France — Température de pharmaciens

[Source : Nicolas Bonnal]

C’est l’été !

Par Amal

J’ai vécu dans une station balnéaire au bord de la méditerranée pendant 30 ans, alors la chaleur étouffante, je connais.

Ici dans ma campagne, il fait bon. Il est arrivé d’avoir 30° ou 32°, mais ce n’est pas quotidien.

D’habitude le matin je mets un pull pour sortir, et l’après-midi il fait chaud.

En général les étés dans la marne sont pourris. Pluie, fraîcheur, humidité…

Cette année, nous n’avons pas eu de printemps. Il a plu tout le temps jusqu’à fin mai.

En juin, il a fait très beau et chaud. C’était un régal.

Le mois de juillet est mitigé. Il y a eu des matinées ou la veste était indispensable.

En ce moment, le matin il fait entre 11° et 16°.

On a eu peu de journées à 30°. S’il fait chaud c’est 27° pas plus. La fraîcheur s’installe rapidement vers 22 h.

Le soir, si je dois laisser les fenêtres ouvertes, je mets la couette pour la nuit (j’utilise rarement un simple drap pour dormir ici).

Dans mon petit bourg, la droguerie (commerçant de longue date et encore à l’ancienne) a un thermomètre extérieur, hier vers 16 h, il affichait 27° : ce qui me semblait très cohérent, mais le nouveau pharmacien à cette immense plaque d’affichage qui signalait 34°.

Ils sont à 50 mètres l’un de l’autre. Je me suis dit : « Tiens, tiens, on n’essayerait pas de nous duper ? ».

Bien sûr que oui ! Ou alors, il est en connexion directe avec la station météo officielle du Macronistan, ce qui pourrait expliquer le pourquoi du comment. Il devrait passer en Fahrenheit, ça impressionnerait davantage, n’est-ce pas ?

Lundi, j’étais dans la grande ville, le matin j’ai dû mettre une veste jusqu’à 10 h 30. Après, il faisait chaud avec un petit vent rafraîchissant. En attendant mon bus pour rentrer chez moi vers 12 h, j’ai regardé le panneau d’affichage de la pharmacie près de l’Église Monseigneur Tissier, son thermomètre affichait 30°. J’étais étonnée. En général à cette température on cherche l’ombre. Moi, j’étais sur un banc en plein soleil à lire mon livre. J’étais ni en nage ni en train de crever de chaud. Je profitais de ce beau soleil et de cette merveilleuse chaleur.

Conclusion : les enseignes de pharmacie sont en train d’afficher de fausses informations pour que les débiles qui nous entourent croient à toute cette propagande climatique.

PS Je viens de remettre ma veste, car les fenêtres sont ouvertes et l’air est frais, il est 11 h 35




Chrétien de Troyes et les grands mystères de la canicule

Par Nicolas Bonnal

La chaleur…

Nous voici à nouveau en période de canicule. Elle est terrible où je vis. La canicule rend dépressif (pic de suicides en août), peut tuer même et causer des guerres (août 1914…) et elle a toujours été redoutée. Les clergés païens de jadis savaient mieux que Bergoglio comment l’encadrer, nos écrivains aussi puisque le plus grand d’entre eux, Chrétien de Troyes consacra son meilleur roman à cette canicule, et au chevalier au lion (ou au chien) qui l’accompagne.

Voyons le dictionnaire :

Canicule vient du latin Canicula, qui signifie «chien», en liaison avec Sirius, étoile principale de la constellation du Grand Chien. Elle ne concerne donc à l’origine que la période annuelle du 24 juillet au 24 août, où cette étoile se couche et se lève en même temps que le Soleil, ce qui avait laissé penser aux anciens qu’il existait un lien entre l’apparition de cette étoile et les grandes chaleurs1.

Le grand Pline l’Ancien ajoutait :

« Quant à la Canicule, qui ignore que, se levant, elle allume l’ardeur du soleil ? Les effets de cet astre sont les plus puissants sur la terre : les mers bouillonnent à son lever, les vins fermentent dans les celliers, les eaux stagnantes s’agitent. Les chiens aussi sont plus exposés à la rage durant tout cet intervalle de temps ; cela n’est pas douteux2. »

Encadrée car redoutée, la canicule était ainsi fêtée au temps des romains (au passage faisons la pub pour les Fastes d’Ovide, notre livre de chevet, absolument essentiel) :

Dans la Rome antique, le début de la Canicule était célébré par la fête de Neptunalia (le 24 juillet), on lui attribuait de mauvaises influences (maladies causées par la chaleur et hurlements des chiens) et on tentait de conjurer l’influence néfaste de Sirius sur les moissons en immolant des chiens roux comme le soleil. La Canicule s’achevait par la fête de Vulcania le 24 août ; c’est notre saint Barthélémy (quand je vous disais qu’il y avait un lien…).

La canicule est liée au chasseur Orion (que reprend Tolkien dans le Silmarillion) et à Sirius (Huan pour les amateurs). Le nom Sirius vient du grec « Σείριος » via le latin Sirius, signifiant « ardent ». C’était le nom du chien que possédait le personnage de la mythologie grecque Orion éponyme de la constellation Orion, qui se situe à proximité immédiate de Sirius, qui lui-même fait partie du Grand Chien. Orion et le Grand Chien furent placés dans le ciel à la suite du décès du grand chasseur.

Nous en venons au Chevalier au lion. Pour avoir raté un rendez-vous courtois après la Saint-Jean, un chevalier est éconduit par sa Belle (une fée qui commande au Temps avec sa savante servante Lunette – petite Lune) et devient fou. Il retrouvera son équilibre avec son Lion et vaincra les épreuves. Sa vie de nudiste dégénéré dans les bois fait penser à nos vacances aoûtiennes (à poil partout, à bouffer de la viande crue ; je vois cela tous les jours).

L’universitaire Philippe Walther croit à l’inspiration folklorique, et c’est heureux. Il écrit dans sa très belle notice de la Pléiade :

« Ce conte adapte, selon toute vraisemblance, les résidus d’un vieux mythe saisonnier d’origine celtique selon lequel un roi est appelé à être remplacé, grâce au meurtre rituel accompli sur sa personne, en période de Canicule. L’épreuve rituelle consiste en un défi cosmique (la fontaine aux tempêtes) suivi d’un combat à caractère eschatologique. En outre, selon la conception celtique, c’est l’union avec la fée qui procure au prétendant sa souveraineté3. »

Philippe Walther souligne l’importance solaire et astrologique de l’événement :

« La date du premier juillet – huit jours après la Saint-Jean – retenue pour ce délai fatidique partage d’ailleurs l’année en deux moitiés égales, marquant ainsi une échéance médiane symbolique : Yvain se trouve alors au carrefour de son destin… Dans la tradition astrologique, le Lion solaire de l’été est le signe royal par excellence. En rencontrant et en acceptant le compagnonnage du lion, Yvain découvre son affinité profonde pour cet animal conquérant ».

Et il ajoute cette note très importante : Yvain serait conçu lors de la nuit de Samain (Halloween !!!) pour naître lors de la fête de Lug, le premier août donc.

« Le lion est aussi très certainement le signe zodiacal de naissance d’Yvain si l’on se fonde sur un texte gallois peu connu et qui raconte l’engendrement mythique du héros. Celui-ci s’opère sous le signe du chien, dans le comté de Denbigh, là où se trouve une paroisse appelée Llanferrys. Urien y connaît charnellement la fille du roi d’Annwn qui prend les traits d’une lavandière de la nuit. L’engendrement a lieu lors de la nuit de Samain (1er novembre) ; il donnera naissance, neuf mois plus tard, le 1er août, lors de la fête celtique de Lugnasad, à un héros solaire. Chevalier de la Canicule, Yvain rejoint ainsi les grandes figures caniculaires de la tradition mythologique4. »

Quel plaisir quand un universitaire comprend son sujet !

Mais il nous manque la vision supérieure, hérétiquement considérée par l’université, et qui nous sera commentée par René Guénon.

Voici ce qu’inspiré par le Maître je note dans mon livre5 :

« Dans le même texte d’Yvain, solaire et initiatique à souhait, on connaît la panique solsticiale et la peur du dérèglement cosmologique et temporel.

C’est la folie d’Yvain qui arrive trop tard après la Saint-Jean, et qui n’a pas obéi à sa Dame conçue ici comme Reine du Ciel et des cycles naturels (il n’a pas non plus été le bon gardien de la source fervente).

En réalité la folie d’Yvain est solsticiale et elle est liée à la Saint-Jean estivale qu’il n’a pas respectée. Ce terme produit le châtiment astrologique de sa Dame. Voici ce que dit Guénon sur cette Saint-Jean liée au Baptiste :

« Bien que l’été soit généralement considéré comme une saison joyeuse et l’hiver comme une saison triste, par là même que le premier représente en quelque sorte le triomphe de la lumière et le second celui de l’obscurité, les deux solstices correspondants n’en ont pas moins, en réalité, un caractère exactement opposé à celui-là… En effet, ce qui a atteint son maximum ne peut plus que décroître, et ce qui est parvenu à son minimum ne peut au contraire que commencer aussitôt à croître ; c’est pourquoi le solstice d’été marque le début de la moitié descendante de l’année, et le solstice d’hiver, inversement, celui de sa moitié ascendante ».

Guénon justifie ensuite la course malheureuse de notre Yvain arrivé après la Saint Jean :

« En réalité, c’est la moitié ascendante du cycle annuel qui est la période « joyeuse », c’est-à-dire bénéfique ou favorable, et sa moitié descendante qui est la période « triste », c’est-à-dire maléfique ou défavorable ; et le même caractère appartient naturellement à la porte solsticiale qui ouvre chacune de ces deux périodes en lesquelles l’année se trouve divisée par le sens même de la marche du soleil6 ».

Notre savant impeccable explique ensuite qu’il y a autour du cercle du cycle une figure de deux tangentes (cf. Gibraltar et les piliers d’Hercule), et que ces points sont comme les bornes que le soleil ne peut jamais dépasser au cours de sa marche. Yvain l’ayant fait, il sombre dans une folie solsticiale. Nous la lions à la canicule qui déchaîne aussi les passions et prodigue la fameuse dépression estivale des aoutiens.

Un dernier point sur le caractère solaire et celtique d’Yvain :

« Le lendemain, à midi, Owein revêtit une robe, un surcot et un manteau jaunes, rehaussé d’un large orfroi de fil d’or; ses pieds étaient chaussés de brodequins de cordwal bigarré, fermes par une figure de lion en or7 ».

Notes

1 Wikipédia, article canicule

2 Pline, Histoire naturelle

3 Chrétien de Troyes, la Pléiade, notice p.1173-4

4 Ibid., p. 1184

5 La chevalerie hyperboréenne et le Graal, p. 236

6 Guénon, Symboles de la Science sacrée, XXXV

7 Mabinogion, Owein




Gardasil : inutile, ruineux et dangereux !

[Source : @LeLibrePenseur.org]

Diffusion de la conférence du Dr Gérard Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Nicole Delépine, Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de l’utilité ou non du vaccin contre le cancer du col de l’utérus (Cervarix, Gardasil) qu’il estime « inutile, ruineux et dangereux » ! Les preuves sont nombreuses, elles sont toutes issues des chiffres épidémiologiques officiels de plusieurs pays occidentaux. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.



Diapositives de la conférence




Coût des émeutes en France

[Source : boursorama.com]

[Photo : un véhicule brûlé devant une école de Lormont, près de Bordeaux.
AFP/PHILIPPE LOPEZ]

Les violences urbaines en France de la fin juin ont entraîné des dégâts estimés à 650 millions d’euros, d’après la fédération des assureurs. La SMACL, le principal assureur de collectivités durement touchées, tire le signal d’alarme face à un risque « systémique ».

« Nous ne pouvons pas faire face seuls au risque d’émeutes ou de mouvements populaires ». Dans les colonnes des Échos, le directeur de la SMACL, principal assureur des collectivités locales, ne cache pas les difficultés connues par son groupe après la flambée de violences fin juin en France, qui devrait coûter 100 millions d’euros à l’assureur. Cette somme est cinq fois supérieure à celle ayant résulté des émeutes urbaines de 2005, rapporte les Échos.

« Le risque est systémique et couvre l’ensemble du territoire, contrairement aux tempêtes qui concernent quelques communes à la fois. Cela pose la question de l’assurabilité des collectivités locales sur ce risque », juge Patrick Blanchard, dans les colonnes du quotidien d’information économique, mardi 18 juillet.

Au total, la fédération France Assureurs avait estimé que les nuits de vandalisme ont causé des dégâts estimés à 650 millions d’euros. 481 collectivités ont déclaré avoir subi des dégradations ou des incendies sur leur mairie, école, ou bâtiment de police municipale. Parmi elles, les trois quarts sont assurées à la SMACL, rapporte Les Échos.

Pas de soutien de l’État en vue

« Après les sinistres climatiques exceptionnels de 2022, nous avions prévu un plan de retour à l’équilibre en 2024. Il est trop tôt pour savoir si cela sera possible, mais nous serons dans tous les cas déficitaires cette année », met-il en garde. De quoi s’interroger sur la solvabilité de l’assureur ? « La solution passera par une recapitalisation ou une autre voie, mais nous n’envisageons pas de soutien public », répond-il.

Dans un communiqué, la présidente de France assureurs Florence Lustman avait indiqué que les neuf dixièmes « du coût (…) concernent les 3 900 biens des professionnels et des collectivités locales sinistrés ». Le reste concerne essentiellement des dégâts subis par des particuliers, dont les véhicules notamment ont été dégradés. La fédération a décompté 11 300 déclarations de sinistres liées aux violences nocturnes.




Pour en finir avec les éoliennes — Partie 1 : des promesses aux réalités

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Caroline Galactéros : « Poutine n’est pas un autocrate, un dictateur, ni un fou dangereux ! »

[Source : Les Incorrectibles]

Caroline Galactéros, géopolitologue, spécialiste affaires diplomatiques et géostratégiques, Présidente de Géopragma et Docteur en sciences politiques, est l’invitée d’Éric Morillot.

[À partir de ~32:30 pour la Russie]




Comment les « traumatismes » ont été détournés par des activistes pour créer une nouvelle génération de « victimes »

[Source : quebecnouvelles.info]

Traduit de l’anglais (Article d’Alastair Mordey pour Quillette, publié le 16 juillet 2023 sur le site du National Post.)

Dans son article de 2016 intitulé « Concept creep : Psychology’s expanding concepts of harm and pathology », Nick Haslam, professeur de psychologie, aborde la manière dont la psychologie s’est politisée par le biais de manipulations du langage et de la terminologie : « Les concepts qui se réfèrent aux aspects négatifs de l’expérience et du comportement humains ont élargi leur signification de sorte qu’ils englobent désormais un éventail de phénomènes beaucoup plus large qu’auparavant… (produisant) une sensibilité de plus en plus grande aux préjudices ». Selon M. Haslam, une telle dérive conceptuelle « risque de pathologiser l’expérience quotidienne et d’encourager un sentiment de victimisation vertueux mais impuissant ».

L’un des meilleurs exemples de ce type de dérive conceptuelle est la redéfinition du mot « traumatisme ». Les cliniciens utilisent aujourd’hui ce mot pour décrire presque n’importe quelle adversité.

Ce changement d’usage est motivé par un agenda politique spécifique. Le mot « traumatisme » est devenu un terme utile pour les praticiens de la santé mentale qui sont impliqués dans l’activisme pour la justice sociale, car il rend certaines de leurs préoccupations essentielles, telles que l’inégalité sociale, plus menaçantes et alarmantes. Il est à la fois vrai et regrettable que certaines personnes aient une vie plus difficile que d’autres. Mais si nous disons à ces personnes qu’elles sont des victimes de traumatismes, cela améliorera-t-il leur santé mentale ? Et est-ce même vrai ?

La déclaration suivante du Centre pour la non-violence et la justice sociale de l’université de Drexel justifie l’utilisation excessive du terme que l’on retrouve dans le verbiage de tous les campus universitaires, centres de désintoxication et centres de conseil d’aujourd’hui :

Le mot « traumatisme » est utilisé pour décrire des expériences ou des situations qui sont émotionnellement douloureuses et pénibles, et qui dépassent la capacité des gens à y faire face, les laissant impuissants. Le traumatisme a parfois été défini en référence à des circonstances qui sortent du cadre de l’expérience humaine normale. Malheureusement, cette définition n’est pas toujours vraie. Pour certains groupes de personnes, les traumatismes peuvent être fréquents et faire partie de l’expérience humaine commune… Outre les événements terrifiants tels que la violence et les agressions, nous pensons que des formes relativement plus subtiles et insidieuses de traumatisme — telles que la discrimination, le racisme, l’oppression et la pauvreté — sont omniprésentes et, lorsqu’elles sont vécues de manière chronique, ont un impact cumulatif qui peut fondamentalement changer la vie.

Cette redéfinition du mot « traumatisme » est motivée par la politique, déguisée en diagnostic médical.

Jusqu’à récemment, tout le monde savait ce que signifiait le terme « traumatisme ». Dans le dernier Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), le traumatisme est défini comme un trouble psychiatrique présentant des symptômes indubitables et extrêmement débilitants, plus proches de ceux de la psychose que de la dépression. Ces symptômes peuvent survenir après que des personnes ont été soumises ou ont été témoins « d’une mort, d’une blessure grave ou d’une violence sexuelle, réelle ou menacée », c’est-à-dire de choses qui sortent du cadre de « l’expérience humaine normale ». Cela n’inclut pas les préjudices « plus subtils et insidieux », tels que le racisme ou l’oppression (même s’ils sont moralement répréhensibles).

Nous devrions également remettre en question l’idée selon laquelle les situations « douloureuses et pénibles » dépassent nécessairement la capacité des gens à y faire face. Cela suppose que la plupart des gens sont fragiles et impuissants face à l’adversité. Ce n’est tout simplement pas vrai. La plupart des êtres humains (y compris les enfants) sont extrêmement résistants, même lorsqu’ils sont confrontés à des événements véritablement traumatisants. Une étude de 2008, par exemple, a examiné le bien-être subjectif de ressortissants allemands sur une période de vingt ans avant, pendant et après le décès d’un être cher. Environ 60 % des sujets ont relativement bien géré le deuil et se sont rétablis en l’espace d’un an. Vingt autres pour cent ont considérablement souffert pendant la période de crise, mais ont retrouvé leur niveau antérieur de bien-être subjectif au cours des deux ou trois années suivantes. Les 20 % restants étaient encore en deuil de nombreuses années plus tard, mais beaucoup d’entre eux avaient déjà déclaré souffrir de problèmes de santé mentale avant le décès.

es auteurs notent que les êtres humains ont tendance à « revenir à un niveau de bien-être relativement rapidement après les événements de la vie, qu’ils soient les plus pénibles ou les plus favorables ». Les psychologues le savent depuis les années 1970. Alors pourquoi la plupart des professionnels de la santé mentale ne le savent-ils pas ou l’ignorent-ils aujourd’hui ? Peut-être parce que la psychologie universitaire et la psychologie clinique ont été complètement absorbées par la politique de justice sociale qui, comme l’ont expliqué les sociologues Bradley Campbell et Jason Manning, valorise le statut de victime.

En fait, relativement peu de personnes souffrent de traumatismes (au sens traditionnel du terme), même parmi les populations les plus vulnérables. Les taux de SSPT chez les toxicomanes, par exemple, sont inférieurs à ceux d’autres troubles mentaux. Dans une étude citée par la Substance Abuse and Mental Health Service Administration (SAMHSA), la plus grande organisation de services de santé mentale aux États-Unis, des chercheurs ont examiné la prévalence des troubles psychiatriques parmi un échantillon de consommateurs chroniques de crack dans une communauté pauvre. Alors que 24 % des consommateurs avaient reçu un diagnostic de trouble de la personnalité antisociale et que 17,8 % souffraient de dépression, seuls 11,8 % d’entre eux avaient souffert d’un syndrome de stress post-traumatique. Il est intéressant de noter que les chercheurs ont constaté que les toxicomanes blancs étaient plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux que les toxicomanes noirs, ce qui suggère que, contrairement à la déclaration de l’université Drexel citée plus haut, les traumatismes ne sont pas principalement le résultat d’un racisme institutionnalisé.

Une étude portant sur des consommateurs de crack brésiliens, également citée par la SAMHSA, a révélé que l’extrême violence de la rue et la dégradation à laquelle ils étaient soumis et exposés en raison de leur consommation de drogue étaient la principale source de leur traumatisme. En tant que personne ayant passé beaucoup de temps à travailler avec des toxicomanes par voie intraveineuse, je ne trouve pas cela surprenant.

Selon les lignes directrices de la SAMHSA sur les soins tenant compte des traumatismes (dernière mise à jour en 2014), le traumatisme résulte d’un « événement, d’une série d’événements ou d’un ensemble de circonstances vécus par un individu comme physiquement ou émotionnellement nuisibles ou menaçants et qui ont des effets négatifs durables sur le fonctionnement et le bien-être physique, social, émotionnel ou spirituel de l’individu ».

Le problème est que cette définition du traumatisme est une question d’interprétation subjective : elle suggère que n’importe quelle expérience peut être traumatisante si elle fait que la personne qui en souffre se sent mal. Le divorce des parents et d’autres adversités courantes pourraient être définis comme des « traumatismes » s’ils sont « vécus » comme néfastes. Si le guide de la SAMHSA suit le DSM-5 en reconnaissant que le traumatisme n’est susceptible de se produire que lorsque les personnes sont exposées « à la mort, à des blessures graves ou à des violences sexuelles, réelles ou menacées », il dilue la définition en affirmant que le traumatisme psychologique n’est « pas limité à ces critères de diagnostic » et peut être « caractérisé de manière plus large ». Ce n’est pas la nature des événements eux-mêmes qui les définit comme traumatisants, mais la réaction émotionnelle de l’individu à ces événements. Selon cette définition, un enfant en bas âge qui refuse de se coucher à l’heure et dont les ressources émotionnelles sont « submergées » par l’heure du coucher au point de provoquer des crises de colère nocturnes pourrait être considéré comme souffrant d’un « traumatisme ».

Cet élargissement de la définition a naturellement entraîné une augmentation du nombre de personnes déclarant avoir subi un traumatisme. Les professionnels de la santé mentale ont réagi en proposant des soins tenant compte des traumatismes (TIC). Selon la SAMHSA, la plupart des plus de 10 000 programmes de soins de santé comportementale aux États-Unis proposent aujourd’hui une forme ou une autre de TIC.

Selon le Centre de recherche sociale de l’université de Buffalo, les soins tenant compte des traumatismes « partent du principe qu’une personne a plus de chances qu’une autre d’avoir des antécédents de traumatisme… tiennent compte de la nature omniprésente des traumatismes et favorisent des environnements de guérison et de rétablissement plutôt que des pratiques et des services qui peuvent involontairement traumatiser à nouveau ». Les patients peuvent être traumatisés à nouveau, selon eux, en étant « traités comme des numéros », en « ne se sentant pas vus ou entendus », en manquant de « sécurité émotionnelle » et/ou en étant victimes de « microagressions ».

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Petit message pour ceux qui ont bien fait leurs devoirs climatiques




Le Déchaînement mondialiste

[Source : AVATAR Media]

Le coup de gueule de Nicolas Bonnal.




Tous vaccinés, tous en danger ?

Vaccins à ARNm et corruption :
les vérités sur la crise sanitaire

Par Jean-Loup Izambert

[Source : is-edition.com]

« Tous vaccinés, tous en danger ? » est le quatrième ouvrage d’une série entamée en 2020 par Jean-Loup Izambert avec « Le virus et le Président » (co-écrit avec Claude Janvier), livre qui explorait les origines de la crise sanitaire vécue en France et qui s’est vendu à plusieurs milliers d’exemplaires.

Avec la précision d’un détective et le courage d’un lanceur d’alerte, Jean-Loup Izambert dévoile dans ce nouveau livre une histoire troublante de corruption et de désinformation qui a conduit des millions de Français à se faire vacciner contre la Covid-19 au mépris du principe de précaution, souvent sous la contrainte d’un Pass Sanitaire liberticide, et malgré un bénéfice-risque très peu élevé pour la grande majorité de la population en bonne santé.

Problématiques majeures abordées :

– Vaccins à ARNm : Jean-Loup Izambert démantèle les mythes entourant les vaccins à ARNm avec l’appui du Docteur Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS. Il s’interroge sur les risques potentiels pour la santé publique en matière d’effets secondaires, soulignant les inquiétudes concernant la rapidité de production de ces vaccins et leur stabilité.

– Scandale de l’Ivermectine : le livre expose comment l’Ivermectine, un médicament peu coûteux, largement documenté scientifiquement et efficace contre la Covid-19, a été marginalisé au profit de nouveaux vaccins potentiellement dangereux. Jean-Loup Izambert dénonce également la surprenante volte-face du chercheur Andrew Hill, chargé d’une étude sur l’Ivermectine pour le compte de l’OMS, qui ouvrira la porte à la plus grande campagne de vaccination de tous les temps.

– Corruption et désinformation : Jean-Loup Izambert critique enfin le manque de transparence dans des transactions qui ont impliqué des milliards d’euros de fonds publics et des grands laboratoires, et l’absence de contrôles pour détecter et prévenir les abus de corruption.

Une enquête d’intérêt public ?

Publié par un éditeur libre car ne percevant aucune subvention, « Tous vaccinés, tous en danger? » est une lecture qui poussera le lecteur à réfléchir et questionner les dirigeants politiques sur l’usage qui a été fait de leur santé, de leurs libertés et de leurs impôts durant une des périodes les plus sombres de l’histoire.

« Tous vaccinés, tous en danger ? » paraît ce vendredi aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).

Conformément à nos habitudes, deux livres papier et deux livres numériques sont également à gagner cette semaine sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !




Les mystères de notre soumission au parti démocrate américain

Par Nicolas Bonnal

Le parti démocrate est le parti préféré des Français et des Européens ; c’est le parti dit-on du social et des minorités, le parti des écologistes et des LGBTQ et le parti surtout de la guerre à mort contre la Chine et la Russie. Quand Obama fit soi-disant tuer le Ben Laden de service, Kagan se rengorgea et se dit que l’on pouvait « démocratement » mener une guerre messianique d’extermination contre le reste du monde. Surtout avec Trump en face…

Mais le parti démocrate c’est surtout celui des deux premières guerres mondiales : les USA ont vu, ils sont venus, ils ont vaincu — et comme dit Trotski ils ont commis à leur service la social-démocratie européenne pour mettre l’Europe à la portion congrue.

Il semble que le parti démocrate invincible et indéboulonnable sera aussi le parti de la troisième guerre mondiale qui achèvera le vieillard débile et consentant européen.

En France terre des droits de l’homme et des guerres en boucle on honore surtout le parti démocrate. Le téléphage froncé voulait dans les sondages voter à 90 % pour Biden contre Trump qui lui garantissait la paix et l’énergie peu chère (mais on ne refera pas les Français). On honore la mémoire de Roosevelt (Franklin Delano), de Wilson donc ou de Kennedy. On y a déifié Obama en France, qui a démoli la Libye, peuple l’Europe de migrants, et qui a déclenché les hostilités finales contre la Russie en 2014, tout en recevant un prix Nobel à Stockholm et en déclenchant sur ordre écolo-bancaire la liquidation de nos industries.

Ce parti démocrate mène le monde à sa perdition avec sa troisième guerre mondiale contre la Chine et la Russie ; il mène l’Europe à sa ruine totale et il livre l’Amérique aux hordes ethniques comme on dit, au lobby LGBTQ et à la faillite financière via la dette — le tout sur fond de hausse infinie et arrogante de la bourse.

C’est lui qui peuplé de « dibbouks »1 (Kunstler2) a créé sous Wilson (élu grâce à une division des républicains et à une participation abusive et sans doute contrôlée de Théodore Roosevelt aux élections présidentielles de 1912) la Banque Fédérale avec les Warburg, c’est lui qui a liquidé le libéralisme américain et renforcé et créé l’État moderne (voyez l’ouvrage collectif de Denton, Goldberg ou Hoppe), c’est lui qui a militarisé la nation et créé les mille bases, c’est lui qui a créé la Deuxième Guerre Mondiale et réduit l’Europe à la portion congrue, c’est lui qui avec Truman a créé de A à Z la guerre froide contre la Russie (génial Ralph Raico) et c’est lui qui a fait la guerre pendant dix ans au Vietnam, guerre inutile, assassine et cruelle. Mais c’est lui qui est adoré.

Et ce parti en même temps qu’il veut une guerre d’extermination contre la Russie et la Chine désire remplacer la population (quel que soit le pays qu’il contrôle en Europe) et liquider agriculture et industrie (Harris-Kerry).

Et c’est normal puisque c’est le parti non pas du chaos (comme dit Kunstler) mais de la mort. L’Occidental des temps de la Fin adore l’obscur, disait Guénon, alors qu’il adore la mort.

Et on ne parlera pas de JFK, par pitié. On répétera avec Trotski :

« Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme ; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. »





Le pont de Crimée et le destin de la Russie

[Source : geopolitika.ru]

Par Alexandre Douguine

La révolution par le haut peut empêcher la révolution par le bas.

À propos de la nouvelle attaque sur le pont de Crimée. Remarquez l’entêtement forcené de l’ennemi. C’est la marque de fabrique des Malorossiens(([1] NDLR Une partie des régiments cosaques.
Voir https://opentran.net/french/fr-ru/malorossiens.html et https://dictionary.tn/cosaques/)). Mais aujourd’hui, c’est de mauvais augure.

Ils ont commencé à bombarder Donetsk en 2014 et ne s’arrêtent pas un seul jour.

Ils ont attaqué le territoire d’anciennes régions russes – Belgorod, Koursk, Briansk – et continuent.

Ils ont commencé à tuer des Russes par des attaques terroristes, et ils le font encore et encore.

Ils ont attaqué des installations nucléaires, et ils le font encore et encore.

Il en va de même pour le pont de Crimée. Tant que l’Ukraine existera avec cette population folle et ce régime maniaque, il est tout simplement stupide et irresponsable de penser que son comportement changera. À mon avis, il faut mettre fin à la simulation d’une vie paisible en Russie, reporter les élections (nous avons déjà élu Poutine, et toute autre personne ne l’est évidemment pas) et passer à une mobilisation totale.

Les changements de personnel sont inévitables ; les retarder devient un processus suicidaire. Nous avons affaire à un ennemi complètement fou, extrêmement agressif et dément. Et il a l’Occident derrière lui. Il n’y a pas de remède à la rage.

Et bien sûr, nous devons encore et toujours nous tourner vers les causes.

Qui a préparé et réalisé l’effondrement de l’Union ?

Qui l’a applaudi et en a profité ?

Tous sont responsables de la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons déjà et qui, en fait, ne fait que commencer.

L’élite russe actuelle a été formée dans les années 90. Elle est composée de criminels historiques.

Le libéralisme est un crime contre la Russie. Poutine a commencé à changer cet état de fait, mais pendant 23 ans, y compris le SWO, 5 % des libéraux se sont échappés, 0,000001 % ont été punis ou expulsés de force, 15 % ont changé d’opinion pour devenir patriotes (sincèrement ou par nécessité, peu importe). Et le reste des complices (les libéraux) sont à leur place. Aujourd’hui, ils entravent de toutes leurs forces le processus de transition du pays vers l’armée, les réformes patriotiques et la renaissance de la civilisation.

Gorbachov et Eltsine, longtemps maudits par le peuple et l’histoire russe, ne le sont pas encore pour l’élite. La Perestroïka et les réformes des années 90, qui pour le peuple et l’histoire sont une trahison et une catastrophe, y compris pour toutes les figures du premier plan de l’époque, sont pour l’élite « l’âge d’or » et « le début de l’histoire de la réussite personnelle ». Nous sommes aujourd’hui en guerre acharnée contre 1991, contre Gorbatchev, contre Eltsine, contre cette Anti-Russie qui s’est d’abord renforcée en Russie même.

Sans cette Anti-Russie russe, il n’y aurait pas d’Anti-Russie en Ukraine et dans d’autres États post-soviétiques, pas d’Anti-Russie pop des Pougatchev et des Galkin, pas d’Anti-Russie des migrants scalpant les Moscovites.

Vous ne pouvez pas vaincre les conséquences sans éliminer les causes qui ont conduit à la catastrophe.

Autre chose : ce qui se passe en Russie n’est-il pas une « guerre civile latente » ?

D’un côté, le peuple et l’armée, qui, après la mobilisation, est presque la même chose. De l’autre côté, les tours libérales qui persistent à s’opposer à toute nouvelle avancée dans le sens du patriotisme.

Et seul Poutine empêche la situation de passer de la phase latente à la phase ouverte.

N’était-ce pas là le but de la mutinerie de Wagner ? Elle n’aurait pu être et n’a été éteinte que par Poutine, le fusible de la guerre civile. Il est légitime non seulement du point de vue du peuple, mais aussi du point de vue de la volonté du ciel, du point de vue de la Providence. Mais les élites encore libérales ne le sont pas. Elles ne sont légitimes d’aucun côté.

Le début de la NWO a été le moment de l’invasion parabolique du début supérieur de notre histoire, car le peuple russe a été créé à l’origine pour l’avenir – pour la bataille finale avec la civilisation de l’Antéchrist. Cette bataille commence maintenant.

Poutine, qui se tient au-dessus de la mêlée, ne peut pas sacrifier le peuple et le front.

Il ne veut pas sacrifier l’élite.

Théoriquement, une nouvelle élite peut être créée, et même rapidement, mais un nouveau peuple est impossible par définition, bien que les libéraux des années 90 y aient sérieusement pensé, en exterminant et en séduisant lentement les anciens.

Les guerres civiles ont leur propre logique inexorable. Une révolution par le haut peut empêcher une révolution par le bas. Et la révolution d’en haut peut être créative, tandis que la révolution d’en bas détruira tout. Mais les conditions préalables sont précisément créées par le sommet – sa politique aliénée de la société, compradore, exploiteuse, irresponsable et à courte vue.

La situation devient de plus en plus aiguë : soit une révolution par le haut, soit une guerre civile.

Agir avec fermeté ne signifie pas qu’il faille procéder immédiatement à une frappe nucléaire. Nous devrions essayer d’autres mesures qui n’ont pas encore été déployées, à savoir

  • l’élimination drastique des agents ennemis des postes clés de l’État,
  • un remaniement du personnel,
  • lancer une véritable mobilisation de la société,
  • cesser de dire que « nous avons été trompés », éliminer purement et simplement cet argument, car seuls ceux qui croient peuvent être trompés, mais c’est un crime de croire l’Occident,
  • d’abolir la paix dans le pays et
  • et de déclarer la guerre dans le pays.

Qu’est-ce que l’état d’urgence (Ernstfall) ? C’est la fin du temps de paix et de ses règlements et le début du temps de non paix. Pour tout le monde, et pas seulement pour les habitants des nouvelles régions ou de la région de Belgorod. En temps de paix, les règles d’urgence s’appliquent : un danger menace le pays, l’ensemble de la société, l’ensemble de l’État, et tous les moyens sont bons pour le repousser.

Et seulement si tout cela (et nous n’avons même pas encore commencé) ne suffit pas, alors nous devrions envisager la possibilité d’attaquer l’ennemi avec des armes nucléaires.

C’est ce que craint le régime de Kiev : que nous cessions de divaguer et que nous commencions à le combattre réellement avec des moyens conventionnels. Il tombera alors. C’est pourquoi l’Occident, par l’intermédiaire de ses agents – et qui sont les libéraux russes, sinon des agents occidentaux ? – et nous incite à passer immédiatement ( !) à un scénario extrême (ou plutôt, craignant les conséquences au dernier moment, à ne pas passer à l’action).

Ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place.

Traduction par Robert Steuckers




Opération Toussaint – Tim Ballard / Operation Underground Railroad

[Source : @JeanneTraduction ou @quantumleaptraduction]

💪 Tim Ballard a quitté son poste d’agent spécial du ministère américain de la sécurité intérieure pour fonder O.U.R. [Operation Underground Railroad]. Grâce à cette organisation, Tim et son équipe planifient des opérations d’infiltration pour sauver des enfants victimes de trafic sexuel dans le monde entier. À ce jour, ils ont sauvé des centaines d’enfants de conditions horribles, ce qu’il n’était pas en mesure de faire lorsqu’il était lié par des restrictions gouvernementales. Découvrez O.U.R. et sa mission de mettre fin à l’esclavage moderne en rejoignant Tim et son équipe de forces spéciales lors d’une mission secrète en Haïti, pour traduire en justice un réseau de trafiquants sexuels qui ont soudoyé les autorités pour échapper à la prison. L’opération Toussaint (2018).

[Note de Joseph : le film Sound of Freedom est basé en partie sur l’histoire de Tim Ballard, mais le reste est totalement fictif. Il semble y avoir un autre côté à la médaille ici aussi. Voir notamment :
Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?
Plus on creuse et plus le trou est profond, ténébreux et crasseux…
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et sa suite (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains qui apporte des éléments probants et forts troublants concernant un lien entre les réseaux pédophiles et ceux qui financent certains mouvements (ou des organisations) prétendument destinés à lutter contre ces mêmes réseaux et qui ont également financé le film Sound of Freedom. Cela relève alors du même mécanisme que pour la fameuse « opposition contrôlée » dans la complosphère.
On peut toujours objecter que l’important est de dénoncer la pédophilie pour qu’un maximum de personnes en prenne conscience. Cependant, si on ne s’attaque pas au fond du problème et aux plus hauts responsables, cela ne dérangera pas vraiment les réseaux pédophiles qui remontent jusqu’au sommet des diverses hiérarchies et ont une extension mondiale. Ne s’en prendre qu’à des pions ou à des fusibles ne représente qu’une égratignure sur la peau de la pieuvre alors que ses divers tentacules et son cerveau restent intacts.
Pour l’instant, dès que des dénonciateurs fournissent trop de preuves et de noms, ils sont systématiquement éliminés, comme le montre « Suicidés ».
N’oublions pas non plus que les élites sont passées maîtres dans l’art de manipuler les individus en jouant notamment sur les émotions. Et le film Sound of Freedom, au dire des spectateurs, remue fortement les trippes.]

🤝 Participants à ce projet :

Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Le Déclencheur : https://odysee.com/@Q…uestions:6
Elo Trad : https://odysee.com/@Elo:84
Quartz Traduction : https://odysee.com/@Quartz:1
L’Aile à Stick : https://odysee.com/@laileastick:4
Vivre Sainement : https://odysee.com/@Vivresainement:f
Anais Tea : https://odysee.com/@anaïstea:0
Akina : https://odysee.com/@AKINA:7
Merci à Karoline pour le doublage !






Le journaliste Serge Garde s’exprime sur la difficulté de dénoncer la pédophilie en France

[Voir aussi :
https://pedopolis.com/category/les-sources/qui-ose-parler/serge-garde/,
https://www.decitre.fr/livres/le-livre-de-la-honte-9782862749167.html
et
Serge Garde, réalisateur du documentaire « Outreau, l’autre vérité »]




PCB : Le monde de la science dure met en garde contre l’autodestruction

[Source : vkpatriarhat.org]

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Après la fin de la campagne mondiale de vaccination expérimentale contre le Covid-19, de nombreux scientifiques, plus de 26 équipes, ont été chargés d’évaluer ces vaccins. Ils ont découvert des métaux tels que le gadolinium, l’aluminium, le césium, le strontium et le tungstène dans le sang des personnes vaccinées. Le strontium est particulièrement cancérigène.

Le Dr Mihalcea, des États-Unis, a mis en évidence le lien entre le Covid-19 et la géo-ingénierie. Le chercheur Clifford Carnicom étudie depuis plus de 20 ans le phénomène appelé morgellons et son lien avec les fibres polymères pulvérisées par les avions commerciaux et militaires. Les experts ont récemment trouvé une correspondance chimique entre ces fibres qui ont été pulvérisées dans l’environnement et les nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins Covid. La raison pour laquelle ils pulvérisent ces substances sur nous consiste à créer une fusion entre la biologie synthétique et notre biologie afin de nous transformer en cyborgs transhumains.

[Voir aussi :
Le sang de l’Humanité est-il en cours de modification ?
Sur les chemtrails :
« Il s’agit d’une lente opération d’empoisonnement de la population »
L’arme du climat, une guerre invisible
La maîtrise de la météo – une guerre secrète
Documentaires pour les jours de pluie sur la géo-ingénierie et les chemtrails]

Le Dr David Nixon a découvert que les vaccinés contre le Covid émettent une adresse MAC, et il a trouvé dans leur sang des fibres que le laboratoire La Quinta Columna avait décrites comme étant de l’oxyde de graphène. L’ingénieur Matt Taylor en a récemment découvert dans l’eau de pluie ou dans la masse.

[Voir aussi :
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?
La nanotechnologie dans les vaccins
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »]

En 2020, il y a eu une conférence en Europe intitulée « Euro Science — Open Forum ». On y a mentionné que ces technologies transhumanistes peuvent également être appliquées aux insectes dans l’agriculture.

La science maléfique modifie notre ADN, nos protéines grâce à la technologie moderne. On peut dire que ce plan diabolique vise à faire de la terre un véritable enfer. Puis à exterminer l’humanité et à l’envoyer dans l’enfer éternel. Le Dr Mihalcea étudie les effets des vaccins et du coronavirus, dont on sait déjà qu’il a été produit de façon artificielle. Au cours de ses expériences, elle a constaté qu’il réduisait jusqu’à 47 % la connectivité électrique du sang. Elle a clairement indiqué que les gens sont délibérément privés de leur force vitale. Cela s’applique également aux cas après vaccination et à ce que l’on appelle le Covid long.

Le Dr Mihalcea explique que les personnes atteintes de ce « Covid long » présentent les symptômes suivants : fatigue chronique, problèmes de mémoire, alors qu’elles n’ont que 20 ans, symptômes proches de la démence avec difficultés à trouver les mots, brouillard cérébral, anxiété extrême et dépression, ce qui, nous le savons, raccourcit l’espérance de vie. Et puis, avec cette fatigue chronique, les gens ne peuvent même pas monter les escaliers sans se sentir essoufflés ou sans avoir des palpitations cardiaques, parce que le sang s’est agglutiné dans ce que l’on appelle les rouleaux. D’autres symptômes sont les crises cardiaques ou les caillots sanguins.

[NDLR les symptômes du « Covid long » sont les mêmes que certains des effets des ondes pulsées vécus par les personnes électrohypersensibles.
Voir :
Le cauchemar de l’intolérance aux champs électromagnétiques
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Témoignage d’une électrohypersensible
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
et les autres articles du dossier 5G et ondes pulsées]

Le Dr Peter Garyaev, de Russie, qui était candidat au prix Nobel en 2021, a déclaré qu’il était possible, grâce à la 5G, de replier et de déployer les gènes pathogènes du coronavirus et de le rendre plus virulent. Il est décédé deux semaines après l’avoir annoncé.

Les élitistes mondiaux qui jouent le rôle de Dieu essaient de changer l’ordre des choses, de nous modifier, principalement de changer notre façon de penser depuis le vrai vers le faux, depuis le moral vers l’immoral. Que recouvre le concept de pensée ou d’esprit ? Ce n’est pas seulement la raison ou la logique ; c’est un concept plus large. Notre esprit est influencé par l’éducation, les informations vraies ou fausses, l’expérience personnelle, la vie morale ou immorale, les diverses dépendances. Les personnes dépendantes ne sont pas libres ; elles n’acceptent pas la vérité objective. C’est pourquoi nous devons faire la distinction entre la vraie et la fausse pensée.

La pensée est inspirée par un esprit, soit l’esprit de vérité, soit l’esprit de mensonge. Les inspirations peuvent être vraies ou fausses. Un homme bon recherche la vérité objective et le bien ; un homme mauvais cherche à détourner une certaine vérité pour tromper les autres et promouvoir le mal. Derrière l’homme mauvais se cache l’esprit du mensonge et de mort : le diable. Il est donc important de savoir dans quoi vous êtes enraciné. Si vous êtes enraciné dans l’aura de votre ego, vous êtes donc enraciné dans l’esprit du mensonge et de l’auto-illusion. Cet esprit pénètre alors l’ensemble de votre pensée et a un effet suggestif sur votre environnement. A l’extérieur, un tel menteur professionnel se présente comme un ange de lumière (cf. 2Cor 11:14f).

Comme le dit le proverbe, « Dis-moi ce que tu lis, ou éventuellement ce que tu écoutes, et je te dirai qui tu es ». Les gens d’aujourd’hui passent le plus clair de leur temps à écouter les menteurs professionnels du courant dominant. Ils sont remplis de mensonges et de vanité et sont donc incapables d’accepter et d’aimer la vérité, et encore moins de se sacrifier pour elle. Ils adoptent ces mensonges comme étant les leurs et sont prêts non seulement à faire des sacrifices, mais même à perdre leur vie pour l’amour d’un mensonge. Le mensonge est devenu l’arme la plus puissante dans le processus d’autodestruction de l’humanité. Derrière le mensonge se cache l’esprit du mensonge : le diable.

Jésus a dit à ceux qui avaient l’esprit du mensonge :

« Vous êtes de votre père, le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il fut un meurtrier dès le commencement… il est menteur et père du mensonge » (Jn 8:44).

Nous devons savoir que tous les êtres humains sont entachés du péché originel — la source du mal, la semence du diable, qui est programmée afin de provoquer l’autodestruction progressive de l’homme, non seulement temporelle mais aussi éternelle.

Nous assistons à une déchristianisation systématique. Elle est perpétrée de la manière la plus efficace par des théologiens hérétiques et des prélats apostats dirigés par le pseudo-pape François. Ils introduisent l’idolâtrie et la reconnaissance légale des perversions sexuelles par le biais du soi-disant parcours synodal LGBTQ.

L’intronisation du démon Pachamama au Vatican et le rituel sacrificiel au Canada constituent un exemple d’idolâtrie. Ici, le pseudo-pape, ainsi que les prélats présents, se sont fait consacrer à Satan pendant qu’un sorcier soufflait dans un sifflet en forme d’os de dinde sauvage.

Un cas effrayant de mensonge diabolique est le geste du pseudo-pape Bergoglio, qui a fait vacciner tout le Vatican à deux reprises. Ce faisant, il a créé un précédent des plus pernicieux pour toute l’humanité. Bergoglio connaissait la vérité et pourtant, il s’est cyniquement opposé à cette vérité et a menti de manière suggestive à toute l’humanité. S’il avait mis en garde contre la vaccination expérimentale depuis sa position de pape, qu’il occupe illégalement, tout le système de cette vaccination mortellement dangereuse aurait fait faillite.

La vérité, fruit du christianisme, protège l’individu et la société contre l’invasion du mensonge et du mal. Le christianisme formait l’opinion publique sur une base juste et sur des principes moraux naturels. L’opinion publique était ainsi intégrée aux commandements de Dieu. Elle favorisait un profond respect de l’homme. En revanche, le néopaganisme rampant, fondé sur le mensonge, favorise l’injustice, le mal et l’immoralité.

La stratégie du diable consiste à stimuler le mal qui prend sa source dans le cœur de l’homme. C’est pourquoi il tente de supprimer les inhibitions, telles que la conscience, la raison, les lois morales et les vérités, qui nous rappellent la mort, le jugement et l’éternité. La réalité du péché, et donc aussi la mort rédemptrice du Christ sur la croix, est reniée. La repentance salvatrice n’est plus proclamée. En conséquence, le mal, la perversion, le mensonge et le satanisme sont libres de progresser.

Nous assistons à la montée d’une nouvelle opinion publique qui accepte toutes les dépravations et tous les crimes. Ce résultat est obtenu grâce aux médias grand public, ou usines à mensonges, qui conduisent délibérément le monde à une dépopulation suicidaire. Le Dr Fuellmich affirme que le public a été hypnotisé par la manipulation diabolique des médias. Le terrorisme médiatique a été déclenché. Un exemple de cela est l’apparition d’une psychose de masse lors d’une fausse pandémie.

À qui revient-il en premier lieu de lutter pour le rétablissement de la société et le salut de l’humanité ? C’est avant tout la tâche de ceux qui se disent chrétiens. Par la repentance, c’est-à-dire par un véritable changement de mentalité — la metanoia —, les évêques, les prêtres et les croyants tièdes doivent devenir des disciples et des témoins du Christ — des martyres. Cela ouvrira la porte à Dieu et à Sa puissance salvatrice. Cette réforme spirituelle ne peut commencer sans un lien avec la transcendance. Il s’agit essentiellement de la prière intérieure, de la connexion de notre esprit à Dieu, la Vérité. Aucun changement positif n’est possible sans ce fondement spirituel de la prière et du repentir ou, en d’autres termes, sans un changement de pensée depuis le faux vers le vrai. Le bonheur véritable et éternel nous est donné en Jésus seul, crucifié et ressuscité.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 25 juin 2023



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Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Nicole Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Gérard Delépine, J.-M. Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

[Voir aussi :
Günther Anders et L’Obsolescence de l’homme
Gunther Anders et le virus de la télévision
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, parents, élèves, unissez-vous !]




France — ALERTE : la loi visant à protéger les mineurs risque d’être abrogée le 21 juillet 2023

[Source : @WendigoFuriosa]

La loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste du 21 avril 2021 est remise en question par la saisine du Conseil Constitutionnel avec 3 avocats qui remettent en question deux articles en particulier. Ceux-ci remettent sur le devant de la scène le débat sur le consentement ce qui est très dangereux. Et tout cela se passe dans l’indifférence totale puisque personne n’est au courant ! Le Conseil Constitutionnel rendra sa décision le 21 juillet 2023.

Source : https://www.conseil-constitutionnel.fr/decisions/affaires-instances affaire 2023-1058 QPC

Pédoland a déjà un fort pouvoir en France, le simple fait d’avoir la possibilité de plaider le retour du viol légal sur les mineurs dans un silence médiatique assourdissant, c’est une preuve d’influence notoire. L’influence se mesure à la possibilité de crier sur tous les toits de certains, ou d’autres à étouffer. Pédoland écrase par moment les journalistes, et les policiers qui enquêtent sur la pédophilie, en Angleterre, en France et ailleurs. Pour plus d’infos, il y a les vidéos de Sofzilog et du lapin du futur.

Commentaire de @julienmartin4908




« Suicidés »

Documentaire sur l’important nombre de « Suicidés » qui enquêtaient sur ou luttaient contre les réseaux pédophiles.

[Source : @Vivresainement]

VO :

https://dauntlessdialogue.com/suicided/

[Voir aussi, en anglais :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains, l’article qui fait suite à
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et qui dénonce notamment les Clinton.]



Transcription de l’original anglais

Sources :




La CIA et le FBI à la tête de la censure. Google, Twitter, et les grands médias emploient tous des agents de la CIA

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

D’après un article de Brenda Baletti pour le Defender

Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plates-formes Internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public.

Les Américains sont conscients des efforts déployés par l’État sécuritaire pour contrôler les médias depuis les années 1970, lorsque la commission Church du Sénat a révélé l’opération Mockingbird de la CIA, a déclaré M. Greenwald aux auditeurs de son podcast, « System Update ».

Dans le cadre de ce programme, des agents de la CIA ont infiltré et influencé secrètement les plus grands organes de presse du pays.

La révélation du projet Mockingbird a fortement embarrassé les médias et le gouvernement, car il est interdit à la CIA de cibler le public américain, a expliqué M. Greenwald.

Au cours de la dernière décennie, une série de dénonciateurs ont révélé que l’État sécuritaire américain avait de nouveau intensifié ses activités secrètes de ciblage des citoyens américains, en particulier depuis le début de la guerre contre le terrorisme, après le 11 septembre.

Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignement espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses.

Selon Greenwald les choses ont changé. En fait, il est devenu courant que les principaux organes d’information embauchent ouvertement d’anciens agents des services de sécurité américains pour couvrir et commenter l’actualité.

Au cours des derniers mois, les dossiers Twitter et la dernière décision Missouri v. Biden ont clairement montré à quel point le régime de censure est devenu agressif.

Le gouvernement américain dicte en partie le contenu que les plates-formes de médias sociaux doivent autoriser sur leurs sites, a déclaré M. Greenwald. Mais il a ajouté : « Il y a un autre élément, une autre forme de censure » :

« Il y a un autre élément, une autre couche, qui est qu’ils ont infiltré ces grandes entreprises technologiques — ces anciens agents de la CIA l’ont fait — exactement comme ils ont infiltré les organes d’information des entreprises. Ils sont partout dans ces régimes de censure ».

Les postes de direction des entreprises technologiques sont désormais occupés par des personnes issues directement des agences de renseignement.

Par exemple, James Baker, dont les Twitter Files ont révélé qu’il était impliqué dans la plupart des décisions de censure avant la prise de contrôle de la plate-forme par Elon Musk, a travaillé en tant qu’avocat général pour le FBI avant de devenir avocat adjoint de Twitter.

« Le FBI a donc envoyé son meilleur avocat travailler dans la partie de Twitter qui censurait les contenus politiques », a déclaré M. Greenwald. « Vous comprenez ? C’est le FBI qui contrôle notre discours politique national et ses limites. »

MintPress News a dressé le profil d’un certain nombre d’anciens agents de la CIA qui gèrent et élaborent aujourd’hui des politiques de désinformation pour Facebook dans un article datant de juillet 2022 que M. Greenwald a partagé.

Selon l’article, le problème n’est pas que ces personnes soient incompétentes. « Le problème, c’est qu’avoir autant d’anciens employés de la CIA qui dirigent les plates-formes d’information et de nouvelles les plus importantes au monde n’est qu’un petit pas en avant par rapport à l’agence elle-même qui décide de ce que vous voyez et de ce que vous ne voyez pas en ligne — et tout cela sans pratiquement aucun contrôle public. »

En effet, cela permet aux agences de renseignement de conserver une influence significative sur les flux d’informations et de nouvelles, tout en maintenant « un certain vernis de dénégation plausible ».

Le gouvernement américain n’a pas besoin de dire aux plates-formes ce qu’elles doivent faire, car les personnes qui prennent les décisions ont d’abord gravi les échelons de l’État de sécurité nationale — « ce qui signifie que leurs perspectives correspondent à celles de Washington », a déclaré M. Greenwald, citant MintPress News.

Selon M. Greenwald, il s’agit là de la preuve d’un effort sur plusieurs fronts : d’une part, d’anciens agents de l’État de sécurité font de la propagande auprès du peuple américain dans les médias d’entreprise et, d’autre part, ils contrôlent ce qui peut être dit sur les plus grandes plates-formes de Big Tech.

Il en résulte, selon lui, que tout l’éventail des opinions dissidentes est « tout simplement interdit ».

Le complexe industriel de la censure

Le compte Twitter @NameRedacted247 suit le mouvement des agents de sécurité de l’État dans les sociétés de médias sociaux où ils travaillent sur la désinformation.

Le compte a fourni un fil de discussion, que l’équipe de Greenwald a confirmé, indiquant qu’en décembre 2022, Google employait au moins 165 personnes occupant des postes de haut niveau au sein de la communauté du renseignement.

Dans l’ensemble de l’entreprise, il y avait 27 anciens agents de la CIA, 52 anciens agents du FBI, 30 personnes issues de l’Agence nationale de sécurité (NSA), 50 du Département américain de la sécurité intérieure (DHS) et six du Directeur du renseignement national.

Facebook comptait au moins 115 anciens agents des services de sécurité à des postes élevés — 17 de la CIA, 37 du FBI, 23 de la NSA et 38 du DHS.

L’équipe « confiance et sécurité (trust and safety team) » de Google, qui gère les contenus autorisés sur la plate-forme, est dirigée par trois anciens agents de la CIA qui contrôlent la désinformation et les discours haineux.

L’un d’entre eux, Nick Rossman, a qualifié les « anti-vaxxers » sur Twitter de « nazis » et de « confédérés ».

Pensez-vous que ces personnes sont des arbitres objectifs de la désinformation ? Ou pensez-vous qu’ils utilisent leur pouvoir de censure au sein de Big Tech pour cela, idem pour les personnes infiltrées au sein des médias d’entreprise.

Greenwald a ainsi présenté une série de profils en ligne de personnes qui ont travaillé dans les services de renseignement pendant des années, voire des décennies, avant d’occuper récemment leurs nouvelles fonctions dans les grandes entreprises technologiques.

Matt Taibbi a lui aussi rapporté que les entreprises ont commencé à embaucher d’anciens agents de renseignements après l’élection de 2016, lorsque le FBI a créé son groupe de travail axé sur les médias sociaux, The Foreign Influence Task Force ou FITF.

Depuis lors, un énorme « complexe industriel de la censure » s’est développé, a déclaré Greenwald, qui comprend l’État américain, des fondations philanthropiques, des organisations de « vérification des faits », Big Tech, des universités, des groupes de réflexion, des organisations à but non lucratif et des entrepreneurs privés.

La marque du totalitarisme

Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire. « L’idée que ces agences sont néfastes est au cœur de la politique libérale de gauche », a-t-il déclaré. Mais tout cela a changé avec la présidence Trump :

« … en 2015, en 2016, l’État sécuritaire américain s’est aligné contre Donald Trump et s’est consacré au sabotage d’abord de la campagne Trump, puis de la présidence Trump ».

Il y a maintenant très peu de médias qui font des reportages critiques sur ces agences, car elles sont « au sommet de leur pouvoir, plus puissantes que jamais ».

C’est pourquoi elles sont intégrées aux plus grandes entreprises qui contrôlent l’information et la propagande aux États-Unis — les médias d’entreprise et les grandes entreprises technologiques.

Ils sont obsédés par la destruction des quelques avant-postes de médias indépendants, les quelques endroits qu’ils ne peuvent pas contrôler, parce que sans eux, ils ont vraiment un système d’information complètement fermé.

« Et un système d’information totalement fermé est la marque du totalitarisme. Si vous pouvez contrôler la façon dont les gens pensent et les empêcher d’entendre des opinions divergentes, vous pouvez contrôler toutes leurs actions parce que leurs actions sont basées sur ce que sont leurs pensées.

« Et si vous pouvez contrôler leurs pensées, vous n’avez même pas besoin de contrôler leurs actions. Et c’est le système qui est en train d’être créé ».




L’Allemagne se débarrasse des millions de vaxins qu’elle n’a pas pu fourguer

https://twitter.com/EricArchambaul7/status/1679976483291385858

L’Allemagne s’est débarrassée de 80 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 pour cause de faible demande

L’Allemagne a jeté des millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros.

120 millions de doses supplémentaires bientôt périmées, d’une valeur de 4 milliards d’euros, sont sur le point d’être éliminées d’ici la fin de l’année, car la Commission européenne continue de ne pas être en mesure ou de ne pas vouloir réviser de manière significative ses contrats d’achat de vaccins.

L’Allemagne a jeté 83 millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros, et est sur la bonne voie pour en jeter plus de cent millions de plus, a écrit Politico le mardi 11 juillet. Malgré la chute de la demande, le pays devrait recevoir encore plus de doses grâce à l’approvisionnement commun de l’UE.

(…)




France — Immobilier : VOUS ne POURREZ BIENTÔT PLUS être PROPRIÉTAIRE

[Source : PLACID]

Si vous pensiez investir dans l’immobilier en 2023, alors regardez attentivement cette vidéo ⚠️☝️. On y fait le point sur l’état du marché de l’immobilier et sur la fin des « petits » propriétaires. On vous explique aussi les raisons pour lesquelles investir dans l’immobilier en 2023 pourrait être votre plus GROSSE erreur…

[Voir aussi :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les Français dépossédés de leurs biens immobiliers ? Finie la propriété privée ?
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert]




Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin

[Source : Health Impact News]

Par Brian Shilhavy

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains.

La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News.

[Voir aussi :
Dossier adrénochrome
Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes
Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars
Les sacrifices humains de l’antiquité se poursuivent-ils aujourd’hui avec les mêmes rituels ?
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
La synagogue de Satan
et, du même auteur, l’article postérieur (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains ]

Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants.

Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique.

Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela.

Mais il ne l’a pas fait.

Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

Des copies de ce « message spécial » de Caviezel, d’une durée d’environ 2 minutes, sont disponibles sur l’Internet :



Il est vraiment regrettable que ce film soit présenté par les médias comme un film « chrétien conservateur de droite » (je ne pense pas que Caviezel ou Ballard le voient de cette façon), alors qu’il s’agit clairement d’une question non partisane qui touche tout le monde, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses.

Caviezel déclare que le film a été réalisé pendant 5 ans « avec tous les obstacles imaginables ».

De nombreux médias alternatifs en ont déduit que les « élites » avaient fait tout ce qu’elles pouvaient pour empêcher le message de ce film d’être diffusé.

Mais le fait qu’il ne s’agisse manifestement pas d’un film à petit budget et qu’il soit déjà un énorme succès au box-office semble contredire ce point de vue. Les droits du film appartenaient à l’origine à la Fox, puis ont été rachetés par Disney, et Disney aurait décidé de ne pas le sortir.

Les studios Angel ont alors négocié l’achat des droits du film, qui est aujourd’hui dans tous les grands cinémas.

Ce type de retard n’est pas si rare dans l’industrie cinématographique, et si les « élites » ne voulaient vraiment pas que ce film sorte, je peux vous assurer que Disney n’aurait en premier lieu probablement pas vendu les droits du film.

Le fait que ce film soit aujourd’hui dans toutes les grandes salles de cinéma des États-Unis montre clairement que l’industrie cinématographique ne censure pas ce film.

Ils ont clairement le pouvoir de le faire.

Il suffit de demander à Del Bigtree, Polly Tomney et au Dr Andrew Wakefield qui ont produit le film VAXXED en 2016 et ont vu le film être interdit dans tous les festivals du film et ne jamais être présenté dans les grandes salles de cinéma.

De même, un documentaire de 1994 intitulé « Conspiracy of Silence », qui décrivait le réseau pédophile opérant à Boys Town, au Nebraska, a été financé à l’origine par Discovery Channel, mais a été mis de côté et n’a jamais été diffusé à la télévision. Voir :

Si l’industrie voulait empêcher Sound of Freedom d’apparaître sur le grand écran, elle l’aurait certainement fait, mais je pense qu’elle autorise la diffusion de ce film parce qu’il ne cite pas de noms, qu’il ne lance pas de véritable appel à l’action pour mettre fin à tout cela, et que les médias corporatifs de gauche peuvent facilement le rejeter en le qualifiant de « théories de conspiration Qanon ».

Ma critique de « Sound of Freedom »

Comme je l’ai écrit plus haut, je recommande de regarder ce film.

Mais en tant que personne qui couvre cette question depuis une dizaine d’années, je tiens également à souligner certains des problèmes que pose ce film.

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’un documentaire, mais d’une dramatisation basée sur une « histoire vraie ». Quelques jours avant que le film ne sorte en salle, Tim Ballard a publié sur son site web une page indiquant quelles parties du film étaient vraies et lesquelles ne l’étaient pas.

Les spectateurs qui se pressent pour voir ce film savent-ils que des parties importantes du film sont fictives et n’ont jamais eu lieu ?

Cela soulève la question de savoir pourquoi l’histoire vraie n’était pas assez puissante en soi sans avoir à inventer des scènes qui n’ont jamais eu lieu.

Je soupçonne que la raison en est que les studios Fox ont commencé la production et ont estimé que c’était nécessaire, et qu’au moment où les studios Angel ont obtenu les droits, il était trop coûteux de recommencer.

Dans une scène qui m’a mis la puce à l’oreille, Caviezel se fait passer pour un médecin qui livre des vaccins « salvateurs » aux membres du cartel dans le but de sauver la petite fille qui faisait l’objet d’un trafic dans la jungle colombienne.

Les soldats du cartel fouillent son bateau et signalent qu’il ne transporte que des vaccins et que son voyage médical jusqu’à leur emplacement dans la jungle est probablement légitime.

Je ne crois pas qu’une telle chose puisse réellement se produire, car dans de nombreux autres endroits du monde, les forces rebelles antigouvernementales, telles que les talibans au Pakistan et en Afghanistan, ne font PAS confiance aux médecins et à leurs vaccins occidentaux, et empêchent en fait les Occidentaux d’injecter leurs enfants.

Tim Ballard cite cette scène comme étant fictive, mais il affirme également que son organisation s’est fait passer pour des médecins pour mener une mission en Haïti.

Tim s’est rendu seul dans la jungle colombienne pour sauver une petite fille. FAUX

Dans le film, Tim se fait passer pour un médecin et se rend dans la jungle, quelque part en Colombie, pour retrouver la sœur du petit garçon, peu après l’opération Triple Take.

Cela ne s’est pas produit.

Cependant, dans la vraie vie, Tim a conduit un groupe d’opérateurs de l’O.U.R., se faisant passer pour des médecins, dans une jungle à la frontière d’Haïti et de la République dominicaine, quelques années après l’opération Triple Take, à la recherche de Gardy.

Personne n’a été sauvé, mais l’opération a permis de faire avancer la recherche de Gardy, et les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin.
(Source.)

Des vaccins ont-ils été injectés à des enfants lors de leur opération en Haïti, où « les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin » ?

Par ailleurs, étant donné que Tim Ballard était à l’origine un agent d’une agence de renseignement du gouvernement américain, le mensonge semble être la norme et parfaitement acceptable, s’il permet d’atteindre l’objectif d’attraper des terroristes et des pédophiles.

Dans l’une des premières scènes, Tim Ballard se fait passer pour un pédophile (en mentant) afin de gagner la confiance d’un vrai pédophile pour l’arrêter.

Mais pour les personnes qui prétendent être des disciples de Jésus-Christ, le mensonge peut-il jamais être justifié ?

Jésus se présente comme « La Vérité » (Jean 14:6) et désigne les personnes qui prétendent le suivre, mais ne le suivent pas comme appartenant à leur père, le Diable, qui est « le Père du mensonge » (voir Jean chapitre 8).

Si vous êtes l’enfant ou l’épouse d’un homme qui ment pour gagner sa vie, pouvez-vous faire confiance à cette personne pour dire toujours la vérité lorsqu’elle ne remplit pas les fonctions de son travail, comme dans les agences de renseignement du gouvernement américain ?

La principale filière de trafic d’enfants est financée par le gouvernement américain

Le plus gros problème que j’ai avec le film « Sound of Freedom », c’est qu’il présente le trafic d’enfants comme un problème essentiellement international, sans exposer le fait que la plupart des enfants victimes de trafic aux États-Unis sont financés par notre propre gouvernement, principalement par le biais du système de protection de l’enfance, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Nous avons couvert cette question au cours de la dernière décennie, notamment en publiant des centaines d’histoires de familles qui se sont vu arracher leurs enfants par le gouvernement, qui a ensuite fait la traite des enfants par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Voici quelques-uns des articles que nous avons publiés précédemment et qui exposent ce réseau de trafic d’enfants opérant aux États-Unis :

En 2009, Bill Bowen a diffusé la bande-annonce d’un documentaire qu’il produisait et qui dénonçait la corruption des services de protection de l’enfance aux États-Unis.

Le film s’intitule Innocence Destroyed (L’innocence détruite). Bill Bowen est décédé de manière inattendue l’année suivante, en 2010, apparemment d’une crise cardiaque, avant d’avoir pu terminer le film.

Les séquences achevées se trouvent maintenant sur YouTube, dans trois vidéos différentes, mais nous les avons combinées et mises en ligne sur Bitchute.

AVERTISSEMENT :
La vidéo contient des images qui ne conviennent pas aux enfants !
Réservé aux adultes.



Voici quelques informations sur Bill Bowen, y compris des citations qui lui sont directement attribuées, que nous avons pu trouver sur Internet.

À propos de Bill Bowen

Bill Bowen est un ancien pompier et enquêteur fédéral. Il est également connu pour avoir dénoncé le service des pompiers de la ville de New York dans un livre intitulé Radio Silence F.D.N.Y. The Betrayal of New York’s Bravest (Silence Radio F.D.N.Y. La trahison des plus braves de New York), qu’il a coécrit avec le chef de bataillon John Joyce. Ce livre décrit comment 125 pompiers de la ville de New York et de nombreux civils ont perdu la vie le 11 septembre à cause de problèmes liés à leurs radios bidirectionnelles.

Bien qu’il ait beaucoup de pain sur la planche, sa priorité absolue est de terminer Innocence Destroyed et d’aider les gens à engager des recours collectifs contre les agences des services de protection de l’enfance dans les cinquante États. (Source : Daniel Weaver — Albany CPS and Family Court Examiner, 10 septembre 2010.)

Plus d’informations :

Le cinéaste documentait les abus des services de protection de l’enfance et les enfants assassinés sous la garde de l’État avant sa mort

J’apprécie le fait que Jim Caviezel expose dans des interviews une grande partie de ce trafic sexuel d’enfants financé par le gouvernement, car ce sujet n’est PAS abordé dans le film Sound of Freedom. Il affirme que les agences de l’alphabet, telles que la CIA, financent une grande partie de ce trafic.

Mais ces informations sont accessibles au public depuis des décennies, notamment grâce aux présentations publiques de l’ancien directeur du FBI, Ted Gunderson, avant sa mort en 2011.

Ted Gunderson est né à Colorado Springs. Il est diplômé de l’université du Nebraska en 1950. Il a rejoint le Federal Bureau of Investigation (FBI) en décembre 1951, sous la direction de J. Edgar Hoover.

Il a travaillé dans les bureaux de Mobile, Knoxville, New York et Albuquerque. Il a occupé le poste d’agent spécial adjoint à New Haven et à Philadelphie. En 1973, il est devenu chef du FBI de Memphis, puis du FBI de Dallas en 1975. Ted Gunderson a été nommé à la tête du FBI de Los Angeles en 1977. En 1979, il fait partie des quelques candidats interviewés pour le poste de directeur du FBI, qui est finalement attribué à William H. Webster.

Après avoir pris sa retraite du FBI, Gunderson a créé une société d’enquêtes privées, Ted L. Gunderson and Associates, à Santa Monica. Lors d’une conférence donnée en 1995 à Dallas, Gunderson a mis en garde contre la prolifération de groupes sataniques secrets et le danger que représente le Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement de l’ombre qui contrôle le gouvernement américain.

Il a également affirmé qu’une « vente aux enchères d’esclaves » au cours de laquelle des enfants étaient vendus à des hommes portant des turbans avait eu lieu à Las Vegas, que quatre mille sacrifices humains rituels étaient pratiqués chaque année à New York et que l’attentat à la bombe perpétré en 1995 contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City avait été perpétré par le gouvernement américain.

Gunderson a découvert qu’il existe aux États-Unis un vaste réseau secret de groupes qui enlèvent des enfants et des nourrissons et les soumettent à des abus rituels sataniques suivis de sacrifices humains.

L’un de ces groupes s’appelle The Finders et, selon Gunderson, il est dirigé par la CIA.

M. Gunderson a parcouru le pays pour donner des conférences sur son travail, notamment sur les cas qui l’ont amené à découvrir les groupes cachés impliqués dans l’occultisme satanique, y compris les abus sexuels sur les enfants et les sacrifices d’enfants. Sa conférence générale durait environ 4 heures, mais il existe une conférence encore disponible aujourd’hui où il l’a condensée en un peu plus d’une heure.

À la fin de cette conférence, Gunderson demande à une femme nommée Linda Weigand de venir témoigner. Lorsqu’il l’a présentée, Gunderson a dit :

C’est l’un des exemples de corruption les plus classiques que j’aie jamais vus. Et croyez-moi, vous pouvez dire, d’après mon exposé, que j’ai vu des exemples de corruption assez terribles.

Comme son témoignage se trouve à la fin de sa conférence, nous l’avons extrait dans une vidéo séparée afin que vous puissiez choisir de le regarder en premier, si vous voulez avoir un avant-goût de ce dont il s’agit.

Mais je dois vous avertir que cette vidéo est très GRAPHIQUE et très maléfique. Elle vous perturbera.



Voici l’intégralité de la conférence de Ted Gunderson :

Une grande partie du travail de Gunderson reste en ligne ici (pour l’instant). Il serait judicieux de copier ses documents avant qu’ils ne disparaissent.

Voir aussi :

L’histoire de Jennifer Guskin, que nous venons de publier, est l’une des plus horribles qui soient sur la façon dont le système de placement familial a été utilisé pour faire du trafic sexuel d’enfants au profit des riches et des puissants de la région de Washington.

Nombre d’entre vous ne devraient probablement pas regarder cette vidéo, car elle pourrait vous causer un grave traumatisme émotionnel. Si vous avez regardé le documentaire publié par le producteur polonais Patryk Vega, intitulé « Eyes of the Devil », et que vous avez pu le supporter, sachez que l’histoire de Jennifer est bien pire.

AVERTISSEMENT : CONTENU GRAPHIQUE SUR DES SUJETS TELS QUE LE CANNIBALISME, LES RELATIONS SEXUELLES AVEC DES ENFANTS, LA TORTURE, LE MEURTRE, ETC. NE CONVIENT PAS AUX ENFANTS — DISCRÉTION CONSEILLÉE !

C’est sur notre chaîne Bitchute.



Regarder un film de fiction ne résoudra pas ce problème – Que peut-on faire pour aider les parents et les enfants ?

Le problème du trafic sexuel d’enfants aux États-Unis est si répandu que si l’on ne s’attaque pas au principal moyen de financement de ce système diabolique, à savoir le gouvernement américain et le système de protection de l’enfance, il n’y a guère d’espoir de changer quoi que ce soit.

Et non seulement l’organisation de Tim Ballard, Operation Underground Railroad, ne dénonce pas le trafic sexuel d’enfants dans le cadre du système national de protection de l’enfance financé par le gouvernement, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption, mais elle soutient en fait cette filière n° 1 pour le trafic sexuel d’enfants.

Lettre de Katherine Ballard, fondatrice de Children Need Families

Lorsque mon mari Tim et moi-même avons adopté nos deux enfants d’Haïti, nous avons fait l’expérience directe de tous les formulaires, des autorisations gouvernementales, des frais juridiques, du temps et de la patience qu’il a fallu pour les ramener enfin à la maison.

Ce fut un voyage long, frustrant, déroutant et coûteux. Je voulais que mes enfants soient en sécurité chez moi, mais notre famille ne pouvait rien faire d’autre que de suivre la procédure, de prier et d’attendre. Nous avons eu la chance d’avoir une famille et des amis généreux qui nous ont aidés financièrement et nous ont apporté un soutien général.

C’est à la suite de cette expérience que le projet Children Need Families (Les enfants ont besoin d’une famille) a vu le jour. J’ai senti que quelque chose devait et pouvait être fait pour aider d’autres familles à traverser le long et difficile processus d’adoption (jusqu’à trois ans dans de nombreux cas, comme le nôtre).(Article complet.)

Voir aussi :

Comment l’Église chrétienne et le gouvernement américain collaborent pour faire le trafic des enfants dans le monde entier par le biais du commerce lucratif de l’adoption

Pour être juste envers les Ballard, je crois qu’ils essaient d’abord de réunir ces enfants dans des endroits comme Haïti avec leurs familles biologiques, mais ce système ne pourra pas être réformé tant que les groupes et les organisations qui dénoncent le trafic sexuel d’enfants ne cesseront pas de travailler avec le gouvernement américain, qui est la principale source de financement du trafic d’enfants.

L’Arizona est l’un des endroits des États-Unis qui est clairement une plaque tournante de la traite sexuelle des enfants.

L’Arizona a toujours retiré les enfants à leurs parents par le biais du système de protection de l’enfance à un taux plus élevé que tous les autres États, et c’est aussi un endroit où de nombreux enfants sont amenés aux États-Unis pour le trafic sexuel à travers la frontière avec le Mexique.

Nous avons lancé MedicalKidnap.com en 2014 pour documenter la façon dont les enfants étaient victimes de la traite dans le cadre du système de protection de l’enfance, et l’Arizona est, de loin, l’État où nous avons réalisé le plus grand nombre d’articles sur la traite des enfants.

La situation est si grave en Arizona que nous avons acheté du temps d’antenne sur une station de radio locale basée à Phoenix et produit une série d’émissions en 2019 exposant le problème de la traite des enfants en Arizona en transmettant notre message directement à la population.

Avec la récente révélation du trafic sexuel d’enfants par le film Sound of Freedom, j’ai vu un clip d’une résidente de l’Arizona, Cindy McCain, épouse de l’ancien sénateur John McCain, qui avouait que tout le monde connaissait Jeffrey Epstein et son réseau de pédophiles.

Pendant des années, Cindy McCain a fait partie du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains, tout comme le gouverneur de l’époque, Doug Ducey.

Nous nous sommes donc intéressés au Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains de Cindy McCain dans l’une de nos émissions diffusées sur KFNX Talk Radio 1100, en interviewant Lori Ford, responsable de l’AZ DCS Oversight Group, un groupe de bénévoles qui assistent aux réunions concernant les questions relatives au Département des services à l’enfance de l’Arizona.

Le groupe compte également des « observateurs » qui assistent aux audiences du tribunal des dépendances en tant que défenseurs des parents et qui observent la façon dont ces parents sont traités au tribunal des dépendances.

Lori a déclaré que le groupe ne voulait PAS devenir une société à but non lucratif 501 c3, car il ne voulait pas tomber sous la « coupe du gouvernement ».

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les membres du groupe fournissaient gratuitement leurs services aux familles et à d’autres personnes, elle a répondu :

La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est que c’est très important. Il s’agit de l’avenir de notre pays, de l’avenir de notre nation. Et la famille représente tout pour nous tous.

C’est pourquoi nous le faisons. Nous constatons que de nombreux droits sont violés dans ce système de tribunaux de la dépendance.

Nous avons interviewé Lori juste après qu’elle et son groupe aient assisté à l’une des réunions du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains.

Lori s’est adressée au Conseil au cours de la section des commentaires publics, soulignant que si le Conseil avait dénoncé des sites Web qui pratiquaient la traite des enfants, tels que BackPage.com, qui a été fermé par le FBI en 2018, le Conseil n’avait pas abordé un autre site Web en Arizona qui pratiquait la traite des enfants, le site Web DCS .gov : « Children’s Heart Gallery ».

Ce site Web financé par les contribuables est destiné à recruter des parents adoptifs, mais il expose ces enfants à des prédateurs en publiant des photos et des descriptions d’enfants vivant actuellement dans des familles d’accueil.

Il n’y a aucune précaution à prendre pour accéder à ce site Web. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire, il est simplement ouvert au monde.

Lorsqu’on lui a demandé si les enfants figurant sur le site Internet du DCS provenaient de parents qui avaient volontairement donné leurs enfants à l’adoption, Lori a répondu :

Les enfants qui figurent sur cette galerie du cœur, qui fait partie du site Web du DCS, sont des enfants qui sont sous la garde du DCS. Ce sont des enfants placés en famille d’accueil ou en foyer.

Il s’agit d’un site d’adoption forcée, d’un site de relogement forcé si vous voulez, d’enfants qui sont sous la garde du DCS.

Ils vendent des enfants en ligne.

Pourtant, si un parent qui se bat contre le système pour récupérer ses enfants met en ligne des photos de ses enfants placés en famille d’accueil, les juges du tribunal des dépendances de l’Arizona lui ordonnent systématiquement de retirer ses photos, et ont même menacé MedicalKidnap.com de mettre en ligne des photos que les parents ont fournies de leurs propres enfants, faisant ainsi pression sur les parents pour que Health Impact News retire leurs histoires et leurs photos (ce que nous n’avons JAMAIS fait).

Lorsqu’on lui a demandé ce que le Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains avait réellement accompli, Lori a répondu :

Je ne sais pas ce qu’ils ont accompli, pour vous dire la vérité…. C’est un Conseil où des intervenants parlent de la traite des êtres humains… ils parlent de la traite des êtres humains.

D’après ce que j’ai vu de ce Conseil, je ne crois pas qu’il fasse quoi que ce soit pour empêcher la traite des êtres humains.

Écouter l’intégralité de l’entretien avec Lori Ford :

Lori et son groupe, l’AZ DCS Oversight Group, sont un exemple de ce qui peut être fait au niveau local pour dénoncer le trafic d’enfants par le biais du système de protection de l’enfance, en travaillant avec des parents dont les enfants ont été kidnappés par l’État, et en allant au tribunal avec eux en tant que « surveillants de tribunal » pour faire savoir aux criminels que les gens de leur communauté les surveillent et dénoncent leur trafic d’enfants sous le couvert de la loi.

Vous pouvez la trouver sur Twitter et Facebook sous le nom de « AZ DCS Warriors ».

Ce que ce groupe fait depuis de nombreuses années pour dénoncer le trafic d’enfants et aider les parents et les enfants devrait être un modèle pour TOUS les États des États-Unis.

Nous contactons Lori pour voir si nous pouvons l’aider à créer un site Web et à collecter des fonds pour aider d’autres personnes à travers les États-Unis à créer des groupes similaires dans d’autres États.

C’est ce type d’activisme, avec des « bottes sur le terrain », qui est nécessaire pour vraiment faire la différence dans le domaine de la traite sexuelle des enfants.

La frontière entre l’Arizona et le Mexique est un autre endroit où des bénévoles aident les victimes de la traite des enfants. J’ai récemment publié un rapport sur la façon dont les habitants de l’Arizona aident les enfants qui traversent la frontière. Voir :

En effet, ces bénévoles trouvent souvent des enfants seuls, abandonnés juste après avoir franchi la frontière dans le désert brûlant de l’Arizona, où ils risquent souvent de mourir de soif ou d’être ramassés par les cartels avant que les services de contrôle des frontières ne les trouvent et ne les traitent.

Certaines de ces personnes font cela à la frontière depuis des années.

Ainsi, bien que le film Sound of Freedom expose une partie de ce trafic d’enfants, le film lui-même ne présente aucune nouvelle information qui n’ait pas déjà été exposée par d’autres depuis de nombreuses années, et le simple fait de regarder un film dans un cinéma ne changera probablement pas grand-chose à ce trafic d’enfants financé et géré par le gouvernement.

Si vous voulez protéger les enfants de votre communauté contre la traite, vous devez vous solidariser avec les parents dont les enfants ont été enlevés par l’État, et la grande majorité d’entre eux sont des familles vivant dans la pauvreté qui aiment leurs enfants et feraient n’importe quoi pour les garder si les gens les aidaient.

C’est certainement vrai dans d’autres pays également, mais le secteur lucratif de l’adoption et du placement familial est tout simplement trop prospère et trop puissant pour permettre que cela se produise, car le gouvernement dépense d’énormes ressources financières pour que des parents sans enfants, y compris des pédophiles, accueillent et adoptent les enfants d’autres personnes, plutôt que de dépenser ces ressources pour que les enfants restent dans leur famille biologique.

Cet article a été écrit par un être humain, sans l’aide de l’IA



Réchauffement : de gré ou de force, les médias veulent du 50 degrés

Changer la couleur des cartes fait monter la température !

Par Gérard Le Maître

La blague du réchauffement prend de l’ampleur en été. C’est normal, chez nous, en France, l’été est chaud. C’est une tradition nationale, surtout dans le sud, là où les gens sont handicapés par un accent, sûrement un effet de la chaleur. D’ailleurs, les sudistes sont souvent exagérateurs, encore un effet de la chaleur.(([1] https://fr.sott.net/article/42381-Rechauffement-de-gre-ou-de-force-les-medias-veulent-du-50-degres))

40° en Andalousie, en Grèce etc. ?? mais c’est tous les étés comme ça !!!

50° dans La Vallée de la mort en Californie ? Ha bon ?!!

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…

La vallée de la Mort (Death Valley) est une vallée du désert des Mojaves située en Californie et incluse dans le parc national de la vallée de la Mort. Il s’agit d’un rift endoréique de forme allongée et orienté nord-sud. Son point le plus bas, Badwater, est, avec −85,5 mètres sous le niveau de la mer, le point le plus bas des États-Unis.

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_la_Mort))

Et si on arrêtait de croire à toutes ces « couineries » ?

Ce sont 3 lauréats du Nobel de physique qui expliquent :

Le climat a toujours changé sans demander la permission à qui ce soit, on ne le contrôle pas. C’est devenu une nouvelle religion. Ce qui devrait nous inquiéter, c’est la propagande unilatérale basée sur une science erronée. Le CO2 est essentiel.

La vérité de ce matraquage médiatique mondial ?

C’est Kamala Harris qui a lâché le morceau : nous sommes trop nombreux sur terre alors

Kamala Harris, vice-présidente US, vient de dire que « réduire la population » est un objectif du mouvement contre le changement climatique.

Ils ne le cachent plus. VOUS êtes le carbone qu’ils veulent éliminer ! Le vrai mal

Elle devrait dire quel est le plan pour réduire la population.

En quelques mots : Rendre les enfants infertiles via la vaccination et libérer des virus afin de tuer un maximum de gens.

C’est ce que ces démocrates et socialistes font partout dans le monde.

Des dizaines d’autres scientifiques dénoncent cette supercherie, dénoncent l’imposture du GIEC qui n’est qu’un ramassis de non-scientifiques, mais politiques payés par les mondialistes pour tromper le monde entier et servent d’alibi aux gouvernements, mais ils ne passent pas sur BFManip’ évidemment…

Informez-vous ! Sortez la tête du sable !

Et surtout ÉTEIGNEZ LA TV!




Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]




Le 14 juillet 2023, fête de la soumission ou du courage contre l’effondrement organisé et annoncé ?

[Illustration : La Patrouille de France ouvre le défilé du 14 Juillet le vendredi 14 juillet 2023. – AFP]

Par le Général (2 s) Antoine MARTINEZ

Après la crise des gilets jaunes (jamais résolue, car une autre crise, celle provoquée par le Covid prenait le relais), après la crise sanitaire gérée par la peur, la contrainte et le cynisme consistant à dresser les Français les uns contre les autres et à supprimer des libertés (certains devront rendre des comptes devant la justice), après la crise internationale avec le conflit Ukraine-Russie utilisé pour se faire réélire en jouant sur la peur, après la réforme des retraites passée en force, le président de la République tente de reprendre l’initiative après une semaine d’émeutes ethniques qui ont ébranlé le pays.

Pour cela, il faut d’abord, selon ses propres déclarations, comprendre ce qu’il s’est passé avant d’en tirer les conclusions. Chacun remarquera qu’il s’engage, en fait, dans une démarche dilatoire pour évacuer un sujet qu’il refuse de traiter, car il ne peut pas ignorer les causes profondes de ce désastre annoncé depuis longtemps. Doit-on rappeler l’avertissement de son premier ministre de l’Intérieur au moment de son départ en 2018 (« On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses ») ? Doit-on rappeler l’appel lancé contre la signature du pacte de Marrakech en 2018 ? Doit-on rappeler l’alarme lancée dans la tribune dite des généraux en 2021 (« il n’est plus temps de tergiverser sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ») ? Doit-on rappeler qu’après au moins quatre décennies d’immigration massive et incontrôlée, aux conséquences néfastes et aggravées par l’invasion promise par l’État islamique en décembre 2014 et déclenchée à l’été 2015 (et qui se poursuit), le pouvoir politique, non seulement ne réagit pas, mais refuse de stopper ce processus mortel pour les Français. Pourtant le message délivré par les islamistes est clair. Comment persister à rester dans le déni après Charlie Hebdo, l’Hyper casher, le Bataclan, Nice, le père Hamel, Samuel Paty et tous ceux frappés d’une mort violente au couteau, sans oublier les policiers et gendarmes tués ou blessés en service ? Comment persister à rester dans le déni lorsque nos compatriotes subissent chaque jour une bonne centaine d’agressions au couteau provoquant des morts et des blessés relégués par des médias serviles au rang de simples faits divers ? Si l’État exclut de stopper le flux de cette immigration incompatible avec nos valeurs, on doit comprendre qu’il choisit délibérément de l’accompagner et donc qu’il trahit la nation. L’État trahit la nation en soumettant sa souveraineté à l’UE. Les Français doivent en prendre conscience. Mais ne nous y trompons pas. La mort malheureuse du jeune voyou issu de cette immigration n’a été qu’un prétexte pour déclencher une guérilla urbaine à grande échelle, organisée, coordonnée et impliquant des dizaines de milliers d’individus ! Il s’agissait d’un test grandeur nature très réussi si on veut bien considérer, au-delà du nombre d’émeutiers et de communes concernées, la nature et le degré des violences exercées. Il est cependant à craindre que la prochaine fois — car il y aura une prochaine fois (2005 n’a pas servi de leçon) — lorsque le signal sera donné, ces individus biberonnés et éduqués dans la haine de la France, à présent certains de leur puissance de nuisance et de leur impunité, s’en prennent non seulement aux biens publics, mais également aux biens privés et aux personnes. Ajoutons que pour l’instant, à l’exception de quelques cas isolés, les armes de guerre dont disposent ces bandes n’ont pas été sorties. Mais ces armes existent et circulent. Cette menace est à prendre avec le plus grand sérieux.

N’est-il pas sidérant de constater que ce président refuse, dans sa vision de l’exercice très personnel du pouvoir, d’admettre l’évidence des drames qui s’annoncent pour la France et les Français depuis longtemps ? Qu’en est-il dans ces conditions du bien commun et de l’intérêt de l’État et de la nation, alors qu’il exerce les plus hautes responsabilités depuis plus de onze ans ?

Un peuple, une nation ont un esprit, une âme forgés par des siècles d’histoire qui ont façonné des mœurs, un mode de vie, une vision de l’homme et de la vie modelée pour nous, Français, par la culture gréco-romaine et la religion chrétienne. Une nation est une communauté de destins forgée dans la durée, une culture et une souveraineté établies sur un territoire, un héritage reçu de nos pères que nous devons plébisciter chaque jour pour le perpétuer. Et cette âme possède un caractère sacré, mais l’âme de la France est aujourd’hui outragée, profanée, blessée par l’installation continue sur notre territoire — favorisée par certains — de populations maintenues dans la misère, l’obscurantisme et la violence par leur culture incompatible avec la nôtre. La vérité c’est que nos dirigeants œuvrent contre les intérêts de la nation. Comment l’expliquer autrement puisqu’ils refusent de s’opposer à cette submersion migratoire incontrôlée et contestent au peuple français sa légitimité à s’exprimer sur le sujet ? Plus d’une personne sur cinq et d’une naissance sur trois sont aujourd’hui d’origine extra-européenne sur notre territoire. La démographie est une arme redoutable et si nos dirigeants politiques persistent à ne pas vouloir prendre des mesures fermes pour modifier le cours des choses, l’affrontement est à terme inévitable. Car le divorce est définitivement consommé entre, d’une part le peuple français de cœur et de tradition incluant nos compatriotes d’origine ou de naissance étrangères ayant choisi la France, soucieux de l’unité de la nation et de son droit à la continuité historique, et d’autre part celui de papiers, car son drapeau n’est pas le drapeau français, renforcé par les étrangers de même culture, embrigadés dans un processus de communautarisme, de séparatisme et de conquête.

La première des fonctions régaliennes n’est-elle pas de protéger et de défendre le peuple face à toute menace, de maintenir son unité et de rechercher son bien-être ? Comment comprendre alors que le pouvoir n’œuvre pas dans ce sens et n’incarne pas le pouvoir et les intérêts de la nation ? À force de tenter depuis quarante ans de régler les problèmes en traitant les symptômes et non les causes, nos gouvernants croient acheter la paix civile ou l’apaisement au prix du déshonneur. En réalité, ils récolteront, pour le plus grand malheur de la France, et le déshonneur et la guerre, non pas civile, mais ethnoculturelle. La bataille qui s’engage est bien civilisationnelle, identitaire et culturelle. Car ces hordes haineuses ne se considèrent pas membres de la communauté nationale. Leur drapeau n’est pas le drapeau français. Elles sont, par ailleurs, instrumentalisées et utilisées comme levier d’influence et de pression sur la politique de la France par des États hostiles. Ce n’est pas tolérable. La lâcheté, le manque de clairvoyance, la trahison de nos dirigeants successifs depuis 1981 conduisent la France à sa perte. Nous sommes aujourd’hui à la croisée des chemins et notre pays s’enfonce dans la chienlit et le chaos, et nos dirigeants, installés dans un déni total de la situation réelle, guidés par leur logique technocratique et soumis à l’idéologie mondialiste et progressiste de la Davocratie, réalisent soudain qu’ils ne maîtrisent plus rien et ne savent plus, en réalité, quoi faire. Cela est plus qu’inquiétant, car leur impuissance pourrait les pousser vers une fuite en avant en réagissant par des mesures liberticides pour étouffer toute résistance. Car l’accalmie précaire n’est pas due au rétablissement de l’ordre par la République, mais par les dealers qui, empêchés dans leur commerce pendant ces émeutes, ont sifflé la fin de la récréation ! La France brûle, mais l’image d’un président assistant au même moment à un concert avant de décider le lendemain d’annuler tous les événements et concerts programmés, d’afficher joyeusement sa présence en bras de chemise sur le Tour de France cycliste ou de s’étonner de la tragédie qui se joue en déclarant avec une certaine impudence : « Qui avait prévu ce qui allait se passer ? » restera une image indécente, consternante, effrayante et dévastatrice pour le pouvoir politique qui perd toute crédibilité, voire légitimité. Cela est d’autant plus dramatique que, dans cette tragédie, le président de la République, garant de nos institutions, abolit de fait la séparation des pouvoirs puisque les termes formulés pour qualifier la mort du jeune voyou, « inexplicable et inexcusable », scellent délibérément le sort du policier avant même l’ouverture de l’enquête. La pression ainsi exercée sur les magistrats est insupportable. Par ailleurs, ces émeutes se sont produites dès après son retour de Marseille, séjour pendant lequel il n’a cessé de s’attribuer des satisfecit pour la politique menée notamment sur le plan de la sécurité (23 morts à Marseille en cinq mois !). Quel démenti cinglant qui signe l’échec total et définitif des fameux cent jours censés ramener l’apaisement et qui se terminent, en réalité, non seulement en véritable fiasco, mais en calvaire pour les Français !

L’heure est donc grave. L’Histoire est tragique et le destin d’une nation et d’un peuple ne peut pas s’affranchir à certains moments critiques de démolitions, de renversements ordonnés suivis de reconstructions et d’embellissements. Nous sommes dans ce moment critique aujourd’hui pour notre France fracturée, défigurée et martyrisée à l’image de Notre-Dame de Paris, à cette croisée des chemins où le choix de la voie à prendre est capital et exige de ne pas reculer, car c’est de la survie même de notre nation, de notre civilisation qu’il s’agit.

Alors, si des élus de la République peuvent participer impunément à des manifestations interdites avec ceux qui menacent la nation et que des patriotes, respectueux de la loi, se voient, eux, interdire illégalement leur rassemblement comme le 13 mai dernier (cf. décision d’interdiction invalidée par le tribunal administratif), c’est que nos dirigeants manquent de clairvoyance, de courage et se soumettent à « la loi du plus fort » appliquant le principe destructeur « faible avec les forts, fort avec les faibles ». Et l’intention de nos gouvernants d’étouffer toute velléité de résistance des Français en jouant, une fois de plus, sur la peur et la pression est tellement évidente qu’elle est contre-productive, car elle révèle l’effroi d’un pouvoir qui ne maîtrise pas la situation.

Deux actions doivent donc être menées dorénavant par les patriotes, de droite et de gauche, attachés à leur héritage historique, spirituel et culturel, car chacun sait que le pluriculturalisme/multiculturalisme est une imposture sanglante. Le peuple français, comme tous les peuples, a le droit à la différence. Il a le droit légitime d’être différent des autres peuples et de vouloir rester un peuple européen. Personne ne conteste la présence de minorités qui doivent, au besoin, être protégées, mais qui doivent rester des minorités. Si le président de la République est élu au suffrage universel, il ne l’est pas pour favoriser un changement de peuple. Ce n’est pas l’intérêt de la nation. Et œuvrer contre l’intérêt de la nation constitue un manquement grave aux devoirs de tout dirigeant politique, comme de tout serviteur de l’État. Et si le peuple en souffrance, parce qu’ignoré perpétuellement dans ses aspirations en tant que nation, décidait de manifester son opposition à la politique migratoire insensée menée par nos dirigeants, qui pourrait contester sa légitimité ?

La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.

(article 3 de la Constitution)

Ces deux actions doivent s’inscrire dans la constitution d’une union sacrée, la première concernant les citoyens français, la seconde impliquant tous les partis politiques patriotes.

S’agissant des citoyens français, il faut organiser le rassemblement des patriotes, civils et militaires/policiers/gendarmes ayant quitté l’activité qui n’ont qu’un seul drapeau dans leur cœur, qu’un seul drapeau comme étendard, le drapeau français, qui ont pris conscience de l’urgence du combat noble et légitime à mener pour sauver la France en danger, préserver la terre charnelle défendue et transmise par nos pères, un héritage inestimable à confier à nos descendants pour le perpétuer. Et notre jeunesse — non wokisée — qui représente en grande partie l’avenir de la France, et donc notre espérance, doit être impliquée dans cette démarche. La tâche est ardue, mais elle est réalisable. De nombreuses associations ou organisations patriotiques, voire d’anciens combattants, existent et agissent, mais individuellement dépensant jusqu’ici leur énergie en vain. Il faut donc essayer de les rassembler en une confédération puissante en mesure d’agir plus efficacement collectivement. Cela permettrait d’établir des objectifs et d’arrêter des priorités dans les actions à mener. Parmi celles-ci, il faut, pour être en mesure de peser et d’influer, se donner les capacités d’organiser une manifestation puissante pour défendre notre identité, l’âme de la France, et s’opposer à la politique migratoire suicidaire du gouvernement. Dans cette perspective, une réflexion doit être menée sur le choix d’une date au symbole fort du point de vue patriotique. Plusieurs associations/organisations patriotiques disposent d’un maillage territorial qui pourrait être développé et consolidé par cette confédération au niveau régional, départemental pour faciliter la mise en place, par secteurs, de cellules ou comités réactifs, chargés de suivre la situation, d’alerter en cas de besoin et d’informer les familles. La notoriété acquise par Place d’armes permet de penser que cette organisation est potentiellement capable de faciliter le regroupement de toutes les associations patriotiques en une confédération. Une première étape doit conduire rapidement les responsables de ces associations à se mettre en rapport avec le bureau directeur de Place d’armes pour ensuite, après avoir établi les ralliements à cette confédération, déterminer les modalités d’action et le partage des tâches. Il y a urgence à agir et à privilégier ce regroupement seul capable de permettre le sursaut. Il va sans dire que ce processus s’engage dans le respect de la loi.

Quant au second volet concernant les partis politiques patriotes, il est temps, devant l’évidence du danger et des drames qui se préparent, qu’ils assument leurs responsabilités et qu’ils exercent leur rôle avec le sens du devoir en mettant de côté, pour leurs chefs, leur ego et ambitions personnelles véritables obstacles à toute alliance ou union salvatrice. Car la seule priorité aujourd’hui c’est la France et, comme pour les citoyens français, le salut ne peut venir que du rassemblement. Un appel est donc lancé aux responsables de ces partis politiques patriotes pour qu’ils se rencontrent au plus vite pour s’accorder sur des mesures décidées en commun pour le court terme (2023/2024) et le moyen terme (2027). Les émeutes ethniques qui ont ébranlé la France confirment bien que le cancer à éradiquer c’est l’immigration extra-européenne de masse. Or, le pouvoir en place ne veut pas s’opposer à cette submersion. Sur le court terme, notre Constitution donne aux partis représentés au Parlement des outils pour le sanctionner (articles 49 et 50). Qu’ils exercent sans attendre ce pouvoir. Pour le moyen terme, n’est-il pas temps que tous les responsables des partis politiques patriotes, représentés ou pas au Parlement engagent, compte tenu de l’urgence et de la menace qui pèse sur la nation, leur énergie dans des négociations afin de s’accorder sur des mesures visant à inverser le flux de cette immigration incompatible avec nos valeurs et qui menace notre avenir.

L’immigration constitue bien le problème central qui défie notre avenir et le sursaut ne pourra donc venir que des citoyens eux-mêmes. C’est pourquoi ils doivent se rassembler d’une part, et exercer un lobbying fervent et acharné sur les partis politiques patriotes d’autre part, pour que cet effondrement organisé n’ait pas lieu, pour que vive la France.

Le 14 juillet 2023 Général (2 s) Antoine MARTINEZ




Ukraine : témoignage d’un journaliste américain contre son gouvernement au conseil de sécurité des Nations Unies

[Source : Le Saker Francophone]

[NDLR Le journaliste Max Blumenthal a été invité à s’exprimer par le représentant des Émirats Arabes Unis.(([1] https://youtu.be/Ddc1ix_9MII))]

Par Max Blumenthal – Le 29 juin 2023 — Source The Grayzone

Je remercie Wyatt Reed, Alex Rubinstein et Anya Parampil de m’avoir aidé à préparer cette présentation. Wyatt a une expérience directe du sujet en tant que journaliste dont l’hôtel à Donetsk a été la cible d’un obusier de fabrication américaine par l’armée ukrainienne en octobre 2022. Il se trouvait à 100 mètres de là lorsque la frappe a eu lieu et a failli être tué.

Mon ami Randy Credico, militant des droits civiques, est également présent aujourd’hui. Il était à Donetsk plus récemment et a pu assister à des attaques régulières de missiles HIMARS par l’armée ukrainienne sur des cibles civiles.

Je suis ici non seulement en tant que journaliste ayant plus de 20 ans d’expérience dans la couverture de la politique et des conflits sur plusieurs continents, mais aussi en tant qu’Américain contraint par son propre gouvernement à financer une guerre par procuration qui est devenue une menace pour la stabilité régionale et internationale, au détriment du bien-être de mes compatriotes.

Le 28 juin dernier, alors que les équipes d’urgence s’efforçaient de nettoyer un nouveau déraillement de train toxique aux États-Unis, cette fois sur la rivière Montana, un accident qui mettait encore en lumière le sous-financement chronique des infrastructures de notre pays et les menaces qu’il fait peser sur notre santé, le Pentagone a annoncé son intention d’envoyer une aide militaire supplémentaire de 500 millions de dollars à l’Ukraine.

Cette annonce est intervenue alors que l’armée ukrainienne entame la troisième semaine d’une contre-offensive dont CNN dit qu’elle « ne répond pas aux attentes » et dont Volodymyr Zelensky lui-même dit qu’elle « progresse plus que lentement prévu ».

L’armée ukrainienne n’ayant pas réussi à franchir la première ligne de défense russe, CNN a rapporté qu’au 12 juin, Kiev avait « perdu » 16 véhicules blindés de fabrication américaine envoyés dans le pays.

Qu’a fait le Pentagone ? Il a simplement répercuté cette facture sur les contribuables américains moyens comme moi, en nous faisant payer 325 millions de dollars supplémentaires pour remplacer le stock militaire gaspillé de l’Ukraine. Aucun effort n’a été fait pour consulter la position du public américain sur la question, et la grande majorité des Américains n’ont probablement même pas su que l’échange avait eu lieu.

La politique américaine que je viens de décrire — qui voit Washington donner la priorité au financement effréné d’une guerre par procuration avec une puissance nucléaire dans un pays étranger alors que notre propre infrastructure nationale s’effondre sous nos yeux — expose une dynamique inquiétante au cœur du conflit ukrainien : une chaîne de Ponzi internationale qui permet aux élites occidentales de s’emparer de la richesse durement gagnée des mains des citoyens américains moyens et de l’acheminer vers les coffres d’un gouvernement étranger que même l’organisation Transparency International, parrainée par l’Occident, classe parmi les plus corrompus d’Europe.

Le gouvernement américain n’a pas encore procédé à un audit officiel de ses financements en faveur de l’Ukraine. Le public américain n’a aucune idée de la destination de l’argent de ses impôts.

C’est pourquoi, cette semaine, The Grayzone a publié un audit indépendant de l’affectation de l’argent des contribuables américains à l’Ukraine au cours des exercices fiscaux 2022 et 2023. Notre enquête a été menée par Heather Kaiser, ancien officier du renseignement militaire et vétéran des guerres américaines en Afghanistan et en Irak.

Nous avons découvert un paiement de 4,48 millions de dollars de l’administration de la sécurité sociale américaine au gouvernement de Kiev.

Nous avons trouvé des paiements d’une valeur de 4,5 milliards de dollars effectués par l’Agence américaine pour le développement international pour rembourser la dette souveraine de l’Ukraine, dette en grande partie détenue par la société d’investissement mondiale BlackRock.

Ce montant représente à lui seul 30 dollars prélevés sur chaque citoyen américain, à une époque où 4 Américains sur 10 ne peuvent pas se permettre une dépense urgente de 400 dollars.

Nous avons découvert que l’argent des contribuables destiné à l’Ukraine alimentait les budgets d’une chaîne de télévision à Toronto, d’un groupe de réflexion pro-OTAN en Pologne et, croyez-le ou non, d’agriculteurs au Kenya.

Nous avons trouvé des dizaines de millions de dollars versés à des sociétés de capital-investissement, dont une en République de Géorgie, ainsi qu’un paiement d’un million de dollars à un entrepreneur privé à Kiev.

Notre audit a également révélé que le Pentagone avait conclu un contrat de 4,5 millions de dollars avec une société appelée « Atlantic Diving Supply » pour fournir à l’Ukraine des équipements explosifs non spécifiés. Il s’agit d’une société notoirement corrompue que Thom Tillis, le président de la commission des forces armées du Sénat, a déjà critiquée pour ses « antécédents de fraude ».

Pourtant, une fois de plus, le Congrès n’a pas veillé à ce que ces paiements douteux et ces contrats d’armement massifs fassent l’objet d’un suivi adéquat.

En fait, une grande partie de l’aide militaire et humanitaire envoyée à l’Ukraine s’est tout simplement volatilisée. L’année dernière, CBS News a cité le directeur d’une organisation à but non lucratif pro-Zelensky en Ukraine, qui a déclaré que seulement 30 % environ de l’aide parvenait aux lignes de front en Ukraine.

Le détournement de fonds et de fournitures est au moins aussi inquiétant que les conséquences potentielles du transfert et de la vente illicites d’armes de qualité militaire. En juin dernier, le chef d’Interpol avertissait que les transferts massifs d’armes vers l’Ukraine signifiaient que « nous pouvons nous attendre à un afflux d’armes en Europe et au-delà » et que « les criminels s’y intéressent déjà en ce moment même ».

En mai dernier, un groupe de néonazis russes anti-Kremlin, équipés de matériel fourni par le gouvernement ukrainien, a été salué par des politiciens occidentaux pour avoir mené des attaques terroristes sur le territoire russe en utilisant des Humvees de fabrication américaine. Bien que le groupe, appelé « Corps des volontaires russes », soit dirigé par un homme qui se fait appeler le « Roi blanc » et compte de nombreux admirateurs déclarés d’Adolf Hitler, l’armement occidental de cette milice contre les forces russes n’a suscité aucune protestation de la part du Congrès.

Et bien que l’administration Biden ait promis de surveiller les armes envoyées, un câble du département d’État divulgué en décembre dernier admettait que :

« L’activité cinétique et les combats actifs entre les forces ukrainiennes et russes créent un environnement dans lequel les mesures de vérification standard sont parfois impraticables ou impossibles ».

L’administration Biden sait non seulement qu’elle ne peut pas suivre les armes qu’elle expédie à l’Ukraine, mais elle sait aussi qu’elle intensifie une guerre par procuration contre la plus grande puissance nucléaire du monde et qu’elle la met au défi de répondre en retour.

Nous savons qu’ils le savent parce qu’en 2014, le président Barack Obama a rejeté les demandes d’envoi d’armes offensives létales à Kiev parce que, comme l’a dit le Wall Street Journal, il était « préoccupé depuis longtemps par le risque qu’armer l’Ukraine provoquerait Moscou dans une nouvelle escalade qui pourrait entraîner Washington dans une guerre par procuration ».

Lorsque Donald Trump est entré en fonction en 2017, il a tenté de s’en tenir à la politique d’Obama, mais il a rapidement été qualifié de marionnette russe par les médias de Washington et le Parti démocrate pour avoir refusé d’envoyer des missiles Javelin de Raytheon à l’armée ukrainienne. La réticence de Trump à envoyer les missiles Javelin a servi de base à sa destitution. Sans surprise, il a cédé.

Alors que les armes offensives fabriquées aux États-Unis commençaient à atteindre les lignes de front du Donbass, l’Occident collectif a exploité les accords de Minsk pour « donner à l’Ukraine le temps » de s’armer, comme l’a révélé l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel.

En janvier 2022, les États-Unis ont annoncé un programme d’armement de 200 millions de dollars pour l’Ukraine. Le 18 février, les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe signalaient un doublement des violations du cessez-le-feu, les cartes de l’OSCE montrant que l’écrasante majorité des sites ciblés se trouvaient du côté de la population séparatiste pro-russe de Donetsk et de Lougansk. Cinq jours plus tard, la Russie envahissait l’Ukraine.

Depuis lors, les États-Unis et leurs alliés n’ont cessé de grimper sur l’échelle de l’escalade à chaque occasion.

« Les choses que nous ne pouvions pas donner en janvier parce que cela risquait une escalade ont été données en février », a commenté un ancien fonctionnaire du département d’État après une réunion avec ses homologues ukrainiens. « Et ce que nous ne pouvions pas donner en février, nous l’avons fait en avril. C’est ce qui s’est passé, à commencer par les Stingers » se référant aux missiles lancés depuis l’épaule.

Le président Joe Biden lui-même a déclaré en mars 2022 :

« L’idée que nous allons envoyer des équipements offensifs, des avions et des chars… ne vous faites pas d’illusions, quoi que vous disiez tous, cela s’appelle la Troisième Guerre mondiale ».

Un peu plus d’un an plus tard, Joe Biden a changé de discours, soutenant un projet de fourniture d’avions de chasse F-16 à l’Ukraine, et après avoir fait pression sur l’Allemagne pour qu’elle envoie les chars dont il craignait autrefois qu’ils ne provoquent la Troisième Guerre mondiale.

Il n’aura fallu que deux mois après avoir reçu les systèmes HIMARs des États-Unis pour que l’armée ukrainienne commence à cibler des infrastructures critiques, en les utilisant pour frapper le pont Antonovsky sur le fleuve Dniepr, puis, deux mois plus tard, lors d’une frappe test sur le barrage de Kakhovka « pour voir si l’eau du Dniepr pouvait être suffisamment élevée pour empêcher les Russes de traverser », comme l’a rapporté le Washington Post.

Il y a trois semaines, le barrage de Kakhovka a été détruit, déclenchant une catastrophe écologique majeure qui a entraîné des inondations massives et la contamination des réserves d’eau locales. L’Ukraine accuse bien sûr la Russie d’être responsable de cette attaque, mais n’a montré aucune preuve.

À peu près à la même époque, l’Ukraine accusait également sans fondement la Russie de préparer une provocation à la centrale nucléaire de Zaporizhzhia. Cela a déclenché une résolution des sénateurs Lindsey Graham et Richard Blumenthal (aucun lien de parenté avec moi) demandant à l’OTAN d’intervenir directement en Ukraine et d’attaquer la Russie si un tel incident se produisait.

L’initiative de Blumenthal et Graham a ainsi établi une ligne rouge de facto pour le déclenchement d’une action militaire américaine, à l’instar de celle fixée en Syrie qui, comme l’a fait remarquer un ancien diplomate américain au journaliste Charles Glass, « était une invitation ouverte à un faux drapeau. »

Assisterons-nous à une nouvelle tromperie comme à Douma, mais cette fois-ci à Zaporizhzhia ?

Pourquoi faisons-nous cela ? Pourquoi tentons-nous l’anéantissement nucléaire en inondant l’Ukraine d’armes de pointe et en sabotant les négociations à tout bout de champ ?

Des gens comme le sénateur Dick Durbin nous ont dit que l’Ukraine est « littéralement en train de se battre pour la liberté et la démocratie » et que nous devons donc lui fournir des armes « aussi longtemps qu’il le faudra », comme l’a dit le président Biden. Quiconque s’oppose à l’aide militaire à l’Ukraine s’oppose à la défense de la démocratie, selon cette logique.

Où est donc la démocratie dans la décision de Volodymyr Zelensky d’interdire les partis d’opposition, de criminaliser les médias de ses opposants politiques légitimes, d’emprisonner son principal rival politique, de protéger ses principaux députés, de faire des descentes dans les églises orthodoxes et d’arrêter des ecclésiastiques ?

Où est la démocratie dans l’emprisonnement par le gouvernement ukrainien de Gonzalo Lira, un citoyen américain, pour avoir remis en question le récit officiel de leur effort de guerre ?

Et où est la démocratie dans la récente décision de Zelensky de suspendre les élections en 2024 au motif que la loi martiale a été déclarée ? Il semble que la démocratie ukrainienne soit aussi difficile à trouver ces jours-ci que le commandant en chef de l’armée, Valeriy Zaluzhny, qui a soudainement disparu.

Le sénateur Graham a proposé une justification beaucoup plus sombre — et tout à fait pertinente — pour fournir à l’Ukraine des milliards d’euros d’armes. Comme le sénateur s’en est vanté lors d’une récente visite avec Zelensky à Kiev, « les Russes meurent… c’est le meilleur argent que nous ayons jamais dépensé ».

Graham, rappelons-le, a également déclaré que nous, les États-Unis, devions mener cette guerre jusqu’au dernier Ukrainien. Bien que le nombre officiel de victimes soit strictement confidentiel, nous devons craindre que l’Ukraine ne soit en passe de réaliser les fantasmes macabres du sénateur.

Comme un soldat ukrainien s’en est plaint ce mois-ci à Vice News, nous ne savons pas quels sont les « plans de Zelensky, mais cela ressemble à l’extermination de sa propre population — la population prête au combat et en âge de travailler. C’est tout ».

En effet, les cimetières militaires en Ukraine s’étendent presque aussi rapidement que les McMansions de Virginie du Nord et les propriétés en bord de mer des cadres de Lockheed Martin, Raytheon et autres entrepreneurs du Beltway qui bénéficient du deuxième plus haut niveau de dépenses militaires depuis la Seconde Guerre mondiale.

Ce sont les vrais gagnants de la guerre par procuration en Ukraine. Pas les Ukrainiens ou les Américains moyens. Ni les Russes, ni même les Européens de l’Ouest.

Les gagnants sont des gens comme le secrétaire d’État Tony Blinken, qui a passé son temps entre les administrations Obama et Biden à lancer une société de conseil appelée WestExec advisors, qui a obtenu des contrats gouvernementaux lucratifs pour des sociétés de renseignement et l’industrie de l’armement. Parmi les anciens partenaires de Blinken au sein de WestExec advisors, on trouve la directrice du renseignement national Avril Haines, le directeur adjoint de la CIA David Cohen, l’ancienne attachée de presse de la Maison Blanche Jen Psaki et près d’une douzaine de membres actuels et anciens de l’équipe de sécurité nationale de Biden.

Le secrétaire à la défense Lloyd Austin, quant à lui, est un ancien et peut-être futur membre du conseil d’administration de Raytheon et un ancien associé de la société d’investissement Pine Island Capital qui collabore avec WestExec et que Blinken a conseillée.

Par ailleurs, l’actuelle ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies, Linda Thomas Greenfield, figure sur la liste des conseillers principaux de l’Albright Stonebridge Group, une société qui se décrit elle-même comme une « entreprise commerciale de diplomatie » qui négocie également des contrats pour le secteur du renseignement et l’industrie de l’armement. Ce cabinet a été fondé par feu Madeleine Albright, qui a tristement déclaré que la mort d’un demi-million d’enfants irakiens sous le régime des sanctions américaines « en valait la peine ».

Ainsi, tandis que des Ukrainiens d’âge moyen sont arrachés à la rue par la police militaire et envoyés au front, les architectes de cette guerre par procuration, liés financièrement et politiquement, prévoient de passer par la porte tournante pour engranger des profits inimaginables une fois leur mandat au sein de l’administration Biden terminé.

Pour eux, un règlement négocié de ce différend territorial signifie la fin de la vache à lait que représente l’aide américaine à l’Ukraine, qui s’élève aujourd’hui à près de 150 milliards de dollars. [sans compter l’argent européen, NdT]

Lorsque les États-Unis, membre permanent de ce Conseil, sont tombés sous la coupe d’un gouvernement qui cherche à perpétuer une guerre par procuration « aussi longtemps qu’il le faudra », qui considère que la diplomatie est synonyme de mesures coercitives unilatérales pour « réduire le rouble en miettes », comme Biden s’est engagé à le faire, et dont les dirigeants subvertissent les négociations afin de rechercher le profit tout en refusant d’informer correctement leurs propres citoyens de ce qu’ils paient, et qui pousse les fils et les frères de ses supposés partenaires ukrainiens sur un champ de bataille afin de matraquer un rival géopolitique ; lorsque Zelensky et des membres du Congrès américain appellent à des frappes préventives sur la Russie qui contreviennent à l’esprit de l’article 51 de la charte des Nations unies, ce Conseil doit prendre des mesures pour faire respecter cette charte.

Les articles 33 à 38 du chapitre VI de cette charte indiquent clairement que le Conseil de sécurité doit user de son autorité pour garantir un règlement pacifique des différends, en particulier lorsqu’ils menacent la sécurité internationale. Cela ne devrait pas s’appliquer uniquement à la Russie et à l’Ukraine. Ce Conseil a l’obligation de surveiller et de restreindre strictement les États-Unis et la formation militaire illégale connue sous le nom d’OTAN.

Je vous remercie de votre attention.

Max Blumenthal

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Le mensonge sur la maladie de Lyme

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Lorsqu’il s’agit de maladies redoutées, la maladie de Lyme se classe parmi les pires. Cependant, l’histoire du grand public pose un problème majeur. La « nouvelle » maladie n’est apparue que dans les années 1970, les tiques et les « germes » Borrelia ayant été accusés peu après.

Il est temps d’exposer les documents scientifiques sur lesquels repose toute cette histoire et de souligner un autre problème fondamental : comment cette « maladie » peut-elle être diagnostiquée ?

Il s’agit d’un sujet important, car les campagnes de marketing impliquant les tiques comme cause d’une grande épidémie et même comme « armes biologiques » potentielles ont déjà commencé…

[À partir de 1:45]



References




Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Si la quasi-totalité de la communauté des défenseurs de la liberté de la santé s’accorde à dire que les vaccins COVID-19 sont dangereux, de nombreux désaccords subsistent sur les raisons de cette dangerosité. Il y a aussi la question de savoir si l’excrétion de particules par les vaccinés peut rendre malades les non-vaccinés.

Le Dr Peter McCullough a réalisé un travail remarquable en 2021, en mettant en garde le monde contre les dangers des injections de COVID-19. Toutefois, en 2022, nous avons été déçus de le voir applaudir la pseudo-science des virologues. Malheureusement, il suscite aujourd’hui la peur en promouvant l’absurdité de l’excrétion vaccinale.

Examinons l’état des preuves scientifiques concernant le « shedding » et révélons les véritables origines de ce récit.

[À partir de 1:45]



Références




La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :




Le Nouvel Ordre Économique Mondial avec Philippe Béchade

[Source : Idriss J. Aberkane]

Monnaie digitale de banque centrale confiscable et périssable d’une part, monnaie de réserve internationale basée sur l’or pour les BRICS d’autre part, ETF de Blackrock sur le Bitcoin (et prise de contrôle prochaine du marché crypto ?), nous avons beaucoup d’événements majeurs et mineurs à analyser. L’économiste Philippe Béchade, membre fondateur des Econoclastes et de la Chronique Agora avec bientôt 40 ans d’expérience en finance, économie et gestion de patrimoine, nous vient nous former et nous informer.




Le plan des fascisto-mondialistes : nous exterminer !

[Source : RL]

Par Victor Hallidée

Si on veut comprendre le monde dans lequel on vit, il faut savoir ceci. Le but des fascisto-mondialistes est d’exterminer les 4/5 des habitants de la planète. À commencer par les populations occidentales, européennes et tout particulièrement française.

Après la piquouzerie généralisée, première phase du camp de concentration à ciel ouvert, dont le piquouzé paye l’entrée (ce faisant, les jouisseurs soixante-huitards ont fait plus fort qu’Adolf…), après les préparations de pénuries alimentaires (détruire le fin maillage économique, détruire notre production bon marché d’énergie nucléaire, zigouiller les vaches, brûler les fermes aux USA, supprimer les fermes hollandaises…). Ajoutez à cela le régime répugnant réservé aux gueux, pollué par des farines d’insectes. Mais il va sans dire que le plus efficace pour réduire drastiquement les populations a toujours été la guerre.

The Economist avait dit ça il y a 20 ans déjà, c’était dans l’air. Réduire la population qui prolifère comme vermine, menace inutilement l’espace vital des oligarchies, consume la nature et consomme l’énergie qui conditionne leur confort.

Ravis et sans complexe, les journaleux de The Economist faisaient un « éloge écologiste » de la guerre qui détruit les populations femmes, enfants et vieillards compris : « C’est fou comme la faune et la flore se portent mieux quand on exclut l’humain de l’équation », disaient-ils.

C’était prévu dès le covid, le Choupinet de l’Élysée a pilonné le cerveau des téléspectateurs aux heures de grande écoute pour les habituer à cette idée : « Nous sommes en guerre, nous sommes en guerre… ».

Un refrain étudié pour que « ça rentre », ça imprime.

Les oligarchies criminelles de la gouvernance Davos étaient en effet vraiment en guerre, non pas contre un pseudo-virus, mais contre nous, la population.

Ils ont dû bien rigoler de nous cracher le morceau dans le pif, via leur petit valet pestilentiel, au beau milieu de l’écran télé, mine de rien !

Et maintenant qu’ils ont testé avec succès la soumission des populations autochtones — comme les Juifs autrefois, celles-ci ne peuvent croire que le projet des dirigeants est de les sacrifier comme on le fait d’un troupeau de bestiaux — ils vont faire ce qu’il faut pour susciter contre la France la riposte des Russes, exactement comme ils l’ont fait en Ukraine.

Comme nous pouvons le constater, par les entretiens d’humoristes avec Attali et Hollande, les oligarchies fascisto-mondialistes ne veulent en aucun cas faire la paix avec les Russes. Au contraire, ils veulent approfondir, accentuer, accélérer les processus de guerre… jusqu’à l’emploi du nucléaire. Pousser les Russes à la riposte, pour qu’ils en endossent les responsabilités, qu’ils portent le chapeau si ça devait tourner mal.

Ces ordures mondialistes n’attendent que ça, la guerre, pour détruire les nations européennes. Comme ils l’ont fait pour la Yougoslavie. La guerre ethnique fait aussi partie du tableau. Sauf qu’en Europe il fallait la submersion migratoire pour obtenir ce poison propice à la guerre civile.

Diviser pour régner… il est facile d’imaginer l’opportunisme meurtrier et pillard des migrants et autres « racisés » si éclate une guerre de la France avec la Russie.

C’est précisément le moyen d’extermination des populations autochtones choisi par ces infâmes oligarchies. Celles-ci aiment tant l’argent, le pouvoir et le cul des petits enfants, s’approprier leurs organes et cellules souches, qu’il leur importe peu de vendre la corde pour pendre leurs propres père et mère, leurs enfants, leur civilisation.

Des ordures, des nuls, mais des criminels d’envergure. La seule chose qu’ils ont fait progresser, c’est le génocide. Leur ambition sur ce plan est mondiale. À côté d’eux, Hitler est une petite pointure.

Et ils sont pressés de passer à la phase suivante : la solution finale !

Celle qui leur permettra de jouir de leur statut de Maîtres du monde qui leur donnera tous les droits sans s’encombrer de faux-semblants.

Le problème est qu’ils sont très pressés, car le temps passe et nombre d’entre eux, vieux ou vieillissants, rêvent d’autant plus fort de devenir des Dieux grâce au transhumanisme qu’ils ne sont pas sûrs d’accéder assez vite à l’éternité.

L’ambition, l’avidité démesurées et la hâte, la précipitation inquiète sont mauvaises conseillères… La folie les guette au coin du bois.

Saisissons cette chance, nous savons ce qu’ils veulent faire, et ils savent que nous le savons.




Les mondialistes préparent un choc financier, en voici la preuve

[Source : birchgold.com]

[Photo : Talashow]

[NDLR Passages surlignés en jaune par le traducteur.]

Par Brandon Smith

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Cependant, ce que j’observe de plus en plus ces deux dernières années, c’est une convergence de récits…

Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.

L’effondrement économique fait partie du plan.

Le « changement climatique » est un écran de fumée

Les mondialistes utilisent désormais la question du changement climatique comme un cheval de Troie pour leurs plans visant à accroître leur contrôle sur la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la Grande Réinitialisation. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques mondiales encore plus de pouvoir pour contrôler la distribution des richesses et abattre le système existant afin de le remplacer par quelque chose d’autre.

Quelque chose de « meilleur » et de « plus juste ». Quelque chose qu’ils contrôlent encore plus complètement.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc financier public » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant une « équité » pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis mondiaux.

Les intervenants de l’événement ont suggéré que le cadre économique international avait été mis à mal par de multiples crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine. Cependant, ils se sont concentrés sur « la spirale du coût des catastrophes climatiques intensifiée par le réchauffement climatique » pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

Il s’agit évidemment d’un non-sens, mais cela correspond au récit que les mondialistes tentent de mettre au point.

Cela donne à peu près ceci :

  • – L’objectif du système financier mondial est de redistribuer les richesses.
  • – L’un des aspects de chaque crise est la perte financière (à la fois directe, sur les victimes, et indirecte, y compris, par exemple, la baisse de la productivité ou l’augmentation des taux d’assurance).
  • – Les banques centrales, qui ne peuvent pas empêcher les tremblements de terre, peuvent remédier aux pertes financières, généralement par la planche à billets.
  • – Les banques centrales utilisent donc la réponse à la crise comme excuse pour s’engager dans l’inflation monétaire
  • – … ce qui rend les victimes de la crise plus dépendantes du gouvernement centralisé
  • – et donne aux banques centrales un argument convaincant pour accroître leur propre pouvoir.

Comme nous ne le savons que trop bien, en l’absence d’une crise médiatiquement acceptable, les mondialistes sont parfaitement heureux d’en inventer une.

Je pense qu’il n’y a pas de crise climatique d’origine humaine, pas de « réchauffement climatique anthropique », comme je l’ai décrit précédemment.

Mais combien de personnes peuvent être amenées à croire qu’il y a une crise climatique et qu’elle constitue une menace existentielle pour notre civilisation ? Comment exploiter cette peur hystérique ?

Ne jamais gaspiller une crise

Mia Mottley, Première ministre de la Barbade, a plaidé en faveur d’une réorganisation des rôles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international pour faire face à la crise climatique. Elle affirme :

« Ce qui nous est demandé aujourd’hui, c’est une transformation absolue et non une réforme de nos institutions… »

Il s’agit d’un thème commun aux mondialistes. « Nos institutions dépassées n’ont pas le pouvoir de prévenir les catastrophes. »

En d’autres termes, [selon les mondialistes] les institutions financières mondialistes devraient se voir accorder un pouvoir absolu et être chargées de l’utiliser de manière responsable.

Antonio Guterres, chef de l’ONU, a déclaré que le système financier mondial actuel, conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre des accords de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il « perpétuait, voire aggravait, les inégalités ».

En d’autres termes, il plaide pour un nouvel ordre mondial.

« Nous pouvons prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale », a-t-il déclaré. Il a proposé une relance de 500 milliards de dollars par an pour des investissements dans le « développement durable » et « l’action climatique ». Il a également présenté un plan visant à utiliser les droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI comme outil pour « stimuler la liquidité mondiale ».

Posez-vous la question : que s’est-il passé la dernière fois que les banques centrales ont décidé de stimuler la liquidité mondiale ?

C’est exact : la pire crise économique des cinquante dernières années.

Les banquiers centraux vous diront que ce n’est pas eux, mais la Covid, l’invasion de l’Ukraine et le changement climatique.

C’est absurde. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché la plus forte inflation depuis une génération. Ce qui a conduit les banques centrales à augmenter les taux d’intérêt en période de faiblesse économique, ce qui a toujours provoqué l’explosion de la dette et des désastres économiques dans le passé.

Les banquiers et les mondialistes ont causé le problème ! Ils ne devraient pas être chargés de le résoudre.

Pourtant, ils sont là, cherchant à prendre le contrôle et à instituer un plan d’égalité mondiale de type Grande Réinitialisation pour résoudre la calamité qu’ils ont créée.

On pourrait considérer tout cela comme de simples intrigues de palais, des bureaucrates qui se battent pour obtenir des budgets plus importants et des mandats plus ambitieux. Je pense que cela mène à un endroit beaucoup plus sombre…

L’impôt mondial sur la fortune

L’année dernière, les Nations Unies ont proposé que les économies développées et émergentes, y compris les États-Unis et la Chine, paient une sorte de « taxe sur le succès » d’au moins 2,4 milliards de dollars par an, en raison de leurs émissions de carbone. Cette taxe permettrait de créer un fonds de lutte contre le changement climatique, dont l’argent serait redistribué aux pays les plus pauvres.

D’autres idées sur la table incluent la taxation des bénéfices tirés des combustibles fossiles et des transactions financières, dont les recettes iraient au fonds de lutte contre le changement climatique. (En d’autres termes, ils espèrent taxer les compagnies pétrolières et gazières jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le citoyen moyen ne peut plus se permettre de conduire.)

Le président français adore l’idée d’une taxe internationale sur les émissions de carbone provenant du transport maritime, censée rendre le fret outre-mer plus coûteux afin de réduire la demande en matière de fabrication et d’exportation.

Quel est le point commun de ces projets ?

Ils visent tous à gonfler les prix, ce qui a pour effet de réduire la consommation.
C’est l’objectif déclaré. Mais il s’agit d’un projet beaucoup plus vaste.

Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien d’autre qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle des institutions mondialistes existantes telles que le FMI, la BRI, la Banque mondiale et l’ONU.

Le versement annuel des nations les plus riches dans les coffres des institutions mondiales est un acte d’hommage, une preuve de fidélité. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance.

Si d’importantes sommes d’argent transitent par les institutions mondialistes, celles-ci deviennent les arbitres de la redistribution de ces richesses. Elles peuvent facilement mettre en place un système de récompenses et de punitions.

Elles peuvent punir les pays qui ne suivent pas servilement leur diktat et s’occuper des pays qui se plient à leurs exigences.

Je soupçonne que tout cela aboutisse à une crise monétaire artificielle que les mondialistes utiliseront comme une occasion d’introduire enfin leur modèle de CBDC (Central Bank Digital Currency). Une fois les CBDC mises en place, le pouvoir des banquiers centraux de dominer le public sera complet. Un système sans argent liquide, sans confidentialité des transactions et avec la possibilité de fermer les comptes bancaires des individus et des groupes à volonté ?

C’est le scénario rêvé des totalitaires.

Ce n’est pas une erreur si le public est constamment bombardé de propagande sur le réchauffement climatique ces jours-ci — les pouvoirs en place ont besoin d’une crise existentielle comme générateur de peur. Lorsque les gens ont peur, ils ne réfléchissent pas rationnellement et se tournent souvent vers les pires dirigeants possibles pour les soulager. Et une menace mondiale exige une réponse mondiale, n’est-ce pas ?

La propagande catastrophiste sur le changement climatique, si elle est acceptée par le public, permettra un large éventail de changements systémiques qui n’ont rien à voir avec l’environnement et tout à voir avec la domination financière.

La taxation et la redistribution des richesses nationales. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale en tant que médiateurs pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme monnaie globale de facto. L’introduction des CBDC et d’une société sans numéraire. Aucune de ces mesures n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime, à moins bien sûr que l’intention ultime ne soit de détruire l’économie au point que l’industrie meure, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

Elles peuvent tourner cela comme ils veulent, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système économique mondial, de sorte qu’il ne puisse plus répondre aux besoins du monde.

Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle mondiale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’elles réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’elles veulent en réalité, c’est une gouvernance mondiale.

Une solution pour préserver votre liberté financière personnelle est de diversifier votre épargne avec des métaux précieux physiques. L’or et l’argent existent en dehors du système financier mondial. C’est l’une des rares formes d’argent à valeur universelle, respectueuse de la vie privée, qui ne peut être annulée en appuyant sur un bouton.

Si vous croyez, comme moi, à la liberté et à la responsabilité personnelle, vous savez probablement déjà que posséder de l’or et de l’argent est un moyen éprouvé de protéger vos économies durement gagnées contre les crises imaginaires et les mondialistes cupides.

[Note de Joseph : l’or et l’argent ne se mangent pas, mais se volent facilement. La Terre peut servir à cultiver, mais les élites travaillent à supprimer toute propriété privée pour ceux qui n’appartiennent pas à leur clan, ceci notamment en augmentant les taxes sur les propriétés foncières et en mettant en place des normes de plus en plus contraignantes et dispendieuses. La seule richesse qu’ils ne peuvent dérober est d’ordre intérieur. Nous nous trouvons probablement à l’apogée d’une guerre spirituelle multimillénaire et la pression exercée sur le plan matériel ne peut alors trouver d’exutoire véritable et viable sans une connexion suffisante aux plans psychique et spirituel pour y puiser les meilleures solutions concrètes ainsi que la force, le courage et la volonté de manifester adéquatement ces dernières, c’est-à-dire avec abnégation, intelligence, amour et sagesse.]




La Malaria aux USA grâce à Bill Gates ?




Thierry Breton, le néo-fascisme tranquille

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

La France traverse une crise politique majeure. L’État n’est plus en mesure de contrôler son territoire. Et que dire de l’économie. Les deux tiers des Français haïssent Emmanuel Macron. Qui piétine les libertés publiques et met en place un régime néofasciste. Et pour faire bon poids, il fournit à un régime en panique des missiles de croisière pour frapper le territoire de la Russie. C’est-à-dire que tranquillement il déclare la guerre à la première puissance nucléaire du monde. Le gouvernement est muet, l’ensemble de la classe politique représentée au Parlement fait de même. Pas un élu, à l’exception de Dupont Aignan, aucune autorité intellectuelle ou morale n’élève la voix pour s’inquiéter de l’abîme vers lequel cet homme emmène le pays.

Pour la mise en place de ce qui commence à ressembler à un régime néofasciste (même Julien Dray commence à s’inquiéter), Macron dispose d’hommes de main qui n’ont aucun scrupule. Il faut écouter l’effarant entretien donné par le commissaire européen Thierry Breton à France Télévisions, où l’intéressé vient annoncer triomphalement qu’il est arrivé à ses fins avec la mise en place d’une réglementation européenne de censure a priori sur les réseaux sociaux. Rappelons que ce personnage, quintessence du Capital endogame à la française, a été nommé à la Commission européenne en remplacement d’une autre haute fonctionnaire adepte du pantouflage gourmand, choisie par Macron, mais refusée par le Parlement européen pour cause de rapports jugés trop élastiques avec la morale publique.

Breton s’est récemment signalé par des vitupérations contre les réseaux sociaux, qu’il accuse à demi-mot de véhiculer une parole d’opposition politique aux oligarchies en place. Sous prétexte de lutter « contre la haine en ligne », il décrit un dispositif destiné en fait à bâillonner toute parole dissidente. Il n’a d’ailleurs pas hésité à citer comme devant être interdits les « appels à la révolte » ! La tentation néofasciste du personnage saute aux yeux, tant dans l’attitude que dans le choix des mots. Breton, donc, a fait adopter par le Parlement européen un texte qui reprend toutes les mesures proposées naguère par Emmanuel Macron, par l’intermédiaire de l’ex-députée Laetitia Avia et de la loi dite « Avia », votée par le Parlement-Playmobil du premier mandat — et quasi intégralement censurée par le Conseil constitutionnel puisque jugée attentatoire à la Constitution et notamment à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Notre cour suprême, pourtant fort indulgente en général avec Macron, avait fait sortir l’horreur liberticide qu’était la loi Avia par la porte ; Thierry Breton la fait rentrer par la fenêtre. On en veut pour preuve cet hallucinant entretien passé à décrire tous les moyens administratifs qui permettraient d’instaurer une censure administrative a priori en piétinant tous nos principes.

[Voir aussi :
Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies]

La censure, nouvelle passion de la « gauche »

En France, une « gauche » minoritaire et paniquée nourrit une nouvelle passion pour la censure. Ces jours derniers plusieurs exemples de ce tropisme ont d’ailleurs fait réagir : citons la campagne contre le pluralisme avec l’affaire Geoffroy Lejeune au JDD, les déclarations de Pape Ndiaye sur Europe1 et CNews, médias « clairement d’extrême droite », ou encore les provocations du « philosophe » Geoffroy de Lagasnerie, qui affirme que la pensée de droite n’existe pas.

Il est malheureusement nécessaire une fois de plus de rappeler que la conflictualité est inhérente au politique et qu’elle s’exprime et se résout dans l’espace public. Le propre d’un cadre normatif dans un système démocratique est justement de permettre le débat et l’affrontement des opinions, le juge de paix étant l’élection. L’application de ces principes est de plus en plus problématique pour les blocs oligarchiques au pouvoir dans les pays occidentaux. On y revendique et brandit les « valeurs démocratiques » comme étant universelles, mais on s’efforce par tous les moyens de faire taire les paroles dissidentes. Une tâche rendue plus compliquée par l’existence des réseaux sociaux, plateformes qui ont réalisé une véritable révolution en donnant une parole en temps réel au plus grand nombre, ce qui est quand même, qu’on le veuille ou non, un progrès démocratique. Cette parole charrie comme toujours le pire et le meilleur, et il est quand même inquiétant de voir qu’en France, le pouvoir d’État réagisse comme il le fait avec une succession de lois liberticides. La loi Avia, à juste titre censurée, n’avait été qu’un avatar d’une entreprise d’encadrement mise en œuvre depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, dont l’absence de culture démocratique impose de rappeler que la démocratie est fondée sur l’égalité de n’importe qui avec n’importe qui. Et que l’accès à l’expression et au débat du plus grand nombre ne devrait pas être considéré comme un danger.

À la fin du XIXe siècle, lorsque la IIIe République fut suffisamment bien établie, et afin de garantir le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut adoptée une loi de protection de la liberté d’expression. Parmi ses principes figurait celui que cette liberté fondamentale pouvait être limitée si nécessaire par la loi, mais dès lors que les restrictions étaient strictement proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi et que le contrôle de ce nécessaire équilibre n’appartenait qu’au Juge. La loi sur la presse de 1881 fonctionne depuis presque 140 ans, et jusqu’à présent, on pouvait considérer que la liberté d’expression existait dans notre pays. Malheureusement, depuis le mandat de François Hollande et maintenant d’Emmanuel Macron, la France a dégringolé dans les classements internationaux de la liberté de la presse, « la patrie des droits de l’homme » se trouvant aujourd’hui à la 34e place sur 180…

Thierry Breton, autocrate assumé

Après la Deuxième Guerre mondiale, un encadrement juridique destiné à garantir l’indépendance, le pluralisme et la transparence de la presse nationale avait été adopté. Il a été soigneusement détruit, et aujourd’hui la presse audiovisuelle et écrite est entièrement entre les mains de l’oligarchie. L’îlot du service public n’y échappe pas, puisqu’il est au service du pouvoir politique mis en place par cette même oligarchie avec le coup d’État judiciaire de 2017. L’existence d’une expression dissidente via les réseaux sociaux est donc considérée comme insupportable, et les agents du pouvoir multiplient les tentatives pour la faire taire.

Le texte présenté par Thierry Breton contient un certain nombre d’horreurs et la première d’entre elles est relative au fait que c’est l’autorité administrative qui désormais décidera de ce que l’on peut dire ou ne pas dire sur les réseaux. Une équipe de flics de la pensée aux ordres de ce nouveau ministre de la Vérité pourra sommer n’importe quel site, quelle que soit sa taille, de supprimer dans les 24 heures des textes qu’elle juge contraires à la loi. La défaillance dans la suppression immédiate pourra être sanctionnée, par l’interdiction dans le pays considéré et pour ce qui nous concerne la France. Il est clair que les grandes plates-formes comme Facebook, YouTube ou Twitter vont non seulement poursuivre leur censure a priori qui existe déjà, mais pourraient aussi, par précaution, déférer à toutes les demandes de suppression émanant des officines européennes opaques. Elon Musk souhaite faire de Twitter, qu’il a racheté, un espace de libre expression ; Thierry Breton, tout à sa pulsion néofasciste, en a fait une de ses cibles principales. Le système d’intimidation ainsi adopté n’est pas destiné à « lutter contre la haine », mais bien à réprimer la liberté d’expression en ligne. Le commissaire européen a tranquillement assimilé à des messages de haine les appels à la révolte. Rappelons encore une fois qu’il s’agit là des mesures contenues dans la loi Avia, démantibulée par la décision du Conseil constitutionnel, dont le projet de Breton est un décalque.

Toute cette entreprise n’est que le prétexte pour mettre les réseaux au pas. Et n’oublions pas que le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence — indispensable à son propre maintien — d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci, face aux principes fondamentaux de la République française qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des gardes-chiourme.

S’y opposer est un devoir. Avant qu’il ne soit trop tard.