François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »

[Source : genethique.org]

« La volonté de tout transformer atteint aujourd’hui sa dernière frontière : l’homme lui-même. » C’est le constat de François-Xavier Bellamy, philosophe et député européen, dans un entretien à l’Osservatore Romano.

« Si rien ne nous convient dans le réel, l’homme lui-même doit être transformé », décrypte-t-il. Car « le rêve du transhumanisme n’est rien d’autre que le projet de ce changement appliqué à l’auteur du changement lui-même : il s’agit de vaincre les frontières qui limitent son mouvement, d’éliminer les rigidités, les pesanteurs de la vie humaine. » (cf. Le sens des limites)

Deux grandes limites : le sexe et la mort

« Les deux grandes limites que nous tentons de dépasser sont celles que les humains ont expérimentées, et qui les ont éprouvés, depuis la nuit des temps : le sexe, et la mort », explique le philosophe. « La première frontière est le sexe, parce que l’altérité sexuelle fait que je ne peux pas être le “tout” de l’humanité, que je ne peux pas donner la vie seul. Et la seconde est la mort – il ne s’agit plus de la repousser par la médecine, mais d’abolir définitivement la mort organique, la mort du corps. »

« Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain », juge François-Xavier Bellamy. Car « vouloir tout changer, c’est haïr ce que nous sommes, ce que nous avons reçu ». « Cet espoir d’un progrès n’est en réalité que le symptôme du mépris que nous exprimons envers l’être humain, analyse-t-il, si un humain 2.0 est nécessaire, c’est parce que l’humain 1.0 n’est pas assez bon. »

L’échec annoncé du transhumanisme

« La guerre de l’homme contre l’humain qu’est le transhumanisme est vouée à l’échec, prévient le député, car elle ne s’arrêtera jamais. Si nous n’avons plus précisément un but à atteindre, nous ne pourrons qu’être structurellement insatisfaits du point où nous sommes arrivés – après l’humain 2.0, nous aurons l’humain 3.0, tout comme nous avons eu la première version de l’iPhone, avec lequel on était admiré de tous il y a quinze ans, et qui nous rendrait aujourd’hui ridicules ».

« La technologie remplace constamment ses propres produits et crée ainsi une insatisfaction structurelle, rappelle-t-il, il en sera de même pour l’humain. Nous n’en aurons jamais assez, nous ne serons jamais comblés, et nous ne serons plus capables d’habiter l’expérience qui nous a été donnée ».

Gérer l’inéluctable ou défendre une réforme parce qu’elle est juste ?

« Ce qui me frappe au Parlement européen, explique François-Xavier Bellamy, c’est qu’il n’y a pas de débat sur les finalités. » Il n’y est question que de « gérer ce qui est toujours décrit comme “inéluctable ».

Pourtant, « on ne devrait pas défendre une réforme parce qu’elle s’impose », rappelle le député, « mais on devrait défendre une réforme parce qu’elle est juste, parce qu’elle est bonne, parce qu’elle sert une idée de l’homme, de son bonheur, de son bien ». « La question que nous devrions nous poser n’est pas de savoir si nous devons avancer ou non, mais vers où aller, quel est notre but, interpelle-t-il. La politique commence là. » (cf. Présidentielles 2022 : premières prises de position en matière de bioéthique).

Source : Osservatore romano, Alessandro Vergni (20/01/2022) – Photo : iStock




Ukraine : sous les bombes, le scandale de la GPA

[Source : genethique.org]

Alors que le conflit en Ukraine fait largement la une de tous les média internationaux, des Français qui ont pu fuir témoignent. Parmi eux, certains s’étaient rendus dans le pays pour « récupérer » un enfant né d’une mère porteuse ukrainienne.(([1] France Info,
Guerre en Ukraine : les derniers Français quittent Kiev 
(05/03/2022) )) Des personnes présentées comme ayant « bravé la guerre », et auxquelles il faudrait maintenant porter secours. En réalité, des commanditaires ayant eu recours à une pratique interdite en droit français, qui tentent parfois de se dédouaner en proposant à la mère porteuse de les accompagner en France. Une proposition qui peut se muer en pression quand l’enfant n’est pas encore né.

« Rapatrier les mères porteuses » ?

Avant que le conflit n’éclate, une mère porteuse avait contacté un avocat pour vérifier que les commanditaires ne pourraient pas la contraindre à quitter son pays, sa famille.(([2] The Times, Louise Callaghan,
Surrogate mothers fear pressure to flee Ukraine 
(20/02/2022) )) Le contrat qu’elle a signé allait-il jusque-là ? Car malgré le conflit, elles sont peu nombreuses à vouloir quitter leur pays, indiquent les avocats de commanditaires irlandais.(([3] The Times, Julieanne Corr,
Surrogate mothers choosing to stay in Ukraine 
(07/03/2022) ))

Et cette « solution » est parfois vite abandonnée par les commanditaires eux-mêmes : « Si elle accouche en France, nous n’avons aucun droit sur l’enfant. Ma mère porteuse est à terme et c’est dangereux », explique Youna.(([4] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022), le prénom a été changé))

Samedi 5 mars, La Manif pour Tous a dénoncé  lors d’un happening que des femmes ukrainiennes soient « coincées à Kiev et à Kharkiv par des ‘GPA commandées’ ». « Ces femmes sont séparées de leur famille, maintenues de force dans les hôpitaux en attendant d’accoucher, sans la possibilité de fuir », dénonce la présidente du mouvement, Ludovine de la Rochère.(([5] Valeurs actuelles,
“Exploitée, opprimée, invisibilisée” : à Paris, des militantes de la Manif pour tous dénoncent la GPA en Ukraine 
(05/03/2022) ))

Le business continue

Mais les guerres sont une occasion de s’enrichir. Et la société BioTexCom, le leader de la GPA en Ukraine qui n’en est plus à une provocation près (cf. Black Friday : des promos aussi sur la GPA !), ne se gêne pas. « Make babies not war », a-t-elle twitté le 23 février. Une « communication insupportable » dénoncée dans un tweet par la journaliste Céline Revel-Dumas, auteur de GPA Le Grand Bluff.

Inna Yefimovych, du département marketing de BioTexCom, explique que « beaucoup de clients dont le contrat est en cours affirment vouloir poursuivre les programmes de fécondation in vitro coûte que coûte ».(([6] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022) )) « Mi-février, la clinique prévoyait que vingt femmes soient inséminées par semaine. Dans les trois mois à venir, environ 200 bébés devraient voir le jour », uniquement par le biais de cette entreprise.

De son côté la clinique Feskov « assure ses clients de la continuité de ses “programmes” dont l’un prévoit de “garantir légalement à 100 % la naissance d’un enfant en bonne santé” grâce au tri d’embryons ». Vu le contexte, « le choix du sexe est offert par la maison », dénonce Céline Revel-Dumas.(([7] Le Figaro, Céline Revel-Dumas,
Marché de la GPA en Ukraine: «L’égoïste inquiétude des clients occidentaux face à la détresse des mères porteuses» 
(01/03/2022) ))

Birol Aydin, embryologiste et directeur du laboratoire IVMED, témoigne avoir transporté 17 réservoirs contenant 12 000 embryons et ovocytes hors d’Ukraine.(([8] TMZ,
IVF Clinics Under ThreatKYIV DOC TRYING TO SAVE EMBRYOS 
(05/03/2022) )) La « matière première » est précieuse.

Des clients inquiets

Car les clients sont préoccupés. « La clinique Surrogacy CMC n’a pas encore communiqué sur la conservation du matériel génétique, le déroulement des transferts, le fonctionnement des ambassades et de l’administration pour les actes de naissance », se révolte Théo sur un groupe Facebook dédié à la GPA.(([9] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022), le prénom a été changé)) Quand Hugo lui se désole : « Ce matin, nous avons appris par notre mère porteuse qu’elle avait fait une fausse couche… Certainement pour donner suite au stress… Nous sommes anéantis… Nous espérons que pour ceux qui sont en plein programme, cela se passe mieux pour vous ». De la santé de la mère porteuse, il ne sera pas question.

Avec ce conflit, « contre toute attente, la gestation pour autrui a révélé son véritable visage », souligne Céline Revel-Dumas : « celui d’un opportunisme commercial insensé satisfait par un égoïsme aveugle ».(([10] Le Figaro, Céline Revel-Dumas,
Marché de la GPA en Ukraine: «L’égoïste inquiétude des clients occidentaux face à la détresse des mères porteuses» 
(01/03/2022) ))

« La mécanique sous-jacente de la GPA, d’un cynisme implacable, apparaît désormais en pleine lumière, pointe la journaliste : elle révèle un marché sans foi ni loi, des femmes esclavagisées puis jetées, des couples nantis obsédés par leurs propres intérêts et des médias qui se saisissent d’une actualité tragique pour vendre leur programme politique, renonçant à toute déontologie. »
« Il n’y a plus qu’à espérer, aussi, une paix des ventres. »





Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr via Antidotes]

Le conseil de l’ordre n’était-il pas assez obéissant pour sanctionner les médecins indépendants ? toujours est-il que le 19 JUILLET 2021 un décret créait un conseil de certification des médecins et qu’aujourd’hui la première victime est un professeur respecté et connu internationalement le pour Perronne ! Les médecins français vont-ils enfin relever la tête et protester à large échelle contre cette mesure inique, injustifiée, dangereuse pour les patients, car qui osera soigner si cette mesure monstrueuse n’est pas rapidement levée. Nous avions protesté en 2016 en écrivant « soigner ou obéir » pour témoigner de la perte de la liberté de soigner. Aujourd’hui, il est non seulement interdit de respecter son serment d’Hippocrate en soignant les malades en fonction des meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science (arrêt Mercier, 1936) mais interdit de parler… Toutes nos libertés disparaissent en même temps que le pétrole augmente. Il serait temps de réagir.

Nicole Delépine

INTERVIEW EXCEPTIONNELLE A FAIRE LARGEMENT CIRCULER

Le brillant et courageux Professeur Christian Perronne a compris les véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire. Ce que nous diffusons depuis près de deux ans sur ce blog commence à circuler un peu plus largement mais rien n’est encore gagné. Le combat pour l’information est quotidien. Si seulement 10% de nos concitoyens venaient à découvrir les dessous et enjeux de cette crise et à manifester un peu de courage, nous serions sauvés.

Arnaud de Brienne

Entretien avec le Professeur Christian Perronne par Nelly Fouks

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2e, la 3e, la 4e et la 5e vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.





Anne-Laure Bonnel : Pourquoi je suis partie en 2015 dans le Donbass…

[Source : Annelaure.bonnel]

Pourquoi je suis partie en 2015 dans le Donbass, et ce j’avais écrit à l’époque à mes confrères…

Je lus une note du gouvernement avec stupéfaction. Il s’agissait d’un texte d’une dizaine de lignes censé encourager les combattants ukrainiens à détruire tout sur leur passage. Il promettait aux soldats qui « élimineraient » les insurgés d’obtenir leur terre. Puis le discours de Porochenko, puis ce journaliste appelant à tuer 1,5 million de personnes à l’Est.

Aiguillonnée par la lecture d’un pareil avertissement et résolue à gagner le Donbass, je prépare mon départ. Nous arrivons par la Russie. Kiev interdit notre passage. Les frontières avec l’Ukraine sont coupées. Les territoires autonomes sont mis en quarantaine.

Nous traversons la frontière. Partout des voitures calcinées, des arbres détruits, des villages coupés du monde. Il fait froid. Il neige. Il n’y a ni gaz ni électricité. Ni eau potable. Partout des routes bombardées. Inutilisables. On crève une fois, on crève deux fois, on crève trois fois. Immédiatement j’étais frappée par la population civile. Anéantie. Errante sur les routes. Chaque maison que je parvenais à percevoir était détruite. La guerre, ce non-sens meurtrier, devient absurdité absolue qui repousse les limites de notre entendement lorsqu’elle affecte de la sorte des civils.

Nous avons plongé au cœur de cette trop ignorée partie du monde qui croule sous les bombes. Cette partie du monde dont les habitants tombent, parfois défigurés, tout en tombant dans l’indifférence la plus totale. Ces bombes, nous les avons entendues de près. Nous avons perçu leurs sifflements assourdissants. Nous avons contourné leurs séquelles.

L’Ukraine est aujourd’hui en pleine guerre civile. Et comme son nom l’indique, les premières victimes de ce genre de guerre sont les civils. Nous les avons rencontrés. Ils nous ont parlé. Visites. Hôpitaux, zones sinistrées, commandants de l’armée, gouvernement. Chacun se raconte. Hurle, explique, pleure. La faim, partout. Le froid. Plus de médicaments.

Tous les soirs le bruit des bombardements. Mon lit tremble. Voiture. Visite d’abris. Indescriptible. On longe les rues désertes. Des chiens errants. Et puis ce bruit, ça vient de tomber sous nos yeux. Des corps déchiquetés.

La guerre. Qu’en dire ? Qu’en penser ? Après la mort, qu’elle ne cesse de côtoyer, n’est-ce pas le premier mot dont on ne peut prétendre pouvoir parler sans l’avoir vécue ? Ou, du moins, observée ? La guerre, c’est d’abord des hommes. Armés. Des tenues de camouflage, des grenades, des mitraillettes… La guerre, c’est aussi des engins. Bruyants. La guerre, c’est des bombes, et des bombardements. Les peurs et les courses intempestives pour aller se mettre dans des abris. De fortune, ou pas. Ce sont des cris d’enfants, aussi, des « Tah-boum, tah-boum ! ». Tristes onomatopées que je ne souhaite à aucun autre de partager…

La guerre, c’est de la peur, des larmes et du sang. Mais c’est aussi de la poussière, des bruits et de la destruction. Beaucoup de poussière, de bruits et de destruction. C’est des cadavres à-même le sol, ou ensevelis. Des corps démembrés, amputés, des femmes et des bébés qui hurlent, leur douleur ou leurs craintes… celles d’avoir perdu un être cher. Peut-être. Car la guerre, c’est aussi l’incertitude. L’isolement. L’incapacité à communiquer, à savoir. C’est la perte de repères ultime, la relativisation poussée à l’extrême, parce que le dernier fil tendu entre la vie et la mort. Entre l’être et le néant. Oui, la guerre, c’est sans doute le plus inhumain des fléaux humains.

Peut-on faire pire que la guerre civile ? C’est une errance sans but ni fin. Au Donbass, on meurt. Triste ironie, on meurt sans vraiment savoir pourquoi. Au Donbass, on meurt, oui. Dans une indifférence crasse. Et aujourd’hui tout s’effondre. 2022.




Aller en Ukraine est «illégal et inutile pour l’armée et la population», rappelle le chef des armées britanniques

[Source : leparisien.fr]

[Photo : Londres, dimanche.
L’amiral Tony Radakin, chef des armées britanniques, a appelé à ne pas provoquer la Russie en allant combattre en Ukraine.
REUTERS/Henry Nicholls]

Par Le Parisien avec AFP 
Le 6 mars 2022

C’est une question que se posent de nombreux habitants d’Europe : pourquoi ne pas intervenir en Ukraine ? En ce sens, le chef d’état-major des armées britannique, l’amiral Tony Radakin, a en partie répondu ce dimanche. Il a estimé qu’il était « illégal et inutile » pour des Britanniques d’aller combattre contre l’invasion russe de l’Ukraine, après l’appel de Kiev aux volontaires étrangers.

« Nous avons été très clairs sur le fait que commencer à aller en Ukraine est illégal ainsi qu’inutile pour l’armée et la population britanniques », a-t-il déclaré à la BBC. Tony Radakin a, à son tour, rejeté l’appel de l’Ukraine à une zone d’exclusion aérienne, affirmant que cela n’aiderait pas sur le plan tactique et pourrait aggraver les combats.

Concernant les Britanniques souhaitant se joindre au combat, l’amiral Radakin a déclaré que le « bruit des coups de feu » n’était pas « quelque chose vers lequel vous voulez vous précipiter », et a exhorté les gens à soutenir l’Ukraine de manière sensée depuis le Royaume-Uni.

Le chef des armées a aussi prévenu que si des militaires britanniques en service allaient combattre en Ukraine, ils mettaient non seulement leur vie en danger, mais ils risquaient également de donner « la perception erronée » à la Russie que la Grande-Bretagne avait envoyé des troupes pour s’engager dans les hostilités.

Plutôt des livraisons d’armes

La présidence ukrainienne de Volodymyr Zelensky avait annoncé fin février la création d’une « légion internationale » de combattants étrangers pour l’aider à repousser l’invasion russe, appelant les volontaires à la rejoindre. Les volontaires sont appelés à se rendre dans les ambassades d’Ukraine dans leurs pays.

Le président Zelensky avait déjà appelé auparavant les Européens ayant une expérience du combat à se rendre en Ukraine pour combattre l’armée russe. À la suite de cet appel, la ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss, avait dit soutenir les Britanniques souhaitant se porter volontaires.

« En tant que militaires professionnels, nous disons que ce n’est en fait pas nécessairement la chose raisonnable à faire », a souligné Tony Radakin, qui a plaidé pour plutôt venir en aide « depuis le Royaume-Uni ». Le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré au président ukrainien Volodymyr Zelenskiy qu’il travaillerait avec des alliés internationaux pour obtenir plus d’équipements militaires défensifs pour aider au conflit en Ukraine.

« Les dirigeants ont discuté des besoins urgents des forces armées ukrainiennes et le Premier ministre s’est engagé à travailler avec des partenaires pour fournir davantage d’équipements défensifs », a indiqué une lecture d’un appel entre les deux dirigeants fourni par le bureau de Johnson.




Des officiers des services de renseignement à Ankara et Kiev enrôlent des terroristes du nord de la Syrie pour combattre en Ukraine

[Source : sana.sy]

Moscou-SANA / Une source militaire russe a affirmé que des éléments des services de renseignement du régime ukrainien et des officiers des services de renseignement du régime turc enrôlent des terroristes se trouvant dans le nord de la Syrie pour combattre dans les rangs des forces ukrainiennes.

Dans une déclaration qu’il a donnée à l’Agence de presse « Novosti », la source a indiqué qu’un groupe composé de trois éléments des services de renseignement du régime ukrainien, accompagnés d’officiers des services de renseignement du régime turc, s’étaient rendus en février dernier à Efrine et à Azzaz dans le nord de la Syrie, avaient visité une position d’un groupe terroriste affilié à la soi-disant « Armée syrienne libre », soutenue par le régime turc, et avaient rencontré un certain nombre de groupes terroristes pour examiner les possibilités de l’enrôlement de terroristes pour combattre aux côtés du régime ukrainien.

La source a précisé qu’ils ont convenu de tenir des réunions secrètes avec les chefs des groupes terroristes concernés.

A.Ch.




Jour 3 – Grand Jury

[Source : @JeanneTraduction]




Grand Jury – Session 2

Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !




Jeu global : qui a quelles cartes en main ?

Par Jean-François Geneste

La situation actuelle, bien connue, peut être résumée en une Russie qui fait la guerre, alliée plus ou moins à la Chine (représentant une forme d’économie physique à elles deux), face à un Occident qui symbolise peu ou prou le monde virtuel. Essayons-nous à une approche physico-mathématique du problème.

Tout d’abord, ainsi que démontré ici, si nous considérons la société comme un système, soumis à des imprévus. Aucune grandeur n’étant figée dans le marbre, elle devient ce que l’on appelle une variable aléatoire. En mathématique, ces entités peuvent être dépendantes ou indépendantes. Et nous avons démontré qu’en ce bas monde, le liant de tous les paramètres est l’argent.

Dans la sphère physique, la variable suprême est l’énergie, et nous savons cela depuis Lavoisier qui a énoncé son fameux principe : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. On peut tout faire avec de l’énergie et, disons-le net ici, elle prime, bien entendu, sur l’argent, car sans elle, toute la monnaie du monde ne suffira pas à faire quoi que ce soit.

La Russie est un géant global, notamment dans les domaines du pétrole et du gaz, sans parler de ses ressources minières et agricoles. En décidant de lier sa devise à l’or, elle ne vient pas de casser le liant qui rend dépendantes toutes les variables aléatoires de la planète, elle vient de fracasser l’hégémonie de celui qui le maîtrisait. Elle vient donc de saper les fondations du pouvoir du roi du virtuel [Les USA].

Il faut dire que ce dernier, depuis 1971 et la dénonciation des accords de Bretton Woods a vécu en parasite sur la partie du monde qu’il dominait. Ivre de sa puissance, il a délaissé le domaine physique au profit d’autres à qui il a simplement « sous-traité », pensant qu’il n’allait pas s’abaisser à cela.

Le tangible lui revient donc à la figure en imposant ce que l’on appelle un sous-jacent. Et, bien entendu, sa nature ne peut être que matérielle.

Néanmoins, le système est encore géré par l’Occident. Faisons un parallèle osé avec l’affaire du Boeing 737 Max qui a été extrêmement mal conçu et a causé la mort de plus de 300 personnes, sans que le PDG de la société ne fût jamais inquiété par la justice, ce qui nous rend un peu amers… Si les USA administrent le dispositif financier mondial comme Boeing a piloté le développement de son projet, il y a fort à parier que le crash est pour bientôt. Les Russes viennent d’en sortir, ils seront très vite suivis par les Chinois, qui sont prêts, les Iraniens n’ont guère d’autre choix et ont du pétrole. Il faudrait faire basculer l’Inde, le Brésil et une ou deux puissances africaines pour que l’affaire soit jouée. C’est probablement en cours.

Les mathématiques et la physique nous expliquent très bien ce qui va inéluctablement se passer. Et, là encore, le parallèle avec le 737 Max est assez parlant. En effet, quand le pilotage ne répond plus correctement dans un avion, il se crashe, même si les moteurs et tous les autres organes fonctionnent.

En mettant en place un étalon or, la Russie vient juste de changer la relation de dépendance de toutes les variables aléatoires qui régissent le monde humain. La révolution est donc absolument incroyable ! La règle du système qui était basée sur une hégémonie politique, devenue caduque, va permettre à la nature de recouvrer ses droits. Or quels sont-ils ?

[Note de Joseph Stroberg : en fait, l’étalon or avait déjà été institué au moment des accords de Bretton Woods en 1944. Y retourner représente surtout un repli conservateur. Ce qui serait véritablement révolutionnaire serait de baser l’argent non pas sur l’or, mais directement sur l’énergie, puisque toute activité, qu’elle soit humaine, mécanique, animale ou même végétale, nécessite une certaine quantité d’énergie pour être menée à bien. Cependant, comme il est plus difficile d’évaluer la dépense d’énergie d’une activité par exemple intellectuelle, certains services ne seraient évaluables que de manière approximative, mais l’on pourrait néanmoins alors établir une correspondance entre la durée de l’activité et l’énergie dépensée pour la mener à bien, ceci en se basant sur une productivité ou une puissance de travail moyenne de l’être humain. La monnaie ne serait ainsi plus mesurée en dollars, francs, euros, etc. ni même en poids d’or, mais en calories ou en joules lorsque la mesure d’énergie est facile, ou en heures d’activité ou de production lorsque l’énergie dépensée pour cette activité ou production est moins facilement mesurable.]

Nous venons en partie de le voir : tout ce qui est physique, à savoir les ressources énergétiques, puis minières. Il faut aussi compter, en troisième niveau, la capacité industrielle. Cette dernière est en Chine, alliée de la Russie.

Que reste-t-il alors à l’Occident ? Il subsiste ce qui lui a permis, depuis 500 ans, de grignoter le monde : la puissance militaire. Mais cette dernière a vécu une forte attrition au cours des décennies précédentes, l’exigence de suprématie s’étant vue substituer, dans une structure pervertie par l’argent virtuel, la nécessité de profits. Résultat, les Russes ont des missiles hypersoniques que les pays occidentaux n’ont pas. Les Chinois sont en passe de les avoir eux aussi. Car l’Occident a, de plus, perdu l’hégémonie dans le monde de l’éducation. Elle a été marchandisée et a quitté ses fondamentaux édictés au moins au temps des Lumières, pour devenir un système de reproduction sociale où le contenu confère la vacuité. C’est ainsi d’ailleurs que s’est imposée la culture woke dont on vous épargnera les concepts fumeux et délirants.

Le champ de ruine est visible depuis longtemps. Mais les dirigeants se voilent la face et décident comme s’ils étaient encore les maîtres absolus. Mal leur en prendra, ainsi qu’aux populations qu’ils gouvernent. L’ordre mondial change sous nos yeux ! Les nouveaux seigneurs sont davantage liés à la nature et à ses richesses ; c’est dans l’ordre des choses. Il est cocasse que la Grande-Bretagne et la France qui ont imposé à la Chine les guerres de l’opium fassent partie des puissances qui vont devoir sortir des paradis artificiels de l’argent magique, celui créé à Frankfort par exemple en centaines de milliards d’euros dont les citoyens n’ont jamais vu la couleur. Citoyens qui seront bien en peine de payer leur gaz en or !

Nous posions dans le titre la question de savoir qui a quelles cartes. Après réflexion, sans pouvoir se prononcer sur celles, exactes, que peut avoir la Russie, nous constatons que l’Occident, l’Europe en particulier, n’en a aucune. La faute à qui et depuis quand ?

[Note de Joseph Stroberg : l’Ordre mondialiste occidental reste malgré tout maître chez lui, au détriment de ses populations asservies, hypnotisées grâce aux médias mainstream, et les USA conservent plusieurs centaines de bases militaires réparties dans des dizaines de pays du monde, notamment en Europe et en Asie, au voisinage de la Chine et de la Russie.]




Un sondage défavorable pour Emmanuel Macron supprimé par RTL ?

[Source : francais.rt.com]

Des internautes, dont des politiques, ont affirmé qu’un sondage en ligne proposé par RTL a été supprimé par la radio. Il était indiqué que 84% des personnes interrogées ne voulaient pas la réélection d’Emmanuel Macron.

La journaliste Aude Lancelin a demandé des précisions à RTL. «Franchement ce serait grave d’apprendre que ce sondage défavorable au grand leader et général en chef des armées Micron 1er a été supprimé», affirme-t-elle.

RTL a-t-elle supprimé volontairement un sondage du 4 mars en défaveur d’Emmanuel Macron ? Plusieurs internautes ont fait état du retrait d’une étude publié sur Twitter par la radio, dévoilant que 84% des sondés étaient contre la réélection de l’actuel locataire de l’Elysée.

Pour l’avocat François Couilbault, «le sondage a été supprimé». «La désinformation est devenue la règle, comme il y a cinq ans les médias ont choisi leur candidat», ajoute-t-il. Des politiques aussi s’étonnent, à l’instar du député Les Républicains (LR), Julien Aubert. «Les 42 000 votants apprécieront la décision de RTL», ironise-t-il.

La vice-présidente LR du Grand-Est, Valérie Debord, pose la question à RTL et tague l’AFP : «Pourquoi ce tweet a été supprimé ?»

«Quand 84% des répondants disent ne pas vouloir la réélection de Macron, le sondage est subitement supprimé par RTL ! On se demande bien pourquoi», confirme le président des Patriotes, Florian Philippot.

RTL a republié un nouveau sondage sur son site. A l’écriture de cet article, sur un peu plus de 20 500 votants, le résultat était encore plus défavorable à Emmanuel Macron, avec 91% de votants opposés à sa réélection.

Capture d’écran du sondage sur la page d’accueil de RTL.

Un sondage similaire, portant plus spécifiquement sur l’entrée en campagne de l’actuel président, a été effectué par Le Figaro. 90% des 31 000 sondés disent ne pas avoir été convaincus par la «Lettre aux Français» d’Emmanuel Macron.




Opération en Ukraine : une petite partie d’un vaste plan

[Source : rusreinfo.ru]

[Transmis par Christine Côte]

Il faut se souvenir que depuis l’arrivée de Vladimir Poutine au Kremlin le 31 décembre 1999, la Russie a connu un spectaculaire redressement tant économique et financier que militaire tout en affirmant sa spécificité face aux pays occidentaux sur le plan que l’on peut qualifier de « moral » : Alors que l’occident fonce droit dans le globalisme, reniant ses valeurs traditionnelles et se laissant conquérir par de nouveaux principes, la Russie reste fidèle à ses traditions culturelles et familiales. Ceci est un point des plus importants pour expliquer la situation aujourd’hui.

Depuis 2000 donc, deux grands courants s’affrontent en Russie, d’importance inégale : le courant traditionnel incarné par Vladimir Poutine, et le courant « occidental libéral » incarné par plusieurs politiciens de bien moindre envergure qui rêvent d’appliquer à la Russie le modèle occidental. Sur le plan économique, c’est ce second courant qui l’emporte largement depuis 25 ans puisque la Russie est entrée de plein fouet dans le capitalisme sauvage à Moscou bien sûr, mais également, bien que dans une moindre mesure, dans les régions. Si sur le plan économique l’immense majorité des Russes y a trouvé son compte, les choses ne sont pas si claires sur les autres plans et nombreux en Russie sont ceux qui se posent de sérieuses questions sur les relations avec les pays occidentaux.

On assiste en effet d’une part à une expansion de l’OTAN aux portes de la Russie malgré les promesses faites à l’époque de la chute de l’Union Soviétique, mais on voit aussi des tentatives américaines de saper l’influence de la Russie. Les États-Unis qui pillaient tranquillement le pays sous Eltsine, ont en effet vu leurs plans capoter avec l’arrivée de Vladimir Poutine et se sont rabattus sur des méthodes plus traditionnelles : L’ingérence dans les pays frontaliers traditionnellement alliés de la Russie, que ce soit en Géorgie, en Ukraine bien sûr, au Kazakhstan, en Tchétchénie également puisque les terroristes tchétchènes étaient armés et financés par les États-Unis, etc., etc. Et l’ingérence en Russie directement avec le financement des forces d’opposition sous le couvert des ONG.

Dans le même temps sur le plan politique, les États-Unis et les pays européens, avec qui la Russie voulait réellement s’associer à la chute de l’URSS, tentaient d’influencer la Russie pour qu’elle s’aligne sur leurs positions « morales » : Suppression de la peine de mort (elle n’est pas supprimée en Russie, mais n’est plus appliquée, ceci va d’ailleurs changer très prochainement), les valeurs familiales traditionnelles reniées par l’occident et que la Russie persiste à soutenir, la question de l’immigration alors que l’Europe ouvre grand ses portes à qui veut entrer et que la Russie renforce ses contrôles, etc., etc. Ces pressions en Russie sont faites par ceux que l’on nomme « la 5e colonne », animée par certains politiciens jusqu’au sommet de l’État et disposant d’une influence bien réelle qui tentent par des essais discrets d’imposer en Russie les « valeurs » occidentales. Et si à Moscou et Saint-Peterburg les « occidentalistes » sont majoritaires, ils sont une infime minorité à l’échelle du pays. Mais l’influence de Moscou est primordiale.

Durant ces années, Vladimir Poutine ne manque toutefois pas de montrer à l’Occident qu’il est bien déterminé à guider la Russie dans ce qu’il considère comme son intérêt et sa voie légitime, par exemple en intervenant en Géorgie alors que les minorités russes sont attaquées en Ossétie, en Crimée bien entendu alors que le putsch financé par les États-Unis en Ukraine met en péril les bases militaires russes de Sébastopol et la communauté russe y vivant, et en Syrie à l’appel du président Assad, en quasi-face-à-face avec les forces américaines. La riposte des pays occidentaux se fait sous la forme de « sanctions économiques » qui, si elles permettent en fait à la Russie de développer ses propres productions, montrent à Vladimir Poutine que les occidentaux ont toujours en vue la mise au pas de la Russie, sans toutefois vouloir appliquer de méthodes militaires.

Conscient de la lente glissade de la Russie vers ce qu’il considère comme l’Occident « décadent », Vladimir Poutine est également parfaitement conscient qu’il lui faudra bien quitter le Kremlin un jour et il veut transmettre à son successeur une Russie fière de ses valeurs ancestrales et suffisamment puissante pour être à l’abri des tentatives de subversion des pays occidentaux. Il y a environ 2 ans, il décide alors de passer à l’attaque à l’intérieur de la Russie contre la 5e colonne. Ceci se fera avec l’aide des services de sécurité qui d’une part démantèleront l’opposition « non légale » (c’est-à-dire financée par les pays étrangers, contrairement à l’opposition « légale » de partis politiques), et d’autre part lanceront le plan « Только свои » (« Seulement les nôtres ») qui ciblera et mettra hors d’état de nuire ceux nuisant gravement aux intérêts de la Russie.

Les choses suivent leur train et c’est dans ce contexte que les forces ukrainiennes décident, sur ordre des États-Unis, de se préparer à attaquer le Donbass qui a déclaré son indépendance en 2014. Depuis cette date d’ailleurs l’Ukraine bombardait régulièrement les populations civiles, faisant environ 14 000 morts. La Russie assistait discrètement les séparatistes, mais se refusait à intervenir directement : Ses forces armées n’étaient pas encore prêtes. En 2021 donc les forces ukrainiennes se massent aux frontières du Donbass et multiplient les bombardements à l’arme lourde. Et cette fois, l’armée russe est prête avec de nouvelles armes totalement inédites (lasers, armes à effet magnétiques, armes hypersoniques, etc.) dont certaines ont été testées avec succès en Syrie. Dans le même temps les services de Renseignement russes établissent que l’Ukraine a la volonté de s’équiper d’armes nucléaires malgré leur engagement de rester une « puissance non nucléaire », avec l’accord des américains.

C’est donc dans ce contexte que la Russie reconnaît l’indépendance des LDNR en février 2022 et décide d’une opération militaire destinée d’une part à défendre les populations russes du Donbass, d’autre part et surtout à neutraliser les factions néonazies ukrainiennes qui, manipulées par les pays occidentaux, représentent un véritable danger pour la Russie. Ceci déclenche une hystérie collective anti-russe en occident, qui en fait a l’effet contraire à celui escompté : alors qu’une partie relativement importante (disons un tiers) des Russes ne comprend pas bien le pourquoi de cette opération militaire, l’immense majorité (80 à 85 %) se ressoude immédiatement autour du Président Poutine quand les « sanctions » occidentales s’abattent sur la Russie. Ce sont en fait les Américains et les Européens qui font remonter la côte de popularité de Vladimir Poutine qui sait qu’il peut donc aller de l’avant pour l’autre partie de son plan.

L’autre partie de son plan, ce n’est pas d’attaquer d’autres pays européens comme le prétendent les propagandistes occidentaux désireux de garder leurs peuples en situation de panique pour mieux les asservir, c’est de remettre de l’ordre en Russie pour faire cesser la glissade vers cet « Occident décadent ». C’est ainsi que le Parlement vote actuellement des séries de lois destinées à rétablir la souveraineté de la Russie et à supprimer les moyens utilisés par la « 5e colonne » pour occidentaliser le pays. Rétablissement probable de la peine de mort, peines très sévères pour ceux qui dénigrent la Russie et l’opération militaire en cours (15 ans de prison ; Sont visés les agents de la 5e colonne), blocage des médias occidentaux faisant leur propagande contraire aux intérêts de la Russie, blocage des réseaux sociaux (Facebook, Twitter, YouTube) qui, aux mains des globalistes, font acte de subversion en Russie, prochain blocage des avoirs des banques étrangères et saisie des propriétés des compagnies étrangères en Russie (en réponse aux sanctions similaires occidentales), blocage des exportations d’engrais (la Russie fournit entre 15 et 20 % des engrais mondiaux, forte hausse des prix des produits agricoles en vue en Occident), actions sur le gaz et le pétrole bien, etc.

Si à l’issue de l’intervention russe en Ukraine certaines mesures économiques seront remises en cause par seul intérêt de la Russie, il est plus que probable que les mesures visant à « désoccidentaliser » la Russie resteront en place, alors que des discussions très approfondies sont en cours avec les pays d’Asie sur le plan économique et financier. On voit déjà en Russie d’éminents politiciens membres de cette « 5e colonne » qui disparaissent de la circulation et restent muets, ayant compris que la partie est perdue.

Il est bien entendu souhaitable que l’opération militaire se termine au plus vite, ses objectifs remplis. C’est en bonne voie, les forces russes avancent lentement, mais régulièrement avec la volonté d’éviter au maximum les victimes dans la population civile. Maintenant, la position des pays occidentaux reste déterminante : s’ils veulent intervenir directement, ils seront laminés. Mais dans tous les cas la Russie n’oubliera pas qu’ils fournissent des armes utilisées contre nos soldats. Ceci restera sur la facture finale et il est parfaitement clair qu’un nouveau « rideau de fer », idéologique bien plus que physique, est dorénavant en place entre la Russie et les pays occidentaux. Pays occidentaux qui, de fausse pandémie en crise climatique inexistante, enfermeront leurs peuples lobotomisés jusqu’à ce qu’un jour, peut-être, ceux-ci s’éveillent. Qu’ils sachent que si ce jour se présente, la Russie sera alors prête à les aider !

En près de 25 ans, Vladimir Poutine aura donc réussi le tour de force de faire de la Russie une grande puissance, de redonner aux Russes fierté et sécurité, et d’éviter enfin à la Russie de glisser dans l’abîme d’un occident en pleine dégringolade et en pleine décadence. Son successeur, déjà choisi pour se présenter avec le parrainage de Vladimir Poutine devant les Russes pour entrer au Kremlin, saura nous en sommes certains poursuivre sur le même chemin pour la grandeur de la Russie et la sécurité de son peuple.

La Rédaction [de RusReinfo]




Halte au délire occidental sur cette prétendue attaque russe contre la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée !

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Le 4 mars 2022 à 2h00 du matin (heure de Russie), le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour arrêter l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes, — c’est-à-dire les extrémistes ukrainiens néo-nazi —, dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje, probablement venus pour y commettre un attentat sous faux drapeau. Or, les médias mainstream (c’est-à-dire les faiseurs de mensonges) se sont immédiatement jeté sur cet incident comme des charognards autour d’un morceau de viande avarié. Fidèles à eux-mêmes, ils en ont construit un narratif mensonger afin d’inculper les forces militaires russes et surtout le président de la fédération de Russie Vladimir Poutine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est alors empressé de prendre la parole accusant Moscou de vouloir « répéter » la catastrophe de Tchernobyl. (!) Ce bouffon de pacotille était probablement si sincère, qu’il ne put s’empêcher de lire son texte écrit sur un bout de papier :

« Aucun autre pays hormis la Russie n’a jamais tiré sur des centrales nucléaires. C’est la première fois dans notre histoire, la première fois dans l’histoire de l’humanité. Cet État terroriste a maintenant recours à la terreur nucléaire », a-t-il affirmé dans une vidéo publiée par la présidence ukrainienne. « Nous avons survécu à une nuit qui aurait pu mettre un terme à l’Histoire. L’Histoire de l’Ukraine. L’Histoire de l’Europe », a-t-il ajouté.

Les gouvernements, les organisations et les médias alignés sur les forces atlantistes construisent des mensonges afin de nuire et de détruire l’intégrité morale de Vladimir Poutine. Roxane Trudel et Laurent Lavoie écrivent dans le Journal de Montréal : 

« Le monde a retenu momentanément son souffle hier soir. Un bombardement russe a provoqué un incendie dans la plus grosse centrale nucléaire de l’Ukraine, peu après qu’une ville voisine eut été prise d’assaut. À la suite d’un bombardement, un édifice d’entraînement de la centrale Zaporijjia a pris feu, a indiqué Andreï Touz, un porte-parole des lieux qui compte six réacteurs et fournit 25 % de l’énergie du pays. Les pompiers peinaient à se rendre sur les lieux pour éteindre le début d’incendie, l’armée russe continuant de pilonner la place, a indiqué le maire, Dmytro Orlov. »

Les médias comme Le Figaro, Le Monde, Euronews, Le Parisien, Les Échos et TV5monde vont jusqu’à manipuler les images de la vidéo surveillance faisant croire à un bombardement à la centrale nucléaire, située entre le Donbass et la Crimée. Le Parisien va jusqu’à simuler des tirs en direction de l’un des bâtiments annexes. Par chance, il y a des gens qui sont sur place pour rétablir les faits réels. C’est le cas de Erwan Castel, volontaire dans la Brigade internationale Piatnashka de l’armée de la République Populaire de Donetsk qui — le jour même — a écrit et publié un rapport sur son site internet et que je vous transmet ci-dessous. Vous y verrez les images réelles et sans montage de la vidéo surveillance.

Cela dit, je réaliserai une entrevue en direct de Moscou avec le sniper Erwan Castel, dimanche le 13 mars prochain à 11H (Montréal) — 19H (Moscou) — 17H (Paris). Cette entrevue sera diffusée simultanément sur YoutubeTwitter et VKontakte. Je vous invite donc à ne pas rater ce rendez-vous !


« Cessez de régler le réveil de votre conscience sur les psalmodies de BFM TV, et venez sur le terrain au lieu d’ânonner bêtement les prêches des propagandistes mondialistes. À bon entendeur, salut. »

 Erwan Castel


À propos de Erwan Castel (Кастель Ерван)

Né le 6 juin 1963, Erwan Castel rêve d’une « Europe aux cents drapeaux » dont l’unité serait fondée sur le respect de ses peuples natifs et fondateurs et la reconnaissance de leurs identités dans une vision fédérale fondée sur les principes de subsidiarité et de démocratie participative.

« Breton, polythéiste et européen », successivement officier parachutiste français, militant indépendantiste breton puis guide expédition en Amazonie française, il a décidé de rejoindre la rébellion du Donbass s’opposant à l’opération militaire lancée contre sa population russe en 2014 par les putschistes du Maïdan.

A l’issue d’études d’Histoire, Erwan Castel vit pendant 12 années une carrière d’officier au sein d’unités françaises spécialisées dans le renseignement aéroporté. Puis, il retourne en Bretagne pour militer au sein du mouvement culturel breton, notamment dans le sport et le chant traditionnels, avant de reprendre son sac à dos et de s’installer en Guyane française où il exercera le métier de Guide expédition en milieu amazonien pendant 14 ans.

Resté attentif à la tectonique géopolitique du monde, Erwan Castel qui s’est engagé depuis environ 25 ans dans un combat antimondialiste de plus en plus prononcé, décide au moment du Maïdan de dénoncer la propagande de guerre occidentale sur les réseaux sociaux où il essaye de ré-informer l’opinion. En juin 2014, il décide d’abandonner sa situation privée et professionnelle et de rejoindre le Donbass, ce qu’il réalisera en janvier 2015. Engagé début février 2015 dans l’armée de la République Populaire de Donetsk, il a servi sur les fronts de Debalsevo, Marinka, Dokuchaievsk et Donetsk avant de devenir volontaire en 2017 dans la Brigade internationale Piatnashka et servir sur le front de Yasinovataya en tant que sniper.

Opposé à toute forme de pensée unique (religieuse, économique, culturelle ou politique) et luttant contre la marchandisation du vivant engagée par une ploutocratie mondialiste amorale et criminelle, il inscrit ses principes et ses actes dans l’idéal d’une « révolution conservatrice » défendant la liberté des peuples à disposer d’eux mêmes et une subsidiarité ascendante des identités natives construisant un monde multipolaire. Il vit aujourd’hui au Nord de Donetsk à proximité de l’aéroport et se consacre exclusivement au travail de ré-information qu’il réalise seul, sur des blogs et les réseaux sociaux.




Halte au délire occidental !

Un rapport de Erwan Castel (4 mars 2022)

Depuis ce matin, je reçois des dizaines de messages concernant cette prétendue attaque russe sur la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée, Qu’en est-il exactement de cette information farfelue et dont le seul but est de jeter de l’huile sur une russophobie de plus en plus délirante et de vouloir maintenir, après la gestion hallucinée du Covid, les populations occidentales dans une psychose servile.

Voici ce qui s’est passé réellement à 2h00 du matin sur le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje :

Ce que l’on voit ici, sur les images de la vidéo surveillance, c’est une fusée éclairante arrivant près d’un bâtiment annexe loin des infrastructures sensibles de la centrale nucléaire et en aucun cas, comme le prétendent les « journalistes » occidentaux, un missile ou un obus tiré contre la centrale !



Suite à l’arrivée au sol de la fusée éclairante un tout petit incendie s’est déclaré (ici sur la droite de l’image) et qui a été immédiatement maîtrisé par les servicesde sécurité incendie présents H24 sur le site.

Les explications :

À 02h00 du matin le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour stopper l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes dans le périmètre de la centrale venus probablement y commettre un attentat pour accuser ensuite l’armée russe. un échange de tirs aux armes légères a eu lieu lors de cette interception, et pour sécuriser leur action les soldats ukrainiens ont probablement tiré cette fusée éclairante.

Ce n’est pas la première fois que des accrochages graves se font entre radicaux nationalistes et soldats réguliers ukrainiens et quelques heures plus tard, un autre échange de tir a eu lieu sur le périmètre défensif de Marioupol entre des soldats apeurés de la 56ème brigade ukrainienne et des radicaux excités du régiment « Azov ».

Une bonne capture d’écran d’une fusée éclairante anodine et un titre sensationnaliste au service d’une psychose collective organisée pour conditionner les populations à haïr la Russie :

Que venaient faire exactement ces radicaux nationalistes dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje ? C’est cette question plutôt inquiétante qui aurait dû faire la Une des médias occidentaux au lieu de ce fatras de conneries russophobes avec lesquelles ils veulent achever par la peur les dernières bribes d’esprit critique et de bon sens qui auraient échappé au grand lessivage de la pensée unique.

À l’Est de Zaporodje, sur la rive gauche du Dniepr, se trouve à Ernegodar cette plus grande centrale nucléaire d’Europe, et les forces russes, conscientes du danger potentiel du site, ont développé une tactique d’approche adaptée:

  • sans utiliser des armes lourdes capables d’endommager des infrastructures de fonctionnement de la centrale,
  • en abordant le secteur par des axes décalés pour ne pas mettre l’installation nucléaire dans le prolongement des tirs potentiels.

Mais concernant la fusée éclairante de Zaporodje, et qui plus est, est tirée par un soldat ukrainien, les thuriféraires de la russophobie hystérique piétinant toute forme de raisonnement, négligeant de vérifier l’information, voire travestissant volontairement la vérité, ont développé un tel discours apocalyptique et servile qu’on est en droit de s’interroger sérieusement sur leur santé mentale…

Quant aux journalopes français ils sont comme d’habitude sont sur le podium de l’imbécilité haineuse et servile, comme BFM TV, cette officine mondialiste de la marchandisation du Monde et asile des BHL, Ackermann and Co ! :

Et pour information, voilà à quoi ressemble un vrai bombardement russe :

Antenne de télévision de Kiev détruite par un missile russe le 1er mars, interrompant les diffusions des télévisions ukro-occidentales.

Et que surtout les journalistes ensuite ne s’étonnent pas qu’en Ukraine, les antennes de télévision de la propagande de guerre ukro-atlantiste soient prises pour cibles par les forces russes car bombarder de tels incendiaires médiatiques relève plus d’un acte humanitaire que d’un acte de guerre !

Merci de ne pas paniquer: les russes ne sont pas des fous comme ceux qui ont détruit Hiroshima, le Vietnam, la Serbie, l’Irak, la Syrie, la Lybie etc.. et voulaient détruire le Donbass !

Erwan Castel (signature)

Erwan Castel, 4 mars 2022


Entrevue en direct de Moscou avec le sniper Erwan Castel, volontaire dans la Brigade internationale Piatnashka de l’armée de la République Populaire de Donetsk. Dimanche le 13 mars 2022 à 11H (Montréal) — 19H (Moscou) — 17H (Paris) simultanément sur YoutubeTwitter et VKontakte. C’est un rendez-vous à ne surtout pas rater !




Une cyberattaque de grande envergure sous faux drapeau est maintenant imminente

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

4 mars 2022

Au début de l’année 2021, au plus fort de la peur des covidés générée par les médias, le Forum économique mondial a publié une série de tables rondes et de livres blancs décrivant une « pandémie » d’une nature totalement différente, qu’il a qualifiée de « cyber-attaque imminente aux caractéristiques similaires à celles des covidés ». Le programme du WEF était intitulé « Cyber Polygone » et dirigé avec un zèle inquiétant par le mondialiste Klaus Schwab.

Le WEF et Schwab sont surtout connus pour deux choses :

1) Leur implication dans un jeu de guerre appelé Event 201 qui simulait la propagation mondiale d’une pandémie de coronavirus. Cette simulation s’est déroulée deux mois AVANT la réalité, au début de l’année 2020, et la majorité des mesures présentées dans le jeu ont été mises en œuvre presque immédiatement après l’épidémie.

2) L’annonce enthousiaste de Klaus Schwab selon laquelle la pandémie était l' »opportunité » parfaite pour instituer ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » de l’économie mondiale en même temps que l’essor de la Quatrième Révolution Industrielle, qui est la centralisation complète du commerce mondial et de la gouvernance dans un empire socialiste mondial où vous ne posséderez « rien, n’aurez aucune vie privée, et l’aimerez ».

[Voir aussi :
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »,
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
et
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Le fait que le WEF ait été si prescient en ce qui concerne la pandémie de covidés est un véritable miracle. C’était presque comme s’ils savaient que cela allait arriver, et leurs amis politiques dans diverses nations n’ont pas perdu de temps pour mettre en œuvre leurs politiques de mandat draconien dans le monde entier. L’Event 201 prévoyait un nombre initial de décès d’environ 65 millions de personnes, mais cela ne s’est pas produit. En fait, le taux médian de mortalité par infection du covid n’était que de 0,27 %. Le Covid ne tuait pas assez de personnes et le public commençait à remettre en question l’efficacité des mesures de confinement, les règles inutiles concernant les masques et la nécessité de prendre un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’avait pas été testée à long terme.

[Note de Joseph Stroberg : le taux de mortalité attribué à la Covid est sensiblement le même que celui de la grippe, alors que dans le même temps :
1)- celle-ci a pratiquement disparu et comporte plusieurs symptômes similaires ;
2)- il n’y a pas eu de surmortalité significative au niveau mondial.
On peut facilement en déduire que la grippe a été rebaptisée Covid.

Si par ailleurs, l’Humanité finit un jour par reconnaître que :
1)- les maladies virales ne sont en réalité pas causées par des virus et qu’aucun virus n’a été réellement isolé (selon un point de vue réellement scientifique et rigoureux conforme à la définition du terme « isolé ». Voir L’enterrement de la théorie virale) ;
2)- les ondes électromagnétiques, surtout pulsées (comme le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 5G, le Bluetooth…), et les champs électriques artificiels engendrent des problèmes physiques aux symptômes notamment similaires à ceux de la grippe ou de la Covid (en plus d’autres effets possibles),
3)- les lieux d’implantation initiaux de la 5G sont aussi ceux où l’on a d’abord repéré les symptômes attribués à la Covid (Wuhan, Corée du Sud et Saint-Marin),

alors on pourra facilement conclure que les morts attribués à la grippe baptisée Covid-19 provenaient en réalité pour une grande part d’un manque de résistance des individus aux nouveaux rayonnements 5G, le corps humain n’y étant pas encore habitué.]

Aux États-Unis, les États conservateurs ont commencé à se soulever et à bloquer le programme des covidés. Aujourd’hui, le CDC et le gouvernement fédéral ont déclaré la suppression de la plupart des mandats et même les États bleus de gauche commencent à céder. Cependant, la plupart des États rouges conservateurs n’ont pas eu de mandat depuis plus d’un an ou un an et demi. Nous avons été sans restrictions pendant tout ce temps, et le gouvernement agit comme s’il venait de nous « permettre » d’être libres à nouveau.

La vérité est que les mondialistes du WEF et leurs partenaires étrangers ont échoué dans leurs efforts pour instaurer une tyrannie médicale, du moins aux États-Unis et dans certaines régions d’Europe. L’agenda s’est effondré parce que la science était contre eux à tous les égards. Ils n’avaient rien. Avec 99,7 % de personnes à l’abri du covid, il était impossible de susciter suffisamment de peur dans une partie suffisante de la population pour qu’elle renonce à ses libertés.

Ainsi, pour ceux d’entre nous qui ont suivi attentivement ces événements, la sonnette d’alarme a vraiment commencé à retentir lorsque le WEF a changé de vitesse et s’est soudainement concentré sur le récit d’une cyberattaque. Était-ce un plan B ?

En avril 2021, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes auront besoin d’une autre crise en Amérique pour faire échouer leur programme de réinitialisation ». Dans cet article, je décrivais les scénarios les plus probables pour le prochain événement catastrophique, qui comprenaient la guerre en Ukraine ainsi qu’une cyberattaque mondiale qui perturbe la chaîne d’approvisionnement. Dans cet article, je déclarais :

« Les médias et l’administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l’Ukraine. Il y a un regain de tensions entre l’Iran et Israël et la déstabilisation continue de l’Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taïwan…
Il y a … un avantage narratif aux tensions mondiales ; lorsqu’ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l’establishment tentera d’affirmer que le mouvement pour la liberté n’est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement « astro-turf » créé par les Russes pour déstabiliser l’Amérique. C’est la stratégie de propagande des médias gauchistes depuis des années ; alors pourquoi s’arrêteraient-ils ? »

En juin 2021, j’ai écrit plus spécifiquement sur la nature suspecte du Cyber Polygon dans mon article « Cyber Polygon : Will The Next Globalist War Game Lead To Another Convenient Catastrophe ? » (Cyber Polygon : le prochain jeu de guerre mondialiste conduira-t-il à une autre catastrophe commode). Puis, en juillet 2021, j’ai écrit un article intitulé « Et si la prochaine cyberattaque majeure ciblait Internet ? J’y faisais cette observation :

« En juin de cette année, il y a eu un événement de panne d’Internet qui a conduit à de larges pans du Web à devenir sombres, y compris un certain nombre de sites d’information grand public, Amazon, eBay, Twitch, Reddit et une foule de sites Web gouvernementaux sont tombés en panne. Tout cela s’est produit lorsque la société Fastly, spécialisée dans les réseaux de diffusion de contenu (CDN), a eu un bug. Bien qu’Amazon ait remis son site en ligne en 20 minutes, cette brève panne a coûté à l’entreprise plus de 5,5 millions de dollars de chiffre d’affaires (et il ne s’agit que d’un seul site web !).

Fastly a identifié et corrigé le problème en deux heures, et continue d’affirmer que la panne n’avait rien à voir avec une cyberattaque. Cependant, elle a révélé une énorme vulnérabilité de l’internet (ce que von Clausewitz aurait appelé un schwerpunkt). Une grande partie du web dépend de seulement trois sociétés CDN, dont Fastly.

Voici ce qui me préoccupe : si une cyberattaque était menée sur ces points faibles du web, et que l’attaque impliquait un ver malveillant ou une autre arme hautement infectieuse, alors Klaus Schwab pourrait très bien avoir sa cyberpandémie. »

Aujourd’hui, les tensions guerrières avec la Russie sont sur le point de déborder et je soupçonne que ce n’est qu’une question de temps avant que la Chine ne lance également des opérations contre Taïwan. Mais il y a une menace bien plus grande à l’horizon. Je n’ai guère de doute, à ce stade, qu’une attaque sous faux drapeau contre les États-Unis ou l’Europe (ou les deux) est maintenant imminente, et ce que j’entends par « faux drapeau », c’est que l’attaque sera conçue pour profiter aux mondialistes et pas nécessairement au pays qui en est accusé.

Comme je l’ai noté dans le passé, Vladimir Poutine est un associé de longue date de nombreux mondialistes. Son amitié avec la goule du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, a débuté il y a plusieurs décennies et ils continuent de se rencontrer pour des déjeuners réguliers, Kissinger agissant en tant que conseiller auprès de plusieurs branches du Kremlin. Poutine a également entretenu des relations suivies avec le WEF et la Russie a même rejoint le réseau de la quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab l’année dernière. L’affirmation selon laquelle Poutine est anti-mondialiste est un mensonge, il est profondément impliqué dans le système mondialiste et l’a toujours été.

Les mondialistes jouent des deux côtés du conflit ukrainien. Telle est la réalité. Il est très important de comprendre et d’accepter ce fait, sinon vous ne serez pas en mesure de saisir les événements qui vont suivre.

Poutine a récemment menacé les gouvernements occidentaux de représailles d’une ampleur sans précédent s’ils tentent d’interférer en Ukraine. Le problème, c’est que de nombreux médias grand public et alternatifs ont automatiquement supposé qu’il s’agissait d’une menace de guerre nucléaire. Je ne pense pas que c’est à cela que Poutine faisait référence. J’ai une autre théorie…
Il est peu probable que les mondialistes passent les dernières décennies à construire l’une des grilles de contrôle technocratique les plus complexes de l’histoire pour suivre et dominer le public, pour ensuite tout anéantir en un clin d’œil avec des armes nucléaires. Un environnement post-nucléaire serait impossible à contrôler pour eux.  Ce qui est plus probable, à mon avis, c’est une cyberattaque massive qui vise la fonctionnalité de l’Internet lui-même, et il faudrait que cela se produise relativement vite.

La quantité d’opérations économiques et commerciales liées au web est stupéfiante. Même si l’internet devait s’arrêter pendant seulement deux semaines, les répercussions sur nos marchés et notre chaîne d’approvisionnement seraient dévastatrices. Par extension, les avantages pour les mondialistes seraient immenses. Ils pourraient mettre en place des filtres et des pare-feu sur toute partie du web qu’ils n’aiment pas (y compris les médias alternatifs) et prétendre que c’est pour protéger l’internet des sources possibles de propagation virale. Ils pourraient réduire le web à une poignée de sites d’entreprises et de gouvernements approuvés, tout cela au nom de la protection de l’intégrité du net.

En outre, une telle attaque serait un parfait bouc émissaire pour l’économie déjà en chute libre et l’inflation croissante. À ce moment-là, les banques centrales qui sont vraiment responsables de notre instabilité financière pourraient simplement dire que tout était « sur le point de revenir à la normale » jusqu’à ce que la Russie ou la Chine propage le cyber-virus. Et, peut-être que la Russie sera impliquée, mais ce ne sera pas Poutine qui donnera l’ordre, ce seront ses partenaires mondialistes derrière le rideau.

Le battage médiatique autour de l’Ukraine est à son comble en ce moment. Je trouve un peu bizarre la panique et l’indignation qu’elle suscite. C’est comme si les gens avaient oublié que le gouvernement américain vient de passer plus d’une décennie à dévaster un pays comme l’Irak sans raison valable. Personne ne semble mentionner l’hypocrisie d’exiger une guerre totale contre la Russie alors que les campagnes américaines en Irak ont tué des centaines de milliers de civils et que très peu de pays ont sourcillé à ce sujet.

Il est clair que les médias contrôlés tentent de convaincre les Occidentaux de soutenir une confrontation militaire directe avec la Russie pour un conflit qui n’a rien à voir avec nous. Il y a même de nombreux néo-conservateurs du GOP (Lindsay Graham, je vous regarde) qui font campagne pour que les vrais conservateurs soient d’accord avec un état de guerre. Je ne pense pas que cela gagne beaucoup de terrain, mais qu’est-ce qui a fonctionné comme une manipulation efficace contre les conservateurs dans le passé ?

Les mondialistes ont besoin d’un autre Pearl Harbor – une attaque du 11 septembre ou quelque chose d’encore plus grand. Ils ont besoin de quelque chose qui fasse enrager la population américaine, en particulier les conservateurs. Ils ont besoin d’une crise aux proportions épiques pour nous attirer dans une réponse émotionnelle et l’abandon de la logique. Ils ont également besoin d’un désastre bouc émissaire qu’ils pourront utiliser pour faire porter le chapeau à la crise économique imminente.

Je prédis que cet événement prendra la forme d’une cyber-attaque de grande envergure, et l’escalade des événements me laisse penser qu’ils vont essayer de mettre en œuvre une telle attaque à court terme. Peut-être dans les deux prochains mois et certainement avant la fin de l’année.

Il ne s’agit pas de la Russie. Il ne s’agit pas de l’Ukraine. La vraie guerre est entre les peuples libres et les mondialistes. Lorsqu’ils seront écartés et que leurs marionnettes le seront, la majorité de ces désastres cesseront. Tant qu’ils resteront au pouvoir, les événements de crise ne feront que s’accélérer et augmenter en fréquence jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose qui fonctionne ; quelque chose qui fait que la plupart des gens sont prêts à abandonner leurs libertés en échange de la fausse promesse de sécurité.




Quand Paul Craig Roberts dénonce les atermoiements de Poutine…

Par Nicolas Bonnal

Comment a-t-il pu déclencher une telle opération sans mettre à l’abri les avoirs russes ? Du coup, 300 milliards ont été dérobés, comme le rappelle Xavier Moreau, par la piraterie européenne. Mais même sur le plan militaire cela ne se passe pas comme prévu, pour ne pas parler de l’irrécupérable vague de russophobie qui se soulève partout, et qui ruine plusieurs de mes amis. Je précise que les échos que j’ai d’Ukraine par ma femme montrent une totale hostilité de la plus grande partie de la population. Et appeler Israël à l’aide pour poursuivre le nazi en Ukraine ne satisfera que les imbéciles. C’est bien la peine de pourfendre comme l’autre l’empire anglo-sioniste !

Poutine a des admirateurs partout chez les antisystèmes. Laissons alors la parole à un partisan déçu de la Russie, Paul Craig Roberts. Il a souvent mis en garde les Russes qui ne l’ont jamais écouté. Il écrivait il y a trois ans (voyez mon texte) :

 « C’est un mystère que Poutine tolère une poignée de traîtres qui ont un soutien public minimal tandis que l’Occident et Israël deviennent chaque jour plus agressifs contre les intérêts nationaux russes. »

Alors le vieux PHD peut se défouler d’autant mieux cette fois-ci ; et de résumer :

« Voici comment le président Poutine décrit l’opération : Le plan consiste à protéger la population des républiques dissidentes d’Ukraine de Donetsk et Lougansk et à démilitariser et dénazifier l’Ukraine sans utiliser de tirs d’armes lourdes dans les zones de population civile.   La Russie, a déclaré Poutine, ne mènera pas la guerre sans discernement comme l’ont fait les États-Unis et l’OTAN en Serbie, en Afghanistan, en Irak et en Libye. 

C’est une position à la fois noble et pratique. L’Ukraine n’est un pays indépendant que depuis 1991.   Pendant des siècles, l’Ukraine a fait partie de la Russie.   Les mariages mixtes entre Ukrainiens et Russes sont nombreux.   À l’exception des éléments néonazis de Bandera en Ukraine occidentale, l’Ukraine est autant russe qu’ukrainienne. Poutine le souligne et désavoue toute hostilité envers les Ukrainiens autres que les néo-nazis russophobes. Il veut épargner des vies ukrainiennes et éviter de détruire leurs villes en vue de meilleures relations une fois le pays dénazifié. »

Seulement voilà :

« Mais cette position noble et pratique est-elle réaliste ? Le problème est que cette politique fonctionne contre la Russie autant qu’elle fonctionne pour elle.   Les milices néo-nazies ont immédiatement réalisé que la Russie leur avait donné un grand avantage militaire.   Ils se sont installés avec leurs armes lourdes au milieu des populations civiles qu’ils interdisent de quitter.   Ainsi, les milices peuvent tirer sur les positions russes sans recevoir de tirs en retour.  Par conséquent, les éliminer devient une opération très meurtrière de combats maison par maison, rue par rue. »

Le retard dessert les armées russes :

« Cela signifie aussi un retard.   Un retard signifie plus de temps pour l’opération psy-ops des médias occidentaux contre la Russie.   Le retard durcit ainsi la haine occidentale contre la Russie, mais sans générer la peur de la provoquer et de la menacer, car l’opération semble s’enliser, suggérant que l’armée russe est une menace moindre à laquelle on peut s’opposer avec succès.   Selon certaines informations, 16 000 volontaires et armes américaines affluent en Ukraine pour piéger la Russie dans une guerre prolongée qui entraînera la famine des Ukrainiens, plus d’eau pour le moulin psyops. »

Même Kadyrov se plaint de ne pas avoir les mains libres :

« La guerre c’est l’enfer. » Le Kremlin essaie de mener une guerre sans l’Enfer, et les troupes russes en paient le prix. Observant les pertes russes, le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a dit à Poutine de s’écarter et de laisser l’armée mener une opération militaire. Cela n’a aucun sens, a-t-il dit, de sauver des vies ukrainiennes aux dépens de Russes. Le dirigeant tchétchène est un allié fidèle de Poutine.   Pour lui, s’exprimer ainsi est une indication que la politique de Poutine risque de démoraliser l’armée russe et de saper le soutien de Poutine parmi les nationalistes russes. »

Tendre la joue ne sert à rien avec l’occident anglo-puritain :

« De plus, Poutine n’obtient aucun crédit pour avoir tenté de minimiser les pertes civiles. Les médias occidentaux regorgent de gros titres selon lesquels “la Russie a intensifié ses attaques contre les civils”. Même à cette date tardive, le Kremlin n’a pas appris que quoi qu’il fasse, la Russie sera peinte dans les termes les plus noirs. La réponse de l’Occident sera la même, que Poutine évite de tuer un seul civil ou tue toute la population. »

La propagande peut être folle et stupide, de toute manière elle marche :

« Les presstitutes et le gouvernement américain accusent même Poutine d’avoir bombardé une centrale nucléaire dans le Donbass. Réfléchissez un instant à cette accusation.   Pourquoi la Russie provoquerait-elle une crise humanitaire dans le Donbass alors que la Russie est entrée en guerre pour sauver le Donbass d’une crise humanitaire ? »

Les cessez-le-feu ne servent à rien : 

« Poutine a déclaré un nouveau cessez-le-feu pour permettre aux civils de sortir des villes encerclées par un couloir sûr. Poutine espère faire sortir les gens pour que l’armée russe puisse attaquer les milices. Mais les milices ne permettent pas aux civils de partir. Les couloirs ouverts sont des voies d’évacuation pour les dirigeants néonazis figurant sur la liste de Poutine pour les procès pour crimes de guerre, et ce sont des points d’entrée pour les armes et les fournitures.

Le Kremlin risque-t-il de perdre le cap ?   Poutine se retrouvera-t-il à gérer une crise humanitaire plutôt qu’à mener une guerre ? »

Craig Roberts a toujours critiqué Lavrov (que d’heures de conciliabules pour rien !) :

« Il est difficile de croire que Lavrov ne comprend pas que Zelensky représente Washington, pas l’Ukraine. Washington voit dans la guerre embourbée une chance de la transformer en crise humanitaire tout en continuant à livrer œil au beurre noir sur œil au beurre noir à Poutine dans la guerre psyops. »

Craig Roberts poursuit durement — car Poutine n’intimide ni l’OTAN ni ses pays candidats, c’est le moins que l’on puisse dire :

« La Russie devait démilitariser l’Ukraine en 48 heures afin d’établir que le franchissement des lignes rouges russes a des conséquences graves et définitives.   Du coup, les pays européens auraient craint de nouvelles provocations. Les bases de missiles auraient quitté la Pologne et la Roumanie. Les Finlandais ne demanderaient pas l’adhésion à l’OTAN.  Au lieu de cela, l’impression est créée que Poutine n’est pas si décisif après tout, que l’armée russe n’est pas si redoutable après tout. Washington continuera de prendre les rênes en Europe et les provocations se poursuivront, aboutissant finalement à une guerre nucléaire. »

On verra pour le nucléaire. Mais que tout cela semble pesé tout de même…

Sources :

http://www.dedefensa.org/article/paul-craig-roberts-en-colere-contre-la-russie




La libération de l’Ukraine et l’effet des sanctions sur la Russie

[Source : Stratpol]

02:50 Généraux français vs Poutine
05:30 Situation militaire
20:14 Poutine vs sanctions




Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Par Gerhard ULRICH

Gerhard ULRICH
Morges, le 06.03.22
Avenue de Lonay 17
CH-1110 Morges

Président de la Confédération
Ignazio CASSIS
Via dei Lucchini 14
CH-6926 Montagnola

cc: 
Tedros Adhanom GHEBREYESUS, directeur général de l’OMS, Av. Appia 20, CH-1211 Genève 27
Antonio GUTERRES, Secrétaire général ONU, 405 East 42nd Street, New York NY 10017 USA
À qui de droit

Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Monsieur le Président de la Confédération,

Il semble que seule la Weltwoche du 04.03.22 ait rapporté la réunion des ministres de la santé des Etats membres de l’ONU à Genève la semaine dernière.

Titre pertinent : « Dans l’ombre de la guerre en Ukraine, l’OMS travaille à un pacte mondial contre la pandémie ».

Dans l’ombre de la guerre d’Ukraine, l’OMS planche sur un pacte pandémique mondial : les confinements transfrontaliers vont devenir le nouvel instrument de la politique internationale

Par Nicolas A. Rimoldi

Alors que le récit Covid-19 implose et que des pays du monde entier lèvent temporairement leurs mesures coercitives largement infondées, la prochaine attaque contre le modèle à succès de la Suisse se profile à l’horizon.

Inaperçue du public, l’OMS travaille actuellement sur un accord sur « la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie ». La communauté internationale doit être « beaucoup mieux préparée à d’éventuelles futures pandémies et agir de manière plus coordonnée tout au long du cycle de détection, d’alerte et de réponse », selon le site officiel du Conseil européen et du Conseil de l’UE. Une première rencontre internationale a eu lieu le 1er mars 2022. Le programme devrait être en place d’ici 2023 et mis en œuvre en 2024. « Nous aurons une autre pandémie », a prédit Bill Gates lors de la Conférence de Munich sur la sécurité.

Cet accord sera contraignant en vertu du droit international. Ceci signifie que le Pacte pandémique de l’OMS sera au-dessus des constitutions nationales ! En conséquence, les États membres seront contraints de mettre en œuvre les mesures décidées par l’OMS. Par exemple, si l’OMS décidait des confinements, la Suisse devrait mettre en œuvre cette ordonnance. Une vaccination obligatoire pour l’ensemble de la population pourrait également être imposée de cette manière. Les États-nations ne pouvaient plus décider eux-mêmes des mesures de lutte contre la pandémie qu’ils souhaitaient mettre en place. La politique souveraine et scientifique, telle qu’on l’observe en Suède, par exemple, appartiendrait ainsi au passé. A l’avenir, la Suisse marchera au pas du reste du monde.

Ralf Dahrendorf mérite ici d’être rappelé :

« Quiconque renonce à l’État-nation perd la seule garantie effective de ses droits fondamentaux à ce jour. Quiconque considère que l’État-nation est dispensable aujourd’hui déclare – aussi involontairement soit-il – que les droits civils ne sont pas indispensables. »

Un déplacement inquiétant du pouvoir des États-nations vers les organisations supranationales peut déjà être observé au cours de la mondialisation. Mass-voll fera tout ce qui est en son pouvoir pour se défendre contre le pacte pandémique de l’OMS et prépare déjà aujourd’hui un référendum. En aucun cas, cette prise de pouvoir ne doit avoir lieu.

Nicolas A. Rimoldi est président du mouvement des droits civiques Mass-full !

Ce que l’ONU, sur ordre des mondialistes, a fait au cours des deux dernières années de la prétendue pandémie déclarée est un crime contre l’humanité. On veut maintenant parachever ce génocide et notre asservissement dans la peste de raccordement prédite par Bill GATES pour octobre de cette année. Car ce pacte de pandémie doit permettre d’atteindre encore plus rapidement les 3 objectifs de la cabale :

– Réduire la population mondiale,

– Pelleter le patrimoine vers le sommet de la pyramide,

– Introduire le transhumanisme.

La guerre en Ukraine n’est qu’une manœuvre de diversion. On le reconnaît au fait que les médias mainstream, dirigés par les oligarques, diffusent à nouveau docilement et simultanément des informations unilatérales dans l’ensemble du monde dominé par l’Occident. On n’y trouve pas un seul mot sur la maison de misère corrompu construite par la CIA, et harcelé par les gangs nazis dans l’Ukraine actuelle.

Que tous ceux qui sont capables de réfléchir se renseignent sur l’évolution historique contemporaine de ce pays avant de se laisser imprégner précipitamment par le lavage de cerveau des journaleux et des politiciens, notamment à l’aide des liens suivants :

Déjà pendant la plandémie, nos Chambres fédérales ont renoncé à notre indépendance et se sont vendues à Big Pharma.

Il est monstrueux de voir comment le Conseil fédéral, applaudi par la caste politique, s’est imprudemment soumis aux instructions des mondialistes et a abandonné notre neutralité séculaire qui a fait ses preuves. La Suisse s’expose ainsi au risque d’être impliquée dans des conflits armés internationaux.

Comme dans tous les pays, le système des partis est totalement délabré Chaque pays a besoin d’un Solon pour reconstruire des démocraties locales entièrement nouvelles.

Reconnaissez enfin qui sont les véritables ennemis de l’humanité, et c’est en prenant connaissance des auditions du Grand Jury que vous le comprendrez le mieux : www.grand-jury.net/
[Voir VF : Grand Jury – Session 2]

Que les institutions internationales chargées de l’eugénisme par les mondialistes, l’OMS, l’ONU et GAVI, aillent en enfer. Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Avec mes compliments

Gerhard ULRICH




Un Français combat au Donbass

[Source : Investig’Action]




Comment les sanctions accélèrent le Reset et la débâcle occidentale

Par Nicolas Bonnal

Comment les sanctions accélèrent le Reset et la débâcle occidentale :

« Le litre d’essence est à 2,13 euros, les 1000 m3 de gaz à 2500 dollars. On n’est qu’au début. Autrement dit pour nos énarques Trissotin : les sanctions ne renforcent pas les Russes ; elles les enrichissent. Et Poutine finance ainsi ses opérations. Il reste à ces élites mondialistes à se venger sur leur troupeau, ce qui semble facile vu le degré de soumission ou de conditionnement de ces populations accoutumées à être conditionnées et maltraitées. On pourrait avoir la confiscation de l’argent, la fin du gaz et de toute électricité, la fin des usines (déjà arrêtées en Allemagne), bref le Grand Reset de Schwab ou le plan Morgenthau, le célèbre banquier de Roosevelt qui voulait réduire de moitié la population allemande. »

J’ai demandé récemment si on vivait le Grand Reset ou simplement le grand épisode apocalyptique occidental : fin des énergies fossiles, fin de l’ère industrielle et bon écroulement de la cité Potemkine euro-américaine bâtie sur une montagne de dettes. La guerre de Poutine accélère cette formidable déglingue que certains ont prophétisée. Et comme il m’arrive d’être optimiste, je dirais qu’il semble difficile d’établir une dictature totalitaire et numérique dans le cadre d’un effondrement énergétique et systémique. On le peut après une guerre civile, mais je ne vois pas nos brillantes élites la gagner cette guerre.

Le litre d’essence est à 2,13 euros, les 1000 m3 de gaz à 2500 dollars. On n’est qu’au début. Dirigé par des Trudeau, des Macron et des Biden, l’occident est mal parti. Militairement il est nul (voyez mon texte sur Buchanan) et cela se savait en haut lieu. Cela se sait en tout lieu maintenant. Même Zelenski le dit. Il n’avait pas vu la défaite face à l’Iran, la défaite au Yémen, en Syrie et leur retraite de « roussie » en Afghanistan ? Bureaucratie odieuse destinée à plumer le contribuable l’OTAN n’est pas là pour se battre : tout au plus peut-il par son incompétence et sa chutzpah déclencher la Fin du Monde.

Restent la chasse aux chefs d’orchestre et la guerre hybride — qui n’est pas très brillante intellectuellement (souvenez-vous des frites rebaptisées Freedom fries pendant la très utile et morale guerre contre l’Irak). Patrick Armstrong repris par Bruno Bertez écrit à ce sujet :

« Pour l’Occident, tel qu’il a été, c’est fini. La confusion, les conneries, la vantardise, l’hystérie, les interdictions : l’Occident n’a plus rien dans sa besace. Verser de la vodka russe dans les toilettes, virer un chanteur et réalisateur, changer le nom d’une boisson ou d’une salade, interdire les chats ou les arbres, sanctionner un ploutocrate russe et voler son yacht, porter un t-shirt bleu et jaune. Pathétique. »

Il reste les sanctions, les goulues et jouissives sanctions, les érotomanes sanctions qui vont nous faire encore plus mal qu’à la Russie. Pourquoi ? « Les Occidentaux ne se tirent plus de balles dans le pied, mais dans la tête », disait Charles Gave à Bercoff. On rappellera que nous vivons dans une idiocratie, et ce dans tous les pays occidentaux. Pepe Escobar écrit lui sur notre présent effondrement industriel :

« … L’Allemagne et d’autres pays n’ont pas commencé à ressentir la douleur de la privation de gaz, de minéraux et de nourriture. CELA va être le vrai jeu… jusqu’à 60 % des industries manufacturières allemandes et 70 % des industries italiennes pourraient être contraintes de fermer définitivement, avec des conséquences sociales catastrophiques. La machine européenne ultra-kafkaïenne non élue à Bruxelles a choisi de commettre un triple hara-kiri en se présentant comme des vassaux abjects de l’Empire, en détruisant toutes les impulsions de souveraineté française et allemande restantes et en imposant l’aliénation de la Russie et de la Chine. »

L’occident anglo-saxon en est réduit comme à ses débuts (cf. Keynes) à la piraterie (on vole l’or, l’argent, les yachts, tout ce qui traîne).

Mais Patrick Armstrong ajoute :

« Le judo consiste à tromper et à utiliser la force de l’adversaire contre lui. Poutine, le judoka, a poussé l’Occident au suicide. Il a dévoilé ce qui n’était pas compris : Mettez votre argent dans nos banques, nous pouvons le confisquer ; placez vos actifs sur notre territoire, nous pouvons les voler ; utilisez notre argent et nous pouvons l’annuler ; mettez votre yacht dans notre port, nous pouvons le pirater ; Mettez votre or dans notre coffre, nous pouvons le saisir. »

Les conséquences sont claires avec la méfiance de tous les pays émergents (c’est le retour de Bandoeng ou du communisme nationaliste de décolonisation) et fin rapide du SWIFT :

« C’est une leçon qui retentira dans le monde entier. Une illustration nue que “l’ordre international fondé sur des règles” est simplement une fiction : nous élaborons les règles et vous ordonnons de leur obéir. Dans 2 ou 3 semaines, tout le monde dans le monde qui est sur la liste des cibles potentielles de l’Occident aura déplacé ses actifs hors de portée de l’Occident. Xi se permettra un petit sourire. »

@sosochannn

♬ son original – Sosochannn


Et Armstrong conclut :

« Quant aux sanctions occidentales contre la Russie, je pense qu’il y a une réponse très simple à cela : la semaine dernière, 1 000 mètres cubes de gaz coûtaient 1 000 $ ; aujourd’hui, c’est plus du double. La semaine prochaine, ce ne sera certainement pas moins cher. 

Idem pour l’aluminium, la potasse, le titane, le blé. Les compagnies aériennes russes louent leurs avions Maintenant quoi ? Moteurs-fusées russes. Ce que les Occidentaux ne comprennent pas, c’est que le rouble est la monnaie que les Russes utilisent à l’intérieur du pays, mais que le prix du pétrole et du gaz est la monnaie russe à l’extérieur du pays. Je suis stupéfait de la stupidité : ils se coupent la gorge et détruisent leurs propres économies. »

Autrement dit pour nos énarques Trissotin : les sanctions ne renforcent pas les Russes ; elles les enrichissent. Et Poutine finance ainsi ses opérations. Les menaces démentes de Biden contre l’Inde et le reste du monde ne risquent pas d’accroître la confiance dans ce système américain qui peut à tout moment voler sa clientèle.

Comme on sait, les Russes (cf. Laurence) ont des problèmes avec leurs banques, avec Apple, avec Facebook, avec Google, les GAFAM étant la dernière émanation impériale destinée à nous tourmenter plus que les Russes ou les Chinois. Mais rien qui ne puisse être réglé promptement (voir l’article de Karine à ce sujet), et celui d’Escobar sur la doctrine Glaziev (couper les ponts avec l’occident, et passer à l’étalon-or).

Il reste à ces élites mondialistes à se venger sur leur troupeau, ce qui semble facile vu le degré de soumission ou de conditionnement de ces populations accoutumées à être conditionnées et maltraitées. On pourrait avoir la confiscation de l’argent, la fin du gaz et de toute électricité, la fin des usines (déjà arrêtées en Allemagne), bref le Grand Reset de Schwab ou le plan Morgenthau, le célèbre banquier de Roosevelt qui voulait réduire de moitié la population allemande.

Sources :

https://thesaker.is/how-russia-will-counterpunch-the-u-s-eu-declaration-of-war/

https://russiepolitics.blogspot.com/2022/03/premiere-victoire-de-larmee-russe.html




5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Carol Bedrosian

Publié le 24 août 2021 sur
https://www.spiritofchange.org/5g-the-inconvenient-truths-about-wireless-technology/

Bien que j’aie partagé des articles et des rapports pendant plusieurs années dans Spirit of Change sur les dangers de la technologie 5G, des compteurs intelligents et des téléphones cellulaires, je dois admettre que j’ai également entretenu ma part de scepticisme à ce sujet. Comment les téléphones portables et la mobilité sans fil peuvent-ils être une mauvaise chose ? Cependant, je ressens une profonde compassion pour ceux qui souffrent manifestement d’une agression invisible et inéluctable sous la forme d’une sensibilité aux rayonnements électromagnétiques – les canaris dans la mine de charbon – car la source de leur maladie reste un mystère pour le grand public.

J’ai été choquée de découvrir, en 2017, lorsque ma fille a été opérée pour retirer une tumeur cérébrale derrière son œil/oreille droit, qu’au moins une douzaine de ces méningiomes bénins (la majorité chez de jeunes adultes) étaient retirés chaque semaine dans ce seul hôpital ! Les tumeurs cérébrales n’étaient-elles pas autrefois un diagnostic rare ?

Les rapports selon lesquels les cellulaires provoquent le cancer du cerveau circulent depuis l’apparition des téléphones portables, et avec eux les démentis. La technologie sans fil a apporté une commodité, une communication et une mobilité inégalées dans nos vies. Personne ne veut y renoncer.

En même temps, sa présence dominante a émoussé notre conscience des personnes, des lieux et des choses qui dévoilent le côté sombre de ces appareils. Comme nous le découvrons aujourd’hui, le rayonnement électromagnétique émis par la technologie sans fil nuit à notre santé mentale et physique. Après tout, la connectivité 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 n’est peut-être pas si saine pour les humains, même si le déploiement de la 5G, dont on fait grand cas dans nos vies, est présenté comme la plus rapide, la plus claire et la meilleure super-autoroute de communication qui soit, ce qui est censé être une bonne chose, non ?

Dans les années 40, 50 ou 60, personne ne pouvait imaginer que la cigarette pouvait être mauvaise pour la santé. Les médecins fumaient, les dentistes fumaient, tout le monde fumait ! Ou dans les années 70 que le plomb dans les conduites d’eau, la peinture et l’essence pouvait être dangereux. Mais ils l’étaient. Les gens ont d’abord dû s’informer sur ces problèmes, puis choisir de nouveaux comportements.

C’est exactement ce type de moment décisif qui se présente à nous en ce qui concerne l’utilisation de la technologie sans fil dans nos vies. Devons-nous nous lancer à corps perdu dans la commodité qu’un avenir entièrement connecté peut nous offrir ou y a-t-il des vérités dérangeantes sur la 5G et la technologie sans fil que nous devons d’abord connaître ?

Cecelia (Cece) Doucette a passé huit ans à collecter des fonds pour introduire la technologie sans fil dans des écoles. Puis elle a appris qu’elle était nocive, a enquêté sur la science financée par l’industrie et a aidé les écoles de ses enfants du district scolaire d’Ashland, dans le Massachusetts, à devenir les premières du pays à prendre des mesures de précaution avec la technologie sans fil, en 2015.

Depuis lors, Cece a éduqué, contribué à légiférer et plaidé sans relâche pour mettre en lumière les dangers de la technologie sans fil en exposant les milliers d’études ignorées, les témoignages d’experts et les voix de ceux qui souffrent d’électrohypersensibilité (EHS). Elle a créé l’association Massachusetts for Safe Technology pour rassembler les communautés sur cette question vitale et travaille avec les écoles, les communautés, les municipalités et les corps législatifs pour aborder la question du rayonnement sans fil et de la santé publique.

Elle est également directrice des services éducatifs de l’organisation internationale à but non lucratif Wireless Education, qui propose des programmes de formation en ligne abordables de 30 minutes destinés spécifiquement aux écoles et aux familles, ainsi qu’une formation à la sécurité en entreprise. On a pu la voir sur Genius of WellnessBoston25 News, PBSO’Dwyer’s, EMF Warriors, ainsi que dans les films Generation Zapped et Wi-Fi Refugees.

Alliant ses compétences d’experte en rédaction technique à un dévouement passionné pour motiver les autres, Cece a réussi à mobiliser un mouvement de sensibilisation aux champs électromagnétiques (CEM) dans le discours public et dans les législatures de la Nouvelle-Angleterre. Comme pour le plomb, l’amiante, les cigarettes et les gras trans, nous avons encore le temps de protéger la santé publique, mais seulement si nous identifions dès maintenant la technologie sans fil comme un problème et prenons des mesures pour y remédier.

CAROL BEDROSIAN : Que sont les CEM de RF ? Qu’est-ce que la 5G ?

CECE DOUCETTE : En termes simples, ce sont les champs électromagnétiques de radiofréquence, c’est-à-dire le rayonnement qui émane de tous les appareils de communication sans fil. Certains trouvent qu’il est plus facile d’en parler en termes de rayonnement micro-ondes, ce qui est le cas. Bien que cela peut être surprenant pour ceux qui découvrent ce sujet, lorsque nous regardons ce que l’on appelle le spectre électromagnétique, qui nous montre les ondes et les longueurs d’onde qui transportent nos données dans les deux sens, toute cette technologie sans fil appartient au segment des micro-ondes du spectre électromagnétique. Sans être plus technique que nécessaire, cela montre simplement la vitesse et la longueur des ondes qui nous arrivent. À mesure que l’on monte dans la gamme de la 5G, qui signifie simplement technologie cellulaire de cinquième génération, ces longueurs d’ondes deviennent de plus en plus courtes, de sorte qu’elles nous arrivent sous forme d’impulsions de plus en plus rapides. Ce sont ces impulsions, ou modulations, qui, selon la science, sont vraiment biologiquement destructives.

CAROL BEDROSIAN : De quel genre de science parlez-vous ?

CECE DOUCETTE : Eh bien, peu de gens le savent, mais il y a littéralement des milliers d’études scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent un grand danger biologique. Je pense que si nous n’en entendons pas parler, c’est parce qu’il y avait autrefois une cinquantaine de grands médias aux États-Unis, mais que ces dernières années, de nombreuses sources pour les journalistes d’investigation ont été rachetées par les entreprises qui font la promotion de ces produits et infrastructures sans fil toxiques. Nous n’avons donc plus de véritable journalisme d’investigation sur cette question, car nos journalistes et les dirigeants de leurs réseaux ne peuvent pas se permettre de mordre la main qui les nourrit. Mais quand j’ai fouillé un peu, j’ai été complètement stupéfaite de trouver littéralement des milliers d’études évaluées par des pairs qui relient l’impulsion constante de ces rayonnements à des effets à long terme tels que les cancers et les dommages à l’ADN, cette feuille de route pour faire pousser n’importe quoi, des humains aux plantes, aux animaux. Cela ne concerne pas seulement nous, mais toutes les cellules vivantes de notre monde.

La neuropédiatre Dre Martha Herbert, qui a fondé le programme pour l’autisme à l’hôpital général du Massachusetts, a identifié d’énormes corrélations entre ce que nous savons scientifiquement se produire avec cette exposition aux micro-ondes et ce qu’elle voit chez les enfants autistes et les familles dont elle s’occupe. Le TDAH est lié à cela, et nous savons scientifiquement que les rayonnements électromagnétiques sont à la fois neurotoxiques et immunosuppresseurs. Alors que nous vivons maintenant à l’ère de la pandémie de COVID-19, il ne s’agit pas seulement de ce virus. Il s’agit de faire tout ce que nous pouvons en tant qu’individus pour renforcer notre propre système immunitaire et éliminer le rayonnement sans fil.

L’un des impacts à long terme qui a vraiment attiré mon attention, lorsque j’ai commencé à enquêter sur ce sujet vers 2012/2013, c’est lorsque j’ai commencé à lire les études sur la science de la reproduction. Ils ont pris du sperme humain mâle et l’ont exposé à un ordinateur portable avec les antennes allumées, et cela a changé l’ADN. Cela a ralenti la motilité, et cela a causé beaucoup moins de spermatozoïdes viables avec seulement quatre heures d’exposition sans fil. Et nous venions juste de donner à notre plus jeune fille un ordinateur portable pour aller à l’école secondaire. Bien sûr, où l’utilisait-elle, mais juste au-dessus de ses organes reproducteurs. (Voir ces études sur les risques durant la grossesse.)

C’est ce jour-là que j’ai trouvé ma voix et que j’ai commencé à parler à mes écoles. Les effets à long terme mis à part, la science montre également que de nombreuses personnes souffrent actuellement des symptômes du syndrome des micro-ondes, mais qu’elles ne pensent jamais à se demander si cela est lié à l’exposition à leur technologie sans fil. Cette maladie des micro-ondes est également appelée sensibilité électromagnétique ou l’EHS. Pour ceux qui pensent que tout cela est peut-être psychologique, notre propre gouvernement reconnaît déjà les sensibilités électriques par le biais de l’Americans With Disabilities Act, bien qu’il n’offre que peu de protection.

Parmi les symptômes que les gens ressentent en ce moment, parmi les plus importants concernent le sommeil. L’insomnie, les cauchemars, les terreurs nocturnes – rappelez-vous, il s’agit d’une neurotoxine. La science indique que cela affecte notre sommeil aux petites heures de l’obscurité. La glande pinéale dans le cerveau est censée libérer la mélatonine, qui régule notre sommeil. Elle aide également à évacuer les toxines de la journée hors de notre corps, par la circulation sanguine. Ce que la science nous montre, c’est que cette énergie lumineuse sous forme de rayonnement micro-ondes – elle est invisible – continue de pulser toute la nuit, et notre cerveau le perçoit. Le cerveau pense que les lumières sont allumées et qu’il n’y a pas d’obscurité jusqu’au petit matin, alors le cerveau ne libère pas la mélatonine de la glande pinéale. Il y a alors tout un effet en aval qui commence à se produire lorsque nous ne dormons pas bien.

L’une des autres choses que la science a indiquées comme mécanisme de nuisance est ce qu’on appelle l’effet Rouleaux. Je me souviens que lorsque j’étais enfant, j’adorais manger des bonbons appelés Rolos – ces petits chocolats au caramel qui sont empilés les uns sur les autres dans une pochette. Eh bien, c’est un peu ce qui se passe avec notre sang. Chez certaines personnes, lorsqu’elles sont exposées à ces rayonnements de radiofréquence et que l’on observe leur sang au microscope, les globules rouges qui sont censés flotter librement et oxygéner tous nos systèmes biologiques commencent à s’aimanter et à s’agglutiner comme une rangée de Rolos. Une fois que toute cette chaîne de collage s’est mise en place, les globules rouges ne peuvent plus atteindre les endroits qu’ils doivent oxygéner correctement. Il n’est pas étonnant que tant de gens aient des maux de tête, des saignements de nez, des nausées, des vertiges et de l’anxiété.

Un autre effet que nous voyons est dans un cadre médical contrôlé. Nous savons que nous pouvons utiliser cette technologie de rayonnement par radiofréquence d’une manière vraiment positive pour stimuler les cellules souches, pour stimuler la croissance des cellules osseuses. Mais dans le contexte actuel d’omniprésence de l’électrosmog dans notre société, nous n’avons aucun contrôle, nous n’avons aucun répit, à moins que nous ne sachions comment évaluer avec discernement les expositions dans notre environnement et supprimer ou réduire ces expositions. Cela permet à notre corps de faire une pause, en particulier pendant les heures de sommeil ; sinon, nous n’avons jamais la possibilité de récupérer et de réparer certains de ces symptômes – les maux de tête, l’insomnie, les saignements de nez, les nausées, les vertiges.

Le Dr Pal Pacher et certains de ses collègues ont réalisé des études qui montrent que nous avons des membranes dans notre corps, y compris dans notre cerveau, qui sont censées protéger les zones sensibles contre l’entrée des toxines lorsqu’elles sont évacuées du corps par le sang. La science montre que la barrière hémato-encéphalique est censée protéger le cerveau des toxines, mais que lorsque nous sommes exposés à ces micro-ondes à radiofréquence, elles peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique. Lorsque les toxines se déplacent dans notre sang pour sortir du corps, elles peuvent prendre un virage et aller dans les tissus sensibles de notre cerveau.

Avant même la pandémie, l’anxiété et la dépression atteignaient littéralement des proportions épidémiques dans notre pays, en particulier chez les enfants, rien de moins. Et qu’avons-nous fait pendant la pandémie ? Nous avons donné à chaque étudiant, chaque enfant, un appareil sans fil, sans aucune formation sur les technologies sûres. Si nous voyons ces chiffres augmenter, si nous voyons de plus en plus d’enfants souffrir d’anxiété, de dépression, d’attaques de panique et d’idées suicidaires, nous devons vraiment examiner de près ce que nous faisons à nos enfants.

En vieillissant, nos propres capacités cognitives commencent à décliner un peu. La science montre également que l’émission constante de micro-ondes entraîne des déficiences cognitives. Ainsi, à tout âge, nous devons être très prudents et opter pour une technologie sûre. Une technologie sûre, ce n’est pas sorcier. Nous l’avions il y a une dizaine d’années lorsque nous faisions passer tous nos signaux de données par des fils et des câbles.

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Ce téléphone sans fil émet des pics de densité dépassant 1 million de microwatt par mètre carré alors que l’on ne devrait pas dépaser 10 μW/m2 dans les chambres, selon les valeurs indicatives de l’Institut de baubiologie. 
https://baubiologie.fr/Valeurs-indicatives-en-baubiologie-SBM-2015-pour-les-zones-de-repos.html

Comment réduire son exposition

Cece

Chez moi, par exemple, lorsque je suis tombé sur le pot au rose, je n’avais personne à qui parler. Et je ne voulais certainement pas croire qu’il y avait quelque chose de mal avec le sans fil, alors j’ai tourné en rond pendant quelques mois pendant que je faisais des recherches scientifiques. Mais une fois que j’ai vraiment regardé ce que ces radiations nous faisaient, j’ai trouvé assez de courage pour dire : « Pas chez moi. J’ai une famille et c’est mon travail de la protéger. » L’une des premières choses que j’ai faites a été de regarder tous ces téléphones sans fil – et j’en avais probablement cinq dans toute la maison – parce que j’avais appris que c’était comme votre propre petite tour de téléphonie cellulaire privée qui émettait des pulsations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, toute la journée, toute la nuit. Combien d’entre nous ont ces téléphones sur leur table de nuit avec la station de base qui émet des pulsations toute la nuit ? J’ai fini par les remplacer par des appareils qui se branchent directement sur le téléphone et une prise dans le mur, et vous avez alors une ligne terrestre sûre.

Ensuite, j’ai commencé à examiner notre technologie informatique à la maison. Je suis rédactrice technique et mon outil de travail est mon PC. Heureusement, il était déjà câblé, il passait par un câble Ethernet et était branché dans la prise Ethernet du mur. Et mon imprimante était déjà reliée à mon ordinateur par un autre câble. Il m’a donc suffi d’aller dans les paramètres de l’imprimante et de désactiver toutes les antennes sans fil. Ensuite, je suis descendu dans une boîte que j’avais au sous-sol, où se trouvaient mon ancien clavier et ma vieille souris, et j’ai simplement branché mon ancien clavier et ma vieille souris filaires, et j’avais alors une technologie parfaitement sûre.

À un moment donné, mon ordinateur a dû subir une mise à jour logicielle et un petit signal Wi-Fi s’est affiché sur l’écran de mon ordinateur. Je suis donc allé dans les paramètres de mon ordinateur, j’ai trouvé d’où venait ce symbole sans fil et je l’ai désactivé. C’est un processus en deux étapes. Vous devez tout rebrancher pour le câbler, puis vous devez aller dans votre appareil et désactiver ces antennes sans fil.

Pour les personnes qui repartent à zéro, la première chose à faire est de se rendre à l’endroit où se trouve leur routeur et de regarder à l’arrière de celui-ci. Vous verrez qu’il y a des prises pour les câbles Ethernet ; c’est comme ça que vous commencez. Vous achetez des câbles Ethernet. Vous aurez peut-être besoin d’en acheter un gros et long. Mon routeur se trouve au sous-sol. Avec l’aide d’un électricien, vous ferez donc passer les câbles le long des murs jusqu’aux pièces où vous utilisez la technologie, puis vous installerez une prise dans le mur. Recherchez un câble Ethernet blindé, d’une longueur égale à celle dont vous avez besoin pour atteindre vos appareils. Je dis blindé car une autre forme de champ électromagnétique est l’électricité sale [l’interférence électromagnétique de hautes fréquences transitoires]. Dans nos codes de construction, ici aux États-Unis, lorsque vous construisez un bâtiment commercial, vous devez utiliser un câble Ethernet blindé, mais dans les zones résidentielles, ils ne sont pas obligés d’utiliser des câbles blindés, ce qui est regrettable.

Le blindage signifie qu’il y a une feuille d’aluminium à l’intérieur du câble Ethernet ; la feuille d’aluminium empêche le champ électrique et le champ magnétique de votre électricité et de votre technologie de se répandre dans la pièce. Les personnes sensibles à l’électricité peuvent souvent sentir le champ électromagnétique qui se dégage des fils de leur maison. Si vous achetez un câble Internet, prenez un câble Ethernet blindé.

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Lorsque ma fille est arrivée à l’âge de partir à l’université, en deuxième année, elle a pris un appartement et je lui ai envoyé un kit qui lui permettait de câbler son appartement. Je lui ai envoyé un câble Ethernet de 15 mètres et un boîtier de commutation Ethernet. Elle a branché le long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis deux câbles courts, tous deux blindés – un pour son téléphone portable et un pour son ordinateur portable. Vous pouvez acheter ces petits adaptateurs qui vous permettent de câbler votre téléphone portable, votre ordinateur portable, votre tablette ou tout autre appareil que vous utilisez. Je sais que ce n’est pas le colis typique que vous enverriez à votre étudiant, mais j’y ai mis aussi du chocolat.

J’ai dit : « Prends une photo et fais-moi savoir que tu l’as fait. » Elle a fait mieux que moi et a filmé depuis son salon où se trouvait le routeur. Elle m’a montré comment elle avait posé le long câble Ethernet du salon à la chambre en passant par la cuisine et le couloir. Elle m’a ensuite montré comment elle avait branché l’autre extrémité du long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis branché les deux câbles courts pour ses appareils. Elle les a ensuite branchés à l’aide de ces petits adaptateurs. Une fois ses appareils câblés, elle s’est branchée sur son téléphone portable et son MacBook et a éteint toutes les antennes.

Quand je lui ai appris ça, elle était au secondaire et, vous savez, elle n’était pas folle d’entendre ça. Quand on a 15 ans, on veut être comme tous les autres enfants, et on ne veut certainement pas être l’enfant de la mère qui découvre que le sans fil est dangereux. Elle était un peu réticente à me suivre pendant que je comprenais tout ça. Mais nous étions là, à câbler son nouvel appartement. Après qu’elle soit allée dans ses paramètres et ait tout éteint, j’ai dit, « Ok, fais quelque chose et regarde si ça marche. » Et elle a dit, « Oh mon dieu, maman, c’est tellement plus rapide que le sans-fil! »

CAROL BEDROSIAN : Comment peut-on câbler un téléphone portable ? Cela ne signifie-t-il pas que vous ne pouvez pas vous éloigner de la prise ?

CECE DOUCETTE : C’est une excellente question, Carol, parce que l’une des choses que nous devons ajuster dans nos esprits est le facteur commodité. En ce moment, je vous parle sur une ligne terrestre. Je ne peux pas me lever et marcher dans toute la maison avec ça, alors j’ai ajusté mon comportement. Avec un téléphone portable, c’est vous qui choisissez : est-ce que je veux m’exposer à des radiations radioélectriques pour le confort de me promener avec, ou est-ce que je veux établir de nouveaux modèles de comportement où, peut-être dans mon salon, j’ai un câble Ethernet relié à l’adaptateur qui va à mon téléphone portable ?

Aujourd’hui, la plupart des activités des enfants sur leur téléphone ne consistent pas à passer des appels téléphoniques. La plupart du temps, ils se connectent à leurs amis et à leurs médias sociaux sur Internet. Et tout ce que vous pouvez faire sur Internet, vous pouvez le faire via une connexion câblée. Ce que vous pouvez également faire avec votre téléphone portable, c’est transférer vos appels vers une ligne terrestre, ou vous pouvez brancher votre téléphone directement et utiliser Internet par le biais d’un câble.

C’est libérateur de ne pas être attaché à son téléphone portable tout le temps. C’est tellement malsain pour notre système nerveux central d’être constamment à l’écoute de ce petit ping qui arrive : quelqu’un vous cherche, il veut quelque chose de vous et il le veut maintenant. Ce n’est pas une façon saine de vivre nos vies. Nous avons été dans cette lune de miel tout-WiFi-tout-le-temps que l’industrie a perpétué. Et maintenant, avec un peu d’éducation, nous pouvons dire : « Hmm, il y a des choix à faire ici. Est-ce que c’est vraiment bon pour moi d’être tout le temps sur un appareil devant un écran, ou sachant ce que je sais maintenant, est-ce que je veux commencer à reprendre ma vie en main et à contrôler ce qui est important pour moi dans ma vie, au lieu d’être tout le temps à l’écoute de cet appareil ? »

Je me rends compte que les dommages causés par les radiations sans fil sortent du champ de vision de la plupart des gens, surtout lorsque vous parlez à des professionnels comme les ingénieurs et les physiciens, même les médecins, les infirmières et les technologues. La plupart d’entre eux ont appris qu’il faut qu’un appareil échauffe vos tissus corporels pour qu’il y ait un risque biologique. C’est parce que lorsque la Commission fédérale des communications (FCC) a fixé les limites d’exposition du public aux rayonnements, elle les a fondées sur ce facteur thermique. Or, la science montre qu’il n’est pas nécessaire d’élever la température du corps pour lui nuire. Ainsi, nous avons ces limites de sécurité d’exposition aux rayonnements qui sont très élevées, et l’industrie peut continuer à produire toutes ces solutions d’infrastructure et ces appareils personnels qui émettent une quantité incroyable de ces impulsions de micro-ondes. Pourtant, la science montre que les dommages biologiques se produisent à des centaines de milliers de fois en dessous de ce que la FCC [ou Santé Canada] autorise comme étant sûr.

Un dossier fédéral a été ouvert en 2012 ou 2013, dans lequel le Government Accountability Office [Bureau de la responsabilité gouvernementale des États-Unis] a indiqué à la FCC que nous devions réévaluer nos limites d’exposition. La FCC a donc ouvert un dossier et les scientifiques, les médecins et le public qui sont tombés malades à cause de cela, ou qui ont perdu des êtres chers à cause des tumeurs cérébrales glioblastomes ou des neurinomes acoustiques ou des cancers de la thyroïde, ou qui souffrent tout simplement au jour le jour de maladies dues aux micro-ondes, ont tous apporté leur témoignage dans ce dossier, littéralement des centaines et des centaines. Ils ont laissé ce dossier ouvert pendant six ans, alors que le public était de plus en plus saturé par ces radiations micro-ondes. Et puis, à la fin de la journée, ils ont fermé leur dossier en 2019, et ont résumé que nous n’avons pas vraiment besoin de changer aucune de ces limites d’exposition aux rayonnements. Une fois que cette décision a été mise dans quelque chose appelé le registre fédéral, elle a été officiellement déposée, et les poursuites ont commencé.

Il y a un groupe incroyable de médecins et de scientifiques à l’Environmental Health Trust. Leur fondatrice, la Dre Devra Davis, est co-lauréate du prix Nobel de la paix en tant que membre du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat. Elle s’occupe du problème du sans fil depuis des années et l’a bien compris. Elle et sa directrice exécutive, Theodora Scarato, ont poursuivi la FCC. Et au même moment, l’association Children’s Health Defense de Robert F. Kennedy Jr. a également poursuivi la FCC pour avoir négligé la science. Ces deux procès ont été combinés en cour fédérale et ils ont imprimé toutes ces preuves scientifiques qui ont été données à la FCC. Il y avait 11 000 pages de témoignages qui ont été remis à trois juges fédéraux dans 27 volumes de classeurs.

Les arguments oraux ont été présentés en janvier 2021 devant ces juges. Après que les personnes poursuivant l’industrie aient présenté leurs arguments oraux, la FCC a présenté les siens. L’un des juges a indiqué qu’il était enclin à se prononcer contre la FCC. Un juge ne dit presque jamais cela pendant les arguments oraux. Il a demandé aux avocats de la FCC quelle diligence raisonnable ils avaient exercée pour arriver à la conclusion que nous n’avions pas besoin de mettre à jour les limites d’exposition du public aux radiations. La FCC a dit que la Food and Drug Administration a dit que ces limites sont bonnes. Le juge a donc demandé quelle diligence raisonnable la FDA avait exercée pour arriver à cette conclusion.

Je pense qu’elle aura du mal à trouver quoi que ce soit, car il y a vingt ans, la FDA a demandé au programme national de toxicologie des États-Unis, qui fait partie des instituts nationaux de la santé, de réaliser une étude pour déterminer si les téléphones portables étaient dangereux. Il y a vingt ans, les téléphones cellulaires utilisaient la technologie 2G et 3G, c’est-à-dire la deuxième et la troisième génération. Pendant deux décennies, ils ont mené cette étude sur des rongeurs, puis ils ont procédé à un examen par les pairs sans précédent de trois jours aux National Institutes of Health avec des experts de renommée mondiale dont la vie est consacrée à l’étude des rayonnements micro-ondes.

À l’issue de cet examen par les pairs de trois jours, le National Toxicology Program (NTP) a rédigé son rapport final, dans lequel il conclut à l’existence de preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN. La preuve évidente est la plus haute des cinq catégories qu’ils peuvent attribuer à une enquête. On pourrait donc se demander si le NTP nous dit qu’il existe des preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN, pourquoi il n’a pas pris cela et ne l’a pas traduit en politique publique pour protéger le public ?

Eh bien, il y a quelqu’un de nouveau à la tête de cette partie de la FDA, et c’est le Dr Jeffrey Shuren. En creusant un peu, on découvre que le Dr Shuren est marié à une femme qui est associée dans un cabinet d’avocats qui représente l’industrie du sans fil. Il y a un énorme conflit d’intérêts avec le Dr Jeffrey Shuren. Ajit Pai, qui était le président de la FCC au moment où cette étude du NTP a été publiée, était un avocat principal de Verizon.

Et son prédécesseur était Tom Wheeler. Tom Wheeler était à la tête de la Cellular Telephone Industry Association, qui a changé de nom pour s’appeler CTIA – la Wireless Association. Et avant cela, il était à la tête de l’association du câble. Dans les années 90, une femme est morte de tumeurs au cerveau, et son mari ou son oncologue est passé à l’émission « Larry King Live » pour décrire son cas unique parce que ses tumeurs se trouvaient sur le côté de son cerveau où elles s’alignaient avec les antennes de son téléphone portable au lieu de se développer quelque part au milieu du cerveau. Lorsque l’affaire a été révélée à « Larry King Live », elle est devenue un cauchemar de relations publiques pour l’industrie du sans fil. [L’affaire, Reynard v. NEC, a ensuite été rejetée en 1995 par la Cour.]

Alors, les leaders de l’industrie se sont levés et ont dit :  « C’est horrible. Nous avons les fonds nécessaires. Laissez-nous faire une étude et voir de quoi il s’agit. » Ils se sont associés à notre gouvernement et ont engagé le Dr George Carlo, qui a mis en place une équipe d’environ 200 scientifiques. Ils ont enquêté pendant deux ans, et à la fin de leur enquête, ils ont rapporté à la direction de l’industrie du sans fil que le téléphone cellulaire avait probablement tué cette femme, et que les enfants sont particulièrement vulnérables parce que leurs systèmes sont encore en développement.

Et à ce moment-là, dans les années 90, plutôt que d’invoquer le principe de précaution, qui nous amènerait à atteindre le niveau le plus bas possible pour tout type de rayonnement, ils ont enterré les conclusions du Dr Carlo. L’homme qui a commandé cette étude n’était autre que Tom Wheeler, qui est devenu des années plus tard le président de la FCC. Donc, nous avons un énorme conflit d’intérêts avec nos agences fédérales dans l’industrie. Et maintenant que l’industrie et ses sociétés mères ont racheté tous nos médias grand public, nous n’entendons plus parler des risques liés aux rayonnements sans fil. Mais il ne faut pas longtemps pour identifier les données scientifiques; elles sont facilement accessibles dès que l’on sait comment les chercher [par exemple, voir Effects categories dans la banque de données https://www.orsaa.org/orsaa-database.html].

Au cours de ce voyage dans le Massachusetts, j’ai eu le privilège d’entrer en contact avec d’autres personnes à travers l’État qui étaient également en train de comprendre cela, et qui avaient peut-être un être cher qui est tombé malade ou quelqu’un dans leur famille qui est mort de tumeurs cérébrales ou d’autres cancers qui se développent avec le temps. Nous avons donc créé une organisation sous l’égide d’un organisme à but non lucratif appelé Massachusetts for Safe Technology. Tout le monde est invité à se rendre sur le site www.ma4safetech.org et à y jeter un coup d’œil. Si vous vous inscrivez sur le site, vous recevrez des notifications lorsque des actions seront entreprises pour aider nos communautés à passer à des technologies sûres.

Au niveau de l’État, nous organisons des réunions avec le corps législatif. Nous avons 11 projets de loi qui sont directement parrainés par les législateurs cette session, et il y en a une poignée d’autres qui ont été introduits par les électeurs. Nous avons des projets de loi visant à former une commission pour réunir les bons esprits au niveau de l’État et enquêter sur cette question. Nous avons un projet de loi qui exigerait que chaque compagnie d’énergie donne aux contribuables le droit de refuser les compteurs intelligents, parce que ces compteurs qu’ils installent sur nos maisons pour l’eau, le gaz, l’électricité et maintenant l’énergie solaire, émettent des radiations dans nos maisons 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Toute personne se trouvant de l’autre côté de ce mur – une femme enceinte, un bébé ou un enfant, une personne âgée ou toute personne dont la santé est compromise – est particulièrement vulnérable.

Tous les autres sont également vulnérables à cette fréquence radio. Mais sans consentement éclairé, ils remplacent ces compteurs sur nos maisons qui avaient des compteurs analogiques sûrs et en état de marche, que les releveurs de compteurs venaient relever tous les mois, pour ensuite faire notre facturation. Nous n’avons pas besoin de ces nouveaux appareils qui émettent des impulsions des milliers de fois par jour; laissons-les émettre des impulsions une fois par mois pour le relevé.

Au lieu de cela, l’industrie fait de la collecte de données. Ils récoltent nos habitudes, et maintenant ils poussent la 5G [ou cinquième génération de technologie cellulaire] et l’Internet des objets pour que chaque produit que nous ramenons à la maison soit équipé d’un émetteur de radiofréquence. Ils récoltent nos données pour capturer nos schémas d’utilisation sur nos appareils personnels privés, ce qui, pour ceux qui se soucient de la vie privée, soulève un énorme drapeau rouge. Mais pour ceux qui se soucient également de notre santé, chaque fois que vous achetez un nouveau téléviseur ou un nouvel appareil ménager, il peut contenir une antenne sans fil. Ou encore, le siège de pot pour l’apprentissage de la propreté de votre enfant, on vous encourage maintenant à y brancher un iPad, pour que votre enfant puisse s’asseoir là, s’entraîner à la propreté et jouer sur un ordinateur qui l’irradie. Si nous voulons de la technologie, nous pouvons avoir toute la technologie que nous voulons, mais elle doit être câblée et ne pas être sans fil.

Nous avons un projet de loi qui existe depuis plusieurs sessions pour que notre ministère de l’Éducation primaire et secondaire commence à protéger les enfants à l’école. Nous avons également témoigné devant le Conseil de l’éducation élémentaire et secondaire à plusieurs reprises. Un jour, je me suis assise avec le commissaire intérimaire et je lui ai demandé : « Est-ce que vous faites quelque chose pour protéger nos enfants ? » Et il a répondu, « Nous attendons les autorités supérieures. » Et j’ai dit : « En fait, j’ai rédigé des fiches d’information sur les CEM avec notre département de la santé publique au niveau de l’État en 2016, et on m’a dit qu’elles seraient diffusées au public dans trois mois. » Nous voici en 2021, cinq ans plus tard, et elles n’ont jamais vu le jour!

Le Dr Joel Moskowitz est le directeur [du Centre de santé familiale et communautaire] de l’École de santé publique de l’Université de Californie à Berkeley, et il a essayé de faire publier cette fiche d’information également. Le département de la santé publique (DSP) n’a pas voulu la lui communiquer, alors il s’est adressé au rédacteur en chef du Boston Globe, qui en a parlé. Ensuite, au lieu de publier les conseils sur les CEM basés sur les faits, le DSP a mis en place une page CEM sur le site Web de l’État sur le contrôle des radiations pointant vers de fausses informations publiées par nos agences fédérales capturées par l’industrie. Plus tôt, le Dr Moskowitz a obtenu que des avocats de Berkeley fassent du travail bénévole pour lui afin de poursuivre le Département de la santé publique de Californie pour qu’il publie une fiche d’information de santé publique similaire, écrite en 2009. Ce procès a eu lieu en décembre 2017 [et il a eu gain de cause, on peut lire cette fiche ici]. Cela aurait dû faire la une des journaux dans le monde entier – les téléphones portables présentent des risques – et si certains médias locaux en Californie ont couvert l’affaire, elle a généralement été étouffée par les grands médias d’entreprise.

CAROL BEDROSIAN : C’est plus qu’un simple risque pour la santé. Il s’agit d’un énorme changement de comportement. Pensez à l’époque où les gens ont dû arrêter de fumer. Le tabagisme faisait partie intégrante de notre culture sociale. Il a fallu beaucoup de temps lorsqu’il a été présenté comme un risque pour la santé avant qu’il ne soit finalement reconnu comme tel et interdit dans certains endroits.

CECE DOUCETTE : C’est un excellent exemple, car nous savions depuis des décennies que fumer était dangereux, et ce n’est qu’en 1964, je crois, que notre directeur des services de santé a finalement tenu une conférence de presse indiquant que nous devions prendre des précautions autour des produits du tabac. C’est une autre question de droit de choisir, mais parce que nous ne donnons pas les faits au public, le public n’a aucune idée.

CAROL BEDROSIAN : Exact. Si les gens avaient cette information, ils seraient peut-être plus motivés pour changer, parce que beaucoup de gens n’aiment pas être esclaves de leurs appareils sans fil, et voudraient reprendre le contrôle de leur vie. Il y aurait plus de motivation.

CECE DOUCETTE : Je pense que beaucoup de gens sentent que quelque chose ne va pas ici, mais comme nous n’entendons que les messages de l’industrie – plus, mieux et plus vite – nous suivons le mouvement. Mais une fois que nous avons la possibilité d’être éduqués, nous pouvons prendre en charge notre propre utilisation.

Mikko Ahonen est docteur en sciences informatiques et un expert finlandais de l’électrosmog.

J’ai eu le privilège d’entrer en contact avec de nombreux scientifiques et médecins de renommée mondiale au cours de ce voyage. En Europe, un couple m’a été présenté, Brett et Lynn West, qui ont commencé à travailler sur cette question et ont reconnu que nous ne pouvons pas régler le problème parce que les gens ne le connaissent pas. Nous avons donc créé un petit organisme à but non lucratif appelé Wireless Education avec l’un des plus grands scientifiques bioélectromagnétiques du monde, le Dr Mikko Ahonen, de Finlande. Nous avons distillé cet énorme volume de science, les risques, ce que font les autres pays et les meilleures pratiques médicales dans des cours qui peuvent être suivis en une demi-heure environ en ligne.

Nous avons un cours pour les écoles et les familles, puis un cours d’initiation à la sécurité pour les entreprises. Après avoir suivi ce petit cours et répondu à quelques questions en cours de route pour renforcer des concepts importants, vous pourrez imprimer un certificat d’achèvement. Il vous permet également d’imprimer une fiche de conseils pratique à la fin du cours, avec des rappels sur les mesures à prendre pour créer un sanctuaire de sommeil à la maison et d’autres rappels de bon sens pour passer à une technologie sûre.

La seule lumière vraiment brillante que nous ayons ici aux États-Unis est venue d’une électrice, Deb Hodgdon, du New Hampshire. Elle s’est jointe à nous pour la projection dans le Massachusetts d’un film primé intitulé Generation Zapped, dans lequel nous entendons des scientifiques et des médecins éminents, ainsi que des personnes qui sont tombées malades à cause des CEM. Deb était tellement reconnaissante de se retrouver avec d’autres personnes pour parler des CEM, car elle en était arrivée à un point où elle était presque sur son lit de mort. Elle avait consulté ses médecins, qui n’arrivaient pas à comprendre ce qui n’allait pas. Elle a payé – comme la plupart des gens finissent par le faire – des milliers de dollars de sa poche pour aller voir des spécialistes qui ne pouvaient pas comprendre d’où venaient tous ces symptômes fous, jusqu’à ce que quelqu’un reconnaisse finalement qu’elle avait des symptômes de la maladie des micro-ondes.

Elle a donc pris toutes les mesures correctives nécessaires et a éliminé les micro-ondes de son espace de vie et de travail. Puis elle a commencé à réinoculer son système et à reconstituer tous les éléments sains qui avaient été épuisés. Lorsque le représentant de son État est venu frapper à sa porte pour demander sa réélection, elle l’a invité chez elle et lui a raconté ce qu’elle avait vécu. Le représentant du New Hampshire, Patrick Abrami, est ingénieur, et les ingénieurs font partie de ces groupes à qui l’on a appris qu’il faut qu’un appareil dégage beaucoup de chaleur pour qu’il y ait des dommages. Elle a partagé avec lui les preuves scientifiques non thermiques qui montrent des dommages, et le représentant Patrick Abrami est retourné en arrière et a réellement fait une plongée en profondeur. Il a commencé à lire la littérature scientifique évaluée par des pairs, au lieu de se contenter des messages que l’industrie lui avait transmis.

Finalement, il a eu ce grand moment de surprise, comme, « Wow, qu’est-ce qu’on fait ici ? », puis il a écrit un projet de loi pour commencer à aborder cette question. Après avoir passé un après-midi à la table de ma cuisine, je l’ai aidé à faire le lien entre les points, et il est revenu en arrière et a renforcé le langage de son projet de loi avec des questions très pointues. Par exemple, pourquoi les petits caractères juridiques de nos appareils nous disent-ils de ne pas les laisser sur notre corps ? Pourquoi la Lloyd’s de Londres, Swiss RE et d’autres grands assureurs ont-ils déjà reconnu qu’il s’agissait d’un risque majeur et ont-ils inclus dans leurs polices des exclusions stipulant qu’ils ne couvriraient pas les dommages causés par les radiofréquences ou les CEM ? Et puis, pourquoi la FCC ignore-t-elle la science au niveau non-thermique ? Et pourquoi autorise-t-elle plus de radiations, cent fois plus de radiations pour notre public, que ne le font certains autres pays ? Et pourquoi personne ne regarde l’effet cumulatif de tout cela ? Qu’arrive-t-il à nos enfants lorsque nous les plaçons dans une salle de classe avec 30 appareils, qui transmettent ces radiations à tous les enfants de la salle, en plus de leurs appareils personnels, de leurs dispositifs portables, et des points d’accès sans fil au plafond ? Personne ne regarde l’effet cumulatif.

Le représentant Abrami a présenté ce projet de loi, et il m’a demandé de venir témoigner avec un certain nombre de résidents du New Hampshire, qui comprenaient cette question. Un biologiste a témoigné pour parler de l’impact environnemental que cela a sur nos oiseaux, nos abeilles et nos plantes. Le Dr Paul Heroux est venu du Canada ; il enseigne l’électromagnétisme à la faculté de médecine de l’Université McGill.

Et puis il y a Frank Clegg. C’est le président retraité de Microsoft Canada. Il a pris l’avion sur son temps et son argent, et il a témoigné. Lorsqu’il a pris sa retraite, il avait suffisamment entendu parler de l’industrie pour savoir qu’il ne fallait pas avoir de sans-fil chez lui, mais il ne comprenait pas vraiment ce que cela signifiait. Il a donc commencé à rencontrer des scientifiques et des médecins de renommée mondiale et, à son retour, il a déclaré :  » Nos limites de rayonnement au Canada et aux États-Unis, ici en Amérique du Nord, ne sont pas sûres.  » Frank Clegg a formé Canadians For Safe Technology, et il est allé au Parlement pour essayer de faire ce que nous faisons ici aux États-Unis, c’est-à-dire obtenir une politique publique qui place les profits des entreprises derrière la santé publique. Parce qu’à l’heure actuelle, ce sont les profits des entreprises qui dominent ; ce qui se passe dans le domaine de la santé publique n’est même pas pris en compte.

CAROL BEDROSIAN : Vous avez mentionné que la 5G a une longueur d’onde plus courte. Ce que nous voyons avec l’installation de la 5G, c’est que les tours sont situées dans des quartiers résidentiels et qu’elles sont plus nombreuses. Pourquoi ont-elles besoin d’être aussi proches ? Est-ce que cela a quelque chose à voir avec les longueurs d’onde courtes ?

CECE DOUCETTE : La façon dont l’industrie conçoit la 5G, qui, soit dit en passant, n’a pas encore été définie techniquement – chaque fournisseur de services sans fil propose sa propre façon de faire – n’a pas encore été normalisée. Ils se contentent de la mettre en avant et de la vendre à tout va pour que tout le monde soit convaincu que la 5G est une excellente chose.

5G signifie simplement cinquième génération, mais il ne s’agit pas seulement d’une suite à la 3G et à la 4G. En fait, nous avons toujours besoin de la 4G parce qu’elle possède les grandes longueurs d’onde qui peuvent traverser un bâtiment et se connecter à vos appareils à l’intérieur. Toute cette infrastructure cellulaire que nous avons déjà, avec ces grandes antennes sur les tours cellulaires appelées antennes macrocellulaires qui ont commencé dans les parcs industriels à 300 pieds dans les airs, au fil des ans, nous les avons vues empiéter de plus en plus près de nos lieux de vie, de travail, de loisirs et d’études (et si vous pouvez la peindre de la même couleur qu’un bâtiment, ils donneront au propriétaire du bâtiment une ristourne pour installer une antenne juste sur un bâtiment où les gens sont de l’autre côté du mur ou sous les antennes de toit qui tombent malades).

Donc, toute cette infrastructure reste. C’est l’épine dorsale du sans fil, de la 5G. Avec la cinquième génération, tout ce qui reste des ondes, ce sont ces minables petites ondes millimétriques, et elles sont minuscules. L’industrie s’imagine qu’avec toutes ces nouvelles ondes millimétriques, nous serons en mesure de vous offrir des téléchargements plus rapides, un streaming plus rapide et des autoroutes intelligentes et superbes. Mais pour que la 5G fonctionne, ces petites ondes ne peuvent pas aller très loin et elles sont perturbées par tout ce qui se trouve sur leur chemin. Leur solution consiste à installer de nouvelles antennes, des antennes supplémentaires, toutes les deux à douze maisons dans nos quartiers, en bordure de nos voies d’accès publiques. Vous voyez ces choses apparaître sur des poteaux, littéralement juste devant les chambres des gens. Et nous voyons des gens qui tombent malades à cause de ça. Nous voyons des enfants qui tombent malades à cause de cela, et ils restent là à pulser 24/7.

Ce que l’industrie a fait avec la FCC, comme elle l’a dit à nos villes par le biais de nouvelles décisions qu’elle a prises, c’est que vous ne pouvez rien dire, vous ne pouvez rien faire, ça vient et vous n’avez aucun recours juridique – ce qui n’est pas vrai, mais nos villes se laissent faire. Les avocats de la ville ne sont pas des experts en droit des télécommunications. Mais si vous faites appel à un avocat expert en télécommunications, il vous indiquera 20 façons différentes dont votre ville peut renforcer ses règlements municipaux et les codifier afin que vous n’ayez pas à céder lorsque l’industrie arrive avec ces demandes.

Je vais vous donner un exemple ici même, à Burlington, dans le Massachusetts. Il y a environ trois ans, Verizon a déposé une demande pour sept antennes de petites cellules. La ville avait plus de questions que Verizon ne pouvait répondre, alors elle a formé un comité sur les petites cellules, et pendant un an environ, elle a enquêté. En plus de leur avocat, ils ont engagé un conseiller spécial spécialisé dans les télécommunications, afin d’être conseillés sur ce qu’ils pouvaient faire pour protéger leur communauté dans les limites de la loi actuelle.

Burlington a élaboré une politique relative aux petites cellules qui énonce des principes de bon sens, comme le fait que, si cette demande est autorisée, tout ce que l’industrie du sans fil met en place doit être conforme à la loi sur les Américains handicapés. Parce qu’ils appellent ces choses « petites cellules », l’industrie va dire que « c’est juste la taille d’un sac à dos sur un poteau ». Mais ce qu’ils ne vous disent pas, c’est qu’ils sont livrés avec une ou deux boîtes de la taille d’un réfrigérateur qui contiennent des ventilateurs de refroidissement, des batteries de secours et bien d’autres choses encore. Burlington a donc déclaré que l’industrie ne pouvait pas placer cet équipement là où il empêcherait une personne en fauteuil roulant de passer sur un trottoir. Et puis, ils ont dit que sur le plan esthétique, tout ce que vous installez doit s’intégrer à l’environnement.

Mais Burlington a ensuite établi que l’industrie ne peut pas simplement venir dans la communauté avec cet équipement sans fil et s’en aller. S’il approuve une demande d’installation de petites cellules, le fournisseur de services sans fil doit accepter de revenir chaque année et de payer pour faire certifier par un tiers indépendant que l’équipement respecte toujours les limites de la FCC en matière d’exposition du public aux rayonnements. Verizon ne voulait pas créer de précédent en matière de recertification annuelle et a donc retiré ses sept demandes de petites cellules. Nous avons constaté que si les citoyens s’adressent à leurs villes, travaillent avec elles et les orientent dans la bonne direction, et qu’une ville commence à renforcer ses règlements ou à mettre en place une politique, l’industrie s’en va souvent parce qu’elle ne veut pas dépenser l’argent et le temps nécessaires pour lutter contre ce que la ville fait pour se protéger.

Chacun d’entre nous dans nos villes devrait s’exprimer dans nos villes. Nous savons que ce n’est pas une mince affaire, car la plupart d’entre nous ne sont pas des experts en la matière, mais si vous allez sur le site www.americansforresponsibletech.org, ils ont rassemblé toutes les meilleures pratiques de tout le pays. Ils proposent un modèle de règlement que vous pouvez présenter à votre avocat et lui dire : « Écoutez, nous avons un gros problème ici. Et voici comment nous pouvons l’apprendre. Et voici ce que nos règlements doivent être modifiés pour inclure. »

Nous devons avoir des marges de recul afin qu’ils ne puissent pas mettre ces choses juste en face de nos maisons. Les études épidémiologiques qui examinent ce qui se passe réellement dans la société révèlent une augmentation des cancers, des troubles du sommeil, des problèmes neurologiques, de l’anxiété et de la dépression, etc. à moins de 500 mètres ou 1 640 pieds d’une tour de téléphonie cellulaire. Certaines villes précisent dans leurs arrêtés municipaux une distance de 1500 pieds de tout lieu de vie, d’hôpitaux et d’endroits où les enfants jouent. Ici, à Shelburne, dans le Massachusetts, je crois qu’ils ont une marge de recul de 1500 pieds pour les habitations, puis une marge de 3000 pieds pour les écoles.

[NDLR : L’article de maison saine s’arrête ici. Ce qui suit, à part la notice sur Carol Bedrosian, provient directement du site source en anglais]

Mais nous ne devons pas nous sentir vaincus car le sans fil est partout. Nous n’en sommes qu’à un moment donné et nous devons nous éduquer, puis regarder ce que les autres ont fait. Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue, mais nous devons tous agir sur ce point, car avec ce procès en cours avec la FCC, l’industrie se déplace encore plus rapidement pour mettre en place son infrastructure sans fil pour la 5G avant qu’on lui dise qu’elle doit la réparer.

De plus, l’industrie a fait une autre manœuvre très habile à la fin du mois de mars. Auparavant, si vous vouliez avoir une antenne parabolique, il s’agissait simplement d’un signal unidirectionnel entre vous et le satellite, et vous pouviez la placer sur votre balcon ou votre toit. Cela était régi par une règle appelée OTARD, la règle du dispositif de réception par voie hertzienne, qui contrôlait ce signal unidirectionnel pour vous donner le signal d’un satellite. Maintenant, l’industrie et la FCC ont changé cette règle, de sorte que vous pouvez maintenant installer un émetteur bidirectionnel ou une antenne cellulaire sur votre propre propriété. En Arizona et au Nevada, des entreprises viennent déjà frapper à votre porte et vous disent : « Hé, nous allons vous offrir la meilleure technologie de pointe si vous nous laissez installer une antenne cellulaire sur votre propriété ». Cette antenne va rayonner et vous saturer, vous, vos proches, vos animaux domestiques, vos pollinisateurs et tous vos voisins, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Et ça n’a même pas besoin de passer par la ville. Ils enlèvent le contrôle local. L’industrie avance à toute allure avant de se faire prendre, il est donc impératif que nous commencions tous à nous renseigner sur ce sujet, puis que nous sortions de notre zone de confort et que nous nous exprimions. Parce que même si vous choisissez de tout câbler chez vous, lorsque votre voisin installe son antenne cellulaire sur son toit, vous serez exposé à courte distance, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Des voix s’élèvent dans tout le pays. Il y a peut-être des groupes déjà formés là où vous êtes. Si vous vous rendez sur le site AmericansForResponsibleTech.org, vous pourrez peut-être simplement rejoindre un groupe qui est déjà en marche. S’il n’y en a pas près de chez vous, ils ont toute une boîte à outils pour vous aider à vous lancer, alors ne vous sentez pas obligé de le faire tout seul.

L’une des plus grandes leçons que j’ai apprises est qu’il ne faut pas se lancer seul. Commencez par informer tous ceux qui vous entourent. Utilisez le film « Generation Zapped » pour organiser une projection dans votre salon ou parlez-en à votre bibliothèque locale. Si votre bibliothèque est abonnée à Kanopy ou Hoopla, ce film fait partie de leur collection, et vous pouvez le regarder gratuitement par l’intermédiaire de votre bibliothèque locale. Demandez peut-être à votre bibliothèque d’organiser une projection et de sensibiliser les membres de votre communauté par la même occasion.

Une fois que vous aurez constitué un groupe de personnes désireuses de garantir la sécurité des technologies, adressez-vous aux conseils municipaux de zonage et d’urbanisme, aux conseils de sélection, aux conseils municipaux et à votre avocat local, mais ne faites pas cavalier seul, car une seule voix peut être très facilement écartée. Une fois que vous avez réuni un groupe de personnes qui ont fait leurs devoirs et qui comprennent vraiment que ce problème doit être abordé, parlez à vos écoles. Commencez à protéger les écoles en vous rendant sur TechSafeSchools.org, utilisez leur boîte à outils et entamez la conversation, car l’industrie a dit à nos écoles que nos enfants devaient posséder cette technologie pour réussir dans la vie.

C’est absolument faux. Le New York Times a publié un article sur les dirigeants de la Silicon Valley et a révélé qu’ils envoyaient leurs enfants dans des écoles sans technologie. En fait, ils font signer à leurs nounous des contrats stipulant qu’il n’y aura pas de technologie ni d’écrans autour de leurs enfants parce qu’ils savent le mal qu’ils font. Les enfants peuvent certainement utiliser la technologie, mais elle ne devrait pas être au cœur de la manière dont nous enseignons à nos enfants. Ils apprennent mieux de leurs enseignants, par le biais d’interactions interpersonnelles humaines, de leur environnement naturel et de leurs pairs, et non d’un écran.

CAROL BEDROSIAN : Quel est le statut de la législation dans le New Hampshire ?

En effet, à l’heure actuelle, l’industrie fait passer la fibre optique à haut débit le long de la route, ce qui est formidable, puis, au lieu de l’amener jusqu’au bâtiment et de la câbler, elle s’arrête sur le trottoir et installe toutes ces petites antennes sans fil bon marché et rapides à installer qui sont très, très nuisibles à toutes les cellules vivantes.

Les symptômes du mal des micro-ondes ou de la sensibilité aux CEM sont les suivants :
Maux de tête
Insomnie
Cauchemars
Saignements de nez
Vertiges
Anxiété
Nausées
Dépression
Douleurs fulgurantes
Bourdonnement dans les oreilles
Fatigue excessive
Altération du rythme cardiaque
Pertes de mémoire
Problèmes d’équilibre
Problèmes de concentration
Problèmes d’apprentissage
Irritation des yeux

CAROL BEDROSIAN : Quels sont les symptômes du mal des micro-ondes ?

CECE DOUCETTE : Les premiers symptômes se présentent souvent sous la forme d’une insomnie à sommeil irrégulier, pour certaines personnes ce sont des cauchemars ou des terreurs nocturnes. Un autre symptôme important est celui des maux de tête lancinants et brûlants, souvent des migraines que les gens n’arrivent pas à comprendre. Les saignements de nez sont fréquents, parfois les saignements d’oreille, et puis il y a des douleurs dans tout le corps de sources non identifiées. Les nausées sont fréquentes. Il y a aussi des vertiges, de l’anxiété et de la dépression. Un couple de New York m’a contacté. Ils avaient tous deux trouvé un emploi à New York, et un ami qui vivait au dernier étage d’un immeuble leur a proposé de leur donner une chambre pour dormir jusqu’à ce qu’ils s’installent. Une fois sur place, ils ont commencé à être très malades et à se sentir très anxieux et déprimés. Il s’est avéré qu’il y avait des antennes de téléphonie mobile juste sur le toit.

Le public doit se lever, s’exprimer et forcer un changement, car si rien ne change dans notre comportement, rien ne change au niveau politique. Donc oui, ce sont des symptômes très communs que les gens ressentent aujourd’hui. Et la bonne nouvelle, c’est que pour beaucoup de gens, juste en lisant cette interview, ils pourraient décider de tenter leur chance et de tout éteindre la nuit. Les gens me disent : « Je ne voulais pas y croire. Je ne voulais pas en entendre parler ou en savoir plus, mais j’ai reconnu certains de ces symptômes. » Et ils reviennent et disent : « Wow, ce mal de tête que j’avais a disparu », ou « Oh mon dieu, j’ai recommencé à dormir toute la nuit », ou « Les problèmes de comportement de mon enfant se sont calmés ».

Les médecins nous disent qu’avec une désintoxication numérique de deux semaines, ne serait-ce qu’en commençant par la nuit, certains enfants autistes qui connaissent des mutations de novo – ce qui signifie que cela ne vient pas de la génétique de maman ou papa, mais d’une manière ou d’une autre de l’environnement – que même les enfants qui n’avaient pas été verbaux, après quelques semaines de nettoyage du bombardement constant de radiofréquences, pouvaient se connecter.

Le Dr Toril Jelter donne l’exemple d’une famille dont elle s’occupe et qui a procédé à une désintoxication numérique. Après quelques semaines, ce petit garçon regarde sa mère et lui dit : « Maman, tu peux me passer ce… ? ». Elle n’avait jamais entendu sa voix auparavant, et lui non plus, et le voilà qui sort des phrases complètes. Ils ont tous été époustouflés par le fait qu’en supprimant simplement l’exposition aux radiations, on donne à notre corps une chance de se réparer, et à l’ADN des enfants de se réparer et de se régénérer, et de faire ce que notre corps est censé faire. Certaines personnes ont la chance de voir leurs symptômes s’atténuer parallèlement à l’élimination des radiations.

Il y a beaucoup d’espoir. Aussi lugubre que cela puisse paraître, je dis toujours aux gens qu’ils ont certainement le droit de paniquer pendant 10 minutes en commençant à remarquer où se trouvent toutes les expositions dans nos vies. Puis on revient en arrière et on apprend à remédier à celles sur lesquelles on a un contrôle. Pour les plus grandes expositions dans l’environnement, comme les compteurs intelligents, les petites et les grandes cellules, commençons à utiliser nos voix ensemble. Il y a déjà tellement de choses en mouvement que vous n’avez pas besoin de recommencer à zéro, mais vous devez trouver le courage de vous exprimer, car personne d’autre que vous ne va régler le problème dans votre ville. Rejoignez-nous au Massachusetts for Safe Technology et nous vous aiderons à démarrer.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Cece Doucette peut être contactée par le biais de Massachusetts for Safe Technology, www.ma4safetech.org.

Carol Bedrosian est l’éditrice du magazine Spirit of Change. www.spiritofchange.org.

Carol Bedrosian

Carol Bedrosian

Carol est éditrice, rédactrice en chef et cofondatrice de Spirit of Change, le plus grand magazine gratuit sur la vie holistique de la Nouvelle-Angleterre, avec plus de 100 000 lecteurs. Elle la lancé ce semestriel en 1987 avec des amis et il est écrit par des professionnels de la santé holistique, de la spiritualité, de la croissance personnelle, de la vie verte et de la transformation planétaire.




Russia Observer : tactiques, stratégie et ​​opérations. Article sevère

[Source : brunobertez.com]

Par Patrick Armstrong

TACTIQUES, STRATÉGIE ET ​​OPÉRATIONS

Jusqu’à présent, l’opération militaire russe en Ukraine a été une reconnaissance en force précédée de la destruction des approvisionnements et du quartier général des forces armées ukrainiennes par des armes à distance. 

L’objectif étant de déterminer où se trouvent les forces ukrainiennes, de les encercler, de comparer les renseignements russes existants à la réalité et, en même temps, de détruire les quartiers généraux connus, les moyens aériens et navals, les dépôts de ravitaillement et de munitions. 

Et, peut-être, il y avait l’espoir que la rapidité et le succès (les forces russes/LDPR dominaient une zone de l’Ukraine de la taille du Royaume-Uni au cours de la première semaine) forceraient une fin précoce (c’est-à-dire la reconnaissance de la réalité).

En ce moment, ils se préparent pour la phase suivante. La longue colonne qui a tant obsédé les « experts » de CNN est la préparation de la phase suivante. Et c’est ça : « Tu n’as pas compris, alors maintenant nous devons frapper ». 

Le fait que la colonne soit restée là indique que les Russes savent qu’ils ont une supériorité aérienne totale. 

En même temps , c’est un message aux forces armées ukrainiennes que c’est fini, abandonnez. (Et il ne faut jamais oublier que les Russes/Soviétiques ont toujours été les meilleurs en matière de tromperie stratégique, alors qui sait ce qu’il y a réellement par rapport à ce que montrent les images ?)

Autant que je sache, ils ont créé trois chaudrons d’encerclements. 

Probablement le plus important est celui autour de Marioupol où se trouve la principale concentration d’Azov, la principale force nazie. 

Un autre est en train d’être établi autour de la concentration principale des forces armées ukrainiennes face à la LDPR. 

Et il semble y avoir un autre développement à l’est de Kiev. 

Un super chaudron des trois est visible. Les nazis seront exterminés ; le simple soldat ukrainien sera autorisé à rentrer chez lui. 

La question cauchemardesque est de savoir combien d’Ukrainiens ordinaires seront libres de choisir.

Le dilemme pour les Russes est le combat de ville. Ils ne veulent pas d’un Raqqa dans lequel chaque bâtiment est détruit, chaque personne tuée et solitudinem déclaré pax . 

Ils savent qu’en fin de compte il y aura toujours des Ukrainiens et ils voudront qu’ils soient amis : Washington peut créer des enemis irreductibles au loin, mais Moscou ne peut pas en créer à proximité. Cela complique grandement leur problème lorsqu’ils tentent d’éliminer les nazis de Marioupol, sachant que les nazis utilisent les habitants de la ville comme otages. 

Le même problème existe, à un degré moindre, dans les autres villes de Novorossiya. Je suppose qu’ils entoureront la plupart des villes et espèrent que Zelinsky & Co reviendront à la raison. 

Mais je crains que la bataille de Marioupol ne soit horrible.

Il y a de légères indications, au jour 8, que les négociateurs ukrainiens se rendent compte que la neutralité est quelque chose qu’ils doivent accepter. 

J’en vois aussi la prise de conscience rampante du côté américain.

Le but ultime russe n’est pas visible. J’entends par là le but stratégique ultime; nous savons quel est le grand objectif stratégique. Les Russes envisagent-ils de créer une Novorossiya qui sera indépendante ou visent-ils à créer une Novorossiya qui sera une monnaie d’échange avec l’Ukraine croupion ? Je pense que la réponse dépend de ce que Zelinsky et Kiev et ses habitants décident. Dans environ une semaine, une Novorossiya indépendante existera et la Russie continuera d’avoir « le marteau. »

Je m’attendrais à ce que des redditions à grande échelle des forces armées ukrainiennes commencent dans les prochaines 24/48 heures (les forces tchétchènes en revendiquent déjà une et ont une impressionnante collection de «trophées» pour le prouver). Une partie importante des forces armées ukrainiennes est maintenant encerclée et, comme d’habitude (voir Sun Tsu), les Russes leur ont laissé une issue.

GRANDE STRATÉGIE

L’impuissance de l’UE et de l’OTAN est claire pour tout le monde (Eh bien, OK, pas n’importe qui sur CNN, ou au Congrès américain ou dans les couloirs du pouvoir en Occident. Mais ils ne sont pas le monde entier). À cet égard, je recommande de regarder Riyad – Abdul Aziz était très bon pour voir comment le vent soufflait et on peut supposer que ses descendants le sont aussi.

Les 97, ou peu importe combien ils étaient, les avions de combat qui ont été annoncés avec enthousiasme, ne viennent évidemment pas. La zone d’exclusion aérienne ne peut pas être « déclarée ». Les Tchétchènes ont récupéré beaucoup de MANPAD fournis par l’OTAN. 

Tout ce que le soutien de l’OTAN vous apportera, c’est la destruction lorsque vous combattrez dans la guerre dans laquelle il vous a aspiré et une carte de Noël spéciale supplémentaire lorsque vous serez vaincu et ruiné.

Nous assistons à l’effondrement du triomphalisme de l’après-guerre froide, de la « fin de l’histoire », de « l’unilatéralisme » et de tout le reste.

 La réalité est mordante et cela fait mal. 

Tout ce que vous avez à faire est de regarder le défilé de têtes parlantes et d’ »experts » de CNN spéculant sur la folie de Poutine : ils ne comprennent pas, donc il doit être fou. 

Pour l’Occident, tel qu’il a été, c’est fini. La confusion, les conneries, la vantardise, l’hystérie, les interdictions : l’Occident n’a plus rien dans sa besace . Verser de la vodka russe dans les toilettes, virer un chanteur et réalisateur, changer le nom d’une boisson ou d’une salade, interdire les chats ou les arbres, sanctionner un ploutocrate russe et voler son yacht, porter un t-shirt bleu et jaune. Pathétique. 

Et ne laissez en aucun cas un média russe tenter de convaincre les mouton avec de la désinformation . Tout comme l’URSS mais en plus stupide. Et qui pensait que plus stupide était même possible ?

Le judo consiste à tromper et à utiliser la force de l’adversaire contre lui. Poutine, le judoka, a poussé l’Occident au suicide. Il a dévoilé ce qui n’était pas compris :Mettez votre argent dans nos banques, nous pouvons le confisquer ; placez vos actifs sur notre territoire, nous pouvons les voler ; utiliser notre argent et nous pouvons l’annuler ; mettez votre yacht dans notre port, nous pouvons le pirater ; Mettez votre or dans notre coffre, nous pouvons le saisir. 

C’est une leçon qui retentira dans le monde entier. Une illustration nue que « l’ordre international fondé sur des règles » est simplement une fiction: nous élaborons les règles et vous ordonnons de leur obéir. Dans 2 ou 3 semaines, tout le monde dans le monde qui est sur la liste des cibles potentielles de l’Occident aura déplacé ses actifs hors de portée de l’Occident. Xi se permettra un petit sourire.

Quant aux sanctions occidentales contre la Russie, je pense qu’il y a une réponse très simple à cela : la semaine dernière, 1 000 mètres cubes de gaz coûtaient 1 000 $ ; aujourd’hui, c’est plus du double. La semaine prochaine, ce ne sera certainement pas moins cher. 

Idem pour l’aluminium, la potasse, le titane, le blé. Les compagnies aériennes russes louent leurs avions Maintenant quoi? Moteurs-fusées russes. Ce que les Occidentaux ne comprennent pas, c’est que le rouble est la monnaie que les Russes utilisent à l’ intérieur du pays, mais que le prix du pétrole et du gaz est la monnaie russe à l’ extérieur du pays. Je suis stupéfait de la stupidité : ils se coupent la gorge et détruisent leurs propres économies.

La Russie s’assoit et rit : envolez-vous dans l’espace sur votre propre balai.

L’ordre mondial a changé. Deuxième semaine.




Ukraine : le matraquage sectaire (et raciste) fait feu de tout bois

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas étonnant qu’à l’instar de ce qui est raconté sur C-19, les injections et le climat, ce qui se passe en Ukraine est également pressuré, malmené : détruit. Ce qui peut expliquer aussi pourquoi Zemmour baisse dans les sondages, tant sa tentative d’union nationale n’est pas comprise, même s’il condamne l’intervention militaire de Poutine, tout en ne l’accusant pas de tous les maux ; c’est que le matraquage a basculé en guerre totale, y compris contre les chats russes interdits de compétition, sans parler de cours suspendus sur Dostoïevski (à Milan), de cantatrice et de chef d’orchestre obligés de dénoncer Poutine, de biens russes confisqués, des médias fermés, de magasins russes attaqués (Allemagne). À quand des camps de concentration comme aux USA en 41 lorsque les Japonais qui y résidaient furent parqués ?…

Dans ces conditions, les analyses réalistes d’un Xavier Moreau ou du Général Desportes apparaissent irréelles, de même que ce documentaire d’Anne-Laure Blondel, voire celui, factuel, de Livre Noir

Il y a aussi tous ces indices parsemés et éloignés en apparence (le fait que le film Bac Nord n’ait aucune récompense aux César, qu’un sondage RTL montrant des votes défavorables à Macron ait été retiré) qui montrent de la part de certains membres de la Secte un racisme idéologique évident au sens de mépriser tout ce qui informe sur ce peuple qui refuse d’adopter le discours Trans et catastrophiste dominant l’Occident, dans une sorte de retour du refoulé ou comment vouloir à tout prix imposer le Discours du Maître tout en prétendant le contraire. C’est ici l’apport majeur du néo-léninisme : ne pas se soucier de la contradiction (p.79), avec toute une argutie démocratique (nous ne serions pas en Corée du Nord), alors que seule la puissance pure fascine de plus en plus (esthétisme de la force brute…).

Il s’agit donc d’un totalitarisme aux apparences de moins en moins soft (saisie de comptes bancaires par Trudeau, par Macron au moment des Gilets jaunes avec le gel de compte de soutien au boxeur Christophe Dettinger), celui de plus en plus brutal de cette Secte Scientiste (la manip techno résoudra tout, ARN excitant un certain type d’anticorps ad vitam æternam jusqu’à l’égotisme dédoublé de la méthode ROPA), Hygiéniste (« éradiquer » les virus, le CO2, l’extrême droite, l’hétéronormativité…), Affairiste (arrosage de médias aboyeurs — jusqu’aux agences de presse — par des oligarques appelés pudiquement milliardaires en Occident, affaires de la famille Biden en Ukraine, dépeçage d’EDF par les « renouvelables », l’histoire sombre d’Alstom, etc., etc., etc.).

La Secte S.H.A (Scientiste, Hygiéniste, Affairiste) s’avère être elle aussi de type néo-nazi, au sens de se sentir supérieur en méprisant le peuple du diesel et de la voiture thermique, sans parler des blancs hétéros, souverainistes, en un mot « russes », et ce en vue de créer une « race » Trans globale croisant tout ce qui est possible (la créolisation mélenchonesque) en attendant que s’y greffe un cybernétisme créant cet » humain nouveau » tant espéré depuis des siècles.

Dans cette atmosphère étouffante, intimidante, traquant la moindre pensée « dissonante » pour l’insulter immédiatement, tout en la classant de « conspirationniste », il est très difficile pour un citoyen genre « l’honnête homme » de pouvoir savoir raison garder ; d’où sans doute l’idée de renoncer à exposer ses réels sentiments lors des opérations de sondage et d’aller plutôt dans le sens du vent comme il avait été vu en 2002 lorsque Lionel Jospin fut éliminé dès le 1er tour…

Car dans l’isoloir, à trente-cinq jours de distance en France, et malgré un matraquage de guerre, il n’est pas sûr qu’il n’y ait pas une sorte de surprise qui démente cette descente dans le « jusqu’ici tout va bien » et qu’en réalité les candidats, aujourd’hui marginalisés, fassent bel et bien, et ce quoique l’on en pense, une percée inédite…




L’OTAN accroît les tensions en Europe, avec le Général Vincent Desportes

[Source : C à vous]




Message de l’intérieur aux manifestants pour la paix en Ukraine

[Source : @PetitsdeChrist]






L’homme qui a vendu l’Ukraine

[Source : plumenclume.org]

Par Mike Whitney.

Volodymyr Zelensky est l’actuel président de l’Ukraine. Il a été élu lors d’une victoire écrasante en 2019 sur la promesse d’apaiser les tensions avec la Russie et de résoudre la crise dans les républiques séparatistes de l’est de l’Ukraine. Mais il n’a pas fait la moindre tentative pour tenir sa parole sur ces deux questions. Au contraire, il a considérablement exacerbé la crise interne de l’Ukraine tout en provoquant sans relâche la Russie. Zelensky a eu de nombreuses occasions d’aplanir les difficultés avec Moscou et d’empêcher le déclenchement des hostilités. Au lieu de cela, il a constamment aggravé la situation en suivant aveuglément les directives de Washington.

Zelensky a été adulé par l’Occident et loué pour sa bravoure personnelle. Mais, dans la pratique, il n’a pas réussi à rétablir l’unité nationale ou à mettre en œuvre l’accord de paix crucial qui est la seule voie vers la réconciliation. Le président ukrainien n’aime pas le protocole dit de Minsk et a refusé d’en respecter les exigences fondamentales. En conséquence, la guerre fratricide à forte connotation ethnique qui a embrasé l’Ukraine au cours des huit dernières années se poursuit aujourd’hui sans qu’aucune issue ne soit en vue. Le président Vladimir Poutine a fait référence à l’obstination de Zelensky dans un récent discours prononcé au Kremlin. Il a déclaré :

« Lors de l’événement d’hier… les dirigeants ukrainiens ont déclaré publiquement qu’ils n’allaient pas respecter ces accords. Qu’ils ne les respecteraient pas. Eh bien, qu’avez-vous à ajouter ? »

Vladimir Poutine

La plupart des Américains ne réalisent pas que le rejet des accords de Minsk par Zelensky a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Les responsables russes avaient travaillé pendant huit ans sur Minsk, élaborant des conditions acceptables pour toutes les parties. Puis, à la onzième heure, Zelensky a mis le holà à l’accord d’un geste de la main. Pourquoi ? Qui a dit à Zelensky d’abandonner l’accord ? Washington ? Oui, bien sûr.

Et pourquoi Zelensky a-t-il déployé 60 000 troupes de combat dans la zone située juste au-delà de la ligne de contact (dans l’est de l’Ukraine), où elles pouvaient lancer des obus mortels sur les villes et villages des Russes ethniques qui y vivaient ? De toute évidence, le message envoyé à la population était qu’une invasion était imminente et qu’elle devait fuir immédiatement ses maisons ou s’abriter dans ses caves. Quel objectif Zelensky espérait-il atteindre en forçant ces gens à se recroqueviller dans leurs maisons, craignant pour leur vie ? Et quel message entendait-il envoyer à Moscou, dont les dirigeants regardaient ces événements avec une horreur absolue ?

Savait-il que ses actions allaient déclencher des alarmes en Russie, forçant Poutine à appeler ses militaires et à les préparer à une éventuelle invasion pour protéger son peuple de ce qui semblait être une opération massive de nettoyage ethnique ? Oui, c’est ce qu’il faisait.

Alors, en quoi ces actions sont-elles cohérentes avec les promesses de campagne de Zelensky de restaurer l’unité nationale et de résoudre pacifiquement les problèmes de l’Ukraine avec la Russie ?

Elles ne sont pas du tout cohérentes, elles sont diamétralement opposées. En fait, Zelenskyy semble fonctionner selon un tout autre scénario. Prenez, par exemple, son refus total d’aborder les préoccupations minimales de la Russie en matière de sécurité. Zelensky savait-il que Poutine avait déclaré à plusieurs reprises que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une « ligne rouge » pour la Russie ? Savait-il que Poutine n’a cessé de répéter la même chose depuis 2014 ? Sait-il que Poutine a prévenu que si l’Ukraine prenait des mesures pour rejoindre l’OTAN, la Russie serait obligée de prendre des mesures « militaro-techniques » pour assurer sa propre sécurité ? Zelensky est-il au courant que l’OTAN est une alliance contrôlée par Washington qui s’est livrée à de nombreux actes d’agression contre d’autres États souverains. Voici une courte liste des réalisations de l’OTAN :

  • La destruction de la Yougoslavie
  • La destruction de l’Afghanistan
  • La destruction de la Libye
  • La destruction de l’Irak
  • La destruction de la Syrie

Zelensky sait-il que l’OTAN est ouvertement hostile à la Russie et considère la Russie comme une menace sérieuse pour ses ambitions expansionnistes ?

Oui, il est au courant. Ça ne l’a pas empêché d’exprimer publiquement son intérêt pour le développement d’armes nucléaires. Qu’est-ce que cela signifie ? Imaginez le problème que cela poserait à la Russie. Imaginez qu’une marionnette soutenue par les États-Unis, comme Zelensky, ait des missiles nucléaires au bout des doigts. Comment pensez-vous que cela pourrait affecter la sécurité de la Russie ? Pensez-vous que Poutine pourrait ignorer une telle évolution et continuer à remplir son devoir de protection du peuple russe ?

Et pourquoi Zelenskyy a-t-il accepté de laisser livrer des cargaisons successives d’armes mortelles à l’Ukraine s’il recherchait sincèrement la paix avec la Russie ? Pensait-il que Poutine était trop stupide pour voir ce qui se passait juste sous son nez ? Pensait-il qu’il normalisait ses relations en développant son arsenal, en menaçant son propre peuple et en se pliant à toutes les exigences de Washington ?

0u bien considérait-il que les demandes de garanties de sécurité de Poutine étaient déraisonnables ? C’est cela ? Pensait-il que de l’autre côté de l’océan, les États-Unis permettraient au Mexique d’installer des bases militaires, des pièces d’artillerie et des sites de missiles le long de leur frontière sud ? Y a-t-il un président dans l’histoire américaine qui n’aurait pas fait la même chose que Poutine ? Y a-t-il un président dans l’histoire des États-Unis qui n’aurait pas lancé une attaque préventive sur ces armes mexicaines et vaporisé tout être vivant dans un rayon de 30 km ?

Non, les demandes de Poutine étaient tout à fait raisonnables, mais Zelenskyy les a quand même ignorées. Pourquoi ?

Zelenskyy sait-il qu’il y a des « Sektor » de droite, des néo-nazis au sein du gouvernement, de l’armée et des services de sécurité ? Sait-il que, même s’ils sont peu nombreux, ils constituent une force avec laquelle il faut compter et qui joue un rôle important dans la haine et la persécution des Russes ethniques ? Sait-il que ces éléments d’extrême droite participent à des défilés aux flambeaux, se font imprimer des croix gammées ou des tatouages SS sur les bras, et vénèrent l’idéologie racialiste d’Adolph Hitler ? Se rend-il compte que nombre de ces nazis se sont livrés à des actes criminels de brutalité, notamment l’incinération de 40 civils dans le bâtiment des syndicats à Odessa en 2014 ? Pense-t-il que les programmes secrets de la CIA pour armer et former ces militants d’extrême droite renforcent la confiance ou pense-t-il que cela rappelle à Moscou une guerre catastrophique au cours de laquelle 27 millions de Russes ont été exterminés par la Wehrmacht allemande ?

Vous rendez-vous compte que tout ce que Zelensky a fait, a été fait dans l’intention de provoquer la Russie ?

Tous les discours sur l’adhésion à l’OTAN, tous les discours sur la construction d’armes nucléaires, l’accumulation constante d’armes mortelles, le mouvement des troupes vers l’est, le refus d’appliquer le traité de Minsk et le rejet des demandes de sécurité de Poutine : tout cela constituait une série de provocations délibérées. Mais pourquoi ? Pourquoi avoir « appâté l’ours », telle est la question.

Parce que Washington veut attirer la Russie dans une guerre pour pouvoir diaboliser davantage Poutine, isoler la Russie, lancer une opération de contre-insurrection contre l’armée russe et imposer des sanctions économiques sévères qui infligeront un maximum de dommages à l’économie russe. C’est la stratégie de Washington en un mot, et Zelenskyy aide Washington à atteindre ses objectifs. Il se permet d’être l’outil de Washington. Il sacrifie son propre pays pour faire avancer les intérêts des États-Unis.

Tout cela contribue à souligner un point qui n’est jamais pris en compte par les médias et jamais discuté par les experts des informations câblées, à savoir que l’Ukraine va perdre la guerre, et que Zelenskyy le sait. Il sait que les forces armées ukrainiennes ne font pas le poids face à l’armée russe. C’est comme si un Géant écrasait une mouche. L’Ukraine est la mouche. Le public a besoin d’entendre ça, mais il ne l’entend pas. Au lieu de cela, ils entendent des blablas sur des Ukrainiens héroïques qui combattent l’envahisseur russe. Mais ce sont des absurdités, des absurdités dangereuses qui encouragent les gens à sacrifier leur vie pour une cause perdue. L’issue de ce conflit n’a jamais fait de doute : L’Ukraine va perdre. C’est certain. Et si vous lisez entre les lignes, vous verrez que la Russie est en train de gagner la guerre haut la main ; ils écrasent l’armée ukrainienne à chaque tournant, et ils continueront à les écraser jusqu’à ce que l’Ukraine se rende. Regardez cette brève interview du colonel Douglas MacGregor par Tucker Carlson et vous comprendrez ce qui se passe réellement :



Tucker : « Où en est la guerre à partir de ce soir » ? (1er mars)

Colonel McGregor : « Eh bien, les 5 premiers jours, nous avons assisté à un mouvement très lent et méthodique des forces russes pénétrant en Ukraine….. Ils se sont déplacés lentement et prudemment et ont essayé de réduire les pertes parmi la population civile, en essayant de donner aux forces ukrainiennes l’opportunité de se rendre. C’est terminé. Et dans la phase où nous nous trouvons maintenant, les forces russes ont manœuvré pour encercler et entourer les forces ukrainiennes restantes et les détruire par une série de frappes massives à l’artillerie, à coup de roquettes, de frappes aériennes, avec les blindés russes qui se rapprochent lentement mais sûrement et anéantissent ce qui reste. Donc, c’est le début de la fin de la résistance ukrainienne.

Tucker : Quel est l’objectif de Poutine ici ? »

Colonel McGregor : « Poutine a entrepris d’honorer sa promesse de 2007 à la Conférence sur la sécurité de Munich, où il a dit : ‘Nous ne permettrons pas l’expansion de l’OTAN jusqu’à un point où l’OTAN toucherait notre frontière, en particulier en Ukraine et en Géorgie’. Nous considérons ces pays comme des chevaux de Troie pour la puissance militaire de l’OTAN et l’influence des États-Unis… ». Il a répété cet avertissement à maintes reprises, dans l’espoir d’éviter d’avoir à prendre des mesures pour nettoyer efficacement l’est de l’Ukraine de toute force d’opposition, quelle qu’elle soit, et de placer ses forces dans une position vis-à-vis de l’OTAN qui nous dissuaderait de toute nouvelle tentative pour influencer ou transformer l’Ukraine en une plate-forme pour la projection de la puissance américaine et occidentale en Russie. Son objectif – à ce jour – est de s’emparer de toute la partie orientale de l’Ukraine (à l’est du Dniepr) et il a traversé le fleuve là où il se prépare à investir la ville de Kiev.

À ce stade, Poutine doit décider de ce qu’il veut faire de plus. Je ne pense pas qu’il veuille aller plus à l’ouest. Mais il aimerait être sûr que ce qui émergera de cette Ukraine… sera « neutre », non aligné et, de préférence, favorable à Moscou. Ça, il l’acceptera. Si ce n’est pas le cas, sa guerre n’aura été qu’une perte de temps ».

Ce que nous pouvons déduire de cette courte interview :

  • La Russie va l’emporter et l’Ukraine va perdre.
  • L’Ukraine va être divisée. Poutine va créer le tampon dont il a besoin pour assurer la sécurité de son pays.
  • Quiconque gouvernera la partie occidentale de l’Ukraine devra déclarer sa « neutralité » (par écrit) et rejeter toute offre d’adhésion à l’OTAN. Ceux qui violeront cette promesse seront démis par la force.

Mais voici ce qui est important : tous les principaux acteurs de ce fiasco savaient dès le départ que l’Ukraine n’avait aucune chance de vaincre l’armée russe. C’était couru d’avance. Ce que nous voulons savoir, c’est pourquoi Zelenskyy n’a pas pris de mesures pour éviter la tragédie avant qu’elle ne se produise.

Répondre à cette question, c’est révéler « qui est vraiment Zelenskyy ».

Posez-vous cette question : Pourquoi Zelenskyy n’a-t-il pas négocié avec Poutine lorsqu’il en avait l’occasion ? Pourquoi n’a-t-il pas retiré ses 60 000 soldats de l’Est ? Pourquoi n’a-t-il pas arrêté les livraisons d’armes de Washington ? Pourquoi n’a-t-il pas appliqué le traité de Minsk ? Pourquoi n’a-t-il pas rejeté l’offre d’adhésion à l’OTAN ?

Enfin, pourquoi était-il si déterminé à faire ce qu’il savait être une source de colère pour Moscou et accroître la probabilité d’une guerre ?

Il n’est pas difficile de répondre à ces questions.

Zelensky a agi sur ordre de Washington depuis le début. Nous le savons. Il a également mis en œuvre l’agenda de Washington, pas le sien et certainement pas celui de l’Ukraine. Nous le savons aussi. Mais cela ne l’exonère pas de sa responsabilité. Après tout, c’est un adulte capable de distinguer le bien du mal. Il sait ce qu’il fait, et il sait que c’est mal ; pire que mal, c’est inexcusable. Il envoie des hommes mourir dans une guerre dont il sait qu’ils ne peuvent pas la gagner ; il inflige des souffrances et des blessures incalculables à son propre peuple sans aucune raison ; et – le pire de tout – il a ouvert la voie à la dissolution de l’Ukraine elle-même, le pays qu’il avait juré de défendre. Ce pays va être brisé en morceaux dans le cadre d’un règlement final avec la Russie, et Zelenskyy aura une bonne part de responsabilité.

Comment un homme comme lui peut-il vivre avec lui-même ?

https://www.unz.com/mwhitney/the-man-who-sold-ukraine/

Traduction: MP




2 heures d’interviews avec les Drs Nicole et Gérard Delépine et le film « Cancer – Business mortel ? »

[Source : class.alternative-academy.net]

RENCONTRES REMARQUABLES 2

2 HEURES D’INTERVIEWS. DR NICOLE ET GERARD DELEPINE : LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID 

ET LE FILM CANCER BUSINESS 

LIEN D’INSCRIPTION
https://bit.ly/3pAQF4e

Cette histoire commence dans les années 80 quand le Dr Gérard Delépine s’intéresse aux cancers des os avec l’équipe du Pr Georges Mathé pour éviter les amputations, puis les Drs N et G Delépine découvrent les travaux du Pr Gerald Rosen, États-Unis. Concernant le cancer des os, ses résultats sont excellents, 80% de chance de survie.
Dans l’ostéosarcome, le Pr Rosen utilise le méthotrexate à haute dose, un agent de la classe des antimétabolites, en adaptant ce traitement à chaque patient, en fonction de son âge et de sa maladie et en l’associant à d’autres drogues.

Une médecine individualisée, car chaque personne et chaque cancer sont différents.
Nicole et Gérard se plongent dans la littérature internationale et progressivement ils vont avec leurs équipes utiliser ces protocoles et le Dr Gérard Delépine va mettre au point les techniques de chirurgie conservatrice.

Gérard Delépine, un as de la chirurgie orthopédique, refuse l’amputation des enfants et va inventer une « prothèse de croissance  » munie d’une vis, elle permet de remplacer le morceau d’os atteint par le mal en respectant la croissance de l’enfant. Il évite ainsi l’amputation dans plus de 95% des cas.
Il faut rappeler qu’à cette époque, l’amputation se pratique quotidiennement dans la plupart des hôpitaux français.
Grâce à cette synergie chimio et chirurgie, les drs Delépine obtiennent d’excellents résultats avec un taux de guérison approchant 90% dans ce type de cancer.

Sauf que, leurs résultats ne plaisent pas à tout le monde…

Le service du Dr Nicole Delépine devient alors la dernière chance pour beaucoup de patients condamnés à une amputation ou à la mort.

Le combat continue pour eux aujourd’hui avec l’affaire covid.






Les francophones avalent-ils la propagande médiatique rose sur l’Ukraine et Zelensky ?

[Compilé par Nicole]




Interruption momentanée du programme Covid pendant quelques semaines

Par Alain Tortosa

Le Premier ministre s’excuse et précise que tout est mis en œuvre pour le rétablir au plus vite !

Cela faisait quelques semaines que les caméras se désintéressaient du Covid.

Hélas ! la nouvelle est tombée hier, le pass vaccinal ainsi que le masque à l’intérieur (sauf quelques rares exceptions expliquées dans l’ouvrage à paraître de 972 pages) sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.

Les techniciens vont profiter de cette maintenance pour procéder aux élections « libres et démocratiques ». Le suspense est terrible, mais nous ne sommes pas à l’abri d’une panne de Macron, et c’est pourquoi un circuit de secours appelé « Pécresse » a été mis en œuvre. Il ne faudrait pas que les élections soient le fruit du hasard et, pire encore, des électeurs

Pour en revenir au Covid, cette maintenance est la bienvenue. Je vous rappelle que cela fait plus de deux ans qu’il est en service jour et nuit. Pas le moindre repos hormis quelques jours au bord de mer en été où, conscience professionnelle oblige, il n’a pu s’empêcher d’amener du travail pour préparer la rentrée.

Le produit a beau être d’une qualité exceptionnelle, fabrication chinoise, mais ingénieurs français et américains, il n’en demeure pas moins vrai qu’une maintenance IPER devenait indispensable afin de maintenir sa fiabilité pour les prochaines décennies.

Rappelons que le produit est construit pour durer et obtenir des mises à jour régulières nommées « variants ».

Je ne vous cacherais pas que dans les hautes sphères de l’État certains étaient fort inquiets de laisser le pays sans défense ni gestes barrières pendant plusieurs mois alors que le virus était en cale sèche pour sa grande révision.

Qu’allaient devenir les Français ? Ne risquaient-ils pas d’oublier la menace et reprendre de mauvaises habitudes de liberté ? Les interrogations et les craintes étaient légitimes…

Et c’est là que, par « chance » — un « pur hasard » du calendrier, M Poutine a décidé dans une bouffée délirante, sans la moindre raison ni préparation, d’envahir l’Ukraine sans que quiconque ait pu imaginer qu’il agisse ainsi. À la défense des Occidentaux, il ne nous avait alertés que depuis 8 ans, c’est dire que nous fûmes surpris.

Alors même que nos meilleurs stratèges réfléchissaient à divers scénarios pour empêcher les Français d’ouvrir les yeux et reprendre goût à une certaine liberté surveillée…

Certains envisageaient de reprendre l’émission d’Orson Welles pour nous annoncer l’attaque imminente d’extraterrestres inamicaux…

L’idée est pourtant bonne, mais l’extraterrestre est difficile à manier entre les incrédules et ceux qui pourraient se dire :

« mais pourquoi maintenant ? S’ils ont la technologie pour arriver jusqu’à nous, pourquoi n’ont-ils pas détruit l’humanité bien avant, voyant comment nous étions ? ».

Parce que là, on est entre nous, on rigole, on plaisante, mais je vous rappelle que même si le scénario de la dictature climatique est sur les rails, il n’est pas totalement finalisé !

Je vous rappelle que le succès d’une entreprise aussi grandiose repose principalement sur de bons préparatifs. Il serait stupide de gâcher un si bel outil qui sera en mesure de nous rendre esclaves, coupables et angoissés pendant des dizaines d’années ! Ne croyez pas qu’il soit possible de mettre en œuvre un projet aussi grandiose tous les ans. Le peuple est totalement stupide, nous le savons tous, mais ce n’est pas le genre de blagues que l’on peut lui sortir comme ça. Lorsqu’il aura compris qu’on s’est foutu de sa gueule pendant des années avec les pets de vache qui vont détruire l’humanité, il faudra des dizaines d’années, voire des centaines, avant de pouvoir lui resservir un scénario aussi délirant et grotesque ! Ce n’est pas tous les jours qu’on peut faire gober que le CO2, naturel et source de vie, est un ennemi mortel ! Bref ! il n’était pas raisonnable de commuter en pleine charge la dictature climatique…

Mais convenez que dans le même temps on ne pouvait pas laisser les peuples sans dictature au risque de les désorienter !

Comment peut-on envisager de vivre si l’on n’est pas terrorisé par une menace fantôme qui peut nous faucher à chaque instant ?

Alors quand nos maîtres ont appris l’invasion de l’Ukraine par Poutine… (Entre parenthèses, ce hasard est tellement merveilleux que j’en suis à me demander si Poutine ne serait pas dans le coup pour nous jouer une si belle pièce de théâtre. Encore plus belle que Saddam Hussein et sa 2e armée du monde prête à balayer les pays du globe. Belle histoire au demeurant même s’il y a eu plus d’un million de victimes, mais ce n’est qu’un détail sur lequel il est inutile de s’attarder.)

Voilà donc que Poutine attaque sur sa seule initiative (partons du principe que c’est un petit coquinou qui a décidé tout seul pour faire une surprise à nos maîtres).

Je ne vous dis pas la fête dans tous les cabinets avec les petits gars qui peinaient à trouver une solution amusante pour maintenir les moutons dans la peur pendant la maintenance Covid.

De mémoire de serpillière, je n’avais jamais connu autant de champagne, de cocaïne et de putes chez les grands de ce monde. Au point que s’ils avaient douté, ils avaient alors la preuve de l’existence de Dieu, c’était trop beau !

Le premier réflexe a été de dire :

« Avec Poutine, on va pouvoir maintenir le peuple dans la peur des chars russes sur les Champs et l’apocalypse nucléaire à nos portes ! »

Il faut dire que le scénario de l’apocalypse nucléaire avait super bien fonctionné après la Deuxième Guerre mondiale. En même temps, c’était facile avec la super fête d’adieu organisée par les Américains pour fêter la quille (la fin du service). Attendez, c’était tellement grandiose que ça sentait la merguez grillée à 500 km d’Hiroshima tant le feu d’artifice était hallucinant !

Bref ! il était facile de jouer ensuite sur la peur de l’arme nucléaire pendant les 30 ans qui avaient suivi l’inauguration en grande pompe du champignon atomique… Mais avouez qu’avec le temps, l’enthousiasme n’était plus là. On se lasse de tout comme des films hollywoodiens avec extraterrestres ou des hommes qui vont sur la lune.

Pour être honnête avec vous, on pensait que le coup de l’apocalypse ne ferait plus recette.

Mais là encore, c’était sans compter sur l’imagination de nos amis russes et de l’invention du missile hypersonique. A priori, les Russes pourraient détruire la plupart des pays avant même que ces derniers puissent riposter… c’est dire si on peut se permettre d’avoir encore plus peur de l’arme nucléaire ! Remarquez, avec un missile supersonique, et encore plus hypersonique, on n’a même pas l’occasion de l’entendre arriver qu’on est déjà transformé en ange dans le ciel, entouré d’Epstein. Et si en plus on pense à bien préciser que Poutine est un fou, il va être difficile de rester serein dans son fauteuil en écoutant les nouveaux philosophes de TPMP sur C8.

Dans ces circonstances anxiogènes, l’Occidental moyen est prêt à tout gober pour être rassuré. Il peut croire que les Ukrainiens pourraient gagner ou que les sanctions économiques seraient de nature à faire céder le fou… On a bien vu avec le Covid, que plus c’est gros, plus ça passe…

Mais attention, les stratèges ont vu que l’effet Poutine permettrait de résoudre aussi un problème de taille. Je vous rappelle qu’il en a fallu des milliards pour Big Pharma, pour arroser le corps médical afin qu’il ferme sa gueule sur l’escroquerie et qu’il piétine des années de serment d’Hippocrate. Sans compter les médias, les professionnels, restaurateurs, artistes, camionneurs et j’en passe, qu’il a fallu aussi arroser pour qu’ils la ferment.

Nous avions bien sûr une petite inflation, mais bon, pas de quoi remplir des chaussettes trouées. On a même réussi à nous faire le coup du litre d’essence à 2 euros avec un pétrole qui était loin d’être à son plus haut niveau ! Même les Gilets jaunes n’ont pas bougé le petit doigt, c’est dire l’efficacité de la peur et des virements. Donc tout ceci avait ses limites comme l’augmentation du prix du blé…

Donc MERCI POUTINE !

Car grâce à lui, pardon « grâce à la riposte courageuse et unanime des pays occidentaux » les prix explosent dans tous les domaines et on va pouvoir faire payer la facture du Covid par une inflation délirante !

Mais qu’est-ce que le prix d’une baguette de pain comparé au martyr des enfants de l’ouest de l’Ukraine (à l’est, les russophones on s’en tape) et au risque de guerre nucléaire déclenchée par le psychopathe du Kremlin ? Il faudrait quand même être stupide pour ne pas croire que plus on emmerde « Poutine le fou » et plus le risque de guerre nucléaire s’éloigne… Allons !… C’est logique !

Le plus « drôle » est que l’augmentation du prix de l’énergie et des matières premières permettrait à Poutine le Grand de compenser largement les conséquences des sanctions économiques, mais aussi probablement de lui payer sa guerre… Car évidemment il n’y aura jamais d’embargo sur le gaz, les céréales, les métaux précieux dont l’Occident a un besoin vital pour (sur)vivre. Et puis business is business. Apple a fermé ses boutiques en Russie et les a rouvertes le lendemain avec 30 % d’augmentation pour « compenser la chute du rouble ».

Bon, ne rêvons pas, on va se lasser très vite du conflit. Le seul suspense est de savoir si sur un plan géopolitique Poutine va gagner un peu ou beaucoup. Les Chinois débouchant le champagne en augmentant les échanges avec les Russes.

Mais à moins d’avoir la chance d’avoir un petit champignon pour nous rappeler le bon vieux temps, il y a peu de chance que le conflit nous maintienne en haleine jusqu’à l’anniversaire d’Hiroshima et Nagasaki au mois d’août… même si la fête eut été grandiose. Je donne trois mois à cette petite diversion, trois mois qui permettront de maintenir l’inflation pendant très longtemps, mais aussi de faire exploser les budgets militaires. Comprenez bien que si la France double le nombre de ses pétards mouillés et qu’elle remplace ses solex par des scooters, l’armée russe va fortement hésiter à nous faire du mal !

Et trois mois c’est bien ! Ça nous mène presque à la fin de l’opération de maintenance du virus qui pourrait reprendre du service au mieux à la fin juin, et si les travaux durent…, pour la rentrée en septembre.

Vous pourriez me dire « n’est-ce pas trop tard pour la péremption des vaccins déjà produits ? ». Cette question est naïve, mais je vais vous répondre alors même que nous disposons déjà des informations. Une étude a été menée conjointement par les autorités sanitaires ainsi que Pfizer et les résultats sont catégoriques (pour avoir déjà été fait).

Les conclusions de l’étude publiée dans le Lancet sont formelles :

« Si vous collez un sticker sur la date de péremption d’un lot, sticker indiquant une nouvelle date de péremption, alors la durée de validité du produit est automatiquement augmentée. »

Ah, je vois qu’il y a une autre question soulignant que j’ai affaire à un public de connaisseurs pointus :

« Que vont devenir les vaccins si à la rentrée c’est un nouveau variant ou pire un nouveau virus comme nous l’a annoncé notre ami Bill ? »

Bon, vous n’ignorez pas que le vaccin est parfaitement « efficace » avec les variants. Il n’est nullement remis en question « qu’il protège à 90 % des formes graves » que nous n’auriez pas faites. Mais aussi qu’il est totalement inefficace chez les vieux mourants qui pourraient en bénéficier, mais qui, de toutes les façons, vont y passer à brève échéance, ce qui nous arrange plutôt pour les retraites. Je vous rappelle que le « vaccin » a été conçu sur la souche du virus manufacturée en 2019 et qu’il était tout aussi « performant » pour la mise à jour du premier trimestre 2022, c’est dire l’incroyable flexibilité de ce médicament, pardon de ce « vaccin miracle ». Il n’y a donc pas de raisons de s’inquiéter des nouveaux variants à venir.

Quant à l’émergence possible d’un nouveau virus tout aussi « naturel » dont la commercialisation pourrait se faire vers la fin de l’année, les experts « indépendants » de toute indépendance sont formels :

« Les premières expériences faites sur des humains de laboratoire prouvent que le vaccin est parfaitement efficace contre le prochain virus dont nous ignorons tout ! »

Nous pouvons donc être rassurés, les milliards de doses en stock, dont plus personne ne veut, pourront être écoulées en temps et en heure.

Dernière nouvelle !

Il semblerait de plus que le « vaccin » ait un effet préventif protecteur contre les radiations. Les premiers tests effectués sur des enfants ukrainiens dont l’Institut Pasteur a financé une semaine de vacances à Pripiat sont très encourageants. Une deuxième semaine devrait leur être proposée à la mi-juin pour confirmer les données.

Je ne manquerai pas de revenir vers vous si j’ai d’autres nouvelles.

Merci

Alain Tortosa.

4 mars 2022… que le printemps s’annonce radieux…
https://7milliards.fr/tortosa20220304-maintenance-virus-pendant-guerre.pdf




Sabotage du système de Santé français

Par John Hunter

Vous avez depuis ce gouvernement une volonté omniprésente et programmée de saboter la Santé publique. On ne va pas parler du fiasco vaccinal, leur dernière invention. On va essayer de cerner les mesures que ce gouvernement impose.

Le coup de force McKinsey. Ce groupe a court-circuité l’ARS soutenue par le contribuable et se rémunère à coups d’enquêtes artificielles comme la dernière audition du Sénat l’a mis en lumière. Le déremboursement des médicaments, l’urgence désormais facturable, l’affaire de la diminution des lits d’hôpitaux, la révocation des soignants non vaccinés, ne représentent qu’un épisode de la saga. On voudrait traiter ici de la multiplication des sources de pollution de l’environnement.

La multiplication des sources de fréquences, ces radiations omniprésentes qui nous cernent de toutes parts.

C’est le rapport Bolen de l’armée de l’air américaine qui a le plus de chance de découvrir le cocktail explosif des radiations. Il suit le rapport Raines et comporte de nombreux graphiques. Une conversation avec Steven Cooper, l’acousticien d’Australie, m’a fait comprendre le problème. Les aviateurs de l US Air Force s’évanouissaient en vol et crashaient leur appareil à cause des infrasons générés par les moteurs puissants. Depuis ils ont perfectionné la combinaison pressurisée pour répartir la charge. Et commencé à investiguer sérieusement les fréquences pour maîtriser le problème.

Certains pilotes d’essai sont morts des fréquences absorbées qui parsèment le territoire d’éoliennes géantes encore plus nocives (Recherche Ceranna), car celles-ci émettent des fréquences ténues et en plus grosse quantité que les éoliennes moyennes.

La pénétration sur le vivant est chiffrée en milliwatts et cela donne mW/cm2. On distingue pénétration thermique et non thermique. L’ICNIRP ou l’ANSES ne reconnaissent pas les effets non thermiques ce qui a le mérite de laisser les industries adjacentes polluer le vivant à qui mieux mieux. L’ICNIRP vient encore de réfuter le Pr Frank de l’université d’Edinburgh pour son éclat contre la 5G. Quant à l’ANSES, c’est encore plus piteux puisqu’elle ose proclamer que les moindres fréquences sont si petites qu’elles sont inoffensives, à l’encontre de toutes les recherches internationales. Elle n’admet dans ses références que les chercheurs ayant conclu comme elle que les effets non thermiques n’existent pas. Comme la culture scientifique en France est en franche dégringolade, on laisse cet organisme dire des inepties. Les médecins ne sont pas formés dans ce domaine et se moquent ouvertement des victimes irradiées avec perte de sommeil et pathologies. En France le Dr Belpomme est le seul à être au courant. C est un miracle si l’Ordre ne lui est pas déjà tombé dessus.

En France le labo ToxSeek et la chercheuse Sioux Berget ont établi les faits. L’ANSES a entendu Sioux Berger venue parler au nom de la Fed qui regroupe les anti-éoliens. Quelle réaction ? Aucune bien entendu, et surtout pas une solution du procès qui opposait les éleveurs de Nozay et d’autres exploitations laitières cernées par les fréquences électromagnétiques des parcs éoliens.

La recherche Duchamp sur les décès en masse des visons de Norvège a été proposée à la FED qui n’a pas bougé non plus. Mais les dégâts sanitaires s’accumulent et le nombre des victimes augmente.

Le Linky fabrique les électrosensibles. Les éoliennes c’est des perturbations biologiques à vie. La 5G c’est l’arme du crime, car elle amplifie le covid. Les lignes haute tension amènent la leucémie. Les antennes pour portables pratiquement aussi nocives Une maison électrifiée produit de l’électricité sale, car il y a perte de courant. C’est systématique.

Tous ces facteurs non régulés le gouvernement les passe sous le tapis. ToxSeek et Berger ont fait un travail considérable en soulevant la poussière. Le sol français devient invivable. Les vers de terre meurent sous les éoliennes tellement les vibrations sont insoutenables. Les pesticides et le glyphosate sont permanents. Une étude récente à l étranger à analyse les urines des Français : du glyphosate à un taux incroyable comme nulle part ailleurs. Dr Seneff a montré que ce glyphosate inhibe des enzymes guérisseurs du covid.

Si nous sommes si empoisonnés par la main de ce gouvernement, nous allons non seulement périr de maladies (car Bolen souligne les anomalies chromosomiques et autres joyeusetés), mais c’est la génération future qui sera affectée, et l’affaiblissement de la santé publique pour les autres générations. Avec la dictature OMS, ce sera la dystopie totale. Des injections tous les jours, des puces et des microcircuits et encore plus de directives qui vont à l’envers de la Vie et du bon sens. Ne laissez pas les fréquences bouleverser insidieusement vos vies et lisez vite le livre d’Arthur Firstenberg « The invisible rainbow », un arc-en-ciel pas catholique du tout, mais le favori du gouvernement, car il laisse peu de traces.

Pour finir le chapitre, il faudrait présenter l’œuvre du radiesthésiste belge Roger Nollet qui dresse un constat accablant du génocide secret avec des détecteurs en unités Bovis, des radioactivités ahurissantes notamment par les terres rares. C’est évident que tout se tient actuellement. La dépopulation avance très bien pour les eugénistes et les gouvernements qui les soutiennent.




Guerre en Ukraine : Macron doit répondre du sang ukrainien et russe !

[Source : autochtonisme.com]

Par Antonin Campana

L’accord dit de Minsk II a été signé le 11 février 2015 par l’Ukraine, la France, l’Allemagne et la Russie sous l’égide de l’OSCE après l’échec du « protocole de Minsk » (05 septembre 2014). Les pourparlers Minsk II étaient destinés, comme le protocole de Minsk, à faire respecter un cessez-le-feu dans la région du Donbass.

Minsk II se décline en 13 points dont :

  • Un cessez-le-feu immédiat
  • Le retrait des armes lourdes
  • L’exercice d’une autonomie locale dans les régions de Donetsk et de Lougansk
  • Le soutien de l’Etat ukrainien au développement socio-économique des régions de Donetsk et de Lougansk
  • Le droit à l’autodétermination linguistique des régions de Donetsk et de Lougansk

Aspect important : la France et l’Allemagne ont un rôle particulier :

« Ce sont ces deux pays qui – au nom de l’Union européenne – sont les interlocuteurs, médiateurs, force de proposition, à l’égard de la Russie et de l’Ukraine sur la gestion de la crise et le suivi de l’application des accords. Ce sont ces deux pays qui, avec l’appui de la mission de l’OSCE sur place, évaluent et communiquent à leurs 27 partenaires les informations sur la situation à l’Est de l’Ukraine et les évolutions de l’application des accords de Minsk ».

(Sénat, Rapport d’information n° 572)

Le rôle de la France, et d’Emmanuel Macron depuis 2017, est donc de garantir avec l’Allemagne l’application des accords de Minsk. Macron, puisqu’il est question de lui dans cet article, a-t-il joué ce rôle de médiateur ou a-t-il laissé la situation pourrir et se dégrader ? Porte-t-il une responsabilité dans les évènements actuels ?

Tout d’abord, les accords de Minsk ont-ils été appliqués ?

À l’évidence non. Citons des sources incontestables : 

En mai 2018, le Conseil de sécurité de l’ONU relève plus de 100 000 violations des accords de Minsk depuis le début de l’année, avec utilisation d’armes lourdes interdites. La Secrétaire générale adjointe aux affaires politiques relève, qu’en raison des pilonnages, des familles vivent toujours dans des caves et que plus de 100 000 enfants étudient dans des classes dont les fenêtres sont renforcées par des sacs de sable. Elle réclame le respect des accords de Minsk.

En février 2019, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit une nouvelle fois. L’OSCE enregistre déjà plus de 1000 violations du cessez-le-feu sur l’année, avec de nombreuses victimes. La Sous-Secrétaire générale aux affaires humanitaires précise que 3.5 millions de personnes ont besoin de protection et que les infrastructures sont toujours détruites. Elle appelle le Gouvernement ukrainien à améliorer les passages aux points de contrôle et à adopter un cadre national pour le déminage. Le représentant russe pointe les responsabilités des « pseudo-garants », dit-il, des accords de Minsk.

En février 2020, le Conseil de sécurité de l’ONU se réunit de nouveau à propos de l’Ukraine. Le président en exercice de l’OSCE définit la situation comme « apocalyptique ».

Donc, on le voit, les accords de Minsk n’ont jamais été appliqués. A qui la faute ?

Concédons qu’il est difficile de savoir qui rompt le cessez-le-feu à un moment donné, d’autant qu’en huit ans le cessez-le-feu n’a jamais été vraiment respecté. Cela pourrait se discuter, mais admettons que les torts sont partagés sur les tirs et l’utilisation d’armes lourdes. Mais pour le reste ?

Par les accords de Minsk, l’Ukraine s’était engagée à accorder l’autonomie aux régions de Donetsk Lougansk et à dialoguer avec leurs autorités locales notamment pour conclure des accords en matière économique, sociale et culturelle. Or non seulement cela n’a pas été fait, mais l’Ukraine a ouvertement organisé le blocus économique du Donbass tout en refusant tout dialogue avec les représentants de cette région. Une loi du 18 janvier 2018, dit « loi sur la réintégration du Donbass », lève toutes les ambigüités et empêche toute contestation de ce qui précède.

Cette loi voté par Kiev rend caduc les accords de Minsk (qu’elle ne mentionne jamais) et aurait du faire réagir les « pseudo-garants » français et allemand de ces accords. La loi mentionne en effet que le Donbass est un « territoire temporairement occupé » et que ceux qui participent à son administration sont pénalement responsables des violations de la législation ukrainienne en vigueur. Autrement dit, l’Ukraine définit comme des traîtres les représentants du Donbass avec lesquelles elle s’était pourtant engagée à dialoguer. A partir de là, l’application des accords en question est impossible. Minsk II est unilatéralement brisé. On peut tergiverser, acceptons-le par principe, sur le responsable effectif d’un cessez-le-feu rompu, mais pas sur les responsabilités d’un accord brisé lorsque cette rupture est de facto inscrite dans une loi votée par un Parlement.

Qu’a fait Macron, le pseudo-garant des accords de Minsk, le « médiateur », la « force de proposition » ?

Rien !

Mais il y a plus flagrant encore !

Minsk II prévoient l’autodétermination linguistique des régions de Donetsk et de Lougansk. Kiev, rappelons-le, a signé cette disposition. Cela était crucial car les problèmes linguistiques sont à l’origine de la sécession du Donbass à qui l’Ukraine, après le coup d’Etat de 2014, entendait imposer la langue ukrainienne.

La loi de 2012 sur la politique linguistique de l’Etat donnait à la langue russe un statut de « langue régionale », ce qui en faisait quasiment une langue officielle de l’Etat. En 2015, cette loi s’applique toujours.

La « loi sur la langue », entrée en vigueur en juillet 2019, interdit l’usage du russe dans les administrations nationales et locales (y compris donc au Donbass), dans les entreprises, la magistrature, les institutions, les forces armées, etc. L’enseignement de la « langue officielle » devient obligatoire dans les écoles. Quid de « l’autodétermination linguistique » ? Quid des accords de Minsk ? A l’évidence, ils sont à nouveau bafoués par l’Ukraine ! De facto, ils sont devenus inapplicables.

Qu’a fait alors Macron, le pseudo-garant des accords de Minsk, le « médiateur », la « force de proposition » ?

Rien !

Donc, en résumé : nous avons une situation « apocalyptique » dans le Donbass, nous avons des accords de paix, nous avons des dispositions législatives ukrainiennes qui empêchent l’application de ces accords, et nous avons un « médiateur » et une « force de proposition » qui ne voit rien et ne fait rien, si ce n’est accuser la Russie. Pourquoi ?

Pour le comprendre, il suffit de se reporter aux documents que nous avons cités.

Le rapport du Sénat, par exemple, nous apprend que, lors du Conseil des « Affaires étrangères » de l’UE du 16 mars 2016, il a été décidé que la levée des sanctions à l’égard de la Russie dépendrait de la « mise en œuvre de l’accord de Minsk » : « Toute levée des sanctions reste donc tributaire de l’application intégrale des accords de Minsk » (souligné par le rapport). Mais comment intégralement appliquer des accords contraires à la loi d’une des parties signataires ?  

Les Russes ne sont pas dupes. Lors de la réunion du Conseil de Sécurité de février 2019, le représentant russe demande :

« Après les Accords de Stockholm sur la situation au Yémen, le Conseil a appelé les belligérants à s’assoir à la table des négociations et à lancer un processus politique. Pourquoi ne lancez-vous pas le même appel à Kiev ? ».

 Et il répond :

« En fait vous êtes d’accord avec la position de Kiev. Ce n’est pas un conflit civil mais une guerre avec la Russie ».

Voilà en effet la seule explication plausible : pousser la Russie à la guerre !

Macron a donc, avec Merkel, une responsabilité écrasante dans la guerre actuelle. Il aurait pu, à plusieurs reprises, mettre l’Ukraine devant ses responsabilités, au besoin en alertant le Conseil de sécurité des Nations-unies. Il ne l’a pas fait, préférant laisser la situation se dégrader, à seule fin que l’UE et les Etats-Unis puissent continuer à sanctionner la Russie, jusqu’à la guerre. Macron savait que la politique d’une Ukraine inféodée à l’Etat profond états-unien était incompatible avec le respect des accords de Minsk. Il en avait les preuves objectives, indiscutables, inscrites dans les lois ukrainiennes. Il a laissé pourrir la situation, il a laissé mourir des gens ! A cause de lui, le conflit a perduré alors qu’il avait les moyens de l’arrêter. Des milliers de personnes sont mortes, des enfants ont été mutilés, des vieillards ont été obligés de traverser des champs de mines pour percevoir une pension qu’on allait leur refuser, des familles ont vécu dans la misère, terrées dans des caves, ainsi que le promettait d’ailleurs le président ukrainien Porochenko. Macron savait tout cela, mais le dénoncer ne faisait pas partie de ses intérêts. Ce n’était pas dans le « plan » !

Ne laissons pas cet homme, Macron, se poser en chevalier blanc de la paix. Il doit au contraire répondre du sang ukrainien et russe.

Et souhaitons aussi qu’il n’ait pas, demain, à répondre de celui des Français.




Flambée de décès d’enfants et de jeunes adultes au Royaume-Uni : enquête urgente exigée

[Source : covidhub.ch]

Par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.ch

L’augmentation observée est-elle un signal que les « vaccins » géniques contre le Covid-19 pourraient causer la mort massive d’enfants et de jeunes adultes ?

Face à ce risque, les auteurs de cette lettre viennent d’interpeler Sajid Javid – responsable de la santé du Royaume-Uni, Chris Whitty (ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique) et Patrick Vallance (conseiller scientifique en chef du gouvernement), ainsi que les organismes de santé publique concernés.

L’office des statistiques ne se précipite pas pour enquêter

Au cours des derniers mois, une tendance a été relevée dans les données de mortalité « toutes causes confondues » en Angleterre et au Pays de Galles, ce qui a sonné l’alarme.

Les jeunes hommes âgés de 15 à 19 ans ont en particulier affiché un taux de mortalité en forte hausse.

Les membres de HART (un réseau de conseil en santé et rétablissement) se sont joints à d’autres universitaires et professionnels de la santé pour demander une enquête immédiate sur ce phénomène.

Dans le même temps, une grande compagnie d’assurance aux États-Unis a signalé une augmentation générale significative des décès chez les moins de 40 ans.

  • Article « Life insurance deaths up 40% » sur Desert Review (en anglais) : cliquer ici.

Devant la Haute Cour le jeudi 13 janvier, l’ONS (Office for National Statistics) a confirmé qu’il y avait eu une augmentation significative du taux de mortalité chez les adolescents de sexe masculin au cours des huit derniers mois, par rapport à la même période de 2015-2019.

Le problème est que cette période de huit mois coïncide avec la campagne d’inoculations dans ce groupe d’âge, connu pour présenter un risque accru de myocardite (inflammation cardiaque) post-vaccinale, en particulier après la deuxième dose.

Loin de se précipiter pour enquêter sur ces décès au fur et à mesure qu’ils sont survenus, l’ONS a déclaré qu’il avait l’intention d’entreprendre ce travail « lorsque des données plus fiables seront disponibles« .

Les signataires demandent la suspension des injections sur les jeunes

L’association entre la myocardite et les vaccins à ARNm, en particulier chez les jeunes et chez les hommes, est déjà bien établie.

Il est donc particulièrement urgent, selon les signataires de la lettre ouverte, de suspendre les injections pour ces tranches d’âge.

En effet, la campagne d’injection des deuxièmes doses et des rappels en cours les expose peut-être à un risque encore plus élevé, alors que le variant Omicron est beaucoup moins pathogène.

Les signataires résument ainsi leur interpellation :

Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter.  Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

Nous re-publions ici le texte de la lettre ouverte, traduite par Covidhub.ch.

Pour lire la lettre ouverte en anglais sur le site du collectif HART : cliquer ici.


Lettre ouverte à la MHRA* concernant les données sur les décès d’enfants

*Note du traducteur : agence britannique de surveillance des médicaments)

Courrier daté du 19 janvier 2022

Adressé à :

  • Dr June Raine, directrice générale, MHRA
  • Professeur Lim, président de la sous-commission COVID-19 du JCVI
  • Honorable Sajid Javid, Secrétaire d’État à la santé et aux soins sociaux
  • Professeur Sir Chris Whitty, médecin en chef pour l’Angleterre
  • Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du gouvernement
  • Dr Jenny Harries OBE, Directrice générale, UKHSA

Chers Dr Raine, Professeur Lim, M. Javid, Professeur Whitty, Sir Patrick Vallance et Dr Harries,

Nous vous écrivons pour exiger une enquête immédiate et urgente afin de déterminer si les vaccins Covid-19 sont la cause d’un nombre important de décès observés récemment chez des enfants et des jeunes adultes de sexe masculin.

Nous demandons également que les données anonymes et les informations connues, montrant combien d’enfants sont décédés suite à un vaccin Covid-19 et en combien de jours, soient publiées pour une transparence totale, dans l’intérêt public.

Le jeudi 13 janvier 2022, lors d’une audience à la Haute Cour[1] de Londres, des preuves ont été présentées montrant une augmentation significative du nombre de décès de jeunes hommes suite au déploiement des vaccinations Covid-19 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes entre 2015 et 2019.  Il est important de considérer les décès masculins séparément, étant donné ce que l’on sait des risques plus élevés de myocardite chez les jeunes hommes.

Entre le 1er mai et le 24 décembre 2021, il y a eu dans la population âgée de 15 à 19 ans :

  • 402 décès enregistrés chez les hommes, soit 65 de plus que la moyenne sur cinq ans de 337.
  • En revanche, 163 décès ont été enregistrés chez les femmes, soit 12 de moins que la moyenne des cinq dernières années.
  • En combinant les deux sexes, 565 décès d’hommes et de femmes ont été enregistrés au total, soit 53 de plus que prévu.

L’Office for National Statistics a reconnu que l’augmentation du nombre de décès de jeunes hommes est statistiquement significative, le taux de mortalité se situant en dehors des intervalles de confiance attendus des données des années précédentes.

Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que le nombre réel de décès de jeunes hommes au cours de cette période est probablement beaucoup plus élevé que celui des décès enregistrés.  En effet, l’ONS estime qu’en raison des délais d’enregistrement, les décès enregistrés au cours de cette période ne représentent en moyenne que 62% des décès réels.  Tout décès dont la cause est incertaine aura été transmis au coroner (équivalent du parquet, NdT) et l’enregistrement de tels décès peut prendre beaucoup de temps. Le fait qu’un signal soit déjà évident dans les décès enregistrés est donc très préoccupant.

En tenant compte de l’estimation de l’ONS, les 65 décès masculins en excès pourraient représenter 105 décès en excès de ces jeunes hommes, en supposant que la proportion de décès qui ont été référés au coroner est similaire à celle des années précédentes. S’il y a eu plus de signalement au coroner cette année, le chiffre pourrait être plus élevé.

Depuis au moins le 13 octobre 2021, le secrétaire d’État et le comité Covid-19 du JCVI ont été mis au courant de cette augmentation des décès masculins par le biais de leur représentants, informés par le département juridique du gouvernement dans les procédures de la Haute Cour. En outre, l’ONS a lui-même maintenant reconnu que davantage de travaux pourraient être entrepris pour examiner les taux de mortalité des jeunes en 2021 et a confirmé par écrit qu’il avait l’intention d’entreprendre ces travaux « lorsque des données plus fiables seront disponibles. »

Il existe déjà des signaux de risque

L’incidence d’une mortalité plus élevée chez les jeunes hommes en 2021, coïncidant avec le déploiement des vaccins Covid-19, ne peut pas être considérée comme une coïncidence, car il y a déjà eu des signaux d’alerte d’effets indésirables graves dans ce groupe d’âge. C’est pourquoi la décision de proposer le vaccin Covid-19 aux moins de 18 ans n’a pas été sans susciter la controverse.

Le JCVI a précédemment refusé de recommander que les vaccins Covid-19 soient administrés à des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé, car le rapport bénéfice/risque n’était au mieux que marginal, compte tenu : du très faible risque de maladie grave ou de décès lié à la maladie du Covid-19 pour les enfants ; de l’incertitude considérable quant aux effets néfastes potentiels des vaccins Covid-19 ; des signaux connus d’effets néfastes des vaccins déjà identifiés et de l’absence de données d’innocuité complètes et à long terme – dans des circonstances où les vaccins comme on le sait ont été rapidement mis sur le marché, bien avant la fin des essais cliniques de phase III normalement utilisés pour évaluer l’innocuité. Le 3 septembre 2021, le JCVI a déclaré :

« Dans l’ensemble, le comité est d’avis que les avantages de la vaccination sont légèrement supérieurs aux inconvénients potentiels connus (tableaux 1 à 4), mais reconnaît qu’il existe une incertitude considérable quant à l’ampleur des inconvénients potentiels. La marge de bénéfice, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour soutenir une recommandation sur un programme universel de vaccination des enfants de 12 à 15 ans, par ailleurs en bonne santé, à l’heure actuelle. Au fur et à mesure que les données à plus long terme sur les effets indésirables potentiels s’accumulent, une plus grande certitude pourrait permettre de reconsidérer les avantages et les inconvénients. De telles données ne seront peut-être pas disponibles avant plusieurs mois. »

La décision du JCVI a été annulée par les quatre médecins en chef d’Angleterre, du Pays de Galles, d’Écosse et d’Irlande du Nord, non pas parce qu’ils ont constaté que les vaccins Covid-19 présentaient un avantage pour la santé des enfants, mais parce que, sur la base d’analyses de modélisation, ils ont conclu que les vaccins Covid-19 étaient susceptibles de réduire les absences scolaires. Même si, en théorie, la prévention de quelques jours d’absence pour des symptômes légers de type rhume ne peut raisonnablement justifier l’administration de vaccins dont les effets à long terme sont inconnus, c’est la justification donnée pour la vaccination des enfants d’âge scolaire. Depuis lors, des données ont dû être obtenues et auraient dû être recueillies et examinées pour déterminer si les vaccinations ont effectivement réduit les absences scolaires, et dans quelle mesure les absences se sont produites en raison (a) de l’administration du programme de vaccination et (b) des réactions indésirables aux vaccins.

En outre, le 4 août 2021, le JCVI a initialement recommandé l’administration d’une seule dose aux jeunes de 16 et 17 ans en bonne santé, reconnaissant qu’il existait un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes avec les vaccins Covid-19, en particulier après l’administration d’une deuxième dose, comme l’ont identifié la FDA aux États-Unis et les données émergentes en Israël.  Il est remarquable que lorsque, en novembre 2021, le JCVI a conseillé d’administrer une seconde dose aux jeunes de 16-17 ans, il l’a fait sans inclure de déclaration expresse indiquant qu’il considérait que les avantages du vaccin Covid-19 l’emportaient sur les risques dans ce groupe d’âge.  Au lieu de cela, il a reconnu que les informations sur les risques à plus long terme (mois à années) de la myocardite n’étaient pas claires et ne seraient disponibles qu’avec le temps.

Le Secrétaire d’État et ceux qui le conseillent ont déclaré que le rapport risque/bénéfice du déploiement des vaccins chez les moins de 18 ans était finement équilibré.  Plusieurs mois se sont écoulés et les données relatives aux décès enregistrés et aux absences scolaires, ainsi que la réduction du risque grâce à Omicron, doivent amener à se demander si cet équilibre délicat n’a pas basculé en défaveur de la recommandation de la vaccination des jeunes.

Une enquête doit être menée

Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter.  Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

Le JCVI a le devoir permanent de revoir son avis en fonction de l’apparition de nouvelles données. Il a expressément déclaré à plusieurs reprises que des données supplémentaires étaient nécessaires ou attendues.

La MHRA est chargée de la surveillance des vaccins en temps réel et a le devoir de surveiller les données relatives aux vaccins Covid-19 pour détecter les signaux de sécurité.  Elle le fait par le biais du système de rapport Yellow Card, mais son rôle ne devrait pas être confiné à un seul système de surveillance passive. Le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments qui a été créé pour conseiller la MHRA sur sa stratégie de surveillance de la sécurité des vaccins Covid-19, reconnaît que la surveillance passive repose sur le fait qu’une personne soupçonne ou « établit un lien » entre le médicament ou le vaccin et une maladie inexpliquée, puis le signale, et qu’il est donc important d’inclure d’autres formes de vigilance pour compléter ce système.

Il ne fait donc aucun doute que la MHRA a le devoir d’enquêter sur l’incidence de la surmortalité chez les jeunes hommes dans les données détenues par l’ONS, que des rapports de carte jaune aient été soumis ou non.

Le Secrétaire d’État, en tant que responsable du programme de vaccination du gouvernement, a également le devoir primordial, dans l’intérêt public, de contrôler la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19.

Les données sont disponibles et peuvent être facilement examinées

Il ne devrait pas être difficile d’enquêter sur ces préoccupations. L’ONS a confirmé (à la Cour) qu’il était en mesure de fournir des données anonymes précises, notamment le nombre de jours entre la vaccination et le décès.  Il n’a pas été suggéré que la collecte ou l’analyse de ces données présentait des difficultés.  Si, par exemple, les données révèlent une concentration de décès survenant à proximité de la date de vaccination, cela pourrait renforcer les craintes d’un lien de causalité positif (par exemple, selon les critères de Bradford Hill) et des enquêtes plus approfondies seraient nécessaires.  Une incidence plus élevée de mortalité chez les enfants après la vaccination est une cause majeure de préoccupation et pourrait indiquer la nécessité d’interrompre immédiatement le programme de vaccination. Si aucune indication de lien de causalité n’est apparente, cela peut contribuer à rassurer le public quant à la sécurité des vaccins.

Bien que l’arrêt du programme de vaccination des enfants par le Covid-19 soit l’objet d’un recours en justice devant la Haute Cour, les tribunaux ont jusqu’à présent considéré que le déploiement massif auprès des moins de 18 ans était une décision politique du Secrétaire d’État que le pouvoir judiciaire ne peut pas influencer. Ce point de vue de la cour, qui porte sur des principes juridiques particuliers du contrôle judiciaire, n’entrave en rien l’enquête que nous demandons.  En effet, l’honorable juge Jay a fait remarquer lors d’une audience, à laquelle le secrétaire d’État était représenté, qu’il s’attendait à ce que la JCVI « réclame à cor et à cri les données » relatives à l’incidence des décès après la vaccination.

Des informations ont déjà été demandées au Secrétaire d’État et promises par celui-ci

Cette demande d’informations concernant les décès consécutifs à une vaccination n’est pas nouvelle. Cette question a été soulevée à plusieurs reprises à la Chambre des communes.  Par exemple, le 25 mars 2021, en réponse aux questions de M. William Wragg MP et de Sir Christopher Chope MP sur l’incidence des décès dans les trois semaines suivant la vaccination contre le Covid-19, le secrétaire d’État de l’époque, Matt Hancock, a assuré au Parlement que c’était exactement le genre de choses qu’il examinait et que, s’il y avait des données non publiées, il chercherait à les publier parce que le gouvernement voulait être complètement ouvert et transparent pour rassurer les gens sur le fait que les risques sont extrêmement faibles.

Il est très inquiétant que les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 ne semblent pas avoir été collectées et analysées ou, si elles l’ont été, qu’il ait été décidé de ne pas les publier.  Malheureusement, l’impression donnée n’est pas celle de la transparence, mais plutôt celle de la dissimulation de l’information. L’impact à long terme sur la confiance dans les représentants élus et dans les organismes de réglementation qui les conseillent ne peut être sous-estimé. On ne peut pas non plus sous-estimer l’importance potentielle des signaux de données qui semblent émerger.

Notre demande et notre requête

Compte tenu de ce qui précède et de toutes les circonstances, je vous prie de bien vouloir confirmer par retour les éléments suivants :

  1. Que chacun d’entre vous enquête sur l’augmentation de la mortalité au cours de la période du 1er mai 2021 au 24 décembre 2021 (et au-delà) chez les jeunes hommes, telle qu’enregistrée par l’ONS, afin de déterminer la raison de cette augmentation et si un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 peut être raisonnablement exclu.
  2. Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour mener l’enquête requise et, si une telle enquête a déjà commencé, nous vous prions de confirmer quand elle a débuté, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.
  3. Vous allez maintenant chercher à obtenir de l’ONS, sans délai, les données suivantes pour tous les décès des 12-19 ans survenus à partir du 1er mai 2021 à ce jour :

a. Âge (dans le groupe d’âge 12-15 ans ou 16-19 ans)
b. Sexe
c. Si la personne a reçu la dose 1 d’un vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
d. Si la personne a reçu la dose 2 du vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
e. Le cas échéant, le délai (nombre de jours) après lequel le décès a suivi la dose 1 (si la dose 2 n’a pas été administrée) ou le nombre de jours après lesquels le décès a suivi la dose 2 (si elle a été administrée).

  1. Que le Secrétaire d’État publiera bel et bien les données obtenues ou qu’il fera en sorte que l’ONS publie ces données.
  2. Si vous avez conclu, et si oui quand et comment, qu’un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 pouvait être exclu ou considéré comme une possibilité négligeable, et sur quelle base.
  3. Ce que vous suggérez pourrait être l’explication de l’augmentation statistiquement significative des décès chez les jeunes hommes au cours de la période du 1er mai 2021 au 24t décembre 2021, autre qu’un éventuel lien de causalité avec les vaccins Covid-19.
  4. Que vous fournirez les principales sources de preuves sur lesquelles vous vous êtes appuyé, pour toute explication fournie, afin de soutenir et d’expliquer pourquoi cette augmentation n’a pas également été observée à d’autres périodes (par exemple, en 2020, lorsque la pandémie est apparue et que les décès de jeunes hommes étaient inférieurs à la moyenne).

Nonobstant le fait que nous n’acceptons pas que les données modélisées sur les absences aient pu justifier la décision d’étendre les vaccins aux enfants d’âge scolaire, veuillez également confirmer par retour :

  1. Que chacun d’entre vous prenne des mesures pour examiner les données disponibles depuis la décision du 13 septembre 2021, suivant l’avis des médecins-chefs, afin de déterminer (a) le niveau des absences scolaires, (b) si l’avantage modélisé d’éviter les absences scolaires a été atteint et (c) dans quelle mesure l’absence a été causée par (i) l’administration du programme de vaccination et (ii) les réactions indésirables au programme de vaccination.
  2. Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour enquêter sur les données relatives aux absences scolaires depuis cette décision du 13 septembre 2021 et, si une telle enquête a déjà commencé, veuillez confirmer quand cette enquête a commencé, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.

Publication des données

Nous ne voyons pas d’obstacle à la publication des données demandées. L’ONS a exprimé des inquiétudes au tribunal quant au fait que la publication des données demandées pourrait être divulguée, dans la mesure où elle permettrait d’identifier les individus concernés lorsqu’elle est associée à de nouveaux rapports et autres informations du domaine public. Cependant, nous ne comprenons pas comment cela serait même conceptuellement possible étant donné la nature généralisée des données demandées. Nous notons également les données régionales et quotidiennes publiées par l’ONS concernant les décès impliquant le Covid-19.

Aucun nom, aucune donnée régionale, aucune date de naissance ou de décès ne sont demandés. Avec l’aide de l’ONS, veuillez fournir un exemple afin que nous et le public puissions comprendre pourquoi les données demandées pourraient être retenues au motif qu’elles pourraient être divulguées.

L’urgence absolue

Enfin, le message actuel du gouvernement aux enfants reste « faites-vous vacciner ». Avant, c’était « chaque vie compte ». Si la probabilité d’un lien de causalité était établie entre l’augmentation de l’incidence des décès et les vaccins Covid-19, ce serait une affaire très sérieuse. La mort d’un seul enfant à cause d’un vaccin Covid-19 serait une tragédie. Il va donc de soi qu’une enquête est de la plus haute urgence.

On ne peut ignorer que 65 décès chez les jeunes hommes au-dessus de la moyenne normale des décès équivaut à 2 décès par semaine chaque semaine entre le 1er mai et le 24 décembre 2021. Si l’on tient compte des 38% de décès non enregistrés, le chiffre réel pourrait être d’au moins 3 par semaine. Bien entendu, ce chiffre ne concerne que la tranche d’âge des 15-19 ans.  Au cours de la même période, seuls 2 décès enregistrés dans la même tranche d’âge ont été enregistrés comme « impliquant » le Covid.

Nous attendons votre réponse substantielle dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans les 7 jours.

Cette lettre a été publiée ouvertement et nous espérons qu’elle sera largement partagée ainsi que toute réponse de votre part.

Bien à vous,

Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BM BCh FRCPath

Signataires membres du réseau HART :

  • Professor Richard Ennos, MA, PhD. Honorary Professorial Fellow, University of Edinburgh
  • John Collis, RN, Specialist Nurse Practitioner
  • Dr Elizabeth Evans, MA, MBBS, DRCOG, retired doctor
  • Dr John Flack, BPharm, PhD. Retired Director of Safety Evaluation at Beecham Pharmaceuticals 1980-1989 and Senior Vice-president for Drug Discovery 1990-92 SmithKline Beecham
  • Dr Ali Haggett, Mental health community work, 3rd sector, former lecturer in the history of medicine
  • Mr Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant ENT surgeon, London
  • Dr Keith Johnson, BA, D.Phil (Oxon), IP Consultant for Diagnostic Testing
  • Dr Rosamond Jones, MD, FRCPCH, retired consultant paediatrician
  • Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, Senior Lecturer in Biomedical Sciences
  • Mr Malcolm Loudon, MB ChB, MD, FRCSEd, FRCS (Gen Surg), MIHM, VR.  Consultant Surgeon
  • Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH (ret). Retired Consultant in Public Health Medicine & Epidemiology
  • Sue Parker Hall, CTA, MSc (Counselling & Supervision), MBACP, EMDR. Psychotherapist
  • Rev Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, Senior Minister The Tron Church, Glasgow, formerly physician specialising in cardiology
  • Dr Gerry Quinn, PhD, Microbiologist
  • Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), Retired General Practitioner
  • Natalie Stephenson, BSc (Hons) Paediatric Audiologist

Autres signataires :

  • Professor Anthony J Brookes, Professor of Genomics & Health Data Science, University of Leicester
  • Professor Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMedSci, Professor of Oncology, St George’s Hospital, London
  • Professor John A Fairclough, BM BS, BMed Sci, FRCS, FFSEM(UK), Professor Emeritus, Honorary Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Professor Martin Neil, BSc PhD, Professor of Computer Science and Statistics
  • Professor Keith Willison, PhD, Professor of Chemical Biology, Imperial, London
  • Lord Moonie, MBChB, MRCPsych, MFCM, MSc, House of Lords, former parliamentary under-secretary of state 2001-2003, former consultant in Public Health Medicine
  • Julie Annakin, RN, Immunisation Specialist Nurse
  • Dr Michael Bazlinton, MBCHB MRCGP DCH
  • Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP(UK)
  • Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP(UK), FRCEM, Consultant in Emergency Medicine, UK
  • Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, retired General Practitioner
  • Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, Retired Pharmaceutical Physician
  • Dr David Bramble, MBChB, MRCPsych, MD. Consultant Psychiatrist
  • Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, General Practitioner
  • Kim Bull, Foundation Degree in Paramedic Science, Paramedic
  • Dr Elizabeth Burton, MB ChB, Retired General Practitioner
  • Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, General Practitioner, Functional Medicine Practitioner, GP Trainer
  • Michael Cockayne MSc, PG Dip, SCPHNOH, BA, RN Occupational Health Practitioner
  • Mr Ian F Comaish, MA, BM BCh, FRCOphth, FRANZCO, Consultant ophthalmologist
  • James Cook, NHS Registered Nurse, Bachelor of Nursing (Hons), Master of Public Health (MPH)
  • Dr Zac Cox, BDS, LCPH, Dentist
  • Dr David Critchley, BSc, PhD, 32 years in pharmaceutical R&D as a clinical research scientist
  • Dr Damien Downing, MBBS, MRSB, private physician
  • Mr Christian Duncan, MB BCh, BAO, MPhil, FRCSI, FRCS (Plast), Consultant Plastic Surgeon
  • Dr Chris Exley, PhD FRSB, retired professor in Bioinorganic Chemistry
  • Dr Charles Forsyth, MBBS, BSEM, Independent Medical Practitioner
  • Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, Ecological Medicine
  • Dr Catherine Hatton, MBChB, General Practitioner
  • Dr Renee Hoenderkamp, General Practitioner
  • Dr Andrew Isaac, MB BCh, Physician, retired
  • Dr Pauline Jones MB BS retired general practitioner
  • Dr Charles Lane, Molecular Biologist
  • Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Molecular Biologist
  • Dr Theresa Lawrie, MBBCh, PhD, Director, Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, Bath
  • Dr Jason Lester, MRCP, FRCR, Consultant Clinical Oncologist
  • Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, Doctor, Urgent Care, Research Fellow
  • Katherine MacGilchrist, BSc (Hons) Pharmacology, MSc Epidemiology, CEO, Systematic Review Director, Epidemica Ltd
  • Dr C Geoffrey Maidment, MD, FRCP, retired consultant physician
  • Mr Ahmad K Malik, FRCS (Tr & Orth), Dip Med Sport, Consultant Trauma & Orthopaedic Surgeon
  • Dr Kulvinder S. Manik MBChB, MRCGP, MA(Cantab), LLM, Gray’s Inn
  • Dr Dee Marshall, MBBS, MFHom, Nutritional Medicine
  • Dr Julie Maxwell, MBBCh, MRCPCH, Associate Specialist Community Paediatrician
  • Dr S McBride, BSc(Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP(UK), FRCEM, FRCP(Edinburgh). NHS Emergency Medicine & geriatrics
  • Mr Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Dr Niall McCrae RMN, PhD Mental Health Researcher and Officer of the Workers of England Union
  • Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, Nutritional, Environmental & Integrated Medicine
  • Dr. Scott Mitchell, MBChB, MRCS, Associate Specialist, Emergency Medicine
  • Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), General Practitioner
  • Dr Greta Mushet, retired Consultant Psychiatrist in Psychotherapy. MBChB, MRCPsych
  • Dr Sarah Myhill, MBBS, Dip NM, Retired GP, Independent Naturopathic Physician
  • Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, Menopause Specialist
  • Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, Clinical Lead Trainer Clinical Systems (Paediatric Intensive Care)
  • Jessica Righart, BSc MSc, Senior Critical Care Scientist
  • Mr Angus Robertson, BSc, MB ChB, FRCSEd (Tr & Orth), Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Dr Jessica Robinson, BSc(Hons), MBBS, MRCPsych, MFHom, Psychiatrist, Integrative Medicine Doctor
  • Mr James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, Colorectal Surgeon
  • Dr Rohaan Seth, Bsc (Hons), MBChB (Hons), MRCGP, Retired General Practitioner
  • Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, Retired Doctor
  • Dr Julian Tompkins, MBChB, MRCGP, General Practitioner, GP trainer PCME
  • Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, NHS Clinical Scientist
  • Dr Helen Westwood, MBChB (Hons), MRCGP, DCH, DRCOG, General Practitioner
  • Dr Carmen Wheatley, DPhil, Orthomolecular Oncology
  • Mr Lasantha Wijesinghe, FRCS, Consultant vascular surgeon
  • Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, Integrative & Functional Medicine Doctor
  • Dr Stefanie Williams, Dermatologist
  • Gordon Wolffe, BDS (Hons), MSc, FDSRCS,  Consultant Periodontist (Retired), Director of Master’s Programme in Periodontology (Retired), University of Nijmegen the Netherlands.
  • Dr Holly Young, BSc, MBChB, MRCP, Consultant Palliative Care Medicine



Des enfants conditionnés et enrolés comme soldats par les néo-nazis d’Ukraine

Par Nicole Delépine



https://t.me/DrDelepine/2564
https://t.me/DrDelepine/2565
https://t.me/DrDelepine/2566
https://t.me/DrDelepine/2567
https://t.me/DrDelepine/2568
https://t.me/DrDelepine/2569

Voir aussi :

https://nice-provence.info/2022/03/04/azov-nazis-occident-finance-arme-ukraine/




Peut-on faire confiance aux AUTORITÉS DE SANTÉ sur les vaccins ? NON, et voici pourquoi

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin

L’Agence du médicament américaine (FDA) vient de faire une chose assez inouïe. Il y a plus d’un an, la FDA a accordé une « autorisation d’urgence » au vaccin Pfizer anti-covid. Sur la base de quoi ? De l’essai clinique et des informations fournies par le fabricant, Pfizer.

Mais jusqu’à présent, la plupart de ces données n’ont pas été rendues publiquesAlors qu’elles ont conduit à vacciner des dizaines de millions d’Américains, avec un produit expérimental.

Dans un monde normal, ces informations devraient être accessibles à tout le monde… surtout que l’efficacité annoncée de 95 % n’a jamais été observée dans la réalité.

Mais étrangement, la FDA a essayé de faire de la rétention de ces données.

Tenez-vous bien : elle a promis de les livrer en intégralité en l’an 2097… c’est-à-dire dans 75 ans ! Qu’a-t-elle à cacher ?

Il a fallu qu’une association porte plainte pour que la FDA soit contrainte par la Justice à livrer toutes les données de Pfizer d’ici la fin de l’année 2022 ! C’est une bonne nouvelle, mais attendez la suite.

La FDA a alors demandé publiquement l’aide de Pfizer pour caviarder le rapport (c’est à dire « masquer » certains passages), sous couvert de protéger des secrets industriels.

Résultat : nous risquons fort de recevoir un rapport contenant de nombreux passages « masqués », ce qui pourrait ressembler à ceci :

« Tout va bien, faites confiance à votre gouvernement »
Image humoristique illustrant le risque de publication d’un rapport totalement « caviardé » par la FDA

Cette affaire serait amusante si cela ne révélait pas un énorme problème avec nos autorités de santé. Les agences du médicament devraient être totalement transparentes à l’égard des citoyens.

Alors que se passe-t-il ?

L’argent et la corruption organisée par Big Pharma jouent un rôle énorme, évidemment.

Mais cela n’explique pas tout. Tout le monde n’est pas corrompu.

Dans ma dernière lettre (ici), j’ai commencé à expliquer pourquoi la majorité des médecins et experts se trompent sur la vaccination : par ignorance ou pour protéger leur réputation.

Mais il faut parler maintenant du problème spécifique des « autorités de santé ».

Ce sont elles qui définissent le « consensus scientifique », aux yeux des médecins et des médias. C’est sur leurs avis que les responsables politiques prennent leurs décisions.

Et pourtant vous allez voir pourquoi on ne peut pas leur faire confiance sur la vaccination. En commençant par le scandale incroyable du mercure dans les vaccins.

Mercure vaccinal et autisme : les autorités ont CAMOUFLÉ le lien !

L’affaire se passe aux États-Unis en 1999[1]. Depuis une dizaine d’années, les cas d’autisme et de troubles neurologiques sont en explosion – sans que personne ne sache pourquoi. Il se trouve qu’en 1989, le calendrier vaccinal des nouveau-nés a été fortement alourdi, avec notamment le vaccin contre l’hépatite B, injecté dès le premier mois.

Or ce vaccin contenait un « agent conservateur » appelé thiomersal – qui n’est rien d’autre que du mercure, un violent poison.

Il peut paraître étrange de placer du mercure dans une seringue destinée à des nouveau-nés, mais pour l’industrie pharmaceutique, le thiomersal avait l’avantage d’être bon marché et d’éliminer les microbes pouvant contaminer le vaccin.

Finalement, la principale autorité américaine sur les maladies infectieuses – le CDC – décide d’enquêter sur les effets de ce mercure vaccinal. Un épidémiologiste qui travaille au CDC, Thomas Verstraeten, découvre alors que le mercure du vaccin hépatite B est associé à une augmentation dramatique du risque d’autisme.

Les enfants qui avaient reçu les doses les plus importantes de mercure vaccinal avaient un risque d’autisme multiplié par 7 par rapport aux enfants qui n’avaient rien reçu – ainsi qu’un risque beaucoup plus élevé de troubles de l’attention et du sommeil.

Catastrophée, la hiérarchie de Thomas Verstraeten lui demande de vérifier ses chiffres. Mais il a beau refaire ses calculs dans tous les sens, il trouve toujours une augmentation de l’autisme liée au mercure vaccinal. Il va même jusqu’à écrire à sa hiérarchie que cette corrélation « ne veut juste pas partir » (« it just won’t go away »)[2].

Dans son rapport final, il va même jusqu’à trouver une multiplication par 11 (et non pas seulement par 7) du risque d’autisme lié aux plus fortes expositions au mercure vaccinal à l’âge d’un mois. Même lorsque l’injection du mercure avait lieu un peu plus tard, à l’âge de trois mois, il trouvait encore une multiplication par deux du risque d’autisme.

C’est alors le branle-bas de combat au CDC.

L’Agence convoque un séminaire secret de deux jours avec :

  • 52 représentants des plus gros acteurs de l’industrie pharmaceutique ;
  • Les plus grands chercheurs et experts des vaccins ;
  • Et toutes les autorités de santé concernées : la FDA, le NIH, l’OMS et même des agences européennes.

Par chance, le grand avocat et défenseur de l’environnement, Robert Kennedy, a réussi à mettre la main sur la retranscription de ce qui s’y est dit[3]… et ce n’est pas beau à voir.

Figurez-vous que ces « spécialistes » se sont rendu compte qu’ils avaient totalement négligé la dose cumulative de mercure injectée aux enfants. Les autorités ont donné leur feu vert à quantité de nouveaux vaccins infantiles… sans réaliser que les doses de mercure injectées avaient dépassé toutes les normes de sécurité !

Voici comment a réagi, horrifiée, le Dr Patriarca, alors directrice de la recherche sur les vaccins à la FDA :

« Calculer la dose de mercure relève de l’algèbre de collégien. Pourquoi la FDA a mis si longtemps à le faire ? »

Face à cette terrible découverte, il n’y avait qu’un seul choix honnête possible : tout avouer au public,

et faire amende honorable – c’est ce qu’a proposé la Dr Ruth Etzel, de l’Agence de l’environnement (EPA).

Mais ils ont décidé de faire le contraire.

Le Dr Patriarca a exprimé ses craintes que cette affaire n’endommage durablement la crédibilité des autorités de santé, qui seront accusées de s’être « endormies au volant » et d’avoir laissé passer un problème énorme. Le Dr Bob Chen, chef de la sécurité des vaccins au CDC, a ainsi exprimé son soulagement que, « vu le caractère sensible de ces informations, elles ne soient pas tombées dans des mains, disons, moins responsables » (sous-entendu, les méchants anti-vax qui auraient pu s’en servir).

Le Dr John Clements, conseiller sur les vaccins à l’Organisation mondiale de la santé, a sans doute exprimé le sentiment général en disant « peut-être que cette étude n’aurait pas dû être faite » !

Finalement, tous ces technocrates et représentants de Big Pharma ont fini par se convaincre qu’il était dans l’intérêt de tout le monde d’étouffer le scandale.

Alors, le CDC a supprimé le rapport de Verstraeten, et fait comme s’il n’avait jamais existé. Verstraeten, lui, a été engagé par le géant pharma GSK. Puis, pour éviter que d’autres chercheurs ne puissent retrouver ses résultats, le CDC a confié la base de données à une agence privée, non accessible aux chercheurs.

Enfin, le CDC a payé l’Institut de médecine pour qu’il refasse les calculs en s’assurant que le lien entre autisme et mercure disparaisse totalement des résultats (« le CDC veut que l’on conclue que les vaccins sont sans danger », avait déclaré la Dr. Marie McCormick).

Quand on connaît un peu les statistiques, on sait qu’il n’est pas difficile de trafiquer les chiffres pour atteindre le résultat désiré. Et c’est ainsi qu’en 2004, le rapport officiel de l’Institut de médecine conclut qu’il n’y a pas de lien apparent entre thiomersal et autisme. Et pour couronner le tout, il recommande de ne plus mener la moindre recherche sur cette question.

Vous comprenez, maintenant, comment ça se passe ?

Pour les autorités de santé : protéger leur crédibilité à tout prix

Il faut bien comprendre que le problème est structurel.

Les autorités de santé détestent reconnaître leur tort… en partie pour de « bonnes raisons » ! Les autorités craignent par-dessus tout qu’on leur dise : « Si vous avez eu tort sur ce point, pourquoi est-ce qu’on vous croirait sur le reste ? ».  Voilà pourquoi vous n’entendrez jamais les autorités de santé confesser qu’elles ont eu radicalement tort… Au contraire, elles feront tout pour modifier leurs conseils discrètement, petit à petit, en espérant que leur bévue ne sera pas repérée.

Prenez l’exemple du vaccin BCG, obligatoire jusqu’en 2007 en France. Quand une étude scientifique de grande ampleur a montré en 1999 que ce vaccin BCG n’avait aucune efficacité sur la tuberculose[4], qu’ont fait les autorités de santé ? Croyez-vous qu’elles ont immédiatement arrêté les frais, et demandé pardon de l’avoir imposé à tous les bébés pendant plus de 50 ans ?

Pas du tout !

D’abord, elles n’ont pas réagi. Puis, en 2005, Sanofi Pasteur a arrêté de produire son fameux vaccin BCG à « bagues multipoints » – celui qui causait la fameuse cicatrice sur les épaules ou chevilles de millions d’enfants. Il ne restait alors plus qu’un seul vaccin BCG disponible, un vaccin injectable (intradermique) et connu pour provoquer davantage d’effets indésirables.

Résultats : certains médecins ne voulaient plus donner le BCG aux enfants avec ce nouveau vaccin injectable, et le nombre de certificats de complaisance commençait à exploser.

Voilà pourquoi les autorités ont été obligées d’abandonner l’obligation vaccinale en 2007. Pour ne pas perdre la face, elles ont prétendu qu’il n’y avait plus beaucoup de tuberculose en France, ce qui était déjà le cas 10 ou 20 ans avant ! L’argument est d’autant plus fallacieux que ces autorités n’ont jamais demandé d’arrêter le vaccin DTP, alors que le tétanos ne cause presque plus de morts, et que le nombre de cas de polio ou de diphtérie est égal à zéro depuis des années.

Mais pour les autorités de santé, il fallait défendre leur réputation : elles devaient arrêter la vaccination du BCG… sans reconnaître qu’elles avaient eu tort de l’imposer pendant 50 ans. Le problème, c’est que cela conduit à faire perdurer des mythes et des mensonges. Si vous en doutez, regardez cet article à peine croyable de France Inter datant de 2021, qui prétend que le vaccin BCG, pourtant démontré comme inefficace, a sauvé 1 milliard de vies !

Un article aussi mensonger aurait été impossible si les autorités françaises avaient été honnêtes, au début des années 2000, sur l’efficacité réelle du BCG et les raisons d’arrêter ce vaccin. Mais il est très difficile pour les autorités gouvernementales de dire la vérité. De leur point de vue, tout paraît justifié, y compris des gros mensonges, pour éviter que les citoyens cessent de leur faire confiance.

Même quand les preuves de leur erreur sont évidentes, comme dans le cas de l’amiante, il leur a fallu des décennies pour le reconnaître publiquement et changer leurs recommandations. Il n’y a que lorsque le scandale est manifeste et médiatiquement « chaud » (comme dans le cas du Médiator) que les autorités sont obligées d’admettre publiquement qu’elles se sont trompées.

Quand on y réfléchit bien, c’est assez logique.

Le problème est structurel : que peut-on attendre de la part des autorités qui ont approuvé un médicament comme le Médiator… ou qui n’ont rien ditde leurs effets indésirables pendant des années ? Ces autorités-là seront toujours les dernières à reconnaître qu’elles ont fait une grosse erreur qui a coûté des milliers de morts ! Et c’est l’une des raisons qui expliquent que tout est fait pour masquer les effets indésirables des vaccins.

Le Pr Gherardi, qui a en France découvert la toxicité de l’aluminium des vaccins, en a fait les frais de manière éclatante. En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) a officiellement recommandé de stopper les recherches sur le lien de causalité entre l’aluminium et la myofasciite à macrophages (une maladie neurologique grave). C’était le meilleur moyen d’éviter que la vérité n’éclate sur la dangerosité de l’aluminium vaccinal.

Pourquoi l’Afssaps a fait cela ? Parce que les « experts » impliqués avaient des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique, bien sûr. Mais aussi parce qu’il est dans la logique des organisations qu’une institution comme l’Afssaps, qui a autorisé l’injection d’aluminium à des millions d’enfants, soit très réticente à reconnaître après coup que cela peut causer de graves dégâts !

Force est de constater que ce qu’a découvert le pauvre Pr Gherardi était terriblement banal :

« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique ».

Le Pr Gherardi ajoute que l’Afssaps, « financée à 80 % par l’industrie, est prioritairement un outil à son service. » Mais l’influence de Big Pharma n’explique pas tout : il est toujours calamiteux que les mêmes personnes ou structures soient « juges et parties » !

Ceux qui autorisent les médicaments ne peuvent pas être les mêmes qui en surveillent les effets indésirables, cela devrait être évident pour tout le monde ! Pour les vaccins Covid, c’était la même chose : il était clair qu’il aurait fallu donner à une autorité indépendante le soin d’examiner leurs effets indésirables.

Si vous donnez ce pouvoir à l’Agence du Médicament, qui a officiellement autorisé ces vaccins, elle fera tout pour minimiser les dégâts qu’ils provoquent, parce qu’elle en est en partie responsable !

Et voilà comment la désinformation sur l’intérêt réel de la vaccination en général est nourrie et entretenue par les autorités de santé :

  • Sur la base d’un mythe et d’un « pieux mensonge » : il faudrait cacher certaines vérités, car si la population commençait à se méfier des vaccins, ce serait une catastrophe de santé publique (ce qui est faux, voir ma lettre n°1) ;
  • Sur la base d’un biais psychologique des médecins et experts en maladies infectieuses, dont la réputation et le prestige sont fortement liés au mythe du « Dieu vaccin », sauveur de l’humanité (voir ma lettre n°3) ;
  • Et sur la base d’une logique administrative (cette lettre-ci !) : comme toute organisation, les autorités de santé cherchent toujours à protéger leur réputation et leur crédibilité – le problème est qu’elles sont aussi en position d’étouffer les preuves montrant qu’elles ont pu se tromper.

Dans la crise du Covid, on a vu que ce dernier problème, structurel, ne concerne pas que les vaccins :

  • Sur les confinements : on sait maintenant que les mêmes autorités qui ont recommandé les confinements se sont arrangées pour diaboliser les médecins et scientifiques qui s’y opposaient[5] ;
  • Sur l’origine du coronavirus : on sait désormais que les mêmes autorités qui ont financé des expérimentations dangereuses au laboratoire de Wuhan ont tout fait pour faire croire à l’origine naturelle du virus[6].

Et voilà comment, sous couvert de leur position « d’autorité », des organismes publics contribuent à la désinformation sanitaire.

Bonne santé,

Xavier Bazin




L’intégralité de la déclaration de Vladimir Poutine au 8e jour de la guerre en Ukraine

[Source : BFMTV]

Vladimir Poutine s’est exprimé ce jeudi, au 8e jour de la guerre en Ukraine. Le président russe a assuré que « l’opération militaire » se déroulait « selon le plan », martelant y combattre des « néonazis » pour sauver Russes et Ukrainiens, qui ne forment selon lui « qu’un seul peuple ».




Rappel : le documentaire d’Oliver Stone « Ukraine on Fire », ou comment les États-Unis (et non la Russie) ont détruit l’Ukraine

[Source : Sott.net]

12 jan. 2018

Le documentaire phare d’Oliver Stone, Ukraine on Fire (l’Ukraine en feu), est enfin disponible en Occident.

L’Ukraine, cette « frontière » entre la Russie et l’Europe dite « civilisée », est à feu et à sang. Depuis des siècles, elle est au cœur d’une lutte acharnée entre certaines puissances qui cherchent à contrôler ce riche territoire et l’accès de la Russie à la Méditerranée.

Le massacre de Maïdan début 2014 a déclenché un soulèvement sanglant qui a débouché sur l’éviction du président Viktor Ianoukovytch, la sécession de la Crimée et sa réintégration au sein de la Russie, et une guerre civile dans l’Est de l’Ukraine.

Les médias occidentaux ont présenté la Russie comme l’instigatrice de ces troubles, et cette dernière a été sanctionnée et unanimement condamnée. Mais la Russie était-elle vraiment responsable de ces événements ?

Ukraine on Fire offre une perspective historique sur les divisions profondes qui affectent la région et qui ont mené à la Révolution orange de 2004, aux soulèvements de 2014 et au renversement brutal du président Ianoukovytch démocratiquement élu.

Présenté par les médias occidentaux comme une « révolution populaire », ce véritable coup d’État a été orchestré et perpétré par des groupes ultranationalistes et par le Département d’État américain.

Le journaliste d’investigation Robert Parry révèle que, dans les années 80, des ONG politiques financées par les États-Unis et des agences de presse ont pris le relais de la CIA, et commencé à promouvoir les desseins géopolitiques des États-Unis à l’étranger.

Oliver Stone, producteur délégué, a eu le privilège de découvrir les dessous de l’affaire en interviewant l’ancien président Ianoukovytch et l’ancien ministre de l’Intérieur Vitaliy Zakharchenko, qui lui ont expliqué que l’ambassadeur des États-Unis et différentes factions à Washington avaient activement conspiré pour provoquer un changement de régime en Ukraine.

En outre, dans son premier entretien avec Vladimir Poutine, Stone a interrogé le président russe sur l’importance de la Crimée, sur l’OTAN et sur la longue tradition d’interférence des États-Unis dans la région, notamment leur ingérence dans les élections et leurs efforts pour instaurer un changement de régime.

Ce documentaire est initialement sorti en 2016, mais comme on pouvait s’y attendre, Stone a rencontré des problèmes pour le faire distribuer aux États-Uniset dans les pays occidentaux. Une version doublée en russe avait rapidement vu le jour et avait été diffusée à la télévision russe, mais jusque-là, les peuples du « monde libre » n’avaient pas eu accès au documentaire dans son intégralité.

C’est désormais chose faite : le film est disponible en intégralité sur YouTube. Évidemment, nous encourageons chacun à soutenir le travail d’Oliver Stone en se procurant le DVD de ce documentaire.

Source Bitchute (en anglais) :



Source Odysee (en anglais) :



Commentaire : Voir aussi :




Ukraine : Asselineau répond à Macron

[Source : Union Populaire Républicaine]