Le gouvernement britannique menace d’interdire Twitter et de mettre en prison Elon Musk s’il autorise la liberté d’expression

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal Genséric

Le Royaume-Uni a menacé mardi d’interdire complètement Twitter et de mettre en prison Elon Musk s’il viole leur « projet de loi sur la sécurité en ligne » en autorisant la liberté d’expression sur sa plateforme.

Cette décision est survenue quelques heures seulement après que l’UE a menacé d’interdire entièrement Twitter si Musk permet la liberté d’expression sur la plate-forme et que les États-Unis ont menacé de «réformer» la Section 230 pour tenir les sociétés de médias sociaux «responsables» des «préjudices qu’ils causent».

De CNBC :

Le projet de loi de sécurité en ligne britannique rendrait obligatoire pour les médias sociaux de s’attaquer à la fois à des publications illégales ainsi qu’aux documents «légaux mais nuisibles», une définition vague qui a attiré la critique de certains membres de l’industrie technologique pour lesquels ce projet de loi va étouffer la liberté d’expression .

« Twitter et toutes les plateformes de médias sociaux doivent protéger leurs utilisateurs contre les dommages sur leurs sites », a déclaré un porte-parole du gouvernement au Royaume-Uni à CNBC.

« Nous introduisons de nouvelles lois sur la sécurité en ligne pour protéger les enfants, prévenir les comportements abusifs et protéger la liberté d’expression », a déclaré le porte-parole. «Toutes les entreprises technologiques avec des utilisateurs au Royaume-Uni devront se conformer aux nouvelles lois ou faire face à de lourdes amendes et au blocage leurs sites. »

Les enjeux de plateformes comme Twitter seraient encore plus élevés en vertu du projet de loi de la sécurité en ligne, qui menace des peines de prison pour les dirigeants de l’entreprise pour des violations graves, ainsi que des sanctions pouvant atteindre 10% des ventes mondiales annuelles.

La législation, qui doit encore être approuvée par les législateurs du Royaume-Uni, devrait devenir loi plus tard cette année.

Musk a déclaré plus tôt dans la journée après la publication des menaces de l’UE, 

« Cela dit tout sur la réaction extrême de ceux qui craignent la liberté d’expression.« 

« Par « liberté d’expression », je veux simplement dire ce qui correspond à la loi. Je suis contre la censure qui va bien au-delà de la loi. Si les gens veulent moins de liberté d’expression, ils demanderont au gouvernement d’adopter des lois à cet effet. Par conséquent, aller au-delà de la loi est contraire à la volonté du peuple », a déclaré Musk.

Il est vraiment remarquable de voir comment ces régimes occidentaux condamnent la Chine et la Russie pour avoir réprimé’ la dissidence alors qu’ils mènent activement une guerre totale contre la liberté de la parole et la liberté d’expression dans leur propre pays contre leurs propres sujets.Comme indiqué dans l’évangile de Thomas :

« Jésus disait : La paille qui est dans l’œil de ton frère, tu la vois. Mais la poutre qui est dans ton œil, tu ne la vois pas. Lorsque tu ôteras la poutre de ton œil, alors tu verras clair pour ôter la paille qui est dans l’œil de ton frère. »




Entretien Charles GAVE-Florian PHILIPPOT : sortir du chaos !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Ukraine : montée aux extrêmes ?

[Source : regischamagne.fr]

[Illustration : Carl von Clauzewitz]

Certains commentateurs craignent de plus en plus ouvertement que cette guerre ne dégénère vers une confrontation nucléaire entre les deux blocs. En effet, la tournure que prennent les événements en Ukraine nous fait penser à une possible montée aux extrêmes de la violence, selon la formulation de Carl von Clauzewitz. D’un côté les États-Unis et les pays de l’UE envoient massivement des armements en Ukraine, d’un autre les Russes réduisent considérablement leurs exportations vers l’UE. Revenons donc aux sources et d’abord au concept.

La montée aux extrêmes, un concept théorique

Dans son célèbre ouvrage « De la guerre », Carl von Clauzewitz développe le concept de montée aux extrêmes. Il s’agit en fait d’une abstraction qui n’existe qu’à l’état de théorie et qui découle d’un exercice de pensée logique partant de la nature de la guerre, ou en tous cas de la définition qu’en donne Clauzewitz : « un acte de la force par lequel nous cherchons à contraindre l’adversaire à se soumettre à notre volonté. » Ainsi, chaque camp va logiquement chercher à surpasser son adversaire en engageant plus d’efforts que lui, ce qui conduira à l’emploi illimité de la force et à une montée aux extrêmes de la violence.

Mais, précise Clauzewitz, dans la vraie vie, la guerre est limitée par toutes sortes de phénomènes : le brouillard de la guerre, les erreurs d’évaluation de la volonté de l’ennemi, les frictions internes dues aux fonctionnements des rouages étatiques et des armées elles-mêmes… Mais surtout, les limites à la montée aux extrêmes sont fixées par les buts politiques de la guerre qui, chez l’un et l’autre des belligérants, exigera des moyens à consentir et influera sur la motivation à combattre. Du reste, souvent la montée aux extrêmes est limitée par l’épuisement d’un des camps, voire des deux.

Quels sont les buts de guerre ?

La guerre d’Ukraine a commencé en 2014 par le coup d’État de Maïdan organisé par les États-Unis. L’objectif des Anglo-Américains était de prendre le contrôle de l’Ukraine, pays considéré comme stratégique. En effet, dans son livre « Le grand échiquier », livre qui a beaucoup influencé la pensée stratégique américaine depuis le milieu de la décennie 1990, Zbigniew Brzezinski classe l’Ukraine dans la catégorie des pivots géopolitiques. Il convient de préciser que Z.B. s’appuie sur la théorie géopolitique de Halford John Mackinder selon laquelle il faut tenir le « Heartland », principalement la plaine s’étendant de l’Europe centrale à la Sibérie occidentale, comme l’évoque sa célèbre devise :

« Qui gouverne l’Europe orientale domine le Heartland, qui gouverne le Heartland domine l’île-monde, qui gouverne l’île-monde domine le monde. »

La plaine ukrainienne représentait alors, selon Mackinder, l’espace de mobilité par excellence permettant des invasions rapides au moyen de la cavalerie. Logiquement, Z.B. classe l’Ukraine dans la catégorie des pivots géopolitiques :

« La notion de pivots géopolitiques désigne les États dont l’importance tient moins à leur puissance réelle et à leur motivation qu’à leur situation géographique sensible et à leur vulnérabilité potentielle, laquelle influe sur le comportement des acteurs géostratégiques. »

Les acteurs géostratégiques étant « les États dotés d’une capacité et d’une volonté nationale suffisantes pour exercer leur puissance et leur influence au-delà de leurs frontières. » On comprend bien le lien qui adosse un pivot géopolitique à un acteur géostratégique. Z.B. cite les pivots géopolitiques les plus importants : l’Ukraine, l’Azerbaïdjan, la Corée, la Turquie et l’Iran (en respectant l’ordre de son livre).

Le but de guerre des classes dirigeantes anglo-américaines est donc probablement de s’appuyer sur l’Ukraine pour neutraliser la Russie, de façon à rayer la Russie de la liste des acteurs géostratégiques. Mais les idiots qui dirigent les États occidentaux et l’UE appliquent les recettes de cuisine de Z.B. sans en avoir compris l’esprit, tout à leur illusion de suprémacisme et de destin manifeste. On peut même imaginer qu’ils nourrissent un fantasme de grand remplacement ; après tout, ils en ont déjà fait l’expérience réussie avec le génocide des indiens d’Amérique du nord.

En résumé, il s’agit donc profondément d’une question existentielle pour la Russie. Du reste, c’est bien comme cela que Vladimir Poutine l’a compris. Après avoir tenté en vain de faire appliquer les accords de Minsk II pendant sept ans, alors que les Américains armaient et prenaient le contrôle des moyens militaires ukrainiens (rattachement des centres d’opérations ukrainiens à la chaîne de commandement de l’OTAN, formation et commandement des unités sur le terrain…) et se préparaient à mener une offensive meurtrière dans le Donbass vers la mi-mars, il a fini par déclencher les hostilités lui-même, selon son principe : « Quand le combat est inévitable, il faut attaquer en premier. » Mais pour quels buts de guerre ?

Depuis de nombreuses années, je développe le thème du changement de paradigme géopolitique en cours, ou transition de phase pour reprendre le modèle mathématique de Stuart Kauffman. Mes derniers articles en témoignent. Eh bien cette fois-ci, c’est dit de manière très claire par Vladimir Poutine, par Sergueï Lavrov et par Dmitri Medvedev : le vrai but de cette opération militaire n’est pas seulement de démilitariser et de dénazifier l’Ukraine, il est de mettre en œuvre un nouvel ordre mondial fondé sur l’égalité entre les nations et des règles de sécurité qui conviennent à chacune d’elles. Bref, il s’agit de mettre fin à l’hégémonie anglo-américaine. Cette hégémonie reposant sur la primauté du dollar (monnaie de singe, car non adossée à une quelconque richesse réelle) dans les échanges internationaux maintenue de force (chantage ou violence déclarée) par la puissance militaire américaine. Le but de guerre stratégique de la Russie, et derrière elle de tous les États non-alignés, est donc d’essence monétaire et économique, car le centre de gravité du système occidental est d’essence monétaire et économique. Nous avons affaire, là aussi, à une question existentielle pour l’Occident. Les fantasmes sur une possible guerre nucléaire, si elle relève de l’angoisse devant la tournure que prennent les relations entre la Russie et les pays occidentaux, ne se situe pas au bon endroit ; la vraie guerre est économique.

Cette guerre met donc en jeu une menace existentielle pour la Russie contre une menace existentielle pour l’Occident, sauf que… il est presque certain que les idiotes et les idiots qui dirigent l’Occident ne l’ont pas compris, tant ils n’ont même pas le niveau intellectuel pour analyser correctement une situation tactique.

Bêtes à bouffer du foin !

Dans toutes les méthodes de planification opérationnelle, il y a une phase qui consiste à faire l’analyse la plus objective possible de la balance entre les forces et faiblesses de l’adversaire et nos propres forces et faiblesses. Sun Zi aborde cette question dans « L’art de la guerre » à l’article VI intitulé « Du plein et du vide ». Et les gouvernants occidentaux déclarent une guerre économiques à la Russie. La Russie, un pays autonome sur le plan énergétique et exportateur, autonome sur le plan alimentaire et exportateur en produits sans OGM (Vladimir Poutine a interdit l’emploi des OGM en Russie depuis plusieurs années), sur la voie de l’autonomie pour les produits manufacturés. Les pays occidentaux, en particuliers les pays européens dépendent de l’énergie russe et des produits alimentaires russes, à des degrés divers.

L’action occidentale face à la Russie peut donc se résumer ainsi : attaquer l’adversaire de front, bille en tête, sur ses points forts qui sont également nos propres points faibles. Sans vouloir être excessif, je dirais qu’il faut avoir un QI ne dépassant pas celui d’une poule, et encore ce n’est pas très sympa pour les poules, pour imaginer un tel plan. La montée aux extrêmes a donc commencé dans le domaine de l’économie, et de la finance qui va avec. Elle s’achèvera par l’épuisement du camp occidental. Car pour Vladimir Poutine, c’est la montée aux extrêmes de la résignation face à tant de bêtise et de l’indifférence qui s’en suit.

La suite ?

Du côté du monde nouveau le développement des échanges entre les États non occidentaux dans les monnaies de chaque pays va s’intensifier jusqu’à ce que la Russie puisse se passer des exportations qu’elle réservait aux pays occidentaux. Des infrastructures sont nécessaires (gazoducs, voies ferrées, autoroutes…) mais d’ici deux à trois ans elles seront construites.

Du côté occidental, nous allons assister à une dégradation très rapide des niveaux de vie des populations, différentes par leurs natures et par leurs brutalités en fonction des pays. Cela pourrait provoquer des révolutions, sous une forme ou sous une autre, dans certains pays particulièrement fragiles… jusqu’à ce que nous nous soyons débarrassés de ces imbéciles qui nous gouvernent et que nous entrions pleinement dans le XXIe siècle et rejoignions le monde nouveau.




Comment la France a perdu sa souveraineté

[Source : Henri Temple]




Le Conseil d’État français cautionne la double destruction d’Israël et de la France

Par Lucien SA Oulahbib

En « suspendant » la dissolution de deux officines djihadistes palestinistes qui soutiennent par exemple, et selon les dires mêmes du Ministère de l’intérieur, les actions du Hamas, du Hezbollah, et du Djihad islamique, et qui appellent dans leur Charte à la destruction d’Israël (par exemple celle du Hamas), le Conseil d’État français (cette « démocratie défaillante ») opère froidement, cyniquement, deux poids et deux mesures puisqu’il n’a pas eu la même bienveillance concupiscente envers Génération Identitaire dont le but n’était pas de détruire la France ni même l’islam (G.E est d’ailleurs issue de la mouvance ultranationaliste pro-palestinienne), mais d’avoir défendu la Constitution française en refusant que ses frontières terrestres ne deviennent une passoire.

Cette djihadisation accélérée des institutions françaises, symbolisée indirectement d’ailleurs par l’adoubement d’un candidat LFI à Villeurbanne, et le fait que le voile serait « féministe » selon l’actuel Président de la République (franco-européenne puisque seul l’hymne de l’UE a été joué sur le Champ de Mars le soir du second tour) cette décision suspensive légitime en quelque sorte ce puissant mouvement de soumission orientaliste de toute l’intelligentsia française que l’on voit d’ailleurs inscrite jusque dans les livres scolaires d’histoire (jusqu’au Collège de France avec un Laurens) à lire la manière dont la conquête arabo-musulmane et le conflit israélo-arabe sont édulcorés ou uniquement à charge contre Israël, le christianisme, les « colons » français…

Mais un tel discours pourtant objectif est bien sûr balayé d’un revers de main par les nouveaux dhimmis maquillés en Montaigne de pacotille qui payent d’ailleurs leur dîme par cette suspension, sans oublier les subventions généreuses « données » à des structures associatives qui loin de participer à l’apaisement des conflits les attisent jusqu’à ce que de plus en plus les quartiers dominés par le djihadisme mélenchoniste se vident de leurs populations avides de vivre la culture française, qu’elles soient natives ou étrangères…

À croire qu’en sus du passe sanitaire et bientôt de sa version climatique (déjà symbolisée par le « smart Citizen Wallet »), une version « phobie » et ses diverses variantes verra le jour, le Conseil d’État l’adoubant bien sûr comme il l’a fait avec la loi du 5 août 2021 qui a aboli la Déclaration des droits de l’Homme (et du citoyen) avec le soutien, il est vrai, du Conseil Constitutionnel, et ce dans l’indifférence quasi générale à voir l’élection de son principal fossoyeur. Celui-ci a décidément de plus en plus le profil d’un croque-mort (plutôt que d’un banquier aux poches trouées de toute façon) prenant, comme dans Lucky Luke, les mesures du cadavre encore show de ce trois-quarts de la Nation française (il n’a été « élu » que par moins d’un tiers des inscrits) considéré comme étant, en état, un pilier foncièrement « d’extrême droite ». Ceci implique de le liquider le plus vite possible, quitte à se servir d’une bombe nucléaire tactique russe pour ce faire, égalant alors ces tyrans ayant fait de leur pays du matériel permettant de créer une œuvre, pensez ! « E=M.C.2 ou celui qui a dissous la France » à la vitesse des Lumières… S’éteignant au fur et à mesure que le souffle atomique « nous » pulvérisera… Qui « nous » ?

Telle est, toujours, la question…




Macron l’a-t-il emporté grâce à Le Pen ?




Un média mainstream dénonce l’énorme influence de Big Pharma dans le domaine de la Santé

Un média mainstream dénonce l’énorme influence de Big Pharma dans le domaine de la Santé

Voici l’article du journal LE SOIR de ce 29 avril. Ils y rapportent que les sociétés pharmaceutiques financent à coup de dizaines de millions d’euros des associations qui se présentent auprès des institutions européennes comme étant prétendument « la voix des patients » alors qu’en étant financés par les labos, on peut légitimement supposer qu’elles prêchent pour la paroisse de l’industrie ! Plus fort encore, le journal LE SOIR publie courageusement un schéma très explicite où on découvre que les hôpitaux, eux aussi, sont sous perfusion financière des labos pharmaceutiques… (et donc sous influence). LE SOIR y utilise même l’expression BIG PHARMA qui jusqu’à ce jour était étiquetée comme étant une expression complotiste ! Bravo à ces journalistes courageux qui retrouvent enfin (du moins dans cet article) toute la noblesse de leur métier. Espérons que ce soit le début d’un déferlement de liberté d’expression. Un vent de liberté souffle-t-il enfin sur notre pays ? Partagez ! Svp, partagez au plus grand nombre !

Voir https://www.lesoir.be/439184/article/2022-04-30/open-pharma-les-curieuses-donations-des-firmes-pharma-sciensano pour la version électronique.





Robert Kennedy Jr : « résistez, résistez, car une fois qu’ils ont le pouvoir ils ne le rendent jamais ! »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Avocat et fondateur de l’association Children’s Health Defense, Robert Kennedy Jr. explique sur notre plateau en quoi consistent son association et les combats qu’elle mène pour la protection des enfants. Il en profite pour dénoncer la corruption des agences de santé américaines et leurs compromissions avec l’industrie pharmaceutique, la complaisance de certains médias mainstream à leur égard ainsi que l’influence considérable de personnalités publiques telles que Bill Gates ou Anthony Fauci.



Traduction et doublage : Jeanne Traduction

 La version originale (en anglais) de l’entretien : « So the only thing is the only choice we have now is resist. » Robert Kennedy Jr

Son association a été à l’avant-garde de la défense de la santé des enfants depuis de nombreuses années. CHD est une organisation à but non lucratif (code 501 (c) aux Etats Unis) avec une section européenne.

Sa mission consiste à mettre fin aux épidémies infantiles en travaillant d’arrache-pied pour éliminer les expositions nocives, traduire les responsables en justice et établir des mesures de protections pour prévenir les dommages futurs.

Sur le site de l’association, on peut lire : « il y a trop d’enfants malades », « les coupables sont connus » avec une photo de cheminées d’industries, « des discours factices ».  En réponse à cela, l’association travaille sur le projet de sécurité des vaccins afin de restaurer la santé des enfants et propose une base de données de recherche.

Robert Kennedy Jr. est également l’auteur d’un best-seller : « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique ». Ce livre a été traduit en français, allemand et bientôt italien et espagnol. Dans sa version française, le professeur Perronne l’a préfacé expliquant que ce livre servirait probablement de base pour de nombreuses actions judiciaires.

Lire aussi : « On ne peut plus accepter ces mensonges d’État » Christian Perronne

Le livre a été vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis.

Robert Kennedy Jr. répond sans concession et en toute transparence à nos questions sur l’origine de CHD, comment sa vision a évolué avec la crise sanitaire Covid-19. Il met en perspective le rôle de l’industrie pharmaceutique et la capture des autorités et régulateurs.  Son constat est cinglant envers Anthony Fauci, qui a la mainmise sur le système de santé aux États-Unis (National Institutes of Health et la Food Drug Administration) ainsi que Bill Gates, qui finance une grande partie de l’industrie pharmaceutique.

Il dresse aussi un constat cinglant sur les médias et l’absence de liberté d’expression qui y règne actuellement. Ainsi, il voit dans le rachat de Twitter par Elon Musk un signe d’espoir, tout en demandant à voir si les promesses formulées par le créateur de Tesla pour plus de liberté sur Twitter seront finalement tenues.

Enfin il délivre un message sans équivoque aux Français : « Quand les hommes ont pris le pouvoir, ils ne veulent jamais le lâcher. Il vous faut donc résister, résister et résister ! »

Lire aussi : Robert F. Kennedy : « à Berlin, c’était des gens qui veulent continuer de jouir des libertés »




France — Élection fraudée ?

[Source : Vivre sainement]






Ukraine : et si Vladimir Poutine avait raison ?

[Source : Europe 1]




France — Les citoyens ont raison de se méfier des machines à voter

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Maître Koraitem explique que les machines à voter se trouvent aujourd’hui dans une zone de non-droit parfaitement opaque. Non seulement de nombreuses machines à voter seraient totalement illégales… mais leur fonctionnement n’est ni encadré, ni soumis au contrôle du citoyen. 






Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

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  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




USA — Infanticide bientôt légalisé au Maryland ?

[Source : agoravox.fr]

Infanticide néo-natal : le retour à la barbarie

Par Rémy Mahoudeaux

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(cliché Maryland GovPics CC BY 2.0) 

Juger d’une époque révolue à l’aune des critères moraux d’aujourd’hui, c’est risquer de commettre de grossières erreurs. Cependant, il est inévitable, humain, de comparer et de mesurer l’évolution entre une époque passée et la notre. Nous, occidentaux, héritons du monde latin, mais la virtus n’est plus qu’un vieux souvenir prégnant chez trop peu de monde. Et puis, il faut rappeler que les romains (comme les spartiates d’ailleurs) n’étaient pas des tendres : les nouveaux-nés, en général les plus chétifs et les souffreteux, ou celles nées avec le « mauvais » sexe, pouvaient être exposés, c’est à dire abandonnés dehors. Si un passant décidait de récupérer l’enfant et de le soigner, il pouvait vivre. Sinon, le froid, le soleil, l’absence de nourriture, de soins et les animaux mettaient un terme à sa vie. L’eugénisme n’est pas une invention si récente que ça. Bien sûr, notre première réaction est de crier à la barbarie de cette pratique antique qui fût infligée à Œdipe et à Moïse.

Sauf que cette barbarie a trouvé de modernes zélateurs pour opérer une résurgence, en la personne de législateurs démocrates au Maryland. Si la loi 699(([1] https://www1.cbn.com/cbnnews/us/2022/march/aclj-warns-proposed-maryland-senate-bill-could-legalize-infanticide-up-to-28-days-after-birth)) passe, il ne serait plus possible de mener une enquête criminelle contre ceux qui laisseraient mourir un nouveau-né en s’abstenant de lui prodiguer les soins dont il a besoin. Si une investigation était menée, les personnes visées pourraient demander des dommages contre le dépositaire de la force publique. Bref, il s’agit d’une légalisation de l’infanticide néo-natal.

La tentation est grande de se prendre pour un imprécateur qui maudirait cette époque. De quel étalon user pour mesurer les civilisations ? Dostoievski incitait à visiter les prisons, Gandi à regarder le traitement réservé aux animaux. Kardachev modélisait la consommation énergétique. Et puis Nikki Gemmell écrivait que « Le degré de civilisation d’une société se mesure à la détresse de ses citoyens les plus pauvres, et non au nombre de ses gratte-ciel.  », mais un enfant qui vient de naître n’est pas encore un citoyen. Et puis il y a ces paroles de Jésus rapportées par Matthieu :

Amen je vous le dis
chaque fois que vous l’avez fait à un seul de ceux-ci
mes frères les plus petits
c’est à moi que vous l’avez fait
(([2] Mt 25, 40 – Traduction Cl. Tresmontant))


[Source : anguillesousroche.com]

Les démocrates du Maryland examinent un projet de loi malsain qui pourrait légaliser l’infanticide jusqu’à 28 jours après la naissance

Les démocrates du Maryland ont proposé une nouvelle loi qui permettrait de tuer les bébés dans les 28 premiers jours suivant leur naissance, selon une analyse juridique.

Le projet de loi 669 du Sénat, également connu sous le nom de « Pregnant Person’s Freedom Act of 2022 », est parrainé par le sénateur démocrate William Smith.

Cependant, selon une avocate de l’ACLJ, Olivia Summers, qui a étudié le texte du projet de loi, les problèmes vont au-delà de l’utilisation du mot « personne » à la place de références précises aux femmes ayant des bébés.

« Le projet de loi propose également une révision de la loi sur le meurtre ou l’homicide involontaire du fœtus qui servirait à menotter les enquêtes sur les décès de nourrissons sans rapport avec l’avortement », a déclaré Mme Summers dans son analyse.

Le projet de loi interdit les enquêtes et les poursuites pénales pour les femmes et les médecins pour un « défaut d’action » en relation avec un « décès périnatal ».

« En d’autres termes, un bébé né vivant et en bonne santé pourrait être abandonné et laissé à mourir de faim ou de froid », avertit Summers dans son analyse.

« Rien ne pourrait être fait pour punir ceux qui ont participé à cette mort cruelle. »

Selon Summers, le langage utilisé dans le projet de loi n’est pas clair, de sorte que la loi pourrait être interprétée comme « empêchant les enquêtes sur la mort des nourrissons au moins sept jours APRÈS leur naissance, et peut s’étendre aux nourrissons âgés de quatre semaines ! »

Le code du Maryland ne définit pas le terme « périnatal »a déclaré Summers dans une interview accordée à LifeSite News.

Une loi de 2020 définit cependant les « soins périnatals » comme « la fourniture de soins pendant la grossesse, le travail, l’accouchement et les périodes post-partum et néonatales ».

Une définition sur MedicineNet, définit la périnatalité comme « de la 20e à la 28e semaine de gestation » à « 1 à 4 semaines après la naissance ».

Summers a noté dans son analyse que l’État dispose déjà d’une loi sur le refuge qui permet aux parents de laisser un nouveau-né à un adulte responsable sans crainte de poursuites.

« En vertu de la loi sur le refuge, un parent en détresse qui ne peut ou ne veut pas s’occuper de son nourrisson peut en abandonner la garde en toute sécurité, sans qu’on lui pose de questions »indique le département des services sociaux du Maryland.

« Les nouveau-nés peuvent être laissés dans les hôpitaux ou les postes de police. »

« Il n’y a absolument aucune raison pour que le projet de loi 669 du Sénat du Maryland tente d’empêcher qu’une personne qui laisse mourir son bébé fasse l’objet d’une enquête », avertit Summers.

« Ce projet de loi ne fait qu’exposer davantage le manque total de considération des partisans de l’avortement pour la vie humaine innocente. »

« S’ils veulent vraiment protéger la vie et les femmes, alors les législateurs pourraient simplement prolonger la durée de la disposition de la sphère de sécurité déjà en place. »


Rappel




Elon Musk un anti-woke, libertarien et anti-mondialiste?

[Source : conscience-du-peuple]

Par Isabelle

Comment peut-on en arriver à la conclusion que Musk est un anti-woke, libertarien et anti-globaliste alors qu’il travaille à l’accomplissement du programme de Klaus Schwab grâce aux technologies de la 4e révolution industrielle ?

Il a décidé de ne pas donner de sexe à son bébé (non genré), il fait fortune dans l’industrie des véhicules électriques justifiés par le discours catastrophiste et environnementaliste, il a reçu des milliards de dollars de subventions du gouvernement américain pour financer ses projets, il travaille sur une flotte de camions autonomes (fin de l’industrie du camionnage) et sur des androïdes capables de remplacer à peu près toute la main-d’œuvre planétaire, il travaille avec le Pentagone et le Département de la Défense pour créer des fusées et des armes futuristes (plus puissantes que l’arme nucléaire), il crée un dôme de 12 000 satellites pour connecter tous les individus de la Terre (Matrice numérique), il rêve d’une société connectée où les humains pourront augmenter leurs capacités cognitives, physiques et psychologiques en se connectant à l’intelligence artificielle… Et encore plus !

J’essaie de trouver quelque chose de sympathique à ce puissant joueur de la 4e révolution industrielle, une dystopie cybernétique, une technocratie où les milliardaires vont avoir la main mise sur notre humanité, notre destinée. Je ne trouve rien.




Vers une catastrophe alimentaire mondiale, provoquée par des actes de sabotage politique

[Source : mondialisation.ca]

Biden utilise cyniquement l’Ukraine pour couvrir le sabotage alimentaire

Par F. William Engdahl

Il commence à sembler que certains mauvais acteurs prennent délibérément des mesures pour garantir une crise alimentaire mondiale à venir. Chaque mesure prise par les stratèges de l’administration Biden pour « contrôler l’inflation énergétique » endommage l’approvisionnement ou gonfle le prix du gaz naturel, du pétrole et du charbon dans l’économie mondiale. Cela a un impact énorme sur les prix des engrais et la production alimentaire. Cela a commencé bien avant l’Ukraine. Aujourd’hui, des informations circulent selon lesquelles les hommes de Biden sont intervenus pour bloquer le transport ferroviaire d’engrais au moment le plus critique pour les plantations de printemps. Dès cet automne, les effets seront explosifs.

Alors que les semis de printemps aux États-Unis sont dans leur phase critique, CF Industries de Deerfield, dans l’Illinois, le plus grand fournisseur américain d’engrais azotés ainsi que d’un additif vital pour les moteurs diesel, a publié un communiqué de presse indiquant que « Le vendredi 8 avril 2022, l’Union Pacific a informé CF Industries sans préavis qu’il demandait à certains expéditeurs de réduire le volume de wagons privés sur son chemin de fer avec effet immédiat ». Union Pacific est l’une des quatre grandes compagnies ferroviaires qui transportent ensemble quelque 80% de tout le fret ferroviaire agricole américain. Le PDG de la société CF, Tony Will, a déclaré : « Cette action de l’Union Pacific ne pouvait pas tomber à un pire moment pour les agriculteurs. Non seulement les engrais seront retardés par ces restrictions d’expédition, mais les engrais supplémentaires nécessaires pour effectuer les applications de printemps risquent de ne pas pouvoir être acheminés du tout aux agriculteurs. En imposant cette restriction arbitraire à une poignée d’expéditeurs seulement, l’Union Pacific met en péril les récoltes des agriculteurs et augmente le coût des aliments pour les consommateurs ». CF a lancé des appels urgents à l’administration Biden pour qu’elle remédie à la situation, sans qu’aucune action positive n’ait été entreprise jusqu’à présent.

Sabotage direct

CF Industries a fait remarquer qu’elle était l’une des trente entreprises soumises à cette mesure sévère, qui est indéfinie. Elle expédie ses produits via les lignes ferroviaires de l’Union Pacific, principalement à partir de son complexe de Donaldsonville en Louisiane et de son complexe de Port Neal en Iowa, pour desservir les principaux États agricoles, notamment l’Iowa, l’Illinois, le Kansas, le Nebraska, le Texas et la Californie. L’interdiction touchera les engrais azotés tels que l’urée et le nitrate d’ammonium et d’urée (NAU), ainsi que le fluide d’échappement diesel, le FED (appelé AdBlue en Europe). Le FED est un produit de contrôle des émissions exigé aujourd’hui pour les camions diesel. Sans lui, les moteurs ne peuvent pas fonctionner. Il est fabriqué à partir d’urée. CF Industries est le plus grand producteur d’urée, de NAU et de FED en Amérique du Nord, et son complexe de Donaldsonville est la plus grande installation de productionde ces produits en Amérique du Nord.

Dans le même temps, la bande à Biden a annoncé un faux remède aux prix record de l’essence à la pompe. Washington a annoncé que l’Agence de Protection de l’Environnement des États-Unis (EPA) autoriserait une augmentation de 50% du mélange de carburant à base de biodiesel et d’éthanol de maïs pour l’été. Le 12 avril, le secrétaire à l’Agriculture a annoncé une initiative « audacieuse » de l’administration américaine visant à accroître l’utilisation des biocarburants à base de maïs et d’éthanol produits dans le pays. Le secrétaire d’État Tom Vilsack a affirmé que cette mesure permettrait de « réduire les prix de l’énergie et de lutter contre la hausse des prix à la consommation causée par la hausse des prix de Poutine (sic) en exploitant l’avenir solide et brillant de l’industrie des biocarburants, dans les voitures et les camions ainsi que dans les secteurs ferroviaire, maritime et aérien, et en soutenant l’utilisation du carburant E15 cet été ».

Seulement la « Hausse des Prix de Poutine » avec majuscule n’est pas le résultat d’actions russes, mais des décisions énergie verte de Washington d’abandonner progressivement le pétrole et le gaz. L’inflation des prix de l’énergie est également sur le point d’augmenter considérablement dans les mois à venir en raison des sanctions économiques américaines et européennes sur l’exportation du pétrole et du gaz russe. Cependant, le point central est que chaque acre de terre agricole américaine consacrée à la culture du maïs pour les biocarburants retire cette production de la chaîne alimentaire, pour la brûler comme carburant. Depuis l’adoption, en 2007, de la loi américaine sur les normes en matière de carburants renouvelables (Renewable Fuel Standards Act), qui imposait des objectifs de production de maïs destinés à la fabrication de mélanges d’éthanol augmentant chaque année, les biocarburants ont accaparé une part considérable de la superficie totale consacrée au maïs, soit plus de 40% en 2015. Cette évolution, imposée par la loi, vers la combustion du maïs comme carburant a entraîné une inflation majeure des prix des denrées alimentaires bien avant le début de la crise de l’inflation. Les États-Unis sont de loin le plus grand producteur et exportateur de maïs au monde. Le fait de rendre obligatoire une augmentation significative de l’éthanol de maïs comme carburant à un moment où les prix des engrais sont astronomiques et où les transports ferroviaires d’engrais sont bloqués, semble-t-il, par des ordres de la Maison Blanche, va faire exploser les prix du maïs. Washington le sait très bien. C’est délibéré.

Il n’est pas étonnant que le prix du maïs américain ait atteint son plus haut niveau depuis 10 ans à la mi-avril, alors que les exportations de la Russie et de l’Ukraine, sources majeures, sont désormais bloquées par les sanctions et la guerre. Outre l’utilisation inefficace du maïs américain pour l’approvisionnement en biodiesel, la dernière initiative de Biden sur l’éthanol ne fera qu’aggraver la crise alimentaire croissante tout en ne faisant rien pour faire baisser les prix de l’essence aux États-Unis. Le maïs fourrage américain est principalement utilisé pour l’alimentation du bétail, des porcs et de la volaille, ainsi que pour l’alimentation humaine. Cette commande cynique de biocarburants n’a rien à voir avec « l’indépendance énergétique » des États-Unis. Biden y a mis fin dès les premiers jours de son mandat par une série d’interdictions de forages pétroliers et gaziers et de pipelines dans le cadre de son programme « zéro carbone ».

Dans ce qui est clairement en train de devenir une guerre de l’administration américaine contre l’alimentation, la situation est aggravée de façon dramatique par les demandes de l’USDA aux éleveurs de poulets de tuer des millions de poulets dans maintenant 27 États, prétendument pour des signes d’infection par la grippe aviaire. Le « virus » H5N1 de la grippe aviaire a été révélé en 2015 comme étant un canular complet. Les tests utilisés par les inspecteurs du gouvernement américain pour déterminer la grippe aviaire sont maintenant les mêmes tests PCR non fiables utilisés pour le COVID chez les humains. Le test n’a aucune valeur à cet égard. Les responsables du gouvernement américain estiment que depuis que les premiers cas ont été « testés » positifs en février, au moins 23 millions de poulets et de dindes ont été abattus pour soi-disant contenir la propagation d’une maladie dont la cause pourrait être le confinement en cage incroyablement insalubre des CAFO (opération d’alimentation animale concentrée) de poulets industriels de masse. Il en résulte une forte augmentation du prix des œufs de quelque 300% depuis novembre et une grave perte de sources de protéines de poulet pour les consommateurs américains, à un moment où l’inflation générale du coût de la vie n’a jamais été aussi élevée depuis 40 ans.

Pour aggraver la situation, la Californie et l’Oregon déclarent à nouveau l’urgence en matière d’eau dans le cadre d’une sécheresse pluriannuelle et réduisent fortement l’eau d’irrigation des agriculteurs californiens, qui produisent la majeure partie des fruits et légumes frais américains. Cette sécheresse s’est depuis étendue à la plupart des terres agricoles situées à l’ouest du fleuve Mississippi, c’est-à-dire à une grande partie des terres agricoles américaines.

La sécurité alimentaire des États-Unis n’a jamais été aussi menacée depuis le Dust Bowl des années 1930, et le « programme vert » de l’administration Biden fait tout pour aggraver l’impact sur ses citoyens.

Dans des commentaires récents, le président américain Biden a fait remarquer, sans élaborer, que les pénuries alimentaires aux États-Unis « vont être réelles ». Son administration reste également sourde aux appels des organisations d’agriculteurs à autoriser la mise en culture de quelque 4 millions d’acres de terres agricoles dont on a ordonné l’abandon pour des « raisons environnementales ». Cependant, ce n’est pas la seule région du monde où la crise alimentaire se développe.

Un désastre mondial

Ces actions délibérées de Washington se déroulent à un moment où une série de catastrophes alimentaires à l’échelle mondiale crée la pire situation en matière d’approvisionnement alimentaire depuis des décennies, voire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Dans l’UE, qui dépend largement de la Russie, de la Biélorussie et de l’Ukraine pour ses céréales fourragères, ses engrais et son énergie, les sanctions aggravent considérablement les pénuries alimentaires provoquées par le Covid. L’UE utilise son stupide programme vert comme excuse pour interdire au gouvernement italien d’ignorer les règles européennes limitant les aides d’État aux agriculteurs. En Allemagne, le nouveau ministre de l’Agriculture du parti vert, Cem Özdemir, qui veut éliminer progressivement l’agriculture traditionnelle, prétendument pour ses émissions de « gaz à effet de serre », a répondu froidement aux agriculteurs qui veulent cultiver davantage. L’UE est confrontée à un grand nombre des mêmes menaces désastreuses pour la sécurité alimentaire que les États-Unis et à une dépendance encore plus grande vis-à-vis de l’énergie russe, qui est sur le point d’être suicidairement sanctionnée par l’UE.

Les principaux pays producteurs de denrées alimentaires d’Amérique du Sud, en particulier l’Argentine et le Paraguay, sont en proie à une grave sécheresse attribuée à une anomalie périodique de La Niña dans le Pacifique, qui a paralysé les cultures dans cette région. Les sanctions contre les engrais de la Biélorussie et de la Russie menacent les cultures du Brésil, aggravées par les goulets d’étranglement dans le transport maritime.

La Chine vient d’annoncer qu’en raison de fortes pluies en 2021, la récolte de blé d’hiver de cette année pourrait être la pire de son histoire. Le PCC a également institué des mesures sévères pour inciter les agriculteurs à étendre leurs cultures à des terres non agricoles, sans grand effet. Selon un rapport d’Erik Mertz, observateur de la Chine, « dans les provinces chinoises de Jilin, Heilongjiang et Liaoning, les autorités ont signalé qu’un agriculteur sur trois ne dispose pas de suffisamment de semences et d’engrais pour commencer à planter pour la période optimale du printemps… Selon des sources dans ces régions, ils sont bloqués dans l’attente de semences et d’engrais qui ont été importés en Chine depuis l’étranger – et qui sont bloqués dans les cargos au large de Shanghai ». Shanghai, le plus grand port à conteneurs du monde, est soumis à une étrange quarantaine totale « Zéro Covid » depuis plus de quatre semaines, sans qu’aucune fin ne soit en vue. Dans une tentative désespérée du PCC d’« ordonner » une augmentation de la production alimentaire, les responsables locaux du PCC dans toute la Chine ont commencé à transformer des terrains de basket et même des routes en terres cultivables. La situation alimentaire en Chine oblige le pays à importer beaucoup plus à une époque de pénurie mondiale, ce qui fait grimper encore plus les prix mondiaux des céréales et des aliments.

L’Afrique est également gravement touchée par les sanctions imposées par les États-Unis et par la guerre qui met fin aux exportations de nourriture et d’engrais de la Russie et de l’Ukraine. Trente-cinq pays africains obtiennent de la nourriture de la Russie et de l’Ukraine. Vingt-deux pays africains importent des engrais de ces pays. Les alternatives font cruellement défaut alors que les prix s’envolent et que l’offre s’effondre. La famine est annoncée.

David M. Beasley, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial des Nations unies, a déclaré récemment à propos des perspectives alimentaires mondiales : « Il n’y a pas eu de précédent, même proche, depuis la Seconde Guerre mondiale. »

Notamment, c’est le département du Trésor de Biden qui a dressé une liste des sanctions économiques les plus complètes contre la Russie et la Biélorussie, faisant pression sur une UE complaisante pour qu’elle suive consciencieusement, sanctions dont l’impact sur l’approvisionnement et les prix mondiaux des céréales et des engrais et de l’énergie était entièrement prévisible. Il s’agissait en fait d’une sanction contre les États-Unis et l’économie mondiale.

Ce ne sont là que les derniers exemples du sabotage délibéré de la chaîne alimentaire par le gouvernement américain dans le cadre du programme vert de Biden, du Forum économique mondial (FEM) de Davos, de Bill Gates et de la Fondation Rockefeller, dans le cadre de leur programme eugénique dystopique de la Grande Réinitialisation. L’agriculture traditionnelle doit être remplacée par un régime synthétique cultivé en laboratoire, composé de fausses viandes et de protéines provenant de sauterelles et de vers, dans le monde entier. Tout cela pour la gloire supposée de contrôler le climat mondial. C’est vraiment fou.

F. William Engdahl

Image en vedette : culture de céréales en Ukraine, 2016. Pixabay.com

Article original en anglais :

Towards a Global Food Disaster, Engineered through Acts of Political Sabotage :  F. William Engdahlle 27 avril 2022

Traduction Réseau International




La Pologne contourne les sanctions et achète du gaz russe via l’Allemagne

[Source : lemediaen442.fr]

Tout ça pour ça… Bien que le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, ait affirmé que : « Les sanctions contre la Russie ne fonctionnent pas. La preuve en est que le taux de change du rouble revient au niveau d’avant l’agression russe en Ukraine. Cela signifie que nos actions n’ont pas produit l’effet souhaité par les dirigeants européens. » Cela n’a pas empêché la Bulgarie et la Pologne de refuser le paiement du gaz en roubles.

Le groupe gazier russe avait agit en conséquence : « Gazprom a complètement suspendu les livraisons de gaz à Bulgargaz (Bulgarie) et PGNiG (Pologne) en raison du non-paiement en roubles. » Mais selon RIA Novosti, la Pologne a continué d’acheter du gaz russe, mais pas directement : « Après la suspension des approvisionnements directs, la Pologne achète du gaz russe. Mais maintenant en passant par Allemagne, d’où il est livré à la Pologne via le gazoduc Yamal-Europe« , a déclaré la société d’État Gazprom dans un communiqué. Ils ont noté que le volume choisi correspond approximativement aux demandes dans le cadre du contrat avec Gazprom.

Le jeu du chat et de la souris tourne à l’absurde, les stratégies les plus sournoises fleurissent, encouragées par les États-Unis alors que ces derniers achètent en masse du pétrole russe, mais obligent l’Europe à se serrer la ceinture. Jusqu’où va-t-on descendre ?


Le cirque énergétique en Europe




Que sommes-nous prêts à sacrifier pour aider les États-Unis à gagner une guerre de propagande contre Poutine ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Caitlin Johnstone – Le 16 avril 2022

Il y a une question très importante que nous devons tous nous poser à ce stade de l’histoire, et cette question est la suivante : que sommes-nous prêts, en tant que société, à sacrifier pour que le gouvernement américain puisse gagner une guerre de propagande contre Vladimir Poutine ?

Laissez-moi vous expliquer.

Un aspect très peu discuté de la dernière escalade de censure par la Silicon Valley, qui a commencé au début de la guerre en Ukraine, est le fait qu’il s’agit d’un niveau de censure sans précédent. Bien qu’elle puisse ressembler à toutes les autres vagues de purges sur les médias sociaux et aux nouvelles catégories de contenus interdits que nous connaissons depuis que la doctrine dominante, après l’élection américaine de 2016, est que les plateformes technologiques doivent réglementer strictement les discours en ligne, les justifications qui en découlent ont pris une déviation drastique par rapport aux modèles établis.

Ce qui distingue cette nouvelle escalade de censure de ses prédécesseurs, c’est que cette fois personne ne prétend qu’elle est faite dans l’intérêt du peuple. Avec la censure des racistes, l’argument était qu’ils incitaient aux crimes haineux et au harcèlement racial. Avec la censure d’Alex Jones et de QAnon, l’argument était qu’ils incitaient à la violence. Quant à la censure des sceptiques du Covid, l’argument était qu’ils promouvaient une désinformation qui pouvait être mortelle. Même avec la censure de l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden, on a fait valoir qu’il était nécessaire de protéger l’intégrité des élections contre une désinformation d’origine potentiellement étrangère.

Avec la censure relative à la guerre en Ukraine, il n’y a aucun d’argument pour prétendre qu’elle est faite pour aider le peuple. Rien ne prouve que le fait de laisser les gens dire des choses fausses sur cette guerre tue des Ukrainiens, des Américains ou qui que ce soit d’autre. Il n’y a aucune raison de penser que la contestation des allégations de crimes de guerre russes portera atteinte aux processus démocratiques américains. Le seul argument restant est « Nous ne pouvons pas laisser les gens dire des choses fausses sur une guerre, n’est-ce pas ? ».

Plus d’escalade dans la censure en ligne

« YouTube a supprimé des vidéos contestant le discours du gouvernement américain sur les crimes de guerre russes à Bucha ». https://t.co/M7zupF8AMa

– Caitlin Johnstone ⏳ (@caitoz) 15 avril 2022

Demandez à un libéral au cerveau correctement lavé pourquoi il soutient la censure de quelqu’un qui conteste les récits américains sur les crimes de guerre russes à Bucha ou à Marioupol et il vous répondra probablement quelque chose comme « Eh bien, c’est de la désinformation ! » ou « Parce que c’est de la propagande ! » ou « Combien Poutine vous paie-t-il ? ». Mais ce qu’ils ne seront pas capables de faire, c’est d’articuler exactement quel préjudice spécifique est causé par un tel discours de la même manière qu’ils pouvaient défendre la censure des sceptiques du Covid ou des factions responsables de l’émeute de l’année dernière dans le bâtiment du Capitole [en référence aux partisans de Trump ayant pénétré au Capitole pour contester le résultat des élections présidentielles étasuniennes, NdT] .

Le seul argument que vous obtiendrez, si vous insistez vraiment sur la question, est que les États-Unis sont engagés dans une guerre de propagande contre la Russie et qu’il est dans l’intérêt de notre société que nos institutions médiatiques aident les États-Unis à gagner cette guerre de propagande. Une guerre froide est menée entre deux puissances nucléaires parce que la guerre chaude risquerait d’anéantir les deux nations, ce qui ne laisse d’autres formes de guerre que la guerre psychologique. Rien ne permet de dire que cette nouvelle escalade de censure sauvera des vies ou protégera des élections, mais il est possible de dire qu’elle peut contribuer à faciliter les programmes de guerre froide à long terme des États-Unis.

Mais qu’est-ce que cela signifie exactement ? Cela signifie que si nous acceptons cet argument, nous consentons sciemment à une situation où tous les principaux médias, sites web et applications que les gens consultent pour s’informer sur le monde sont orientés non pas pour nous dire des choses vraies sur la réalité, mais pour battre Vladimir Poutine dans cette étrange guerre psychologique. Cela signifie qu’il faut abandonner toute ambition d’être une civilisation fondée sur la vérité et guidée par les faits, et accepter au contraire de devenir une civilisation fondée sur la propagande et visant à s’assurer que nous pensons tous des choses qui nuisent aux intérêts stratégiques à long terme de Moscou.

Et c’est absolument effrayant que cette décision ait déjà été prise pour nous, sans aucune discussion publique pour savoir si oui ou non c’est le genre de société dans laquelle nous voulons vivre. Ils sont passés directement de « Nous censurons les discours pour vous protéger de la violence et des virus » à « Nous censurons les discours pour aider notre gouvernement à mener une guerre de l’information contre un adversaire étranger ». Et ce, sans la moindre hésitation.

Ceux qui fabriquent le consentement de la population ont contribué à ouvrir la voie à cette transition en douceur avec leurs appels incessants et continus à toujours plus de censure, et depuis des années, nous voyons des signes qu’ils considèrent comme leur devoir de contribuer à faciliter une guerre de l’information contre la Russie.

En 2018, nous avons vu un journaliste de la BBC réprimander un ancien haut fonctionnaire de la marine britannique pour avoir émis l’hypothèse que la prétendue attaque aux armes chimiques à Douma, en Syrie, était un faux-drapeau, une affirmation dont nous avons maintenant des montagnes de preuves qu’elle est probablement vraie grâce aux lanceurs d’alerte de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques. La raison invoquée par la journaliste pour justifier son objection à ces commentaires est que « nous sommes dans une guerre de l’information contre la Russie ».

« Étant donné que nous sommes dans une guerre de l’information avec la Russie sur tant de fronts, ne pensez-vous pas qu’il est peut-être déconseillé d’affirmer cela si publiquement étant donné votre position et votre profil ? Ne risquez-vous pas de brouiller les pistes ? » a demandé Annita McVeigh, de la BBC, à l’amiral Alan West après ses commentaires.

« Vous savez que vous avez des problèmes lorsque le militaire essaie de faire le travail du journaliste en posant des questions et en demandant des comptes au pouvoir… et que le journaliste essaie de l’en empêcher. » https://t.co/DVxR3JQ6S2

– Caitlin Johnstone ⏳ (@caitoz) 18 avril 2018

Nous avons vu une indication similaire dans les médias de masse quelques semaines plus tard, lors d’une interview de l’ancienne candidate du Parti vert, Jill Stein, qui a été admonestée par Chris Cuomo de CNN pour avoir souligné le fait totalement incontestable que les États-Unis sont un contrevenant extrêmement flagrant en matière d’ingérence dans les élections étrangères.

« Vous savez, ce serait à la Russie de faire valoir cela, pas à un point de vue américain », a déclaré Cuomo en réponse aux remarques tout à fait exactes de Stein. « Bien sûr, il y a de l’hypocrisie en jeu, beaucoup de grands acteurs étatiques différents font beaucoup de choses qu’ils ne veulent peut-être pas que les gens sachent. Mais laissons la Russie dire que les États-Unis nous ont fait ça, et voici comment ils l’ont fait, donc c’est fair-play. »

Ce qui revient à dire : 

« Oubliez ce qui est factuellement vrai. Ne dites pas de choses vraies qui pourraient aider les intérêts russes. C’est le travail de la Russie. Notre travail ici sur CNN est de dire des choses qui nuisent aux intérêts russes. »

On peut retracer la généralisation de l’idée que c’est le travail des médias occidentaux de manipuler l’information dans l’intérêt du public, plutôt que de simplement dire la vérité, à la victoire présidentielle de Donald Trump en 2016. Dans ce qui était sans doute le moment politique le plus important aux États-Unis depuis le 11 septembre et ses conséquences, ceux qui fabriquent le consentement ont décidé que l’élection de Trump n’était pas due à l’échec de la politique du statu quo, mais un échec du contrôle de l’information.

En octobre 2020, pendant le scandale des ordinateurs portables de Hunter Biden, Stephen L Miller, du Spectator, a décrit comment le consensus s’est formé au sein de la presse grand public depuis la défaite de Clinton en 2016, selon lequel il était de leur devoir moral de cacher au public des faits qui pourraient conduire à la réélection de Trump.

« Depuis presque quatre ans maintenant, les journalistes ont fait honte à leurs collègues et à eux-mêmes sur ce que j’appellerai le dilemme ‘mais ses emails’ », écrit Miller. « Ceux qui ont rendu compte consciencieusement de l’enquête fédérale inopportune sur le serveur privé d’Hillary Clinton et la divulgation d’informations classifiées ont été exclus et écartés de la table des journalistes cool. Le fait de se concentrer autant sur ce qui était, à l’époque, un scandale considérable, a été considéré par de nombreux médias comme une gaffe. Ils pensent que leurs amis et collègues ont contribué à placer Trump à la Maison Blanche en se concentrant sur le scandale de Clinton, alors qu’ils auraient dû mettre en avant les faiblesses de Trump. C’est une erreur qu’aucun journaliste ne veut répéter ».

Une fois que les « journalistes » ont accepté que leur travail le plus important n’est pas de dire la vérité mais d’empêcher les gens d’avoir de mauvaises pensées sur le statu quo politique, il était inévitable qu’ils commencent à encourager avec enthousiasme une plus grande censure d’Internet. Ils considèrent que c’est leur devoir, et c’est pourquoi les principaux partisans de la censure en ligne sont maintenant des journalistes de médias grand public.

Dénoncer Radio Sputnik. Une tâche intéressante pour un journaliste. https://t.co/JP8NNFxvI1

– Tim Shorrock (@TimothyS) 16 avril 2022

Mais il ne devrait pas en être ainsi. Il n’y a aucune raison légitime pour que les mandataires de la Silicon Valley et du gouvernement le plus puissant de la planète censurent les gens qui ne sont pas d’accord avec ce gouvernement au sujet d’une guerre, et pourtant c’est exactement ce qui se passe, et de plus en plus. Nous devrions tous être alarmés par le fait qu’il devient de plus en plus acceptable de faire taire les gens, non pas parce qu’ils font circuler de la désinformation dangereuse, ni même parce qu’ils disent des choses qui sont fausses de quelque manière que ce soit, mais uniquement parce qu’ils disent des choses qui sapent la propagande de guerre américaine.

Les gens devraient absolument être autorisés à dire des choses en désaccord avec l’empire le plus puissant de l’histoire à propos d’une guerre. Ils devraient même être autorisés à dire des choses effrontément fausses sur cette guerre, parce que sinon seuls les puissants seront autorisés à dire des choses effrontément fausses à son sujet.

La liberté d’expression est importante, non pas parce qu’il est agréable de pouvoir dire ce que l’on veut, mais parce que la libre circulation des idées et des informations permet de contrôler les puissants. Elle donne aux gens la possibilité de demander des comptes aux puissants. C’est exactement pourquoi les puissants travaillent à l’éliminer.

Nous devrions considérer comme un énorme, énorme problème le fait qu’une si grande partie du monde ait été regroupée sur ces plateformes d’expression monopolistiques géantes qui pratiquent une censure en parfait accord avec la structure de pouvoir la plus puissante du monde. C’est l’exact opposé de la mise en place d’un contrôle du pouvoir.

Combien sommes-nous prêts, en tant que société, à abandonner pour que le gouvernement américain et ses alliés gagnent une guerre de propagande contre Poutine ? Sommes-nous prêts à nous engager à être une civilisation pour laquelle la considération première de toute donnée n’est pas de savoir si elle est vraie ou non, mais si elle contribue à saper la Russie ?

C’est une conversation qui devrait déjà avoir lieu dans les cercles traditionnels depuis un certain temps maintenant, mais elle n’a même pas commencé. Commençons-la.

Caitlin Johnstone

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Le destin de Poutine : la noyade ou le pendaison ?

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Tom Luongo – Le 18 mars 2022 – Source Gold Goats ‘N Guns

Alors que nous terminons cette troisième semaine de la troisième guerre mondiale, il devient clair que la stratégie finale de l’Occident est maintenant un changement de régime en Russie. Au fur et à mesure que l’argent et les armes affluent en Ukraine, le drapeau ukrainien se transforme en une version actualisée des « hommes d’influence » , à travers la twittosphère.

Zelensky a même été invité aux Oscars, par pitié.

Si vous en doutiez encore, regardez le sénateur Lindsey Graham (néoconservateur – SC) faire un triplé sur l’assassinat d’un leader mondial.

Lors d’une conférence de presse, Graham a déclaré : « J’espère qu’il sera éliminé, d’une manière ou d’une autre » , ajoutant : « Je me fiche de la manière dont ils l’élimineront. Je me fiche de savoir si nous l’envoyons à La Haye pour le juger. Je veux juste qu’il parte. »

« Il est temps qu’il s’en aille » , a encore dit Graham à propos de Poutine, faisant écho aux propos tenus à brûle-pourpoint par Joe Biden : « C’est un criminel de guerre. »

« J’aurais aimé que quelqu’un élimine Hitler dans les années 30. Donc oui, Vladimir Poutine n’est pas un dirigeant légitime. C’est un criminel de guerre » , a déclaré Graham.

Graham a également proclamé que la Russie « n’a pas d’avenir » sous Poutine, ajoutant « Je pense que le monde est mieux sans Poutine – le plus tôt sera le mieux, et je ne me soucie pas de la façon dont nous le ferons. »

C’est ce qu’on appelle dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

Même Paul Craig Roberts essaie de comprendre pourquoi Poutine ne traite pas ses ennemis plus impitoyablement. Nous, les Américains éveillés, connaissons l’ampleur de la dépravation de nos dirigeants et, parfois, je pense que nous nous laissons emporter par nos propres intuitions.

Comme je l’avais prédit, la guerre lente de la Russie a joué à 100% en faveur de ses ennemis. La Russie avait besoin d’une victoire rapide pour éviter une opération psychologique dévastatrice à son encontre et pour intimider la poursuite de l’expansion de l’OTAN. Ce que le Kremlin a obtenu en croyant que l’Occident respecterait les intentions humanitaires est une infamie. Au lieu de décourager les provocations vis-à-vis de la Russie qui finiront par aboutir à une guerre nucléaire, la politique de guerre libérale et gentillette du Kremlin, que l’Occident considère comme de l’irrésolution, a encouragé davantage de provocations…

La thèse du Dr Roberts est celle que j’ai entendue chez de nombreuses personnes, y compris chez mon ami Dexter White lors de deux récents podcasts que nous avons réalisés (ici et ici). Le fait que Poutine ait ralenti l’opération en Ukraine a encore enhardi les fous néoconservateurs qui interprètent chaque action de leurs ennemis comme une faiblesse à exploiter.

Cette analyse renforce encore ma conclusion selon laquelle ils sont bornés, trahissant tous les attributs d’une personne psychologiquement déséquilibrée jusqu’à la folie. Ils deviennent des psychotiques paranoïaques qui voient tout en fonction de leur ennemi.

C’est le refrain le plus populaire des mondialistes désespérés, « C’est la faute à Poutine ».

Peu importe si c’est vrai ou non. Ce qui compte, c’est de maintenir les gens dans cet état modifié de conscience. C’est facile à faire puisqu’ils y sont eux-mêmes.

Lindsey Graham aime jouer les gros bras. Biden aussi. Aucun de ces hommes n’a jamais participé à un vrai combat réel. Ils n’ont jamais vraiment été dans une situation où leur vie était menacée. Pour eux, leur peur est bien pire, c’est la peur de perdre leur réputation, c’est-à-dire la peur de s’exposer.

Ils se cachent derrière les caméras, leur position et leur ego.

Ils vivent dans la peur d’être humiliés.

Il est facile de considérer Graham comme un bouffon, car il l’est. Mais il est aussi un rouage très important de la machine. Donc, quand il parle, c’est important. Ne soyez pas dupes de ces déclarations, elles signifient absolument quelque chose.

Si vous regardez autour de vous à Washington, vous voyez les mêmes indices de leur pourriture intérieure chaque fois qu’un de ces fauteurs de guerre se met devant une caméra pour fabriquer du consentement. Ils ont également peur de la honte d’être exposés, ce qui les pousse à la folie, comme Lindsey le fait maintenant presque quotidiennement.

Cette pression pour un changement de régime en Russie, cependant, soulève une question très importante : 

« Pourquoi sont-ils allés si loin ? Pourquoi pensent-ils qu’ils peuvent obtenir un changement de régime alors que Poutine bénéficie d’un soutien de plus de 70% ? »

Est-ce parce qu’ils ont vraiment peur des faits émergents sur le terrain indiquant que la Russie est en train de remporter, inévitablement et inexorablement, une victoire en Ukraine aux conditions russes ? Ces faits ne sont pas le reflet d’une mauvaise stratégie militaire et/ou d’un renseignement et d’une logistique médiocres.

Ou est-ce quelque chose de plus profond ?

Quelque chose de plus sombre

Alastair Crooke et moi-même avons abordé ce sujet dans notre dernier podcast. La psyché collective de la Russie est le reflet de celle de Poutine. Vous verrez que leur colère et leur frustration sont maintenant réelles et complètes. L’Occident déteste la Russie et les Russes avec une passion brûlante et irrationnelle.

La peur de la perte de puissance a fait de beaucoup trop de gens des fauteurs de guerre parce qu’ils refusent de se blâmer pour ce gâchis :

  • Ils ont permis à Biden de prendre la Maison Blanche
  • Ils ont cru toute la propagande grossière sur Trump et Poutine
  • Ils portent toujours leurs masques, maintenant avec des drapeaux ukrainiens dessus, pour montrer leur sagesse face à ceux qui sont maintenant clairement des traîtres.
  • Leurs salaires sont de plus en plus petits de jour en jour.

Quand vous voyez un sondage de Pew qui affirme que plus d’un tiers des Américains est prêt à risquer une guerre nucléaire pour arrêter Poutine en Ukraine, vous savez que quelque chose a déraillé, et ce n’est pas les Russes.

Ce n’est pas la peur qui met le peuple russe et Poutine en colère, c’est la déception d’avoir vu leur main amicale constamment repoussée avec autant de force dans l’ère post-soviétique.

La bonne volonté qui existait en Occident à l’égard de la Russie dans les années 1990, les considérant comme les victimes d’un mal terrible dont il fallait avoir pitié, s’est transformée en dégoût de devoir faire la guerre à un homme qui a menacé leur existence confortable derrière leurs iPhones.

Quand Poutine parle maintenant, il est visiblement, viscéralement en colère. Il a systématiquement, pendant des années, coupé la Russie des influences du libéralisme de l’Occident.

Poutine sait qu’il a été poussé dans cette voie par des gens qui sont puissants mais petits d’un point de vue psychologique. Et le peuple russe a été profondément méprisé au point qu’on lui fasse la guerre. C’est pourquoi ses sondages augmentent alors que ceux de Biden bougent à peine.

Tout cela conduit à l’objectif final du changement de régime, car c’est peut-être la seule option, ce qui implique une escalade continue jusqu’à l’impensable.

Et il est parfaitement logique que ce soit ce qu’ils préparent, pas seulement un changement de régime, mais une guerre plus large (voir l’augmentation des troupes de l’OTAN) pour réduire la Russie en bouillie et l’atomiser, ainsi que la culture et le peuple russes.

Cela dit, le Davos dispose de très peu d’intelligence humaine sur le terrain pour que cela se produise. Toutes les sanctions et les expulsions de diplomates ont aidé la sécurité de la Russie et de Poutine.

L’ambassade des États-Unis à Moscou compte moins de 50 personnes.

Bien que ce soit un triste état de fait et que cela signifie qu’il y a peu ou pas d’espoir de diplomatie, cela signifie également qu’il n’y a pas d’infrastructure pour faire ce que Lindsey demande si désespérément… Que quelqu’un l’élimine, n’importe qui !

À mon avis, c’est la preuve que l’on crée un nouveau récit et simultanément une preuve d’impuissance.

Maintenant, malheureusement, cela m’amène à un constat encore plus sombre. Ils ne veulent pas seulement un changement de régime et une sorte de règlement négocié pour l’Ukraine. Ce n’est plus du tout à l’ordre du jour.

Ils voient que leur système financier a évidemment échoué. La seule option qu’ils voient maintenant est de se préparer ouvertement à la troisième guerre mondiale en pensant qu’ils ont encore le matériel et la main d’œuvre pour appliquer leur Grande réinitialisation qui devait aboutir à la guerre.

Le travail de Lindsey Graham consiste à développer la propagande de guerre pour justifier l’entrée de l’OTAN en Ukraine dans les prochaines semaines.

Le programme est maintenant la troisième guerre mondiale, éventuellement avec des armes nucléaires, l’humiliation abjecte de la Russie et sa destruction finale.

Et la nôtre.

J’ai supplié de ne pas « travailler » hier à cause de cette prise de conscience. J’étais vidé au point d’être exténué et j’avais prévu de dormir pour éviter la dépression. J’ai regardé à nouveau la première partie des Entretiens avec Poutine d’Oliver Stone en 2016.

Je recommande à tout le monde de regarder ces films, ils sont éclairants.

Si vous voulez connaître votre ennemi, vous devez l’étudier. Le diaboliser peut vous faire gagner des amis à la machine à café, mais cela vous coûtera votre âme. À environ 20 minutes, lors de leur première conversation, Stone évoque les multiples tentatives d’assassinat de Poutine.

Si vous ne regardez rien d’autre, regardez cette séquence (cliquez ici) pour mieux comprendre la Russie et Poutine. La chute est simple :

Savez-vous ce que l’on dit au sein du peuple russe ? Ceux qui sont destinés à être pendus ne se noient pas.

VLADIMIR POUTINE

Poutine est bien conscient, hyper-conscient de sa situation. Une personne dans sa position qui se bat de cette façon depuis plus de 20 ans pour un projet auquel il a consacré la seconde moitié de sa vie, n’est pas stupide au point d’être la dupe consentante du Davos, ni aveugle aux capacités ou au caractère impitoyable de ses ennemis.

C’est pourquoi je maintiens mes positions sur Poutine. Il peut échouer. La guerre est un enfer et rien ne se passe jamais comme prévu sur le tableau blanc.

Mais, si vous devez être conduit à la guerre, sur qui parieriez-vous ? Des gens comme Lindsey Graham ne pourraient jamais se tenir devant une caméra et dire ce que Poutine a dit à Stone. Pourquoi ?

Parce que rien de tout cela n’existe. C’est juste une marionnette qui projette son ombre sur un mur.

Mais si vous détournez la caméra de Graham et Biden et que vous regardez Poutine, il s’adresse au monde maintenant. C’était le sujet de son dernier discours.

Il ne s’adressait pas à ses ennemis.

Il ne leur parle plus. Ils n’écoutent pas.

Ce discours s’adressait à tous les autres, y compris les Américains et les Européens : « Voici ce qu’ils pensent de vous. Voilà ce qu’ils sont prêts à faire pour exiger votre obéissance ». Ils voleront votre argent, prendront vos enfants, réduiront votre vie en cendres.

Et ce n’est pas comme s’il n’avait pas raison, les amis.

Si quelqu’un réclame un changement de régime, c’est bien Poutine.

Ça n’aura peut-être aucun effet sur l’Occident. En fait, je prédis que ça n’aura presque aucun effet. Mais cela résonnera dans le monde entier, dans les endroits qui ont maintenant très peur du conflit que Biden et le Davos imposent à tout le monde.

Dans ces circonstances, la clarification est rapide. Les grandes décisions se prennent rapidement.

Je pense qu’un effondrement mimétique global est en cours au moment où je tape ces lignes. Nous ne pouvons pas le voir ici en Occident parce que nous n’en avons pas le droit. Mais dans les parlements et les politburos de ceux que le Davos désigne comme ses « assistants » , c’est en train de se produire. Les gros titres arrivent presque trop vite pour qu’on puisse les suivre.

C’est ce qui arrive quand des hommes craintifs sont acculés. Le Davos est acculé. L’homme qui se noie fera tout pour ne pas se noyer, y compris noyer son sauveteur.

Le pendu a déjà accepté son destin. Il est libre.

Ce qui se passe ensuite ne dépend plus de lui mais de nous.

Tom Luongo

Traduit par Zineb, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




L’idéocratie nazie inversée jusqu’à la lie…

Par Lucien SA Oulahbib

Le fait que Mélenchon investisse un djihadiste à Villeurbanne ou que certains sous-philosophes de la lumpen intelligentsia hurlent à l’encontre de l’achat de Twitter par l’oligarque propriétaire heureux de Tesla (à l’ère de l’énergie « décarbonée ») sont les deux faces du nouveau Janus totalitaire : l’idéocratie à la fois hygiéniste, néo-nazie (manip génitale, GPA, anti-blanc), scientiste (manip d’injections expérimentales), affairiste (corruption à tous les étages) et formant la nouvelle « race » (au sens métaphysique « prolétarien ») de la Secte Globale affiche bien sûr des visages d’anges queer et djihadistes qui cependant ne veulent surtout pas voir autre chose de « différent » malgré le contraire évidemment affiché façon Village Potemkine, appelant à tirer ou pleurer sur les gilets jaunes et à raser (« libérer ») Moscou.

Il est même possible désormais pour ce monstre à deux têtes d’aller plus loin encore puisque la guerre quasi religieuse (néo-djihad made in OTAN) est de plus en plus là, et non plus devant nous, doublée d’une guerre civile de moins en moins larvée, et d’une guerre interétatique de moins en moins indirecte, devenant cobelligérants de fait par l’envoi d’armes offensives, la saisie d’avoirs privés, la chasse au moindre port d’un nom russe…

Cette Secte Globale S.H.A est sinon l’émanation de la Bête, du moins son incarnation de plus en plus immanente, cela paraît évident maintenant que les masques tombent, même si tout est fait pour le maquiller comme ces centaines de milliards distribués pour pallier soi-disant à la crise sanitaire alors qu’il s’agissait d’amorcer la mise sous tutelle du dernier carré de classe moyenne non encore robotisée dans le métro-boulot-séries Netflix et autre Métaverse, tout en faisant peur au reste du Peuple avec une maladie bien moins mortelle qu’une forte grippe en particulier pour les jeunes enfants et adultes.

Mélenchon a voté pour tout cela au second tour et il en jouit (à voir son visage cramoisi de vanité recuite le soir du 10 avril), mais il veut aller bien « plus loin encore », car entre monstres l’on s’entend comme larrons en foire : il y a bien eu le Pacte Hitler-Staline, pourquoi pas le Pacte eugéniste écologiste visant à la suprématie globale, celle de cette nouvelle « race supérieure » œuvrant au nom du Peuple contre le Peuple ?

Et celui-ci en redemande visiblement, tant il aspire désormais à se dissoudre, à devenir un rien concentré (une pure énergie connectée) plutôt que quelque chose ou l’effort d’être et non pas seulement exister à la façon d’un mouton de Panurge prêt au sacrifice non plus seulement rituel, mais ultime.




Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Les objectifs du Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab vont bien au-delà de la refonte de l’économie. Ils veulent vous refaire physiquement, vous, vos enfants et les enfants de vos enfants. Ils veulent que vous ne possédiez rien et que vous soyez heureux.

Le FEM contrôle l’élite mondialiste depuis plus longtemps qu’on ne le croit. Les Young Global Leaders de Klaus Schwab ont été installés comme marionnettes à la tête de pays du monde occidental. Des sommités de la gauche radicale comme Justin Trudeau au Canada, Emmanuel Macron en France et Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande, ainsi que les milliardaires Bill Gates et Jeff Bezos, en sont les exemples les plus flagrants.

[Voir aussi :
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».
Les valeurs familiales de Schwab
La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique
La funeste illusion de Klaus Schwab pour sa Grande Réinitialisation
La quatrième phase de Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Des « camps de rééducation » pour ceux qui seront réfractaires à la Grande Réinitialisation ?
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….]

Nous disposons désormais d’une liste complète des futurs leaders mondiaux du FEM. Vous seriez bien avisé de conserver cette liste pour toute référence future. Si l’on considère les régimes répressifs dirigés par la première génération de jeunes leaders mondiaux du FEM, et si l’on connaît les plans que le FEM a en réserve pour l’humanité, on ne peut que supposer que cette nouvelle génération de leaders est formée pour être encore pire .

La classe 2021 des Young Global Leaders de Klaus Schwab comprend le lieutenant-gouverneur de l’État du Michigan, un vice-président senior d’Uber, le militant raciste Ibram X Kendi et des cadres de Dow, Pfizer et Merck, entre autres.

Des pays du monde entier sont représentés dans la dernière cuvée de 112 futurs leaders mondialistes du FEM. Selon leur site web, les Young Global Leaders se composent de « plus de 1 400 membres et anciens membres de 120 nationalités ». Ces personnes sont formées pour « [s’]aligner sur la mission du Forum économique mondial », qui est de « stimuler la coopération public-privé dans l’intérêt public mondial ». Le FEM est connu pour sa réunion annuelle des élitistes à Davos, une station alpine en Suisse. Rapport de la Fondation Rair :

Le Forum économique mondial encourage le dangereux virage de la fusion continue des gouvernements avec les grandes entreprises, décrite comme une « coopération public-privé ». Cette « coopération » est également illustrée par ce que l’on appelle le « capitalisme participatif », qui permet à l’industrie de ne plus fonctionner sur la base du profit. À terme, un tel système serait contraint de se replier sur lui-même, mais les élitistes mondialistes ne semblent pas trop s’en inquiéter.

Vous pouvez faire défiler la liste de la classe 2021 du Young Global Leader par région. Voici la liste représentant l’Amérique du Nord :

  • Daniel Ahn, Global Fellow, The Woodrow Wilson International Center for Scholars, États-Unis.
  • Peter Biar Ajak, Visiting Fellow et Adjunct Faculty, Africa Center for Strategic Studies, États-Unis.
  • Adriana Cargill, journaliste radio indépendante, États-Unis.
  • Arvan Chan, Vice-président senior ; Directeur des opérations, International, Centene, États-Unis.
  • Alexis Crow, Directeur mondial, Geopolitical Investing, PwC, États-Unis.
  • Abasi Ene-Obong, Directeur général et Fondateur, 54gene, États-Unis.
  • Jocelyn Formsma, directeur exécutif, Association nationale des centres d’amitié, Canada.
  • Garlin Gilchrist II, Lieutenant Gouverneur, Etat du Michigan, États-Unis
  • Pierre-Dimitri Gore-Coty, Vice-président principal, Livraison, Uber Technologies, États-Unis.
  • Megan Greenfield, Partenaire, McKinsey & Company, États-Unis
  • Jessica Jackson, Responsable du plaidoyer, Reform Alliance, États-Unis.
  • Gadeer Kamal-Mreeh, Envoyé spécial principal, Amérique du Nord, Agence juive, États-Unis.
  • Brian Kaufmann, Chef, Investissements privés ; Gestionnaire de portefeuille ; Membre du Comité de gestion, Viking Global Investors, États-Unis.
  • Conrod Kelly, Directeur général, Chili, Merck & Co, Inc, États-Unis.
  • Ibram X Kendi, Directeur du Centre de recherche antiraciste, Université de Boston, États-Unis.
  • Haley Lowry, Directrice du développement durable, Dow, États-Unis.
  • Lukas Nelson, chef de groupe, Promise of The Real, États-Unis.
  • Amit Paley, directeur général et directeur exécutif, The Trevor Project, États-Unis
  • Emily Serazin, Directrice générale et partenaire, Boston Consulting Group (BCG), États-Unis.
  • Liam Sobey, vice-président, Merchandising, Sobeys Inc, Canada.
  • Vasudha Vats, vice-présidente, Pfizer, États-Unis.
  • Hitesh Wadhwa, vice-président, ventes et initiatives stratégiques, Tech Mahindra, États-Unis.
  • David Alexander Walcott, fondateur et associé gérant, Novamed, États-Unis.

Mais le Forum économique mondial ne veut pas seulement refaire l’économie, il veut aussi refaire l’humanité..

Biologie synthétique

La biologie synthétique va refaire le monde. Les outils dont disposent les scientifiques aujourd’hui offrent un vaste potentiel pour faire du bien ou du mal. – Lieutenant-colonel Marcus A. Cunningham, USAF, Strategic Studies Quarterly, automne 2020.

Une partie de la vision de Schwab semble être son itération folle de la « biologie synthétique », qui a été décrite comme « la conception et la construction de modules biologiques, de systèmes biologiques et de machines biologiques ou la reconception de systèmes biologiques existants à des fins utiles ». En substance, la biologie synthétique est un terme générique qui inclut une obsession marginale bizarre avec le transhumanisme, ou la « fusion des êtres humains avec la technologie ».

Un article choquant publié en novembre 2020 sur LifeSite News présente le Dr Miklos Lukacs de Pereny, professeur de science, de technologie et d’innovation à l’université de San Martín de Porres au Pérou. Le professeur est cité comme expliquant que la quatrième révolution industrielle « n’est rien d’autre que la mise en œuvre du transhumanisme au niveau mondial. »

En effet, en 2016, Schwab a déclaré que cette « quatrième révolution industrielle » conduira « à une fusion de nos identités physique, numérique et biologique. »

La vision de Schwab est tellement scandaleuse qu’il devrait évidemment être rejeté d’emblée comme un fou. Mais au lieu de cela, les élites mondiales autoproclamées assistent avec empressement aux conférences de Schwab et s’inscrivent pour devenir des « Young Global Leaders ».

Si la « Quatrième révolution industrielle » est la vision de Klaus Schwab pour refaire l’humanité et l’économie mondiales, alors la rampe de lancement est la « Grande réinitialisation ». Le véhicule du Grand Reset, bien sûr, est la pandémie de coronavirus.




Au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron : que faire ?

[Source : ALEXANDRE JUVING BRUNET 2022]

[Voir aussi :
Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs
Capitaine Alexandre Juving-Brunet : « Beaucoup de personnes au pouvoir devraient commencer à s’inquiéter »
« Des milliers de citoyens font battre le coeur de la France tous les samedis » Alexandre Juving-Brunet
France, relève-toi !
Note sur la mort des nations et des civilisations
Quelles actions résistantes mener en 2022 ?
France : pour ou contre un général comme prochain Président ?
La France revivra-t-elle?]




Qui a « construit » Klaus Schwab ? Qui sont ses mentors ?

[Source : ExcaliburTraduction]






Le « récit » américain ne survivra pas à une défaite dans le Donbass

[Source : associationfrancorusse.fr via RI]

Par M.K. Bhadrakumar

La diplomatie britannique a ceci d’extraordinaire qu’elle cherche continuellement à garder une longueur d’avance et à complaire à son client d’outre-Atlantique, les États-Unis. C’est pourquoi les remarques sur le conflit ukrainien faites par le Premier ministre britannique Boris Johnson lors de sa conférence de presse de vendredi dernier (22 avril 2022) à New Delhi sont très significatives.

Boris Johnson a rappelé les vers évocateurs du poème de Matthew Arnold, « Dover Beach », sur le « long et mélancolique grondement du retrait » lorsque la foi s’éloigne. Il n’était pas du tout en ligne avec les propos tenus la veille par le président américain Joseph Biden à la Maison Blanche, qui s’est engagé à :

  • « tenir Poutine pour responsable de sa guerre brutale et sanglante » ;
  • « renforcer la capacité de l’Ukraine à se battre à l’est – dans la région du Donbass » ;
  • « repousser l’agression de la Russie en Ukraine, repousser la sauvagerie de Poutine » ;
  • « envoyer un message sans équivoque à Poutine : il ne parviendra jamais à dominer et à occuper l’ensemble de l’Ukraine.  Il ne le fera pas – cela n’arrivera pas » ;
  • « augmenter la pression sur Poutine et isoler davantage la Russie sur la scène mondiale » ;
  • « continuer à priver la Russie des avantages du système économique international dont elle a tant profité par le passé » ;
  • « continuer à soutenir le fier et courageux peuple ukrainien ».

Joseph Biden a réussi à rassembler toute cette rhétorique au vitriol dans un seul discours ! Il a même terminé en affichant un certain optimisme : « Rien ne prouve encore que Mariupol soit complètement tombée ».

Mais Boris Johnson, à l’inverse, a eu tendance à suivre les évaluations des services de renseignements militaires britanniques selon lesquelles les Russes pourraient gagner en Ukraine. Sans aucune acrobatie verbale, il est allé droit au but :

« Je pense que ce qui est triste, c’est que cette (victoire russe) est une possibilité réaliste. Oui, bien sûr. Poutine a une énorme armée, il a une position politique très difficile, la seule option qu’il a maintenant est de continuer à essayer d’utiliser son approche épouvantable, écrasante, menée par l’artillerie, pour essayer d’écraser les Ukrainiens. Il est maintenant très proche de sécuriser un pont terrestre à Mariupol. La situation est, j’en ai peur, imprévisible. Nous devons simplement être réalistes à ce sujet. »

Lors de sa récente visite en Ukraine, Boris Johnson aurait conseillé au président Vladimir Zelensky de battre en retraite et de former une nouvelle ligne de défense, mais Vladimir Zelensky n’a eu d’autre choix que de suivre les recommandations des Américains.

Le président Biden a, bien sûr, une bonne raison de tout faire pour que la guerre se poursuive éternellement. La guerre rassemble l’Europe derrière le leadership transatlantique faiblissant des États-Unis. Cela lui donne, en outre, un alibi pour expliquer la forte inflation de l’économie américaine. Il rassure le complexe militaro-industriel dans une année électorale. Jeudi, Joseph Biden a annoncé une nouvelle enveloppe de 800 millions de dollars d’aide militaire pour de l’artillerie lourde, 144 000 munitions et des drones, qui seront envoyés « directement sur les lignes de front de la liberté » dans le Donbass.

Cependant, la grande question demeure : combien de temps l’unité occidentale tiendra-t-elle derrière le leadership américain si Joseph Biden cherche un conflit prolongé avec la Russie ? Non seulement les défaites successives à Marioupol et dans le Donbass briseraient les reins de l’armée ukrainienne et entameraient sérieusement la crédibilité des États-Unis, mais discréditeraient également l’ensemble du récit triomphaliste occidental.

Si les sanctions occidentales ont nui à l’économie russe, selon les informations actuelles, Moscou s’adapte à une « nouvelle normalité ». Contrairement aux espérances occidentales, les sanctions n’ont pas retourné l’opinion publique russe contre le gouvernement. L’essai réussi, mercredi dernier, du missile balistique intercontinental russe de nouvelle génération « Sarmat » – qui « n’a pas d’analogues dans le monde et n’en aura pas avant longtemps » (selon les mots de Poutine) – est sans aucun doute une expression de défi.

Pendant ce temps, les tentatives occidentales d’« isoler » la Russie ne rencontrent pas de succès notable. Lors de la réunion des ministres des Finances du G20 à Washington, le plan de « boycott de la Russie » n’a trouvé aucun preneur en dehors du bloc occidental. Les États-Unis n’ont pas réussi à persuader l’Arabie saoudite de se désengager de son cartel OPEP+ avec la Russie. Surtout, dans le domaine clé, là où cela compte le plus – le pétrole et le gaz – l’Europe est incapable d’accepter un embargo. Plusieurs pays de l’UE menacent d’opposer leur veto à toute initiative de ce type de la part de la Commission.

Les économies européennes sont à des stades divers d’effondrement, alors que le contrecoup des sanctions commence à les frapper. La banque centrale allemande a prévenu vendredi qu’un embargo total sur les achats d’énergie russe pourrait coûter 180 milliards d’euros, réduire de 5% le PIB allemand prévu pour cette année et replonger l’économie dans une grave récession. Elle a prévenu que la nécessité de trouver des sources d’énergie de remplacement ferait flamber l’inflation, ajoutant plus de 1,5 point de pourcentage à l’indice des prix à la consommation cette année et plus de 2 points l’année prochaine.

Le chancelier Olaf Scholz a déclaré vendredi au « Spiegel » que le refus d’un embargo sur le gaz visait en fin de compte à « éviter une crise économique dramatique, la perte de millions d’emplois et d’usines qui ne rouvriront jamais ». Il a déclaré qu’étant donné ces « conséquences énormes pour notre pays, pour l’ensemble de l’Europe, il est de ma responsabilité de dire : nous ne pouvons pas permettre cela (l’embargo) ».

Les Européens commencent à se rendre compte qu’ils sont les grands perdants. Outre les perturbations des chaînes d’approvisionnement qui entravent la production industrielle, le fardeau des 5 millions de réfugiés (à ce jour) et l’impact important sur la sécurité alimentaire dû à la guerre dans le « grenier de l’Europe », combiné à la pénurie d’engrais utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l’Europe subit de plein fouet la hausse des prix.

Même avant la guerre en Ukraine, les prix des engrais augmentaient rapidement en raison de l’augmentation du prix du gaz, l’engrais azoté coûtant presque cinq fois plus cher que l’année dernière à la même époque. Les experts préviennent que tout cela pourrait conduire à une crise alimentaire. Des agriculteurs révoltés ont organisé des manifestations pour réclamer des concessions.

Les sondages de Gallup International ont montré que les plus grandes préoccupations des citoyens de l’UE à l’heure actuelle sont la hausse des prix, la crainte d’une aggravation de la guerre en Ukraine et d’éventuelles pénuries d’énergie. Plus de la moitié des citoyens européens estiment que l’Europe a déjà apporté un soutien suffisant à l’Ukraine.

C’est là que la défaite dans le Donbass se transforme en un événement crucial remettant en question l’ensemble du « récit » américain sur l’Ukraine – l’expansion de l’OTAN, la sécurité européenne et le dialogue avec la Russie – et, bien sûr, le renforcement du pouvoir de Vladimir Poutine en Russie.

Un sondage publié jeudi par « l’Associated Press-NORC Center for Public Affairs Research » montre que le désir des Américains de s’impliquer en Ukraine s’est quelque peu émoussé. Seuls 32% d’entre eux estiment que les États-Unis devraient jouer un rôle majeur dans le conflit, contre 40% le mois dernier. Par ailleurs, 49% des personnes interrogées estiment que les États-Unis devraient jouer un rôle mineur.

Lors de son discours à Delhi, Boris Johnson a pratiquement écarté celui de Joseph Biden. Il a plutôt appelé à « définir une vision de l’avenir de l’Ukraine dans l’architecture de sécurité de l’Europe. Quelle est la place de l’Ukraine aujourd’hui ? »

Boris Johnson a déclaré que l’Ukraine doit être en mesure de répondre à cette question à terme – « ce que les Ukrainiens veulent à terme. » Il est intéressant de noter qu’il n’a pas utilisé le mot « gouvernement ukrainien ».

Il s’est étendu sur « un ensemble de garanties de sécurité de la part de pays partageant les mêmes idées – des engagements de sécurité sur ce que nous pouvons faire pour les soutenir en matière d’armement, de formation et de partage de renseignements ». Mais il a rapidement ajouté que cela ne peut être « comme une garantie de l’article 5 (OTAN) ». Au lieu de cela, a-t-il dit, l’Ukraine devrait avoir une « dissuasion par le déni ».

Selon la vision de Boris Johnson, l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN est inconcevable. La Grande-Bretagne anticipe les nouveaux évènements sur le terrain. Le premier ministre anglais a semblé reconnaître les réalités politiques émergentes, alors que le rouleau compresseur russe « réduit en poussière » la machine de guerre de Kiev.

M. K. Bhadrakumar

source : Indian Punchline




L’Ukraine n’est qu’un début ou ce que les Russes comptent faire en réalité

[Source : RI]

Par Ben Fofana

Le lancement de l’opération spéciale depuis le 24 février 2022 marque le début d’une contre-offensive (et non une simple contre-attaque) de la Russie vis-à-vis des USA en Europe. Plus précisément, il s’agit de briser l’encerclement progressif dont elle fait l’objet depuis 30 ans et faire refluer l’empire anglosaxon loin de ses frontières. Ramener l’OTAN à ses frontières de 1997 ou pourquoi pas provoquer sa dislocation. Alors jusqu’où iront les Russes ?

Oui, elle a pour objectifs déclarés (et politiques) de réduire toute menace que pourrait représenter l’Ukraine (la démilitarisation) dans le futur et éliminer les bandes armées proxy de l’OTAN (la dénazification) que sont le régiment Azov, le bataillon Aïdar, le bataillon Donbass et juger leurs chefs afin d’extirper pour de bon ce cancer du monde russe.

Cela étant dit, lorsque cela sera fait, le problème de la Russie sera t-il réglé ? Suffira t-il de démanteler l’État artificiel ukrainien pour y arriver ? La réponse est évidemment non. L’offensive en Ukraine a pour but de forcer les USA à la négociation et leur faire signer les deux documents contenant ses exigences de sécurité. Ces derniers reviendront-ils à la raison pour discuter sérieusement des préoccupations de la Russie quant à sa sécurité ? La réponse est encore non. Alors les Russes n’auront d’autres choix que d’augmenter la douleur et contraindre les USA à obtempérer. Comment comptent-ils y arriver sachant qu’il n’y a plus d’adultes à Washington ? Eh bien la stratégie russe est simple et se résume à montrer d’une part que l’armée américaine n’a pas l’audace d’affronter l’armée russe et d’autre part que le parapluie nucléaire américain ne vaut rien.

Objectif numéro un : montrer que les USA ont la trouille face à la Russie

C’est justement pour atteindre cet objectif que l’opération spéciale en Ukraine a été lancée. Cela fait deux mois que l’armée russe bombarde celle de l’Ukraine, formée, armée et commandée par les USA. En réalité, l’armée russe affronte celle des USA par les soldats ukrainiens interposés. En gros, les USA sont prêts à se battre avec la Russie jusqu’au dernier Ukrainien. Mais c’est tout. Ils n’ont jusqu’ici pas eu assez de co**lles pour envoyer ouvertement leurs soldats dans la bataille pour défendre la démocratie et les droits de l’homme comme ce fut le cas en Irak (1991), en Yougoslavie (1999) et en Lybie (2011).

Le monde entier voit que les USA n’ont pas le courage ni les capacités d’affronter la Russie militairement et d’espérer l’emporter. C’est une limite claire et palpable à la volonté et à la domination américaines dans le monde. On peut dire que le premier objectif est d’ores et déjà atteint.

Objectif numéro deux : montrer que le parapluie américain n’est que du pipo

Pour atteindre cet objectif, la Russie n’a d’autres choix que de s’en prendre à un membre de l’OTAN. Elle n’a absolument aucune démonstration de force à faire ici. Il ne s’agit pas d’impressionner qui que se soit. Il s’agit juste de montrer que si vous êtes un allié américain, vous n’est pas couvert par le parapluie nucléaire américain. Parce que d’un côté, les USA n’ont pas ce qu’il faut pour espérer l’emporter face à la Russie dans son voisinage. Et parce que de l’autre, je vois très mal les USA bombarder un pays qui peut raser Washington ou New-York en deux heures de temps.

Alors que va t-il se passer après l’Ukraine ?

La Russie va passer à un pays de l’OTAN. Soit directement, soit après avoir traité le cas de Transnistrie/Moldavie. Un parfait candidat dans la liste est la Lituanie. La cible est idéale : petite population, petit territoire (un dixième de l’Ukraine). De plus, ironie de l’histoire, la Lituanie est juridiquement un territoire russe puisqu’il a été acheté à la Suède en 1721 (par le traité de Nystad).

Une fois que cette « invasion » d’un pays de l’OTAN sera réalisée, le monde sera fixé une fois pour toute sur ce qui n’était qu’un secret de polichinelle : le parapluie nucléaire américain n’est que du vent, une poudre de perlimpinpin. Puisque jamais ils ne prendront le risque d’entrer en guerre avec un pays capable de raser des villes américaines en quelques heures.

La combinaison des deux objectifs ci-dessous sonnerait la dislocation et la mort de l’OTAN. Puisque la preuve aura été faite (par A+B) qu’elle ne sert à rien.

PS : Depuis une autre option s’est ajoutée à l’éventail de la Russie. En effet, grâce aux armes hypersoniques, l’armée russe peut cibler des objectifs militaires en territoire américain (bases militaires, navales, sous-marines…).

Les USA passeraient-ils au nucléaire si leur territoire était frappé à l’aide d’armes conventionnelles russes ? Devinette, devinette…

source : Africa Politics




Ukraine : responsabilité écrasante de l’ONU et de la France en particulier

[Source : histoireetsociete.com via RI]

COMAGUER, comme souvent nous présente un article fondamental sur le viol systématique par l’occident de la Libye à l’Ukraine de la charte des NATIONS-UNIES. Le rôle de la FRANCE dans les deux cas est à la pointe du crime, et on comprend le peu de crédit qu’à partir en particulier de SARKOZY notre pays a dans le monde, c’est une attitude de pays voyous et de dirigeants mafieux qui n’a plus rien à voir avec le gaullisme dont certains osent encore se réclamer. Qu’il se trouve en FRANCE si peu de forces politiques pour avoir le courage de faire ce que jadis aurait au moins accompli le parti communiste dans le dénonciation, le consensus dont ont joui ces dirigeants français qu’ils soient de droite ou de gauche participe d’un déclin français que l’extrême-droite cherche abusivement dans des peuples victimes de ces gens-là. A lire absolument.

(note de Danielle Bleitrach)

24 Avril 2022

En 2014 après le renversement par la violence du gouvernement légal de Yanoukovitch éclate la crise dite du Donbass, lorsque deux des provinces de l’Est : celles de Lougansk et celle du Donetsk ne reconnaissent pas le gouvernement Porochenko issu du coup d’état. Celui-ci exécute sans tarder le mandat politique qui lui a été confié par les États-Unis : liquider militairement la rébellion.

Ce type d’action violente d’un État contre une partie de sa population est défini clairement dans le Chapitre VII de la Charte des Nations Unies. Elle est interdite et l’ONU peut la sanctionner.

C’est en application des dispositions de ces articles de la Charte que le 14 Mars 2011 le Conseil de sécurité de l’ONU autorise – résolution 1973 – une action militaire contre le gouvernement libyen qui agresserait la population de Benghazi en révolte contre le pouvoir central. La résolution portée par la France de Sarkozy et par le Royaume Uni de Cameron est adoptée par le Conseil de sécurité. Deux membres permanents : la Russie et la Chine s’abstiennent. L’action militaire est organisée par l’OTAN, les Etats-Unis assurant la coordination des actions menées principalement dans les airs et sur le terrain par ses deux alliés occidentaux.

L’intervention d’Alain Juppé ministre français des affaires étrangères qui a fait spécialement le déplacement à New-York pour justifier l’usage par l’ONU de la force contre un état membre est un morceau de bravoure surtout lorsqu’on le confronte à la réalité des opérations guerrières qui ont suivi le vote de la résolution.

Déclarations avant le vote

  1. ALAIN JUPPÉ, Ministre des affaires étrangères de la France, a déclaré avant le vote que « le monde était en train de vivre une de ces révolutions qui changent le cours de l’histoire ».  Estimant que les peuples arabes clament leur désir de démocratie, les transitions en Tunisie et en Égypte étant menées dans un esprit de maturité, il a estimé que « ce nouveau printemps arabe était pour nous tous une bonne nouvelle ».  Le Ministre français des affaires étrangères a ensuite invité le Conseil à accompagner cette évolution avec confiance pour aider chaque peuple à construire son avenir.  Poursuivant, il a déploré que pendant ce temps, en Libye, « hélas, la volonté populaire est foulée au pied par le régime de Kadhafi ».  Après avoir rappelé les mesures prises par la communauté internationale pour ramener à la raison ce régime, il a constaté qu’elles n’avaient pas été suffisantes, les violences n’ayant fait que redoubler.  « La situation sur place est plus alarmante que jamais, marquée par la reconquête violente des villes qui avaient été libérées », a souligné M. Juppé, qui a estimé que le Conseil de sécurité ne pouvait pas laisser faire « les fauteurs de guerre et laisser bafouer la morale et la légalité internationale ».  Commentant la résolution présentée par son pays et le Royaume-Uni, il a affirmé qu’elle donnait les moyens de protéger la population civile.  « Outre l’instauration de la zone d’exclusion aérienne, la résolution appelle tous les États à protéger les civils, elle renforce les sanctions déjà adoptées, notamment l’embargo sur les armes et le gel des avoirs du clan Kadhafi et de ses affidés ».  Avant de conclure, M. Juppé a estimé qu’adopter cette résolution serait l’honneur du Conseil de sécurité qui, ce faisant, ferait prévaloir la loi sur la force.  «  C’est une question de jours, c’est peut-être une question d’heures. Chaque jour, chaque heure qui passe, resserre l’étau des forces de la répression autour des populations civiles éprises de liberté, et notamment de la population de Benghazi », a-t-il martelé. « Chaque jour, chaque heure qui passe, alourdit le poids de la responsabilité qui pèse sur nos épaules », a-t-il encore déclaré.

Outre la Russie et la Chine les abstentionnistes et non des moindres (Inde, Brésil, Allemagne) pouvaient avoir quelques doutes sur les intentions réelles des défenseurs de la population de Benghazi. En témoigne l’intervention du délégué russe qui suit :

  1. VITALY TCHOURKINE (Fédération de Russie) a indiqué que son pays s’était abstenu lors du vote « pour des raisons de principe ».  Il a ainsi déploré que le travail sur le document n’ait pas été conforme à la pratique du Conseil de sécurité. M. Tchourkine a notamment indiqué que son pays n’avait pas obtenu de réponses sur les moyens permettant de mettre en place le régime d’exclusion aérienne. « Non seulement, nous n’avons obtenu de réponses à nos questions aux cours des délibérations, mais nous avons aussi vu passer sous nos yeux un texte dont le libellé n’a cessé de changer, suggérant même par endroit la possibilité d’une intervention militaire d’envergure», a-t-il expliqué.  « La voie la plus rapide pour assurer la sécurité du peuple libyen est l’instauration d’un cessez-le-feu immédiat, ce que, précisément, souhaitait obtenir mon pays par le biais d’un projet de résolution présenté hier », a souligné M. Tchourkine. 

En pratique les armées de l’OTAN vont outrepasser la mission que leur a été confiée par l’ONU et en six mois de bombardement intense détruire toute l’armée libyenne et à sa suite l’État libyen lui-même, parachevant leur action par l’assassinat du chef de l’État.

Le cas ukrainien tel qu’il est posé depuis 2014 après le coup d’État et la révolte des deux provinces de l’Est relève lui aussi du Chapitre VII de la Charte. Il s’agit en effet de protéger une population menacée par le gouvernement et les troupes de son propre pays. L’ONU va dans ce cas déléguer sa responsabilité permettant aux Etats-Unis de se mettre officiellement en retrait. L’ONU le fait en acceptant et en validant les accords de Minsk entre les deux parties au conflit qui prévoient de le régler par la négociation sous la supervision de la France et de l’Allemagne. Sous le titre général « accords de Minsk » nous rassemblons le protocole de Minsk dit aussi Minsk 1, l’accord de Minsk dit aussi Minsk 2 et aussi les réunions au format « Normandie » qui associaient la Russie aux discussions. Il a été très vite évident que le gouvernement de Kiev mis en place par un coup d’État orchestré par les Etats-Unis n’avait aucunement l’intention de respecter ces accords dans leur différentes moutures bine qu’il les ait toutes signées

Sur le terrain la seule application des accords se résumait à la définition d’une ligne de démarcation, à organiser à intervalle régulier des cesser le feu toujours violés et par la présence d’observateurs de l’OSCE qui se sont bornés à constater que le conflit avait pris une forme militaire et se poursuivait. Ainsi l’ONU sur la base des leurs observations a pu reconnaitre sans émotion particulière que 14000 habitants du Donbass avaient péri du fait du conflit entre 2014 et 2021. Jamais la partie politique des accords à savoir la possibilité institutionnelle de faire vivre les deux républiques au sein de la république ukrainienne apaisée ne sera abordée.

La responsabilité de la France que ce soit sous la présidence de Hollande ou sous celle de Macron est écrasante. En effet, puissance garante des accords de Minsk et membre permanent du Conseil de Sécurité, son devoir était de demander des sanctions contre le gouvernement ukrainien qui continuait à tuer par milliers des citoyens de son propre pays. L’Allemagne n’a pas fait mieux impliquée qu’elle était dans le coup d’état de 2014 dont certains acteurs importants étaient financés par la fondation Adenauer (fondation de la CDU de Mme Merkel).

En 2019 l’élection de Zelensky a fait croire qu’enfin le moment de la négociation était venu. Mais ce n’était que le premier acte du mélodrame sordide pour lequel ce comédien sans vertu avait été embauché. L’illusion ne dura pas au-delà de la campagne électorale. L’acte 2 commença aussitôt avec la reprise ou la poursuite des actions militaires de l’armée ukrainienne et de ses éléments les plus fascisants contre le Donbass. Entretemps le Donbass avait organisé sa résistance militaire pour éviter l’invasion.

L’acte 3 démarre avec l’installation de Biden à la Maison Blanche. La nouvelle administration démocrate animée par les mêmes acteurs (Biden lui-même, Blinken, Jack Sullivan et Victoria Nuland) qui ont organisé le coup d’état de 2014 veut cette fois liquider physiquement et définitivement la rébellion. S’il ne l’avait pas compris plus tôt Zelinsky sait alors qu’il va être l’exécutant d’un crime de masse décidé ailleurs.

Puisqu’il devenait patent que les accords de Minsk ne seraient jamais appliqués puisque les Etats-Unis n’en voulaient pas, une France majeure et indépendante aurait dû saisir le Conseil de sécurité en exigeant des sanctions contre l’Ukraine. Mais la diplomatie macronienne n’étant pas indépendante de Washington s’est trouvée «  en état de mort cérébrale » sur le sujet.

Pendant toute l’année 2021 la diplomatie russe a fait tous ses efforts pour éviter l’assaut final sur le Donbass qui aurait consacré la transformation du gouvernement Zelinsky en exécutant docile de la politique des Etats-Unis (qui avec constance assuraient la modernisation et l’encadrement de l’armée ukrainienne) et en agent direct du gouvernement étasunien à la frontière de la Russie. L’illusion longtemps entretenue dans la population de l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN et dans l’UE s’évanouissait : Washington était directement aux commandes à Kiev. Zelinsky devenait ainsi – acte 4 du mélodrame – le président d’une république bananière avec beaucoup de sang ukrainien sur les mains déjà versé et beaucoup plus à verser pour la bataille finale. En effet, début 2022 tout est prêt pour l’assaut militaire sur le Donbass. Les hypocrites, les marionnettistes occidentaux ont choisi de laisser le gouvernement de Kiev seul maitre apparent de l’opération. Zelinsky le sait, le piège s’est refermé sur lui. Il gesticule un peu : « Aidez-moi ! » peine perdue. Il découvre, peut-être avec effroi mais trop tard, qu’il a signé son contrat avec le réalisateur du mélodrame sanglant, que le dernier acte s’intitule « Zelinsky boucher du Donbass »  

Mais coup de théâtre, acte 5, la Russie vient bouleverser le scénario.

Lorsque le 19 Février Zelinsky annonce en public à Munich devant Kamala Harris et un parterre de diplomates qui ne le traite pas de fou qu’il envisage face à la « menace russe » de doter son pays de l’arme atomique la Russie comprend qu’il a le feu vert pour l’agression.

La Russie après huit ans de retenue, huit ans pendant lesquels elle a donné la priorité à la diplomatie et au règlement pacifique du conflit du Donbass, accède alors à la demande de reconnaissance formulée dès 2014 par les deux républiques séparatistes. Le 22 le parlement russe les reconnait.

Le 24 Février la Russie se porte à leur secours et elle ne peut le faire qu’en s’en prenant à une armée ukrainienne bien formée par les conseillers miliaires occidentaux qui s’apprête à liquider le Donbass. Elle tire donc la conclusion de l’échec total de l’ONU qui a passé huit ans à regarder sans s’émouvoir la non application des règles du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies que ce soit par les Etats-Unis au Conseil de sécurité ou par la France et l’Allemagne garants volontairement impuissants des accords de Minsk.

Voilà la vraie responsabilité de l’Occident sous ses diverses parures qui se déchaine contre « l’agresseur », « l’envahisseur » alors qu’il a passé son temps à préparer cette guerre en la faisant faire par un pays ravagé par la corruption, que ses habitants ont fui par millions depuis 1991, un pays transformé en pays mercenaire y compris en prévoyant de lui faire utiliser des armes biologiques et chimiques de destruction massive en préparation dans les labos étasuniens en Ukraine.

Si elle ne veut pas finir comme feu la Société des Nations, l’ONU doit se saisir avec la dernière énergie de cette menace mondiale d’une apocalypse perfide et anonyme remisant au magasin des terreurs enfantines les champignons atomiques avec l’image d’un Docteur Folamour qui, dans une ultime transe solitaire dans son bunker, appuie sur le bouton.

[Voir aussi :
Communiqué sur l’Ukraine
Pourquoi l’intervention de la Russie en Ukraine est légale au regard du droit international. La Russie a exercé son droit de légitime défense
États-Unis : le colonel MacGregor alerte quant à la périlleuse implication américaine en Ukraine
Le plus grand « chasseur de nazis » du monde condamne Trudeau pour avoir dépensé 794 millions de dollars pour former des néonazis en Ukraine
Selon un journaliste français de retour d’Ukraine, les Américains sont « responsables » de la guerre
Un des objectifs cachés de la guerre en Ukraine : la ruine et le dépeçage de l’Europe
L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial
Ukraine : les incroyables mensonges de l’OTAN et des médias]




Unissons-nous contre la vaccination obligatoire qui nous menace

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

PROTÉGEZ VOS ENFANTS ET VOS VIES

Après le désastre du premier, puis deuxième tour pour les souverainistes, que dire ?
NE NOUS LAISSONS PAS DIVISER ET SE HAÏR LES UNS LES AUTRES. Nous sommes tous dans le même bateau et il coule. Écopons. Et comprenons l’échec et le désarroi des Français qui aiment la France et sont choqués qu’un président ouvre son quinquennat par l’hymne européen et non la Marseillaise. Quel nouvel aveu, dont il ne s’est jamais caché. Quelle Europe ? Celle de la Hongrie et de la Pologne ou celle de la Commission européenne et de sa gestion antidémocratique guidée par ses conflits d’intérêts ?

Qu’on me permettre une pensée émue pour Beethoven manipulé, utilisé… Moi qui l’aime tant, j’aurais préféré être sourde que d’entendre cela… Humour noir en rapport avec l’humeur de ce triste jour. Mais courage, camarades, « faisons face » comme le dit le slogan du corps de FFI de mon père au barrage de l’Aigle…

Bien sûr, la hargne anti FN (RN ainsi renommé par les médias et le pouvoir) ont joué leur rôle, mais ne devons-nous pas nous interroger sur nos responsabilités propres dans cette campagne où, par exemple, le sujet majeur de la santé réelle des Français n’a pas été débattu (en même temps que le Frexit que d’autres détailleront mieux que moi) ni les conséquences désastreuses des mesures autoritaires inefficaces soi-disant prises pour lutter contre le covid.
Les militants souverainistes de la première phase de la campagne ont échoué, faute de s’unir et de s’écouter. Comment est-on arrivé à une absence d’alliance militante entre E. Z. et Florian Philippot, Dupont Aignan, Asselineau et quelques autres ? Pourquoi le mot Frexit n’a-t-il pas fait la Une de la campagne… ? Faute aux sondages ? Mais quelle est cette passion de suivre ceux qui nous détruisent et de tenter de s’adapter à leurs informations sur ce que voudraient les Français ? Politiques, soyez sincères et fidèles à vos choix comme la montée de E Z l’a démontré et sa tentative de se modeler au lissage des sondages l’a plié…

La perte de qualité des soins et la vaccination rendue obligatoire de fait ont réduit notre médecine de jadis à peau de chagrin, et les opposants à Macron n’ont pas su mettre en exergue les dangers extrêmes de la situation. Le pouvoir macroniste a joué la vieille peur du « fascisme », mais la peur de l’hygiénisme eugéniste a été tue par les opposants, en dehors de quelques exceptions marginalisées comme Florian Philippot qui pourtant a su réunir chaque semaine de nombreux « éveillés ».

Les partis traditionnels et même les nouveaux comme Reconquête n’ont pas vu ou voulu voir la transformation majeure de la société qu’entraînent ces vaccinations à outrance et la disparition de la médecine « normale ».
Même Marine qui fut un temps le refuge de beaucoup pour échapper au deuxième quinquennat du même s’est prononcée pour la « télémédecine » comme E. Macron. Inversion des valeurs incompréhensible. Le manque de médecins n’est pas lié à une absence de formation ou même d’argent, mais de PERTE DE LIBERTÉ DE SOIGNER, un élément majeur absent de la campagne.

Eric Zemmour avait évoqué la disparition des ARS, mais il aurait dû en faire un sujet majeur tant leur existence a détruit le système de santé en deux décennies. Il fallait expliquer, développer, car ces agences régionales sont un nœud de destruction du système de santé.

Nous ne détaillerons pas en ce matin douloureux l’ensemble des conséquences des injections, mais en voici quelques-unes à prendre en compte pour la campagne des législatives. Défendons les citoyens en protégeant santé, cœur et cerveau en refusant les injections multiples dont le pouvoir nocif s’aggrave avec la répétition.
Gardons-nous de juger les victimes de la propagande qui ont « veauté » en toute inconscience de la gravité de leur décision, et ce, dès le premier tour. Ils sont manipulés par un totalitarisme montant et le peuple ne doit pas se laisser diviser malgré la tristesse d’un soir attendu comme un miracle.

LES SUJETS ÂGÉS MULTI VACCINÉS

Ils ont été embarqués dans ce processus totalitaire de vaccination à répétition et leur santé s’est pour bon nombre d’entre eux altérée, le symptôme prédominant étant la fatigue, mais aussi des troubles de mémoire et d’orientation, des infections banales qui durent plus longtemps qu’autrefois, tout ceci sans parler des morts brutales, mais qui n’arrivent qu’aux autres, c’est bien connu…

Dans ce contexte, comment soumis à l’intoxication mensongère de tous les médias auraient-ils pu résister en nombre. Gardons-nous de les juger. Les Français ne sont ni pires ni meilleurs que les Allemands qui ont voté et porté Hitler au pouvoir.

Comprendre les mécanismes de l’installation du totalitarisme pour le combattre serait plus efficace que de rejeter la « faute » sur les vieux et sur les jeunes qui auraient voté E. Macron… Relire ou lire Hannah Arendt et Ariane Bilheran s’imposent en urgence pour mieux combattre l’aspirant dictateur à l’aube de la campagne des législatives.

LES ADULTES VACCINES MALGRÉ EUX EN PAIENT LES CONSÉQUENCES ET METTENT EN DANGER LA VIE D’AUTRUI DANS CERTAINS MÉTIERS

Les alertes des pilotes se multiplient dans le silence assourdissant des médias, mais combien de temps vont-ils oser encore prendre l’avion eux-mêmes ?
Selon une lettre de l’organisation californienne Advocates for Citizens’ Rights
Les obligations de vaccination contre la COVID-19 pour les pilotes violent les réglementations fédérales et mettent les pilotes et les passagers en danger. Le groupe a cité plusieurs cas de pilotes handicapés ou mourants après le vaccin.

La lettre, récemment rendue publique, a été remise en main propre en décembre 2021 à l’ancien directeur de la Federal Aviation Administration (FAA), au département des Transports des États-Unis, au ministère américain de la Justice (DOJ), ainsi qu’aux PDG et conseillers juridiques des principaux transporteurs aériens américains (American Airlines, Alaska Airlines, Delta Airlines, Southwest Airlines et United Airlines).

Il comprend des données montrant que les pilotes de l’industrie de l’aviation — y compris les pilotes commerciaux, militaires et de l’aviation générale — font face à des risques accrus pour la santé liés aux vaccins en raison de la nature unique de leur profession.

La lettre indique également qu’un nombre important de complications causées par les vaccins et d’effets indésirables impliquant des pilotes ont été enregistrés et, dans certains cas, ont forcé les pilotes à cesser de voler.

La lettre affirme :

Les règlements fédéraux qui interdisent aux pilotes qui ont reçu des produits médicaux non approuvés par la FDA, tels que les vaccins contre la COVID, de voler sont violés.
Les pilotes vaccinés volent potentiellement avec des problèmes de santé induits par les vaccins qui peuvent être exacerbés par le vol à haute altitude, dont des problèmes cardiaques et de coagulation du sang, ce qui pourrait entraîner un accident vasculaire cérébral ou un arrêt cardiaque.

Certains pilotes ont subi des décès et des blessures graves à la suite de la vaccination contre la COVID.
Le gouvernement fédéral est conscient des problèmes associés aux vaccins, d’après les plaintes déposées auprès des organismes gouvernementaux.
Les risques pour la santé des pilotes liés aux vaccins peuvent entraîner un événement catastrophique tel qu’un accident d’avion, avec de multiples décès et des responsabilités juridiques et monétaires importantes pour le gouvernement, les assureurs et les compagnies aériennes.
« Notre gouvernement a une longue histoire, même avec les approbations et les lancements de produits […] de se tromper », a déclaré Dundas. « Témoin de la thalidomide, du DDT, de toutes sortes de choses comme ça. »(…)

LES ENFANTS SONT MENACÉS DE VACCINATION OBLIGATOIRE

Et pourtant ils ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas le virus.

Message lu sur un réseau social :
Je souhaite alerter sur les 12 millions de doses pédiatriques Pfizer reçues officiellement par le gouvernement français dans un silence assourdissant, discrètement, pendant la campagne électorale. Vous pouvez vérifier vous-même :

https://data.gouv.fr dans le champ de recherche en haut à droite, tapez « livraison » puis validez. Choisissez la 1ère réponse puis la vaccination.

Faites défiler jusqu’au fichier » flux-total-nat.csv ». Visualisez et constatez que la colonne de droite : le nombre de doses reçues entre le 6 février et le 24 avril est de 9 millions avec en totalité 12 millions.
Merci de relayer un maximum pour nos loulous ».

Oui les maîtres du monde rêvent depuis longtemps d’empêcher la population de penser…

Certains ont retrouvé les écrits de Steiner : Rudolf Steiner (1861-1925)
« Dans l’avenir, nous éliminerons l’âme avec la médecine. Sous le prétexte d’un “point de vue de santé”, il y aura un vaccin par lequel le corps humain sera traité dès que possible directement à la naissance, afin que l’être humain ne puisse pas développer la pensée de l’existence de l’âme et de l’Esprit. 

Aux médecins matérialistes, sera confiée la tâche de retirer l’âme de l’humanité. Comme aujourd’hui, les gens sont vaccinés contre cette maladie ou cette autre maladie, donc à l’avenir, les enfants seront vaccinés avec une substance qui peut être produite précisément de telle manière que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés contre la “folie” de la vie spirituelle. Ils seront extrêmement intelligents, mais ils ne développeront pas de conscience, et c’est le véritable objectif de certains cercles matérialistes.

Avec un tel vaccin, vous pouvez facilement libérer le corps éthérique dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l’univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable, et l’homme deviendrait un automate, car le corps physique de l’homme doit être relié sur cette Terre par la volonté spirituelle. Ainsi, le vaccin devient une sorte de force ahrimanique [NDLR : dérivé de Ahriman] ; l’homme ne pourra plus se débarrasser d’un sentiment matérialiste profond. Il devient matérialiste dès la constitution et ne peut plus s’élever vers le spirituel. »

Rudolf Steiner (1861-1925)

Effets secondaires multiples

Nous avons colligé à de nombreuses reprises les effets secondaires reconnus par les banques de données américaines, britanniques et européennes et surveillé l’inexorable montée des complications et même des décès. Avec le recul, des effets délétères plus discrets au début apparaissent.

Dr Alexandra Henrion Caude :

« Nous avons de quoi nous inquiéter… Oui, il y a une possibilité que les vaccins altèrent la fertilité de nos garçons ! En France, on ne parle même pas des troubles menstruels chez nos filles… »

Voir les effets dans l’article récent du 23 avril LA FIN DU VACCIN PFIZER ANNONCÉE ?
Et le diaporama de début mars 2022 qui met en évidence la mortalité augmentée chez les 15 — 19 ans en Angleterre.
Ne vous laissez pas prendre à la propagande qui recommence avec la multiplication des tentes à tests covid qui réapparaissent.

OUI avec la réélection de Emmanuel Macron la propagande covidiste va reprendre plus que jamais d’autant que les accidents liés à l’injection apparaissent de plus en plus au grand jour, l’urgence pour les macronistes est de faire injecter rapidement les vax commandés… alors même que tous les experts reconnaissent qu’ils sont inefficaces sur la contagion, inefficaces sur la transmission et que le covid infantile est trois fois moins mortel que la grippe saisonnière.
Donc comme le dit fort justement un correspondant, Macron réélu, la propagande covidiste va reprendre avec à la clef la vaccination obligatoire et le passe vaccinal couplé à l’identité numérique sans lequel progressivement toute vie sociale sera interdite comme en Chine.

« Pour tenter d’en limiter l’impact, il nous incombe à tous d’informer sans relâche le plus de gens possible autour de nous que les seuls critères d’une épidémie c’est le nombre de malades et le nombre de morts (L.Toubiana) et que les vrais chiffres du covid sont publiés chaque semaine sur le site de l’IRSAN
https://covid.irsan.eu (Tableau de bord)

Cette semaine, le nombre de “malades” covid était de 46 pour 100 000 habitants (taux d’incidence obtenu par la moyenne des relevés du Réseau sentinelles et de SOS médecins). »

J H

Il est temps de sortir de la PEUR par une psychothérapie collective ! vax, non vax et votants de tous bords pour sauver nos enfants ! Unissons-nous !




Pourquoi l’intervention de la Russie en Ukraine est légale au regard du droit international. La Russie a exercé son droit de légitime défense

[Source : guyboulianne.com]

Je partage ci-dessous un article écrit par Daniel Kovalik, et qui fut publié à l’origine sur le site Web de Russia Today le 23 avril 2022. Daniel Kovalik enseigne les droits humains internationaux à la faculté de droit de l’Université de Pittsburgh et il est l’auteur du livre intitulé : « No More War: How the West Violates International Law by Using ‘Humanitarian’ Intervention to Advance Economic and Strategic Interests ».

Guy Boulianne


Pendant de nombreuses années, j’ai étudié et beaucoup réfléchi à l’interdiction de la Charte des Nations Unies contre la guerre d’agression. Personne ne peut sérieusement douter que l’objectif principal du document — rédigé et approuvé dans la foulée des horreurs de la Seconde Guerre mondiale — était et est d’empêcher la guerre et de « maintenir la paix et la sécurité internationales », une phrase répétée tout au long.

Comme l’ont conclu à juste titre les juges de Nuremberg : 

« Initier une guerre d’agression… n’est pas seulement un crime international ; c’est le crime international suprême qui ne diffère des autres crimes de guerre qu’en ce qu’il contient en lui-même le mal accumulé de l’ensemble. C’est-à-dire que la guerre est le crime suprême parce que tous les maux que nous abhorrons tant — génocide, crimes contre l’humanité, etc. — sont les fruits terribles de l’arbre de la guerre. »

À la lumière de ce qui précède, j’ai passé toute ma vie d’adulte à m’opposer à la guerre et à l’intervention étrangère. Bien sûr, en tant qu’Américain, j’ai eu amplement l’occasion de le faire étant donné que les États-Unis sont, comme l’a déclaré Martin Luther King« le plus grand pourvoyeur de violence au monde ». De même, Jimmy Carter a récemment déclaré que les États-Unis étaient « la nation la plus belliqueuse de l’histoire du monde ». C’est manifestement vrai, bien sûr. Au cours de ma seule vie, les États-Unis ont mené des guerres agressives et non provoquées contre des pays tels que le Vietnam, la Grenade, le Panama, l’ex-Yougoslavie, l’Irak (deux fois), l’Afghanistan, la Libye et la Somalie. Et cela ne compte même pas les nombreuses guerres par procuration que les États-Unis ont menées via des substituts (par exemple, à travers les Contras au Nicaragua, divers groupes djihadistes en Syrie, et à travers l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis dans la guerre en cours contre le Yémen).

En effet, à travers de telles guerres, les États-Unis ont fait plus, et intentionnellement, que n’importe quelle nation sur terre pour saper les piliers juridiques interdisant la guerre. C’est en réaction à cela, et avec le désir exprès d’essayer de sauver ce qui reste des interdictions légales de la Charte des Nations Unies contre la guerre d’agression, qu’un certain nombre de nations, dont la Russie et la Chine, ont fondé le Groupe d’amis pour la défense de la Charte des Nations Unies.

En bref, pour les États-Unis, se plaindre de l’invasion de l’Ukraine par la Russie en tant que violation du droit international est, au mieux, l’hôpital qui se moque de la charité. Pourtant, le fait que les États-Unis soient si manifestement hypocrites à cet égard ne signifie pas nécessairement que Washington a automatiquement tort. En fin de compte, nous devons analyser la conduite de la Russie selon ses propres mérites.

Il faut commencer cette discussion en acceptant le fait qu’il y avait déjà une guerre en Ukraine pendant les huit années précédant l’incursion militaire russe en février 2022. Et, cette guerre du gouvernement de Kiev contre les peuples russophones du Donbass — une guerre qui a coûté la vie à environ 14 000 personnes, dont beaucoup d’enfants, et déplacé environ 1,5 million d’autres avant même l’opération militaire russe — a sans doute été génocidaire. C’est-à-dire que le gouvernement de Kiev, et en particulier ses bataillons néo-nazis, ont mené des attaques contre ces peuples avec l’intention de détruire, au moins en partie, les Russes de souche précisément en raison de leur appartenance ethnique.

Alors que le gouvernement américain et les médias s’efforcent d’obscurcir ces faits, ils sont indéniables et ont en effet été rapportés par la presse occidentale grand public avant qu’il ne devienne gênant de le faire. Ainsi, un commentaire diffusé par Reuters en 2018 expose clairement comment les bataillons néo-nazis ont été intégrés dans les forces militaires et policières ukrainiennes officielles, et sont ainsi des acteurs étatiques, ou du moins quasi-étatiques, pour lesquels le gouvernement ukrainien porte la responsabilité légale. Comme le rapporte l’article, il y a une trentaine de groupes d’extrême droite opérant en Ukraine, qui « ont été officiellement intégrés dans les forces armées ukrainiennes », et que « les plus extrémistes parmi ces groupes promeuvent une idéologie intolérante et illibérale… »

Autrement dit, ils possèdent et promeuvent la haine envers les Russes de souche, les Roms et les membres de la communauté LGBT également, et ils mettent en pratique cette haine en attaquant, tuant et déplaçant ces personnes. L’article cite le groupe occidental de défense des droits de l’homme Freedom House pour la proposition selon laquelle « une augmentation du discours patriotique soutenant l’Ukraine dans son conflit avec la Russie a coïncidé avec une augmentation apparente des discours de haine publics, parfois de la part de fonctionnaires et amplifiés par les médias, comme ainsi que la violence envers les groupes vulnérables tels que la communauté LGBT ». Et cela s’est accompagné de violences réelles. Par exemple :

« Azov et d’autres milices ont attaqué des manifestations antifascistes, des réunions du conseil municipal, des médias, des expositions d’art, des étudiants étrangers et des Roms ».

Comme l’a rapporté Newsweek, Amnesty International avait rendu compte de ces mêmes groupes haineux extrémistes et des activités violentes qui les accompagnaient dès 2014.

C’est précisément ce type de preuve — discours de haine public combiné à des attaques systémiques à grande échelle contre les cibles du discours — qui a été utilisé pour condamner des individus pour génocide, par exemple dans l’affaire du génocide rwandais contre Jean-Paul Akayesu.

Pour ajouter à cela, il y a bien plus de 500 000 habitants de la région ukrainienne du Donbass qui sont également citoyens russes. Bien que cette estimation ait été faite en avril 2021, après que le décret de Vladimir Poutine de 2019 ait simplifié le processus d’obtention de la citoyenneté russe pour les résidents des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, cela signifie que les citoyens russes ont été victimes d’attaques racialisées par des groupes néonazis intégrés dans le gouvernement de l’Ukraine, et juste à la frontière de la Russie.

Et de peur que la Russie ne soit incertaine des intentions du gouvernement ukrainien concernant les ethnies russes du Donbass, le gouvernement de Kiev a adopté de nouvelles lois linguistiques en 2019 qui indiquaient clairement que les russophones étaient au mieux des citoyens de seconde classe. En effet, Human Rights Watch (HRW), généralement pro-occidental, s’est alarmé de ces lois. Comme l’a expliqué HRW dans un rapport du début de 2022 qui n’a reçu pratiquement aucune couverture dans les médias occidentaux, le gouvernement de Kiev a adopté une loi qui « oblige les médias imprimés enregistrés en Ukraine à publier en ukrainien. Les publications dans d’autres langues doivent également être accompagnées d’une version ukrainienne, équivalente en contenu, volume et mode d’impression. De plus, les lieux de distribution tels que les kiosques à journaux doivent avoir au moins la moitié de leur contenu en ukrainien. »

Et, selon HRW : 

« L’article 25, concernant la presse écrite, fait des exceptions pour certaines langues minoritaires, l’anglais et les langues officielles de l’UE, mais pas pour le russe » (soulignement ajouté), la justification étant « le siècle de l’oppression de … l’ukrainien au profit du russe ». Comme l’a expliqué HRW, « on se demande si les garanties pour les langues minoritaires sont suffisantes. La Commission de Venise, le principal organe consultatif du Conseil de l’Europe sur les questions constitutionnelles, a déclaré que plusieurs articles de la loi, dont l’article 25, «n’ont pas réussi à trouver un juste équilibre» entre la promotion de la langue ukrainienne et la sauvegarde des droits linguistiques des minorités. ».

Une telle législation n’a fait que souligner la volonté du gouvernement ukrainien de détruire la culture, sinon l’existence même, des Russes de souche en Ukraine.

De plus, comme l’a rapporté l’Organisation de la paix mondiale en 2021:

« Selon le décret du Conseil de la sécurité nationale et de la défense de l’Ukraine no. 117/2021, l’Ukraine s’est engagée à mettre toutes les options sur la table pour reprendre le contrôle de la région de Crimée annexée par la Russie. Signé le 24 mars, le président Zelensky a engagé le pays à poursuivre des stratégies qui . . . “préparera et mettra en œuvre des mesures pour assurer la désoccupation et la réintégration de la péninsule”. » 

Étant donné que les habitants de la Crimée, dont la plupart sont des Russes de souche, sont assez satisfaits de l’état actuel des choses sous la gouvernance russe — ceci, selon à un rapport du Washington Post de 2020 — la menace de Zelensky à cet égard n’était pas seulement une menace contre la Russie elle-même, mais aussi une menace d’effusion de sang potentiellement massive contre un peuple qui ne veut pas retourner en Ukraine.

Sans plus, cette situation représente un cas beaucoup plus convaincant pour justifier l’intervention russe en vertu de la doctrine de la responsabilité de protéger (R2P) qui a été préconisée par des « humanitaires » occidentaux tels que Hillary Clinton, Samantha Power et Susan Rice, et sur laquelle on s’est appuyé pour justifier les interventions de l’OTAN dans des pays comme l’ex-Yougoslavie et la Libye. Et de plus, aucun des États impliqués dans ces interventions ne pourrait prétendre à la légitime défense. C’est particulièrement le cas des États-Unis, qui envoient des forces à des milliers de kilomètres pour larguer des bombes sur des terres lointaines.

En effet, cela rappelle les mots du grand intellectuel palestinien, Edward Saïd, qui affirmait il y a des années dans son ouvrage influent, « Culture and Imperialism » (Culture et impérialisme), qu’il est tout simplement injuste d’essayer de comparer la construction de l’empire de la Russie à celle de l’ouest. Comme l’a expliqué le Dr Said :

 « La Russie… a acquis ses territoires impériaux presque exclusivement par contiguïté. Contrairement à la Grande-Bretagne et à la France, qui ont sauté des milliers de kilomètres au-delà de leurs propres frontières vers d’autres continents, la Russie s’est déplacée pour avaler toutes les terres ou tous les peuples qui se trouvaient à côté de ses frontières… mais dans les cas anglais et français, la simple distance des territoires attractifs a appelé la projection des intérêts lointains… » 

Cette observation s’applique doublement aux États-Unis.

Pourtant, il y a plus à considérer en ce qui concerne les justifications revendiquées par la Russie pour l’intervention. Ainsi, non seulement il y a des groupes radicaux à sa frontière qui attaquent les Russes ethniques, y compris les citoyens russes, mais aussi, ces groupes auraient été financés et entraînés par les États-Unis avec l’intention même de déstabiliser et de saper l’intégrité territoriale de la Russie elle-même.

Comme Yahoo News! l’a expliqué dans un article de janvier 2022 :

La CIA supervise un programme secret de formation intensive aux États-Unis pour les forces d’opérations spéciales ukrainiennes d’élite et d’autres membres du personnel du renseignement, selon cinq anciens responsables du renseignement et de la sécurité nationale familiers avec l’initiative. Le programme, qui a débuté en 2015, est basé dans une installation non divulguée dans le sud des États-Unis, selon certains de ces responsables. Le programme a impliqué « une formation très spécifique sur les compétences qui amélioreraient » la « capacité des Ukrainiens à repousser les Russes », a déclaré l’ancien haut responsable du renseignement. L’entraînement, qui comprenait des « trucs tactiques », « va commencer à avoir l’air assez offensant si les Russes envahissent l’Ukraine », a déclaré l’ancien responsable. Une personne familière avec le programme l’a dit plus crûment. « Les États-Unis forment une insurrection », a déclaré un ancien responsable de la CIA, ajoutant que le programme avait appris aux Ukrainiens comment « tuer des Russes ».

Pour lever tout doute sur le fait que la déstabilisation de la Russie elle-même a été l’objectif des États-Unis dans ces efforts, il convient d’examiner le rapport très révélateur de 2019 de la Rand Corporation — une entreprise de défense de longue date appelé à conseiller les États-Unis sur la manière de mener à bien ses objectifs politiques. Dans ce rapport, intitulé « Overextending and Unbalancing Russia, Assessing the Impact of Cost-Imposing Options », l’une des nombreuses tactiques énumérées est de « fournir une aide létale à l’Ukraine » afin « d’exploiter le plus grand point de vulnérabilité externe de la Russie ».

En bref, il ne fait aucun doute que la Russie a été menacée, et de manière assez profonde, par des efforts concrets de déstabilisation de la part des États-Unis, de l’OTAN et de leurs substituts extrémistes en Ukraine. La Russie est ainsi menacée depuis huit ans. Et la Russie a été témoin de ce que ces efforts de déstabilisation ont signifié pour d’autres pays, de l’Irak à l’Afghanistan en passant par la Syrie et la Libye — c’est-à-dire un anéantissement presque total du pays en tant qu’État-nation fonctionnel.

Il est difficile de concevoir un cas plus pressant pour la nécessité d’agir pour la défense de la nation. Si la Charte des Nations Unies interdit les actes de guerre unilatéraux, elle prévoit également, à l’article 51, que « rien dans la présente Charte ne portera atteinte au droit naturel de légitime défense individuelle ou collective… » Et ce droit de légitime défense a été interprété comme permettant aux pays de répondre, non seulement aux attaques armées réelles, mais aussi à la menace d’une attaque imminente.

À la lumière de ce qui précède, j’estime que ce droit a été activé en l’espèce et que la Russie avait le droit d’agir en état de légitime défense en intervenant en Ukraine, qui était devenue un mandataire des États-Unis et de l’OTAN. pour un assaut — non seulement contre les ethnies russes en Ukraine — mais aussi contre la Russie elle-même. Une conclusion contraire ignorerait simplement les terribles réalités auxquelles la Russie est confrontée.




France — Encore un médecin attaqué par le Conseil de l’Ordre

[Source : Boite à image de Greg (Grégory Pamart)]

Par Dr Grégory Pamart

Aujourd’hui un témoignage et une demande.

Un témoignage, qui date de mi décembre. Un vendredi soir alors que je rêvais de me poser avec un bouquin devant la cheminée, je reçois l’appel d’une amie infirmière. Un de ses patients, fragiles, a la covid depuis 8 jours. Il est mal en point, essoufflé. Il n’a plus confiance dans les hôpitaux. Son médecin est passé et lui dit qu’il lui fallait de l’oxygène, mais qu’il ne lui donnerai pas parce que c’est… Trop de paperasse.

Personne ne peut venir le voir ce soir là. Il refuse d’aller aux urgences. Après un échange téléphonique, j’accepte de me rendre auprès de ce patient, je prends la voiture, fait 45 min pour aller le voir. Sur place je fais ce qu’il faut, ce que j’ai appris à faire pendant des mois auprès de mes propres patients avant d’être suspendu le 15 septembre. Tout cela je le fais gratuitement, avec le sentiment d’avoir fait mon devoir. Avec la joie de servir mon frère souffrant.

Tout se passe correctement pour ce patient. 3 jours plus tard il accepte même de se rendre à l’hôpital à ma demande pour faire un examen. Lui qui n’avait plus confiance reprend confiance dans la médecine. Aujourd’hui il va très bien.

Sauf que… Un signalement anonyme arrive au Conseil de l’Ordre, avec mon ordonnance. Je suis reçu par deux confrères à qui j’explique toute cette histoire, à qui j’explique que je n’ai rien fait d’autre que mon devoir, que porter assistance à une personne en danger. Et aujourd’hui, je reçois un recommandé m’informant que le Conseil départemental de l’Ordre des Médecin du Nord me défère devant la chambre disciplinaire.

Je ne regrette rien de ce que j’ai fait. J’ai soigné, j’ai servi, j’ai fait ce que j’ai choisi de faire en devenant médecin. Je sais cependant qu’ils ne s’arrêteront pas, qu’ils n’acceptent pas qu’on puisse être libre, in-suborné. Peut-être qu’ils réussiront à me radier. Peut-être que je ne pourrais plus exercer en tant que médecin. Je suis même déjà un peu résigné. Mais je suis toujours révolté par cette injustice. J’ai soigné un homme que son médecin refusait de soigner. J’ai rendu à cet homme confiance dans le système médical. Mon action lui a peut-être sauvé la vie… Et on me le compte comme une faute !

J’en arrive à ma demande. J’ai besoin qu’un maximum de gens relaie mon message, si vous êtes révoltés comme moi, transmettez cette vidéo, j’ai besoin de vos contacts presse, adressez mon message à vos amis, vos proches, aux influenceurs que vous connaissez. J’ai besoin de faire un maximum de bruit. J’ai besoin que les gens sachent que l’ordre des médecins du nord reproche à un médecin suspendu d’avoir soigné gratuitement un patient covid. J’ai besoin que l’opinion publique rappelle à l’ordre des médecins qu’on ne peut pas opprimer indéfiniment la justice.

Merci.

Vidéo témoignage sur : https://youtu.be/NnIbIEFd37Y

Je suis joignable sur :
DrPamart@laposte.net
https://www.linkedin.com/in/gregory-pamart
https://twitter.com/GregoryPamart




Le zéro Covid à Shanghai, l’autre nom du krach mondial

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Lalaina Andriamparany

Confrontée à une [NDLR : supposée ou prétendue] vague virulente d’Omicron, la Chine a opté pour la fermeture totale de la ville de Shanghai. Cela a accentué le blocage des chaînes d’approvisionnement mondiales. Les navires sont effectivement bloqués dans le port de Shanghai.

La Chine, un des derniers pays à imposer la politique de zéro Covid, a mis en vigueur des restrictions strictes. Mais la mise en place de cette politique sanitaire draconienne a un réel impact sur les chaînes d’approvisionnement internationales. Cette stratégie imposée par Pékin menace les marchés nationaux, voire mondiaux.

20 % des porte-conteneurs actifs bloqués

Depuis près de 4 semaines, la seconde ville du pays, Shanghai, a recensé plus de 35 000 cas d’infection. Près de 25 millions habitants sont soumis à un confinement massif, et sont bloqués chez eux.

Cette mesure de confinement strict a généré une forte perturbation de la chaîne d’approvisionnement mondiale. Notons que Shanghai abrite le plus grand port du monde en termes de tonnage. Actuellement, il est encombré et sur les quais, les conteneurs s’entassent. On assiste à un « bouchon portuaire » faute d’employés portuaires.

D’après la société d’analyse du transport maritime Windward, 20 % des 9 000 porte-conteneurs actifs sont bloqués au large des côtes de la Chine. Au 19 avril, 506 navires sont en attente d’un espace d’accostage en Chine selon Windward.

Retard d’expédition des conteneurs

Le confinement drastique de Shanghai engendre un problème de fonctionnement au port, même si les autorités portuaires de la mégapole chinoise affirment le contraire. Ces dernières ont déclaré le maintien du personnel sur place. Pourtant, les données fournies par des sociétés d’analyses du transport maritime montrent un manque cruel de personnels en service.

Ce manque de travailleurs est à l’origine de l’embouteillage dans les ports et des encombrements aux quais. Il a aussi retardé le déchargement et l’embarcation des conteneurs d’expédition. En ajout à tout cela, les restrictions sanitaires en vigueur à Shanghai ont perturbé la circulation des camionneurs transfrontaliers.

En somme, la stratégie « zéro Covid » adoptée par Pékin engendre de nombreuses perturbations, étant donné que la circulation des personnes et l’approvisionnement en termes de produits sont restreints.

Liang Yan, professeur d’économie à l’Université Willamette, prévient sur South China Morning Post que « ce confinement généralisé va porter préjudice à la production et aux activités économiques. Il va siphonner tout l’intérêt que portent les entreprises étrangères pour la Chine », et d’ajouter que « ces perturbations du transport et de la chaîne d’approvisionnement vont alimenter les problèmes déjà existants aux États-Unis et en Europe. »




France — Élection présidentielle 2022 * Recours pour fraude

[Source : Ciel Voilé]

Au regard des interrogations légitimes que se posent des millions de Français, après avoir constaté lors de la soirée électorale sur France 2, de graves dysfonctionnements, en l’occurrence plus d’un million de votes ont disparu.

Pour permettre le rétablissement de la vérité et le respect du choix des Français, notre ami Morad El Hattab, « le Président des enfants », a décidé de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel en créant un « Collectif Anti-fraude », qui sera représenté par Me Carlo Brusa et Me Maud Marian.

Saisissons cette chance pour dénoncer cette fraude et annuler cette élection.

Le mandat rempli est à envoyer à :

fraudelection2204@gmail.com

NB : ouvert aux détenteurs d’une carte d’électeur française 





Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »

[Source : guyboulianne.com]

Message de Mgr Carlo Maria Viganò au Rallye Rewaken America qui a eu lieu le 2 avril 2022 à Salem, Oregon (États-Unis). Ce rallye fut organisé par Clay Clark, le général Michael Flynn, Eric Trump et d'autres personnalités notables. Voyez le conférence intégrale.

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RALLYE RÉVEILLER L’AMÉRIQUE

Salem, Oregon, 2 avril 2022

Loué soit Jésus-Christ. Chers amis, le général Michael Flynn m’a demandé de parler avec un message pour votre rassemblement. J’ai accepté sa proposition avec joie, car je souhaite vous saluer et vous encourager dans ce réveil des consciences. Si vous vous réveillez, c’est parce que jusqu’à présent quelqu’un vous a forcé à dormir, vous a drogué et vous a distrait de ce qu’il complotait, afin de continuer sans être dérangé dans son action criminelle. Mais le sommeil des Américains et de tous les peuples n’a que trop duré : c’est maintenant le moment d’ouvrir les yeux, de se réveiller, et de comprendre ce qui s’est passé et ce qui se passe. C’est le moment d’agir.

La menace d’une troisième guerre mondiale pèse sur nous tous. Ils nous ont dit que le président Poutine avait envahi l’Ukraine pour soutenir ses ambitions expansionnistes, mais en réalité, le but principal de l’opération militaire russe est d’empêcher l’agression de l’État profond et de l’OTAN. Poutine se bat contre la même élite mondialiste qui nous tient tous en otage. Le 6 mars, l’ambassadeur de Russie à l’ONU a dénoncé ce que vous prônez depuis deux ans : il a déclaré que Donald Trump est le président légitime des États-Unis, et que l’élection a été falsifiée, avec la complicité des nations européennes, en utilisant l’appareil Dominion. Et nous savons que, pour faire avancer l’agenda du Great Reset, il fallait se débarrasser de Trump, qui n’aurait jamais permis ni la farce pandémique, ni l’escalade de la crise russo-ukrainienne.

Ce n’est pas une guerre du peuple ukrainien. Ce n’est pas le peuple ukrainien qui persécute ses frères russes, mais un gouvernement fantoche soutenu par des milices militaires néo-nazies. Un gouvernement corrompu, voulu par la cabale mondialiste, qui se retrouve aujourd’hui avec un président cocaïnomane, un ancien acteur et danseur qui cache des milliards dans des paradis fiscaux alors que la population ukrainienne est parmi les plus pauvres d’Europe.

Ce n’est pas une guerre du peuple russe. Depuis des années, la Fédération de Russie exige le respect de la minorité russophone et la communauté internationale s’est toujours détournée.

Ce n’est pas une guerre des nations européennes. Ce sont les dirigeants de l’Union européenne qui veulent un conflit pour justifier la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation et l’imposition d’un régime dictatorial fait de restrictions à la liberté, d’appauvrissement de la population, d’élimination des petites entreprises, d’imposition d’un régime inhumain et un modèle de vie technocratique, et l’annulation de l’identité des nations, de leur histoire et de leur religion.

Ce n’est pas une guerre des États-Unis. Les Américains se sont battus contre le nazisme, et il est scandaleux qu’aujourd’hui Biden aide un gouvernement qui soutient et collabore avec des groupes extrémistes qui arborent la croix gammée et propagent les idées nazies. C’est l’État profond, avec ses serviteurs désormais infiltrés dans toutes les institutions, qui veut la guerre pour étendre sa domination sur le monde entier sous prétexte « d’exporter la démocratie », alors qu’en réalité il ne pense qu’à vendre des armes, à s’enrichir, et s’appropriant les ressources des pays envahis, semant la destruction et la mort.

Nous ne devrions pas être surpris d’apprendre que le 6 janvier 2021, au Capitole de Washington, des membres du bataillon Azov étaient présents. Les ennemis de l’État n’hésitent pas à s’allier aux criminels de guerre pour accuser leur adversaire politique et accuser le président Trump d’insurrection. Ce seul fait devrait suffire à comprendre leur projet subversif et leur intention de ne reculer devant rien pour le réaliser.

https://youtu.be/7M-wbEjdEl4

Derrière cette guerre, il y a la volonté de détruire l’équilibre international, de forcer les nations européennes à imposer à la Russie des sanctions qui affectent principalement l’Europe, en parfaite harmonie avec les objectifs de la Grande Réinitialisation. La destruction de l’économie des nations qui dépendent du gaz et des matières premières russes entend les contraindre à s’approvisionner depuis les USA (en quantités bien inférieures à leurs besoins et à un prix bien plus élevé), mais surtout elle entend les soumettre et de les réduire en esclavage, comme l’a admis il y a quelque temps la sous-secrétaire d’État aux affaires politiques Victoria Nuland.

Ne nous faisons pas d’illusions : ces serviteurs du Nouvel Ordre Mondial qui ont réussi à occuper les plus hautes fonctions des gouvernements nationaux et des organisations internationales sont nos ennemis : ennemis du bien et ennemis de Dieu. Peu leur importe combien d’entre nous devront mourir des effets du vaccin, de la faim ou des bombes : ils ne s’intéressent qu’au pouvoir, à l’avantage personnel et à l’avantage de leurs maîtres, que personne jusqu’à présent n’a osé incriminer et condamner.

Cette guerre est motivée par le besoin pressant de la famille Biden de dissimuler le complot colossal et les crimes très graves dont Joe et Hunter se sont souillés les mains, ainsi que leurs complices. La nouvelle de leur implication dans la présence de biolaboratoires américains sur le territoire ukrainien cofinancés par Soros, dans l’activité de Burisma, dans le réseau financier d’Obama et des Clinton, confirme un énorme et scandaleux conflit d’intérêts qui en soi devrait nous amener à nous demander : au nom de qui parle Joe Biden ? Parle-t-il pour la défense des intérêts des États-Unis, ou pour cacher les crimes que lui et son fils ont commis ? Parle-t-il en tant que président des États-Unis ou en tant que marionnette entre les mains de l’État profond et de la cabale mondialiste ?

C’est une guerre : oui, une guerre qui a commencé il y a quelque temps, est restée souterraine et s’est manifestée avec la pandémie. C’est une guerre de l’élite contre l’ensemble de l’humanité. C’est une guerre non déclarée, mais qui a déjà fait des millions de victimes par refus de soins et vaccins forcés plus que par les armes. C’est une guerre du Nouvel Ordre Mondial contre vous, contre nous, contre nos enfants, nos valeurs et notre avenir. C’est une guerre des ténèbres contre la lumière. Lux in tenebris lucet, et tenebræ eam non comprehenderunt. La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas comprise, comme nous le dit saint Jean dans l’Évangile (Jean 1:5). Parce que les ténèbres détestent la lumière. La lumière est la vérité ; c’est la clarté; c’est l’honnêteté. La lumière est Christ. Les ténèbres sont des mensonges; c’est la tromperie; c’est un complot. Les ténèbres sont le royaume de Satan.

Que demande la Russie à l’Ukraine ? Reconnaître l’indépendance de la Crimée, garantir les droits de Donetsk et de Lougansk, réprimer les mouvements néo-nazis et rester neutre. Ce sont des choses que l’ONU devrait exiger en premier. Et Zelensky lui-même, sous la pression des forces militaires de Poutine, a déclaré qu’il était prêt à négocier des conditions de paix. Mais Biden ne le veut pas, et il force Zelensky à résister, poussant les nations européennes à envoyer des armes et des troupes, et menaçant – dans un délire fou – une intervention préventive avec des armes nucléaires.

Ce conflit n’aurait jamais dû commencer, si la paix avait vraiment été voulue. Mais comme Joe Biden l’a admis il y a quelques jours, la guerre « est une opportunité », tout comme l’était la pandémie. Et tandis qu’ils nous annoncent calmement que nous devrons bientôt faire face à une urgence alimentaire, leurs complices s’apprêtent à tirer profit de la vente de blé et de produits agricoles, après avoir passé ces dernières années à prendre possession de millions d’hectares de terres cultivables. Qu’attendent les magistrats pour reconnaître un coup d’État dans ces spéculations criminelles ? Combien de temps encore laisseront-ils ceux qui devraient défendre les intérêts nationaux et promouvoir le bien de leurs citoyens libres de servir leurs propres intérêts ?

Vous vous demandez peut-être pourquoi un évêque parle avec des mots que vous vous attendez à entendre de la part d’un politicien. C’est peut-être parce que les politiciens sont presque tous des serviteurs du système, vendus à la cabale mondialiste, payés par BigPharma, Soros ou l’État profond. Seuls quelques-uns – et vous savez tous qui sont ces quelques-uns, et certains sont ici aujourd’hui – ont eu le courage de dénoncer ce coup d’État mondial, de s’opposer au discours dominant et d’élever la voix contre la violation des droits fondamentaux et des libertés constitutionnelles des citoyens. .

Permettez-moi de vous parler en tant qu’évêque. Je l’ai dénoncé pour la première fois il y a deux ans, mais maintenant l’agression féroce et violente de ces conspirateurs est si évidente qu’ils ne se cachent même plus. C’est une attaque de l’élite qui a pour but la destruction de tout ce qui fait partie de notre identité, de notre culture et de notre Foi. C’est une élite infernale, qui désire la mort et déteste la vie ; qui désirent la maladie et détestent la santé ; qui détestent la paix et désirent la guerre ; une élite qui s’appuie sur le mensonge et déteste la vérité ; une élite qui veut l’esclavage et la tyrannie et déteste la liberté des enfants de Dieu. C’est une élite qui hait Dieu, hait Notre-Seigneur Jésus-Christ et s’est consacrée au service de Satan.

Si vous voulez vraiment vous réveiller, si le grand réveil est ce qui inspire votre protestation, vous devez avoir le courage de regarder la réalité en face, de comprendre que si ces traîtres ont réussi à arriver au pouvoir et peuvent aujourd’hui décider du sort d’individus des nations et du monde entier, c’est parce que nous n’avons pas réagi dès le début face aux premiers signes de leurs plans.

Nous avons toléré la destruction de la famille, nous avons enduré que le vrai Dieu soit mis sur un pied d’égalité avec les idoles, nous avons permis que des milliards d’innocents soient tués par avortement, nous avons permis que nos enfants soient corrompus par l’immoralité, la pornographie, la corruption de la théorie du genre et de l’idéologie LGBT. Nous avons permis à nos dirigeants d’utiliser la liberté non pas pour servir Dieu et le bien commun, mais pour adorer Satan et répandre le péché et le vice. Nous avons cru que si nous laissions les autres libres d’agir contre la loi naturelle et divine, ils nous laisseraient à leur tour libres d’être d’honnêtes et bons citoyens. Nous sommes tombés dans une énorme tromperie, car notre tolérance envers le mal s’est aujourd’hui nécessairement transformée en intolérance de la société envers le bien.

Le moment est venu d’agir. Il faut vraiment tous se réveiller, se relever, et exiger que ceux qui nous gouvernent soient honnêtes, pensent au bien commun, et n’obéissent qu’à Dieu et à ceux qui les ont élus pour aider les citoyens à vivre honnêtement, au lieu de nous voir chaque jour plus humiliés, traités comme des esclaves et forcés d’assister à la destruction de tout ce que nos pères ont laborieusement construit.

Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond ou le Nouvel Ordre Mondial. Parce qu’aucun d’entre nous ne veut de ce nouvel ordre mondial, seuls les quelques-uns qui pensent pouvoir encore nous terroriser avec la pandémie, avec la menace d’une guerre nucléaire, avec l’appauvrissement des nations et avec l’imposition de règles absurdes que personne n’a jamais voulu ou approuvé.

Le moment est venu non seulement de se lever mais aussi de se mettre à genoux : pas comme le fait Black Lives Matter, mais comme le fait tout bon chrétien devant la Majesté de Dieu. A genoux, le Saint Rosaire à la main, priant le Seigneur de nous pardonner nos péchés et les péchés publics des nations, le suppliant d’avoir pitié de nous et lui promettant que nous nous engageons d’abord – nous tous – à vivre comme bons chrétiens, comme patriotes, comme citoyens honnêtes, comme pères et mères de famille responsables, comme enfants obéissants, comme de vaillants soldats.

Le moment est venu de constituer une Alliance anti-mondialiste, un mouvement civil mondial qui donne la parole à la majorité des citoyens, dénonçant le coup d’État en cours, révélant les connivences des puissants, les conflits d’intérêts des lobbies, et les mensonges des grands médias. Cette Alliance doit avoir son propre objectif clair et commun qui réfute l’agenda du mondialisme et lui oppose une proposition concrète, conforme à la loi naturelle, au bien commun et à la bonne gouvernance. Une proposition qui promeut l’harmonie entre les nations et la coexistence pacifique entre les peuples souverains, dont le droit de vivre dans leur propre patrie doit être reconnu, ainsi que leur droit de construire leur propre avenir et leur bien-être sans exploiter les autres et sans être exploités. Une proposition qui donne la centralité à la souveraineté des nations, à la protection de la religion, de la culture et des traditions, à la défense de la vie et de la famille. Une proposition qui brise définitivement les chaînes odieuses de la dictature des idéologies qui, au cours des dernières décennies, nous ont été imposées uniquement pour nous détruire en âme et en corps.

Chers amis, puissiez-vous qui reconnaissez les États-Unis d’Amérique comme une seule nation sous Dieu, ayez le courage et la cohérence de vous opposer de toutes vos forces aux conspirateurs qui se sont infiltrés dans les postes de gouvernement, à tous les gens corrompus qui sont prêts à provoquer un conflit mondial afin d’obéir à leurs maîtres, et à tous les traîtres qui veulent soumettre l’humanité à la tyrannie odieuse de Satan.

Réveillez-vous, chers Américains ! Réveillez-vous et revêtez l’armure de lumière, comme dit saint Paul. N’ayez pas peur de témoigner courageusement de votre foi, de votre amour pour votre patrie, de votre désir légitime d’honnêteté et de bonté, de vérité et de beauté. Si vous savez vous ranger du côté de Christ, sa victoire certaine sera aussi la vôtre.

Que Dieu vous bénisse tous. Que Dieu bénisse et inspire votre réveil avec des objectifs saints. Et que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

2 avril 2022



Macron réélu — « Il va y avoir du sang ! »

[Source : Sud Radio]

Avec Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote et Michel Maffesoli, sociologue, auteur de « L’ère des soulèvements »




Forbes a discuté des spéculations de certains experts : Vladimir Poutine serait secrètement heureux du crépuscule des oligarques juifs

[Source : guyboulianne.com]

Je partage ci-dessous un article écrit par Andrew Joyce, Ph.D., et qui fut publié à l’origine dans le magazine en ligne The Occidental Observer le 22 avril 2022. Andrew Joyce, Ph.D. est un universitaire, conférencier et écrivain possédant une expertise universitaire en immigration, en conflits ethniques et religieux et en philosophie. Personnellement, je vous invite à prendre en considération que je remplace le mot « juif » par le terme « khazar », ce qui est plus approprié selon moi. Je vois aussi des liens avec certains aspects de mon livre « L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique ».

Guy Boulianne


Le sujet des Juifs et de l’argent est controversé et essentiel, mais pas sans ses aspects sombres et comiques. En novembre, j’ai écrit un essai sur la critique de Dracula de Bram Stoker pour ses prétendues qualités antisémites, et j’ai noté l’angoisse d’un universitaire à propos d’une scène dans laquelle Jonathan Harker frappe Dracula avec un couteau, coupant le manteau du vampire et envoyant un flot d’argent au sol. Au lieu de fuir immédiatement, Dracula attrape des poignées d’argent avant de sprinter à travers la pièce. L’universitaire offensée, Sara Libby Robinson, s’est plainte que « cette démonstration de mettre la préservation de son argent sur un pied d’égalité avec la préservation de sa vie montre que les stéréotypes concernant les Juifs et leur argent étaient bien vivants à la fin du XIXe siècle ».

Ceux qui passent suffisamment de temps à observer les Juifs, cependant, sauront que la chose curieuse à leur sujet est que les stéréotypes associés ont une étrange habitude de trouver une confirmation empirique constante. Prenez, par exemple, un récent article de presse soulignant qu’Israël a connu un afflux de réfugiés juifs depuis l’invasion de l’Ukraine par Poutine le 24 février. L’impact est que l’afflux a impliqué beaucoup plus de réfugiés économiques de Russie, qui demandent un allègement des sanctions occidentales et la baisse des valeurs monétaires, que les Juifs ukrainiens cherchant à se protéger de la violence. Confrontés à la guerre, les Juifs « mettent vraiment la préservation de leur argent au même niveau que la préservation de leur vie ». Dans l’une de mes anecdotes préférées sur la crise ukrainienne jusqu’à présent, l’avocat russo-israélien de l’immigration Eli Gervits affirme avoir reçu des milliers d’appels de Juifs russes lançant un appel qu’il appelle SOS : « Sauvez nos économies ». Cette histoire remarquable est emblématique du fait que la guerre de Poutine en Ukraine est un net négatif pour l’oligarchie juive internationale basée en Russie et les réseaux juifs internationaux qui survivent et prospèrent grâce à leur patronage.

La chute de Viatcheslav Moshe Kantor

Peu de choses m’ont remonté le moral ces derniers temps, comme la nouvelle selon laquelle le gouvernement britannique a finalement imposé des sanctions à Moshe Kantor. Milliardaire russe, oligarque pernicieux et ancien président de pas moins que le Congrès juif européen, le Conseil européen sur la tolérance et la réconciliation, la Fondation du Forum mondial de l’Holocauste, le Fonds juif européen et le Conseil politique du Congrès juif mondial, Kantor est la quintessence de l’activiste juif fortement identifié, pleinement engagé dans la promotion des intérêts de son groupe ethnique. Sioniste dévoué, Kantor est citoyen d’Israël, ainsi que de la Russie et du Royaume-Uni. Kantor, avec son curieux mélange de nationalités, n’a pas tant chevauché l’Est et l’Ouest qu’il n’a utilisé le pillage dans le premier pour alimenter l’activisme dans le second. L’un de ses principaux projets ces dernières années a été de faire pression sur l’Union européenne pour de plus grandes restrictions à la liberté individuelle et pour l’imposition d’un vaste appareil draconien pour la protection et l’application du multiculturalisme à travers le continent. Dans son traité « The Manifesto on Secure Tolerance », Kantor écrit avec un flair orwellien que « les restrictions sont nécessaires pour la liberté de vivre une vie en sécurité ». En lisant entre les lignes, le message devient plus clair : « Les restrictions imposées aux Européens sont nécessaires pour que les Juifs puissent vivre une vie en toute sécurité ». Parmi les propositions de Kantor figuraient la création d’un appareil à l’échelle du continent pour la surveillance d’Internet ciblant les opposants au multiculturalisme, la promotion forcée et l’« éducation » sur le multiculturalisme à travers l’Europe, et une augmentation significative des peines de prison pour toutes les infractions contre le culte de la diversité.

Kantor a échappé à la vague de sanctions occidentales contre les élites russes (souvent juives) jusqu’à la semaine dernière, mais a finalement été pris pour cible en raison de son rôle de principal actionnaire de la société d’engrais Acron, qui entretient des liens stratégiques avec le gouvernement russe. Inutile de dire que la sanction d’un autre de leurs oligarques extrêmement influents envoie des ondes de choc dans les institutions juives internationales qui dépendent de la richesse et de l’influence de ces personnalités. Le 6 avril, le Congrès juif européen, le principal véhicule de Kantor pour faire avancer sa guerre contre les libertés européennes, a publié une déclaration soulignant qu’il était

Profondément choqué et consterné par la décision prise aujourd’hui par le gouvernement britannique de sanctionner le Dr Moshe Kantor, président du Congrès juif européen, de la Fondation du Forum mondial de l’Holocauste et du Conseil européen pour la tolérance et la réconciliation. La décision est erronée et n’a aucun fondement factuel ou fondé sur des preuves. Le Dr Kantor est un citoyen britannique qui vit depuis plus de trois décennies en Europe occidentale, dont de nombreuses années au Royaume-Uni. C’est un dirigeant juif de longue date et respecté, qui a consacré sa vie à la sécurité et au bien-être des communautés juives d’Europe et à la lutte contre l’antisémitisme, le racisme et la xénophobie. … Nous appelons à ce que cette décision soit annulée dès que possible.

La déclaration la plus récente publiée par le gouvernement britannique est peu détaillée, déclarant seulement que Kantor sera soumis à un « gel des avoirs ». Étant donné que Kantor possède et passe beaucoup de temps dans un manoir important sur Winnington Road à Londres, où les prix de l’immobilier dépassent en moyenne 8 millions de dollars, ce sera certainement un point sensible pour l’oligarque. Beaucoup plus inquiétant pour Kantor, c’est que l’Union européenne a emboîté le pas quelques jours plus tard, en déclenchant ses propres gels d’avoirs et interdictions de voyager. Ses comptes bancaires, ses maisons et ses autres intérêts économiques à travers le continent ont été bloqués.

La Hongrie et l’Autriche, influencées par les sympathies sionistes, ont toutes deux tenté de sauver Kantor des sanctions, l’envoyé hongrois exprimant « sa surprise face à l’inscription sur la liste noire de quelqu’un qu’il a décrit comme un homme hautement décoré ». Cependant, la stratégie de clôture de Kantor consistant à être un pivot oriental et un prédicateur multiculturaliste occidental a été démolie par le conflit en Ukraine. Comme un jeu de chaises musicales, il constate que la musique s’est arrêtée et qu’il reste debout, les mains pleines d’actifs russes qui étaient autrefois si précieux et essentiels à son pouvoir. Ironiquement, les envoyés de l’Estonie et de la Lituanie, deux pays accusés d’antisémitisme et de fascisme par la Russie, ont exhorté avec succès leurs partenaires à ne pas retirer Kantor, l’un des militants juifs les plus influents d’Europe, de la liste. Et donc le pauvre Moshe, qui a proposé autrefois que les restrictions étaient une voie vers la liberté, devra désormais vivre selon ses propres mots. Alors que ses maisons et ses biens sont saisis par les gouvernements européens, que la valeur de ses entreprises décline et qu’il se retrouve avec moins d’endroits où aller, je ne peux qu’offrir à Moshe l’assurance de son propre dicton :

Des restrictions sont nécessaires pour la liberté de vivre une vie en toute sécurité!

Stadtlans à l’honneur

En tant que chef de tant de groupes et acteur dans tant de hautes sphères, Kantor remplit les qualifications des premiers stadtlan modernes – les Juifs de cour du début de la période moderne qui se vantaient d’une richesse significative et de relations intensives avec les élites non juives. Et il illustre bon nombre des mêmes qualités, agissant toujours dans des rôles d’intercession non élus mais très influents, cherchant à améliorer les avantages tactiques et matériels de sa tribu. Regardez n’importe quel pays important et vous trouverez non seulement une clique juive installée au cœur de son appareil politique, mais souvent aussi un petit nombre d’individus juifs si influents qu’ils peuvent être considérés comme des acteurs politiques à part entière. Ces personnages sont la pointe de la lance de l’activisme juif, et dans le passé, ces hommes et leurs familles ont eu un tel impact sur le cours de l’histoire que leurs noms sont passés dans le langage courant – Rothschild, Schiff, Warburg, et des corollaires plus modernes tels que Soros, Adelson et la constellation de milliardaires juifs infestant l’Ukraine et en orbite autour de Vladimir Poutine.

Pour ces élites juives de l’Est, la guerre en Ukraine a eu le double effet inquiétant d’impacter leurs finances et de rehausser leur visibilité. Petr Aven, Mikhail Fridman, German Kahn, Roman Abramovich, Alexander Klyachin, Yuri Milner, Vadim Moshkovich, Mikhail Prokhorov, Andrey Rappoport, Arkady Rotenberg, Boris Rotenberg, Igor Rotenberg, Viktor Vekselberg, God Nisanov, Oleg Deripaska, Alexander Abramov, Gavril Yushvaev , Zarakh Iliev, Vladimir Yevtushenkov, Arkady Volozh, Eugene Schvidler, Leonid Simanovskiy, Yuri Shefler, Kirill Shamalov, Aleksandr Mamut, Lev Kvetnoy, Yevgeniy Kasperskiy, Yuriy Gushchin, Oleg Boyko, Leonid Boguslavskiy, ne sont que quelques-uns de ceux qui se sont cachés à la vue de tous pendant un certain temps, mais qui se retrouvent non seulement discutés, sanctionnés et mis sur liste noire, mais également regroupés dans des listes qui mettent en évidence les schémas surprenants de leur accumulation de richesse et de leur partenariat ethnique.

En 2018, le département du Trésor américain a publié une liste de Russes qu’ils envisageaient de sanctionner, et la liste a continué de provoquer un malaise dans les cercles juifs. Le Times of Israel a récemment tenté de minimiser la prééminence juive en affirmant qu’« au moins 18 des chiffres sur [la liste du Trésor] sont des oligarques juifs », tout en ajoutant que la liste se compose de 210 noms (ce qui signifie une représentation juive de 8,5 %). Mais ils ne mentionnent pas que le Trésor a séparé leur liste en 114 politiciens et 96 oligarques, et il y a en fait 29 oligarques juifs confirmés dans cette dernière liste, avec deux autres (Aras Algarov et Alisher Usmanov) mariés à des juifs et élevant des enfants juifs. En d’autres termes, au moins 30 % des oligarques les plus influents de Russie sont juifs dans un pays où les juifs représentent environ 0,1 % de la population. On ne peut honnêtement parler des oligarques orientaux sans parler à un certain niveau des Juifs.

Les Juifs milliardaires de Russie sont peut-être presque intouchables, mais ils craignent depuis longtemps que leur judéité ne devienne un sujet de discussion publique. En 1998, l’Irish Times a publié un article décrivant le début de la fin de l’ère Eltsine. Intitulé « La Russie se soumet au règne des sept banquiers », l’article expliquait que la Russie était tombée en grande partie entre les mains de six financiers juifs (Boris Berezovsky, Vladimir Guzinsky, Alexander Smolensky, Mikhail Khodorkovsky, Mikhail Fridman et Vitaly Malkin), et un Gentil symbolique (Vladimir Potanine). La partie la plus intéressante de l’article est la discussion de l’ancienne stratégie juive consistant à utiliser un leader européen pour déguiser la nature juive de la structure du pouvoir :

À l’approche des élections de 1996, les magnats ont contribué des millions de dollars à la campagne de réélection d’Eltsine, sous l’impulsion de Berezovsky, qui s’est vanté plus tard que les sept membres du club contrôlaient la moitié de l’économie russe. C’était une exagération, mais reflétait leur orgueil. Après l’élection, selon plusieurs sources, les magnats se sont rencontrés et ont décidé d’insérer l’un des leurs au gouvernement. Ils ont débattu de qui – et ont choisi Potanine, qui est devenu vice-premier ministre. L’une des raisons pour lesquelles ils ont choisi Potanine était qu’il n’était pas juif, et la plupart d’entre eux le sont. Ils craignaient un retour de bâton contre les banquiers juifs.

Le contrôle croissant de Poutine sur les oligarques juifs

Comme pour Eltsine, les sept banquiers, en particulier Berezovsky, ont d’abord prétendu avoir promu Poutine et insisté sur sa candidature aux postes de Premier ministre et de président. Comme l’a souligné le Guardian en 2013, le défaut fatal de Berezovsky était simple : il a mal interprété Poutine :

Berezovsky a rencontré Poutine au début des années 1990, lorsque l’espion du KGB travaillait pour le maire de Saint-Pétersbourg. Les deux ont socialisé et ont même skié ensemble en Suisse. À la fin des années 1990, Poutine était devenu le chef du FSB, l’agence qui a succédé au KGB. L’entourage d’Eltsine cherchait un successeur au président malade. Ils ont dépêché Berezovsky pour offrir le poste à Poutine – qui est devenu Premier ministre à l’été 1999, succédant à Eltsine en tant que président par intérim six mois plus tard. Berezovsky avait estimé que son ami serait un successeur souple – et que lui, l’ultime initié du Kremlin, continuerait à tirer les ficelles. Il est rapidement devenu évident que Poutine avait sa propre vision de la Russie : un endroit plus sombre, moins démocratique, dans lequel les agences d’espionnage du pays joueraient un rôle d’avant-garde, et avec Poutine aux commandes sans équivoque. Les deux se sont affrontés; Poutine a saisi la chaîne de télévision ORT de Berezovky ; et Berezovsky décampa à Londres. Leur querelle était méchante et conduirait finalement à la mort de Berezovsky à l’âge de 67 ans en exil.

D’autres membres de la Semibankirschina (Sept banquiers) ont été soit exilés, soit mis au pas. Gussinsky a quitté la Russie en 2000 à la suite d’accusations de détournement de fonds. Khodorkovsky a été arrêté par les autorités russes en 2003 et accusé de fraude. Il a purgé 10 ans de prison, au cours desquels sa fortune a été décimée, et il s’est enfui en Suisse puis à Londres à sa libération. Alexander Smolensky a vendu bon nombre de ses actifs, a abaissé son profil et aurait déménagé à Vienne. Vitaly Malkin est devenu un loyaliste extérieur de Poutine, tout en essayant pendant près de 20 ans de déménager au Canada, en investissant des millions à Toronto et en prenant la citoyenneté israélienne. Curieusement, Vladimir Potanine, le seul gentil parmi les Semibankirschina, a le plus prospéré sous Poutine, devenant l’homme le plus riche de Russie.

Mikhail Fridman, né en Ukraine, a suivi une trajectoire plutôt stable, se concentrant sur les questions financières, cultivant une personnalité Est-Ouest depuis son manoir londonien et évitant les affrontements politiques. Cependant, les roues ont récemment commencé à se détacher pour Fridman, grâce au conflit ukrainien et à son désir d’éviter des répercussions financières personnelles. Fridman a été l’un des premiers oligarques à exprimer clairement son opposition à la guerre et, dans une interview ultérieure avec Bloomberg, il a admis que sa déclaration décrivant le conflit comme une tragédie « pourrait rendre dangereux son retour en Russie ». L’interview de Bloomberg met en lumière le choc que Fridman a ressenti en se retrouvant isolé de la sphère occidentale malgré, comme Moshe Kantor, avoir investi des années dans un réseautage minutieux :

Rien de tout cela ne l’a aidé à éviter le sort de certains autres magnats russes. Ses années de réseautage aux États-Unis et en Europe non plus. Le 28 février, son avocat l’a retiré d’une réunion en lui annonçant que l’Union européenne l’avait sanctionné, ainsi que son partenaire commercial de longue date, Petr Aven [également juif], qui dirigeait Alfa-Bank, la plus grande banque privée de Russie et une banque clé du Consortium Alfa Group de Fridman. L’avocat a commencé à débiter ce que cela signifiait : interdictions de voyager, comptes gelés. Fridman pouvait à peine enregistrer les mots. « J’étais sous le choc », me dit-il. « Je n’ai presque pas compris ce qu’il disait. »

Fridman affirme que les sanctions sont politiquement inutiles car les oligarques n’ont aucune influence sur Poutine, seulement des relations d’affaires :

Ce qui est clair pour lui maintenant, dit-il, c’est que l’UE ne comprend pas comment fonctionne réellement le pouvoir en Russie. Si le but des sanctions est de motiver des gens comme lui à faire pression sur Vladimir Poutine, dit-il, c’est pire qu’irréaliste. « Je n’ai jamais été dans une entreprise d’État ou un poste d’État », déclare Fridman. « Si les responsables de l’UE croient qu’à cause des sanctions, je pourrais approcher M. Poutine et lui dire d’arrêter la guerre, et cela fonctionnera, alors j’ai bien peur que nous ayons tous de gros problèmes. Cela signifie que ceux qui prennent cette décision ne comprennent rien au fonctionnement de la Russie. Et c’est dangereux pour l’avenir. »

Les sanctions et autres impacts économiques de la guerre ont déjà anéanti un tiers de la richesse de Fridman, et bien qu’il soit toujours incroyablement riche, il est plus ou moins piégé à Londres et n’a pas accès à de l’argent. Stephanie Baker, interviewant Fridman pour Bloomberg, souligne qu’« il doit maintenant demander une licence pour dépenser de l’argent, et le gouvernement britannique déterminera si toute demande est ‘raisonnable’ ». Les organisations juives d’Ukraine ne cessent de l’appeler pour lui demander des progrès sur un don de 10 millions de dollars qu’il leur a promis mais qu’il ne peut plus honorer. Baker ajoute,

L’argument de Fridman selon lequel il n’est pas en mesure d’exercer une influence sur le Kremlin reflète la façon dont le rôle des milliardaires russes a été renversé depuis les années 1990. À l’époque, Fridman était l’un des sept oligarques d’origine, la semibankirschina. En tant que groupe, ils ont soutenu la campagne de réélection du président Boris Eltsine et ont dominé le Kremlin. Lorsque Poutine est arrivé au pouvoir en 2000, il a imposé son propre modèle : le nouveau pacte était que s’ils restaient en dehors de la politique, ils pouvaient continuer à gérer leurs entreprises. Poutine a détruit les oligarques qui ont violé cet arrangement.

L’incapacité de Fridman à contenir sa frustration face aux sanctions et sa volonté d’exprimer son opposition à la guerre pourraient bien marquer la fin de son implication directe dans la vie russe. Peut-être plus que tout autre oligarque, ses actions ont provoqué le discours désormais tristement célèbre dans lequel Poutine a attaqué les oligarques anti-guerre à la recherche de leurs propres intérêts économiques :

Le peuple russe sera toujours capable de distinguer les vrais patriotes des racailles et des traîtres et les recrachera simplement comme un moucheron qui a accidentellement volé dans leur bouche – les recrache sur le trottoir. … Je suis convaincu qu’une telle auto-épuration naturelle et nécessaire de la société ne fera que renforcer notre pays, notre solidarité, notre cohésion et notre capacité à répondre à tous les défis.

« Une auto-épuration naturelle et nécessaire de la société »

La nouvelle que des milliers de Juifs russes fuient vers Israël pour protéger leur argent, et les signes continus que de nombreux oligarques juifs maintenant hors de Russie pourraient ne jamais revenir, suggèrent que « l’auto-épuration naturelle et nécessaire de la société » de Poutine impliquera une réduction de la présence juive, de la richesse juive et de l’influence juive dans le pays. En plus des oligarques déjà mentionnés, il y a plusieurs milliardaires juifs, dont Boris Mints sur les listes russes les plus recherchées, pour une variété de crimes, y compris le détournement de fonds et la fraude. Leonid Nevzlin, un oligarque juif, ami de l’exilé Khodorkovski et ancien magnat du pétrole qui a fui la Russie en Israël il y a 20 ans afin d’échapper à une peine d’emprisonnement à perpétuité pour meurtre et crimes financiers, a récemment entrepris l’acte symbolique de renoncer à sa citoyenneté russe. Les demandes russes d’extradition de Nevzlin ont été ignorées à plusieurs reprises par Israël. Nevzlin a récemment déclaré à un journaliste : « J’ai été l’un des premiers à être frappé par Poutine. Il a jeté mes amis en prison et en a tué certains. »

L’un des aspects les plus fascinants de la carrière politique de Poutine est qu’elle combine un philosémitisme rhétorique et performatif souvent flamboyant avec des actions qui nuisent ou entravent directement les intérêts juifs. Comme mentionné dans un essai précédent, Poutine est l’un des principaux promoteurs européens du récit de l’Holocauste, mais c’est un récit de l’Holocauste nettement moins utile aux Juifs que la version hollywoodienne/Spielbergienne à laquelle nous sommes si habitués en Occident. C’est un récit de l’Holocauste dépouillé de l’exclusivité juive, imprégné de codes moraux géopolitiques favorables principalement à la Russie, et dirigé sans vergogne par et pour Moscou plutôt que Jérusalem. Dans un autre exemple curieux de rhétorique heurtant la réalité, en 2016, Poutine a invité les Juifs à venir s’installer en masse en Russie, sachant vraisemblablement très bien que des milliers de Juifs quittaient déjà la Russie à un rythme de plus en plus rapide. En 2014, plus du double du nombre de Juifs a quitté la Russie qu’au cours des 16 années précédentes.

L’une des forces de Poutine pour vaincre le pouvoir financier juif au plus haut niveau, ce qu’il a incontestablement fait, pourrait avoir son fondement dans le fait qu’il n’est pas un antisémite au sens classique. Il ne pense peut-être pas en termes raciaux, mais, en tant qu’ancien membre des services secrets, il est parfaitement à l’écoute des cliques, de l’intrigue, de la subversion et des subtilités de l’identité – les caractéristiques habituelles de l’activisme juif dans les cultures européennes. Il apparaît tout à fait capable d’éliminer de telles stratégies lorsqu’il les affronte sur une base individuelle et avec un pouvoir autocratique. Il peut déposer un Berezovsky, par exemple, non pas sur la base de la judéité, mais, néanmoins, sur certains comportements et associations qui sont une excroissance de la judéité. Ils disent qu’une horloge cassée sera toujours juste deux fois par jour, et de la même manière si l’on entreprend d’éliminer les stratégies de groupe opposées, même de manière « race aveugle », alors les confrontations avec les Juifs deviennent inévitables. De cette manière, Poutine est une sorte d’antisémite accidentel, ou plutôt accessoire, qui a dominé ou éliminé les financiers juifs dans son pays d’une manière probablement inédite depuis l’époque des Juifs de cour et la montée de la démocratie parlementaire.

Juifs en tant que bellicistes et pacifistes

Il y a une ironie dans la dernière situation difficile des financiers juifs de Russie étant donné que la guerre, historiquement, a été très bonne pour les Juifs. Pour cette raison, il vaut la peine de rechercher des précédents historiques et des parallèles. Derek Penslar, dans son livre Jewish and the Military (2013) publié à Princeton, souligne que les Juifs sont peut-être connus pour avoir évité le service militaire, mais qu’ils ont été prolifiques en profitant des conflits partout dans le monde :

Les Juifs étaient largement impliqués dans un système bancaire international qui tirait des profits considérables en prêtant des fonds directement aux gouvernements ou en emballant et en vendant la dette publique. Une grande partie de cette activité a eu lieu pendant ou à la suite de guerres. Pendant la guerre civile américaine, la dette du gouvernement de l’Union est passée de 65 millions de dollars à 3 milliards de dollars, soit environ 30 % du produit intérieur brut de l’Union. Une grande partie de cette dette était commercialisée sous la forme d’obligations d’État en petites coupures et achetées par des citoyens ordinaires. Les Rothschild avaient été les pionniers de cette pratique en France dans les années 1830, et le banquier Joseph Seligman l’a reprise aux États-Unis pendant la guerre civile. Après la guerre, les Seligman, ainsi que les banquiers Mayer Lehman et Jacob Schiff, ont énergiquement commercialisé des obligations américaines ainsi que celles des gouvernements des États du Sud à court de liquidités.

C’est Schiff qui a accordé quelque 200 millions de dollars de prêts au Japon pour alimenter ses objectifs expansionnistes en Extrême-Orient contre une Russie tsariste très détestée par les Juifs, et ce sont les Seligman qui « ont encouragé l’intervention des États-Unis » en Colombie en 1903 pour se tailler un Panama quasi indépendant, où les Seligman avaient investi dans des terres le long du futur tracé du canal. L’un des exemples les plus évidents et notoires d’une guerre pour les intérêts juifs est bien sûr la guerre des Boers, 1899-1902. L’Afrique du Sud avait été considérée comme un marigot rural par les Juifs jusqu’à une découverte de diamants en 1884 et la découverte d’or dans le Witwatersrand en 1887. Suite à ces événements, il y eut un afflux substantiel de commerçants juifs, qui devinrent rapidement une clique de millionnaires. Claire Hirschfeld, écrivant dans le Journal of Contemporary History, décrit comment les Juifs « ont pu, en un laps de temps relativement court, créer de puissants syndicats financiers et des empires étendus au sein d’une république boer d’agriculteurs encore accrochés à un style de vie pastoral ». Le pouvoir financier s’est rapidement transformé en un désir de domination politique, ce qui a nécessité le renversement des Boers. Cela nécessiterait l’utilisation de l’armée britannique, et Hirschfeld souligne qu’une grande partie de la fièvre de la guerre a été attisée par une presse britannique dominée par les Juifs : Oppenheim’s Daily News, Marks’ Evening News, Steinkopf’s St. James Gazette, et Levi-Lawson’s Daily Telegraph. L’un des principaux opposants à la guerre était le marxiste anglais Henry M. Hyndman, qui accusait les « seigneurs sémitiques de la presse » de harceler le gouvernement dans une « guerre criminelle d’agression » en Afrique du Sud. Il fut rejoint par le rédacteur en chef du journal Reynolds, W. H. Thompson, qui écrivit au début de la guerre :

Au bas de la guerre se trouvent les syndicats juifs et les millionnaires… comptant les poulets qui vont bientôt éclore. … La Bourse tire les ficelles et le gouvernement danse. Mais derrière la Bourse se cache la sinistre figure du Juif financier qui empêtre peu à peu le monde dans les tréfonds de la toile d’argent que la grande franc-maçonnerie raciale tisse jour et nuit aux quatre coins du globe.

Penslar reconnaît que les Juifs ont travaillé ensemble pour profiter de la guerre, écrivant que « c’est un fait, pas un fantasme antisémite, que les Juifs ont joué un rôle vital dans la coordination de l’allocation des matières premières pendant la Première Guerre mondiale, non seulement en Allemagne mais aussi dans le États-Unis. » Cela impliquait des cliques superposées de Juifs profitant de tous les aspects de la production de guerre.

À l’inverse, les Juifs peuvent basculer l’interrupteur pacifiste lorsqu’il est jugé que la guerre peut nuire à leurs intérêts. Penslar souligne que les Rothschild craignaient en 1914 qu’« une guerre puisse diviser la grande dynastie bancaire », tandis que Max Warburg commençait à vendre à la hâte ses actions dans des sociétés cotées à la bourse de Vienne. Le baron Rothschild a supplié le Times d’atténuer sa rhétorique anti-allemande, seulement pour que l’éditeur rétorque publiquement à cette « sale tentative financière juive allemande de nous intimider pour que nous défendions la neutralité ». Le magnat de la navigation juif allemand Albert Ballin regarda avec découragement sa flotte marchande couler au fond de l’Atlantique.

Conclusion

La guerre actuelle en Ukraine fait plus écho à Ballin qu’à la guerre contre les Boers. Face à l’invasion russe et à l’éternelle question « est-ce bon pour les juifs ? » les oligarques juifs dispersés de Russie répondraient probablement un « non » retentissant. La raison la plus importante serait, bien sûr, la baisse de leur richesse individuelle et collective. Des milliards ont été effacés de leurs comptes, leurs entreprises ont été entravées, leurs déplacements et leur capacité à faire des affaires sont restreints et leur accès à l’argent est limité. La nature de la finance internationale – politiquement, philosophiquement et technologiquement – ​​a évolué à un point tel que la profiterie juive à l’ancienne est plus difficile que jamais. En outre, cela a également rendu le ciblage individuel des financiers dans le contexte d’un conflit et d’une guerre non seulement faisable, mais facile et immédiat.

Les oligarques se retrouvent entre le marteau et l’enclume, considérés avec hostilité et suspicion par l’Occident, malgré des années de promotion de l’Holocauste et de philanthropie juive (comme si cela apportait réellement quelque chose à l’Occident), et de plus en plus éloigné et craintif du Kremlin. Le lieu d’installation naturel pour la plupart d’entre eux est Israël, qui lui-même essaie de cultiver une relation à la fois avec l’Est et l’Ouest, abandonnant l’un et flattant l’autre au gré de ses besoins. Même les Israéliens, cependant, considèrent les oligarques comme « toxiques » et ont été avertis par le gouvernement américain de ne pas prendre « d’argent sale ».

Forbes a discuté des spéculations de certains experts selon lesquelles Poutine est secrètement heureux du crépuscule des oligarques. Les sanctions peuvent les forcer à vendre des actifs qui profitent en fin de compte à ses agences de sécurité. Ou ils peuvent retourner en Russie et être forcés non seulement d’investir dans l’économie russe plutôt que de répandre leur richesse à l’échelle mondiale (comme des empires immobiliers à Londres, des yachts opulents, etc.), mais aussi d’adopter une position encore plus servile sous Poutine. La diminution des oligarques entraînera une vaste diminution des coffres des organisations juives internationales. Un puits financier clé se sera tari. La guerre de Poutine a peut-être insufflé une part de vérité dans une version éditée du dicton de Moshe Kantor : les restrictions imposées aux financiers juifs sont nécessaires pour la liberté de vivre une vie en sécurité.




Ce néo-fascisme qui veut nous faire faire la guerre mondiale

[Transmis par Christine Côte]

Par Fred Boutet

« Le fascisme peut revenir. À condition qu’il s’appelle anti-fascisme » 

Pier Paolo Pasolini

Le vote pour Macron aurait été pour empêcher le fascisme ?
Ce qui se passe, c’est justement l’installation de la pire des dictatures néo-fascistes que l’Europe ait jamais connue. Le programme de « la Macronie » 2022-2027 décrypté par un économiste : réduction des fonctionnaires et des prestations sociales à des niveaux jamais vus auparavant.

https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/economie/cet-economiste-ebranle-tout-le-plateau-de-bfm-business-en-pointant-du-doigt-un-document-transmis-a-l-ue

Moins de fonctionnaires, donc :

  1. McKinsey et compagnie vont faire des rapports et décider de ce qui va se passer en France et en Europe, et
  2. les machines numériques qui vont remplacer les fonctionnaires au contact du public, des millions de gens — y compris professeurs et médecins — vont perdre leur boulot (avec le covid, le diagnostic d’un médecin est remplacé par un test !)

De moins en moins d’emplois (trajectoire unique de la société industrielle),
donc besoin d’aides sociales (RSA, revenu universel),
mais pas « gratuit » : crédit social à la chinoise.
Bref, Macron a le programme d’Hitler : je mets tout le monde au travail. Et lequel de travail ? Ben, combattre la Russie pardi !
La guerre contre un virus n’était qu’un amuse-gueule.

Voici deux lectures importantes :

  • document « La situation s’envenime » (dans les semaines à venir, probablement l’escalade avec les premières frappes russes sur des convois d’armes livrés par l’O.T.A.N. à Zelenski) :
  • Vladimir Poutine qui s’adresse directement à nous, peuples occidentaux :



Si les gens ne veulent pas faire la guerre ? Ben ils auront faim :

Ci-dessous des graphiques, la réalité telle qu’elle est. Rien de plus.