Les mondialistes préparent un choc financier, en voici la preuve

[Source : birchgold.com]

[Photo : Talashow]

[NDLR Passages surlignés en jaune par le traducteur.]

Par Brandon Smith

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Cependant, ce que j’observe de plus en plus ces deux dernières années, c’est une convergence de récits…

Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.

L’effondrement économique fait partie du plan.

Le « changement climatique » est un écran de fumée

Les mondialistes utilisent désormais la question du changement climatique comme un cheval de Troie pour leurs plans visant à accroître leur contrôle sur la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la Grande Réinitialisation. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques mondiales encore plus de pouvoir pour contrôler la distribution des richesses et abattre le système existant afin de le remplacer par quelque chose d’autre.

Quelque chose de « meilleur » et de « plus juste ». Quelque chose qu’ils contrôlent encore plus complètement.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc financier public » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant une « équité » pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis mondiaux.

Les intervenants de l’événement ont suggéré que le cadre économique international avait été mis à mal par de multiples crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine. Cependant, ils se sont concentrés sur « la spirale du coût des catastrophes climatiques intensifiée par le réchauffement climatique » pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

Il s’agit évidemment d’un non-sens, mais cela correspond au récit que les mondialistes tentent de mettre au point.

Cela donne à peu près ceci :

  • – L’objectif du système financier mondial est de redistribuer les richesses.
  • – L’un des aspects de chaque crise est la perte financière (à la fois directe, sur les victimes, et indirecte, y compris, par exemple, la baisse de la productivité ou l’augmentation des taux d’assurance).
  • – Les banques centrales, qui ne peuvent pas empêcher les tremblements de terre, peuvent remédier aux pertes financières, généralement par la planche à billets.
  • – Les banques centrales utilisent donc la réponse à la crise comme excuse pour s’engager dans l’inflation monétaire
  • – … ce qui rend les victimes de la crise plus dépendantes du gouvernement centralisé
  • – et donne aux banques centrales un argument convaincant pour accroître leur propre pouvoir.

Comme nous ne le savons que trop bien, en l’absence d’une crise médiatiquement acceptable, les mondialistes sont parfaitement heureux d’en inventer une.

Je pense qu’il n’y a pas de crise climatique d’origine humaine, pas de « réchauffement climatique anthropique », comme je l’ai décrit précédemment.

Mais combien de personnes peuvent être amenées à croire qu’il y a une crise climatique et qu’elle constitue une menace existentielle pour notre civilisation ? Comment exploiter cette peur hystérique ?

Ne jamais gaspiller une crise

Mia Mottley, Première ministre de la Barbade, a plaidé en faveur d’une réorganisation des rôles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international pour faire face à la crise climatique. Elle affirme :

« Ce qui nous est demandé aujourd’hui, c’est une transformation absolue et non une réforme de nos institutions… »

Il s’agit d’un thème commun aux mondialistes. « Nos institutions dépassées n’ont pas le pouvoir de prévenir les catastrophes. »

En d’autres termes, [selon les mondialistes] les institutions financières mondialistes devraient se voir accorder un pouvoir absolu et être chargées de l’utiliser de manière responsable.

Antonio Guterres, chef de l’ONU, a déclaré que le système financier mondial actuel, conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre des accords de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il « perpétuait, voire aggravait, les inégalités ».

En d’autres termes, il plaide pour un nouvel ordre mondial.

« Nous pouvons prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale », a-t-il déclaré. Il a proposé une relance de 500 milliards de dollars par an pour des investissements dans le « développement durable » et « l’action climatique ». Il a également présenté un plan visant à utiliser les droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI comme outil pour « stimuler la liquidité mondiale ».

Posez-vous la question : que s’est-il passé la dernière fois que les banques centrales ont décidé de stimuler la liquidité mondiale ?

C’est exact : la pire crise économique des cinquante dernières années.

Les banquiers centraux vous diront que ce n’est pas eux, mais la Covid, l’invasion de l’Ukraine et le changement climatique.

C’est absurde. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché la plus forte inflation depuis une génération. Ce qui a conduit les banques centrales à augmenter les taux d’intérêt en période de faiblesse économique, ce qui a toujours provoqué l’explosion de la dette et des désastres économiques dans le passé.

Les banquiers et les mondialistes ont causé le problème ! Ils ne devraient pas être chargés de le résoudre.

Pourtant, ils sont là, cherchant à prendre le contrôle et à instituer un plan d’égalité mondiale de type Grande Réinitialisation pour résoudre la calamité qu’ils ont créée.

On pourrait considérer tout cela comme de simples intrigues de palais, des bureaucrates qui se battent pour obtenir des budgets plus importants et des mandats plus ambitieux. Je pense que cela mène à un endroit beaucoup plus sombre…

L’impôt mondial sur la fortune

L’année dernière, les Nations Unies ont proposé que les économies développées et émergentes, y compris les États-Unis et la Chine, paient une sorte de « taxe sur le succès » d’au moins 2,4 milliards de dollars par an, en raison de leurs émissions de carbone. Cette taxe permettrait de créer un fonds de lutte contre le changement climatique, dont l’argent serait redistribué aux pays les plus pauvres.

D’autres idées sur la table incluent la taxation des bénéfices tirés des combustibles fossiles et des transactions financières, dont les recettes iraient au fonds de lutte contre le changement climatique. (En d’autres termes, ils espèrent taxer les compagnies pétrolières et gazières jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le citoyen moyen ne peut plus se permettre de conduire.)

Le président français adore l’idée d’une taxe internationale sur les émissions de carbone provenant du transport maritime, censée rendre le fret outre-mer plus coûteux afin de réduire la demande en matière de fabrication et d’exportation.

Quel est le point commun de ces projets ?

Ils visent tous à gonfler les prix, ce qui a pour effet de réduire la consommation.
C’est l’objectif déclaré. Mais il s’agit d’un projet beaucoup plus vaste.

Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien d’autre qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle des institutions mondialistes existantes telles que le FMI, la BRI, la Banque mondiale et l’ONU.

Le versement annuel des nations les plus riches dans les coffres des institutions mondiales est un acte d’hommage, une preuve de fidélité. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance.

Si d’importantes sommes d’argent transitent par les institutions mondialistes, celles-ci deviennent les arbitres de la redistribution de ces richesses. Elles peuvent facilement mettre en place un système de récompenses et de punitions.

Elles peuvent punir les pays qui ne suivent pas servilement leur diktat et s’occuper des pays qui se plient à leurs exigences.

Je soupçonne que tout cela aboutisse à une crise monétaire artificielle que les mondialistes utiliseront comme une occasion d’introduire enfin leur modèle de CBDC (Central Bank Digital Currency). Une fois les CBDC mises en place, le pouvoir des banquiers centraux de dominer le public sera complet. Un système sans argent liquide, sans confidentialité des transactions et avec la possibilité de fermer les comptes bancaires des individus et des groupes à volonté ?

C’est le scénario rêvé des totalitaires.

Ce n’est pas une erreur si le public est constamment bombardé de propagande sur le réchauffement climatique ces jours-ci — les pouvoirs en place ont besoin d’une crise existentielle comme générateur de peur. Lorsque les gens ont peur, ils ne réfléchissent pas rationnellement et se tournent souvent vers les pires dirigeants possibles pour les soulager. Et une menace mondiale exige une réponse mondiale, n’est-ce pas ?

La propagande catastrophiste sur le changement climatique, si elle est acceptée par le public, permettra un large éventail de changements systémiques qui n’ont rien à voir avec l’environnement et tout à voir avec la domination financière.

La taxation et la redistribution des richesses nationales. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale en tant que médiateurs pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme monnaie globale de facto. L’introduction des CBDC et d’une société sans numéraire. Aucune de ces mesures n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime, à moins bien sûr que l’intention ultime ne soit de détruire l’économie au point que l’industrie meure, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

Elles peuvent tourner cela comme ils veulent, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système économique mondial, de sorte qu’il ne puisse plus répondre aux besoins du monde.

Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle mondiale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’elles réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’elles veulent en réalité, c’est une gouvernance mondiale.

Une solution pour préserver votre liberté financière personnelle est de diversifier votre épargne avec des métaux précieux physiques. L’or et l’argent existent en dehors du système financier mondial. C’est l’une des rares formes d’argent à valeur universelle, respectueuse de la vie privée, qui ne peut être annulée en appuyant sur un bouton.

Si vous croyez, comme moi, à la liberté et à la responsabilité personnelle, vous savez probablement déjà que posséder de l’or et de l’argent est un moyen éprouvé de protéger vos économies durement gagnées contre les crises imaginaires et les mondialistes cupides.

[Note de Joseph : l’or et l’argent ne se mangent pas, mais se volent facilement. La Terre peut servir à cultiver, mais les élites travaillent à supprimer toute propriété privée pour ceux qui n’appartiennent pas à leur clan, ceci notamment en augmentant les taxes sur les propriétés foncières et en mettant en place des normes de plus en plus contraignantes et dispendieuses. La seule richesse qu’ils ne peuvent dérober est d’ordre intérieur. Nous nous trouvons probablement à l’apogée d’une guerre spirituelle multimillénaire et la pression exercée sur le plan matériel ne peut alors trouver d’exutoire véritable et viable sans une connexion suffisante aux plans psychique et spirituel pour y puiser les meilleures solutions concrètes ainsi que la force, le courage et la volonté de manifester adéquatement ces dernières, c’est-à-dire avec abnégation, intelligence, amour et sagesse.]




La Malaria aux USA grâce à Bill Gates ?




Thierry Breton, le néo-fascisme tranquille

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

La France traverse une crise politique majeure. L’État n’est plus en mesure de contrôler son territoire. Et que dire de l’économie. Les deux tiers des Français haïssent Emmanuel Macron. Qui piétine les libertés publiques et met en place un régime néofasciste. Et pour faire bon poids, il fournit à un régime en panique des missiles de croisière pour frapper le territoire de la Russie. C’est-à-dire que tranquillement il déclare la guerre à la première puissance nucléaire du monde. Le gouvernement est muet, l’ensemble de la classe politique représentée au Parlement fait de même. Pas un élu, à l’exception de Dupont Aignan, aucune autorité intellectuelle ou morale n’élève la voix pour s’inquiéter de l’abîme vers lequel cet homme emmène le pays.

Pour la mise en place de ce qui commence à ressembler à un régime néofasciste (même Julien Dray commence à s’inquiéter), Macron dispose d’hommes de main qui n’ont aucun scrupule. Il faut écouter l’effarant entretien donné par le commissaire européen Thierry Breton à France Télévisions, où l’intéressé vient annoncer triomphalement qu’il est arrivé à ses fins avec la mise en place d’une réglementation européenne de censure a priori sur les réseaux sociaux. Rappelons que ce personnage, quintessence du Capital endogame à la française, a été nommé à la Commission européenne en remplacement d’une autre haute fonctionnaire adepte du pantouflage gourmand, choisie par Macron, mais refusée par le Parlement européen pour cause de rapports jugés trop élastiques avec la morale publique.

Breton s’est récemment signalé par des vitupérations contre les réseaux sociaux, qu’il accuse à demi-mot de véhiculer une parole d’opposition politique aux oligarchies en place. Sous prétexte de lutter « contre la haine en ligne », il décrit un dispositif destiné en fait à bâillonner toute parole dissidente. Il n’a d’ailleurs pas hésité à citer comme devant être interdits les « appels à la révolte » ! La tentation néofasciste du personnage saute aux yeux, tant dans l’attitude que dans le choix des mots. Breton, donc, a fait adopter par le Parlement européen un texte qui reprend toutes les mesures proposées naguère par Emmanuel Macron, par l’intermédiaire de l’ex-députée Laetitia Avia et de la loi dite « Avia », votée par le Parlement-Playmobil du premier mandat — et quasi intégralement censurée par le Conseil constitutionnel puisque jugée attentatoire à la Constitution et notamment à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Notre cour suprême, pourtant fort indulgente en général avec Macron, avait fait sortir l’horreur liberticide qu’était la loi Avia par la porte ; Thierry Breton la fait rentrer par la fenêtre. On en veut pour preuve cet hallucinant entretien passé à décrire tous les moyens administratifs qui permettraient d’instaurer une censure administrative a priori en piétinant tous nos principes.

[Voir aussi :
Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies]

La censure, nouvelle passion de la « gauche »

En France, une « gauche » minoritaire et paniquée nourrit une nouvelle passion pour la censure. Ces jours derniers plusieurs exemples de ce tropisme ont d’ailleurs fait réagir : citons la campagne contre le pluralisme avec l’affaire Geoffroy Lejeune au JDD, les déclarations de Pape Ndiaye sur Europe1 et CNews, médias « clairement d’extrême droite », ou encore les provocations du « philosophe » Geoffroy de Lagasnerie, qui affirme que la pensée de droite n’existe pas.

Il est malheureusement nécessaire une fois de plus de rappeler que la conflictualité est inhérente au politique et qu’elle s’exprime et se résout dans l’espace public. Le propre d’un cadre normatif dans un système démocratique est justement de permettre le débat et l’affrontement des opinions, le juge de paix étant l’élection. L’application de ces principes est de plus en plus problématique pour les blocs oligarchiques au pouvoir dans les pays occidentaux. On y revendique et brandit les « valeurs démocratiques » comme étant universelles, mais on s’efforce par tous les moyens de faire taire les paroles dissidentes. Une tâche rendue plus compliquée par l’existence des réseaux sociaux, plateformes qui ont réalisé une véritable révolution en donnant une parole en temps réel au plus grand nombre, ce qui est quand même, qu’on le veuille ou non, un progrès démocratique. Cette parole charrie comme toujours le pire et le meilleur, et il est quand même inquiétant de voir qu’en France, le pouvoir d’État réagisse comme il le fait avec une succession de lois liberticides. La loi Avia, à juste titre censurée, n’avait été qu’un avatar d’une entreprise d’encadrement mise en œuvre depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, dont l’absence de culture démocratique impose de rappeler que la démocratie est fondée sur l’égalité de n’importe qui avec n’importe qui. Et que l’accès à l’expression et au débat du plus grand nombre ne devrait pas être considéré comme un danger.

À la fin du XIXe siècle, lorsque la IIIe République fut suffisamment bien établie, et afin de garantir le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut adoptée une loi de protection de la liberté d’expression. Parmi ses principes figurait celui que cette liberté fondamentale pouvait être limitée si nécessaire par la loi, mais dès lors que les restrictions étaient strictement proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi et que le contrôle de ce nécessaire équilibre n’appartenait qu’au Juge. La loi sur la presse de 1881 fonctionne depuis presque 140 ans, et jusqu’à présent, on pouvait considérer que la liberté d’expression existait dans notre pays. Malheureusement, depuis le mandat de François Hollande et maintenant d’Emmanuel Macron, la France a dégringolé dans les classements internationaux de la liberté de la presse, « la patrie des droits de l’homme » se trouvant aujourd’hui à la 34e place sur 180…

Thierry Breton, autocrate assumé

Après la Deuxième Guerre mondiale, un encadrement juridique destiné à garantir l’indépendance, le pluralisme et la transparence de la presse nationale avait été adopté. Il a été soigneusement détruit, et aujourd’hui la presse audiovisuelle et écrite est entièrement entre les mains de l’oligarchie. L’îlot du service public n’y échappe pas, puisqu’il est au service du pouvoir politique mis en place par cette même oligarchie avec le coup d’État judiciaire de 2017. L’existence d’une expression dissidente via les réseaux sociaux est donc considérée comme insupportable, et les agents du pouvoir multiplient les tentatives pour la faire taire.

Le texte présenté par Thierry Breton contient un certain nombre d’horreurs et la première d’entre elles est relative au fait que c’est l’autorité administrative qui désormais décidera de ce que l’on peut dire ou ne pas dire sur les réseaux. Une équipe de flics de la pensée aux ordres de ce nouveau ministre de la Vérité pourra sommer n’importe quel site, quelle que soit sa taille, de supprimer dans les 24 heures des textes qu’elle juge contraires à la loi. La défaillance dans la suppression immédiate pourra être sanctionnée, par l’interdiction dans le pays considéré et pour ce qui nous concerne la France. Il est clair que les grandes plates-formes comme Facebook, YouTube ou Twitter vont non seulement poursuivre leur censure a priori qui existe déjà, mais pourraient aussi, par précaution, déférer à toutes les demandes de suppression émanant des officines européennes opaques. Elon Musk souhaite faire de Twitter, qu’il a racheté, un espace de libre expression ; Thierry Breton, tout à sa pulsion néofasciste, en a fait une de ses cibles principales. Le système d’intimidation ainsi adopté n’est pas destiné à « lutter contre la haine », mais bien à réprimer la liberté d’expression en ligne. Le commissaire européen a tranquillement assimilé à des messages de haine les appels à la révolte. Rappelons encore une fois qu’il s’agit là des mesures contenues dans la loi Avia, démantibulée par la décision du Conseil constitutionnel, dont le projet de Breton est un décalque.

Toute cette entreprise n’est que le prétexte pour mettre les réseaux au pas. Et n’oublions pas que le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence — indispensable à son propre maintien — d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci, face aux principes fondamentaux de la République française qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des gardes-chiourme.

S’y opposer est un devoir. Avant qu’il ne soit trop tard.




Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?

[Source : Conscience du peuple]

Comme je le martèle depuis la sortie du film « Sound of freedom », celui-ci sert à associer le trafic d’enfants (qui est bien réel) aux délires conspirationnistes Qanon et aux promoteurs du « great awakening ». C’est ça le but de l’opération psychologique !

On peut donc s’attendre que les mots-clés « trafic d’enfants », « traite humaine » seront ajoutés à la liste des motifs de censure et que les dénonciations de ces réseaux pédophiles seront perçues comme un DÉLIRE RELIGIEUX, une THÉORIE COMPLOTISTE et une MALADIE MENTALE !

Isabelle



Voilà le but… entre autres :






Gilles Ghesquière : le CNT, les Khazars & l’Intelligence Artificielle qui ne remplacera pas l’Humain

[Source : Tribune Libre via PG]

Pour Tribune Libre, le 4 juillet 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Gilles Ghesquière, architecte, ingénieur logiciel spécialisé dans la 3D, l’IA, le Web, etc., mais également ingénieur mécanicien/métallurgiste ayant une bonne connaissance des process industriels. Gilet Jaune et membre du Conseil National de Transition (CNT), il nous parle des objectifs du CNT, de Démosophie, de l’empire Khazar, de l’Intelligence Artificielle au service de l’Humain et d’espoir.
➡ Pour consulter le site de Démosophie : https://www.demosophie.com

[NDLR Gilles Ghesquière semble particulièrement optimiste et confiant dans les capacités de ce CNT.]




Témoignage intense d’une Québécoise victime de pédophilie




L’Ukraine ne mérite aucun respect et n’a sa place ni dans l’OTAN ni dans l’UE !

[Source : ripostelaique.com]

Par Jacques Guillemain

Non, l’Ukraine ne mérite aucun respect et n’a sa place ni dans l’OTAN ni dans l’UE ! Ce n’est pas notre guerre et l’UE n’a nul besoin d’un énième boulet à traîner au détriment des pays contributeurs nets, dont la France.

Si nous voulons ruiner nos agriculteurs, intégrons l’Ukraine dans l’UE !

Déçu de voir la candidature de Kiev à rejoindre l’OTAN, rejetée lors du sommet de Vilnius, Zelensky étale son amertume.

En effet, le communiqué des alliés n’est pas exactement ce qu’attendait le chouchou des médias, qui pense que tout lui est dû.

« Nous serons en mesure d’adresser à l’Ukraine une invitation à rejoindre l’Alliance lorsque les alliés l’auront décidé et lorsque les conditions seront réunies. »

Difficile de faire plus flou pour dire non. S’il s’agit de combattre la corruption, Kiev peut attendre mille ans.

« Il semble qu’il n’y ait aucune volonté de faire de l’Ukraine un membre de l’Alliance », a déclaré celui qui se prend encore pour le Churchill ukrainien. Et d’ajouter : « L’Ukraine mérite le respect » !

Mais quel respect ?

  • Du respect pour un régime mis en place en 2014 par un coup d’État de la CIA ?
  • Du respect pour l’un des pays les plus mafieux et corrompus de la planète ?
  • Du respect pour un pouvoir qui revend sur le darknet les armes que lui livre l’Occident ?
  • Du respect pour une équipe qui a détourné 400 millions de dollars d’aide occidentale selon la CIA ?
  • Du respect pour un pays qui n’a jamais appliqué les accords de Minsk, lesquels auraient évité la guerre ?
  • Du respect pour un régime qui a persécuté les populations du Donbass pendant huit ans ?
  • Du respect pour des unités nazifiées qui ont commis les pires crimes de guerre et fait 15 000 victimes dans le Donbass ?
  • Du respect pour une armée qui a exécuté des prisonniers russes au mépris des lois de la guerre ?
  • Du respect pour un Zelensky qui voudrait utiliser l’arme atomique contre Moscou à titre préventif ?
  • Du respect pour un régime qui laisse massacrer son peuple selon le bon vouloir de Washington ?
  • Du respect pour un pouvoir qui monte des scènes de crimes de guerre pour diaboliser Poutine ?

Assez de mensonges, de turpitudes en tous genres et d’hypocrisie. L’Ukraine s’est mise elle-même dans le pétrin depuis 2014.

Dès lors que les Américains renversaient en 2014 un régime prorusse élu démocratiquement, tout en prétextant défendre la démocratie, Kiev ne pouvait que semer les germes d’un affrontement futur avec Moscou.

Poutine n’a jamais été l’agresseur puisqu’il est venu secourir, à leur demande, les populations du Donbass martyrisées par Kiev depuis huit ans.

La contre-offensive qui devait convaincre les Occidentaux du bien-fondé de leurs gigantesques investissements en Ukraine est un fiasco. Le ministre russe de la Défense Choïgu vient d’en faire le bilan. Un carnage sans fin. Pas une seule attaque ukrainienne n’a atteint la première ligne de défense russe.

https://fr.sputniknews.africa/20230712/cest-un-massacre-temoignage-dun-mercenaire-irlandais-sur-la-contre-offensive-de-kiev-1060482362.html

« Sergueï Choïgu a révélé mardi 11 juillet que 26 000 militaires ukrainiens avaient été tués et 3 000 unités d’équipement détruites depuis le début de la contre-offensive de Kiev le 4 juin dernier. Il a détaillé que l’armée ukrainienne avait perdu 21 avions, cinq hélicoptères, 1 244 chars et autres blindés, dont 17 Léopard et 12 Bradley, ainsi que 403 pièces d’artillerie et obusier, dont 43 systèmes américains M777 et 46 canons automoteurs livrés à Kiev par la Pologne, les États-Unis et la France. »

Marc Legrand donne les mêmes chiffres.

« Trente-huitième jour de contre-offensive infructueuse pour Kiev, dont les pertes, depuis le 4 juin, s’élèvent à plus de 25 950 tués… alors que l’armée ukrainienne s’accroche à la tête de pont établie de l’autre côté du Dniepr, au sud de Kherson. »

« Énième échec sur le saillant de Vremivka (Vremevka), tandis que l’armée ukrainienne subit de cruels revers dans le secteur de Liman et, plus encore, dans le Donbass… Ce mardi, Kiev a perdu 540 KIA (tués au combat) et 620 WIA (blessés au combat). »

Cela dit, si Biden fait tout pour prolonger l’agonie de l’Ukraine, en espérant tenir jusqu’aux élections américaines de 2024, l’Europe, saignée militairement et économiquement, serait bien avisée de calmer les ardeurs de Washington.

Évidemment, Macron, le valet le plus servile de Biden, attise les braises du conflit et veut que Kiev puisse frapper la Russie en profondeur, puisque les SCALP portent à 500 km. Ni le peuple ni le parlement français n’ont été consultés. Macron décide de tuer des Russes, donc de faire la guerre à la Russie, tel un dictateur. Une telle décision est gravissime, mais le pire, c’est que les Larcher, les Wauquiez, les Le Pen, les Mélenchon, laissent faire. Il n’y a plus d’opposition en France.

Macron mène tout seul sa guerre contre Poutine.

Il serait temps de comprendre que le potentiel russe est quasiment intact et que si les Occidentaux n’ont plus de munitions, les stocks russes sont encore colossaux. Et je ne crois pas que Pékin laisserait Moscou manquer de quoi que ce soit pour vaincre l’OTAN, qui rêve de s’installer en Asie pour contrer la Chine. L’artillerie russe ne manquera jamais d’obus.

Kiev a sans doute perdu 350 à 400 000 tués pour une population de 44 millions d’habitants.

Moscou a perdu dix fois moins de soldats pour une population de 144 millions d’habitants.

Proportionnellement à sa population, la Russie perd trente fois moins de soldats que Kiev.

L’OTAN peut bien promettre toute l’aide qu’elle veut à Kiev, jusqu’à la fin des temps, tout cela n’est que du vent et ne donnera jamais la victoire à l’Ukraine.

C’est Poutine et lui seul qui détient les clés du dossier ukrainien.

Prépare-t-il une offensive russe pour avaler Kharkov, Odessa et la Transnistrie ? A suivre. Mais les Russes ne pourront jamais protéger Sébastopol sans tenir toute la côte nord de la Mer Noire.

De toute façon, si les Russes lancent une vaste offensive, les Occidentaux n’auront d’autre choix que de laisser faire en aboyant de loin. Même si l’OTAN livre ses F-16, ses F-18 et ses Typhoon, les Sukhoï et les MIG russes de 5e génération les détruiront.

Les Américains ont une puissante aviation et une belle marine, mais ils n’ont pas de forces terrestres capables de vaincre l’armée russe. Ils n’enverront donc jamais leurs légions en Ukraine. Les mercenaires se font étriller, c’est suffisant.

Voilà 30 ans que l’Occident et surtout l’Europe récoltent les dividendes de la paix, pendant que Poutine reconstruisait son armée et donnait à ses généraux une avance technologique de dix ou 20 ans sur l’OTAN. Il fallait vraiment méconnaître le niveau des scientifiques russes pour parler comme nos généraux au début du conflit, qui ricanaient sur cette armée russe restée à l’ère soviétique et totalement dépassée. On les entend beaucoup moins ces bons à rien étoilés qui n’ont jamais fait la guerre.

Le problème d’une grande offensive russe est qu’elle sera très coûteuse en vies humaines, alors que Poutine préserve au maximum la vie de ses soldats, contrairement à Zelensky.

Par conséquent, aussi longtemps que l’Ukraine perd plus de 1000 combattants par jour, tués et blessés, les Russes peuvent faire le choix de rester sur leurs positions défensives jusqu’à l’usure des opinions occidentales. Car en Europe la rentrée sera dure.

Sur le plan économique, tout va bien en Russie et plus de 80 % des Russes soutiennent leur chef de guerre. Et les 3/4 de la planète également, Asie, Afrique, Moyen-Orient et Amérique latine. Ce qui n’empêche pas nos fins stratèges de nous dire depuis 16 mois que Poutine est isolé. Car chez nos médias, on adore faire dans le grotesque.




C news, Europe 1, (donc Laurence Ferrari, Sonia Mabrouk, Christine Kelly…), d’« extrême-droite » selon le ministre français de l’Éducation nationale…

Par Lucien SA Oulahbib

La seule issue pour ce gouvernement fantasque (faire prendre des vessies pour des lanternes question maintien de l’ordre) gouvernement fantoche (« croissance, santé, énergie » laissées à vau-l’eau) — monceau de bras cassés en fait qu’il serait peut-être possible d’envoyer « en même temps » que les missiles Scalp sur le front anti-russe, consiste pour y pallier à se donner encore une image vendable (« éthique ») envers une opinion désillusionnée au vu de ses non-résultats malgré leur dilatation médiatique pour le masquer.

Comment y pallier, comment se mettre, soi-même, en soins palliatifs ? En jouant l’éternel « moi ou le chaos », sans se douter que ce « ou » n’est pas alternatif, mais introduit un synonyme entre les deux mots ; donc le chaos empire ; mais comme il faut un bouc émissaire pour le faire oublier, ce seront alors tous ceux qui s’y opposent en réalité et c’est facile, il suffit de les traiter d’extrême droite ; le journaliste Berkoff en a subi l’effet : son opposant avait littéralement ce seul mot comme… explication, même pas une désignation que l’on tente ensuite de justifier, non, pas besoin désormais, la démonstration c’est bon pour les démocrates, en régime totalitaire on affirme et cela doit suffire : CQFD : des citoyens arrêtent des voyous pilleurs ? Ils alimenteraient le racisme, des citoyens se défendent lors d’attaque ? Ils alimenteraient la « haine » ; des citoyens refusent l’amalgame entre rôle social sexualité et sexe ? Ils alimentent « l’homophobie » ; des citoyens estiment que les étrangers doivent sinon s’assimiler du moins respecter les lois et les mœurs françaises, et que la France ne peut se substituer à l’ONU ? Ils alimentent le « chauvinisme » (terme léniniste) ; alors que tous ces dénis peuvent se résumer en un seul mot : nihilisme, avec un sortilège sémantique : extrême-droite.

Quel est en effet l’argument majeur du ministre de l’Éducation nationale ? En substance ceci : « J’ai le droit de dire que C news, Europe 1 (donc Laurence Ferrari, Sonia Mabrouk, Christine Kelly) sont d’extrême droite ». Le mot EST la chose, ou comment le relativisme et la fabulation sont devenus les deux mamelles d’un ministre qui sait qu’en portant un tel discrédit, aucun prof ne se risquera de citer le passage d’un livre de ces trois femmes journalistes réputées (au-delà de ce que l’on peut en penser) ou l’autodafé de facto, mais désormais en distanciel, feutré, lâche soulagement du « je m’achète une virginité à bon compte » auprès des gardiennes de la Galerie des Glaces des médias subventionnés…

Un ministre qui par ailleurs promeut des théories farfelues sur le racisme « systémique » tout en y participant puisque ce dernier est produit par un « système » en l’occurrence également étatique qu’il est censé… représenter ; mais il n’est pas à une contradiction près, lui qui a mis ses enfants à une École Alsacienne rouage majeur de ce « racisme systémique »… Sans oublier « la » sexualité « dégenrée » à enseigner dès le plus jeune âge sous peine d’être taxé d’extrême-droite, mot-valise au fond qui a remplacé les termes de réactionnaire, conservateur, bourgeois… Ces trois termes étant devenus plutôt désuets, voire quelque part « bon chic bon genre », dans certains salons discrets qui servent aussi de filtres paradoxaux pour la Secte afin de tout de même choisir des personnes non encore démantelées psychiquement en vue de faire tourner sa boutique hors consultants McKinsey réservés au Sommet de la Pyramide…

Ce sont donc certes des bras cassés, de la piétaille, mais ceux qui les manipulent sont par contre très malins ; et là, à ce stade vous encourrez tout de suite d’être étiqueté avec l’autre terme infamant, mais un peu moins en vogue ces temps-ci celui de « complotiste » ; même si ce dernier terme (englobé dans « extrême-droite » à vrai dire cela fait presque pléonasme) souligne seulement que les mots de « stratégie », « tactique », « plan », « planification », « ruse », etc., sont des termes désignant une élaboration, une intention, un calcul qui nécessitent certes d’être démontrés ; du moins si l’on reste rationnels et démocrates, ce que nos dirigeants ne sont plus ou ne l’ont jamais été… Ce qui reste à démontrer ?… Non, la démonstration est faite, encore faut-il l’accepter… Mais les fanatiques au pouvoir ne peuvent pas l’admettre… Il n’y aurait donc pas d’autres issues que de les écarter en réclamant la dissolution de l’Assemblée Nationale ; encore faudrait-il en avoir la volonté « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? »… Non, rien, hormis les barbes devenues bleues au lieu de quelque chose…




Peut-on encore sauver la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

Quel que soit l’angle sous lequel on la considère, la situation de la France est catastrophique. Les promesses de prospérité, de paix et de liberté dont on nous rabâche les oreilles depuis bientôt 30 ans, depuis l’entrée en vigueur du Traité de Maastricht le 1er novembre 1993, se révèlent être une gigantesque arnaque.

Loin des lendemains qui chantent, que l’on nous annonce à chaque élection, la France plonge dans le désastre sous l’œil satisfait de l’Oncle Sam, et ceci dans tous absolument tous les secteurs :

  • – économie
  • – énergie
  • – démographie
  • – sécurité
  • – justice
  • – défense
  • – immigration
  • – budget
  • – agriculture
  • – industrie
  • – emploi
  • – instruction
  • – défense nationale
  • – diplomatie
  • – santé
  • – culture
  • – cohésion sociale

LA FRANCE EST EN DANGER DE MORT !

Tout ceci se déroule dans une indifférence générale entretenue par les médias oligarchiques et le service public de l’information.

Inlassablement, depuis plus de 16 ans, François Asselineau pointe les causes de ces malheurs qui s’abattent sur notre pays, il parcourt la France dans le but faire sortir les Français de cette léthargie délétère pour leur patrie, pour qu’ils se réveillent et réalisent le péril que l’on peut encore éviter.

Dans cette vidéo, François Asselineau pose la question ultime : peut-on encore sauver la France ?

Il apporte la réponse, oui, et c’est aux Français de réagir, ils ont le salut de la France entre leurs mains.

Le message est simple, Français redressez-vous, sans cela la France va mourir.

[Note de Joseph :
Pour réellement sauver la France, sortir de l’OTAN, de l’UE, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales de contrôle serait-il suffisant ?
Ne faudrait-il pas aussi sortir du Système, notamment celui de la « République » et de la prétendue « Démocratie » qui n’est pas « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple », mais toujours celui d’une relative majorité sur le reste, une supposée majorité qui même dans la pratique électorale est toujours inférieure à la moitié de la population, compte tenu des personnes qui ne peuvent voter (notamment les plus jeunes) et des abstentions.
Voir Changer le Système ?]




Vers la chute de l’Empire

[Source : @Cercles-Nationalistes-Français-Philippe-Ploncard-d’Assac]

[À partir de 10:45]



Site internet: http://nationalisme-francais.com/




Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies

[Source : ripostelaique.com]

Par Bernard Germain

Thierry Breton est le prototype de ces individus « citoyens du monde », c’est-à-dire mondialiste pour qui défendre son pays est une injure et un gros mot.

Sans rentrer dans les détails de son parcours, il suffit de mentionner qu’il a commencé sa vie à l’école Alsacienne, comme les enfants de Pap Ndiaye, avant d’intégrer de prestigieuses écoles.

Devenu patron, il fut l’homme à la réputation de « killer » dont l’arrivée dans une entreprise signifiait qu’il allait rapidement y avoir du sang sur les murs afin que les comptes s’améliorent.

D’octobre 2002 à février 2005, il fut à la tête de France Télécom (donc mon « patron » puisque j’y étais salarié), nommé par le gouvernement avec pour mission de redresser les comptes de l’entreprise. Il y laissera un triste souvenir, car à l’initiative d’un plan de redressement, dont son successeur Didier Lombard récoltera les fruits, matérialisés d’une part, par des résultats économiques très favorables, et d’autre part, par une vague de suicides sans précédent, près de 40 salariés le payeront de leur vie en seulement quelques années du fait de la politique de gestion du personnel qu’il initia.

Thierry Breton laissera donc aux salariés de France Télécom le souvenir d’un patron ayant du cœur.

C’est cet individu charmant que l’on retrouve commissaire européen, nommé par Macron en 2019.

Il vient de se rappeler au bon souvenir des populations de l’Union européenne avec son récent discours sur les mesures qu’il entend imposer à tout le continent européen, contre les « discours de haine ou appelant à la révolte » en s’en prenant aux réseaux sociaux qui cautionneraient ces discours ou laisseraient prospérer ces discours sans réaction.

D’abord on pourra s’interroger sur ce que recouvrent les expressions « discours de haine » ou « discours appelant à la révolte ». Sous ces vocables, on peut mettre en cause presque tout.

Ainsi, si vous dites « il faut sauver la France de cette invasion migratoire incontrôlée », vous pouvez être mis en cause parce qu’auteur d’un « discours de haine » contre les migrants, ou comme « discours appelant à la révolte » pour sauver la France. Donc, tomber sous le coup de la Loi sans oublier que les réseaux sociaux publiant ces paroles devraient être coupés pour avoir accepté de vous diffuser.

En clair, vous ne pourrez quasiment plus rien dire si la « police » (des milliers de personnes scrutant les réseaux sociaux) mise en place par le commissaire Thierry Breton le décide. Donc une sacrée épée de Damoclès au-dessus de la tête des réseaux sociaux.

Inutile de tourner autour du pot, si ce que veut instituer Thierry Breton à compter du 25 août prochain devient une réalité, ce sera l’instauration d’une authentique dictature.

Et tous les pays de l’Union européenne seront tenus d’appliquer cette politique, car l’adhésion à l’UE des pays membres leur impose de les respecter, car supérieurs à toutes les législations nationales.

Mais est-ce bien étonnant ?

Pas du tout, car peut-être certains vont-ils le découvrir à cette occasion, mais l’Union européenne est une véritable dictature depuis sa création qui plonge ses racines dans le nazisme.

Tout d’abord, il nous faut rappeler ce que beaucoup de monde a oublié ou veut cacher, à savoir que le nazisme avait lui aussi comme projet la construction d’une « Nouvelle Europe ». Le 9 mai 1938, Adolf Hitler se rendit en Italie pour rencontrer Benito Mussolini afin de mettre sur pied les principes de cette nouvelle Europe, dictature placée sous contrôle allemand. À la suite de cette rencontre, du 21 au 25 juin 1938, le gouvernement nazi envoya à Rome des experts juridiques afin de jeter, avec l’Italie, les bases d’un cadre juridique de coopération pour la réalisation de ce projet.

Le journal italien La Stampa du 26 juin 1938 rendra compte de cet événement, indiquant que les deux experts allemands (juristes) qui firent le déplacement étaient les professeurs Klaising et Hallstein. Intéressons-nous à ce dernier, Walter Hallstein. C’était un professeur de droit, éminent juriste allemand. En 1936, il fut nommé doyen de la faculté de Rostock. Nazi convaincu, il fut le personnage essentiel pour la rédaction des textes qui définissaient l’Europe que souhaitait construire Hitler.

Une gigantesque campagne sera menée en Europe autour de ces thèmes afin de promouvoir le concept de « Das neue Europa ». Le journal français « Paris soir » titrera en première page, le 1er février 1941 : « 1941 sera l’année du grand regroupement de l’Europe, a déclaré le Führer à Berlin. » Le discours officiel de l’Allemagne n’était donc nullement d’humilier les vaincus, mais de leur tendre la main pour constituer et construire avec eux cette nouvelle Europe.

La France du Maréchal Pétain acceptera de « collaborer » à ce projet de construction européenne. Une exposition « La France Européenne » sera d’ailleurs inaugurée à Paris au Grand Palais, avec les nazis, le 6 juin 1941. On voudra bien relever au passage que le terme infamant de « collaboration » est utilisé de nos jours juste pour dire que les « collabos » étaient les complices des nazis.

Un pays vaincu, ou un gouvernement, ne « collabore » pas avec son vainqueur. Dit comme cela, ça n’a aucun sens.

Le Larousse donne cette définition au mot collaboration : « Action de collaborer, de participer à une œuvre avec d’autres ».

« Participer à une œuvre avec d’autres »… c’est cela le sens à prendre en compte. Et à quoi collaborait le gouvernement de Vichy ? À la construction de la « Neue Europa » voulue par Adolf Hitler. C’est notoirement oublié ou volontairement caché et le vocable « collaboration » est utilisé de manière particulièrement réductrice. La collaboration ne se limitait donc pas à la chasse aux Juifs avec l’Allemagne.

Pour preuve, 6 jours après la poignée de main à Hitler, le Maréchal Pétain prononcera un discours, le 30 octobre 1940, dans lequel il déclarera :

« C’est dans l’honneur et pour maintenir l’unité de la France — une unité de 10 siècles — dans le cadre d’une activité constructive du nouvel ordre européen que j’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration ».

À la fin du conflit, les USA vont récupérer de nombreux nazis (savants, militaires, hommes du renseignement, etc.), les « recycler » puis les renvoyer en Europe pour servir leurs intérêts. Parmi eux, Walter Hallstein, l’homme qu’Hitler avait envoyé en Italie pour jeter les bases juridiques de la « Neue Europa ». Officier nazi, intégré dans la Wehrmacht comme tout homme de 12 à 60 ans vers la fin du conflit, il fut capturé par les Américains, le 26 juin 1944 à Cherbourg.

Interrogés par les Américains, ces derniers se rendent rapidement compte de l’importance du personnage et l’exfiltrent vers les USA dans le cadre du programme « Paperclip ». Il sera emprisonné, dans le Mississippi, au « Camp Como » réservé aux prisonniers de guerre.

Puis dans le cadre de l’opération « Sunflower », il est transféré à Fort Getty (Rhode Island) pour y suivre une formation à la démocratie américaine. Formation destinée aux prisonniers de guerre allemands.

Il sera ensuite libéré et renvoyé en Allemagne où il exercera d’abord son métier de professeur de droit. Il entre en politique à la CDU et devient le Secrétaire d’État aux Affaires étrangères du chancelier Konrad Adenauer, en 1951. Seulement 6 ans après la fin de la guerre et malgré son lourd passé nazi !

À ce poste, il va élaborer la « Doctrine Hallstein » et négocier, au nom de la RFA (contrôlée par les Américains) les modalités de la construction européenne. Oui, vous avez bien lu. Le nazi Hallstein, qui avait conçu le projet européen d’Adolf Hitler est chargé, moins de 7 ans après la fin de la guerre, de mettre au point les modalités de la construction européenne. On croit rêver…

Hallstein va tout simplement ressortir son dossier de 1938, enlever ce qui fait mauvais genre (la race aryenne, l’épuration des Juifs…) et le réutiliser. En maintenant le côté « dictatorial » de ce projet à savoir une direction constituée de technocrates non élus qui imposeront leurs volontés aux États membres de cette Union européenne. Il va également préparer et cosigner, avec le chancelier Adenauer, le Traité de Rome le 25 mars 1957.

Dans sa première version, c’était l’Allemagne qui chapeautait le tout. Ce sont dorénavant les USA. Ceux qui tirent dans l’ombre les ficelles et qui sont les vrais pilotes du système. Il y a aussi ce que nous appellerons le secteur « privé ». Les grands groupes pétroliers et chimiques, les plus grandes banques et instituts financiers, qui exerceront un lobbying constant afin que les décisions prises aillent dans le sens de leurs intérêts. À cela s’ajoute un exécutif, non élu, constitué de la Commission européenne et d’un Président. Enfin, un Parlement européen qui est chargé de voter ce que souhaite la Commission européenne. Ce Parlement européen, sans aucun véritable pouvoir, sera élu par le peuple des différents pays.

C’est exactement ce qui fut mis en place et que nous pouvons constater de nos jours. Il s’agit donc d’un système parfaitement dictatorial avec un léger vernis démocratique constitué par l’élection des députés européens. Afin de sauver les apparences. Pour couronner le tout, Walter Hallstein fut le premier président de la Commission européenne de 1958 à 1967. Si vous avez la curiosité de vous rendre sur le site de l’Union européenne, vous ne trouverez aucune trace de ce qui précède. Pourtant ces faits sont avérés et vérifiables sans aucune difficulté.

Comme l’avait indiqué Viviane Reding (commissaire européenne), l’Union européenne réécrit son histoire au fur et à mesure « pour mieux répondre aux détracteurs ». À l’époque, gaullistes et communistes représentaient ensemble près de 60 % des électeurs. Les communistes, entre autres, ont dénoncé dans leur presse ces faits, notamment le « recyclage » d’anciens nazis ainsi que la domination américaine du système en train de se mettre en place. Pour toutes les générations ayant connu cette période, cette réalité était incontestable. Aujourd’hui, tout le monde a oublié et tout est fait pour cacher cette réalité historique aux nouvelles générations.

Ajoutons pour finir sur ce point qu’Hallstein présentera en 1965 un plan préconisant ouvertement une « Europe fédérale ». De Gaulle mettra immédiatement son veto à ce projet et engagera la « politique de la chaise vide ». Pour lui, préserver l’indépendance nationale de la France était la priorité absolue. Le général aura gain de cause et obtiendra par les Accords de Luxembourg l’instauration d’un droit de veto. Il obtiendra également le départ de Hallstein en 1967.

Mais dès le retrait de la vie politique de De Gaulle en 1969, cette position très réticente de la France cessera et la marche à la construction de l’Europe d’Hallstein reprendra son cours sans plus trouver aucun opposant en France.

La construction européenne se fait sur le principe d’une roue à cliquet. Chaque étape franchie rend impossible tout retour en arrière.

Depuis l’Europe de Maastricht en 1992, les États ont accepté de renoncer à leur indépendance nationale.

C’est l’Europe qui décide et impose à tous les États sa politique.

Dit autrement, les USA ont imposé la mise ne place d’un système dont ils sont les principaux bénéficiaires, authentique dictature, dont les membres non élus imposent aux populations des pays membres des politiques sur lesquelles ils n’ont plus aucun moyen d’agir.

Ainsi en est-il de la politique d’immigration, de la politique de l’énergie, des énergies renouvelables, de la politique de défense, etc.

Alors, oui, la politique qu’entend imposer Thierry Breton est un véritable scandale démocratique.

L’Union européenne déclare ouvertement qu’elle va contrôler ce qu’elle considère « politiquement correct » et quiconque osera s’élever contre ou promouvoir une politique contraire sera impitoyablement puni, voire détruit.

Seuls les naïfs peuvent s’étonner de cela. C’est l’essence même de l’Union européenne d’être ainsi.

La seule solution sérieuse est de sortir de ce système qui est une véritable dictature, notamment en activant l’article 50 du traité européen.

Vous verrez que l’an prochain… tous les candidats se présenteront à vos suffrages pour les élections européennes en déclarant : « Votez pour moi POUR UNE AUTRE EUROPE ».

Comme si cette Europe était modifiable, alors que c’est un piège mortel pour tous les pays membres.

Mais nous aurons le temps de reparler de tout cela…

Bernard GERMAIN




Il n’y a pas eu de pandémie

[Source : denisrancourt.ca via santeglobale.world]

Par Denis G. Rancourt, PhD

C’est radical.

L’essai est basé sur mon témoignage du 17 mai 2023 pour la National Citizens Inquiry (NCI) à Ottawa, Canada, mon livre de 894 pages d’expositions à l’appui de ce témoignage, et nos recherches continues.

Je suis un scientifique et physicien interdisciplinaire accompli, et un ancien professeur titulaire titulaire de physique et chercheur principal, à l’origine à l’Université d’Ottawa.

J’ai rédigé plus de 30 rapports scientifiques pertinents à la COVID, à compter du 18 avril 2020 pour l’Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca/covid) et récemment pour une nouvelle société à but non lucratif (correlationcanada.org/research). Présentement, tous mes travaux et entrevues au sujet de la COVID sont documentés sur mon site Web créé pour contourner le barrage de la censure (denisrancourt.ca).

Outre les revues critiques de la science publiée, la principale donnée que mes collaborateurs et moi analysons est la mortalité toutes causes confondues.

La mortalité toutes causes confondues par période (jour, semaine, mois, année, période), par juridiction (pays, état, province, comté) et par caractéristiques individuelles des personnes décédées (âge, sexe, race, logement) est la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements à l’origine des décès, et pour évaluer l’impact au niveau de la population d’une augmentation ou d’un effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause.

Ces données ne sont pas susceptibles d’être biaisées par la déclaration ou par l’attribution des causes de décès. Nous les avons utilisées pour détecter et caractériser la saisonnalité, les vagues de chaleur, les tremblements de terre, les effondrements économiques, les guerres, le vieillissement de la population, le développement sociétal à long terme et les agressions sociétales telles que celles qui se sont produites au cours de la période COVID, dans de nombreux pays du monde et au cours de l’histoire récente, de 1900 à aujourd’hui.

Fait intéressant, aucune des pandémies de maladies respiratoires virales promues par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) après la Seconde Guerre mondiale (1957-58, « H2N2 » ; 1968, « H3N2 » ; 2009, « H1N1 à nouveau ») peut être détectée dans la mortalité toutes causes confondues de n’importe quel pays. Contrairement à toutes les autres causes de décès dont on sait qu’elles affectent la mortalité, ces soi-disant pandémies n’ont provoqué aucune augmentation détectable de la mortalité, où que ce soit.

Le grand événement de mortalité de 1918, dont on a été convaincu qu’il s’agissait d’une pandémie de maladie respiratoire virale (« H1N1 »), s’est produit avant l’invention des antibiotiques et du microscope électronique, dans des conditions horribles d’assainissement public et de stress économique après la guerre. Les décès de 1918 ont été prouvés par histopathologie du tissu pulmonaire préservé comme ayant été causés par une pneumonie bactérienne. Ceci est démontré dans plusieurs études publiées indépendantes et non contestées.

Mon premier rapport analysant la mortalité toutes causes confondues a été publié le 2 juin 2020, sur Research Gate, sujet à la censure, et s’intitulait « Mortalité toutes causes pendant la COVID-19 – Pas de peste et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement ». Il a montré que des points chauds de poussées soudaines de la mortalité toutes causes confondues ne se produisaient que dans des endroits spécifiques du monde occidental de l’hémisphère Nord, qui étaient synchrones avec la déclaration de pandémie du 11 mars 2020. Une telle synchronicité est impossible dans le cadre présumé d’une maladie respiratoire virale en propagation, avec ou sans avions, car le temps calculé entre l’ensemencement et la flambée de mortalité dépend fortement des circonstances sociétales locales, de plusieurs mois à plusieurs années. J’ai attribué les décès en excès à des mesures agressives et à des protocoles de traitement hospitalier connus pour avoir été appliqués soudainement à cette époque dans ces localités.

Le travail a été approfondi avec des collaborateurs pendant plusieurs années et se poursuit. Nous avons montré à maintes reprises que la surmortalité refusait le plus souvent de franchir les frontières nationales et les frontières interétatiques. Le virus invisible cible les pauvres et les handicapés et porte un passeport. Il ne tue jamais non plus jusqu’à ce que les gouvernements imposent des transformations socio-économiques et de la structure des soins aux groupes vulnérables au sein de la population nationale.

Voici mes conclusions, à partir de nos études détaillées sur la mortalité toutes causes confondues pendant la période COVID, en combinaison avec des données socio-économiques et de déploiement de vaccins :

  1. S’il n’y avait pas eu de propagande ou de coercition pandémique, et que les gouvernements et l’establishment médical avaient simplement continué comme si de rien n’était, il n’y aurait pas eu de surmortalité ;
  2. Il n’y a pas eu de pandémie causant une surmortalité ;
  3. Les mesures ont provoqué une surmortalité ;
  4. La vaccination contre le COVID-19 a causé une surmortalité.

En ce qui concerne les vaccins, nous avons quantifié de nombreux cas dans lesquels un déploiement rapide d’une dose dans le calendrier de vaccination imposé était synchrone avec un pic par ailleurs inattendu de la mortalité toutes causes confondues, parfois dans le cycle saisonnier et d’une ampleur jamais vue auparavant dans l’enregistrement historique de mortalité.

Nous avons ainsi montré que la campagne de vaccination en Inde a causé la mort de 3,7 millions de résidents fragiles. Dans les pays occidentaux, nous avons quantifié le taux moyen de mortalité tous âges confondus à 1 décès pour 2000 injections, à augmenter de façon exponentielle avec l’âge (doublement tous les 5 ans supplémentaires), jusqu’à atteindre 1 décès pour 100 injections chez les 80 ans et plus. Nous avons estimé que les vaccins avaient tué 13 millions de personnes dans le monde.

Si l’on accepte mes conclusions numérotées ci-dessus et les analyses que nous avons effectuées, alors il y a plusieurs implications sur la façon dont on perçoit la réalité concernant ce qui s’est réellement produit et ne s’est pas produit.

Premièrement, alors que les épidémies d’infections mortelles sont bien réelles dans les maisons de soins, les hôpitaux et les conditions de vie dégradées, le risque de pandémie respiratoire virale promu par l’industrie de la « réponse à la pandémie » dirigée par les États-Unis n’existe pas. Il est très probablement fabriqué et entretenu pour des motifs cachés, autres que le sauvetage de l’humanité.

Deuxièmement, en plus des événements naturels (vagues de chaleur, tremblements de terre, sécheresses prolongées à grande échelle), les événements importants qui affectent négativement la mortalité sont des agressions importantes contre les populations domestiques, affectant les résidents vulnérables, tels que :

  • détérioration économique soudaine et dévastatrice (la Grande Dépression, le bol de poussière, la dissolution de l’Union soviétique),
  • la guerre (y compris la restructuration des classes sociales),
  • l’occupation et l’exploitation impériales ou économiques (y compris l’exploitation à grande échelle des terres), et
  • les mesures bien documentées et la destruction appliquées pendant la période COVID.

Sinon, dans une société stable, la mortalité est extrêmement robuste et n’est pas sujette à de grands changements rapides. Il n’y a aucune preuve empirique que des changements importants dans la mortalité peuvent être induits par des apparitions soudaines de nouveaux agents pathogènes. À l’ère contemporaine de l’espèce humaine dominante, l’humanité est son pire ennemi, pas la nature.

Troisièmement, les mesures coercitives imposées pour réduire le risque de transmission (telles que la distanciation, les flèches directionnelles, le confinement, l’isolement, la quarantaine, les barrières en plexiglas, les écrans faciaux et les masques faciaux, les coups de coude, etc.) sont manifestement non scientifiques ; et la préoccupation sous-jacente elle-même concernant la « propagation » n’a jamais été justifiée et est irrationnelle, car il n’y a aucune preuve dans les données fiables sur la mortalité qu’il y ait jamais eu un agent pathogène particulièrement virulent.

En fait, la notion même de « propagation » pendant la période COVID est rigoureusement démentie par les variations temporelles et spatiales de la surmortalité toutes causes confondues, partout où elle est suffisamment quantifiée, dans le monde. Par exemple, le virus présumé qui a tué 1,3 million de résidents pauvres et handicapés des États-Unis n’a pas franchi la frontière terrestre de plus de mille kilomètres avec le Canada, malgré des échanges économiques continus et intenses. De même, le virus présumé qui a causé des points chauds de mortalité synchrones en mars-avril-mai 2020 (comme à New York, dans la région de Madrid, à Londres, à Stockholm et dans le nord de l’Italie) ne s’est pas propagé au-delà de ces points chauds.

Fait intéressant, à cet égard, les variations saisonnières historiques (période de 12 mois) de la mortalité toutes causes confondues, connues depuis plus de 100 ans, sont inversées dans les hémisphères nord et sud du globe et ne montrent aucune preuve de « propagation ». Au lieu de cela, ces modèles, dans un hémisphère donné, montrent des augmentations et des diminutions synchrones de la mortalité dans tout l’hémisphère. Est-ce que le ou les agents causals « en propagation » prendraient toujours exactement 6 mois pour passer dans l’autre hémisphère, où ils provoqueraient à nouveau des changements de mortalité synchrones dans tout l’hémisphère ? De nombreux épidémiologistes ont conclu depuis longtemps que la propagation des maladies respiratoires par «contact» de personne à personne ne peut pas expliquer et est réfutée par les tendances saisonnières de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi le CDC et compagnie ne sont pas systématiquement ridiculisés à cet égard dépasse l’entendement de ce scientifique.

Au lieu de cela, en dehors des conditions de vie extrêmement pauvres, nous devrions nous tourner vers l’ensemble des travaux du professeur Sheldon Cohen et de ses co-auteurs (États-Unis) qui ont établi que deux facteurs dominants contrôlent l’infection des étudiants intentionnellement handicapés et la gravité de la maladie respiratoire quand ils sont infectés :

  • le degré de stress psychologique ressenti ;
  • le degré d’isolement social.

L’impact négatif du stress psychologique ressenti sur le système immunitaire est un vaste domaine d’étude scientifique actuel et établi, consciencieusement ignoré par les intérêts des vaccins, et nous savons maintenant que ledit impact est considérablement plus important chez les personnes âgées, où la nutrition (écologie du microbiome intestinal) est un cofacteur important.

Bien sûr, je ne veux pas dire qu’il n’existe pas d’agents causals, tels que des bactéries, qui peuvent provoquer une pneumonie ; ni qu’il n’existe pas de concentrations environnementales dangereuses de tels agents causals à proximité d’individus fragiles, comme dans les hôpitaux et sur les mains des cliniciens, notoirement.

Quatrièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y ait eu un agent pathogène particulièrement virulent causant une mortalité excessive, le débat sur la recherche sur le gain de fonction et une arme biologique échappée n’est pas pertinent.

Je ne veux pas dire que le ministère de la Défense (DoD) ne finance pas la recherche sur le gain de fonction et les armes biologiques (à l’étranger, en particulier), je ne veux pas dire qu’il n’y a pas beaucoup de brevets américains pour des organismes microbiens génétiquement modifiés ayant des applications militaires potentielles, et je ne veux pas dire qu’il n’y a pas eu auparavant d’évasion ou de libération de vecteurs et d’agents pathogènes d’armes biologiques. Par exemple, la controverse sur la maladie de Lyme aux États-Unis peut être un exemple de fuite d’arme biologique (voir le livre de Kris Newby de 2019 « Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons »).

Généralement, pour des raisons évidentes, tout agent pathogène extrêmement virulent ne sera pas également extrêmement contagieux. Il y a des milliards d’années de pressions évolutives cumulatives contre l’existence d’un tel agent pathogène, et ce résultat sera profondément encodé dans toutes les formes de vie.

De plus, il serait suicidaire pour n’importe quel régime de chercher avec véhémence à créer un tel agent pathogène. Les armes biologiques sont destinées à être livrées dans des zones cibles spécifiques, sauf dans la science-fiction où l’immunité contre une arme biologique à la fois extrêmement virulente et extrêmement contagieuse peut être délivrée de manière fiable à sa propre population et à ses soldats.

À mon avis, si la COVID est proche d’être une arme biologique, c’est par sa capacité militaire à déployer massivement et de manière répétée des injections individuelles, qui sont les vecteurs physiques des substances que le régime souhaite injecter de manière sélective dans des populations choisies, tout en imposant une conformité totale jusqu’à son propre corps, sous le couvert de la protection de la santé publique.

C’est le même régime qui pratique des guerres de destruction complète de la nation et d’anéantissement de la société, sous couvert de répandre la démocratie et les droits des femmes. Et je ne parle pas de la Chine.

Cinquièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’un agent pathogène particulièrement virulent soit à l’origine de la surmortalité, il n’est pas nécessaire de mettre en place des protocoles de traitement particuliers, au-delà des diagnostics habituels, réfléchis, au cas par cas, suivis de la meilleure approche choisie par le clinicien.

Au lieu de cela, de nouveaux protocoles vicieux ont tué des patients dans des points chauds qui appliquaient ces protocoles au cours des premiers mois de la pandémie déclarée.

Cela a été suivi dans de nombreux États par des mesures sociétales coercitives imposées, qui étaient contraires à la santé individuelle : peur, panique, paranoïa, stress psychologique induit, isolement social, autovictimisation, perte de travail et d’activité bénévole, perte de statut social, perte d’emploi, faillite d’entreprise, perte d’utilité, perte de gardiens, perte de lieux et de mobilité, suppression de la liberté d’expression, etc.

Seule la classe professionnelle a fait mieux, travaillant confortablement à domicile, près de sa famille, tout en étant prise en charge par une armée de services de livraison à domicile spécialisés.

Malheureusement, l’establishment médical ne s’est pas limité à agresser et isoler les patients vulnérables dans les hôpitaux et les établissements de soins. Il a aussi systématiquement retiré les soins normaux et attaqué les médecins qui refusaient de le faire.

Dans pratiquement tout le monde occidental, les prescriptions d’antibiotiques ont été réduites et maintenues à environ 50 % des taux pré-COVID. Cela aurait eu des effets dévastateurs aux USA, notamment, où :

  • les propres statistiques du CDC, basées sur les certificats de décès, comptent environ 50 % du million de décès associés au COVID ayant une pneumonie bactérienne comme comorbidité répertoriée (il y a eu une épidémie massive de pneumonie bactérienne aux États-Unis, dont personne n’a parlé) ;
  • les États pauvres du Sud ont historiquement des taux de prescription d’antibiotiques beaucoup plus élevés (cela implique une forte sensibilité à la pneumonie bactérienne) ;
  • la surmortalité pendant la période COVID est très fortement corrélée (r = +0,86) — en fait proportionnelle à — la pauvreté par état.

Sixièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y avait un agent pathogène particulièrement virulent causant une surmortalité, il n’y avait aucune raison de santé publique de développer et de déployer des vaccins ; pas même si l’on acceptait la proposition ténue selon laquelle n’importe quel vaccin a déjà été efficace contre une maladie respiratoire virale présumée.

Ajoutez à cela que tous les vaccins sont intrinsèquement dangereux et nos quantifications du taux de mortalité par dose de vaccin décrites ci-dessus, et nous devons reconnaître que les vaccins ont contribué de manière significative à la surmortalité partout où ils ont été imposés.

En conclusion, la surmortalité n’a été causée par aucun nouveau pathogène particulièrement virulent. La soi-disant réponse COVID était en effet une attaque étatique et iatrogène massive à plusieurs volets contre les populations et contre les structures de soutien de la société, qui a causé toute la surmortalité, dans toutes les juridictions.

Il est maintenant naturel de se demander « qu’est-ce qui a motivé cela ? », « qui en a profité ? » et « quels groupes subissaient des désavantages structurels permanents ? »

À mon avis, l’assaut COVID ne peut être compris que dans les contextes symbiotiques de la géopolitique et des transformations à grande échelle des classes sociales. La domination et l’exploitation en sont les moteurs. L’hégémonie mondiale défaillante centrée sur les États-Unis et ses machinations créent des conditions dangereuses pour pratiquement tout le monde.




CNews « clairement d’extrême droite » : Pap Ndiaye « salit et insulte » les journalistes, répond en direct Laurence Ferrari

Par SARITA MODMESAÏB

[Source : epochtimes.fr]

Ce dimanche, le ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye, avait tancé le groupe de médias appartenant à Vincent Bolloré, accusant la chaîne Cnews d’être « d’extrême-droite ».

Alors qu’il s’exprimait dimanche sur Radio J à propos de la grève menée par les journalistes du Journal du Dimanche, Pap Ndiaye s’en est pris à Vincent Bolloré, patron du groupe Vivendi qui détient, entre autres, la chaîne d’informations CNews.

« Je comprends bien qu’ils ne veulent pas entrer dans la galaxie des publications ou des médias contrôlés par un personnage qui est manifestement très proche de l’extrême droite la plus radicale », a-t-il fustigé, s’en prenant ensuite à CNews et Europe1.

« Quand vous regardez CNEWS et quand vous regardez ce qu’est devenu Europe 1, quand vous regardez cet ensemble-là, la conclusion s’impose», a ajouté Pap Ndiaye, ajoutant alors, « CNEWS, c’est très clairement d’extrême droite. »

« Je pense qu’ils font du mal à la démocratie, il n’y a aucun doute », a t-il conclu.

Il « dénigre, salit et insulte »

Ce lundi, Laurence Ferrari, journaliste présentatrice à Europe1 et à CNews, a tenu à répondre en direct aux propos de Pap Ndiaye lors de son émission Punchline de CNews.

« Un ministre de l’Éducation nationale se permet de jeter l’anathème sur deux rédactions indépendantes de 120 et 160 personnes », a-t-elle déclaré, précisant en outre que les propos du ministre étaient lancés sans le « moindre argument étayé ».

La journaliste a poursuivi ainsi :

« Cet employé de la République dénigre, salit et insulte l’intégralité de ces 280 journalistes dont je salue une fois de plus le travail irréprochable ».

Soutien des LR et RN à CNews

Le parti LR a tenu à réagir aux propos du ministre, appelant sur Twitter à « protéger la liberté d’expression ».

« Dans l’esprit étriqué des wokistes, la liberté d’expression exclut la liberté de penser. Nous apportons notre soutien inconditionnel aux rédactions de CNews et d’Europe 1 ! », a déclaré le parti des Républicains.

Des élus RN ont aussi réagi, à l’image d’Hélène Laporte. La vice-présidente de l’Assemblée nationale a ainsi tweeté :

« Propos honteux de Pap Ndiaye qui qualifie CNews et Europe 1 d’extrême droite. Au lieu de s’attaquer au pluralisme des médias, le ministre de l’Éducation nationale devrait travailler à enrayer la baisse constante du niveau scolaire ! »




L’Ukraine dans l’OTAN ?

[Source : Sud Radio]

Jacques Baud :

« C’est difficile d’accepter un pays qui a autant de casseroles. »




La Catastrophe Républicaine

[Source : AVATAR Media]





« Sound of freedom » détrône « Indiana Jones » aux USA et cela fait très peur à la Secte SHAA

Par Lucien SA Oulahbib

Pour noyer son chien dites qu’il a la rage, pour empêcher que des vérités remontent à la surface dites qu’elles sont « complotistes » ou « d’extrême-droite » bien sûr, mais comme pour le film « Sound of freedom » relatif au trafic d’enfants ce sortilège ne marche pas vu le nombre d’entrées aux USA et les demandes nombreuses de sortie en France, ce qui affole, il faut alors user de l’artillerie de plus en plus lourde. Ainsi Nice Matin tentera à tout prix d’empêcher le flot en rappelant diverses qualifications étiquetées sur le dos des promoteurs de ce film au lieu de se concentrer plutôt sur le pourquoi de ce trafic ; procédé de l’accusation inversée dans laquelle excellent nos Dupont et Dupond de l’anti « fake news » sévissant en France et qui en dehors de tripatouiller dans le fonds Marianne ou les subsides anti-antivaxx, sortent, en plus de l’artillerie et les chars, les armes à sous-munitions pour associer « en même temps » la dénonciation du trafic d’enfants en vue d’actes et de meurtres pédocriminels avec, mais oui, « l’éternel retour » du refoulé antisémite, celui du fameux meurtre rituel sans oublier l’amalgame entre les buveurs de sang d’enfant avec ceux qui ne voudraient pas de transfusion de sang injecté…

À cela font écho, comme le relate très justement Radio Québec, les propos de pédopsychiatres, psychologues qui dénoncent ce vaste amalgame, orchestré par l’OMS et relayé par le ministère de l’Éducation nationale français, entre une information nécessaire sur le harcèlement et la discrimination avec une inculcation de type idéologique puisqu’elle « confond » d’un côté, psychisme de l’enfant et fantasme adulte sur ce que « pense » l’enfant de son corps (voir page 23 ici : progression du développement sexuel), et, de l’autre côté, attribution de rôles sociaux qui évoluent historiquement et distribution naturelle des sexes dont la consistance intrinsèque n’est pas seulement physico-chimique, mais psycho-différentielle (Nuttin 1980, Reuchlin 1995) ce qui implique que l’ajout/retrait ou le blocage d’hormones et d’organes ne suffit pas à en réorganiser le « câblage » neuropsychologique distinguant mâle et femelle, surtout chez les mammifères, et en particulier humains…

Preuve si l’en est de cette « confusion » entre rôle et sexe cette défense-panique d’un tableau clairement nihiliste prétendant dénoncer le viol comme arme de guerre alors que jamais (jamais) les tortionnaires ne se mettent nu devant leurs victimes. C’est une affabulation, un mensonge, mais que d’aucuns s’empresseront de masquer (paradoxe du menteur systématisé par Foucault, voir page 5) avec la complicité d’un jugement (et observez comme l’article masque le tableau en question).

Chassez la pédophilie par la porte, taxez là même de « pédocriminalité », elle revient par la fenêtre sous le couvert de « droits sexuels », voire de « citoyenneté sexuelle », masqués certes par l’idée de « consentement », mais qui, comme dans la « santé » se trouve aisément contournée par des passe-droits tels que « l’urgence-à » (« instruire, protéger ») comme dans la fable du petit chaperon rouge :

« Ma mère-grand, que vous avez de grands bras !
— C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes !
— C’est pour mieux courir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles !
— C’est pour mieux écouter, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux !
— C’est pour mieux voir, mon enfant.
— Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents !
— C’est pour mieux te manger. »
Et en disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.




Le patron de la DGSI pointe du doigt trois menaces : le djihadisme, l’ultra-gauche et l’ultra-droite. L’AFP réécrit l’interview et n’en retient que l’ultra-droite

[Source : anguillesousroche.com]

Toute la presse reprend cette version.




Alexis Poulin : « Nous sommes déjà dans une société du crédit social qui ne dit pas son nom. »

[Source : businessbourse.com]

L’émission complète : https://www.youtube.com/watch?v=eGPOkJeqfyM




Le président Trump rencontre Mel Gibson pour discuter des moyens de mettre fin à la pédophilie des élites

[Source : aubedigitale.com]

Le président Trump a rencontré Mel Gibson samedi soir pour discuter d’une stratégie visant à mettre fin à la pédophilie des élites et au trafic d’enfants en Amérique.

Cette rencontre, qui s’est déroulée à l’UFC 290 samedi soir, fait suite à la sortie du film Sound of Freedom, qui lutte contre le trafic d’enfants. Gibson a été l’un des principaux promoteurs du film. « L’un des problèmes les plus inquiétants dans le monde d’aujourd’hui est le trafic d’êtres humains et en particulier le trafic d’enfants », a déclaré Gibson.

Le patron de l’UFC, Dana White, s’était engagé, quelques heures auparavant, à payer pour que tous ses employés puissent voir ce film novateur.

Thepostmillennial.com rapporte : La rencontre dans les coulisses de l’événement très attendu de l’UFC a fait le buzz parmi les participants et les médias. Avec Roger Stone, la réunion a rassemblé trois personnes connues pour leur forte personnalité et leur franc-parler, ce qui a donné lieu à un mélange captivant de politique, de divertissement et d’intrigue.

Le président Donald Trump est sorti des coulisses et a fait une apparition très remarquée dans la foule du T-Mobile arena samedi soir, accompagné du patron de l’UFC, Dana White. Trump a reçu un accueil électrique de la part d’une foule enthousiaste.

Sound of Freedom, sorti dans tout le pays le 4 juillet, a fait des débuts impressionnants en se plaçant en tête du box-office. La technologie innovante du film, développée par Angel Studios, a contribué à son succès. Distribué par Angel Studios aux États-Unis, Sound of Freedom a rapporté plus de 14 millions de dollars le premier jour, dépassant d’autres films en lice comme « Indiana Jones » de Disney, qui a ouvert le 30 juin et aurait rapporté 11,5 millions de dollars, selon Deadline.

L’approche unique du film en matière de vente de billets, qui utilise un modèle de paiement à l’avance en instance de brevet, a généré des recettes supplémentaires de 2,6 millions de dollars. Sound of Freedom a dépassé les prévisions de pré-lancement, qui estimaient les recettes entre 11 et 15 millions de dollars sur une période de six jours, en dépassant la marque en un seul jour.

Sound of Freedom est basé sur l’histoire vraie d’un ancien agent du gouvernement, Tim Ballard, qui a quitté son emploi pour sauver des enfants de trafiquants d’êtres humains et de pédophiles. Le film décrit les efforts de Ballard pour sauver deux enfants et un groupe de plus de 50 autres personnes, en se basant sur une mission réelle au cours de laquelle Ballard et son équipe ont sauvé un total de 123 personnes, dont 55 enfants.

Vers la fin du film, pendant le générique, l’acteur Jim Caviezel, qui incarne Ballard, adresse au public un message sincère. Caviezel reconnaît les obstacles rencontrés par le film au cours de sa production et souligne les crimes et les horreurs de l’industrie du trafic sexuel. Il encourage ensuite les spectateurs à scanner un code QR qui permettra de fournir des billets à ceux qui n’auraient pas les moyens de se les offrir.

Neal Harmon, PDG d’Angel Studios, s’est réjoui du succès du film en déclarant : « Ce film a maintenant pris une vie propre et est devenu quelque chose de plus que cela, un mouvement populaire ». Harmon a souligné l’importance du bouche-à-oreille et du soutien de fans passionnés et d’investisseurs pour que le film atteigne un public plus large.

Tim Ballard, PDG et fondateur d’Operation Underground Railroad, qui lutte contre la traite des êtres humains à l’échelle mondiale, est à l’origine de « Sound of Freedom », qui retrace les débuts de l’organisation.

Bien qu’il n’y ait pas encore de documentation sur ce dont le président Trump et Mel Gibson ont parlé, cela ajoute certainement une nouvelle couche d’intrigue à un week-end déjà riche en événements, mêlant la politique, le divertissement et le succès continu de Sound of Freedom.




Surtout, ne dites pas que les Palestiniens sont des non-juifs

[Source : investigaction.net]

Avant la création d’Israël, il y avait des Palestiniens musulmans et chrétiens, ainsi qu’une minorité de Palestiniens juifs (d’ailleurs tout aussi méfiants à l’égard du projet sioniste que leurs autres compatriotes). Mais depuis 1948, les colons sionistes sont parvenus à créer un amalgame entre les termes « juif » et « sioniste ». Depuis, ils poursuivent inlassablement leur projet de nettoyage ethnique à l’encontre des Palestiniens non juifs. Car c’est de cela qu’il s’agit. Et si le monde réalisait qu’Israël tue et déplace des gens uniquement parce qu’ils ne sont pas juifs, toute la propagande israélienne s’effondrerait. (IGA)

[Note de Joseph : que penser d’une Humanité qui se bat pour des considérations raciales ou pour des croyances ? Pourquoi certains êtres devraient-ils bénéficier davantage que d’autres de la Terre ? Parce qu’ils le mériteraient plus ? Selon quels critères ? Du fait de leur naissance ? De leur supposée supériorité raciale ? Intellectuelle ? Technologique ? Ou encore religieuse ? On a vu ce à quoi conduisent de telles suppositions : à l’extermination brutale ou progressive des autochtones par les nouveaux arrivants, toujours et partout, comme en Amérique lors de l’arrivée des populations européennes, finissant par parquer les survivants dans des réserves ou dans des bidons-villes lorsqu’il en survit encore.]

Par Thomas Suarez

Si Israël se voyait dépouillé de son récit particulièrement élaboré, il ne resterait plus que le remplacement violent d’une population indigène par une « tribu » juive importée.

C’est ce à quoi les partisans d’Israël doivent se confronter. Certes, des millions d’évangélistes de la fin des temps peuvent dire « Amen ! » à ça, mais un jour les apparences s’évaporeront, révélant ce que signifie réellement le « droit à l’existence » revendiqué par Israël.

Ce qui fait obstacle à cette prise de conscience, c’est le vocabulaire — le contrôle des mots utilisés pour expliquer le soi-disant conflit israélo-palestinien, en particulier le mot « conflit » lui-même. La manipulation du vocabulaire est la clé de l’impunité d’Israël et de l’assurance de la complicité du public occidental pour ses crimes. La critique de ce langage est donc une évidence pour ceux qui luttent pour la justice.

Pourtant, la construction linguistique la plus élémentaire qui empêche le public de saisir pleinement la nature des crimes d’Israël a échappé à un examen approprié : le terme même de « Palestiniens » en tant que cible des crimes d’Israël. Oui, ils sont tous Palestiniens, bien sûr, mais bien que le fait d’être Palestinien soit depuis longtemps synonyme de ce qui les place dans la ligne de mire d’Israël, cette équation masque une vérité profonde : leur « crime » n’est pas d’être Palestiniens, mais de ne pas être juifs. Cacher ce fait est essentiel pour la propagande israélienne.

L’objectif du sionisme, à savoir la création d’un État « juif » dans l’ensemble de la Palestine historique, a toujours nécessité l’expulsion des populations autochtones, à l’exception des Juifs originaires de Palestine. Lorsque les premiers colonisateurs sionistes sont arrivés en Palestine, ils ont trouvé une population palestinienne composée d’une petite minorité de Juifs, le reste étant musulman, ou chrétien. Aux yeux de ces colons, le fait que ces derniers ne soient pas juifs constituait un obstacle à l’objectif de « pureté » ethnique du sionisme.

De plus, les Juifs palestiniens n’étaient pas des convertis volontaires, comme l’a montré l’éminent historien Ilan Pappé. Ils étaient aussi méfiants à l’égard du sionisme que leurs compatriotes musulmans et chrétiens. Au fil du temps, cependant, les sionistes ont réussi à les intégrer dans leur projet messianique. Pourtant, en novembre 1945, les Britanniques signalaient encore que les Juifs originaires des États du Levant appréhendaient le sionisme et se montraient solidaires de la population arabe locale.

Le rêve sioniste : une terre ethniquement « pure »

Le terme « palestinien » suggère une association géographique — des personnes dont l’héritage et l’identité culturelle proviennent de la Palestine historique, qu’elles soient nées dans le pays ou qu’elles appartiennent à la diaspora. Lorsqu’un public déjà endoctriné par le discours israélien entend qu’il y a des problèmes entre Israël et « les Palestiniens », cela crée un sentiment erroné de marchandage territorial conventionnel, renforcé par le fantôme d’une Autorité « nationale » palestinienne.

Cette analyse trompeuse disparaît toutefois lorsque l’on remplace l’appellation « Palestiniens » par celle de « non-Juifs » ou « Palestiniens non-juifs ». Les Juifs palestiniens ne sont pas les seuls Juifs arabes que les sionistes ont intégrés dans leur projet colonial. Les sionistes ont travaillé dur, voire violemment, pour transplanter en Palestine des Juifs arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, ce qui a profité au sionisme au-delà de ce qu’ils pouvaient apporter à Israël en tant que colons. Pendant la période du mandat britannique, les Juifs sionisés du Moyen-Orient (par exemple, les juifs yéménites) ont été particulièrement efficaces dans les campagnes de terreur des sionistes, du fait même qu’ils se fondaient dans les populations indigènes et pouvaient donc opérer partout, sans éveiller les soupçons.

Une fois que le mouvement sioniste a réussi à créer son soi-disant « État juif » en 1948, l’identité palestinienne elle-même est devenue un handicap, une preuve accablante à effacer. Aujourd’hui, la déshumanisation dont l’Occident fait preuve envers les Palestiniens au profit d’Israël est telle que la réponse du Congrès américain aux massacres d’Israël (comme lors de l’opération « Bordure protectrice » de 2014) consiste à augmenter le financement d’Israël.

Si on veut éveiller le public occidental au lent génocide des Palestiniens, il faut lui exposer les rouages du mécanisme qui a permis de l’en rendre complice par son soutien docile.

Israël se présente comme « l’État juif » afin d’appuyer ses prétentions messianiques et sa mainmise sur l’identité juive — en fait, pour parvenir à faire passer les propos contre l’État pour des propos contre les Juifs. Comme l’a dit Ben-Gourion lui-même lors d’une réunion organisée en 1941 pour planifier la prise de contrôle de la Palestine par les sionistes, il s’agit d’ » être un juif ».

C’est pour faire de la Palestine historique le foyer de cette « race » juive — une « nationalité » mondiale définie par la filiation par le sang, dont Israël est seul à dicter les paramètres, et pour laquelle les mariages mixtes entre Juifs et non-juifs sont interdits — qu’Israël a condamné des millions d’êtres humains à divers niveaux d’apartheid, confinés dans des bantoustans et des camps de réfugiés.

C’est pour cela que cet État tue si facilement, que les milices sionistes ont dépeuplé quelque 500 villages en 1948 et que des millions de personnes se désespèrent aujourd’hui dans des camps. S’ils avaient été juifs — qu’ils soient Palestiniens, Arabes ou autres —, ils auraient reçu une maison dont le propriétaire aurait fait l’objet d’un nettoyage ethnique parce qu’il n’était pas juif.

« Tués parce que non-juifs », les mots qui changent tout

Ainsi, l’identification précise des victimes du sionisme met en évidence non seulement le fascisme racial d’Israël à l’égard des Palestiniens, mais aussi son fascisme racial en tant que crime profond contre les Juifs, détournant l’identité juive pour servir son culte de la suprématie ethnique.

À mon avis, rien de ce qui se passe entre le Jourdain et la mer Méditerranée, ou dans les camps d’internement (« camps de réfugiés ») qui parsèment la région, ne peut être compris si l’on ne met pas cette question à l’avant-plan. L’État israélien exploitera le terme « juif » — par exemple, en contraignant les médias à qualifier les colonies d’apartheid de Cisjordanie de « districts juifs » afin d’instiller l’idée que si l’on s’oppose à ces derniers, c’est parce qu’ils sont juifs. Mais le public est délibérément laissé dans l’ignorance quant au fait que les véritables habitants dudit « district » sont ces enfants qui jettent des pierres et qui sont expulsés de force parce qu’ils ne sont pas juifs.

Si le public n’était pas maintenu dans l’ignorance, l’effet serait rapide et profond. Imaginez un reportage sur la Grande marche du retour d’il y a quelques années, lorsque les habitants de Gaza ont produit une démonstration purement symbolique du retour dans leurs propres maisons légales dont ils avaient été ethniquement nettoyés. On pourrait lire quelque chose comme : « Les personnes qui tentent de rentrer chez elles continuent d’être abattues par des snipers israéliens parce qu’elles ne sont pas juives. »

Ou encore, lorsque l’armée israélienne fait irruption dans un camp de réfugiés à 3 heures du matin et abat un jeune de 15 ans, nous pourrions avoir une description précise comme celle-ci : « Des soldats israéliens sont entrés dans le camp d’al-Arroub, l’un des camps d’internement dans lesquels Israël enferme les non-juifs, et ont exécuté un adolescent qui les avait défiés. »

Ou sur les bantoustans et le contrôle des déplacements : « Ce matin, une mère de trois enfants a perdu sa bataille contre le cancer, après qu’Israël l’eut empêchée à plusieurs reprises d’accéder à des soins médicaux, parce qu’elle n’était pas juive. »

Ou encore sur le nettoyage ethnique habituel : « Les forces israéliennes ont poursuivi leur chasse aux derniers non-juifs dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem-Est occupée, forçant aujourd’hui deux de ces familles à quitter leurs maisons pour les remplacer par des Juifs. »

Il n’y a là aucune tendance à l’interprétation dans la façon de rapporter ces faits. Il s’agit juste de résumés directs et factuels de ce qui se passe et des raisons qui sous-tendent ces faits.

Si les médias rendaient compte de la situation en Palestine avec une telle précision, l’ensemble du projet sioniste échouerait rapidement. Ils ne le feront pas – pas en premier lieu, pas tant que nous ne serons pas assez nombreux à le faire.

Thomas Suarez est un chercheur en Histoire basé à Londres. Il a notamment publié « Comment le terrorisme a créé Israël » aux éditions Investig’Action.

Source : The Electronic Intifada
Traduit de l’anglais par CV pour Investig’Action




La vérité brutale : contre le Forum Économique Mondial, l’Organisation Mafieuse de la Santé et le WOKISME…

[Source : Amelie Paul via les7duquebec.net]




Macron — la descente aux enfers

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Par Alexandre Douguine

Source : https://www.geopolitika.ru/article/makron-spuskaetsya-v-ad

En regardant le comportement violent des Français en colère dans les rues, surtout quand on le voit pour la première fois, on pense immédiatement : voici la révolution ! Le régime ne tiendra pas le coup ! La France est finie. Le gouvernement va tomber. Peu importe que ce soit des adolescents arabes ou africains des banlieues, des Gilets Jaunes populistes, des agriculteurs mécontents, des partisans des minorités sexuelles, des opposants aux minorités sexuelles ou, au contraire, des partisans des valeurs familiales et traditionnelles, des nationalistes, des antifascistes, des anarchistes, des étudiants, des retraités, des cyclistes, des protecteurs des animaux, des syndicalistes (CGT), des écologistes ou des retraités. Ils sont nombreux, des milliers, des dizaines, des centaines de milliers, parfois des millions. Ils remplissent les rues des villes françaises, arrêtent la circulation, bloquent les gares et les aéroports, déclarent l’autonomie de certains établissements et écoles, brûlent de l’essence, renversent des voitures, crient sauvagement, brandissent des banderoles et mordent la police. Et puis… ils se calment, reprennent leurs esprits, prennent des calmants et retournent au travail, discutent des prix, de la vie, des voisins et de la politique à l’heure du déjeuner dans de petits restaurants, où ils crient à nouveau, mais beaucoup plus calmement, puis rentrent chez eux.

Après 1968, même les plus grandes manifestations de masse rassemblant des millions de personnes n’ont eu aucun effet. Le résultat a été nul. Toujours et en toutes circonstances. Si vous connaissez mieux la France, vous vous rendez compte qu’il s’agit tout simplement d’une nation de psychopathes. Et il ne s’agit pas du tout des migrants. Les autorités françaises se fichent éperdument des migrants, comme elles se fichent éperdument des Français de souche. Et c’est dans cette indifférence glaciale que les migrants deviennent à leur tour des psychopathes. C’est la nouvelle forme d’intégration sociale : on arrive dans une civilisation de psychopathes et on en devient un.

Jean Baudrillard pensait que les Français étaient une nation de parfaits crétins. Selon lui, ils sont incapables de comprendre quoi que ce soit à l’art et s’entassent par milliers au musée Beaubourg au risque qu’il s’effondre un jour sous le poids de ces idiots. Les engelures intérieures et les crises d’hystérie régulières remplacent la culture et la politique pour les Français. Si le général De Gaulle avait mieux connu son peuple, il n’aurait pas prêté attention, en 1968, à l’indignation des gauchistes dans les rues. Au bout d’un certain temps, ils auraient tout simplement disparu. Mais il les a pris au sérieux. Après lui, aucun autre président n’a commis la même erreur. Quoi qu’il se passe dans la rue, mais aussi dans l’économie, la politique, la société et les finances, le gouvernement français a toujours gardé son calme. Et un contrôle total de la presse. Régis Debray, conseiller de Mitterrand, a avoué que pendant toute la durée de sa présidence prétendument de gauche, lui et son patron n’ont rien pu faire, parce que leurs initiatives se heurtaient à chaque fois à une résistance invisible. Et comme ils étaient au sommet du pouvoir, ni Debray ni Mitterrand ne comprenaient d’où venait cette opposition. Ce n’est que plus tard que Debray a compris qu’il s’agissait de la presse. La presse est tout pour la France. Et les psychopathes de la rue, c’est-à-dire la population, ne sont rien. 

Lorsque Macron a été élu pour la première fois et que la candidate de droite — et beaucoup plus rationnelle — Marine Le Pen avait de bonnes chances de l’emporter, l’influent journal Libération a titré : « Faites ce que vous voulez, mais votez pour Macron ! ». Très français. Droite, gauche, pro-immigration, anti-immigration, pro-augmentation des impôts, anti-augmentation des impôts, peu importe. Votez, et c’est tout. Pour Macron. C’est un ordre qui ne se discute pas. Et aucune responsabilité après l’acte de vote n’est encourue par l’électeur. Par Macron non plus, et pourquoi serait-il responsable ?

Macron était déjà détesté lors de son premier mandat. Je ne sais plus pourquoi. Apparemment à cause de tout. Mais il fut élu à nouveau. Par les mêmes Français. Les Russes sont censés être imprévisibles — et c’est fou. Les Français sont prévisibles, mais c’est fou aussi. Choisir un perdant total une deuxième fois… Qui, dans son esprit, ferait cela ? Mais il a été réélu, et ils ont recommencé à protester, à renverser des voitures et à briser des vitrines. On pourrait rappeler Baudrillard : les Français sont des idiots, mais Macron est aussi français. Un équilibre a donc été trouvé.

L’ampleur des émeutes actuelles, l’exaspération des hordes d’adolescents immigrés (Macron a suggéré qu’ils ne faisaient que jouer démesurément aux jeux vidéo), l’effondrement de l’économie, l’augmentation des taux d’intérêt des obligations d’État, la récession, la perturbation des fêtes de fin d’année, les pertes énormes dues au vandalisme ne doivent pas nous tromper : les Français ont une paroisse.

Macron ne fera rien. Mais il n’a jamais rien fait. Il parlera de l’environnement, rencontrera Greta Thunberg au cas où, enverra une ou deux cargaisons d’armes en Ukraine, paiera une somme fabuleuse à un groupe de relations publiques américain de réputation internationale, mais totalement inefficace, affilié à la CIA, aura une conversation téléphonique avec Scholz, ira dans une discothèque gay, se regardera dans la glace. Puis il se regardera à nouveau dans le miroir. Et puis tout s’arrangera. C’est comme ça que ça s’est toujours passé. Ce n’est pas l’apocalypse, ce n’est pas la fin du monde. C’est juste la France.

Une chose reste à supposer : l’apocalypse a déjà eu lieu dans ce pays autrefois très attrayant et élégant. Et maintenant, ses rues, inondées d’on ne sait quoi, témoignent d’une hallucination collective.

Y a-t-il quelqu’un qui veuille ou puisse changer la situation ? Si l’on examine attentivement la culture française des 19e et 20e siècles, la conclusion est sans équivoque : l’esprit français, tel Orphée (avec Cocteau ou Blanchot, par exemple), ne voulait qu’une chose : descendre le plus bas possible aux enfers. Eh bien, il a réussi. Et c’est irréversible. Et combien de temps cela peut-il durer ? Nul ne le sait. La belle France, fille aînée de l’Église, comme l’appelaient les catholiques du brillant Moyen Âge, s’est irrémédiablement transformée en dépotoir, de l’âme aux rues et aux banlieues. Notre-Dame a brûlé. Tous les tableaux et sculptures susceptibles d’être abîmés par les immigrés et les féministes ont été retirés du Louvre.

Il n’y a plus que Macron et son miroir. Comme dans la pièce Orphée de Jean Cocteau avec les décors de Jean Hugo et les costumes de Coco Chanel.




Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Un pacte Russie-Chine d’envergure mondiale correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique. Otto Kahn, l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis, l’a révélé ouvertement en 1919 :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution. »

Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais tout à fait comme il l’entend – et non comme le scénario le prévoit…

Transcription

Aucun gouvernement sous ce ciel n’est vraiment indépendant. Depuis des siècles, tout est infiltré de manière ciblée et stratégique par une haute finance parasitaire. Telle une tique, cette sangsue de la haute finance se niche secrètement dans les États-nations pour en faire des centres de direction stratégiques. L’objectif est toujours le nouvel ordre mondial de cette société secrète, parfois aussi appelée État profond. Si un « hôte » infiltré par cette tique tente de la secouer de sa fourrure, on lui coupe les vivres sur-le-champ. Si cette mesure ne suffit pas, il est soumis à la terreur, voire à la guerre ouverte, et ruiné — le printemps arabe nous en a donné une idée. Ces sangsues pensent et dirigent tout à l’échelle mondiale. Depuis longtemps déjà, les grands financiers qui gouvernent secrètement depuis la clandestinité s’efforcent de faire de la Chine leur prochain centre de domination mondiale. À cette fin, ils ont depuis longtemps érigé en Chine leurs bâtiments administratifs mondiaux sous forme de gigantesques gratte-ciel. Enfin, ceux-ci ne doivent plus rester vides. Le simple fait que la « Chine » ait été encensée pendant longtemps par nos médias financés par des redevances obligatoires montre que nous en sommes arrivés là. Mais de sérieux problèmes apparaissent à l’horizon. Nous verrons bientôt si ces problèmes se concrétisent ou pas. Pour nous, les peuples trompés, cela ne fera finalement aucune différence, comme je l’expliquerai plus tard. Pour l’instant, on constate en tout cas une fraternisation entre la détestée Russie de Poutine et la Chine. D’autre part, dès le début de l’année 2022, la Chine a déjà amassé des ressources essentielles partout dans le monde, comme jamais auparavant dans l’histoire. Comme, par exemple, 69 % de toutes les réserves mondiales de céréales, des matières premières allant du bois aux terres rares, des denrées alimentaires sans mesure.

La Russie aurait en effet dû devenir depuis longtemps le centre de direction de la haute finance qui gouverne secrètement l’Europe, ce qui a entraîné des problèmes de plus en plus importants. Mais la haute finance mondiale ne tolère plus des conditions moyenâgeuses. Elle veut tout le pouvoir et toutes les richesses pour elle seule et élimine tous les marginaux et les rivaux autocrates.

Rappelons qu’au haut Moyen-Âge, une période où l’argent circulait sans intérêts a conduit à une répartition si égale des richesses qu’il n’y avait presque plus de différences de fortune entre les classes laborieuses et la noblesse. Vers le milieu du 15e siècle, cette période s’est définitivement effondrée, si bien que le système monétaire à intérêts, inactif au Moyen-Âge, a été réactivé à la manière de la Rome antique. Une redistribution continue des richesses des travailleurs vers les prêteurs d’argent a repris pendant des siècles. La redistribution automatique par le biais d’un système monétaire basé sur des intérêts a ensuite conduit à la création de la Banque d’Angleterre en 1694 et en conséquence à la formation visible d’une nouvelle haute finance mondiale selon le modèle de la Rome antique.

Les fondateurs de la Bank of England privée ont pris le pouvoir sur l’Angleterre et le Commonwealth, c’est-à-dire sur cette communauté des Nations qui leur est soumise. Depuis cette date et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’Angleterre a été le centre de direction de la haute finance mondiale. Le déclin économique de l’Angleterre après la Seconde Guerre mondiale montre à quel point un pays est rapidement mis hors-jeu lorsque la haute finance ne peut ou ne veut plus l’utiliser comme centre de direction mondial. C’est exactement le sort qui attend maintenant les États-Unis, car le centre de contrôle mondial a été déplacé en Chine. Dans les années 1780, la haute finance a réussi à développer son sinistre réseau de sociétés secrètes, de services secrets, d’adorateurs du diable et de criminalité organisée pour en faire un État profond mondial, par lequel elle contrôle et dirige l’Humanité depuis lors. Au cours du 18e siècle, elle a pris le contrôle de presque tous les États européens, ce qui, à l’époque du colonialisme, était synonyme de contrôle du monde. Il ne lui manquait alors que le contrôle de la Russie.

Comme nous l’avons déjà mentionné, la Russie, que la haute finance avait déjà infiltrée lors de la révolution russe, devait se transformer en un empire soviétique eurasien. Mais, comme nous pouvons le constater chaque jour, les choses ont mal tourné — car leur marionnette maçonnique Vladimir Poutine ne s’est pas montrée aussi loyale que prévu. Depuis longtemps, il s’est détaché de la laisse et veut décider lui-même où il veut aller. Peut-être que l’administration américaine elle aussi maçonnique et son Pentagone ont vraiment aiguisé l’appétit de Poutine avec ce qui s’est passé le 11 septembre. Avec la Chine en revanche, le plan de la haute finance souterraine semblait jusqu’à récemment se dérouler sans accroc. Ce n’est pas pour rien que les médias de masse, qui se trouvent tous sous la dictature de cette haute finance, ont de plus en plus vanté la Chine comme un grand modèle social. Mais pourquoi une élite de la haute finance devrait-elle faire l’éloge d’une dictature communiste ?

Il est urgent que nous apprenions à comprendre que la haute finance construit sa dictature mondiale sur la voie de la dialectique entre le capitalisme de haut niveau et le communisme. La dialectique signifie la tactique qui consiste à faire toujours deux pas en avant, puis un pas en arrière « dans un esprit de compromis, en quelque sorte ». La différence entre le capitalisme de haut niveau et le communisme est… qu’il n’y a pas de différence ! Car le capitalisme n’est que le début et le communisme la cible d’un seul et même agresseur. Le capitalisme est utilisé pour faire avancer le communisme. Et le communisme est utilisé pour faire avancer le capitalisme — mais l’objectif de cette approche dialectique est une dictature communiste mondiale. Mais pourquoi une telle dictature ? C’est la question que se posent tous ceux qui ont conservé l’innocence de leurs interrogations : Comment la haute finance peut-elle trouver faveur dans le communisme — ces contraires ne s’excluent-ils pas complètement ? Eh bien non, justement, parce que le capitalisme comporte une redistribution automatique des richesses des travailleurs vers les plus riches. Le communisme, tel que nous le connaissons dans les pays dévastés du bloc de l’Est, est toutefois une abomination pour une société prospère ; c’est pourquoi toutes les nations prospères doivent être au préalable subtilement plongées dans la misère et le chaos.

[Voir aussi :
Le Grand Réveil]

D’une part cela se fait systématiquement en transférant imperceptiblement de plus en plus de richesses nationales dans les mains de quelques rares super-riches, comme on l’a vu au cours des siècles passés. D’autre part, la misère peut également être provoquée par un terrorisme ciblé et des crises délibérément attisées. Nous y reviendrons plus tard.

C’est en tout cas ainsi que ces familles de l’élite ont successivement pris le pouvoir sur l’Humanité, car nous dépendons tous de leur argent. Et grâce à cette dépendance, un nombre incalculable de personnes sont devenues corruptibles et sujettes au chantage. En d’autres termes, en détruisant le capitalisme des classes moyennes, le capitalisme de la haute finance transfère systématiquement toute la richesse nationale entre les mains de quelques super-riches et, avec cette richesse nationale, tout le pouvoir. Le communisme est son meilleur allié. Dans un zèle aveugle, il conduit fidèlement à l’état final du capitalisme d’État par la voie la plus directe, en donnant à une petite élite tout le contrôle de la richesse nationale et donc le pouvoir sur l’Humanité entière.

Vous tous, les communistes, reconnaissez s’il vous plaît ce que je dis ici et voyez clair dans ce jeu malsain. Vous finirez par devenir des esclaves sans droits de cette haute finance, tout comme le reste du monde, si nous n’ouvrons pas maintenant de nouvelles voies. Vous en saurez plus à la fin de cet exposé. Croyez-le bien, personne d’autre que ces capitalistes de la haute finance ne sera finalement votre propriétaire et votre État communiste tant désiré. En tout cas, ils vous ont depuis longtemps instrumentalisés, vous les communistes, à leurs propres fins, tout comme le christianisme par exemple. Car tous les faux dévots, avec leurs églises et leurs communautés, et bien sûr tous les faux religieux, conduisent eux aussi à l’état final du communisme de la haute finance par la voie la plus directe, et ce par leur attitude fondamentalement mal comprise, soit passive, soit extrémiste. En fin de compte, le capitalisme et le communisme mènent tous deux à ce port d’arrivée où l’individu est non seulement totalement dépourvu de biens, mais aussi définitivement privé de droits et de pouvoir. Mais comme la haute finance est surtout intéressée par le pouvoir sur l’Humanité et pas seulement par sa fortune, le capitalisme ne sert que d’outil, le communisme, ou plutôt la dictature communiste mondiale étant le véritable objectif.

Pour ceux qui doutent encore, voici une citation du pape maçonnique de la haute finance Otto Kahn. Déjà en 1919, il disait textuellement dans une conférence à Budapest :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle de la richesse, et par le bas, via la révolution. »

En 1929, le franc-maçon de haut grade Blumenthal l’a exprimé de manière encore plus claire dans le journal suédois « Judisk Tidskrift » Écriture n° 57 :

« Ce n’est que récemment que notre race a donné au monde un nouveau prophète. Mais celui-ci a deux visages et porte deux noms : d’un côté, son nom est Rothschild, de l’autre Karl Marx. »

Aussi longtemps que cette haute finance mondiale fonctionnera, peu importe comment l’Humanité évoluera — quoi qu’il arrive — les élites tenteront toujours d’instaurer une dictature communiste mondiale, et ce, même si le fameux État profond n’existe plus. Le marxisme, le communisme et leur descendant, le socialisme, n’incarnent rien d’autre que le capitalisme d’État et la domination par une minorité privilégiée qui aspire à un contrôle despotique et total de l’Humanité et veut lui retirer non seulement tout droit, mais aussi toute propriété. On voit tout simplement partout comment le capitalisme et le communisme se servent l’un l’autre à merveille. Et nous retrouvons le même phénomène de la Chine à la Russie et à l’Europe : partout, les multimilliardaires rôdent et partout règne un État quasi omnipotent. Nous, dans l’espace germanophone, nous sommes, tout comme la Russie et la Chine, sur la bonne voie pour n’avoir plus que des groupes puissants et un pouvoir centralisé à Bruxelles sur nous, de sorte que l’individu se retrouve finalement sans aucun droit d’intervention, sans aucun pouvoir et sans aucun droit. En bref, le capitalisme et le communisme forment une équipe de haut niveau, qui est également puissamment favorisée chez nous en Europe. Il en va de même aux États-Unis, où le pouvoir est également entre les mains des multimilliardaires et au centre de Washington. Le capitalisme et le communisme vont toujours de pair et l’individu devient de plus en plus impuissant. De nos jours, nous pouvons le constater de nos propres yeux, nous nous dirigeons déjà tout droit vers une dictature communiste mondiale.

Ce n’est donc pas seulement depuis la Première Guerre mondiale que la haute finance maçonnique contrôle tous les gouvernements nationaux sans exception, mais aussi tous les principaux médias de masse de ce monde. Dans tous les domaines essentiels, il existe malheureusement une obligation d’exécuter leur volonté, de sorte que les évolutions positives en faveur de l’Humanité ne sont plus guère possibles. L’Humanité libre est fortement harcelée et opprimée à tous égards par cette haute finance mondiale secrète. Et ce, bien que cette dernière ne soit composée que d’un nombre raisonnable de familles de milliardaires. Pourtant, ces derniers contrôlent l’ensemble du système monétaire de la planète depuis 1913, c’est-à-dire depuis la création de leur système privé de réserves fédérales, appelé FED. Ils sont parvenus à nous rendre tous totalement dépendants de leur argent avec un système hallucinant d’intérêts et d’intérêts composés. C’est pour cette raison que cette élite secrète est appelée l’État profond mondial. Il s’agit donc, comme nous l’avons mentionné, d’un réseau de sociétés secrètes dont les chefs suprêmes sont tous, sans exception, des adorateurs du diable. Ceux-ci sont liés depuis bien plus de 200 ans aux services secrets et au crime organisé, etc. Il suffit de penser à leur guerre de l’opium, qui n’était que le premier maillon d’une gestion du chaos délibérément orchestrée pour prendre le contrôle de la Chine. Ils contrôlent de plus en plus tous les gouvernements, les médias d’information, les systèmes juridiques, les institutions d’enseignement, les sciences et autres choses similaires. En résumé, ils contrôlent l’ensemble de l’Humanité depuis l’ombre. Ils y parviennent parce qu’ils ont réussi à infiltrer habilement nos systèmes étatiques à tous les postes clés. Et au-dessus de chaque zone capturée où ils ont réussi à prendre le contrôle total de la planète, ils font comme les anciens pirates. Lorsque ces derniers s’étaient emparés d’un navire, ils hissaient leur drapeau avec une tête de mort et des os croisés. Les drapeaux des élites dirigeantes mondiales sont en revanche beaucoup plus discrets et accueillants. Regardons donc quelques-uns de ces drapeaux. Ils signalent tous la souveraineté absolue. Comme nous allons le voir, ils existent sous forme d’emblèmes de souveraineté sur la terre, l’air, l’eau et d’autres encore. Et nous n’avons même pas remarqué qu’il s’agit en fait toujours d’un seul et même signe de souveraineté.

Au centre se trouve la couronne de laurier. Depuis l’Antiquité, elle est considérée comme l’attribut du vainqueur, un porte-bonheur et un symbole de pouvoir. La couronne de feuilles de laurier pouvait être le trophée dans le sport, mais les empereurs romains la portaient également. Dans la mythologie antique, le dieu Apollon porte une couronne de laurier.

Là, il symbolise la suprématie sur les cieux

Apollo 11

Là, Apollo symbolise la souveraineté sur l’espace

Et de même que dans la Rome antique, un laurier était considéré comme sacré et ne pouvait donc être ni profané ni brûlé, de même toute organisation de souveraineté globale des élites est considérée par eux comme quasi sacrée et intouchable !

Organisation Mondiale de la Santé

Vous voyez cette couronne ? Une organisation maçonnique ! Souveraineté sur toute la santé des hommes.

Oui, et nous nous sommes heurtés à ce principe d’intangibilité, notamment lors de la campagne du Covid19. Et de nouveau ces jours-ci, parce que l’OMS vient d’élaborer, dans le cadre d’accords secrets, de nouvelles lois contraignantes à l’échelle mondiale, qui doivent lui conférer la suprématie sur l’ensemble du système de santé, c’est-à-dire en quelque sorte la domination mondiale cachée.

Au lieu de mettre sous les verrous ces personnes qui ont récemment causé des dommages au monde entier, elles planifient déjà en secret une prochaine campagne de domination mondiale.

Pour en venir tout de suite au fait : C’est précisément l’objectif déclaré de la franc-maçonnerie de haut grade depuis des siècles, c’est pourquoi derrière presque tous les logos de lauriers se trouvent des fondations, des organisations et des associations maçonniques. Pour n’en citer que quelques-unes :

Les Nations unies et toutes leurs organisations subsidiaires :

Remarquez toujours la couronne ! Nous n’aborderons pas aujourd’hui le fait que cette couronne tourne autour d’une « carte de terre plate ».

[Note de Joseph : il semble bien qu’Ivo Sasek se soit laissé avoir avec l’affaire de la prétendue « Terre plate ». À l’heure d’Internet, il existe pourtant une expérience simple et imparable pour démontrer que la Terre ne peut pas du tout avoir une géométrie plane. Deux personnes en contact par visioconférence (utilisant Skype, Zoom ou n’importe quel logiciel équivalent) peuvent facilement le vérifier si elles habitent en deux endroits éloignés de plusieurs milliers de kilomètres. Si la Terre était géométriquement plate, alors en tout lieu de la planète, le Soleil devrait descendre simultanément sous l’horizon, si on le voit le faire en un lieu donné. Par exemple, si le Soleil se couche à Paris, dans le même temps, il est six heures de moins à Montréal et on constate qu’il est encore bien haut dans le ciel au lieu d’être proche de tomber sous l’horizon.]

Organisation météorologique mondiale

(Organisation spéciale des Nations Unies)

Programme alimentaire mondial des Nations unies

Fonds des Nations unies pour l’enfance

Conseil des droits de l’homme des Nations unies

Organisation internationale du travail

(Organisation spéciale des Nations unies)

Organisation des Nations unies pour le développement industriel

(Organisation spéciale des Nations unies)

Programme des Nations unies sur le VIH/sida

Nous avons suffisamment dénoncé toute l’arnaque du VIH/sida avec l’AZK.

Organisation maritime internationale

Si tu veux savoir un peu plus précisément ce qui se passe en permanence au pôle Nord, par exemple, et que tu affrètes un bateau pour t’y rendre, tu seras intercepté très tôt par des navires de la souveraineté maritime et contraint de faire demi-tour. Si tu n’obéis pas, tu seras fortement menacé.

Et si tu affrètes un avion, par exemple un petit Cessna, et que tu te diriges vers le pôle Nord, les chasseurs à réaction de la souveraineté aérienne internationale t’intercepteront. À ta droite et à ta gauche, ils t’encadreront et te demanderont par radio de faire immédiatement demi-tour. Si tu n’obéis pas, ils t’abattront. Comprenez-vous ce que signifie cette couronne de lauriers omniprésente ?

Organisation de l’aviation civile internationale

Troupe de combat nord-polonaise

La même chose t’attend si tu ne te comportes pas correctement sur le territoire de la Pologne du Nord.

Agence internationale de l’énergie atomique

Vous voyez, et ainsi on pourrait encore énumérer beaucoup d’autres organisations et sous-organisations maçonniques. Vous n’arriveriez même pas à faire le tour de la NASA et de tous ses astronautes maçonniques. (www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ?)

Sans parler de la nouvelle religion maçonnique du climat, avec ses faux prophètes et ses grands prêtres qui effraient sans cesse les peuples avec leurs mensonges climatiques.

L’ange bleu — Jury du label écologique

Cour pénale internationale

Et celui qui pense qu’au moins la Cour pénale internationale a le même logo par simple hasard peut volontiers croire à nouveau au Père Noël. Même chose si, en tant que chrétien, on croit qu’Israël, fondé en 1948, a été reconstruit par Dieu et non par la franc-maçonnerie de haut niveau.

Modèle de logo universitaire

Regarde le logo de l’université comme modèle. Partout, tu trouveras cette couronne ! « Université » dit déjà tout. C’est le club qui a tout infiltré. Donc si tu as des doutes sur le fait que tout a été habilement infiltré, tu as ici des preuves.

Prochaine vague — Tatouages

Jusqu’aux universités constamment encensées et à l’addiction générale au tatouage, tout prend racine dans un seul et même marécage maçonnique. C’est pourquoi tu vois ici un spécimen comme celui-ci : « Prochaine vague — tatouages ».

Certaines choses ont été délibérément cachées de cette manière, comme c’est la coutume cynique des francs-maçons de haut grade depuis des siècles.

L’état actuel de notre monde montre que la haute finance mondiale est quasiment à un pas de l’objectif de l’instauration de sa dictature communiste mondiale. Mais elle doit encore lutter contre deux problèmes particulièrement tenaces. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’élite maçonnique américaine veut maintenir son statut de parasite mondial et empêcher le transfert du centre de direction mondial de la cabale vers la Chine, ce qui retarde considérablement le plan de reformatage de la haute finance mondiale. Et deuxièmement, la population occidentale comprend de plus en plus les objectifs de la mise en place de cette dictature mondiale communiste et financière, c’est-à-dire de l’État profond, et elle devient de plus en plus consciente de sa propre perte de pouvoir en raison de la mise à nu et de la perte de pouvoir de l’élite américaine, qui deviennent visibles. De plus en plus de personnes cherchent donc le salut dans des mouvements patriotiques conservateurs.

Mais tout patriotisme assumé arrive trop tard. Car c’est précisément à cause de lui que les peuples et les États occidentaux sont affaiblis et détruits depuis des décennies par des migrations de masse systématiques. Chaque fois que la haute finance et ses principaux médias exaltent le patriotisme, c’est pour pouvoir ensuite mettre sur le dos du patriotisme ou du nationalisme les révoltes, les crises et les guerres sanglantes fomentées par la franc-maçonnerie, comme ce fut le cas autrefois avec Adolf Hitler ou actuellement avec Zelensky et Poutine. Comprenez-vous l’astuce ? C’est ainsi qu’on démantèle les nationalités. Tout patriotisme authentique est une épine dans le pied du communisme de la haute finance, car il possède la force potentielle de vaincre ce communisme de la haute finance — mais seulement si on se serre les coudes. C’est pourquoi le plan subtil de surpopulation étrangère d’Earnest Hooten détruit sous nos yeux toute velléité de patriotisme authentique. Depuis les années 60, le plan Hooten empêche systématiquement tout retour au patriotisme. Il brise dès le départ tout patriotisme authentique.

Sous le slogan « ça profite à notre économie », des travailleurs immigrés ont donc été introduits de manière ciblée et systématique dans nos pays. Au début, il ne s’agissait que d’amis « voisins », par exemple des travailleurs immigrés d’Italie, puis de Turquie, puis de plus en plus de travailleurs immigrés de tous les pays et enfin le chaos total planifié par des ruées vers l’asile à travers la Méditerranée. La migration de masse s’est ainsi révélée être de plus en plus une ruse de guerre marxiste contre nous, afin d’imposer la dictature communiste mondiale. L’ordre issu du chaos a toujours été le mot d’ordre des élites secrètes qui dirigent le monde. Le chaos total dans tous les sens du terme est leur principe de construction. Pour notre génération, cela commence par les hippies du mouvement de 68, avec l’introduction ciblée de drogues, de sexe, d’alcool — en passant par le nihilisme total — jusqu’à l’effondrement économique total de la classe moyenne, annoncé par les confinements de la plandémie. Oui, le déclin total de tous les peuples non encore communistes est la condition nécessaire à la haute finance secrète pour imposer sa domination mondiale.

Il n’y a aucune autre raison qui explique que nous nous trouvions maintenant dans un monde où les problèmes sont de plus en plus nombreux et où de moins en moins de personnes trouvent encore de l’aide après avoir été délibérément plongées dans des problèmes sans issue.

Je résume tout ce qui a été dit et j’en arrive à ce qui me semble être une solution viable pour sortir de cette crise mondiale :

• Aucun gouvernement au monde n’est vraiment autosuffisant, indépendant de la haute finance. Même les gouvernements qui souhaitent conserver ou rétablir leur indépendance ne le peuvent pas : ils sont écrasés par l’armée.

• La Chine et la Russie ont également été construites stratégiquement par la haute finance mondiale et attirées dans le piège de la dette, comme tous les autres pays du monde.

• Le communisme tout entier est un dispositif global et stratégique de la même haute finance, destiné à éliminer toute classe moyenne qui lui est rivale.

• Le principal point faible du complexe financier mondial, désormais numérique, réside dans la nécessaire administration étrangère. Tout comme les Américains dépendent de gouvernements fantoches appartenant aux États-Unis dans tous les territoires qu’ils occupent, la haute finance fait de même. C’est dans cette administration étrangère que se trouve le talon d’Achille, le point vulnérable de toutes les puissances d’infiltration.

• Après que la haute finance mondiale a construit, entre autres, des prisons de masse rentables, c’est-à-dire des camps de travail pour les travailleurs gratuits, en Russie et en Chine, et qu’elle a finalement pu révolutionner techniquement le marché mondial tout entier, il n’y a plus de retour en arrière possible.

• Mais certaines des principales marionnettes des États vassaux, qui ont été stratégiquement construites par la haute finance mondiale, ont entre-temps elles-mêmes « pris goût à la vie ».

• De même que les bandes de brigands ont toujours eu l’habitude de s’entre-tuer lorsqu’il s’agissait de se partager le gros du butin, il en va de même aujourd’hui. Mais pour nous, les peuples trompés, ce n’est pas une bonne nouvelle. Car que ce soit la haute finance mondiale avec ses militaires ou que ce soit ses vassaux déserteurs qui gagnent la bataille finale pour les peuples travailleurs bon marché, tous les peuples de cette terre finiront de toute façon sous surveillance totale dans les camps de rééducation et de travail prévus. Parce que ce concept est le plus lucratif pour tous les partis de pillards. Priez, si vous pouvez prier, pour que tous ces mafieux des sociétés secrètes s’éliminent mutuellement de leurs propres mains et qu’ils ne parviennent plus à abuser et à sacrifier des peuples innocents pour leurs révoltes et leurs guerres. Je vous invite à écouter à plusieurs reprises la deuxième et surtout la troisième partie de mon message de la Journée des Amis 2023 (https://www.kla.tv/Journéedesamis2023/26201). Vous ne trouverez nulle part ailleurs des solutions et des propositions plus puissantes.

Il n’y a qu’une seule issue pour les peuples : ils doivent devenir ce qu’on leur a fait croire pendant des siècles — ils doivent se défendre ensemble contre la haute finance mondiale rusée et contre son communisme dévoyé.

Mais ce n’est pas la forme puérile ou au mieux adolescente de la démocratie suisse qui nous sortira de l’ornière, car elle est basée sur l’égoïsme humain et donc sur la lutte éternelle des ego.

Ce dont ce monde a besoin, c’est de l’union de tous les peuples condamnés à l’esclavage sous cette loi agissante de l’esprit de vie, de paix et de force de navigation céleste qui sait guider même le « monde animal inculte ».

À ceux qui objectent ici qu’une telle navigation est impossible chez les humains, je renvoie sereinement à l’histoire de l’OCG, dont les organes issus de milliers d’horizons différents agissent harmonieusement comme un seul homme depuis des décennies — et construisent le nouveau monde sur cette voie synergique — et ce, bénévolement et avec une grande motivation. Les résultats ne sont pas seulement visibles dans les dizaines de milliers d’émissions gratuites de Kla.TV ou dans les centaines de milliers d’articles du journal gratuit V&CV. Vous trouverez ces mêmes résultats dans tous les produits de notre maison d’édition Elaion, sous la forme de dizaines de livres gratuits, de littérature spécifique sur le thème susmentionné. Sur le même thème spécifique de la force de navigation ontique mondiale, dans environ 2 000 conférences gratuites sur CD, ou dans de grands films, des oratorios, etc. Nous avons créé tous ces produits bénévolement, malgré les fronts furieux de la haute finance mondiale et du communisme agressif, entre lesquels nous sommes coincés depuis des décennies. Mais aussi en dépit de décennies de résistance de la part de tous les cartels exploiteurs avec leurs médias de masse à redevance obligatoire, etc. En tant qu’OCG, nous sommes devenus un organisme international vivant, en dépit des dizaines de milliers de divisions religieuses, politiques, économiques et autres. Vous voyez donc qu’il est possible de surmonter cela, avec un champ de force qui agit réellement depuis le ciel et qui est là pour tous. Rien de religieux — de la force ! Que pourrais-je encore énumérer ? Il y aurait encore beaucoup plus.

Mais non, l’OCG ne veut pas être lui-même le nouveau dirigeant mondial ou le dirigeant alternatif. Aucun Ivo Sasek ni aucun de ses milliers de collaborateurs bénévoles ne dirigera ce monde. Mais bien le principe de navigation qui agit partout dans l’air autour de nous, auquel nous nous sommes à nouveau fiés et qui nous a permis d’acquérir une qualité de vie totale et indescriptible.

L’OCG ne fait qu’offrir gratuitement ses services à tous les peuples menacés de cette Terre afin de construire parmi eux cette véritable démocratie dans laquelle il n’y a plus de lutte de pouvoir pour les 51 %, mais dans laquelle l’état normal est un accord à 100 % de l’intérieur sur toutes les questions essentielles de la cohabitation entre les peuples, qui s’écoule librement de chaque être humain. C’est le produit de cette navigation par le haut.

J’appelle ici tous les hommes de toutes les nations à l’engagement actif nécessaire ! Devenez avec nous cet organisme vivant ! Celui qui peut entendre mon discours et qui sent dans son cœur qu’une solution adaptée à notre époque s’offre ici — même si c’est à la dernière minute — pour tous les peuples du monde, qu’il s’inscrive à « Kla.TV — Devenir actif » et devienne engagé ! (https://www.kla.tv/aktiv-werden)

Nous sommes là pour toi et nous t’introduisons de manière pratique dans ce champ de force qui navigue de façon ontique.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




De Gambetta à Zelenski : une leçon d’histoire par Drumont

Par Nicolas Bonnal

Zelenski fait liquider les Ukrainiens pour les raisons que l’on connaît et que je ne vais pas discuter ici — on ne les connaît tous que trop ; mais il me semble opportun de rappeler que nous avons eu un héros national qui fit la même chose, qui n’était pas français et qui a envoyé les Français se faire liquider pour rien par les Prussiens mieux préparés et armés après une défaite impériale bien méritée (une « correction », disait Marx dans son Dix-Huit Brumaire, outré par les méfaits de l’armée française au milieu du siècle — colonisation génocidaire, répression politique et sociale, participation au putsch bonapartiste et à la dictature, massacres divers, etc.) : il s’agit de Gambetta. On va laisser parler Drumont, redécouvert surtout grâce à Bernanos, au sujet de Gambetta, dont le nom orne des milliers de rues en France comme celui d’autres tueurs de peuples coloriés et de classes populaires françaises (Thiers, Ferry, Clemenceau, Freycinet, Poincaré, etc.).

Drumont fait le point après Sedan. On pouvait s’arrêter là — comme Zelenski, pas vrai ? Mais non il veut l’OTAN, la guerre mondiale, la guerre nucléaire et l’extermination messianique. Entouré de nazis encore plus humiliés par les Russes que la dernière fois, notre aventurier-messie des médias occidentaux veut finir comme Hitler : dans un bunker après avoir tout fait cramé, Paris compris.

« La situation était très simple, la France a passé son existence de nation à gagner des victoires éclatantes et à subir d’affreuses défaites, elle a eu tour à tour Tolbiac, Bouvines, Marignan, Rocroy, Denain, Fontenoy, Austerlitz, Iéna, Solferino et Crécy, Azincourt, Poitiers, Pavie, Rosbach, Waterloo, elle n’avait qu’à faire ce qu’elle avait toujours fait dans des circonstances analogues, à signer la paix, à soigner ses blessures, à dire : “Je serai plus heureuse une autre fois.” »

Drumont rappelle que Bismarck à qui on avait déclaré la guerre pour une peccadille (cette impératrice espagnole…) était plutôt cool dans cette histoire :

« C’est ainsi que Bismarck, qui raisonnait d’après les principes du sens commun, avait compris les choses. Ainsi qu’il l’a déclaré à maintes reprises, notamment à M. Werlé, maire de Reims [181], il comptait signer la paix à Reims, [386] après quoi chacun serait rentré chez soi, les uns avec un pied de nez, les autres avec des lauriers, ainsi que cela se voit depuis le commencement du monde. »

Après, Drumont s’énerve certes. Mais lisez donc Kunstler qui s’énerve aussi contre les juifs néo-cons dans son texte publié sur son site et traduit par lesakerfrancophone.fr ; il les appelle les dibbouks, notion qu’on ne développera pas ici.

« Deux milliards, c’était bien maigre, pour les Juifs, qui traînaient après eux tout un personnel d’affamés, auxquels on avait promis les dépouilles de la France. »

Et puis intervient Gambetta, pianiste à queue en quelque sorte, un gars au tempérament bohème qui va envoyer tout le monde se faire tuer (et créer les racines d’un conflit franco-allemand catastrophique pour la « civilisation occidentale ») :

« Il se produisit alors un des faits qui restera le plus singulier du XIXe siècle et, on peut le dire, de tous les siècles. Un monsieur, né de parents restés Italiens, à peine Français lui-même, puisqu’il n’avait opté pour la nationalité française qu’au dernier moment et avec la certitude qu’une infirmité le dispenserait de tout service, doublement étranger, puisqu’il était juif (NDLR : on s’en fout du reste de savoir si Gambetta l’était), et qui, en tout cas, ne représentait que les douze mille électeurs qui l’avaient nommé, vint dire :

« Mon honneur est tellement chatouilleux, mon courage est d’une essence si rare, que je ne puis consentir à ce qu’on fasse la paix et que, de mon autorité privée, je veux continuer une guerre à outrance ». »

Et comme avec l’ange exterminateur Zelenski on ne discute pas avec Gambetta, autre adoré des médias et des historiens fonctionnarisés aux ordres. C’est open bar pour l’extermination — sans discussion (vite, Macron, fais de même !) :

« Dans les civilisations les plus rudimentaires, chez les Cafres et chez les Boschiman, il y a, dans les cas graves, un semblant de consultation du pays, on demande à la tribu réunie :

« Êtes-vous d’avis de prendre vos arcs, vos flèches ou vos tomahawks ? »

Les rois chevelus consultaient leurs leudes, Charlemagne consultait ses pairs, sous l’ancien régime, on réunissait [387] les États généraux dans les circonstances critiques. À force de marcher dans la voie du progrès, comme on dit, on a rétrogradé au-delà des Cafres et, durant cinq mois, un aventurier génois envoya les gens se faire casser les bras et les jambes, pendant qu’il fumait des cigares exquis, et cela sans que nul ne s’avisât de protester. »

Et là non plus, 300 ou 400 000 morts ukrainiens, tous les Occidentaux s’en foutent, attendant que la presse envoie ce qui nous reste de jeunesse se faire massacrer par les armes russes. À moins que l’on préfère se faire raser de frais au nucléaire pour obéir aux divins anges exterminateurs Biden-Nuland-Kagan-Blinken-Zelensky.

Vive Gambetta donc.

Et un peu de rappel de Kunstler au cas où quelqu’un s’aviserait de me chercher noise :

« En tant que Juif américain et connaisseur du folklore de mon peuple, j’attire votre attention sur la figure troublante du dibbouk (dih-bik), un démon désincarné qui, à cause de ses péchés, erre sans cesse parmi nous et peut entrer dans la chair d’une personne vivante, qui affligera et tourmentera alors la communauté jusqu’à ce qu’elle soit correctement exorcisée par un minian de rabbins vêtus de linceuls funéraires blancs et brandissant des serments sacrés.

Ainsi, je vous présente Andrew Weissmann, avocat, le dibbouk en chef américain, présent sur la scène depuis des décennies, semant la zizanie et le malheur, à la tête d’une foule impie de dibboukim se faisant appeler Lawfare pour infester les tribunaux et s’immiscer dans les élections. Pensez-y : Michael Sussman, l’un des instigateurs du RussiaGate ; Michael Bromwich, ancien inspecteur général du ministère de la justice (!), puis conseiller de Christine Blasey Ford (vous vous souvenez d’elle ?), David Laufman, ancien lutin du contre-espionnage du ministère de la justice et garçon de course de Blasey Ford, Marc Elias, ingénieur extraordinaire des opérations de récolte des bulletins de vote pour les élections de 2020 et de nombreuses farces connexes, Dan Goldman, avocat principal de la commission judiciaire de la Chambre des représentants pour la mise en accusation de Donald J. Trump… tous des dibbouks ! »

Je rappelle que le texte de Drumont est disponible sur Wikisource.org. Là aussi, qu’on ne me casse pas les pieds. Ou censurez Wikisource.org avec Tik Tok.

Sources

https://lesakerfrancophone.fr/appelez-les-exorcistes

https://fr.wikisource.org/wiki/La_France_juive/Texte_entier/Tome_premier




Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS

[Source : information645.wordpress.com]

Lundi, un groupe d’avocats de dix pays a publié une déclaration exprimant son opposition au traité sur la pandémie proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), officiellement connu sous le nom de CA+ de l’OMS, et aux amendements au Règlement Sanitaire International (RSI).

Au cours du week-end du 30 juin au 2 juillet, le premier congrès international des avocats d’Anwälte für Aufklärung eV (avocats de traduction anglaise pour les Lumières eV) s’est tenu à Cologne, en Allemagne. Le congrès s’est concentré sur le RSI et le Traité sur la pandémie. Une alliance solide d’avocats de toute l’Europe, soutenue par des avocats du monde entier, se forme contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. « Nous, les juristes, disons : Non au totalitarisme. Des déclarations claires des avocats sur les plans visant à faire de l’OMS une sorte de “gouvernement mondial de la santé” : Nous disons NON ! », a tweeté dimanche le Dr Alexander Christ. Vous trouverez ci-dessous leur communiqué de presse à la fois les images tweetées telles que tweetées par Markus Haintz et le texte extrait des images. Lectures complémentaires d’Anwälte für Aufklärung eV (« AfA ») :

Communiqué de presse de Lawyers for Enlightenment eV Cologne, 3 juillet 2023

Des avocats de dix pays ont abordé les questions du traité de l’OMS sur les pandémies et de l’amendement prévu du Règlement sanitaire international lors d’un congrès international d’avocats qui s’est tenu ce week-end à Cologne. En tant qu’hôtes du congrès, nous, les Anwalte fur Aufklarung e. V. (Avocats pour les Lumières) d’Allemagne, avons invité à une conférence de presse aujourd’hui, à laquelle ont participé des avocats d’Autriche, de Suisse, du Liechtenstein, de France, d’Espagne, d’Italie, de la République tchèque, des Pays-Bas, d’Israël et d’Allemagne, entre autres.

Les principaux résultats de la réunion : Nous, avocats, rejetons le projet de rédaction d’un traité pandémique de l’Organisation mondiale de la santé OMS et de modification du règlement sanitaire RSI. En particulier, nous appelons les États européens à ne pas participer aux plans visant à conférer à l’avenir à l’OMS des droits étendus pour déclarer de futures pandémies ainsi qu’à établir des réglementations pour lutter contre ces pandémies, que les États membres devraient alors se conformer obligatoirement et sans autre possibilité d’intervention ou de révision nationale.

Afin de pouvoir réagir plus efficacement et plus clairement à l’avenir aux violations des droits humains fondamentaux et aux restrictions de la liberté et des droits fondamentaux des populations par les États démocratiques, les avocats réunis à Cologne se sont regroupés pour former une Association internationale des avocats, l’Association internationale des avocats pour les droits de l’homme (IAL). 27 signatures des premiers signataires figurent sur l’acte fondateur de l’association des avocats, qui s’étoffera de manière décisive dans les semaines à venir. Derrière la fondation se trouvent, entre autres, les Avocats pour les droits fondamentaux/Attorneys for Enlightenment Autriche, les Avocats pour les Lumières e. V. Allemagne, des membres du Comité des Avocats de Suisse, des avocats de l’association espagnole Units per la Veritat, pour n’en citer que quelques-uns à titre d’exemple.

La conférence sert à étendre la coopération internationale des juristes qui ont déjà abordé de manière critique l’illégalité des mesures étatiques et la fragilité de l’État de droit national au cours de la période Corona. Ces développements indésirables sont portés au niveau d’organisations supranationales telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui, à l’aide du traité sur les pandémies, devrait être en mesure de contourner les droits de souveraineté nationaux et européens en cas de pandémie future.

À cela s’opposent les juristes réunis à Cologne qui, en revanche, s’attachent au strict respect des droits de l’homme, des libertés et droits fondamentaux. Le principe fondamental ici est le suivant : la dignité humaine est inviolable. La Charte des Nations Unies, dont découle la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Pacte des Nations Unies relatif aux droits civils et politiques et aux droits économiques et sociaux, et la Convention européenne des droits de l’homme revendiquent tous une validité indispensable. Celles-ci ne peuvent en aucun cas être effectivement ou de facto invalidées par un traité pandémique de l’OMS, même et surtout pas en période de pandémie ou d’autres crises sanitaires.

Nous, avocats, défendons : la protection des principes fondamentaux de l’État de droit démocratique, une stricte séparation des pouvoirs au sens du principe de « freins et contrepoids », le principe de légalité, le droit à l’autodétermination des peuples, pour le principe selon lequel tout pouvoir doit émaner du peuple, pour la liberté d’information et surtout pour une interdiction totale de la censure dans tous les États.

Tous ces principes sont contredits par le contenu du soi-disant « WHO Pandemic Treaty », qui est en cours d’élaboration, et les modifications attendues de l’« International Health Regulations » (RSI), qui doivent être soumises pour décision à l’OMS. Assemblée générale en 2024. Selon l’état actuel des connaissances, consultable entre autres sur le site internet du Conseil européen, le traité pandémie et les amendements au RSI visent à faire entrer l’Organisation mondiale de la santé dans le rôle d’un « gouvernement mondial de la santé » en tant que super organisation supranationale et mondiale. À l’avenir, l’OMS sera notamment chargée des tâches suivantes :

  • détection précoce et prévention des pandémies, ce qui nécessite la mise en place d’un système mondial d’alerte précoce et de surveillance sans lien de cause à effet ;
  • création et renforcement de l’OMS en tant qu’autorité de coordination pour les questions de santé mondiale, ce qui aurait pour effet de déresponsabiliser les autorités sanitaires nationales et locales et donc de contredire fondamentalement le principe de subsidiarité ;
  • renforcement de la coopération internationale dans des domaines tels que la surveillance, les alertes et la réponse, ce qui reviendrait à établir un système mondial de surveillance des citoyens par les États, appliqué par l’OMS ;
  • et lutte contre la « désinformation » dans le monde entier, ce qui équivaudrait à instaurer la censure.

Du point de vue de nous, avocats, les quatre objectifs conduiraient à un système mondial de surveillance et de paternalisme de l’OMS d’une manière intolérable qui contredit fondamentalement les principes de l’État de droit. Parmi les principes qui revendiquent une validité indéfectible, le premier à mentionner est l’autodétermination individuelle, qui, surtout dans une crise telle qu’une véritable pandémie, doit toujours avoir la priorité sur le paternalisme étatique, voire supranational. Deuxièmement, il y a le principe de subsidiarité, selon lequel un état supérieur ou une unité sociale ne peut intervenir pour aider et reprendre des fonctions que si les forces de l’unité subordonnée ne sont pas suffisantes pour remplir la fonction nécessaire. Surtout en cas de pandémie, la priorité doit toujours être donnée à la prise de décision locale sur les mesures nécessaires.

Lors de la dernière pandémie de Corona, par exemple, l’OMS a montré, par un échec global, qu’elle n’était à aucun moment en mesure d’évaluer correctement la situation. Le transfert de pouvoir à une organisation anonyme, non légitimée démocratiquement, dotée de structures mafieuses, alimentée par des sources d’argent douteuses et proche du lobby pharmaceutique — pour ne pas dire plus — et qui, à l’avenir, sera en mesure de déterminer de manière incontrôlée quand une pandémie s’est déclarée, quand elle est terminée et comment les populations du monde entier doivent alors se comporter, doit être résolument rejeté.

Nous, juristes, disons : Non au traité pandémique de l’OMS et Non à l’amendement du Règlement sanitaire international !

Dr Alexander Christ, porte-parole AnwSite fur Aufldarung eV, Hohenzollerndamm 112, 14199 Berlin, kontaktaafaev.de vrww.afaev.de




Emeutes et affaire Nahel. Qui met le feu à la France ?

[Source : Youssef HINDI ou strategika.fr]




Les églises américaines sont étrangement silencieuses lorsque le pays en a le plus besoin

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

J’ai reçu une éducation chrétienne relativement marginale dans mon enfance et je n’ai commencé à m’intéresser aux questions de nature métaphysique que plus tard dans ma vie. Ma relation avec la religion organisée a toujours été empreinte de scepticisme. J’apprécie les messages moraux fondamentaux et les aspirations à prendre soin de son prochain, mais je me demande souvent si un système théocratique ne finirait pas par devenir une autre forme de tyrannie. Il y a tant d’éléments de la religion organisée qui peuvent être exploités par des personnes malveillantes qui veulent l’utiliser à leurs propres fins. Le collectivisme est le collectivisme, n’est-ce pas ?

Je ne pense pas m’être vraiment immergé dans le concept d’un univers conçu de manière créative avant d’avoir commencé à étudier la physique quantique et la psychologie jungienne — j’ai alors réalisé qu’il y avait BEAUCOUP trop de synchronicité dans le monde, beaucoup trop de preuves qu’il existe une sorte de conception, de plan de vie. Je ne comprends peut-être pas quel est ce plan, mais je peux voir les empreintes mathématiques et psychologiques de ce que l’on pourrait appeler « Dieu ».

C’est la raison pour laquelle je n’ai jamais pu prendre l’athéisme au sérieux. L’athéisme prétend depuis longtemps que sa philosophie n’a rien à voir avec la foi et tout à voir avec les preuves. Pourtant, chaque fois que je vois un athée confronté à des preuves de conception créative, il les rejette aveuglément. Ce type d’ignorance m’a toujours horrifié plus que toute autre chose — la notion de « culte scientifique » et de tyrannie se cachant derrière de fausses prétentions de logique et de rationalisme.

J’explique ma position sur cette question pour faire comprendre que je n’ai aucune affiliation à une église ou à un groupe religieux particulier. Je défendrai le christianisme lorsque j’estimerai qu’il mérite d’être défendu, et je critiquerai le christianisme lorsque j’estimerai que certains groupes ou dirigeants d’église se sont égarés. Par exemple, tous ceux qui me lisent savent que j’ai exposé les preuves que le pape est un imposteur et une marionnette des mondialistes. Il y a des loups déguisés en brebis dans tous les systèmes de croyances.

Ainsi, lorsque je dis que j’entends un silence assourdissant parmi les églises chrétiennes lorsqu’il s’agit du climat politique et social d’aujourd’hui, cela vient de quelqu’un qui n’est PAS prompt à appeler à une intervention théocratique. Même moi, je trouve ce manque de foi… troublant.

Mais peut-être dois-je nuancer un peu plus mes inquiétudes ? Que dire de la montée soudaine des groupes unitaires et progressistes qui se moquent des églises et cooptent les cérémonies chrétiennes pour y inclure de la propagande homosexuelle, du marxisme LGBT et du relativisme moral ? Quelle est la réaction organisée des chrétiens face à cette évolution ?

Il ne s’agit pas d’incidents isolés — la secte woke est en train de créer sa propre religion en détournant les religions des autres. Non pas parce qu’ils veulent trouver la paix intérieure, mais parce qu’ils considèrent l’église comme un centre de pouvoir et qu’ils veulent une part de cette action.

Pourquoi n’y a-t-il pas un appel massif aux églises chrétiennes pour qu’elles rejettent l’invasion woke ? Pourquoi n’y a-t-il pas un consortium de dirigeants chrétiens pour dénoncer ces fausses églises et s’assurer que le public sait qu’il ne s’associe pas à ces groupes ? Où est l’appel à l’action ? S’il existe, je ne le vois nulle part. Et soyons clairs : s’il y a un moment où la communauté chrétienne doit élargir son audience, c’est bien maintenant, alors que le monde entre dans un état de chaos perpétuel. Pourtant, leur réponse est muette et dispersée.

Considérez un instant la prolifération dans le monde occidental d’idéaux que je ne peux que qualifier de lucifériens par nature : l’idée que l’orgueil et le narcissisme sont des vertus et que les êtres humains sont censés être des dieux. L’idée que le corps des enfants est un laboratoire où le genre est fluide pour des praticiens médicaux fous qui nient les lois inattaquables de la biologie et pratiquent la stérilisation de masse. L’idée que l’humanité doit un jour être remplacée par une pensée machinale qui fait fi de la raison et du sens moral au profit d’une « efficacité » froide et sociopathique.

Woke est un véhicule, un masque pour un monstre plus grand, et il est imposé dans la conscience publique. Il y a eu une tentative active et violente de conditionner la population à l’idéologie d’extrême gauche, et cette idéologie est profondément hostile au christianisme. On pourrait penser qu’il y a un effort national de prise de position de la part des différentes confessions pour s’assurer que cette secte ne continue pas à gagner du terrain.

Je serai le premier à affirmer que le mouvement pour la liberté (comme nous l’appelons parfois) est un ensemble de mouvements différents unis par une valeur singulière : la liberté fondamentale.

Il ne s’agit pas de la liberté hédoniste prônée par la gauche politique, qui affirme que la conscience et la réalité sont subjectives, ce qui rend tous les comportements acceptables, aussi mauvais soient-ils. Non, ce sont les libertés naturelles que nous valorisons, ainsi que le principe de non-agression, qui stipule que vous ne pouvez pas me faire de mal ou me priver de mes libertés, sauf si mon comportement porte directement atteinte à la vie et à la liberté d’autres personnes.

Et si l’amour de la liberté ne suffisait pas à rassembler l’humanité pour lutter contre les ténèbres auxquelles nous sommes confrontés aujourd’hui ? Qu’en est-il de l’amour des générations futures ? Et si vous et moi devions nous battre et mourir pour une liberté dont nous ne jouirons jamais personnellement ? Et si ce que nous faisons aujourd’hui ne nous profite pas, mais profite à la génération suivante ? Qu’en est-il de l’acte de lutte et de sacrifice pour une cause plus grande, voire une cause divine ? Peut-être le mouvement pour la liberté a-t-il besoin d’un guide — peut-être avons-nous besoin de plus de groupes chrétiens pour entrer dans la mêlée ?

Soyons honnêtes, les chrétiens n’ont jamais été les enfants branchés, mais il est difficile de nier que les chrétiens et les conservateurs sont en train de devenir rapidement le nouveau punk rock face à une vague d’autoritarisme gauchiste qui cherche à contrôler notre façon de penser, nos sentiments, ce que nous pouvons dire, avec qui nous pouvons nous associer, où nous pouvons travailler et comment nous participons à l’économie. Il y a quelques années à peine, ces gens essayaient de nous dire qu’ils avaient le droit de nous détruire si nous refusions de prendre un vaccin inutile qui n’arrête pas la transmission ou l’infection d’un virus auquel 99,8 % des gens survivront facilement.

Dans mon esprit, les millions de personnes qui ont lutté contre cet agenda sont des héros rebelles. Cependant, nous devons faire plus, beaucoup plus, et cela nécessite une organisation. Les églises chrétiennes disposent déjà des structures fondamentales pour y parvenir, mais elles ne travaillent pas ensemble. Je vois plus d’actions organisées de la part de groupes musulmans aux États-Unis que de la part de chrétiens, et ils ne représentent que 1 % de la population.

L’éléphant dans la pièce est, bien sûr, le statut 501C3 que les églises utilisent pour rester exemptes de taxes fédérales, mais c’est un marché du diable. Plus précisément, le statut 501C3 concerne la défense des intérêts politiques et les églises risquent de perdre leur statut tant convoité d’exonération fiscale s’il est établi qu’elles « influencent » la législation ou les élections d’une manière partisane. Qui est habilité à déterminer si une église agit de manière partisane ? L’IRS, bien sûr. En d’autres termes, l’IRS peut agir arbitrairement pour punir les églises qu’il considère comme une menace politique pour l’agenda dominant.

La seule véritable solution est que les églises abandonnent massivement le statut 501C3 ou qu’elles forment éventuellement une organisation périphérique en dehors de leurs lieux de culte respectifs, à laquelle elles encouragent leurs membres à adhérer — une organisation qui peut agir politiquement et qui ne dépend pas de l’exonération fiscale pour fonctionner.

Pour les chrétiens, c’est le moment ou jamais, je le sais. Et même parmi ceux qui sont évangéliques ou enclins aux notions d’apocalypse, ceux qui soutiennent qu’ils seront emportés par la main de Dieu dans un enlèvement avant que le conflit ne les atteigne, considérez ceci :

Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice ;mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l’Évangile de paix.

Éphésiens 6:10-15




Ce n’est pas à l’État d’éduquer nos enfants ! Réactualisons l’autorité parentale

Par Nicole Delépine

Le rôle de l’éducation nationale est d’instruire les enfants, de leur apprendre à lire, compter, leur enseigner l’histoire, la géographie, les sciences et la morale en développant leur esprit critique et le goût du dialogue et le doute fertile.

Celui des familles est d’éduquer leurs enfants selon leurs valeurs philosophiques et religieuses propres dans le respect des autres. C’est ce qu’a récemment rappelé1 le maire de Nice (Christian Estrosi), comme bien d’autres.

Tout être humain est unique, tout être humain est différent. Il l’est dès la naissance du fait de la loterie chromosomique. Il enrichit sa singularité par l’éducation que lui procure sa famille et les expériences de sa vie.

Mais l’État veut uniformiser les enfants et les transformer en robots obéissants. Depuis des décennies, il empêche les familles d’exercer pleinement leur autorité éducative en obligeant les enfants à aller à l’école dès 3 ans, en décrédibilisant les valeurs familiales, en sapant l’autorité des pères, en rappelant sans cesse aux enfants leurs droits2 sans leur rappeler leurs devoirs et en les endoctrinant à l’école, que ce soit sur le réchauffement climatique [ou autre chose].

L’éducation sexuelle chez les plus jeunes, sous prétexte de faciliter l’inclusion d’infimes minorités sexuelles comme les trans (0,2 % de la population)…

L’État et les médias qu’il subventionne ont constamment dénigré et nié le rôle éducatif des pères que notre système politico-socio-judiciaire a transformé en spectateurs impuissants de la faillite de l’école et de la disparition des repères moraux. Le nombre de familles monoparentales a explosé, et cette situation grève les finances publiques par l’explosion du nombre de demandes de prestations sociales de mère supposée isolée, et aggrave la carence éducative et morale ambiante.

Mais en sapant l’autorité nécessaire à l’éducation, on crée des barbares qui brûlent écoles, bibliothèques et mairies.

« Deux claques et au lit »

(Hugues Moutouh préfet de l’Hérault)3

Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, se montre plutôt d’accord avec la « méthode »4 :

« Je suis moi-même papa de cinq enfants. Demain, pour une gifle, je suis convaincu que dans la bien-pensance ambiante, il y aura un voisin qui portera plainte contre moi pour maltraitance. Hier, on a critiqué un préfet qui a osé dire “deux baffes et tu rentres à la maison”. Je pense qu’il faut revenir à cela. Les papas étaient absents. J’ai des mamans qui me disaient : “Monsieur le maire, on a vu des images d’un papa qui est descendu, a mis son gosse dans le coffre, on rêve de pouvoir faire ça”. »

« On a tellement décrédibilisé et critiqué, l’autorité, la notion de famille même.

Aujourd’hui, le papa ne descend plus parce qu’il ne se considère même plus comme papa. La maman, elle vous dit : “Mais comment je fais ?”. Le prof, il dit : “Je ne peux plus engueuler mon élève parce que sinon, les parents vont venir et peut-être entamer une procédure contre moi”. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort.

Pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite de souhaiter avoir un enfant aimable pour les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen, mais aussi d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant. À notre époque, les interdits ne sont plus “portés” par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte que le regard des autres qui souligne que “ça ne se fait pas”, qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. D’autant que beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. »

Il est pourtant devenu indispensable de relégitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (dans la famille, à l’école, envers la police, etc.) pour améliorer notre fonctionnement collectif et empêcher la perte de toute notion de « bien commun ».

Pour cela il faut reconnaître la légitimité du rôle éducatif des pères et leur autorité naturelle pour transmettre à leurs enfants les repères et les limites indispensables à la vie harmonieuse pour tous dans une société démocratique.

Sans apprentissage du bien commun par les enfants, on aboutit aux explosions nihilistes que nous devons affronter inutilement. La crise que nous venons de subir n’est pas uniquement liée à un conflit de civilisation entre Algériens d’origine et Français de souche : les jeunes de nos banlieues qui séjournent en Algérie où l’éducation des parents n’est pas entravée par les lois et qui s’y comportent comme en France sont rapidement rappelés à la raison par leurs proches.

Il faut rétablir l’autorité éducatrice des parents pour ne pas être contraint à utiliser la force de la police ou de l’armée comme derniers remparts de la démocratie.





Des champignons contre le graphène

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Champignons, enzymes, bactéries et autres micro-organismes susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de graphène

Chapitre 1
Les Champignons comestibles et/ou médicinaux pour la myco-remédiation des dérivés de graphène dans l’organisme humain

Sommaire

Introduction

Ce présent dossier fait suite à mon premier dossier intitulé « Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène » [92], et suite à certaines de mes Nouvelles, dans ma rubrique « Autres Sources potentielles d’antioxydants pour dissoudre la nécro-couronne moléculaire de graphène ».

L’objectif, transparent et déclaré, de la première partie de ce dossier volumineux, est de proposer que les champignons comestibles, et/ou médicinaux — qui ont, depuis longtemps, déjà, été validés pour leurs propriétés de myco-remédiation des environnements les plus pollués de la planète — puissent constituer l’une des premières lignes de défense antioxydantes afin de dégrader, et de désactiver, dans l’organisme humain, tous les dérivés nanoparticulaires de la famille du graphène.

Si les champignons médicinaux, ou autres fungi filamenteux, sont capables de dégrader et de désactiver — à savoir de métaboliser et de recycler — des substances radioactives telles que le strontium, l’uranium, le césium, le cobalt, etc. il semble sage de proposer qu’ils puissent en faire de même avec tous les dérivés de la famille graphène.

Dans mon titre général, j’use de l’expression « susceptibles, potentiellement, de détruire les nanomatériaux à base de graphène », car aujourd’hui il est malheureusement très difficile de s’y retrouver sur le plan de thérapeutiques efficaces pour libérer l’organisme humain de ces abominations technologiques que constituent tous les dérivés de la famille graphène.

À noter, d’ailleurs, que le graphène est considéré comme une substance à demi-métallique et à demi-minérale.

En effet, malgré qu’il existe des centaines d’études portant sur la toxicité extrême des dérivés de graphène pour l’organisme animal — dont les premières remontent à 2005, telle que « Multi-walled carbon nanotubes induce T lymphocyte apoptosis » [115] — quasiment rien n’a été proposé, de façon concomitante, sur le plan thérapeutique afin de débarrasser l’organisme humain de ces substances irradiantes et toxiques. En effet, ce n’est que depuis la découverte du graphène dans les vaccins CoqueVide19, durant l’été 2021, que les thérapeutes ont commencé à travailler sur cette problématique de libérer l’organisme humain de l’emprise du graphène sous toutes ses formes. Du moins, les thérapeutes qui se sont éveillés à la présence du graphène dans les injections génocidaires de la Mafia Pharma et, surtout, à la présence du graphène dans tous les secteurs de la vie quotidienne.

Aujourd’hui, au-delà de leur présence, dans les injections génocidaires CoYid/19 de la Mafia Pharma, les dérivés de la grande famille du graphène sont présents dans les « vaccins », les tests PCR, les médicaments, les applications médicales nanotechnologiques, les sérums physiologiques, les biosenseurs, les aérosols, les cosmétiques, les aliments, les emballages alimentaires, les combustibles des avions de ligne, les pansements, les condoms, les serviettes hygiéniques, les culottes féminines thérapeutiques, les anesthésiants, les implants dentaires, les lentilles oculaires, le béton, l’asphalte, les huisseries, les membranes de traitement des eaux, les filtres des systèmes d’aération, les fertilisants, les pesticides/biocides agricoles, les chaussures biotesteurs, les vêtements biotesteurs, l’isolation des vêtements, les masques faciaux, les peintures murales, les batteries, l’électronique, les éoliennes, les patch antidouleurs, les couvertures pour la nuit, les matelas, les ampoules lumineuses, les écouteurs, les chemtrails, les lunettes de ski, les boucliers antiémeute, les systèmes atmosphériques de récolte d’eau douce, etc., etc.

Il est d’autant plus difficile de s’y retrouver sur le plan de thérapeutiques libératrices… de par le fait que le graphène est une « substance » extrêmement polymorphe (graphène, oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit, nanotubes de carbone à parois simples ou multiples, points quantiques de carbone ou de graphène, nanopoulpes de carbone, éponges de graphène, etc., etc.) ; de par le fait que les nanomatériaux à base de graphène sont, ou non, « fonctionnalisés » avec de multiples autres substances ; de par le fait que les dénominations « graphène », « nanotubes de carbone », « oxyde de graphène », « oxyde de graphène réduit », « points quantiques de graphène », « points quantiques de carbone », etc., recouvrent, en réalité, de multiples produits commercialisés, sur mode exponentiel, par de multiples firmes de par le monde, sans réellement aucun standard officialisé ; de par le fait que les nanomatériaux à base de graphène sont, généralement, assortis d’une pléthore de « défauts »…

D’autant plus, également, que les divers dérivés de graphène se transforment, très aisément, en d’autres formes de dérivés de graphène. Ainsi, par exemple, il existe des substances dites « vertes » (« eco-friendly ») utilisées pour réduire l’oxyde de graphène, en oxyde de graphène réduit, et qui sont, par ailleurs, des antioxydants avérés — sur le plan thérapeutique. La question est de savoir, aujourd’hui, si ces antioxydants avérés sont bien capables, également, d’éliminer l’oxyde de graphène réduit… qui est tout aussi nocif, et toxique, que l’oxyde de graphène.

Voir à ce sujet mes divers dossiers sur la toxicité des dérivés de graphène, dont « Récapitulatif de 111 études portant sur l’extrême toxicité de l’Oxyde de graphène pour l’organisme animal ». [135]

D’autant plus, également, comme je l’expose plus avant, que certaines espèces de champignons médicinaux peuvent tout autant être utilisés pour dégrader des formes de graphène — contaminant un environnement — que pour synthétiser de l’oxyde de graphène ou du graphène à plusieurs couches, des points quantiques de carbone ou, même, transmuter une forme de graphène en une autre.

D’autant plus, également, comme je l’expose plus avant, que les champignons médicinaux sont le sujet d’études (et, sûrement, de pratiques actuelles) dont l’objectif est de les utiliser en synergie avec des dérivés de graphène pour des propos, prétendument, thérapeutiques.

Au sujet de la myco-remédiation

Cela fait une vingtaine d’années que les champignons comestibles, et/ou médicinaux, ont été étudiés, et valorisés, en tant qu’agents biologiques, extrêmement, efficaces eu égard à la détoxification des sols pollués par les contaminants industriels les plus toxiques et mortifères que l’Industrie ait synthétisés.

Cette capacité de myco-remédiation est dûe à la production de lignine peroxydase, de manganèse peroxydase, de diverses enzymes productrices de peroxyde d’hydrogène (H2O2) et autres enzymes fongiques : laccases, cellulases, xylanases, amylases, protéases, lipases, catalases, chitinases, oxidases, pectinases, etc.

Ainsi que le résume, fort bien, une étude de 2020 intitulée « Mycoremediation of environmental pollutants: a review with special emphasis on mushrooms » [45] :

« La myco-remédiation est un processus écologique et économiquement viable qui utilise la biomasse fongique pour débarrasser les sols et les eaux contaminés des polluants toxiques. Les champignons sont des fructifications fongiques qui émergent d’une masse de tissu fibreux appelée mycélium. Ces mycéliums servent de filtres biologiques et de sorbants puissants, car leurs structures aériennes sont constituées d’une énorme biomasse et d’une texture résistante.

La biomasse fongique a la particularité de libérer des enzymes et des acides extracellulaires pour la décomposition de la lignine, de la cellulose et, simultanément, d’aider à la solubilisation et à la complexation des métaux. Ce sont des candidats idéaux pour l’assainissement de divers polluants, car leur paroi cellulaire est composée de polysaccharides et de protéines qui possèdent des groupes fonctionnels vitaux qui aident à lier les polluants organiques et inorganiques. Ils sont également connus pour être d’excellents dégradateurs grâce à des caractéristiques telles qu’une croissance vigoureuse, un réseau hyphalique étendu, une résistance aux conditions environnementales changeantes, la présence de protéines liant les métaux et des systèmes enzymatiques extracellulaires.

Les champignons utilisent différentes stratégies telles que la biodégradation, la biosorption et la bioconversion pour nettoyer les matrices environnementales de plusieurs polluants persistants.Les champignons ou macro-champignons sont une bonne source de protéines et sont consommés depuis des décennies. Mais ces derniers temps, ils attirent l’attention dans le domaine de la remédiation en raison de leur machinerie enzymatique et de leur capacité à dégrader divers polluants juste pour maintenir leur croissance et leur développement. Cette étude traite de l’utilisation des champignons en tant qu’outils biologiques pour l’assainissement de l’environnement et du rôle des champignons dans la dégradation de divers polluants tels que les pesticides, les herbicides, les insecticides, les métaux lourds, les colorants, les produits pharmaceutiques » [45]

dont les antibiotiques, les antidépresseurs, les perturbateurs endocriniens et sans oublier les radio-nucléides (dont l’uranium [86]), les plastiques, les détergents, les phtalates, les cyanotoxines, etc., etc., ad nauseam.

La première étude présentée par PubMed, aux USA, dans la rubrique « myco-remédiation », date de 2002 et s’intitule : « Mycoremediation of PAH-contaminated soil/Mycoremédiation des sols contaminés par les hydrocarbures aromatiques polycycliques. » [46]

Lors de cette étude, des souches d’Irpex lacteus et de Pleurotus ostreatus furent sélectionnées pour dégrader du fluorène, du phénanthrène, de l’anthracène du fluoranthène, du pyrène et du chrysène. Par rapport à un sol contaminé non traité, les échantillons de sol traités par des champignons ont montré une diminution de l’inhibition de la bioluminescence des bactéries luminescentes (Vibrio fischerii) et une augmentation des graines de moutarde (Brassica alba) germées.

La seconde étude, présentée par PubMed, date de 2005 et s’intitule : « Combination of biochar amendment and mycoremediation for polycyclic aromatic hydrocarbons immobilization and biodegradation in creosote-contaminated soil / Combinaison de l’amendement biochar et de la mycoremédiation pour l’immobilisation et la biodégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques dans un sol contaminé par la créosote. » [69] Selon cette étude, c’est, donc, la myco-remédiation avec Pleurotus ostreatus qui a été la plus efficace dans l’élimination des hydrocarbures aromatiques polycycliques avec, en seconde place, la synergie Pleurotus ostreatus/Biochar.

« Pour biorestaurer ces sols et éviter la propagation des hydrocarbures aromatiques polycycliques, différentes stratégies de biorestauration ont été testées, basées sur l’atténuation naturelle, l’application de biochar, la biostimulation par la paille de blé, la mycoremédiation par Pleurotus ostreatus, et la nouvelle application séquentielle de biochar pendant 21 jours et de Pleurotus ostreatus 21 jours de plus. Des échantillons de sol ont été prélevés 21 et 42 jours après l’application des mesures d’assainissement. L’efficacité de chaque traitement d’assainissement a été évaluée en fonction de la dégradation et de l’immobilisation des hydrocarbures aromatiques polycycliques, du développement fongique et bactérien, de l’écotoxicité du sol et de considérations juridiques. L’atténuation naturelle et les traitements au biochar n’ont pas permis une élimination adéquate des HAP et une réduction de l’écotoxicité du sol. La biostimulation a montré le plus grand développement bactérien, mais un faible taux de dégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques. La mycoremédiation a permis d’obtenir le meilleur taux de dégradation des hydrocarbures aromatiques polycycliques et la fraction biodisponible et l’écotoxicité du sol les plus faibles. »

Il existe, en fait, aujourd’hui, des centaines d’études mettant en exergue les capacités que possèdent de nombreuses espèces de champignons comestibles, et/ou médicinaux, de dégrader une pléthore de substances éminemment toxiques :

les hydrocarbures aromatiques polycycliques, l’aflatoxine B1, l’arsenic, les effluents de l’industrie papetière, les teintures industrielles, le plomb, le diclofénac, le paracétamol, les antibiotiques sulfamidés, les PCBs, le trichlorophénol, le nickel, le cuivre, le zinc, le cadmium, le dichlorophénol, le pentachlorophénol, le lithium, le déoxinivalénol, les polychlorodibenzo-furanes, la lamotrigine, le cobalt, le polyéthylène, la bléomycine, la vincristine, l’iprovalicarb, le métalaxyl, le penconazole, le pyriméthanil, le diurion, le DDT, le décabromodiphényléthane, le carbaryl, la fluoxétine, l’atrazine, l’acide perfluorooctanoïque, le bisphénol A, le polyester, l’aldrine, la dieldrine, l’uranium, la carbamazépine, les dioxines, le lindane, le chlordane, le nitrotoluène, le naproxène…

Cette capacité fongique de métamorphoser les produits toxiques les plus indésirables est due à des processus de biodégradation, de biosorption et de bioconversion :

La « biodégradation » est la dégradation finale et le recyclage d’une molécule complexe en ses composants minéraux. Ce processus conduit à la minéralisation complète, par les organismes vivants, du composé de départ en composés plus simples — comme le CO2, le H2O, le NO3 et d’autres composés inorganiques.

La « biosorption » est un processus fondé sur la sorption d’ions métalliques/polluants/xénobiotiques par une biomasse vivante, ou séchée, qui présente souvent une tolérance marquée aux métaux lourds et à d’autres conditions défavorables.

La « bioconversion » est la transformation des polluants industriels ou agro-industriels en d’autres formes utiles. Dans le cas de la myco-remédiation, le produit « bio-conversé » le plus important est le champignon lui-même.

Champignons bios parce qu’il est souhaité que les champignons médicinaux réalisent une mycoremédiation dans l’organisme humain.

Cependant, des protéines spéciales, présentes dans leurs cellules, se lient ensuite à ces divers éléments toxiques pour les neutraliser et les empêcher de nuire. Cela signifie, donc, que les plantes et les champignons peuvent accumuler des niveaux élevés de toxicité dans leurs cellules sans subir d’effets néfastes.

Caveat. De par les capacités extrêmes des champignons médicinaux d’accumuler et de fixer des polluants de toutes sortes, il est fortement conseillé de ne consommer que des champignons bios — à savoir cultivés selon des cahiers de charge de l’Agriculture Biologique.

En effet, les champignons médicinaux d’origine bio vont être capables de réaliser une myco-remédiation dans l’organisme humain — à partir de leurs tissus fongiques intacts — alors que champignons médicinaux cultivés à partir de biomasses polluées ont, déjà, entamé des processus de myco-remédiation de leurs milieux de culture.

Myco-remédiation des matières radioactives

Divers champignons sont, même, utilisés pour la dégradation des matières radioactives et il existe une pléthore d’études qui le prouvent depuis une quarantaine d’années — en particulier depuis le désastre radioactif de Tchernobyl en Ukraine. Par exemple :

Selon cette étude intitulée « Bioremediation of water contaminated with uranium using Penicillium piscarium » :

« Nos résultats ont montré que la biomasse morte de P. piscarium était capable d’éliminer entre 93,2 et 97,5 % d’uranium des solutions à pH 3,5, à la fin de l’expérience, le pH de la solution augmentait jusqu’à des valeurs supérieures à 5,6. En ce qui concerne les expériences réalisées dans des solutions de pH 5,5, la biomasse morte du champignon a également été capable d’éliminer entre 38 et 92 % d’uranium de la solution, à la fin de l’expérience, le pH de la solution a augmenté jusqu’à des niveaux supérieurs à 6,5. L’analyse par microscopie électronique, spectroscopie à dispersion d’énergie et fluorescence X a démontré la forte concentration d’uranium précipité à la surface de la biomasse fongique ». [112]

Selon cette étude intitulée « Characteristics of uranium biosorption from aqueous solutions on fungus Pleurotus ostreatus » :

« Les résultats obtenus dans le cadre de ce travail indiquent que la biomasse du champignon Pleurotus ostreatus peut être utilisée comme biosorbant potentiel pour éliminer l’uranium ou d’autres radionucléides des solutions aqueuses. » [86]

Selon cette étude intitulée « Resistant fungi isolated from contaminated uranium mine in Brazil shows a high capacity to uptake uranium from water » :

« En comparant les résultats des tests de résistance/tolérance avec ceux de la capacité de biosorption de l’uranium, nous avons conclu que les champignons isolés de la mine d’Osamu Utsumi ayant le meilleur potentiel de biorestauration de l’uranium étaient Gongronella butleri, Penicillium piscarium, Penicillium citrinum, Penicillium ludwigii et Talaromyces amestolkiae. Les tests de biosorption avec la biomasse fongique vivante ont montré que 11 espèces avaient un potentiel élevé d’absorption de l’uranium dans l’eau contaminée. » [113]

Selon cette étude intitulée « Studies on accumulation of uranium by fungus Lentinus sajorcaju » : « Les mycéliums de Lentinus sajor-caju non traités, traités à la chaleur et à l’alcali ont été utilisés pour la récupération de l’uranium dans des solutions aqueuses ». [114]

Selon cette étude intitulée « Recent Advances in Biosorption of Copper and Cobalt by Filamentous Fungi » :

« Plusieurs travaux indiquent que les espèces Trichoderma, Penicillium et Aspergillus ont une capacité de biosorption du Cu et du Co supérieure à celle d’autres espèces fongiques telles que Geotrichum, Monilia et Fusarium. On pense que d’autres espèces fongiques ayant une capacité de biosorption encore plus élevée doivent encore être isolées. En outre, l’application des champignons filamenteux pour la biorestauration est considérée comme respectueuse de l’environnement, très efficace, fiable et abordable, en raison de leurs faibles prérequis technologiques ». [121]

Selon cette étude intitulée « Role of filamentous fungi in migration of radioactive cesium in the Fukushima forest soil environment » [98] :

« Ces faits indiquent que les minéraux sont des composants majeurs dans l’adsorption du Cs radioactif dans l’environnement. Dans la forêt de Fukushima, il a été rapporté que la vermiculite et la vermiculite à couches hydroxyle étaient dominantes dans la fixation du césium 137 dans le sol. Ainsi, la comparaison de l’affinité pour le césium 137 des minéraux et des champignons filamenteux est représentative du comportement d’accumulation du césium 137 radioactif dans l’environnement. Nos résultats indiquent que l’accumulation de césium radioactif dans les hyphes en présence de minéraux est supérieure à la valeur prédite en supposant que le mélange est additif. Par conséquent, nos résultats suggèrent fortement que les champignons accumulent une petite quantité de césium radioactif dans les hyphes en présence de minéraux, même si les minéraux argileux adsorbent fortement le césium radioactif. L’accumulation de césium radioactif dans certains champignons sauvages, même en présence de minéraux à Fukushima, entraîne probablement une concentration de césium radioactif supérieure à la limite standard japonaise de 100 Bq kg-1 pour les aliments généraux. Par conséquent, les habitants de Fukushima ont été exposés à une exposition interne élevée de 4 800 Bq kg-1 par l’ingestion directe de champignons contaminés.

Nous avons examiné l’accumulation de césium radioactif dans les hyphes de champignons filamenteux collectés dans la forêt de Fukushima, au Japon, en combinant la méthode du milieu gélosé, dans laquelle les hyphes sont cultivés sur un filtre placé sur un milieu gélosé contenant du césium, et l’analyse par autoradiographie (AR) à l’aide de plaques d’imagerie. Les valeurs du facteur de translation (TF sol) à Fukushima se situaient presque dans la même fourchette que celles observées en Europe, où le TF sol était réparti dans des ordres d’environ 4. Les facteurs de translation (TF agar) des champignons filamenteux cultivés sur milieu gélosé ont montré qu’environ 80 % des champignons filamenteux avaient un TF agar compris entre 50 et 200. Le TF agar moyen logarithmique (1,90) était 10 fois plus élevé que celui des corps de fruits des champignons sauvages (0,18), ce qui suggère que le sol forestier résiste au transport du césium radioactif du sol forestier contaminé vers les corps de fruits des champignons sauvages. La présence de minéraux tels que la vermiculite, la clinoptilolite, la phlogopite et la mordenite dans le milieu gélosé a fortement réduit l’accumulation de césium 137 dans les hyphes, et elle a été réduite dans une moindre mesure par le mica, la smectite et l’illite.Les fractions mesurées de césium 137 dans les hyphes étaient plus élevées que celles calculées en supposant la règle d’additivité, ce qui suggère une accumulation de césium radioactif dans les hyphes, bien que la TF obtenue dans le mélange soit faible. » [98]

Cette étude met, ainsi, en exergue le fait que les champignons fixent le césium 137 malgré la présence de minéraux volcaniques — vermiculite, clinoptilolite, phlogopite, mordenite, mica, smectite et illite — qui constituent le premier front pour désactiver les substances radioactives dans le sol.

D’ailleurs, si les argiles volcaniques, médicinales, constituent le premier front pour désactiver les substances radioactives dans le sol, il semble sage de proposer qu’elles puissent en faire de même dans l’organisme humain avec les dérivés de graphène.

À propos des capacités des argiles de dégrader les dérivés de graphène, voir l’étude « Kaolin alleviates the toxicity of graphene oxide for mammalian cells / Les kaolins atténuent la toxicité de l’oxyde de graphène pour les cellules de mammifères » : [93]

« Le développement de nouveaux véhicules nanométriques pour l’administration de médicaments suscite un intérêt croissant pour les études d’interaction entre les nanomatériaux. Dans cet article, nous rapportons les études in vitro de la réponse physiologique des cellules eucaryotes à l’incubation avec de l’oxyde de graphène et de l’argile nano planaire de kaolin. Les matériaux de la famille du graphène, y compris l’oxyde de graphène, sont prometteurs pour de nombreuses applications en raison de leurs propriétés électroniques uniques. Cependant, l’oxyde de graphène se révèle toxique pour certaines lignées cellulaires par le biais d’un mécanisme non identifié. Par conséquent, les méthodes et les agents réduisant la toxicité de l’oxyde de graphène peuvent élargir son application pratique. Nous avons utilisé un test colorimétrique, la cytométrie en flux et des méthodes d’analyse de l’indice cellulaire pour évaluer les effets de l’application séparée et combinée de l’oxyde de graphène et du kaolin sur les cellules de mammifères. Nous avons montré que l’application conjointe d’oxyde de graphène et de kaolin réduisait les effets négatifs du graphène de près de 20 %, très probablement en raison de la coagulation des nanoparticules entre elles, qui a été détectée par microscopie à force atomique ».

Voir, également, l’étude « Effects of solution chemistry on the attachment of graphene oxide onto clay minerals » [108] :

« Avec l’augmentation de la production et la large application de l’oxyde de graphène, les particules colloïdales d’oxyde de graphène sont libérées dans le sol et les eaux souterraines, où il existe un grand nombre de particules minérales. En outre, la chimie de l’eau interstitielle (par exemple l’acide organique, la valence des cations) est un aspect négligé, mais important pour étudier de manière exhaustive le devenir de l’oxyde de graphène. Les interactions de l’oxyde de graphène avec trois minéraux argileux omniprésents (montmorillonite, kaolinite et diatomite) ont été systématiquement étudiées dans le cadre d’expériences par lots sur une large gamme de chimies de solution. En général, l’affinité pour l’oxyde de graphène est de l’ordre de la montmorillonite > kaolinite > diatomite dans les mêmes conditions d’expérience. Cette observation peut être expliquée par les caractéristiques des différents minéraux argileux, telles que la charge de surface et la surface spécifique. Les résultats indiquent que l’augmentation de la force ionique ou la diminution du pH renforcent la fixation des nanoparticules de l’oxyde de graphène sur les minéraux argileux, en raison d’interactions électrostatiques. Avec l’augmentation de la concentration de Ca2+, davantage de particules d’oxyde de graphène se fixent sur les particules de minéraux argileux. »

Il est à noter, également, que des zéolites peuvent être utilisées pour améliorer la croissance de champignons médicinaux ou en augmenter le taux d’antioxydants.

Voir les études « Addition of Zeolites to Improve the Functional Characteristics of the Hen of the Wood or Maitake Medicinal Mushroom, Grifola frondosa / Ajout de zéolites pour améliorer les caractéristiques fonctionnelles du champignon médicinal Maïtaké, Grifola frondosa » [94] ; « Zeolites as possible biofortifiers in Maitake cultivation / Les zéolithes comme biofortifiants possibles dans la culture du Maïtaké » [96] ; « Coriolus versicolor Mushroom Grown on Selenium-Rich Zeolite Tuff as a Potential Novel Food Supplemen / Champignon Coriolus versicolor cultivé sur du tuf de zéolite riche en sélénium comme nouveau complément alimentaire potentiel » [110] ; « Effect of clinoptilolite zeolite on mushroom growth / Effet de la zéolite clinoptilolite sur la croissance des champignons » [111].

Intermède fongique à propos des champignons magiques qui font danser les neurones

Pas de coïncidence : alors que je publie ce dossier volumineux portant sur les champignons médicinaux, la presse globaliste — et pathologiquement corrompue [118]prétend que le Dr Olivier Soulier est décédé d’une crise cardiaque suite à l’ingestion de champignons enthéogéniques lors d’une « transe chamanique ».

Si je puis agrémenter ce dossier, très éducatif, mais quelque peu rébarbatif, de quelques notes et témoignages personnels eu égard au Règne des Champignons médicinaux — dans le sens le plus psychoactif du terme. En effet, ce dossier — portant sur la myco-remédiation des dérivés de graphène — m’est d’autant plus agréable à rédiger que l’Épopée des Champignons Enthéogéniques nous a accompagnés durant une grande partie de notre vie. Et qu’en est-il pour vous-même ?

Je vécus ma « première expérience » de Psilocybe enchanteur, en 1978, au Népal, sur les rives du lac de Pokara — qui n’était alors qu’un tout petit village. Ce fut une expérience mémorable, car étant en cours de lecture de la « Nouvelle Grille » du neurologue et pharmacien, Henri Laborit, je me perdis quelque peu dans les méandres de mon cerveau alors très meurtri par une édu-castration sous régime fortement christo-centrique.

Trente années plus tard, en 2008, je vécus ma seconde « première expérience », mémorable, de Psilocybe enchanteur, à Gaucin, dans la Sierra de Ronda, en compagnie du Nagual et Terton, John Lash — qui m’éduqua sur le mode du sorcier Yaqui, Don Juan, se jouant de son disciple, non fabulé, Carlos Castañeda… lorsque les coyotes, ou les sangliers andalous, ricanent.

Je vécus ma troisième « première expérience », mémorable, de Psilocybe enchanteur au Costa-Rica, en janvier 2017, face au Pacifique, avec seulement quatre champignons « cubensis » — et de la glace au citron… pour délurer la barrière hématoencéphalique. Sous un soleil de plomb… si je puis me permettre cette expression saturnienne. Ce fut une illumination intense, inoubliable et solaire — tout en sachant que nous percevons le Soleil avec les yeux de Terriens que notre Mère la Terre nous a conférés. Toute illumination solaire est, ainsi, intrinsèquement, une illumination de source Gaïenne. J’ai vécu, également, une telle illumination « solaire », en novembre 2011, en plein jour, au Pérou, dans les canyons de Pisac, à 3200 m d’altitude, en compagnie de la Madre Yagé et de mon ami Ayahuasquero, et musicien, German Alberto Virguez Boscan. [64]

Les champignons de la médecine traditionnelle chinoise

Dans ce dossier, je présente diverses rubriques en fonction des études qui ont été réalisées portant sur diverses espèces de champignons comestibles, et/ou médicinaux : dégradation des dérivés de graphène, myco-remédiation générale, myco-remédiation des substances radio-actives, production de dérivés de graphène — et, même, synergie avec des dérivés de graphène pour des objectifs prétendument thérapeutiques.

Je propose également une rubrique « électronique fongique », en particulier dans le cas du Pleurote en huître, car il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des oscillateurs, des condensateurs et de divers capteurs et senseurs.

Bien que cela ne soit pas l’objet précis de ce dossier fongique, j’évoque les relations de synergie entre les champignons comestibles, et/ou médicinaux, et diverses formes de zéolites.

En vérité, aujourd’hui, les champignons comestibles, et/ou médicinaux, et les diverses formes de zéolites constituent les deux premiers fronts permettant de dégrader les dérivés de graphène dans l’organisme humain — à savoir, plus généralement, dans l’organisme animal et dans les divers écosystèmes planétaires de plus en plus contaminés par les nanoparticules à base de graphène.

Morille commune. Morchella esculenta

La Morille commune a été utilisée par la Médecine traditionnelle chinoise depuis des millénaires. Elle se caractérise par des propriétés médicinales antioxydantes, anti-inflammatoires, anti-cancer, immuno-modulatrices, hypoglycémiques, athérosclérotiques, antitumorales. [1]

La Morille commune est, ainsi, mentionnée dans le Traité médical, « Ben Cao Bei Yao », rédigé en 1596 par Li Shi-Zhen. Au Japon, en Malaisie, en Inde et au Pakistan, les morilles fonctionnent comme des aphrodisiaques naturels d’après des études ethno-mycologiques. [4]

Morille commune et dégradation des dérivés de graphène

La Morille commune a été utilisée dans la dégradation de graphène :

« Graphene environmental biodegradation: Wood degrading and saprotrophic fungi oxidize few-layer graphene ». Biodégradation du graphène dans l’environnement : Des champignons saprotrophes et dégradant le bois oxydent le graphène à quelques couches. [142]

« Il est important de connaître le profil de biodégradabilité environnementale des matériaux à base de graphène afin de prédire si ces matériaux s’accumuleront dans le sol ou s’ils seront transformés par les décomposeurs primaires. Dans cette étude, du graphène à quelques couches a été exposé à des cultures axéniques vivantes et dévitalisées de deux basidiomycètes à pourriture blanche (Bjerkandera adusta et Phanerochaete chrysosporium) et d’un ascomycète saprotrophe du sol (Morchella esculenta) avec ou sans lignine, pendant une période de quatre mois… Ces résultats suggèrent que les graphènes à quelques couches involontairement libérés dans les environnements terrestres seraient probablement oxydés par la microflore du sol. »

« Can graphene resist to (white rot) fungi hunger? » [81] La Morille commune, dans cette étude, fait partie de 4 espèces de champignons à pourriture blanche qui possèdent la capacité de dégrader les dérivés de graphène.

« Ici, nous avons étudié les capacités de dégradation d’un groupe cosmopolite de décomposeurs primaires, à savoir les champignons, à l’égard des MRG. Quatre champignons à pourriture blancheont été sélectionnés parce que : (i) ils sont connus pour décomposer des molécules complexes telles que la lignine et les polluants organiques persistants d’origine anthropique et (ii) parce que chacun d’entre eux libère un ensemble diversifié d’enzymes de dégradation, par exemple la lignine — (LiP), la manganèse-peroxydase ou les laccases. »

L’auteur principal de cette étude, Fabio Candotto Carniel, a, également, publié plusieurs études sur les capacités de l’oxyde de graphène aérien de modifier la sexualité des plantes :

« Interactions of airborne graphene oxides with the sexual reproduction of a model plant: When production impurities matter ». [82]

« Is airborne graphene oxide a possible hazard for the sexual reproduction of wind-pollinated plants? ». [90]

« The Interaction of Graphene Oxide with the Pollen−Stigma System: In Vivo Effects on the Sexual Reproduction of Cucurbita pepo L ». [76]

Shiitake. Lentinula edodes

Le Shiitake est réputé, depuis des millénaires, pour ses qualités antioxydantes, anti-microbiennes, anti-inflammatoires, anti-cancérigènes, anti-tumeurs, anti-caries, immuno-modulatrices, hépato-protectrices, réno-protectrices, anti-thrombotiques, anti-hypertensives, hypo-cholestérolémiques, anti-athérosclérotiques, nématocides, etc.

Shiitake et dégradation des dérivés de graphène

« Lentinan greatly enhances the dispersibility of single-walled carbon nanotubes in water and decreases the cytotoxicity ». 2013. Le lentinan améliore considérablement la dispersibilité des nanotubes de carbone monoparois dans l’eau et diminue leur cytotoxicité.

Shiitake en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« A carbon nanotube-gemcitabine-lentinan three-component composite for chemo-photothermal synergistic therapy of cancer ». Composite à trois composants à base de nanotubes de carbone, de gemcitabine et de lentinan pour une thérapie synergique chimio-photothermique du cancer. [13]

« Lentinan-Modified Carbon Nanotubes as an Antigen Delivery System Modulate Immune Response in Vitro and in Vivo ». Les nanotubes de carbone, modifiés par le lentinan en tant que système d’administration d’antigènes, modulent la réponse immunitaire in vitro et in vivo. [15]

Shiitake et myco-remédiation

Selon une étude Française, « Potentiels antioxydants et anti-inflammatoires de sporophores de Lentinula edodes (Shiitake) sous différentes conditions de culture » :

« Cette étude préliminaire montre que les conditions de culture du Shiitake (bio et non bio) n’influencent pas son potentiel antioxydant et anti-inflammatoire in vitro. » [19]

Si, effectivement, le Shiitake est tout autant médicinal quelles que soient ses conditions de culture (en bio ou non), il reste qu’il peut être extrêmement contaminé par une pléthore de polluants présents dans les milieux de culture (pesticides, cadmium, antibiotiques, etc).

Un certain nombre d’études ont été réalisées portant sur les capacités de myco-remédiation du Shiitake afin d’éliminer, de l’environnement, ce que l’on appelle des xénobiotiques : antibiotiques, antimycosiques, testostérones synthétiques, pesticides, herbicides, cadmium, teintures industrielles, hydrocarbures polyaromatiques, etc.

Une étude s’est portée sur l’identité de la protéine responsable, chez le Shiitake, de la fixation du cadmium. [5]

« De nombreux organismes ont la capacité de produire des protéines liant les métaux afin d’absorber le cadmium. Les métallothionéines, une famille importante de protéines de liaison aux métaux riches en cystéine, ont été isolées et bien caractérisées. Cependant, Lentinula edodes pourrait avoir un type différent de protéine liant le cadmium qui contient moins de résidus de cystéine… Pour tenter de déterminer l’identité de cette protéine, ils l’ont analysée par chromatographie nano-liquide et spectrométrie de masse en tandem. Cette analyse a révélé qu’il s’agissait d’une protéine auparavant inconnue, composée de 220 acides aminés, dont aucun n’était de la cystéine, ce qui signifie qu’il ne s’agit pas d’une métallothionéine. Elle ne ressemble pas non plus aux autres protéines liant le cadmium qui ont été découvertes jusqu’à présent. »

Source du croquis. Immunomodulatory Properties of Polysaccharides from Lentinula edodes. [11]

Voici quelques études mettant en exergue les capacités de myco-remédiation du Shiitake.

« Degradation pathway of cephalosporin antibiotics by in vitro cultures of Lentinula edodes and Imleria badia ». Voie de dégradation des antibiotiques céphalosporines par des cultures in vitro de Lentinula edodes et Imleria badia. [6]

« Feasibility of the use of Lentinula edodes mycelium in terbinafine remediation ». Faisabilité de l’utilisation du mycélium de Lentinula edodes dans la remédiation de la terbinafine. [9]

« Analysis of the biodegradation of synthetic testosterone and 17α-ethynylestradiol using the edible mushroom Lentinula edodes ». Analyse de la biodégradation de la testostérone synthétique et du 17α-éthynylestradiol à l’aide du champignon comestible Lentinula edodes. [12]

« Mycoremediation of azole antifungal agents using in vitro cultures of Lentinula edodes ». Mycoremédiation des antifongiques azolés à l’aide de cultures in vitro de Lentinula edodes. [2]

« Biodegradation of 2,4-dichlorophenol by shiitake mushroom (Lentinula edodes) using vanillin as an activator ». Biodégradation du 2,4 — dichlorophénol par le champignon shiitake (Lentinula edodes) en utilisant la vanilline comme activateur. [18]

« Comparative secretomic analysis of lignocellulose degradation by Lentinula edodes grown on microcrystalline cellulose, lignosulfonate and glucose ». Analyse secrétomique comparative de la dégradation de la lignocellulose par Lentinula edodes cultivée sur de la cellulose microcristalline, du lignosulfonate et du glucose. [7]

« Lentinula edodes Mycelium as Effective Agent for Piroxicam Mycoremediation ». Le mycélium de Lentinula edodes comme agent efficace pour la mycoremédiation du piroxicam. [10]

« Sugarcane bagasse degradation and characterization of three white-rot fungi ». Dégradation de la bagasse de canne à sucre et caractérisation de trois champignons de la pourriture blanche. [3]

« Lignocellulose degradation pattern and structural change of the sawdust substrate and enzyme secretion by Lentinula edodes during its production ». Schéma de dégradation de la lignocellulose et changement structurel du substrat de la sciure de bois et sécrétion d’enzymes par Lentinula edodes au cours de sa production. [14]

« Molecular mechanism underlying cadmium tolerance differentiation in Lentinula edodes as revealed by mRNA and milRNA analyses ». Mécanisme moléculaire sous-jacent à la différenciation de la tolérance au cadmium chezLentinula edodes, révélé par des analyses de l’ARNm et de l’ARNm. [16]

« The activation and extraction systems using organic acids and Lentinus edodes to remediate cadmium contaminated soil ». Systèmes d’activation et d’extraction utilisant des acides organiques etLentinus edodes pour remédier aux sols contaminés par le cadmium. [22]

Reishi, Ganoderma lucidum

Le Reishi — selon la dénomination japonaise — a été utilisé pour soigner le diabète, les inflammations, l’épilepsie, la neurodégénérescence, les cancers, les tumeurs, les infections microbiennes, l’anxiété, les maladies cardio-vasculaires, la dépression, les maladies hépatiques, les maladies métaboliques, la sénescence et les troubles immunitaires.

En Chine, le Reishi est dénommé « Lingzhi » et, en Corée, « Mannentake ».

C’est l’une des substances primordiales de la Médecine traditionnelle chinoise. « Lingzhi est un roi miraculeux des herbes » selon le Traité Médical « Shen Nong Ben Cao Jing » — datant de la création de la dynastie Qin en 221-206 avant EC.

Reishi et protection à l’encontre de la toxicité électromagnétique

Il existe diverses études portant sur les capacités de radio-protection du Reishi dont, une très ancienne, date de 1999.

« Use of Ganoderma lucidum (Ganodermataceae, Basidiomycota) as Radioprotector ». Utilisation de Ganoderma lucidum (Ganodermataceae, Basidiomycota) comme radioprotecteur. [33]

Depuis des millénaires, les naturopathes et les médecins utilisent le Ganoderma lucidum (champignon reishi) pour ses diverses propriétés thérapeutiques, comme en témoigne la plus ancienne encyclopédie chinoise sur les plantes médicinales. En effet, un effet radioprotecteur a été rapporté dans les composants isolés de ses extraits. Une revue systématique et des méta-analyses (PRISMA) ont été réalisées en mars 2020, en consultant des bases de données telles que PubMed, Scopus, Embase et Google Scholar, ainsi que Clinical Trials. Les critères d’inclusion étaient les études ex vivo, in vitro et in vivo, avec des textes complets en anglais, menées pour déterminer les avantages radioprotecteurs de Ganodermalucidum, ou des rapports dans lesquels des rayonnements ionisants ont été utilisés. Sur un total de 1109 enregistrements identifiés, 15 articles en texte intégral étaient éligibles, aucun d’entre eux n’étant un essai clinique. Des études in vivo révèlent l’efficacité des extraits aqueux de polysaccharides et de triterpènes de Ganodermalucidum chez des souris exposées aux rayons γ. Dans les plasmides, ils peuvent réduire les dommages causés par les radiations en augmentant la forme circulaire ouverte, ainsi qu’en augmentant l’extension de l’ADN, comme l’ont montré des études in vitro. Des études ex vivo menées sur des cellules sanguines humaines montrent l’effet radioprotecteur du β-glucane de l’extrait aqueux de Ganodermalucidum, mais sa mise en œuvre en tant que radioprotecteur chez l’homme doit encore faire l’objet d’études cliniques.

« Protection of radiation induced DNA and membrane damages by total triterpenes isolated from Ganoderma lucidum ». Protection de l’ADN et des dommages membranaires induits par les radiations grâce à des triterpènes totaux isolés de Ganoderma lucidum. [37]

« Ganoderma lucidum extract protects DNA from strand breakage caused by hydroxyl radical and UV irradiation ». L’extrait de Ganoderma lucidum protège l’ADN de la rupture des brins causée par le radical hydroxyle et l’irradiation UV. 1999. [36]

« Prevention of radiation-induced damages by aqueous extract of Ganoderma lucidum occurring in southern parts of India ». Prévention des dommages induits par les radiations grâce à un extrait aqueux de Ganoderma lucidum présent dans les régions méridionales de l’Inde. [38]

« Fungal beta glucan protects radiation induced DNA damage in human lymphocyte ». Le bêta-glucane fongique, de Ganoderma lucidum, protège les dommages à l’ADN induits par les radiations dans les lymphocytes humains. [41]

Plus de 140 triterpénoïdes ont été isolés. [8]

Reishi et production de dérivés de graphène

Le Reishi peut être utilisé pour réduire l’oxyde de graphène ou pour synthétiser de l’oxyde de graphène réduit : « Exceedingly biocompatible and thin-layered reduced graphene oxide nanosheets using an eco-friendly mushroom extract strategy » [23]. « Microwave-Assisted Biogenic Synthesis of Metal-Decorated Reduced Graphene Oxide and their Electrochemical Properties ». [20] « An in vitro evaluation of graphene oxide reduced by Ganoderma spp. in human breast cancer cells (MDA-MB-231) ». [55]

Il peut être, également, utilisé pour synthétiser des points quantiques de carbone. « Ganoderma lucidum bran-derived blue-emissive and green-emissive carbon dots for detection of copper ions » [27]. « Visual detection of G-quadruplex with mushroom derived highly fluorescent carbon quantum dots ». [26] « A novel fluorescent nitrogen, phosphorus-doped carbon dots derived from Ganoderma Lucidum for bioimaging and high selective two nitrophenols detection ». [35]

Ou du carbone poreux : « Green conversion of Ganoderma lucidum residues to electrode materials for supercapacitors ». [30] « Preparation and electrochemical application of porous carbon materials derived from extraction residue of Ganoderma lucidum ». Préparation et application électrochimique de matériaux de carbone poreux dérivés du résidu d’extraction de Ganoderma lucidum. [40] « Biomass-derived carbon from Ganoderma lucidum spore as a promising anode material for rapid potassium-ion storage ». [39] « Three-dimensional honeycomb-like porous carbon derived from Ganoderma lucidum spore for high-performance electrochemical capacitors ». [43]

Reishi en synergie avec des dérivés de graphène pour sa culture

Les scientifiques déments ont recours au graphène pour cultiver le Reishi. « Effects of different graphene-based nanomaterials as elicitors on growth and ganoderic acid production by Ganoderma lucidum ». [17]

Les résultats ont montré que l’élicitation de Ganoderma lucidum avec de l’oxyde de graphène et de l’oxyde de graphène réduit a légèrement diminué le poids sec des cellules et la production d’acide ganodérique, en particulier à des concentrations plus élevées. Cependant, le nanocomposite rGO/Fe3O4 n’a pas affecté négativement la croissance cellulaire et a amélioré la production d’acide ganodérique. Le taux de croissance de Ganoderma lucidum a réagi différemment aux expériences d’élicitation et dépendait du type de nanomatériaux et de leurs concentrations, mais presque tous les matériaux à base de graphène ont provoqué une augmentation de la teneur en acide ganodérique (mg/100 mg de poids sec).

Reishi en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« Ganoderenic acid D-loaded functionalized graphene oxide-based carrier for active targeting therapy of cervical carcinoma ». Support à base d’oxyde de graphène fonctionnalisé chargé d’acide ganodérénique D pour une thérapie ciblée active du carcinome du col de l’utérus. [21]

« In-situ surface functionalization of superparamagnetic reduced graphene oxide – Fe3O4 nanocomposite viaGanoderma Lucidum extract for targeted cancer therapy application ». Fonctionnalisation de surface in situ de nanocomposites superparamagnétiques d’oxyde de graphène réduit — Fe3O4 par l’intermédiaire d’un extrait de Ganoderma Lucidum pour une application thérapeutique ciblée contre le cancer. [32]

Reishi et myco-remédiation

Le Reishi a été utilisé pour la dégradation de teintures industrielles, ou autres polluants, en synergie avec des nanotubes de carbone. « Enzymatic extract containing lignin peroxidase immobilized on carbon nanotubes: Potential biocatalyst in dye decolourization ». [24] « Nutrient removal from biogas slurry and biogas upgrading by microalgae-fungi-bacteria co-cultivation under different carbon nanotubes concentration ». [25]

« Biodegradation of phenanthrene and pyrene by Ganoderma lucidum ». Biodegradation of phenanthrene and pyrene by Ganoderma lucidum. [28]

« Development of efficient strain of Ganoderma lucidum for biological stripping of cotton fabric dyed Reactive Blue 21 ». Développement d’une souche efficace de Ganoderma lucidum pour le décapage biologique des tissus de coton teints en bleu réactif 21. [29]

« Natural triterpenoids of Ganoderma lucidum as new, green, and effective corrosion inhibitor for steel in acidic medium: characterization, experimental and theoretical investigations ». Les triterpénoïdes naturels de Ganoderma lucidum comme nouvel inhibiteur de corrosion vert et efficace pour l’acier en milieu acide : caractérisation, investigations expérimentales et théoriques. [31]

« Expression and characteristics of manganese peroxidase from Ganoderma lucidum in Pichia pastoris and its application in the degradation of four dyes and phenol ». Expression et caractéristiques de la manganèse peroxydase de Ganoderma lucidum dans Pichia pastoris et son application dans la dégradation de quatre colorants et du phénol. [34]

« Vital Conditions to Remove Pollutants from Synthetic Wastewater Using Malaysian Ganoderma lucidum ». Conditions vitales pour éliminer les polluants des eaux usées synthétiques à l’aide de Ganoderma lucidum de Malaisie. [53]

« Comparative study on degradation of norfloxacin and ciprofloxacin by Ganoderma lucidum JAPC1 ». Étude comparative de la dégradation de la norfloxacine et de la ciprofloxacine par le Ganoderma lucidum JAPC1. [47]

« Ability of Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus and Ganoderma lucidum compost in biodegradation of petroleum hydrocarbon-contaminated soil ». Capacité du compost d’Agaricus bisporus, de Pleurotus ostreatus et de Ganoderma lucidum à biodégrader un sol contaminé par des hydrocarbures pétroliers. [48]

« Biodegradation of polycyclic aromatic hydrocarbons by native Ganoderma sp. strains: identification of metabolites and proposed degradation pathways ». Biodégradation d’hydrocarbures aromatiques polycycliques par des souches natives de Ganoderma sp. : identification des métabolites et voies de dégradation proposées. [52]

Il existe même une étude, intitulée « Enzymatic extract containing lignin peroxidase immobilized on carbon nanotubes: Potential biocatalyst in dye decolourization/Extrait enzymatique contenant de la lignine peroxydase immobilisée sur des nanotubes de carbone : Biocatalyseur potentiel pour la décoloration des colorants » qui a recours à Pleurotus ostreatus et Ganoderma lucidum en synergie avec des nanotubes de carbone pour dégrader des teintures végétales. [54]

Reishi et « Électronique fongique »

« Influence of Humidity on the Acoustic Properties of Mushroom Mycelium Films Used as Sensitive Layers for Acoustic Humidity Sensors / Influence de l’humidité sur les propriétés acoustiques des films de mycélium de champignon utilisés comme couches sensibles pour les capteurs acoustiques d’humidité. » [85]

Hydne hérisson, Hericium erinaceus

L’Hydne hérisson a été utilisé, médicinalement, eu égard à ses capacités antioxydantes, anti-diabétiques, anti-cancéreuses, anti-inflammatoires, anti-microbiennes, anti-hyperglycémiques, anti-dépressives, gastro-protectrices, immuno-modulatrices, neuro-protectrices et hypo-lipidémiques.

L’Hydne hérisson est dénommé « Yamabushitake » au Japon et « Shishigashira » et « Houtou » en Chine. C’est l’une des substances primordiales de la Médecine traditionnelle chinoise.

« L’Hericium a été testé dans plusieurs applications, telles que la démence, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, la neuropathie et la neurasthénie. Les anciens Chinois connaissaient ces possibilités et l’utilisaient pour soutenir les fonctions mentales et la mémoire, la concentration. » [56]

Hydne hérisson et production de dérivés de graphène… et d’Hydrogels Magnétiques

L’Hydne hérisson peut être utilisé pour synthétiser du carbone poreux : « Biomass-derived O, N-codoped hierarchically porous carbon prepared by black fungus and Hericium erinaceus for high performance supercapacitor ». Carbone poreux hiérarchique codé O, N dérivé de la biomasse et préparé par un champignon noir et Hericium erinaceus pour un supercondensateur à haute performance. [59]

Il est à noter qu’Hericium erinaceus a été utilisé pour élaborer des hydrogels et, surtout, des hydrogels magnétiques — et même « verts » (eco-friendly) — à partir de sa chitine.

« Green magnetic hydrogels synthesis, characterization and flavourzyme immobilization based on chitin from Hericium erinaceus residue and polyvinyl alcohol » (2019). [51]

« Magnetic sensitive Hericium erinaceus residue chitin/Cu hydrogel nanocomposites for H2generation by catalyzing NaBH4hydrolysis ». 2020 [42]

« Magnetic chitin hydrogels prepared from Hericium erinaceus residues with tunable characteristics: A novel biosorbent for Cu2+ removal ». Avec des caractéristiques modulables. 2020. [50]

« Smart pH/magnetic sensitive Hericium erinaceus residue carboxymethyl chitin/Fe3O4nanocomposite hydrogels with adjustable characteristics ». 2020. [44]

Hydne hérisson en synergie avec des dérivés de graphène pour des fonctions prétendument thérapeutiques

« Multi-walled carbon nanotube polysaccharide modified Hericium erinaceus polysaccharide as an adjuvant to extend immune responses / Polysaccharide d’Hericium erinaceus modifié par des nanotubes de carbone multi-parois comme adjuvant pour prolonger les réponses immunitaires ». [58]

Hydne hérisson et myco-remédiation

« Detoxification of Olive Mill Wastewater and Bioconversion of Olive Crop Residues into High-Value-Added Biomass by the Choice Edible Mushroom Hericium erinaceus ». Détoxification des eaux usées des moulins à olives et bioconversion des résidus de cultures d’olives en biomasse à haute valeur ajoutée par le champignon comestible de choix Hericium erinaceus. [57]

« Application of Bio-speckles Fordetection of Biodegradation of Plastic Polymers by the Basidiomycetous mushroom Hericium erinaceus / Application des bio-spécifications pour la détection de la biodégradation des polymères plastiques par le champignon basidiomycèteHericium erinaceus ». [49]

Pleurote en huître, Pleurotus ostreatus

Le Pleurote en huître possède des qualités médicinales qui ont été validées par des études pharmacologiques : anti-cancérigènes [60] [62], antitumorales [65], gastro-protectrices [61], antioxydantes [63] [107], neuro-protectrices [66], anti-athérosclérotiques [67], anti-hyperlipidémiques [68], anti-inflammatoires [70], anti-leucémiques [73], néphro-protectrices [72], anti-diabétiques [84], hépato-protectrices [97], nématocides [83], anti-parasitaires [100], anti-bactériennes [101], anti-arthritiques [104], etc.

Le Pleurote en huître fait, également, partie intégrante de la Médecine traditionnelle chinoise.

Pleurote en huître et dégradation des dérivés de graphène

« Ligninolytic activity of the Penicillium chrysogenum and Pleurotus ostreatus fungi involved in the biotransformation of synthetic multi-walled carbon nanotubes modify its toxicity / L’activité ligninolytique des champignons Penicillium chrysogenum et Pleurotus ostreatus impliquésdans la biotransformation de nanotubes de carbone multi-parois synthétiques modifie sa toxicité ». [74]

« Uptake, translocation and toxicity of fluorescent carbon dots in oyster mushroom (Pleurotus ostreatus) / Absorption, translocation et toxicité de points de carbone fluorescents dans le pleurote (Pleurotus ostreatus) ». [109]

Pleurote en huître et production de dérivés de graphène

« Live Cell Imaging With Biocompatible Fluorescent Carbon Quantum Dots Derived From Edible Mushrooms Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus, and Suillus luteus. /Imagerie de cellules vivantes avec des points quantiques de carbone fluorescent biocompatibles dérivés de champignons comestibles Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus et Suillus luteus ». [77]

Une protéine du Pleurote en huître est utilisée pour confectionner du graphène, à plusieurs couches, selon l’étude « In Situ Production of Biofunctionalized Few-Layer Defect-Free Microsheets of Graphene ». [141]

Pleurote en huître et myco-remédiation

« Mycoremediation of PCBs by Pleurotus ostreatus: Possibilities and Prospects / Mycoremédiation des PCB par Pleurotus ostreatus : Possibilités et perspectives ». [106]

« Green Biotechnology of Oyster Mushroom (Pleurotus ostreatus L.): À Sustainable Strategy for Myco-Remediation and Bio-Fermentation Biotechnologie verte du pleurote (Pleurotus ostreatus L.) : Une stratégie durable pour la myco-remédiation et la biofermentation. » [95]

« Characteristics of uranium biosorption from aqueous solutions on fungus Pleurotus ostreatus. /Caractéristiques de la biosorption de l’uranium des solutions aqueuses par le champignonPleurotus ostreatus. » [86]

« Ability of Agaricus bisporus, Pleurotus ostreatus and Ganoderma lucidum compost in biodegradation of petroleum hydrocarbon-contaminated soil ». Capacité du compost d’Agaricus bisporus, de Pleurotus ostreatus et de Ganoderma lucidum à biodégrader un sol contaminé par des hydrocarbures pétroliers. [48]

« Investigating the potential of sunflower species, fermented palm wine and Pleurotus ostreatus for treatment of petroleum-contaminated soil / Étude du potentiel des espèces de tournesol, du vin de palme fermenté et de Pleurotus ostreatus pour le traitement des sols contaminés par le pétrole ». [91]

« Comparative evaluation of the efficiency of low-cost adsorbents and ligninolytic fungi to remove a combination of xenoestrogens and pesticides from a landfill leachate and abate its phytotoxicity / Évaluation comparative de l’efficacité d’adsorbants bon marché et de champignons ligninolytiques pour éliminer une combinaison de xénoestrogènes et de pesticides du lixiviat d’une décharge et réduire sa phytotoxicité ». [99]

« Comparative transcriptome analysis reveals the differential response to cadmium stress of two Pleurotus fungi: Pleurotus cornucopiae and Pleurotus ostreatus. /L’analyse comparative du transcriptome révèle la réponse différentielle au stress du cadmium de deux champignons Pleurotus : Pleurotus cornucopiae et Pleurotus ostreatus. » [78]

« Effect of Pleurotus ostreatus and Trametes versicolor on triclosan biodegradation and activity of laccase and manganese peroxidase enzymes. /Effet de Pleurotus ostreatus et de Trametes versicolor sur la biodégradation du triclosan et sur l’activité des enzymes laccase et manganèse peroxydase ». [79]

« Application of Pleurotus ostreatus to efficient removal of selected antidepressants and immunosuppressant. /Application de Pleurotus ostreatus à l’élimination efficace d’une sélection d’antidépresseurs et d’immunosuppresseurs ». [80]

« Transformation of lamotrigine by white-rot fungus Pleurotus ostreatus. /Transformation de la lamotrigine par le champignon de la pourriture blanche Pleurotus ostreatus ». [87]

« Detoxification of ochratoxin A and zearalenone by Pleurotus ostreatus during in vitro gastrointestinal digestion / Détoxification de l’ochratoxine A et de la zéaralénone par Pleurotus ostreatus au cours de la digestion gastro-intestinale in vitro ». [88]

« Laccase production by Pleurotus ostreatus using cassava waste and its application in remediation of phenolic and polycyclic aromatic hydrocarbon-contaminated lignocellulosic biorefinery wastewater. /Production de laccase par Pleurotus ostreatus à partir de déchets de manioc et application à la remédiation des eaux usées de bioraffineries lignocellulosiques contaminées par des hydrocarbures phénoliques et aromatiques polycycliques. » [89]

« Biodegradation of endocrine disruptors in urban wastewater using Pleurotus ostreatus bioreactor / Biodégradation des perturbateurs endocriniens dans les eaux usées urbaines à l’aide du bioréacteur Pleurotus ostreatus »

Diverses études de 2013 ont mis en valeur les capacités de bio-remédiation de diverses autres espèces de Pleurote : Pleurotus eryngii, le Pleurote de panicaut ; Pleurotus pulmonarius, le Pleurote pulmonaire ; Pleurotus cornucopiae, le Pleurote cornucopié ; ainsi que Pleurotus florida, Pleurotus sajor-caju et Pleurotus flabellatus. [143]

Pleurote en huître et « Électronique fongique »

Il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des oscillateurs, des condensateurs et de divers capteurs et senseurs. Voir l’étude, de février 2022, « Fungal electronics ». [92]

Voir, également, l’étude, d’avril 2023, « Propagation of electrical signals by fungi ». :

« Il est prouvé que les réseaux vivants de mycélium fongique possèdent les propriétés des memristors, des condensateurs et de divers capteurs. Pour faire progresser nos conceptions en matière d’électronique fongique, nous devons évaluer la manière dont les signaux électriques peuvent être propagés à travers les réseaux de mycélium. Nous étudions la capacité des composites liés au mycélium à véhiculer des signaux électriques, permettant ainsi la transmission d’informations modulées en fréquence. Les réseaux de mycélium se sont révélés capables de transférer de manière fiable des signaux avec une fréquence récupérable comparable à l’entrée, dans la gamme de fréquences de 100 Hz à 10 000 Hz. » [102]

Par exemple, une étude très récente, de décembre 2022, « Electrical frequency discrimination by fungi Pleurotus ostreatus »,a investigué la capacité de discrimination de Pleurotus ostreatus eu égard aux fréquences électromagnétiques. [71]

« L’électronique fongique vise à concevoir des dispositifs bioélectroniques avec des réseaux vivants de mycélium fongique et propose des conceptions nouvelles et originales de systèmes de traitement de l’information et du signal. Nous avons déjà démontré que nous sommes parvenus à mettre en œuvre des memristors, des oscillateurs, des photocapteurs, des capteurs de pression, des capteurs chimiques et des circuits logiques booléens avec des réseaux de mycélium vivant. En raison de la réponse électrique non linéaire des tissus fongiques, ils conviennent parfaitement à la transformation des signaux alternatifs à basse fréquence. Cet article est consacré aux discriminateurs et transformateurs de fréquence, qui constituent une contribution significative au domaine de l’électronique fongique.

Dans cette étude, nous stimulons les réseaux mycéliens du champignon Pleurotus ostreatus avec des signaux électriques sinusoïdaux de basse fréquence. Nous démontrons que les réseaux fongiques peuvent discriminer les fréquences d’une manière floue ou basée sur un seuil.Des détails sur le mélange des fréquences par les réseaux mycéliens sont fournis. Les résultats font progresser le nouveau domaine de l’électronique fongique et ouvrent la voie à la conception de dispositifs électroniques vivants et entièrement recyclables. »

Autres Champignons lignolytiques et saprotrophiques : Mérule tremblante (Phlebia tremellosa), Polypore versicolore(Trametes versicolor) etPhanerochaete chrysosporium.

Voici quelques études qui mettent en exergue les capacités de quelques autres espèces de champignons lignolytiques et saprotrophiques eu égard à la dégradation des nanomatériaux à base de graphène.

Dégradation des dérivés de graphène

« Environmental biodegradability of single-walled carbon nanotubes by Trametes versicolor and natural microbial cultures found in New Bedford Harbor sediment and aerated wastewater treatment plant sludge / Biodégradabilité environnementale de nanotubes de carbone monoparois par Trametes versicolor et des cultures microbiennes naturelles trouvées dans les sédiments du port de New Bedford et dans les boues aérées des stations d’épuration des eaux usées ». [116]

« Biotransformation of Pristine and Oxidized Carbon Nanotubes by the White Rot Fungus Phanerochaete chrysosporium ». [124]

Les nanomatériaux de carbone sont aujourd’hui largement étudiés et appliqués, et leur production annuelle augmente. Après avoir pénétré dans l’environnement, la dégradation complète de ces nanomatériaux de carbone par des micro-organismes est proposée comme une approche efficace pour la détoxification et l’assainissement. Dans cette étude, nous avons évalué la dégradation des nanotubes de carbone multiparois vierges et des nanotubes de carbone multiparois oxydés par le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium, qui est un puissant décomposeur dans le cycle du carbone et l’assainissement de l’environnement… L’ensemble des résultats indique que les nanotubes de carbone multiparois peuvent être transformés par Phanerochaetechrysosporium, mais qu’une dégradation complète ne peut être obtenue dans un court laps de temps. Les implications sur les risques environnementaux des nanomatériaux de carbone sont discutées.

« Oxidative enzymatic response of white-rot fungi to single-walled carbon nanotubes ». [120] Trametes versicolor (le Polypore versicolore) et Phlebia tremellosa (la Mérule tremblante).

Cette étude examine la réponse enzymatique de la peroxydase et de la laccase des champignons saprotrophes de la pourriture blanche Trametes versicolor et Phlebia tremellosa lorsqu’ils sont exposés à des nanotubes de carbone à simples parois de pureté et de chimie de surface différentes dans des conditions de croissance différentes. Les nanotubes de carbone à simples parois non purifiés et riches en catalyseurs métalliques ainsi que les nanotubes de carbone à simples parois purifiés et carboxylés ont entraîné des changements significatifs dans l’activité enzymatique oxydative des champignons, alors que les nanotubes de carbone à simples parois vierges ne l’ont pas fait. Ces résultats suggèrent que la fonctionnalisation des nanotubes de carbone à simples parois purifiés est essentielle pour réguler les enzymes qui peuvent être capables de décomposer les nanotubes de carbone dans l’environnement.

« Enzymatic degradation of oxidized and reduced graphene nanoribbons by lignin peroxidase ». 2014. [113] Dégradation enzymatique de nanorubans de graphène oxydés et réduits par la lignine peroxydase des champignons de pourriture blanche.

L’utilisation généralisée du graphène pour diverses applications industrielles et biomédicales nécessite des stratégies d’assainissement efficaces lors de son élimination dans les flux de déchets. En outre, les interactions du graphène avec le biote doivent faire l’objet d’une évaluation approfondie. Dans cette étude, nous avons étudié les interactions de nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits avec la lignine peroxydase, une enzyme ligninolytique libérée par le champignon de la pourriture blanche. Les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits ont été traités avec la lignine peroxydase en présence et en l’absence d’alcool vératrylique (un médiateur de transfert d’électrons et un métabolite secondaire des champignons de la pourriture blanche). La microscopie électronique à transmission a montré la formation de grands défauts (trous) dans la feuille de graphène, dont le diamètre augmente avec le temps de dégradation. L’analyse spectroscopique Raman a indiqué que, dans les 96 heures, en présence de peroxyde d’hydrogène et d’alcool vératrylique, les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits étaient respectivement complètement et partiellement dégradés par la lignine peroxydase. Les comparaisons entre les groupes avec ou sans lignine peroxydase ont montré que la dégradation des nanorubans d’oxyde de graphène oxydés était accélérée en présence d’alcool vératrylique. Ces résultats indiquent que la lignine peroxydase peut dégrader efficacement les nanorubans d’oxyde de graphène oxydés et réduits en présence d’alcool vératrylique, ce qui suggère que l’alcool vératrylique peut être un facteur essentiel nécessaire à la dégradation des nanorubans d’oxyde de graphène réduits par le traitement à la lignine peroxydase. Ainsi, la présence importante de champignons de pourriture blanche, et donc de lignine peroxydase, dans la nature, pourrait conduire à une dégradation efficace du graphène présent dans l’environnement. En outre, la lignine peroxydase, qui a un potentiel redox théorique plus élevé que les peroxydases de raifort et les myéloperoxydases, pourrait être un meilleur candidat pour la remédiation environnementale du graphène.

« White-rot basidiomycete-mediated decomposition of C60 fullerol / Décomposition du fullerol C60 par les basidiomycètes de la pourriture blanche ». [117]

Production des dérivés de graphène

« Porous Carbon Sponge from White-Rot Fungus Phanerochaete chrysosporium for the Removal of Oils and Organic Solvents / Éponge de carbone poreux provenant du champignon Phanerochaete chrysosporium pour l’élimination des huiles et des solvants organiques ». [103]

« Fungal transformation of graphene by white rot fungus Phanerochaete chrysosporium ». [100] Transformation fongique du graphène par le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium.

En résumé, les résultats de transformation rapportés ont montré l’oxydation efficace de l’oxyde de graphène réduit dans les systèmes de culture de Phanerochaete chrysosporium, avec un degré de dégradation beaucoup plus faible que les résultats de la littérature dans les systèmes de Fenton et de peroxydase. La transformation fongique de l’oxyde de graphène réduit est principalement due à l’oxydation enzymatique et se manifeste par l’ajout d’atomes d’oxygène au squelette du graphène. Les oxydes de graphène réduits enveloppés dans les billes fongiques ont subi une transformation plus importante que ceux précipités dans le milieu de culture.

« Laccase-Functionalized Graphene Oxide Assemblies as Efficient Nanobiocatalysts for Oxidation Reactions / Assemblages d’oxyde de graphène fonctionnalisés par la laccase comme nanobiocatalyseurs efficaces pour les réactions d’oxydation ». [125]

Myco-remédiation

Le Polypore versicolore, Trametes versicolor, possède les capacités de dégrader un certain nombre de polluants environnementaux : pesticides et autres biocides agricoles (chlorpyrifos, dicofol, imiprothrine, cyperméthrine, carbofuran, oxytétracycline) [106] [119], les bisphénols [99], les phénols, parabènes et phtalates [101], les teintures industrielles [102], etc.

La Mérule tremblante,Phlebia tremellosa — ainsi que d’autres espèces dans le genre Phlebia — possèdent, également, les capacités de dégrader un certain nombre de polluants environnementaux : les phtalates [103], les pesticides [104], les teintures industrielles [105], etc.

Phanerochaete chrysosporium possède des capacités de dissoudre les hydrocarbures aromatiques polycycliques [95] ainsi que divers polluants environnementaux. [110] [111] [112]

Toxicité des dérivés de graphène pour la production de champignons

« Toxicity of graphene oxide to white rot fungus Phanerochaete chrysosporium / Toxicité de l’oxyde de graphène pour le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium ». [105]

« Toxicity of carbon nanotubes to white rot fungus Phanerochaete chrysosporium / Toxicité des nanotubes de carbone pour le champignon de la pourriture blanche Phanerochaete chrysosporium ». [122]

Liste d’autres espèces de champignons utilisés en myco-remédiation

  • Pleurotus eryngii. Le Pleurote de panicaut
  • Pleurotus pulmonarius. Le Pleurote pulmonaire
  • Pleurotus cornucopiae. Le Pleurote cornucopié
  • Flammulina velutipes. Le Collybie à pied velouté. « Enokitaké » en Japonais.
  • Agaricus subrufescens. « Jisongrong » en Chinois ou « Himematsutaké » en Japonais
  • Agaricus bisporus. L’Agaric bispore
  • Stropharia rugosoannulata. La Strophaire à anneau rugueux
  • Clitocybe geotropa sp . maxima. La Clitocybe géotrope
  • Schizophyllum commune. Le Schizophylle commun
  • Coprinus comatus. Le Coprin chevelu
  • Lentinus tigrinus. Le Lentin tigré
  • Trichaptum laricinum. La Tramète du mélèze
  • Bjerkandera adusta. La Tramète brûlée
  • Phlebia tremellosa. La Mérule tremblante
  • Inonotus hispidus. Le Polypore hérissé
  • Galerina vittiformis, Pleurotus tuberregium, Pleurotus florida, Pleurotus sapidus, Marasmius cladophyllus, Lentinus squarrosulus, Hebeloma cylindrosporum, Deconica castanella, Moniliophthora roreri, Moniliophthora roreri



Déficit de naissances en Australie






Censure aux USA : selon le gouvernement Biden, la liberté d’expression est « une idéologie conservatrice »

Bataille judiciaire sur fond de campagne électorale

[Source : sentadepuydt]

Par Senta Depuydt

À l’heure où Donald Trump et Robert F. Kennedy Jr, 2 candidats à la présidence sont encore censurés sur la plupart des chaînes mainstream et des réseaux sociaux, la censure et le contrôle de l’information revêtent plus que jamais une importance capitale. Nul besoin d’accuser les Russes dans la manipulation des élections, puisqu’il apparaît clairement que les démocrates installés à la Maison-Blanche sont à la manœuvre avec la complicité du FBI et qu’ils considèrent aujourd’hui la liberté d’expression comme « une idéologie conservatrice ».

D’après un article publié sur Children’s Health Defense le 6 juillet 2023

Un juge républicain interdit « la campagne de censure à grande échelle » du gouvernement Biden

Moins de 24 heures après qu’un juge fédéral ait prononcé une interdiction temporaire à plusieurs fonctionnaires clés de l’administration Biden et à des agences fédérales de communiquer avec des plateformes de médias sociaux, l’administration Biden a déclaré qu’elle ferait appel de la décision.

La décision rendue le 4 juillet par le juge Terry Doughty du tribunal fédéral de district pour le district occidental de Louisiane, division Monroe, indique qu’il existe des « preuves substantielles » que le gouvernement a violé le premier amendement en s’engageant dans une campagne de censure à grande échelle qui cible les contenus critiquant les récits de la doxa sur le COVID-19.

Cette interdiction temporaire s’inscrit dans le cadre d’une action en justice intentée en mai 2022 par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane, ainsi que par plusieurs experts médicaux et journalistes, qui affirment que les plateformes de médias sociaux ont censuré leurs points de vue, qui allaient à l’encontre du discours officiel du gouvernement.

En réponse, le ministère américain de la Justice (DOJ) a déposé mercredi une motion d’appel.

Selon The Hill, « l’appel du ministère de la Justice sera porté devant la Cour d’appel du 5e circuit, basée à la Nouvelle-Orléans. Elle est principalement composée de juges nommés par le parti républicain ».

The Hill cite un fonctionnaire anonyme du ministère de la Justice qui a déclaré que l’agence « s’attend à demander un sursis à la décision du tribunal de district ».

La Maison-Blanche s’accroche aux justifications sanitaires

Répondant à une question d’un journaliste lors de la conférence de presse de mercredi à la Maison-Blanche, la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré : « Écoutez, nous ne sommes pas d’accord avec la décision, mais je m’en tiendrai là. »

Selon le Washington Post, Mme Jean-Pierre a déclaré que l’administration Biden avait été « cohérente » dans ses interactions avec les plateformes Big Tech, ajoutant qu’elle « continuerait à promouvoir des actions responsables pour favoriser la santé, la sûreté et la sécurité publiques face à des défis tels qu’une pandémie mortelle et des attaques étrangères contre nos élections ».

« Notre point de vue reste que les plateformes de médias sociaux ont la responsabilité essentielle de prendre des mesures ou de tenir compte des effets de leurs plateformes sur le peuple américain, mais de faire des choix indépendants quant aux informations qu’elles présentent », a ajouté Madame Jean-Pierre.

Le Washington Post a critiqué la décision de mardi, affirmant que « l’ordonnance est sur le point d’avoir un effet dissuasif sur les efforts des entreprises pour se prémunir contre la désinformation, alors qu’elles s’efforcent de déterminer quels types de partenariats sont autorisés ».

Yoel Roth, ancien responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, a également critiqué la décision de mardi, déclarant au Post : « Il y a tellement de choses qui ne vont pas avec cette décision — notamment le fait qu’elle nous rendra moins sûrs à l’approche des élections de 2024. »

Roth a fait l’objet de plusieurs révélations sur les « dossiers Twitter », notamment des documents montrant qu’il a échangé plus de 150 courriels avec le FBI, et en particulier avec l’agent du bureau à San Francisco, Elvis Chan, entre janvier 2020 et novembre 2022, en référence aux demandes du FBI de « prendre des mesures » sur les messages hébergés sur cette plateforme.

Chan, l’un des accusés cités dans l’affaire Missouri v. Biden, a fait une déposition sous serment dans le cadre de cette affaire, déclarant que le FBI avait mis en place un poste de commandement avant les élections de 2020 et 2022, envoyant des messages liés aux élections sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux.

Le Washington Post, ainsi que des médias tels que l’Associated Press, Reuters et la BBC, constituent la partie adverse du procès antitrust intenté par Children’s Health Defense, pour leur rôle présumé dans la censure de récits non officiels sur le COVID-19 et d’autres sujets, à travers leur participation à la Trusted News Initiative, un « partenariat industriel » comme ils se décrivent eux-mêmes.

La liberté d’expression une « idéologie politique conservatrice »

Le procès, intenté devant le même tribunal que celui qui a rendu la décision de mardi dans l’affaire Missouri v. Biden, a également été confié à M. Doughty.

L’analyste juridique de CNN, Elie Honig, a également critiqué l’injonction de mardi, affirmant que la liberté d’expression est « une idéologie politique conservatrice » et que les références de la décision « remettant en question les vaccins, remettant en question les masques » sont des « points de discussion conservateurs ».

M. Honig a qualifié la décision de M. Doughty de « contraire au conservatisme judiciaire », qui cherche au contraire à « microgérer l’ensemble du pouvoir exécutif […] et les principales entreprises de médias sociaux ».

« Il s’agit d’une opinion judiciaire très activiste », a ajouté M. Honig.

Les agences fédérales restent dans l’attente

Néanmoins, selon le Washington Post, certaines agences fédérales ont annulé des réunions prévues avec des entreprises de médias sociaux à la suite de l’injonction de mardi.

Le W. Post rapporte que des fonctionnaires du département d’État américain ont informé Facebook que les réunions mensuelles entre les deux sociétés ont été « annulées dans l’attente de nouvelles orientations », ajoutant que l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures pourrait prendre la même mesure.

Toujours selon ce journal, « l’annulation des réunions régulières entre Meta, la société mère de Facebook — la plus grande entreprise de médias sociaux au monde — et les agences gouvernementales américaines montre l’impact immédiat de l’injonction de mardi ».




Le ministre de l’intérieur devrait de toute urgence consulter…

Par Lucien SA Oulahbib

… Un oculiste, un ophtalmo, si ce n’est pas une question de lunettes (idéologiques) un psy certainement tant la dissociation semble, à nouveau, le frapper (à nouveau, car il avait plutôt vu des supporters anglais à l’origine de l’émeute du Stade de France en juin 2022) à refouler ainsi ce que tout le monde a vu : peu de « Kevin et Mathéo » en train de faire des roulades innocentes à l’instar de celles effectuées sur la pelouse de l’Élysée par McFly et Carlito, mais beaucoup de » Kevin et Mathéo » made in ministre de l’Intérieur en train de précipiter les voitures de monsieur-tout-le-monde dans des roulades et même des cascades sur leur toit avant de les brûler ou de s’en servir de bélier pour piller (à 1 h 24), saccager, etc.

Ce qui devient irritant c’est bien la désinvolture à la limite de la sociopathie de Mr-cela-va-bien-se-passer, il a toujours le même ton débonnaire relativisant plus d’un milliard d’euros de dégâts (sans compter divers manques à gagner) effectués par des jeunes gens qui n’ont que mépris pour ce qu’il représente au-delà de connaître leur pedigree ethnique. Or au lieu au moins de réfléchir en cette direction, monsieur je-sais-tout nous sort une histoire à dormir debout en parlant de listes à consulter dans les commissariats (ceux qui n’ont pas encore brûlé ?) pour s’empresser de démentir les madames un peu énervées afin de les endormir (« calmez-vous » m’enfin) un ensorcellement qui s’appuie sur deux faits : ce sont souvent des « primo-délinquants » et ils ont la plupart « nationalité française » donc circulez il n’y a rien à voir…

Il suffira donc juste de lisser les chiffres sur cinq cents ans tout en citant Hugo dans Les Misérables ; mais construire une école plutôt qu’une prison n’est même plus une solution à observer ce qui est enseigné dans la première ; peu importe, cela suffira bien pour expliquer doctement que somme toute on volait et tuait bien plus de gens à l’époque de la Cour des Miracles ; donc souriez braves gens (et votez bien !), même si votre voiture flambe, statistique infime, si on sait bien relativiser les chiffres les noyer en mélangeant torchons et serviettes zones chaudes et zones froides effets secondaires et injections placebo….

Une chose est exacte cependant : les principaux obstacles à une réelle politique de Salut Public ne s’appellent pas en effet Mohamed ni Mamadou, mais Mathilde, Clémentine, Emmanuel, Élisabeth, Gérald, Bruno, et… Jean-Luc… Cherchez l’erreur (il n’y en a pas…).




L’effondrement de l’Occident, printemps/été 2023

[Source : unz.com]

Par Hans Vogel

La question de savoir si l’Occident est en chute libre ne relève plus de la spéculation. C’est clairement le cas, et c’est clairement intentionnel. Le « Great Covid Show » [Grand spectacle de la Covid], organisé par les suspects habituels, semble avoir créé les conditions propices à la « Grande Réinitialisation ». Il y a eu quelques accrocs, car une opération aussi vaste et globale que le « Great Covid Show » dépassait les capacités techniques et intellectuelles des néoconservateurs Américains et de leurs acolytes étrangers, y compris le FÉM [Forum Économique Mondial], l’OMS et l’UE.

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a compliqué les choses. Comme dans une partie d’échecs, la Russie oblige les États-Unis et leurs vassaux à faire des mouvements qu’ils n’avaient pas prévus ou qu’ils ne comptaient faire que plus tard dans la partie. Ces mouvements ne sont certainement pas à leur avantage. C’est pourquoi les gouvernements prennent des décisions aussi radicales dans tant de domaines différents, et ce simultanément.

Ils avaient prévu de réorganiser radicalement l’agriculture, en suivant l’exemple donné par les bolcheviks après 1929, lorsqu’ils ont commencé à expulser et à exterminer les koulaks. Au lieu de la collectivisation, les bolcheviks d’aujourd’hui veulent que des entreprises géantes dominent l’agriculture. Mais l’essence de ces projets est la même : les petits agriculteurs et les agriculteurs intermédiaires doivent être délogés, soit volontairement, soit par la force brute. Apparemment un peu plus tôt que ne le prévoyait le scénario original, le gouvernement néerlandais a entamé une guerre contre les agriculteurs qui, comme dans l’ex-URSS, risque d’entraîner une pénurie alimentaire généralisée, voire une famine.

De la même manière, avec une Allemagne obéissante en tête de peloton, les États clients des États-Unis en Europe commettent actuellement un suicide économique en coupant leur industrie de sources fiables d’énergie abordable, obligeant les producteurs et le public à compter sur l’énergie éolienne et solaire. Tout cela se fait au nom de ce que l’on appelle l’agenda vert, afin de réduire les émissions de carbone et d’azote. Dans le même temps, les partisans du changement climatique anthropique encouragent la destruction de l’environnement à une échelle véritablement gigantesque partout où l’on trouve du lithium et d’autres minerais nécessaires à la fabrication de batteries électriques. Comme tous les éléments du programme de la mafia de la Grande Réinitialisation, le discours officiel sur le changement climatique repose sur les contradictions les plus flagrantes.

Les contradictions les plus flagrantes se retrouvent dans le fonctionnement quotidien des gouvernements, en particulier dans l’UE. Comme le gouvernement des Pays-Bas, la plupart d’entre eux prennent régulièrement des décisions qui sont en violation claire ou implicite de la constitution et d’autres législations.

Malgré les innombrables contradictions au niveau de la politique elle-même, du discours politique officiel et des contradictions intrinsèques qui sous-tendent la plupart des décisions politiques, c’est un miracle que l’empire américain parvienne encore à rester en vie. Cela explique peut-être aussi pourquoi l’IA est actuellement déployée : dans l’espoir qu’elle contribuera à maintenir la puissance américaine. Cependant, on peut douter que l’IA se révèle capable de fonctionner dans un environnement où la confusion et la contradiction juridiques, linguistiques et lexicographiques sont devenues la norme.

Les hommes politiques, les médias publics et privés de l’Occident se réfèrent consciencieusement à « notre démocratie », aux « valeurs occidentales » (censées défendre les droits de l’homme), à la « transparence » et à « l’État de droit », tout en faisant et en préconisant tout ce qui est diamétralement opposé à ces valeurs. Après tout, l’IA, comme le système électronique qu’elle est, fonctionne sur le principe que « 0 » est « 0 » et que « 1 » est « 1 ». Lorsque « 0 » peut également signifier « 1 » et que « 1 » est parfois « 0 », l’effondrement est inévitable. Comment savoir si la « démocratie » signifie « le règne de la majorité populaire » ou son contraire, le règne d’une clique de criminels corrompus, comme c’est le cas dans les « démocraties » modernes ? En outre, étant donné la détermination fanatique avec laquelle les sources d’énergie fiables sont abandonnées partout en Occident, précisément au moment où tout ce qui permet la vie dépend de l’électronique, l’ensemble du système ressemble de plus en plus à une maison construite sur des sables mouvants.

[Note de Joseph : comme le rappelle le documentaire Le Grand Réveil, la démocratie est une forme de gouvernement qui s’impose toujours au détriment d’une partie de la population (au moins les 49 % minoritaires) dont la liberté n’est alors pas le moins du monde respectée. Et dans la pratique des États, seule une partie de la population a le droit de vote, ce qui fait qu’en réalité la proportion de liberté non respectée dépasse les deux tiers de la population. Si l’on ajoute que le vote est souvent conditionné aux campagnes de « communication » (lire : « propagande ») et aux sondages relativement manipulés et orientés, ceci sous la houlette des financeurs, alors les démocraties se révèlent le pouvoir facile d’une petite minorité financièrement riche et influante au détriment de la large majorité bien plus pauvre. En résumé, la démocratie est la forme de gouvernement favorite des usuriers et des banquiers.]

Où que l’on regarde en Europe, l’effondrement est à portée de main. Aujourd’hui, rouler sur les célèbres autoroutes allemandes est un véritable calvaire. Il fut un temps où l’on pouvait admirer des paysages splendides et parfois spectaculaires tout en roulant tranquillement sur la surface lisse d’autoroutes impeccablement entretenues. Avec une longueur totale de plus de 13 000 kilomètres, l’Allemagne possède le quatrième réseau au monde, précédé seulement par l’Espagne, les États-Unis et la Chine. Il y a 50 millions de voitures en Allemagne, mais le réseau est aussi intensivement utilisé par les camionneurs étrangers qui livrent et ramassent des marchandises et, en été et en hiver, par des millions d’étrangers qui se rendent à leurs destinations de vacances. Le réseau Autobahn est utilisé de manière très intensive, mais son entretien a longtemps été négligé et, par conséquent, de vastes tronçons d’autoroute doivent être rétrécis pour permettre la réparation des routes et des ponts. Cela provoque des embouteillages longs et fastidieux dans tout le pays, de tôt le matin à tard le soir. Si l’on ajoute à cela le fait que de nombreux conducteurs sont originaires de pays non occidentaux, où la proverbiale discipline allemande et le respect des règles et règlements ne sont pas enseignés dès le plus jeune âge, il est clair que conduire sur l’Autobahn consomme une quantité démesurée de temps et d’énergie. En fait, le système autoroutier allemand semble très proche du point de rupture.

En tirant cette conclusion, il m’est venu à l’esprit que les autoroutes fédérales allemandes sont un symbole de ce qui se passe dans toute l’Europe : les piliers mêmes qui soutiennent l’État et la société sont en train de s’effondrer. Bien sûr, pour ceux qui ont des yeux pour voir, l’effondrement a déjà eu lieu il y a un certain temps, peut-être deux décennies, si ce n’est plus tôt. À l’instar des trois tours du WTC qui se sont effondrées le 11 septembre, l’effondrement commence de manière hésitante, puis s’accélère. Comme dans le cas des tours du WTC, la destruction généralisée qui a lieu aujourd’hui en Occident est planifiée. Cependant, dans un certain nombre de domaines, l’effondrement avait déjà commencé bien avant sous la forme de la corruption. Les personnes corrompues se déplaçant d’un domaine à l’autre, la corruption se propage encore plus rapidement et finit par devenir systémique.

Par exemple, la corruption académique peut conduire au plagiat et à la manipulation des données de recherche. Mme Ursula von der Leyen, docteur en médecine, présidente non élue de l’Union européenne des sciences sociales, n’a jamais pu se débarrasser de l’odeur de fraude académique (commise lors de la rédaction de sa thèse) qui l’entoure. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’elle a conclu des accords secrets avec la société Pfizer pour la fourniture de vaccins non testés et qu’elle les a imposés à un public sans méfiance lors du grand spectacle de la Covid. Corrompue un jour, corrompue toujours, pourrait-on dire.

Alors que la fraude détruit de plus en plus la valeur de la recherche universitaire, l’enseignement universitaire lui-même est également attaqué. Le ministre néerlandais de l’Éducation a l’intention de réduire de moitié le nombre de crédits requis pour les étudiants de première année. Cela signifie que davantage d’étudiants seront autorisés à rester pour devenir des étudiants de deuxième année, avec le résultat final prévisible que les diplômes universitaires se dévalueront encore plus.

La corruption dans le domaine de la médecine est devenue évidente au cours du « Great Covid Show », à tel point qu’aujourd’hui, aucun médecin n’est digne de confiance. Pour dire les choses simplement, les médecins de famille et les spécialistes sont essentiellement des dealers de drogue [NDT En anglais, le mot « drug » signifie à la fois drogue (ou stupéfiant) et médicament] au service de Big Pharma. Il existe encore quelques médecins honnêtes et décents, mais ils sont difficiles à trouver.

À l’instar de la recherche universitaire, de l’éducation, de la politique et de la médecine, le système judiciaire est gangrené par la corruption et en chute libre. Prenons par exemple le cas récent du professeur Sucharit Bhakdi1, accusé d’antisémitisme sur la base des preuves les plus minces que l’on puisse imaginer. Bien que ce critique éloquent et influent des politiques covid décrétées par le gouvernement allemand ait été acquitté, le procureur général a néanmoins décidé de faire appel et de continuer à essayer de mettre le docteur Bhakdi derrière les barreaux à n’importe quel prix. Qu’un procureur procède de la sorte, en niant totalement le fait qu’il n’existe aucune preuve à l’appui de l’affaire, est plus qu’une parodie de justice : c’est transformer la justice en une plaisanterie stupide. Il est d’ailleurs inquiétant de constater que personne ne sourcille, ce qui montre bien à quel point le système judiciaire en Allemagne (et d’ailleurs dans le reste de l’Europe) a été corrompu.

Pourtant, aux yeux de l’État, exprimer des doutes ou des inquiétudes sur de telles questions est un péché. Tout récemment, le service d’espionnage néerlandais AIVD a publié un rapport indiquant qu’environ 100 000 citoyens néerlandais se méfient de l’État et du gouvernement, ce qui ferait d’eux des « théoriciens de la conspiration ». De plus en plus, et presque ouvertement, il est suggéré que ces personnes doivent être soumises à un traitement psychiatrique. Toute personne saine d’esprit ne ferait pas plus confiance au gouvernement que le gouvernement ne lui fait confiance, et il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes sont fidèles à ce principe, mais apparemment le gouvernement des Pays-Bas, qui est, bien entendu, un pays « démocratique », n’est pas de cet avis.

Il y a plus de raisons qu’il n’en faut de se méfier du gouvernement, non seulement des Pays-Bas, mais de toutes les nations de l’UE. Le gouvernement allemand, dominé par les Verts, est devenu le chien de poche belliqueux et autodestructeur [aux ordres] des États-Unis, déterminé à chasser l’industrie et à humilier, appauvrir et décimer les Allemands de souche. Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, élue en raison de ses promesses solennelles de mettre fin à l’immigration illégale d’Africains noirs et de musulmans grossièrement non qualifiés, non éduqués et hostiles, encourage désormais activement ces personnes à venir en Italie. Le président français Macron, qui ressemble et agit comme un adolescent homosexuel qui a épousé sa mère, n’a cessé de mener des politiques visant à détruire la classe moyenne française. Le gouvernement néerlandais a présidé à l’appauvrissement de la classe moyenne, au point qu’aujourd’hui, 400 000 écoliers vivent sous le seuil de pauvreté, et dont les parents sont incapables de payer le petit-déjeuner et de nouveaux vêtements.

Le gouvernement allemand envisage sérieusement d’interdire le parti conservateur AfD. Cela n’a rien de surprenant dans un pays qui a une vénérable tradition d’interdiction des partis jugés indésirables dans son système démocratique. Pendant de nombreuses années, le parti communiste a été interdit en Allemagne de l’Ouest. Aux Pays-Bas, le parti conservateur FvD s’attend à une décision d’interdiction dans un avenir proche. Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’Ukraine, qui défend les « valeurs occidentales » contre les méchants Russes : Zelensky a tout simplement interdit onze partis. Vive la démocratie !

Il n’est pas surprenant que la colère de la population s’accumule depuis un certain temps, et qu’elle augmente à chaque fois que les gouvernements publient un nouveau décret limitant davantage les libertés ou augmentant les prix.

La France ayant toujours été une nation où la classe moyenne est forte et la classe ouvrière militante, et où les gens sont prêts à descendre dans la rue pour exprimer leur indignation et leur colère, il n’est guère surprenant qu’au cours des dernières années, elle ait été le théâtre de manifestations massives du mouvement des Gilets Jaunes et de personnes protestant contre des réductions drastiques des retraites. Après avoir vu comment ces manifestations pacifiques ont été brutalement et impitoyablement réprimées par la police et les escadrons de tueurs à gages, les Nord-Africains et les Africains noirs des banlieues ont adopté une approche différente. Étant donné qu’au moins 15 % des 65 millions d’habitants de la France métropolitaine sont maghrébins (marocains, algériens, tunisiens) ou noirs, et que la plupart d’entre eux vivent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, l’heure est grave : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, maintenant qu’ils entrent en scène, les choses semblent bien sérieuses.

La vague de guerre urbaine en France signifie que l’effondrement est entré dans une nouvelle phase, celle d’une violence anti-étatique organisée et coordonnée avec des connotations raciales.

Les musulmans d’Afrique du Nord et les Noirs d’Afrique participent à ce qui ressemble à une guerre civile contre des cibles étatiques, culturelles et commerciales et contre des Français blancs. Par conséquent, l’éruption actuelle de violence n’a pas seulement l’étoffe d’une guerre civile, mais plutôt d’une guerre raciale.

Quel que soit l’élément déclencheur de la vague de violence actuelle, celle-ci doit également être considérée comme une conséquence logique de décennies de politiques françaises décrétées sur ordre de la Commission européenne non élue.

Ce qui s’est passé en France pourrait facilement se produire demain dans d’autres pays de l’UE, pour la simple raison que les conditions dans de nombreux endroits sont similaires à celles de la France. De nombreux États membres de l’UE, notamment l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique, comptent également des minorités musulmanes de 10 à 15 % [de la population générale]. Comme de nombreux quartiers et banlieues populaires en France, certaines parties des villes suédoises de Stockholm, Göteborg et Malmö sont depuis longtemps inaccessibles à la police. Il en va de même pour un certain nombre de villes allemandes, notamment Berlin et la région de la Ruhr. À Bruxelles, même sous le nez des commissaires du Quatrième Reich, des quartiers entiers de cette ville sont des zones interdites.

D’aucuns ont suggéré que les événements survenus en France s’inscrivaient dans le cadre de la « grande remise à zéro » prônée par le Forum Économique Mondial (FÉM).

En fait, cette « grande remise à zéro » n’est qu’un autre terme pour beaucoup de destruction, de maladie, de mort, de guerre, de misère et de peur. Il semblerait que les quatre cavaliers de l’Apocalypse aient envoyé leur avant-garde préparer le terrain et qu’ils ne tarderont pas à se manifester. À cet égard, il convient de noter que le slogan « reconstruire en mieux » [NDT « Bild Back Better » — en abrégé BBB, en anglais], si important et si omniprésent il y a encore quelques années, a complètement disparu de la propagande d’État partout.

Pour « reconstruire en mieux », il faut d’abord tout casser. De toute évidence, ce n’est pas ce que les dirigeants de tous les États « démocratiques » de l’Occident ont raconté à leurs « électeurs ».

Mais ne vous inquiétez pas, l’« Occident » est composé de sociétés « fondées sur des valeurs » et soumises à l’« État de droit », où l’« équité », la « diversité » et les « droits de l’homme » sont défendus, où les « émissions de carbone et d’azote » sont limitées et où les « fake news » et la « désinformation » sont interdites.