Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé à la presse, le 28 juin, avoir saisi le Conseil Supérieur des Programmes pour l’élaboration d’un programme d’« enseignement à la sexualité » par niveau.
Cette annonce rappelle que les séances, au nombre de trois par an, imposées dès la primaire à tous les élèves, sont réalisées sans aucun cadre académique depuis des années, avec une accélération sans précédent des interventions depuis 2 ans.
Au motif de cette soi-disant « éducation à la sexualité », des élèves ont été soumis à des contenus à caractère sexuel par une autorité, sans pouvoir s’y soustraire, c’est-à-dire sans pouvoir consentir.
Le personnel éducatif a beaucoup de mal à trouver les arguments pour justifier auprès des parents qu’un intervenant a :
• expliqué à une classe de primaire (8 – 10 ans) le plaisir de la masturbation, la fellation, la sodomie, le cunnilingus…
• supprimé la récréation, car le groupe des filles n’osait pas poser de questions, alors que la participation est obligatoire,
• imposé au collège la pose d’un préservatif sur un sexe factice devant toute la classe,
• empêché une élève, abusée enfant, de sortir avant qu’elle ait réalisé l’« exercice ».
Si l’objectif est la prévention, alors 6 principes simples sont à enseigner aux enfants et à faire respecter scrupuleusement dans l’institution scolaire :
• La sexualité est interdite entre un adulte et un enfant,
• La sexualité est interdite entre des personnes de la même famille,
• La sexualité sans consentement est un délit puni par la loi,
• La sexualité relève de l’intime, chacun a son rythme,
• La sexualité, c’est en privé ; en public, c’est un délit,
• La majorité sexuelle (aptitude à consentir) est fixée en France à 15 ans.
L’enfant n’a pas à être sexualisé. Ni à l’École ni ailleurs. ÉVIDEMMENT !
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