Pierre Lance

Pierre Lance : « Savants maudit, chercheurs exclus » Survivants illégaux et guérisons interdites au pays des « Droits de l’Homme »
Volume 1, 2, 3 et 4 en PDF gratuit :
https://jumpshare.com/b/UD0ZzdssJsbtTnGpebAS

Les 4 volumes aux éditions Tredaniel :

PDF Plasma marin de René Quinton :
https://www.atelierdumoi56.fr/Files/Other/Le%20plasma%20marin.pdf

René Quinton découvrit l’identité chimique de notre sang et de l’eau de mer. Il fut mondialement célèbre en 1906 pour avoir sauvé du choléra des milliers d’enfants.
Ce grand homme a sauvé plusieurs milliers de vies d’enfants et d’adultes en France et en Égypte au début du 20e siècle en utilisant un sérum (Plasma marin) qui porte aujourd’hui son nom.

Un des ouvrages les plus connus de René Quinton en PDF gratuit :
« L’eau de mer, milieu organique : constance du milieu marin originel, comme milieu vital des cellules, à travers la série animale. » C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/Vj3hFoaNUZwmz9GyTOdZ

Utilisation des sérums marins en hydrotomie percutanée
— Mémoire en défense de la méthode. Dr Vincent Reliquet, Janvier 2020 (De nombreux témoignages de patients dans la 3e partie de ce PDF)
Lien du PDF :
https://jumpshare.com/v/vvomF4ko7frgz9dlc84Q

« Il faut se rendre à l’évidence, incriminer l’utilisation des sérums marins injectés au XXIe siècle comme une technique “illusoire ou insuffisamment éprouvée relevant du charlatanisme”, article 39 du Code de Déontologie Médicale, devrait heurter d’abord ceux qui osent le prétendre. »

« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. » 

René Quinton

« Il faut attribuer à une épaisse ignorance des réflexions comme celle qui me fut faite récemment, à savoir que les injections de sérum marin représentaient une vieille thérapeutique essoufflée,
dépassée par les médications nouvelles, et parfaitement archaïque. C’est exactement comme si l’on disait que l’air et la nourriture sont aujourd’hui dépassés ! La mer et l’homme n’ont guère changé depuis Quinton, ni depuis Platon qui déclarait déjà : “L’eau de mer guérit tous les maux.” Confondre un agent naturel avec un médicament sous prétexte qu’on l’utilise en thérapeutique, c’est
vraiment la marque d’un esprit faux, ou du moins faussé, mais très gravement. »

André Mahé, 1962.

« Il est donc permis de souhaiter que cette AMM injectable soit nouvellement accordée dans un avenir plus éclairé, car cette utilisation ouvre des perspectives médicales de haute tenue, non seulement en neuralthérapie, mais aussi face aux problématiques liées aux transfusions sanguines. René Quinton nous a montré la voie royale : Et cette reconnaissance d’un produit déjà pharmacologiquement injectable, comme légalement injectable, semble inéluctable à terme. »

Dr Nicolas Stelling, 2006

https://www.pressenza.com/fr/2021/06/rene-quinton-un-savant-oublie/

https://www.csbs-odemer.fr/content/13-rene-quinton



[Source : @minipiouf]

LE PLASMA MARIN DE RENÉ QUINTON

Les miracles du plasma marin.
Découvert par René Quinton,
un homme incroyable qui en une vie aura révolutionné l’aviation et la santé.

Après avoir soigné des milliers d’enfants d’une mort certaine lors de l’épidémie de choléra en 1832 grâce à son procédé de plasma marin, il sera comme tous les hommes de bien, effacé de l’histoire.

LE PLASMA DE QUINTON PEUT REMPLACER LE SANG POUR LES PERFUSIONS ET POURRAIT ÊTRE UN DES OUTILS MAJEURS POUR SOIGNER LES INJECTÉS.
Drainage, régénération du liquide interstitiel…




[Source : @Histoire-et-revelations]

QUINTON la présentation :

L’eau de Quinton est une solution liquide dont la composition se rapproche très fortement de celle de l’eau de mer. En effet, la mise au point de celle-ci résulte du travail de René Quinton (1866-1925), qui fit en 1897, le constat que notre plasma sanguin ainsi que les liquides qui entourent nos cellules avaient une composition très similaire a celle de l’eau de mer au niveau de la concentration en oligo-éléments et en minéraux exception faite de l’iode bien entendu.

Sources :
https://quinton.fr/
https://quinton.fr/produits/eau-de-quinton

Qui est le Dr Marc-François Payà ?

Docteur Marc-François Payà : médecin spécialiste pluridisciplinaire, spécialiste de la douleur, diplômé en acupuncture, en homéopathie, ostéopathie, auriculo-médecine, ancien Directeur de département universitaire, médecin consultant et expert auprès des tribunaux, orateur et conférencier, exerce en parallèle des fonctions de responsable scientifiques et anime des formations dans ses domaines d’expertise et en particulier la nutrition et le métabolisme.
Directeur des laboratoires Quinton.

Les Thèmes :

La découverte de L’eau Quinton
Qu’est-ce que c’est ?
Comment est-elle fabriquée ?

https://www.youtube.com/watch?v=BziFBwUUOxQ




[Source : csbs-odemer.fr]

TOUT SAVOIR SUR RENÉ QUINTON

René Quinton est un biologiste, naturaliste et physiologiste français, né le 15 décembre 1866 dans la commune de Chaumes-en-Brie de Marie Amyot et de Paul Quinton, médecin et maire de Chaumes. Il s’est éteint le 9 juillet 1925 à Paris à l’âge de 59 ans.

Après l’obtention de son baccalauréat de sciences et de lettres au lycée Chaptal à Paris, René Quinton, inspiré par Flaubert, se consacre pendant quelques années à la littérature en écrivant des romans et des pièces de théâtre. À 22 ans, il entreprend des voyages dans des pays du pourtour méditerranéen suite auxquels il revient à Paris pour faire des études en géologie, paléontologie et biologie au Museum d’histoire naturelle.

Tout a commencé avec une vipère

René Quinton était quelqu’un de très intrigué par le mystère des origines de la vie humaine. Un jour de 1895, en observant une vipère engourdie par le froid qu’il exposera par la suite à la chaleur, il trouve le fil rouge de sa pensée scientifique qui deviendra « la loi de la constance thermique ». Celle-ci stipule qu’il existe une température optimale pour que l’activité vitale cellulaire s’exprime au maximum. Son raisonnement est simple, si le reptile retrouve son activité normale sous l’effet de la chaleur, c’est qu’il s’agit d’une espèce apparue sur terre quand la température de celle-ci était élevée et constante. 

En approfondissant sa pensée avec des recherches, René Quinton constate que la température dégagée par la terre au moment de la création de la vie était de 44 °C. Mais au fil du temps, avec le refroidissement progressif du globe terrestre à partir de ses pôles, de nouvelles espèces sont apparues avec un pouvoir calorifique qui permet d’augmenter et de réguler la température de l’organisme. Les espèces les plus anciennes, quant à elles, n’ont pas réussi à garder la température optimale. En étudiant ces deux groupes d’espèces selon leur milieu originel, René Quinton conclut que les premières cellules vivantes proviendraient de la mer. 

René Quinton a poussé son raisonnement plus loin en examinant le représentant le plus récent et le plus élevé du règne animal : l’oiseau. À sa surprise, il découvre que ses cellules baignent dans un plasma sanguin qui, au point de vue minéral, est exactement le même que l’eau de mer. Cette identité du milieu intérieur à celle de l’eau de mer sera démontrée par René Quinton qui, après ses expériences, formule « la loi de la constance marine » :

« La vie animale, apparue à l’état de cellule dans les mers, tend à maintenir, pour son haut fonctionnement cellulaire, à travers la série zoologique, les cellules constitutives des organismes dans le milieu marin des origines. »

Création du plasma de Quinton

Sur la base de ses théories, René Quinton est persuadé que l’eau de mer contient tous les oligo-éléments nécessaires au corps humain pour lui assurer une vie cellulaire optimale. Il pousse alors ses recherches scientifiques en fixant un programme expérimental avec de l’eau de mer ramenée à l’isotonie organique, c’est-à-dire au taux de concentration des sels minéraux du milieu intérieur. Il ajoute donc cinq parties d’eau distillée pour deux parties d’eau de mer, mais il se demande si l’eau distillée ne ferait pas perdre quelques propriétés à l’eau de mer.

Après d’autres expériences, il trouve la solution qui permettra aux œufs d’oursins d’éclore et aux globules blancs de survivre : c’est une eau de source filtrée, « l’eau vivante » comme il l’appelait. Le plasma marin sera donc désormais de l’eau de mer additionnée à de l’eau de source filtrée. Il n’a jamais pensé à ce plasma comme un médicament, mais comme un fluide extracellulaire, exactement adapté aux besoins des cellules vivantes.

Un des ouvrages les plus connus de René Quinton est « L’eau de mer, milieu organique ». C’est le livre fondateur de la théorie marine, publié en 1904.

La fameuse expérience du chien 

C’est en 1897, dans le laboratoire de Marey au Collège de France que René Quinton espère apporter la preuve de ce qu’il avance en présence de Marey et d’autres chercheurs.

Pendant huit heures on injecte à un chien de 10 kg, par voie intraveineuse, une quantité d’eau de mer de 10,4 kg, soit 104 % de son poids, sans inconvénient même mineur, l’élimination rénale étant parfaite.

Par la suite le chien a eu presque tout son sang prélevé par l’artère fémorale et il reste inerte, le réflexe de la cornée de l’œil ayant disparu. On lui injecte de l’eau de mer pendant onze minutes : le réflexe reparaît, le chien revient à la vie, se remet sur pied, le lendemain il trotte dans le laboratoire. Ce chien, rebaptisé « Sodium » mourra 5 ans plus tard, écrasé par un autobus.

La conclusion de René Quinton est sans appel : si le plasma marin a permis une reconstitution rapide du tissu sanguin, c’est qu’il a les mêmes propriétés physiologiques que celui des êtres vivants.

Ouverture des dispensaires marins

À la suite du succès de l’expérience précédente, René Quinton décide alors de reconduire l’essai, mais sur des sujets humains cette fois. De 1897 à 1904, il commence ses expérimentations dans des hôpitaux parisiens où on lui confie des cas désespérés, notamment un premier malade atteint de la typhoïde (maladie infectieuse et contagieuse, aussi transmise par l’eau et les aliments, entraînant fièvre et troubles digestifs). On lui injecte le plasma de Quinton, et dès le lendemain, le patient se sent déjà mieux et se nourrit avec appétit. Quelques jours plus tard, il est même totalement guéri. Il réitère sur un second cas, un patient suicidaire, qui confirme le succès thérapeutique du premier.

Les expérimentations connaissent du succès à chaque fois : les mourants, contre toute attente, sont sauvés. Ainsi, René Quinton ouvre des dispensaires, dont le premier dispensaire Quinton à Paris en 1907. Il en crée dans presque tous les quartiers de Paris, en province et à l’étranger (Angleterre, Belgique, Égypte, USA…). C’est ainsi que des milliers de vies, notamment d’enfants atteints de maladies infantiles, ont été sauvées au début du XX° siècle.

Un médecin, le docteur Jean JARRICOT, écrira en 1933, évoquant ces débuts de la cure marine : « Rien n’effacera en nous l’inoubliable vision : les mères découvrant sur leurs genoux, désespérées, leurs enfants mourants et Quinton, secret, silencieux, mais les lèvres frémissantes, et versant sur elles toute la pitié, toute l’éblouissante intelligence, toute l’impérieuse certitude dont peut être chargé un regard humain. »

Reconstitution de la masse sanguine

L’eau de mer a été employée avec succès chez certains grands blessés ou opérés pour remplacer la masse sanguine et sans problème de compatibilité avec les groupes sanguins. Ces expériences ne font pas stricto sensu partie de la méthode marine, mais elles ont corroboré les expériences initiales de René Quinton. Le Plasma de Quinton est également un adjuvant précieux lors de traitements visant surtout à remonter l’état général du malade (perte d’appétit, perte de poids, nausées…).

Le « protocole » de René Quinton

Son protocole est basé sur le fait de récupérer de l’eau de mer dans une zone où l’on trouve des marées importantes ce qui permet d’avoir une richesse naturelle en phytoplancton. Une microfiltration à froid pour pouvoir éliminer les polluants, les microorganismes pathogènes et les impuretés est fortement conseillée.

De plus, le plasma marin doit être conservé dans un récipient neutre qui ne modifiera pas et ne réagira pas avec le produit tel que le verre.

« Notre milieu organique est en osmose avec le milieu marin : l’eau de mer est en sympathie avec chaque infime partie de notre corps. » de René Quinton


[Source : fundacionrenequinton.org]

Qui était René Quinton

Quinton a basé sa théorie sur une prémisse universelle qui constitue le socle de sa thérapeutique : reconstruire avec l’Eau de Mer les cellules endommagées.

René Quinton a abordé plusieurs domaines de la connaissance. De formation humaniste et scientifique, il était considéré comme un sage. À travers ses œuvres, y compris les inédites, il a fait sienne cette maxime « Science de la sensibilité », c’est à dire, la conjugaison du matériel et du spirituel en un tout harmonieux.

Outre ses études dans les domaines de la biologie et de la physiologie, il fut philosophe, héros de guerre, mécène, promoteur de l’aviation, etc. Un enthousiaste de l’humanisme de son époque.

« Face au monde physique qui obéit à des lois stables, l’évolutionnisme nous avait habitués à voir la matière vivante comme une substance plastique modifiée par son environnement, s’adaptant pour survivre aux conditions variables de la terre », écrivait-il dans l’un de ses ouvrages. Cependant, en 1897, René Quinton formule un nouveau principe, qui, sans nier l’Évolution, montre l’objectif final poursuivi par la vie sous toutes ses formes. Ainsi, il découvre que la vie animale apparue dans la mer, en dépit des variations au fil du temps, tend à maintenir les conditions de ses origines. Au lieu d’obéir passivement à l’influence de l’environnement, la vie résiste à ces modifications. Les formes anatomiques changent pour permettre le maintien de la température et de la concentration saline de l’environnement marin des origines.

Finalement, l’être vivant — quelle que soit la place qu’il occupe dans l’échelle animale — demeure un véritable aquarium marin dont les cellules continuent à vivre dans les mêmes conditions aquatiques qui étaient celles des cellules primitives. La maladie apparaît comme une altération de cet environnement fondamental. Cette formulation conduisit René Quinton à baser sa théorie scientifique sur une prémisse universelle qui constitua sa thérapeutique de base : reconstruire la cellule endommagée en utilisant l’eau des océans, environnement vital dont la minéralisation est toujours identique à notre milieu interne.

Son œuvre culmine en 1904 lorsqu’il publie le livre « L’eau de Mer, milieu organique » qui pose des bases solides en démontrant scientifiquement les vertus thérapeutiques de l’eau de mer. Par exemple, il mit en évidence que « toute altération de la matrice extracellulaire altère la nutrition cellulaire ».

L’expérience

Il fallait mener des expériences afin de démontrer que l’eau de mer, réduite à l’isotonie, est identique au milieu interne humain.

En 1897, dans le laboratoire du professeur Marey au Collège de France, a lieu la première expérience : saigner complètement des chiens.

Pendant huit heures, par voie intraveineuse, sont injectés 10, 4 litres d’eau de mer -104 % du poids de l’animal — sans aucun inconvénient, l’élimination rénale est parfaite.
Un second chien est complètement vidé de son sang par l’artère fémorale. Il est à deux doigts de la mort, perdant le réflexe cornéen. On lui injecte de l’Eau de Mer pendant 11 minutes : le réflexe réapparaît, le chien revient à lui, il se lève et le lendemain il déambule dans tout le laboratoire. Baptisé « Sodium », il mourra 5 ans plus tard, écrasé par un tramway.

Entre 1887 et 1904, René Quinton applique son traitement marin et accumule des observations qui lui permettent de mettre au point une « méthode » conjointement à de jeunes médecins enthousiastes, à des Professeurs émérites et des Chefs de cliniques.

René Quinton débute sa thérapeutique dans les hôpitaux de Paris, où on lui permet de traiter des cas désespérés : un patient atteint de typhus en coma terminal dont la mort est prévue le jour même, un empoisonnement à l’acide oxalique, une syphilis, un homme atteint de cirrhose hépatique, une jeune femme vidée de son sang par accouchement…

L’eau de mer isotonique, alors appelée Plasma de Quinton, injectable, produit toujours des résultats inespérés : les moribonds sont sauvés dans de nombreux cas.

Afin de clore ses expériences, René Quinton passe à l’étude des globules blancs qui, par leur fragilité, sont difficiles à maintenir vivants en milieu artificiels. René Quinton fait porter son étude sur toutes les espèces : poissons, batraciens, reptiles, mammifères et oiseaux. Dans tous les cas, les globules blancs immergés dans du liquide marin continuent de présenter tous les signes d’une vie normale.

Dans une étude récente, le Dr. José Sempere, Professeur de l’Université d’Alicante (Espagne) du Département de Biotechnologie, conclut : 

« je suis convaincu que les globules blancs se maintiennent plus longtemps dans la solution Quinton Isotonic, au-delà des 96 heures mesurées jusqu’ici. »

L’eau de mer contient la totalité des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne…

La découverte

Au début de son étude, René Quinton découvrit que l’Eau de Mer contenait 15 éléments de la classification périodique de Mendeleïev ; en poursuivant ses recherches, il en ajouta 5 de plus, tout en ayant l’intuition qu’ils y seraient tous.

Et, en effet, avec les progrès des moyens d’analyse clinique, de plus en plus d’éléments sont découverts pour en arriver à la même conclusion pressentie par le biologiste : l’Eau de Mer contient l’ensemble des éléments du tableau de Mendeleïev et dans la même proportion que dans notre milieu interne composé de différents liquides organiques comme le liquide extracellulaire, le plasma sanguin, les larmes, le liquide céphalorachidien.

C’est Henry Doffin, docteur en biologie (Faculté des Sciences de Poitiers, France) qui fait cette découverte en 1950. Plus récemment, ce sont les recherches menées à l’université de Coral Gables (Miami-USA) qui utilisent une approche molaire par « spectrométrie de diffraction de neutrons » — la méthode la plus précise jusqu’à aujourd’hui—, pour vérifier la composition qualitative du TOTUM ionominéral de l’Eau de Mer et sa concentration, qui nous donnent 78 éléments BIO-DISPONIBLES dans l’Eau de Mer naturelle à température biologique.

À l’origine, l’Eau de Mer était moins concentrée en sels minéraux que de nos jours, c’est pour cette raison qu’il faut abaisser sa concentration avec de l’eau de source peu minéralisée.

Chaque litre d’Eau de Mer contient en moyenne 300 milligrammes de dérivés prébiotiques du carbone, comme les acides aminés, les sucres, les vitamines, etc. Les ions (présents à l’état liquide, absents à l’état solide) sont des éléments chimico-électroniques naturels, transformés par le phytoplancton et le zooplancton, en chaînes naturelles. Ils agissent par effet de synergie, dans une symbiose biologique avec notre organisme dont la formulation minérale est identique à l’Eau de Mer.

En savoir plus




Un témoignage funèbre

[Transmis par Nicolas Bonnal]

Par Christian Darlot

Au cours d’une promenade en forêt, je rencontrai un gros chien, puis une dame sa maîtresse, avec qui la conversation s’engagea (le chien était beau et gentil, mais sa conversation limitée). Elle me dit s’être consacrée au dressage des chiens d’autrui depuis trois ans. Auparavant elle travaillait aux pompes funèbres, où elle a gardé des contacts, et où elle s’occupait des toilettes mortuaires et embaumements, activité dont j’ignorais tout et qu’elle décrivit avec gentillesse et bienveillance, racontant comment elle parlait aux défunts à qui elle donnait une ultime beauté, quoiqu’elle fût — dit-elle — tout à fait incroyante. Elle décrivait les employés des pompes funèbres — allez, disons les croque-morts pour appeler chat noir un félin à la robe sombre — comme de bons vivants, joyeux et aimant la vie à force de côtoyer la mort.

Fort intéressant, mais ce n’est pas la raison de ce message.

Elle dut quitter les pompes funèbres lors de la plandémie de Covid, non pour éviter de contaminer les morts — ayant raisonnablement refusé de se faire injecter un produit de composition inconnue et d’effet douteux —, mais simplement parce que les funérailles ayant été réduites à une cérémonie bâclée, la demande de soins funéraires était tombée à rien. Voilà un effet de la manœuvre covidienne auquel on ne pense pas. Combien de métiers sinistrés par les fauteurs de cette sinistre farce ?

Ses anciens collègues lui disent que l’augmentation de mortalité depuis deux ans est effarante, surtout parmi les hommes jeunes qui tomberaient comme des insectes aux frimas d’automne. Le temps d’attente aux crématoriums s’allonge comme aux urgences des hôpitaux. C’est ce qu’indiquent les statistiques dans tous les pays où la piquouse de masse a été imposée, mais la confirmation dans une ville moyenne est significative. Dans les campagnes, où les gens se connaissent, l’hécatombe est perçue depuis des mois, mais elle ne l’est pas dans les villes où, selon ce témoignage, elle a lieu aussi. Certes une hirondelle ne fait pas le printemps, et d’autres témoignages seraient nécessaires pour conclure, mais la bonne ville de D*** n’échappe pas à la tendance mondiale.

Selon mon informatrice, la génération des jeunes retraités serait beaucoup moins solide que celles de leurs aînés. Quand elle commença son métier, elle voyait beaucoup de gens très âgés et peu d’âge moyen, mais, selon elle, le macchabée a tendance à rajeunir. Mode de vie ? Alimentation ? Démocratisation des soins et volonté de lutter contre la mort après l’abandon de l’espérance religieuse ? Prudemment, elle s’en tient aux circonstances locales : le vigneron de la Côte-d’Or gagne bien sa vie, mais respire plus souvent qu’à son tour les effluves de la bouillie bordelaise et bourguignonne.

Cela n’explique pas, toutefois, la hausse de mortalité en ville.

Si ces informations sont exactes, l’espérance de vie devrait bientôt baisser en France, et force serait à l’INSEE de le reconnaître après plusieurs années de déni et les quelques contorsions d’usage. Les démographes l’admettront quelques décennies plus tard, et l’imputeront aux premiers contacts avec les extra-terrestres ou au trop grand nombre de gens curieux d’observer l’épave du Titanic. 

On vit une époque formidable ! Le progrès fait rage ! Nous avons la chance de passer notre temps sur terre pendant une période résolument moderne.

Gardarem lo moral !




S.O.S. Chaînes Infos

[Source : AVATAR Media et Nicolas Bonnal]

[Voir aussi :
L’effet CNN
et
L’implosion du Titan et le complot de la catastrophe du Titanic]




Cette période de démondialisation est temporaire : la « monnaie mondiale » arrive

[Source : aubedigitale.com]

Par Kane McGukin

Où allons-nous ? Difficile à dire, mais une chose est certaine. C’est un avenir qui semble bien différent du passé que nous avons connu.

C’est l’un des fondements dont Ray Dalio parle de temps à autre. Les gens et les sociétés ont tendance à s’habituer à la situation actuelle. Ils se laissent emporter par les bonnes et les mauvaises choses et s’attendent à ce qu’elles se poursuivent à l’infini, et c’est précisément à ce moment-là que survient le changement. Au moment où tout le monde s’attend à ce que l’ambiance actuelle se poursuive, elle bascule. Dans son article intitulé « Les changements de paradigme », il examine plus en détail certaines des ramifications de ce phénomène.

Depuis le début des années 1900, nous avons connu la mondialisation. Elle rapproche lentement les gens et les pays et les connecte, même au milieu des guerres et des périodes de protectionnisme. Nous avons mondialisé les personnes au début du XXe siècle, mais après les guerres (Première et Seconde Guerre mondiale), il était courant que les gens voyagent à l’échelle internationale, mais que les affaires restent essentiellement locales. Ce n’est que dans les années 80 et 90 que les entreprises ont vraiment commencé à se mondialiser, une fois que l’infrastructure numérique a été mise en place. Pendant la période intermédiaire, je ne peux qu’imaginer que l’on a eu l’impression d’assister à une démondialisation, comme on l’entend dire aujourd’hui. Et à certains égards, c’est vrai. Nous constatons que les gens recommencent à se localiser. Les confinements ont contraint les individus à rester sur place. Les chaînes d’approvisionnement se sont rompues et les pays ont commencé à reconsidérer la question de l’externalisation. Ils ont tous commencé à se retrancher et à ramener le travail à l’intérieur de leurs frontières afin de créer des protections et d’éviter les faiblesses évidentes.

Toutefois, je pense que cette période de démondialisation est temporaire. Elle ne sert qu’à ajouter une troisième jambe au tabouret, l’argent mondial.

C’est pour que nous puissions comprendre comment travailler dans un monde où les gens, les entreprises et l’argent sont globaux. C’est une période où nous pouvons définir de nouvelles règles nécessaires pour gérer un monde qui a besoin de beaucoup plus de liquidités, de nouveaux actifs financiers et de réseaux comme le Bitcoin, qui fonctionnent tous sur l’Internet. Comme dans les années 1940, je suppose que des consortiums se réunissent en secret pour réécrire et fixer de nouvelles règles. Des réunions du type Bretton Woods 2.0, où les parties en présence définissent la manière dont les capitaux circuleront et les pays qui seront les opérateurs de ce nouveau monde.

Pour la première fois dans l’histoire, les personnes, les entreprises et l’argent seront véritablement mondiaux par nature. Ils se déplaceront facilement d’une juridiction à l’autre. Ils circuleront comme de l’eau, sans que rien ne les arrête. Les signes sont là.

La bataille pour le futur

Ce n’est pas seulement le Bitcoin qui se bat contre les banques pour le pouvoir sur le réseau financier. Ce sont les utilisateurs qui se battent contre les plateformes en nuage. Ils se retirent pour exploiter leurs propres nœuds et protocoles de messagerie. Les Subreddits se retournent contre Reddit. Tout cela à cause d’une monnaie non mondiale brisée. En outre, de nombreux autres points de centralisation semblent s’effondrer. En ligne et hors ligne, dans nos mondes physiques et numériques. Pourquoi ? Parce que nous avons atteint ce point.

Il y a quelques années, nous approchions du sommet. Tout était rose et l’on pensait que la fête continuerait. Les choses ne pouvaient que s’améliorer. Nous étions au sommet du monde et personne ne pouvait imaginer que les choses n’allaient pas s’améliorer. Comme l’a souligné Ray, c’est à ce moment-là que les choses changent. C’est à ce moment-là que se produisent les changements de paradigme. Quand on s’y attend le moins. Lorsque la ou les prochaines décennies sont radicalement différentes des précédentes. Diaboliquement différente.

Dans le commerce de détail, c’est l’essor de l’artisanat. Le passage de la grande distribution à la petite entreprise familiale ou au restaurant sans chaîne. Aujourd’hui, près d’une décennie plus tard, ce mouvement est omniprésent. Les développeurs créent des protocoles de messagerie pour redonner des libertés à l’utilisateur final par rapport aux entreprises. Les nœuds conservent les fichiers, gèrent l’argent et les flux de données. Les gens prennent position. Petit à petit, nous cherchons à contrôler et à posséder les choses qui nous reviennent de droit, mais qui ont été stockées et exploitées par des propriétaires indélicats, des rentiers.

Un changement de paradigme est et a été à l’ordre du jour. Un changement de paradigme qui ressemblera à une démondialisation jusqu’à ce que le problème de l’argent soit résolu. Ensuite, nous reviendrons à la mondialisation, qui ressemblera probablement à l’époque où les avions et les navires commerciaux transportaient les gens en masse à travers les océans. Ou lorsque l’internet a permis aux plans d’affaires, aux accords et aux usines d’expédier des produits à l’échelle mondiale.

Cela créera un nouveau monde. Un monde plus connecté. Un monde plus global qui offre plus d’opportunités [NDLR plus d’opportunités de contrôler les masses et de les asservir ?].

Traduction de Bomb Thrower par Aube Digitale




La liberté comme manifestation d’une mission supérieure

Un texte de notre ami Iurie Rosca sur notre condition apocalyptique de bestiau vacciné et numérisé et abruti et affamé : La liberté comme manifestation d’une mission supérieure (préface de l’édition roumaine en cours de parution du livre de Youssef Hindi « COVIDISME et MESSIANISME. Tyrannie sanitaire, crise religieuse et sacrifice »)

Nicolas Bonnal

Par Iurie Roșca

Youssef Hindi est l’un des auteurs français les plus importants qui forme le noyau dur de la nouvelle génération de penseurs dans la famille de la résistance intellectuelle au mondialisme. Son œuvre — assez vaste pour un si jeune âge — montre une érudition, une connaissance profonde de l’histoire, des religions et de la géopolitique, ainsi qu’une grande acuité dans l’analyse des phénomènes économiques ou sociaux. Ses livres, ses articles et ses conférences publiques sont le résultat d’une opposition radicale au système politico-économique et idéologique-médiatique dominant. Toute manifestation publique de Youssef Hindi est un plaidoyer brillant contre cette religion laïque aux multiples facettes et qui est devenue obligatoire pour l’Occident collectif mondialisé ; l’idéologie axiomatique de l’universalisme occidentaliste.

Youssef Hindi attaque avec des arguments irréfutables tous les mythes fondateurs de l’Occident qui sont a sombré dans la modernité et le progressisme nihiliste : la Renaissance et la Réforme, le siècle des Lumières, la Révolution française, le triomphe du paradigme libéral et la religion des droits de l’homme, et bien d’autres émanations du messianisme corrosif, sous sa forme religieuse ou sécularisée.

Il y a en France, une tradition de remise en question du « politiquement correct » et de la « pensée unique », mais le mérite indiscutable de Youssef Hindi réside dans une vision profondément religieuse du sens de l’histoire, et une analyse théologico-politique de tous les phénomènes historiques, politiques, sociaux, sociétaux et idéologiques qui sont traités dans ses œuvres. Contrairement à la grande majorité des dissidents de l’espace occidental et principalement de la France, qui avancent une grille de lecture de la réalité à partir d’une perspective matérialiste, économiste et anthropocentrique, Youssef Hindi a une perspective métaphysique. Étant lui-même un croyant, ce qui est déjà une rara avis [NDLR latin : « oiseau rare »] dans la France d’aujourd’hui, sa perception des phénomènes majeurs dans le monde est transmise au lecteur avec une force argumentative singulière.

Marocain d’origine, l’écrivain, historien des religions et géopolitologue a baigné dans la culture française dès son enfance. Il sait s’adresser au lecteur avec un référentiel traditionnel, mais parfaitement adapté aux réalités de la France d’aujourd’hui. Le musulman Youssef Hindi parle le même langage que les catholiques, à l’instar du politologue et l’écrivain Pierre Hillard, dont le travail mérite d’être connu du lecteur roumain. On pourrait dire que son plaidoyer rejoint parfaitement la vision du célèbre sociologue et écrivain Alain Soral.

Lorsque Soral a lancé le mouvement « Égalité et Réconciliation », il est parti de la nécessité d’une coopération étroite entre les Français de souche, de la tradition catholique, et les Français issus de l’immigration, notamment musulmane. Dans le même temps, le concept de Soral vise à unir la « droite des valeurs » et la « gauche du travail », c’est-à-dire établir la jonction entre les valeurs culturelles et civilisationnelles de droite et les valeurs socio-économiques traditionnellement défendues par la gauche. Face à l’ennemi commun, les deux communautés doivent former une alliance pour résister et finalement rejeter la domination d’une clique judéo-protestante du grand capital qui a subordonné l’État, et qui enfonce les peuples du monde dans la paupérisation et l’extinction.

Contrairement à d’autres auteurs, Youssef Hindi ne tombe pas dans le piège d’un économisme vulgaire et ne cherche pas d’explications exclusivement matérialistes de la concentration du capital et du pouvoir politique mondial par les forces occultes derrière les acteurs politiques décoratifs à la tête des États et organismes internationaux. Il démontre de manière convaincante la motivation profondément religieuse et éminemment maléfique de ces centres de pouvoir, obsédés par l’établissement du Nouvel Ordre Mondial sous le règne d’un Gouvernement Mondial.

En ce sens, le présent livre, publié originellement en langue française en 2021, est une réaction au déclenchement de l’opération spéciale d’envergure mondiale « Covid-19 ». Youssef Hindi remonte aux origines ancestrales de ce type de manifestation religieuse fondée sur le sacrifice humain. D’ailleurs, la qualité morale et la profondeur intellectuelle de tous les auteurs et des personnalités publiques peuvent être vérifiées en fonction de leur réaction ou de leur absence à la fausse pandémie initiée en 2020 et au Grand Reset lancé immédiatement après le début de cette opération covidienne.

Notre auteur nous présente la dimension vraiment apocalyptique du scénario derrière le discours officiel de l’idéologie du covidisme, déchiffrant la motivation cabaliste-talmudiste des auteurs de ce génocide par injection de la population mondiale. La tyrannie de l’État qui a accompagné cette fausse pandémie, l’imposition de mesures liberticides, l’absence de légalité, la destruction délibérée de l’économie, l’appauvrissement méthodique de la population, aggravée par l’injection forcée de produit expérimental et dangereux, provoquant la mort subite, les fausses couches de masse et la modification génétique de l’homme qui ne sont là qu’une partie des effets sinistres de cette opération.

J’aimerais ici sortir un peu du travail de notre auteur et souligner un aspect fondamental pour comprendre la situation géopolitique réelle à l’échelle mondiale. Personnellement, j’ai défini la nouvelle situation internationale qui a été créée avec le début de la plandémie COVID-19 par la formule « fin de la géopolitique classique ». La nouvelle réalité géopolitique semble avoir dépassé la formule de Carl Schmitt du conflit insurmontable entre la thalassocratie (la puissance de la mer) et la télurocratie (la puissance de la terre) ; la première étant incarnée par les Anglo-saxons, l’Occident ou atlantistes, et la seconde étant attribuée à la Russie de Poutine et à l’hypothétique alliance russo-chinoise agrégeant d’autres puissances continentales qui forment l’Eurasie. Cette perspective nous présente également le conglomérat éphémère et éclectique BRICS comme une alternative réelle à l’hégémonisme anglo -américano-israélien.

Récapitulons. Les États-Unis sous le mandat de Donald Trump (présenté par les naïfs comme une alternative à « l’État profond », ignorant son affiliation à la secte hassidique Chabad-Lubavitch) ont imposé les mesures les plus draconiennes de tyrannie sanitaire. Sous le mandat de Poutine, la Russie a suivi docilement et avec zèle les mêmes politiques génocidaires imposées par les mondialistes satanistes à travers l’OMS. Le chinois Xi Jinping (considéré par les naïfs comme une alternative à l’empire sioniste-protestant thalassocratique des États-Unis) a appliqué une terreur généralisée sur sa propre population, en étroite collaboration avec les centres du pouvoir mondialiste. Aucun pays du groupe des États prétendument rebelles à l’axe Washington- Bruxelles-Tel-Aviv, surnommé BRICS, ne s’est opposé au terrorisme médical et au vaccinisme sataniste imposés sous prétexte du faux virus de la COVID-19, qui est en fait une arme biologique de destruction massive.

[Voir aussi :
Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique]

La leçon fondamentale du covidisme devrait donc être d’abandonner les illusions de multipolarité et d’accepter une réalité géopolitique frappante d’unipolarité avec un sens vraiment démoniaque et apocalyptique. Cela est d’autant plus vrai que dans le cas de notre auteur nous avons une personne profondément religieuse et en même temps un expert dans l’histoire des religions juive, chrétienne et musulmane.

« Les signes des temps » (René Guénon) que Youssef Hindi décrypte sont vraiment sombres, et l’ombre de la mort plane sur toute l’humanité. Et puisque nous sommes humains, il ne nous est pas donné de savoir si nous sommes témoins « de la fin du monde » ou « de la fin de ce monde » (pour revenir à la cyclicité hindoue si chère à René Guénon), notre auteur reste fidèle à la vérité et à la justice et à sa vocation d’exposer les manifestations démoniaques du monde d’aujourd’hui. Si Dieu nous permet de voir la fin de ce cycle historique et même un nouveau commencement, ce sera celui qui mettra à la place d’honneur la contribution d’intellectuels comme notre auteur à la sortie du GOULAG libéral contemporain. Mais même si nous vivons les derniers accords de l’histoire humaine, Youssef Hindi n’abandonne pas sa mission, affirmant sa liberté en usant de son don de diagnostiquer profondément l’état du monde actuel.

Iurie Roșca

P.S.: Nous vous rappelons que le premier livre de Youssef Hindi publié en roumain sous les auspices de l’Université populaire de Chisinau est « La mystique de la laïcité » (2018).




L’implosion du Titan et le complot de la catastrophe du Titanic

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Le submersible Cyclops 1 d’Ocean Gate exposé au Musée de l’histoire et de l’industrie de Seattle (MOHAI) (CC BY-SA 4.0)]

Par Aurelien Girard

Le Titanic n’a jamais coulé. Le secret en était bien gardé, car il s’agissait d’une juteuse arnaque aux assurances, durant laquelle un autre navire, l’Olympic, a remplacé le géant des mers au fond de l’Atlantique Nord. À l’époque, les propriétaires des deux navires, soutenus par le banquier JP Morgan qui voulait éliminer quelques rivaux, ont substitué le Titanic flambant neuf par l’Olympic, navire plus vieux et endommagé et ont délibérément provoqué la collision avec un iceberg. Les passagers du sous-marin Titan, disparu lors d’une plongée autour de l’épave, pourraient avoir fait les frais de s’être approchés un peu trop près de la vérité.

Vous venez de lire le résumé d’une des plus grandes « trends », les tendances du réseau social TikTok, avec près de 5 millions de vues et un positionnement tout en haut de la liste des recommandations du réseau chinois. Pourquoi pas, direz-vous, puisque les complots et les arnaques à l’assurance existent depuis fort longtemps. Pourquoi pas, en effet, jusqu’à ce que cinq toutes petites minutes permettent de trouver les analyses d’historiens — non financés par JP Morgan — qui ouvrent une grosse voie d’eau dans cette accusation. Cinq minutes que les utilisateurs de TikTok auront mobilisées uniquement pour relayer l’information et lui permettre de s’amplifier, plutôt que pour la vérifier.

Cette même semaine dernière, le Pr Didier Raoult est reparti à l’offensive contre tous ceux qui l’accusent d’avoir mené des essais cliniques sauvages ; il affirme que le pouvoir tente d’étouffer sa découverte, car elle gêne le Big Pharma. Oui, persiste-t-il, il a sauvé de la mort des milliers de personnes grâce à l’hydroxychloroquine. Mais, indique-t-il aux centaines de milliers de personnes qui le suivent sur Twitter, gouvernement comme industriels se sont ligués pour le détruire, défendre leurs intérêts et vendre des vaccins peu efficaces et parfois dangereux. Pourquoi pas, là encore… les données scientifiques sur les vaccins anti-Covid — de même que l’expérience de terrain des vaccinés, ne parlent pas en leur faveur. On peut aujourd’hui encore débattre, pourquoi pas. Jusqu’à ce qu’une recherche un peu plus approfondie montre que Didier Raoult a falsifié une partie de ses résultats pour les faire aller dans le sens de son intérêt. Les journalistes ou scientifiques qui le disent sont systématiquement accusés d’être vendus au système : « Un coup de canif dans le serment d’Hypocrate. » (sic) dit doctement @libertés_ ; « Les procès arrivent », entonnent d’autres en se ralliant derrière le hashtag #Nuremberg2 à destination des « crasseux propagandistes au service de la doxa » (@StephanCaraibes)

Dernière actualité, le brutal revirement du groupe Wagner en Russie, samedi 24 juin, anime les débats des nouveaux spécialistes en géopolitique : la tentative supposée de coup d’État était une habile diversion de Vladimir Poutine qui, en conduisant à un déplacement des troupes de Wagner vers la Biélorussie, leur aurait permis de se rapprocher de Kiev. Ou bien, à Moscou, un génie du mal dans l’ombre pourrait avoir placé ses pions pour discréditer à la fois le chef de Wagner et le président Poutine afin de préparer une transition politique ; à moins, comme l’indique un autre membre populaire de Twitter, que ce ne soit un nouvel exemple du « complot sioniste » qui depuis si longtemps sait qu’il faut diviser pour mieux régner, complot déjoué par Poutine. Dans une guerre comme en politique, les tactiques diverses existent, pourquoi pas, donc. Le banquier juif a, par contre, bon dos dès que quelque chose va mal quelque part, traînant derrière lui un cortège bariolé composé de la CIA, des Fortune 500, de Rockefeller et du fonds d’investissement BlackRock, pour n’en citer que quelques-uns.

Partout, la vitesse de l’information fait exploser les cerveaux contraints à des paris non mesurés sur le vrai et le faux, paris généralement posés sans la moindre compréhension réelle des sujets. Quel meilleur chemin vers le totalitarisme qu’une période où il suffit d’exploiter les leviers de la bêtise humaine et de la plausibilité partielle pour créer des réactions en chaîne ? Si les théories du complot sont une réaction biologique au sentiment d’une omniprésente manipulation par les puissants, elles font de leurs consommateurs des sortes de zombies prêts à tout croire, plus manipulables encore. La solution pour tous serait peut-être une assez longue détox digitale, le temps par exemple de lire Montaigne et de développer comme lui un scepticisme bienveillant. Les grands esprits du passé nous ont laissé assez de leçons à cueillir pour ne plus être emportés au moindre coup de vent.




Pour une défense internationaliste et anti-impérialiste de la langue française et de la francophonie internationale

Une déclaration commune du Parti Communiste du Québec et du Pôle de Renaissance Communiste en France

[Source : initiative-communiste.fr]

[Note de Joseph relative à l’illustration tirée du site du PCQ : peut-on réellement revendiquer la liberté tout en portant un masque signe d’asservissement ?]

Face à la politique anti-culturelle destructrice du tout-globish porté par l’Axe euro-atlantiste,

POUR UNE DÉFENSE INTERNATIONALISTE ET ANTI-IMPÉRIALISTE DE LA LANGUE FRANÇAISE ET DE LA FRANCOPHONIE INTERNATIONALE,
UNE DÉCLARATION COMMUNE DU PARTI COMMUNISTE DU QUÉBEC et du PÔLE DE RENAISSANCE COMMUNISTE EN France – 24 juin/14 juillet 2023
https://www.pcq.qc.ca/Dossiers/Autres/Archives/page_article.php?article_id=8366


À la suite de plusieurs rencontres bilatérales qui se sont tenues dans un climat fraternel de compréhension mutuelle, le P.C.Q. et le P.R.C.F. ont rédigé la Déclaration conjointe qu’ils décident de publier l’un et l’autre lors deux journées importantes. Le 24 juin d’abord, fête nationale du Québec et jour du 189e anniversaire du banquet historique de Montréal, prélude à la lutte des Patriotes de 1837-1838 ; lors de ce banquet, le premier toast fut porté aux convives par le leader patriote Ludger Duvernay, qui disait : « Au peuple, source primitive de toute autorité légitime ! ».

Le 14 juillet ensuite, jour de la fête nationale de la République française, 234e anniversaire de la Prise de la Bastille et 88e anniversaire du rassemblement fondateur du Front populaire antifasciste. Ce mois de juillet 2023 aura une saveur d’autant plus particulière qu’il marquera la 230e année de l’entrée de Robespierre au sein du Comité de salut public.

VIVE L’AMITIÉ ENTRE LE PCQ ET LE PRCF ! VIVE LE COMMUNISME ET L’INTERNATIONALISME PROLÉTARIEN !


REFUSER ENSEMBLE UNE POLITIQUE LINGUISTIQUE ET CULTURELLE IMPÉRIALISTE, CAPITALISTE ET HÉGÉMONISTE, QUI CONSTITUE UNE MENACE À LA DIVERSITÉ LINGUISTIQUE MONDIALE EN GÉNÉRAL, ET A LA LANGUE FRANÇAISE ET A LA FRANCOPHONIE EN PARTICULIER

Déclaration conjointe du Parti Communiste du Québec et du Pôle de Renaissance Communiste en France — 24 juin 2023/14 juillet 2023

Au Québec et en France comme à l’échelle des cinq continents où le français constitue la langue maternelle des citoyens (c’est-à-dire dans nombre de pays d’Afrique, en Belgique francophone, en Suisse romande, dans le Val d’Aoste…), ou demeure du moins une de leurs langues de travail ou de référence, une politique linguistique impérialiste promouvant méthodiquement l’anglo-américain aux dépens du français et du fait francophone international est agressivement menée. Cette politique linguistique et culturelle hégémoniste est arrogamment portée depuis des décennies par les États impérialistes anglo-saxons, USA et Royaume-Uni en tête.

Sur le Vieux Continent, cette stratégie politico-culturelle tendant à écarter le français et d’autres langues nationales en vue de leur substituer méthodiquement le « tout-anglais » de l’euro-mondialisation néolibérale, est cyniquement relayée par l’Union européenne, qui est de plus en plus ouvertement soumise à l’OTAN et à sa ligne de maintien à tout prix de l’hégémonie planétaire de Washington. Cette orientation linguistique délétère vise aussi du reste l’usage de l’allemand en Allemagne et en Autriche, de l’italien en Italie et au Tessin, du polonais en Pologne, etc. Son but est d’instaurer à marche forcée, avec le soutien plus ou moins déclaré et complice des oligarchies financières mondiales, d’une large partie du grand patronat et de nombre de médias à leur solde, une langue unique mondiale du travail et des échanges.

Sa généralisation et son officialisation, éventuellement couplée au basculement en cours des forces productives au « tout-numérique » et à l’extension immodérée de l’intelligence artificielle, seraient ravageuses, non seulement pour la culture, la souveraineté et l’existence nationale de nombre de peuples et de pays, non seulement pour la diversité et pour le pluralisme linguistiques indispensables au dynamisme culturel de l’humanité, mais pour l’ensemble des acquis sociaux et salariaux des travailleurs salariés ou non (artisans, pêcheurs, petits commerçants, petits et moyens paysans et éleveurs…) de tous les pays. En effet, ces derniers seraient (et sont déjà pour une part) contraints de travailler exclusivement dans la langue de l’impérialisme américain, quant à celles et ceux qui la parleraient peu ou avec difficulté, ou qui la prononceraient avec un accent par trop perceptible (les non « English Mother Tongue »), ils seraient de fait mis à l’écart ou déclassés : en un mot, discriminés.

À cela s’ajoute, au Québec comme dans les régions du Canada où subsistent des minorités francophones, une politique discriminatoire de longue durée contre les minorités francophones malmenées, affaiblies, quand ce n’est pas tout simplement anglicisées pour une bonne part, conséquence de plusieurs décennies de lois iniques, humiliantes, qui rendaient illégal l’enseignement du français : ce fut le cas, par exemple, au Manitoba en 1916… et ce n’est qu’en 1976 que fut rétabli le statut de l’enseignement du français dans cette province, alors qu’une grande partie des Franco-Manitobains étaient passés entre-temps à l’anglais. Le même scénario, à quelques variantes près, se produisit ailleurs, notamment pour le peuple acadien dans les Provinces de l’Atlantique, les Franco-Ontariens, les Fransaskois, etc.

De tout cela, il reste encore des séquelles irréversibles quand ce n’est pas la perte de la langue. Et il en est de même aux États-Unis, notamment dans l’État de la Louisiane où des milliers d’Acadiens furent déportés dès 1755 lors du Grand dérangement, de ces États du Midwest américain et de la Nouvelle-Angleterre où des millions d’immigrants économiques canadiens-français (comme on disait à l’époque) se sont établis dès le XIXe siècle. Tous ces Franco-Américains ont pour une très grande majorité perdu leur langue, y compris dans plusieurs cas leurs patronymes qui ont été anglicisés (les Boisvert devenant des Greenwood, les Lebrun des Brown et ainsi de suite).

La volonté ancienne des élites anglophones du Canada, soutenus par leurs valets canadiens-français partisans du « bonententisme » ou tout simplement collaborateurs, avec l’assentiment tacite et le soutien redoutable de Washington et de Londres, de déchoir le français et d’imposer leur langue (celle des maîtres), ont contribué à tenir en lisière le français, à minorer le Québec, à neutraliser toutes les tentatives québécoises de défendre efficacement le français, à maintenir ou alourdir insidieusement des formes d’oppression nationale et linguistiques. Cela ressemble d’une certaine façon au chauvinisme grand-russe que décriait Lénine en son temps. L’objectif étant, on l’aura compris aisément, d’en arriver à terme à l’assimilation pure et simple des ci-devant francophones en phagocytant culturellement et économiquement le Québec. D’autant que sur le plan international, ce dernier fait en effet figure d’obstacle tenace à la liquidation du français et de la Francophonie internationale et que sa simple existence fait échec, en pleine Amérique du Nord, à la mise en place d’un Grand Marché Transatlantique linguistiquement « dé-segmenté » se prêtant mieux encore qu’aujourd’hui à la « mise en concurrence libre et non faussée » des Traités libre-échangistes transatlantiques…

En France même, les présidents euro-formatés qui se sont succédé depuis le départ de Jacques Chirac, ont tous contribué à l’affaiblissement structurel du français. Ils ont tous insidieusement promu le basculement du pays au tout-globish en ignorant l’article II-a de la Constitution française qui dispose que « la langue de la République est le français » et en fermant les yeux sur la loi qui stipule que« le français est la langue du travail, des échanges et de l’enseignement ». Ces atteintes à l’officialité du français culminent avec Emmanuel Macron qui, en parfaite collusion avec le Premier Ministre canadien Justin Trudeau, bloque tout effort pour faire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (O.I.F.) un espace de résistance mondial à l’uniformisation linguistique.

Ajoutons qu’il est difficile de voir une forme d’émancipation anti-impérialiste dans la décision quasi simultanée prise par plusieurs gouvernements du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne de déclasser scolairement le français, héritier, certes, d’un colonialisme (fort heureusement déclinant et en crise), au profit d’un anglo-américain porté par un Empire mondial belliciste et avide d’expansion tous azimuts. Au bout du compte, cette politique revient à déshabiller Pierre pour habiller Paul en ciblant, non sans raison, l’impérialisme déclinant pour mieux adouber l’impérialisme planétairement hégémonique.

QUELQUES OBSTACLES IDÉOLOGIQUES À SURMONTER ENSEMBLE

De manière encore plus préoccupante, un certain gauchisme culturel de nature pseudo-internationaliste limite ou paralyse, inégalement selon les pays, la résistance des masses populaires et du mouvement ouvrier à l’alignement linguistique continental et mondial des peuples, certaines forces ayant intégré l’idée fausse que toute défense des caractéristiques nationales d’un peuple serait assimilable à une forme de chauvinisme xénophobe. Certes le colonialisme français a pu naguère utiliser le français pour nier l’identité des peuples colonisés ou pour refouler les langues indigènes — ce que n’a nullement fait, soit dit en passant, l’URSS qui appliqua la ligne linguistique léniniste dans ses quinze Républiques constitutives en donnant un alphabet et une littérature à de nombreuses langues parlées sur le territoire de l’Union. Au Canada, le français a pu servir, comme l’anglais, à refouler les langues amérindiennes préexistantes et il en a été de même en Afrique « française ».

Il va de soi que, en tant qu’internationalistes, le PCQ et le PRCF se prononcent pour que toutes ces langues disposent de moyens étatiques importants pour retrouver leur dignité et leur dynamisme. Mais la dénonciation du colonialisme hérité du passé et se survivant au présent sous la forme de la « Françafrique » néocoloniale (dont le recul au Mali ou au Burkina Faso est une excellente chose), ne doit pas servir de prétexte pour justifier, ou pour accompagner en silence l’entreprise culturelle néocoloniale d’envergure planétaire qui vise à soumettre désormais toutes les nations, toutes les langues et toutes les cultures existantes à une seule d’entre elles, celle qui émane de l’espace impérialiste-hégémonique anglo-saxon, et dont la domination en marche cherche encore à s’étendre et à s’intensifier au moyen d’une dé-segmentation sauvage et débridée de l’espace linguistique.

En effet, une telle dé-segmentation affranchie de tout contrôle populaire et de tout mandat démocratique conféré par les peuples n’aurait d’autre but que d’aggraver comme jamais la domination culturelle, commerciale, politique, voire militaire du capitalisme, de l’impérialisme et de l’hégémonisme : en un mot, la résistance au colonialisme d’hier ne peut servir à justifier la collaboration tacite, par omission, de certaines forces prétendument progressistes à l’hégémonisme planétaire d’aujourd’hui et de demain.

Plus généralement, il ne faut pas davantage confondre le patriotisme populaire et démocratique avec le nationalisme xénophobe, qu’il ne convient d’identifier le cosmopolitisme capitaliste des chasseurs de profit avec la solidarité internationale des peuples et des travailleurs en lutte ! C’est pourquoi nous, communistes français et québécois, appelons ensemble à une offensive linguistique de nature anti-impérialiste, anticapitaliste et anti-hégémoniste. C’est d’autant plus nécessaire que des forces de droite, voire d’extrême-droite comme l’est en France le Rassemblement lepéniste, exploitent et dévoient les justes aspirations des peuples à défendre leur souveraineté et à parler fièrement leur propre langue maternelle pour, en réalité, encourager le racisme et la xénophobie, diviser la classe travailleuse sur des critères « ethniques », tout en maintenant la France dans le carcan des institutions mortifères de la mondialisation capitaliste et euro-atlantiste !

En outre, certains milieux politiques et syndicaux qui se réclament de la gauche sous-estiment les enjeux culturels du combat de classe et persistent, malgré la réfutation léniniste bien connue de l’« économisme » menchévique et social-démocrate, à cantonner la bataille sociopolitique sur le seul terrain économique et social, en un mot, sur le terrain syndical. C’est ignorer l’appel de Lénine à investir l’ensemble des terrains sociétaux en mettant la classe ouvrière et son parti communiste au premier rang des luttes démocratiques et culturelles, dont font partie la défense de la langue nationale et, plus largement, celle de la souveraineté nationale. Comme l’a en effet écrit Antonio Gramsci, le grand dirigeant communiste et antifasciste italien qui était par ailleurs linguiste de formation :

« À chaque fois qu’affleure, d’une manière ou d’une autre, la question de la langue, cela signifie qu’une série d’autres problèmes est en train de s’imposer : la formation et l’élargissement de la classe dirigeante, la nécessité d’établir des rapports plus intimes entre groupes dirigeant et masse national-populaire, c’est-à-dire de réorganiser l’hégémonie culturelle. »

Ce serait donc une faute opportuniste que d’abandonner à la partie « nationale » de la bourgeoisie d’un pays donné le rôle dirigeant dans la lutte culturelle, politique et linguistique, et c’est cette erreur que n’a nullement commise le Parti Communiste Français quand, par exemple, en pleine occupation allemande, il publiait sous la direction d’Elsa Triolet et de Louis Aragon la revue clandestine « Les Lettres françaises ».

DES AXES SOCIOPOLITIQUES POUR UNE POSSIBLE CONTRE-OFFENSIVE CULTURELLE COMMUNE

Plus que jamais, il faut donc lier les enjeux culturels et sociétaux de l’affrontement de classes avec les dimensions socio-économiques de la lutte. C’est du même mouvement que, dans leur course obsédante au profit maximal, le capital oligarchique s’en prend aux conquêtes sociales des travailleurs, aux services publics, à l’emploi industriel, halieutique et agricole national, et qu’il démolit aussi l’ensemble des repères linguistiques, historiques et culturels des peuples, car un peuple privé de sa langue et de sa mémoire n’est plus qu’une multitude avilie, sans défense et privée de dignité. C’est donc ensemble que notre classe, celle des travailleurs salariés, doit défendre l’ensemble de ses acquis, non pas pour rester figée sur eux, mais pour les étendre, tout en défendant, à l’échelle mondiale, l’idée généreuse de nations souveraines, égales et fraternelles partageant leur diversité culturelle pour construire une nouvelle société débarrassée de l’exploitation capitaliste et de l’oppression impérialiste : une société socialiste en marche vers le communisme.

C’est également ensemble, et si possible sur le plan international, comme cette première déclaration émanant d’organisations communistes francophones s’y emploie modestement, qu’il faut réfléchir à une nouvelle conception de la Francophonie, une conception franchement anticolonialiste, anti-impérialiste et faisant droit comme jamais au partage fraternel et à égalité de ce bien commun des peuples de la Francophonie qu’est la langue française, que ces peuples vivent en Afrique, en Amérique, en Europe ou en Océanie. Comment, par exemple, promouvoir ensemble la chanson, la poésie, la littérature, la philosophie, le théâtre, le cinéma, la science, la technique, etc. d’expression française en lien fécond avec les luttes sociales, culturelles, féministes, environnementales et civiques de nos peuples respectifs ?

C’est dans cet esprit qu’il importe de travailler dans les syndicats ouvriers, enseignants, étudiants, paysans, pour que grandisse la conscience sociolinguistique et socioculturelle offensive qui permettra aux travailleurs et à leurs organisations de classe de prendre la tête, sans pour autant s’isoler d’autres secteurs non oligarchiques défenseurs de la culture nationale et de la langue française, de la bataille culturelle contre le basculement à la langue unique imposée par l’impérialisme étasunien en mal d’hégémonie panaméricaine, paneuropéenne, panafricaine et si possible mondiale.

Cela implique aussi de tendre la main, dans un esprit de lutte et de résistance fraternelle commune, aux peuples autochtones opprimés, là où il en existe, afin de rendre toute leur place à leurs langues et à leur culture d’origine, mais aussi aux travailleurs issus de l’immigration : il faut forcer le pays capitaliste d’accueil qui veut les (sur-)exploiter, à enseigner dans ses écoles, non seulement l’anglais ou d’autres langues européennes comme c’est déjà le cas, mais les principales langues de l’immigration également.

En conclusion, souvenons-nous que, pour nous marxistes— léninistes, la libre fusion des nations au sein d’une humanité communiste future, riche de sa diversité, ne signifiera en rien l’écrasement des nations petites et moyennes, et avec elles celui de leurs langues et cultures. Elle signifiera moins encore le triomphe d’une super-nation d’autant plus oppressive qu’elle aurait réduit toutes les autres, par les armes, et/ou, plus hypocritement, par ce que ses admirateurs nomment le « soft power », à l’impuissance et à l’état définitif de subalternes. Non sans ouvrir la voie, de manière compensatoire, à de terribles contre-attaques xénophobes, racistes et fascisantes, car il n’est jamais anodin de priver les peuples de leur langue, c’est-à-dire de leur libre accès à la parole collective… Bref, pour pasticher l’écrivain italien Umberto Eco, la langue du monde à venir ne saurait être le tout-globish du Grand Marché capitaliste imposé par la guerre, par le conditionnement scolaire et/ou par le harcèlement médiatique incessant, mais la traduction. Ce qui passera notamment par la capacité de chaque humain à parler plusieurs langues sans sacrifier la sienne, à cent lieues de toute langue unique imposée, fût-ce, bien évidemment, le tout-français !




Le coup d’État aux USA

[Source : Ciel Voilé]




[Voir aussi :]




La CGT ou comment ce faux syndicat des travailleurs est-il devenu (lui aussi) trieur de Juifs…

Par Lucien SA Oulahbib

En régime communiste il n’y a pas de syndicats indépendants, mais des relais de surveillance qui jetaient au gnouf les travailleurs récalcitrants avant de les zigouiller s’ils jouaient à la forte tête. Cela n’a pas changé : un de ses représentants actuels (mais au sourire d’ange) juge en effet qu’un « bon » juif lorsqu’il n’est pas de gauche est un juif qui devrait prendre la direction d’Auschwitz ou de Dachau (et non pas de Limoges), on se perd alors en conjectures. La secrétaire générale de la CGT ose ensuite parler de « Vichy » ce qui n’a rien à voir, surtout juridiquement parlant : l’amalgameur cheminot de son état aura cependant beau dire que sa langue aura fourché comme le lui conseille sa Kapo il n’en reste pas moins qu’il n’a pas parlé de Vichy… Du moins selon des témoins dont des « policiers » (achetés eux aussi par Poutine ou l’ex-patron de Wagner ?)…

Mais oui, opérons un peu l’amalgame nous aussi puisque la CGT désormais le permet : au moindre écart d’un « migrant » sur une mémé, traitons-le de fomenteur potentiel de futurs attentats style du 11 septembre ou du Bataclan. Sommons-le de se repentir un genou à terre de la traite arabo-musulmane qui a été mille fois pire que la traite transatlantique. Qu’il s’excuse de la conquête de l’Inde qui a été l’un des plus grands massacres jamais connus (sauf peut-être celui de Trajan contre les Juifs). Si ce n’est pas toi, c’est donc ton frère….

Par contre, si vous critiquez le nihilisme de la CGT défendant l’abolition des frontières (de fait), alors vous êtes vichyste, car les immigrés clandestins sont des juifs qui s’ignorent, mais oui. Même les LGBT clavier azerty aussi se prennent pour des juifs puisqu’ils disent que l’« extrême droite » est leur « pire » ennemi. Les pauvres. Encore des doctes oubliant, oups (non : « GAV »), les pendus homosexuels de Ryad et de Téhéran…

Aussi la madame secrétaire générale de la CGT ira mentir vite vite vite et effrontément en plus, confondant Vichy et Auschwitz. Pas grave, cela passera bien sûr BFM, mais moins sur CNEWS. Voilà pourquoi elle la boycotte, la p’tite dame. Eh oui, car les journalistes de cette antenne sont encore dignes de ce nom alors que les autres acceptent, eux, l’amalgame. Mais oui, Vichy=Auschwitz. Vous ne le saviez pas ? Tout en taisant bien sûr en plus les actions de tous ces nervis se réclamant de l’antifascisme alors qu’ils en adoptent de plus en plus les méthodes — cherchez l’erreur. Mais il faut bien « écraser dans l’œuf la bête immonde » alors qu’ils en sont sortis, ils en sortent. Cela se voit, cela s’est vu, lorsque Duclos alla quémander la reparution de son torchon en flattant lui aussi sur le « bon » juif :

« (…) Pour réussir sa mission, Denise Ginollin a rédigé sous la dictée de Maurice Tréand un argumentaire. Dans ce texte on peut notamment lire :

« 2) Sommes communistes avons appliqué ligne PC sous Dal [Daladier] Ray [Reynaud] juif Mandel
Juif M [Mandel] après Dal [Daladier] nous a emprisonnés. Fusillé des ouvriers qui sabotaient défense nat[nationale]
Sommes PC français pas eu peur
3) pas cédé face dictature juif M [Mandel] et du défenseur des intérêts capitalistes anglais Raynaud [Reynaud]
4) […]
avons été d’accord avec pacte GS [pacte germano-soviétique]
notre lutte contre Bonnet, Dal [Daladier], Ray [Reynaud], Man [Mandel], cela a facilité votre victoire
notre défense du pacte
cela vous a avantagé
pour l’URSS nous avons bien travaillé par conséquent par ricochet pour vous. »(…) »

(1) Jean-Pierre Besse, Claude Pennetier, Juin 40, la négociation secrète, 2006 pp. 10-11.

Rira bien qui pourra rire…




L’origine du mythe du réchauffement climatique catastrophique d’origine anthropique dans la pensée mécaniste

Par Terry Oldberg

La pensée mécaniste est l’une des deux façons de penser un système physique ; elle est appropriée à condition que ce système soit « non complexe ». La pensée holistique est l’autre façon de penser un tel système ; elle est appropriée à condition que ce système soit « complexe ». Un système « complexe » diffère d’un système « non complexe » en ce qu’il présente des « propriétés émergentes » qui sont des propriétés de l’ensemble du système et non de ses différentes parties. La pensée « mécaniste » s’oppose à la pensée « holistique ». Lorsqu’on réfléchit à un système physique, la pensée mécaniste est appropriée lorsque ce système est « non complexe », tandis que la pensée holistique est appropriée lorsque ce système est « complexe ».

Bonjour ! Je m’appelle Terry Oldberg. Je suis ingénieur, scientifique et chercheur en politiques publiques. À la retraite, je fais de la recherche sur les politiques publiques à titre bénévole. Ces recherches portent sur l’origine des mythes qui deviennent des politiques publiques et selon lesquels il n’existe pas de systèmes physiques complexes. À condition qu’un système physique soit complexe, ce mythe est à l’origine d’une politique publique fondée sur ce mythe plutôt que sur la réalité.

Dans ses recherches scientifiques, le professeur de psychologie clinique Mattias Desmet a découvert que le totalitarisme est un produit de ce mythe. Il expose ses conclusions dans un livre intitulé The Psychology of Totalitarianism (La psychologie du totalitarisme). En résumé, le totalitarisme naît d’une pensée de groupe dans laquelle les membres d’un groupe en viennent à croire à un mythe du type susmentionné. Cette croyance les amène à désirer un pouvoir totalitaire sur eux-mêmes par des technocrates supposés avoir la capacité de faire de ce mythe une réalité. Ainsi, par exemple, les membres de ce groupe en viennent à croire que ces technocrates ont la capacité de faire du mythe selon lequel le système climatique de la Terre est un système non complexe une réalité.

L’exemple du système climatique de la Terre est un exemple avec lequel j’ai de nombreuses années d’expérience. Dans ce cas, le mythe s’appelle « Réchauffement climatique anthropique catastrophique ». La croyance en ce mythe conduit les personnes qui y croient à craindre leur mort et celle de leurs proches si l’économie mondiale n’est pas « décarbonisée ». Cette peur naît lorsque les climatologues attribuent des valeurs numériques à la sensibilité climatique à l’équilibre (TECS), un paramètre d’un modèle mécaniste du système climatique de la Terre. Ils procèdent à cette attribution en appliquant le théorème des probabilités inverses de Bayes. L’application de ce théorème est cependant inappropriée, car cette « probabilité » n’en est pas vraiment une, car elle viole le second axiome de la théorie des probabilités, appelé « unit measure » en anglais1. Cette violation est observable par l’absence, dans l’argument avancé par un modèle climatique moderne, d’une partition2 du temps dont chaque élément est l’emplacement dans le temps d’un événement futur qui est certain de se produire pour le système climatique de la Terre3. Au lieu d’un tel événement, il y en a zéro, ce qui fausse l’unité de mesure. Cette lacune des modèles climatiques actuels serait corrigée si les climatologues fournissaient les événements futurs manquants qui sont certains de se produire4. Il en résulterait toutefois la disparition du mythe du réchauffement climatique catastrophique d’origine anthropique, ce qui provoquerait un chômage massif parmi ces climatologues.


Notes ajoutées par Joseph

1 « unit measure » peut se traduire littéralement par « mesure de l’unité » aussi bien que par « unité de mesure » ou encore « mesure unitaire », mais aucune de ces expressions ne semble satisfaisante par rapport à l’énoncé de cet axiome.

Celui-ci énonce que la probabilité de l’événement certain ou d’obtenir un quelconque résultat (expérimental) de l’univers probabiliste considéré est 1 (voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Axiomes_des_probabilit%C3%A9s ou https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Axiomes-des-probabilites.html). Par exemple, la probabilité d’obtenir 1, 2, 3, 4, 5 ou 6 à un lancé de dé cubique classique (ayant six faces numérotées de 1 à 6) est 1. Autrement dit, avec un tel dé nous sommes certains d’obtenir l’un ou l’autre de ces résultats, du moins lorsque les seuls événements considérés comme possibles dans cet univers probabiliste sont ceux pour lesquels le dé tombe effectivement sur une face (mais ne resterait pas malencontreusement en équilibre sur une arête ou sur une pointe du cube)

2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Partition_d%27un_ensemble

3 En termes plus profanes, il s’agirait d’établir la liste des tous les événements climatiques possibles. Ainsi, la probabilité d’obtenir l’un d’eux serait certaine, à chaque étape temporelle (ou de partition du temps — par exemple un découpage en jours ou en siècles) considérée.

4 Certains événements de cette liste seraient notamment liés à l’extinction du Soleil et le fait qu’il finira par ne plus envoyer d’énergie à la Terre. D’autres événements climatiques terrestres pourraient être liés au fait que la Terre sortirait de son orbite actuelle, soit pour s’éloigner indéfiniment du Soleil, soit au contraire pour s’en rapprocher pour finir par y plonger et se faire vaporiser. Dans la pratique, il est quasiment impossible de déterminer exhaustivement une telle liste des événements climatiques. Autrement dit, l’univers probabiliste sur lequel travaillent les climatologues avec leurs modèles est tronqué et faussé.




Deux France

La première est la normale et la seconde est l’anormale

[Source : observatoiredumensonge.com]

Par Mathilde Revenu

Désolée, mais pour ma part, je ne vois que deux France !
La première est la normale et la seconde est l’anormale, celle malheureusement dans laquelle nous vivons actuellement, régie par les anti-Français, le Wokisme, l’idéologie à deux balles de la bien-pensance, de gauche et qui ne cherche qu’à détruire ou « déconstruire » la première.

Dans la France normale où il faisait bon vivre, les gens étaient sereins, agréables, et même accueillants.
Les enfants pouvaient jouer dans la rue, les femmes se promener sans crainte d’être insultées ou agressées pour leur tenue. Il n’y avait pas de signes ostensibles religieux ni de haine raciale contre les Français.

Dans la France anormale, il faut combattre le racisme… des blancs uniquement, cela ne fonctionne pas dans l’autre sens.

Donc, tout va bien, tout va mieux en Macronie, puisque l’on peut se réunir et commémorer ! Quant au bilan, finalement, il n’est pas si dramatique… Encore un pas vers ce gouffre promis par la gauche et associés, et l’on nous dira que tout va mieux !!!
Surtout rien sur la réalité, c’est qu’il ne faut pas choquer les gogos et autres bobos dans leur digestion et leur sieste réparatrices…

Mais ce qui m’étonne le plus, c’est le silence des politiques face à tout ce que nous subissons depuis l’arrivée de Macron !

Le monde continue de danser sur un volcan en éruption sans même se soucier de ce qui va advenir !!!
Rien ne semble devoir arrêter cette spirale infernale :
– les guerres un peu partout dans le monde,
– les problèmes posés par les migrants qui déferlent sur l’Europe,
– l’insécurité qui a explosé,
– le terrorisme islamique partout,
– l’économie en faillite,
– le pouvoir d’achat qui s’est écroulé…

Il est clair que le pouvoir se moque bien du citoyen, relégué au mieux au grenier et au pire à la cave de la maison France.
Pendant que le gouvernement navigue à vue dans la tempête qu’il a lui-même créée, la France heurte tous les récifs, les uns après les autres.
Le naufrage est total.
Cependant, les médias subventionnés et aux ordres continuent de travestir la réalité, c’est qu’il ne faut pas affoler la ménagère de cinquante ans, idole des panels et du marketing.
Donc, Macron, l’illusionniste et télévangéliste continue d’occuper la scène médiatique, d’évoquer les millions par centaines qu’il se propose de distribuer ici et là, mais rarement où il le faudrait.
Pour certaines offres mirifiques, personne cependant n’en voit la couleur.
Par contre, les promesses des deux campagnes ne sont pas tenues.

Nous ne pourrons pas vivre ni cohabiter dans :

Deux France




CLIMAT : aux fous ! L’humanité aurait changé l’inclinaison de la terre à force de pomper l’eau souterraine !!

Par Gérard Le Maître

Ce n’est pas un poisson d’avril !! C’est même sur BFwc qu’ils l’ont dit !

Toutes les manipulations et tous les mensonges sont bons pour nous faire avaler le changement climatique !



L’humanité a déplacé l’axe de rotation de la Terre de près d’un mètre en deux décennies. En cause : le prélèvement des eaux souterraines et l’élévation du niveau de la mer.

Comment l’humanité a-t-elle réussi à décaler l’angle de rotation de la Terre ?

En pompant une grande quantité d’eau dans le sol, répondent les scientifiques.

Ils estiment que l’Homme a pompé 2 150 gigatonnes d’eau souterraine entre 1993 et 2010.
Alors que la masse de La Terre est en milliards de milliards de gigatonnes !!1

Ha bon ??? Mais voilà !! Ces pseudos « savants » ignorent sans doute que quoiqu’on fasse il y a toujours la même quantité d’eau sur terre globalement depuis sa création !!

La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre.

C’est l’organisation de la distribution et de la consommation d’eau douce qui pose problème, en période d’abondance ça passe mais en cas d’années plus sèches au cours des cycles plus ou moins chauds, plus ou moins secs qui évoluent depuis des millénaires c’est là que les difficultés apparaissent,
La quantité d’eau est restée inchangée depuis trois milliards d’années, date de son apparition sur terre. Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : l’eau circule en circuit fermé :

Dans l’atmosphère, l’eau est surtout présente à l’état de vapeur. Puis, sous l’effet du refroidissement, l’eau passe de l’état de vapeur à l’état liquide. Cette eau liquide est concentrée dans les nuages puis dans les précipitations.

Une fois que l’eau a atteint le sol, son cycle va se dérouler de façon essentiellement liquide. Seule une toute petite partie de cette eau douce est en mouvement, la grande majorité étant stockée dans les nappes souterraines.

Une partie de l’eau douce est utilisée par les plantes, le reste est drainé vers les rivières ou dans les nappes. Les racines des plantes vont capter l’eau, qui s’évaporera ensuite par le système de transpiration des feuilles. Cette « transpiration » constitue de la vapeur d’eau.

Pénuries Eau .jpg

Répartition de l’eau sur Terre :

Sécheresses en France depuis 150 ans ce n’est pas nouveau, il y a eu pire….

Événements historiques remarquables :

On se souvient évidemment de 1976 qui nous a valu la création d’un » impôt sécheresse » Merci Giscard !

Et il y a eu entre autres plus importantes une sécheresse continue de 1942-1949

La France a connu de 1942 à 1949 une période sèche d’une gravité toute particulière, la plus importante de l’origine des observations pluviométrique à 1950. L’année septembre-août ou octobre-septembre 1948-1949 a été en particulier une des plus sèches que la France a connues, après celle de 1921 qui conserve le record connu de pénurie pour 12 mois consécutifs dans la majeure partie du pays (à la date d’établissement du rapport en 1950). Les cours d’eau ont connu de très nombreux assecs, notamment dans le Centre, le Sud-Ouest et l’Ouest où les débits moyens annuels sont tombés à des valeurs très faibles, entre 10 et 30 % pour de nombreuses rivières pluviales ou pluvio-nivales aux bassins semi-montagneux et de 3 à 5 % pour de nombreux cours d’eau de plaine.

Pénuries eau et.jpg
Rechaufement climatique.jpg
Rechauff Climat Ours pol.jpg




La Russie remporte l’oscar du meilleur coup d’État. Prigojine remporte le prix du meilleur acteur

[Source : reseauinternational.net]

Par Larry Johnson

Et si le « coup d’État » de Prigojine était Maskirovka ? Je veux explorer cette possibilité. Plus tôt dans la journée (samedi sur la côte est des États-Unis), j’esquissais un article au titre accrocheur : « Prigojine — putsch ou stratagème ? » Eh bien, cette belle idée s’est envolée comme le barrage de Kakhovka lorsque le récit du projet de Prigojine de marcher sur Moscou et d’étrangler personnellement le ministre russe de la Défense Choïgou a fait un magnifique salto arrière, à la Nadia Comăneci. Prigojine a ordonné à « ses » troupes de retourner à leurs bases, après avoir conclu un accord avec le président de la Biélorussie, Alexander Loukachenko, pour s’exiler et n’encourir aucune sanction judiciaire. QUOI ????? Pas d’effusion de sang ? Pas de kilomètres de chars en flammes ? Et pas de cravate Mussolini pour Vladimir Poutine ? Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?

On pouvait sentir la déception et la frustration émanant de l’establishment de Washington. L’équivalent politique d’une éjaculation précoce. Hier soir (vendredi), on pouvait entendre les bouchons de champagne et le pop-corn sauter alors que les médias et les responsables des services de renseignement se regroupaient autour des écrans d’ordinateur pour attendre les images d’un Poutine désemparé courant à poil loin du Kremlin. Biden et son équipe me font penser à Vil Coyote par le désespoir qu’ils éprouvent en regardant leurs plans farfelus pour attraper Poutine s’effondrer et s’envoler.

Bien que je ne puisse pas écarter fermement la possibilité que Prigojine ait tenté ce coup d’État de son propre chef (ou avec l’encouragement d’un soutien extérieur), je tiens à présenter le scénario de Maskirovka.

Commençons par les faits :

1— Le groupe Wagner a été créé par des services de renseignement russes et financé par le gouvernement russe. De nombreux Occidentaux croient à tort que Prigojine a les poches pleines, qu’il paie les factures de Wagner et que, bien qu’il n’ait AUCUNE expérience militaire, il est le commandant de l’organisation. Comme disent les Russes, NIET !

2— Les États-Unis et le reste de l’OTAN considèrent la Russie comme une dictature. Depuis des mois, Prigojine profère des menaces contre l’armée russe et, indirectement, contre Poutine, mais il n’a fait l’objet d’aucune arrestation ou sanction. Cela signifie-t-il que, finalement, la Russie n’est pas une dictature ?

3— Prigojine a ostensiblement lancé le coup d’État, selon ses propres dires vendredi, parce que le ministère de la défense russe a frappé avec des missiles, des obus et des roquettes un campement de troupes wagnériennes qui s’entraînaient à la guerre. Mais la prétendue vidéo de l’incident ne montre aucune victime. Aujourd’hui, Prigojine est revenu sur ses propos et insiste sur le fait qu’il ne faisait que protester contre la décision du ministère de la Défense d’intégrer le groupe Wagner dans l’armée russe.

4— Le gouvernement russe a attendu environ 12 heures avant d’envoyer des forces de police/militaires au siège du groupe Wagner à Saint-Pétersbourg. Peu de sens de l’urgence.

5— Prigojine aurait ordonné à une colonne de troupes Wagner d’aller de Rostov-sur-le-Don à Moscou pour détrôner Choïgou et peut-être le général Gerasimov. Regardez la carte. Cela représente une distance de près de 1200 kilomètres. Comment cette colonne de camions et de chars était-elle censée se ravitailler et couvrir cette distance en moins de 20 heures ?

Que pensez-vous de l’explication suivante ? Toute l’histoire du coup d’État a été conçue pour permettre le déplacement des forces militaires russes vers les régions situées au nord et à l’ouest de Voronej sans alerter les planificateurs de l’OTAN. La Russie ne faisait que déplacer des forces pour arrêter les auteurs du coup d’État et non pour constituer des forces en vue d’un nouvel axe offensif.

Il semble que les racines de l’histoire selon laquelle Prigojine allait trahir la Russie remontent à 2022. Quelqu’un ayant des liens avec les services de renseignement occidentaux était en relation avec Prigojine et a commencé à le sonder sur la possibilité de collaborer avec l’Occident. Prigojine a informé ses chefs des services de renseignements russes de ce projet et les Russes ont décidé de monter une opération qui présenterait Prigojine comme un patriote mécontent, en colère contre l’incompétence des dirigeants russes. Les Russes ont alimenté cette idée en laissant Prigojine lancer des attaques verbales vicieuses contre Choïgou et Gerasimov et, si l’on en croit les fuites de la discorde de Jack Teixeira, il a même transmis des informations sur l’emplacement des troupes russes à son contact.

Voici la partie intéressante de cette hypothèse : qui a pris la décision de lancer Prigojine ? On peut avancer de manière crédible que les responsables occidentaux de Prigojine ont décidé que ce jour était le vendredi et lui ont donné l’ordre de passer à l’action. Mais je pense qu’il s’agit d’une mise en scène du Kremlin. Poutine et ses chefs des renseignements savaient ce que l’Occident essayait de fomenter en Russie et se rendaient compte que l’Ukraine et l’OTAN étaient sous le choc de leur contre-offensive maladroite et des pertes massives en hommes et en matériel qu’elle a entraînées. Pourquoi ne pas utiliser la tentative de coup d’État comme une bonne couverture pour le déplacement massif de troupes tout au long de la ligne entre Moscou et Rostov-sur-le-Don ?

Il s’agit d’un moyen de déplacer les troupes russes vers des zones situées au nord de Belgorod sans attirer l’attention des plates-formes ISR de l’OTAN. Il s’agit de rapprocher les troupes de la frontière, puis de les disperser. Cela signifie que la Russie a trouvé un moyen de renforcer ses troupes sur un nouvel axe d’attaque potentiel qui constituera un cauchemar pour les planificateurs de l’OTAN.

Vous pouvez aussi imaginer le coup d’État comme un lapin courant à travers un champ ouvert. Les prédateurs affamés qui se cachent dans la forêt pourraient être tentés de s’exposer pour attraper le lapin. Certaines des réactions en Russie à la nouvelle du coup d’État présumé ont-elles aidé les services de contre-espionnage russes à identifier des personnes occupant des postes d’autorité en Russie qui, jusqu’à présent, soutenaient discrètement l’Ukraine ? Peut-être.

Je voudrais également évoquer une possibilité hilarante. Prigojine a-t-il escroqué des millions de dollars à ses intermédiaires occidentaux ? Evgueni a un passé criminel et est connu pour avoir les doigts collants. S’est-il inspiré de son passé criminel pour escroquer les Britanniques ou les Américains ? Cela pourrait être une histoire extraordinaire.

Quoi qu’il en soit, après moins de 24 heures de drame, nous nous retrouvons avec la voix triste, mais magnifique de Peggy Lee chantant « Is That All There Is » ?

Source : A son of the New American Revolution
Traduction AvicRéseau International