Jeux de la Francophonie 2023 : nouvelle censure intégrale des médias français « de France »

[Source : cermf.org]

[Transmis par Ilyes Zouari, Président du CERMF]

Contrairement aux Jeux du Commonwealth, largement relayés par les médias britanniques, et comme pour leur dernière édition de 2019, les Jeux de la Francophonie 2023 font l’objet d’une censure totale des grands médias hexagonaux destinés à la population française, qui se démarquent ainsi de ceux des autres pays francophones du monde, y compris outre-Atlantique. Au-delà des habituels beaux discours officiels, l’hostilité des milieux politiques et médiatiques français à l’égard de la vaste francophonie ne fait désormais plus aucun doute, et va même en s’aggravant parallèlement à une fuite en avant européiste et atlantiste.

Une censure totale et systématique

Depuis leur lancement il y a presque une semaine, le 28 juillet dernier, dans un stade réunissant près de 80 000 spectateurs à Kinshasa, aujourd’hui plus grande ville francophone du monde avec ses plus de 15 millions d’habitants, les Jeux de la Francophonie 2023 n’ont toujours pas bénéficié de la moindre couverture médiatique de la part de l’ensemble des grands médias nationaux français de la télévision (TF1, France 2, France 3, M6…), de la presse écrite (Le Figaro, Le Monde, Libération, Ouest-France…) et de la radio. Des médias à ne pas confondre avec ceux essentiellement destinés à l’étranger, comme France 24, TV5, RFI ou encore le Monde Afrique, dont le contenu diffère parfois considérablement de celui destiné à la population française, victime de nombreuses censures (Jeux de la Francophonie, sommets de la Francophonie, agression et pillage rwandais de l’est de la RDC, manœuvres militaires russes en Algérie, visite de chefs d’État africains en Russie, part écrasante des pays d’Europe de l’Est dans les aides françaises au développement…).

Ainsi, et sur les quelques dizaines d’heures de journaux télévisés accumulés depuis le 28 juillet dernier, et sur les centaines d’articles publiés par les grands quotidiens nationaux, aucune seconde ni aucune ligne n’a été consacrée à ce grand événement sportif francophone international, même pour les médailles remportées par des Français. Et ce, tout comme pour la précédente édition des Jeux de la Francophonie, organisée à Abidjan en 2019. Une censure qui est donc également appliquée par les chaînes de télévision publiques et les nombreuses chaînes de radio du groupe public Radio France. Ainsi, et au lieu de couvrir le lancement des Jeux, le 28 juillet dernier, le journal de 20 h de France 2 a préféré consacrer un long reportage de 4 minutes et 18 secondes à la très « intéressante » migration des sardines en Afrique du Sud. Incroyable mais vrai. Autre exemple : deux jours plus tard, la très ancienne et célèbre émission hebdomadaire sportive, Stade 2, diffusée sur France 3, n’a daigné accorder aucune seconde à ce grand événement francophone sur les 52 minutes et 54 secondes d’antenne !

Médias, aides au développement : une incontestable volonté politique de marginaliser le monde francophone

Cette censure totale et systématique des grands événements francophones, y compris par l’ensemble des médias publics, ne peut bien évidemment se faire sans l’approbation et l’encouragement des plus hautes autorités françaises. Une attitude qui s’inscrit dans le cadre d’une volonté politique incontestable de couper le peuple français du monde francophone, menée avec acharnement par les européistes et atlantistes qui dirigent le pays depuis bientôt 20 ans. Et ce, afin de dévaloriser la France aux yeux de la population française, en lui faisant oublier son appartenance à un vaste espace linguistique (qui a d’ailleurs récemment dépassé en population l’espace hispanophone ainsi que l’ensemble Union européenne–Royaume-Uni, avec une population de 555 millions d’habitants début 2023), dans le but de lui faire accepter le maintien du pays au sein de l’Union européenne et de l’alliance atlantique (l’OTAN, que la France avait pleinement réintégrée à l’époque du président Sarkozy, qui avait ainsi effacé l’héritage du général de Gaulle). Deux ensembles présentés alors comme nécessaires, et même vitaux, pour une pauvre France qui ne pourrait rien faire « seule ». Une France qui est pourtant, en réalité, globalement bien plus puissante que la Russie, à tous les niveaux… et qui est même 26 fois plus vaste que l’Allemagne, en tenant compte de son gigantesque espace maritime, le deuxième plus grand au monde.

Ainsi, la population française ne sait pratiquement rien du monde francophone, et en particulier des pays francophones du Sud, au sujet desquels les médias français n’alimentent qu’une image terriblement négative (avec l’appui, au passage, des associations de défense des immigrés et des clandestins…), résumant ce vaste ensemble à une accumulation de misère, de désolation, d’instabilité, ou encore à une espace abritant des animaux sauvages et connaissant parfois des manifestations anti-françaises (menées par une poignée de jeunes, certes patriotes, mais totalement manipulés par des puissances étrangères, et en particulier la Russie). La population française n’a ainsi jamais droit à des images montrant le dynamisme économique de ces pays, la modernité de grandes métropoles francophones africaines, les grandes infrastructures réalisées et celles en cours… Aujourd’hui, la quasi-totalité des Français ignore jusqu’à l’existence même de la Basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro, le plus grand édifice chrétien au monde. Une incroyable ignorance qui concerne même l’écrasante majorité des plus fervents catholiques, et en particulier au sein de la nouvelle génération, constamment tenue à l’écart du monde francophone par les médias et l’Éducation nationale française.

Mais cette hostilité politico-médiatique à l’égard de la francophonie se manifeste également à travers la répartition des aides publiques françaises au développement, qui ne bénéficient que marginalement au Monde francophone, et ce au profit des pays d’Europe de l’Est membres de l’Union européenne, qui récoltent constamment la part du lion, contrairement à toute logique économique et géopolitique. Ainsi, et à partir des dernières données disponibles auprès de la Commission européenne et de l’OCDE, la part du monde francophone n’a été que de 15,4 % du total des aides françaises au développement versées en 2021 (soit 3,5 milliards d’euros, aides bilatérales et multilatérales confondues), contre non moins de 43,3 % pour l’Union européenne (9,9 milliards), presque intégralement destinés aux 13 petits pays d’Europe de l’Est et orientale, qui ne totalisent que 114 millions d’habitants, soit quatre fois moins que l’ensemble des 27 pays francophones du Sud (près de 450 millions début de 2021).

La situation est si absurde, qu’il n’y a qu’un seul et unique pays francophone parmi les 10 premiers pays bénéficiaires des aides françaises au développement (la Côte d’Ivoire, 8e). La Pologne, premier pays bénéficiaire, a reçu 9,3 trois fois plus d’aides que le Maroc, à la population quasi égale et grand allié de la France (2,565 milliards d’euros, contre 0,277 milliard). Et la minuscule Estonie, peuplée de seulement 1,3 million d’habitants, a reçu davantage d’aides que la vaste RDC, plus grand pays francophone du monde et qui vient de dépasser les 100 millions d’habitants (156 millions d’euros contre 147 millions). Là aussi, incroyable mais vrai… et totalement occulté par les médias.

Pourtant, cette politique d’aide au développement est contraire à toute logique économique ou géopolitique. D’un point de vue économique, d’abord parce que les pays d’Europe de l’Est et orientale membres de l’Union européenne s’orientent principalement et historiquement vers l’Allemagne, qui arrive très largement en tête des pays fournisseurs de la zone, avec une part de marché d’environ 20 % chaque année (19,5 % en 2019), contre toujours moins de 4 % pour la France, dont les aides massives reviennent donc quasiment à subventionner les exportations allemandes. Une politique que l’on pourrait résumer par la célèbre expression « travailler pour le roi de Prusse »…

Ensuite, parce que toutes les études économiques démontrent que les échanges peuvent être bien plus importants entre pays et peuples partageant une même langue. À ce sujet, un seul exemple suffit à prouver l’impact économique du lien linguistique : les touristes québécois sont proportionnellement quatre fois plus nombreux que les touristes américains à venir chaque année en France… et à y dépenser. En d’autres termes, toute richesse générée dans un pays francophone au profit de l’économie locale finit par être intégrée en bonne partie au circuit économique d’autres pays francophones, et ce, en vertu d’un mécanisme semblable à celui des vases communicants. D’où le concept de « zone de coprospérité », qui est d’ailleurs une des traductions possibles du terme Commonwealth. Ce lien linguistique explique également en bonne partie la position globalement encore assez bonne de la France en Afrique francophone (Maghreb inclus), dont elle demeure le second fournisseur en dépit de son manque d’intérêt, avec une part de marché globale estimée à 11,5 % en 2019, derrière la Chine, 15,6 %. Une part largement supérieure à celle de l’Allemagne, estimée à 3,9 %, et qui arrive même derrière l’Espagne (7,3 % et troisième fournisseur), l’Italie et les États-Unis (5,5 % respectivement).

Enfin, parce que c’est dans cette même Afrique francophone qu’il convient d’investir massivement, afin de tirer pleinement profit des opportunités et du dynamisme que l’on trouve dans ce vaste ensemble de 25 pays, partie globalement la plus dynamique économiquement du continent (l’Afrique subsaharienne francophone, composée de 22 pays, ayant notamment réalisé en 2022 les meilleures performances économiques pour la neuvième année consécutive et la dixième fois en onze ans, affichant ainsi une croissance annuelle de 3,5 % en moyenne sur la décennie 2013-2022 — et même 4,0 % hors cas très particulier de la Guinée équatoriale, contre seulement 2,2 % pour le reste de l’Afrique subsaharienne). Mais aussi la partie la moins endettée, la plus stable et la moins touchée par l’inflation et les violences sociales (criminalité, homicides, conflits interethniques, guerres civiles…).

Et pour ce qui est du niveau géopolitique, justement, le caractère irrationnel de la politique française d’aide au développement s’explique également par le fait que l’écrasante majorité des pays de l’UE, malgré les aides massives versées chaque année par le contribuable français, vote régulièrement contre les positions de la France au sein des grandes instances internationales, au profit des États-Unis (auprès desquels ils se fournissent d’ailleurs presque exclusivement en matière d’armements lourds, alors que les richissimes pays du Golfe et les grandes puissances émergentes préfèrent souvent acheter du matériel militaire français…).

Ainsi, et à partir du moment que la doctrine de la politique étrangère de la France semble être désormais de travailler et de s’épuiser financièrement au service des intérêts économiques allemands et des intérêts géopolitico-militaires des États-Unis, il ne faut donc guère s’étonner de la voir perdre de son prestige et de son influence à l’international, et notamment dans les pays francophones du continent africain, au profit de diverses puissances étrangères, bien heureuses de profiter d’une telle inconscience.

Victimes d’un environnement politico-médiatique incontestablement hostile en France, nos frères francophones du reste du monde, du Québec au Pacifique, et au nom de leurs propres intérêts, gagneraient à se faire davantage entendre, à se décomplexer et à ne plus hésiter à demander de claires explications à leurs confrères et homologues de France, en cas de double discours et d’attitude jugée néfaste au monde francophone, et donc aux intérêts de l’ensemble des pays et peuples francophones (dont le peuple français lui-même…).




La contre-révolution — « Savez-vous quelle heure il est ? »

[Source : lesakerfrancophone.fr]


Les États-Unis et l’Europe ont foncé effrontément dans des pièges qu’ils ont eux-mêmes créés.


Par Alastair Crooke – Le 24 juillet 2023 — Source Strategic Culture

Pour être franc, les États-Unis et l’Europe ont foncé effrontément dans des pièges qu’ils ont eux-mêmes créés. Pris dans les mensonges et les tromperies tissés autour du prétendu héritage d’un ADN culturel supérieur (garantissant, dit-on, une victoire presque certaine), l’Occident s’éveille à un désastre qui se rapproche rapidement et auquel il n’y a pas de solution facile. L’exceptionnalisme culturel et la perspective d’une « victoire » évidente sur la Russie se dissipent rapidement — mais la sortie de l’illusion est à la fois lente et humiliante.

La dévastation à venir n’est pas seulement centrée sur l’échec de l’offensive en Ukraine et sur la faiblesse de l’OTAN. Elle comprend des facteurs qui se sont développés au fil des ans, mais qui atteignent leur point culminant de manière synchronisée.

Aux États-Unis, la période précédant des élections capitales est en cours. Les Démocrates sont dans l’embarras : le parti a depuis longtemps tourné le dos à ses anciens électeurs ouvriers, s’engageant à la place avec une « classe créative » urbaine dans un projet exalté d’« ingénierie sociale » de redressement moral, en alliance avec la Silicon Valley et la Nomenklatura permanente. Mais cette expérience a pris du plomb dans l’aile, devenant de plus en plus extrême et absurde. Les critiques se multiplient.

Comme on pouvait s’y attendre, la campagne Démocrate ne progresse pas. L’équipe Biden a un taux d’approbation très bas. Mais la famille Biden insiste sur le fait que Biden doit persévérer dans sa candidature et ne pas la céder à un autre. Que Biden reste ou qu’il parte, il n’y a pas de solution toute faite à l’énigme d’un parti qui ne fonctionne pas et qui n’a pas de plateforme.

Le paysage électoral est en désordre. L’artillerie lourde de la « guerre judiciaire » est destinée à briser les défenses de Trump et à le chasser du terrain, tandis que l’attrition des révélations sur les malversations de la famille Biden est destinée à user et à faire imploser la bulle Biden. L’establishment Démocrate est également effrayé par la manœuvre de la candidature de R. F. Kennedy à la marge qui fait rapidement boule de neige.

En d’autres termes, l’idéologie Démocrate woke de la réparation historique est en train de séparer les États-Unis en deux nations vivants sur une même terre. Elles ne sont pas tant divisées entre « Rouges ou Bleus », ou entre classes sociales, mais entre des « façons d’être » irréconciliables. Les anciennes catégories — Gauche, Droite, Démocrate ou Républicains — sont en train d’être dissoutes par une guerre culturelle qui ne respecte aucune catégorie, dépassant les frontières de la classe et de l’appartenance à un parti. En effet, même les minorités ethniques ont été aliénées par les zélotes qui veulent sexualiser les enfants dès l’âge de 5 ans et par l’imposition de l’agenda trans aux enfants scolarisés.

L’Ukraine a servi de soupape à l’ordre ancien et est devenue la pierre qui pend au cou de l’administration Biden : comment faire passer la débâcle imminente de l’Ukraine pour une « mission accomplie » ? Est-ce possible ? Parce que l’échappatoire d’un cessez-le-feu et d’une ligne de contact gelée est inacceptable pour Moscou. En bref, la « guerre de Biden » ne peut pas continuer ainsi, mais on ne peut pas non plus faire « autre chose » sans s’exposer à l’humiliation. Le mythe de la puissance américaine, de la compétence de l’OTAN et de la réputation de l’armement américain est en jeu.

Le récit économique (« tout va bien ») est sur le point, pour des raisons quelque peu indépendantes les unes des autres, de tourner au vinaigre. La dette devient — enfin — une menace qui pèse sur l’économie. Le crédit se resserre. Le mois prochain, le bloc BRICS-OCS prendra les premières mesures stratégiques pour libérer jusqu’à 40 pays du dollar. Qui achètera alors — aujourd’hui et à l’avenir — les 1 100 milliards de dollars de bons du Trésor de Mme Yellen qui sont nécessaires pour financer les dépenses du gouvernement américain ?

Ces événements sont apparemment déconnectés les uns des autres, mais en réalité, ils forment une boucle qui se renforce d’elle-même. Une boucle qui conduit à un « bank run politique » envers la crédibilité même des États-Unis.

Face à ces nombreux problèmes — et à l’absence de solutions — l’humeur de certains secteurs de l’électorat est radicale et de plus en plus iconoclaste. Un esprit contre-révolutionnaire, peut-être. Il est trop tôt pour dire s’il emportera la majorité, mais c’est possible, car le radicalisme vient des deux ailes : la base du GOP et le « camp » Kennedy.

Un groupe d’électeurs du GOP divise les dirigeants conservateurs en deux camps : ceux qui « savent l’heure qu’il est » et ceux qui ne le savent pas. C’est le slogan de la droite qui est devenu de plus en plus important pour une aile importante du parti qui voit un pays affaibli et corrompu par l’idéologie ; qui estime qu’il n’y a presque plus rien à « conserver ». Le renversement de l’ordre post-américain existant et le rétablissement des anciens principes de l’Amérique dans la pratique sont préconisés comme une sorte de contre-révolution — et comme la seule voie à suivre.

L’aphorisme « savoir quelle heure il est » fait référence à un sentiment d’urgence émergeant et à un enthousiasme pour une action d’envergure parmi les conservateurs à l’esprit plus populiste, et non à des débats académiques interminables et ennuyeux.

« Le postulat est que la lutte contre le pouvoir culturel woke est existentielle et que les tactiques extrêmes qui choqueraient l’ancienne génération de conservateurs doivent être la norme ».

En fait, si un dirigeant n’est pas choquant dans sa conduite et ses propositions, il ou elle « ne sait probablement pas quelle heure il est ».

La deuxième caractéristique de cette mentalité « nous contre eux » est que tout consensus politique déclenche ipso facto la suspicion et devient un objet d’attaque.

« Lorsque l’on s’en rend compte, ce qui ressemble d’abord à un méli-mélo d’idées différentes semble plus unifié. La politique de santé Covid, le dégoût du 6 janvier, le budget du Pentagone, l’immigration, le soutien à l’Ukraine, la promotion de la diversité raciale, les droits des transsexuels — autant de sujets qui bénéficient d’un certain consensus bipartisan au sein de l’élite. Mais pour l’aile Tucker Carlson, les Républicains qui défendent ces idées ne savent tout simplement pas quelle heure il est », explique Politico.

Ce qui est frappant dans cette formulation, c’est que tout comme le soutien sans réserve aux pratiques réglementaires Covid était un « marqueur » de « bien-pensance » à l’époque de la pandémie, le soutien à l’Ukraine est défini comme un « marqueur » de pensée libérale correcte (et d’appartenance à l’équipe) dans l’ère post-pandémique.

Cela suggère que — d’ores et déjà et à l’approche des élections — l’Ukraine ne fera plus l’objet d’un soutien bipartisan, mais deviendra plutôt une épée utilisée contre l’establishment détesté du Parti unique, et tout soupçon d’erreur majeure deviendra une pièce maîtresse dans cette guerre contre-révolutionnaire.

Le GOP a le sentiment que la culture américaine a dérapé : la législation a été bloquée au Congrès au début du mois, lorsque l’ancien sacro-saint projet de loi sur la défense du Pentagone est devenu la cible d’amendements relatifs à la guerre culturelle sur l’avortement, la diversité et le genre, qui risquaient d’en faire échouer le processus d’adoption. Le président McCarthy a été contraint d’accepter la rébellion de l’extrême droite contre le projet de loi sur le budget de la défense et de le faire adopter, sans le soutien bipartisan habituel.

Les mesures suppriment le financement des initiatives en faveur de la diversité dans l’armée et ajoutent des restrictions sur l’avortement et les soins aux transgenres pour les membres des forces armées. Les législateurs ont déclaré avoir agi ainsi parce que l’idéologie libérale affaiblissait l’armée. Mais ces amendements mettent en péril le projet de loi au Sénat, qui est contrôlé par les Démocrates.

Les sentiments exacerbés des deux camps se reflètent dans un sondage qui révèle qu’environ 80 % des Républicains pensent que le programme des Démocrates « s’il n’est pas stoppé, détruira l’Amérique telle que nous la connaissons ». Selon un sondage réalisé par NBC News à l’automne dernier, environ la même proportion de Démocrates craint le programme des Républicains, estimant qu’il détruira le pays.

Le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, souligne le rôle de Tucker Carlson qui consiste à « dire la vérité au public américain ». Carlson comprend les « fissures dans le consensus économique, les fissures dans la politique étrangère et, ce qui est le plus important pour moi, comme certains conservateurs aiment à le dire : [il sait] “quelle heure il est » ».

Carlson reproche au GOP, favorable aux entreprises, de se montrer complaisant à l’égard des sociétés qui ont délocalisé des emplois dans l’industrie manufacturière. Il a fait de la critique des conservateurs à l’égard des opérations chirurgicales de transition de genre pour les mineurs un courant dominant. En matière de politique sociale et fiscale, Carlson est allé là où les conservateurs plus traditionnels ne voulaient pas aller. Et son influence était incontestable.

« L’élément clé », a déclaré Roberts, « c’est que Tucker se considère comme ayant une obligation morale au nom du conservateur moyen ».

Les Démocrates et d’autres membres du camp libéral affirment toutefois que la guerre culturelle du GOP n’est qu’un retour de bâton contre une plus grande acceptation de la diversité croissante de la nation, qui, selon eux, aurait dû avoir lieu il y a longtemps en Amérique.

« La contre-révolution a transformé la prochaine course à la Maison-Blanche en un moment existentiel. Très peu de gens parlent de la réforme fiscale, et tout le monde parle des questions culturelles », a déclaré un dirigeant Républicain ; « ils considèrent la politique comme une question de vie ou de mort ».

Le candidat à la présidence du GOP, Ramaswamy, qui s’est exprimé au début du mois, a mis en garde contre la disparition du patriotisme, du travail acharné et d’autres valeurs :

« C’est alors que le poison commence à remplir le vide — wokisme, transgenrisme, climatisme, covidisme, dépression, anxiété, consommation de drogues, suicide ».

Un feu d’artifice s’annonce donc aux États-Unis. En Europe, en revanche, rares sont ceux qui « savent l’heure qu’il est ». La guerre culturelle a, comme prévu, affaibli le sentiment d’appartenance collective aux différentes cultures européennes. Et les réactions sont discrètes. L’Europe reste globalement torpide et léthargique (la classe dirigeante compte sur ce dernier point pour sa survie).

Cependant, alors que les feux d’artifice américains illuminent le ciel politique, la résonance en Europe est presque certaine. Les Européens se méfient de leurs élites et de la technocratie bruxelloise de la même manière que les communautés Carlson-Kennedy.

Les euro-élites méprisent le peuple. Les Européens ordinaires savent que leurs dirigeants les considèrent avec mépris — et savent que leurs élites le savent aussi.

Le feu qui fera fondre le fer européen est l’économie : une série de mauvaises décisions a hypothéqué l’avenir économique de l’Europe pour les années à venir. L’austérité arrive. Et l’inflation ravage le niveau de vie des citoyens, voire leur capacité à vivre.

Un feu d’artifice s’annonce pour l’Europe, mais lentement. Il a déjà commencé (les gouvernements tombent), mais les États-Unis sont à l’avant-garde d’un changement radical, car l’Occident perd son emprise sur le méta-récit selon lequel sa « vision » est le paradigme unique à travers lequel la « vision » du monde doit également être façonnée. Un bouleversement qui change tout.

Alastair Crooke

Traduit par Zineb, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




APEEL — Revêtement protecteur utilisé pour les fruits et légumes, faussement présenté comme nocif pour le corps humain

[Source : logically.ai]

Par Ankita Kulkarni

La fiche de données de sécurité d’un produit de nettoyage a été communiquée de manière incorrecte. Apeel Edipeel, utilisé sur les fruits et légumes, répond aux exigences de la FDA et de la FCC.

Contexte

Un utilisateur de Facebook a récemment affirmé que l’étiquette « Apeel » collée sur les fruits et légumes est nocive pour le corps humain et que les produits dans lesquels Bill Gates, cofondateur de Microsoft, investit devraient être évités, car ils sont nocifs. L’utilisateur a partagé trois photos : l’une représente un concombre portant un autocollant « Apeel », et les deux autres sont des pages d’une fiche de données de sécurité de l’Apeel. Sous le sous-titre « Déclarations de danger », le document indique : « Provoque de graves lésions oculaires. Peut provoquer une réaction allergique cutanée. Nocif pour la vie aquatique avec des effets à long terme. »

Partageant ces images, l’utilisateur affirme : « Évitez tout ce qui est étiqueté Apeel, Bill Gates finance des aliments qui provoquent des réactions cutanées, des lésions oculaires et qui sont nocifs pour le corps humain ! Ne touchez à rien de ce à quoi il est associé… même à un numéro de téléphone national d’urgence pour les intoxications ».

Cependant, la fiche de données de sécurité d’un autre produit a été déformée pour prétendre qu’il est utilisé pour enrober les fruits et les légumes.

En fait

Nous avons constaté que le logo d’Apeel sur l’autocollant et celui figurant sur le document de sécurité ne correspondaient pas. En effectuant une recherche d’image inversée du logo figurant sur l’autocollant, nous avons découvert que le logo de couleur verte est celui d’Apeel Sciences. Cette entreprise californienne fabrique un produit appelé Edipeel, une fine couche protectrice qui prolonge la durée de conservation des fruits et légumes frais en réduisant leur taux d’altération.

De même, le logo figurant sur le document de sécurité représente une entreprise britannique, Evans Vanodine, qui fabrique un produit de nettoyage sous le même nom, Apeel, qui est un nettoyant pour surfaces dures.

Le document de sécurité publié sur Facebook est disponible sur le site web d’Evans Vanodine. Les détails du produit précisent en effet : « Evans Apeel n’a aucun rapport avec Apeel Sceinces et ne doit pas être utilisé pour conserver les fruits et les légumes ». Ceci explique que le document de sécurité partagé dans le post n’est pas lié à Apeel Sciences.

Les informations relatives à la sécurité du produit Apeel Edipeel figurant sur le site web de l’entreprise indiquent qu’il répond aux exigences de la Food and Drug Administration (FDA) et qu’il s’agit d’un produit ne contenant pas d’animaux. Elle indique qu’Edipeel contient un mélange de « glycérolipides de qualité alimentaire dérivés d’huiles végétales comestibles », qui sont sûrs et comestibles. Les informations ajoutent que le produit comprend également des diglycérides d’acides gras, conformément aux spécifications établies par le Food Chemicals Codex (FCC). Les informations figurant sur le site web affirment en outre qu’une couche ou un enrobage de ces produits chimiques d’origine végétale maintient l’humidité à l’intérieur des fruits et l’oxygène à l’extérieur, ce qui réduit l’oxydation des légumes et des fruits.

[Source : https://www.apeel.com/us-en/product-safety-information

Edipeel d’Apeel est entièrement composé d’un mélange de glycérolipides de qualité alimentaire dérivés d’huiles végétales comestibles, en particulier les mono- et diglycérides d’acides gras, qui sont conformes aux spécifications établies par le Food Chemicals Codex (FCC), le Comité mixte FAO/OMS d’experts des additifs alimentaires (JECFA) et l’Union européenne.

]

En outre, il est vrai qu’Apeel Sciences est financée par Gates, selon les communiqués de presse publiés sur le site web de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Bill et Melinda Gates et sa fondation ont toujours été visés par plusieurs théories du complot falsifiées concernant la pandémie de COVID-19, les vaccins, le changement climatique et d’autres encore, qui étaient clairement fondées sur des hypothèses. Logically Facts a déjà démystifié ces fausses accusations, y compris les affirmations selon lesquelles il aurait créé le virus COVID-19 et, plus tard, les vaccins, dans un but lucratif.

[NDLR Ce qui par contre est factuel et fondé est le fait que Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et qu’il finance diverses compagnies pharmaceutiques et l’OMS, par le biais de sa fondation et de la GAVI.
Voir notamment :
Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN
Ce que nous dit Bill Gates en ce 30 avril 2020 concernant la vaccination mondiale
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

Le verdict

Le document de sécurité d’un produit de nettoyage portant le même nom, Apeel, a été incorrectement lié à l’affirmation selon laquelle Apeel Edipeel, qui produit une couche protectrice comestible pour les fruits et les légumes, est dangereux pour le corps humain. Par conséquent, nous avons marqué l’allégation comme fausse.

[Document relatif au produit de nettoyage Apeel
(https://www.evansvanodine.co.uk/assets/eng_apeel.pdf) :

]




Pierre-Antoine Plaquevent et la conspiration ploutocratique

Par Nicolas Bonnal

Voici un travail sensationnel, formidablement documenté et référencé. Il commence par un long rappel de la catastrophe vaccinale à travers non pas les âges, mais les mois et les années, catastrophe miraculeusement passée sous silence. On citera encore Guy Debord qui notait alors dans ses Commentaires :

« Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelques pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisée à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. Jamais il n’a été permis de leur mentir avec une si parfaite absence de conséquence. Le spectateur est seulement censé ignorer tout, ne mériter rien. »

L’excellence du travail de Pierre-Antoine Plaquevent permettra à tous les béotiens en la matière de maîtriser la plupart des paramètres de cette globalisation devenue folle et dangereuse. Le livre insiste aussi sur le péril chinois qui s’est manifesté lors de la crise du Covid et qui a démontré la collusion entre l’empire totalitaire chinois et l’OMS de l’effrayant Bill Gates. La progression de la tyrannie numérique et de la gouvernance totale — par-delà l’inconstante et bien vague gesticulation des Brics — n’échappe qu’aux aveugles qui en sont restés aux enfantillages des camps des bons et des méchants, à un manichéisme de théâtre. La réalité que montre la situation actuelle est totalement orwellienne : il y a une élite technocratique et politique qui se renforce partout et un troupeau politique qui se renforce partout dans son acceptation aberrante de la situation (servitude volontaire, que de crimes ne commettra-t-on pas en ton nom ?).

La gouvernance est rendue possible par les progrès de la science et de la technologie. Plaquevent invente un néologisme dans ce domaine : la technosophie.

« La volonté de transcender les capacités humaines par la technoscience et l’ingénierie génétique est un fil conducteur de sa pensée, une véritable gnose de la technique. J’emploie pour ma part le terme de technosophie pour designer cette croyance quasiment religieuse dans les capacités de transformation du genre humain et même de l’ensemble du vivant par la science et la technique. »

Pierre-Antoine rappelle les hauts faits de la famille Huxley dotée d’un pouvoir formidable après la Guerre grâce à l’UNESCO :

« En 1939, Julian Huxley était déjà à l’origine du Manifeste des généticiens, un écrit collectif qui s’intéressait aux moyens nécessaires pour l’amélioration sociale et biologique de l’humanité dans son ensemble. Parmi ceux-ci, était déjà envisagée l’idée d’une fédération. »

Le mondialisme est un humanisme et un transhumanisme !

Mais parlons d’un point de vue de lecteur : en tant que recenseur du présent permanent j’ai particulièrement apprécié l’aperçu historique qui dans ce livre montre l’ancienneté de cette conspiration essentiellement anglo-américaine. Les allusions à Galton notamment sont excellentes. J’ai parlé plusieurs fois de termites et de la hiérarchie de castes et de la resucée sacerdotale (cf. Abellio). Sur Galton Plaquevent écrit :

« Mais Galton lui donne un second sens : la race désigne une classe sociale. Les différences entre les classes sociales, visibles par la réussite sociale, s’expliquent par des facteurs héréditaires. C’est la démarche initiale à partir de laquelle il construira l’eugénisme. Il divise la “race anglaise” en trois classes sociales : l’aristocratie, à laquelle il s’identifie, qui correspond à l’élite et qu’il appelle les “désirables” (the gifted class), la bourgeoisie encore acceptable, mais sans talent particulier et une classe importante de pauvres qu’il appelle les “indésirables”. Selon Galton et ses contemporains, la pauvreté correspond à un état biologique : le pauvre est pauvre, car il est déterminé biologiquement ainsi. »

Le pauvre devient un indigne. On ne le sait que trop maintenant. Au fur et à mesure que les riches ne sont plus accablés d’impôts, les pauvres le sont. Et la dette de la nation savamment augmentée par chaque gouvernement est là pour les emprisonner puis les réduire.

Ces lignes sur Galton me semblent essentielles pour expliquer la situation française actuelle. Par exemple : on n’a plus de droite ni de gauche (au sens d’une vision culturelle ou idéologique du monde : il n’y a plus non plus de religion catholique). Par contre on a un président (vive cette constitution de la cinquième république, tant vantée par les imbéciles, et qui devait tôt ou tard nous mener à cette catastrophe dictatoriale) pour les riches ou, comme disait le peu regretté Hollande, les très riches. La mise en place de la ploutocratie progressiste avait été sentie par des esprits comme Drumont, Bernanos ou Céline (voyez mes textes sur cette question) ; et là, explique Plaquevent, elle a été mise en place dans le cadre d’une gouvernance technique, bancaire et sanitaire du monde. Dès les années 1910 Jack London en parle dans le Talon de fer en dénonçant une élite de businessmen qui désire bien faire (la philanthropie milliardaire) ; et Chesterton dans son roman à clés Un nommé Jeudi parle de cette conspiration milliardaire contre laquelle nations et policiers ne peuvent déjà plus rien. Les grands initiés et autres prédateurs (le Horla de Maupassant) ont gagné la partie.

Sur ce point précis de la conspiration milliardaire progressiste Plaquevent explique que :

« C’est en fait tout un milieu eugéniste de “gauche” libéral au sens anglo-saxon de ce terme) qui sera à l’origine de la fondation des grands organismes culturels, politiques et sanitaires de la gouvernance mondiale. Avec l’appui de grands argentiers mondialistes comme la famille Rockefeller, les bases d’une planification démographique globaliste et eugéniste furent élaborées et mises en place à cette époque, dans l’immédiat après-guerre. »

Les objectifs restent certains de ceux du nazisme, mais il va falloir s’y prendre of course autrement :

« Après la défaite militaro-politique de l’hérésie politique du socialisme internationaliste que fut le national-socialisme, l’eugénisme prenait désormais la forme unique et décomplexée d’un eugénisme humanitaire, projeté à l’échelle planétaire et cosmopolitique. »

Relire Smedley Butler sur cette proximité idéologique et comportementale entre nazisme et gouvernance dictatoriale-démocrate aux USA.

La dangerosité de ce monde moderne dominée par de progressistes forces d’argent n’est plus à démontrer ; la littérature populaire s’en est saisie (que l’on pense à Fantômas…) au début du vingtième siècle quand les 300 qui dirigent le monde (Rathenau) se connaissent déjà tous ; la guerre facilitera la gouvernance mondialiste une fois écrasée l’Allemagne (First we take Manhattan then we take Berlin comme dit la chanson du contre-initié Léonard C.). Gustave Le Rouge a publié un livre nommé la Conspiration des milliardaires… tous américains.

Mais restons à la nôtre d’époque. Plaquevent rappelle l’incroyable :

« Le 15 mai 2009, se réunissait à New-York un groupe restreint de milliardaires parmi les plus influents afin de débattre des “problèmes de la planète” selon l’expression consacrée. »

Comme on sait le problème de la planète, c’est nous, les huit milliards moins riches ! Pierre-Antoine ajoute :

« Parmi ceux-ci on retrouvait : Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner et Oprah Winfrey. Mais aussi d’autres personnalités moins connues du grand public francophone comme le couple d’affairistes Eli et Edythe Broad. »

Le dernier nommé semble avoir été un contre-initié de haut vol notamment dans le domaine de l’architecture. On reverra à ce sujet l’œuf du serpent de Bergman dont le message implicite est le suivant : « toutes les villes et constructions nouvelles n’avaient qu’un but de contrôle psychologique et social. »

Passons à la fameuse « bombe démographique », brandie par ceux-là mêmes qui remplissent nos villes de migrants pour aboutir à leurs fins.

Le livre évoque bien sûr ces menaces, notamment celles des démographes catastrophistes des années 60-70 (les Ehrlich) dont toutes les prédictions se sont révélées fausses. On lit, car c’est édifiant (cf. notre planète en ébullition) :

« Bien que ses vues restent inchangées en matière de démographie planétaire, Paul Ehrlich semble quelque peu obligé de refréner ses anxiétés compte tenu des nombreuses prophéties catastrophistes qu’il annonçait dans les années 70 et qui ne se sont pas réalisées. Parmi ces prédictions, on peut citer les suivantes dont certaines sont assez étonnantes :

« Dans dix ans, toute vie animale importante dans la mer aura disparu. De vastes zones côtières devront être évacuées à cause de la puanteur des poissons morts. »
« La chute des températures ferait s’enfoncer les calottes glaciaires dans l’océan, produisant “un raz-de-marée mondial qui pourrait anéantir une grande partie de l’humanité” et faire “monter le niveau de la mer de 60 à 100 pieds”. »

Soixante ans donc de tartines Rousseau relayées par Al Gore. Il semble que la montée non pas des océans, mais de l’imbécillité médiatique rende la croisade de ces fous possible aujourd’hui. Ici on retrouve le R.P. Bruckberger et cette obsession suicidaire de la race blanche rendue possible par une déchristianisation massive et totale (Notre-Dame, es-tu là ?).

Pierre-Antoine rappelle nûment :

« Surtout, comme nous le verrons plus loin, ce type de discours catastrophistes servira de prétexte à des formes d’ingérences dépopulationnistes à travers le monde entier. Interventions dont l’habillage humanitaire-sanitaire camoufle mal des objectifs très concrets de domination géopolitique. »

La dépopulation est déjà là en Europe, de la France à l’Allemagne en passant par la Pologne. Effondrement de la natalité et explosion de la mortalité. Sous Hollande et Macron (vive les socialos que dénonçait Trotski justement, toujours alliés des milliardaires et du capital américain depuis les années vingt), la natalité française est passée de 800 000 à 600 000. Ce dépeuplement voulu et coordonné est en bonne marche, accompagné d’une invasion migrante extravagante.

C’est Tocqueville qui écrit quelque part (je cite de mémoire) :

« Je pense, qu’à tout prendre, l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre… c’est de ce côté que les amis de la démocratie doivent sans cesse tourner avec inquiétude leurs regards ; car, si jamais l’inégalité permanente des conditions et l’aristocratie pénètrent de nouveau dans le monde, on peut prédire qu’elles y entreront par cette porte. »

Et l’objet de cette manufacture aujourd’hui c’est la biomasse humaine qu’il faut à la fois réduire et transformer. C’est nous.

On vous laisse découvrir ce merveilleux ouvrage immense et protéiforme (le tome deuxième est plus techno-scientifique et orienté sur les manipulations climatiques), véritable encyclopédie des conspirations ploutocratiques et génocidaires en cours. J’ai bien sûr insisté sur les points qui m’étaient le plus familiers (tout le monde n’est pas encyclopédiste !).




Bill Gates finance un programme de largage massif de moustiques OGM

[Source : MPI]

[Texte sur l’illustration :
« Le World Mosquito Program contribue à protéger les communautés du monde entier contre les maladies transmises par les moustiques. »]

Par Pierre-Alain Depauw

Saviez-vous que depuis 2022, le World Mosquito Program, financé notamment par la Fondation Bill Gates, libère chaque semaine 30 millions de moustiques modifiés à travers onze pays, répartis sur plusieurs continents, dont les autorités ont accepté cette expérience ?

Voici ce qu’on peut lire sur le site internet du World Mosquito Program :

Comme avec les « vaccins » contre le Covid 19, on se retrouve une fois de plus dans un programme expérimental à grande échelle, dont les initiateurs vous assurent que normalement il ne devrait pas entraîner de conséquences pour l’homme. Mais au rythme de trente millions de moustiques libérés chaque semaine à raison d’une trentaine par rue, il sera bien trop tard pour faire marche arrière si des scientifiques libres s’aperçoivent que les conséquences se révèlent désastreuses pour l’homme ou pour la nature.

Un « livreur » du World Mosquito Program libère une trentaine de moustiques contenus dans un récipient,
puis repart faire la même chose quelques rues plus loin.

Une expérience aux conséquences inconnues

Ce programme expérimental n’est en tout cas pas du goût de tous.
« Les gens n’ont pas consenti à faire partie de cette expérience de biopesticide en plein air », souligne le co-directeur de Californians for Pesticide Reform.
La Californie ayant été sélectionnée pour participer à l’expérience, huit législateurs démocrates ont exigé que les autorités rejettent le projet sans un examen approfondi de ses impacts potentiels.

La société de biotechnologie Oxitec a fait de la Californie le deuxième État américain — après la Floride — à avoir une libération expérimentale de ses moustiques génétiquement modifiés et a demandé un permis pour mener des recherches avec son produit sur 48 sites d’essai dans le comté de Tulare.

La libération expérimentale utiliserait l’espèce de moustique Aedes aegypti et viserait à réduire sa population dans le comté de Tulare.

Selon le California Department of Pesticide Regulation (DPR), entre 5 000 et 30 000 moustiques modifiés seraient libérés chaque semaine sur chaque site et le permis serait effectif jusqu’au 30 avril 2024.

[Voir aussi :
La Malaria aux USA grâce à Bill Gates ?]

Expérience suspendue en Californie

Alors qu’Oxitec a déjà agité la conclusion de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) selon laquelle de tels rejets n’affectent pas négativement les humains ou l’environnement, plusieurs législateurs californiens ont considéré qu’un examen de la proposition par l’EPA n’était pas suffisant et ont suspendu l’expérimentation sur le territoire californien. Mais elle se poursuit en Floride et dans d’autres pays.

« Des recherches scientifiques importantes sont encore nécessaires pour comprendre les préoccupations potentielles en matière de santé publique et d’environnement associées à la libération de ce nouvel insecte avant toute approbation », ont écrit plusieurs élus californiens.

« Nous croyons comprendre que, bien que l’EPA des États-Unis ait approuvé la libération des moustiques génétiquement modifiés en Californie, l’agence n’a pas procédé à un examen scientifique approfondi des impacts de cet insecte sur la santé publique ou l’environnement. La Californie doit exiger des informations plus nombreuses et de meilleure qualité avant toute approbation. »

Les législateurs ont suggéré que la DPR procède à un examen public des données de Floride concernant la libération expérimentale de moustiques génétiquement modifiés par l’État, organise des réunions publiques où les membres de la communauté peuvent exprimer leurs préoccupations et entendre des experts indépendants, et établit un comité consultatif scientifique indépendant pour examiner la proposition d’Oxitec.

« Avant d’autoriser l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés, le Département californien de la réglementation des pesticides devrait prévoir des règles claires et un examen des risques pour la santé publique et l’environnement liés à la libération des insectes dans le cadre d’un processus public », a déclaré Laura Friedman, membre de l’Assemblée qui représente Glendale.

« Il y a trop de facteurs inconnus sur la façon dont cela pourrait affecter notre biodiversité à long terme, y compris comment cela pourrait influencer les populations d’oiseaux, de chauves-souris, d’espèces de poissons et d’autres insectes. »

Rebecca Spector, directrice de la côte ouest au Center for Food Safety, a applaudi les législateurs pour avoir « pris des mesures pour protéger la santé publique et l’environnement des impacts inconnus des moustiques génétiquement modifiés ».

« Ils demandent à juste titre à DPR de mener un examen plus complet et des réunions publiques pour les résidents qui seront touchés, avant d’approuver ce permis », a déclaré M. Spector.

Angel Garcia, un résident du comté de Tulare qui est co-directeur de Californians for Pesticide Reform, considère qu’enquêter sur les effets de cette expérience est « une question de justice environnementale ».

La Fondation Bill Gates derrière le financement du World Mosquito Program

La Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec le Wellcome Trust, a accordé au World Mosquito Program 33,7 millions de dollars de fonds supplémentaires en septembre 2022.

Ces deux fondations ont déjà versé 124,6 millions de dollars américains depuis 2010 pour financer ce programme.




L’UNESCO met en garde contre l’utilisation des puces cérébrales comme « armes de modification de la personnalité »

[Source : cogiito.com]

Par Ramon Tomey

Une agence des Nations unies a mis en garde contre les implants cérébraux tels que le Neuralink d’Elon Musk, qui pourraient être utilisés comme « armes de modification de la personnalité ».

L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a lancé cet avertissement par l’intermédiaire de son Comité international de bioéthique (CIB). Selon le CIB, les neurotechnologies pourraient conduire à « de nouvelles possibilités de surveillance et de manipulation de l’esprit humain par le biais de la neuro-imagerie [et] de [programmes] d’altération de la personnalité ».

C’est pourquoi l’agence des Nations Unies élabore actuellement un « cadre éthique » mondial destiné à protéger l’humanité des abus potentiels de la technologie des puces cérébrales. L’UNESCO craint que ces abus ne soient accélérés par les progrès de l’intelligence artificielle (IA).

« Nous sommes sur la voie d’un monde dans lequel les algorithmes nous permettront de décoder les processus mentaux des gens »

a fait remarquer Gabriela Ramos, sous-directrice générale de l’UNESCO pour les sciences sociales et humaines. Elle a ajouté que les percées en neurotechnologie qui pourraient « manipuler directement les mécanismes cérébraux [des êtres humains], qui sous-tendent leurs intentions, leurs émotions et leurs décisions » ont des implications « considérables et potentiellement dangereuses ».

L’économiste Mariagrazia Squicciarini, qui dirige le bureau exécutif du secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO, partage le même sentiment. Elle a fait remarquer que la capacité des algorithmes d’apprentissage automatique à extraire rapidement des modèles de données complexes (telles que celles des scanners cérébraux IRMf) accélérera l’accès des puces cérébrales à l’esprit humain.

« C’est comme si on mettait les neurotechnologies sous stéroïdes », a déclaré M. Squicciarini, spécialiste des questions liées à l’intelligence artificielle.

Le CIB de l’UNESCO a organisé une conférence le 13 juillet, à laquelle ont participé 1 000 personnes. Les résultats de la conférence ont été publiés dans un rapport de 91 pages le 18 juillet.

« Le développement spectaculaire des neurotechnologies — ainsi que des nouvelles biotechnologies, nanotechnologies et [technologies de l’information et de la communication] — rend les machines de plus en plus humanoïdes », indique le rapport. « Les gens sont de plus en plus connectés aux machines et à l’IA.

« Il est nécessaire d’anticiper les effets de la mise en œuvre des neurotechnologies. Il existe un lien direct entre la liberté de pensée, l’État de droit et la démocratie. »

Musk décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente »
Selon le rapport du CIB, les neurotechnologies remettent en cause « certains aspects fondamentaux de la dignité humaine, tels que la confidentialité de la vie mentale ou l’autonomie individuelle ». Pour y remédier, le comité a appelé à une plus grande transparence de la recherche en neurotechnologie dans l’industrie et le monde universitaire. Elle a également appelé à l’élaboration de « neurodroits » à inclure dans la législation internationale sur les droits de l’homme.

La mise en garde de l’UNESCO concernant les neurotechnologies fait suite à l’approbation fédérale accordée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à Neuralink de Musk pour la réalisation d’essais sur l’homme. Les implants Neuralink connecteront le cerveau au nuage par l’intermédiaire d’électrodes filiformes cousues dans certaines zones du cerveau. Ces électrodes communiqueront avec une puce pour lire les signaux produits par les neurones du cerveau. (Voir aussi : La FDA approuve les implants cérébraux Neuralink d’Elon Musk qui visent à CONTRÔLER l’esprit humain).

« Comme les signaux des neurones sont directement traduits en commandes motrices, Neuralink pourrait permettre aux humains de contrôler des technologies externes […] [et de retrouver] des fonctions corporelles ou des mouvements musculaires perdus grâce à leur esprit », note le Daily Mail.

Musk lui-même a décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente ».

[Voir aussi :

Blackrock ou Rockfeller aux manettes de la fusion cerveau-cloud. Bientôt l’internet des pensées

Par SENTA DEPUYDT

Juin 2023, Precision Neuroscience lance sa 1ère étude sur le cerveau et la technologie d’interface neurale.

Article publié le JUILLET 31, 2023 par Liliane Held Khawam sur son blog que je vous conseille de visiter ! www.lilianeheldkhawam.com (ne manquez pas non plus son e-book « Dépossession » téléchargeable gratuitement en fin de post).

FIGURE 1. Représentation artistique des neurones (avec des processus bleus) et des cellules gliales (blanches).
[Crédit image : Yuriy Svidinenko, Nanobotmodels Company].

]

Alors que le magnat de la technologie s’est concentré sur les avantages potentiels de Neuralink, les autorités fédérales de réglementation des États-Unis ont mis l’accent sur sa capacité de nuisance. L’entreprise a fait l’objet d’une enquête de l’inspecteur général du ministère américain de l’Agriculture pour violation potentielle de la loi sur le bien-être des animaux (Animal Welfare Act). L’enquête, lancée à la demande d’un procureur fédéral, s’est concentrée sur les « souffrances extrêmes » subies par les singes sur lesquels les implants cérébraux ont été testés.

Le rapport du CIB attire particulièrement l’attention sur les risques posés par les technologies de puces cérébrales à « double usage », qui peuvent être facilement reprogrammées à des fins malveillantes. Selon le rapport, ces technologies ont « le potentiel d’aggraver les inégalités sociales, de porter atteinte à la vie privée des individus et de fournir des méthodes de manipulation des individus ».

« Les progrès révolutionnaires de la neurotechnologie offrent un potentiel sans précédent », a finalement fait remarquer M. Ramos.

« Mais nous devons rester conscients de ses effets négatifs si elle est utilisée à des fins malveillantes. Nous devons agir maintenant pour nous assurer qu’elles ne sont pas utilisées à mauvais escient et qu’elles ne menacent pas nos sociétés et nos démocraties. »

Visitez FutureTech.news pour d’autres articles sur les neurotechnologies sous forme d’implants cérébraux.

Regardez cette vidéo qui explique pourquoi la neurosurveillance et les armes de modification de la personnalité — sous forme d’implants cérébraux — inaugurent la prochaine étape du transhumanisme.



Cette vidéo provient de la chaîne RogueRunnerRanch sur Brighteon.com.

Des sujets en rapport :

Neuralink brain implants are ready for injection into humans, says Elon Musk.

Elon Musk’s Neuralink wants to start implanting their own brain chips in people.

Ethical questions raised after Elon Musk’s Neuralink company implants chip in monkey’s brain.

Sources:

GlobalResearch.ca

DailyMail.co.uk

Brighteon.com




Archéologie en Terre d’Israël — Les 10 tribus retrouvées

[Source : imineo Documentaires via michelledastier.com]

Les 10 tribus retrouvées (68’42)
La Torah et le Sermon sur la montagne (52’35)




RFK Jr. et les juifs, qu’en dirait le Dr. Freud ?

[Source : plumenclume.com]

Par Kevin Barrett

Dire que RFK Jr. fait tout son possible pour éviter d’offenser les Juifs serait un euphémisme. Il se présente comme le plus grand ami au monde du peuple juif en général et de l’État juif (suprémaciste) d’Israël en particulier.

Le premier article grand public qui a couvert la course présidentielle de RFK avec une tournure positive était l’article de David Samuels dans le magazine juif Tablet. Mais depuis lors, il n’y a pas vraiment eu de vague de soutien à Kennedy dans la communauté juive dominante. Mis à part les valeurs aberrantes qui pratiquent la libre-pensée comme Naomi Wolf et certains de mes invités à la radio (Josh Mitteldorf, Barry Kissin, Steve Brown, Ron Rattner), il semble que la plupart des juifs américains, ou du moins leur aile médiatique, voient la candidature de RFK Jr. avec appréhension. [Voir à la fin de l’article le rôle de Dennis Kucinich].

Cette inquiétude s’est métamorphosée en dénonciation hystérique la semaine dernière, lorsque les remarques « hors micro » du candidat sur les armes biologiques spécifiques qui épargnent certaines ethnies et le COVID-19 ont déclenché le plus grand festival de haine médiatique (accusations d’antisémitisme) de deux minutes depuis que Kanye West est devenu Defcon 31. Le York Post a publié l’histoire avec un gros titre mensonger : « RFK Jr. dit que le COVID était “ethniquement ciblé” pour épargner les Juifs. » Ce que Kennedy a réellement dit, dans une conversation informelle, était :

Sur le COVID 19. Il existe un argument selon lequel il est ethniquement ciblé. Le COVID-19 attaque certaines races de manière disproportionnée. COVID-19 est ciblé pour attaquer les Caucasiens et les Noirs. Les personnes les plus immunisées sont les Juifs ashkénazes et les Chinois… Nous ne savons pas si cela a été délibérément ciblé ou non, mais il existe des articles qui montrent les différences raciales ou ethniques et leur impact.

Le candidat pourrait être accusé à juste titre d’hyperbole : l’étude qu’il citait n’indiquait pas à quel point le COVID affectait de manière disproportionnée différentes ethnies, mais n’analysait qu’un seul facteur génétique, qui pouvait ou non avoir eu beaucoup d’effet dans le monde réel. Mais cette étude dit à peu près ce que RFK dit qu’elle fait. Ce qu’il ne dit pas, et ce que RFK Jr. n’a pas dit, c’est que le COVID serait une arme biologique judéo-chinoise conçue pour tuer des Blancs et des Noirs.

Debbie Wasserman Schultz

Mais vous ne risquiez pas de l’apprendre d’après la couverture médiatique. Vous ne le sauriez pas non plus à partir des remarques de représentants du Congrès comme Debbie Wasserman Schulz

[« Représentante au Congrès fédéral depuis 2005, elle est présidente du Comité national démocrate de 2011 à 2016. Elle est auparavant membre de la Chambre des représentants de Floride (entre 1992 et 2000), et du Sénat de Floride (de 2000 à 2004). Elle est la première femme de confession juive à être élue à un poste parlementaire en Floride. »]. C’est elle qui a tenté de censurer le témoignage anti-censure de Kennedy, en disant « M. Kennedy a fait à plusieurs reprises des commentaires antisémites et anti-asiatiques ignobles. »

La chasse aux sorcières, bien sûr, n’était pas surprenante. Ce qui était surprenant, c’est que RFK Jr. disait quelque chose qui ne demandait qu’à être mal interprété comme « antisémite ». C’est le gars, après tout, qui se présente comme le candidat le plus pro-juif et pro-israélien de l’univers connu. Pourquoi évoquerait-il même l’étude du « ciblage ethnique », et encore moins l’exagère-t-il de manière à pratiquement forcer l’ADL et ses amis à l’accuser d’accuser les juifs du COVID ?

Certains partisans de RFK pourraient se demander si leur héros, comme Trump avant lui, joue aux échecs en 3 D. Peut-être que RFK sait très bien qui a vraiment tué son père et son oncle. Dans ce cas, son truc pro-israélien philosémitique exagéré serait une ruse. Comme son père avant lui, qui a publiquement gardé le silence sur le meurtre de son frère JFK dans l’espoir de remporter la présidence et d’annuler le coup d’État, RFK Jr. pourrait souffler de la fumée (pro-sioniste) pour camoufler la réalité de sa mission. Aurait-il pu délibérément provoquer les attaques hystériques afin d’obtenir une publicité gratuite et de laisser les médias et l’establishment politique se discréditer davantage — le genre de chose dont Trump a fait une carrière politique ?

Tout bien considéré, le scénario d’échecs en 3D est peu probable. RFK est nettement plus intelligent que Trump, mais il est moins manipulateur. Contrairement à Trump, RFK est sincère. Il est le candidat de « ce que vous voyez, c’est ce que vous obtenez ». Je ne pense pas qu’il mente ou qu’il soit manipulateur lorsqu’il professe un amour éternel pour Israël, une haine pour l’Allemagne nazie et une inquiétude concernant le COVID affectant différemment les ethnies à la lumière de ce que nous savons sur la recherche en matière d’armes biologiques spécifiques à l’ethnie.

Mais la question demeure : pourquoi Kennedy est-il si irrationnellement extrémiste dans son soutien à Israël ? Et pourquoi a-t-il exagéré de manière intempestive l’étude COVID-ethnicité de manière à susciter les attaques ? Son sionisme furieux dans la ligne Likudnik et sa spéculation « antisémite » irréfléchie sur les armes biologiques semblent, dirons-nous, immodérés, voire un peu déséquilibrés.

Freud et les mécanismes de défense

Alors mettons RFK Jr. sur le divan proverbial du Dr Freud. Freud a inventé le terme formation réactionnelle :

« un mécanisme de défense dans lequel les gens expriment le contraire de leurs véritables sentiments, parfois de manière exagérée. Par exemple, un homme qui ne se sent pas sûr de sa masculinité pourrait agir de manière trop agressive. Ou une femme souffrant de troubles liés à l’utilisation de substances peut vanter les mérites de l’abstinence. »

Dans de nombreux cas, les sujets ne sont même pas conscients de leurs vrais sentiments. Le pacifiste qui est si belliqueux dans son pacifisme qu’il déclenche toujours des combats — j’en ai connu plusieurs — ignore généralement que sa véritable motivation n’est pas le dévouement à la paix, mais une agression intérieure qui couve. Et puis il y a les personnes avides, ambitieuses, compétitives et matérialistes qui adoptent la politique de gauche pour dissimuler leurs véritables sentiments à propos de l’argent et du statut social. J’en ai connu plus que quelques-uns aussi. Et ne me lancez pas sur les fanatiques anti-réchauffement climatique qui semblent penser que leurs bloviations sauveront le monde tandis que votre scepticisme le détruira, même si leurs modes de vie excessivement confortables émettent beaucoup plus de carbone par semaine que vous ne le faites dans un mois.

Les attitudes réactionnelles sont donc assez courantes et constituent souvent un grand moteur des opinions politiques des gens. L’extrémisme pro-israélien grossièrement exagéré et apparemment irrationnel de RFK Jr. a toutes les caractéristiques d’une formation réactionnelle classique. Si tel est le cas, Kennedy cacherait son hostilité réprimée envers l’État juif non seulement aux autres, mais aussi à lui-même.

Mais pourquoi Kennedy haïrait-il Israël, tout en restant dans le déni profond de ses vrais sentiments ? Pour la même raison que Hamlet détestait son beau-père Claudius, mais ne pouvait se résoudre à agir. Israël a tué le père de Kennedy, tout comme Claudius avait tué celui d’Hamlet. Mais tout comme Hamlet avait grandi dans la maison de Claudius, vulnérable au pouvoir despotique de Claudius, RFK Jr. a grandi dans l’Amérique post-coup d’État sioniste, comme un otage impuissant et sans défense. Les personnes vulnérables dans le foyer d’un agresseur, en particulier les enfants, ont tendance à s’identifier à l’agresseur : « un mécanisme inconscient dans lequel un individu s’identifie à quelqu’un qui représente une menace ou à un adversaire qui ne peut être maîtrisé. »2 Du point de vue de RFK Jr., ce serait les sionistes. Il s’identifie totalement à eux, même à leurs médiocrités les plus dégoûtantes et vulgaires comme le rabbin Shmuley Boteach, et se considère hyperboliquement comme le plus grand sioniste de tous.

Mais qu’en est-il de l’acte manqué ?

Si une formation réactionnelle explique l’ultra-sionisme de RFK, alors qu’est-ce qui explique son discours COVIDO-ciblé sur les Juifs ? Appelez à nouveau le Dr Freud !

En fait, vous n’avez pas vraiment besoin de connaissances psychanalytiques sérieuses pour comprendre celle-ci. L’hostilité réprimée et inconsciente de RFK envers les sionistes, tenue secrète par son attitude hyper-sioniste, a trouvé un moyen de s’exprimer. Ainsi, bien que RFK n’ait probablement jamais été conscient que ce qu’il disait ressemblait beaucoup à « le COVID était ciblé pour épargner les Juifs », son esprit inconscient était trop pressant et a en effet mis ces mots équivoques directement dans sa bouche.

À l’instar du lapsus freudien classique, ce type de scénario évasif illustre comment l’inconscient peut parfois court-circuiter l’esprit conscient et dire des vérités indescriptibles. Traduction : « Les scandaleuses conspirations juives anti-goy ne sont pas toujours imaginaires. » La réaction paranoïaque de gens comme Debby Wasserman Schulz n’est donc pas aussi folle qu’elle en a l’air : l’inconscient de Debby comprend l’essentiel de ce que dit l’inconscient de Bobby Kennedy jr, et il n’aime pas ça.

Traumatisme intergénérationnel

Les symptômes psychiatriques des deux côtés proviennent d’un traumatisme intergénérationnel profondément enraciné. RFK Jr., bien sûr, a grandi avec le traumatisme du meurtre ignoble de son président-oncle en 1963, et du meurtre tout aussi ignoble de son père (vraisemblablement par les mêmes intérêts) en 1968. Hamlet des temps modernes, il a passé ses années de formation sous une énorme pression sociale pour s’abstenir de défier les meurtriers de ses pères et oncles. Nous pourrions également spéculer sur les racines irlandaises de la famille Kennedy, des aïeux qui ont connu persécutions et génocides, qu’ils comparent parfois avec les souffrances de certains Juifs à la merci de prétendus antisémites qui les détestent soi-disant sans raison — mais n’allons pas là, de peur que certains de mes lecteurs moins éclairés ne commencent à succomber au déni irlandais de l’Holocauste.

Du côté de Debbie Wasserman-Schulz, le traumatisme intergénérationnel est apparemment si horrible qu’il ne peut être guéri que par des drogues psychédéliques. Dans « Peut-on guérir l’antisémitisme avec Molly ? » Rob Eshman, rédacteur en chef du Jewish Daily Forward, commence par une question :

« Si vous appreniez qu’une seule pilule a conduit un néonazi à renoncer à ses croyances haineuses, est-ce que vous :

  • Exigeriez plus de recherches pour savoir si la pilule fonctionne vraiment ?
  • Choisiriez d’ignorer les preuves existantes et continueriez à interdire la pilule ? »

Eshman note qu’Israël, la capitale mondiale de la MDMA [ecstasy], utilise la « drogue de l’amour » [principe actif de l’ecstasy] pour traiter le SSPT [syndrome de stress post-traumatique]. Nous pouvons imaginer que les tireurs d’élite tueurs d’enfants de Tsahal comme le tweeter « J’ai abattu 13 enfants aujourd’hui » sont progressivement ramenés à ce qui passe pour la normalité israélienne à l’aide de sessions psychédéliques qui recâblent leur cerveau pour l’amour (de leurs compatriotes juifs sionistes au moins) à la place de baver 24/7/365 la haine des enfants palestiniens (« petits serpents ») et des mères qui les portent.

Mais la MDMA peut-elle guérir la communauté juive sioniste de son cas collectif de SSPT vieux de 3000 ans ? Pour répondre à cette question, nous aurions besoin de savoir si les Juifs individuels souffrent réellement de la douleur ressentie par leurs ancêtres persécutés. Les scientifiques travaillent dur pour nous convaincre que c’est le cas.

Une autre explication de la raison pour laquelle tant de Juifs ultra-privilégiés souffrent tant de mémoires collectives historiques accuse la culture, et non la génétique. Le film Defamation montre de manière mémorable des enfants israéliens horriblement traumatisés par leurs aînés, qui leur martèlent dans leur petite tête impressionnable que les goys veulent tous les exterminer.

Circoncision

Et en parlant de Juifs traumatisant des Juifs, qu’en est-il de la circoncision infantile ? Appelez le Dr Bowlby !

Des études sur l’attachement ont montré que les très jeunes enfants — les bébés, en réalité — sont extrêmement vulnérables aux traumatismes psychologiques. Une expérience terrible à l’âge de huit mois ou même avant est susceptible de ruiner votre vie d’une manière qu’une expérience bien pire à un âge plus avancé ne pourrait pas égaler. Les expériences traumatisantes impliquant des dommages au lien mère-enfant, en particulier, semblent être responsables d’une grande partie sinon de la majeure partie de la misère dans le monde. (Morale : Pour former une personne heureuse et paisible, gardez le bébé en contact peau à peau avec la mère, et allaitez à la demande, pendant les deux premières années de vie, comme le font de nombreuses cultures traditionnelles.)

Ce que vous ne voulez PAS faire, c’est arracher le bébé des bras de la mère et lui infliger une torture indescriptible en découpant la partie la plus sensible de son anatomie avec un couteau. Cela détruira le lien mère-enfant en raison de la trahison perçue de la mère envers son enfant (et créera une surcompensation sous la forme du syndrome de la mère juive) tout en formant un souvenir inconscient d’une attaque horrible par un étranger terrifiant. Plus tard dans la vie, l’enfant sera culturellement conditionné à transférer sa peur et son dégoût sur la figure imaginaire d’un nouvel étranger terrifiant : le goy maléfique qui veut nous tuer. C’est la formule parfaite pour créer une identité de groupe profondément névrotique et puissamment ethnocentrique.

Donc, pour résumer : la relation dysfonctionnelle de RFK Jr. avec le sionisme*— qui découle de la volonté de sionistes traumatisés comme Ben Gourion de commettre des crimes scandaleux afin de préserver les armes nucléaires dont ils imaginent avoir besoin pour sauver leur vie du mal – le goy qui déteste les juifs — est un gâchis complet. Je doute que même le meilleur thérapeute, armé de toute la MDMA d’Israël, puisse effectuer une guérison.

[Source : ] https://www.unz.com/kbarrett/rfk-jr-and-the-jews/


Note sur Dennis Kucinich

[Dans la publication originale de l’article, le commentaire n° 4, signé « Durruti », précise :

« Quant à RFK Jr, son ami Dennis Kucinich, est avec lui dans presque toutes ses apparitions publiques, y compris les témoignages devant les commissions du Congrès. Kucinich a, avec sa femme, visité des villes palestiniennes dans les territoires occupés et a parlé au nom du peuple palestinien à de nombreuses reprises »

(en mai 2023, RFK Jr a désigné Dennis Kucinich directeur de sa campagne pour les élections présidentielles de 2024).

Les oligarques sionistes ne sont pas dupes. Les attaques contre Kennedy par des membres du Congrès démocrate, tels que Debbie Wasserman Schultz, sont un effort des contrôleurs étrangers de notre nation pour bloquer la campagne de Kennedy, afin qu’ils n’aient pas à recourir à une option plus forte, qui pourrait révéler leur identité, même aux Américains les plus somnolents et les plus lâches. RAPPELEZ-VOUS que le père de R. Kennedy Jr, Robert Kennedy, a été assassiné, juste après avoir remporté l’investiture du Democrap Gang (par sa victoire électorale primaire dans notre plus grand [État le plus peuplé et le plus riche, la Californie]. Il n’a pas été autorisé à poursuivre son chemin direct vers notre présidence américaine.

Qu’arrivera-t-il à R Kennedy Jr, s’il obtient la nomination du Democrap Gang ? …]





Comment le cinéma reflète la société et annonce son devenir

[Source : Nicolas Bonnal et Avatar Media]






La « palestinisation » du monde à l’ère de la surveillance généralisée

La Palestine est une présence fantomatique dans les couloirs de notre imaginaire, un rappel insidieux du malheur qui nous guette tous. On l’oublie, mais elle ne nous oublie pas.

[Source : jeuneafrique.com]

[Illustration : Un militaire des forces israéliennes à Jérusalem-Est, le 10 mai 2023, pendant la destruction de la maison d’une famille palestinienne.
© Mostafa Alkharouf/Anadolu Agency via AFP]

Par Umar Timol
Poète et photographe mauricien

Le conflit israélo-palestinien. On s’en lasse au bout d’un moment, n’est-ce pas ? On nous en rebat les oreilles depuis des décennies. C’est une guerre ancestrale, religieuse. Une histoire sans fin. Elle est complexe. On n’y comprend pas grand-chose. On ne parviendra jamais, de toute façon, à établir la paix. Il y a d’autres urgences. D’autres priorités. L’économie est en ruines. Le monde est en feu. Et pourtant.

La Palestine est semblable à un fantôme qui a choisi de nous hanter, de déranger notre quiétude. On l’oublie, comme ces remords épuisants qu’on enfouit trop facilement dans les archives poussiéreuses de notre mémoire. Mais elle est une présence fantomatique dans les couloirs de notre imaginaire, un rappel insidieux du malheur qui nous guette tous. On l’oublie, mais elle ne nous oublie pas. Car elle est désormais notre destinée.

« Capitalisme transnational »

Dans un livre important, « War Against the People: Israel, the Palestinians, and Global Pacification » (Pluto Press), l’anthropologue israélien Jeff Halper met en lumière l’impunité dont jouit Israël, un pays qui pratique aujourd’hui ouvertement l’apartheid1 et qui soumet les Palestiniens à des atrocités quotidiennes. Est-ce dû à la culpabilité occidentale, liée à l’Holocauste ? Ou à la puissance du lobby sioniste, tel que l’Aipac2, qui pèse de tout son poids sur la politique étrangère des États-Unis au Moyen-Orient ? Ou tout simplement à de l’indifférence ?

L’hypothèse, très convaincante, de l’universitaire, étayée par des faits, est que de nombreux pays accordent leur soutien inconditionnel à Israël parce que ce pays est aujourd’hui au cœur de l’industrie de la « pacification mondiale », c’est-à-dire l’utilisation des technologies de la surveillance et de la force militaire pour exercer un contrôle sur les populations afin de perpétuer le « capitalisme transnational ». Il note qu’« Israël entretient des relations diplomatiques avec 157 pays, et pratiquement tous les accords et protocoles qu’Israël a signés avec eux contiennent des composantes militaires et de sécurité »3.

L’occupation des terres palestiniennes est ainsi loin d’être un problème, car « l’Occupation représente une ressource pour Israël à deux égards : économiquement, elle fournit un terrain d’essai pour le développement d’armes, de systèmes de sécurité, de modèles de contrôle de la population et de tactiques sans lesquels Israël ne pourrait pas rivaliser sur les marchés internationaux de l’armement et de la sécurité. Mais tout aussi important, le fait d’être une grande puissance militaire servant d’autres militaires et services de sécurité dans le monde entier confère à Israël un statut international parmi les hégémonies mondiales qu’il n’aurait pas autrement. »4

Israël n’a donc aucun intérêt à trouver une solution au problème palestinien. Au contraire, il doit veiller à ce qu’il perdure. Il en va de sa survie.

« Guerres de sécurisation »

Le capitalisme mondial, sous le poids de ses contradictions et de ses excès, est en train d’imploser. Les inégalités entre ceux qui ont tout et ceux qui n’ont rien ne cessent de croître. Les peuples ont soif et faim, ils crient, ils hurlent, ils sont révoltés, ils exigent des alternatives, ils réclament un monde différent. Face à cette montée des revendications qui ébranlent les fondements de leur pouvoir, les classes dirigeantes ont recours à des « guerres de sécurisation » (securocratic warfare). Tous les moyens sont bons pour pouvoir maîtriser les velléités révolutionnaires des contestataires. Et Israël fournit les outils indispensables à cette lutte menée par les structures oligarchiques contre « les damnés de la terre », pour reprendre les mots de Fanon.

Ce sont des équipements technologiques hyper sophistiqués (drones d’espionnage, satellites, robots, missiles, l’exemple le plus connu étant le logiciel espion Pegasus, qui a été utilisé par plus de vingt pays contre des journalistes, activistes des droits humains, leaders religieux, etc.), mais aussi des méthodes avérées, un « Matrix of control » (« il s’agit d’une série de mécanismes imbriqués, dont seulement quelques-uns nécessitent une occupation physique du territoire, qui permettent à Israël de contrôler tous les aspects de la vie palestinienne dans les territoires occupés »5, qui permet, selon Halper, de réaliser le fantasme des structures de domination qui est de « pouvoir exercer un contrôle biopolitique total ».6

Selon le journaliste Jonathan Cook, « si cet avenir dystopique continue de se déployer, New York, Londres, Berlin et Paris ressembleront de plus en plus à Naplouse, Hébron, Jérusalem-Est et Gaza. Et nous finirons tous par comprendre ce que signifie vivre dans un État de surveillance engagé dans une cyberguerre contre ceux sur lesquels il règne »7.

D’où la palestinisation du monde. Le corps palestinien est dans un sens devenu un corps universel. Ce corps qu’on surveille, qu’on épie, qu’on dompte, qu’on enferme, qu’on disloque, qu’on manipule, ce corps dont l’altérité est nécessairement subversive, ce corps qui est une menace, ce corps qui rend impossible le projet colonial, la subjugation économique, ce corps palestinien est le nôtre. Le projet de domination est quasi universel. Ce n’est qu’une question de degrés. Peu importe où vous habitez. Les logiques sont les mêmes. À chaque fois que le souffle d’un Palestinien s’éteint, c’est le souffle du monde, de notre monde qui s’éteint.

N’oublions cependant pas que les fantômes ne meurent jamais.

[Voir aussi :
Une enquête de l’Associated Press met la lumière sur l’usage des technologies anti-Covid à des fins de surveillance
Surveillance numérique des populations : vers un « crédit social » en Europe ?
La surveillance biométrique médicale commence à faire son chemin dans les voitures
État 2022 de la surveillance de masse aux USA
La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants
Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance
Surveillance, numérisation et traçage permanent
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom]





1ᵉʳ août 2023 : les nouvelles mesures vexatoires du gouvernement français, pour remplacer celles d’avant

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

[Illustration : photo BERTRAND GUAY / AFP]

Par Pierre-Emile Blairon

Les nouvelles mesures gouvernementales sont édictées, comme d’habitude, en plein été, un 1ᵉʳ août, quand tout le monde est en vacances, s’apprête à y aller, ou sur la route, en chemin de retour, de telle manière que ces mesures impopulaires passent inaperçues.

Nous allons détailler ces nouvelles mesures, mais il en est une qui détermine le calendrier, dès l’abord, c’est la fin du pass sanitaire, mesure entérinée par le Parlement le 26 juillet 2023, le gouvernement se donnant toutefois la possibilité d’y recourir encore en cas d’émergence d’un nouveau variant, par exemple, on n’est jamais trop prudent.

Cependant, la suppression de cette contrainte n’a rien de réjouissant : elle annonce simplement que nos « élites » ont trouvé encore mieux pour nous « emmerder », comme dit si bien le président de ce qui reste de notre pays : il s’agit des mesures concernant le pseudo-réchauffement climatique, qui vient remplacer dans la panoplie des mesures liberticides celles qui concernaient la pseudo-pandémie et autres fariboles. Le dessin qui accompagne ce texte est tout à fait parlant : en 2020, la pseudo-pandémie, en 2021, les pseudo-vaccins, en 2022, la pseudo-invasion russe (en réalité, la guerre déclenchée en Ukraine par l’OTAN et ses vassaux européens) et, en 2023, le pseudo-réchauffement climatique. Tout est « pseudo », tout est mensonge !

Toutes les décisions vexatoires qui vont désormais restreindre encore les libertés fondamentales des Français seront produites par cette nouvelle manipulation.

Vous avez aimé le Covid, le vaccin, la guerre en Ukraine ? Vous allez adorer l’urgence climatique. On dit que le diable se cache dans les détails, le pseudo-réchauffement climatique se cache dans chacune de ces nouvelles dispositions édictées à la sauvette.

Augmentation du prix de l’électricité de 10 %

En 2019, la France était le premier exportateur d’électricité au monde (17,3 % des exportations mondiales) grâce à la production de ses 56 centrales nucléaires. En août de l’année dernière, elle n’avait plus que 30 réacteurs en état de marche, notre gouvernement ayant stupidement (ou, pire et plus probable, en toute connaissance de cause) cédé aux injonctions pseudo-écologistes européennes et surtout allemandes de désactiver 14 réacteurs d’ici à 2035, les deux réacteurs de la centrale de Fessenheim étant désormais fermés et les 14 autres étant inactifs pour cause de « maintenance ». C’est désormais la Suède, suivie de l’Allemagne (quelle coïncidence !), qui sont les plus importants producteurs européens d’électricité.

Les Espagnols et les Portugais, eux, se sont séparés du système européen pour devenir indépendants sur ce point en ayant pour objectif de réduire la facture électrique des ménages et des entreprises de 30 %.

Et en France ? Eh bien, la même facture qui va baisser pour la péninsule ibérique va augmenter en France de 10 % pour les ménages et les toutes petites entreprises, ce qui entraînera un coût supplémentaire annuel de 160 euros en moyenne par ménage ou TPE.

Comment EDF explique-t-elle une telle situation ? En partie, par « une moindre disponibilité en 2022 des moyens de production d’électricité en France en raison de deux principaux facteurs : la sécheresse qui impacte la capacité de production des centrales hydrauliques », et par les opérations de maintenance sur les réacteurs nucléaires « qui cumulent celles reportées à la suite des contraintes liées à la crise sanitaire Covid et les nouvelles opérations nécessaires apparues entre-temps ».

On voit que le rédacteur de ce texte évoque une sécheresse (à venir ?) qui est tout aussi « pseudo » que le reste, de même que la pseudo-« crise sanitaire Covid ».

En réalité, le PDG d’EDF en poste alors, Jean-Bernard Levy, a vivement critiqué le projet du gouvernement de démanteler la filière nucléaire, c’est pour cette prise de position qu’il a été « remercié » : « On n’a pas de problèmes d’expertise, les compétences, les experts, on les a […]. On a beaucoup de chantiers en parallèle et, d’une certaine manière, on manque de bras, parce qu’on n’a pas assez d’équipes formées […]. Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux, trois ans pour le former », dit-il. « Et pourquoi on n’a pas assez d’équipes formées ? Parce que l’on nous a dit que le parc nucléaire va décliner, “préparez-vous à fermer des centrales”. Évidemment, on n’a pas embauché des gens pour en construire 12, on a embauché des gens pour en fermer 121 ».

Merci qui ? Merci, Macron !

La pseudo-sécheresse

Il a plu en Provence, fait exceptionnel, trois semaines durant, tous les jours, pendant une période à cheval entre mai et juin 2023. Nous sommes donc le 1ᵉʳ août 2023, et il pleut en France un peu partout comme vous le voyez sur cette capture d’image de Météo-France, sauf sur la Provence qui a déjà eu sa part. Rien de plus habituel. Mais la réalité importe peu à nos « élites » ; vous pouvez toujours prétendre que l’herbe est verte, vos dirigeants feront tout pour vous faire croire qu’elle est rouge.

J’ai vainement tenté de consulter les cartes proposées par le Ministère de la Transition écologique (propluvia.developpement-durable.gouv.fr) concernant l’emplacement géographique des restrictions d’eau et les arrêtés préfectoraux régissant ces restrictions, je tombe inévitablement sur le code 404 not found, ou sur les cartes éditées en 2022.

Beaucoup de fontaines en Provence ont été asséchées par décret préfectoral l’année dernière et leur débit n’a pas été rétabli alors que nos fontaines constituent un atout touristique indéniable dans le pays qui est le plus visité au monde.

Nombre de questions sur le sujet resteraient en suspens, et l’omerta gouvernementale aurait pu perdurer, si le sénateur Alain Houpert, au micro d’Alain Bercoff sur Sud-Radio le 12 avril 2023, ne nous avait alertés sur les raisons véritables de cette nouvelle manipulation. Il nous apprend, en effet, que le gouvernement français aurait signé un accord avec les pays du Golfe échangeant l’eau du territoire français contre des hydrocarbures à raison de 4 milliards de m³ par an, soit la totalité de la consommation des Français2. Cette eau serait acheminée par 66 tankers au départ de Fos et de Martigues, puisée dans la Durance et le Verdon via l’étang de Berre pour 800 millions de m³ et le reste… dans les nappes phréatiques ! alors, Français, évitez de vous doucher tous les jours, de laver votre voiture et d’arroser votre jardin pour que les magnats du pétrole puissent faire pousser des villes nouvelles dans le désert, comme ce projet titanesque dont les travaux ont déjà débuté, et dont Ouest-France du 14 janvier 2023 nous communique quelques caractéristiques :

« Imaginez un mélange des Los Angeles futuriste du film Blade Runner et de la Cité radieuse de Le Corbusier, en version écolo… “The Line”, un long immeuble monolithe recouvert de miroirs, large de 200 m et qui s’étire sur 170 km (et haut de 500 m, ndlr) abritant une ville futuriste, est le projet fou de Mohammed ben Salmane, dit “MBS”, prince héritier d’Arabie Saoudite3. »

[Voir aussi :
NEOM]

Mais on peut se demander, avec le sénateur Houpert, pourquoi Ben Salmane ne construit pas des usines de désalinisation à un prix bien inférieur à ce projet, au lieu de vouloir priver d’eau nos compatriotes, avec la complicité (pleine de duplicité) du gouvernement français ?

Les tickets de caisse supprimés

C’est le volet « amusant » de notre article par son absurdité et par son impréparation totale, si ce n’est que, depuis un an, les caissières de supermarché nous ont demandé systématiquement si nous voulions le ticket de caisse à la fin de nos achats. C’est comme pour un mariage : « oui, je le veux ». Les caissières ont bien appris de leurs supérieurs qu’il fallait promouvoir les mesures de « progrès », même si ça devait leur coûter leur emploi (là-dessus, leurs supérieurs sont restés muets) ; c’est ainsi qu’elles ont accepté avec enthousiasme de vous diriger vers les caisses automatiques qui constituent la mort certaine de leur activité au bénéfice des robots, mais surtout des patrons qui n’auront plus à gérer le personnel humain et ses inévitables complications.

Dans le même esprit, « par mesure d’économie », à partir de ce 1ᵉʳ août 2023, les tickets de caisse (ainsi que les reçus de carte bancaire) ne seront plus distribués automatiquement aux clients.

« À la caisse, il faudra dorénavant demander explicitement au vendeur l’impression du ticket de caisse pour tout achat. Cette mesure fait suite à la loi relative à la lutte contre le gaspillage votée en février 2020. Cette mesure doit permettre de faire des économies de papier, alors que 12 milliards de tickets de caisse sont imprimés chaque année dans l’Hexagone. »

(Les Échos, 29 juillet 2023.)

12 milliards de tickets, vu comme ça, ça paraît beaucoup. Mais mettons en parallèle ce nombre extravagant de 12 milliards avec la quantité de publicité papier déposé dans nos boîtes aux lettres, laquelle quantité ne souffre, elle, d’aucune restriction.

Il est distribué chaque année environ 1 million de tonnes de prospectus publicitaires dans les boîtes aux lettres françaises, au nombre d’environ 20 millions, ce qui correspond à 40 kg de prospectus par an et par boîte, soit 12 millions d’arbres abattus. Et savez-vous quelles entreprises distribuent massivement ces prospectus ? Oui, vous le savez : ce sont les super et hypermarchés à plus de 90 %. Comparez donc ces 40 kg de prospectus, c’est-à-dire 40 000 gr, dans votre boîte avec le poids de vos tickets de caisse pour une année, 100 gr, 150 gr, 200 gr ?

Voilà donc où se situe l’absurdité, on s’empressera de sourire, voire de rire franchement, sachant que le deuxième volet de cette loi permettra de « limiter l’exposition de la population aux substances dangereuses pour la santé présentes sur la majorité des tickets imprimés »

En revanche, vous pouvez manger sans problème les 40 kg de papier distribués dans votre boîte aux lettres pour les faire disparaître, tout comme il nous est recommandé de manger des insectes, ce qui n’est pas dangereux non plus ? À vrai dire, nos décideurs n’ont que faire de notre santé.

Et comment prouver, comme cela arrive très souvent, et toujours au bénéfice du vendeur, que vous avez acheté un produit qui s’avère défectueux, ou facturé à un prix qui ne correspond pas au prix vu sur l’étalage ? Eh bien, vous devrez laisser vos coordonnées, messagerie électronique, numéro de téléphone, et on vous enverra la note, si vous la demandez. Bien compliqué, n’est-ce pas ? Et, bien sûr, vos données personnelles seront « sauvegardées », ben voyons…

Enfin, et nous revenons au problème de l’eau, il faut savoir que la fabrication du papier est très consommatrice en eau puisqu’il faut environ 500 litres d’eau pour fabriquer 1 kg de papier. Là aussi, comparons les 40 000 gr de prospectus avec les 150 gr de tickets…

Il reste au consommateur un joker : nous pouvons demander à la caissière le ticket de caisse en papier, sur le champ, qui ne peut pas nous être refusé, même si l’on vous dit le contraire.

La chambre d’agriculture des Pyrénées-Orientales informe ainsi ses membres :

« Si le client en fait expressément la demande, vous ne pouvez pas refuser l’impression de son ticket, et ce, même si un ticket dématérialisé lui a été transmis. Vous n’avez pas, en tant que professionnel, l’obligation de demander formellement au client s’il souhaite ou non son ticket. C’est au consommateur qu’il revient de vous le réclamer. »

Tenez-vous le pour dit.

Déblocage du plan épargne logement

Dernière mesure édictée ce 1ᵉʳ août et qui ne semble pas concerner ce pseudo-réchauffement climatique, il s’agit de l’assouplissement des conditions d’usage du Plan d’épargne logement (PEL).

« Désormais, ce livret pourra être partiellement débloqué pour financer la rénovation thermique d’un logement. Jusqu’alors, le retrait des encours d’un PEL signifiait de facto la clôture du livret puisqu’il permettait uniquement l’achat d’un bien immobilier. Le gouvernement veut ainsi encourager la transition écologique au niveau des logements par la rénovation thermique, souvent très coûteuse, mais efficace en termes d’économies d’énergie. Grâce à ce mécanisme, les détenteurs d’un PEL pourront débloquer une partie des fonds pour financer des travaux thermiques sans clôturer le livret. » (Les Échos, 29 juillet 2023)

Eh bien oui, cette mesure concerne directement les « économies d’énergie » et va permettre la disparition plus rapide de nos villages. Il faut s’en reporter à notre article du 27 décembre 2022 sur ce même site : Comment faire disparaître radicalement le patrimoine français ?

Conclusion : Une pseudo-science journalistique massive

Il nous reste à conclure en citant les propos du prix Nobel de physique 2022, John Clauser (photo), qui lui a valu l’annulation de la conférence qu’il devait donner devant les membres du FMI, conférence intitulée Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en.

« Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est fait bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Difficile d’être plus clair.

« Il n’y a pas de crise climatique », insiste le spécialiste mondial de l’intrication quantique, usant ainsi d’une formulation qui fait un écho (sans doute volontaire) à la déclaration Clintel du même nom, qui rassemble plus de 1500 signatures, dont celle d’un autre prix Nobel de physique, Ivar Giaever.

« En revanche, ajoute Clauser, il y a un problème bien réel celui-là, qui est de fournir un niveau de vie décent à une large part de la population mondiale ». Le scientifique conclut sa déclaration en soulignant que la crise énergétique actuelle est « inutilement exacerbée par ce qui, à mon sens, est une science climatique incorrecte. »

(Valeurs actuelles du 10 mai 2023.)

Notes :

1 La Dépêche du 7 septembre 2022

2 « La consommation d’eau en France — essentiellement pour l’agriculture et l’eau potable — s’établit à 4,1 milliards de m³ en moyenne par an sur la période 2010-2019, selon la nouvelle estimation publiée mercredi par le Service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. » (ICI, France bleu, 30 mars 2023).

3 « The Line », ville futuriste de 170 km de long, verra-t-elle le jour en Arabie saoudite ?




Catherine Austin Fitts : « Nous construisons nous-mêmes les voies ferrées de la tyrannie. »

[Source : favoris-alcyonpleiades via santeglobale.world]

« Les nouvelles technologies sont utilisées pour modifier fondamentalement l’identité et le comportement des êtres humains. C’est pourquoi, pour moi, il est important d’éviter de créer un sentiment de désespoir et de penser qu’il faut inévitablement faire ce que dit Mr Mondialiste. En fait, si nous devons faire ce que dit Mr Mondialiste et qu’il n’y a pas d’espoir, pourquoi Mr Mondialiste a si peur ? »

[À partir de 1:00]






La Quinta Columna : « nous sommes confrontés à un parasitisme d’une autre espèce sur l’être humain… »

[Source : Brunolelosq via santeglobale.world]

Le docteur SEVILLANO montre que le but des dirigeants du monde est le NEUROMODULATION des êtres humains par les 5G et le graphène des injections et des chemtrails (entre autres…) pour en faire des NEUROESCLAVES.

[Voir aussi :
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
et plus généralement les dossier Implants numériques et Vaccins et virus]

Note de TAL : Cette vidéo est importante pour vraiment comprendre comment les génocidaires fous qui sont aux commandes agissent… Il faut en être conscients pour sortir de leur dictature.

[Note de Joseph : ces autres espèces évoquées sont probablement ce que les anciennes traditions appelaient les dieux serpents, la Bible les démons, la gnose chrétienne les Archontes, et l’ufologie moderne les races reptiliennes, dracos et petits gris. Ces entités possèdent et manipulent les élites mondiales psychopathes qui sous cette gouvernance depuis d’autres plans d’existence sont en train de finaliser le Nouvel Ordre Mondial, alias « Babylone » ou le règne de la Bête. Simple élucubration ? Ou réalité occultée ? L’avenir le dira.]






« Pass carbone » : leur plan dévoilé et c’est explosif !

[Source : @FLORIANPHILIPPOT1]

[À partir de 3:40]




Vidéo explosive de Trump pour les élections 2024




Mort au QI trop faible ?

Par Nicolas Bonnal

Mort au QI trop faible : Aldous Huxley et le nouveau principe d’Archimède : « Peut-être que les hommes de génie sont les seuls vrais hommes. Dans toute l’histoire de la race, il n’y a eu que quelques milliers d’hommes réels. Et nous autres, que sommes-nous ? Animaux enseignables. Sans l’aide des vrais hommes, nous n’aurions presque rien découvert du tout… Il y a eu des nations entières de chiens, pensais-je ; des époques entières où aucun Homme n’est né. » Toute cette littérature prétend justifier le génocide en préparation voulu par les élites mondialistes milliardaires.

L’eugénisme rejoint le transhumanisme : faire survivre seulement le riche-éduqué.

Aldous Huxley est comme on sait un prophète noir britannique qui a décrit et célébré (et non dénoncé, comme on croit à l’école) le cauchemar que nous allons vivre grâce aux gouvernements achetés et aux populations hébétées. Auteur d’une œuvre littéraire assez médiocre aussi, cet essayiste scientifique proche d’Harari à sa manière a annoncé la couleur (douleur) dans une nouvelle nommée « Le Jeune Archimède » que l’on pourrait résumer ici ainsi : si tu n’es pas Mozart ou Einstein, crève. Pierre Bourdieu avait parlé pendant les crises des années 90 de ce racisme de l’intelligence, racisme qui a depuis gagné le cerveau de crétins comme notre ministre de l’économie.

Le narrateur séjourne en Italie, repère un enfant surdoué (Harari sort aussi de ces écoles) ; et cela donne les réflexions suivantes :

« J’ai pensé aux grandes différences entre les êtres humains. On classe les hommes selon la couleur de leurs yeux et de leurs cheveux, la forme de leur crâne. Ne serait-il pas plus judicieux de les diviser en espèces intellectuelles ? Il y aurait des fossés encore plus larges entre les types mentaux extrêmes qu’entre un Bochiman et un Scandinave. Cet enfant, pensais-je, quand il sera grand, sera pour moi, intellectuellement, ce qu’un homme est pour un chien. Et il y a d’autres hommes et femmes qui sont, peut-être, presque comme des chiens pour moi. »

Donc il y a « les chiens et les Bochimans » qui à côté de Bill Gates ou d’Harari ne méritent pas de vivre (quand on voit comment Gates et Harari parlent ou écrivent l’anglais, on croit rire — mais passons). On continue ; seul le génie a droit à l’être et à l’âme :

« Peut-être que les hommes de génie sont les seuls vrais hommes. Dans toute l’histoire de la race, il n’y a eu que quelques milliers d’hommes réels. Et nous autres, que sommes-nous ? Animaux enseignables. Sans l’aide des vrais hommes, nous n’aurions presque rien découvert du tout. Presque toutes les idées qui nous sont familières n’auraient jamais pu venir à des esprits comme le nôtre. Plantez les graines là-bas et elles pousseront ; mais nos esprits n’auraient jamais pu les générer spontanément. »

Vaste prison de médiocres l’humanité doit son salut à une élite de cerveaux depuis réfugiés à Davos (lieu comme on sait de la Montagne magique de Mann — livre à relire pour comprendre ce qui arrive à l’Europe). Le reste c’est des chiens, des kelb comme on disait chez moi à La Goulette :

« Il y a eu des nations entières de chiens, pensais-je ; des époques entières où aucun Homme n’est né. Des Égyptiens ternes, les Grecs ont pris une expérience grossière et des règles empiriques et ont fait des sciences. Plus de mille ans se sont écoulés avant qu’Archimède ait un successeur comparable. Il n’y a eu qu’un seul Bouddha, un seul Jésus, un seul Bach à notre connaissance, un seul Michel-Ange. »

Huxley pleure la rareté des génies :

« Est-ce par hasard, me demandais-je, qu’un Homme naît de temps en temps ? Qu’est-ce qui fait qu’une constellation entière d’entre eux naissent en même temps et sont issus d’un seul peuple ? Taine pensait que Léonard, Michel-Ange et Raphaël étaient nés quand ils étaient parce que le temps était venu pour les grands peintres et la scène italienne sympathique. Dans la bouche d’un Français rationaliste du XIXe siècle, la doctrine est étrangement mystique ; cela n’en est peut-être pas moins vrai. Mais qu’en est-il de ceux qui sont nés hors du temps ? Blake, par exemple. Qu’en est-il de ceux-là ? »

Huxley passe ensuite aux généralités sur les enfants surdoués ; on croirait lire Rémy Chauvin que j’ai interviewé en 1992 — mais sur d’autres sujets plus amusants.

« Je pensais à cet étrange talent distinct et séparé du reste de l’esprit, indépendant, presque, de l’expérience. Les enfants prodiges typiques sont musicaux et mathématiques ; les autres talents mûrissent lentement sous l’influence de l’expérience émotionnelle et de la croissance. Jusqu’à trente ans, Balzac ne fit preuve que d’incompétence ; mais à quatre ans, le jeune Mozart était déjà musicien, et certaines des œuvres les plus brillantes de Pascal ont été réalisées avant qu’il ne soit sorti de son adolescence. »

Huxley devient éducateur de son enfant de chômeur :

« Dans les semaines qui ont suivi, j’ai alterné les cours quotidiens de piano avec des cours de mathématiques. Des conseils plutôt que des leçons qu’ils étaient ; car je ne faisais que des suggestions, indiquais des méthodes, et laissais à l’enfant le soin d’élaborer les idées en détail. Ainsi je l’initiai à l’algèbre en lui montrant une autre preuve du théorème de Pythagore. »

Il ne s’agit pas ici de contester l’enfance surdouée ou les Mozart : ils sont passés où d’ailleurs mon cher Huxley ? Et les Bruckner, et les Berlioz et les Mahler ? Ont-ils été trop vaccinés, comme le redoutait Rudolf Steiner (voir mon texte) ? Peut-on citer un seul compositeur, romancier ou même cinéaste de ce siècle de désastres ? Seuls les informaticiens des GAFAM sont tes surhommes ?

« Guido était aussi enchanté par les rudiments de l’algèbre qu’il l’aurait été si je lui avais donné une machine fonctionnant à la vapeur, avec une lampe à alcool méthylique pour chauffer la chaudière ; plus enchanté, peut-être, car le moteur se serait cassé, et, restant toujours lui-même, aurait de toute façon perdu de son charme, tandis que les rudiments d’algèbre continuaient de croître et de fleurir dans son esprit avec une luxuriance indéfectible. Chaque jour, il faisait la découverte de quelque chose qui lui paraissait d’une beauté exquise ; le nouveau jouet était inépuisable dans ses potentialités. »

Après évidemment le génie prend son air fatigué. Pensez à la gueule de Mathusalem de Bill Gates ou de golem raté de Schwab-Hariri. Fatigué de notre misère notre génie prend froid et meurt jeune :

« C’était un été exceptionnellement chaud. Au début de juillet, notre petit Robin, peu habitué à ces températures élevées, commença à avoir l’air pâle et fatigué ; il était apathique, avait perdu l’appétit et l’énergie. Le médecin a conseillé l’air de la montagne. Nous avons décidé de passer les dix ou douze prochaines semaines en Suisse. »

Ah, la Suisse, son pognon, ses montagnes magiques, ses coffres et son Davos ! Dostoïevski en a peur d’ailleurs. C’est dans l’Idiot (sic). On y reviendra.

Sources :

http://www.naturalthinker.net/AldousHuxley-Young-Archimedes.pdf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sur_la_télévision
Nicolas Bonnal — Petits écrits libertariens : Contre le monstre froid




Mgr Viganò : « Pour ou contre Notre-Seigneur Jésus-Christ »

[Source : medias-presse.info]

Par Carlo Maria Viganò, Archevêque

Et inimici hominis domestici ejus
[Et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.]

Conférence de S. Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

Université d’été organisée par le mouvement politique Civitas

Combattre le satanisme du Nouvel Ordre : Les clés de la victoire

– Version de cette conférence en anglais
– Version de cette conférence en espagnol
– Version de cette conférence en italien
– Vidéo de la conférence en français

Pontmain, samedi 29 juillet 2023

34 Ne croyez pas que Je sois venu apporter la paix sur la terre ;
Je ne suis pas venu apporter la paix, mais une épée.
35 Car je suis venu séparer le fils du père,
la fille de la mère, la belle-fille de la belle-mère :
36 et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.

(Mt 10, 34-36)

Permettez-moi, chers Amis, d’adresser mon salut à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de l’Université d’été de Civitas, en particulier au Président Alain Escada ; aux conférenciers qui, par leurs interventions, clarifient les différents aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; aux participants qui, par leur présence, confirment la détermination des bons Catholiques à mener le bonum certamen — le bon combat — sous la bannière du Christ-Roi. Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le signe d’un réveil des consciences et des cœurs : Quia hora est jam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam credidimus ; il est maintenant temps de nous réveiller du sommeil, car notre salut est plus proche maintenant que lorsque nous sommes devenus croyants (Rm 13, 11).

La cohérence du Bien

Comme il y a une cohérence du Bien, il y a aussi une cohérence du Mal. Le Bien, attribut substantiel de Dieu, a sa propre cohérence aussi en ce qui y participe : est cohérent avec le Bien l’amour de la mère qui prépare le goûter pour ses enfants ; la sollicitude du chef d’entreprise envers ses employés ; la préparation des leçons par le professeur ; le dévouement du médecin envers ses patients ; la disponibilité du prêtre dans le soin des âmes qui lui sont confiées. Même repasser une chemise, cultiver le jardin, organiser une conférence, célébrer un anniversaire avec des êtres chers devient cohérent avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous sommes : Agere sequitur esse (l’agir suit l’être).

Ceux qui vivent dans le Bien et donc dans le Vrai ; ceux qui « respirent » le Bien — des célébrations à l’église aux fréquentations de personnes partageant les mêmes idées et à l’éducation en famille — n’ont pas besoin de vouloir faire le Bien, parce que cela vient spontanément dans une âme bonne. Et c’est exactement ce que la Grâce accomplit en nous, en rendant des actions en elles-mêmes moralement neutres — ou seulement humainement bonnes — des œuvres vertueuses, où l’habitude dans le Bien devient Vertu et imprègne toute notre vie ; et en ajoutant aux actions qui sont bonnes dans l’ordre naturel ce quid, ce quelque chose qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers un but supérieur.

D’un autre côté, quand on aime le Seigneur, que peut-on désirer de plus beau et de plus épanouissant que de faire Sa Volonté ? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec le prochain, que de lui faire connaître ce Saint Vrai, qui est aussi suprêmement Bon et Juste ? Bonum diffusivum sui, selon l’adage scolastique : le bien est diffusif de soi, enclin à se répandre. Cela nous est démontré par l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait naître toutes choses visibles et invisibles ; cela nous est confirmé par l’œuvre du Rédempteur, qui retire de l’abîme de l’offense à la Majesté divine l’homme rebelle en Adam, par le Sacrifice de l’Homme-Dieu.

La cohérence du Mal

Mais comme il y a une cohérence dans le Bien, il y a une cohérence dans le Mal. Et ces actions que nous jugeons apparemment sans gravité — si nous ne les contextualisons pas — se révèlent être les rouages d’un engrenage, peut-être insignifiants, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lesquels la machine se bloquerait.

C’est pourquoi le Mal – qui ontologiquement est un non-être, une absence de Bien — cherche à s’infiltrer dans nos âmes par petits pas, provoquant des chutes progressives, en s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis il grandit et se développe comme un cancer. Et là où le Bien apporte plus de bien, le Mal appelle plus de mal, nous accoutumant à lui, et à tout ce vers quoi il nous entraîne.

Les plans infernaux de l’élite mondialiste — dont nous avons découvert la malice intrinsèque — sont eux aussi cohérents les uns avec les autres, parce qu’ils sont mus par la haine de l’Adversaire envers le Christ. Le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et vacciner la population mondiale ; celui de George Soros de faire envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et saper la famille naturelle en finançant les mouvements woke et LGBTQ ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou à nous confiner dans les smart city de 15 minutes ; celui de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et réécrire une Bible « politiquement correcte » ; le projet de l’état profond de centraliser le contrôle des citoyens avec l’identité numérique, la monnaie électronique et la manipulation du vote ; celui de Bergoglio de transformer l’Église en une agence de l’ONU et du Forum Économique Mondial de Davos, ne sont pas des plans autonomes mis en œuvre sans aucun lien les uns avec les autres.

Dans tout ce qui s’est passé au cours des dernières décennies sous une forme plus souterraine et plus récemment de manière beaucoup plus évidente, nous pouvons reconnaître un esprit, une intelligence capable de donner une organisation apparemment infaillible et implacable. Car il nous faut l’admettre : ceux qui ont construit cette machine infernale, dans laquelle tous les engrenages semblent tourner parfaitement, font preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire : satanique.

La victoire apparente des méchants

Le constat de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à combattre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection », presque mécanique, sans âme, dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent [Ils se tiendront ensemble, ils tomberont ensemble], récite l’adage latin. Et il en sera exactement ainsi, car le triomphe du Mal est une fiction, une simulation, une mise en scène basée — comme tout ce qui vient de Satan — sur l’apparence et le mensonge.

Revenons un instant à Pâques de l’an 33. Plaçons-nous parmi ceux qui, à Jérusalem, furent témoins de la crucifixion de Jésus, après L’avoir vu accomplir miracles et guérisons. Même sur le Golgotha, en l’absence des Apôtres, la mise en scène de Lucifer devait marquer la défaite du Messie, la dispersion de Ses disciples, l’oubli de Son enseignement, le désaveu de Sa divinité. Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le destin de l’humanité est inversé par Celui qui, avec la mort du corps, a restauré la vie de l’âme, et qui, Se laissant clouer à ce bois, y clouait l’enfer. O mors, ero mors tua. Notre nature, blessée par le péché originel, ne se résigne pas à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la logique de la Charité et non de la haine, et qu’elle est d’autant plus inexorable et définitive qu’une plus grande marge d’action est laissée à Dieu, et combien moindre de la part de Ses enfants la confiance dans les moyens humains.

Satan l’illusionniste

Ne jugeons donc pas l’apparent « viver lieto de’ maligni » [la vie apparemment heureuse des méchants] du Psaume 36 comme un signe de défaite inévitable. Ce déploiement impressionnant de forces, cette scénographie si réaliste, ces chorégraphies impressionnantes constituent la seule ressource dans laquelle le grand Menteur peut puiser, et le seul moyen pour nous faire croire qu’il est puissant et invincible. Un grand magicien, c’est certain : mais en tant que tel, il peut nous étonner en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours, qui en dehors de la scène et à la lumière du soleil se montrent dans leur inconsistance pathétique. Le jeu du lapin extrait du chapeau — à savoir : le respect de l’environnement, la santé des citoyens, la fraternité universelle — ou le spectacle de la femme sciée en deux fonctionnent tant que le public reste à distance et se laisse tromper par la pénombre et les gestes théâtraux du magicien. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle de « magie » ou parmi les passants qui s’attardent dans les couloirs du métro pour observer le jeu des trois boîtes pourrait croire que c’est la réalité ? Qui donnerait crédit à un Dr Dulcamara qui propose, comme dans l’œuvre de Donizetti, une drogue « odontalgique, liqueur admirable, puissant destructeur de souris et de punaises de lit ? » (Felice Romani, L’elisir d’amore, scène V, Dulcamara).

La fiction — ou plus précisément : la fraude à la vente, parce qu’il s’agit d’une vente frauduleuse — est la marque de fabrique du commerce de Satan. Achetez mon spécimen, je vous en fais presque cadeau. Ce marchand de pacotille, cet escroc — et avec lui tous ses serviteurs, non moins occupés à vendre leurs concoctions — fait penser à certains personnages qui, jusqu’à il y a quelque temps, sur les parkings des restaurants autoroutiers, offraient aux imprudents un magnétoscope pour quelques euros, qui s’avérait être un boîtier alourdi par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour l’instruction notariale, promettent par courriel l’héritage d’un millionnaire africain à peine décédé. Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses ronflantes ne se cache qu’une fraude contre nous, pourquoi y en a-t-il encore pour y croire ? L’efficacité du sérum expérimental à ARNm inoculé en vrac n’était-elle pas tout aussi manifestement fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenue en imposant des sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour de soi, il semble que beaucoup, voir une large majorité soit plus que disposée à croire les mensonges de ces Dulcamara [Doux-amers], de ces bonimenteurs qui du Forum Économique Mondial ou de la Bill & Melinda Gates Foundation, de l’Union Européenne ou de l’Organisation Mondiale de la Santé vantent les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de la pauvreté, défaite des maladies, paix mondiale. Pour ensuite découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant et en renonçant à la propriété privée, que leur « abolition de la pauvreté » conduit à la misère des individus et des Nations, que Big Pharma veut que nous soyons des patients chroniques, que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.

Comment cela a-t-il été possible ?

Beaucoup, ces dernières années, se sont demandés : Comment a-t-il été possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout cela ? Si nous regardons en arrière – en remontant aux années Quatre-vingt, par exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la destruction définitive de la société et de la famille, déjà commencée bien avant – il nous semble presque impossible qu’en si peu de temps l’Ennemi ait pu avancer de façon aussi impressionnante sans susciter de réactions et de résistances significatives. Et si nous écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait prophètes de malheur, qui, dès les premières sessions de Vatican II, ont annoncé l’apostasie à laquelle le Concile conduirait, il semble impensable que leurs avertissements faisant autorité aient pu être ignorés et aient même mérité la condamnation et l’ostracisme de ceux qui les ont lancés, de la part des Pasteurs suprêmes.

Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la Foi, de la Morale, de la Liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués en autorité, se révèlent les ennemis de ceux qu’ils devraient plutôt protéger, et les amis de ceux qu’ils devraient combattre ou convertir. Tromperie que la chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu ; tromperie que l’actuosa participatio qui a détruit le culte public en le protestantisant ; tromperie que le sacerdoce commun des fidèles, insinué frauduleusement au Concile pour affaiblir le Sacerdoce hiérarchique ; tromperie que la prétendue démocratisation de l’Église, que le divin Fondateur a voulu monarchique et qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; tromperie que l’œcuménisme par lequel la divine Majesté est humiliée au niveau des prostitutions, comme l’Écriture appelle éloquemment les fausses religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96, 5) et les sacrifices des païens sont offerts aux démons et non à Dieu (1 Co 10, 20).

La bonne question

Essayons de reformuler la question plus clairement : Comment a-t-il été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et de la civilisation que celle-ci a engendrée, aient décidé de croire à un mensonge manifeste, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et le bonheur sont possible loin de Dieu, plus encore en se rangeant ouvertement du côté d’un Ennemi que le Christ a déjà défait et vaincu ?

En y regardant de plus près, nous aurions pu poser cette question aussi à Adam et Ève : Vous étiez dans le Paradis terrestre ; vous jouissiez de la familiarité du Seigneur et vous conversiez avec Lui ; vous ne souffriez ni la maladie ni la mort ; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage et la compréhension ; vous n’étiez pas soumis à la convoitise de la chair… vous aviez tout, parce que vous aviez Dieu. Eh bien, comment avez-vous pu croire le Serpent, vous promettant qu’en désobéissant au commandement du Seigneur vous obtiendriez ce que vous aviez déjà ? quand il était évident qu’une créature rampante n’aurait jamais pu rivaliser avec la toute-puissance du Créateur ?

Nous trouvons des promesses similaires dans les tentations auxquelles Notre-Seigneur a voulu Se soumettre au désert : même dans ce cas, Satan offre au Maître de toutes choses les domaines de la terre qui Lui appartiennent déjà, osant Lui demander en échange un acte idolâtre d’adoration aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à toi, si en te prosternant tu m’adores (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un esprit dévoyé et obstiné dans une volonté pervertie, le Seigneur répond en citant l’Écriture, sans même daigner argumenter leur fausseté. Parce qu’avec le diable il n’y a pas de discussion : c’est du temps perdu. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.

Le péché de l’homme moderne et contemporain

La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents : croire au mensonge en tant que tel, subvertissant l’ordre divin. Nous-mêmes n’avons pas vraiment été trompés, car la tromperie était évidente dès le début : devenir sicut dii — comme des dieux — en mangeant l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal ou prétendre que les amputations chirurgicales peuvent transformer un homme en femme ; offrir les premiers-nés à Baal ou les tuer dans le ventre de leur mère pour ne pas augmenter l’empreinte carbone est pratiquement identique. Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vrai que cela n’a pas de conséquences : jetez-vous de cette tour, et vos anges viendront vous soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec la gestation pour autrui, et vous serez parent. Renoncez à votre liberté, et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous permettre : cela vous endettera pour toujours, et vous serez heureux. Enfermez votre mère âgée dans un hospice, et elle sera prise en charge par le personnel qui la fera se sentir bien. Laissez votre enfant changer de sexe et il sera comblé. Laissez que l’État soit laïc et légifère sans conditionnements de la part de l’Église, et l’harmonie régnera entre les fidèles de toutes les religions.

Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes des mensonges, et en tant que tels, le Prince du mensonge veut que nous les acceptions, parce qu’avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous sommes moralement responsables.

Les conséquences de l’acceptation du mensonge

Le concept de tolérance du mal – qui, dans les sociétés encore chrétiennes, pouvait en quelque sorte permettre des exceptions limitées en vue d’un bien supérieur — a été effacé par la société civile et par l’Église quand, ayant perdu la référence transcendante du Bien suprême et de la Vérité absolue — le Seigneur Dieu — il n’y a plus de mal à tolérer, ni aucun bien à protéger. Parce que l’acceptation simultanée de la Vérité et de sa négation — le mensonge — sont une contradiction logique, avant même que théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois, mérite d’être analysé très attentivement.

La subversion par le moyen de l’autorité

Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés entre eux qui a conduit l’Église Catholique — et avec elle les Nations dans lesquelles les Catholiques sont présents et socialement influents — à personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle était publique (le culte, la liturgie) et à collectiviser, pour ainsi dire, la relation des fidèles avec Dieu, là où elle était personnelle (conversion, prière, méditation, expérience ascétique et mystique). Cette inversion — empruntée aux Protestants — fait en sorte que l’action du culte public de l’Église devient un moment d’autocélébration des individus et des groupes, et non la voix chorale de l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec son Seigneur — qui s’accomplit seulement dans le recueillement individuel — pour exalter une « communauté », pour lui donner consistance et attractivité en raison d’un « marcher ensemble », sans but.

La normalité hiératique, au-dessus du temps et de l’espace, cède la place au caractère temporaire de l’expérience, à l’inconnu du résultat, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et cela, nécessairement, s’étend à la vie civile, où le témoignage du Catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais doit même être déploré ; et où les hommes politiques, même s’ils sont nominalement catholiques, peuvent légiférer contrairement à la Loi de Dieu et de l’Église. Parce que chacun d’eux est convaincu qu’il peut penser d’une manière et agir dans le sens opposé, alors qu’en réalité il finit par penser sur la base de la façon dont il agit.

Le rôle de l’« église profonde »

Tant que la Hiérarchie de l’Église a été fidèle à son mandat, chaque persécution des gouvernements anticatholiques et révolutionnaires a été affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme du martyre, comme en Vendée, au Mexique, en Espagne, en Union Soviétique, en Chine… Mais dès que Vatican II a « réinitialisé » la Hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, c’est elle-même qui a promu la sécularisation de la société et l’exclusion volontaire de l’Église et de la Religion de toute sphère de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des Concordats. En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne construite grâce à l’Église Catholique a été reniée et oubliée, jusqu’à saper les fondements du pacte social. Il ne s’agit pas de statistiques ou de chiffres — qui peuvent néanmoins être documentés — mais d’un changement radical dans la société, dans les principes qui animent ses citoyens, dans l’espérance que nourrissent les grands-parents et les parents pour les générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir les études ou un foyer à leurs enfants ; je parle de la désintégration de la famille avec le divorce, avec la création délibérée d’une crise économique qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer les enfants, de savoir que les autorités civiles et religieuses sont amies et non hostiles et opposées l’une à l’autre.

Cela a également conduit les générations à perdre progressivement, mais inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes, d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être d’un Catholique ; un abandon qui a été encouragé par ceux qui ont instillé chez les citoyens et dans les fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour leur Histoire, leurs traditions, leur Foi. Il est déconcertant que cette trahison ait été consommée sans réaction, après avoir été imposée d’en haut à la fois dans le domaine civil et — chose inouïe — dans la sphère ecclésiale.

La laïcité de l’État, avec laquelle les Nations se débarrassent de la Seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique sur laquelle la dissolution de la société chrétienne a pu être théorisée. Sans le principe de la laïcité de l’État, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme n’auraient jamais pu être introduits dans les législations nationales. Et cela s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les années Soixante, et plus récemment avec l’asservissement total de la hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : même Mgr Hector Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine l’a reconnu lui aussi (ici).

La désagrégation de la famille

Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a jamais entendu parler de comment on vivait autrefois, de ce que l’on croyait, de ce que l’on espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? C’étaient les grands-parents qui emmenaient leurs petits-enfants prier devant l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire l’examen de conscience, comment réciter un Requiem en passant devant le cimetière, leur enseignant la signification de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, de la parole donnée. La Franc-Maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en marchandises pour l’activité des cliniques ou en les exterminant avec un sérum génique ou par la ventilation forcée. Leur absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’attaque contre la figure paternelle — jusque-là calquée sur l’autorité et la bonté de Dieu le Père — a été menée avec la corruption des mœurs, avec la pornographie, avec la promiscuité et enfin — ayant rompu le cordon ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale visant à la procréation — l’homme, le mari, le père, le citoyen a été davantage détruit, en stigmatisant sa masculinité comme « toxique », en l’efféminant, en le castrant dans la volonté et l’intellect ; en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant le moyen à la fin. Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la télévision, sur Internet, sur les réseaux sociaux, ou des applications, à l’école et partout un nouvel oracle, une entité qui les décharge de la responsabilité de choisir en leur disant quoi penser, quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et inimici domini domestici ejus [Et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.] (Mt 10, 36). Cette entité — à laquelle le pouvoir voudrait reconnaître des caractéristiques presque divines, simulant les facultés de l’intelligence humaine — propose un nouveau credo écologiste, exalte de nouvelles vertus green et woke, désigne de nouveaux maîtres, célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une religion et en tant que telle elle exige l’assentiment de ses fidèles et l’obéissance à ses ministres.

La religion d’État

Le système d’endoctrinement est expérimenté, et tout au long de l’Histoire, il n’a changé que quelques détails en raison de l’époque ou du progrès technologique, mais il a toujours préservé le schéma original. Et c’est ce schéma qu’il faut connaître, si l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique, climatique, militaire, financière, religieuse. Un schéma qui s’inspire indéniablement non seulement de l’abolition de la seule vraie Religion, mais aussi de son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de l’humanité, de la fraternité, de la Terre Mère. Ne soyons donc pas surpris si le prétexte initial avec lequel la Franc-Maçonnerie a sapé l’autorité de l’Église Catholique au nom de la liberté religieuse échoue, pour laisser la domination incontestée — également reconnue au niveau institutionnel — à la seule religion compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée et la déesse Raison, se manifeste aujourd’hui publiquement au grand jour et revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée et niée à la véritable Église, au point de devenir « religion d’État », pour imposer ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la communauté internationale, pour endoctriner les enfants et les jeunes dans les écoles, pour obliger les citoyens à se conformer à ses préceptes.

Il semble qu’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes idolâtres sur la Religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la Lumière. Mais cela, comme nous le savons, est ontologiquement impossible.

Un site web a été activé — exsurgedomine.org — sur lequel il est possible de suivre et de soutenir les projets en cours.

« Exsurge Domine » defende Ecclesiam Tuam
[« Lève-toi, Seigneur », défends Ton Église]

Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes à travers le monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés fondamentales, les dénoncer là où c’est possible, coordonner l’aide à ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une substitution du pouvoir, ni une forme de sédition : c’est la réponse nécessaire — en attendant des temps meilleurs — de ceux qui voient menacés leur avenir, leurs biens, leur vie même.

J’ai considéré qu’il était de mon devoir de Pasteur de prendre une initiative similaire dans le domaine ecclésial, en donnant vie à l’Association Exsurge Domine, pour contrer la persécution que les prêtres et les religieux traditionnels souffrent aux mains de la secte bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ, aujourd’hui infestée de traîtres, de corrompus et de mercenaires. Exsurge Domine, sous mon patronage et mon contrôle personnels, veut aider les clercs, les religieux, les moines et les moniales privés de moyens de subsistance, expulsés de leur monastère, persécutés par les supérieurs parce qu’ils sont liés à la Liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme de leur Ordre. Curés qui, du jour au lendemain, sont écartés de leur paroisse ; moniales auxquelles Rome impose une abbesse moderniste ; clercs réduits à l’état laïc sans procédure régulière et avec des accusations infamantes : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de soutien spirituel, d’assistance juridique et canonique.

Je demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative auprès de vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au financement de notre premier projet : la construction d’un village monastique dans la province de Viterbe, où accueillir la communauté de moniales bénédictines de Pienza, lourdement persécutée par le Saint-Siège et leur Évêque. Votre soutien, également par la prière, permettra à tant de bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.

www.exsurgedomine.org

Banque : Banca di Credito Cooperativo di Roma, Via Sabotino 612 – Roma
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT19I0832703399000000026930
SWIFT/BIC: ICRAITRRROM

Banque : Poste Italiane Spa, Piazza Matteotti, 37 – Siena
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT31V0760114200001065628511
SWIFT/BIC : BPPIITRRXXX

Conclusion

Je voudrais conclure mon intervention en me référant précisément à ce lieu, Pontmain, où apparut le 17 janvier 1871 la Vierge Marie, invoquée sous le titre de Notre-Dame de France.

Peu de temps après, le 18 mars, la guerre franco-prussienne allait se terminer, avec la défaite de Napoléon, et les émeutes du mois de mars suivant donneront naissance à la Commune de Paris. Dans cette circonstance, la Franc-Maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux centres du pouvoir culturels) a organisé une révolution (ici) qui fut cependant noyée dans le sang au mois de mai suivant par l’intervention du gouvernement de Versailles, sur ordre de la Franc-Maçonnerie anglaise (qui est plutôt libérale et liée au pouvoir institutionnel). Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été surmonté par un pactum sceleris qui les unit — concilium fecerunt in unum (Ps 70, 10) — dans le but commun de mener à bien l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist.

La Sainte Vierge, lors de l’apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses pieds se déploie un rouleau en lettres d’or : Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils se laisse toucher le Cœur. Eh bien, aujourd’hui encore, ces paroles de réconfort restent valables et vraies : le Seigneur répondra très bientôt, parce qu’il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase d’apostasie et de crise de l’autorité, se réveillent de la torpeur dans laquelle elles sont restées trop longtemps.

La fraude infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : il n’y a pas le moindre doute là-dessus. La Babel du Nouvel Ordre Mondial sombrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable de l’œuvre du diable. Il est de notre devoir de proclamer la Vérité, de rappeler au monde que le seul salut vient du Christ, Prince de la Paix, à qui doit être restituée la Seigneurie sur les Nations et sur l’Église qui Lui a été usurpée par une autorité rebelle et corrompue. Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que ses paroles prononcées à Fatima en 1917 s’accomplissent : À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò




Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?

[Source : profession-gendarme.com]




[Source : eveilinfo.org]

Les écouvillons des tests PCR, seraient-ils conçus pour implanter l’Hydrogel DARPA dans votre corps ???

À prendre avec prudence, mais aussi avec attention : des nouvelles très inquiétantes de la Slovaquie, où le personnel de l’hôpital de Bratislava a mené une enquête sur les tests PCR. Ils ont conclu que les tests de coton-tige, qui sont insérés par le nez jusqu’au cerveau, sont conçus pour implanter le DARPA Hydrogel dans votre corps.

Au vu de toutes les références évoquées sur les recherches de la DARPA* (militaires US) il y a en tous cas lieu d’être inquiet sur ce que ces fous aux moyens financiers énormes ont comme projets !

L’analyse a été réalisée au cours des mois de novembre 2020 à mars 2021 sur des écouvillons de test en sets : SD Biosensor, Abbott et Nadal, dans un laboratoire hospitalier sans nom à Bratislava, en Slovaquie, pour des raisons de sécurité. Voici le lien vers l’étude complète et approfondie au format PDF. Même un profane comme moi peut le comprendre.

Et quiconque possède au moins un microscope scolaire standard et un microscope de test peut vérifier les informations concernant les écouvillons de test publiés ici. Toutes les informations sur les bâtonnets de test, l’hydrogel DARPA et le lithium sont accessibles au public dans les travaux scientifiques et commerciaux. Voir les liens au bas du document PDF et au bas de cet article.

[Source du rapport en archives :
https://ia803401.us.archive.org/5/items/analysis-of-test-sticks-from-surface-testing-in-the-slovak-republic/Analysis-of-test-sticks-from-surface-testing-in-the-Slovak-Republic.pdf]

Il ressort clairement de ces informations que les bâtons de test sont un outil criminel pour le génocide du peuple slovaque. Cependant, il s’agit d’un événement global, réfléchi et soigneusement préparé !

Fibres de nylon creuses à la fin des tests PCR

Ces extrémités de fibres de forme cassée ont pour tâche de perturber l’épithélium, la couche superficielle de vos muqueuses. En raison de leur cassure à la pointe et de la lixiviation** et de la perte de leur teneur en fibres — c’est DARPA Hydrogel et Lithium — ces substances se retrouvent dans votre corps… près du cerveau ! Ces fibres ou fils creux sont brevetés par, vous l’aurez deviné, DARPA.

** Lixiviation : opération qui consiste à faire passer lentement un solvant à travers un produit convenablement pulvérisé et déposé en couche épaisse, pour en extraire un ou plusieurs constituants solubles (parfums, alcaloïdes, etc.).

Cette image montre une fibre ouverte longitudinalement avec une extrémité cassée et montre des billes d’hydrogel DARPA. Voir également les autres images dans le PDF pour plus de précisions.
Ce « matériau » reste maintenant après vidange à l’arrière de votre cavité nasale !
Après contact du DARPA Hydrogel avec vos liquides organiques, tels que la salive, ils commencent à former des structures cristallines rectangulaires en quelques minutes. Ceux-ci grandissent et se multiplient. Voir le résultat après 24 heures dans le PDF !

Cible principale : votre glande pinéale

Ces « cristaux » d’hydrogel DARPA créent une structure 3D spatiale et se développent à travers les tissus de votre corps.
Les cristaux de DARPA Hydrogel se sont développés sous le microscope dans la direction du champ magnétique… Cela signifie qu’il se développe dans la cavité nasale vers la glande pinéale. La glande pinéale crée un champ magnétique localement plus fort que le champ magnétique externe de la terre.

Vous devez comprendre que la cristallisation naturelle de la salive, sans DARPA Hydrogel, crée des cristaux qui ne forment pas de modèles spatiaux 3D ou de structures rectangulaires ; ils ne poussent pas non plus de manière fractale, ils se multiplient donc.

Ivermectine utilisée comme test…

Comme une sorte de test, l’ivermectine a été ajoutée à la cristallisation non naturelle. Cela a provoqué une disparition immédiate, complète et permanente des structures cristallines de l’hydrogel DARPA. L’ivermectine a donc un effet incroyablement fort contre ce que DARPA Hydrogel produit dans nos organismes ! L’ivermectine est un médicament antiparasitaire efficace contre la plupart des vers intestinaux, des acariens parasites et des poux.

L’effet de DARPA Hydrogel sur les cellules sanguines humaines

L’ajout de DARPA Hydrogel à partir du bâtonnet de test PCR a entraîné, ne vous inquiétez pas, un massacre total de globules rouges ! De plus, DARPA Hydrogel forme des caillots sanguins en quelques secondes. Ces caillots endommagent et obstruent les vaisseaux sanguins !

Résumé

Après avoir délibérément dilaté un mélange de fragments de fibres de nylon dans votre nez, DARPA Hydrogel avec du lithium reste sur la muqueuse nasale, sous les glandes pituitaire et pinéale. Ce mélange réagit immédiatement avec les structures vivantes pour former des cristaux qui ciblent la glande pinéale, qui possède son propre champ électromagnétique. Après tout, l’homme est un être bioélectrique. La forme des cristaux en dit long sur le type d’hydrogel utilisé. Les cristaux sont conducteurs, à cause du lithium qu’ils contiennent ! Les cristaux peuvent recevoir le signal de l’émetteur vers la cellule et inversement, envoyer des signaux de la cellule vers l’émetteur.
Ce sont donc en fait des nanoantennes !

Le lithium est un élément (référence au Li) qui n’est pas naturellement présent chez l’homme. Il est hautement toxique pour l’influence de notre glande pinéale ! À faibles doses, il bloque la glande pinéale et à des doses plus élevées, il peut la détruire complètement.

L’aluminium et le mercure ont également des effets toxiques sur la glande pinéale, qui sont largement utilisés dans les vaccins. La glande pinéale produit de la sérotonine, également appelée « hormone du bonheur », et elle contrôle le biorythme humain. Cette glande dans notre cerveau est cruciale pour une activité cérébrale plus élevée (créativité, prévoyance) et pour les interactions sociales humaines. Il joue même un rôle dans la santé de notre système immunitaire !

DARPA Hydrogel est une substance artificielle qui crée un transducteur entre le signal électromagnétique et les cellules, tissus et organes vivants. Il convertit un signal électromagnétique d’un émetteur en un signal qu’une cellule vivante comprend et auquel répond.

Pourquoi une photo d’un scarabée ?

Dans une expérience DARPA, DARPA Hydrogel a été injecté dans ses structures nerveuses, et le coléoptère est devenu radiocommandable. L’hydrogel et le lithium DARPA bloquent et détruisent la glande pinéale, transformant la personne pensante en un bio-robot contrôlable !

Les vaccins contiennent de l’hydrogel DARPA, du lithium et des informations génétiques

Un hydrogel est un porteur d’une substance active, pour amener cette substance à un endroit précédemment souhaité dans le corps. Les vaccins contiennent de l’hydrogel DARPA, du lithium et des informations génétiques exclusives. L’ARN messager ou l’ARNm n’est pas une nouveauté non testée ! Dans l’élevage et pour les sportifs de haut niveau, ce type est utilisé comme dopage depuis des années. Pour les sportifs de haut niveau, ce type de dopage raccourcit considérablement la durée de vie.

[Voir aussi :
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
et plus généralement les dossier Implants numériques et Vaccins et virus]

Les informations génétiques contenues dans le vaccin conduisent à la création d’un mutant breveté. En d’autres termes, en tant qu’être humain, vous êtes alors breveté et votre ADN est progressivement modifié après la vaccination. Le rêve des forces obscures entourant Bill Gates est de forcer ces mutants à se mettre à niveau régulièrement, tout comme un programme informatique. Et cela se fait, par exemple, grâce à des vaccinations régulières.

PS L’analyse se termine par :

Par exemple, les fibres de nylon creuses de DARPA Hydrogel remplissent également les bouchons en plastique de la norme FFP2. Cet hydrogel DARPA maintenant, avec des additifs, est lentement libéré de ces masques. Et en respirant, il pénètre dans les voies respiratoires humaines.
Les cotons-tiges utilisés pour les tests PCR sont également composés de fibres de nylon creuses avec DARPA Hydrogel.

[Voir aussi :
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]

Technologies et capacités DARPA | DARPA.mil

DARPA est la Defense Advanced Research Projects Agency, une agence de recherche et développement du département américain de la Défense. La DARPA est responsable du développement des technologies émergentes destinées aux militaires. Initialement connue sous le nom d’Advanced Research Projects Agency, l’agence a été fondée le 7 février 1958 par le président Dwight D. Eisenhower, États-Unis.




Le Mystère de la mort du Dr Olivier Soulier

[Source : profession-gendarme.com]

Par Dr Anne-Marie Yim, PhD

Cela pourrait sonner comme un titre d’un roman d’Agatha Christie ou de Gaston Leroux, sauf que c’est de la mort très mystérieuse de feu Dr Olivier Soulier dont il s’agit. Après le choc de l’annonce brutale de sa mort, j’essaye de comprendre ce qui s’est passé dans le contexte de cette post-crise covid-19. C’est le cœur lourd de chagrin et de tristesse que je me décide, après mûre réflexion, à prendre la plume pour écrire, une fois de plus, sur le décès soudain d’Olivier Soulier.

[Voir aussi :
Hommage au Dr Olivier Soulier
Un Soulier mal chaussé]

Comme tout le monde le sait, Olivier est parti dans la nuit du mercredi 28 juin au jeudi 29 juin 2023. Nous devions faire une émission avec Dr Hervé Seligmann sur les excès de mortalité suite aux injections, mais elle a été reportée, car Éric Montana, journaliste sur TV-ADP et JSF, ami proche d’Olivier Soulier, était sous le choc de l’annonce de sa mort, triste nouvelle dont il a appris l’annonce le vendredi 30.

Dimanche 1er juillet, une soirée hommage sur TV-ADP a eu lieu, elle a rassemblé quelques noms connus de la Résistance, dont Me Carlo Brusa, Dr Éric Loridan, Dr Stéphane Gayet, Dr Laurent Montesino, Dr Laurence Kaiser, Chloé Frammery, Pierre Barnérias, Stéphanie Reynaud, porte-parole d’Ariane Bilheran et de Me Virginie de Araujo-Recchia, Dr Astrid Struckelberger, Dr Tal Schaler… et bien d’autres. Tous ses véritables amis et ceux qui l’appréciaient sincèrement se sont réunis pour honorer sa mémoire de combattant et de résistant durant cette crise sanitaire. Ils ont fait l’éloge de ses qualités de médecin homéopathe et ont également souligné son rôle majeur en tant que membre fondateur du CSI (Conseil Scientifique Indépendant), ainsi que celui du SLS (Syndicat Liberté Santé). Ce fut un exercice à la fois émouvant et difficile, car nous étions tous submergés par l’émotion. Entre deux sanglots et sous un torrent de larmes que je n’arrivais pas à contrôler, je me suis souvenue des 3 fois où mon chemin a croisé celui d’Olivier.

La première fois c’était à Massy lors du deuxième ICS (International Covid Summit) le samedi 2 avril 2022. J’étais montée sur la scène en présence des Dr Robert Malone, Dr Alexandra Henrion-Caude (AHC), Dr David Bouillon, Dr Benoît Ochs, Dr Louis Fouché et Pr Perronne. Malgré le froid glacial, la foule était au rendez-vous et avait réservé un accueil chaleureux aux intervenants, le tout filmé par une rangée de médias indépendants dont Kairos en la personne d’Alexandre Pennasse au premier rang. La foule très impressionnante scandait comme un cri de guerre : Perronne Ministre de la Santé ! Le Pr Perronne était venu débattre au Luxembourg, à la chambre des Députés, le 12 janvier 2022, suite à une pétition dont l’intitulé portait sur : « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants ». Suite à ce débat, que j’avais organisé avec le pétitionnaire David Georgiu, le projet de loi sur la vaccination obligatoire au Luxembourg a été retiré et remplacé par la loi du 11 mars 2022 qui a vu la levée de restriction des mesures sanitaires. Un moment historique et une grande victoire qui a marqué un tournant pour la Résistance. L’espoir que nous avions suscité nous portait comme sur des ailes ! Au cours de la manifestation de Massy, je me souviens vaguement qu’AHC parlait de créer des brèches dans le narratif de la doxa sanitaire.

La deuxième fois, c’était à Nancy le 4 novembre 2022, par une belle journée ensoleillée lors de la convocation du Dr Martine Wonner par le Conseil de l’Ordre suite aux propos tenus lors d’une manifestation le 3 juillet 2021 à Nancy, organisée par Bon Sens Nancy, alors qu’elle était encore Députée ainsi que pour les propos tenus dans le documentaire « Hold-up » de Pierre Barnérias, diffusé en mai 2021. Olivier s’était mis à côté de moi dans la haie d’honneur que les résistants avaient formée, et nous chantions la Marseillaise le poing levé. Il portait un anorak bleu et une casquette qu’il avait soulevée pour dévoiler son visage en me faisant un clin d’œil amical pour me saluer, avant que nous entrions dans la salle d’audience.

La troisième fois, c’était le 17 février 2023, lors de la soirée hommage organisée par la Fondation Luc Montagnier qui s’est tenue au siège de la société Bouygues, au 32 avenue Hoche, tout près de l’Arc de Triomphe. Il y avait un parterre très prestigieux de médecins et scientifiques (Dr Guillaume, Dr Ménard, Dr Escarguel, Pr Perronne, Pr Tritto, Jacques Bauer, Dr Carrière,…), des collaborateurs proches du Prix Nobel ayant travaillé sur le Creutzfeld Jacob, le VIH (Virus Immunodéficience Humaine) et la mémoire de l’eau (Jacques Beneviste).

[Voir aussi :
La mémoire de l’eau – documentaire complet
Commentaires sur le VIH de Montagnier]

Mercredi 12 juillet, c’étaient les funérailles du Dr Olivier Soulier, je n’ai pas pu m’y rendre pour des raisons de santé. En effet, j’ai déclenché une forme grave de Covid aiguë, fortement thrombotique, suite à ma visite en Suisse chez Jacques Bauer, pharmacien suisse travaillant sur les ondes scalaires dans le traitement de la Covid-19. Je tiens à préciser que je dois la vie à un médecin exceptionnel, d’une rare intelligence : le Dr Yves Couvreur, anatomo-pathologiste belge qui a parcouru 3 h de route depuis les environs de Bruxelles pour m’accompagner à la pharmacie de garde, ce dimanche-là, et me prescrire les médicaments dont j’avais besoin. Son traitement efficace m’a sauvé la vie et je lui en suis extrêmement reconnaissante, car sans son intervention je ne serais sans doute plus là aujourd’hui.

[Voir aussi :
Voyage au cœur des injections Covid — Jacques Bauer, pharmacien-clinicien
Observation des injections anticovid]

J’ai cependant décidé d’écrire une oraison funèbre à Olivier sous forme de poème, à la fois amicale et respectueuse dont je reproduis le texte ci-dessous.

Le bleu était ta couleur préférée, celle de tes yeux azur. Tu t’en es allé rejoindre le ciel laissant orphelins des milliers de résistants, en état de choc, inconsolables face à ton décès soudain : une mort à la fois brutale et violente. Tu es parti bien trop tôt, bien trop vite, alors que le combat féroce que tu as mené pendant 3 ans face à la dictature sanitaire et contre le totalitarisme d’état t’a mené partout dans le monde.

Globe-trotter infatigable et citoyen dans l’âme, tu as su consoler les soignants dont la vie était suspendue à un fil, prodiguant des soins alternatifs àbase d’homéopathie dont toi seul connaissais les secrets et les vertus, ainsi que des traitements précoces qui ont sauvé tant de vies.

Amoureux de l’humanité, tu as traversé ta vie comme une étoile filante pour rejoindre le firmament, toujours avec humour et bienveillance. Admiratif de la science et de la vie, on retiendra ton courage sans faille, ainsi que ton engagement absolu auprès de ta communauté de cœur. Repose en paix cher Olivier, cher frère et cher ami.

Nous tous dissidents de la France éternelle et résistants dans l’âme, guerriers de lumière, nous saluons ton combat en reprenant le flambeau de la liberté pour laquelle tu as donné ta vie.

Dr Anne-Marie Yim, Ph. D. Luxembourg, 12 juillet 2023.

Je m’étais entretenue au téléphone récemment avec Olivier, avant sa mort, à propos de son éviction du CSI. Cette dernière était due au fait, non seulement de son désaccord sur la ligne éditoriale scientifique à propos de l’oxyde de graphène et de la spike, mais aussi à propos de la plainte abjecte d’Emmanuelle Darles à son encontre pour harcèlement sexuel présumé. Une plainte pour un motif questionnable qui s’éteint juridiquement avec son décès. En effet, suite à l’UER (Université d’Été Résistante) de Villeneuve-lès-Avignon dans le Gard, en septembre 2022, organisée et financée par l’association uflf88 (Union Fait la Force 88) et aidée de Cécile Maichak (Dosumani), un incident a eu lieu. Lors d’une conférence, il y avait 5 intervenants et seulement 4 sièges. Olivier a proposé à Emmanuelle Darles de venir s’asseoir sur ses genoux, proposition qu’elle a naturellement déclinée devant le public, se sentant « humiliée » selon ses propres mots. Olivier m’avait alors confié que Vincent Pavan et Emmanuelle Darles s’étaient servis de cette affaire ridicule pour le pousser hors du CSI. Ils l’avaient menacé d’ébruiter et de relâcher cette affaire « scandaleuse » à la presse, donc au grand public, s’il refusait de quitter le CSI. Il n’avait d’ailleurs pas été invité à la 100e du CSI qui a eu lieu à Saintes pendant l’été 2023. Son absence, fortement remarquée, a marqué les esprits et ce d’autant plus que ce sont produits deux incidents particuliers.

[Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et plus généralement les dossiers :
Vaccins et virus
5G et ondes pulsées
Implants numériques]

Le premier incident, Chloé Frammery publie une vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle, elle se plaint du fait que l’annonce de la manifestation du 27 mai à Genève dénonçant l’adoption du Traité Pandémie de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ainsi que du RSI (Règlement Sanitaire International) révisé n’ait pas été autorisé par les organisateurs lors de la 100e du CSI. Ces deux textes sont d’une dangerosité majeure, car ils permettraient de donner les pleins pouvoirs à l’OMS et de mettre en place le certificat numérique. Rappelons que le certificat numérique est une version beaucoup plus étendue du passeport vaccinal qui permettait un contrôle de la population en temps de Covid (état d’urgence) et autorisait l’accès sur les lieux de travail, de loisir, de restauration, aux musées et aux aéroports. C’est donc une sorte de passeport permettant de voyager avec un QR code, une version plus généralisée du « Green Certificate » dont le terme expirait le 30 juin 2023, qui permet un contrôle des populations.

Le deuxième incident est une autre vidéo de Richard Boutry et de Natacha Werup, marchant sur la route et visiblement déçus par cette fameuse conférence de Saintes. À la fois ironique et désabusée, Natacha a commenté en substance : le ciel d’en bas n’est pas le ciel d’en haut ; ils veulent en coulisses que nous suivions le transhumanisme de Yuval Harari. Cette vidéo a par ailleurs été supprimée dès le lendemain sans laisser de traces par les auteurs pour calmer les esprits et ne pas rentrer dans une polémique.

Quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je reçois une vidéo hommage funèbre d’Éric Verhaeghe (EV), fondateur du Courrier des Stratèges, ancien de l’ENA (École Nationale Supérieure) envoyée par un ami résistant Alain Schollaert, ancien co-référent de la cellule RéinfoCovid Corse, lanceur d’alerte indépendant et bénévole.

Dans cette vidéo de 12 min, ce qui commence comme une oraison funèbre à un défunt disparu tourne rapidement, à ma grande surprise, à un règlement de compte. J’ai dû réécouter la vidéo plusieurs fois, car je n’en croyais pas mes oreilles.

Éric Verhaeghe commence à parler de l’article injurieux du journal l’Express daté du 10 juillet, titrant qu’Olivier Soulier serait mort d’un arrêt cardiaque, suite à une séance chamanique où il aurait consommé des champignons hallucinogènes dans un appartement parisien. Cette information aurait été obtenue selon une dépêche AFP communiquée par « La Voix du Nord » auprès du Parquet de Paris ; notamment la brigade des stupéfiants chargée de mener une enquête suite à la plainte déposée par la famille Soulier qui a par ailleurs demandé une autopsie. Jean-Dominique Michel, anthropologue résistant et ami d’Olivier Soulier, avec qui il faisait de nombreuses conférences ayant quitté lui aussi le CSI par solidarité, vis-à-vis d’Olivier Soulier, s’émeut de la situation et demande à Éric Verhaeghe de publier un droit de réponse.

S’ensuit une anecdote d’un dîner parisien chez Éric Verhaeghe, dont Olivier était un invité. Ce dernier arrive avec sa compagne et sort un téléphone lui permettant de détecter l’émission d’adresses MAC (Media Access Control). L’application a immédiatement indiqué la présence de 3 vaccinés sur les 8 invités présents. Indice : un des invités vaccinés signe tous ses tweets avec « nous sommes le camp du bien ». Le ton est donné, les « diseux » n’ont qu’à bien se tenir ! Les diseux font des promesses vides qui n’aboutissent qu’à des rêves utopiques sans lendemain, sans avenir : un futur désirable dans lequel vous ne posséderez rien et vous serez heureux. Leur véritable but est de contrôler le narratif scientifique de la dissidence en mettant l’accent sur les effets biologiques de la spike, et en évacuant le problème très gênant de la présence d’oxyde de graphène, non divulguée, dans la composition des ingrédients des injections géniques.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

Éric Verhaeghe va plus loin en insistant que ce prétendu grand résistant vacciné, un infiltré de la macronie, plutôt diseux que faiseux aurait demandé des compromis à Olivier Soulier, alors qu’il était prêt à l’emmener « dans les cordes ». Il conclut son oraison funèbre en demandant aux résistants d’être déterminés et de s’engager en politique pour changer de leadership et apporter un réel changement dans la société.

Cette vidéo pose évidemment des questions sur l’opposition contrôlée au sein de la résistance. La mort d’Olivier cristallise cette question autour de l’opposition contrôlée qui s’est mise en place en même temps que se déroulait la plandémie Covid. Il ne faut pas craindre les méchants visibles désignés et identifiés : le CS (Conseil Scientifique) d’Alain Fischer et Delfraissy, Véran, Buzyn, Lacombe et autres experts de plateaux, ceux qui interdisent l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, l’azythromycine ou la vitamine D3. Il faut plutôt se méfier de l’avant-garde du « Cheval de Troie », de cette caste intelligente, puissante et méchante : les loups déguisés en agneaux qui ont fait allégeance au mal et qui veulent vous pucer en vous promettant que : tout ira bien et que cela va bien se passer, alors qu’ils volent votre santé et votre âme à la fois.

Oui, cette guerre psychologique de 5génération sert un génocide biblique sans précédent sous couvert d’une pseudo crise sanitaire. Il ne faut pas avoir peur de la première mort, celle du corps, mais bien de la seconde mort, celle de l’âme. Car nier l’existence de l’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins, c’est un viol de l’âme. En effet, la fréquence émise par le GO, sous stimulation des ondes 5G, à une fréquence déterminée, précise pourra non seulement activer les virus dormants, mais aussi calcifier la glande pinéale : siège de la conscience de l’âme et de l’intuition, celle qui nous relie au divin. Le nouvel ordre mondial et les globalistes veulent éteindre le souffle du divin en nous, afin de nous plonger dans les abysses de l’enfer. Ils veulent nous donner une fausse immortalité, celle du corps, tout en supprimant l’âme et en niant sa transcendance. Tel est l’objectif inavoué des infiltrés de la macronie, alors que se resserre l’étau irréversible de la prison numérique sur l’humanité ! Leur opération d’infiltration a un but insidieux : celui de nous faire rendre les armes sans combattre ; c’est l’art de la guerre qui annonce l’Armageddon avant le retour en gloire de notre Messie. À l’aube de cette civilisation d’amour tant prophétisée, une ère nouvelle pour l’humanité. Soyons prêts à nous revêtir de notre armure de lumière, avec pour bannière l’Amour pour combattre avec détermination. Il en va de nos vies, de nos libertés ! Nous, peuples de la terre, voulons laisser en héritage, un futur de paix et de justice à nos enfants.

[Voir aussi :
Exorcisme et « vaccins » anti-Covid
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Les écouvillons des tests PCR conçus pour implanter de l’hydrogel DARPA au lithium dans le cerveau et attaquer la glande pinéale ?]

Dr Anne-Marie Yim, PhD

Luxembourg le 22 juillet 2023




Les autorités et les médias accusent la « crise climatique » d’être à l’origine des incendies volontaires

[Source : frontline.news]

Par Yudi Sherman

Les autorités grecques et les médias accusent le « changement climatique » d’être à l’origine des incendies de forêt en Grèce, alors qu’ils admettent que la majorité des incendies ont été provoqués par des incendies criminels ou des négligences criminelles.

Depuis plus d’une semaine, les médias rendent compte des incendies de forêt qui touchent les îles de Rhodes, de Corfou et d’Evia, avec une montée en puissance de l’alarmisme climatique.

« Les incendies de Rhodes sont un signal d’alarme pour le climat, déclare le ministre britannique », a rapporté le Guardian la semaine dernière.

Incendies en Grèce : la crise climatique va « se manifester partout par de plus grandes catastrophes », déclare le Premier ministre grec — comme cela s’est produit », peut-on lire dans un autre titre.

« Les vagues de chaleur meurtrières sont indéniablement le résultat de la crise climatique, selon des scientifiques », a rapporté mardi le Guardian.

Cependant, le ministre grec de la crise climatique et de la protection civile, Vassilis Kikilias, a déclaré vendredi que la plupart des 667 incendies auraient pu être évités, car ils ont été provoqués par la « main de l’homme ».

« Pendant cette période, 667 incendies ont éclaté, soit plus de 60 incendies par jour, presque partout dans le pays. Malheureusement, la majorité d’entre eux ont été allumés par la main de l’homme, soit par négligence criminelle, soit par intention », a déclaré M. Kikilias.

Malgré cet aveu, le responsable du climat a néanmoins tenté de prétendre que le « changement climatique » était le véritable coupable, car les conditions météorologiques ont favorisé la propagation des incendies.

« La différence avec les autres années réside dans les conditions météorologiques. Le changement climatique, qui a donné lieu à une vague de chaleur historique et sans précédent, est là. Il y a eu très peu de jours où les conditions météorologiques extrêmes n’ont pas été accompagnées de vents forts. »

Le « changement climatique » est devenu l’explication privilégiée des incendies de forêt dans le monde entier, quelle qu’en soit la cause. L’année dernière, un incendie de forêt en Californie a été décrit par les autorités comme étant « le résultat direct du changement climatique », malgré l’arrestation, le mois dernier, de l’incendiaire présumé.

Une analyse réalisée par Frontline News a révélé que tous les articles publiés par les grands groupes de presse sur les incendies de forêt du mois dernier au Canada utilisent l’expression « crise climatique », « changement climatique » ou les deux, faisant écho à des personnalités telles que Joe Biden, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et d’autres.

Mais les experts soulignent des failles irréconciliables dans ce récit.

Le directeur de l’Institut d’évaluation environnementale du gouvernement danois, Bjørn Lomborg, a écrit en 2021 que depuis que les incendies de forêt ont commencé à être enregistrés en 1900, la superficie mondiale brûlée chaque année par les incendies de forêt est en baisse, malgré l’augmentation des émissions de carbone. Même en supposant que le réchauffement climatique provoque davantage d’incendies, ceux-ci consomment moins de terres que jamais en raison de l’augmentation de la population et du développement économique.

Selon la base de données nationale canadienne sur les incendies (BDNC), le nombre d’incendies de forêt n’a cessé de diminuer depuis 1990, première année d’enregistrement.

L’auteur et écologiste Jim Steele, qui a été directeur du Sierra Nevada Field Campus de l’université d’État de San Francisco, a dénoncé le discours des médias sur le « changement climatique ».

« Je n’ai pas l’impression que les médias nous informent sur les aspects scientifiques des incendies. Ils essaient simplement de nous faire croire à une catastrophe qui dure depuis trop longtemps », a déclaré M. Steele au Cowboy State Daily.

Selon M. Steele, les incendies étaient encore plus importants aux XVIIe et XVIIIe siècles, lorsque le climat mondial était plus froid, ce qui jette un froid sur les théories selon lesquelles les incendies de forêt au Canada sont dus au réchauffement de la planète.

Steele attribue plutôt les incendies féroces à l’oscillation décennale du Pacifique, une fluctuation à long terme de la température de l’océan Pacifique sur des périodes de 20 à 30 ans. Pendant les phases négatives de ce phénomène naturel, de nombreuses régions des États-Unis connaissent un climat plus sec que d’habitude, ce qui est directement lié aux incendies de forêt.

Un autre facteur contribuant aux incendies de forêt, ajoute M. Steele, est, ironiquement, la suppression des incendies. Les tactiques de gestion forestière permettent aux arbres morts, aux herbes et aux combustibles de s’accumuler, ce qui fait que les incendies brûlent plus vite et plus longtemps.

« Je ne pense pas qu’il y ait suffisamment de preuves pour affirmer qu’un effet CO2 est apparu dans les données », a déclaré M. Steele.

Cliff Mass, professeur de sciences atmosphériques à l’université de Washington, note également que les incendies de forêt sont en baisse au Canada. Les incendies les plus importants ont eu lieu dans les années 1980, et M. Mass estime que le mois de mai est la période de prédilection pour les incendies de forêt.

« Il n’y a aucune preuve qu’un tel schéma soit le résultat du changement climatique », a écrit M. Mass sur son blog.




En invitant le djihadiste ex-quenelliste Médine, les « Verts » affichent sans honte leur nihilisme

Par Lucien SA Oulahbib

Ras-le-bol déjà de faire croire que l’islam serait une « race » (d’où l’impossibilité juridique de la critiquer) ou à l’inverse seulement une « religion » au sens superficiel, c’est-à-dire une « culture » ravalée au rang d’un folklore, alors qu’il s’agit aussi, et comme les autres conceptions du « Lien » (ou Transcendance), d’un modèle également total de société. Il ne fait cependant pas la distinction entre César et Dieu comme l’indiquait au contraire Jésus, mais aussi la monarchie absolue française contrairement aux idées préconçues : Louis XIV avait ainsi bien moins de pouvoir sur ses « sujets » qu’actuellement le Président de la Ve en France, surtout avec l’intégration du Scientisme de l’Hygiénisme, de l’Alarmisme, comme nouvelle Trinité de la « religion » séculaire (de plus en plus Affairiste ou Nihiliste par ailleurs).

À l’opposé, car exempt d’une telle distinction entre vie publique et vie intime (ce qui ne veut pas dire séparation, terme que Descartes n’emploie pas dans ses Principes, article 8 à propos de l’âme et du corps), l’islam impose, lui, sa « loi » sur les âmes vidées de leur liberté et les corps amalgamés, et ce au nom de « Dieu » se prenant dans ce cas et de fait pour celui-ci (ce qui est un blasphème du moins du point de vue biblique). Mais « il » ne le dit pas, bien sûr, lorsque la « culture de la force » n’est pas de son côté, utilisant dans ce cas « la force de la culture » (affiche annonçant sa venue au raout Vert le 24 août 2023 au Havre) pour se soustraire à l’analyse critique (c’est-à-dire laïc au sens kantien de sapere aude !) en montrant bien sûr patte blanche…

Ce qui fait alors de la nouvelle cheffe des « verts » français un chaperon rouge au sens littéral : elle le chaperonne parce qu’elle est « rouge » au sens alter-islamique : celui de faire, exprès, en l’invitant, d’oublier qu’il a affiché le terme Djihad sur lui et en a fait même un disque (jouant avec les deux sens du terme « le grand » et le « petit », cachant qu’il s’agit des deux faces de la même médaille, celle de la « guerre » contre celui qui n’accepte pas la « paix » ou « salam… » qui ne veut pas dire seulement « que la paix soit avec vous », mais « que la paix de l’islam soit avec vous », mais si vous ne la voulez pas alors il vous en cuira…). Il s’est également acoquiné avec les frères Ramadan. Il soutient de fait le Hamas (sous le vocable « Gaza »), a fait une quenelle (« qu’il regrette », bien sûr), est copain avec tel imam connu pour ses propos peu orthodoxes sur les juifs et les homosexuels, a attaqué le principe de laïcité qui signifie aussi esprit objectif dénoncé par les docteurs musulmans depuis le début en écartant peu à peu la philosophie (Averroès était ultra minoritaire et détesté) de l’enseignement religieux qui s’avère être le seul admis dans les pays réellement islamiques, d’où l’idée de brûler toute autre école, car c’est « boko haram » (l’enseignement non religieux — occidental — est à proscrire).

Les Verts français, par cette invitation sulfureuse, concurrencent certes le post-trotskiste Mélenchon qui suit pour sa part les directives de sa mouvance à l’international, visant à s’allier même avec le « diable » (selon Dante) alors qu’il ne fait que lui servir la soupe sous le regard bienveillant de la Secte globaliste qui a besoin de toutes ces nuances de vert et de rouge pour imposer sa férule sansfrontièristes, réduisant également le « citoyen » à n’être qu’une « particule élémentaire » bienveillante comme un prix Goncourt si elle est intersectionnelle (modulable en permanence selon les besoins du Flux).

Mais les Verts français (et à vrai dire européens) veulent faire mieux encore en continuant aussi et ainsi leur descente dans l’enfer du nihilisme intégral pavé de mauvaises intentions quant à l’abolition des frontières, le fractionnement racialiste (et essentialiste) de la Nation en « communautés » non plus informelles, mais rigides ayant leurs propres lois habitudes habits…). Ainsi des « migrants » veulent désormais avoir comme avocat quelqu’un de leur couleur, bientôt de leur religion, ensuite et enfin voudront être jugés par leur loi religieuse (mais ils perdent au change, d’où le peu d’attrait de cet aspect…). Par contre, concernant les écoles et les logements, cela se fera lorsqu’il sera possible de voter aux municipales sans être citoyen français, une proposition qui peut avoir l’aval des macronistes et de la Nupes…

Les Verts comme cheval de Troie du totalitarisme islamique lui-même longue cuillère de la Secte Globale qui a su avec souplesse intégrer ses revendications du 11 septembre et des attentats suivants : lui faire de la place comme courroie de transmission à côté des autres vertes et rouges aujourd’hui si bien domestiquées qu’elles acceptent de se rétrécir et même d’en être la courroie auxiliaire, supplétive…




Enquête de Scott Ritter sur Volodymyr Zelensky

[Source : @FranceTraductions]

« En tant qu’ancien officier de renseignement, je me suis demandé pourquoi personne n’avait mené d’enquête sur Vladimir Zelensky, le président de l’Ukraine. Son accession au pouvoir représente, à mon avis, une incroyable manipulation de l’opinion mondiale qui restera dans l’histoire comme une étude de cas classique d’ingénierie psychologique sociale : un comédien ordinaire qui est arrivé au pouvoir parce qu’il avait promis une paix longtemps attendue, et qui a ensuite entraîné ses concitoyens dans une guerre sanglante qui ne peut être décrite que comme un massacre. Avec l’aide de collègues et d’experts ayant une connaissance directe de Zelensky, j’ai épluché des documents et des vidéos pour produire un film qui rende compte de cette enquête. Cette histoire est tellement riche en rebondissements que j’ai dû la diviser en 2 parties. Dans le premier épisode, présenté ici, je répondrai à la question de l’improbable ascension de Zelensky au pouvoir, et comment le président ukrainien a accumulé son immense fortune, une somme qui n’a fait que croître depuis le début de la guerre avec la Russie. Et, peut-être plus important encore, pourquoi j’ai décidé d’intituler ce film “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter

Enquête de Scott Ritter, ceci est la première partie, vidéo originale ici :
https://www.youtube.com/watch?v=HLeBb6hPUC8



« Dans le domaine du renseignement, chaque agent se voit confier des tâches par ses supérieurs. Dans le cas de l’agent Zelensky, j’ai identifié 10 obligations qui définissent sa relation avec ses maîtres du renseignement étranger. Une fois que vous avez examiné chacune de ces obligations, vous comprenez pourquoi Zelensky le comédien a dit une chose et Zelensky le président en a fait une autre. Quelles sont les véritables raisons de la situation actuelle en Ukraine ? Quel type d’opération la CIA mène-t-elle en Ukraine depuis de nombreuses années ? Vous trouverez les réponses à ces questions et à bien d’autres dans la deuxième partie de mon documentaire d’investigation, “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter






L’industrie de l’énergie craint que la Maison-Blanche ne déclare une « urgence climatique » de type COVID

[Source : theepochtimes.com]

[Illustration : Lignes électriques à Dallas, Texas, le 12 juin 2022. (Shelby Tauber/Reuters)]

Par Jack Phillips

Certains groupes du secteur de l’énergie craignent que la Maison-Blanche ne déclare une situation d’urgence de type COVID-19, mais pour le climat.

« Ils penchent dans cette direction », a déclaré Tim Stewart, président de l’association américaine du pétrole et du gaz, à Just the News dans un article publié le 30 juillet. « Si l’on accorde au président les pouvoirs d’urgence nécessaires pour déclarer une urgence climatique, c’est comme pour le COVID. »

Une déclaration d’urgence sur le climat pourrait donner au président « une autorité vaste et incontrôlée pour tout fermer, des communications aux infrastructures », a déclaré M. Stewart, qui a critiqué l’administration Biden.

Les infrastructures liées à l’eau et à l’électricité pourraient être affectées par une telle décision, a-t-il ajouté.

« Ils peuvent littéralement faire exactement ce qu’ils ont fait dans COVID », a déclaré M. Stewart. « Si vous n’êtes pas d’accord avec l’urgence climatique, [le discours] peut être interrompu. Nous devons vraiment faire attention à cela, car ce pouvoir pourrait être étendu indéfiniment jusqu’à ce que l’“urgence climatique” soit terminée. Qui sait combien de temps cela pourrait durer ? »

Le service de presse de la Maison-Blanche n’a pas répondu à la demande de l’Epoch Times qui souhaitait savoir si l’administration préparait une telle déclaration.

Le président Joe Biden et d’autres responsables de l’administration ont déclaré que les États-Unis et le monde se trouvaient au cœur d’une « crise climatique » et ont utilisé des termes décrivant cette crise comme une urgence. Jusqu’à présent, M. Biden s’est abstenu de déclarer une situation d’urgence, bien que certains démocrates et groupes de défense de l’environnement en aient défendu l’idée.

Une soixantaine de démocrates du Congrès ont récemment soutenu une loi intitulée « Climate Emergency Act of 2021 » (loi sur l’urgence climatique de 2021), parrainée par le représentant Earl Blumenauer (D-Ore.), qui obligerait l’administration Biden à faire une déclaration d’urgence liée au climat.

La semaine dernière, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a publié un message alarmiste affirmant que « l’ère du réchauffement climatique est terminée » et que « l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée ». Utilisant des adjectifs tels que « terrifiant », M. Guterres a déclaré que les États membres de l’ONU « doivent transformer une année de chaleur brûlante en une année d’ambition brûlante ».

Un certain nombre de médias traditionnels, dont le Los Angeles Times, ont émis des propositions telles que la mise en œuvre délibérée d’un « black-out occasionnel » pour « aider à résoudre le problème du changement climatique ». Un article du Guardian publié la semaine dernière appelle l’administration Biden à « déclarer une urgence climatique » et affirme qu’elle « doit le faire maintenant ».

M. Stewart a récemment déclaré que l’article du LA Times et d’autres rapports similaires font partie d’une « guerre de propagande » destinée à « conditionner le public à penser qu’il est de son devoir envers l’État d’être misérable, d’avoir froid et d’avoir faim ».

« Il n’y a pas si longtemps, le simple fait de poser une telle question aurait été considéré comme absurde, même de la part des démocrates », a-t-il déclaré. « Après tout, l’un des problèmes majeurs des pays du tiers-monde est l’absence d’infrastructures et d’approvisionnement énergétiques fiables. »

La semaine dernière, alors que les températures étaient relativement élevées sur la côte Est, la Maison-Blanche a diffusé ce qu’elle a décrit comme la « toute première » alerte au risque de vague de chaleur pour les personnes travaillant à l’extérieur.

Carte des prévisions du National Weather Service
pour le 27 juillet 2023. (Weather.gov)

« Le président Biden a demandé au ministère du Travail (DOL) d’émettre la toute première alerte au danger pour la chaleur, et le DOL renforcera également l’application de la loi pour protéger les travailleurs contre les chaleurs extrêmes », indique une fiche d’information de la Maison-Blanche publiée le 27 juillet. « Depuis des années, la chaleur est la première cause de mortalité liée aux conditions météorologiques en Amérique. »

À l’époque, l’annonce de M. Biden a été faite alors qu’environ 40 % de la population américaine était sous le coup d’avis de chaleur, selon le Service météorologique national (National Weather Service). Au 30 juillet, le temps chaud était principalement relégué au sud-est des États-Unis, selon l’agence.

Le plus grand opérateur de réseau électrique du pays a également lancé une alerte d’urgence, qui a pris fin le 28 juillet, en raison de la forte demande.

« PJM a émis ces alertes pour aider les producteurs à se préparer à l’arrivée de fortes chaleurs », a déclaré l’opérateur du réseau. « Une alerte au temps chaud permet de préparer le personnel et les installations de transmission et de production à une chaleur et/ou une humidité extrêmes susceptibles de causer des problèmes de capacité sur le réseau. »

« On s’attend à ce que les températures soient proches ou supérieures à 90 degrés dans ces régions, ce qui augmente la demande d’électricité. »

Les données de l’Agence pour la protection de l’environnement (Environmental Protection Agency) montrent notamment que certaines des vagues de chaleur les plus fortes aux États-Unis ont eu lieu dans les années 1930, et plus particulièrement en 1936. Au cours de cette même décennie, le Dust Bowl s’est produit, endommageant considérablement les terres agricoles du centre des États-Unis et provoquant un exode massif des agriculteurs vers le sud de la Californie, qui a inspiré à l’auteur John Steinbeck les « Raisins de la colère ».

En début d’année, PJM a publié un rapport suggérant que les politiques étatiques et fédérales visant à décarboner le réseau « [présentaient] des risques de fiabilité croissants pendant la transition, en raison d’un décalage potentiel entre les retraits de ressources, la croissance de la charge et le rythme d’entrée de la nouvelle production ».

La décarbonisation du réseau fait référence à la réduction de l’utilisation des combustibles fossiles et au recours accru aux sources d’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique.




La détermination sans faille de Me Virginie Araujo-Recchia

[Source : lemediaen442.fr]

Par Frantz

Big Pharma et ses injections expérimentales, c’est un peu comme si un carrossier automobile installé pas loin d’un carrefour y versait de l’huile tous les matins, histoire de s’assurer d’une certaine clientèle… Dans le camp opposé, puisque c’est bien là que nous en sommes, remettons en avant une fois de plus le courage et la détermination de Me Araujo-Recchia.

De par ses interventions depuis fin 2020, elle a été, comme d’autres personnes légitimes, dans leurs professions respectives, moteur pour les citoyens qui se sont engagés dans ce combat disproportionné. Initialement, ce combat pour le respect de sa propre personne physique et morale était alors de s’opposer à Big Pharma et sa prise de pouvoir sur les populations. Dans les faits, ce n’était que la pointe du navire mondialiste…

De bien viles personnes contre le courage d’une seule femme, Virginie de Araujo-Recchia

Ariane Bilheran, avec la participation de l’hebdo Antipresse sur les numéros 398 et 399, reçoit Maître Virginie de Araujo-Recchia pour revenir sur les faits de son arrestation en mars 2022. Ariane Bilheran est philosophe spécialisée en philosophie morale et politique, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la déviance du pouvoir, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme. Virginie de Araujo-Recchia est donc une avocate française et notamment auteure du rapport « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité ». Elle a aussi participé au Grand Jury, tribunal d’opinion public international organisé comme modèle de procédure, afin d’informer au plus grand nombre les populations de la dérive totalitaire s’infiltrant dans tous les gouvernements des pays dits « démocratiques ».

Son arrestation en 2022 est faite par la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), qui a entre autres pour mission la lutte contre le terrorisme, la répression.

Source Antipresse n° 398, quelques extraits :

Tout a été passé au peigne fin : dossiers de comptabilité, documents personnels, banque, photographies de famille, archives, carnets, articles de la presse alternative, qu’un des juges d’instruction a estimé être à charge et qu’il a conservés. En principe, et étant donné la faiblesse du dossier, je pouvais tout simplement être convoquée afin de répondre aux questions des enquêteurs de la DGSI. Il n’était pas utile de dépêcher une douzaine de personnes à mon domicile, de perquisitionner l’avocat que je suis, et de me mettre en garde à vue pendant soixante heures afin de m’interroger.

Ainsi, une fois dans les sous-sols de la DGSI, j’ai souffert différentes techniques d’humiliation destinées à me faire perdre mes repères et mon amour-propre ; je ne rentrerai pas dans tous les détails, mais j’ai notamment subi le sac sur la tête lors des déplacements constants entre lesdits locaux et le Tribunal judiciaire de Paris. J’ai également passé une partie de ma garde à vue dans une cellule froide équipée de néons et de caméra, sans aucune hygiène, malgré mes demandes. J’alternais entre la cellule, les menottes et les interrogatoires ubuesques, qui ont duré une dizaine d’heures.

Étant donné que l’on ne me reproche pas autre chose que d’avoir produit des analyses juridiques et uniquement des analyses juridiques, par quel miracle aurais-je pu commettre ou être complice d’un acte de terrorisme au sens de l’article 421-1 du Code pénal ? Où est donc la logique, n’y a-t-il pas là une contradiction fondamentale ?

Source Antipresse n° 399, quelques extraits :

Nous vivons aujourd’hui dans le cadre d’un régime manifestement totalitaire. Il est donc parfaitement logique que des spécialistes élèvent leurs voix afin de rappeler quels sont les valeurs, les principes, les règles applicables, et que de nombreux Français relèvent les irrégularités, les infractions commises et tentent d’alerter le reste de la population, sachant que les médias grand public font office de modèle de propagande au sein de ce monde occidental putréfié.

Ainsi, étant donné que la qualification de terrorisme est désormais de plus en plus couramment mise en avant, et que les opposants au totalitarisme mondialiste sont considérés de toute façon comme étant des criminels tant au niveau national que d’après les organisations internationales telles que l’OMS, le glissement n’est pas uniquement hypothétique.

Quelle en sera la résultante ? Les avocats ne souhaiteront vraisemblablement pas prendre le risque de défendre un opposant au régime (ou du moins aux mesures prises), de peur de subir le même sort que le mien. Il s’agissait d’ailleurs probablement d’un signal adressé à mes confrères, afin que chacun rentre dans le rang, même si les constats sont évidents, et que l’avocat par son métier a toujours participé aux débats d’intérêt public, tout simplement parce qu’il est l’un des mieux placés pour faire l’exégèse des textes.

Me Virginie de Araujo-Recchia
Le 30 mars 2022

Maitre Virginie de Araujo Recchia, septembre 2022, au colloque Lisbonne, ou « l’inversion de la norme juridique »

Maître Virginie de Araujo-Recchia rappelle et énumère ce qui s’est juridiquement passé dès 2020 :

  • Atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes
  • Violation de la liberté individuelle
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité humaine contre toutes formes d’asservissement et de dégradations
  • Violation de la liberté de circuler et de liberté d’aller et venir
  • Violation du principe général de mener une vie familiale normale par l’interdiction de rendre visite à un proche en EHPAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toutes possibilités de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitements
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler
  • Violation de la liberté de culte
  • Violation du droit à l’éducation
  • Manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public
  • Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en matière
  • Épidémie de tests PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade
  • Interdiction de traitement contre la covid19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire
  • Homicide par administration du Rivotril dans les EHPAD
  • Crime contre l’humanité et rappel du Code de Nuremberg
  • Acte de maltraitance et torture à l’égard des enfants

Tout juriste doit être stupéfait de ce qui s’est passé dans nos pays.

Maître Virginie de Araujo-Recchia décrit la situation géopolitique actuelle et son organisation autour d’un axe fait de corruption systémique

Nous constatons que les sociétés transnationales forment une structure géante de nœud papillon et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies. Lorsque les institutions d’un État dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des Droits des Peuples ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression. Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux, ce qui il y a de plus bas sur la pyramide des normes juridiques, ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus élevé sans que ces textes ne soient remis en cause ou invalidés, alors que lesdites mesures étaient disproportionnées et contraires à bons nombres de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprêmes du Corpus Constitutionnel. L’Etat de Droit a donc cédé à l’arbitraire.

À ce titre, les chefs d’accusation suivants sont énumérés :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des Français en état de suggestion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement
  • Complicité d’extorsion et de tentatives d’extorsion de consentement
  • Tromperie aggravée et tentatives de tromperies aggravées commises en bandes organisées
  • Escroqueries et tentatives d’escroqueries
  • Complicité d’empoisonnement et tentatives d’empoisonnement
  • Participation à une association de malfaiteurs
  • Crime contre l’humanité
  • Génocide et complicité de génocide

Les 10 plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22 000 milliards de dollars comme avec BlackRock ou Vanguard, il y a alors une situation d’oligopole. Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion. Le forum de Davos (le WEF) et son pouvoir illégitime est aussi développé avec Le Great Reset, ses Young Global Leaders et sa 4e révolution industrielle promue par Klaus Schwab, son fondateur. Macron met en œuvre Le Great Reset depuis 2021, les corrélations sont frappantes. Les cabinets de conseil sont cités comme Mac Kinsey dont son « narratif sanitaire » s’est factuellement répandu dans le monde.

Il semble donc que Mac Kinsey a un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé, toujours parmi les 5 principaux prestataires de services professionnels de la fondation Gates… La fondation Gates a dépensé au total plus de 300 millions de dollars en cabinet de conseil Mac Kinsey et BCG entre 2006 et 2017. Un rapport Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées. Le média grand public reçoit les informations de Reuters ou de l’AFP, l’Agence France-Presse. Cette dernière aurait reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital de sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech, Moderna, etc.. Les investissements des diverses sociétés autour de Gates le positionnent en cumulé 1er financeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna…

Conclusion de Maître Virginie de Araujo-Recchia :

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples. En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène leurs peuples au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amenés à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.

Retrouvez Maitre Araujo-Recchia sur son site juridique.




L’injonction de la Secte SHAA en mode rouleau compresseur

Par Lucien SA Oulahbib

Malgré son côté abracadabrantesque, le rouleau Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste (SHAA) broie, brise, assassine en ciseaux façon Psychose et Les oiseaux en même temps, mais avec le sourire d’ange grand média qui cache la misère derrière les caméras alors qu’il suffirait d’aller dans les studios pour observer le côté peu ragoûtant de la tambouille : un peu d’info, beaucoup de manip à coup de chiffres, annonceur façon bateleur des grands magasins d’autrefois ou encore aujourd’hui chez les commissaires priseurs à Drouot — « approchez mesdames et messieurs du jamais vu depuis 100 000 ans ! 150 000 à droite, une fois, deux fois, 200 000 à gauche, tâtez de mon incendie exceptionnel ! Et ma tornade vous en prendrez bien une part ?… »

Mais si les écoles brûlent en sus des bus et des piscines pendant que cela surine au moindre regard fier (car les autochtones en France n’ont plus droit de l’être), la Secte s’empressera plutôt de s’acharner sur les citoyens qui portent secours, jusqu’à SOS éducation considéré comme n’ayant rien d’éducatif, alors que des millions d’euros sont déversés pour soutenir les Azertiens (des TQ+ ayant pris le pouvoir sur les LGB et les hétéros bien sûr) afin de promouvoir non pas la lutte contre la discrimination, mais l’effacement des sexes considérés comme étant seulement des rôles que l’on peut venir habiter à sa convenance.

Sans parler de cette attaque méprisable, canaille, sur l’autre face de l’habitation, la propriété, celle des biens (en principe inaliénable selon l’article 2 de la DDHEC, bafoué de plus en plus) que des « députés » nihilistes et sansfrontièristes néoléninistes osent désigner comme étant prenables (comme dans une orgie échangiste) par qui veut, à partir du moment où un juge (entre deux sursis pour un viol ou un meurtre fait sur un autochtone nouvelle chair à canon) en donnera la permission. Même le Conseil Constitutionnel en a perdu son latin. Sans oublier également tout ce qui se prépare le 25 août 2023 qui va être encore pis que le 5 août 2021 lorsque les droits fondamentaux avaient été abolis en pratique via le fameux passe qui les a trépassés, même si formellement et comme le fait l’architecture restauratrice la façade restera intacte avec avis « positif » des Conseils (État, Constitutionnel…) pour faire croire que tout va pour le mieux monsieur la Marquise, alors que l’incitation à la « révolte » est pourtant protégée par le même article 2 lorsqu’il s’agit de « résister à l’oppression »

Et qui décidera ce qui « est » haineux ou pas ? Et en quoi la haine devrait-elle être mise au même rang que l’injure raciale à partir du moment où il s’agit de repousser ce qui fait mal, blesse, assassine ? La haine est naturelle. Elle fait partie du phénomène de répulsion qui permet aux anticorps de faire leur travail de protection. Mais comme aujourd’hui même la possession de ses « propres » anticorps est considérée comme « égoïste », « capitaliste », on préfèrera acheter avec l’argent public de vrai/faux anticorps qui, à la différence de l’amour drugstore, dure trois mois au lieu de trois ans…

Mais comment cette piétaille, cette mélasse, réussit encore à vendre sa salade faite de niaiseries (inflation, guerre gagnée contre les Russes, mais oui) avec ses chiffres gonflés à l’hélium idéologique à coup de 60 degrés ici et là, jusqu’à annuler la conférence d’un prix Nobel de physique sur la question climatique, jusqu’à aussi considérer que la lutte contre la pédocriminalité serait de caractère antisémite, amalgamant tout pour mieux noyer le poisson (d’où le boycott lamentable en France du film Sound of freedom) et le soutien sans failles à cette peintre mettant pourtant en équivalence les corps de tortionnaires et d’enfants violés alors que JAMAIS un violeur ne se mettra nu devant sa victime (JAMAIS). On voit donc bien que cette Secte à l’esprit canaille de gangsters avides est prête à tout. Elle sent ce fumet SS ou tchékiste allant voler ces tableaux de maître parce qu’ils étaient la propriété des maudits.




Qu’ils mangent des insectes ! Remettre en question la réinitialisation de l’alimentation par les entreprises du WEF

[Source : off-guardian.org]

Par Colin Todhunter

Le modèle agroalimentaire mondialisé actuel repose sur des politiques commerciales injustes, sur l’effet de levier de la dette souveraine, sur les déplacements de population et sur la dépossession des terres. Il alimente la monoculture de produits de base et l’insécurité alimentaire, ainsi que la dégradation des sols et de l’environnement.

Il est responsable de l’augmentation du nombre de maladies, de régimes alimentaires pauvres en nutriments, de la réduction de la gamme des cultures vivrières, des pénuries d’eau, des ruissellements de produits chimiques, de l’endettement croissant des agriculteurs, de l’affaiblissement et de la destruction des communautés locales et de l’éradication de la biodiversité.

Le modèle repose sur un paradigme politique qui privilégie l’urbanisation, les marchés mondiaux, les longues chaînes d’approvisionnement, les intrants propriétaires externes, les aliments hautement transformés et la dépendance à l’égard du marché (des entreprises) au détriment des communautés rurales, des petites entreprises indépendantes et des petites exploitations agricoles, des marchés locaux, des chaînes d’approvisionnement courtes, des ressources de l’exploitation, des cultures agroécologiques diversifiées, des régimes alimentaires riches en éléments nutritifs et de la souveraineté alimentaire.

Il est clair que la manière dont nous produisons et consommons actuellement nos aliments pose d’énormes problèmes environnementaux, sociaux et sanitaires et qu’un changement de paradigme s’impose.

C’est pourquoi certains optimistes — ou ceux qui prennent leurs désirs pour des réalités — auraient pu espérer de véritables solutions aux problèmes et aux défis décrits ci-dessus lors de la deuxième édition du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires (UNFSS) qui s’est déroulée la semaine dernière à Rome.

L’UNFSS a déclaré qu’il visait à fournir les dernières approches scientifiques basées sur des preuves provenant du monde entier, à lancer une série de nouveaux engagements par le biais de coalitions d’action et à mobiliser de nouveaux financements et partenariats. Ces « coalitions d’action » s’articulent autour de la mise en œuvre d’une « transition alimentaire » plus durable, plus efficace et plus respectueuse de l’environnement.

Fondé sur un partenariat entre les Nations unies et le Forum économique mondial (FEM), l’UNFSS est toutefois influencé de manière disproportionnée par les entreprises, manque de transparence et de responsabilité et détourne l’énergie et les ressources financières des véritables solutions nécessaires pour lutter contre les multiples crises de la faim, de l’environnement et de la santé.

Selon un article paru récemment sur le site web The Canary, les principales initiatives multipartites (MSI) présentes au sommet 2023 comprennent le WEF, le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale, l’EAT (Forum EAT, Fondation EAT et Commission EAT-Lancet sur les systèmes alimentaires sains et durables), le World Business Council on Sustainable Development [Conseil mondial des entreprises pour le développement durable] et l’Alliance for a Green Revolution in Africa [Alliance pour une révolution verte en Afrique].

Les entreprises mondiales du secteur agroalimentaire, dont Coca-Cola, Danone, Kelloggs, Nestlé, PepsiCo, Tyson Foods, Unilever, Bayer et Syngenta, étaient également présentes en force, de même que la banque néerlandaise Rabobank, la fondation Mastercard, la fondation Bill et Melinda Gates et la fondation Rockefeller.

Dans le cadre de son « partenariat stratégique » avec l’ONU, le WEF considère que les MSI sont essentielles à la réalisation de sa vision d’une « grande réinitialisation » — en l’occurrence, une transition alimentaire. Le sommet comprend une puissante alliance d’entreprises mondiales, de fondations influentes et de pays riches qui tentent de s’approprier le récit de la « transformation des systèmes alimentaires ». Ces intérêts visent à renforcer la concentration des entreprises et l’influence de l’agro-industrie sur les institutions publiques.

Hannah Sharland, l’auteur de l’article paru dans The Canary, écrit :

« … l’ONU donne sciemment aux entreprises qui parrainent la destruction de la planète une place de choix à la table des négociations. Ce sont précisément ces entreprises qui déterminent déjà l’état des systèmes alimentaires mondiaux ».

Elle conclut que les solutions à une crise mondiale en plein essor ne peuvent être trouvées dans le système capitaliste d’entreprise qui l’a fabriquée.

Lors d’une conférence de presse tenue le 17 juillet 2023, les représentants de la Réponse autonome des peuples à l’UNFSS ont souligné la nécessité d’actions urgentes et coordonnées pour lutter contre la faim dans le monde. La réponse a pris la forme d’une déclaration des représentants des mouvements pour la justice alimentaire, des organisations de petits producteurs alimentaires et des peuples autochtones.

La déclaration dénonce l’approche des Nations unies. Saúl Vicente, du Conseil international des traités indiens, a déclaré que les organisateurs du sommet cherchaient à vendre leur projet industriel et d’entreprise comme une « transformation ».

Les mouvements et organisations qui s’opposent au sommet appellent à un abandon rapide des modèles industriels pilotés par les entreprises au profit de systèmes alimentaires biodiversifiés, agroécologiques et gérés par les communautés, qui privilégient l’intérêt public par rapport à la recherche du profit. Cela implique de garantir les droits des peuples à accéder à la terre et aux ressources productives et à les contrôler, tout en promouvant la production agroécologique et les semences paysannes.

La réponse au sommet ajoute que, malgré la reconnaissance croissante de l’échec des systèmes alimentaires industriels sur tant de fronts, l’agrobusiness et les entreprises alimentaires continuent d’essayer de maintenir leur contrôle. Elles déploient la numérisation, l’intelligence artificielle et d’autres technologies de l’information et de la communication pour promouvoir une nouvelle vague de dépendance ou de déplacement des agriculteurs, d’accaparement des ressources, d’extraction des richesses et d’exploitation de la main-d’œuvre, et pour restructurer les systèmes alimentaires vers une plus grande concentration du pouvoir et des chaînes de valeur toujours plus mondialisées.

Shalmali Guttal, de Focus on the Global South [Focus sur le Sud global], explique :

«… des personnes du monde entier ont présenté des stratégies concrètes et efficaces… la souveraineté alimentaire, l’agroécologie, la revitalisation de la biodiversité, les marchés territoriaux et l’économie solidaire. Les preuves sont accablantes : les solutions conçues par les petits producteurs de denrées alimentaires et les peuples autochtones non seulement nourrissent le monde, mais font également progresser l’égalité des sexes, la justice sociale et économique, l’autonomisation des jeunes, les droits des travailleurs et une véritable résilience face aux crises ».

Guttal demande « pourquoi les décideurs politiques n’écoutent-ils pas cela et ne fournissent-ils pas un soutien adéquat ? »

La réponse est simple. L’ONU s’est ralliée au WEF et aux géants de l’agroalimentaire et du Big Data, qui n’ont pas de temps à consacrer à la gouvernance démocratique.

Un nouveau rapport de FIAN International a été publié parallèlement à la déclaration de la Réponse autonome des peuples. Le rapport — Food Systems Transformation — In which direction ? [Transformation des systèmes alimentaires – Dans quelle direction ?] — appelle à une révision urgente de l’architecture de la gouvernance alimentaire mondiale afin de garantir une prise de décision qui donne la priorité au bien public et au droit à l’alimentation pour tous.

Sofia Monsalve, secrétaire générale de FIAN International, déclare :

« La principale pierre d’achoppement à l’adoption de mesures efficaces en faveur de systèmes alimentaires plus résilients, diversifiés, localisés et agroécologiques est constituée par les intérêts économiques de ceux qui font progresser les systèmes alimentaires industriels pilotés par les entreprises et qui en tirent profit. »

Ces intérêts promeuvent le multipartenariat : un processus qui implique que les entreprises, leurs groupes de façade et leurs armées de lobbyistes cooptent les organismes publics pour qu’ils agissent en leur nom au nom de « l’alimentation du monde » et de la « durabilité ».

Un processus qui place de puissants intérêts privés sur le siège conducteur, orientant les décideurs politiques pour faciliter les besoins des entreprises tout en mettant de côté les fortes préoccupations et les solutions avancées par de nombreuses organisations de la société civile, de petits producteurs alimentaires et de travailleurs, de peuples indigènes ainsi que d’éminents universitaires.

Les entreprises mêmes qui sont responsables des problèmes du système alimentaire actuel. Elles proposent toujours la même chose, cette fois dans un emballage biosynthétique, génétiquement modifié, mangeur d’insectes, écomoderniste et faussement vert (voir l’article en ligne « From net zero to glyphosate : agritech’s greenwashed corporate power grab » [Du « net zero » au glyphosate : la prise de pouvoir de l’entreprise agritech par l’écoblanchiment]).

Alors que plus de 800 millions de personnes se couchent le ventre vide sous le régime alimentaire actuel, ces entreprises et leurs riches investisseurs continuent à rechercher toujours plus de profit et de contrôle. Le système économique garantit qu’ils ne sont pas motivés par la justice alimentaire ou toute autre forme de justice. Ils sont contraints de maximiser leurs profits, notamment en attribuant une valeur marchande à tous les aspects de la nature et des pratiques sociales, qu’il s’agisse de connaissances, de terres, de données, d’eau, de semences ou de systèmes d’échange de ressources.

En s’assurant habilement (et cyniquement) que les besoins des marchés mondiaux (c’est-à-dire les besoins des chaînes d’approvisionnement des entreprises et leurs stratégies de recherche de profit) sont devenus synonymes des besoins de l’agriculture moderne, ces entreprises se sont assuré un paradigme politique hégémonique et intéressé parmi les décideurs, qui est profondément ancré dans les esprits.

C’est pour cette raison que la réponse autonome des peuples à l’UNFSS appelle à une mobilisation de masse pour défier le pouvoir des grandes entreprises :

« [Ce pouvoir] doit être démantelé afin que le bien commun soit privilégié par rapport aux intérêts des entreprises. Il est temps de relier nos luttes et de lutter ensemble pour un monde meilleur fondé sur le respect mutuel, la justice sociale, l’équité, la solidarité et l’harmonie avec notre mère la Terre ».

La tâche peut sembler ardue, surtout si l’on considère la financiarisation du secteur agricole et alimentaire qui s’est développée parallèlement à l’agenda néolibéral et à la financiarisation générale de l’économie mondiale. Cela signifie que des entreprises extrêmement puissantes comme BlackRock — qui détient des parts dans un certain nombre des plus grandes entreprises agroalimentaires du monde — ont tout intérêt à consolider le système existant.

Mais l’espoir prévaut. En 2021, le groupe ETC et le groupe international d’experts sur les systèmes alimentaires durables ont publié le rapport A Long Food Movement : Transformer les systèmes alimentaires d’ici 2045. Ce rapport appelle les organisations de base, les ONG internationales, les groupes d’agriculteurs et de pêcheurs, les coopératives et les syndicats à collaborer plus étroitement pour transformer les flux financiers et les systèmes alimentaires de fond en comble.

L’auteur principal du rapport, Pat Mooney, affirme que la société civile peut lutter et développer des systèmes de production agroécologiques sains et équitables, construire des chaînes d’approvisionnement courtes (basées sur la communauté) et restructurer et démocratiser les structures de gouvernance.




Cancer & Vitamine B17

[Source : profession-gendarme.com]

Une vidéo de 55 min qui résume bien le pavé d’Edward Griffin sur le sujet [voir sous la vidéo]. Important à diffuser pour sortir les malades (de la vie moderne) des griffes de Big Pharma, surtout en France, car de l’autre côté du Rhin en face Strasbourg une clinique soigne avec la B17 et les injections massives de vitamine C traitement qui n’est pas possible dans la France de Pasteur l’imposteur.

Les cures préventives sont à la portée de tous car il suffit de manger régulièrement les amandons amers des fruits à noyau (abricots, prunes y compris et surtout sauvages, cerises, etc.). Il faut noter que les noyaux des variétés modernes d’abricots, passées par les labos ne sont plus amers et risquent de n’être pas efficaces, il faut vraiment rechercher l’amertume caractéristique. Dans le même ordre on promeut des raisins sans pépins dans le même but, ne pas fournir gratuitement une nourriture anti-cancers.

À propos du cyanure, vous aurez remarqué que Big Pharma en fait un épouvantail alors que d’un autre côté l’industrie agroalimentaire utilise les amandons amers d’abricots, lorsque la récolte mondiale d’amandes amères est insuffisante (cf. les nombreux reportages au moment des galettes des Rois). Les lobbies ont réussi à faire arracher les amandiers amers sous le prétexte du cyanure, en particulier en Californie gros producteur d’amandes. D’ailleurs, d’autres plantes naturelles sont toxiques pour les cellules cancéreuses et pas pour les cellules saines contrairement à la chimiothérapie qui nous met à plat.

Source : Odysee



[Note de Joseph :
La recherche chimiothérapique contre le cancer injecte différentes substances toxiques dans les cobayes pour leur créer des cancers, afin ensuite d’étudier le pouvoir éventuel réparateur d’autres substances toxiques présentées comme des médicaments. Le fait est que ces chercheurs ou apprentis sorciers parviennent bien à produire des cancers à partir de toxines diverses et que donc la cause des cancers ne peut se réduire à des carences alimentaires.
Le nouveau paradigme médical conçoit par ailleurs la maladie comme le résultat d’un déséquilibre ou d’une dysharmonie sur un ou plusieurs plans de vie (physique, vital, émotionnel/affectif, mental, psychique et même spirituel). Et un tel déséquilibre provient de déficiences ou d’excès (par exemple, carence en certaines vitamines), mais aussi intoxication par un excès d’autres substances, pour ce qui concerne le plan physique. Sur ce plan, les champs électriques et les ondes électromagnétiques peuvent aussi largement perturber l’équilibre du corps physique, notamment du fait de l’interaction avec les courants électriques variés qui existent dans ce dernier. Ainsi, certains cancers proviennent d’ondes électromagnétiques ou de radiations nucléaires ou sont aggravés par leur impact.
Dans cette approche, si le cancer provient d’une déficience (comme une carence vitaminique), la correction de cette dernière par l’apport des substances manquantes doit permettre de le résorber. Cependant, si le cancer provient d’un excès de substances chimiques ou de rayonnements énergétiques, il faut plutôt diminuer l’apport de ces derniers ou les contrer par des substances ou des rayonnements antagonistes. Manger des aliments source de B-17 ou autre ne résoudrait pas grand-chose. L’important dans chaque cas de maladie est de trouver la ou les causes profondes afin de pouvoir adéquatement corriger les conséquences qui se manifestent sous forme de déséquilibres.]

Le livre Griffin G. Edward – Un monde sans cancer L’histoire de la vitamine B17, écrit en 1974 (pour la première édition) :

À propos de G. Edward Griffin

G. Edward Griffin est écrivain, producteur de films documentaires et fondateur de Freedom Force International. Cité dans le Who’s Who in America, il est connu pour son talent à rechercher des sujets difficiles et à les présenter en termes clairs et compréhensibles par tous.

Il a traité de sujets aussi divers que l’archéologie et l’histoire de la Terre ancienne, le système de la Réserve fédérale et les banques internationales, le terrorisme, la subversion interne, l’histoire de la fiscalité, la politique étrangère des États-Unis, la science et la politique de la thérapie contre le cancer, la Cour suprême et les Nations unies.

Parmi ses ouvrages les plus connus figurent La créature de l’île de Jekyll, Un monde sans cancer, La découverte de l’arche de Noé, Des taupes en haut lieu, Les portes ouvertes de Troie, Pas d’endroit où se cacher, La conspiration capitaliste, Plus mortel que la guerre, Le grand dessein, La grande évasion de prison et Le maître redoutable.

Ed est diplômé de l’université du Michigan, où il s’est spécialisé dans les discours et les communications. Il a reçu le très convoité Telly Award pour l’excellence de sa production télévisuelle, il est le créateur des archives audio de Reality Zone, il est l’éditeur de Need to Know News et il est le président d’American Media, une société d’édition et de production vidéo située en Californie du Sud.

Il a siégé au conseil d’administration de la National Health Federation et de l’International Association of Cancer Victors and Friends et est le fondateur et le président de la Cancer Cure Foundation. Il est le fondateur de Freedom Force International et le créateur de Red Pill University, Red-Pill Expos et Rabbit-Hole Expeditions. La mission de ces initiatives est bien plus sérieuse qu’il n’y paraît. Il s’agit de populariser une coalition mondiale pour la victoire de l’individualisme sur le collectivisme et de la liberté sur la tyrannie.




Robert F. Kennedy Jr évoque un discours de son père dans des circonstances similaires à celles qu’il rencontre aujourd’hui

[Source : twitter.com/robertkennedyjr]

Les paroles prononcées par mon père devant des étudiants de l’université du Kansas en 1968, au début de sa course à la présidence, sont tout aussi valables aujourd’hui. Comme moi, mon père s’est battu contre une guerre menée par un président démocrate sortant de son propre parti et toute l’infrastructure féroce du parti démocrate, l’establishment libéral qui le méprisait, et les médias corporatistes menés par le New York Times qui s’indignaient de sa candidature.

« Notre produit national brut s’élève aujourd’hui à plus de 800 milliards de dollars par an, mais ce produit national brut — si nous jugeons les États-Unis d’Amérique à l’aune de ce chiffre — compte la pollution de l’air et la publicité pour les cigarettes, ainsi que les ambulances chargées de nettoyer nos autoroutes du carnage. Il compte les serrures spéciales pour nos portes et les prisons pour ceux qui les brisent. Il compte la destruction du séquoia et la perte de nos merveilles naturelles au profit d’un étalement chaotique. Il compte le napalm, les ogives nucléaires et les voitures blindées de la police pour lutter contre les émeutes dans nos villes. Il compte le fusil de Whitman et le couteau de Speck, ainsi que les émissions de télévision qui glorifient la violence pour vendre des jouets à nos enfants. Pourtant, le produit national brut ne tient pas compte de la santé de nos enfants, de la qualité de leur éducation ou de la joie de leurs jeux. Il n’inclut pas la beauté de notre poésie ou la force de nos mariages, l’intelligence de notre débat public ou l’intégrité de nos fonctionnaires. Il ne mesure ni notre esprit, ni notre courage, ni notre sagesse, ni notre érudition, ni notre compassion, ni notre dévouement à notre pays, il mesure tout en somme, sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue. Et il peut tout nous dire sur l’Amérique, sauf pourquoi nous sommes fiers d’être Américains ».




Silence Radio, il a coulé ! Naufrage du Cargo « Felicity-Ace » Porte-Voitures Électriques

[Source : fr.linkedin.com]

Par Jean-Louis Blairvacq

Le 28 février 2022, ce cargo chargé de 4108 voitures des marques du Groupe VW a pris feu. Ce feu aurait pris parmi les 3000 voitures électriques de Luxe à son bord. Il a coulé le 1er mars par 3000 m de fond dans l’Atlantique ! … Vous en avez entendu parler ? Non ? Étrange ! C’est Le Canard enchaîné qui ose le dire !

Le Felicity Ace est un cargo porte-conteneurs-roulier panaméen appartenant à la compagnie Mitsui O.S.K. Lines. Mis en service en 2005, il subit un important incendie en février 2022 dans l’océan Atlantique avant son naufrage au large des Açores le 1er mars 2022.

Le navire reliait l’Allemagne aux États-Unis, il contenait notamment des véhicules de luxe, l’incendie est déclaré le 16 février 2022 et se serait déclenché sur des batteries lithium-ion présentes sur les véhicules. Les 22 membres d’équipage sont évacués du navire sains et saufs, la procédure de remorquage débute le 24 février, cependant le navire subit une gîte et coule le 1er mars 2022, il repose à environ 3 000 m de profondeur1.

Le Canard enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l’absurdité des directions écologiques dans lesquelles s’est engagée la France. Il ne faut pas oublier en ligne de mire :

La voiture électrique censée être la solution d’avenir pour sauver la planète.2

On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir… et surtout la seule voie pour sauver la planète. À cette fin, la France s’est engouffrée tête baissée dans le Tout électrique, mais sans aucun discernement. Pourtant, nos gouvernants ont enjoint aux constructeurs automobiles de tout miser sur l’électrique. Soit ! Mais qu’est-ce que cela signifie ?

D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l’heure actuelle ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km. Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glace, du dégivrage ou de la climatisation !

Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s’attarder un instant. À l’heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et… bourrées de métaux rares.

Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel. Or le nickel est plutôt rare sur notre terre. Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel ». Extraction du nickel à Goro en Nouvelle-Calédonie. Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver. Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle-Calédonie et son extraction est une vraie galère, car on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Par conséquent, il faut creuser et creuser, encore, broyer, cribler, hydrocycloner3 pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins. Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps dans la mer ! Mais qu’importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n’a pas de prix pour eux. Il n’y a pas que le nickel en jeu.

Il y a aussi le lithium. Extraction du lithium en Bolivie. Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes. Pour l’extraire, on pompe sous les salars (les lacs salés asséchés), ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs. Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau.

Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu’on va chercher au Congo. Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 € par jour (les échos du 23/09/2020). Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail ! …

Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.

On fait donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles (issus du traitement de l’alumine avec de la soude) et qui sont composés de plusieurs métaux lourds, tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice, et le titane, que l’on déverse aussi, dans la mer, au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.

Voilà ce qu’est le développement « durable » selon nos écologistes.





Elon Musk, l’homme de main des mondialistes

Par @rybar

Elon Musk est un projet de relations publiques des élites mondialistes. Dans l’espace médiatique, y compris en Russie, une image positive d’Elon Musk a été formée. Il est un entrepreneur prospère et propriétaire de TESLA, SpaceX et STARLINK, un conquérant de l’espace visionnaire et un vendeur excentrique de lance-flammes contre les zombies. Mais derrière cette façade colorée se cache un empire technologique profondément intégré au complexe de l’industrie militaire américaine.

L’entrepreneur ambitieux s’est fait connaître en 2001 lorsqu’il a exprimé l’idée de conquérir l’espace et de voler vers Mars. Ceci était en soi très inhabituel pour une personne qui n’a aucune expérience spécialisée et aucun financement approprié.

L’étape suivante était encore plus intrigante, Musk est venu en Russie pour acheter un moteur-fusée. Les négociations ont abouti à une impasse, même si le but de la visite était probablement de se faire une belle image médiatique. Après la visite, Musk a annoncé la nécessité de créer son propre moteur.

Encore plus intéressant : en 2002, SpaceX est créée, dont la direction est transférée à Tom Muller, qui dirigeait auparavant le développement d’un moteur à hydrogène dans la société militaire TRW, qui devint plus tard une partie de la géante entreprise militaire Northrop Grumman. Le public est convaincu que le dirigeant d’entreprise, travaillant sur le projet de moteur à hydrogène très prometteur, financé par la NASA et l’armée US, se rendait dans le « garage » d’Elon Musk pour y travailler sur un moteur oxygène-kérosène basique.

Tom Mueller n’arrive pas seul dans le prétendu garage de Musk. Il apporte avec lui une équipe d’ingénieurs talentueux autorisés à consulter des informations classifiées, il amène également une technologie secrète et des brevets appartenant à son ancienne entreprise. Et tout cela se passe facilement et naturellement sans conséquences graves pour SpaceX.

L’équipe SpaceX dirigée par Tom Muller a réussi à fabriquer son moteur Merlin en moins de 4 ans. Pour référence : la création d’un moteur-fusée à partir de zéro nécessite environ 10 ans de développement scientifique, la fabrication de centaines de prototypes et la réalisation de nombreux essais. Mais le public est convaincu que Musk travaille presque seul dans son garage par pur enthousiasme.

Par la suite, Musk a déclaré que la conception du moteur russe RD-180 était sans faille, alors que les géants comme Boeing et Lockheed Martin rencontraient des difficultés à développer leurs propres moteurs similaires. Les reproches publics aux géants américains ont été exprimés par le propriétaire de la petite startup de l’époque. Les reproches étaient néanmoins justifiés, le Congrès américain a interdit l’achat de moteurs russes en 2014, mais un an plus tard, l’interdiction a été levée en raison de l’absence d’alternative aux États-Unis. Cela suggère que la création d’un moteur-fusée est extrêmement difficile, même avec les ressources matérielles, humaines et financières « illimitées » des géants de l’industrie aéronautique US.

Musk ne s’est pas arrêté à cela. Il a rapidement présenté au public le moteur Merlin, le lanceur Falcon et un système de contrôle entièrement compatible avec les systèmes de Cap Canaveral et les systèmes de lancement de la base aérienne de Wanderberg. Concevoir un système de contrôle comprenant des centaines de canaux via une interface électronique, des canalisations, des systèmes pneumatiques et hydrauliques sans avoir un accès complet à la documentation militaire secrète est irréaliste.

Cela a été suivi de deux lancements réussis de fusées Falcon 1 qui ont été financés par le centre de recherche de l’armée US.

Suite au départ de Tom Mueller et au rachat de TRW, le géant de la défense Northrop Grumman a enfin poursuivi SpaceX pour avoir volé ses brevets et débauché une équipe d’ingénieurs qui travaillaient auparavant chez TRW et qui utilisaient leur expérience et leurs connaissances. Mais la petite startup inconnue a réussi à défendre sa position devant le tribunal et à régler le procès. Compte tenu du déséquilibre du rapport de force entre les deux entreprises, une telle issue à ce procès semble extrêmement inhabituelle.

Autres projets de Musk :
Nous avons déjà abordé le projet de Musk d’implantation de puces dans le cerveau.

Le projet Starlink ne semble pas moins intéressant. Le réseau de satellites peut être utilisé à des fins militaires. À l’avenir, ce système est prévu pour nécessiter un accès à Internet à l’aide d’une carte d’identité numérique (digital ID). Une autre application de Starlink est son intégration dans le système de défense antimissile américain.

Les projets civils et moins réussis de Musk, tels que Tesla, la maison intelligente à énergie solaire SolarCity, le système de voyage à grande vitesse Hyperloop et les systèmes de production et de stockage d’énergie « verte », s’intègrent bien dans l’agenda « écologique » et peuvent non seulement attirer l’attention du public, mais aussi des financements de la part des grands fonds intéressés à établir un contrôle sur la production mondiale par le contrôle des autorisations de consommation d’énergie.

Que se cache-t-il derrière Musk ?
Il est évident qu’Elon Musk est un projet de marketing réussi de la DARPA, du renseignement américain, des fonds d’investissement mondiaux et des élites financières, y compris le WEF.

La figure de Musk en tant qu’entrepreneur « indépendant » permet de masquer les financements de la NASA, de l’armée US et des grands investisseurs.

L’image positive qui est habilement créée dans les médias, notamment par l’achat de réseaux sociaux et la manipulation publique de cryptomonnaies, est une nouvelle forme de couverture idéale dans le monde numérique moderne.

Linda Iaccarino, nommée par Musk au poste de directrice de Twitter, travaille en parallèle au WEF. Iaccarino est présidente du groupe de travail du WEF sur l’avenir du travail et membre du comité directeur du WEF pour les médias, le divertissement et la culture. Elle est également activement impliquée dans l’initiative Value in Media. Ainsi, l’absence de censure dans le réseau social repris par Musk est très probablement une simple illusion.

Elon Musk lui-même était, il n’y a pas si longtemps, en 2008, l’un des Young Global Leaders du WEF. Ceci est confirmé par les données de Bloomberg et de l’Université d’Oxford.

Avec ce niveau de soutien, il n’est pas surprenant qu’Elon Musk obtienne « de manière inattendue » des projets qui dépassent les capacités des vétérans de l’aérospatiale, de la défense et des médias américains.

Sources :

https://t.me/actualiteFR/21431
https://rybar.ru/ilon-mask-pr-proekt-globalnyh-elit/
https://t.me/actualiteFR/21432




Globalisme et dépopulation

[Source : Nicolas Bonnal]

(Préface pour le livre qui paraîtra dans la version roumaine le mois prochain)

Par Iurie Rosca

Le livre de notre ami français Pierre-Antoine Plaquevent « https://www.thebookedition.com/fr/globalisme-et-depopulation-p-391362.html » s’inscrit brillamment dans la démarche intellectuelle de la Résistance antimondialiste qui s’est donné la lourde, risquée et honorable mission d’exposer les plans des élites diaboliques pour massacrer le plus grand nombre à l’échelle planétaire. Face au discours dominant qui tente d’imposer sa propre narration rusée et séduisante, l’auteur effectue un travail d’investigation colossal, mettant au jour, systématisant et expliquant une quantité impressionnante de documents, de témoignages, de livres et de déclarations des théoriciens malthusiens d’hier et d’aujourd’hui. En effet, la véritable identité et la nature des objectifs de la caste d’assassins qui s’auto-divinisent et se considèrent comme les maîtres du monde peuvent également être comprises grâce à la méthode d’analyse suivante. Ils camouflent toujours leurs plans génocidaires sous de nobles intentions, sous le souci de l’humanité, sous la vocation de sauver la planète.

C’est précisément le mérite fondamental de cette recherche effectuée avec une précision professionnelle et une rigueur académique exemplaire. Tout lecteur, qu’il soit sceptique ou simplement ignorant, trouvera à chaque page des arguments inattaquables qui mettent en lumière les sinistres plans des mondialistes visant à tuer le plus grand nombre de personnes possible par un nombre étonnant de méthodes sophistiquées minutieusement conçues dans les laboratoires scientifiques de la gouvernance mondiale. La description des origines spirituelles et scientifiques de ces théories génocidaires, la citation massive de sources indiscutables, permettent à l’auteur de travailler avec des faits, des preuves indiscutables, et non des opinions ou des impressions subjectives.

Comme dans son précédent ouvrage, Soros et la société ouverte, métapolitique du mondialisme, que nous avons publié en roumain sous l’égide de l’Université Populaire en 2020, Pierre-Antoine Plaquevent fait preuve d’un talent particulier dans la présentation de la matière, préférant construire l’ensemble de son argumentation sur des bases factuelles solides, les commentaires et jugements de l’auteur ne résultant que de l’enchaînement d’éléments objectifs. Bien entendu, la démarche de notre auteur est directement motivée par l’opération spéciale des élites mondialistes, déclenchée en 2020 sous le nom de code Covid-19, qui vise la même stratégie, la dépopulation par injection massive de sérums tueurs qui ont été imposés à des milliards d’individus dans le monde. Cette année fatidique semble marquer l’offensive générale des comploteurs de l’hyperclasse mondiale, obsédés par l’instauration d’une tyrannie techno-scientifique à l’échelle mondiale.

De l’urgence sanitaire à l’urgence climatique, des faux virus au faux réchauffement climatique, les grands serpents du monde avancent à une vitesse vertigineuse, usant d’une multitude de stratégies qui échappent au commun des mortels. La fausse pandémie lancée en 2020 via l’Organisation mondiale de la santé et l’obéissance totale de tous les gouvernements des pays du monde (les exceptions ne font que confirmer la règle !) a mis en lumière ce qui, jusqu’à récemment, semblait incroyable ou le fruit de « conspirationnistes » : le Gouvernement mondial n’est pas une fiction, mais une réalité frappante. Il impose sa politique par l’intermédiaire de l’ONU et de ses agences, qui conservent leur prestige de forum international réunissant les États formellement indépendants du monde.

 Le livre de notre auteur démontre amplement une vérité difficile à accepter, mais parfaitement valable. Le processus d’érosion de la souveraineté nationale des États du monde par des moyens économiques d’abord, mais aussi par une guerre non militaire multidimensionnelle — culturelle, informationnelle, idéologique et surtout cognitive — est un fait accompli. Et ce, au-delà des grandes rivalités entre États et groupes d’États. Puisque tous les pays du monde acceptent docilement des politiques telles que celles de l’Agenda 2030, la religion du covidisme et du climatisme, des concepts tels que « l’économie verte » et le Développement Durable, la numérisation totale, la suppression de l’argent liquide, les passeports électroniques, les QR codes, les « smart things » — « smart cities » — « smart bodies », etc., etc., tous les conflits entre eux deviennent absolument secondaires face à l’instauration imminente d’une tyrannie globale portant le nom des deux jumeaux fatidiques Technocratie et Transhumanisme. 

Et pour faciliter l’instauration et la gestion de ce nouveau type de totalitarisme mondial, les serviteurs des ténèbres réduisent méthodiquement la population mondiale dans des proportions terrifiantes. Leur enjeu est que l’anesthésie des masses ait réussi, et que leur euthanasie se fasse sans risque pour eux-mêmes. C’est pourquoi le travail des alarmistes comme notre auteur vise à réinformer les gens, à les réveiller et à les mobiliser pour défendre le droit à la vie et à la liberté. Après un exposé d’une rare force de conviction, notre auteur, qui est un bon chrétien — malheureusement un rare avis dans un Occident déchristianisé ! — conclut son livre en espérant que l’aide de Dieu permettra cette fois encore de déjouer les plans dystopiques des élites lucifériennes.

Iurie Rosca




Michel Geoffroy : « La super classe mondiale a besoin de nous faire croire que nous vivons en démocratie »

[Source : Putsch Media]

Qui sont ceux qui tiennent les rênes de cette superclasse mondiale ? Qui compose l’oligarchie ? Quels sont leurs intérêts ? Quels sont leurs objectifs ? Sont-ils finalement des philanthropes qui s’ignorent ou y a-t-il quelque chose qui tient d’une domination sans partage sur les populations depuis Davos ? Ont-ils une haine de la démocratie ? Emmanuel Macron est-il aujourd’hui plus que jamais le représentant français de cette super classe mondiale ? Et Klaus Schwab ? Michel Geoffroy est énarque, essayiste, contributeur régulier à la Fondation Polemia ; ancien haut fonctionnaire est l’invité de Nicolas Vidal (fondateur de Putsch Media) dans l’émission Putsch Live pour aborder ces sujets explosifs et opaques. En 2018 il publie aux éditions Via Romana un essai remarqué : La Superclasse mondiale contre les peuples.




Respirer de la narine gauche n’a pas le même effet que respirer de la narine droite

[Source : sciencepost.fr]

[Illustration : ©Fizkes/iStock]

Par Margaux Blanc

Savez-vous pour quelles raisons nous sommes dotés de deux narines, à l’instar des yeux ou des oreilles ? Pourquoi respirer de la narine gauche n’a pas le même effet que le faire avec la narine droite ? Voici quelques explications qui pourraient bien vous être utiles au quotidien.

Pourquoi avons-nous deux narines ?

Nous avons deux narines, mais pourquoi ? À l’instar des yeux ou des oreilles, des bras ou des jambes, nos membres et nos organes sont souvent doublés. Pour quelle raison ?

Pour le cas des narines, il s’avère que la narine droite n’est pas sensible aux mêmes odeurs que la narine gauche. La première partagerait des informations avec l’hémisphère gauche du cerveau, tandis que la seconde communiquerait avec l’hémisphère droit, associé aux émotions et à l’attention. L’hémisphère gauche est quant à lui relatif au langage et à la pensée analytique.

Dans le cadre du traitement des odeurs, l’hémisphère droit se charge ainsi de l’aspect affectif d’une senteur, quand l’hémisphère gauche s’occupe de l’identifier.

©Jeff and Mandy G/Flickr

Respirer de la narine gauche n’a pas le même effet que le faire avec la droite

À l’image d’une fleur, les tissus qui tapissent nos narines s’ouvrent et se ferment à intervalles réguliers. L’une des narines s’ouvre, quand l’autre se ferme : une transition qui permet aux deux narines d’endosser un rôle différent.

Respirer de la narine droite pour accélérer

Respirer avec la narine droite augmente la température corporelle, le rythme cardiaque, le taux de cortisol et la tension artérielle. La fonction naturelle du corps associée à la fuite ou au combat s’active alors et l’hémisphère gauche du cerveau s’irrigue.

Respirer de la narine gauche pour freiner

Respirer par la narine gauche permettrait de faire baisser la tension artérielle, de réduire la température corporelle et l’anxiété associée à la fonction instinctive de fuite ou de combat. C’est au tour de l’hémisphère droit d’être irrigué, berceau de la pensée créative et des émotions.

© Fizkes/iStock

Respirer d’une seule narine peut conduire à des troubles psychologiques sur le long terme

James Nestor, journaliste scientifique américain, auteur de l’ouvrage Respirer, et de Deep, livre consacré à la plongée en apnée, s’est entretenu avec un chercheur au sujet de la respiration alternée. Ce dernier lui a relaté le cas d’une personne qui respirait uniquement avec la narine gauche et souffrait d’hallucinations. L’hémisphère cérébral créatif étant stimulé l’excès, son imagination s’emballait. Quand elle a appris à respirer avec la « bonne » narine, puis à équilibrer les deux, les épisodes délirants se sont peu à peu espacés.

Le journaliste scientifique est convaincu que les exercices respiratoires peuvent considérablement améliorer la santé physique et mentale. Celui-ci nous invite d’ailleurs à tirer profit de cette respiration droite/gauche dans certaines situations :

Si vous souhaitez vous endormir plus facilement, respirez principalement par la narine gauche. À l’inverse, si vous souhaitez gagner en activité, respirez avec la narine droite.

Pratiquer la respiration alternée pour équilibrer l’air dans ses deux narines

La respiration alternée est une technique très pratiquée dans la culture yogique où elle se nomme pranayama. Cette série d’exercices respiratoires permettrait d’améliorer le fonctionnement des poumons, de réduire le rythme cardiaque, le niveau de stress et la pression artérielle. Une façon d’équilibrer les deux narines et hémisphères cérébraux. Voici quelques conseils et étapes pour pratiquer la respiration alternée :

1/ Asseyez-vous confortablement dans une position droite et détendue, colonne vertébrale bien alignée, yeux fermés.

2/ Posez délicatement votre pouce droit sur votre narine droite et votre annulaire droit sur votre narine gauche. Vos autres doigts reposent confortablement entre vos sourcils.

3/ Fermez votre narine droite à l’aide de votre pouce et inspirez lentement par la narine libre (gauche) sur par exemple 4 ou 5 temps. À la fin de votre inspiration, faites une courte pause en bouchant les deux narines en même temps.

4/ Soulevez uniquement le pouce droit de sorte à respirer uniquement de la narine droite. À la fin de votre lente expiration (sur 6 ou 7 temps par exemple), marquez une nouvelle pause en bouchant vos deux narines. Cette fois-ci, soulevez l’annulaire pour expirer par la narine gauche et ainsi de suite.

5/ Répétez ce cycle complet 5 à 10 fois de suite.




La pédagogie est-elle une science ?

Quelques fléchettes contre le pédagogisme

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Par Carlos X. Blanco

Depuis de nombreuses années, je dénonce le caractère pseudoscientifique de la pédagogie. Les « sciences de l’éducation » sont si nombreuses et si disparates qu’aucune d’entre elles, pas plus qu’une somme intégrale de toutes, ne semble pouvoir s’ériger, légitimement et sans appel, en discipline capable de prescrire la manière dont nous devons enseigner : ni le quoi, ni le comment, ni le quand, ni le où enseigner…

Si l’on choisit l’une de ces « sciences de l’éducation » comme connaissance principale ou directrice des autres (psychologie, sociologie, neurosciences, didactique…), il faudra se rendre honnêtement et objectivement à un fait : il n’existe pas de théorie psychologique « unique » de l’éducation, ni de théorie sociale unique ou de conseils didactiques sur ce qu’il convient d’enseigner. Il n’y a pas non plus de consensus scientifique sur la meilleure façon de procéder, sur les meilleurs outils à utiliser, etc. Comme pour toutes les autres connaissances sociales et humanistes, le tableau est complexe. De multiples « paradigmes », des approches et des modèles variés et contradictoires. L’enseignant n’a que l’embarras du choix… Et ce choix arbitraire d’un modèle ou d’une théorie n’est pas, d’un point de vue gnoséologique, très encourageant.

[Note de Joseph : la démarche scientifique ne repose pas sur le consensus. Parler de « consensus scientifique » relève alors de méconnaissance de ce qu’est ou de ce que devrait être la science. Un domaine scientifique particulier peut très bien fourmiller de théories à un moment donné de son processus d’investigation ou de recherche. Cependant, celles qui relèvent vraiment de science s’appuient sur les faits, doivent notamment respecter la méthodologie scientifique (en particulier en matière de démonstration ou de réfutation d’une causalité supposée), être vérifiables, prédictives, cohérentes, contestables (sinon il s’agit d’un système de croyances) et ne pas admettre d’exceptions ou de lacunes graves (sinon, elles doivent être abandonnées ou largement révisées). Il suffirait alors de trouver une théorie pédagogique répondant à ces critères pour que la pédagogie puisse être considérée comme relevant de science. Cependant, comme pour la médecine, nous devrions plutôt considérer que la pédagogie relève d’art (celui d’éduquer, tandis que la première relève plutôt de celui de soigner, de réharmoniser et de prévenir). La pédagogie et la médecine s’appliquent à ce que l’on peut considérer comme étant un système complexe, et même très complexe : l’Homme. On ne peut pas aborder ce « système » avec une pensée mécaniste matérialiste, seulement capable de traiter des systèmes simples.]

Cependant, à chaque nouvelle phase de réajustement du capitalisme occidental, et très concrètement, à chaque nouveau cycle politique en Espagne, la corde se resserre et l’École de base (et par extension, le Secondaire et l’Université) est soumise à un nouveau démantèlement. Le fait pur et simple que l’éducation espagnole se dégrade (moins de connaissances et plus de « compétences » ou de « connaissances de base », moins d’efforts intellectuels et plus de « gamification » et de « culture des notes ») ne peut être éclairé qu’à la lumière d’une seule cause explicative : le néolibéralisme.

Le néolibéralisme démantèle l’École.
Un exemple : l’UDL (« Universal Design for Learning ») :

Les puissances mondialistes ont trouvé la formule magique. Ils ont supprimé les centres d’éducation spécialisée. Les spécialistes des enfants en difficulté sont supprimés. Plus de pédagogie thérapeutique. Plus d’argent pour créer des classes spécifiques, avec du personnel et du matériel spécialisés, des espaces pour répondre aux besoins éducatifs particuliers. C’est une question de temps. Sous une couche de vernis ultra-progressiste, c’est-à-dire après avoir soi-disant déclaré la guerre aux discriminations, réelles et inventées, on sort un nouveau jargon, et inventer des jargons est la seule spécialité dans laquelle les pédagogues sont experts comme avec l’« Universal Design for Learning » [UDL].

Qu’est-ce que l’Universal Design for Learning ? En clair, la conception universelle de l’apprentissage est la justification verbale et pseudoscientifique de l’élimination de l’attention éducative spécifique accordée à ceux qui en ont réellement besoin.

La démarche néo-libérale ne peut passer inaperçue que pour un spectateur intoxiqué par le jargon de l’ultra-progressisme : nous sommes tous différents, nous dit-on, chaque membre de notre espèce a son « profil de sortie » (un concept qui rappelle les idées idiotes sur la « traçabilité » des produits commerciaux) et, sur la base de ces hypothèses pseudoscientifiques, l’enseignant dans la classe doit obtenir des choses différentes de la part d’enfants différents. Il n’est pas question de « demander la même chose à tout le monde ». Il s’agit d’un effort à l’ancienne pour s’élever au-dessus de ce que vos gènes ou votre classe sociale ont prédéterminé. Le néolibéralisme inhérent à l’UDL consiste à généraliser une tromperie : que les enseignants ne traumatisent pas ceux qui « partent de leur propre profil » (lire, partent de très mauvaises situations socio-économiques et cognitives). N’élevons personne. L’éducation ne sera plus un ascenseur social (du moins pour certains). Cherchons le bonheur chez les enfants, surtout l’adaptation au système (un système qui est, de plus en plus, un cybersystème), quelle que soit leur ignorance flagrante. En attendant, fermons les écoles spécialisées et évitons de « sortir » les élèves de leur groupe de référence (qui n’est généralement qu’une classe d’âge) pour ne pas les discriminer. Qui « mange le gâteau » ? L’enseignant, c’est évident. L’enseignant va « concevoir » une classe et un programme différents pour chaque enfant de son père et/ou de sa mère ou de son parent. Telle est la nouvelle pédagogie, celle qui est imposée en Espagne avec force de loi (la LOMLOE, 2020).

Quels sont les fondements de cette réglementation étatique obligatoire ? Les ornements pour habiller, adoucir et couvrir cette nouvelle astuce néolibérale ? C’est très simple : le grand ornement de notre époque est le préfixe « néo ». Dans les années 70 et 80, on préférait tout préfixer par « psycho ». C’était l’essor des sciences « psy ». Aujourd’hui, comme toutes les modes américaines, le préfixe ornemental et immédiatement porteur de prestige et de clinquant est « neuro ». C’est la mode du « neuro ». On parle de « neuroéthique », de « neuroéconomie », etc. L’UDL prétend s’appuyer sur « trois réseaux neuronaux » (trois seulement, comme s’il n’y en avait pas des millions dans nos cerveaux !) : la reconnaissance, l’émotion et la stratégie. Qu’il y en ait trois et pas quatre ou dix, ou cent est absolument arbitraire. Législateurs et pédagogues tentent de faire passer pour de la science ce qui n’est qu’une proposition issue des neurones de deux professeurs de Harvard, d’un couple de pédagogues et de psychologues (qui, soit dit en passant, sont étroitement liés au « numérique »). Sachant que dans le domaine universitaire de la psychologie et des « sciences de l’éducation », les modèles (et non les théories définitivement établies) se comptent par centaines ou milliers, il est significatif que la LOMLOE, loi copiée-collée et traduite automatiquement — dans tous les sens du terme « automatiquement » — de l’UNESCO et des instances « supranationales », impose un modèle unique, tout à fait dans le sens « supranational » du terme. La loi, traduite automatiquement — dans tous les sens du terme « automatiquement » — de l’UNESCO et des organismes « supranationaux », impose un modèle unique, très concret et très discutable, celui de ces deux figures de Harvard, que les enseignants doivent mettre en pratique de manière moutonnière et sans esprit critique.

Il y a des auteurs, comme Alberto Royo et Santiago Moreno Castillo, qui dénoncent depuis longtemps ces erreurs et ces démarches arbitraires des pédagogues. Des erreurs qui, à mon avis, seraient risibles si la culture en général et la culture épistémologique en particulier étaient plus élevées dans le public et, plus particulièrement, chez les enseignants. Alberto Royo vient de décocher une brève fléchette (Contra el Pedagogismo, Letras Inquietas, 2023) qui touche la cible du problème : le problème qui n’est autre que la détérioration que le néolibéralisme est en train de provoquer dans l’éducation espagnole. Nous attendons de nouvelles fléchettes et de nouveaux missiles contre cette fraude qu’est la pédagogie.

Adáraga : http://adaraga.com/un-dardo-dirigido-contra-la-pedagogia/