Des vestiges archéologiques détruits en Bretagne pour permettre la construction d’un magasin

[Source : abp.bzh]

L’incompréhension règne en Bretagne : KOUN BREIZH appelle au soulèvement des pierres et à la marche Gwenn ha Du le 19 août, 14 h à Carnac

Communiqué de presse de Koun Breizh

Par Yvon OLLIVIER

Les errements de la Mairie de Carnac et des services de l’État dans l’affaire de la délivrance d’un permis de construire d’un Mr Bricolage, en un lieu comportant des vestiges archéologiques, ne peuvent plus être ignorés de personne. Ces vestiges signalés par la DRAC, l’INRAP et figurant dans le périmètre du projet de classement UNESCO, avaient donné lieu à un arrêté prescriptif de fouilles préalables toujours en vigueur au moment de la délivrance du permis.

L’incompréhension règne en Bretagne et ailleurs sur les raisons de ce fiasco, mais plus encore peut-être sur l’absence de réaction des principales autorités concernées, comme si, toutes mêlées de près ou de loin à ce désastre, elles se serraient les coudes.

Les médias semblent être passés à autre chose. Pressée par nos associations patrimoniales d’ouvrir une enquête administrative sur ce dysfonctionnement majeur, Mme la ministre de la Culture n’a pas daigné répondre.

Les explications de M. le maire de Carnac « cela arrive dix fois par an »« nous n’avons pas détruit la Joconde quand même » nous inquiètent en ce qu’elles témoignent d’une banalisation de ces atteintes à notre patrimoine.

Les services de l’État n’ont jamais témoigné d’une quelconque volonté de remise en ordre de la réglementation.

Même la « Région Bretagne » n’a jamais exprimé une quelconque inquiétude quant à la situation de notre patrimoine archéologique à Carnac.

Une fois de plus, c’est au peuple breton de se manifester pour que ces Menhirs ne tombent pas dans l’oubli, que les pouvoirs publics prennent enfin leur responsabilité et que, jamais plus, nous n’ayons à connaître une telle destruction de vestiges.

L’association KOUN BREIZH, qui a obtenu l’ouverture d’une enquête pénale pour faire toute la lumière sur cette affaire, est fière de participer au collectif « le Soulèvement des pierres »,

car il faut que les pierres s’expriment, qu’elles crient justice aujourd’hui pour être entendues.

L’affaire des Menhirs de Carnac illustre le peu de considération que les Pouvoirs publics accordent à la sauvegarde du patrimoine breton dans ses composantes, archéologiques, monumentales, culturelles et linguistiques.

Nous sommes des citoyens de second rang

Nos langues sont des langues de second rang

Notre patrimoine historique est un patrimoine de second rang.

Pas plus tard que cet été, M. le préfet de la « région des Pays de la Loire » vient de signer la destruction du manoir du XVe siècle ayant appartenu au secrétaire du duc de Bretagne, pour construire une supérette à Bouvron.

Nos vestiges archéologiques ne méritent qu’une considération très limitée, sauf bien sûr lorsqu’ils peuvent être source de revenus.

Car le respect de l’héritage de nos aïeux et de ce qui est essentiel à l’humain a laissé place au « pognon ».

L’association KOUN BREIZH appelle tous ceux qui le peuvent à se déplacer le 19 août, 14 h à Carnac pour que les pierres se soulèvent, obtiennent justice et la protection qu’elles méritent.

L’association KOUN BREIZH réitère sa demande à Mme la ministre de la Culture d’ouvrir enfin l’enquête administrative qui s’impose, afin de modifier la réglementation dans le sens d’une véritable protection.

L’association KOUN BREIZH demande à nouveau à la « Région Bretagne » de sortir de son silence pour exiger l’octroi de la pleine compétence patrimoniale. C’est aux Bretonnes et aux Bretons qu’il revient de prendre en charge la sauvegarde de leur patrimoine et culture.

Pour Koun Breizh




La mise en examen de Trump revient à criminaliser toute dissidence politique

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

Par Daniel Greenfield

Traduction du texte original : The Trump Indictment Criminalizes Political Dissent

[Illustration :
L’acte d’accusation dressé le 6 janvier par l’avocat spécial (special counsel) Jack Smith, un ami de toujours des démocrates, aboutit à criminaliser la moindre contestation électorale. Ou plutôt celles qui visent les démocrates. Sans parler de la criminalisation de toute dissidence politique. Smith a empilé divers articles de loi pour bâtir une infrastructure accusatoire qui peut être utilisée pour interdire partis et activités politiques, à l’instar de la Chine communiste ou de la Russie. Photo : Smith quelques minutes avant de tenir une conférence de presse le 1er août 2023 à Washington, DC.
(Photo de Drew Angerer/Getty Images)]

Les mises en examen en série et les enquêtes subies par l’ancien président Donald Trump ont pour but de truquer la prochaine élection présidentielle de 2024. Mais la dernière mise en examen est unique en son genre, car elle vise à truquer les conséquences mêmes de cette élection.

Jusqu’au 6 janvier, toutes les mises en examen infligées à l’ancien président des États-Unis pilonnaient divers fondements juridiques, convertissaient certains délits en crimes ou affirmaient qu’un délai de prescription n’avait qu’une valeur indicative. Mais l’acte d’accusation du 6 janvier dressé par l’avocat spécial démocrate Jack Smith va plus loin : il criminalise la contestation de résultats électoraux, ou au moins des contestations d’élections contre des démocrates, et par la même occasion, toute dissidence politique.

La mise en accusation du 6 janvier soutient par exemple que les contestations électorales émises par Donald Trump ont représenté un délit. Cette accusation a ceci de particulier qu’elle est conçue pour intimider tout républicain qui aurait l’idée saugrenue de contester le résultat de l’élection présidentielle de 2024.

Non contents de mettre en examen le candidat qui est en tête de la primaire du Grand Old Party (GOP, surnom du parti républicain) dans le but de truquer les élections, les démocrates criminalisent toute opposition politique avant et après les prochaines élections.

L’acte d’accusation ressemble d’ailleurs à un éditorial du Washington Post. Il affirme que Trump était « déterminé à rester au pouvoir » et qu’il « a prétendu qu’il y avait eu fraude » afin de « créer une atmosphère nationale intense de méfiance et de colère, et éroder la confiance du public dans l’administration chargée d’organiser l’élection ».

S’il est illégal de prétendre qu’une élection présidentielle a été volée, alors où est passé l’acte d’accusation contre Al Gore ? Aucun démocrate n’a jamais été traîné en justice pour avoir prétendu que George W. Bush avait été élu à l’aide de bulletins de vote frauduleux, pour avoir contesté deux fois l’élection au Congrès, ou pour avoir répandu des mensonges et lancé des enquêtes destinées à prouver que l’élection de Trump avait été fabriquée par les Russes, ni qu’ils avaient agi afin de « créer une atmosphère nationale intense de méfiance et de colère ».

Quand les démocrates « répandent des mensonges » sur une élection, ils obtiennent des contrats d’édition mirobolants et une présence en soirée sur MSNBC ; parfois, comme Al Gore, ils reçoivent un Oscar et un prix Nobel de la paix.

Contester des élections est une pratique traditionnelle vieille de deux siècles. La première remonte à l’élection présidentielle de 1800. Les nations libres avec des élections régulières ne craignent pas les contestations électorales et les démocrates ont dépensé des fortunes en contestations électorales. Biden a ainsi dépensé 20 millions de dollars en frais de justice dans plus de 60 contestations postélectorales en 2020.

Smith, un ami de toujours des démocrates n’est pas allé mettre Biden ou Marc Elias en examen. Non, il accuse Trump de délits inventés de toutes pièces : « obstruction et l’entrave à la procédure du Congrès du 6 janvier », « complot contre le droit de vote » et complot pour « entrave » à la « fonction légale du gouvernement fédéral de recueillir les résultats de l’élection présidentielle, de compter les votes et de les certifier »…, pour ne citer qu’eux.

Considérer que toute contestation publique d’un résultat électoral équivaut à une tentative de « fraude » contre le gouvernement des États-Unis transforme l’article 371 du Titre 18 du Code des États-Unis en bombe à retardement contre un large éventail de dissidences politiques. Estimer que le lobbying ou toute autre forme de défense de groupe équivaut à une subornation de témoins érige l’article 1512 du Code 18 des États-Unis en arme contre quiconque essaie d’influencer une fonction gouvernementale. Influencer une fonction gouvernementale est l’essence même de la politique. Enfin, brandir l’article 241 du Code 18 des États-Unis — conçu à l’origine pour combattre le KKK — contre Trump et quiconque tente de vérifier les résultats électoraux légitimes fait de la fraude électorale un droit civil.

Au-delà de cette utilisation abusive de la loi fédérale pour criminaliser un opposant politique, la mise en examen telle qu’elle a été conçue par Smith ouvre la voie à une répression de l’opposition politique qui ne se terminera pas avec Trump ou avec l’élection présidentielle de 2024. Smith a empilé divers pans du droit pour construire une infrastructure de lutte contre la criminalité qui peut avoir pour résultat d’interdire d’activité la plupart des partis politiques tout comme cela se passe en Chine communiste et en Russie.

Cette situation totalitaire était à l’état d’esquisse dans le Russiagate, mais elle s’épanouit dans l’acte d’accusation de Smith. La mise en examen de Trump n’est pas simplement inconstitutionnelle, elle va plus loin en ce qu’elle a entrepris de remplacer un système politique ouvert en un État de surveillance paranoïaque qui abuse des lois existantes pour cibler et emprisonner sélectivement les opposants politiques au nom de la protection de la « démocratie ».

Et c’est ce qui est vraiment en jeu ici.

L’acte d’accusation du 6 janvier est structuré par un discours qui clame que la démocratie en danger. Il est certes possible d’accuser l’ancien président de « mensonges déstabilisants sur la fraude électorale » et d’affirmer que ces mensonges « ciblent une fonction fondamentale du gouvernement fédéral », mais on peine à voir en quoi la remise en question des fonctions fédérales doit être considérée comme un délit. Si le lobbying des élus des États et la recherche d’électeurs suppléants sont un crime, alors tous les présidents avant 1900 auraient dû être emprisonnés. Sans parler des personnalités politiques en herbe comme Alexander Hamilton. Chaque fois que les démocrates perdent une élection, ils s’en prennent au collège électoral et tentent de l’éliminer en utilisant des mesures globales comme le Pacte interétatique du vote populaire national (National Popular Vote Interstate Compact, NPVIC).

Le NPVIC est un accord conclu entre un groupe d’États américains et le District de Columbia pour attribuer tous leurs votes électoraux au candidat présidentiel qui remporte le vote populaire global dans les 50 États et le District de Columbia. Le NPVIC et les États membres doivent-ils être traités comme un complot criminel contre une « fonction fondamentale du gouvernement fédéral » ? L’acte d’accusation de Smith crée à cet égard un précédent.

À plusieurs reprises, l’acte de mise en examen accuse Trump et ses partisans de « fraude » parce qu’ils s’en sont pris à ce qui, pour les démocrates, est une évidence à savoir que Biden est sorti vainqueur de l’élection : contester cette évidence est devenu un délit. Pour fonder ses allégations de fraude, Smith utilise la rhétorique de son propre parti et des expressions telles que « allégations de fraude sans fondement », « enquêtes électorales fictives » et « fausses allégations de fraude électorale ». Toutes formulations qui incarnent les opinions partisanes du procureur plutôt que la loi.

L’acte d’accusation pose une seule question : est-il illégal d’être en désaccord avec les démocrates ? Si c’est le cas, ainsi qu’il transparaît dans l’acte d’accusation de Smith, alors toutes les oppositions politiques sont également illégales.

Les démocrates et leurs médias affirment que l’acte d’accusation est apolitique, mais en réalité, il est le produit d’un parti pris politique. Cet acte d’accusation n’a de sens qu’en tant qu’il est un outil politique démocrate ; pour ce qui est de sa relation à un système juridique indépendant, il est sans aucune pertinence.

Dans la vision démocrate du monde, Trump a fait de « fausses déclarations » à propos d’une élection qu’il a perdue. Mais, comme beaucoup de choses en politique, il s’agit d’une opinion et pas d’un fait.

Il est possible d’inculper des gens pour ce qu’ils font, mais pas pour ce qu’ils croient. Néanmoins, Smith martèle de manière obsessionnelle que Trump croyait ceci ou cela, parce que sans cela, il n’y a pas de délit. Et s’il n’y a pas de délit sans croyance, alors il n’y a jamais eu de délit.

Smith affirme que Trump a sciemment fait de « fausses allégations » parce que, entre autres, le secrétaire d’État du Nevada a publié un document intitulé « Faits contre mythes ». Selon l’acte d’accusation, il ne serait pas possible que le président des États-Unis et le secrétaire d’État du Nevada soient en désaccord, et il est illégal que le premier ne se plie pas à l’autorité du second.

Les démocrates qui ont rejeté les conclusions de la secrétaire d’État de Floride Katherine Harris en 2000 n’ont pas été jugés pour l’avoir dénoncée, menacée et parodiée. La question n’est pas celle des positions relatives, mais celle de la politique relative des républicains et des démocrates.

Les démocrates ont passé les deux dernières générations à criminaliser toute dissidence politique. Les militants écologistes exigent que les compagnies pétrolières et gazières soient accusées de fraude parce qu’elles « nient » le réchauffement climatique. Les services de police font l’objet d’enquêtes sur les droits civils lorsqu’ils contestent les allégations de racisme systémique. La mise en examen du 6 janvier fait partie d’un programme totalitaire qui rejette l’idée de dissidence politique et la centralité du débat au sein du forum des idées dans notre système.

Cet acte d’accusation ne menace pas seulement un ancien président ; il met en cause la Déclaration des droits.

Si l’acte d’accusation de Smith du 6 janvier aboutit, la liberté meurt et la dissidence devient illégale. Tout conflit avec les gauchistes n’entraînera pas seulement un risque de chômage ou à des disputes sur les réseaux sociaux, mais peut amener à des arrestations, à des procès et des peines de prison. Ce qui est en jeu ici est la survie de l’Amérique.

Daniel Greenfield est Shillman Journalism Fellow au David Horowitz Freedom Center. Cet article a déjà été publié dans Front Page Magazine.




Voilà comment ils mettent le feu de partout où ils le souhaitent

[Source : profession-gendarme.com]

Source : VK




Google & Facebook se prennent pour des Dieux. Les limites sont-elles franchies ?

[Source : 100% DOCS]

Ils dirigent Facebook, Google, ou Twitter. Ils sont cools, créatifs, et ultra riches. Ces nouveaux patrons qui ont changé le monde allient une réussite énorme, et un pouvoir qui fascine la société… mais cette fascination pourrait bien se transformer en défiance, voire en haine. Car aujourd’hui, les barons de la hi-tech apparaissent comme des menaces pour nos démocraties. Des géants qui se moquent des lois et de la communauté dans laquelle ils vivent.

Première diffusion : 26/01/2015




Vers une dictature climatique ?

[Source : Idriss J. Aberkane]

L’OCDE compte 1,32 milliard d’habitants et on y parle déjà publiquement de leur faire manger des insectes et de rationner leurs déplacements à vie. Les BRICS comptent 3,3 milliards d’habitants et enchaînent les commandes d’avions de ligne et les mégaprojets d’infrastructure. La Chine à elle seule coule plus de béton en 2 ans que tous les USA durant tout le 21e siècle… et ce même quand la construction représente presque 30 % des émissions de CO2 mondiales.

Christian Gerondeau a vécu assez longtemps pour connaître l’époque où les catastrophistes climatiques prédisaient publiquement — et dans la presse — une nouvelle ère glaciaire pour les années 1990, ou encore les prédictions de fonte totale des glaces arctiques pour 2010. Il vient partager avec nous sa très haute expérience de la politisation extrême des enjeux climatiques. Oui il existe des défis environnementaux, et, disons-le, même des crises, mais leur résolution n’est absolument pas l’enjeu cardinal du catastrophisme ambiant. Pour les nouveaux Savonaroles et autres prêcheurs de l’apocalypse, seule la confiscation massive des libertés publiques compte.




Ils donnent des MILLIONS pour se donner BONNE CONSCIENCE

[Source : 100% Docs – Crime]

« CHARITÉ BUSINESS »

Ils font partie des hommes les plus riches de la planète. Ils ont décidé de consacrer leur fortune pour faire le bien. Ils s’appellent Bill Gates, David Rockefeller ou encore Warren Buffett. Leurs dons se chiffrent chaque année en milliards d’euros. On les appelle les philanthropes autrement dit, les bienfaiteurs, les charitables. Mais que se cache-t-il derrière tant de générosité ? À qui profitent vraiment tous ces milliards ? À la manière d’un road movie, à travers tous les États-Unis, l’histoire nous emmène à la découverte d’un système caritatif organisé comme un business. Un système qui montre maintes contradictions. Comment prétendre vouloir prétendre soigner des maladies alors que, d’un autre côté, l’on investit des milliards dans des entreprises responsables de ces fléaux ? Après des mois de tentatives, Bill Gates et David Rockefeller ont finalement accepté de répondre à ces questions. Aux États-Unis, le « charité business » donne souvent d’une main pour reprendre de l’autre.

[Voir aussi :
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
et
L’eugénisme, l’inavouable projet « scientiste » des philanthropes de la finance]

Première diffusion : 27/10/2007
Un reportage de Frédéric DUPUIS F.




La façon dont « le courrier des Stratèges » attaque Riposte Laïque est dégueulasse

Par Lucien SA Oulahbib

Un mot fort pour indiquer que l’on n’attaque pas ainsi en dessous de la ceinture en se ralliant de fait à ceux que les propriétaires sont censés combattre, non pas seulement « la Caste », mais la Secte — en ce sens où celle-ci recrute également tout le monde (à la différence de la première, qui coopte seulement) et qu’elle interdit toute dissidence alors qu’une caste admet en son sein toutes les nuances de « gris » (à la cervelle de crevette ayant la même couleur). Cette distinction entre secte et caste n’est pas uniquement une question de vocabulaire, mais d’analyse globale de l’état actuel du système global basé sur la fusion organique et non plus tactique entre la Technostructure publique et privée avec l’Affairisme international à tendance mafieuse — qu’il est trop aisé d’indiquer comme représentant uniquement « la » finance, celle-ci étant en effet le nerf de toute guerre depuis la nuit des temps. C’est du moins ce que l’article somme toute mesuré publié dans Riposte Laïque a juste souligné, sans injurier, en se demandant par exemple pourquoi le Courrier des Stratèges ne voyait pas que le nihilisme du sansfrontièrisme et cette proposition d’« Édit de Nantes avec “les” musulmans » faite par le Courrier (ou le degré zéro de l’analyse politique) font partie du souhait de cette Secte qui veut annihiler toute particularité souveraine (Nations) et toute singularité individuelle (queerisme antigay et pédophile) en réduisant les peuples en « particules élémentaires » modélisables, injectables, remplaçables, nouvelle matière première de la machinerie cybernétique divisée en passifs (les sans-dents et « ceux qui ne sont rien ») et actifs (l’élite de la Secte et ceux qu’elles cooptent pour commander, rectifier moralement…).

Et cette Secte (nommée ailleurs SHAA) a besoin de gardes-chiourmes pour maintenir son Hégémonie (et Orbe) — elle l’a trouvée ces temps-ci dans les rangs des néoléninistes petits bourgeois s’étant fait une santé avec la guerre d’Algérie, du Vietnam, et le mai 68 dévoyé, après avoir écrémé le centrisme mou des sociaux-démocrates et des catho-sociaux (à la base des ONG) et d’un zeste de communistes repentants, tous à la recherche avide, mais aussi désintéressée de places en son sein (en la contestant par exemple, sauf que la critique fait partie de sa révolution permanente). Et tous se servent de la fibre révoltée de toute jeunesse, car « chaque génération est un nouveau peuple » disait Tocqueville, pour à la fois propager les thèmes permettant de conforter la « conception du monde » hégémonique, et chasser les dissidents, les traquer, puis les tuer déjà socialement…

Or, il se trouve que le Courrier des Stratèges, du fait de ses convictions, et de ses analyses de bon niveau sur la situation internationale et sociale-économique, et le poids grandissant de la fusion, organique, entre l’État et les FTN, avait de l’intérêt pour la sauvegarde des libertés fondamentales. Mais soudain, au détour d’une maladresse policière (compréhensible, car il aurait pu être écrasé sur le mur et que « force doit rester à la loi ») — qui n’aurait pas fait tant foin s’il n’y avait pas eu ces émeutes (et à l’instar du « ceci n’est pas une pipe » de Magritte, celles-ci ne sont pas des révoltes) avides plutôt de voler à la hauteur de la démesure narcissique d’aujourd’hui (car on n’y a pas volé « que » du pain, mais surtout des objets de marque) au lieu de partir à l’assaut du « macronisme » comme le voulaient également les « stratèges » de la Nupes, et comme le croyaient également nos libertariens en herbe du Courrier (en herbe, car à côté d’un Friedman, père et fils — Milton et David —, ou même d’un Bastiat qu’aimait titiller Marx, il y a de la marge…)

Non, ces émeutes n’étaient pas « l’étincelle qui met le feu à la plaine », mais le trop plein d’une société narcissisée et rétrécie aux « besoins » parmi lesquels même les livres ne sont plus les bienvenus (ils avaient été écartés lors de la crise hygiéniste comme « inessentiels ») du « prêt-à-penser » comme l’on disait autrefois lorsque l’analyse critique avait du coffre, le tout maquillé bien sûr en « révolte antiraciste ». Et même le Courrier s’y est fait prendre en ce sens où ces émeutes sont surtout le résultat convexe, la synthèse, la Somme de toute les gabegies aujourd’hui ambiantes allant du pédagogisme propagandiste sur la colonisation, les crimes communistes (parlant seulement des crimes nazis) aujourd’hui l’écologisme alarmiste (l’autre A de SHAA le premier étant celui de l’Affairisme nihiliste…) jusqu’à un regroupement familial sans autre condition que l’atermoiement bureaucratique par ailleurs contradictoire :

faire ainsi croupir des milliers de gens sous des abris de fortune en France ou en Italie alors que c’est bien, d’abord, un problème mondial, avec pour conséquence l’accroissement désormais constant (quoi qu’en dise un Lebrun bien moins compétent qu’une Tribalat) d’une population à qui, l’on enseigne, en plus, et même seulement, qu’elle est surtout une victime de l’Histoire, uniquement française d’ailleurs, et qu’elle doit, de ce fait, non seulement exiger, mais considérer que ses « propres » valeurs peuvent non seulement se déployer (se reproduire telles qu’elles comme si elles étaient « fixes »…), mais surtout se développer — tout en se substituant aux valeurs propres à la culture française (qui non seulement « existe », mais se vit en tant que telle) avec tout un prosélytisme multiforme, encouragé par clientélisme et conviction altermondialiste, financé par des puissances étrangères (jusqu’aux USA en « banlieues difficiles) via les centres dits “cultuels” et les mosquées de diverses obédiences alors qu’aucune Église, synagogue, pagode, aucun centre laïque, n’est construite dans les pays musulmans pour la plupart corrompus ; mais ils sont de moins en moins les seuls à l’heure du régime mafiosique généralisé…

Au fond, le Courrier, mais il n’est pas le seul, n’a pas eu cette profondeur en analyse sociopolitique qui lui aurait permis de comprendre, ne serait-ce qu’en lisant Hobbes, que tout groupe lorsqu’il est reconnu tel, même informellement via la dimension “culturelle”, veut se déployer (se conserver) et se développer (s’affiner en qualité) pratiquement : c’est-à-dire jusqu’à exiger la partition, la sédition, comme ce fut le cas pour les protestants de plus en plus en cheville avec l’Angleterre, d’où la nécessité de casser l’Édit de Nantes (quitte à s’allier à d’autres protestants en Allemagne comme le fit Richelieu…) afin d’empêcher que se déploie des “fragments” que d’aucuns rêvent d’accomplir par ailleurs en France en la ramenant à ce qu’elle était avant Charlemagne…

Ou l’individualisation forcenée, mais fantasmée parce que l’être humain est un animal politique disait Aristote (et non pas seulement “social” comme certaines traductions l’y réduisent) et qu’il a donc besoin de se reconnaître et d’être reconnu (politeia) par un quelque chose plus grand que lui, un référent des référents qui donne du sens à tous les signifiants et signifiés, en clair, à une transcendance que l’esprit objectif (ou culture commune chez Durkheim) amène, renforce dans l’idée de Nation Laïque c’est–à-dire ce qui dépasse, singulièrement (selon les particularités historiques), les origines ethniques, sociales, religieuses, afin d’atteindre ce bonheur dont parlent Aristote (et Bainville) en tant que but objectif (polis) et subjectif (politeia) que se donne la Cité, et dans laquelle les individus sont heureux d’être ensemble et non pas seulement de cohabiter…

Mais comme il existe des ennemis à cette Nation Laïque (à chaque fois singulière selon l’histoire de chaque peuple) il faut bien riposter… Et aussi proposer : que les propriétaires du Courrier aient le courage d’organiser un débat loyal avec de “vrais” opposants au lieu de faire comme les autres et jeter des sortilèges… Cela nous grandirait non ?… Chiche ?…




Plandémie Covid : made in China ?!

[Source : @JeanDominiqueMichel]

Vivre en Chine dans un rayon de moins de 15 minutes de chez vous, cela vous dit ?
En tout cas, la réponse totalitaire et anti-scientifique à la « pandémie » vient déjà du parti communiste chinois.
Avec la complicité active de l’OMS, de Klaus Schwab, de Bill Gates, de la CIA comme de nos gouvernants et « experts » de plateau corrompus !
Émission du 15 août 2023.
L’intégrale de cette série est accessible sur : https://odysee.com/@Covid-non-censure

[Voir aussi :
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010]






Poésie et crépuscule : les meilleures pages de JMLP

« … à mesure que je grandissais puis que je prenais une certaine importance, mon pays rapetissait… »

Mon ami Guillaume de Thieulloy (les4verites.com, où j’ai écrit dix-huit ans) a publié aux éditions Muller le tome premier des mémoires de Jean-Marie Le Pen et bien lui en a pris puisqu’il en a vendu beaucoup — et ce n’est pas terminé…

À titre personnel j’ai rencontré plusieurs fois Le Pen dans les années 90 grâce à Serge de Beketch (voyez mon livre sur Serge). Nous avions fait une belle émission le 3 janvier 90 sur Radio-courtoisie où je l’avais étonné, tout « jeune homme que j’étais par mes connaissances sur l’ésotérisme et notre tradition » (nous évoquions les doriphories(([1] cycles planétaires et grandes concentrations planétaires selon les astrologues)) de Jean Phaure à propos des évènements de Roumanie). Le Pen est un bloc de culture et de sensibilité traditionnelle et française, et il me semble d’ailleurs que c’est comme cela qu’il faut lire ses mémoires, comme un bréviaire pour maintenir le cap spirituel en ces âges sombres où tout a été rasé, religion catholique romaine y compris ! Il ne subsistera que les catholiques parcs que j’ai évoqué dans un conte publié par Philippe Randa, ou ces oasis de tradition dont a parlé Benoit XVI (lui aussi remplacé, et de quelle manière !). La politique était foutue en France comme partout et c’est son message de solide menhir celte et enraciné qu’il faut méditer maintenant ; car Le Pen est un éclairé et ce n’est pas pour rien si ce phare breton (sic) tient depuis si longtemps.

Je l’ai interviewé pour la presse russe en 2012 (Pravdareport.com) et il avait étincelé, évoquant un arc d’union boréale qui irait de la Bretagne à la Sibérie. (nous en sommes loin…). Comme Serge, il avait compris que la Russie virerait à la tradition dès les années 90.

Ce chevalier sauvage m’a toujours impressionné par ses qualités (culture, phrasé, humour, force, flamme, énergie). Son combat était perdu d’avance on le sait, mais lui ne chargeait que plus. Souvent trahi, jamais culbuté. On devient immortel en se sacrifiant, pas en se planquant. Ce qui n’a pas tué Le Pen ne l’a pas seulement rendu plus fort, il l’a rendu plus grand. Et là en écrabouillant par ses ventes tous les Hollande et petits plumitifs de la planète média, il montre que le peuple n’est pas totalement mort.

Je laisse le début du livre bien déprimant. La mer, les tempêtes, la famille orpheline, la guerre, l’occupation, la Libération-épuration, le rejet du communisme… La malédiction française, « terre du fiasco récurrent » depuis deux siècles comme dit un historien anglais. Quelques phrases magnifiques sur la fin des cathédrales de voiles :

« Mais “tant que la mer est par-dessous, c’est le marin qui tient le bon bout”. Ces risques, ces souffrances ne tarirent jamais le recrutement tant au moins que la machine laissa survivre ces splendides cathédrales de voile, marchant “avec la respiration du bon Dieu” comme aurait dit maître Cornille, le meunier d’Alphonse Daudet. Quand l’évolution des techniques les condamna à la démolition, avec eux disparut la race des titans de la mer et fut tournée l’une des pages les plus poétiques et les plus émouvantes de notre histoire maritime. »

Je prends ces pages du milieu des années cinquante. Un peu d’Indochine et les débuts du poujadisme, cette fronde technophobe si sympa quand on voit que nous sommes depuis devenus un camp de concentration électronique et technocratique mondialisé. Le Pen peut à la fois être cet « extrémiste » patenté et redouté (en réalité un provo de la corpo…) ou un humaniste en guerre contre cet inframonde moderne.

Sur de Gaulle :

« J’allai voir le 23 juillet le général De Gaulle à Auray. Pour toucher le grand homme. Il n’avait pas encore acquis le métier des bains de foule et passait hiératique, un peu excédé, au milieu de la masse enthousiaste. Je serrai cette main indifférente. Il me parut laid et dit quelques banalités à la tribune tendue de tricolore. Il n’avait pas une tête de héros. Un héros doit être beau. Comme saint Michel ou le maréchal Pétain. J’étais à nouveau déçu. »

Sur l’Indochine coloniale :

« Comme tous ceux qui l’ont vue alors, l’Indochine m’avait conquis. Le pays était prenant, le peuple charmant, j’en aimais les bruits et les odeurs. Malgré la guerre sauvage, la saleté, la misère à l’occasion, ces gens minces et gracieux ne me répugnaient jamais. L’amour était simple. Les femmes pas lascives, mais douces, accueillantes. Avec les paysans, les rapports étaient naturels, ils ressemblaient aux paysans français, mêmes structures mentales et affectives. En plus petits, plus frêles. On avait l’impression de boy-scouts. »

Sur la fin du monde :

« Le monde que nous avons connu est mort, je préfère garder mes images intactes. Depuis est survenue une catastrophe. »

Sur la catastrophe communiste :

« Mon “boy” n’était ni un “béni-oui-oui” ni un “collaborateur”, pour reprendre le vocabulaire que parvient à comprendre une intelligentsia faisandée, c’était un homme du peuple qui avait senti au fond de lui-même que la moins mauvaise des tutelles qu’il pourrait connaître, la moins dictatoriale, la plus émancipatrice, était celle de la France. Quand Saigon tomba, je me demandai comment rendre hommage à ce monde englouti d’un seul coup, à ce peuple abandonné à l’esclavage, dont la défaite bafouait les sacrifices. »

Sur les mensonges éternels de la presse-système qui frappaient tous les génies littéraires du dix-neuvième siècle (Flaubert, Tolstoï, Nietzsche…) :

« Au-delà des larmes de rage, jusqu’à l’hébétude, on touche l’horreur de cette presse qui ment. Pour cela aussi, je devais faire de la politique. Pour combattre le mensonge. Flétrir non seulement le communisme, mais les modérés qui le laissaient faire, les compagnons de route, la sale presse qui s’en faisait complice. Pour les morts, pour les vivants, pour la France, pour les enfants à naître, il fallait rétablir la vérité. »

Sur Poujade donc et sa révolte contre la technocratie montante qui aboutirait au très eschatologique binôme Macron-Hollande :

« Le mouvement Poujade était un rassemblement qui mettait en synergie les Français, quels que soient leurs intérêts particuliers, leur rôle social. À l’opposé de l’idéologie marxiste dominant le monde politique, qui opérait la division des Français par le dogme mortel de la lutte des classes, Poujade dirigeait un mouvement proprement politique, visant le bien commun de la Cité entière, non celui d’une seule classe. »

Sur la juste révolte contre le fisc :

« Il n’est pas indifférent qu’il (le poujadisme) se soit manifesté contre les abus du fisc. Ce sont les abus du fisc qui ont jeté depuis des siècles les braves gens de France dans la révolte, des jacqueries à Jacquou le croquant, et le terme exaction fut d’abord appliqué aux exempts du fisc. Consentir à l’impôt est l’une des prérogatives majeures des représentants du peuple. »

Le Pen note sur le vrai grand remplacement dont j’ai parlé avec Guitry de la France traditionnelle, et qui allait être liquidée et exterminée par le techno-gaullisme américanisé dans les années soixante (c’est le remplacement des Français par les néo-français, comparez Manon des sources aux Valseuses de Blier pour comprendre) :

« Au milieu des années cinquante se déroula une révolution qui allait faire disparaître assez vite non seulement la plupart des commerçants et artisans, mais aussi les paysans, c’est-à-dire la France traditionnelle des travailleurs indépendants, au profit d’une armée de salariés et de fonctionnaires. »

Ces braves engloutis furent nos koulaks :

« D’origine sociale modeste, l’homme qui allait disparaître était son propre patron, révolté par l’outrecuidance des irresponsables qui l’interpellaient au nom de l’État joufflu : le choc culturel était palpable, d’un côté les agents du fisc, de vrais pros, et de l’autre leurs victimes, des amateurs qui n’avaient pas les codes, ni social ni administratif. »

Après le poujadisme Le Pen entrevoit la catastrophe de la grande distribution et l’enlaidissement sidérant du pays :

« La révolution sociale et mentale que les technocrates menaient par l’impôt devait engendrer, en matière de commerce, les géants de la grande distribution. Pierre Poujade se révolta contre l’État qui spoliait les petits au profit des gros. »

Et on en est resté là, au populisme comme on dit. Ô présent perpétuel (Ortega Y Gasset dit « définitif »)…

Après écoutez bien, c’est génial, Le Pen héritier de Tocqueville :

« J’ajoute que le mouvement Poujade, que l’on présente comme un combat d’arrière-garde de ploucs ringards, de beaufs menés par quelques fascistes, était en fait très en avance.

D’une part, c’est l’agriculture industrielle et la grande distribution qui sont aujourd’hui obsolètes, alors que le bio, le raisonné, le commerce de proximité, les circuits courts ont montré leur intérêt : le coût social de prétendus progrès des années cinquante et soixante n’a pas fini d’être calculé. D’autre part, le fiscalisme, dont je n’ai cessé en soixante ans de carrière politique de dénoncer les méfaits, est non seulement un étrangloir économique, mais la matrice de l’État policier.

L’habitude de surveillance, les instruments statistiques qu’il crée, ont été mis à profit par le totalitarisme informatisé qui s’installe. »

Encore un peu de Poujade et de pression fiscale :

« Poujade avait su rendre leur fierté aux pauvres gens injustement traités, humiliés, offensés, bafoués. Il faut savoir que les polyvalents, armée recrutée à la va-vite, se croyaient autorisés à perquisitionner comme des policiers, vidaient les armoires, jetaient les draps par terre, laissant les mères de famille en pleurs :

— Ils nous traitent pire que faisaient les boches, ça va pas ! »

Le résultat de cette Gestapo fiscale c’est le chiffre donné récemment par Mélenchon : 32 milliardaires sont plus riches que les vingt-sept millions de Français les plus pauvres. Le phénomène est d’ailleurs mondial.

Un beau moment démocratique, le triomphe électoral :

« Les résultats du scrutin secouèrent la France et l’Europe. Cinquante-trois députés poujadistes entraient au Palais Bourbon. Quand j’y pénétrai, précédé des huissiers à chaîne, sous le roulement des tambours des gardes républicains, j’eus, avec la chair de poule, une pensée pour mon père, qui m’avait inscrit au collège de Vannes. C’était la première fois que je votais et j’étais élu. Je n’ai pas besoin de décrire la fierté de ma mère. »

La découverte du prodigieux talent oratoire :

« Étant donné le peu d’habitude de la tribune de la plupart de mes collègues poujadistes, je fus amené à prendre très vite la parole, sans respecter le temps de silence et d’observation imposé traditionnellement aux députés novices. J’étais le plus jeune élu de l’assemblée et je ne me débrouillais pas trop mal. »

Modeste ! Je l’ai vu-entendu parler des heures sans faire tinter la syntaxe une fois, en gardant sa pensée bien sauvage (dixit Baudrillard).

Tiens, une preuve sur la fin du chant et de la culture traditionnelle. On dirait du Leopardi :

« Le chant est aussi naturel à l’homme qu’à l’oiseau. Les deux fonctions de la musique sont complémentaires »

Après JMLP s’en prend à la culture musicale comme arme de destruction massive (de Johnny à Lady Gaga…) :

« On se limite aujourd’hui à la fonction passive d’écoute. On se mutile de la fonction active. Sans doute reste-t-il des gens qui chantent ou jouent d’un instrument, mais cela fait partie de la culture savante. La culture populaire ingurgite une soupe toute faite et servie par la télé, la radio, les concerts, internet. Le peuple a perdu sa voix. Nous chantions à l’école, le maître était aussi professeur de chant. Les mélodies de mon enfance me sont restées gravées dans la tête et dans le cœur. L’église était le temple du chant collectif, chants en latin de la liturgie que l’on connaissait ou cantiques des processions et des pardons qui se transmettaient de père en fils. »

Et la conclusion :

« Dans les années soixante, tout a été attaqué ensemble chez nous : la liturgie romaine et le grégorien, la poésie classique, la musique. On essaya de remplacer Mozart et Beethoven par la musique sérielle, mais cela n’a pas très bien marché, en même temps qu’on remplaçait la goualante, le musette, la chanson traditionnelle par une pop façonnée sur le rock — et cela a marché, dans l’ensemble. »

Le Pen a raison : le système fou n’a pu remplacer Bach et Vivaldi par Boulez et Stockhausen.

Pour le reste c’est le grand remplacement culturel :

« C’est le grand remplacement du chant de la France.

Alors l’orphéon de village se raréfie et les ouvriers ne chantent presque plus, la société ne chante plus ensemble. Cela creuse un grand vide. C’est peut-être une compensation à cela que pas mal de jeunes cherchent dans leurs raves-parties déjantées, ils veulent retrouver un langage commun, un moment où ils s’expriment ensemble, ce que les pontifiantes fadaises de la Kultur officielle ne leur donnent pas. Nous, cela nous était donné sans que personne n’ait à s’en occuper. Quand le peuple chantait lors des pardons, on aurait dit la mer, qui revient sans cesse sur elle-même, qui ne finit jamais. Mais tout finit. »

Je trouve qu’il y a une certaine grandeur de sa part à le reconnaître : « tout finit. » Et on restera là.

Sources

Jean-Marie Le Pen — Mémoires Fils de la nation – ÉDITIONS MULLER




La PSYOP « Liberté d’expression sur Twitter »

Par CJ Hopkins

Faire face au fait que vous avez été trompé n’est jamais une expérience très agréable. Réaliser que vous avez été la proie d’une escroquerie élaborée, ou PYSOP(([1] Opération psychologique de manipulation)), est douloureux. C’est gênant. Les gens ont honte. Personne n’aime se voir comme un pigeon. C’est humiliant. Cela met les gens en colère. Cela leur donne envie de s’en prendre à quelqu’un.

Le plus drôle, c’est que ce n’est généralement pas à la personne qui les a escroqués qu’ils veulent s’en prendre. Faire cela ne ferait que les rendre encore plus honteux. Non, généralement, ceux à qui les gens veulent s’en prendre, quand ils réalisent enfin qu’ils ont été embobinés, sont ceux qui n’ont pas été embobinés comme eux et qui ont essayé de les avertir qu’ils étaient embobinés.

Ce phénomène se produit actuellement. Je le sais, car un certain nombre de mes lecteurs se désabonnent avec colère de mon site sur Substack et ne me suivent plus sur Twitter, etc. Cela se produit plus ou moins à chaque fois que les gens commencent à se rendre compte que j’avais raison à propos d’une PSYOP ou d’une escroquerie dont je les avais avertis… Russiagate, Covid, et maintenant « Liberté d’expression sur Twitter », ou « X », ou quel que soit le nom qu’on lui donne aujourd’hui.

Oui, c’est vrai, la fête est finie. La rose a perdu son éclat. Le chat est sorti du sac. La fête est finie. L’excitation a disparu. Les gens commencent enfin à se rendre compte que le « Twitter de la liberté d’expression » était une escroquerie élaborée (ou une PSYOP, selon votre degré de paranoïa), et ils ne sont pas très heureux de cette prise de conscience.

Donc, ils s’en prennent à des blasphémateurs comme moi qui ont essayé de les avertir de l’empereur Elonicus et du fait que les fichiers Twitter étaient un lieu de rencontre limité aux manuels et qui ont souligné comment Musk l’a fermé dès qu’il a atteint son objectif, et qui ont qualifié certains d’entre eux de « cultistes de Musk » et de « pigeons », et qui ont tweeté des tweets sarcastiques comme celui-ci…

Mais je n’écris pas cette colonne pour pleurnicher à ce sujet. Cela fait partie de la nature humaine. Je comprends.

J’écris cette chronique parce que, peut-être, maintenant que les gens commencent à se rendre compte que toute cette histoire de « liberté d’expression sur Twitter » était une escroquerie élaborée, un piège ou une PSYOP, peut-être, maintenant, peuvent-ils arrêter les conneries du type « Elon est notre sauveur » et essayer de prêter attention à ce qui se passe réellement.

Voici un exemple de ce qui se passe réellement…

Linda Yaccarino, PDG de Twitter/X :
Nous avons introduit une nouvelle politique appelée « Liberté d’expression, pas de porter atteinte ».
« Si vous postez quelque chose qui est légal, mais qui est horrible, vous êtes étiqueté. Vous êtes désamplifié, ce qui signifie que vous ne pouvez pas le partager. Et il est certainement démonétisé ».

Voici un lien vers ce Tweet avec un enregistrement de l’affaire Spaces. C’est Linda Yaccarino, PDG de X, qui explique comment fonctionne le nouveau système de censure. Et voici ma citation préférée de Yaccarino :

Depuis l’acquisition, nous avons mis au point des outils de sécurité de la marque et de modération du contenu qui n’avaient jamais existé auparavant dans cette entreprise. Et nous avons introduit une nouvelle politique pour [répondre ?] à votre point spécifique concernant les discours haineux, appelée « Liberté d’expression, pas de porteratteinte ».

Ce dont elle parle, c’est de l’avenir de la censure sur Internet. Pas la censure insensée initiée par le gouvernement à laquelle les gens ont tendance à penser lorsqu’ils pensent à la censure. Censure corporative. Censure « libérale ». Ce dont elle parle, c’est de la manipulation quasi imperceptible à chaque instant du contenu des médias sociaux, des résultats des moteurs de recherche, des plateformes de « référence » comme Wikipédia, de tout ce que la plupart des gens voient sur Internet. Le terme corporatif est « filtrage de la visibilité ».

Désormais, au lieu d’être suspendues ou déclassées — ce qui est une mauvaise communication et ne fait qu’attirer davantage l’attention sur le parti déclassé — les voix dissidentes seront « désamplifiées ». Nous serons « libres » de publier ce que nous voulons, mais nous ne parlerons à personne, nous serons dans un vide numérique dont la plupart des gens ne sauront même pas qu’il existe. Les contenus « rouge/bleu », les contenus de guerre culturelle et les autres divertissements inoffensifs qui maintiennent les masses en colère et à la gorge les unes des autres, seront bien sûr autorisés et seront « amplifiés » et « monétisés ». Mais toute forme grave de dissidence politique ou de déviation par rapport aux récits officiels sera qualifiée de « discours de haine », de « désinformation », de « mésinformation » ou simplement de « malsaine ». Des sociétés comme X, Meta, Alphabet et Tencent décideront de ce qui est « sain ». Ils le feront avec des algorithmes, mais pas seulement avec des algorithmes.

Voici à nouveau Linda Yaccarino, parlant à CNBC cette fois…

« … X s’engage à encourager un comportement sain… 99,9 % de toutes les impressions sont saines…et nous avons une équipe extraordinaire de personnes qui supervisent, les mains sur le clavier, surveillent, toute la journée, tous les jours, pour s’assurer que 99,9 % des impressions restent à ce nombre. »

Je ne sais pas à quel point elle pourrait rendre les choses plus claires. Une équipe. De personnes. Surveillant tout. Instant après instant. Tous les jours. Pas un algorithme mal écrit. Pas une cabale secrète de Wokesters mutins sabotant la vision d’Elon. Pas le FBI. Pas la CIA. Pas le WEF. Pas les Rothschild. Juste Twitter. Juste X.

Ce n’est pas une de mes « théories du complot». Il n’y a absolument rien de secret à ce sujet. Tout est expliqué ici, et ici, et ici, et ici, sur le blog Twitter Safety.

Voici l’une des étiquettes interstitielles que Twitter pourrait mettre sur votre Tweet «malsain» avant de le «désamplifier» dans l’oubli.

Vous voyez, Twitter est totalement engagé dans la transparence !

Bien sûr, vous n’avez rien à craindre si vous tweetez (ou Xez ?) un contenu « sain ». Cette « extraordinaire équipe de sécurité de Twitter » qui surveille tout « toute la journée, tous les jours » ne pourrait jamais « désamplifier », ou « filtrer la visibilité », ou censurer de quelque manière que ce soit les discours politiques qui ne sont pas des « discours de haine », ou…. vous savez, utiliser l’une de ces étiquettes interstitielles pour diffamer malicieusement un auteur gênant en faisant croire aux gens qu’il tweete de la pornographie enfantine ou des contenus violents et graphiques, comme la bestialité ou la nécrophilie, ou d’autres types de « contenus pour adultes limités par l’âge », comme Twitter me l’a fait jusqu’au mois de mai de cette année.

Je plaisante, bien sûr. Ils vont continuer à faire ça. Plus pour moi, plus comme ça. (Après que j’aie embarrassé Ella Irwin publiquement, ils ont enlevé les fausses étiquettes et m’ont simplement désamplifié.) Mais ils vont continuer à le faire avec d’autres personnes. Et pas seulement X. Toutes les sociétés. Ils vont continuer à « filtrer la visibilité », à « désamplifier » et à vaporiser la dissidence, et nous ne pouvons actuellement rien y faire.

Pendant ce temps, nous (c’est-à-dire, le « Mouvement pour la liberté d’expression ») célébrerons notre « victoire » sur les brebis galeuses du gouvernement qui forçaient les pauvres entreprises mondiales impuissantes à censurer tout le monde jusqu’à ce que nous les poursuivions en justice et que nous les obligions à cesser de porter atteinte à nos droits démocratiques ! Nous vivrons alors heureux pour toujours !

Je n’ai pas l’intention de dénigrer mes amis et collègues qui luttent avec acharnement contre la censure gouvernementale. Au moins, ils accomplissent quelque chose, alors que je reste assis ici à me lamenter. Et la lutte contre la censure gouvernementale est importante. C’est d’une importance vitale. Et il faut la combattre. Je les soutiens de tout cœur et je les félicite de la combattre. Mais cela ne changera rien à ce qui se passe.

Ce qui se passe, c’est GloboCap, ou Corporatisme, ou tout ce que vous voulez appeler le réseau d’entreprises mondiales, de gouvernements, de médias, d’entités gouvernantes non gouvernementales, de banques d’investissement, d’autorités sanitaires mondiales, d’universités, de l’industrie de la culture et d’autres entités similaires qui ensemble comprennent le système décentralisé de pouvoir et d’idéologie qui dirige actuellement la planète entière… Quel que soit le nom que vous lui donnerez, il devient totalitaire.

[Note de Joseph : si décentralisation il y a, elle n’existe que dans l’apparence, car en réalité le Système repose sur des hiérarchies pyramidales de contrôle qui trouvent au final toujours les mêmes décideurs au sommet, quel que soit leur éparpillement géographique. Décentralisation géographique, mais centralisation fonctionnelle avec les ordres qui descendent d’étage en étage jusqu’aux exécutants de la base.]

Il est devenu totalitaire, plus ou moins ouvertement, pendant la majeure partie des trois dernières années. Je couvre cette transition depuis un certain temps déjà, et j’ai réitéré mon analyse dans nombre de mes essais, et j’ai publié un livre à ce sujet, ce qui me vaudra peut-être d’être envoyé en prison ici en Allemagne. Je ne vais donc pas tout ressasser ici (ce qui devrait soulager mes lecteurs habituels). Si vous ne connaissez pas encore mon travail, vous pouvez lire le livre ou mes essais, qui se trouvent tous sur mon blog et mon Substack.

Pour l’instant, croyez-moi, nous devenons totalitaires. C’est à cela que sert tout le « filtrage de la visibilité ». C’est la raison d’être de la « culture de l’annulation ». C’est la raison d’être de l’hystérie de masse aveugle, de la diabolisation et de la criminalisation de la dissidence.

C’est de cela qu’il s’agit dans la PSYOP « Liberté d’expression sur Twitter ». En fin de compte, peu importe qu’Elon Musk sache ce qu’il fait. Le système dont il fait partie intégrante évolue. Musk l’aidera à évoluer ou il sera remplacé par quelqu’un qui l’aidera à évoluer. Musk, Yaccarino, Zuckerberg, Pichai, Gates, Klaus Schwab, Wang Zhonglin, ou choisissez votre cerveau maléfique ! Ces gens, malgré leur pouvoir bien réel, ne sont que des composants d’un système, un système global, un système qui évolue vers le totalitarisme, parce qu’il n’a vraiment rien d’autre à faire.

Je ne sais pas comment empêcher cela de se produire, cette évolution du capitalisme mondial vers une nouvelle forme de totalitarisme, mais une chose qui me vient à l’esprit, c’est que cela pourrait aider les choses si nous ralentissions un peu et essayions de comprendre réellement ce qui se passe, comme dans un sens plus large, historique, et peut-être si nous n’avalions pas chaque petit appât rouge que l’on nous tend, pour ensuite nous attiser frénétiquement à propos de ce que l’équipe de filtrage de la visibilité de Twitter, ou de X, ou de Meta, ou d’Alphabet, ou d’une autre société, veut que nous battions à ce sujet.

Oh, et peut-être que la prochaine fois qu’un entrepreneur militaire capitaliste mondial et imbu de sa personne viendra en ville, tel un Jésus milliardaire, pour nous sauver de ses copains du proverbial Grand Club — vous savez, celui dont vous ne faites pas partie — peut-être que les gens pourraient prendre un moment et au moins m’écouter avant de commencer à se prosterner à ses pieds.

Je n’ai pas raison sur tout, bien sûr, mais il semble que je me débrouille bien avec cette histoire de PSYOP.




Turpitudes de la France

Par John Hunter

Aux Antilles, le chlordécone a empoisonné depuis trente ans la terre et l’océan rendant l’eau imbuvable et la pêche compromise sur un certain périmètre.

Le chlordécone a été déclaré toxique par les USA, mais la France n’en a tenu aucun compte.

Les archives des mairies ont été brûlées ce qui a perturbé le procès engagé par les victimes et les tribunaux ont débouté celles-ci au mépris de la santé des habitants et de la destruction du territoire. Les bananes produites au chlordécone ont aussi empoisonné la métropole.

Au Pacifique. Même scénario à Tahiti et dans les atolls à cause des pollutions nucléaires. La France a dû payer le sabordement du Rainbow Warrior à Auckland, mais rien d’autre pour les irradiés du Pacifique.
En Algérie avant l’indépendance l’armée a fait des tests nucléaires au Sahara. Combien sont morts de césium ?

En Guinée Conakry avant l’indépendance de 1958, les autorités ont diffusé du DDT dans les grandes villes.

Aux Antilles encore, la saga de la vaccination a été pire qu’en Métropole et les fioles du faux vaccin étaient périmées, mais le personnel l’injectait quand même.
Combien de victimes du faux vaccin aux Antilles ?

Toutes ces turpitudes ont un coût spirituel très lourd et ceci explique que le fléau gouvernemental actuel sévit sur le peuple.

On invite le peuple de France à une année de prière et de repentance pour les maux infligés aux peuples d’Outre Mer et à des sessions de réconciliation avec eux.

Sekou Touré a eu raison de bâtir un monument dédié aux victimes du colonialisme près de la cathédrale de Conakry.

Tant que cette expiation n’a pas eu lieu et des demandes de pardon assorties d’une contribution LA FRANCE ne connaîtront pas le repos et le gouvernement continuera à rouer de coups son peuple.




Jean-Marie Le Pen et la décadence de la France sous De Gaulle

Par Nicolas Bonnal

J’évoque dans mon nouveau livre sur le Cinéma la destruction de la France. Comme on sait elle a eu lieu sous de Gaulle et Pompidou, sans oublier Giscard. Je fournis des dizaines de preuves en images. Même Debré s’en rend compte dans ses entretiens avec de Gaulles (le vieux acquiesce et laisse faire : pourquoi est-il revenu au pouvoir, lui qui avait créé tous les monstres y compris la sécu ?).

Le pays est effondré moralement et culturellement en mai 68 et le peuple déjà remplacé mentalement peut se préparer à être remplacé physiquement, alors qu’il a perdu sa foi, sa culture, son originalité — voyez les Amis de Blain. La meilleure preuve ? Les comédies musicales américaines, qui ont arrêté alors d’aimer Paris : comparez Funny Face de Donen à Charade du même Donen et vous comprendrez.

Enfin, comparez Biquefarre et Farrebique (produit par RKO…) du même Rouquier et puis vous comprendrez.

Comparez la septième compagnie de l’autre à l’Alerte au sud de Jean Devaivre et vous comprendrez. Jean Devaivre était résistant, mais comme le colonel Rémy scénariste du fabuleux monocle il se battait pour un Empire, pas pour la république et la France lumière du monde, pas pour les mots.

Ou vous ne comprendrez pas.

Je sais que cela énerve les imbéciles qui ont fait du gaullisme l’âge d’or de leur rêverie historique. Donc je continue. Avec un modèle, le Vive la France ! de Michel Audiard qui montre en se marrant qu’avec de Gaulle déjà le repeuplement de la France déchue par les anciens colonisés commence. Mais quand on est bouché… La grandeur de la France c’est le mantra dont on nous abreuve les oreilles, avec 95 % du territoire perdu, l’américanisation (Johnny, Salut les copains) et la marxisation (Sartre, Althusser, Bataille) de la culture, et le maintien dans l’UE, en attendant Giscard et ses Young leaders. Giscard six ans ministre de l’Économie tout de même sous de Gaulle. En 1972 quand je débarque en France je découvre une émission d’épouvante : la France défigurée, qui est l’œuvre de journalistes de droite (le gaullisme ne l’est pas) pourtant…

Je n’ai plus envie de polémiquer. J’aurais envie d’éviter ceux qui ne comprennent pas. Comme dit Modeste Schwartz il ne faut pas s’étonner que personne n’ait envie de voter pour ceux (Asselineau et Philippot) qui se réclament du gaullisme : de Chirac à Juppé en passant par Hollande ou Macron ils s’en sont déjà tous réclamés, alors…

En relisant l’excellent tome premier des Mémoires de Le Pen j’y trouve ces observations suivantes, qui montrent que Le Pen a raté le coche dans les années soixante (il le dit lui-même : le pays était plus sain) et qui résument le grand remplacement de la France (lisez Mattelart sur ce rapport Ozbekhan-Perlmutter qui « défigura » définitivement la France.) par le gaullisme et sa technocratie progressiste : villes nouvelles, industrialisation ratée, immigration bâclée, déchetterie culturelle grâce à Malraux et triomphe du politiquement correct. Lisez mon ami Jean Raspail, qui n’a pas écrit son livre en 2020, pas vrai ?

« Du point de vue strictement politique, avec la manifestation sur les Champs Élysées du 30 mai et les élections bleu horizon qui suivirent, le gaullisme allait se refaire pour un an. Mais il avait perdu définitivement la jeunesse, et le pourrissement massif des têtes, dont nous mourons aujourd’hui, commença. La réforme d’Edgar Faure et la loi d’orientation scolaire signaient l’abandon de l’éducation nationale à la gauche, le Yalta culturel qui fut désormais le fondement de la Cinquième République, I’abandon de l’esprit public au marxisme. D’un strict point de vue universitaire, ce fut une catastrophe. Amener toute la jeunesse à l’Université quels que soient ses possibilités et ses buts, C’est voler les contribuables français, c’est fourvoyer les jeunes, c’est gaspiller l’énergie et le potentiel de la Nation. »

Le monstre soviétiforme de l’EN ; Le Pen lui règle bien son compte (en vain comme toujours) dans les lignes suivantes :

« L’Université tend aujourd’hui, sous la pression de ses milliers de mandarins, à l’universalité. Bénéficiaire du premier budget de la Nation, I’Éducation nationale réclame chaque année plus de moyens, bien que le nombre d’enfants à scolariser diminue corrélativement à la crise démographique, un peu compensée par l’immigration. Le patient de Knock mourait guéri, nous mourrons tous savants. Après avoir élevé l’âge et le niveau des scolarités obligatoires, on prétend enseigner les handicapés profonds, les aliénés, les immigrés, les malades, les détenus, les étrangers chez nous, chez eux, avant leur métier, pendant leur vie, après leur retraite. Ce rêve fou d’hégémonie scolaire est le fruit paradoxal de la “révolution” de Mai 68, qui vouait la fonction enseignante au nettoyage des WC. La Salope n’est pas crevée, tel un moloch femelle qui se renforce des armes tournées contre elles. L’Alma Mater affermit la Dictature des pions. »

Dictature des pions et des pionnes : pensez au virus, au vaccin, au prochain, au prochain vaccin et au prochain passe carbone. Vive Sandrine Rousseau pythie républicaine. Le Pen ajoute :

« Ce n’est pas la République des robots qui nous menace, mais celle des Pions, sous-système d’un ubuesque univers galactique de fonctionnaires. L’Éducation Nationale dicte sa loi au pays. Elle détermine les programmes, les orientations, l’avancement. Mais le dommage de Mai G8 est encore plus vaste, car au désastre de l’école s’ajoute celui des médias, de la littérature, des arts, du cinéma et de la télévision, de tout ce qui sous le mot impropre culture influe sur la mentalité des hommes, et dont la maîtrise, le philosophe italien Gramsci l’a rappelé à toute une génération de révolutionnaires, permet de prendre le pouvoir sans peine. »

Le Pen on le sait parle de la gravure à l’eau-forte. Première frappe en 68, deuxième le 10 mai 81 quand le peuple est fin prêt pour son remplacement :

« En gros, vous pouvez entailler la plaque de cuivre que l’on va encrer pour imprimer, de deux manières. Soit directement avec un burin, c’est long, difficile et cela demande de la force : c’est la révolution à l’ancienne, brutale et aléatoire. Soit vous choisissez ce que l’on appelle l’eau-forte. Sur la plaque de cuivre vous passez un vernis qui résiste à l’acide, puis vous entaillez cette couche protectrice avec une pointe d’un maniement souple qui permet un dessin fin, avant de plonger la plaque dans un bain d’acide. En quelques heures les parties dont vous avez ôté la protection sont attaquées par l’acide et prêtes à recevoir l’encre. Ainsi a procédé la révolution de Mai 68. Avec son slogan directeur, il est interdit d’interdire, elle a plongé la civilisation européenne dans un bain d’acide où nous sommes restés durant toutes les années soixante-dix, puis, au fil des années quatre-vingt, on a sorti la plaque, on l’a essuyée, et la gravure à l’eau-forte est apparue, image de la nouvelle civilisation, avec sa nouvelle morale, sa nouvelle esthétique, ses nouveaux fondements politiques, dans laquelle nous vivons. Le monde ancien, homme ancien, ont été dissous, et se dessinent maintenant l’homme nouveau et ses valeurs nouvelles. »

Belle conclusion :

« Aux héros et aux saints qu’on nous montrait en exemple a succédé l’écocitoyen LGBT friendly et phobophobe, ouvert au vivre ensemble, au culte de la terre mère, qui ne fume pas, accueille le migrant et se prépare à rouler en voiture autonome. »

On ne dira rien de ce qui nous reste de curés et de militaires aujourd’hui : certains crétins font encore semblant que cela EXISTE ENCORE. Debord nous prévenait :

« Non seulement on fait croire aux assujettis qu’ils sont encore, pour l’essentiel, dans un monde que l’on a fait disparaître, mais les gouvernants eux-mêmes souffrent parfois de l’inconséquence de s’y croire encore par quelques côtés. Il leur arrive de penser à une part de ce qu’ils ont supprimé, comme si c’était demeuré une réalité, et qui devrait rester présente dans leurs calculs. »

Faire croire que quelque chose existe (la France, la Liberté, l’économie, la culture, la famille, etc.) qui est déjà mort est devenue une marotte. Mais Debord ajoute :

« Ce retard ne se prolongera pas beaucoup. Qui a pu en faire tant sans peine ira forcément plus loin. »

Cela donne Macron ; Debord :

« Il faut conclure qu’une relève est imminente et inéluctable dans la caste cooptée… »

Mais continuons avec Le Pen ; meurtre de Paris sous de Gaulle (voyez Du rififi à Paname ou Anatomie d’un livreur…) :

« Le ventre de Paris était tout près, le pouvoir gaulliste avait décidé en l960 de transférer les Halles à La Villette et Rungis, mais le déménagement ne devait se faire qu’en 1969. On disait adieu au vieux Paris. Tout un peuple de vivandiers venus des banlieues et des provinces approvisionnait la capitale depuis le XIXème siècle dans un décor que le dix-neuvième avait rationalisé sans le changer en profondeur. Ce peuple qui avait fait naguère un triomphe à Poujade allait se trouver remplacé par un mélange de petits-bourgeois consuméristes le jour et de zonards la nuit. Les mots disent tout : un Forum remplacerait les Halles, des bobos multi colores à prétention intello en prendraient possession. Mais avant qu’un grand trou n’occupe symboliquement les lieux pour assurer la transition d’un passé millénaire vers la nouvelle ville, le quartier grouillait pour quelques mois encore de ses métiers et vivait intensément la nuit. Les putains en étaient l’ornement nécessaire. Elles avaient leurs spécialités. Les amateurs de petites filles venaient s’y tourner, non pas qu’elles fussent mineures, mais, même avancées en âge, elles se déguisaient pour complaire aux diverses marottes des clients. »

On voit déjà la clique de débauchés et de pédophiles qui s’amène dans les années 70 et on n’a pas besoin de geindre après les années 2020. On baigne dans cette merde depuis cinquante ou soixante ans. Revoyez Godard, Deville et les autres.




Un Canadien musulman accuse le gouvernement Trudeau de l’avoir fait suspendre de X pour avoir protesté contre l’idéologie LGBT

[Source : lifesitenews.com]

Un Canadien musulman accuse le gouvernement Trudeau de l’avoir fait suspendre de X pour avoir protesté contre l’idéologie LGBT

Un canadien musulman qui planifie une protestation majeure contre le programme LGBT prétend que le gouvernement fédéral sous le Premier ministre Justin Trudeau l’a fait suspendre de X, la plateforme de médias sociaux anciennement connue sous le nom de Twitter.

Le 1er août, Kamel El-Cheikh, homme d’affaires et activiste musulman d’Ottawa contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles, a annoncé que son compte sur X avait été suspendu à la demande du gouvernement Trudeau en vertu de sa loi sur la censure sur Internet, le projet de loi C-11.



Selon El-Cheikh, X et son propriétaire, Elon Musk, ne sont pas à blâmer pour sa suspension. Au lieu de cela, il a dit que quelqu’un de son équipe avait été informé que « le gouvernement Trudeau avait fait cette demande personnelle » de faire retirer son compte en vertu du projet de loi C-11.

Adopté en avril 2023, le projet de loi C-11 prévoit que le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) soit chargé de réglementer le contenu en ligne sur les plateformes afin de s’assurer que ces dernières promeuvent le contenu conformément à une série de lignes directrices du CRTC.

El-Cheikh pense que la suspension est le résultat d’un « entretien exceptionnel » avec le journaliste indépendant David Krayden qui écrit pour le Post Millennial et Epoch Times.

Au cours de l’interview, El-Cheikh, un fervent musulman, et Krayden, un chrétien évangélique, sont devenus des « frères », pas seulement des « amis », unis dans la lutte contre l’endoctrinement LGBT des enfants dans les écoles publiques.

« Ils ne voulaient pas de cet élan », a déclaré El-Cheikh.

Alors que le compte d’origine d’El-Cheikh était suspendu, il a depuis créé un deuxième compte. Beaucoup appellent à la réintégration d’El-Cheikh, y compris Krayden.

« Êtes-vous fou de rage et ne voulez-vous plus en entendre parler ? », a demandé Krayden. « Mon discours d’aujourd’hui sur la Colline du Parlement à Ottawa sur les droits parentaux et la prochaine marche # 1millonmarchforchildren, le 20 septembre. »

« J’ai également expliqué comment @elonmusk doit rétablir Kamel El-Cheikh Twitter Acct ! », a-t-il déclaré.

La suspension d’El-Cheikh intervient également peu de temps après avoir annoncé la « Million Person March » pour lutter contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles prévues le 20 septembre à Ottawa.

Ce jour-là, El-Cheikh espère rassembler des Canadiens de toutes confessions pour marcher contre l’idéologie LGBT imposée aux enfants dans les écoles du pays.

Cette marche s’inscrit dans le contexte d’un élan croissant de la communauté musulmane, qui a récemment rejoint les chrétiens dans la lutte contre l’endoctrinement des LGBT.

Le 1er juin, des milliers d’étudiants à travers le Canada sont restés à la maison dans le cadre d’une initiative de la Campaign Life Coalition pour protester contre la promotion du « Pride Month » [le mois de la fierté] dans le système d’éducation publique, au moins une école ayant apparemment 75 % de ses élèves manquants.    

Plus tôt cette année, l’enregistrement audio divulgué d’une enseignante canadienne fustigeant ses élèves musulmans pour avoir raté l’école pour protester contre la « fierté » a déclenché un tollé sur les réseaux sociaux. Beaucoup se sont indignés que l’enseignante ait laissé entendre que les élèves ne pouvaient pas à la fois soutenir la « fierté » et être « canadiens ».

En juin, des séquences vidéo de garçons musulmans piétinant des drapeaux « Pride » lors d’un rassemblement profamilial organisé par le militant chrétien Josh Alexander sont devenues virales.  

Plus tard le même mois, un groupe de musulmans s’est rassemblé à l’extérieur du bureau de Trudeau sur la rue Wellington au centre-ville d’Ottawa pour exiger la fin de l’endoctrinement LGBT en classe.  

Et encore fin juin, bien plus de 250 parents, enfants et autres citoyens musulmans et chrétiens se sont réunis pour le deuxième week-end consécutif à Calgary, en Alberta, pour protester contre la promotion continue de l’idéologie LGBT extrême dans les écoles publiques. 

Alors que les manifestations continuent d’augmenter en fréquence et en nombre, M. Trudeau, au lieu de répondre aux préoccupations des parents, a fait la leçon aux musulmans sur leur participation à ces événements profamille, affirmant que les manifestations sont « alimentées par la droite américaine ».

Trudeau a ensuite affirmé que le matériel en ligne « est utilisé comme une arme par des gens qui ne le font pas en raison de leur intérêt à soutenir la communauté musulmane. »




Trafic d’enfants, le film Sound of Freedom… et les 6 documentaires incontournables sur les réseaux

Reparler des réseaux, des dangers qui menacent les enfants et prendre action

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Depuis sa sortie le 4 juillet, l’on ne cesse de m’interpeller à propos du film Sound of Freedom, un film qui dénonce les réseaux pédocriminels. Faut-il le voir (s’il sort chez nous) ? Y a-t-il une manipulation derrière ce succès ?

Il y a quelques semaines, ce film « ultra-censuré » a cartonné au box-office américain en dépassant Indiana Jones. La nouvelle a inondé les réseaux sociaux, chez nous, Karl Zero spécialiste des sujets de pédocriminalité en a parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio et chez Idriss Aberkane. Les annonces et commentaires autour du film ont circulé dans des milliers de posts et vidéos (celle de Florian Philippot a récolté 280 000 vues). Peu après les médias autorisés se sont aussi emparés du sujet Le Parisien et Le Monde reprenant le sempiternel refrain du « complotisme », car les réseaux sont un fantasme.

À côté de cela, ladite complosphère est elle-même divisée. Certains estiment qu’il s’agit d’une opération destinée à manipuler l’opinion en faveur de Trump ou qui vise à faire accepter de nouvelles « mesures » liberticides, et d’autres voient dans ces suspicions une tentative de censure supplémentaire, à coups d’accusations « d’opposition contrôlée ». Au milieu de ce dilemme, on se demande : que faire de ce film et comment parler des réseaux ? Ce sont de bonnes questions !

Image du film Sound of Freedom

À propos du film

Sound of Freedom (bande-annonce ici) est une fiction qui s’inspire de l’histoire d’un ancien agent du FBI qui a démissionné de ses fonctions pour se lancer dans des opérations secrètes de sauvetage d’enfants, esclaves sexuels modernes, en dehors du territoire américain. Le film se base notamment sur les documents réalisés par Tim Ballard et ses commandos de l’Opération Underground Railroad, parmi lesquelles « l’Opération Toussaint ».

C’est Jim Caviezel qui interprète le rôle du sauveur, dans une histoire où il tente tout pour retrouver une petite fille enlevée par des trafiquants. Son enquête le mène finalement à libérer des dizaines d’enfants, esclaves de factions rebelles, au fin fond de la jungle en Colombie.

Sans être un chef d’œuvre du cinéma, le film est touchant et captivant et il a la délicatesse de ne pas exposer inutilement le spectateur à des images choquantes. Son mérite principal est de faire parler du fléau de la pédocriminalité et de l’existence des réseaux. Mais, si la bande-annonce est prometteuse en révélations en annonçant que « c’est le réseau criminel en expansion le plus rapide que le monde ait jamais vu. Il a déjà dépassé le trafic d’armes illégal et bientôt, il dépassera celui de la drogue », l’on n’en apprendra pas un mot de plus sur le sujet.

À côté du film, l’acteur principal a également donné de nombreuses interviews dans lesquelles il a soulevé d’autres sujets, accusant les stars d’Hollywood de se livrer à des actes pédocriminels et d’utiliser de l’adrénochrome, un sérum de jouvence dont l’existence est contestée et qui serait obtenu en récoltant le sang d’enfants sous l’effet de la torture. Il s’est aussi montré très émotionnel, dans le registre du sacrifice héroïque et de ses convictions religieuses. Ces déclarations ont évidemment été au centre des critiques des médias mainstream qui préfèrent fact-checker l’adrénochrome que de parler de l’existence d’un business criminel censé représenter 150 milliards de dollars.

Censure ou promotion ?

Cela fait 7 ans que je m’emploie à faire connaître des sujets tabous avec des films (ea. Vaxxed, La face cachée des vaccins, l’Affaire Wakefield, la série Plus Jamais Ça) et que je me heurte à la censure, avec des pressions sur la salle pour annuler la projection, etc. dans 90 % des cas. Derniers exemples : au mois de mai la projection de Plus Jamais Ça, c’est maintenant et mondial a provoqué l’annulation de la salle lors de l’Assemblée Générale de la LNPLV et au mois d’avril il y a eu des plaintes déposées auprès du bourgmestre de Stockel pour faire annuler le film « La face cachée des vaccins ». (tant le directeur que le bourgmestre ont tenu bon, je les en remercie).

Il n’y a pas de « renversement » spontané de l’opinion des médias, ni du monde du cinéma. Robert Kennedy Jr qui est candidat à la présidence n’est JAMAIS interviewé par les médias mainstream. À l’heure actuelle il est toujours en procès contre la censure de Google Facebook et YouTube et le consortium médiatique le « Trusted News Initiative ».

Croire qu’un film « tabou » a pu détrôner Indiana Jones par miracle, c’est avoir la nostalgie du père Noël. Ces histoires de censure et les vidéos de spectateurs bouleversés ont surtout créé le buzz d’une extraordinaire campagne de pub. Le fait que l’on en ait parlé sur tous les réseaux sociaux, sur CNN, CBS, ABC, Fox News, tous les journaux mainstream et que même Elon Musk s’en saisisse confirme qu’il y a manifestement anguille sous roche.

Pourquoi donc ? Tout en ayant des réserves par rapport à ce type de présentation de contenu, voici une vidéo qui réalise une première enquête sur la question.

L’envers du décor

Comme toujours, il faut se demander : qui sont les héros de la fable ? D’où vient et où va l’argent ? Quelles sont les solutions vers lesquelles on pousse le public ? Voici les éléments les plus significatifs :

Tim Ballard a tout d’abord loyalement servi la CIA et le département de la sûreté américain dans des missions de lutte contre le terrorisme. En 2013, lorsqu’il quitte, en apparence, les services du gouvernement, Tim Ballard crée l’Opération Underground Railroad (OUR) une organisation caritative a engrangé 47 millions de dollars de revenus. Manifestement ça rapporte et personne ne s’y oppose. Du côté de ses fréquentations, il est ordonné chevalier de l’ordre souverain militaire du temple de Jérusalem en 2015. Il fait partie du board [comité directeur] de l’organisation caritative américaine « Afghanistan World Foundation » aux côtés d’Henry Kissinger, d’Albert de Monaco et d’une brochette de stars comme Céline Dion, Anne Heche (assassinée ?) et de tout le gratin qui travaille avec la CIA. En 2019, sous l’administration Trump, il est nommé à la tête d’un service dépendant du DHS (un « ministère » intimement lié à la CIA, à la NSA et au FBI) : le partenariat public privé pour mettre fin au trafic d’êtres humains. L’image qu’il « opère tout seul dans son coin » pour pallier au manque d’action du gouvernement semble donc peu convaincante. Il semble au contraire chouchouté par les élites.

L’argent du film, selon Tim Ballard en personne, viendrait principalement de Carlos Slim et John Paul DeJora, deux milliardaires louches, proches des familles Gates et Clinton, justement accusés d’être impliqués dans les réseaux de pédocriminalité. A priori, cela semble plutôt surprenant…

Où vont les dons ? Dans la vidéo ci-dessus, Greg Reese affirme qu’Angel Studios encourage les gens à « aider à combattre le trafic d’enfants » en les renvoyant vers le Projet Polaris, qui est lié à John Podesta et aux Clinton, et qui financerait en fait le trafic d’enfants, en rapportant plus de 150 milliards de dollars par an. Neil Harmon, le patron d’Angel Studio est un mormon qui a œuvré pour les missions de l’église des derniers jours au Mexique, une institution qui a été accusée de servir de plaque tournante à toutes sortes de trafics.

On remarquera aussi que l’on ne donne jamais la parole aux victimes dans les interviews ou les projections cinéma. Cathy O’Brien, Anneke Lucas et tant d’autres femmes qui ont dénoncé les réseaux pédocriminels depuis 30 ans sont absentes de toute cette opération. Au point qu’un certain nombre de survivantes dénoncent le fait que ce film ne les aide en rien et l’estiment même contre-productif.

[Voir aussi :
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin]

Hypothèses

Toute la question est donc de savoir pourquoi ce film sort aujourd’hui avec une telle promotion du « système ». On peut faire les suppositions suivantes :

  • Face à l’éveil général du public quant à l’existence du trafic d’enfants et de l’implication des hautes sphères de pouvoir, l’on tente de détourner l’attention du public du dossier Epstein qui prend une tournure particulièrement gênante pour des gros bonnets tels que Bill Gates, Sergey Brin (Google) ou Jamie Dimon (banque JP Morgan) ou encore Woody Allen (à nouveau), Noam Chomsky, etc.
  • De manière générale, il y a une fatigue du public concernant les sujets sur le Covid et l’Ukraine, l’enlèvement d’enfants renouvelle l’angoisse du public pour le maintenir dans l’état d’hébétude nécessaire à la poursuite de l’Agenda 2030 (avec le climat).
  • En finançant le film, les personnages accusés d’être liés au réseau pédophile espèrent rétablir leur image et éliminer les accusations portées contre eux.
  • Le film et les opérations de Tim Ballard ne concernent que des réseaux qui opèrent à l’étranger. On va rechercher les enfants au fond de la jungle, alors qu’en réalité, ils se trouvent dans toutes les grandes cités. « Ça se passe ailleurs ».
  • Faire du trafic d’êtres humains une question de politique « bi-partisane » pour influencer les élections en faveur de Trump.
  • Introduire plus de contrôle ou de surveillance. Plus de 500 millions de personnes ont lancé des recherches sur le net pour savoir si l’objectif du film ne serait pas de promouvoir les puces d’identification pour les enfants. Tim Ballard s’est pour sa part défendu de jamais vouloir faire une telle chose. Mais si la puce est souvent agitée comme un épouvantail, c’est peut-être pour faire oublier la mise en place d’un système de surveillance par l’enregistrement des données biométriques et par d’autres moyens de traçage.
  • La Digital Crimes Unit de Microsoft serait prêt à déployer un attirail de solutions qui proposent par exemple de monitorer les téléphones, les plateformes internet et les réseaux sociaux et d’opérer avec des outils de surveillance par géolocalisation. (voir son « white paper pour lutter contre le trafic d’êtres humains.) Microsoft travaille avec le National Center for Missing and Exploited Children, une organisation fondée par les époux Clinton et Blair, la Child Rescue Coalition, le réseau de police international et le bureau du crime et de la drogue de l’ONU.

Il y a fort à parier que le public, hanté par l’idée du kidnapping d’enfants finisse par accepter l’une ou l’autre forme de traçage renforcé et que l’on en profite pour raboter à nouveau la protection des données privées.

9 MILLIONS DE PHOTOS, et toujours pas de réseau

Pour revenir au début de l’article où nous avons mentionné la réaction des journaux autorisés, les réseaux pédocriminels sont des fantasmes complotistes. En effet, depuis que le dossier bis de l’affaire Dutroux a été enterré, vu l’importance des noms qui y ont été cités et la trentaine ou plus de personnes décédées durant l’enquête, cette notion a définitivement disparu de nos contrées. Un exemple récent donne pourtant de quoi s’interroger à nouveau :

En mars 2020 (en pleine hystérie Covid) 5 hommes, dont 3 Belges, ont été condamnés pour détention de 9 MILLIONS de photos de pornographie enfantine, principalement de jeunes garçons.

Selon l’article de La libre Belgique : « Une grande partie de ces images étaient par ailleurs inconnues des enquêteurs, laissant imaginer qu’elles étaient l’œuvre des suspects eux-mêmes dont certains n’auraient pas hésité à se servir de leurs propres enfants. » On reste pantois !

Surtout ne pas laisser l’existence d’un réseau pédophile effleurer l’esprit des lecteurs. Avec un peu de chance, l’idée que 5 types sont parvenus à collecter 9 millions d’images avec les quelques enfants qu’ils sont parvenus à contacter individuellement finira par passer. Sur le site de Pédopolis, un média moins plébiscité, l’on parlait à la même date d’un réseau qui touche 40 pays. L’affaire a fait peu de bruit, les condamnations n’ont pas traîné. Il reste les questions principales : où sont les dizaines de milliers de victimes qui constituent ce fichier ? Qui d’autre est impliqué ?

Parler de ce qui se passe chez nous !

Nul besoin d’attendre la sortie de Sound of Freedom pour parler de ce sujet. Il faut saisir l’occasion pour revenir sur ce qui se passe chez nous. Avec l’affaire Dutroux, l’affaire Outreau, le fichier Zandvoort ou les abominations qui ont lieu en Ukraine (voir Eyes of the Devil) tout le monde sait qu’en réalité le trafic d’enfants est étroitement lié aux milieux du pouvoir dans tous les pays d’Europe.

Le fait qu’un enfant sur cinq est victime de pédocriminalité doit être une de nos priorités, d’autant que les politiques actuelles d’hypersexualisation de l’enfance aggravent les risques de violence.

Je vous invite à consulter ma lettre précédente sur les actions à mener dans votre entourage et à attirer aussi l’attention sur les films et documentaires qui en disent plus long que Sound of Freedom.

6 DOCUMENTAIRES À VOIR

  1. Innomable (2021) Retour en archives sur l’effroyable « affaire Dutroux », qui suscita au milieu des années 1990 l’émoi puis la colère du peuple belge face aux dysfonctionnements de la justice. Document en quatre parties des disparitions jusqu’au procès.

  1. L’affaire Dutroux, affaire de réseau ? » (2021) Un film qui plaide pour la réouverture du dossier bis, celui de concerne « l’élite » du pays.
    L’affaire « Dutroux » contient de nombreuses zones d’ombres, des enquêtes interrompues, beaucoup de décès étranges. Dossier wikileaks ici
  2. Outreau, l’autre vérité Outreau, un symbole de l’erreur judiciaire ? Que treize des dix-sept accusés aient été acquittés après un ou deux procès, n’est-ce pas le fonctionnement normal de la justice ? Outreau, un fiasco judiciaire ? Oui, mais ce n’est pas celui qui a été dit.
  3. Zandvoort, le fichier de la honte Dans tous les dossiers de pédocriminalité et de disparitions d’enfants, le nom de « Zandvoort » n’est jamais très loin, telle une hydre, un serpent de mer… Fantasme ? Non. Contrairement au Loch Ness, les CD Rom de Zandvoort ont l’affreux mérite d’exister. Preuve irréfutable d’un trafic épouvantable de photos et de vidéos d’enfants violés, martyrisés.
  4. Trance, l’histoire de Cathy O’Brien Tiré du livre ce documentaire retrace la vie de Cathy O’Brien, esclave sexuelle durant 30 ans, au service des présidents Ford, Reagan et Bush. Échappant à la mort in extremis et luttant pour protéger sa vie durant les années qui ont suivi, elle a dénoncé devant le congrès américain les réseaux pédocriminels liés au gouvernement et aux opérations de la CIA, notamment le programme de contrôle de l’esprit MK Ultra.
  5. 1 sur 5, le film contre la pédocriminalité Selon les chiffres officiels en France, 1 mineur sur 5 est victime de pédophilie. Voici un documentaire de Karl Zero pour expliquer la réalité des chiffres et l’urgence à agir. Cela fait environ 13 millions de victimes, il est urgent de se saisir de cet enjeu de société.



L’opération « choc et effroi » de Maui a fonctionné comme un charme, comme toujours

[Source : State of the Nation]


PSYOP MAUIGEDDON :
Ils s’en sont tirés ENCORE !

Les journées canines de l’été 2023 ont été délibérément choisies pour que les coupables aient un déni plausible.


Vraiment, combien d’actes flagrants de géoterrorisme, de pyroterrorisme et de terrorisme météorologique doivent-ils avoir lieu avant que les gens se réveillent ?!?!?!

Maui n’est que la dernière victime des géoterroristes du NOM [Nouvel Ordre Mondial] à subir un sort que beaucoup comparent à « l’enfer sur Terre ». Et, sans aucun doute, les photos publiées dans l’exposé suivant dépeignent graphiquement cette conflagration infernale.

OPÉRATION MAUI INFERNO

Des tempêtes de feu déclenchées par arme à énergie dirigée couvrent plusieurs attaques furtives de pyroterrorisme sur Lahaina, à Maiu

Tout d’abord : tout comme Paradise CA, la ville de Maui a été « rayée de la carte » — Qui l’a fait et pourquoi ?
Deuxièmement : REGARDEZ ! Preuve vidéo de tempêtes de feu déclenchées par armes à énergie dirigée à Lahaina, Maiu
Troisièmement : VOICI POURQUOI L’ATTAQUE PYROTERRISTE DÉVASTATRICE CONTRE MAUI A ÉTÉ EFFECTUÉE
Quatrièmement : À VOIR : Au moins 36 personnes ont été tuées dans des incendies dévastateurs : comté de Maui

Photos des dégâts causés par le feu

La première photographie qui suit des dégâts causés par le feu à Maui prouve que des armes à énergie dirigée ont été utilisées pour allumer les incendies, ainsi que pour incendier les véhicules soufflés et fondus.

Il n’y a pas d’autre moyen d’expliquer l’extraordinaire destruction montrée ci-dessous, si ce n’est que les bâtiments et les véhicules ont été frappés par une ou des armes énergétiques extrêmement puissantes.

Vraiment, comment tant de véhicules regroupés sont-ils complètement brûlés avec des enjoliveurs fondus et à côté du bord de l’eau, loin de l’enfer ?!?!

Conclusion

Comme toujours, les géo-ingénieurs du NOM préparent d’abord le lieu géographique ciblé avec leurs diverses technologies de modification du climat.

Ensuite, les géoterroristes agissent et préparent subrepticement l’endroit à un assortiment d’attaques sur l’environnement, qui sont à la fois d’origine naturelle et/ou manifestement d’origine humaine.

Ensuite, les pyroterroristes passent à l’acte en incendiant toute la ville sous le couvert des tempêtes de feu déclenchées par armes à énergie dirigée.

Enfin, les brasiers rapides et déchaînés qui en résultent permettent de nier de manière plausible les trois opérations terroristes, et personne ne s’arrête jamais pour souligner les preuves évidentes que sont les voitures fondues et les maisons rasées à côté d’arbres, d’herbes et d’arbustes qui n’ont pas été brûlés du tout.

Maintenant, comment provoquer l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 ? !

PLUS DE PREUVES : Des preuves tangibles prouvent qu’une tempête de feu par arme à énergie dirigée de Maui a rasé Lahaina

Toute personne raisonnable regardant ces images de dévastation totale arriverait à la même conclusion : l’enfer génocidaire était un événement délibéré d’origine humaine conçu pour anéantir la ville en quelques heures seulement. Ce qu’il a fait.

Il est tout à fait choquant que les gens ne puissent pas voir l’incendie criminel évident et l’utilisation d’armes à énergie dirigée dans cette horrible attaque bioterroriste. Oui, les armes à micro-ondes produisent exactement le type de tempête de feu qui vient d’éclater à Lahaina.

Il est inconcevable que les habitants de Lahaina ne voient pas les preuves tangibles sur le terrain et ne comprennent pas qu’ils ont été sauvagement chassés de leur ville.

Le fait que la plupart des personnes qui regardent cette émission CLIMATEGEDDON produite par les Khazars se soient laissées prendre par le canular du changement climatique provoqué par le CO2 est aussi triste que possible pour l’humanité.

Et c’est ce manque total de bon sens, de raisonnement humain, de pensée critique qui a mis toute l’Amérique dans une marmite en ébullition qui ne fait que s’échauffer de semaine en semaine.

Même les gens très intelligents, les gens conscients, les gens qui ont une pensée critique intacte, résistent à l’idée que ces tempêtes de feu sans fin sont délibérément déclenchées par des géo-ingénieurs et des pyroterroristes à la solde de la cabale mondialiste du Nouvel Ordre Mondial.

POINT CLÉ :

Tout comme les Américains ont été conditionnés sans relâche pour croire que chaque fusillade de masse est un véritable massacre perpétré par des suprémacistes blancs, et non une opération de contrôle mental sous fausse bannière de type Gladio menée par la CIA, ils ont été manipulés pour leur faire croire que ces conflagrations incessantes déclenchées par des pyroterroristes sont des événements naturels.

Lorsqu’une grande majorité de la race humaine rejette délibérément la vérité qui lui est présentée sous des couleurs et des flammes éclatantes, pour une raison quelconque, le résultat ne sera pas bon.

Quelle vérité ?

CETTE VÉRITÉ !

Le « changement climatique » fait-il cela ? Ou s’agit-il de géo-ingénierie, censée ressembler au
« changement climatique » et nous inciter à abandonner nos vies, pour « sauver la planète » ?

Plus important encore, lorsque les gens ne se défendent même pas contre des attaques hautement destructrices et meurtrières comme celles-ci, ou des agressions de toutes sortes, à quoi servent-ils ?

Personne n’appelle jamais à des comptes à rendre, à des enquêtes, à des poursuites ou à des sanctions de quelque nature que ce soit.

Vraiment, putain, sont-ils bons pour eux-mêmes, pour leurs familles, pour leurs quartiers, pour leurs églises, pour leurs entreprises, pour leurs communautés, pour leurs villes, pour leurs États, pour leurs pays, alors qu’ils ne se défendent même pas et ne défendent pas leurs enfants, contre les barbares qui sont parmi nous ?!

Ils n’enquêteront même pas, ni même ne remettront en question, comment ces tempêtes de feu déclenchées de manière transparente se sont produites.

HONNÊTEMENT, À QUOI SERVENT-ILS… À QUI QUE CE SOIT ?

DES CITOYENS LÂCHES, voilà ce qu’ils sont tous.

[Voir aussi :
Lahaina a été détruite par une arme à énergie dirigée
À qui profite l’incendie de Lahaina ?
Le feu de forêt comme arme militaire]




La révolution permanente du « zéro net » : une guerre contre la démocratie

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

Une intéressante chronique du Telegraph de Londres dénonce la guerre contre la démocratie que constitue la « révolution permanente du zéro net », cette obligation faite au Royaume-Uni (de la même manière qu’à l’Union européenne) d’arriver à des émissions de CO2 neutres dans un délai donné, sans le moindre égard pour la volonté des électeurs à ce sujet. Allister Heath y voit une nouvelle variante des fameux « plans quinquennaux » propres aux économies communistes planifiées, par lesquels des planificateurs centralisés imposent des objectifs et des moyens pour y parvenir, sans dire au public « l’horrible vérité » à leur sujet.

« Une nomenklatura “verte” dispose désormais d’un immense pouvoir », observe l’éditorialiste : au Royaume-Uni, tous les partis — conservateurs, travaillistes, « Lib Dems » — ont souscrit aux plans quinquennaux contraignants qui définissent les « budgets carbone » avec leurs émissions maximales, et au passage, font de l’ingénierie sociale à hautes doses.

« Savez-vous, cher lecteur, que nous sommes actuellement sous le régime de notre quatrième budget carbone de cette espèce, qui court de 2023 à 2027 ? Avez-vous conscience de ce que les deux suivants — qui nous mènent jusqu’en 2037 — sont déjà gravés dans le marbre de la loi, moyennant quoi les deux ou trois élections générales ne seront que des mascarades ? », écrit Allister Heath. Et tout écart par rapport à ces objectifs pourrait donner lieu à des procédures contre l’État de la part d’associations écologistes.

Le « zéro net » avec ou sans Brexit

Le Royaume-Uni a beau avoir quitté l’UE, les accords de Paris chapeautés par l’ONU s’appliquent aussi outre-Manche et aboutissent à des contraintes qui s’apparentent à celles mises en route dans l’Union. Ainsi, les Britanniques vont-ils comme nous être sévèrement bridés dans leurs choix de consommation, énergétiques notamment. D’ici à un an et demi, aucun logement neuf au Royaume-Uni ne pourra être équipé d’une chaudière à gaz. Dans 7 ans, il sera illégal d’acheter des véhicules à pétrole neufs. Dans douze ans, le remplacement d’une chaudière à gaz par un dispositif du même type sera à son tour prohibé.

Tout cela a été mis en place en 2008 par Ed Miliband, ministre de l’Énergie, avec une loi sur le « Changement climatique » votée par la quasi-totalité des membres du Parlement : « L’équivalent d’un nouveau traité de Maastricht, un bouleversement profond qui à terme, provoquera la réaction furieuse de l’électorat qui prendra conscience d’avoir perdu tout contrôle. » À l’origine, la baisse des émissions de CO2 devait atteindre 80 % en 2050 par rapport aux chiffres de 1990 ; en 2019, Theresa May a porté ce pourcentage à 100 %. Le tout selon un échéancier extrêmement strict.

Les trois premiers plans quinquennaux ont été respectés, note Alister Heath, entre 2008 et 2022, « sans trop d’efforts » : c’est la « combinaison d’une récession, de la désindustrialisation continue, de l’insuffisance de construction d’infrastructures et de logements neufs et du recours accru aux renouvelables » qui a rendu la chose possible.

Les nouveaux plans quinquennaux imposent la révolution contre la démocratie

Mais « la douleur s’installe », note le chroniqueur, alors que propriétaires et automobilistes sont de plus en plus frappés par les conséquences de cette politique. Au fur et à mesure que le pourcentage de coupes augmente, de nouveaux secteurs vont être touchés : l’aviation civile, le transport de marchandises, les obligations d’isolation par exemple. La « décarbonation » ne déplaît pas tant qu’elle ne touche pas visiblement au portefeuille des électeurs : une fois ce pas franchi, les électeurs s’y opposeront « avec fureur », prévoit Heath, et d’autant plus qu’ils comprendront que le législateur n’y pourra rien.

Le Climate Change Committee (CCC) qui pilote les plans et définit les arbitrages par secteur estime d’ailleurs que le recours aux nouvelles énergies et à d’autres moyens technologies ne suffira pas : « Les véhicules électriques ne suffiront pas, il faudra quand même rouler moins. Il nous faudra moins prendre l’avion, même en utilisant de l’énergie “durable”. Il nous faudra manger 20 à 35 % de viande et de produits laitiers en moins », avertit Allister Heath. Le CCC, précise-t-il, est une agence aux pouvoirs gigantesques, « que seule dépasse probablement la Banque d’Angleterre ».

La révolution du zéro net, une machine à appauvrir l’Occident

Ne pourrait-on pas nommer un président plus souple à l’heure où le CCC embauche son nouveau chef ? « De toute façon, le zéro net est sur pilotage automatique, et les échéances trop figées pour éviter des restrictions handicapantes, une très forte augmentation de la dette et des coupures d’énergie par roulement », constate le chroniqueur.

Décidément, la course vers le « net zéro » est une machine à appauvrir les pays développés. On le savait déjà, les politiques en place ne pouvaient l’ignorer : ce qui nous est imposé par l’Union européenne ou le CCC outre-Manche est ce qu’ils ont approuvé en toute connaissance de cause et complicité, contre les peuples.




Le feu de forêt comme arme militaire

[Source : planetes360.fr]

Traduction :

Je viens de trouver dans mes archives un document déclassifié épouvantable sur les techniques et les tactiques qui sont très pertinentes pour ce qui vient de se passer à Maui…

Forest Fire as a Military Weapon – rapport de 1970 commandé par le DoD – ARPA – US Dept of Agriculture Forest Service.

« En 1965, les chefs d’état-major interarmées ont demandé au secrétaire à la défense de lancer des recherches pour déterminer s’il était possible de mesurer les caractéristiques d’inflammabilité des forêts et de la jungle, de modifier l’inflammabilité de manière à ce que la végétation favorise la combustion et de mettre au point des mesures permettant de détruire par le feu de vastes zones de forêt ou de jungle. Ces recherches ont été menées par le Service des forêts du ministère de l’Agriculture, sous l’égide de l’Agence pour les projets de recherche avancée (ARPA) par le biais de l’ordre 818 de l’ARPA. La recherche s’est principalement concentrée sur les caractéristiques d’inflammabilité de la jungle dans les climats tropicaux et de mousson où les incendies de forêt se produisent rarement de manière naturelle ».

L’image 2 est très liée aux tempêtes de feu, qui utilisent les vents de surface pour attiser les incendies et augmenter considérablement la vitesse de combustion.

Ils peuvent donc déclencher l’incendie avec de mauvais acteurs au sol en brûlant la végétation ou l’herbe sèche ou en faisant exploser des sources de combustible, ou ils le font depuis le ciel avec des armes à énergie dirigée ciblant de multiples zones. Ce document indique que des sources d’incendie multiples entourant la cible avec des vents violents sont les plus efficaces pour anéantir une zone entière très rapidement. Vous vous souvenez du cercle de feu que les gens ont vu sur les images ?

Ils peuvent ensuite utiliser les différentes techniques de géo-ingénierie pour faire exploser la terre avec un ouragan sec et des vents à grande vitesse pour transformer une série de petits feux de broussailles en une tempête de feu déchaînée qui anéantit tout extrêmement rapidement.

L’image 3 traite des engins incendiaires et l’image 4 explique à quel point les conditions météorologiques sont cruciales pour le succès des incendies de forêt.

Tellement sauvage.

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À un moment donné, nous devons tous prendre du recul et réfléchir à la raison pour laquelle ces choses sont étudiées à un tel degré. C’est à cela que mènent vraiment la guerre et les dépenses militaires sans fin…. une course vers le bas où les principales puissances mondiales sont déterminées par le pays ou la force militaire qui peut être le plus brutal, le plus sadique, le plus rusé, et tout simplement le plus mauvais et le plus malveillant.

Le langage et le ton de ces documents sont toujours aussi froids, calculateurs et inhumains.




Pourquoi Darmanin demande-t-il la dissolution de Civitas ?

[Source : @AgoraTVNEWS via Ciel Voilé]

La raison officielle :

La véritable raison probable :

Alain Escada, président de CIVITAS, nous dresse un paysage bien sombre mais réel des pratiques sataniques assez concentrées chez les mondialistes et chez les hommes de Pouvoir. Une vidéo immanquable pour bien comprendre toutes les abjections qui se succèdent de nos jours.

[Vidéo originale YouTube (https://www.youtube.com/watch?v=l1pcmXuwLgk) censurée.]







À qui profite l’incendie de Lahaina ?

[Source : Nicolas Bonnal]

[Illustration : Le hall de l’église historique de Waiola à Lahaina et la mission Lahaina Hongwanji voisine engloutis dans les flammes le long de la rue Wainee.
PHOTO : ASSOCIATED PRESS / MATTHEW THAYER]

[Voir aussi :
Lahaina a été détruite par une arme à énergie dirigée]




France — Les lois publiées depuis 1848 sont illégales

[Source : Fortabat-Labatut via michelledastier.com]

Jusqu’à une période récente où il a été illégalement modifié, le Code civil hérité de Napoléon indiquait dans son article 1 que les lois doivent être promulguées par le Roi.

https://www.fortabat-labatut.com/

https://consultation.avocat.fr/avocat-paris/philippe-fortabat-labatut-23096.html




Chaos social croissant aux États-Unis

[Source : theeconomiccollapseblog.com]

Par Michel Snyder

Certaines parties de l’Amérique sont déjà sur le point d’être ingouvernables alors que l’anarchie rampante se propage comme une traînée de poudre.

Pour qu’une société civilisée fonctionne, la plupart des gens doivent volontairement suivre les règles de cette société. Si cela se produit, les autorités chargées de l’application de la loi peuvent s’occuper des quelques personnes qui choisissent d’être anarchiques. Pendant des générations, c’est ainsi que les choses ont fonctionné en Amérique. Il y avait un haut niveau de moralité parmi la population générale, et la police a donc pu gérer avec succès les quelques pommes pourries qui insistaient pour enfreindre la loi. Mais maintenant tout a changé. À la suite de décennies de décadence morale extrême, l’anarchie est endémique et il existe de vastes multitudes de jeunes qui affichent ouvertement les règles de notre société. En fait, il y a déjà certaines régions du pays qui sont littéralement sur le point d’être ingouvernables.

[Note de Joseph : la situation est relativement similaire dans la plupart des autres pays occidentaux, voire dans la presque totalité des pays du monde, et le facteur principal apparaît bien davantage être la perte des valeurs morales que l’immigration tant décriée.]

Un exemple parfait de ce dont je parle s’est produit samedi dans le sud de la Californie.

Des dizaines de jeunes voleurs anarchiques ont systématiquement pillé le magasin Nordstrom du centre commercial Westfield Topanga, et ils ont pu s’en tirer avec des dizaines de milliers de dollars de marchandises

Les acheteurs du centre commercial Westfield Topanga à Canoga Park ont ​​été choqués lorsque des dizaines de voleurs ont saccagé le Nordstrom à l’intérieur du centre commercial le samedi 12 août, brisant des présentoirs et volant entre 60 000 et 100 000 dollars de marchandises, ont annoncé les autorités.

Le département de police de Los Angeles a répondu au centre commercial vers 16 heures après avoir entendu des informations selon lesquelles entre 20 et 50 personnes ont traversé le Nordstrom en saisissant des marchandises, en laissant certaines par terre et en emportant des pleines brassées avec elles.

Quand je grandissais, ce genre de chose n’arrivait tout simplement pas.

Mais maintenant, nous voyons des foules de pillards devenir régulièrement hors de contrôle dans tout le pays.

Ce braquage était manifestement bien coordonné, et aucun des voleurs n’a même montré le moindre remords.

Apparemment, ces jeunes ne croupissent pas exactement dans la pauvreté, car une BMW et une Lexus faisaient partie des véhicules d’évasion qu’ils ont utilisés…

Après avoir saisi entre 60 000 et 100 000 dollars de marchandises, l’équipage s’est enfui dans plusieurs voitures, dont une BMW et une Lexus, ont déclaré les flics.

Au moins un garde a été aspergé de gaz poivré, ce qui provoque une violente irritation des yeux et des voies respiratoires chez l’homme. Le gardien a été pris en charge par les ambulanciers.

Comment sommes-nous censés répondre à cela ?

Comme je l’ai dit plus tôt, nous voyons si souvent des vols de cette nature maintenant.

Quelques jours plus tôt, des dizaines de jeunes avaient pillé le magasin Yves Saint Laurent à Glendale

Plus tôt cette semaine, un magasin de conception haut de gamme à Glendale, en Californie, a été pillé par des dizaines de personnes lors d’un autre cambriolage par rassemblement éclair mardi.

Au moins 30 suspects ont « inondé » le magasin Yves Saint Laurent de The Americana at Brand mardi après-midi et ont volé des vêtements et d’autres marchandises avant de s’enfuir à pied et de quitter les lieux dans de nombreux véhicules, a indiqué la police dans un communiqué.

La perte totale est estimée à environ 300 000 $.

Certaines personnes tentent de minimiser la gravité de ces crimes en disant que ces grands détaillants peuvent se permettre les pertes qu’ils subissent.

Non, ils ne peuvent pas.

Dans l’ensemble, les détaillants américains perdront plus de 100 milliards de dollars en raison de vols cette année seulement.

C’est devenu une crise nationale majeure, et comme J. Lee Grady l’a fait remarquer avec justesse, nous sommes vraiment devenus « le pays de la liberté pour tous »…

Vous avez probablement vu les vidéos de voleurs remplissant des sacs poubelles avec des marchandises volées de CVS ou sortant de Home Depot ou de Wal-Mart avec des brassées d’outils, d’ordinateurs portables, de détergent et de chaussures de sport qu’ils n’ont pas payés. Nous avions l’habitude d’appeler cela du vol à l’étalage, et c’était un crime. Aujourd’hui, c’est ce qu’on appelle la « rupture des stocks » et cela coûte aux détaillants des milliards de dollars en pertes. Mais de nombreux politiciens indulgents envers la criminalité traitent les criminels comme des victimes et permettent à la vague de criminalité de se développer.

Certains détaillants verrouillent les articles derrière des vitrines, mais cela n’a pas empêché les criminels sans vergogne qui se contentent de casser et de saisir. D’autres détaillants avertissent en fait les employés de ne pas essayer d’arrêter les voleurs, et ils licencieront même un employé pour avoir affronté un voleur à l’étalage. Bienvenue aux États-Unis en 2023 : nous étions autrefois connus comme le pays du libre [« free » en anglais, qui peut signifier « gratuit »] ; maintenant, nous sommes le pays du « gratuit pour tous » [« free-for-all »], où les criminels peuvent prendre tout ce qu’ils veulent dans les rayons des magasins en sachant que personne ne les arrêtera.

Une grande partie de ce vol est alimentée par la pire crise de la drogue de toute l’histoire de notre pays.

Aujourd’hui, de vastes étendues de la ville de Los Angeles ont été transformées en campements géants de sans-abri remplis de « résidents ressemblant à des zombies qui fument de la drogue »…

De nouvelles photos choquantes montrent la crise dévastatrice des sans-abri qui tourmente le centre-ville de Los Angeles — où des villes de tentes délabrées et sales sont en proie à des résidents ressemblant à des zombies qui fument de la drogue, tandis que d’autres colportent des biens volés au coin des rues.

Il y a actuellement environ 42 260 personnes qui dorment dans la rue dans la Cité des Anges — une augmentation surprenante de 10 % par rapport à l’année dernière, a rapporté la Los Angeles Homeless Services Authority.

Pas plus tard que cette semaine, il est apparu que la ville avait eu recours à l’envoi d’équipes mobiles avec des bouteilles d’oxygène à Skid Row dans une tentative désespérée de prévenir les surdoses au milieu de sa crise paralysante des opioïdes.

La même chose se passe à San Francisco.

En fait, les conditions sont devenues si dangereuses dans le centre-ville de San Francisco que les employés fédéraux qui travaillent au « Nancy Pelosi Federal Building » se voient dire de travailler à domicile dans un avenir prévisible

Des responsables du département américain de la Santé et des Services sociaux ont conseillé à des centaines d’employés de San Francisco de travailler à distance dans un avenir prévisible en raison de problèmes de sécurité publique à l’extérieur du bâtiment fédéral Nancy Pelosi sur la septième rue.

L’imposante tour de 18 étages située au coin des rues Seventh et Mission abrite diverses agences fédérales, dont le HHS, le département américain du Travail, le département américain des Transports et le bureau de la présidente émérite Nancy Pelosi. La région abrite également l’un des marchés de la drogue en plein air les plus flagrants de la ville, où des dizaines de revendeurs et d’utilisateurs se rassemblent quotidiennement.

Je trouve parfaitement approprié que « l’un des marchés de la drogue en plein air les plus flagrants de la ville » fonctionne juste à l’extérieur d’une tour de bureaux géante nommée en l’honneur de Nancy Pelosi.

Des politiciens comme Pelosi ont pris des décisions horriblement mauvaises pendant des décennies, et cela a été un facteur majeur pour nous amener à ce point.

Nous récoltons vraiment ce que nous avons semé, et ce que nous vivons actuellement n’est que le début.

Finalement, les conditions se détérioreront si dramatiquement dans nos noyaux urbains que nos dirigeants seront forcés de mettre en œuvre des mesures extrêmes dans une tentative désespérée de rétablir l’ordre.

Mais en fin de compte, vous ne pouvez pas gouverner un grand nombre de personnes qui n’ont aucune intention d’être gouvernées.

Le tissu de notre société est vraiment en train de se disloquer, et nous allons voir des choses se produire dans les années à venir qui nous choqueront tous complètement.




La prochaine génération est préparée à la destruction — Voici pourquoi elle est vulnérable

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 3 aout 2023 − Source Alt-Market

La semaine dernière, la National Education Association (NEA), le plus grand syndicat d’enseignants des États-Unis, a publié des conseils sur l’utilisation de symboles militants gauchistes dans les salles de classe des écoles publiques. Dans le cadre de ses conseils aux enseignants, elle recommande d’enfreindre les règles du district et de l’État et d’accrocher des objets tels que des drapeaux de la fierté et des drapeaux BLM. Cette pratique est généralement citée comme un moyen de “démarrer une conversation”, un moyen pour les enseignants de contourner les règles de l’école. Ils ne sont peut-être pas en mesure de consacrer chaque jour à des leçons sur les concepts de la guerre, mais si un enfant pose une question sur les drapeaux présents dans la salle, ils peuvent alors fournir un “contexte”.

La NEA a été l’une des principales forces motrices de l’intrusion de l’idéologie “woke” dans le cadre de l’école publique. Environ 97 % de ses collectes de fonds politiques vont aux candidats Démocrates. Elle semble obsédée par la préparation des enfants au bercail gauchiste, avec des leçons axées sur la théorie critique de la race, la propagande sexiste et le socialisme. Si vous voulez savoir d’où vient la soudaine montée du culte de la justice sociale chez les enfants américains, c’est aux enseignants gauchistes et à la NEA qu’il faut s’en prendre.

N’oubliez pas que les syndicats d’enseignants encouragent leurs membres à enfreindre la loi et à perdre leur emploi, dans le seul but d’intensifier l’endoctrinement politique. Contrairement à la croyance populaire, les enseignants n’ont PAS le droit de s’exprimer librement sur leur lieu de travail. Les enseignants “Woke” peuvent se prendre pour Robin Williams dans Le Cercle des Poètes Disparus en luttant contre le système, mais la vérité, c’est qu’ils SONT le système. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles il est nécessaire d’établir des règles de comportement pour les enseignants.

Les enseignants narcissiques sont des parasites qui considèrent la salle de classe comme un lieu où ils doivent s’affirmer. Ils considèrent les enfants de leur classe comme un public captif dont ils peuvent se nourrir pour obtenir de l’attention, de l’admiration et des justifications. Ils considèrent les parents comme des inférieurs et traitent les élèves comme leurs marionnettes personnelles à modeler et à contrôler.

Dans leur esprit, les enfants n’appartiennent pas aux parents, mais à la “société”. Les éducateurs progressistes se considèrent comme les bergers bienveillants choisis par la collectivité pour conditionner les esprits de la prochaine génération. L’enseignement académique est secondaire – fabriquer de nouvelles recrues gauchistes est plus important pour eux. C’est sur cette colline qu’ils ont choisi de mourir et ils ne reculeront pas. Ils ont clairement fait savoir que le ciblage des enfants était leur principale préoccupation.

Il est vrai que la secte “Woke” est en perte de vitesse ces derniers temps. Même les enfants commencent à s’y opposer, avec le plus grand pic de conservatisme parmi les lycéens que les États-Unis aient connu depuis longtemps. Ils en ont assez. Mais il y a certainement de bonnes raisons pour que les gauchistes mettent en place une guerre psychologique contre la jeunesse américaine. Examinons les trois principales raisons…

Raison n° 1 : les jeunes sont les plus vulnérables sur le plan économique

La gauche politique s’appuie sur l’exploitation des disparités économiques pour se maintenir au pouvoir. Plus la situation financière du pays est bonne, moins elle a de moyens de pression pour maintenir la population dans le droit chemin. Ils s’insurgent sans cesse contre des questions telles que “l’inégalité des classes”, mais en réalité, plus l’écart de richesse est grand, plus les gauchistes ont de pouvoir.

La génération Z, par exemple, est convaincue depuis l’enfance qu’elle est née à une époque de désespoir économique historique que les générations qui l’ont précédée n’ont jamais eu à affronter. Beaucoup de ces jeunes ont une vingtaine d’années et viennent de sortir de l’université pour découvrir qu’ils ont un diplôme inutile dans un domaine où les perspectives d’emploi sont faibles, et qu’en plus, ils doivent des dizaines de milliers de dollars de prêts étudiants. Ils ont l’impression d’avoir été escroqués, et d’une certaine manière, ils l’ont été.

Ils ont été nourris d’un discours qui leur dit qu’une fois arrivé à l’âge adulte, ils ont droit à un salaire décent et à de solides perspectives de carrière, et qu’un diplôme universitaire est un billet d’or pour la prospérité. Ils pensent qu’ils sont censés accéder rapidement à la propriété et que la vie s’adapte simplement à leurs besoins. Ils pensent que c’est ainsi que les baby-boomers et la génération X ont vécu, et qu’ils ont reçu les maigres restes d’une époque plus prospère que les générations précédentes ont dilapidée.

C’est un non-sens.

Le fait est que les jeunes de toutes les générations sont économiquement vulnérables simplement parce qu’ils n’ont pratiquement aucune expérience de la vie et qu’ils n’ont pas eu le temps d’accumuler des économies et des biens. La plupart des jeunes d’une vingtaine d’années ne se lancent pas immédiatement dans une carrière, n’achètent pas de maison et ne gagnent même pas un salaire décent. Chaque génération a dû faire face à des difficultés financières. La génération Z n’est pas spéciale.

Mais qu’en est-il de l’inflation ? Qu’en est-il de la crise économique ? Oui, de nombreuses menaces fiscales pèsent depuis plusieurs années et la stagflation rend la vie difficile à tout le monde, pas seulement aux jeunes. Ces conditions ne sont toutefois pas sans précédent.

Les baby-boomers et la génération X ont connu une décennie de crise stagflationniste dans les années 70 et au début des années 80, en même temps que la guerre du Viêt Nam. Mon propre grand-père a perdu des millions dans son entreprise de transport de marchandises en raison de l’explosion des taux d’intérêt au début des années 1980. La plus grande génération a connu la Grande Dépression, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée. Les jeunes d’aujourd’hui doivent prendre conscience de la réalité et comprendre qu’ils ne savent pas ce qu’est la véritable lutte, du moins pas encore.

Au fond, certains d’entre nous sont nés dans une période d’incertitude. Les générations précédentes ont cherché à relever le défi. La génération Z (et les milléniaux) sont les premières générations à suggérer qu’on leur doit une compensation pour leur inconfort. Il ne s’agit pas de diminuer leurs problèmes, mais de les replacer dans une perspective historique. Les gauchistes utilisent des tactiques de prédation pour attirer les jeunes en prétendant que leur vie est injuste – mais le fait est que la vie est injuste et le sera toujours.

On n’entre pas dans le monde du travail sans compétences, sans expérience et avec un diplôme universitaire sans valeur en s’attendant à une réussite immédiate. On vit d’un salaire à l’autre, on grandit en tant que personne et on finit par trouver sa voie. Si vous êtes intelligent, débrouillard, responsable et prêt à faire des efforts, vous trouverez votre voie. Dans le cas contraire, vous ne méritez pas la prospérité.

Raison n° 2 : Les jeunes adultes sont guidés par le sexe et les impulsions, et non par l’accomplissement.

Je dois préciser que les jeunes du monde occidental sont plus orientés vers le sexe que vers l’accomplissement. Dans de nombreuses autres sociétés, les jeunes sont poussés à rechercher la réussite personnelle AVANT d’avoir des relations, de se marier ou d’avoir des relations sexuelles. Dans les pays occidentaux, le sexe est purement récréatif et constitue la force motrice des adolescents, des jeunes de 20 à 30 ans et des trentenaires. Plus précisément, le sexe sans conséquences.

Je soupçonne que c’est la raison pour laquelle l’innovation, l’éthique du travail et l’excellence académique américaines sont en perpétuel déclin. La technologie a rattrapé une partie du retard en termes de productivité, mais les nouvelles générations semblent être les moins impressionnantes en termes d’ambition et d’excellence. La génération Z ne produira pas d’Albert Einstein, de Richard Feynman, de Kurt Godel, de Nikola Tesla ou même de Steve Wosniak.

La gauche politique est parfaitement consciente de cette dynamique. Elle sait que l’esprit des jeunes est facilement distrait par des pensées de révolution sexuelle, généralement parce qu’ils pensent que cela signifie un accès plus facile au sexe sans responsabilité. Pour cette raison, les adolescents et les jeunes adultes sont plus enclins à soutenir les politiques sexualisées et, ce qui n’est pas surprenant, ils sont plus enclins à soutenir l’avortement. Les gauchistes savent que le sexe fait vendre et que faciliter l’élimination des grossesses non désirées est un moyen de vendre du sexe.

Ce qui est intéressant ces derniers temps, c’est que la gauche politique devient de plus en plus hostile à la sexualité hétérosexuelle. L’amour libre pour tous était le mantra des progressistes, mais ce n’est plus le cas.

La masculinité est désormais dénoncée comme prédatrice et les femmes sont encouragées à considérer les avances masculines comme une menace. La gauche désexualise systématiquement les hétérosexuels. Dans le même temps, elle hyper-sexualise les LGBT, au point que les parades des fiertés sont applaudies pour leurs exhibitions grotesques dans les rues, devant les enfants. Les jeunes hommes hétérosexuels entrent dans un monde de rencontres qui leur dit que s’ils ne s’intéressent pas aux “femmes trans”, ils sont bigots et méchants.

L’objectif est d’amener les jeunes à se rallier aux LGBT, seul endroit où la “liberté” sexuelle est acceptée. Tant que vous ne voulez pas d’enfants ou que vous ne pouvez pas en avoir, l’establishment gauchiste est heureux de promouvoir un monde sans contrainte. Ils parlent souvent de liberté, mais ce qu’ils veulent vraiment dire, c’est l’hédonisme – la recherche du plaisir aux dépens de la conscience et du sens moral.

Raison n° 3 : Les jeunes sont désespérément à la recherche d’un sens à leur vie

Pour ceux qui se souviennent de leur adolescence et de leur vingtaine, il est courant d’être obsédé par son destin personnel presque autant que par le sexe. Dans la société occidentale, on accorde beaucoup d’importance à la célébrité et à l’héritage social. Tout le monde rêve d’être connu, apprécié, d’être à la tête d’un mouvement qui change les choses pour le mieux, de laisser sa marque. La vérité est que, statistiquement parlant, la grande majorité des gens ne feront pas grand-chose pour marquer le monde de la manière dont ils l’imaginent.

L’une des prises de conscience les plus terrifiantes pour l’adolescent et le jeune homme d’une vingtaine d’années est probablement le fait qu’il n’est pas spécial. Ils ne sont pas nés avec une grandeur innée et ne sont pas destinés à devenir des messies. S’ils veulent faire quelque chose d’extraordinaire en tant qu’individus, ils devront travailler dur pour y parvenir. En fait, la plupart des personnes qui accomplissent de grandes choses ne sont pas nécessairement plus intelligentes que le commun des mortels, elles font simplement le travail que d’autres refusent de faire.

Et puis il y a ceux qui font des économies de bouts de chandelle. L’attrait d’un but et d’une attention instantanés n’a jamais été aussi puissant qu’aujourd’hui, à l’ère numérique. Les rebelles sans cause étaient autrefois isolés les uns des autres et donc moins enclins à faire des bêtises. Aujourd’hui, ces personnes sont connectées les unes aux autres en l’espace de quelques microsecondes et peuvent s’organiser en foules abrutissantes en un clin d’œil.

Les gauchistes facilitent la recherche d’un but – vous n’avez rien à accomplir. Vous n’avez pas à lutter ou à persévérer. Vous n’avez pas à être créatif ou inventif. Il n’est pas nécessaire de rivaliser ou de se hisser au sommet de la hiérarchie. Tout ce que vous avez à faire, c’est de détruire. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous tenir au-dessus des structures que d’autres ont construites et de les réduire en cendres. C’est tout. C’est simple.

Un mouvement politique qui n’a pas honte est un mouvement difficile à vaincre, ne serait-ce que parce que le bien et le mal ne sont plus un facteur de participation. Lorsque la justification est fondée sur des sentiments subjectifs, des impulsions et l’enrichissement personnel plutôt que sur la raison et la conscience, il n’y a aucun moyen de dissuader ces militants d’atteindre leurs objectifs. Lorsque la destruction est le seul idéal, la diplomatie et le débat sont impensables. C’est comme essayer de négocier avec une bombe à retardement ou une tumeur au cerveau.

La destruction est la motivation la plus facile pour un mouvement. La création et la conservation sont difficiles. Les gauchistes savent que les jeunes ne sont pas enclins à réfléchir aux dix coups à venir sur l’échiquier. Ils préfèrent jeter l’échiquier par terre et se pavaner ensuite comme s’ils avaient gagné la partie.

Le problème, c’est que si le sens ne se trouve que dans le déraillement et l’incendie, et que l’héritage ne se trouve que dans la vanité, alors l’incendie criminel doit se poursuivre à l’infini. Que se passe-t-il lorsqu’il n’y a plus rien à détruire ? Il n’y a que deux issues possibles : Les gauchistes, dans leur ferveur aveugle, se détruisent les uns les autres, ou bien l’establishment pousse la prochaine génération à construire son propre goulag. Cette dernière solution semble être la finalité des élites progressistes et des globalistes : utiliser les jeunes idiots utiles comme une arme pour introduire de force un bouleversement social massif, puis les enfermer dans un camp d’esclaves et appeler cela Utopie.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La dérive totalitaire contre les enfants

[Source : infovaccin.fr]

La LNPLV ouvre au public l’accès du séminaire de référence sur les enfants dans la dérive totalitaire actuelle, expliqué de manière accessible par des experts : confinements, trahison des adultes, masques, vaccins, sexualisation..

L’association, bien qu’était loin d’avoir pu couvrir les frais occasionnés par l’événement, ouvre à tous le contenu de cet événement, qui pour nous est d’utilité publique.

Vous y trouverez en effet, explicité de manière sourcée et accessible aux profanes, l’ensemble des éléments pour comprendre et expliquer les problèmes dont les enfant sont victimes, et donner des pistes pour y remédier.

Tout parent ou professionnel devrait être conscient du contenu de ce colloque, et son contenu est une synthèse utile et de l’avis général, d’une qualité exceptionnelle.

Présentation de l’événement et des intervenants

Accès au replay

Partie 1, Intoduction, Karine Baillieu et Ariane Bilheran

Partie 2, Régis Brunod et Amandine Lafargue

Partie 3, Senta Depuydt et Nicole Delépine

Partie 4, Cécile Maïchak, Karina Terki et Virginie de Araujo-Recchia

Conférences de Presse

Interviews autour de l’Evénement

Merci à tous ceux qui ont soutenu et permis cet événement, et à tous ceux qui ont agi ou vont agir.




Hiroshima

Falsifier l’Histoire et faire le silence sur les évènements les plus troublants.

[Source : mondialisation.ca]

Par Michel Raimbaud

Par les temps sinistres que nous vivons, où s’affiche sans pudeur la dégénérescence morale, intellectuelle et politique de l’Occident, de ses sociétés et de ses élites, la négation du passé et la réécriture des faits sont devenues, dans les fameuses « grandes démocraties » où l’on prétend dire le droit et guider l’humanité, les deux subterfuges fondateurs du « récit » qui tient lieu de fil conducteur de « l’Histoire ». Résultante de plusieurs siècles d’hégémonie, la posture — ou l’imposture — est apparue dans toute sa splendeur lorsque l’Amérique s’est retrouvée propulsée aux commandes du monde suite au sabordage de l’URSS, il y a plus de trois décennies. Elle allait rapidement s’afficher avec un cynisme relevant de l’indécence pure et simple… L’Occident dit le droit et l’Amérique crée l’Histoire… Ce qui permet aux dirigeants du « camp du Bien » autoproclamé de choisir les urgences prioritaires et d’ordonner les guerres successives « imposées » par les comportements (sic) de la partie non fréquentable de l’humanité, cette « jungle » qui rassemble, excusez du peu, 85 % de la population de notre planète…

Sans vouloir troubler la torpeur de l’été et le farniente des vacanciers en évoquant des malheurs qui pourraient troubler leur bonheur, il me semble plus que légitime de s’inquiéter des bruits de botte, des déclarations martiales, du discours bravache des « experts » et « penseurs » qui écartent toute perspective de négociation, toute allusion à la diplomatie, comme s’il était incongru ou criminel ou impensable d’évoquer, même du bout des lèvres, la moindre alternative à la guerre…

Il est certes à la mode de falsifier l’Histoire et de faire le silence sur les évènements les plus troublants. En notre été où brûle un parfum d’incertitude, ce qui s’est passé au Japon le 6 août 1945, puis le 9 août 1945, ne semble pas vraiment faire recette en Occident, à quelques exceptions près, qu’il convient de saluer à leur juste valeur. Je me permettrai de joindre ma voix à la maigre cohorte du souvenir en soufflant deux mots qui devraient signifier quelque chose pour les hommes et femmes de bonne volonté : Hiroshima, Nagasaki.

Le 6 août1945, à 8 h 15, une « forteresse volante » (autrement dit un avion bombardier) répondant au joyeux nom de Enola Gay largue sur Hiroshima, ville de 350 000 habitants, une bombe nucléaire à l’uranium 235. Cet engin expérimental explose à 600 mètres d’altitude au-dessus du centre-ville. Entre la déflagration et les deux semaines qui suivent, la moitié de la population (150 000 morts et 80 000 blessés) sera exterminée. La ville est rasée à plus de 90 %…

Trois jours plus tard, le 9 août au matin, c’est au tour des 250 000 habitants de Nagasaki d’être ciblés : une bombe au plutonium (subtilement nommée Fat Man, le gros bonhomme) est lancée elle aussi sur le centre-ville et tombe en fait sur la banlieue, faisant 70 000 morts et autant de blessés, démolissant 36 % des bâtiments. Clôturé en 1994, le bilan définitif et global (entre le souffle, les incendies, les radiations, les brûlures et les innombrables effets à terme) fera état de 300 000 morts, dont 187 000 morts pour Hiroshima, et 102 300 victimes pour Nagasaki, tous des civils.

Pourquoi Nagasaki, qui jusque là avait été épargnée ? De source japonaise, on dévoilera le motif particulièrement cynique qui aurait été celui de l’Amérique, déjà si bonne en ce temps-là : la ville avait été épargnée par les bombardements dans le seul but de pouvoir dresser un bilan précis de l’impact de la bombe nucléaire à venir (sic)… Le double bombardement « atomique » était intervenu alors que le Japon était vaincu et essayait d’entrer en pourparlers avec les États-Unis. La capitulation interviendra une semaine plus tard, le 15 août 1945 et sera signée le 2 septembre à Tokyo, devant le Général Douglas Mac Arthur.

Hiroshima est le premier exploit hors normes de l’Oncle Sam au sortir de la grande boucherie de la Seconde guerre mondiale. C’est le lieu d’un massacre de masse entièrement gratuit, qui suscita en son temps l’admiration des populations occidentales enivrées par le rêve américain et ayant pris pour argent comptant la propagande américaine : ayant coupé court aux velléités japonaises, les massacres d’Hiroshima et de Nagasaki auraient mis fin à une plus grande hécatombe… Des chefs militaires américains avaient exprimé leur vive réprobation, notamment le commandant en chef du Corps expéditionnaire allié en Europe, Dwight Eisenhower qui, élu ultérieurement Président des États-Unis, dénoncera les menées clandestines du « complexe militaro-industriel ».

Si le double « essai » n’avait pas suscité beaucoup d’indignation » au sein du « monde libre », ancêtre du sinistre Camp du Bien, c’est que l’on y partageait volontiers le principal objectif de Washington, à savoir intimider les Soviétiques, préfigurant les dérives guerrières à venir de « l’Occident collectif » ? Cette extase face à notre « Leader maximo » ne s’est jamais évaporée, l’épisode gaulliste mis à part et servant de référence nostalgique.

En 2023, « le monde en ébullition », ce slogan écologique à la mode que brandit le Secrétaire Général de l’ONU, ne se référerait-il pas à l’ébullition cérébrale de nos grands esprits qui sans le dire poussent les masses préconditionnées à attendre la guerre comme une fatalité. Le changement climatique est-il la principale menace, dans un monde empoisonné par de nouveaux produits, des médicaments, des déchets radioactifs, etc. déversés sans être testés ? Que dire enfin des guerres et des conflits, leurs morts, blessés et handicapés, les destructions, les bombardements, les armes chimiques, les armes à uranium appauvri ou enrichi, les armes nucléaires, licites quand elles appartiennent aux grandes puissances bienfaitrices si occidentales, tandis qu’elles sont criminelles et diaboliques quand elles sont détenues hors de l’Occident (Russie, Chine, Iran, Inde, Pakistan, Corée du Nord, etc.).

Certains esprits, sûrement malveillants, ont dénombré depuis 1945 environ 400 opérations militaires de l’Occident, des États-Unis essentiellement, qui auraient fait un nombre pharaonique de victimes (invérifiable, mais on ne prête qu’aux riches). On se limitera ici à la centaine d’agressions fomentées par Washington et ses alliés dans le Grand Moyen-Orient, particulièrement ciblé.

Pour le seul Irak, il faudrait compter 200 000 Irakiens pour la première guerre du Golfe (1991) et 1 700 000 pour la période 1991/2001 (dont 500 000 enfants), ainsi qu’un autre million de victimes civiles en vingt ans au titre de la « guerre contre le terrorisme » lancée en vertu de la « doctrine Bush » (de 2001/2002 à nos jours), selon le Strategic Foresight Group (SFG). Le score serait de 220 000 morts en Afghanistan. Le bilan des printemps arabes » (de 2011 à 2021) n’est pas moins impressionnant : 1,5 million de morts et blessés (ou plus) dont 450 000 morts en Syrie et un nombre incalculable de blessés, d’estropiés ou de traumatisés de 2011 à 2021, sans oublier 20 millions de réfugiés et déplacés…

Si l’on prend en considération les guerres du Soudan et du Yémen et les « prolongations » de ces équipées, toujours en cours en 2023 sous la forme des guerres hybrides, sanctions, blocus, embargos et mesures coercitives, imposées par les seuls États-Unis et l’Union Européenne, les opérations de démocratisation et d’assouplissement auraient fait au bas mot plus de quatre millions de morts, et sans doute bien plus.

La menace de guerre nucléaire imminente, sans cesse agitée et banalisée, sans jamais proposer d’alternative, ne s’inscrirait-elle pas dans la continuité des urgences successives qui semblent destinées à assurer la pérennité d’une hégémonie occidentale menacée et contestée ? Comment expliquer autrement le surréalisme cultivé par un Occident agonisant, face à la crise ukrainienne et sur tous les fronts « rebelles », sinon par une peur cachée de l’inconnu qui l’attend lorsqu’il aura déposé son hégémonie au vestiaire ?

Notre ineffable Axe du Bien dispose depuis vingt ans d’un joujou créé en 2005 au temps de sa toute-puissance, la Cour Pénale Internationale, chargée de juger, non les États dérangeants, mais leurs dirigeants. Et il n’y a pas besoin d’avoir le QI d’Einstein pour savoir où se situe actuellement le gisement de coupables potentiels, à ne pas confondre surtout avec les « intouchables », douillettement à l’abri à Washington, à Tel-Aviv et en Occident. À en juger par leurs investigations les plus récentes, nos chasseurs de têtes ne manqueraient-ils pas d’imagination, confirmant un vice de fabrication inhérent à la nature de cette CPI aux ordres ? Pourtant, je ne suis pas loin de penser qu’approche le moment où, sur ce point comme sur tous les autres, il faudra changer de GPS ou de logiciel. Destination Washington et autres capitales de l’Axe du Bien…. Au privilège de leur grand âge, il faudra ménager Joe Biden, « Dubia » Bush et tous les autres consorts avant qu’ils ne s’envolent vers un autre monde et qu’ils n’aient oublié leurs exploits. Qu’ils se rassurent, ils retrouveront tous leurs complices au Tribunal du Ciel ou de l’Histoire, et Saint-Pierre leur dira où aller.

Michel Raimbaud, le 6 août 2023

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Michel Raimbaud, Mondialisation.ca, 2023




Lahaina a été détruite par une arme à énergie dirigée

[Source : greatmountainpublishing.com]

Par Edward Hendrie

Étrangement, les bâtiments qui auraient été détruits par un incendie sont entourés d’arbres intacts par les flammes.

Il y avait des choses étranges à propos du prétendu incendie de forêt à Lahaina, à Hawaï. Notamment, le porte-parole qui a expliqué ce qui s’est passé n’était PAS un responsable des incendies ou quiconque du gouvernement local ayant une connaissance de la lutte contre les incendies ou des urgences. Au lieu de cela, nous trouvons le major général Kenneth Hara, le général commandant de la Garde nationale de l’armée d’Hawaï. Il a déclaré qu’il ne savait pas ce qui avait allumé les incendies. Mais il a estimé qu’une faible humidité et des vents violents « créaient les conditions des incendies de forêt. » C’est un général d’armée ; que sait-il des incendies de forêt ?

Il y a des raisons de remettre en question l’affirmation du général. L’incendie de forêt n’aurait de sens que si une forêt d’arbres entourait la ville de Lahaina. C’est le premier problème de l’histoire. Il n’y a pas de forêt près de la ville. En effet, la photo satellite ci-dessous montre que les arbres les plus hauts près de la ville appartiennent à la ferme de cacao Maui Kuaia Estate. Les cacaoyers sont assez petits et mesurent entre 13 et 26 pieds de hauteur [entre 4 et 8 mètres]. Mais ces arbres sont de l’autre côté d’une autoroute à plusieurs centaines de mètres du bâtiment le plus proche.

Qu’en est-il des arbres dans la ville elle-même ? Il y a beaucoup d’arbres dans la ville. Mais quand on regarde les photos de la ville après le prétendu incendie, on constate que les arbres de la ville sont pour la plupart intacts. Étrangement, les bâtiments qui auraient été détruits par un incendie sont entourés d’arbres intacts.

Il se passe autre chose ici. Cette autre chose est de l’énergie dirigée. Les bâtiments ont été détruits par des armes à énergie dirigée. Celles-ci utilisent des micro-ondes. Elles provoquent la destruction moléculaire des matériaux qui les absorbent. Le bois résiste, car il absorbe très peu le rayonnement micro-ondes. C’est similaire à la façon dont vous pouvez mettre une assiette en carton dans un four à micro-ondes sans craindre qu’elle ne prenne feu. Mais si vous mettez du papier d’aluminium dans ce même four à micro-ondes, il commencera rapidement à faire des étincelles et à s’enflammer.

L’énergie dirigée n’est pas une nouvelle technologie. Des armes à énergie dirigée ont [probablement] été utilisées lors des attaques du 11 septembre contre le World Trade Center. Le livre 9/11 — Enemies Foreign and Domestic détaille les preuves que des armes à énergie dirigée ont été utilisées le 9/11.

Les images ci-dessus et ci-dessous sont tirées d’une vidéo aérienne des incendies de forêt qui auraient détruit la ville de Lahaina, à Hawaï. Les autorités ne savent pas comment ces incendies se sont déclarés. Remarquez que les bâtiments sont rasés, mais que des arbres encore debout entourent les bâtiments détruits. Comment la ville a-t-elle pu être détruite par des incendies alors que les arbres de la ville n’ont pas été touchés par les flammes ? Dans la capture vidéo ci-dessous, on peut voir deux bâtiments complètement rasés, entourés d’arbres non brûlés. Les bâtiments voisins n’ont pas été touchés par les flammes. Il s’agit là d’une preuve flagrante de l’existence d’armes à énergie dirigée.




La cécité volontaire de la gaute nihiliste et antigay

Par Lucien SA Oulahbib

Le X (désormais) d’Olivier Faure mettant en équivalence divers prénoms de criminels à propos du viol avec manche à balai de Cherbourg sur femme française (pourtant chez elle) en dit déjà long sur son ignorance crasse quant à l’impossibilité de le faire, car chaque crime est singulier (ce qui ne veut pas dire qu’il s’agit de « faits divers ») ; mais peut-on le lui reprocher lorsque des sociologues vont dans le même sens en confondant émeutes et révoltes comme vient de le faire l’Association française de sociologie ?…

Le fait que le « mis en examen » soit dénommé Oumar (uniquement désigné ainsi par un seul journal dans le silence assourdissant des autres) ne peut être amalgamé à un autre violeur, déjà par le mode opératoire (un balai), ensuite parce qu’il semble bien être issu d’une culture qui dévalorise en soi la femme en particulier non musulmane. C’est un fait, que l’on peut certes effacer en employant les serpillères « extrême-droite » et « islamophobie ». Il n’empêche que l’on peut en effet avoir peur d’une religion qui maintient à l’écart les femmes (jusqu’à leur interdire de prier avec les hommes) les mutile en les sommant de se cacher, entièrement pour certaines obédiences. Quant au vocable « extrême-droite », s’il s’agit de dénoncer un régime raciste qui prône une fusion totale entre vie privée et vie publique, l’islam correspond parfaitement à cette définition, ne serait-ce d’ailleurs que lorsque l’on observe la composition des « gouvernements » musulmans qui ne connaissent pas la parité et encore moins la « diversité »…

La femme occidentale est considérée dans l’islam comme un butin de guerre disponible pour qui peut ou le djihad du quotidien. Que des musulmans vivant en Occident aient décidé de refuser cette injonction devrait être encouragé en promouvant tous leurs éléments capables de « réveiller » réellement leurs congénères sur ce point. Or, au lieu de cela, la gaute et la droiche nihiliste (sansfrontièristes à tous les niveaux, englobant aussi les enfants) privilégie de mettre en avant les plus radicaux qui veulent au contraire revenir à l’islam originel maquillé bien sûr en « anticapitalisme » (à mourir de rire lorsqu’on les voit courir à Dubaï…), un « altermondialisme » également qu’un Ben Laden défendait lui aussi — la date du 11 septembre 2001 correspondant exactement à celle du 11 septembre 1973 lorsque Allende de plus en plus pressé sur sa gaute par l’équivalent LFI chilien de l’époque fut renversé par Pinochet et la CIA…

Cette alliance tant recherchée par les escrologistes, les résidus nihilistes de la gauche caviar et quelques bureaucrates coco et radsoc avec la mouvance djihadiste noyautée par les « frérots » — si sectaires que même les salafistes égyptiens firent cause commune avec le maréchal Sissi pour les chasser (idem à Alger) — est, normalement, contre nature au vu des « valeurs » laïques, émancipatrices, etc., etc.. Mais ce sont les nihilistes néoléninistes tendance queer antigay et cuir ex-fan de Trotski qui ont le pouvoir au sein de la Nupes, et ils sont très cyniques, surtout pour un plat de lentilles électorales (la retraite, cumulée, d’un Mélenchon ou d’un Hollande fait rêver…). Ce qui ne peut qu’alimenter leur rejet par le pays profond, palpable de plus en plus sur les réseaux et dans toute l’Europe, où l’on ne fait plus guère de différence désormais entre modérés ou pas. Le mot « dehors » prévaut, même si, ici et là, nombre de jeunes, pris en quinconce plient sous les injonctions des queer néoléninistes ayant pris le pouvoir sur ce que l’on appelait autrefois les « gays » (et ceux qui se rebellent sont bien sûr catalogués d’extrême-droite), le tout sous les quolibets moralistes de la gaute hypocrite (car nihiliste et sansfrontièristes) incitant à la manière des anciennes dames patronnesses aux filles les jupes longues informes et pas de maquillage (réservé aux wesh-wesh cependant façon meurtrière de Lola) et pour les hommes barbes et jogging bien sûr avec le journal Fakir sous le bras pour faire genre et diversion…

L’avenir le dira, mais il semble bien que la loi concoctée en catimini sur ladite « immigration » avalisera tout cet abandon bientôt et dans toute son ampleur…




545 dirigeants responsables devant plus de 300 millions d’Américains

[Source : @quantumleaptraduction]

[Quelques centaines de corrompus et leurs marionnettistes financiers face à des centaines de millions d’impuissants ou d’endormis ? (Une proportion voisine dans les autres nations du monde.)]






Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie

[Source : expose-news.com]

[Illustration : Getty Images]

Les chiffres de Deagel concernant la dépopulation en 2025 sont un objectif et non une estimation. Parce qu’on n’a plus besoin de vous en raison de la naissance de l’intelligence artificielle et que la prochaine étape du plan de l’élite est d’utiliser la propagande de l’ébullition mondiale pour vous convaincre que vous êtes l’empreinte carbone qui doit être éliminée.
Un plan effrayant a été découvert, qui devrait vous choquer au plus haut point.

Depuis des décennies, les puissances mondiales orchestrent une stratégie de dépopulation, dissimulée sous le couvert de crises de santé publique, d’instabilité économique et de préoccupations environnementales.

Aujourd’hui, à l’aube de la révolution de l’intelligence artificielle, que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, appelle affectueusement la quatrième révolution industrielle, le monde est confronté à un avenir inquiétant.

L’intelligence artificielle étant sur le point de remplacer la main-d’œuvre faiblement rémunérée, la main-d’œuvre humaine, autrefois indispensable, est soudain dépeinte comme le méchant d’une soi-disant saga environnementale qui a été baptisée de nombreux noms :

« Réchauffement de la planète », « Changement climatique » et maintenant même « Ébullition de la planète », comme le Secrétaire général des Nations unies l’a scandaleusement annoncé au monde le 27 juillet 2023 en proclamant à tort :

« Le changement climatique est là. Il est terrifiant. Et ce n’est que le début. »

« L’ère du réchauffement climatique est terminée ; l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée. »

« L’air est irrespirable. »

António Guterres, secrétaire général des Nations unies, lors de sa conférence de presse sur le climat.
Source

En réalité, la prétendue crise du changement climatique n’est qu’un autre rouage d’un programme de dépopulation dissimulé, habilement mis au point par les pouvoirs en place.

Et la seule empreinte carbone qu’ils veulent éliminer, c’est vous.

Préparez-vous à vous aventurer au cœur de cette histoire qui fait froid dans le dos, en naviguant dans le labyrinthe des prévisions inquiétantes, des documents ultrasecrets, des politiques stratégiques et de l’histoire du changement climatique qui fait partie d’un grand dessein inquiétant.

Section 1 : Un monde piloté par l’IA et la proposition impensable

L’intelligence artificielle (IA) devient omniprésente et promet un avenir aux possibilités infinies. Mais y aurait-il un revers à la médaille ?
Imaginez un peu :
À mesure que l’IA continue d’évoluer, des millions, voire des milliards d’êtres humains ne seront plus nécessaires pour les emplois quotidiens qui, par construction, sont faiblement rémunérés.
Ils deviendront en fait des « mangeurs inutiles ».
L’establishment n’ayant pas l’intention de payer pour qu’ils vivent, un plan est en cours d’élaboration depuis des décennies, qui consiste à réduire délibérément la population humaine.
Bienvenue dans une vérité qui fait froid dans le dos et qui nous plonge dans les bas-fonds de prédictions inquiétantes et de schémas sinistres que vous ne trouverez pas sur BBC News.

Section 2 : L’oracle de la ruine — Les prévisions de Deagel en matière de dépopulation

Deagel.com est une obscure entité en ligne connue pour ses données exhaustives sur les capacités militaires et ses prévisions sourcilleuses de dépopulation pour 2025.
Nous pouvons révéler que des découvertes récentes relient directement Deagel à des acteurs importants sur la scène mondiale : La Central Intelligence Agency (CIA), le Département de la Défense des États-Unis (DoD) et la Fondation Rockefeller.
Les prévisions apocalyptiques de Deagel en matière de dépopulation pour 2025 annoncent une baisse significative de la population dans différents pays, ce qui suscite un certain malaise compte tenu des données actuelles sur la surmortalité enregistrées dans le monde entier.
Les [tristement célèbres] prévisions de Deagel.com pour 2025 ont été retirées de leur site web au cours de l’année 2020. Toutefois, grâce à la Wayback Machine/Internet Archive, nous pouvons consulter les prévisions originales avant qu’elles ne soient découvertes par des penseurs critiques.
En 2020, Deagel proposait une série de prédictions étonnantes : en 2025, ils prévoyaient que la population du Royaume-Uni diminuerait d’un pourcentage stupéfiant de 77,1 %.

Les États-Unis n’étaient pas loin derrière avec une diminution prévue de 68,5 %. L’Allemagne devrait connaître une réduction de 65,1 %, tandis que l’Australie devrait voir sa population diminuer de 34,6 %. Ces projections ont également mis en évidence des baisses significatives dans de nombreux autres pays occidentaux.

Source

Une liste complète des prédictions apocalyptiques originales de Deagel sur la dépopulation peut être consultée ici.
Nous pouvons confirmer que le Dr Edwin A. Deagle Jr, qui est décédé le 16 février 2021, est la figure de proue confirmée que les autorités voudraient vous faire croire qu’il est le seul à être à l’origine de Deagel.com.
Au cours de sa vie, le Dr Edwin a occupé les fonctions d’assistant du secrétaire à la défense et de secrétaire adjoint à la défense. Il a également été directeur des relations internationales de la Fondation Rockefeller, une influente organisation philanthropique mondiale.
Mais des documents déclassifiés, publiés à la suite de demandes présentées en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), révèlent les communications de M. Deagle avec le directeur du renseignement central des États-Unis de l’époque, Stansfield Turner, ce qui prouve l’existence d’une relation avec les hauts responsables de la CIA.
L’un de ces documents, daté de 1977, fait référence à un événement décrit comme « le plus important dans le domaine du renseignement depuis 1947 ».

Source
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Le texte intégral de la lettre adressée à Stansfield Turner, alors directeur de la CIA, par Edwin A. Deagle Jr, directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller.

Source
Lettre complète adressée au Dr Edwin A. Deagle Jr,
directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller,
par Stansfield Turner, alors directeur de la CIA.

La CIA a publié 23 articles FOIA concernant le Dr Deagle, la Fondation Rockefeller, le ministère américain de la Défense et l’ancien directeur de la CIA.

Ces informations montrent que Deagel.com n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais qu’il s’agit plutôt d’un effort concerté des principaux éléments du complexe militaro-industriel américain, à savoir la CIA, le ministère américain de la Défense et l’énigmatique Fondation Rockefeller.

Ces liens confèrent une gravité inquiétante aux sombres prédictions de Deagel en matière de dépopulation. Elles soulèvent une question qui devrait vous faire frissonner : pourquoi une organisation, étroitement liée aux structures du pouvoir mondial, prévoit-elle un avenir aussi effrayant ?

Section 3 : Le fantôme de Kissinger et la stratégie de dépopulation

Se référant à un mémorandum rédigé par le général Taylor en 1973, le général Draper et ses collègues ont présenté leur point de vue selon lequel l’explosion démographique dans les pays en développement constituait non seulement une menace pour les intérêts américains en matière d’économie et de développement de ces pays, mais aussi, plus fondamentalement, un danger pour les intérêts politico-militaires des États-Unis.

L’ombre de l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger plane sur ce discours. C’est sous sa direction qu’a été conçu le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), connu familièrement sous le nom de « rapport Kissinger ».

« La dépopulation devrait être la plus haute priorité
de la politique étrangère envers le tiers-monde. » — Henry Kissinger

Le rapport, formulé en 1974, a représenté un changement radical dans la politique étrangère américaine, en plaçant le contrôle de la population au premier plan de sa stratégie de sécurité. Son objectif déclaré était de s’attaquer à la croissance démographique dans les pays en développement, mais les machinations qui le sous-tendaient étaient sans doute bien plus sinistres.

Le rapport NSSM 200 identifiait 13 pays considérés comme particulièrement problématiques en raison de la croissance rapide de leur population. Le rapport préconisait des mesures de contrôle de la population et approuvait même l’idée d’utiliser la nourriture comme arme pour faire appliquer ces mesures, donnant ainsi un aperçu d’un état d’esprit déconcertant.

Une analyse complète du rapport Kissinger est disponible ici.

Source

La NSSM 200 et ses implications effrayantes nous amènent à poser la question suivante : se pourrait-il que la même philosophie, l’idée même du contrôle de la population à des fins stratégiques, se soit infiltrée dans le récit du monde d’aujourd’hui ? Et cette philosophie pourrait-elle être à l’origine des forces qui façonnent notre présent et notre avenir ?
Les faits le suggèrent certainement.

Section 4 : Agenda 2030 de l’ONU, écoterroristes, propagande et mensonges : Problème, Réaction, Solution

L’objectif initial présumé de l’Agenda 21 était de parvenir à un développement durable mondial d’ici l’an 2000, le « 21 » de l’Agenda 21 faisant référence à l’objectif initial du 21e siècle.
L’Agenda 2030 des Nations unies, également connu sous le nom d’Objectifs de développement durable, était un ensemble d’objectifs décidés lors du Sommet des Nations unies (« ONU ») sur le développement durable en 2015. L’Agenda 2030 a repris tous les objectifs fixés par l’Agenda 21 et les a réaffirmés comme étant la base du « développement durable ».

L’Agenda 2030 prétend protéger la biodiversité. Mais dans les méandres de ses récits et de ses intrigues secondaires se cache un sinistre scénario pour un monde avec moins d’êtres humains.

Si nous regardons au-delà de la langue de bois qu’ils utilisent pour tenter de vous convaincre qu’ils sont une force pour le bien, nous pouvons voir quels sont leurs véritables objectifs. Les docteurs Michael Coffman et Henry Lamb ont une partie des réponses.

Le Dr Michael Coffman était un auteur, un chercheur, un conférencier et un contributeur fondateur de la lutte contre l’Agenda 21 pour le développement durable. Il a été président de Environmental Perspectives, inc. et directeur exécutif de Sovereignty International.

M. Coffman a joué un rôle crucial dans l’arrêt de la ratification du traité sur la biodiversité au Sénat américain. Il est malheureusement décédé en 2017.

Henry Lamb a été le premier à découvrir l’Agenda 21 et à tirer la sonnette d’alarme. Il a écrit le livre « The Rise of Global Governance, and Agenda 21 ». Il a également produit une série de vidéos sur l’Agenda 21. Celles-ci constituent des outils inestimables pour tous ceux qui veulent savoir d’où vient cet agenda maléfique et pourquoi il faut l’arrêter. Lamb est décédé en 2012.

La conservation de la diversité biologique fait l’objet du chapitre 15 de l’Agenda 21 et a été traduite dans l’Agenda 2030 en tant qu’ODD [Objectif de Développement Durable] 15.

Protéger, restaurer et promouvoir l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des sols et enrayer la perte de biodiversité.

Mais ne vous laissez pas abuser par l’utilisation des mots « conservation », « protéger » et « restaurer », car vous verrez que l’ODD 15 n’a rien à voir avec la conservation. Il n’a pas non plus grand-chose à voir avec la diversité biologique.

Les véritables objectifs de l’ODD 15 sont enfouis dans trois documents fondateurs des Nations unies. Ces trois documents sont le traité sur la biodiversité de 1992, le projet Wildlands de 1992 et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995.

Signée par 150 chefs d’État et de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le « développement durable ». La Convention sur la diversité biologique est également connue sous le nom de Traité sur la biodiversité.

Si la Convention sur la diversité biologique, le traité sur la biodiversité, avait été signée par le Sénat américain au cours de l’été 1994, elle « aurait imposé une réduction de deux tiers de la population humaine de la Terre en 30 à 50 ans ».

Les États-Unis peuvent remercier le Dr Michael Coffman pour cela. Mais sa contribution au retard dans l’édifice du plan de l’establishment visant à dépeupler la planète a malheureusement été enterrée avec lui en 2017.

Le concept des terres sauvages est principalement l’œuvre de David Foreman, principal fondateur du groupe écoterroriste Earth First ! et ancien membre du conseil d’administration du Sierra Club.

Le groupe utilisait des tactiques d’action directe et, contrairement aux efforts de lobbying prudents des organisations environnementales établies, le « monkeywrenching » (sabotage industriel traditionnellement associé aux luttes syndicales) allait devenir la principale tactique du mouvement Earth First ! dans les années 1980.

Le Earth First! Journal, issu de la lettre d’information Earth First !, était édité par Foreman. Dans son premier numéro, Foreman définit les objectifs de l’organisation :

« Nous ne ferons pas de compromis politiques. Laissons les autres groupes s’en charger. EARTH FIRST exposera la position pure, dure et radicale de ceux qui croient en la Terre d’abord. »

Le journal a confirmé que Earth First ! était un groupe écoterroriste.

En 1990, Foreman a été l’une des cinq personnes arrêtées par le Federal Bureau of Investigation (FBI) à la suite de l’opération THERMCON, au cours de laquelle des agents du FBI ont infiltré un groupe d’Arizona Earth First ! et l’ont encouragé à saboter une ligne électrique alimentant une station de pompage d’eau.

Bien que Foreman n’ait pas joué de rôle direct dans la tentative de sabotage, il a finalement plaidé coupable d’un délit mineur pour avoir remis deux exemplaires d’Ecodefense à un informateur du FBI et a été condamné à une peine avec sursis.

David Foreman de World First!

Le concept inhabituel proposé par le Wildlands Scheme exige une réorganisation radicale de la civilisation humaine. Il s’agit notamment de fermer les mines, de supprimer les routes dans les paysages naturels, d’arrêter l’exploitation du bois et même de déplacer les populations humaines. L’objectif est de remodeler radicalement notre interaction avec l’environnement.

« À la page 15 de The Wildlands Project, Reed Noss affirme que nous devons convertir au moins 50 % de la superficie de l’Amérique du Nord en zones de nature sauvage interdites à l’homme.

« Ces zones centrales de nature sauvage doivent être reliées entre elles par des corridors de nature sauvage interdits à l’homme. Ces zones de nature sauvage doivent être entourées de zones tampons où l’utilisation des ressources peut être limitée, sous la supervision et avec l’autorisation du gouvernement fédéral, en collaboration avec des organisations non gouvernementales. »

« La population humaine doit être réinstallée sur les 25 % restants du territoire dans des communautés qualifiées de “communautés durables”. »

L’organisation environnementale Earth First!, créée en 1980, a inauguré une forme d’action directe pour mettre fin aux menaces perçues pour l’environnement, ouvrant la voie à des groupes modernes tels que Just Stop Oil et Extinction Rebellion.

Tout comme Earth First!, ces nouveaux groupes utilisent des stratégies d’action directe et de désobéissance civile pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils s’attaquent aux problèmes environnementaux.

Cependant, alors que les actions de Earth First! se concentraient principalement sur des menaces spécifiques telles que la déforestation et le développement urbain, Just Stop Oil! et Extinction Rebellion opèrent avec un mandat plus large, ciblant des problèmes systémiques tels que la dépendance aux combustibles fossiles et le changement climatique.

Elles visent à transformer radicalement la relation de la société avec l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique. Cependant, ils partagent tous la même conviction, à savoir la nécessité de prendre des mesures radicales pour préserver et restaurer les écosystèmes de la Terre.

Mais il est extrêmement intéressant de noter qui finance réellement ces groupes. La principale source de revenus de Just Stop Oil provient d’Aileen Getty, l’héritière milliardaire de la fortune de Getty Oil. La Getty Oil Company était une société américaine de commercialisation du pétrole, issue de la grande société pétrolière intégrée fondée par J. Paul Getty.

Le plus grand donateur d’Extinction Rebellion est le milliardaire britannique Sir Chris Hohn, qui gère le fonds spéculatif TCI. Mais TCI a fait une grande partie de sa fortune grâce à un producteur de charbon indien et possède encore aujourd’hui des parts dans trois chemins de fer qui brûlent des tonnes de diesel et expédient des combustibles fossiles. Cela inclut les sables bitumineux, l’une des pires sources de prétendus gaz à effet de serre.

Pourquoi des entités profondément liées à l’industrie du pétrole et du charbon financeraient-elles des groupes qui prônent exactement le contraire, à savoir un monde libéré de la dépendance aux combustibles fossiles ?

Les réponses peuvent être multiples : il s’agit peut-être d’un stratagème astucieux pour paraître plus respectueux de l’environnement, ou peut-être d’une tentative de contrôler le discours et d’influencer la vitesse et la direction de l’inévitable évolution vers des énergies plus « vertes ».

Quelles que soient les motivations, cette étrange alliance met en lumière l’enchevêtrement des intérêts et des influences au sein du mouvement écologiste, laissant entrevoir un tableau bien plus complexe en filigrane.

Mais revenons aux véritables objectifs de l’ODD 15, enfouis dans trois des documents fondateurs des Nations unies.

En 1996, Henry Lamb s’est exprimé au Forum de Grenade. Son discours contenait des révélations sur l’évaluation mondiale de la biodiversité :

« La Convention sur la diversité biologique fait 16 pages. Très fade, extrêmement vague… [Cependant, elle stipule] qu’une Conférence des Parties [‘COP’] doit créer un organe subsidiaire qui produira une évaluation mondiale de la biodiversité… Lors de la première réunion [de la COP tenue en 1994 ou COP1], le Programme des Nations unies pour l’environnement [‘PNUE’] leur a présenté une évaluation mondiale de la biodiversité. »

Le plan visant à « étendre les habitats naturels et les corridors pour couvrir jusqu’à 30 % de la surface terrestre » est ce que l’on appelle aujourd’hui le plan « 30 par 30 ». Ce plan a de nouveau été présenté lors de la COP15 — la conférence de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (“UNCBD”) — qui s’est tenue en décembre 2022, 30 ans après que l’écoterroriste et le porte-parole autoproclamé des oracles l’aient conçu pour la première fois.

30 par 30 est le plus grand accaparement de terres de l’histoire, commercialisé sous le couvert de la « protection de la biodiversité ». Survival International estime que ce plan infâme déplacera environ 300 millions de personnes indigènes dans le monde entier de leurs terres et forêts d’origine au nom de la « conservation ». Ce faisant, il rendra quelques privilégiés extrêmement riches.

Mais le plan en faveur de la biodiversité est plus sinistre que l’appât du gain : il déplace des populations, les entasse dans des centres urbains et leur interdit l’accès à la nature et au monde naturel. L’alternative, comme l’indique l’évaluation mondiale de la biodiversité, est la dépopulation.

Global Biodiversity Assessment, UNEP, 1995, p. 773

Les principaux objectifs de l’ODD 15, une initiative clé des Nations unies, sont subtilement inscrits dans trois de ses documents fondamentaux : le traité de 1992 sur la biodiversité, le projet de 1992 sur les zones sauvages et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995. En reliant ces politiques distinctes, mais interdépendantes, nous découvrons une feuille de route potentielle pour une réduction massive de la population mondiale.

Pris ensemble, ces documents brossent un tableau déconcertant. Sous le noble couvert de la conservation de la biodiversité, on pourrait interpréter ces initiatives comme un plan graduel et systématique visant à limiter les populations humaines, le tout sous les auspices de la protection de notre planète.

Une planète qui serait entrée dans une ère d’« ébullition globale » où « l’air est irrespirable », selon le secrétaire général de l’ONU António Guterres.

Secretaire Général de l’ONU : António Guterres

Les techniques classiques de propagande entrent ici en jeu, en particulier l’appel à la peur, qui est une méthode puissante pour influencer l’opinion publique et susciter des changements de comportement.

L’appel à la peur fonctionne en présentant une menace suffisamment grave pour inquiéter le public, puis en proposant une recommandation spécifique pour atténuer cette menace. Dans le cas présent, la menace présumée est l’« ébullition mondiale » et l’« air irrespirable ».

Un langage aussi vif et dramatique génère une anxiété immédiate quant à l’état de notre planète et à notre survie sur celle-ci. Et ce, même s’il s’agit de mensonges éhontés.

Une fois que le public est suffisamment préoccupé par la menace, le propagandiste peut alors présenter l’action recommandée. Dans ce cas, il peut s’agir de politiques climatiques agressives, de changements de mode de vie ou peut-être, comme le suggère l’objet de notre enquête, d’un plaidoyer en faveur d’une réduction de la population mondiale afin de diminuer l’impact de l’homme sur l’environnement.

Ces déclarations extrêmes créent un récit qui fait apparaître l’action souhaitée non seulement comme raisonnable, mais aussi comme absolument nécessaire à la survie. Le public, poussé par la peur et le désir de sécurité, est plus enclin à accepter cette « solution », même si elle implique des changements ou des sacrifices drastiques.

Malheureusement, ces mesures incluront le contrôle de la population/dépopulation, déguisé en réponse vitale à la fausse crise climatique.

Section 5 : Les documents confidentiels de Pfizer : Un regard sur ce que la FDA a essayé de cacher

Attachez vos ceintures, car notre enquête ouvre maintenant une boîte de Pandore : les documents classifiés de Pfizer sur son vaccin à ARNm Covid-19.

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de la sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web.

L’un des documents contenus dans le dumping de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf », et il révèle ce qui suit :

90 % des femmes enceintes vaccinées par Covid ont perdu leur bébé

Pfizer indique dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Source — Page 12

Compte tenu du fait que les organismes de réglementation médicale, les médecins et les sages-femmes ont contraint les femmes enceintes à recevoir le vaccin Covid-19 en affirmant qu’il était sûr à « 100 % », il est extrêmement préoccupant de constater que Pfizer déclare que sur les 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre eux.
Mais voici les résultats connus des grossesses restantes :

97 % de tous les résultats connus de la vaccination Covid-19 pendant la grossesse se sont soldés par la perte de l’enfant.

Mais si l’on inclut les 5 cas pour lesquels le résultat était encore en suspens, on obtient 82 %. Cela équivaut donc à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et de 97 %.

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse, une étude animale ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.

L’étude peut être consultée dans son intégralité ici et est intitulée « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats ayant reçu le BNT162b2, un vaccin Covid-19 à base d’ARNm ».
L’étude a été réalisée sur 42 rats Wistar Han femelles. Vingt et un ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 n’ont pas reçu l’injection.
Voici les résultats de l’étude :

Source

Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). En revanche, le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, en moyenne, le taux d’occurrence était 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu courante de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection du Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

Source

La perte préimplantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude confirme donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Elle augmente donc le risque d’infertilité.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.

Une autre étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier sur injonction judiciaire, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une dose intramusculaire unique de l’injection de Covid-19 de Pfizer, puis la teneur et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminées à des moments prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus inquiétantes de l’étude est que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Dans les 15 premières minutes suivant l’injection du vaccin Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Cette concentration est ensuite passée à 1,34 ml après 1 heure, à 2,34 ml après 4 heures et à 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que l’on peut consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre de personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

Cancer ovarien — Source

Le graphique ci-dessus montre les chiffres jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland [Santé publique d’Écosse] montrent maintenant les chiffres jusqu’en mai 2022, et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec le nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire qui a augmenté de manière significative.

Une analyse complète des documents de Pfizer peut être lue ici, mais un résumé des conclusions est présenté ci-dessous :

Dans les documents de Pfizer obtenus grâce aux demandes de la loi sur la liberté d’information (FOIA), on trouve des détails notables concernant l’impact du vaccin pendant la grossesse et son accumulation dans les ovaires.

1. Risques liés à la grossesse : Les documents révèlent un taux inquiétant de fausses couches et de morts fœtales chez les femmes enceintes ayant reçu le vaccin Covid-19. Il est confirmé qu’un pourcentage significatif de femmes vaccinées pendant la grossesse ont perdu leur bébé.

2. Accumulation d’ovaires : Les documents confidentiels de Pfizer révèlent également que le vaccin s’accumule dans les ovaires, ce qui suscite des inquiétudes quant aux effets potentiels sur la fertilité des femmes.

Si l’on examine les données réelles, certaines observations semblent correspondre aux conclusions de ces documents :

– Augmentation des cas de cancer de l’ovaire : Les données post-vaccination en provenance d’Écosse montrent une augmentation des cas de cancer de l’ovaire à des niveaux jamais atteints. La question de savoir si cette augmentation est directement imputable à la vaccination est encore à l’étude.

– Taux de mortalité des nouveau-nés : L’Écosse a également connu un niveau critique de décès de nouveau-nés à deux reprises sur une période de sept mois.

Source

– Risque de fausse couche : Une étude de données réelles suggère que la vaccination Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.

Ce résumé ne présente qu’un infime pourcentage des préoccupations soulevées dans les documents confidentiels de Pfizer et des données réelles qui étayent les conclusions.

Les révélations malvenues concernant les effets néfastes sur la grossesse et les dommages potentiels aux ovaires font dresser les cheveux sur la tête. Associées à l’augmentation des taux de cancer de l’ovaire et de mortalité néonatale, elles suggèrent que cette campagne de vaccination est plus complexe qu’il n’y paraît.

En effet, ces résultats contiennent à eux seuls suffisamment d’éléments pour conclure que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Section 6 : La grande remise à zéro — un Nouvel Ordre Mondial ?

C’est là qu’intervient Klaus Schwab, l’énigmatique fondateur et président exécutif du Forum économique mondial. Schwab est un visionnaire qui a élaboré un plan baptisé « Grande Réinitialisation » ou « Quatrième révolution industrielle ». Sa vision laisse entrevoir un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation occuperont le devant de la scène, dépassant et surpassant les capacités humaines dans de nombreux secteurs.

La vision de Schwab est celle d’un monde où les machines, grâce à leur efficacité infatigable, remplacent des millions d’emplois. Dans ce monde, les machines ne se fatiguent pas, ne tombent pas malades et ne demandent pas d’augmentation de salaire.

En substance, Schwab envisage un avenir où le besoin de main-d’œuvre humaine faiblement rémunérée est considérablement réduit, ce qui nous amène à reconsidérer nos rôles dans une société dominée par l’IA.

À ce stade, vous vous demandez peut-être quel est le lien avec les inquiétantes prédictions de Deagel en matière de dépopulation.

La mise à l’écart des humains par l’IA entraîne-t-elle une réduction du « stock » humain, et est-ce là ce que les chiffres inquiétants de Deagel laissent entrevoir ?

Les points semblent se rejoindre, créant une ligne de spéculation surprenante.

Les progrès de l’IA et de l’automatisation, un programme fortement encouragé par des personnalités influentes telles que Klaus Schwab, pourraient-ils être le prélude à une stratégie de dépopulation ? Sommes-nous en train de nous diriger vers un monde qui n’a plus besoin d’humains en grand nombre ?

Section 7 : Le récit du changement climatique — un jeu de miroir et de fumée ?

En épluchant les couches de ce récit troublant, un thème provocateur émerge du discours dominant : le dioxyde de carbone, le gaz que chacun d’entre nous émet à chaque respiration, a été présenté comme le principal adversaire de la santé de la Terre.

Ce récit pourrait-il insinuer subtilement une vérité plus dérangeante ? L’« empreinte carbone » souvent mentionnée est-elle en fait une référence voilée à notre existence en tant que « problème » ?

Ce chemin que nous avons soigneusement démêlé indique un scénario troublant d’une réalité amère à laquelle l’establishment a décidé que nous étions destinés à faire face.

En guise de conclusion, une question déconcertante se pose : dans l’ère imminente dominée par l’intelligence artificielle, la race humaine pourrait-elle être la victime ultime ? L’avènement de l’IA, considéré comme l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, est-il inextricablement lié à une stratégie globale visant à réduire la population humaine ?

La logique est d’une simplicité effrayante : l’IA et l’automatisation prenant en charge les tâches laborieuses, la demande de main-d’œuvre humaine diminue drastiquement. La « Grande Réinitialisation » pourrait-elle donc être en réalité une « grande réduction » du nombre d’êtres humains ?

Nous sommes à l’aube d’un avenir qui défie les paradigmes traditionnels. Pourrions-nous, sans le savoir, ouvrir la voie à notre propre perte, poussés par la vision du progrès ?

Avec Deagel.com, une plateforme influencée par des entités telles que la CIA, le ministère de la Défense et la Fondation Rockefeller, qui fournit des prévisions alarmantes de dépopulation pour 2025, il semble que nous nous rapprochions à grands pas de cet avenir.

En effet, les données actuelles sur la surmortalité en Occident suggèrent fortement que les prévisions de Deagel en matière de dépopulation ne sont pas seulement une estimation, mais qu’il s’agit en fait d’un objectif qui est en passe d’être atteint, en partie grâce aux effets mortels de la vaccination Covid-19.

Source

Au terme de cette exploration de l’impensable, considérons ceci : le dioxyde de carbone — un gaz que nous exhalons [et que les plantes utilisent pour la photosynthèse] — est présenté comme l’ennemi juré de la planète.

Est-il possible que nous soyons amenés à accepter une dure vérité : pour réduire notre empreinte carbone, nous devons réduire notre empreinte humaine ?

L’histoire que nous avons décrite brosse un tableau inquiétant. Mais s’agit-il d’une théorie du complot farfelue ou d’une vérité dérangeante ? Seul l’avenir nous le dira. En guise de conclusion, nous vous laissons réfléchir à une idée qui fait froid dans le dos : dans un monde où l’IA règne en maître, l’humanité sera-t-elle le prix à payer ? Préparez-vous à un avenir tout sauf ordinaire.




France — Après la dissolution de Civitas, une députée Renaissance suggère de dissoudre LFI pour lutter contre l’antisémitisme : la polémique

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : Jean-Luc Mélenchon. (Photo : LIONEL BONAVENTURE/AFP via Getty Images)]

Par Etienne Fauchaire

Dans la foulée de la procédure de dissolution engagée par le ministre de l’Intérieur contre le parti catholique traditionaliste Civitas pour antisémitisme, la députée de Paris Caroline Yadan a suggéré de dissoudre également La France Insoumise, scandalisant ainsi la gauche.

« L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre pays. » : lundi 7 août, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé saisir le Procureur de la République d’une part et, d’autre part, engager la dissolution de Civitas, en raison du discours tenu par l’essayiste Pierre Hillard lors de l’université d’été du parti catholique traditionaliste, en juillet.

Retour sur la polémique

Une mesure qui fait suite à un extrait vidéo de son intervention partagée par le compte Twitter/X « Jugé coupable », dans laquelle le docteur en sciences politiques dit : « En septembre 1791, vous avez eu un évènement : la naturalisation des juifs. Avant 1789, un juif, un musulman, un bouddhiste, etc. ne pouvaient pas devenir français. Pourquoi ? Parce que c’étaient des hérétiques. Et la naturalisation des juifs en 1791 ouvre la porte à l’immigration. Parce qu’à partir du moment où vous donnez la nationalité française aux juifs, tôt ou tard, on ne pouvait pas la refuser aux bouddhistes, aux musulmans, etc. Lorsqu’Éric Zemmour parle avec justesse d’invasion migratoire, il oublie de dire que ce sont ses coreligionnaires qui ont ouvert les portes de l’immigration. Et évidemment si on rétablit les lois de catholicité et qu’on fait du catholicisme traditionnel la religion d’État, peut-être faudrait-il retrouver la situation d’avant 1789. »

Des propos qui ont rapidement embrasé la toile. « Ces gens agissent depuis des années sans souci, contre l’IVG, contre les droits des femmes, des personnes LGBT… Plus récemment, Civitas était à la manœuvre à Saint-Brevin et à Callac contre des centres d’accueil de réfugiés. Pas étonnant. À vomir », a fustigé par exemple la députée LFI Nadège Abomangoli, à l’instar du chef de file LFI Jean-Luc Mélenchon : « En France en 2023, quelqu’un demande de revenir sur la nationalité et citoyenneté française des juifs décidées par la grande Révolution de 1789 ! L’antisémitisme doit être puni sans faiblesse. Que fait Darmanin ? ».

« Allô Gérald Darmanin, c’est quand la dissolution de Civitas qui appelle à déchoir les juifs et musulmans de la nationalité française ? », s’est également écrié sur Twitter/X Cemil Şanlı, journaliste au Média, comme son confrère Didier Maïsto : « Depuis que les chaînes d’info invitent n’importe qui pour déverser sa haine, beaucoup se désinhibent totalement. Parce qu’il est là, le fond du problème ». De son côté, Edwy Plenel, président de Mediapart, a chargé Gérald Darmanin en taclant : « Ce serait encore mieux s’il était lui-même au clair sur le sujet », relayant une vidéo sur France 5 en mars 2021 dans laquelle il accuse le ministre de l’Intérieur d’avoir relayé dans son livre Le Séparatisme islamiste les « pires clichés antisémites » véhiculés par Napoléon Bonaparte dans le cadre de sa politique d’intégration des juifs à la nation française.

D’autres personnalités à droite ont également sévèrement critiqué l’intervention de Pierre Hillard : « Le cadavre puant de l’extrême droite antisémite bouge encore. Avocats Sans Frontières va se le faire », a, par exemple, tonné Gilles-William Goldnadel. Dans un article paru sur le Courrier des Stratèges, l’historien Édouard Husson note, pour sa part, « l’accumulation d’erreurs historiques en moins d’une minute ». Ce dernier fait valoir que l’intégration des juifs avait été lancée par Louis XVI, que des protestants ont servi les rois, même après la révocation de l’Édit de Nantes, que l’expression « lois de catholicité » est inconnue de l’Ancien Régime, ou encore que les rois de France depuis François Ier se sont opposés au catholicisme d’État par refus de reconnaître l’autorité pleine du Pape dans un certain nombre de domaines de la vie de l’Église de France.

Sur Twitter/X, répondant au tweet de Jean-Luc Mélenchon, Pierre Hillard a, lui, ouvertement soupçonné Christian Bouchet, auteur nationaliste et ami du théoricien russe Alexandre Douguine, d’être à la manœuvre derrière cette polémique : « S’appelant lui-même “Frater Marcion” Bouchet est un haut initié de Memphis-Misraïm, qui a prétendu être le chef de l’OTO. Memphis appartenant au Grand Orient de France, comme Mélenchon. Curieux, aucun tweet pour vous réjouir du bon timing, « Frère » Christian Bouchet ? » Les deux hommes s’étaient pris à partie plus tôt sur le réseau social à propos des critiques de Pierre Hillard à l’encontre d’Alexandre Douguine, décrit comme un proche de Poutine et du Kremlin, que l’essayiste a accusé en juillet d’avoir des affinités avec « l’occultisme ».

Pour Pierre Hillard, les grands évènements de l’histoire, comme la Révolution française ou la Révolution bolchévique, sont influencés par les juifs, mais aussi les non-juifs imprégnés de la pensée maçonnique, « héritée de la synagogue talmudique qui est l’essence même de la Révolution », expliquait-il en 2017 sur Facebook, rapporte Libération. Ce jusqu’à la guerre entre la Russie et l’Ukraine qui, avance-t-il, « est une guerre de clans juifs », anglo-saxon et russe. L’essayiste estime en effet que Vladimir Poutine est contrôlé par le mouvement juif des Loubavitch et que le président russe désire, comme les Atlantistes, une « numérisation du monde complète, d’où la volonté de mettre en place des monnaies numériques. La figure de proue est la Chine et le deuxième pays à la pointe est la Russie de Poutine ». « C’est une guerre entre factions » qui s’affrontent entre elles pour obtenir la tête de la gouvernance mondiale, estime-t-il.

Quant à Civitas, l’organisation catholique traditionaliste a indiqué sur le réseau social soupçonner derrière l’annonce de sa dissolution un lien avec une vidéo de son président, Alain Escada, dans laquelle ce dernier parle de « pédocriminalité et rites sataniques parmi les élites ».

Dissoudre La France Insoumise pour lutter contre l’antisémitisme

Après l’annonce de Gérald Darmanin relative à la dissolution du mouvement catholique Civitas, Jean-Luc Mélenchon s’est félicité que le ministre « donne une réponse claire à l’interpellation des insoumis et de la Licra ». Et d’ajouter : « L’antisémitisme va être puni. Civitas sera dissout et le procureur de la République est saisi des propos de Pierre Hillard. »

Sauf que : interpellant le leader de La France Insoumise, l’élue de Paris (Renaissance) Caroline Yadan en a profité pour suggérer… de dissoudre également le parti d’extrême gauche. « Magnifique récupération de Jean-Luc Mélenchon. […] Et la dissolution de LFI pour lutter contre l’antisémitisme, c’est une idée aussi, non ? » a-t-elle lancé, ironique, sur Twitter/X.

De quoi susciter, mardi 8 août, l’émoi de plusieurs élus LFI et du patron du Parti socialiste, Olivier Faure. L’eurodéputée LFI Manon Aubry a ainsi étrillé cette « conception de la démocratie », en se demandant « où sont tous les défenseurs de la République ». « Ils se drapent dans les habits de grands démocrates, mais marchent ensemble vers l’arc réactionnaire, celui du parti unique », a renchéri le député mélenchoniste Thomas Portes, qui avait apporté son soutien au dirigeant de la CGT interpellé après des insultes antisémites contre Éric Zemmour en juin. Aymeric Caron, député LFI de Paris et voisin de circonscription de Caroline Yadan, a encore jugé que sa collègue macroniste « instrumentalise sans cesse la lutte contre l’antisémitisme pour salir (ses) adversaires politiques », la qualifiant de « honte pour la vie politique de ce pays ». Pour sa part, Olivier Faure a interpellé la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et le président du groupe Renaissance dans l’hémicycle, Sylvain Maillard, en les mettant en garde contre leur « silence » qui cautionnerait selon lui les propos de Caroline Yadan.

La France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon font régulièrement l’objet d’accusations d’antisémitisme. Mi-juillet, le président du conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) Yonathan Arfi avait même accusé le triple candidat malheureux à la présidentielle de se « compromettre loin du pacte républicain », en estimant que « les porte-voix de La France Insoumise (faisaient) davantage partie du problème que de la solution ». En réaction, Jean-Luc Mélenchon avait répliqué à son tour en accusant le Crif d’être « d’extrême droite ».




Comprendre les neuf voiles qui recouvrent l’humanité

[Source : fr.sott.net]

Par A. True Ott, PhD
shiftfrequency.com

« Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile »

Don Harkins

Il y a une dizaine d’années, mon grand ami et collègue Don Harkins a écrit un article intitulé « L’esclavage et les huit voiles », qui donne profondément matière à réflexion.

Avant sa mort prématurée, nous avons littéralement passé des heures à discuter de cette « théorie des huit voiles », et Don a fini par me demander d’écrire un article à ce sujet pour son journal, The Idaho Observer. S’il l’a fait, c’est parce que j’avais partagé une grande partie de mes recherches avec lui, et que nous en étions arrivés à la conclusion qu’en réalité, NEUF voiles recouvraient l’âme humaine (c’est-à-dire l’intelligence), et que toute progression spirituelle, et donc une pleine connaissance de LA VÉRITÉ, nécessitait de lever ces Neuf Voiles.

Pour plaisanter, je lui avais répondu que même en y consacrant un numéro entier de The Idaho Observer, on ne ferait qu’effleurer le sujet. C’était l’un des talents éditoriaux de Don — prendre un thème complexe et le condenser en un format plus lisible. En mémoire de Don Harkins, voici l’article auquel nous avions songé, sous la forme la plus concise possible.

Pourquoi neuf voiles et non huit

Tout chercheur de vérité consciencieux finit par tomber sur l’incroyable structure symétrique des mathématiques, ce qui est particulièrement vrai dans la géométrie fractale impliquant les nombres entiers de 1 à 9. En guise d’exemple relativement simple, regardez ces neuf équations :

(1×8) + 1= 9

(12 x 8) + 2 = 98

(123 x 8) + 3 = 987

(1234 x 8) + 4 = 9876

(12345 x 8) + 5 = 98765

(123456 x 8) + 6 = 987654

(1234567 x 8) + 7 = 9876543

(12345678 x 8) + 8 = 98765432

(123456789 x 8) + 9 = 987654321

Incroyable, n’est-ce pas ? Par ailleurs, il est particulièrement intéressant que tous les grands philosophes de l’histoire tels Archimède, Copernic, Socrate et Léonard de Vinci étaient avant tout des mathématiciens.

Je suggère que tout — des prophéties bibliques aux brins d’ADN — est construit et basé sur des formules et des modèles mathématiques assez simples. Mais je brûle les étapes par rapport à la suite de l’article, car comprendre le rôle des mathématiques constitue en soi l’un de ces neuf voiles cachés.

Considérez également ce qu’on appelle les « écoles des mystères » de l’Antiquité. Dans les temples obscurs de Sumer et de Babylone, la Kabbale montrait le chemin vers l’ultime « Saint des Saints » — les révélations (c’est-à-dire la séparation des voiles) de la vie, de la création, de Dieu et, si l’on se montrait suffisamment digne et sincère, les origines mêmes de l’Homme. Pour cela, il fallait systématiquement appréhender et adopter 9 niveaux de compréhension ou « plateaux de vérité » avant de pouvoir atteindre le « Nirvana » (ou l’unité ultime avec Dieu), tel que le décrivent les « tapis de loge » modernes.

À l’instar d’un Sudoku géant, l’expérience humaine que nous appelons la vie évolue véritablement autour des nombres 1 à 9 de mille manières tout à fait remarquables. Tout a sa place dans le système et s’intègre parfaitement et précisément dans la grille éternelle du temps et de l’espace.

Ce n’est donc qu’une définition de la vérité parmi d’autres — une connaissance secrète ésotérique qui s’intègre parfaitement dans la grille mathématique que l’on appelle logique. Comme le disait Yeshua (alias Jésus de Nazareth) à ses disciples : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira ».

Pourquoi les gens ne parviennent-ils pas à voir la vérité ?

Ce sont les sages paroles de Don Harkins, écrites en 2001, qui répondront le mieux à cette question :

« Au cours des dernières années, j’ai élaboré et rejeté plusieurs théories pour tenter d’expliquer pourquoi la plupart des gens ne parviennent pas à voir la vérité, même lorsqu’elle les frappe au visage. Nous qui voyons « la conspiration »ne cessons de discuter de la frustration que nous ressentons face à l’incapacité de la plupart des gens à comprendre les arguments extrêmement étayés qui nous permettent de décrire le processus de notre asservissement et de notre exploitation collectifs. L’explication la plus courante à laquelle on aboutit est que la plupart des gens « ne veulent tout simplement pas voir » ce qui se passe réellement.

Des hommes et des femmes extrêmement pervers qui forment une puissante élite mondiale ont intelligemment cultivé un pâturage virtuel dont l’herbe est si verte qu’il devient rarissime que des gens prennent la peine de lever les yeux suffisamment longtemps pour remarquer les étiquettes aux couleurs vives agrafées à leurs oreilles.

Ces mêmes personnes qui ne parviennent pas à voir qu’elles sont esclaves de ces verts pâturages ont tendance à considérer que ceux d’entre nous qui voient au-delà de la ferme jusque dans le petit salon du château du seigneur féodal sont des « complotistes » déments.

Enfin, je comprends pourquoi.

Ce n’est pas que ceux qui ne voient pas qu’une puissante élite leur enlève leur liberté « ne veulent pas le voir » — ils ne parviennent tout simplement pas à le voir à cause des voiles qui obstruent leur champ de vision.

Toutes les activités humaines constituent un processus de filtration. Le sport en est l’un des meilleurs exemples. Nous pratiquons des sports spécifiques jusqu’à ce que nous soyons expulsés du terrain. Les athlètes professionnels grassement payés pour être regardés ne se font jamais expulser. Des millions d’enfants concourent pour la petite ligue chaque printemps et sont peu à peu éliminés jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que 50 qui participeront à la Série mondiale en octobre.

Derrière le premier voile, il y a plus de sept milliards de personnes sur la planète. La plupart d’entre elles vivent et meurent sans avoir sérieusement envisagé autre chose que ce qui est nécessaire à leur quotidien.

Quatre-vingt-dix pour cent de toute l’humanité vivra et mourra sans avoir levé le premier voile.

On peut effectivement dire que moins de 1 % des 7 milliards d’êtres humains de la planète lèveront les neuf voiles, et il semblerait que même cette petite minorité ne cesse de diminuer. Afin que le « pâturage virtuel » reste vert, l’élite mondiale réussit également à corrompre de nombreuses personnes qui ont levé de multiples voiles dans le but d’égarer ceux qui pourraient se rapprocher de la vérité dans de nombreux domaines. J’appelle tout bonnement cela de la prostitution intellectuelle — vendre le droit imprescriptible à la Vérité Universelle pour un pot-de-vin dérisoire. Les paillettes dorées de la richesse, de la renommée et de l’élévation sociale ont séduit plus d’un intellectuel de talent.

En hommage à Don Harkins, voici maintenant la nouvelle version des « neufs voiles ».

Le premier voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront le premier voile et découvriront le monde de la politique. Nous voterons, deviendrons actifs et nous forgerons une opinion. Nos opinions seront façonnées par le monde physique qui nous entoure ; nos années passées sur les bancs de l’école nous auront « conditionnés » à accepter que les représentants du gouvernement, les personnalités des chaînes de télévision et autres « experts » soient les principales voix de l’autorité. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le deuxième voile.

Le deuxième voile : Dix pour cent d’entre nous lèveront également le deuxième voile pour explorer le monde de l’histoire, de la relation entre l’homme et le gouvernement et ce que signifie l’autonomie politique garantie par le droit constitutionnel et la loi. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le troisième voile.

Le troisième voile : Dix pour cent de ceux qui lèvent le deuxième voile finiront par lever le troisième pour découvrir de manière probante que les ressources du monde, y compris les personnes, sont contrôlées par des familles extrêmement riches et puissantes dont les sociétés d’antan sont devenues, grâce aux stratégies d’extorsion modernes, la cause de l’endettement actuel de toute l’économie mondiale. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le quatrième voile.

Le quatrième voile : Dix pour cent lèveront alors le quatrième voile pour découvrir les Illuminati, la franc-maçonnerie et autres sociétés secrètes. Ces sociétés recourent à des symboles et accomplissent des cérémonies qui perpétuent les transferts générationnels de connaissances ésotériques utilisées pour maintenir les gens ordinaires dans une servitude politique, économique et spirituelle vis-à-vis des plus anciennes lignées de la terre. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le cinquième voile.

Le cinquième voile : Dix pour cent progresseront et lèveront le cinquième voile pour apprendre que les sociétés secrètes sont si avancées technologiquement que le voyage dans le temps et les communications interstellaires n’ont pas de frontières, et que leurs membres contrôlent les pensées, voire les actes des gens, avec autant de désinvolture que nous disons à nos enfants d’aller au lit. Comme au temps de Noé, cette technologie crée même des formes de vie synthétiques, alors que l’homme cherche à supplanter Dieu. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans avoir levé le sixième voile.

Le sixième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le sixième voile où nous apprenons que les dragons, les lézards et les extraterrestres que nous prenions pour des monstres fictifs de la littérature enfantine sont bien réels, et qu’ils sont en réalité les véritables forces de contrôle à l’œuvre derrière les sociétés secrètes dévoilées en soulevant le quatrième voile. Quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le septième voile.

Le septième voile : Dix pour cent progresseront pour lever le septième voile où le monde incroyable de la géométrie fractale et la loi universelle des nombres seront pleinement compris et embrassés. La force créatrice de l’univers entier se révèle liée à des formules et des séquences de codes numériques, et tous les « mystères », y compris la structure même du temps, de l’espace, des univers parallèles, ainsi que les moyens d’y accéder sont percés à jour.

Ceux qui possèdent un intellect leur permettant de lever le septième voile succombent souvent à l’attrait d’une immense richesse promise par l’élite dirigeante, et ainsi plus de quatre-vingt-dix pour cent des personnes de ce groupe vivront et mourront sans lever le huitième voile.

Commentaire : Dans la version originale de Don Harkins, il est écrit :

« Le septième voile : Je ne sais pas ce qu’il y a derrière le septième voile. Je pense que c’est là que votre âme a évolué au point que vous pouvez exister sur terre et être l’homme qu’était Gandhi, ou la femme de Peace Pilgrim — des gens si éclairés qu’ils illuminent le monde qui les entoure quoi qu’il arrive. »

Le huitième voile : Lever le huitième voile révèle Dieu et l’énergie pure connue sous le nom d’AMOUR, c’est-à-dire la force de vie pure dans tous les êtres vivants — qui ne font qu’un. Une profonde humilité est nécessaire pour espérer lever ce voile.

Le neuvième voile : Lever le neuvième voile signifie perfectionner l’énergie pure qu’est l’amour et devenir ainsi véritablement un avec Dieu et ses formulations. En perfectionnant cette énergie pure, on embrasse alors pleinement la charité et on comprend ainsi pleinement le plan universel de sacrifice [symbolisé par la Crucifiction], de mort et de rédemption ; la vie elle-même devient alors complète, la boucle est bouclée, et l’on regarde le monde à travers les yeux d’un enfant innocent, mais avec la sagesse la plus profonde née du pur AMOUR du huitième voile.

[Note de Joseph : les piliers de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. L’application de cet enseignement permet alors de lever ces neuf voiles.]

Considérez ceci : si cette théorie est juste, seules 70 000 personnes environ sur la planète ont réussi à percer le sixième voile. L’ironie ici est trop incroyable : ceux qui sont coincés derrière les voiles un à cinq n’ont d’autre choix que de considérer que les personnes qui ont levé davantage de voiles sont dangereusement folles. À chaque voile levé, un nombre exponentiellement décroissant de personnes de plus en plus éclairées sont considérées comme folles par des masses exponentiellement croissantes de personnes de moins en moins éclairées.

Pire encore, plus une personne qui a levé le sixième voile ou plus essaie d’expliquer ce qu’il est capable de voir à ceux qui ne le peuvent pas, plus elle leur semble folle. Cette vérité va de soi. De plus, des institutions telles que le vénérable « Southern Poverty Law Center » sont fondées et financées par l’élite dirigeante pour accuser efficacement nombre de ces individus éveillés d’« inciter à la haine » et d’être des « terroristes ».

Notre ennemi, l’État

Derrière les deux premiers voiles, nous retrouvons la grande majorité des habitants de la planète. Ce sont des instruments de l’État : les personnes qui restent sous le deuxième voile sont des électeurs crédules dont l’ignorance justifie les actions des politiciens qui envoient les millions de gens qui n’ont pas levé le premier voile mourir dans des pays étrangers et servir de chair à canon — leurs rôles combinés dans la vie consistent simplement à croire que les machinations intéressées de l’élite au pouvoir relèvent de la sécurité nationale et valent la peine de mourir.

Pour l’État, les personnes qui ont levé les troisième, quatrième, cinquième et sixième voiles représentent de plus en plus un frein en raison de leur capacité décroissante à être utilisés comme outils pour concentrer le pouvoir et la richesse du plus grand nombre entre les mains de quelques élites au pouvoir. Il est également courant que ces personnes sacrifient davantage leurs relations avec leurs amis et leur famille, leur carrière professionnelle et leur liberté personnelle à chaque voile qu’elles lèvent.

Albert Jay Nock (1870-1945), auteur de Our Enemy, The State (1935), a expliqué ce qui arrive à ceux qui soulèvent les deux derniers voiles :

« Qu’est-ce que l’État a réussi à faire de mieux avec un vrai Socrate et un vrai Jésus quand il les avait ? Tout simplement empoisonner l’un et crucifier l’autre, pour l’unique raison qu’ils étaient bien trop embarrassants pour qu’il leur soit permis de vivre plus longtemps. »

Conclusion

Comme l’écrivait Don Harkins :

« Et donc, maintenant, nous savons que ce n’est pas parce que nos compatriotes sont tellement attachés à leur vie qu’“ils ne veulent pas voir” les mécanismes de leur asservissement et de leur exploitation. Ils “ne parviennent tout simplement pas à le voir” aussi sûrement que je ne peux pas voir ce qu’il y a de l’autre côté d’un rideau fermé. »

Le but de cet essai est triple :

1— Aider la poignée de personnes qui ont levé les derniers voiles à comprendre pourquoi les masses n’ont d’autre choix que d’interpréter leur lucidité comme de la folie ;

2— Aider les personnes derrière les deux premiers voiles à comprendre que vivre, respirer et penser, ce n’est que le début et ;

3— Montrer aux gens que la plus grande aventure de notre vie se trouve derrière le voile suivant, car c’est juste un voile de moins entre nous et Dieu alias « La plus haute vibration ».

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mars 2015 : IN5D —Your Esoteric Metaphysical Spiritual Database

Traduction : sott.net




Dostoïevski et la légende du grand inquisiteur

[Illustration : Jésus est tenté trois fois par Satan dans le désert au début de son ministère. Il refuse alors de changer la pierre en pain, de se jeter dans le vide et de s’agenouiller devant le tentateur.
Leemage via AFP.]

Par Nicolas Bonnal

Dostoïevski : La légende du grand inquisiteur dans Les Frères Karamazov. Le Maître écrit notamment :

« Mais il ne veut s’incliner que devant une force incontestée, que tous les humains respectent par un consentement universel. Ces pauvres créatures se tourmentent à chercher un culte qui réunisse non seulement quelques fidèles, mais dans lequel tous ensemble communient, unis par la même foi. Ce besoin de la communauté dans l’adoration est le principal tourment de chaque individu et de l’humanité tout entière, depuis le commencement des siècles. C’est pour réaliser ce rêve qu’on s’est exterminé par le glaive. »

Sommet de l’Histoire de la littérature, sommet pour comprendre les tristes secrets de l’esprit humain.


Avec ces temps modernes, les hommes n’aiment pas la liberté. Ils préfèrent le pain, la télé et la sécurité, et mourir à l’eau tiède. Dostoïevski…

« Sans nous, ils seront toujours affamés. Aucune science ne leur donnera du pain, tant qu’ils demeureront libres, mais ils finiront par la déposer à nos pieds, cette liberté, en disant : “Réduisez-nous plutôt en servitude, mais nourrissez-nous.” Ils comprendront enfin que la liberté est inconciliable avec le pain de la terre à discrétion, parce que jamais ils ne sauront le répartir entre eux ! Ils se convaincront aussi de leur impuissance à se faire libres, étant faibles, dépravés, nuls et révoltés. »

Le tortionnaire sévillan (visitez leurs sémillants musées de la torture) rappelle :

« Tu leur promettais le pain du ciel ; encore un coup, est-il comparable à celui de la terre aux yeux de la faible race humaine, éternellement ingrate et dépravée ? Des milliers et des dizaines de milliers d’âmes te suivront à cause de ce pain, mais que deviendront les millions et les milliards qui n’auront pas le courage de préférer le pain du ciel à celui de la terre ? Ne chérirais-tu que les grands et les forts, à qui les autres, la multitude innombrable, qui est faible mais qui t’aime, ne servirait que de matière exploitable ? Ils nous sont chers aussi, les êtres faibles. Quoique dépravés et révoltés, ils deviendront finalement dociles. »

Le besoin de la communauté et du troupeau. Dostoïevski annonce ici le dernier homme de Zarathoustra et le croyant en papier mâché.

« Mais il ne veut s’incliner que devant une force incontestée, que tous les humains respectent par un consentement universel. Ces pauvres créatures se tourmentent à chercher un culte qui réunisse non seulement quelques fidèles, mais dans lequel tous ensemble communient, unis par la même foi. Ce besoin de la communauté dans l’adoration est le principal tourment de chaque individu et de l’humanité tout entière, depuis le commencement des siècles. C’est pour réaliser ce rêve qu’on s’est exterminé par le glaive. »

Surtout, pas de liberté :

« Vois ce que tu fis ensuite, toujours au nom de la liberté ! Il n’y a pas, je te le répète, de souci plus cuisant pour l’homme que de trouver au plus tôt un être à qui déléguer ce don de la liberté que le malheureux apporte en naissant. Mais pour disposer de la liberté des hommes, il faut leur donner la paix de la conscience. »

Le Christ a perdu car il a refusé l’antique dosage de la religion traditionnelle, basée sur le miracle, le mystère, l’autorité :

« Tu as ainsi préparé la ruine de ton royaume ; n’accuse donc personne de cette ruine. Cependant, était-ce là ce qu’on te proposait ? Il y a trois forces, les seules qui puissent subjuguer à jamais la conscience de ces faibles révoltés, ce sont : le miracle, le mystère, l’autorité ! Tu les as repoussées toutes trois, donnant ainsi un exemple. »

https://www.amazon.fr/Dostoievski-Modernitatea-Occidentala-Nicolas-Bonnal/dp/6069078454

C’est que Jésus rêvait à tort de liberté, de rebelles :

« Tu ne l’as pas fait, car de nouveau tu n’as pas voulu asservir l’homme par un miracle ; tu désirais une foi qui fût libre et non point inspirée par le merveilleux.
Il te fallait un libre amour, et non les serviles transports d’un esclave terrifié. Là encore, tu te faisais une trop haute idée des hommes, car ce sont des esclaves, bien qu’ils aient été créés rebelles. »

Et le bilan est là…

« Vois et juge, après quinze siècles révolus ; qui as-tu élevé jusqu’à toi ? Je le jure, l’homme est plus faible et plus vil que tu ne pensais. »

La suite nous concerne.

On aura donc à la place le césarisme universel et la mondialisation de l’esclavage démocratique :

« … nous avons accepté Rome et le glaive de César, et nous nous sommes déclarés les seuls rois de la terre, bien que jusqu’à présent nous n’ayons pas encore eu le temps de parachever notre œuvre. Mais à qui la faute ? Oh ! L’affaire n’est qu’au début, elle est loin d’être terminée, et la terre aura encore beaucoup à souffrir, mais nous atteindrons notre but, nous serons César, alors nous songerons au bonheur universel. »

Car le rêve du grand inquisiteur, c’est bien le nouvel ordre mondial :

« L’humanité a toujours tendu dans son ensemble à s’organiser sur une base universelle. Il y a eu de grands peuples à l’histoire glorieuse, mais à mesure qu’ils se sont élevés, ils ont souffert davantage, éprouvant plus fortement que les autres le besoin de l’union universelle. Les grands conquérants, les Tamerlan et les Gengis-Khan, qui ont parcouru la terre comme un ouragan, incarnaient, eux aussi, sans en avoir conscience, cette aspiration des peuples vers l’unité. En acceptant la pourpre de César, tu aurais fondé l’empire universel et donné la paix au monde. »

Comme Tocqueville, on prévoit un troupeau bien doux et obéissant :

« Qui a le plus contribué à cette incompréhension, dis-moi ? Qui a divisé le troupeau et l’a dispersé sur des routes inconnues ? Mais le troupeau se reformera, il rentrera dans l’obéissance et ce sera pour toujours. Alors nous leur donnerons un bonheur doux et humble, un bonheur adapté à de faibles créatures comme eux.

Nous les persuaderons, enfin, de ne pas s’enorgueillir, car c’est toi, en les élevant, qui le leur a enseigné ; nous leur prouverons qu’ils sont débiles, qu’ils sont de pitoyables enfants, mais que le bonheur puéril est le plus délectable. »

Une élite torturée dominera ces légions d’esclaves :

« Ils nous soumettront les secrets les plus pénibles de leur conscience, nous résoudrons tous les cas et ils accepteront notre décision avec allégresse, car elle leur épargnera le grave souci de choisir eux-mêmes librement. Et tous seront heureux, des millions de créatures, sauf une centaine de mille, leurs directeurs, sauf nous, les dépositaires du secret. Les heureux se compteront par milliards et il y aura cent mille martyrs chargés de la connaissance maudite du bien et du mal. »

Le bilan pour leur âme :

« Ils mourront paisiblement, ils s’éteindront doucement en ton nom, et dans l’au-delà ils ne trouveront que la mort. Mais nous garderons le secret ; nous les bercerons, pour leur bonheur, d’une récompense éternelle dans le ciel. »

Et le troupeau aidera la hiérarchie cléricale à renverser Dieu définitivement !

« Je suis revenu me joindre à ceux qui ont corrigé ton œuvre. J’ai quitté les fiers, je suis revenu aux humbles, pour faire leur bonheur. Ce que je te dis s’accomplira et notre empire s’édifiera. Je te le répète, demain, sur un signe de moi, tu verras ce troupeau docile apporter des charbons ardents au bûcher où tu monteras, pour être venu entraver notre œuvre. Car si quelqu’un a mérité plus que tous le bûcher, c’est toi. Demain, je te brûlerai. Dixi. »

On cite souvent Schiller à propos de ce prodigieux discours — mais on oublie Alexis de Tocqueville qui a mieux que quiconque décrit ce pouvoir mondialisé et anesthésiant (sauf pour les victimes de ses bombes et de ses sanctions) :

« Au-dessus de ceux-là s’élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d’assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l’âge viril ; mais il ne cherche, au contraire, qu’à les fixer irrévocablement dans l’enfance ; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir… »

Grand lecteur de Dostoïevski (« le seul qui m’ait appris quelque chose en psychologie… »), Nietzsche écrit dans son Zarathoustra :

« Un peu de poison de-ci de-là, pour se procurer des rêves agréables. Et beaucoup de poisons enfin, pour mourir agréablement. On travaille encore, car le travail est une distraction. Mais l’on veille à ce que la distraction ne débilite point. On ne devient plus ni pauvre ni riche : ce sont deux choses trop pénibles. Qui voudrait encore gouverner ? Qui voudrait obéir encore ? Ce sont deux choses trop pénibles. »

Car même les maîtres sont fatigués…

Nicolas Bonnal sur Amazon.fr




Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi le Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : vovan, This Lama/Shutterstock]

Par Marina Zhang

Alors que des cas mystérieux de syndrome des micro-ondes continuent de faire surface, des doutes croissants émergent quant aux dommages causés par la 4G, la 5G et d’autres champs électromagnétiques (CEM). Cependant, de nombreuses personnes ignorent que les CEM sont un élément essentiel dont notre corps a besoin, au même titre que l’eau et l’air.

Que sont exactement les rayonnements électromagnétiques ?

Le rayonnement électromagnétique, également appelé champ électromagnétique ou CEM, est l’une des quatre forces fondamentales de la nature, avec la gravité, la force nucléaire forte et la force nucléaire faible. Il s’agit d’une « force » invisible qui est présente partout et qui est créée par des charges électriques et des ondes magnétiques.

Les CEM englobent toutes les formes de lumière et de vie (PDF). Les êtres humains émettent également des rayonnements électromagnétiques, tels que la chaleur, qui peut être détectée à l’aide de caméras infrarouges.

Il existe différents types de CEM.

Les CEM dont les fréquences sont inférieures au spectre de la lumière visible sont des rayonnements non ionisants. Ces CEM comprennent l’électricité dans les lignes électriques, les rayonnements de radiofréquence (y compris les micro-ondes) et les rayonnements infrarouges.

Les rayonnements non ionisants sont généralement considérés comme sans danger pour l’homme, car ils ne peuvent pas enlever les électrons des atomes et des molécules qui composent les cellules. L’élimination des électrons provoque l’oxydation, ce qui expose les cellules à un risque de cancer.

En revanche, les rayonnements ionisants, c’est-à-dire les CEM dont les fréquences sont plus élevées, ont plus d’énergie et peuvent arracher des électrons. Il s’agit notamment des rayons ultraviolets, des rayons X et des rayons gamma. Une exposition prolongée à ces rayonnements peut provoquer un cancer.

Le spectre électromagnétique (Epoch Times)

Nocif d’une autre manière

Parmi les CEM « sans danger », des recherches suggèrent que les CEM de radiofréquence, souvent créés par l’homme, peuvent avoir des effets néfastes sur la santé, sans pour autant éliminer des électrons.

Les CEM de radiofréquence, le plus souvent émis par les téléphones, le Wi-Fi, les appareils électroniques intelligents, les appareils Bluetooth et les téléviseurs, affectent les vibrations des particules chargées à l’intérieur du corps, les amenant à changer de trajectoire.

Le professeur émérite Martin Pall, de l’université de l’État de Washington, estime que ces champs peuvent modifier l’environnement électrique qui entoure les canaux calciques dépendants du voltage présents dans les surfaces cellulaires. Les canaux peuvent alors s’ouvrir, provoquant un afflux soudain d’ions calcium.

Ce phénomène peut entraîner un stress oxydatif à l’intérieur des cellules et provoquer des lésions de l’ADN, des dommages cellulaires, une inflammation, la mort des cellules et d’autres pathologies associées.

M. Pall a avancé cette théorie après avoir constaté que les médicaments qui bloquent ces canaux calciques dépendant du potentiel pouvaient également bloquer l’activité des CEM. Des études cellulaires ultérieures ont montré que les CEM peuvent à la fois inhiber et activer les canaux calciques à potentiel, ce qui affecterait un éventail encore plus large d’activités cellulaires potentielles.

En revanche, les CEM naturels, comme le feu et la lumière, produisent des effets thermiques et endommagent le corps par la chaleur.

« Nous parlons de deux choses complètement différentes », a déclaré M. Pall.

CEM artificiels et naturels

1. Les CEM artificiels sont polarisés et ont un impact plus important

La polarisation est un facteur déterminant qui différencie les CEM naturels des CEM artificiels.

Les CEM des fréquences radioélectriques sont polarisés. Ils peuvent avoir un effet biologique plus important car leurs ondes électromagnétiques se déplacent toutes selon une orientation uniforme.

« Ils se comportent comme un seul objet », a expliqué M. Pall.

À l’inverse, les CEM naturels émettent une énergie incohérente qui se neutralise. Par exemple, le feu émet de la chaleur et de la lumière dans toutes les directions, distribuant des CEM uniformément dans son environnement.

(Fouad A. Saad/Shutterstock)
2. Les CEM naturels peuvent avoir des effets curatifs, ils sont essentiels pour le corps

Certains CEM naturels peuvent même favoriser la guérison du corps humain.

Les décharges de foudre produisent des CEM oscillants dans l’atmosphère terrestre, connus sous le nom de résonances de Schumann. La fréquence des ondes cérébrales humaines est fortement corrélée aux résonances de Schumann. Les thérapies qui utilisent ces résonances se sont avérées efficaces pour favoriser le sommeil. Certains scientifiques soupçonnent que le mal de l’espace (PDF) dont souffrent les astronautes dans l’espace extra-atmosphérique pourrait résulter de cette absence de résonances de Schumann.

La lumière du soleil génère également des CEM salutaires comme la lumière infrarouge, qui améliore la fonction mitochondriale et favorise le rythme circadien.

« Nous [les êtres humains] sommes en fait des êtres électromagnétiques », a déclaré Magda Havas, professeure à l’université de Trent, au journal Epoch Times. « Tout comme il existe des nutriments indispensables, il y a des fréquences essentielles dont nous avons également besoin ». Les oreilles humaines ne peuvent pas entendre ces impulsions, mais le corps y réagit.

Les appareils thérapeutiques qui émettent des CEM pulsés, en imitant les impulsions naturelles, ont été utilisés pour la cicatrisation des os et l’amélioration de la circulation sanguine. La stimulation transcrânienne du cerveau (TMS) est une thérapie qui émet des impulsions magnétiques transitoires dans le cerveau. Elle est utilisée pour traiter les maladies mentales.

3. Les CEM de télécommunication pulsent, et causent des dommages

Alors que les CEM naturels émettent des ondes lisses et continues, la plupart des CEM de radiofréquence sont irréguliers, pulsés et potentiellement nuisibles (certains CEM de radiofréquence, tels que les radios analogiques, émettent des ondes continues qui semblent moins dangereuses).

« Comme le bruit par rapport à la musique », a indiqué Mme Havas.

Des études sur les problèmes de santé potentiels liés aux radars, qui émettent des radiofréquences pulsées, ont commencé à faire surface au milieu des années 1900. Un rapport sur le personnel militaire qui travaillait avec des radars a révélé que ces personnes avaient tendance à avoir des niveaux plus faibles de cellules immunitaires circulantes, avec des signes de dommages aux cellules et à l’ADN.

En cas d’exposition accidentelle ou de surexposition au radar, les militaires se plaignaient de maux de tête, de nausées, de fatigue, de malaises et de palpitations, sans qu’il fût possible de déterminer avec certitude qu’il s’agissait d’un phénomène lié à l’anxiété.

L’exposition aux technologies 2G, 3G, 4G et Wi-Fi a également été associée au stress oxydatif, à l’inflammation, aux dommages cellulaires et à la mort cellulaire lors d’études sur des cellules animales et humaines (PDF).

Ces télécommunications sont « comme un marteau-piqueur », a souligné Mme Havas.

Ils utilisent des impulsions pour transmettre des données aux téléphones mobiles, aux dispositifs Wi-Fi et Bluetooth. Ces appareils doivent constamment vérifier les connexions avec les antennes, les tours de téléphonie cellulaire et les routeurs Wi-Fi environnants. Les CEM pulsés sont donc émis 24 heures sur 24, 365 jours par an.

L’intensité des impulsions peut varier en fonction de l’activité des télécommunications. Lorsque les signaux du réseau sont faibles, ou lorsque nous téléphonons dans un ascenseur, la puissance des impulsions augmente.

Des impulsions plus fortes ne sont pas nécessairement plus nocives. « Des études ont montré qu’une gamme spécifique d’intensités produit des effets biologiques maximaux », a indiqué M. Pall.

Toutefois, plus le nombre d’impulsions émises est élevé, plus la probabilité d’effets biologiques potentiels est grande. Les réseaux utilisant des fréquences plus élevées, comme la 5G et la 4G, produisent plus d’impulsions que la 3G et la 2G.

Les normes industrielles en vigueur ne sont pas « pertinentes » sur le plan biologique

Selon les normes industrielles, notre corps ne doit pas être exposé à plus de 1,6 watts par kilogramme, en moyenne sur 1 gramme de tissu, pendant une période de 30 minutes. Cette norme de sécurité fixée par la Commission fédérale des communications (FCC) des États-Unis est restée inchangée depuis 1996.

Cependant, la plupart des utilisateurs de smartphones dépassent déjà cette norme de sécurité quotidienne en gardant leur téléphone dans leur poche, en le portant dans leur soutien-gorge ou en le tenant près de leur oreille pendant les appels.

De plus, selon M. Pall, la norme actuelle établie par la FCC, qui prend en compte l’intensité moyenne sur quelques minutes, n’est pas pertinente pour la biologie.

Même si certaines intensités de CEM ne durent que quelques nanosecondes, elles peuvent avoir des effets significatifs sur le plan biologique, a souligné M. Pall. Compte tenu de cette caractéristique, il est plus utile de déterminer les pics d’intensité que les valeurs moyennes.

Cela revient à dire qu’une balle n’est pas mortelle si l’on fait la moyenne de sa force sur une demi-heure.

« Vous vous adressez à l’agence de réglementation et vous dites : “J’ai peur de me faire tirer dessus par un fusil de forte puissance” », explique M. Pall à titre d’exemple, « et leur réponse est : “Oh, vous n’avez pas besoin de vous en inquiéter. Car si vous faites la moyenne des forces exercées sur votre corps sur une période de six minutes ou de 30 minutes, l’intensité moyenne est réduite d’un facteur égal à 100 millions ou autre, et il est donc impossible qu’il en résulte quoi que ce soit” ».

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées]




France — Un village normand de 64 habitants dépense une fortune pour sauver son église

[Source : ouest-france.fr]

Par Fabienne GÉRAULT

En vingt-cinq ans, la commune de Comblot (Orne) a dépensé l’équivalent de dix fois son budget annuel pour sauvegarder son église et sa chapelle. Une action qui vaut à ce village du Perche ornais, de concourir au prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français. Candidature que le public est invité à soutenir par un vote avant le 25 août.

Comblot, 64 habitants, son église, sa chapelle. Deux petits édifices qui mobilisent toutes les énergies de ce village du Perche ornais depuis vingt-cinq ans. Plus de 420 000 € ont été investis pour les sauvegarder. L’équivalent de dix fois le budget annuel actuel de la commune. Et, grâce à la restauration de la voûte, une dotation de 5 000 € pourrait encore être décrochée.

La voûte de la nef et du chœur restaurée

Six édifices religieux briguent le prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français, basé sur le vote du public. L’église Saint-Hilaire est la seule à avoir été retenue en Normandie. Aussi, Xavier Goutte et Béatrice de Villaine, maire et adjointe au maire, aimeraient mobiliser autour de leur candidature. En effet, ce n’est pas la soixantaine de villageois qui fera pencher la balance…

Cette femme enthousiaste est, avec son époux Roland aujourd’hui décédé, à l’origine de la création, en 1996, de Comblot sauvegarde. « Notre association de défense du patrimoine a été la première de ce type dans l’Orne », souligne-t-elle. Elle est également devenue déléguée pour l’Orne de La sauvegarde de l’art français.

Béatrice de Villaine, présidente de l’association Comblot sauvegarde
et Xavier Goutte, maire de Comblot,
devant l’une des portes de l’église Saint-Hilaire.
(Ouest-France)

Plusieurs décennies de mobilisation

Depuis la fin des années 1990 donc, l’église dont la construction a commencé à la fin du XIIe siècle, est l’objet de toutes les attentions. « Il a fallu d’abord consolider le clos et le couvert car les murs s’écartaient et la toiture fuyait », rappelle Xavier Goutte. Des travaux de gros œuvre qui se chiffraient, à l’époque, en centaines de milliers de francs. 

Ensuite, à l’intérieur, le chevet et le retable ont été restaurés, pour un montant d’environ 66 000 € hors taxes chacun. Puis, les deux autels latéraux, presque 16 000 €. Les tableaux, près de 20 000 €. « D’autres travaux ont permis de remettre en état les baies, les vitraux, le lutrin, la chaire, le confessionnal… » énumère Béatrice de Villaine. On avoisine encore les 20 000 €.

« Il fallait réunir l’argent »

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2023-08-08/ce-village-normand-de-64-habitants-depense-une-fortune-pour-sauver-son-eglise-a-tout-prix-f65f95cc-be7b-4578-bb67-2d44ad4a5048




Réchauffement climatique : la sécheresse dans les mers !

[Source : santeglobale.world]

Extraits de la lettre du libre consentement éclairé

Ce n’est pas seulement le cas en matière de santé, comme avec la fausse science vaccinale, qui est tout aussi fausse que l’était la « science » du tabac avec ces médecins qui nous expliquaient à la télévision qu’il n’y avait pas de lien entre le cancer du poumon et le tabac, ou encore avec la fausse science de l’amiante et ces médecins qui nous expliquaient qu’il n’y avait pas de lien entre le cancer du poumon et l’amiante.

« La sécheresse dans les mers et les océans »

C’est également le cas en matière de climatologie et de météorologie, et après la fausse pandémie au « C19 », nous avons maintenant droit au faux réchauffement climatique d’origine humaine qui fait « bouillir » la planète et à cause duquel il y a « la sécheresse dans les mers et les océans », selon Mathilde Panot (elle a vraiment dit cela), la députée de la France soumise à Bill Gates et à l’OMS du raciste anti-blond aux yeux bleus, Jean-Luc Mélenchon.

« Il fait plus froid parce que la Terre se réchauffe », et il pleut à cause de la sécheresse…

Décidément, en matière de climatologie, on a droit à des affirmations qui auraient valu à leurs auteurs l’internement psychiatrique au siècle dernier (auteurs qui sont maintenant recrutés par les universités ou qui deviennent chefs d’État et de gouvernement).

Rappelons-nous Al Gore, l’ex-vice-président de Bill Clinton qui en 2006 déclara que le pôle nord serait libre de glaces d’ici 5 ou 7 ans, soit entre 2011 et 2013, et qui déclara en 2018, et alors que les États-Unis luttaient contre une vague de froid glacial sans précédent : « Il fait plus froid qu’avant parce que la Terre se réchauffe » (il a vraiment dit cela).

Je rappelle qu’Al Gore n’a jamais exercé la profession de clown dans un cirque, mais qu’il est l’un des principaux responsables du Parti démocrate aux États-Unis, ancien candidat à la présidence des États-Unis et ancien vice-président des États-Unis.

Il pleut, mais c’est la sécheresse, on se les gèle, mais c’est à cause du réchauffement climatique…

Aujourd’hui, comme leur propagande et leurs mensonges ont porté leurs fruits lors de la fausse pandémie au « C19 », ils continuent.

Et alors qu’ils nous annoncent depuis des mois que la Terre « bouillonne » et que la canicule et la sécheresse seraient terriblement meurtrières en France, il ne cesse de pleuvoir (mais c’est à cause de la sécheresse) et il fait franchement frisquet (mais c’est à cause du réchauffement climatique).

En fait, si tout cela n’était pas utilisé dans le cadre de leur plan général de dépopulation de la planète et pour justifier l’arrêt de l’économie non nécessaire aux plaisirs des psychopathes qui fréquentent Davos, on pourrait en rire.

On pourrait en rire en se disant que nous avons affaire à des clowns qui sont incapables de prévoir la météo sur 3 semaines, mais qui veulent nous faire croire qu’ils savent ce que sera le climat sur Terre dans 30 ans.

Mais il ne faut surtout pas en rire. Ces gens sont dangereux, extrêmement dangereux, et ce n’est pas rire d’eux qu’il faut, mais c’est les combattre. Les combattre jusqu’au dernier (je précise aux procureurs que je parle de combat intellectuel) !

Même le pape s’en mêle : « vive l’écologie intégrale » et donc la dépopulation forcée !

C’est à Lisbonne que le drôle de pape des catholiques, dont on se demande de plus en plus s’il n’est pas un infiltré des mondialonazis envoyé au Vatican par Bill et George pour détruire l’Église catholique, aurait affirmé devant des centaines de milliers de jeunes catholiques (on parle du million de jeunes présents) : « il ne faut pas oublier l’urgence dramatique du défi climatique » tout en défendant le concept d’« écologie intégrale ».

Cette écologie au nom de laquelle Bill Gates déclara en 2010 qu’il fallait viser le zéro rejet de CO2 d’origine humaine dans l’atmosphère, et que grâce aux nouveaux vaccins et aux nouveaux médicaments, on allait pouvoir réduire la population de 10 à 15 %, mais que ce n’était pas suffisant !

N’en doutez pas une seconde, leur fumeux concept d’« écologie intégrale », ne cache que leur programme de la disparition des nations et des peuples occidentaux, préalable, pour eux, à l’application stricte de leur programme de réduction drastique de la dépopulation de la Terre.

Et qu’Antony Blinken, le secrétaire d’État du fantoche actuel président des États-Unis, déclare que « la guerre nucléaire ne représenterait pas une plus grande menace pour l’humanité que le changement climatique ».