OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail

[Source : MirastNews]

Bienvenue dans le nouveau fascisme médical de 2020. Le New England Journal of Medicine, le même faux chiffon scientifique qui a commis une fraude totale pour étaler [dénigrer] malhonnêtement l’hydroxychloroquine et protéger les intérêts des sociétés de vaccins, dit maintenant que tous les êtres humains doivent être obligés de prendre des mesures obligatoires vaccins. Ceux qui refusent doivent faire face à des sanctions sévères, insiste le NEJM, et des mesures insidieuses doivent être prises pour s’assurer que personne ne peut contester les sanctions devant un tribunal.

Source: Assuring Uptake of Vaccines against SARS-CoV-2, 1 octobre 2020, N Engl J Med 2020; 383: 1296-1299

«[E] En raison de la contagiosité et de la dangerosité du virus, des sanctions relativement importantes pourraient être justifiées, y compris la suspension de l’emploi ou les ordonnances de rester à la maison pour les personnes appartenant à des groupes hautement prioritaires désignés qui refusent la vaccination», indique le journal du NEJM.

Il stipule également que le personnel médical autoritaire doit contourner les procédures régulières afin que personne ne puisse contester ses ordonnances devant un tribunal, déclarant: 

«Ni les amendes ni les sanctions pénales ne devraient être utilisées, cependant … les sanctions pénales invitent à des contestations judiciaires pour des motifs de procédure régulière. [et] peut attiser la méfiance.»

Il poursuit en expliquant que les mandats de vaccination ne devraient pas être promus comme des mandats. Au lieu de cela, ceux qui refusent les vaccins devraient être sévèrement punis afin de forcer les mandats sans jamais le déclarer. «Les mandats [d’états] ne devraient pas être structurés comme une vaccination obligatoire (exigences absolues); au lieu de cela, le non-respect devrait entraîner une pénalité», déclare le journal.

Et puis, incroyablement, le même article continue en affirmant que les autorités sanitaires doivent «renforcer la confiance du public» grâce à un «processus transparent et inclusif», même si le même article a ouvertement affirmé que le public devrait être induit en erreur et contraint à des mandats de vaccination.

À son honneur, le document soutient que les fabricants de vaccins ne devraient plus être impliqués dans l’élaboration de politiques publiques ou la promotion de mandats, car personne ne fait plus confiance aux sociétés de vaccins. (Incroyable à quelle vitesse cela s’est produit, n’est-ce pas?)

Donc, la ligne du bas ici est la suivante:

  • Les autorités sanitaires font pression pour les vaccins obligatoires, mais ils ne les appelleront pas des «mandats».
  • Au lieu de cela, ils vous puniront pour avoir refusé d’accepter leurs mandats, ce qui rendra votre vie misérable.
  • Ils évitent tout mandat qui pourrait être contesté devant un tribunal afin de contourner la procédure régulière.
  • Ils affirment ensuite que c’est ainsi que l’industrie des vaccins peut «établir la confiance» avec le public en prétendant être engagée dans la «transparence».

Grâce aux tyrans de la Covid-19, toute l’idée de «consentement éclairé» est maintenant une histoire ancienne dans l’establishment des sciences médicales. Les promoteurs de vaccins croient qu’ils sont les nouveaux «Judge Dredd» de la société, et ils croient que leurs concoctions expérimentales, aussi risquées ou dangereuses soient-elles, devraient être injectées de force dans tous les êtres humains. Ceux qui résistent devraient être sévèrement punis, affirment-ils, et ils vous puniront d’une manière que vous ne pourrez pas contester devant un tribunal.

Et les faux médias d’information sont à 100% derrière tout cela et vous feront honte si vous ne les suivez pas.

Regardez l’avertissement du Dr Carrie Madej dans une nouvelle interview d’il y a quelques jours:

https://www.brighteon.com/f6465304-2a0f-4e7d-a5ee-f5e4eebc0c4b

En effet, ils déploient un système de «notation du crédit social pour les vaccins» qui exige votre conformité

Ce que vous regardez ici, c’est un système de notation du crédit social pour les vaccins en cours de déploiement à travers l’Amérique, juste sous nos yeux.

Vous ne voulez pas le vaccin? Vous êtes licencié de votre travail.

Vous ne voulez toujours pas la photo? Il vous sera interdit d’entrer dans les épiceries et d’acheter de la nourriture.

Résister aux mandats de vaccination? Les «autorités» de la santé vous enfermeront dans votre propre maison, faisant de vous un prisonnier sans jamais vous entraîner devant un tribunal où vous pourriez être en mesure de vous défendre contre l’emprisonnement.

Il s’agit de la nouvelle tyrannie autoritaire Covid-19/Vaccin, et elle est déployée en ce moment même, juste devant vous, partout en Amérique. New York vient d’annoncer une deuxième vague de lock-out, et personne ne résiste.

Les moutons feront la queue pour l’abattage, et ils ne parleront ni ne résisteront car ils sont saignés à mort au nom du contrôle de la population mondiale. Quiconque est assez stupide pour accepter d’être vacciné est trop stupide pour représenter l’avenir de la race humaine. Ils seront systématiquement abattus avec le vaccin tueur (kill shot). Sinon, comment les mondialistes atteindront-ils leur objectif d’exterminer plus de six milliards d’humains, après tout?

Restez informé et vous pourriez bien rester en vie. Suivez-moi sur http://brighteon.social où plus de 10 000 personnes ont maintenant découvert la liberté de s’exprimer sur les vaccins, la Covid-19, les programmes de dépopulation, les remèdes naturels et plus encore.

Écoutez mon message «Dernier avertissement» ici:

https://www.brighteon.com/d2403723-47f7-4ece-8faa-b3124ca0443e

Mike Adams     

Traduction : MIRASTNEWS

Source [anglaise] : Natural News




Covid-19 — Les articles écrits et publiés par Guy Boulianne depuis le 25 décembre 2019 et avant

[Source : Guy Bouliane]

[Auteur : Guy Bouliane]

J’ai écrit des articles presque quotidiennement concernant la crise de Covid-19 et tous les sujets qui y sont rattachés, par exemple les études scientifiques, les mesures sanitaires, le globalisme, la grande réinitialisation, la vaccination ID2020, le déploiement du réseau 5G, etc. J’ai fait ceci toujours avec l’objectif de bien informer les gens au mieux de mes capacités. Par contre, j’en arrive aujourd’hui à un constat personnel : malgré tous les efforts que les gens investiront à vouloir modifier le cours des événements, rien ne changera puisque cette crise que nous vivons aujourd’hui a été préparée de très longue date par des puissances qui nous dépassent. Rien ne sera fait par l’humain. D’ailleurs, j’avais conclu mon livre, “La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués”, de cette façon :

« La Guerre des mondes de Herbert George Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens sont inconscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie. Les droits et libertés seront bientôt abolis, d’une manière ou d’une autre. Et toute contestation sera futile puisque toute bataille qui se fait à armes inégales est perdue d’avance. » (pp. 458-459)

Certains me croiront bien pessimiste, mais ce n’est pas vraiment le cas. Disons que je crois qu’aucune transformation ne viendra de la part des Humains. Le théologien Saint François de Sales ne disait-il pas lui-même : « Là où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie ». Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les statistiques, malgré toutes les pétitions, les politiciens continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leurs populations.

D’un autre côté, les gens ordinaires n’ont jamais été aussi divisés et méchants les uns envers les autres. Il n’y a qu’à voir ce que l’on fait à nos personnes âgées, retenues dans leurs chambres comme de vulgaires prisonniers. Il n’y a qu’à voir comment certains individus peuvent devenir très agressifs et menaçants contre ceux qui osent contredire leurs visions étroites et leurs certitudes. Les scientifiques partagent leurs études scientifiques, les médecins émettent leurs avis médicaux, et les autorités les bâillonnent, les censurent et les bannissent. Le 26 septembre dernier, le fondateur de l’organisation allemande  ACU2020, Dr Heiko Schöning, a été arrêté à Hyde Park à Londres, et placé dans le fourgon comme un criminel et un scélérat. C’est là où en est rendu notre société dite moderne.

Au Québec, l’Opération psychologique (PsyOp) a pris le dessus. Le discours unique fait force de loi, d’un côté comme de l’autre. L’opposition contrôlée mène les gens vers une acceptation de l’inacceptable, guidés à adopter sournoisement le mondialisme grâce à ce pseudo QAnon dont la devise est WWG1WGA, c’est-à-dire « where we go one, we go all » (où nous allons un, nous allons tous). Plusieurs individus profitent des événements actuels pour devenir les gourous d’une nouvelle secte. Tout ce qui leur importe est de se faire voir et se faire aduler comme étant les nouveaux héros et les libérateurs du peuple. Mais leurs prétentions ne sont pas sincères. Ils entraînent plutôt les gens vers le sectarisme et l’illusoire. Les mouvements populaires naturels sont ainsi récupérés par une petite clique d’individus qui souhaitent obtenir du capital politique et qui songent uniquement à l’avancement de leur carrière.

Mes recherches personnelles m’ont amené depuis longtemps à comprendre que tout combat contre la conspiration mondiale actuelle est futile, puisque nous nous battons « à armes inégales ». Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront pas conçues pour le bien-être de l’humanité.

J’ai donc décidé de prendre un peu de recul et de me recentrer sur des priorités qui sont miennes. Avant qu’il ne soit trop tard, je dois impérativement me concentrer à la rédaction finale de mon prochain livre, « CERN : La porte de l’enfer (La Guerre des mondes est ici, maintenant !) ». Je souhaite aussi réaliser un projet d’écriture qui perdure depuis plus de trente ans et qui gravite autour de ma quête du Saint Graal. Contrairement à cette fumisterie occulte dont nous subissons les assauts actuellement, cette quête est la réalité qui aurait du toujours nous habiter. Le véritable espoir s’y trouve peut-être.

https://youtu.be/cisHqWf83G4?list=PL0ZzLfn9ACdrO1r09qIYgLm_XQf3kMUAo
Le 26 septembre dernier, le fondateur de l’organisation allemande  ACU2020, Dr Heiko Schöning, a été arrêté à Hyde Park à Londres, et placé dans le fourgon comme un criminel et un scélérat.

La liste de mes articles sur le Covid-19

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Les experts prennent la parole

  1. Publié le 18 mai 2020 : Prévention Covid-19: Une nouvelle étude prouve que la distance sociale est une fausse nouvelle et une information erronée.
  2. Publié le 21 mai 2020 : Selon le président de Madagascar, Andry Rajoelina, le Covid-Organics pourrait prévenir et guérir la maladie du Covid-19.
  3. Publié le 30 mai 2020 : 27 mai 2020 — Didier Raoult publie son étude scientifique pour défendre l’hydroxychloroquine.
  4. Publié le 4 juin 2020 : Un rapport du ministère fédéral de l’Intérieur allemand dénonce la pandémie COVID-19 comme « une fausse alerte mondiale ».
  5. Publié le 5 juin 2020 : SCANDALE — Hydroxychloroquine : trois des auteurs de l’étude de ‘The Lancet’ se rétractent.
  6. Publié le 6 juin 2020 : Enquête exhaustive concernant la société Surgisphere qui a fourni les données à l’étude publiée dans la revue scientifique The Lancet.
  7. Publié le 25 juin 2020 : Actes criminels — Le Dr Meryl Nass découvre que des expériences d’hydroxychloroquine ont été conçues pour tuer des patients de COVID.
  8. Publié le 9 juillet 2020 : Denis G. Rancourt et 239 scientifiques remettent en cause le mode de transmission du Covid-19: Les masques ne fonctionnent pas.
  9. Publié le 10 juillet 2020 : L’Ontario Civil Liberties Association (OCLA) envoie une lettre au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé.
  10. Publié le 30 juillet 2020 : À l’instar de l’America’s Frontline Doctors, des médecins allemands se manifestent contre l’état d’urgence sanitaire frauduleux.
  11. Publié le 31 juillet 2020 : Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs.
  12. Publié le 2 août 2020 : Les « Médecins pour la vérité » remettent en cause la version officielle du Coronavirus lors d’une conférence tenue en Espagne.
  13. Publié le 2 août 2020 : Le Docteur Maria José Martínez Albarracín nous explique comment l’OMS a agi comme un instrument de manipulation mondiale.
  14. Publié le 9 août 2020 : Denis G. Rancourt, PhD : Masques faciaux, mensonges et responsables de la santé publique: « Un nombre croissant de preuves ».
  15. Publié le 20 août 2020 : Pr. Bartomeu Payeras i Cifre et son « Étude sur la distribution asymétrique des cas de COVID-19 et sa relation avec la technologie 5G ».
  16. Publié le 22 août 2020 : Une étude du Pr Denis Rancourt : Evaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de toutes les causes de mortalité 1946-2020.
  17. Publié le 30 août 2020 : Traduction et conférence de Claire Edwards — Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19.
  18. Publié le 31 août 2020 : Une excellente nouvelle, passée complètement inaperçue, l’acquisition d’une immunité par les troupes de marins du Charles-de-Gaulle.
  19. Publié le 3 septembre 2020 : Correspondance entre Guy Boulianne et le capitaine Poussel, président de l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix.
  20. Publié le 6 septembre 2020 : Un collectif de professionnels de santé a lancé un « Message d’alerte international » adressé aux gouvernements et citoyens du monde.

Port du masque et mesures sanitaires

  1. Publié le 29 avril 2020 : Le Journal de Québec — Confinement chez les aînés: « Vous n’allez pas m’emprisonner à vie », tonne le cinéaste Jean-Claude Lord.
  2. Publié le 2 juin 2020 : John W. Whitehead : Ce n’est pas une révolution. C’est un plan pour verrouiller la nation.
  3. Publié le 3 juin 2020 : COVID-19 — « Le confinement est véritablement l’escroquerie sanitaire du XXIe siècle » selon une étude qui souligne la responsabilité de l’OMS.
  4. Publié le 3 juin 2020 : COVID-19 — Chaque pays, suivant aveuglément les mesures dictatoriales de l’OMS, est devenu une copie certifiée conforme de la Chine.
  5. Publié le 8 juillet 2020 : Peter Hitchens : Nous sommes tous passés des humains normaux à des masochistes muselés.
  6. Publié le 14 juillet 2020 : COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires.
  7. Publié le 3 août 2020 : Henry Makow PhD: « Marque du satanisme, les masques signalent le début de la guerre civile ».
  8. Publié le 4 août 2020 : Asservissement au Mexique : La campagne silencieuse du métro pour éviter la contagion du coronavirus dans la nouvelle normalité.
  9. Publié le 4 août 2020 : Claudio Risé — Une armée de soumis: esclaves volontaires cachés derrière les masques.
  10. Publié le 10 septembre 2020 : Tragique : Une écolière de 13 ans serait décédée en Allemagne à cause de l’exigence d’un masque.
  11. Publié le 12 septembre 2020 : Avocat criminaliste, Me Jean Dury fait des droits individuels son cheval de bataille au Québec.
  12. Publié le 13 septembre 2020 : J’ai reçu le dossier complet sur la nocivité des valeurs de CO2 sous les masques, fourni par l’ing. Dr Helmut Traindl, expert assermenté.
  13. Publié le 14 septembre 2020 : Policiers en colère contre l’obligation du port du masque en France: « Nous exigeons l’abrogation des textes obligeant le port du masque ».

Les chiffres et les statistiques

  1. Publié le 12 mai 2020 : L’un des livres préférés de Bill Gates en 2015 : “Comment mentir avec les statistiques”.
  2. Publié le 24 mai 2020 : Plus de 100 pays demandent une enquête indépendante sur la crise des coronavirus auprès de l’Organisation mondiale de la santé.
  3. Publié le 30 mai 2020 : Le CDC confirme un taux de mortalité du Covid-19 remarquablement bas. Où sont les médias?.
  4. Publié le 13 juin 2020 : Un journaliste du 98,5 FM, Philippe Bonneville, fait des prélèvements partout à Montréal pour trouver des traces du COVID-19.
  5. Publié le 1 août 2020 : Révision drastique des données de l’INSPQ : le pourcentage de cas actifs passe de 44,4% à 2,5%, celui des guérisons de 45,6% à 87,6%.
  6. Publié le 18 septembre 2020 : Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis (CDC) déclarent que la pandémie de Covid-19 est terminée.

Globalisation et Grande réinitialisation

  1. Publié le 13 avril 2020 : Le Pacte mondial pour l’éducation prévu le 14 mai prochain est repoussé au mois d’octobre.
  2. Publié le 1 mai 2020 : Le colonel Vladimir Kvachkov du Renseignement militaire russe (GRU) expose l’agenda du Nouvel Ordre Mondial sur le coronavirus.
  3. Publié le 10 mai 2020 : L’ancien Premier ministre britannique, Gordon Brown, plaide pour un gouvernement mondial afin de lutter contre le coronavirus.
  4. Publié le 10 juin 2020 : COVID-19 — Les Globalistes préparent la Grande Réinitialisation et votre asservissement sous le couvert de développement durable.
  5. Publié le 18 juin 2020 : The Great Reset : la grande remise à zéro est une coalition élitiste pour repenser le monde.
  6. Publié le 21 juin 2020 : Covid-19 / Great Reset — Les totalitaires visent une société utopique dans laquelle les maux sociaux, réels ou imaginaires, sont éliminés.
  7. Publié le 18 juillet 2020 : Le Covid pour reprogrammer les humains… Les fléaux transhumanistes pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial ?.
  8. Publié le 13 août 2020 : La Banque mondiale et le FMI offrent des pots-de-vin et des conditions aux gouvernements pour imposer un verrouillage extrême.
  9. Publié le 24 août 2020 : Le Forum économique mondial avoue son projet criminel de ruiner la population mondiale par l’intermédiaire de la grande réinitialisation.
  10. Publié le 19 septembre 2020 : Les Nations Unies annoncent que la pandémie est un portail : « La crise du COVID-19 peut et doit être un tournant dans l’histoire ».

Vaccination et dépopulation

  1. Publié le 25 décembre 2019 : L’organisme Deagel prévoit la dépopulation mondiale massive de 50 à 80% d’ici 2025.
  2. Publié le 18 mars 2020 : Coronavirus : le Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection, expert mondial en matière de maladies transmissibles.
  3. Publié le 2 mai 2020 : Lors du TED2010, Bill Gates dévoilait sa vision du futur sur l’accroissement de la population.
  4. Publié le 11 mai 2020 : Le coronavirus pourrait provoquer la famine à des « proportions bibliques », selon le PAM.
  5. Publié le 22 mai 2020 : Le 13 mai 2020, au Parlement Italien, la députée Sara Cunial accuse Bill Gates de crime contre l’humanité et demande son arrestation.
  6. Publié le 27 mai 2020 : Robert F Kennedy Jr et Del Bigtree : Le vaccin contre le coronavirus, non censuré.
  7. Publié le 28 mai 2020 : L’eugéniste Bill Gates et la Fondation Bill-et-Melinda-Gates feront bientôt face à des accusations de crime contre l’humanité.
  8. Publié le 16 juin 2020 : COVID-19 fait partie de la dépopulation de 95% du monde selon l’Agenda 21 et 2030 de l’ONU.
  9. Publié le 5 août 2020 : Prince Philip d’Édimbourg : « Je dois avouer que je suis tenté de demander à être réincarné en tant que virus particulièrement meurtrier ».
  10. Publié le 17 août 2020 : La Russie a breveté le premier vaccin au monde contre le Covid-19 faisant un pied de nez à Bill Gates, à Gavi et à l’alliance ID2020.
  11. Publié le 29 août 2020 : Le médecin italien, Roberto Petrella, met en garde la population contre l’extermination et Bill Gates se prend pour le cavalier de la mort.
  12. Publié le 8 septembre 2020 : À BAS LES MASQUES ! L’ONU annonce une nouvelle épidémie de polio au Soudan causée par un vaccin oral financé par Bill Gates.

L’intelligence artificielle et le réseau 5G

  1. Publié le 12 avril 2019 : Je vous invite à signer l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace.
  2. Publié le 13 avril 2019 : Le Vatican est impliqué à part entière dans l’agenda du Nouvel Ordre Mondial et dans l’instauration de l’intelligence artificielle.
  3. Publié le 22 mai 2019 : La Corée du sud fait voler un dragon grâce à la réalité augmentée lors de la journée d’ouverture d’un championnat de baseball.
  4. Publié le 14 juin 2019 : Nous avons reçu des nouvelles de la part de l’Appel international contre le déploiement de la 5G sur Terre et dans l’Espace.
  5. Publié le 2 septembre 2019 : Claire Edwards, membre de l’ONU : La 5G est une guerre contre l’Humanité. Vers une catastrophe mondiale en matière de santé ?.
  6. Publié le 11 septembre 2019 : Un avis juridique danois indique que le déploiement de la 5G est illégal en vertu du droit communautaire et international.
  7. Publié le 26 octobre 2019 : Vous n’aurez nulle part où vous cacher : les globalistes vous préparent l’Apocalypse 2.0.
  8. Publié le 8 janvier 2020 : La Ville de Montréal et le réseau « 100 villes résilientes » de la Fondation Rockefeller.
  9. Publié le 15 mai 2020 : Arthur Firstenberg résume : « En bref, la 5G fait partie de l’équation des coronavirus ».
  10. Publié le 1 juin 2020 : Voyez la conférence vidéo de Guy Boulianne et James Garand : « Le réseau 5G et ses dangers ».
  11. Publié le 25 juillet 2020 : L’étude du Dr Massimo Fioranelli « Technologie 5G et induction du coronavirus dans les cellules de la peau » censurée après 8 jours.

Les Gouvernements du Québec et du Canada

  1. Publié le 30 mars 2020 : La ville d’Ottawa, capitale de la Confédération canadienne et siège du Nouvel Ordre Mondial.
  2. Publié le 4 avril 2020 : Le Dr Horacio Arruda, Gardien des Objectifs de développement durable (Agenda 2030, ONU).
  3. Publié le 9 mai 2020 : Dr Horacio Arruda : « Le plus grand danger d’un scientifique, c’est d’avoir un doute. Quand vous avez la vérité, méfiez-vous. ».
  4. Publié le 20 mai 2020 : Covid-19 — Les gouvernements Trudeau, Legault et consorts vous mentent depuis le début !.
  5. Publié le 10 août 2020 : ACTION TRÈS IMPORTANTE : Signez la pétition officielle en opposition au projet de loi n° 61.
  6. Publié le 17 septembre 2020 : Arnaque à l’Assemblée nationale du Québec ? Les résultats de la pétition contre le projet de loi n° 61 sont falsifiés — Une enquête est exigée.
  7. Publié le 25 septembre 2020 : Arnaque à l’Assemblée nationale du Québec ? Les résultats de la pétition contre le projet de loi n° 61 sont falsifiés — Dépôt à une avocate.

Les comploteurs complotent

  1. Publié le 11 avril 2019 : Les Etats-Unis et l’Arabie saoudite bloquent la réglementation de la géoingénierie.
  2. Publié le 16 avril 2019 : L’État Profond ne peut être vaincu que par la force même du pouvoir populaire.
  3. Publié le 3 novembre 2019 : Seule la connaissance de la vie réelle vous libérera de l’esclavage et de vos chaînes.
  4. Publié le 8 février 2020 : L’ancien nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, fondateur du groupe de Bilderberg.
  5. Publié le 31 mars 2020 : LA GUERRE IMMINENTE: Trump active un million de réservistes militaires alors que le pays se prépare à des pertes massives de combats.
  6. Publié le 23 avril 2020 : Un message important de Laura Eisenhower, arrière-petite-fille du président Eisenhower, qui s’adresse à l’oligarchie mondiale luciférienne.
  7. Publié le 2 mai 2020 : Sommes-nous étonnés ? Bill Gates nous a avertis d’une pandémie de type COVID-19 en 2015.
  8. Publié le 4 mai 2020 : La Loi concernant les coronavirus est déposée dix mois avant la pandémie de Covid-19.
  9. Publié le 7 mai 2020 : Un chercheur, Bing Liu, sur le point de faire des découvertes très importantes sur le COVID-19 tué dans un meurtre-suicide à Pittsburgh.
  10. Publié le 22 mai 2020 : Expériences biologiques chinoises avec un coronavirus pour infecter les humains exposés en 2015 par les médias d’État italiens.
  11. Publié le 7 juin 2020 : Emmanuel Macron : « Notre génération doit savoir que la bête de l’événement est là, et elle arrive (….) Je suis dans cet état d’esprit-là ».
  12. Publié le 17 juin 2020 : Mgr Viganò au Président Trump : « Les enfants des ténèbres ont décidé de montrer leurs cartes en révélant maintenant leurs plans ».
  13. Publié le 12 juillet 2020 : Le canular du coronavirus a un côté positif : il a exposé les Illuminati et leurs agents.
  14. Publié le 21 juillet 2020 : Le « nouveau look » communiste: une étude sur la duplicité — Le seul but de la nouvelle ligne de Parti est de vous embrouiller.
  15. Publié le 27 juillet 2020 : Le Miroir des Justices — Les satanistes ont corrompu le système de justice occidental.
  16. Publié le 30 juillet 2020 : Germán Sarlangue : La construction de la panique pour la Gouvernance Mondiale.
  17. Publié le 3 août 2020 : Joel Hilliker nous dit la raison pour laquelle les socialistes, en Amérique, sont excités.
  18. Publié le 12 août 2020 : Stewart Brennan : « La deuxième vague de COVID déchirera nos communautés ».
  19. Publié le 19 août 2020 : Un article de Benjamin Fulford : La campagne Covid-19 est la preuve même de la rébellion satanique totale contre le Créateur.

Contrôle et censure de l’information

  1. Publié le 21 avril 2020 : Entièrement banni de Facebook, Guy Boulianne crée un réseau social libre et indépendant.
  2. Publié le 29 avril 2020 : L’annonceur de FOX News, Tucker Carlson, malmène YouTube pour avoir censuré une vidéo des Drs. Dan Erickson et Artin Massihi.
  3. Publié le 2 mai 2020 : L’étau de la censure se resserre après une entrevue explosive de David Icke sur la crise du Covid-19 provoquée par les Globalistes.
  4. Publié le 5 mai 2020 : Le compte Vimeo de Guy Boulianne est clôturé suite à la diffusion de la conférence des Drs. Dan Erickson et Artin Massihi sur le Covid-19.
  5. Publié le 28 mai 2020 : Évaluer le problème des fausses nouvelles à l’échelle de l’écosystème de l’information.
  6. Publié le 28 juillet 2020 : Une conférence de presse donnée par un groupe de médecins devant la Cour suprême des États-Unis est censurée en moins de 12 heures.
  7. Publié le 21 août 2020 : Un article d’intérêt général de l’Association Professionnelle Gendarmerie : Mensonges et complots ? Ou recherche de la vérité….
  8. Publié le 5 septembre 2020 : L’OMS utilise l’intelligence artificielle pour immuniser le public contre la désinformation.

Quelques articles en bonus :




Les graves conséquences psychologiques pour les enfants obligés de porter le masque à l’école

[Source : Sott.net]

[Image :] © Pascal Bonnière – La Voix du Nord

[Auteur :] Vladimir Dimitrijević — TekDeeps

Dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique.

La lutte contre le coronavirus provoque un accroissement d’étranges formes de propagande officielle anti-pandémie, qui mettent constamment l’accent sur la « distanciation sociale », et afin de ne pas infecter nos proches, les autorités recommandent de nous en éloigner le plus possible.

Les élèves sont tenus d’aller à l’école avec un masque sur le visage et les éducateurs doivent également être masqués. Toutefois, les conséquences psychologiques associées au port du masque ne sont pas négligeables. Surtout pour les enfants et les jeunes.

Note du traducteur : Le risque c’est qu’ils arrêtent d’essayer de communiquer tout court ! Le masque change aussi la voix ce qui perturbe l’enfant. Les enfants ont absolument besoin de lire les expressions sur le visage de l’autre, et le port du masque l’empêche de voir et d’analyser ces mimiques. Il est impossible de ne pas considérer que le port du masque représente un danger dans la représentation à soi et aux autres que beaucoup d’enfants n’ont pas encore affirmé même parvenus à l’adolescence. Et bien que ce ne soit pas le sujet de cet article, que dire du danger pour la santé physiologique que représente le port du masque durant plusieurs heures ?

Dépersonnalisation

Dans une interview accordée à Pečat [magazine d’informations serbe – NdT] le 14 août 2020, la psychologue clinique Sofija Trivunac — qui a exercé en Occident pendant quatre décennies après avoir obtenu son doctorat aux États-Unis — souligne la gravité de ces conséquences. Tout en insistant sur le faible bénéfice des masques dans la protection contre les maladies — sans compter les masques médicaux plus efficients qui ne sont généralement pas accessibles aux gens ordinaires —, elle déclare :

Il s’agit d’un acte de soumission très concret qui enseigne aux enfants l’obéissance, mais aussi que la communication et la possibilité de voir un visage ne sont plus la norme. Quand un bébé naît au monde et jusqu’à ce qu’il parle, il a besoin, comme les primates, de cette image fondamentale du visage de l’autre — un sourire et des yeux — et voilà qu’ils annoncent déjà le port de lunettes. Ainsi, nos yeux et notre bouche qui constituent les deux plus grands canaux de communication dont dispose l’être humain dans ses rapports aux autres êtres humains et aux animaux sont « abolis ». Nous sommes brusquement arrivés à la situation suivante : celui qui ne porte pas de masque est catalogué comme un transmetteur d’infection ou comme un tyran, une personne qui résiste.
[…]
Je ne veux pas que la pathologie des personnes compulsives-obsessionnelles devienne dominante ni qu’elle se banalise.

Bien sûr, il faut lutter contre la pandémie. Mais cette lutte ne doit pas négliger les conséquences psychologiques de l’état d’urgence, souligne Sofija Trivunac :

Si nous considérons le corps humain du point de vue d’un réceptacle surchargé de peurs, et donc bloqué pendant une longue période, nous constatons que son immunité est sérieusement affaiblie et qu’il n’est pas capable de « digérer » toutes ces peurs d’un point de vue énergétique. L’un des grands facteurs qui génèrent la peur est l’incertitude à laquelle nous sommes également exposés pendant une longue période, ainsi que tout ce qui nous conduit dans un premier temps à des troubles mentaux, puis à des maladies physiques. Car lorsque le cerveau qui contrôle notre psyché et notre corps tombe malade, nos autres organes tombent progressivement malades et les conséquences sont le plus souvent pénibles et extrêmement dangereuses.

Le port du masque est un moyen de plonger les élèves et les éducateurs dans un monde tordu, celui d’Alice lorsqu’elle passe de l’autre côté du miroir, un monde dans lequel il n’existe aucune réelle éducation ni la plus élémentaire socialisation. Mais le plus grand dommage [notamment chez les enfants – NdT] est porté à l’essence même des relations interpersonnelles : l’amour.

Le secret de l’amour comme fondement de l’humanité

Dans son livre « Les Éloges du sens », l’écrivain Dusko Jevtovic écrit :

Dans une maternité, deux jumelles, nées prématurément, ont été placées dans des incubateurs séparés, comme l’exige la réglementation. La vie de l’une d’entre elles était en danger. L’infirmière de service les a mis dans la même couveuse, et lorsqu’elle leur a rendu visite un peu plus tard, elle a réalisé qu’un miracle s’était produit : elle les a trouvés enlacées ! La sœur jumelle la plus vigoureuse étreignait la plus fragile, dont l’état de santé s’est à partir de ce moment soudainement amélioré ! Comme si elle avait alors acquis la volonté de vivre, ce qui lui manquait, la plus fragile des sœurs se mit à respirer de façon régulière, son cœur battant au rythme du cœur de sa jumelle dont l’amour l’avait fortifiée. Des appareils de précision ont tout enregistré. Un de mes collègues a également imprimé un article qui se terminait par la photo d’une étreinte salvatrice.

Lorsque Kiri, [qui signifie] « c’était écrit », a senti qu’elle se trouvait près de sa sœur et que celle-ci luttait pour sa vie, elle l’a serrée dans ses bras pour l’aider dans son combat. À partir de ce moment-là, Brijela a commencé à respirer normalement, son rythme cardiaque est revenu à la normale et son état général a commencé à se stabiliser. Les médecins ont décidé de laisser les bébés ensemble, car lorsqu’elles étaient ensemble, elles se maintenaient mutuellement en vie.

C’est, pourrait-on dire, la preuve scientifique des propriétés curatives de l’amour. Parce que le cœur est plus sensible que n’importe quel appareil. Le sentiment d’amour protège mieux que le verre de protection et pénètre plus profondément que les câbles et les tubes. Sous l’impulsion de l’éternité, le sentiment d’amour se met en marche et, avec la chaleur de l’étreinte, il libère l’espoir de l’armure que constitue l’indifférence glacée, synonyme de mort.

Ainsi, dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique. Nous devons en prendre soin tout particulièrement lorsqu’il s’agit de nos enfants. Ils sont l’avenir, n’est-ce pas ?

Note du traducteur : Ce merveilleux témoignage plein d’espoir pour le genre humain ne constitue pas une singularité. En 2019, deux jumeaux en Angleterre ont partagé le même amour inconditionnel, quand le plus vigoureux des deux a étreint le plus fragile… pour le sauver. Et puis une autre histoire identique en 1995.

Par ailleurs, France Soir n’a pas mâché ses mots dans son article du 21 août quant à cette folie furieuse de faire porter des masques aux enfants pendant plusieurs heures d’affilée, 4 à 5 jours par semaine :

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !

Veut-on vraiment casser nos enfants tant sur le plan scolaire que psychique ? L’incroyable prise de position exposée à nouveau dans Libération(1) nous a fait bondir, voire désespérer. Qu’est-ce que ce pays qui sacrifierait ses enfants au nom d’intérêts financiers et de querelles politiques et certainement pas médicales ? Nous pouvons admettre qu’en mars, les autorités craignaient que les petits transmettent le covid comme la grippe, mais cinq mois plus tard, l’ignorance n’est plus acceptable, ni des politiques, ni des médecins, surtout lorsqu’ils s’adressent au public. Les enfants ne sont pas à risque (les enfants ou adolescents de moins de 15 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées(2) et moins de 0,01% des morts(3) ) et ils ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes.(4)

Alors pourquoi cette rechute de folie par rapport à l’école ? Faire peur à tout prix pour imposer in fine un vaccin qui n’existe pas, mais fait déjà gagner des milliards en Bourse sans hésiter à sacrifier les petits et les jeunes dont le risque de covid grave est extrêmement faible ?

Oui Mr le Ministre, la rentrée doit être complètement normale ! Résistez, vous y gagnerez en crédibilité.

Une vingtaine de médecins menée par Karine Lacombe, (Mme Gilead et remdesivir) ose appeler le ministre de l’Éducation nationale à renoncer à la rentrée quasi normale qu’il avait prévue. Les enfants, selon ces vingt médecins dont aucun pédiatre (sauf un radiologue pédiatre ce qui est différent), ni aucun pédopsychiatre, ni psychologue (ils ont préféré un vétérinaire et un légiste) n’hésitent pas à pousser le gouvernement à entrer à nouveau dans ce cercle infernal de la privation de scolarité normale et à conseiller des mesures aussi aberrantes pour un enfant que le port du masque et l’enseignement à distance.

Pourtant s’ils avaient pris le temps de lire les témoignages des psychiatres et psychologues, mais aussi de tous ceux qui s’occupent d’enfants, adolescents et jeunes adultes, y compris les familles, ils auraient pu approcher la gravité des séquelles de ces cinq mois d’hystérie collective et de mesures délirantes prises sans évaluation préalable de leur gravité à court moyen et long terme. N’en rajoutons pas.

Sacrifier nos enfants pour une mesure d’intérêt non démontré

Nos ministres de la santé ont interdit la prescription de chloroquine par les médecins en prétextant qu’il n’existait pas d’études randomisées de la chloroquine contre le Covid19. Mais pour les masques pas de problème : le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles (sans études le démontrant). Maintenant il prétend qu’ils sont indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous oblige à vivre masqués. Tous les médias reprennent en chœur « Sans masque pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Et les croisés du masque veulent maltraiter les enfants par une mesure sans aucune justification scientifique.

Rien ne prouve que les masques soient utiles contre une épidémie de Covid19

Libération publie une tribune orchestrée par la désormais célèbre K Lacombe(5), l’apôtre du remdesivir, le dr Jérôme Marty, président de l’UFML, qui en son temps s’était bien battu contre la loi de santé Touraine Véran et pour la liberté et l’indépendance des médecins (que vient-il faire dans cette galère ?), et les créateurs du collectif Stop-Postillons, réclamant partout et toujours le port du masque en exhibant de « nombreuses études » qui démontreraient que le masque pourrait prévenir la transmission du covid19. Oubliant au passage que le covid19 est curable si on accepte de le traiter, comme plus des trois quarts des médecins au monde.

Pourquoi ce déni et cette obsession du masque qui ne fait que « cacher ce traitement efficace que je ne saurais voir » ?

Des articles non convaincants éloignés de la pratique clinique

Nous avons personnellement relu tous les articles qu’ils citent à l’appui de leur obsession et aucun d’entre eux n’a étudié l’effet du masque sur la transmission du Covid19 dans la vraie vie.

L’article de Yu I.T date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve » mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire qui ignorent le contact du virus avec l’homme. Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve en rien que ces résidus puissent être contaminants, ni qu’un masque pourrait servir de protection. Celui de Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux (pas pour les entreprises ou les écoles).

Et c’est sur ces pseudo-preuves qu’ils veulent nous bâillonner partout et toujours, pour une maladie en voie disparition en Europe(6) ! Que leur arrivent-ils ? Tout au moins à ceux que l’on a connu valeureux soldats sincères contre la prise de pouvoir par l’état de la santé par l’article 1 de la loi santé, comme les membres de l’UFML ? La fréquentation des plateaux télé est-elle si toxique qu’elle fait perdre le bon sens aux meilleurs défenseurs de la liberté et de l’indépendance médicale ?

L’article très fouillé mérite de s’y attarder, nous conseillons à nos lecteurs de lire la suite.

Source de l’article initialement publié en serbe le 21 août 2020 : srbin.info
Source de l’article traduit en anglais le 20 août 2020 : TekDeeps

Traduction: Sott.net




Stratégie pour ne pas être affecté(e) par le coronavirus (COVID-19)

[Source : www.bickel.fr]

par rené bickel

Hystérie collective

Les médias nous bombardent
d’informations sur les risques de contamination. Ils créent une
véritable panique au sein de la population. Au moindre symptôme, on
court à l’hôpital.

Le coronavirus n’a pas provoqué d’amplification significative de la mortalité générale en France.

Le plus souvent, les malades ne meurent pas de la grippe, mais de faiblesses induites
par une ou plusieurs déficiences et autres maladies chroniques. La
plupart sont des personnes âgées en mauvaise santé et surmédicalisées.

Arrêtons d’avoir peur car on nous ment

La peur de la contagion déprime le système immunitaire et aggrave le risque de développer les symptômes.

La grippe saisonnière tue plus que le coronavirus

Chaque année, en France,
entre 2 et 8 millions de personnes sont atteintes de la grippe et
environ 10 000 personnes en meurent. Les décès liés à la grippe sont le
plus souvent dus à des traitements médicaux inadaptés sur des personnes déjà déficientes. L’acharnement médical visant à supprimer les symptômes est meurtrier.

A côté de cela, la mortalité par le coronavirus semble dérisoire.

Microbes et virus ne sont rien, le terrain est tout.

Les maladies, dites infectieuses évoluent naturellement vers la guérison

Faire baisser la fièvre est
un non-sens meurtrier. Cela fait 50 ans que le Prix Nobel de Médecine
français André Lwoff l’a démontré. De grands spécialistes des virus au
monde ont confirmé que la fièvre est une réaction de défense salutaire. Voir l’article :

La fièvre, un processus vital

Se précipiter sur des
anti-inflammatoires est parfois un facteur d’aggravation de l’infection.
Ces produits sont immunodépresseurs, jusqu’à être mortels.

Des autorités politiques criminelles

Après avoir obtenu de très
bons résultats, le gouvernement de Shanghaï recommande officiellement la
vitamine C pour soigner le COVID-19.

Cela fait des dizaines
d’années que les spécialistes de la médecine orthomoléculaire obtiennent
des résultats inespérés avec de fortes doses de vitamines C, même dans
les pathologies lourdes.

En France, une campagne médiatique de dénigrement de la vitamine C s’est considérablement accentuée ces dernier temps.

Expert mondial en matière de maladies infectieuses, le professeur Didier Raoult a annoncé dès le 25 février 2020 que la chloroquine est le traitement le moins cher et le plus simple. Il propose une dose de 500 mg / jour, avec une guérison en 3 à 5 jours.

Le traitement sera démenti par le ministère de la santé français.

On vient de découvrir que, en date du 15 janvier 2020, le gouvernement a pris un arrêté stipulant que :

“Est classée sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes.”

Voici le texte de l’arrêté en date du 15 janvier 2020.

A l’inverse, le Président Trump a immédiatement réagi pour faire le maximum, afin de mettre ce produit à disposition de toute la population, aux USA.

Au lieu d’appliquer ce qui a été fait en Chine et ailleurs, de
prendre en considération les recommandations du professeur Raoult, le
traître, qui joue le rôle de Président de la République, met en place la
suspension des libertés fondamentales par le confinement de la
population !!!!

D’ailleurs, ce n’est pas le
virus qui est dangereux mais tout ce qui se trame derrière. Avec ce
félon de Macron au service des banques, de Big Pharma et autres
prédateurs, nous sommes bien servis.

Dictature

Des moyens efficaces pour arrêter cette pseudo pandémie existent et font leur preuve. Contrairement à ce que l’on nous martèle,
ce confinement est inutile. Nos autorités préfèrent la répression et
des lois liberticides, au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes.

Gravement menacées, la République de Taiwan et la Corée du sud, par exemple, ont pris des mesures intelligentes, pour rapidement juguler la propagation de l’épidémie sans confinement.

Jamais de conseils efficaces pour renforcer le système immunitaire !

Nous assistons à un
effondrement du système immunitaire chez l’homme d‘aujourd’hui. Beaucoup
n’ont plus de système de défense efficace. Une personne en bonne santé,
ayant un système immunitaire qui fonctionne normalement, ne peut pas
être affectée par des microbes et virus, même réputés dangereux.

Tout le monde peut renforcer son niveau d’énergie. Mais dans un système où une puissante industrie a besoin de malades pour prospérer, cela n’est pas enseigné.

En appliquant les méthodes
naturelles de santé, nous pouvons rapidement remonter notre immunité.
Ceux qui ont fait l’expérience d’une nourriture vivante, peuvent en
témoigner.

En résumé, ce qu’il faudrait faire :

Réduire ou supprimer la consommation de céréales (et surtout des pâtes) et des glucides (sucres) en général.

Supprimer les produits laitiers et réduire la consommation de viande (surtout viande rouge).

Les fruits et légumes crus biologiques devraient être la base de notre alimentation.

Avec ce type d’alimentation, nous avons un bon microbiote. Environ 70% de notre immunité est en lien direct avec l’intestin.

Éviter l’exposition aux rayonnements électromagnétiques pathogènes (difficile de nos jours).

Soleil. Exercice physique et repos suffisants. Bains glacés (avec précaution) ou chauds selon le cas. Voir l’article :

Bains chauds ou bains glacés ?

D’autre
part, veiller à un bon équilibre émotionnel. Ne pas se laisser emporter
par le négatif. En élevant notre niveau de conscience, nous élevons
notre niveau vibratoire et renforçons notre système immunitaire.

René BICKEL – mars 2020


Si cet article vous a plu, merci de le partager autour de vous. Voici le lien à transmettre en le “copiant-collant” :
https://www.bickel.fr/2020/03/strategie-pour-ne-pas-etre-affectee-par-le-coronavirus-covid-19/

Un grand merci à Elisabeth OLORY, auteur du blog Histoires de guérisons, dont l’aide très précieuse en matière d’informatique (mise en page de ces articles et envoi des messages) est inestimable.




Valérie Bugault : Interview avec Jeanne Baron pour BFM

[Source : Le Saker Francophone]


Par Valérie Bugault – Le 6 mai 2020

Jeanne Baron
Jeanne Baron

Questions de Jeanne Baron (JB), réponses de Valérie Bugault (VB)

Présentation JB : Valérie Bugault, bonjour, vous êtes docteur en droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Après une brillante carrière d’avocate, vous décidez de cesser votre activité pour vous consacrer à l’analyse des problématiques de géopolitique économique.

En 2016, vous publiez sur le site du Saker francophone une série
d’études intitulée « Décryptage du système économique global », où
vous racontez les paradis fiscaux et le système monétaire international. Vous pensez qu’il est capital de mettre en place un assainissement financier et économique de la planète en croyant qu’il est grand temps de sortir de l’état actuel des choses qui favorise les paradis fiscaux.

Avec vous aujourd’hui, nous allons tenter de décrypter cette grave
crise sanitaire, sociétale et économique.

JB : Que pensez-vous de la gestion de la crise nationale par notre gouvernement ? On entend beaucoup de choses contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?

VB : Nous avons, depuis le début de cette « crise », une dialectique qui s’est installée dans les allées du pouvoir consistant à mobiliser les citoyens afin de leur faire accepter un maximum de contraintes individuelles et collectives dans le même temps que le gouvernement et les instances publiques, parapubliques ou simplement en lien avec le pouvoir central font tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher les français d’accéder aux protections et soins élémentaires 1. Le Conseil d’État lui-même a longtemps résisté aux demandes du public, notamment en matière de distribution de masques ou de libéralisation de la prescription de chloroquine et d’hydroxychloroquine 2.
Cela va de la disparition des stocks de masques, de chloroquine, à la qualification intempestive de ce médicament, en libre disposition depuis plus de trente ans, comme substance vénéneuse.

En passant par un harcèlement institutionnel et médiatique, sans précédent, contre le protocole médical préconisé en France par les équipes du Professeur Didier Raoult, protocole appliqué et confirmé notamment par des médecins chinois, qui a par ailleurs eu des résultats très satisfaisants à tel point que des pays comme le Sénégal et plus récemment le Cameroun le pratiquent d’une façon générale ou l’ont recommandé en tant que protocole d’État. Des pays comme l’Italie ont, très tôt, fait distribuer gratuitement les deux médicaments du protocole Raoult dans toutes les pharmacies alors que le président Trump lui-même se prononçait en faveur de la chloroquine.

Ajoutons, pour compléter le tableau, le harcèlement affligeant de l’Ordre des médecins contre ses membres ayant l’audace de soigner les gens et/ou de faire savoir au public qu’ils avaient guéri des patients atteints de covid-19 par une association d’antibiotiques anciens et très connus 3.

Il faut d’ailleurs remarquer que le harcèlement des médecins et personnels de santé qui trouvent des remèdes médicaux peu onéreux à cette maladie du Covid-19 n’est pas propre à la France. Ce phénomène de dénigrement est, semble-t-il, généralisé à l’ensemble du monde ; nous en avons récemment eu l’illustration avec la menace, par l’OMS, d’un médecin congolais qui revendique un remède issu de médecine naturelle, l’artemisia.

Nous avons, en conclusion, un tableau qui se dessine de la façon suivante : un réel refus d’accès aux soins utilisé par les pouvoirs publics pour justifier un recul radical de la liberté de circulation au moyen d’un confinement général de la population pour une durée indéfinie 4, dont l’efficacité est contestable et à ce titre contestée 5.

Alors par ailleurs que les zones sensibles – réparties sur tout le territoire – que constituent les banlieues ne sont de facto pas confinées par manque de contrôle, en conséquence de quoi la Covid-19 a toute liberté de continuer de se répandre sur le territoire à partir de ces zones.

En outre, alors que le gouvernement a affirmé avec force et conviction la mise en quarantaine des personnes arrivant aux frontières 6, dès le lendemain circulait le démenti selon lequel le confinement contraint ne concernait pas les individus de l’espace Schengen. Ce qui me donne l’occasion de rappeler que la France est l’un des rares, pour ne pas dire seuls, pays au monde, y compris les pays de l’UE, à n’avoir pas fermé et contrôlé ses frontières lors de la déclaration d’urgence sanitaire.

La lutte effective contre la circulation du virus se présente finalement comme une farce politique de grande envergure alors que la réalité quotidienne de la majorité des français est une interdiction de circuler librement sur le territoire, sanctionnée par des amendes, voire de la prison en cas de récidive. Dans le même temps que lesdites prisons ont été allégées, vidées, d’une partie des prisonniers de droit commun afin de lutter contre la circulation et la prorogation du coronavirus !

Enfin, n’oublions pas que, dans le contexte de la restriction du travail, une future pénurie alimentaire est possible – pour ne pas dire probable – elle a d’ailleurs d’ores et déjà été anticipée par des agents du marché. Face à ce risque de « disette » ou de « pénurie alimentaire » qui agirait comme un facteur aggravant du risque sanitaire, le gouvernement ne trouve rien de mieux à faire que de brader ses stocks de blé. Ce qui n’est pas sans nous rappeler, sous le gouvernement Sarkozy, la braderie par la banque de France d’une partie de ses stocks d’or en pleine crise financière et monétaire.

Pour conclure, il faut comprendre que tout est politiquement fait pour que le virus circule le plus librement possible tandis que les Français sont empêchés de se soigner. Cette situation particulière est exploitée par le pouvoir et les médias de façon à justifier la pérennité d’un confinement en alternance, total ou partiel, pour une très longue durée. Ce confinement, justifié par des motifs préalablement consciencieusement organisés par le pouvoir, devrait durer jusqu’à l’arrivée d’un vaccin, utilisant ou non des méthodes génétiques révolutionnaires tels que les ARN messagers ; vaccin appelé de leurs vœux par les laboratoires pharmaceutiques, dûment relayés, par la fondation Bill et Melinda Gates mais aussi par leur organisation internationale qu’est l’OMS.

JB : L’OMS est de plus en plus pointée du doigt, on lui reproche
notamment ses financements privés par des personnalités ou des
grands groupes. Peut-on remettre en cause sa neutralité, son intégrité et les recommandations faîtes aux différents gouvernements dans le monde ?

VB : Comme je l’ai déjà dit et écrit, s’agissant de l’OMS, toutes les informations convergent vers une parodie d’organisation internationale en réalité aux mains d’entités et d’intérêts strictement privés et non public comme la forme de cette organisation internationale le laisse croire.

De l’aveu même de l’OMS : ces dernières années, plus du trois-quart des contributions viennent de partenaires volontaires : « Le budget de l’OMS est financé au moyen d’une combinaison de contributions fixées et de contributions volontaires. Les contributions volontaires proviennent des États Membres (en supplément de leur contribution fixée) ou de divers partenaires. Ces dernières années, les contributions volontaires ont représenté plus des trois quarts du financement de l’Organisation. ».

Un reportage d’ARTE de 2017 nous apprend que l’OMS est financée à 79% par des fonds américains et par les lobbies pharmaceutiques… 7.

Depuis que le président Trump a décidé, fort justement, de suspendre le financement de l’OMS, cet organisme est donc officiellement devenu une entité qualifiée de publique mais qui est au seul service des intérêts privés qui la finance, la fondation Bill Gates et le conglomérat des grands laboratoires pharmaceutiques : « L’enquête d’Arte en 2017 interrogeait : comment est-il possible pour l’OMS de prendre une décision transparente et autonome quand un groupe pharmaceutique lui aurait donné pour 30 milliards de dollars de médicaments ?  Arte signalait également que la fondation Bill et Melinda Gates a versé plus de 2 milliards de dollars à l’OMS depuis la fin des années 90. Or, l’un des principaux objectifs de la Fondation Gates était, à l’époque, de fournir le plus de vaccins possibles à travers le monde. En 1999, Bill Gates a versé 750 millions de dollars pour initier GAVI, une alliance entre le public et le privé (afin de vacciner les enfants des pays en développement) à laquelle participent l’OMS, UNICEF, la Fondation Gates, et l’industrie pharmaceutique.

GAVI comme l’OMS prétendent bien entendu être des structures transparentes opérant sans directive des industriels. Cependant, l’enquête d’Arte démontrait que des employés (dont un haut dirigeant) de l’OMS figurent sur la liste de la fondation Gates. Et cela malgré les déclarations de conflits d’intérêts que doivent remplir les employés de l’organisation à un certain niveau hiérarchique. Selon l’enquête d’Arte datant de 2017, la Fondation Gates serait en réalité directement impliquée dans la prise de décision de l’OMS. Comment en serait-il autrement aujourd’hui ? »

Écoutons enfin William Enghdal sur la fondation Gates 8 : « la Fondation Gates et les entités connexes telles que la CEPI constituent les plus grands bailleurs de fonds de l’entité public-privé connue sous le nom d’OMS, et que son directeur actuel, Tedros Adhanom, le premier Directeur de l’OMS de l’histoire à ne pas être médecin, a travaillé pendant des années sur le VIH avec la Fondation Gates lorsque Tedros était Ministre du gouvernement en Éthiopie, et nous voyons qu’il n’y a pratiquement aucune région où sévit la pandémie actuelle de coronavirus qui ne porte pas les empreintes de l’omniprésent Gates… »

Ajoutons qu’une journaliste du Washington Times suspecte l’OMS d’avoir décrété la pandémie de Covid-19 après réception d’un don substantiel de la fondation Bill et Melinda Gates.

Il faut encore mentionner que les agissements de la fondation Gates sont de plus en plus publiquement, et devant les juridictions, mis en cause par des personnalités américaines de tout premier plan, en particulier par l’avocat Robert Kennedy junior, mais aussi par le journaliste Roger Stone et la femme politique Candace Owen 9.

JB : Le Président Trump qui a coupé toutes les subventions américaines à l’Organisation Mondiale de la Santé, lui reproche d’avoir caché la vérité sur ce qui se passait en Chine. Vous en pensez quoi ?

VB : Je n’ai pas personnellement suivi de très près ce que Trump a dit et surtout ce qu’il a eu comme information en provenance de l’OMS. Il est possible que, la Chine ayant transmis les informations concernant le séquençage du virus, l’OMS ait tardé à diffuser cette information à tous les pays. Mais je ne peux pas être sûre que les choses se soient passées ainsi.

Quoiqu’il en soit, Trump n’a pas retiré le financement américain officiel de l’OMS sans de bonnes raisons. L’une de ces raisons est la guerre impitoyable qui sévit sur le territoire américain entre patriotes et globalistes. Il faut se rappeler que l’OMS est de longue date influencée par des décideurs qui sont des entités privées. Dans ce contexte – et contrairement à ce que j’avais cru dans un premier temps – en manifestant aussi clairement le désaccord de l’État américain à participer et à suivre l’OMS qui, de facto, émanent d’intérêts strictement privés le président Trump, se place – peut-être temporairement ? – dans le camp patriotique.

A ma connaissance, la Chine a identifié, c’est-à-dire séquencé, le virus qui causait ces maladies pulmonaires atypiques, apparues fin novembre, dès le 8 janvier 2020. Dès l’identification dudit virus, le SARS-Cov-2 , qui provoque la maladie dite Covid-19, la Chine a immédiatement communiqué tous ses résultats à l’OMS et pris d’énergiques mesures de confinement de sa population géographiquement la plus exposée. En conséquence, je vois mal ce qui peut être reproché à la Chine en matière de capacité technique de réaction et de transmission mondiale des informations.

En revanche, en raison d’un faisceau concordant d’indices, je me pose de plus en plus de questions sur l’administration de la province du Hubei, dans laquelle se situe Wuhan, que je suspecte d’être sous administration globaliste – c’est-à-dire de n’être pas sous le réel contrôle du gouvernement chinois central. En effet, beaucoup d’entités globalistes ont leur siège à Wuhan qui est aussi à la pointe de toutes les nouvelles technologies de l’information (5G) impliquées dans la diminution de l’immunité naturelle et donc, par voie de conséquence, dans l’augmentation artificielle de la propagation des maladies virales. Par ailleurs, le laboratoire controversé P4 de Wuhan, qui a été incriminé, à tort ou à raison, dans la fuite du virus se trouve être, pour sa partie française, sous le contrôle de personnalités acquises à la cause globaliste, telles qu’Yves Levy ancien directeur de l’INSERM et mari d’Agnès Buzyn. D’après certaines sources, il semble également que le laboratoire Mérieux, impliqué dans les développements de ce laboratoire P4, a subi un changement d’orientation dans le sens «financiarisation» et « globalisation» après que Charles Mérieux en eût cédé la direction à son fils Alain ; nous en sommes aujourd’hui à la troisième génération des Mérieux, à Alexandre, fils d’Alain…

JB : Pourriez-vous nous éclairer sur cette simulation de l’OMS, l’Event 201 ?

VB : A l’automne 2019 s’est tenue une simulation (appelée Event 201) sous l’égide du Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, du Forum économique mondial et de la fondation Bill et Melinda Gates 10.

Sachant que la fondation Bill et Melinda Gates, promotrice de la vaccination obligatoire tout azimut, est l’un des principaux généreux donateur de l’OMS. Nous pouvons déduire que Bill Gates se cache, à peine, derrière toutes les organisations qui s’intéressent de près aux pandémies et aux virus. C’est ce phénomène précis qui mérite d’être pris en compte, plus que le phénomène Event 201 considéré de façon isolée.

Event 201 ne prend une dimension inquiétante que parce qu’il est inclus dans ce contexte où une fondation ultra-riche à vocation mondiale et dotée d’outils juridiques internationaux tel que l’OMS, intervient directement ou indirectement dans tous les pays et soutient par ses financements un calendrier sanitaire répondant aux intérêts particuliers de ses propriétaires, visibles et cachés.

Il faut en effet insister sur les énormes moyens financiers de la fondation Gates. «Regina Rabinovich gère un portefeuille supérieur à 1 milliard de dollars de subventions liées aux travaux sur les maladies infectieuses à la Fondation Bill & Melinda Gates.». On découvre également, en y regardant d’un peu plus près, que cette fondation Bill et Melinda Gates a aussi financé en 2019, de façon substantielle, entre autres choses, le journal Le Monde.

N’oublions pas de rappeler que Bill Gates était un proche d’Epstein. A ce titre, Gates est, par hypothèse, nécessairement impliqué dans les réseaux globalistes mafieux 11.

JB : Retard à l’allumage, morts minimisés, doutes sur le laboratoire P4 de Wuhan et sur l’émergence de ce virus, est-ce que la Chine a une responsabilité incontestable par rapport à cette pandémie ?

VB : Rappelons quelques faits chronologiques. Premièrement, ce virus, responsable du Covid-19, était un phénomène nouveau et la Chine, première victime désignée, a évidemment été surprise par cette nouvelle maladie, dont elle ignorait tout et en particulier la potentielle gravité. Dans ce contexte d’ignorance, aucun gouvernement censé au monde n’aurait été crier au loup et affoler toute sa population en pariant sur un épisode de peste noire, que de facto ce virus n’est d’ailleurs pas.

Le gouvernement chinois a, tout au contraire, rapidement pris des mesures techniques pour tenter de déchiffrer le génome de ce nouveau virus, qu’il a immédiatement rendu public.

Ensuite, il a pris des mesures politiques extrêmement énergiques – peut-être trop (?) – en confinant l’intégralité de la population du Wuhan puis d’ailleurs, avec les énormes risques psycho-sociaux que cette mesure impliquait ! En faisant cela, le gouvernement chinois a peut-être eu davantage à cœur la protection des autres pays, en évitant ainsi la propagation du virus, que le confort de sa propre population locale. Il est un peu fort, de la part des gouvernements occidentaux, d’aller le leur reprocher !

Il faut ajouter que le gouvernement chinois a, depuis lors et à plusieurs reprises, expliqué que le virus ne venait pas de Chine et a impliqué une fuite des laboratoires américains dans sa libération ainsi que des GI’s américains dans sa propagation. Aux dernières nouvelles, l’ambassadeur de Chine en Russie a expliqué que le séquençage du virus montre de façon indiscutable que sa paternité ne se situe pas en Chine mais aux USA et que c’est précisément la fuite de ce virus qui avait justifié la fermeture, par le gouvernement américain, du laboratoire de Fort Detrick à l’été 2019. De fait, plusieurs cas de grippes atypiques ont été décelés aux USA avant d’apparaître sur le territoire de Wuhan. Certains de ces cas avaient été mis sur le mauvais compte de l’industrie du vapotage par le puissant lobby du tabac. De plus, d’après plusieurs études concernant l’épidémie, le territoire américain est le seul à connaître toutes les formes du virus en question, ce qui, de facto, le désigne comme étant la source du virus incriminé 12.
Le gouvernement chinois a également dénoncé le rôle des GI’s dans la propagation du virus à l’occasion des jeux mondiaux militaires qui ont eu lieu au Wuhan à la fin du mois d’octobre 2019.

Tout récemment, les chinois viennent d’expliquer que le séquençage du virus en question ne laisse aucun doute sur le fait que ce dernier ne provient pas de Chine.

Une fois que l’on a mentionné cela, on ne sait pas pour autant si le président Trump était ou non effectivement informé de ce qui se passait réellement sur le territoire américain et plus précisément du caractère volontaire ou fortuit des fuites en provenance des laboratoires bactériologiques américains prétendument sécurisés. Comme je l’ai déjà expliqué, cette fuite peut avoir été organisée par certains membres du laboratoire tandis que la plupart de leurs confrères ignoraient tout. Les choses ne sont pas simples…

Aussi, il est possible de considérer qu’en impliquant la responsabilité du gouvernement chinois, Trump a – très maladroitement – cherché à leur transmettre le message selon lequel il n’était pas personnellement impliqué dans ces malversations et que le gouvernement chinois devait peut-être, lui aussi, investiguer sur la présence d’éventuels traîtres en son sein.

Ce n’est qu’une hypothèse, mais celle-ci me semble devoir être considérée. Car il faut toujours conserver à l’esprit que tous les gouvernements et toutes les institutions du monde comportent une composante patriote et une composante au service du globalisme. La distinction entre globalistes et patriotes, relativement aisée à voir en Russie, existe également aux USA, en Iran, et dans tous les pays du monde, même dans les pays européens vassaux, à l’exception sans doute de l’actuelle Syrie dont la guerre a de facto purgé le gouvernement de sa composante compradore.

JB : Un conflit Chine-USA est-il possible dans les mois à venir ?

VB : Le conflit a commencé depuis déjà un bon moment. Toutefois, si ce conflit existe bel et bien, la présentation qui en est faite est fallacieuse et propre à induire en erreur sur ses protagonistes réels.

J’ai déjà expliqué que les États, comme les organisations nationales et internationales, sont essentiellement en guerre contre eux-mêmes : plus précisément, leurs deux composantes globalistes et patriotiques se font la guerre. Les globalistes de tous les pays sont fédérés pour faire la guerre aux forces patriotiques, non fédérées, de tous les pays, ce qui génère une asymétrie entre les deux camps adverses dans les moyens de lutte. Cette guerre, qui existe et qui est féroce, n’est pas géolocalisée, elle ne consiste pas à ce qu’une entité politique géographique, comme les USA, fasse la guerre à une autre entité géographique, comme la Chine. Je répète que cette guerre consiste, pour les partisans des globalistes à faire la guerre aux patriotes.

Ainsi, si l’on veut bien considérer la guerre sous cet angle, on constate que les forces économiques qui œuvrent à instituer un gouvernement mondial sont derrières toutes les manœuvres qui ont consisté dans un premier temps à développer économiquement la Chine pour, dans un second temps, utiliser ce développement à leurs propres fins. L’objectif des globalistes n’a cependant strictement rien à voir avec le bien-être des chinois, il consiste à instituer une monnaie mondiale, ce qui nécessite la chute du dollar en tant que devise principale des échanges mondiaux. Pour cela, les globalistes s’appuient, temporairement, sur le renouveau économique chinois.

Il faut comprendre que, d’un point de vue stratégique, l’édification d’une monnaie mondiale et d’un gouvernement mondial supposent la disparition de tous les empires qui ont été précédemment financés et créés par les globalistes eux-mêmes dans une optique tactique de bon déroulement de leur plan. Il est très important de comprendre que les deux composantes, globaliste et patriotique sont présentes aussi bien en Amérique, qu’en Chine et qu’en Europe…

D’une façon un peu cynique, on peut constater que ce nouveau virus engendrant la maladie dite Covid-19, entre parfaitement dans le plan consistant à passer à l’étape monétaire suivante. En effet, la déclaration pandémique et les confinements économiques de la plupart des pays vont avoir pour conséquence une remise à plat de leurs économies, qui facilitera l’évolution des structures monétaires et étatiques vers la réalisation du projet globaliste.

Si l’on veut bien considérer le Covid comme une composante de cette guerre que les globalistes fédérés mènent aux patriotes éparpillés et non fédérés – ce qui réalise une guerre asymétrique par l’inégalité structurelle des forces -, on remarque que la ville de Wuhan, et plus largement la province de Hubei, semblent principalement investies et administrées par des forces globalistes, lesquelles s’opposent aux forces patriotiques du gouvernement chinois mais aussi du gouvernement américain.

JB : Revenons à l’Europe. Pourra-t-elle restée unie malgré les graves défaillances que cette crise révèle ?

VB : Vous savez sans doute, car c’est aujourd’hui parfaitement documenté, que l’Europe institutionnelle que nous connaissons a été artificiellement unifiée par les USA, puissance financière dominante depuis la seconde Guerre mondiale. Cette unification artificielle a connu un coup d’accélérateur à partir du traité de Maastricht, qui est né à la suite de la disparition du bloc soviétique – encore plus ou moins dominé par les forces patriotiques issues de la période Stalinienne – lequel opérait, à l’échelle mondiale comme un contre-pouvoir aux puissances financières de l’Ouest.

Au sein du gouvernement américain – contrairement à ce qui se passait en Union Soviétique – les factions globalistes et patriotiques n’étaient pas clairement identifiées au cours du XXème siècle. Pour dire les choses autrement, s’agissant de l’Union Européenne, ces deux factions étaient d’accord entre elles pour asservir les anciens empires européens.

Or, maintenant que l’empire américain lui-même se voit condamné, la dissociation de ses forces intérieures entre globalistes et patriotes est devenue un fait accompli. La construction européenne artificielle, fruit d’un attelage qui se dissocie, va immanquablement subir des tiraillements destructeurs entre les forces globalistes et patriotes.

En particulier, je vois mal comment la faction patriote des dirigeants allemands pourra accepter, en vertu de son histoire propre, de financer les énormes déficits qui seront générés dans tous les pays européens par les longues périodes de confinement, c’est-à-dire d’arrêt d’une grande partie des échanges économiques. Non seulement l’Allemagne est, et sera, durement touchée par ces périodes d’inactivité forcée mais les pays européens du sud, déjà extrêmement endettés, verront leurs propres niveaux d’endettement atteindre des sommets inégalés et vertigineux. Dans ces conditions, il est effectivement loisible de penser que l’euro ne survivra pas au Covid-19. La chute de la monnaie artificielle pourrait, à sa suite, emporter la chute de la construction politique artificielle. Toutefois, n’oublions pas qu’à l’opposé, il existe de très puissantes forces globalistes, dont le gouvernement français est le parfait représentant, qui feront tout pour pérenniser et consolider la construction européenne, monnaie et institutions comprises. Ces forces obscures disposent de la force publique – en particulier de la police – des mercenaires à vocation terroriste financés par des entités privées, d’immenses richesses matérielles et immatérielles, ainsi que d’énormes concentrations de données dématérialisées qu’elles utiliseront pour maintenir et consolider leur pouvoir, c’est-à-dire pour renforcer la cohésion des institutions européennes.

JB : Notre système politique français et la Vème République sont-ils
devenus obsolètes ?

VB : Cette crise sanitaire laisse apparaître en réalité une véritable crise de légitimité politique et de caducité de nos institutions dans la mesure où l’État de droit n’existe de facto plus. D’une part, cet état d’urgence sanitaire, véritable OVNI juridique, ne respecte pas le cadre constitutionnel de l’État d’urgence décrit à l’article 16 de la Constitution. D’autre part, le Parlement n’est lui-même pas en mesure de travailler dans des conditions normales. Enfin et pour finir, le gouvernement utilise cet état d’urgence pour s’autoriser, à ratifier des traités internationaux au mépris de la hiérarchie des normes et en outrepassant ouvertement les prescriptions de l’article 53 de la Constitution.

Ainsi, pour ce gouvernement, il est devenu évident que la Constitution est considérée comme une ressource juridique optionnelle. Nous nous trouvons donc collectivement plongés dans un État de non droit, les français étant dès lors dépourvus de toute garantie de sécurité individuelle et collective.

Récemment, le projet de loi du gouvernement prorogeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet, alors que le 24 juillet avait été annoncé dans la presse, et complétant ses dispositions est tellement attentatoire aux libertés que, devant les plaintes pénales d’ores et déjà annoncées, le Sénat a pris peur et s’est permis, par réflexe corporatiste, d’édicter un amendement exonérant de responsabilité pénale les décideurs qui exposeraient autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, sauf à démontrer l’intention de l’auteur, son imprudence ou sa négligence dans l’exercice des pouvoirs de police administrative, ou encore la violation manifestement délibérée d’une mesure de police administrative prise en application de cet état d’urgence sanitaire 13. L’avocat Régis de Castelnau a parfaitement décrypté et démonté cet amendement : inutile par rapport à l’état de la législation intérieure, illégal au regard des principes généraux du droit, mais pourvu d’une nuisance consistant à rendre subrepticement rétroactive l’amnistie pénale en question.

Cette mesure prise par les sénateurs, contre l’avis du gouvernement notons-le, qui s’apparente à une amnistie préalable, est une illustration symptomatique de l’état de non droit dans lequel le gouvernement a plongé la France. Ainsi, l’amendement des sénateurs s’analyse en un réflexe corporatiste des élus qui, contrairement aux membres du gouvernement, protégés par la Cour de Justice de la République, se retrouveront de facto en position de devoir faire face, seuls, aux conséquences juridictionnelles de la dictature sanitaire qui se met en place et surtout au fait que cette dictature s’avérera inefficace à résoudre le problème sanitaire que les mesures étatiques font par ailleurs tout pour empirer, comme nous l’avons vu plus haut.

Dans ces conditions, le gouvernement n’a sans doute pas prévu l’effet boomerang consistant, pour les parlementaires, à se désolidariser des membres du gouvernement, c’est-à-dire à ne pas filtrer et jouer d’effets dilatoires sur le filtrage des dépôts de plaintes qui auront lieu devant la Cour de Justice de la République.

A ce tableau de rupture définitive de l’ordre juridique interne, il faut ajouter la soumission totale du gouvernement français aux instances internationales et mondialistes. A titre d’illustration, mentionnons que le président de la République a refusé de s’allier à une plainte dont l’objectif aurait été une enquête sur l’OMS. Cette demande, initiée par le premier ministre australien Scott Morrisson, a été adressée aux présidents français, américain ainsi qu’à la Chancelière allemande 14. Nous ignorons, à ce jour, les retours des dirigeants américain et allemand à cette demande…

Un pas plus loin, Macron, Merkel et la présidente de la Commission européenne lancent une collecte mondiale de fonds, pour lutter contre la pandémie de Covid-19, la fondation Bill et Melinda Gates jouant un rôle important dans cette levée de fonds. Il s’agit ni plus ni moins que de « jeter les bases d’une véritable alliance internationale pour lutter contre le Covid-19 ».

Pour mettre en œuvre cette alliance d’intérêts réunis autour de la fondation Gates, les Macron ont entrepris de vendre le patrimoine mobilier de l’État français au bénéfice d’une association privée, la fondation des hôpitaux de France, fondée par Bernadette Chirac et actuellement présidée par Brigitte Macron. Le tout dans un mépris aussi parfait que complet, par le couple Macron, de la distinction entre biens publics et biens privés …

Mais nous avons un cas encore plus emblématique de la soumission totale du gouvernement français aux instances globalistes. Il s’agit de la récente décision du ministère de la santé de confier la stratégie de dépistage de la France à l’antenne « française » du cabinet américain Bain & Co.

Si l’on ajoute le fait que les différentes options de stratégies de déconfinement ont été développées – au niveau mondial et en France – notamment par le Cabinet, à vocation globaliste, BCG qui cite des sources issues de Johns Hopkins, centre lui-même très liés aux intérêts Gates, il s’agit du même cabinet qui a embauché Pierre De Villiers après que ce dernier ait quitté, en 2017, ses fonctions de Chef d’Etat major des Armées 15, on obtient une vision assez claire des forces globalistes à la manœuvre derrière le « gouvernement » français.

Enfin, rappelons que ce tableau français, politiquement très sombre, se situe dans un contexte institutionnel problématique que j’ai déjà souvent évoqué : le système politique fondé sur le parlementarisme représentatif n’est structurellement pas en mesure de mettre en œuvre un système démocratique ! Ce parlementarisme à la mode britannique, qui s’est répandu un peu partout sur la planète, est un système structurellement fondé sur les partis politiques et sur la corruption. Je renvoie les auditeurs intéressés à en savoir plus à mes articles et conférence traitant de ce sujet.

JB : Cette pandémie précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?

VB : La réponse est oui, étant donné que le virus continue de circuler et qu’il y aura d’autres virus aux prochains automnes et hivers : soit des mutations de l’actuel coronavirus, soit des nouveaux virus respiratoires, essentiellement différents mais tout aussi dangereux.

Dans le contexte d’hystérisation et de pénurie sanitaire actuel, s’il demeure une incertitude sur la forme future des virus qui circuleront, il n’y en a malheureusement aucune, sur la pérennité de l’enfermement collectif 16. Il est clair que le déconfinement réel et sans condition ne verra pas le jour avant de nombreuses semaines pour ne pas dire de nombreux mois ou de nombreuses années.

Ce confinement forcé, partiel ou total selon les périodes, aura de façon spontanée et imparable, des retentissements énormes sur les économies des différents pays du monde et, en particulier, sur les plus endettés d’entre eux, dont la France fait évidemment partie.

Des économies locales à l’arrêt pour une période indéterminée auront mécaniquement les effets suivants :

  • une augmentation de l’endettement des États afin de continuer à assurer le minimum de dépenses collectives, ce qui entraînera ;
  • une augmentation des impôts dans le même temps que les anciens services publics deviendront payants ;
  • une concentration radicale des richesses en forme d’accaparement : les survivants économiques s’empareront pour une bouchée de pain des actifs et des activités des entrepreneurs liquidés ; phénomène qui aura notamment – mais pas seulement – lieu au niveau bancaire 17.

Dans ces conditions, la spoliation du peuple, par tout moyen économique, juridique, financier, fiscal, monétaire, est une absolue certitude.

Ces phénomènes engendreront inévitablement de très graves troubles sociaux puisque la grande majorité des gens sera plongée dans un véritable état d’insécurité, tant au niveau social, économique, juridique que sanitaire.

Afin de contrer ce risque, les États et les organisations bancaires supérieures développent avec de plus en plus d’insistance la notion de revenu universel. Mais attention, ce revenu universel ne sera, pour tout ou partie, pas inconditionnel, ce qui permettra de rendre leurs bénéficiaires plus dociles. Ainsi, nous trouvons chez Microsoft une idée de génie consistant à associer la détention de parts d’une cryptomonnaie avec une activité corporelle déterminée 18. Ce brevet, déposé le 20 juin 2019 par Microsoft, a pour objet d’utiliser l’activité du corps humain dans un processus de « minage » d’un système de cryptomonnaie ! Il s’agit, dans ce système de cryptomonnaie couplée avec le dispositif de l’utilisateur, de vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, afin de n’attribuer une cryptomonnaie qu’à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées ! ON NE PEUT EXPRIMER PLUS CLAIREMENT LA DÉFINITION MÊME DE L’ESCLAVAGISME NOUVELLE NORME !

JB : Cette pandémie va-t-elle forcer l’humanité à se doter d’un gouvernement mondial ?

VB : Les conséquences de cette pandémie sont relativement imprévisibles. Il est difficile de dire avec précision quand et dans quelle mesure de violences les soulèvements populaires se produiront ; mais leur survenue est à peu près certaine dans un contexte de crise économique et politique majeure. Le basculement des pays soit dans le gouvernement mondial, soit dans le rétablissement de leur propre intégrité politique dépendra du degré de préparation et d’auto-organisation de leur population face au chaos social et politique.

Si les populations ont la capacité d’imposer un nouveau mode d’organisation, qui soit vraiment politique et au service de l’intérêt commun, le basculement se fera dans le sens du rétablissement de l’intégrité politique des États.

A contrario, si le chaos social dégénère en guerre civile sans aucun projet d’organisation politique à la clef, la situation basculera dans le sens des puissances globalistes, c’est-à-dire dans le sens de l’avènement du gouvernement mondial, dont les structures sont déjà parfaitement prévues et partiellement en place. Une telle évolution signifiera une mise en esclavage définitive des peuples au profit des oligarques globalistes.

Note de l'auteure

L'émission a été enregistrée en live sur Instagram mais elle n'a pas pu être enregistrée et rediffusée sur un autre support car Instagram l'a supprimée immédiatement après la diffusion.



Notes

  1. A tel point qu’un collectif d’avocats œuvre à mener une action collective revendiquant le « droit de soigner »
  2. En matière de masque :
    cf. https://www.vududroit.com/2020/04/covid19-quand-le-conseil-detat-se-fait-lavocat-de-lincurie ;
    pour un revirement récent, voir : https://www.alta-frequenza.corsica/actu/les_medecins_de_ville_peuvent_prescrire_de_l_hydroxychloroquine_selon_maitre_krikorian_qui_explique_une_decision_du_conseil_d_etat_103810
  3. Cf. https://youtu.be/Xcjiek4ChD8 ;
    https://youtu.be/ipT5UjXaXLE ;
    https://youtu.be/rgamPDmKDoc ;
    https://www.youtube.com/watch?v=UtgYuPYLoVU ;
    https://youtu.be/giyZvits7DU
  4. Voir :
    https://www.lefigaro.fr/international/bill-gates-nous-n-allons-pas-revenir-a-la-normale-avant-un-a-deux-ans-20200427 ;
    voir aussi :
    http://www.leparisien.fr/politique/olivier-veran-la-date-de-lever-du-confinement-pourrait-etre-remise-en-question-02-05-2020-8309694.php ;
    et encore : https://www-europe1-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.europe1.fr/sante/ce-qui-va-changer-avec-la-prolongation-de-letat-durgence-sanitaire-jusquau-24-juillet-3965881.amp
  5. Voir par exemple les travaux du suisse Jean-Dominique Michel :
    https://m.youtube.com/watch?v=afbeFoi679I
  6. Cf. article 2 du projet de loi de prorogation de l’état d’urgence :
    https://www.senat.fr/leg/pjl19-414.html
  7. Voir :
    https://www.arte.tv/fr/videos/061650-000-A/l-oms-dans-les-griffes-des-lobbyistes ;
    https://www.medias-presse.info/coronavirus-bill-gates-intrigue-contre-lhydroxychloroquine/119667
  8. Voir :
    https://www.dedefensa.org/article/bill-gates-et-covid-19 ; https://www.mondialisation.ca/le-coronavirus-et-la-fondation-gates/5643088
  9. Voir :
    https://www-irishcentral-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.irishcentral.com/news/robert-f-kennedy-jr-dr-fauci-covid19-vaccine.amp ;
    https://www.operanewsapp.com/ci/fr/share/detail?news_id=bfe3c7ecfce95941f198398f914395cf&news_entry_id=s1a75396200427fr_ci&open_type=transcoded&request_id=HOME_PAGE_c1b82e8c-2f40-4bc4-a542-4ed7367f57ba&from=news ;
    https://www-fort–russ-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.fort-russ.com/amp/2020/04/breaking-kennedy-exposes-dr-faucis-role-in-creating-highly-infectious-mutant-strain-of-coronavirus ;
    https://www.washingtonexaminer.com/news/roger-stone-accuses-bill-gates-of-using-pandemic-to-push-mandatory-vaccinations-and-microchipping-people ;
    https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/candace-owens-la-star-conservatrice-qui-accuse-bill-gates-d-empoisonner-des-enfants_2124134.html
  10. Voir :
    http://www.centerforhealthsecurity.org/event201 ;
    https://trustmyscience.com/pandemie-fictive-coronavirus-simulee-octobre-2019-a-tue-65-millions-personnes
  11. Lire notamment :
    https://profidecatholica.com/2020/04/17/bill-gates-refuse-de-dire-pourquoi-il-est-parti-en-avion-avec-jeffrey-epstein-apres-la-prison ;
    http://www.geopolintel.fr/article2230.html
  12. Voir :
    http://www.leparisien.fr/international/coronavirus-la-chine-accuse-les-etats-unis-d-etre-a-l-origine-de-la-pandemie-24-03-2020-8286891.php ;
    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pourquoi-la-chine-accuse-t-elle-les-etats-unis-davoir-importé-le-virus/ar-BB11xL8M
  13. Voir l’article II (nouveau) du projet de loi, ainsi rédigé :
    «  – Nul ne peut voir sa responsabilité pénale engagée du fait d’avoir, pendant la durée de l’état d’urgence sanitaire déclaré à l’article 4 de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, soit exposé autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, soit causé ou contribué à causer une telle contamination, à moins que les faits n’aient été commis :
    1° Intentionnellement ;
    2° Par imprudence ou négligence dans l’exercice des pouvoirs de police administrative prévus au chapitre Ier bis du titre III du livre Ier de la troisième partie du code de la santé publique ;
    3° Ou en violation manifestement délibérée d’une mesure de police administrative prise en application du même chapitre ou d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement. »
  14. Voir :
    https://fr.sputniknews.com/international/202004221043626121-la-france-va-t-elle-se-joindre-a-lenquete-internationale-contre-loms-la-reponse-de-macron ;
    https://www.lefigaro.fr/pour-emmanuel-macron-le-moment-n-est-pas-venu-d-enqueter-sur-l-oms-20200422
  15. Voir : les hypothèses de durée de confinement allant de 6 à 18 mois, faites le 2 avril et diffusées auprès des anciens salariés du monde entier mentionnées en page 7 du support ; je me réfère également à ce qui a été diffusé le 6 avril en audio pour les alumnis français. En gros, le BCG ne voit qu’une seule réelle issue au confinement : l’arrivée d’un vaccin ! Ces précisions nous ont été rapportées par plusieurs alumnis du BCG, lesquels bénéficient des exposés explicatifs précis diffusés par groupe
  16. Voir à cet égard la mise en garde de Bill Gates qui « redoute » un futur attentat bactériologique :
    https://www.ouest-france.fr/sante/bill-gates-redoute-une-pandemie-mondiale-4812704
  17. A cet égard, 25% des clients du cabinet BCG prévoyaient déjà en début d’année de réaliser dès l’été 2020 des opérations de fusions acquisitions
  18. Voir :
    https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606&tab=PCTBIBLI ;
    pour son explication publique, voir le document d’Alex Simon, vice-président du programme management de la division Identité concernant l’identité numérique future : https://www.microsoft.com/en-us/microsoft-365/blog/2018/02/12/decentralized-digital-identities-and-blockchain-the-future-as-we-see-it



Remous dans l’affaire EPSTEIN

[Source : Pierre Jovanovic]

Le dossier Epstein commence à livrer ses secrets un par un. Le dernier en date est celui d’un policier de Floride, Mark Dougan, qui avait réalisé une descente dans la villa Epstein, et avait saisi pour le compte de la police une partie de ce qui s’y trouvait. Dégoûté par ce qu’il avait trouvé, il a gardé des disques durs et, vu le danger, s’est exfiltré en… Russie. Il a donné à Politicalite.com une capture écran (floutée pour préserver le visage de l’adolescente) où l’une des victimes d’Epstein déclare qu’il s’agit du PDG d’un des grands conglomérats médiatiques américains… (j’ai vu la photo et franchement, c’est bien la même personne, mais bon, dans le doute, on suit le mouvement). Le site a retiré la photo et a publié des excuses :

« Politicalite has been unable to verify Mr Dougan’s claims on the matter, and discrepencies still exist. Measures have been implemented to ensure that a situation such as this does not occur again in the future. Editor in Chief Jordan James said: « Politicalite did not report this story with malicious intent; I believed the leak to be credible. I believed John Mark Dougan and a survivor of sexual abuse who now claims to represent the victims of Jeffrey Epstein. » « I have let our readers down and most importantly I have let the real victims of sexual abuse down. I deeply apologise for the mistakes and take full responsibility.« . La page de Dougan est ici).

[Traduction : Le politicien n’a pas été en mesure de vérifier les affirmations de M. Dougan sur la question et des divergences existent toujours. Des mesures ont été mises en œuvre pour éviter qu'une telle situation ne se reproduise à l'avenir. Le rédacteur en chef Jordan James a déclaré : "Politicalite n'a pas rapporté cette histoire avec une intention malveillante; je pensais que la fuite était crédible. Je croyais John Mark Dougan et un survivant d'abus sexuels qui prétend maintenant représenter les victimes de Jeffrey Epstein. J'ai laissé tomber nos lecteurs et, surtout, j'ai laissé tomber les vraies victimes d'abus sexuels. Je m'excuse profondément pour les erreurs et j'en assume l'entière responsabilité".]

Cela ne change rien au dossier Epstein, puisqu’on sait que tous les villas, appartements et demeures d’Esptein partout dans le monde étaient sonorisés et vidéo équipée afin de filmer les ébats de tous ses « clients » pour le compte du Mossad israélien. Rappelons que cette enquête en Floride l’avait conduit en prison « light », ce qui avait terni sa réputation, mais n’avait pas empêché, par la suite, Bill Gates de remonter dans l’avion Epstein, et cela bien après sa sortie de prison.

Il va de soi que l’avion était également « sonorisé » ou plutôt « vidéo équipé ». Si un site a publié la photo du soi-disant patron de NBC Universal, l’association des victimes d’Epstein en a remis une couche le 14 mai 2020, contre la très riche Eileen Guggenheim qui aidait, elle aussi, Epstein :

« It appears to us that you too, have attempted to distort the truth and keep the media at bay. However, the truth does seep out. We ask you again to abide by the requests made in our Petition (now shy of 7,000 signatures), and shared throughout the world. Please step forward, apologize to Maria Farmer (and her family), and remove Eileen Guggenheim from the Board. Yours truly, The Supporters of the Children, Now Adults, who Survived Jeffrey Epstein & Ghislaine Maxwell. Supporters include: Kirby Sommers, Stuart Pivar, Virginia Giuffre, Shawn Attwood. »

Lire ici.

[Traduction : Il nous semble que vous aussi, vous avez tenté de déformer la vérité et de tenir les médias à distance. Cependant, la vérité s'infiltre. Nous vous demandons à nouveau de vous conformer aux demandes formulées dans notre pétition (qui compte désormais 7 000 signatures) et partagées dans le monde entier. Veuillez vous avancer, présenter des excuses à Maria Farmer (et à sa famille) et retirer Eileen Guggenheim du conseil d'administration. Cordialement, Les partisans des enfants, maintenant adultes, qui ont survécu à Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell. Les partisans comprennent: Kirby Sommers, Stuart Pivar, Virginia Giuffre, Shawn Attwood.]

Notons Miss Giuffre est celle qui a été affectée au prince Andrew de la couronne anglaise.

Et maintenant, cher lecteur, on va raccrocher des wagons ensemble, les uns après les autres, vous montrant précisément que ce qui relie Bill Gates — Jeffrey Epstein — le Mossad — Netanyahou — le Pr Ferguson — Bain & Company — Facebook — OMS — CIA —Attali — Rockfeller Fondation et l’UE n’est qu’une seule entité : le vaccin, ou plutôt, la volonté de contrôler la population mondiale via un vaccin qui cache un système d’identification bancaire et santé.

  • Zero Hedge a révélé vendredi cette BD commandée en 2012 par Bruxelles qui raconte qu’à la suite d’une pandémie qui décime l’Europe, seuls les fonctionnaires de Bruxelles ont été capables de sauver l’humanité en se mettant d’accord sur un gouvernement global : « Bizarre EU-Funded Comic Book Predicted Pandemic, With Globalists As Saviours« , lire ici pour le croire.
  • Le Jerusalem Post du 8 mai 2020 nous apprend que le No 1 israelien Benjamain Netanyahu veut greffer des micro-puces sur les enfants !!
  • Le Tanzania Perspective rapporte que l’OMS a proposé un pot de vin de 20 millions de dollars pour un vaccin…
  • Le DailyPost du Niger a expliqué que Bill Gates a tenté de corrompre le gouvernement nigérian avec 10 millions de dollars pour passer une loi exigeant des vaccinations sans le circuit parlementaire habituel. Les Nigérians l’ont rejeté et l’ont rendu public, « Bill Gates offered House of Reps $10m bribe for speedy passage of compulsory vaccine bill. »
  • Bill Gates annonçait une pandémie dans le Ouest-France (voir plus bas) du 20 fev 2017.
  • Le fait que le professeur Ferguson (voir plus bas) qui avait promis 5 millions de morts en France, et aussi en Angleterre, (ce qui a justifié le confinement) avec des calculs mathématiques bidons, a été aidé et financé directement par Bill Gates et Microsoft et que ses prévisions son archi fausses. À la place des 5 millions de morts en France, on n’en compte « que » 27.000 sachant que 44% des cas sont des personnes assez âgées… (les stats ont été gonflées).
  • Le fait que la fondation Rockfeller ait parlé d’une pandémie et du blocage des populations dès 2014 [NdNM : en fait, dès 2010 ; voir La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?] pour mettre en place le « nouvel ordre mondial », regardez cette vidéo de Harry Vox (2014) ici à partir de 7 minutes.
  • Le fait que Bill Gates ait été en contact avec l’Elysée durant le confinement : « The meeting was designed to show that wealthy countries would not keep research results from poor, developing nations: 20 world leaders and global health figures were on the call. Bill Gates was there. As was German chancellor Angela Merkel and French president Emmanuel Macron. », lire ici Masslive. [Traduction : « La réunion visait à montrer que les pays riches ne garderaient pas les résultats de la recherche des pays pauvres et en développement : 20 dirigeants mondiaux et personnalités mondiales de la santé étaient sur l’appel. Bill Gates était là. Tout comme la chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron. »]
  • Une député italienne Sara Cuniel a demandé à ce que Bill Gates soit immédiatement arrêté pour les 500.000 handicapés dus à son vaccin en Inde (ici la video de son discours au parlement de Rome).
  • Le fait que Macron ait donné le contrôle du déconfinement des Français à une filiale du Mossad (voir plus bas) Bain & Company.
  • Le fait que Bill Gates ait fait un chèque de plus de 2 millions d’euros au (entre autres) journal Le Monde pour parler de son vaccin.
  • Le fait que Bill Gates soit devenu le principal bailleur financier de l’OMS !!!! Il a rajouté 150 millions de dollars en avril 2020, lire ici Reuters. Rien que ça !
  • Le fait que le laboratoire de Wuhan ait été financé aussi bien par les Américains que les Chinois et les Français, et qu’en son sein se trouvait une virologue salariée également de Facebook, en charge des « fake news » médicales.

Lecteurs sous Apple IOS, le lien video que vous ne voyez pas est ici.


Regardez bien cet organigramme, il vous montre les liens directs. La mise en place de cet Ordre Mondial dont nous parlait Nicolas Sarkozy (« personne, je dis bien personne, ne pourra nous empêcher de mettre en place le nouvel ordre mondial« ) se déroule sous vos yeux.

Le but ultime : votre carte de crédit et carte d’identité / passport et tous les vaccins sur une petite puce, directement sous la peau pour un contrôle informatisé de la population. Le logiciel de contrôle global est déjà là depuis des années, il s’appelle Visa ou mastercard, et la puce, vous l’avez déjà sur vous dans votre poche. Il suffit de la déplacer : et là vous avez le brevet Microsoft 60606 qui touche une puce auto-alimentée par l’énergie de votre corps.

Bienvenue dans le livre 777 et l’Apocalypse de Saint Jean : – )

PS : le gouvernement suédois, lui, a refusé le confinement, a sauvé son économie et ses travailleurs, et a eu moins de morts par million d’habitants que toute l’Europe. Cela vous montre à quel point ce confinement a été une arnaque.

PS2 : je commence à croire que la suppression des 150.000 lits d’hôpitaux par Sarkozy – Hollande – Macron était le PLAN DE DEPART pour créer l’hystérie du danger, par… manque de lits.

PS3 : n’oubliez pas : Agnès Buzyn a placé la chloroquine en substance vénéneuse en décembre 2019, avec apparition dans les textes en janvier 2020. Superbe timing pour empêcher la chloroquine d’agir pour quelques centimes par patient.




L’OMS, Bill Gates et les vaccins

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Voici la deuxième partie d’une série de 5 articles.

Lire la première partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine» ou ici

L’OMS, Bill Gates et les vaccins

Au cours des deux dernières décennies, Bill Gates est devenu à la fois le plus grand donateur privé de l’OMS et le kingpin des vaccins.

Parmi les recommandations du triumvirat d’Event 201, (plus de détails dans la première partie) on trouve l’augmentation des stocks de vaccins de l’OMS et l’on suggère CEPI et Gavi comme collaborateurs de l’OMS :

« L’industrie, les gouvernements nationaux et les organisations internationales doivent travailler ensemble pour augmenter les stocks internationaux de contre-mesures médicales (CMM) afin de permettre une distribution rapide et équitable lors d’une pandémie grave.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dispose actuellement d’un stock virtuel de vaccins contre la grippe, avec des contrats en place avec des sociétés pharmaceutiques qui ont accepté de fournir des vaccins si l’OMS en faisait la demande. Ce modèle de stock virtuel pourrait être étendu pour accroître la capacité de l’OMS à distribuer des vaccins et des produits thérapeutiques aux pays qui en ont le plus besoin en cas de grave pandémie. Cela devrait également inclure tout stock de vaccins expérimentaux disponibles pour tout pathogène du plan de R&D de l’OMS et pouvant être déployé dans le cadre d’un essai clinique pendant les épidémies en collaboration avec CEPI, Gavi et l’OMS. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Notons que des vaccins expérimentaux contre le SRAS-CoV-2 sont actuellement testés en Afrique du Sud.

La Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) est une fondation qui récolte des dons pour financer des projets de recherche et développement de vaccins.

La CEPI, qui a reçu 100 millions de dollars de la Fondation Gates à ses débuts, est selon la revue Nature, « la plus grande initiative de développement de vaccins contre des virus potentiellement à l’origine d’épidémies ». Inaugurée au Forum économique mondial de Davos en 2017, la Coalition est aujourd’hui un joueur clé dans le développement d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2.

cepi-coucou

La fondation a été critiquée par Médecins Sans Frontières (MSF) en mars 2019 à la suite d’un changement de politique concernant les prix des vaccins qu’elle finance. La politique élaborée conjointement avec MSF garantissait « que les vaccins développés par la coalition seraient abordables ».

En juin 2018, « apparemment en raison du mécontentement des acteurs de l’industrie vis-à-vis de cette politique, la CEPI a pris la décision de rédiger une nouvelle politique d’accès » et adopté « une politique d’une faiblesse alarmante ». Cette nouvelle politique risque de donner lieu à « des accords lucratifs pour les sociétés pharmaceutiques qui peuvent fixer leurs propres prix sans tenir compte de la nature abordable des vaccins qu’elles développent grâce à un financement public et philanthropique ».

En résumé, la CEPI récolte des fonds publics et philanthropiques, lesquels sont versés aux pharmaceutiques pour qu’elles développent des vaccins grâce auxquels elles s’enrichissent.

La structure de financement de la CEPI repose sur la vente de « bons de vaccins » par l’organisation Gavi, l’Alliance des vaccins fondée par la Fondation Gates.

Gavi est le second donateur privé de l’OMS.

Elle se décrit comme « une organisation internationale visant à améliorer l’accès à de nouveau vaccins et à des vaccins sous-utilisés aux enfants vivant dans les pays les plus pauvres du monde ».

On peut lire sur le site de Gavi :

« La Fondation Gates a fait une contribution financière de 750 millions de dollars pour fonder Gavi en 1999. La Fondation est un partenaire clé de Gavi dans la formation de marchés pour les vaccins. »

gavi gates
« Notre meilleur investissement. »

Les acteurs d’Event 201, financé entre autres par la Fondation Bill and Melinda Gates, ont donc recommandé aux « hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et [aux] leaders des industries mondiales » d’augmenter les stocks de vaccins de l’OMS, financée par la Fondation Gates, en passant par deux organisations financées par la Fondation Gates.

Ce genre de philanthropie tentaculaire est-elle totalement désintéressée?

Il semblerait que non.

Le 17 mars 2020, The Nation publiait une enquête sur la Fondation Bill and Melinda Gates, Bill Gates’s Charity Paradox.

Grâce aux dons déductibles d’impôts faits par son organisme de bienfaisance, Bill Gates a accru sa fortune. Rien de surprenant ni d’illégal là-dedans, il n’est pas le seul à profiter des avantages fiscaux que confère une fondation.

Ce qu’il y a toutefois de plus pertinent dans le cas qui nous préoccupe est que sa fondation a fait des dons à de nombreuses sociétés pharmaceutiques desquelles il détient des actions ou des obligations :

« The Nation a trouvé près de 250 millions de dollars de subventions caritatives de la Fondation Gates à des entreprises dans lesquelles la fondation détient des actions et des obligations : Merck, Novartis, GlaxoSmithKline, Vodafone, Sanofi, Ericsson, LG, Medtronic, Teva et de nombreuses nouvelles entreprises, les subventions étant destinées à des projets tels que le développement de nouveaux médicaments et de systèmes de surveillance de la santé et la création de services bancaires mobiles.

Une fondation qui accorde une subvention à une entreprise qu’elle possède en partie – et dont elle pourrait bénéficier financièrement – semble être en conflit d’intérêts évident […] »

Gates-conflit-intérêts

Le journaliste Tim Schwab conclut que « la fondation fait plus que simplement s’associer à des entreprises : elle subventionne leurs coûts de recherche, ouvre des marchés pour leurs produits et finance leurs revenus d’une manière qui, dans l’ensemble, n’a jamais fait l’objet d’un examen public ».

Sujet d’article pour Gérald Fillion peut-être?

Bill Gates finance donc « la plus grande initiative de développement de vaccins », la CEPI, et une myriade d’autres sociétés et institutions impliquées dans le développement de vaccins, il finance également la formation de marchés pour les vaccins (Gavi), il investit dans les sociétés pharmaceutiques qui profitent de la vente de vaccins, et à titre de donateur privé numéro un et deux (Gavi) de l’OMS, il est dans une position idéale pour influencer les politiques mondiales de santé publique du genre « vaccinons la planète ».

Ce beau modèle philanthropique d’intégration verticale nous amène à la question suivante : l’OMS agit-elle en fonction des intérêts de ses donateurs ou dans l’intérêt des peuples?

L’ancienne directrice de l’OMS Margaret Chan, a répondu à cette question en entrevue au New York Times en 2014 :

« Q: Quel rôle le financement joue-t-il dans la réponse de l’OMS aux éclosions?

R: Mon budget est largement affecté, il est donc motivé par ce que j’appelle les intérêts des donateurs.»

Cela ouvre toute grande la porte aux conflits d’intérêts.

Rappelons que d’autres types de conflits d’intérêts au sein de l’OMS se sont manifestés dans toute leur splendeur lors de la fausse pandémie de grippe A H1N1 en 2009. L’OMS, dont les conseillers étaient liés à l’industrie pharmaceutique, avait recommandé la vaccination à grande échelle, incitant ainsi les gouvernements à acheter des quantités astronomiques de vaccins.

Les revenus des ventes de ces vaccins auraient atteint 6,9 milliards selon JP Morgan.

Le Conseil de l’Europe a d’ailleurs sévèrement critiqué l’OMS, l’accusant de « défaut de transparence », de « gaspillage de l’argent public » et d’« incitation à une crainte injustifiée ».

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Est-ce l’histoire qui se répète?

Si les États-Unis mettent réellement un terme à leur financement de l’OMS en 2021, la Fondation Bill et Melinda Gates deviendra son plus important donateur.

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L’influence écrasante du milliardaire ne s’arrête pas là.

À cela s’ajoute du financement lié à des membres du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination, composé de 15 personnes. Quatre d’entre elles ont participé à divers projets ou études financées par la Fondation Bill and Melinda Gates et/ou GAVI et l’un d’entre eux est actuellement membre d’un comité de la Fondation Gates. Les institutions de trois d’entre eux ont reçu des subventions de la Fondation. Leur déclaration d’intérêts est ici.

Cela ne signifie pas que ces experts agissent dans l’intérêt de la Fondation Gates, mais il serait naïf de croire que cette dernière n’a aucune influence sur leurs décisions.

On ne mord pas la main qui nous nourrit.




COVID-19 : qui est complotiste?

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Afin de nous trouver sur la même longueur d’ondes, il me faut définir ce mot.

Complotiste : défenseur d’une théorie du complot

C’est comme de dire, raciste : défenseur d’une théorie du racisme.

Nous n’allons pas loin, avec ça.

Un synonyme est conspirationniste.

Qu’est-ce qu’une théorie du complot ou de la conspiration ?

Ce qui est sûr, c’est que ces mots sont péjoratifs, mauvais. 

Personne n’aime cette étiquette : « complotiste », « théoricien de la conspiration ».

Depuis le 11 septembre 2001, ce mot déjà ancien [1] est utilisé pour disqualifier toute personne qui tient des propos contraires aux versions officielles

Analysons cette phrase car chaque mot est important.

Par officielles, beaucoup veulent dire : gouvernementales

Ce n’est pas tout à fait ça.

Si vous dites que Donald Trump, pourtant président officiel et chef élu du gouvernement des USA, raconte des conneries, a utilisé les Russes pour être élu [2] ou veut annuler les prochaines élections américaines [3], toutes théories du complot contre lui, contre Trump, tous les journalistes occidentaux vous applaudiront. Ils ne vous traiteront pas de conspirationniste même si, selon la définition, c’est ce que vous êtes en diffamant ainsi.

Dans le cas du COVID-19 de 2020, si vous dites que tous les docteurs (et il n’y en a pas deux, dix ou cent, mais des milliers à travers le monde) qui disent que l’hydroxychloroquine soigne le COVID-19 sont des fous échappés d’un asile d’aliénés [4], une fois encore, les journalistes vous féliciteront. En tout cas, même sans preuve de ce que vous avancez, personne ne vous traitera de théoricien du complot.

Pourtant, c’est une théorie et c’est dirigé contre des docteurs diplômés, officiels. 

En faisant cela, vous accusez des médecins [5] dont certains travaillent à l’Université ou dans des
hôpitaux reconnus, depuis des dizaines d’années, tels que le professeur d’épidémiologie Harvey Risch [6] de la Yale School of Public Health, le professeur Didier Raoult,  directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille, le docteur Christian Perronne [7], professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes et ancien président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique, en plus de nombreux médecins moins connus mais tout aussi fiables et sérieux, médecins de famille, de terrain, généralistes ou spécialistes [8 à 13].

Vous êtes un fameux « théoricien conspirationniste » si vous pensez que tous ces docteurs diplômés mentent ou veulent vous manipuler, Dieu saurait pourquoi.

Pourtant, personne ne vous traitera de ça.

La vérité, c’est que vous serez étiqueté « complotiste » si et seulement si vous tenez des propos contraires aux versions officielles des personnes, institutions, gouvernements adoubés, reconnus.

Adoubés, reconnus par qui ?

  1. Par les institutions internationales (Organisation Mondiale du Commerce, Organisation Mondiale de la Santé, Fond Monétaire International, Forum économique mondial, Organisation des Nations-Unies, Commission Européenne, Agence européenne du Médicament…). 
  2. Par des relais nationaux qui rendent compte à ces institutions internationales et ce, dans tous les domaines importants, sanitaires, médicaux, éducatifs, médiatiques, économiques… [14]

Tout cela forme un système cohérent, transnational, supranational, animé de buts communs et utilisant un langage précis et étudié.

Il faut bien saisir que ce système est indépendant des hommes politiques et survit aux changements électoraux. Il se perpétue, quoi qu’il arrive, non pas au travers d’un président, d’une personne en particulier, mais au travers de ces institutions qui traversent tous les scandales [15 à 18] et toutes les attaques sans prendre une égratignure.

Qui dirige ce système ? 

Je ne vous répondrai pas ici d’abord parce que c’est un autre travail qui mériterait un article à part entière et ensuite, parce que de nombreux chercheurs ont déjà brillamment cerné ce sujet [19 à 22].

Donc, être président, chef de gouvernement, médecin diplômé et représenter une autorité valable et sérieuse ne suffisent pas pour vous protéger de toute contestation en arguant que le contestataire serait un complotiste.

Non.

Pour cela, pour bénéficier de cette protection, il faut appartenir à ce système, parler son langage et poursuive ses buts.

Ainsi, Anthony Fauci aux propos pourtant critiquables et contradictoires [23] ne sera jamais traité de complotiste. 

Le professeur Harvey Risch, oui.

Ainsi, les journaux qui affirment que le Remdesivir est efficace dans le COVID-19, contrairement à l’hydroxychloroquine, ne seront jamais qualifiés de complotistes.

Ceux qui disent le contraire, études et médecins à l’appui, oui. 

Le problème, c’est que Trump a dit qu’il était pour l’hydroxychloroquine aussi, et cela, c’est le discrédit à tous les coups.

On dit que le Remdesivir a prouvé son efficacité face au Covid-19, dans un journal belge du 11 août 2020 [24]. 

Les mots sont importants. 

Le mot « prouvé », en l’occurrence, est faux. 

Mais qui s’en apercevra, si vous n’êtes ni docteur, ni au fait des études en question ?

En attendant, un mensonge passe comme une évidence, une vérité.

Un seul traitement par le Remdesivir rapportera 2500 $ par patient à la firme Gilead [25].

L’hydroxychloroquine, rien ou quasi.

Les termes « complotisme » ou « théorie de la conspiration » n’ont rien à voir avec la vérité ou avec la crédibilité, cela a à voir avec le conformisme aux idées dominantes, dictées par le système qui poursuit implacablement ses buts.

Un autre mot important est le mot « théorie ». Théories de la conspiration

Cela sous-entend des divagations sans fondements, sans preuves.

Pourtant, de nombreuses affirmations étiquetées « théories de la conspiration » n’ont rien de théorique.

Il est rare d’avoir une preuve formelle au moment de son affirmation. Celle-ci peut découler de recherches, de réflexions, de présomptions.

En médecine légale ou en sciences criminelles, vous n’aurez pas toujours de preuves irréfutables mais un faisceau de présomptions solides (mobile, faits indirects et cohérents) qui suffit à condamner un accusé, selon la loi.

Prenons la « théorie conspirationniste » selon laquelle l’industrie pharmaceutique ferait pression pour discréditer l’hydroxychloroquine et privilégier ses produits coûteux, les antiviraux comme le Remdesivir ou les vaccins.

Ce serait bien d’avoir une preuve irréfutable de cela mais je vois mal un dirigeant de cette industrie écrire un tel aveu puis le laisser traîner afin qu’il tombe entre les mains d’un journaliste honnête. Ce serait vraiment suicidaire, vous ne trouvez pas ? Et de toute façon, on discréditerait ce dirigeant, ou ce journaliste, jusqu’à ce que leur parole soit sans valeur.

Par contre, comme on le ferait dans n’importe quelle enquête policière, y a-t-il un faisceau de présomptions solides ?

1) Cette industrie a-t-elle un mobile ?

Oui.

Cette industrie a un fameux mobile pour faire cela : l’argent.

Il ne s’agit pas de milliers ou de centaines de milliers d’euros qui pousseraient pas mal de gens à commettre des meurtres, mais de milliards d’euros [26-27].

2) Cette industrie a-t-elle les moyens de faire cela ?

Oui.

On le sait grâce au témoignage de personnes de l’intérieur, comme John Virapen ex-PDG d’Eli Lilly & Company en Suède [28], ou d’anciens rédacteurs en chef de grandes revues médicales comme Marcia Angell [29] (New England Journal of Medicine) ou Richard Horton [30] (Lancet).

3) Celle industrie l’a-t-elle déjà fait ?

Oui.

Il y a des cas avérés, prouvés qui illustrent la corruption de médecins par l’industrie pharmaceutique, comme celui de l’anesthésiste Scott Reuben ayant falsifié des données concernant l’efficacité de l’antidépresseur Effexor (venlafaxine), produit par la firme Wyeth (fusionnée avec Pfizer) dans les douleurs neuropathiques et postopératoires [31].

Et ce n’est qu’un exemple [32]. Plus récemment, vous avez le Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques.

Même lorsque les preuves sont là, avez-vous déjà vu un journaliste qui avait accusé quelqu’un de « théoricien du complot » faire son mea culpa, s’excuser de sa méprise et rétablir la réputation du « théoricien » en question ? Et surtout, rétablir la vérité ?

Pour seul exemple, je vais prendre l’histoire des bébés koweïtis arrachés à leur couveuse et jetés à terre par les soldats irakiens pour justifier l’intervention américaine en Irak en 1990. Le président Georges Bush senior s’en est servi à plusieurs reprises, dans plusieurs discours enflammés. 

C’était un mensonge [33]. 

Nous le savons. 

Pourtant, quiconque qui l’aurait su ou compris, et l’aurait dit à ce moment aurait été traité de « théoricien du complot » de connivence avec Saddam Hussein.

Pour la petite histoire et vous démontrer que ces techniques n’ont pas cessé en 1991 ou après la preuve de ce mensonge, la firme malhonnête derrière ce mythe est la même firme qui a aidé en 2020 l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à faire croire à la pandémie COVID-19 et à faire respecter ses diktats : la firme Hill & Knowlton [34].

Alors, qu’est-ce que ça veut dire, complotiste, et qui l’est vraiment ?

On le voit, ça ne veut rien dire.

C’est une étiquette péjorative, mauvaise, qui ne vous sera pas donnée si vous mentez, ou si vous critiquez une personne ou un gouvernement qui justement dérange le système.

Elle vous sera donnée si ce que vous dites, même si c’est vrai, plausible, prouvé, va à l’encontre du discours autorisé du système.

Vérifiez par vous-même.

Critiquez les docteurs qui défendent l’usage de l’hydroxychloroquine dans le COVID-19, et vous ne serez pas accusés de complotisme. 

Vous serez écoutés, approuvés.

Critiquez Anthony Fauci ou les conseils de sécurité nationaux contre le COVID-19, alors oui, vous serez accusés de complotisme, et même de tous les maux.

Très souvent, cela n’a rien à voir avec des théories.

Les faits avancés sont parfois prouvés, très souvent étayés de nombreux arguments solides et plausibles.

Les mots sont très importants. Ne sous-estimez pas leur importance. Ce sont eux qui dirigent nos pensées.

Je le sais en tant que docteur, mais également en tant que passionné de communication à visée thérapeutique.

Comme les tous premiers médecins de l’Antiquité, je sais que les mots peuvent guérir.

Ils peuvent aussi rendre dociles ou malades.

« Complotiste », « conspirationniste », « théoricien du complot » ne servent qu’à couper court à tout débat.

Qu’à faire rejeter la personne que le système dominant veut discréditer, pour que cette personne ne soit plus écoutée.

C’est cela qui est dangereux ; pas les « théories du complot ».

Ce qui est vraiment dangereux est de ne même pas vouloir débattre et d’exclure des idées, des personnes et des opinions sous prétexte qu’elles dérangent.

C’est cela qui sème les graines d’une société totalitaire ; pas les théories du complot.

C’est en refusant tout débat, toute discussion et en brandissant ce genre d’expression disqualifiante, que le pire vient.

Dr Pascal Sacré


Image en vedette : pixabay.com

Notes :

[1] Théorie du complot, Wikipédia

[2] Ingérence : comment la Russie a biaisé la campagne de 2016 au profit de Trump

[3] Comment Trump pourrait saboter l’élection pour la remporter

[4] Hydroxychloroquine: Goliath contre David, acte I : les détracteurs

[5] Covid-19 – Hydroxychloroquine, David contre Goliath, acte II : les supporteurs

[6] L’hydroxychloroquine agit chez les patients à haut risque, et dire le contraire est dangereux, Harvey Risch M.D., Ph.D., professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health.

[7] Christian Perronne : “À Garches, nous avons de bons résultats avec l’hydroxychloroquine”, 15 avril 2020, Fervent défenseur du traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine, pour le Pr Christian Perronne la question de son efficacité ne se pose plus. Chef du service infectiologie de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, il le constate tous les jours depuis le début de l’épidémie : le traitement du Pr Raoult soigne et réduit considérablement les passages en réanimation.

[8] Riposte à la covid-19 : la saine colère du Dr BELLATON, Source : page Facebook de Silviane Le Menn, 20 avril 2020.

[9] Coronavirus : le bilan très positif d’un praticien lorrain qui prescrit l’hydroxychloroquine, le Républicain Lorrain, Philippe Marque, 6 avril 2020. Le bilan est plus que positif : « J’ai utilisé ce protocole sur une dizaine de patients hospitalisés, qui ont donc un Covid-19 déjà relativement inquiétant, et je n’ai eu ni décès ni aucune évolution vers un stade grave nécessitant une réanimation. »

[10] Un médecin mosellan constate l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine, le Républicain Lorrain, Thierry Fedrigo, 11 avril 2020. Deux médecins mosellans et l’une de leurs consœurs belges semblent avoir mis au point une combinaison médicamenteuse efficace contre le coronavirus. Tablant sur l’azithromycine sans recourir à l’hydroxychloroquine prônée par l’infectiologue Didier Raoult, ils ont constaté une chute nette des hospitalisations de leurs patients traités.

[11] Un médecin néerlandais soigne les patients atteints de coronavirus, mais le gouvernement néerlandais n’est pas content, Amari Roos, 10 avril 2020

[12] Des médecins algériens attestent de l’«efficacité quasi totale» de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 27 avril 2020. Les chefs de services de maladies infectieuses d’un hôpital à Blida et d’un autre à Alger affirment que le protocole à base d’hydroxychloroquine, suivi dans le traitement des patients atteints du coronavirus, donne un résultat positif « quasi-total »

[13] Après l’Algérie, le Maroc encense l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, 1 mai 2020. Le protocole thérapeutique à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine utilisé contre le Covid-19 « a donné des résultats positifs » au Maroc, a déclaré le ministre de la Santé, précisant que les « effets secondaires sont minimes ».

[14] Ordres nationaux tels que l’Ordre des Médecins, l’Ordre des Pharmaciens, Hautes Autorités de Santé, Sciensano en Belgique…

[15] Agence européenne du médicament : des experts sous influence ?, 12 décembre 2017.

[16] Covid-19: les conseillers du pouvoir face aux conflits d’intérêts, paru le 31mars 2020, écrit par Rozenn Le Saint et Annton Rouget.

[17] Coronavirus : des liens troubles entre labos et conseils scientifiques, Valeurs actuelles, 3 avril 2020.

[18] L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe va enquêter sur l’OMS et le scandale « pandémique », Mondialisation.ca,  F. William Engdahl, 6 janvier 2010

[19] Anthony C Sutton : économiste, historien et écrivain britannique. Sutton fut chercheur à Stanford au sein de la fondation Hoover de 1968 à 1973. Il enseigna l’économie à l’UCLA. Il étudia à Londres, Göttingen et UCLA et fut titulaire d’un doctorat en sciences de l’Université de Southampton, en Angleterre. En 1972, au sein de la Hoover Institution à Stanford : Wall Street et l’ascension de Hitler , Wall Street et la révolution bolchévique

[20] Carroll Quigley : historien américain et professeur d’histoire à l’Université de Georgetown de 1941 à 1976. Quigley est né à Boston où il étudie par la suite et où il décroche deux diplômes et un doctorat d’histoire de la proche et très réputée université Harvard. À l’Université de Georgetown  : Tragedy and Hope: A History of the World in Our Time

[21] Pierre Hillard :  essayiste français, docteur en science politique : La marche irrésistible du nouvel ordre mondial , Chroniques du mondialisme

[22] Michael Parenti, historien, politologue et critique culturel américain. Il a enseigné dans des universités américaines et étrangères. À lire absolument : L’Horreur impériale

[23] Lancet-Gate: « Mensonges scientifiques sur le coronavirus » et corruption des grandes sociétés pharmaceutiques., Mondialisation.ca, Prof Michel Chossudovsky, 15 juillet 2020. Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, présenté comme « le meilleur expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le salissage du remède HCQ qui avait été approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du Remdesivir de Gilead.

[24] Le remdesivir, médicament qui a prouvé son efficacité face au Covid-19, 11 août 2020.

[25] Le traitement au remdesivir coûtera 2.340 dollars, selon Gilead, 29 juin 2020

[26] COVID-19 : au plus près de la vérité. Vaccins., Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 2 août 2020

[27] COVID-19: au plus près de la vérité – Hydroxychloroquine (HCQ), Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 29 juillet 2020

[28] Médicaments effets secondaires : la mort, les laboratoires nous trompent. John Virapen, le cherche midi éditions, 2014

[29] La vérité sur les compagnies pharmaceutiques, comment elles nous trompent, comment les contrecarrer, Marcia Angell, MD, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, traduction en français, les éditions le mieux-être, 2005.

[30] COVID-19 : le côté obscur de la science révélé, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 26 mai 2020

[31] Top Pain Scientist Fabricated Data in Studies, Hospital Says, 11 Mars 2009

[32] Du Nujol au Tamiflu : la guerre menée par l’industrie pharmaceutique contre nos santés, Mondialisation.ca, Dr Pascal Sacré, 16 juin 2010

[33] l’affaire des Couveuses de la Mort et le début de la Guerre du Golfe

[34] COVID 19 – Contrat de l’OMS avec la société de relations publiques Hill & Knowlton


La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2020




Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Photo : Article de Politico de 2017. « Voici le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates. L’influence du magnat de l’informatique sur l’Organisation mondiale de la Santé suscite des critiques concernant des priorités mal placées et une influence excessive. »

Voici la 4e partie d’une série de 5 articles sur Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la « controversée hydroxychloroquine »

1ère partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine»

2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins

3e partie : Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens

Afin de bien comprendre le texte qui suit et d’éviter des attaques sur le manque de sources et de preuves, nous reproduisons intégralement la 2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins, texte que vous avez possiblement raté puisqu’il a été censuré par Facebook.

Si vous souhaitez passer directement à la 4e partie, copiez-collez ceci dans la barre de recherche : Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant! [NdNM : ou voir plus bas]

L’OMS, Bill Gates et les vaccins

Au cours des deux dernières décennies, Bill Gates est devenu à la fois le plus grand donateur privé de l’OMS et le kingpin des vaccins.

Parmi les recommandations du triumvirat d’Event 201, (plus de détails dans la première partie) on trouve l’augmentation des stocks de vaccins de l’OMS et l’on suggère CEPI et Gavi comme collaborateurs de l’OMS :

« L’industrie, les gouvernements nationaux et les organisations internationales doivent travailler ensemble pour augmenter les stocks internationaux de contre-mesures médicales (CMM) afin de permettre une distribution rapide et équitable lors d’une pandémie grave.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dispose actuellement d’un stock virtuel de vaccins contre la grippe, avec des contrats en place avec des sociétés pharmaceutiques qui ont accepté de fournir des vaccins si l’OMS en faisait la demande. Ce modèle de stock virtuel pourrait être étendu pour accroître la capacité de l’OMS à distribuer des vaccins et des produits thérapeutiques aux pays qui en ont le plus besoin en cas de grave pandémie. Cela devrait également inclure tout stock de vaccins expérimentaux disponibles pour tout pathogène du plan de R&D de l’OMS et pouvant être déployé dans le cadre d’un essai clinique pendant les épidémies en collaboration avec CEPI, Gavi et l’OMS. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Notons que des vaccins expérimentaux contre le SRAS-CoV-2 sont actuellement testés en Afrique du Sud.

La Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) est une fondation qui récolte des dons pour financer des projets de recherche et développement de vaccins.

La CEPI, qui a reçu 100 millions de dollars de la Fondation Gates à ses débuts, est selon la revue Nature, « la plus grande initiative de développement de vaccins contre des virus potentiellement à l’origine d’épidémies ». Inaugurée au Forum économique mondial de Davos en 2017, la Coalition est aujourd’hui un joueur clé dans le développement d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2.

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La fondation a été critiquée par Médecins Sans Frontières (MSF) en mars 2019 à la suite d’un changement de politique concernant les prix des vaccins qu’elle finance. La politique élaborée conjointement avec MSF garantissait « que les vaccins développés par la coalition seraient abordables ».

En juin 2018, « apparemment en raison du mécontentement des acteurs de l’industrie vis-à-vis de cette politique, la CEPI a pris la décision de rédiger une nouvelle politique d’accès » et adopté « une politique d’une faiblesse alarmante ». Cette nouvelle politique risque de donner lieu à « des accords lucratifs pour les sociétés pharmaceutiques qui peuvent fixer leurs propres prix sans tenir compte de la nature abordable des vaccins qu’elles développent grâce à un financement public et philanthropique ».

En résumé, la CEPI récolte des fonds publics et philanthropiques, lesquels sont versés aux pharmaceutiques pour qu’elles développent des vaccins grâce auxquels elles s’enrichissent.

La structure de financement de la CEPI repose sur la vente de « bons de vaccins » par l’organisation Gavi, l’Alliance des vaccins fondée par la Fondation Gates.

Gavi est le second donateur privé de l’OMS.

Elle se décrit comme « une organisation internationale visant à améliorer l’accès à de nouveau vaccins et à des vaccins sous-utilisés aux enfants vivant dans les pays les plus pauvres du monde ».

On peut lire sur le site de Gavi :

« La Fondation Gates a fait une contribution financière de 750 millions de dollars pour fonder Gavi en 1999. La Fondation est un partenaire clé de Gavi dans la formation de marchés pour les vaccins. »

gavi gates
« Notre meilleur investissement. »

Les acteurs d’Event 201, financé entre autres par la Fondation Bill and Melinda Gates, ont donc recommandé aux « hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et [aux] leaders des industries mondiales » d’augmenter les stocks de vaccins de l’OMS, financée par la Fondation Gates, en passant par deux organisations financées par la Fondation Gates.

Ce genre de philanthropie tentaculaire est-elle totalement désintéressée?

Il semblerait que non.

Le 17 mars 2020, The Nation publiait une enquête sur la Fondation Bill and Melinda Gates, Bill Gates’s Charity Paradox.

Grâce aux dons déductibles d’impôts faits par son organisme de bienfaisance, Bill Gates a accru sa fortune. Rien de surprenant ni d’illégal là-dedans, il n’est pas le seul à profiter des avantages fiscaux que confère une fondation.

Ce qu’il y a toutefois de plus pertinent dans le cas qui nous préoccupe est que sa fondation a fait des dons à de nombreuses sociétés pharmaceutiques desquelles il détient des actions ou des obligations :

« The Nation a trouvé près de 250 millions de dollars de subventions caritatives de la Fondation Gates à des entreprises dans lesquelles la fondation détient des actions et des obligations : Merck, Novartis, GlaxoSmithKline, Vodafone, Sanofi, Ericsson, LG, Medtronic, Teva et de nombreuses nouvelles entreprises, les subventions étant destinées à des projets tels que le développement de nouveaux médicaments et de systèmes de surveillance de la santé et la création de services bancaires mobiles.

Une fondation qui accorde une subvention à une entreprise qu’elle possède en partie – et dont elle pourrait bénéficier financièrement – semble être en conflit d’intérêts évident […] »

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Le journaliste Tim Schwab conclut que « la fondation fait plus que simplement s’associer à des entreprises : elle subventionne leurs coûts de recherche, ouvre des marchés pour leurs produits et finance leurs revenus d’une manière qui, dans l’ensemble, n’a jamais fait l’objet d’un examen public ».

Sujet d’article pour Gérald Fillion peut-être?

Bill Gates finance donc « la plus grande initiative de développement de vaccins », la CEPI, et une myriade d’autres sociétés et institutions impliquées dans le développement de vaccins, il finance également la formation de marchés pour les vaccins (Gavi), il investit dans les sociétés pharmaceutiques qui profitent de la vente de vaccins, et à titre de donateur privé numéro un et deux (Gavi) de l’OMS, il est dans une position idéale pour influencer les politiques mondiales de santé publique du genre « vaccinons la planète ».

Ce beau modèle philanthropique d’intégration verticale nous amène à la question suivante : l’OMS agit-elle en fonction des intérêts de ses donateurs ou dans l’intérêt des peuples?

L’ancienne directrice de l’OMS Margaret Chan, a répondu à cette question en entrevue au New York Times en 2014 :

« Q: Quel rôle le financement joue-t-il dans la réponse de l’OMS aux éclosions?

R: Mon budget est largement affecté, il est donc motivé par ce que j’appelle les intérêts des donateurs.»

Cela ouvre toute grande la porte aux conflits d’intérêts.

Rappelons que d’autres types de conflits d’intérêts au sein de l’OMS se sont manifestés dans toute leur splendeur lors de la fausse pandémie de grippe A H1N1 en 2009. L’OMS, dont les conseillers étaient liés à l’industrie pharmaceutique, avait recommandé la vaccination à grande échelle, incitant ainsi les gouvernements à acheter des quantités astronomiques de vaccins.

Les revenus des ventes de ces vaccins auraient atteint 6,9 milliards selon JP Morgan.

Le Conseil de l’Europe a d’ailleurs sévèrement critiqué l’OMS, l’accusant de « défaut de transparence », de « gaspillage de l’argent public » et d’« incitation à une crainte injustifiée ».

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Est-ce l’histoire qui se répète?

Si les États-Unis mettent réellement un terme à leur financement de l’OMS en 2021, la Fondation Bill et Melinda Gates deviendra son plus important donateur*.

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L’influence écrasante du milliardaire ne s’arrête pas là.

À cela s’ajoute du financement lié à des membres du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS sur la vaccination, composé de 15 personnes. Quatre d’entre elles ont participé à divers projets ou études financées par la Fondation Bill and Melinda Gates et/ou GAVI et l’un d’entre eux est actuellement membre d’un comité de la Fondation Gates. Les institutions de trois d’entre eux ont reçu des subventions de la Fondation. Leur déclaration d’intérêts est ici.

Cela ne signifie pas que ces experts agissent dans l’intérêt de la Fondation Gates, mais il serait naïf de croire que cette dernière n’a aucune influence sur leurs décisions.

On ne mord pas la main qui nous nourrit.


Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

Dès le début de la pandémie de coronavirus, Bill Gates est devenu un expert des pandémies, des maladies infectieuses, des vaccins, et des mesures de santé publique. Il fait depuis office de personne ressource pour les grands médias sur tout ce qui touche le coronavirus.

La liste d’entrevues des grands médias avec Bill Gates à ce sujet est consternante.

Le voici par exemple en entrevue à Fox News, avançant que nous pourrions avoir besoin de plusieurs doses de ce vaccin contre la COVID qui n’existe toujours pas.

Dans une longue entrevue à CBSN, il s‘exprime librement sur la nécessité du confinement, le retour à l’école, les déclarations de Donald Trump, les essais cliniques des vaccins et leurs effets secondaires (sujet avec lequel il n’est visiblement pas à l’aise, à environ 15 minutes), la désinformation sur les vaccins et les tests sur le coronavirus.

Contrairement à des médecins qui voient des patients chaque jour, mais se font censurer, Bill Gates peut se permettre de dire n’importe quoi.

Notons que la recherche sur les vaccins contre les infections virales, incluant les coronavirus, fait face un problème d’innocuité particulier, soit l’augmentation de la susceptibilité à l’infection induite par la vaccination. Lorsque ce phénomène se produit, les sujets vaccinés ont plus de chances d’être infectés par un virus contre lequel ils ont été vaccinés.

Le Dr. Fauci, à la tête du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) et figure de proue du Groupe de travail de la Maison-Blanche sur le coronavirus, l’a lui-même rappelé en conférence de presse il y a quelques mois (à 3:00 dans la vidéo) :

« Est-ce que le vaccin peut empirer votre situation? Il existe des maladies pour lesquelles on vaccine des personnes et elles deviennent infectées par ce contre quoi vous tentez de les protéger et, ainsi, vous augmentez l’infection. »

Les scientifiques ne sont d’ailleurs jamais parvenus à fabriquer un vaccin efficace contre un coronavirus.

Le 25 avril dernier le Business Insider rapportait que « le médecin hygiéniste en chef du Royaume-Uni, Christopher Whitty, a déclaré […] à une commission parlementaire qu’il y avait des preuves “préoccupantes” suggérant qu’il pourrait être impossible de stimuler l’immunité au virus. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

L’article débute ainsi :

« Les scientifiques craignent qu’il s’avère impossible de produire un vaccin efficace contre les coronavirus et pensent que le monde devra simplement apprendre à s’adapter à la menace permanente de la COVID-19. »

On ajoute plus loin :

« Les doutes sur la possibilité de disposer d’un vaccin viable reposent en grande partie sur le fait qu’aucun vaccin n’a jamais été approuvé aux États-Unis ou au Royaume-Uni contre d’autres formes de coronavirus.

M. Whitty a déclaré à la commission que les autres formes de coronavirus montrent que “l’immunité [au virus] diminue relativement rapidement”. »

Un vaccin possiblement impossible? Voilà une mission à la hauteur de notre homme, en qui les chefs d’État on tellement confiance qu’ils précommandent des doses de ce vaccin pratiquement mort-né à coup de millions de doses.

Sur son blogue, Bill nous parle de la course au vaccin : « l’humanité n’a jamais eu de tâche aussi urgente que de créer une vaste immunité contre le coronavirus », affirme-t-il.

Rappelons que le taux de mortalité de la COVID-19, qui était surestimé à 3 ou 4 % en février, serait maintenant d’environ 0,4 % « pour les personnes symptomatiques » selon les « meilleures estimations » du Centers for Disease Control (CDC). Si l’on se fie au journal Métro, il y aurait jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, donc le taux de mortalité peut être estimé au mieux à environ 0,1 % au pire à environ 0,3 %.

Mais il y a urgence selon le « philanthrope ». L’humanité entière doit être immunisée contre ce virus historique grâce à un vaccin.

Heureuse nouvelle, la BBC publiait récemment un article selon lequel des chercheurs, en effectuant des tests sur des échantillons de sang prélevés il y a des années, ont découvert que 40 à 60 % des gens étaient déjà immunisés contre la COVID-19 avant même que la maladie n’apparaisse.

« Plus bizarre encore, lorsque les chercheurs ont testé des échantillons de sang prélevés des années avant le début de la pandémie, ils ont trouvé des cellules T spécifiquement adaptées à la détection des protéines à la surface de la Covid-19. Cela suggère que certaines personnes avaient déjà un degré de résistance préexistant contre le virus avant qu’il n’infecte un être humain. Et il semble que cette résistance soit étonnamment répandue : 40 à 60% des personnes non exposées possédaient ces cellules […]

Le fait que les coronavirus puissent mener à des cellules T durables est ce qui a récemment inspiré les scientifiques à vérifier d’anciens échantillons de sang prélevés sur des personnes entre 2015 et 2018pour voir s’ils en contiendraient qui pourraient reconnaître la COVID-19. Comme c’est effectivement le cas, on peut penser que leur système immunitaire a appris à le reconnaître après avoir été confronté par le passé à des virus du rhume avec des protéines de surface similaires. »

bbc article immunity

Étrange découverte qui soulève énormément de questions, mais ne nous écartons pas du sujet.

Sur son blogue donc, Bill nous disait le 30 avril dernier ce que nous devons savoir sur le vaccin contre la COVID-19 :

« L’une des questions que l’on me pose le plus souvent ces jours-ci est quand est-ce que le monde pourra revenir à ce qu’il était en décembre, avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même : quand nous aurons un médicament presque parfait pour traiter la COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète aura été vaccinée contre le coronavirus.

La première solution ne risque pas d’arriver de sitôt […] Ce qui nous laisse avec un vaccin. »

Vous avez bien lu : presque chaque personne sur la planète devra être vaccinée avant que l’on retrouve une vie normale.

Vaccin que les scientifiques jugent pratiquement impossible à fabriquer.

Adieu la vie normale, bonjour la « menace permanente »?

Il le répète dans cette vidéo, « c’est le vaccin qui nous permettra de retourner à la normale » :

Comme si l’humanité n’avait jamais survécu à un coronavirus sans vaccin et sans le totalitarisme ambiant.

Le mantra est répété par de nombreuses personnes « faisant autorité », comme les autorités québécoises de santé publique, lesquelles ont « fait comprendre » aux Québécois un mois plus tard qu’un « retour à la complète normalité, c’est-à-dire comme en janvier dernier, n’est pas envisageable avant l’avènement d’un vaccin [d]ans au moins un an ou plus ».

Le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses connu pour son utilisation soi-disant controversée de l’hydroxychloroquine croit que « c’est un défi idiot » :

« Quand on ne sait pas gérer une maladie infectieuse, on nous sort le coup du vaccin ! Il est déjà difficile de vacciner correctement contre la grippe, alors contre un nouveau virus… Honnêtement la chance qu’un vaccin pour une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro. On peut avoir des surprises mais je suis sceptique. »

Mais bon, qu’est-ce qu’il en sait comparativement à Bill Gates, ingénieur en informatique et philanthrope totalement désintéressé?

Ironie à part, s’il y a un domaine dans lequel Bill Gates excelle, c’est le domaine financier. Tout le monde s’entend là-dessus et comme il est rare de s’entendre ces temps-ci, profitons-en!

Investir dans les vaccins, c’est payant!

En 2019, Bill Gates a déclaré en entrevue à CNBC qu’il avait investi 10 milliards dans les vaccins et que le « retour sur investissement est de plus de 20 pour un » :

https://youtu.be/6cfcaK8gBaA

« Si l’on regarde les bénéfices économiques, il s’agit d’un chiffre assez important comparé à tout le reste », dit-il en riant.

Bill Gates valait 54 milliards de dollars en 2010 et en vaut plus de 113 aujourd’hui.

Payant la philanthropie. Mais il affirme qu’il ne se doutait pas que ce genre d’entreprise serait lucrative.

Right.

Difficile de croire qu’il aurait investi 10 milliards de dollars sans aucune stratégie, sans savoir si cela serait lucratif.

Revenons à Gavi, « partenaire clé dans la formation de marchés pour les vaccins », fondée et financée par la Fondation Gates.

Dans un document sur les opportunités d’investissements chez Gavi pour la période 2021-2025, on nous explique ce que sont les « obligations de vaccins », structure de financement employée également par la CEPI, elle aussi financée par la Fondation Gates :

« L’Infrastructure internationale de financement pour la vaccination (IFFIm) utilise les engagements à long terme des gouvernements donateurs pour vendre des « obligations de vaccins » sur les marchés de capitaux, ce qui permet de mettre immédiatement à disposition des volumes importants de fonds pour les programmes de Gavi […]

L’IFFIm a transformé le paysage financier de Gavi, en doublant presque le financement des programmes de vaccination au cours des premières années de fonctionnement de l’IFFIm […]

Ces engagements à long terme soutiennent l’émission d’obligations et de sukuks [obligations islamiques] de vaccins émis sur différents marchés et dans différentes devises et lesquels se sont révélés remarquablement populaires auprès des investisseurs institutionnels et individuels qui souhaitent un rendement fondé sur le marché et une opportunité d’investissement éthique. Avec la Banque mondiale comme gestionnaire de la trésorerie, l’IFFIm a obtenu des donateurs des promesses de dons qui lui ont permis de réunir plus de 6 milliards de dollars US durant la période 2006-2018. »

Entre 2000 et 2020, Gavi a récolté 20,9 milliards de dollars des gouvernements, des banques, des multinationales et des organismes de bienfaisance.

gavi-funders

Les obligations de vaccins seraient « une forme unique de véritables investissements socialement responsables ».

Évidemment, plus on vend de vaccins, plus ces obligations sont rentables, et le meilleur moyen d’y arriver est par l’implantation de programme nationaux d’immunisation.

L’OMS peut donner un petit coup de pouce aux détenteurs d’obligations de vaccins en préconisant l’immunisation comme mesure de santé publique.

Gavi peut de son côté, travailler à la création de marchés pour les vaccins dans les pays en développement, quoiqu’en temps de pandémie, c’est comme mettre une rondelle dans un filet ouvert, surtout lorsque les grands médias surfent sur sa vague et, mieux encore, sur une possible deuxième vague, effrayant les populations, qui se jetterons sur le premier vaccin comme la misère sur le pauvre monde.

Augmenter le prix des vaccins est également souhaitable afin d’atteindre des taux de rendement supérieurs, ce dont semble s’être chargé la CEPI.

Bref, une pandémie « nécessitant » un vaccin est un cadeau du ciel pour quiconque a des investissements dans les vaccins. Personne ne peut le nier.

« Philanthropie monopolistique »

Pour revenir à l’OMS, grâce à sa fondation et à Gavi, le poids de Bill Gates sera largement supérieur à celui de tous les pays donateurs si les États-Unis mettent un terme à leur financement en 2021.

À moins que la philosophie de l’OMS ait changé depuis Margaret Chan, la réponse de l’organisation à l’éclosion de COVID-19 est motivée par les intérêts de ses donateurs, incluant Bill Gates.

Le philanthrope dit vouloir « améliorer la santé » afin de remédier au problème de surpopulation :

Pourtant, ses priorités iraient à l’encontre de ses propres objectifs selon un article de Politico de 2017.

« Certains milliardaires se contentent de s’acheter une île. Bill Gates, lui, s’est procuré une agence sanitaire des Nations Unies à Genève.

Au cours de la dernière décennie, l’homme le plus riche du monde est devenu le deuxième donateur de l’Organisation mondiale de la Santé […] Cette largesse lui donne une influence démesurée sur son programme […]

Selon ses détracteurs, il en résulte que les priorités de M. Gates sont devenues celles de l’OMSPlutôt que de se concentrer sur l’amélioration des soins de santé dans les pays pauvres – ce qui permettrait, selon eux, de contenir de futures épidémies comme celle d’Ebola – l’agence consacre une part disproportionnée de ses ressources à des projets dont les résultats sont mesurables, comme l’effort d’éradication de la polio, que préfère M. Gates […]

Il y a dix ans déjà, lorsque M. Gates a commencé à injecter des fonds dans l’éradication du paludisme, de hauts fonctionnaires – dont le chef du programme de lutte contre le paludisme de l’OMS – ont exprimé leur inquiétude quant au fait que la fondation faussait les priorités de la recherche. “Le terme souvent utilisé était celui de ‘philanthropie monopolistique’, l’idée que M. Gates adoptait son approche de l’informatique et l’appliquait à la Fondation Gates”, a déclaré une source proche du conseil d’administration de l’OMS […]

Les cotisations versées par les États membres représentent désormais moins d’un quart du budget biennal de l’OMS, qui s’élève à 4,5 milliards de dollars. Le reste provient des contributions volontaires des gouvernements, de Gates, d’autres fondations et d’entreprises. Comme ces fonds sont généralement destinés à des projets ou à des maladies spécifiques, l’OMS ne peut pas décider librement de la manière de les utiliser.

L’éradication de la polio est de loin le programme le mieux financé de l’OMS, avec au moins 6 milliards de dollars qui lui ont été alloués entre 2013 et 2019, en grande partie parce qu’environ 60 % des contributions de la Fondation Gates sont destinées à cette cause […]

Mais l’attention portée à la polio a conduit l’OMS à demander des fonds pour d’autres programmes, notamment pour soutenir les systèmes de santé des pays pauvres avant que la prochaine épidémie ne frappe. »

Tel que mentionné dans la 3e partie, Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens, « les cas de polio causés par des virus vaccinaux dans le monde entier ont été plus nombreux que ceux causés par des poliovirus naturels (sauvages) » et « la fréquence d’administration du vaccin oral contre la polio est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque aiguë (PFA) non poliomyélitique ». Les chercheurs suggèrent que ce vaccin est lié à 491 000 cas supplémentaires de PFA non poliomyélitique survenus entre 2000 et 2017.

Les contradictions ne s’arrêtent pas là.

Alors qu’il serait lui-même responsable du sous-financement des systèmes de santé des pays les plus pauvres, ce qui minerait leur capacité à faire face à une pandémie, Bill Gates nous disait dans un Ted Talk en 2015, que nous n’étions pas prêts pour la prochaine pandémie.

Selon le Business Insider :

« Bill Gates a plaidé pendant des années en faveur de la préparation aux pandémies et, en 2015, dans un célèbre TED Talk, il mettait en garde contre le nombre de décès potentiellement effarant qu’une pandémie mondiale pourrait engendrer. »

https://youtu.be/aYPPHX9ZyPk

Vaccinons la planète

En somme, Bill Gates est à la fois le « médecin le plus puissant de la planète » et le kingpin des vaccins, à la tête d’un vaste réseau qui touche à tout ce qui entoure les vaccins et les programmes d’immunisation. (Toutes les sources et explications détaillées de ce résumé sont dans la 2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins)

Bill Gates finance des organismes qui récolte du financement et créent des marchés pour les vaccins, il finance la recherche, le développement et la production de vaccins, ainsi que la production de matériel comme des seringues et des fioles, tout en investissant dans les pharmaceutiques.

Il affirme haut et fort que les investissements dans les vaccins sont hautement lucratifs, fonde un organisme (Gavi) dont le but est de développer des marchés pour les vaccins et dont le financement provient de la vente d’« obligations de vaccins » à d’importants investisseurs, obligations vendues également par une autre organisation qu’il finance (CEPI), vouée à la recherche et au développement de vaccins, et qui, selon MSF, « risque maintenant de financer des accords lucratifs pour les sociétés pharmaceutiques […] grâce à un financement public et philanthropique ».

Gates est au cœur d’un réseau de coordination entre gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques, toutes impliquées dans un plan d’action mondial pour les vaccins.

Et il a une influence écrasante à l’OMS.

wall street journal invest
Sauver des vies tout en obtenant un bon rendement par l’IFFIm.

Et Bill nous dit qu’il faut vacciner la planète entière.

Et. On. L’écoute.

C’est Si. Dé. Rant.

Sidérant.

L’ingénieur en informatique est sur toutes les tribunes à parler d’un vaccin contre la COVID-19 comme s’il était une sommité dans le domaine médical, alors que de nombreux médecins et experts sont dénigrés et censurés sans arrêt parce qu’ils osent préconiser des remèdes existants, abordables et efficaces, non seulement selon leur expérience sur le terrain, mais selon de nombreuses études.

Il est évident que s’il existe un remède peu coûteux contre la COVID-19, comme par exemple, l’hydroxychloroquine, cela ne sert ni les intérêts du multimilliardaire qui investit dans les pharmaceutiques et finance la vente d’obligations de vaccins, ni de ceux qui investissent dans ces obligations – dont de nombreux gouvernements et multinationales – ni les intérêts des pharmaceutiques qui doivent produire ces vaccins.

Ça fait beaucoup de monde riche et influent à qui profiterait la vaccination planétaire, laquelle serait évidemment freinée, voire inutile si un remède peu coûteux, efficace et reconnu pour son innocuité était disponible.

À la lumière de ce qui précède, nul ne s’étonnera du fait que la Fondation Gates a financé des études vouées à l’échec sur l’hydroxychloroquine.

C’est ce que nous verrons dans la suite et fin de cette série : Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine, le décrypteur et les géants de la tech.


*Le deuxième donateur de l’OMS pour la période 2018-2019 selon l’ONU est le Royaume-Uni avec 8,1 millions de dollars de plus que la Fondation Gates.




COVIDGATE : Robert Kennedy dénonce l’arnaque, Trump démantèle son équipe anti-Covid 19 puis recule

[Source : Strategika]

Par Michèle Marie pour Strategika

Robert F. Kennedy Jr. a récemment lâché une série de bombes au sujet de l’arnaque des vaccins de Bill Gates, censés rapporter des milliards de dollars à l’équipe anti-Covid 19 nommée par Trump en février dernier. Le 4 mai, le président américain a annoncé son démantèlement pour la fin du mois en cours, avant de faire brusquement volte-face 24 heures plus tard.
Cherchez à qui profite le crime…suivez la piste de l’argent, si vous voulez comprendre l’insistance à noircir le tableau et à vacciner la planète entière, a déclaré Kennedy dans une interview du 17 avril dernier. Belle imposture que celle de cette collusion entre Big Pharma, la Fondation Gates et l’agence gouvernementale qui emploie le Dr Anthony Fauci, chef de l’équipe du Covid 19, et qui pourrait recevoir jusqu’à 50 % du produit des ventes des vaccins de Gates. Le NIH (Institut national de la santé) est l’acteur clé dans le processus décisionnel en matière de vaccination et il touchera des sommes colossales si la société pharmaceutique soutenue par Gates, Moderna Inc., obtient le feu vert.

Bobby Kennedy Jr, un démocrate, est le neveu du President assassiné en 1963 et le fils de Robert Kennedy Sr, Procureur général et Sénateur, lui aussi assassiné cinq ans plus tard. Avocat de renom et passionné des questions d’environnement et de santé, il est devenu depuis une quinzaine d’années un ardent activiste anti-vaccins.

Le 15 avril dernier, Bobby Kennedy avait déjà fait d’autres révélations troublantes sur la carrière médicale du Dr Anthony Fauci au sein du gouvernement, dénonçant ses agissements douteux allant de la dissimulation à la fraude pure et simple. Kennedy avait également pris pour cible Dr. Deborah Birx, élève de Fauci et coordinatrice de l’équipe anti-Covid 19,  torpillant au passage Bill Gates, les grandes entreprises pharmaceutiques et les médias.

Le 30 avril, c’était au tour du Sénateur Scott Jensen de faire trembler les murs dans une interview au cours de laquelle il évoqua les magouilles du Covid-19, en se prévalant de son expérience de médecin : 

“A l’heure actuelle, l’assurance maladie détermine que si un patient est admis à l’hôpital pour un COVID-19, l’établissement hospitalier reçoit 13.000 dollars (trois fois plus que pour un autre malade).Si ce patient COVID-19 est placé sous respirateur, l’hôpital reçoit 39.000 dollars, soit trois fois plus que sans respirateur. C’est une pratique courante : vous essayez toujours d’augmenter l’indice de gravité de la pathologie pour obtenir plus de fonds. Et les hôpitaux sont mieux payés quand ils désignent le “coronavirus” comme cause du décès. C’est donc ce qu’on marque sur les certificats de décès.”

Dr Judy Mikovits, une éminente scientifique américaine et une pionnière dans le domaine de la recherche, qui avait brisé le 21 avril un silence de 30 ans pour démasquer le Dr. Fauci, donna le 4 mai une interview explosive qui peut être visionnée ici à la journaliste Tina Aguayo, sur la plateforme d’AmericasVoice.News.  Le compte twitter de la journaliste vient d’être suspendu et si la vidéo de l’émission est  pour l’instant encore visible sur YouTube, il vaut mieux en faire immédiatement une sauvegarde car elle sera bientôt censurée. 

Dr Mikovits y raconte en detail le cauchemar enduré durant ses longues années de recherche sous le contrôle administratif du Dr. Fauci au sein du NIH, la corruption et la cupidité qui y sont les mots d’ordre: menaces, vaccins contaminés, fraude, dissimulation…rien ne manque à son récit.Pas même son emprisonnement de 5 ans par les bons soins du Dr Fauci, sur la base d’un faux témoignage, après qu’il lui ait volé ses découvertes scientifiques non pas une, mais deux fois. Les vaccins tuent, affirme Dr. Mikovits, ou sont à tout le moins responsables de quantité de maux modernes jadis quasi-inexistants, l’autisme, les allergies chroniques, les maladies épidémiques. L’extrême toxicité de leur composition est due aux métaux utilisés comme adjuvants, mais également au fait que les vaccins sont mis au point à partir de cultures de cellules animales (quand elles ne sont pas fœtales).

Les deux dernières minutes de l’interview sont un message adressé au Président Trump :

“Mettez fin aux masques faciaux qui activent les virus et tuent littéralement les gens, en particulier ceux qui ont reçu le vaccin contre la grippe. Nous ne devons pas continuer à respirer notre propre air vicié, les personnes les plus vulnérables peuvent en mourir.Mettez fin au confinement. Licenciez les Dr Anthony Fauci et Deborah Birx.Fermez la FDA [Food and Drug Administration] qui empêche les gens d’avoir accès aux médicaments susceptibles de leur sauver la vie [comme l’hydroxychloroquine]. Mettez fin au programme de vaccination, imposez un moratoire de 5 ans, ne permettez plus qu’aucun autre vaccin ne soit prescrit.Le Covid 19 est un fléau, mais c’est un fléau créé par la corruption, pas par une maladie”.

Comme l’indique cette capture d’écran d’un tweet publié sur la page de Tina Aguayo peu avant qu’elle ne soit censurée, le même Dr Fauci qui s’était opposé à Trump pour l’usage de l’hydroxychloroquine dans le traitement du coronavirus, l’avait adoptée avec enthousiasme en 2013 sans avoir besoin d’aucun test clinique.

Le témoignage du Dr Judy Mikovits est également accessible dans un ouvrage * dont elle est l’auteur, préfacé par Robert Kennedy et paru le 14 avril dernier : “Plague of Corruption: Restoring Faith in the Promise of Science”. [Le fléau de la corruption ou comment rétablir la confiance dans les promesses de la science] 

Quelques heures après son interview, Dr. Mikovits se réjouissait dans un tweet du fait que le President l’avait visionnée avec intérêt. La chose lui avait été rapportée. Elle annonçait aussi une grande nouvelle qui devait être annoncée prochainement.

Et en fait, dès le lendemain, semblant prendre acte de ses dénonciations, Trump annonçait le démantèlement de son équipe anti-Covid 19 pour la fin mai, ainsi que la réouverture de l’économie qui, jusqu’en février dernier, avait été son meilleur atout.Du reste, depuis quelque temps déjà, des doutes l’assaillaient sur le petit jeu malsain joué en coulisse par le Dr Fauci. Il lui en avait même manifesté de l’irritation, notamment le 13 avril dernier en retweetant un appel au renvoi de Fauci.

Or voici qu’en l’espace de 24 heures, un coup de tonnerre est venu trouer cette belle éclaircie : lorsque dans une volte-face inattendue, Trump a déclaré que tous comptes faits, il entendait “conserver indéfiniment” son équipe Covid 19 et, en particulier, les Dr Fauci et Birx. Même CNN en était estomaqué. Pressé de s’expliquer, le président a déclaré qu’en raison de “la popularité de son équipe”, il s’était “rangé à l’avis de ses conseillers”.Dr. Fauci doit comparaitre le 12 mai pour être examiné par une commission du Sénat américain sur la réponse donnée par l’Administration à la crise du Covid 19. Trump a-t-il voulu esquiver une guerre ouverte avec son expert épidémiologiste pour ne pas mettre en danger ses perspectives de réélection  à 6 mois des présidentielles de novembre ? Cela est plus que probable. Saura-t-il mener son embarcation à bon port sans la faire chavirer dans des eaux où pullulent les requins aux dents longues ? C’est à voir.




Covid-19 – Etats-Unis, deux combats divergents : les Démocrates ciblent Trump, les Républicains, la santé des citoyens ?

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Xavier Azalbert et Sylvestre de Oliveira Costa pour FranceSoir

En France, les thèmes du moment sur les masques et leur utilisation obligatoire, la précision et l’usage généralisé des tests, ainsi que les traitements pour la Covid 19 polarisent les esprits. Et ne parlons pas des attaques que subissent les professeurs Raoult ou Perronne. D’un côté, le gouvernement essaie d’asseoir avec autorité des mesures, dont certaines peuvent être liberticides, comme l’usage obligatoire des masques en extérieur ou l’augmentation du nombre de tests (capacité de plus de 1 million de tests par semaine). De l’autre, l’association savante la SPILF attaque le Pr Raoult devant le Conseil de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône au motif qu’il aurait, entre autres, fait un mauvais usage de l’hydroxychloroquine. La situation en devient complexe à analyser tant les deux camps s’opposent en instrumentalisant la science à des niveaux micro.

En essayant de prendre un peu de hauteur, nous nous sommes déjà intéressés à ce qui se passe dans d’autres pays (qui soigne le mieux entre la France et l’Italie) afin d’apprendre de nos voisins. Nous proposons aujourd’hui de traverser l’Atlantique pour étudier le cas des Etats-Unis. Le débat sur l’hydroxychloroquine y a pris des tournures politiques avec les recommandations de la FDA de ne pas faire usage de ce traitement pour la Covid-19. Simone Gold, médecin aux Etats-Unis s’est battue, aux côtés de bien d’autres, contre cette décision. Avec l’association America’s Front Line Doctor (les docteurs de terrains), ces médecins ont été censurés sur les réseaux sociaux.

Qu’en est-il vraiment aux Etats-Unis ?

Le diagramme ci-dessous permet de visuellement résumer la situation américaine en regardant les taux de mortalité par million d’habitants en fonction de la politique sanitaire des Etats vis-à-vis de l’usage de l’hydroxychloroquine.

Les Etats ont été séparés en trois groupes en fonction de leur politique sanitaire sur l’hydroxychloroquine pour le traitement de la Covid-19. La politique sanitaire de chaque Etat se réfère à l’information fournie par le site AFLDS.

  • En vert : les Etats où l’hydroxychloroquine est librement prescrite (prescription standard)
  • En jaune : les Etats où il est plus difficile d’obtenir l’hydroxychloroquine
  • En rouge : les Etats où il est impossible d’obtenir l’hydroxychloroquine
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Les Etats où l’hydroxychloroquine est prescrite comme « prescription standard » ont un taux de mortalité moyen de 390 décès par million d’habitants (intervalle compris entre 53 à 530 décès par million). Les Etats où il est plus compliqué de l’obtenir ont une moyenne de 515 décès par million d’habitants (intervalle de 52 à 1315) et ceux où il est impossible de l’obtenir ont une moyenne de 1011 décès par million d’habitants (intervalle 128 à 1807).

Plus intéressant encore, les taux de mortalité sont de 18.2% pour les Etats avec une prescription standard de l’hydroxychloroquine et de 40% et plus pour les Etats où il est évalué difficile ou impossible de l’obtenir. Les Etats prescrivant l’hydroxychloroquine ont donc un taux de mortalité de plus de 56% en moins.

Ces chiffres statistiquement différents demandent à être interprétés plus en profondeur.

Parmi les Etats qui prescrivent l’hydroxychloroquine, on retrouve la Floride qui a une population plus âgée (20.6% de sa population a plus de 65 ans Vs 14.3% en moyenne aux USA) et son taux de mortalité (530 décès par million d’habitants) est inférieur à celui de la moyenne nationale (563 décès par million d’habitants).
A l’opposé, parmi les Etats où il est impossible d’obtenir de l’hydroxychloroquine, on retrouve l’Utah où la population est la plus jeune des USA (seulement 11% ont plus de 65 ans) et où 62% des habitants se disent mormons. Rappelons que les mormons ne boivent pas d’alcool, de thé ni de café et doivent s’abstenir de prendre des médicaments sur ordonnance ou en vente libre.

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Ces quelques éléments permettent de mieux appréhender la situation d’un pays aussi grand que l’Europe. Dans un pays continent, où l’usage de l’hydroxychloroquine divise plus qu’en France où elle a été interdite, le taux de mortalité par million d’habitants est de 563 versus 458 en France. Le taux de mortalité en France est quand même significativement supérieur à celui des Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine en standard (390 par million d’habitants), Etats qui représentent 26% de la population américaine avec approximativement 80 millions d’habitants, donc un peu plus que la population française.

André Savarino, chercheur au Département des Maladies Infectieuses, Instituto Superiore di Sanità à Rome en Italie, avec plus de 3000 citations à son actif, a expliqué à FranceSoir combien l’hydroxychloroquine était politisée aux Etats-Unis, polarisant les débats entre Républicains et Démocrates à quelques deux mois des élections présidentielles américaines.

Le graphique suivant illustre les taux de mortalité des Etats en fonction de leur couleur politique.

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Les Etats en bleu (37% de la population) sont ceux qui sont historiquement démocrates et les Etats en rouge (32% de la population) ceux historiquement républicains, ces Etats n’ayant pas changé de couleur politique au cours des quatre dernières élections présidentielles. Les Etats, que nous avons appelé « incertain » ont changé de couleur politique sur cette même période sont en violet au milieu.

Une tendance apparait. Les Etats démocrates (37.2% de la population) ont un taux de mortalité Covid-19 de 779 décès par millions d’habitants (intervalle 52- 1807) versus 427 décès par millions d’habitants (intervalle 53 – 1072) pour les Etats républicains (31.9% de la population). Il y a donc une nette tendance qui se révèle : le taux de mortalité dans les Etats républicains est 45% inférieur à celui des Etats démocrates.

Focalisons-nous maintenant sur les standards de prescription

La prochaine étape pour analyser la situation américaine est de superposer les pratiques de prescription de l’hydroxychloroquine et la couleur politique des Etats.

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Une tendance apparait là encore. Les Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine en soins standards sont en majorité républicains ou incertains, et les Etats ayant rendu impossible sa prescription sont en majorité démocrates. Cela peut paraitre logique puisque le président Trump, républicain, a été un fervent supporteur de l’hydroxychloroquine alors que la FDA (Federal Drug Administration) et le NAID dirigé par le docteur Fauci (proche de Gilead et opposant de l’hydroxychloroquine, encore à ce jour), qui sont plutôt à tendance social-démocrate, s’y sont opposés.

En se focalisant sur les exceptions parmi les Etats ayant prescrit l’hydroxychloroquine, et pas nettement républicains, on retrouve la Floride, l’un des Etats avec la population la plus à risque puisque relativement âgée. A l’inverse dans les états ayant rendu l’usage de l’hydroxychloroquine quasiment impossible, on retrouve l’Utah et l’Arkansas parmi les bons élèves en termes de taux de mortalité.

A mieux y réfléchir, cette situation aux USA est vraiment très surprenante puisque les Démocrates sont historiquement en faveur des soins pour les Américains. Rappelons que le président Obama a mis en place le programme de santé ObamaCare et avait prévenu le président Trump en 2017 :

« Nous devrions toujours partir d’un postulat : tout changement apporté à notre système de santé doit le rendre meilleur, pas pire pour les travailleurs américains ».

En s’opposant à la prescription standard de l’hydroxychloroquine, un médicament générique et peu onéreux et en favorisant le remdesivir, très coûteux avec des effets secondaires sérieux, approuvé par la FDA et promu par le Dr Fauci, les Démocrates auraient-ils oubliés les paroles de leur ancien président ?

Andréa Savarino a manifestement raison dans son analyse de la politisation des débats autour de l’hydroxychloroquine aux Etats-Unis. Cela a entrainé une inversion des rôles où les Démocrates, historiquement en faveur des plans de santé pour tous, auront été vent debout contre l’hydroxychloroquine. Cette position politique se traduit dans les faits par des taux de mortalité beaucoup plus importants dans les Etats qu’ils contrôlent. Dans le camp d’en face, les Républicains ont fait preuve de pragmatisme. Gageons que ce n’est pas la fin de l’histoire et que se cache encore peut-être derrière la guerre du vaccin. Mais ce combat politique au travers de l’hydroxychloroquine pourrait peser lourd dans la balance lors des élections américaines. Car il s’agit de la vie des gens. Les Etats-Unis déplorent à ce jour plus de 188 000 décès liés à la Covid-19.




Programmation prédictive? un épisode de la série Dead Zone met en scène une épidémie de coronavirus avec un remède bien connu…

[Source : Guy Fawkes News]

Dans l’épisode 14 (saison 2) de la série américaine Dead Zone, la trame est une épidémie de Coronavirus mortel ultra-contagieux avec dépression respiratoire. Tout y est: Le confinement, les masques, les tests, la quarantaine, l’origine animale en Chine, jusqu’à la Chloroquine comme remède miracle! Alors coïncidence ou programmation prédictive? Il faut reconnaître que le coup de la chloroquine c’est bluffant (cet épisode date de 2003).

https://youtu.be/0naLkgI0-bE

Et vous savez comment s’appelle cet épisode? La peste (The Plague).




“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt

[Source : Santé Nature Innovation]

[Auteur : Jean-Marc Dupuis]

Pour ne pas nous laisser mener par le bout du nez

Edouard Philippe, Premier ministre, a annoncé samedi qu’il existe un “risque sérieux” d’une “seconde vague”, potentiellement plus meurtrière que la première :

“Le risque d’une seconde vague, qui viendrait frapper un tissu hospitalier fragilisé, qui imposerait un re-confinement, qui ruinerait les efforts et les sacrifices consentis […], est un risque sérieux”,

a-t-il déclaré lors de la présentation du plan de déconfinement à partir du 11 mai. [1]

Au même moment, le Pr Didier Raoult, spécialiste en épidémies, disait exactement le contraire :

“La deuxième vague, c’est de la science-fiction”.

[2]

Lorsque, en tant que citoyen “de base”, vous vous faites ainsi ballotter par des informations contradictoires, sans aucun moyen de savoir qui dit vrai, c’est le signe que vous êtes en danger, selon la philosophe Hannah Arendt, rescapée du nazisme et spécialiste des systèmes totalitaires.

Comment la vérité est sacrifiée

Selon Hannah Arendt, les régimes totalitaires prennent un pouvoir “total” sur les individus en les arrosant d’informations contradictoires, jusqu’à ce qu’ils n’aient plus aucun moyen de savoir où se trouve la vérité.

Sous Hitler, sous Staline, explique-t-elle, le citoyen ne savait jamais à quelle sauce il allait être mangé. La propagande gouvernementale ne consistait pas à simplement “mentir” aux citoyens, en présentant une version “officielle” des faits dans les journaux, version qui aurait alors pu aisément être critiquée.

Non, c’était beaucoup plus subtil et efficace que cela.

Pour empêcher véritablement tout débat, toute initiative, pour obtenir des citoyens qu’ils se découragent totalement, qu’ils cessent d’essayer de comprendre, et qu’ils perdent donc tout moyen d’agir, les médias d’Etat les plaçaient sous un déluge continu d’informations incohérentes, mêlant le vrai et le faux jusqu’à ce que plus aucune personne ne puisse savoir de bonne foi ce qu’il fallait penser :

  • “Nous gagnons la guerre !”,
  • “Nous perdons la guerre !”
  • “Les rations vont être augmentées !”
  • “Les rations vont être diminuées !”
  • “L’économie est en croissance !”
  • “Il va falloir travailler plus !”
  • “Vous pouvez sortir sans autorisation !”
  • “Les contrôles vont être renforcés !”

Pour ajouter à la confusion, les Autorités ne parlaient plus d’une seule voix, mais au contraire via une foule de porte-paroles, dont il était impossible de savoir lequel portait la “véritable” parole de l’Etat.

C’est exactement ce que nous vivons aujourd’hui, et c’est pourquoi une telle tension s’installe dans les esprits.

C’est normal. Ce n’est pas de votre faute si vous ne comprenez rien, si vous êtes ballotté entre des amis, des voisins, des journalistes, des blogueurs ou encore des “youtubeurs” qui, chacun ont leur opinion qui paraît valable, tout en étant incompatibles les unes avec les autres.

C’est le résultat logique de la communication gouvernementale qui introduit confusion et contradictions partout.

Car, si vous êtes de bonne foi, cela fait déjà plusieurs semaines, que vous n’avez plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut raisonnablement penser de la situation.

Depuis plusieurs semaines, il n’y a plus aucun moyen de savoir ce qu’il faut “raisonnablement” penser de la situation

Lorsque le Président Macron annonce le déconfinement à partir du 11 mai, il est aussitôt suivi d’une déclaration de son Premier ministre qui explique que le déconfinement ne touchera que certaines personnes, dans certaines zones.

Au même moment, le Pr Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique Covid-19, et donc principal conseiller de l’Elysée, affirme que les personnes âgées resteront confinées jusqu’à la fin de l’année, ce qui est rapidement démenti par le Ministre de l’Intérieur Castaner.

La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye explique alors que, bien que le déconfinement commence le 11 mai, mieux vaut prévoir ne pas partir en vacances en août. Aussitôt, une virologue experte (Anne Goffard) annonce alors sur France-Inter que plusieurs études de modélisation dans différents pays concluent à “une deuxième vague épidémique très probable au plus tôt fin août”, à moins que ce ne soit ”en octobre ou en novembre”. [3]

De son côté, le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer annonce la réouverture de “toutes les écoles dans toutes les zones”, en précisant aussitôt que les enfants sont probablement de gros vecteurs du virus et qu’il faudra sans doute laisser fermés les collèges, les lycées et l’enseignement supérieur. La ministre du travail Muriel Pénicaud estime alors sur France-Info “raisonnable de dire” qu’un télétravail massif aura lieu au moins jusqu’à l’été”, ce qui achève de rendre caduque l’annonce d’un déconfinement le 11 mai.

Je passe sur la publication d’une carte des départements rouges, oranges et verts dont on nous explique qu’ils pourront servir, ou non, à définir des dates différentes d’ouverture des différents secteurs de l’économie ; sur les annonces contradictoires des bienfaits du confinement, des masques, des tests de dépistage ; sur l’affaire de la chloroquine atteignant le summum de la foire d’empoigne, avec des experts tout aussi incontestables les uns que les autres qui se prononcent en faveur ou en opposition totale au traitement ; sur le fait que les enfants et les jeunes sont successivement présentés comme potentiellement victimes de la maladie ou au contraire parfaitement protégés.

Si, à la fin de ce message, vous avez mal à la tête, et envie de sortir vous promener pour penser à autre chose, dites-vous que c’est exactement l’effet recherché par les Autorités des pays totalitaires lorsqu’ils assomment leurs citoyens sous un déluge d’informations, contre-informations, ré-informations : obtenir que les réseaux de résistance se divisent. Que  les citoyens se découragent. Que la critique devienne impossible. Que l’action, la réaction, la révolte, perdent leur sens.

Comme il n’y a plus de vérité, il n’y a plus de réalité. Vous avez l’impression de vous battre contre des moulins qui tournent dans tous les sens. Vous comprenez que lire, parler, réfléchir, n’a plus aucun sens car on peut penser tout et son contraire, selon les sources que l’on choisit, et qui évoluent elles-mêmes en permanence.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs au XXIème :

“Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

A méditer.

Mais pour terminer sur une note plus joyeuse, je vous invite à regarder cette vidéo humoristique sur le confinement : 

https://www.youtube.com/watch?v=BFOJtRFlY-8

Ces jeunes me paraissent faire preuve d’une vivacité d’esprit, d’un talent musical et même d’un sens philosophique remarquable. Ils ont en effet su, par les paroles de la chanson et par leur jeu d’acteur (les yeux ronds et l’air parfois halluciné du chanteur) manifester, mieux que moi par mon texte, cette impression d’absurde et de folie collective qui est en train de nous saisir.

Bravo à eux, c’est un grand soulagement pour nous de voir qu’une telle intelligence et un tel sens artistique peuvent encore exister.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis


[1] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541

[2] https://www.ladepeche.fr/2020/05/01/coronavirus-la-deuxieme-vague-cest-de-la-science-fiction-pour-le-professeur-didier-raoult,8869876.php

[3] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/avec-le-deconfinement-la-crainte-d-une-deuxieme-vague-6823541




Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Le Pr. Didier Raoult, plus grand expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles[1], dit, à propos de la gravité du covid 19 :

« Tout le délire autour de la gravité monstrueuse de cette maladie est déraisonnable. Ce n’est pas vrai. Globalement ça ne présente pas à la fin une surmortalité exceptionnelle. C’est grave chez les sujets déjà à risques, qu’il fallait essayer de détecter et de traiter le plus tôt possible ».

En bref, selon le Pr Raoult le covid 19 n’est pas aussi grave que ce que l’on nous dit. Qui est ce « on » ? Sans doute, pense-t-il, aux médias mainstream, au gouvernement, aux scientifiques ayant des conflits d’intérêts avec les industries pharmaceutiques ou l’OMS.

Soyons précis, le Pr Raoult ne dit pas, pour autant, pas qu’il s’agit d’une maladie bénigne. Lui-même, à propos du covid 19, parle de « maladie aiguë »[2] et des « risques de sequelles […] absolument considerables »[3].

En se basant sur ce recadrage du Pr. Raoult, il apparaît une fois de plus (voir mes messages précédents) que la version officielle de la crise du covid 19, dont les médias mainstream se font l’écho, est partiale, partielle, voire erronée.

Il est urgent d’informer les citoyens sur le fait que les médias mainstream exagèrent de manière insensée la gravité du covid 19.

Pourquoi cette exagération récurrente du danger du covid 19 et ce point de vue unilatérale des médias mainstream ?

Est-ce que ce discours officiel vise à manipuler la réalité ?

Le Docteur Gérard Delépine, chirurgien orthopédique et oncologue, explique de troublantes coïncidences qui peuvent s’apparenter à de la manipulation tant dans les domaines médiatiques, scientifiques ou institutionnels concernant la crise du covid 19. Dans cette excellente vidéo

parmi les nombreux exemples qu’il donne, il dit:
« 5 jours après que le comité local de Wuhan […] disait utiliser la chloroquine et que ça le r paraissait intéressant […] 5 jours. La chloroquine n’était plus en vente libre en France après que Mme Buzin a décidé par arrêté. […] C’était soi-disant par hasard. Il y a une chronologie bizarre ».

Il fait référence à l’hydroxychloroquine qui le 13 janvier 2020 a été classée sur les listes des substances vénéneuses par Mme Buzin Ministre des solidarités et de la santé alors que ce médicament était en vente libre depuis des décennies.

La députée italienne Sara Cuniale va jusqu’à dénoncer courageusement au Parlement Italien la mafia médicale, l’Etat profond (c’est-à-dire les groupes secrets qui influencent l’Etat), le groupe Bilderberg, le tatouage quantique, ID2020 et demande au Président italien la traduction de Bill Gates devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l’humanité. Elle dit :
« Vous continuez à anesthésier les esprits au travers des médias mainstream corrompus. » « Bill Gates […] prophétisait une pandémie qui a ensuite été simulée dans le « Event 201 » en accord avec ses amis de Davos. Et depuis plusieurs décennies, il est engagé à développer un plan de dépopulation et à exercer un contrôle dictatorial sur les politiques mondiales. Il a dit : […] « Si nous faisons un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et la procréation, nous pouvons réduire la population mondiale de 10-15%. » « Nous, ensemble, avec les citoyens, allons multiplier les feux de la résistance pour qu’il soit impossible de nous réprimer tous »[4].

En bref, la députée italienne Sara Cuniale pense que Bill Gates a des vues génocidaires avec ses vaccins pour réduire la population.

Est-ce que Bill Gates a bien dit la phrase citée par Sara Cuniale ?

Oui. Vous pouvez le vérifier dans cette vidéo

Comment la vaccination pourrait réduire la population ? Bill Gates ne l’explique pas dans cette vidéo. Selon le journal Le Monde, par la phrase citée, il faut comprendre que « ce n’est pas la population que Bill Gates espère réduire de 10 à 15 %, mais son accroissement » en utilisant entre autre les vaccins.

Il faut être extrêmement prudent avec les propos du journal Le Monde sur Bill Gates car ce journal est arrosé de millions de dollars par la Fondation Bill Gates depuis des années. Plus de 2 millions de dollars juste pour 2019[5].

L’Event 201, dont parle cette députée, c’est l’événement 201. C’est un exercice de haut niveau sur les pandémies qui a été organisé, entre autre, par la Fondation Bill Gates en partenariat avec le Forum économique mondial de Davos, le 18 octobre 2019 à New York. Cet exercice a été réalisé car « les experts s’accord[aient] à dire que ce n'[était] qu’une question de temps avant que l’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. »

Comment est-il possible que les participants du Forum de Davos qui sont des dirigeants politiques et d’organisations gouvernementales du monde entier (tels Angela Merkel chancelière fédérale d’Allemagne ou Christine Lagarde alors directrice générale du Fonds monétaire international) n’ont pas prévu une pandémie mondiale alors qu’ils avaient connaissance de l’Event 201 ? Ils n’ont même pas prévu le minimum, à savoir les masques[6],[7].

Robert F. Kennedy quant à lui tend à penser que « les puissants États et les entreprises utilisent […] la crise actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions pour promouvoir les vaccins et la surveillance. » Et il craint « que Bill Gates – et son associé de longue date Tony Fauci – dirige d’une manière ou d’une autre notre meilleur des mondes » en utilisant la haute technologie comme par exemple la 5G ou des puces d’implants. Ces puces « avec des interrupteurs marche/arrêt sans fil » pourraient délivrer des doses thérapeutiques. « Connaissant le zèle […] de M. Gates pour le contrôle de la population, certains clients pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance », dit-il.

Si on cumule l’exagération du danger du covid 19 par les médias mainstream pointée du doigt par le Pr Raoult (et d’autres personnes[8]), les coïncidences troublantes décrites par Dr. Delépine, les accusations de la députée italienne Sara Cuniale, les « aberrations » malheureuses de la gestion de la crise du covid 19 dont l’absence de masques a été l’apothéose, et ce que je vous ai déjà expliqué dans mes derniers messages[9], fleurit une première hypothèse valable et logique :

Les Français (et l’humanité) sont manipulés sur le sujet du covid 19.

L’humanité est trompée.

Puis, se présente une seconde hypothèse glaçante : le covid 19 est le prétexte d’une vaccination, pièce maîtresse d’un contrôle des populations et de la planification d’un génocide ou d’une stérilisation de l’humanité pour réduire la population.

Candice Vacle
Journaliste – Pays Bas

https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Konzerne-Grossbanken-Die-geheime-Macht-der-Bilderberg-Gruppe

https://www.investigaction.net/fr/author/candice-vacle/?act=sp

https://reseauinternational.net/lepr-raoult-discredite-la-gestion-francaise-de-la-crise-du-covid-19-devant-le-senat/

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[1] http://expertscape.com/ex/communicable+diseases

[2] p.55 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[3] p.12 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[4] Vidéo à partir de la minute 23:06 https://m.youtube.com/watch?v=K-guvF2psqA

[5] https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/03/OPP1210145 ( Le Monde Afrique est une partie du journal Le Monde https://www.lemonde.fr/signataires/le-monde-afrique/)

[6] https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/

[7] https://fr.weforum.org/agenda/2019/01/qui-participe-a-davos-2019/

[8] https://www.athle.ch/2020/04/26/covid-19-a-ne-pas-manquer-notre-interview-de-criseavec-jean-dominique-michel/

[9] :




C’en est assez du consensus !

[Source : Réseau Voltaire]

par Thierry Meyssan

En théorie, les politiques et les médecins qui ont suivi de longues études sont des scientifiques. Mais en pratique, rares sont ceux qui ont une démarche scientifique. Personne aujourd’hui ne souhaite endosser la responsabilité des mesures prétendument sanitaires qui ont été prises (confinement, distanciations sociales, port de masques et de gants). Tous se réfugient derrière des décisions collégiales, l’invocation de la Science et le consensus.

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De gauche à droite : le ministre de l’Intérieur, le Premier ministre et le ministre de la Santé annoncent des mesures anticonstitutionnelles. Ils cèdent la parole au président du Comité scientifique Covid-19 et du Comité consultatif national d’éthique pour recevoir sa bénédiction « scientifique ».

Collégialité de façade

L’épidémie de Covid-19 a pris de surprise les responsables politiques qui avaient perdu de vue leur fonction première : protéger leurs concitoyens.

Paniqués, ils s’en sont remis à quelques gourous. En l’occurrence au mathématicien Neil Ferguson de l’Imperial College [1] et au médecin Richard Hatchett de la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovations), ancien collaborateur du secrétaire US à la Défense Donald Rumsfeld [2]. Pour communiquer les décisions qu’ils avaient prises, ils ont fait appel à la fois à des scientifiques pour les justifier et à des personnalités morales pour les cautionner.

Ainsi, dans la France laïque, le président Emmanuel Macron s’est-t-il doté d’un Comité scientifique Covid-19, principalement composé de mathématiciens et de médecins, sous l’autorité du président du Comité consultatif national d’éthique.

Chacun a pu constater que, face à l’épidémie, les scientifiques en général n’étaient pas du tout d’accord entre eux. Par conséquent le choix des membres de ce Conseil permettait d’écarter à l’avance ceux que l’on ne voulait pas entendre et de ne donner la parole qu’à ceux que l’on voulait entendre. En outre, la nomination d’une personnalité morale pour chapeauter ce dispositif était conçue pour justifier des décisions privatives de liberté que l’on prétendait nécessaires, mais que l’on savait contraires à la Constitution.

En d’autres termes, ce Comité n’était qu’un paravent pour faire oublier la responsabilité du président de la République et de son gouvernement. D’ailleurs, il existe déjà une administration de Santé publique et un Haut-Conseil de Santé publique, tandis que ce nouveau Comité n’a aucune base légale.

Rapidement les débats sur les moyens de prévenir l’épidémie et les traitements à mettre en œuvre ont tourné au pugilat. Le président Macron a alors désigné une seconde instance, le Comité analyse recherche et expertise, pour y mettre bon ordre. Loin d’être un forum scientifique, il a défendu les positions de la CEPI contre l’expérience des médecins cliniciens.

Le rôle des responsables politiques est de servir leurs concitoyens, pas de jouir de voitures officielles puis d’appeler au secours lorsqu’ils ont peur. Celui des médecins est de soigner leurs patients, pas d’aller participer à des séminaires au bord des plages des Seychelles.

Le cas des mathématiciens est différent. Leur rôle est de quantifier des observations. Certains d’entre eux ont provoqué la panique pour s’emparer d’une partie du Pouvoir.

La politique et la médecine comme sciences

N’en déplaise aux politiques et aux médecins, la politique et la médecine sont deux Sciences. Cependant, au cours des dernières décennies, ces deux formes d’expertise ont succombé à l’attrait du gain et sont devenues les professions les plus corrompues en Occident —suivies de près par celle des journalistes—. Rares sont ceux qui remettent leurs certitudes en cause, pourtant la qualité de base des scientifiques. Désormais, ils font carrière.

Nous nous défendons très mal face à cette dégradation de nos sociétés. En premier lieu, nous nous donnons le droit de critiquer les responsables politiques, mais étrangement pas les médecins. Deuxièmement, nous poursuivons en Justice des médecins lorsqu’un de leurs patients meurt au lieu de les féliciter lorsqu’ils parviennent à le sauver, mais nous fermons les yeux sur leur corruption par l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pourtant pas un secret, cette industrie a le plus gros budget de lobbying qui soit et dispose même d’un gigantesque réseau de lobbyistes jusqu’auprès de chaque médecin dans les pays développés, les « visiteurs médicaux ». Au bout de décennies de ce manège, les professions médicales ont perdu le sens de leur métier.

Certains hommes politiques protègent leur pays. D’autres pas.
Certains médecins soignent leurs patients. D’autres pas.

Les patients suspectés d’être atteints du Covid-19 et transférés à l’hôpital avaient 5 fois plus de risques de mourir s’ils étaient admis dans certains hôpitaux plutôt que dans d’autres. Pourtant les médecins qui les prenaient en charge avaient tous suivi les mêmes études et disposaient des mêmes matériels.

Nous devons exiger de connaître les résultats de chaque service hospitalier.

Le professeur Didier Raoult soigne avec succès des malades infectieux ce qui lui a valu de pouvoir construire son institut de pointe à Marseille. Le professeur Karine Lacombe travaille pour l’industriel Gilead Science ce qui lui a permis d’être nommée cheffe du service des maladies infectieuses de l’Hôpital Saint-Antoine à Paris. Gilead Science, c’est l’entreprise anciennement dirigée par Donald Rumsfeld —tenez, encore lui—, qui produit les médicaments les plus chers et souvent les moins efficaces au monde.

Comprenez bien, je ne dis pas que les soignants sont corrompus, mais qu’ils sont dirigés par des « mandarins » et une administration qui le sont largement. C’est tout le problème des hôpitaux français qui disposent d’un budget bien supérieur à celui de la plupart des autres pays développés, mais n’ont que des résultats médiocres. Ce n’est pas une question d’argent, mais de déterminer où il va.

La presse médicale n’est plus scientifique

La presse médicale n’est plus scientifique du tout. Je ne parle pas des biais idéologiques foireux dénoncés en 1996 par le physicien Alan Sokal [3], mais du fait que les trois quarts des articles aujourd’hui publiés ne sont pas vérifiables.

Presque unanimement, les grands médias ont participé à une campagne d’intoxication en faveur d’une étude parue dans le Lancet condamnant le protocole Raoult et ouvrant la voie au médicament de Gilead Science, le Remdesivir [4]. Peu importe qu’elle ne soit pas randomisée, qu’elle ne soit pas vérifiable, et que son principal auteur, le docteur Mandeep Mehra travaille à hôpital Brigham de Boston pour promouvoir le Remdesivir, bref qu’il s’agisse d’un travail indigne. Seule fausse note, The Guardian a creusé un peu et relevé que les données de bases de cette étude ont été manifestement falsifiées [5].

Lisez cette « étude », vous n’en croirez pas vos yeux : comment une telle supercherie a-t-elle pu être publiée par une « prestigieuse revue scientifique » (sic) comme The Lancet ? Mais n’avez-vous pas constaté des supercheries identiques dans les médias politiques « de référence » (sic) comme Le New York Times ou Le Monde ? The Lancet est publié par le plus grand éditeur médical au monde, le groupe Elsevier, qui fait du profit à la fois en vendant hors de prix des articles à l’unité et en créant de faux journaux scientifiques entièrement rédigés par l’industrie pharmaceutique pour vendre ses produits [6].

Récemment, je vous alertais sur l’opération de l’Otan visant à promouvoir avec les moteurs de recherche certaines sources d’information « fiables » (sic) au détriment des autres [7]. Or, en aucun cas, le nom d’un éditeur ou d’un média n’est un gage définitif de compétence et de sincérité. Chaque livre, chaque article, doit être jugé pour lui-même et par vous-mêmes au seul regard de votre esprit critique.

Le « consensus scientifique » contre la Science

Depuis plusieurs années, les scientifiques diplômés ne s’intéressent plus à la Science, mais au consensus de leur profession. C’était déjà le cas au XVIIème siécle, lorsque les astronomes de l’époque se liguèrent contre Galilée. Comme ils n’avaient pas de moyen de le faire taire, ils se tournèrent vers l’Église qui le condamna à la réclusion à perpétuité. Mais ce faisant, Rome ne faisait que s’aligner sur le « consensus scientifique ».

De la même manière, il y a seize ans, la Cour d’appel de Paris a rejeté en cascade mes plaintes contre de grands journaux qui m’avaient diffamé au seul motif que ce que j’écrivais ne pouvait être que faux, vu le « consensus journalistique » contre moi. Peu importaient les preuves que je produisais.

Ou encore, c’est au nom du « consensus scientifique » que nous croyons dur comme fer au « réchauffement climatique » promu par l’ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher [8]. Peu importent les nombreux débats scientifiques.

Or, la vérité n’est pas une opinion, mais un processus. Elle ne peut être mise aux voix, mais doit toujours être questionnée.

Thierry Meyssan


[1] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[2] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[3] Impostures intellectuelles, Alan Sokal et Jean Bricmont, Odile Jacob éd. (1997).

[4] “Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19 : a multinational registry analysis”, Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, Frank Ruschitzka, Amit N. Patel, The Lancet Online, May 22, 2020.

[5] “Questions raised over hydroxychloroquine study which caused WHO to halt trials for Covid-19”, Melissa Davey, The Guardian, May 28, 2020.

[6] “Elsevier published 6 fake journals”, Bob Grant, The Scientist, May 7, 2009.

[7] « L’UE, l’Otan, NewsGuard et le Réseau Voltaire », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 mai 2020.

[8] « 1997-2010 : L’écologie financière », par Thierry Meyssan, Оdnako (Russie) , Réseau Voltaire, 26 avril 2010.




Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – jbhandleyblog

Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous [sans omettre les horreurs qu’il(s) pourrai(en)t contenir – NdT].

Depuis 1900, le taux de mortalité en Amérique et dans les autres pays du vieux monde a diminué d’environ 74 pour cent, ce qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité et de l’espérance de vie des Américains [et des occidentaux en général – NdT].

La question est simple : « Comment cela s’est il produit ? »

Pourquoi le taux de mortalité a-t-il diminué si rapidement ? Si vous écoutez les partisans de vaccins, la réponse est simple : les vaccins nous ont sauvés. Ce qui est fou dans ce récit, c’est la facilité avec laquelle on peut le réfuter par des données cachées à la vue de tous. Mais qu’il persiste en dépit des preuves qui attestent le contraire nous en dit long sur le monde dans lequel nous vivons et j’espère qu’il encouragera les parents à reconsidérer la véracité de bon nombre des récits qu’on leur a livrés sur les vaccins et à faire leurs propres recherches.

1970, Dr. Edward H. Kass

Le 19 octobre 1970, le Dr Edward H. Kass, de Harvard, a prononcé devant ses condisciples un discours lors de la réunion annuelle de la Infectious Diseases Society of America [la Société américaine des maladies infectieuses est une association médicale représentant des médecins, des scientifiques et d’autres professionnels de la santé spécialisés dans les maladies infectieuses, association que le Dr Edward H. Kass a cofondé en 1963 – NdT], association qui l’amènerait probablement à quitter cette même profession aujourd’hui [s’il était encore vivant ; il est décédé en 1990 à l’âge de 72 ans d’un cancer des poumons – NdT].

À l’époque, le Dr Kass était en fait le président de l’organisation, ce qui rendait encore plus choquants ses propos sur les vaccins et leur impact sur la réduction des taux de mortalité américains, du moins selon les normes actuelles. Quarante-huit ans après le discours du Dr Kass, les vaccins ont acquis un statut mythologique aux quatre coins de la planète sous l’impulsion des personnes qui profitent le plus de leur utilisation. Bien sûr, les vaccins ont sauvé le monde. Bien sûr, chaque enfant devrait recevoir tous les vaccins. Si vous ne vous faites pas vacciner, vous permettrez le retour de maladies infantiles mortelles. Si vous ne le vaccinez pas, votre enfant mourra. Si vous remettez les vaccins en question, ne serait-ce qu’un peu, vous êtes donc « anti-vaccin » et vous ne méritez que mépris et ostracisme !

Note du traducteur : Originaire du Bronx, le Dr Kass a obtenu une licence et une maîtrise à l’université du Kentucky, un doctorat à l’université du Wisconsin et un doctorat en médecine à l’université de Californie. Il a rejoint la faculté de Harvard et le personnel de l’hôpital de la ville de Boston en 1947 pour se consacrer à la recherche sur les maladies infectieuses. Il est devenu professeur à Harvard en 1969 et médecin-chef à l’hôpital de Brigham en 1977. Il fut aussi membre du Collège royal de médecine de Londres, de l’Académie américaine des arts et des sciences et de l’Institut américain de médecine, dont le nouveau nom est l’Académie nationale de médecine.

Et si la plus grande partie de l’histoire sur le rôle des vaccins dans le déclin de la mortalité n’était même pas vraie ?

© Inconnu

Dans son célèbre discours, le Dr Kass a interpellé ses condisciples infectiologues, en les mettant en garde contre le risque de se focaliser sur des aspects erronés s’ils tiraient de fausses conclusions quant aux raisons pour lesquelles les taux de mortalité avaient à ce point décliné. Comme il l’a expliqué :

[…] nous avions accepté quelques demi-vérités et avions cessé de chercher les vérités complètes. Les principales demi-vérités étaient que la recherche médicale avait éradiqué les grands fléaux du passé — tuberculose, diphtérie, pneumonie, septicémie puerpérale, etc. — et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs d’allongement de l’espérance de vie, offrant ainsi au peuple américain le plus haut niveau de santé disponible dans le monde. Nous savons que ce sont des demi-vérités, mais sans doute pas suffisamment.

Le Dr Kass a ensuite partagé avec ses condisciples quelques graphiques révélateurs. J’essaie d’imaginer un président de l’Infectious Diseases Society of America partageant l’un de ces graphiques aujourd’hui lors d’une réunion de responsables de la santé publique. J’imagine qu’une personne couperait l’électricité de la salle où il fait sa présentation avant qu’une autre ne le maîtrise et le fasse sortir manu militari… voici le premier des graphiques que le Dr Kass a partagé ce jour-là :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la rougeole chez les enfants de moins de 15 ans, en Angleterre et au Pays de Galles.

Toutefois, ce graphique du Dr Kass n’inclut même pas le vaccin contre la rougeole… Pourquoi ? En fait, en 1970, le vaccin contre la rougeole commençait tout juste à être administré, et comme vous pouvez clairement le voir, la mortalité dû à la rougeole avait depuis longtemps connu une baisse spectaculaire. Pour la coqueluche, il a produit un tableau similaire :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la coqueluche chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[La Bordetella Pertussis est l’agent de la coqueluche qui fut isolée en 1906 – Les tests du premier vaccin contre la coqueluche ont duré plus de trois ans (de mars 1934 à novembre 1937), avec 5 815 enfants inscrits – NdT]Dans le graphique ci-dessus, la date à laquelle le vaccin contre la coqueluche a été lancé est indiquée. Le Dr Kass a également présenté un graphique concernant la scarlatine, ce qui renforce la confusion sur le rôle effectif des vaccins, pour la simple raison qu’un vaccin contre la scarlatine n’a jamais existé. Et pourtant, le graphique suivant qui présente un formidable déclin de la mortalité dû à la scarlatine ressemble beaucoup à celui de la rougeole et de la coqueluche :

© Kass
Taux annuel moyen en millions de la mortalité due à la scarlatine chez les enfants de moins de 15 ans en Angleterre et au Pays de Galles.

[Le streptocoque de la scarlatine a été découvert en 1884, la pénicilline a été prescrite à partir de 1945 et ce qui constituera la base de l’antibiothérapie à base de sulfamidés a été isolé pour la première fois en 1935 – NdT]Quel est l’intérêt de ces graphiques ?

Le Dr Kass essayait de sensibiliser ses disciples infectiologues à un aspect simple, mais qui a de profondes implications pour la santé publique. Son argument était si important que je vais le citer en gras pour qu’il n’échappe à personne :

Ce déclin des taux de [mortalité] concernant certaines pathologies, approximativement corrélé aux contextes socio-économiques, constitue tout simplement l’événement le plus important dans l’histoire de la santé des êtres humains, et pourtant nous n’avons que les notions les plus vagues et les plus générales sur la manière dont il s’est produit et sur les mécanismes par lesquels l’amélioration socio-économique et la baisse des taux de [mortalité] de certaines pathologies se chevauchent.

Le Dr Kass a demandé à ses condisciples de faire preuve d’ouverture pour déterminer POURQUOI les maladies infectieuses ont connu un déclin aussi spectaculaire aux États-Unis — ainsi que dans d’autres pays du vieux monde. Était-ce dû à la nutrition ? Aux méthodes sanitaires ? À la réduction du surpeuplement des habitations ? — Nous avons depuis appris que la réponse à ces trois questions est « Oui ». Il a encouragé ses collègues à bien se garder de tirer des conclusions hâtives, à rester objectifs et à « se consacrer à de nouvelles perspectives ».

© Social Progress Imperative
Indice de résilience sociale aux maladies infectieuses pour la période 2014-2019

[Puisque l’exposition à la pollution de l’air à l’extérieur et à l’intérieur des locaux accroît le risque de maladies cardiovasculaires, respiratoires et du développement ainsi que la mortalité prématurée, l’amélioration de la santé environnementale, qui passe par des progrès en matière de qualité de l’air, d’eau et d’assainissement et de gestion des déchets, et les efforts de préservation de la biodiversité rendent les populations moins vulnérables aux pandémies et, par conséquent, améliorent le bien-être global des sociétés et leur résilience. Source OCDE – NdT]Heureusement pour nous, le discours du Dr Kass ce jour-là a été sauvé pour la postérité, car il fut imprimé dans son intégralité au sein d’une revue médicale. En fait, c’est une revue que le Dr Kass a lui-même fondée, The Journal of Infectious Diseases, et son discours s’intitule « Maladies infectieuses et changement social ». Un certain nombre d’éléments dans le discours du Dr Kass m’ont paru époustouflants, surtout quand on sait qu’il était le président de l’Infectious Diseases Society of America. À savoir :

  1. Il n’a jamais parlé des vaccins comme de « la plus grande invention de l’humanité » ou par l’une des nombreuses autres façons hyperboliques dont les vaccins sont dans la presse actuelle en permanence décrits par les partisans des vaccins. Les vaccins n’ont pas permis de sauver « des millions de vies » aux États-Unis, comme le savait bien le Dr Kass.
  2. En fait, il n’a JAMAIS accordé beaucoup de crédit aux vaccins dans le déclin spectaculaire de la mortalité au sein du monde développé. Ce qui est logique, car aucune des données dont il disposait n’aurait permis d’étayer ce point de vue. Ce qui m’a amené à me poser la question suivante : « quelqu’un a-t-il essayé de replacer dans son contexte la contribution des vaccins au déclin de la mortalité humaine au XXe siècle ? » Autrement dit, existe-t-il des données qui permettent de mesurer l’impact exact et précis des vaccins dans la protection de l’humanité ? Oui, en effet, elles existent. Lisez la suite.

McKinlay & McKinlay — L’étude la plus célèbre dont vous n’avez jamais entendu parler

Elle ne sera pas des plus facile à lire, mais j’espère que vous prendrez le temps d’en lire chaque mot. En 1977, les épidémiologistes — et époux — John et Sonja McKinlay de l’université de Boston ont publié les travaux fondateurs sur le rôle que les vaccins — et autres mesures médicales — ont joué dans le déclin massif de la mortalité observée au XXe siècle, qui se rapportent à ce chiffre même de 74 pour cent évoqué dans mon paragraphe d’introduction. De plus, leur étude met en garde contre le comportement même que nous observons aujourd’hui dans le monde vaccinale. En effet, ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure médicale — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde. Sérieusement, ils ont prédit que cela se produirait — et il convient de noter que l’étude McKinlay était autrefois une lecture obligatoire dans toutes les écoles de médecine.

[…] ils ont averti qu’un groupe de profiteurs pourrait s’attribuer plus de crédit pour les résultats d’une mesure — les vaccins — que la mesure elle-même ne le mérite, et ensuite utiliser ces faux résultats pour créer un monde où leur produit devra être utilisé par tout le monde.

Publiée en 1977 dans le Millbank Memorial Fund Quarterly, l’étude de McKinlay s’intitulait « La contribution discutable des mesures médicales dans le déclin de la mortalité aux États-Unis au XXe siècle ». L’étude a clairement prouvé, à l’aide de données, quelque chose que les McKinlay ont reconnu comme pouvant être considéré par certains comme une « hérésie » médicale. À savoir

que l’introduction de mesures médicales spécifiques et/ou l’expansion des services médicaux ne sont généralement pas responsables de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité.

Par « mesures médicales », les McKinlay entendaient en fait TOUT ce que la médecine moderne avait inventé, qu’il s’agisse d’antibiotiques, de vaccins, de nouveaux médicaments, etc. Les 23 pages de l’étude de McKinlay devraient être lues intégralement, mais en bref, les McKinlay ont cherché à analyser l’impact des mesures — médicales, antibiotiques, chirurgie, vaccins — sur le déclin massif des taux de mortalité entre 1900 et 1970 :

© McKinlay & McKinlay
Courbe de la mortalité en milliers des hommes et des femmes séparément (en utilisant des taux ajustés selon l’âge) pour les États-Unis, de 1900 à 1973.

Voici quelques-uns des principaux points abordés dans leur étude :

  • 92,3 pour cent du déclin du taux de mortalité s’est produit entre 1900 et 1950 [avant que la plupart des vaccins n’existent].
  • Les mesures médicales « semblent avoir peu contribué à la baisse globale de la mortalité aux États-Unis depuis 1900 environ — ayant été introduites dans de nombreux cas plusieurs décennies après qu’un déclin marqué se soit déjà amorcé et n’ayant pas d’influence détectable dans la plupart des cas ».

Et, voici les deux pépites…

Le document fait état de deux points que je tiens à souligner, car ils sont très importants. Le premier concerne les vaccins. Ils écrivent :

Même si l’on supposait que ce changement était entièrement dû aux vaccins, alors seulement un pour cent environ du déclin consécutif aux mesures médicales prises pour les maladies considérées ici pourrait être attribué à ces mesures. De manière plus conservatrice, si nous attribuons une partie du déclin ultérieur des taux de mortalité pour la pneumonie, la grippe, la coqueluche et la diphtérie à des mesures médicales, alors seuls 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité global peuvent peut-être être expliquée par des mesures médicales dans les principales maladies infectieuses considérées ici. En effet, étant donné que c’est précisément pour ces maladies que la médecine prétend avoir le plus de succès dans la réduction de la mortalité, 3,5 pour cent représente probablement une estimation raisonnable de la limite supérieure pour la contribution totale des mesures médicales à la baisse de la mortalité aux États-Unis depuis 1900.

En clair : sur le déclin total de la mortalité depuis 1900, à savoir ce chiffre de 74 pour cent que je ne cesse de mentionner, les vaccins — et autres mesures médicales comme les antibiotiques — n’y ont en fait contribué qu’à hauteur de 1 à 3,5 pour cent. Autrement dit, au moins 96,5 pour cent du déclin de la mortalité n’avaient rien à voir avec les vaccins — et probablement plus que cela puisque les chiffres de McKinlay & McKinlay comprenait TOUTES les mesures médicales, et pas UNIQUEMENT les vaccins [ou les antibiotiques – NdT].

© Shutterstock

Vous ne pouvez pas dire que vous avez sauvé l’humanité si vous êtes tout au plus à l’origine de 3,5 pour cent du déclin du taux de mortalité depuis 1900 — et encore moins si vous l’êtes plus probablement de 1 pour cent.

Et puis les McKinlay ont écrit quelque chose qui m’a fait rire aux éclats, parce que cela correspond absolument à ce que nous voyons tous les jours dans le monde d’aujourd’hui où les vaccins sont hyper à la mode :

Il n’est pas rare aujourd’hui que les connaissances biotechnologiques et les mesures médicales spécifiques soient invoquées comme la raison principale de la majeure partie du déclin moderne de la mortalité au XXe siècle. La paternité de ce déclin est souvent revendiquée par les, ou attribuée aux, principaux bénéficiaires actuels de cette explication dominante.

Cela vous dit quelque chose ?

En 2000, le CDC donne le coup de grâce

En 1970, le Dr Kass a émis l’idée que les responsables de la santé publique doivent veiller à ne pas attribuer à des éléments erronés le mérite du déclin massif du taux de mortalité enregistré dans le monde développé au XXe siècle. En 1977, les docteurs McKinlay & McKinlay ont rassemblé des données autour des idées du Dr Kass et ont montré que les vaccins — et autres mesures médicales — étaient responsables de 1 à 3,5 pour cent de ce déclin global de la mortalité depuis 1900. En 2000, les scientifiques du CDC ont reconfirmé toutes ces données, mais ont également fourni un meilleur aperçu des éléments qui ont réellement conduit à ce déclin.

Publié en septembre 2000 dans la revue Pediatrics et intitulé « Résumé annuel des statistiques de l’état civil : Tendances sur la santé des Américains au cours du XXe siècle », des épidémiologistes issus de l’université Johns Hopkins et des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies [CDC – NdT] ont réaffirmé ce que nous avions déjà appris grâce aux travaux de McKinlay et McKinlay :

La vaccination n’explique donc pas les impressionnantes baisses de la mortalité observées dans la première moitié du siècle… près de 90 pour cent de ce déclin du aux maladies infectieuses chez les enfants américains s’est produit avant 1940, à une époque où peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles.

L’étude présente ensuite les éléments réellement déterminants dans ce déclin massif de la mortalité : « le traitement de l’eau, la sécurité alimentaire, l’élimination organisée des déchets solides et l’éducation du public sur les pratiques d’hygiène ». De plus, « l’amélioration des logements qui a réduit le surpeuplement dans les logements des villes américaines » a joué un rôle majeur. De l’eau propre. Des aliments sûrs. La nutrition. La plomberie. L’hygiène. Ce sont les principales raisons pour lesquelles la mortalité a si rapidement diminué. Du moins selon les données et les publications scientifiques.

L’histoire récente

Lorsque je partage le tableau suivant, compilé à partir des données du CDC, les réactions sont très vives :

Taux de vaccination en 1985 aux États-Unis

De gauche à droite : DTP pour DTC diphtérie, tétanos, coqueluche – Polio pour poliomyélite – MMR pour ROR : rougeole, oreillon, rubéole – Hep B pour hépatite B – HPV pour papillomavirus – Influenza pour grippe – PCV pour pneumocoque – Rotavirus pour gastro-entérite – Hib pour méningite à Haemophilus influenzae de type B – Varicella pour varicelle – Hepatitis A pour hépatite A – Meningococcal pour méningite à méningocoques

Ce tableau est compilé à partir de l’ensemble des données fournies par le CDC. Vous pouvez constater que neuf vaccins aujourd’hui administrés aux enfants n’existaient même pas au milieu des années 1980. De plus, les taux de vaccination pour les trois vaccins qui existaient étaient à l’époque de l’ordre de 60 pour cent ou moins. Aujourd’hui, les taux de vaccination sont tous bien supérieurs à 90 pour cent chez les enfants américains. Je pense qu’il est légitime de se demander « pourquoi tant de panique ? ». En examinant attentivement ce tableau, on se rend compte à quel point la notion souvent évoquée d’« immunité collective » est totalement absurde, puisqu’elle n’a évidemment pas pu au milieu des années 80 être atteinte grâce à la vaccination. En fait, nous n’en sommes pas plus proches aujourd’hui, puisque les taux de vaccination chez les adultes restent très faibles et que les vaccins se dégradent avec le temps.

L’importance de la vérité

Comme l’explique la mise en garde de McKinlay et McKinlay, si une mesure médicale — comme les vaccins — est désignée de façon erronée comme étant la raison du déclin de la mortalité à ce point spectaculaire pour les Américains et les habitants de l’Europe au XXe siècle, cette mauvaise interprétation peut être utilisée à mauvais escient pour commettre des abus tels que :

  • augmenter rapidement le nombre de vaccins administrés aux enfants ;
  • battre en brèche les parents qui ont choisi de suivre un calendrier de vaccination différent et les faire se sentir coupables ;
  • rendre les vaccins obligatoires ;
  • parler des vaccins en des termes si révérencieux que même les remettre en question — comme je le fais dans cet article — est considéré comme sacrilège et irresponsable ; et
  • nier que les lésions dues aux vaccins se produisent à un rythme élevé, afin de permettre à tout le système vaccinal de poursuivre sa route dans la « bonne direction » — d’ailleurs, et selon cette étude commandée et payée par le CDC alors qu’ils ont en fait automatisé le suivi des lésions dues aux vaccins, la « meilleure » estimation du taux de lésions dues aux vaccins est d’environ 2 pour cent. Le chiffre de « un sur un million » avancé par les partisans des vaccins est tout simplement un mensonge insupportable.

L’Afrique, et les autres pays dits du tiers monde

Les partisans des vaccins citent souvent des statistiques a priori alarmantes concernant les décès imputables aujourd’hui à des maladies infectieuses. Ils utilisent le nombre de cas d’une maladie, comme la rougeole par exemple, pour nous présenter le nombre de décès infantiles qui lui est imputable chaque année et la nécessité pour TOUS les parents américains de vacciner leur(s) enfant(s) contre la rougeole. Bien sûr, ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que ces décès dus à des maladies infectieuses se produisent dans des régions où la qualité de vie est encore comparable à celle des enfants américains au début des années 1900. Une mauvaise nutrition. Pas de plomberie ni de réfrigération. De mauvaises pratiques d’hygiène. Des logements surpeuplés. Toutes composantes qui ont RÉELLEMENT influencé l’impact sur le taux de mortalité et qui dans certaines parties de l’Afrique et dans d’autres pays du tiers monde n’ont pas encore été résolues, et porter les efforts sur les SEULES campagnes vaccinales ne changera pas les faits. C’est ce que le Dr Kass a dès le départ souligné : il faut savoir ce qui a réellement fait décliner le taux de mortalité et s’y consacrer !

En fait, nous disposons aujourd’hui de données qui montrent que vacciner des enfants qui vivent dans des conditions de malnutrition et sans installations sanitaires adéquates se révèle pour eux bien plus préjudiciable que bénéfique.

L’« étude d’Aaby »

Publiée en 2017 dans la revue à comité de lecture EBioMedicine, l’étude s’intitule « L’introduction du vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche et du vaccin oral contre la polio chez les jeunes enfants dans une communauté urbaine africaine : Une expérimentation naturelle » [une expérience naturelle est une étude empirique dans laquelle des individus — ou des groupes d’individus — sont exposés aux conditions expérimentales et de contrôle qui sont déterminées par la nature ou par d’autres facteurs échappant au contrôle des chercheurs. Le processus régissant les expositions ressemble sans doute à l’assignation aléatoire. Ainsi, les expériences naturelles sont des études d’observation et ne sont pas contrôlées dans le sens traditionnel d’une expérience randomisée – NdT].

© Inconnu
Le Dr. Peter Aaby

Les chercheurs du Bandim Health Project [une ONG – NdT] affiliés à ceux du Research Center for Vitamins and Vaccines [Centre de recherche sur les vitamines et les vaccins – NdT], liés à leur organisation mère du Statens Serum Institut au Danemark, ont examiné de près les données de la Guinée-Bissau en Afrique de l’Ouest. Les scientifiques de cette étude ont étudié de près le concept d’« effets non spécifiques » des vaccins, une belle formule pour dire que les vaccins peuvent rendre un enfant plus sensible à d’autres infections. Ils ont découvert que les données concernant les enfants africains qui avaient été vaccinés avec le vaccin DTC [diphtérie-tétanos-coqueluche – NdT]

étaient associées à une mortalité cinq fois plus élevée que pour ceux qui n’étaient pas vaccinés. Aucune étude prospective n’a démontré les effets bénéfiques du DTC sur la survie… Le DTC est le vaccin le plus largement utilisé… Toutes les preuves actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTC pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche. Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie ciblée, il peut simultanément augmenter la susceptibilité à des infections non liées.

Pour les profanes, cela signifie que donner le vaccin DTC à un enfant africain lui fait courir le risque de développer d’autres infections. Que les conditions de vie soient plus importantes que le vaccin est en Afrique une évidence — comme on peut s’y attendre à la lumière des travaux du Dr Kass et des Drs McKinlay. Et le vaccin DTC s’est effectivement révélé bien plus préjudiciable que bénéfique. Il convient de noter que le Dr Aaby était un chercheur très respecté dans le domaine vaccinal jusqu’à ce qu’il publie cette étude en 2017. Je crois savoir qu’il a depuis perdu ses sources de financement. Bienvenue dans le monde actuel de la « science » vaccinale.

Un enfant sur deux

Nous disposons d’un autre exemple concret de ce phénomène qui remonte à la fin des années 1970. Le Dr Archie Kalokerinos a fait, comme il l’explique, une simple découverte [tiré de son ouvrage Every Second Child, « Un enfant sur deux », ouvrage non traduit en français – NdT] :

Every second child, Dr. Archie Kalokerinos

Au début, ce n’était qu’une simple observation clinique. J’ai observé que de nombreux nourrissons, après avoir reçu des vaccins de routine comme le tétanos, la diphtérie, la polio, la coqueluche ou autre, tombaient malades. Certains sont devenus extrêmement malades, et en fait certains sont morts. C’était une observation, pas une théorie. Ma première réaction a donc été d’examiner les raisons pour lesquelles cela se produisait. Bien sûr, j’ai découvert que la probabilité était plus grande chez des nourrissons qui étaient malades au moment où de recevoir un vaccin, ou des nourrissons qui avaient été malades peu de temps avant, ou des nourrissons qui incubaient une infection. Il n’y a bien évidemment aucun moyen de détecter une maladie dans les premiers stades d’incubation. Ce n’est possible que plus tard. En outre, certaines des réactions aux vaccins ne sont pas celles qui figurent dans la littérature standard.

Ces réactions étaient en effet très étranges. Une troisième observation est qu’avec certaines de ces réactions qui entraînent normalement la mort, j’ai découvert que je pouvais les inverser en donnant de grandes quantités de vitamine C par voie intramusculaire ou intraveineuse. On se serait attendu, bien sûr, à ce que les autorités s’intéressent à ces observations qui ont entraîné une baisse spectaculaire du taux de mortalité des nourrissons dans la région que je contrôlais, une baisse en fait très spectaculaire. Mais au lieu de s’intéresser à ces observations, elles ont réagi avec une extrême hostilité. C’est ce qui m’a incité à examiner la question vaccinale, et plus mes investigations prenaient de l’ampleur, plus je devenais choqué. J’ai découvert que toute l’affaire des vaccins était en effet un gigantesque canular. La plupart des médecins sont convaincus de leur utilité, mais si vous examinez les statistiques appropriées et que vous étudiez le cas de ces maladies, vous vous rendrez compte qu’il n’en est rien.

Le Dr Kalokerinos a en 1995 également dit quelque chose que l’étude du Dr Aaby semble avoir pu corroborer en 2017 :

Et si vous voulez voir les effets néfastes des vaccins, ne venez pas en Australie ou en Nouvelle-Zélande ou n’importe où ailleurs, allez en Afrique et vous le verrez là-bas.

Nous connaissions en fait la vérité au début des années 1900, avant même le déclin rapide de la mortalité. Bien en avance sur son temps, l’Anglais John Thomas Biggs était l’ingénieur sanitaire de sa ville de Leicester et devait répondre activement aux épidémies de variole. Il a rapidement appris que les résultats de l’assainissement en matière de santé publique l’emportaient largement sur l’impact de la vaccination — dont il a constaté les dommages dramatiques et l’inefficacité. En 1912, il a écrit un ouvrage déterminantLeicester — Sanitation versus Vaccination [« Leicester — Assainissement versus vaccination », ouvrage non traduit en français – NdT]. M. Biggs a donc découvert il y a plus de cent ans ce que le CDC a réaffirmé en 2000, à savoir que rien ne protège des maladies infectieuses comme un bon assainissement. Il a précisé :

Leicester a fourni, tant par son précepte que par son exemple, la preuve irréfutable des pouvoirs et de l’influence de l’assainissement, non seulement pour combattre et contrôler, mais aussi pour pratiquement éliminer de son territoire les maladies infectieuses
[…]
Une ville nouvellement conçue selon les principes les plus modernes de gestion des espaces et des systèmes d’aération, et adopter la « méthode de Leicester » en matière d’assainissement, pourrait non seulement faire obstacle à la variole, mais aussi à d’autres maladies infectieuses, voire presque toutes les maladies zymotiques.

Le Dr Andrew Weil, le célèbre médecin souvent cité, renforce ce point en expliquant que

la médecine s’est attribué le mérite de certaines avancées médicales qui ne lui revient pas. La plupart des gens pensent que la victoire sur les maladies infectieuses du siècle dernier est due à l’invention des vaccins. En fait, le choléra, la typhoïde, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, ainsi que les autres maladies, étaient en déclin avant que des vaccins pour ces maladies ne soient disponibles — en raison des meilleures méthodes d’assainissement, d’évacuation des eaux usées et de distribution de nourriture et d’eau.

Aujourd’hui même, Amy Becker et Mark Blaxill ont publié cette extraordinaire analyse intitulée « Les leçons du confinement : Pourquoi le nombre d’enfants décédés est-il si faible ? ». Elle devrait être lue dans son intégralité, toutefois, elle soulève une grande question : cette baisse est-elle due au confinement — et en particulier la baisse des décès dus au Syndrome de mort subite du nourrisson — parce que les bébés n’ont pas été vaccinés [durant cette période – NdT] ? Ils écrivent :

Le Covid-19 est unique parmi les pandémies récentes en ce sens que le bilan de la mortalité est mesurable, réel et convaincant. Il est également presque certain qu’il sera transitoire, mais cela n’empêchera pas la progression de l’écrasante propagande qui l’accompagne. Cependant, comme le dit le proverbe, « les plans les mieux conçus partent souvent à vau-l’eau ». Ce que personne n’aurait pu prévoir avant le Covid-19, c’est que cette mesure extrême de confinement a produit une expérimentation naturelle qui remet en question les actions mêmes préconisées depuis des années par la communauté des maladies infectieuses et de la santé publique, à savoir les vaccinations obligatoires et généralisées pour tout le monde. Nous devons déplorer la mort des personnes âgées résidant dans les maisons de retraite de Manhattan, mais aussi tenir compte des centaines de décès de nourrissons qui ont été évités. Ce n’est qu’avec un tel équilibre que nous pourrons tirer les leçons qui s’imposent quant à la pandémie et aux mesures de confinement qui ont suivi.

Pour conclure

Les vaccins n’ont pas sauvé l’humanité. Leur impact se situe entre 1 et 3,5 pour cent de la baisse totale des taux de mortalité. Ce sont l’amélioration des conditions sanitaires et du niveau de vie qui ont véritablement permis ce déclin — nutrition, conditions de vie, etc. Les vaccins ont-ils contribué à une légère diminution de certaines maladies aiguës ? Oui, mais leur bénéfice relatif est souvent exagéré à l’extrême, et utilisé pour intimider, culpabiliser et effrayer les parents.

© CDC-Adaptée en français par Sott.net

Suis-je donc en train de dire que personne ne devrait se faire vacciner ? Non, je ne le dis pas. Les vaccins offrent une protection temporaire contre certaines maladies aiguës. Certains sont plus importants que d’autres. Je pense personnellement que nous donnons beaucoup trop de vaccins, et je pense que l’équation risque/bénéfice de chaque vaccin est souvent occultée. Pire encore, 

le mensonge selon lequel les vaccins ont sauvé l’humanité au XXe siècle a transformé en fanatiques de nombreux partisans des vaccins, même si leurs récits ne sont tout simplement pas étayés par les faits. Mais vous pouvez bien sûr vous faire vacciner autant que vous le souhaitez, je respecte votre droit à faire vos propres choix en matière de soins médicaux. Personnellement, je ne ferai pas la queue pour me faire vacciner contre le Covid-19.

Notes de l’auteur

Il existe deux excellentes ressources que je vous recommande si vous souhaitez plonger dans le trou du lapin de la véritable histoire des maladies infectieuses. La première est l’incroyable livre de Suzanne Humphries, Dissolving Illusions. Le second est un article complet de Roman Bystriany intitulé, « La rougeole — La nouvelle peur rouge » [en anglais – NdT]. Si vous le lisez, vous serez profondément désillusionné par le battage médiatique — ne dites pas que je ne vous ai pas prévenu !

Le journaliste Lawrence Solomon a également écrit deux excellents articles sur la rougeole [tous deux en anglais – NdT] : « L’histoire inédite de la rougeole », et « Les vaccins ne peuvent pas empêcher les épidémies de rougeole ».

À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 19 juin 2020 : J.B. Handley Blog
Traduction: Sott.net

Commentaire : Les deux articles suivants viendront compléter le sujet présenté dans celui-ci :

Rockefeller, roi du pétrole, a en effet entrevu une manne financière supplémentaire par l’usage de l’or noir dans l’élaboration et la mise en place des médicaments chimiques. Manne financière, mais aussi soif de contrôle, ces remèdes chimiques aux effets indésirables si nombreux — et pour cause — étant aujourd’hui très largement utilisés dans le monde entier… Un soupçon d’eugénisme au passage, peut-être ?

Voir aussi via le champ de recherche de Sott, tous les articles relatifs aux vaccins ou encore les articles suivants parmi les plus récents :


[Voir aussi : Dossier Vaccins]




Dons de la Fondation Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Photo : Bill et Melinda Gates reçoivent la médaille présidentielle de la Liberté en 2016, signe de reconnaissance de leur contribution « aux intérêts nationaux, à la sécurité et à la culture des États-Unis ».

Voici la 3e partie d’une série d’articles sur Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la « controversée hydroxychloroquine ».

1ère partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine» ou ici

2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins ou ici


Dons de la Fondation Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens

Alors qu’il peut sembler n’avoir aucun lien avec les deux précédents articles, cet aparté concernant les activités philanthropiques de Bill Gates en Inde sera extrêmement utile pour démontrer l’étendue de son influence sur les politiques de santé publique des pays en développement, ainsi que les effets néfastes des campagnes de vaccination massives et des vaccins en général.

Signalons d’abord qu’en acceptant des dons de la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG), les récipiendaires de l’« aide » se soumettent aux objectifs de Bill et Melinda. Ils le disent eux-mêmes sur leur site :

« Une fois que nous nous engageons dans un domaine où il y a des besoins à combler, nous définissons nos principaux objectifs et identifions un chemin clair pour les atteindre […]

Dans chacune de nos divisions, nous élaborons des objectifs et des stratégies avant d’allouer des ressources et de faire des investissements […]

Nos responsables de programmes s’efforcent d’identifier les idées qui soutiennent nos priorités stratégiques […]

Il arrive qu’un responsable de programme ou un membre du personnel de la fondation participe à des comités consultatifs et siège occasionnellement au conseil d’administration de l’organisation. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations)

La fondation ne fait donc pas de dons pour aider les organismes à atteindre leurs propres objectifs, mais bien ceux de la fondation.

Selon elle, ces objectifs sont :

  • réduire les inégalités en matière de santé en développant de nouveaux outils et de nouvelles stratégies pour réduire le fardeau des maladies infectieuses et les principales causes de mortalité infantile dans les pays en développement
  • améliorer la fourniture de produits et de services de santé à fort impact aux communautés les plus pauvres du monde et aider les pays à élargir l’accès à la couverture santé
  • créer et mettre à l’échelle des innovations fondées sur le marché pour stimuler une croissance économique inclusive et durable
how we work
« Le monde ne s’améliorera pas tout seul. Nous devons nous fixer de grands objectifs et nous responsabiliser à chaque instant. »

Parmi les programmes financés par la Fondation Gates, celui de la vaccination en Inde jette au tableau une ombre qui met en lumière à la fois ses stratégies d’influence sur les politiques de santé publique, ses conflits d’intérêts et son manque de considération pour les plus démunis, qu’elle se targue pourtant de vouloir sauver. Le portrait sombre qui en résulte sème des doutes sur ses objectifs.

Selon un article de fond paru dans l’Economic Times (ET) en 2014 :

« La Fondation Bill & Melinda Gates insiste sur son engagement à améliorer la couverture et la qualité des services de vaccination, mais ses détracteurs l’accusent de financer des organisations qui défendent les intérêts des fabricants de vaccins. »

L’article d’ET aborde deux programmes : la vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) avec Gardasil (Merck) et Cervarix (GlaxoSmithKline), et la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et l’haemophilus influenza de type b à l’aide d’un seul vaccin, le Pentavalent. (Voir L’OMS, Bill Gates et les vaccins pour les conflits d’intérêts.)

Vaccination contre le VPH

Les programmes de vaccination contre le VPH étaient menés par PATH (Program for Appropriate Technology in Health), un organisme à but non lucratif financé par la Fondation Gates.

De nombreux effets secondaires et des décès ont été rapportés à la suite de ces campagnes de vaccination.

Selon une enquête de l’organisation non gouvernementale Sama – Resource Group for Women and Health sur le programme employant Gardasil, « les sept décès ont été sommairement rejetés comme n’étant pas liés à des vaccinations, sans que ne soit menée d’enquête approfondie ».

Toutes les publications de Sama concernant le vaccin contre le VPH sont ici.

Ces progammes de vaccination ont été critiqués pour des irrégularités quant au consentement des patients, et à l’innocuité des vaccins dans une enquête du Parlement indien en 2013. Le comité d’enquête a identifié plusieurs violations de la loi et recommandé que des poursuites judiciaires soient entamées contre PATH.

Le comité d’enquête s’est dit

« extrêmement préoccupé par l’aspect des intérêts commerciaux des fabricants [de vaccins] influençant la politique du gouvernement sur ce vaccin coûteux. Le comité a observé que l’étude a été lancée par PATH de sa propre initiative, ayant obtenu les vaccins des fabricants et des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates, sans aucune référence du NTAGI [National Technical Advisory Group on Immunization], l’organisme officiel du GOI [gouvernement indien] sur la vaccination.

L’affaire fait l’objet d’un litige depuis 2012. Kalpana Mehta et Sama – Resource Group for Women and Health ont déposé deux Litiges d’intérêt public (LIP) contre PATH, Merck Sharp and Dohme, GlaxoSmithKline Plc, et le gouvernement indien. Les LIP sont un type de recours juridique en Inde permettant aux plus démunis d’avoir accès à la justice.

En résumé :

« Mme Kalpana Mehta et SAMA – Resource Group for Women and Health ont déposé deux litiges d’intérêt public (LIP) en 2012 visant à retirer l’autorisation de deux vaccins contre le cancer du col de l’utérus en raison d’irrégularités présumées dans les essais cliniques. Des personnes seraient mortes des suites de ces deux vaccins, Gardasil et Cervarix, fabriqués par Merck Sharp and Dohme et GlaxoSmithKline Plc.

Dans son rapport de décembre 2014, la 81e Commission parlementaire permanente (PSR) sur la santé et le bien-être familial a constaté de graves irrégularités dans les essais cliniques de ces vaccins. Le rapport a également relevé des irrégularités dans l’obtention du consentement des sujets dans les essais cliniques et des écarts par rapport à divers protocoles établis. »

Les pharmaceutiques ont contesté en vain l’utilisation des rapports gouvernementaux accablants comme preuve par les plaignants.

Un article du Wire offre un excellent résumé de la décision de la Cour en faveur des plaignants.

Dans un article de la revue Science au sujet du rapport d’enquête de 2013, on indique que trois doses de vaccin contre le VPH coûtent approximativement 150 dollars et que le don d’environ 6 millions de dollars de vaccins par Merck et GlaxoSmithKline, « n’était pas un geste philanthropique », selon Chandra M. Gulhati, rédacteur d’un grand mensuel indien.

Samiran Nundy, rédacteur émérite de la revue médicale National Medical Journal of India, a maintenu pour sa part qu’il s’agissait d’un « cas évident où les Indiens ont servi cobayes ».

Malgré ce scandale sanitaire, la Fondation Gates a continué de financer PATH. En 2017, l’organisme a reçu 120 millions de dollars de la fondation :

« S’appuyant sur des décennies d’innovation en matière de développement de vaccins et d’immunisation, PATH a annoncé aujourd’hui avoir reçu une subvention de 120 millions de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour renforcer son Centre PATH pour l’innovation et l’accès aux vaccins (CVIA), où l’on travaille sur toutes les étapes de la recherche, du développement et de l’introduction sur le marché de vaccins contre les maladies dans les régions à faibles ressources. »

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« PATH consolide sa position de leader dans le développement et l’introduction sur le marché de vaccins dont le besoin est urgent »

Qu’est-il advenu du principe de la fondation selon lequel nous devons « nous responsabiliser à chaque instant »?

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Le vaccin Pentavalent

Au Vietnam, la vaccination avec le Pentavalent a été « temporairement suspendue en raison de certains décès de nourrissons signalés après la vaccination ».

Toujours selon l’ET :

« Lancé en 2011 en Inde, le Pentavalent […] a causé un scandale après le signalement à travers tout le pays de nombreux décès de nourrissons suivant la vaccination. Une réponse du ministère de la Santé à une demande d’accès à l’information indique que les décès de trois nourrissons au Tamil Nadu ont “un lien constant de cause à effet avec la vaccination” […] Au total, 54 décès de nourrissons ayant été vaccinés avec le Pentavalent ont été classés comme “effets indésirables suivant l’immunisation” (AEFI), une nomenclature qui confirme que les décès sont survenus peu après la vaccination […]

La FBMG, la Gavi et la Fondation de santé publique de l’Inde (FSPI) sont favorables au Pentavalent, même si un certain nombre de pédiatres et d’experts de la santé ont demandé au gouvernement de réexaminer le vaccin à la lumière des décès de nourrissons. »

La FSPI, un partenariat public-privé fondé en 2006 par le gouvernement indien et la FBMG, a reçu des dons de Merck Sharp and Dohme, Pfizer, Sanofi (fabricant de Pentavalent) et d’autres sociétés pharmaceutiques selon l’ET qui ajoute :

« Les activistes affirment que ces deux institutions [Gavi et FSPI] ont une relation de travail avec les entreprises pharmaceutiques. La principale accusation portée contre la Gavi est qu’elle compte des représentants de sociétés pharmaceutiques dans son conseil d’administration alors que la FSPI accepte des subventions de sociétés pharmaceutiques. “La FBMG et la Gavi font pression sur les gouvernements du monde entier, y compris celui de l’Inde, pour qu’ils adoptent un programme de vaccination’’, explique Ritu Priya Mehrotra, professeure de médecine sociale et de santé communautaire à l’École des sciences sociales de l’Université Jawaharlal Nehru de Delhi.

Des représentants de l’industrie pharmaceutique siègent encore aujourd’ui au conseil d’administration de Gavi :

gavi board members

L’ET ajoute ceci à propos de Ritu Priya Mehrotra :

ritupria
Ritu Priya Mehrotra

L’activiste de la santé communautaire affirme que l’industrie de la biotechnologie introduit de plus en plus de vaccins en Inde et que le ministère de la Santé ne s’assure pas que des tests adéquats soient effectués avant de recommander leur utilisation dans les programmes gouvernementaux.

La tendance actuelle est à la dilution des critères des tests d’innocuité et à la réduction du temps nécessaire pour mener des études d’observation adéquates. “Le meilleur exemple est le vaccin Pentavalent contre lequel il y a lieu de se méfier et pourtant nous allons de l’avant [avec son utilisation dans le programme d’immunisation]”, souligne Mme Mehrotra […]

Mme Mehrotra ajoute qu’un réseau de personnes dans les organismes d’aide et dans la bureaucratie du système de santé insistent sur ces programmes. “Ils ont l’avantage d’une mentalité existant chez les professionnels de la santé selon laquelle les vaccins constituent la solution parfaite, sûre, efficace et peu coûteuse pour la prévention des maladies infectieuses. Il est amplement démontré que ce n’est pas toujours le cas”. »

bill melinda india

La FBMG finance aussi l’Immunization Technical Support Unit (ITSU), une organisation chargée de fournir « des conseils en matière de stratégie et de suivi pour le programme de vaccination massive de New Delhi qui couvre environ 27 millions de nourrissons chaque année ».

Reuters rapportait en 2017 que le gouvernement indien avait décidé de financer lui-même une « unité clé » de l’ITSU car « le financement d’une agence externe donnait l’impression qu’elle pourrait y avoir de l’influence », selon un représentant officiel du ministère indien de la Santé ».

On ajoute :

« Par le passé, des critiques ont soulevé des préoccupations concernant le fait que la fondation ne devrait pas être associée au programme en raison d’apparents conflits d’intérêts. En effet, la fondation soutient également Gavi,  l’Alliance mondiale pour les vaccins, laquelle compte de grandes entreprises pharmaceutiques parmi ses partenaires. »

Vaccin oral contre la polio

Le plus récent scandale en Inde lié à la Fondation Gates concerne la campagne de vaccination contre la polio.

Selon l’étude Correlation between Non-Polio Acute Flaccid Paralysis Rates with Pulse Polio Frequency in India publiée en 2018 dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health, « la fréquence d’administration du vaccin oral contre la polio est directement ou indirectement liée à l’incidence de la paralysie flasque aiguë (PFA) non poliomyélitique ». Les chercheurs suggèrent que ce vaccin est lié à 491 000 cas supplémentaires de PFA non poliomyélitique (PFANP) survenus entre 2000 et 2017.

Ce tableau de l’étude montre dans l’avant dernière colonne les cas prévus de PFANP (150 666) et dans la dernière colonne les cas réels en excès (49 1704).

NPAFP

Ce pénomène lié à la vaccination donne lieu à un dilemme moral selon un ancien conseiller de l’OMS.

T. Jacob John

En 2019, le New Indian Express rapportait que « T. Jacob John, ancien conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et du gouvernement indien sur les politiques d’éradication de la polio, décrit le fait que l’on continue d’employer le [vaccin antipoliomyélitique oral] VPO comme une “anomalie éthique’’ provoquant une polio évitable chez les enfants ».

Voici le résumé de l’étude The moral dilemma of the polio eradication programme qu’il a co-écrite avec la pédiatre Dhanya Dharmpalan. L’étude est parue dans l’Indian Journal of Medical Ethics :

« Au cours des cinq dernières années, les cas de polio causés par des virus vaccinaux dans le monde entier ont été plus nombreux que ceux causés par des poliovirus naturels (sauvages), ce qui pose un dilemme moral. L’éthique de la santé publique doit protéger les meilleurs intérêts de la communauté en partageant équitablement les bénéfices et les risques, indépendamment des disparités socio-économiques. Les virus contenus dans le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) provoquent la poliomyélite paralytique associée au vaccin (PPAV), tandis que la poliomyélite paralytique est également causée par des poliovirus dérivés du vaccin (PVDV). Par sa politique d’utilisation du VPO dans les pays à faible et moyen revenus, alors que les pays riches utilisent le vaccin inactivé sécuritaire contre la polio (VPI), le Programme mondial d’éradication de la polio est responsable d’une injustice sociale. En 2017 et 2018, des épidémies de polio ont éclaté en Syrie et en Papouasie-Nouvelle-Guinée en raison de la circulation des PVDV, alors que ces pays avaient éradiqué la polio pendant de nombreuses années grâce aux poliovirus sauvages. La seule voie éthique pour l’éradication mondiale de la polio est de remplacer le VPO par le VPI dans tous les pays. »

Qui finance en partie le Programme mondial d’éradication de la polio?

polio

« L’Initiative mondiale pour l’éradication de la polio est un partenariat public-privé dirigé par les gouvernements nationaux avec six partenaires principaux : l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le Rotary International, le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi, l’Alliance pour les vaccinsSon objectif est d’éradiquer la polio dans le monde entier. »

La Fondation Gates serait donc en partie « responsable de l’injustice sociale » provoquée par ce programme raté, elle qui se vante pourtant de « travailler à la réduction des inégalités » :

all lives have equal value
Toutes les vies ont une valeur égale. Nous sommes des optimistes impatients, travaillant à la réduction des inégalités.

La Fondation Gates considère malgré tout le Programme mondial d’éradication de la polio comme une réussite :

Longtemps considérée comme l’endroit où il serait le plus difficile d’éradiquer la polio […] l‘Inde démontre de manière exemplaire qu’un programme peut réussir grâce à un financement complet et à des dirigeants et des travailleurs dévoués.

gates opv

Tout ce qui précède, comme tout ce que nous avons vu dans l’article précédent, L’OMS, Bill Gates et les vaccins, démontre clairement que la Fondation Gates est au cœur d’un vaste réseau international d’influence incitant les gouvernements à l’adoption de programmes de vaccination, lesquels profitent à l’industrie pharmaceutique et ont souvent des effets délétères. Ce réseau imbrique des organismes dits de bienfaisance, des gouvernements, des organisations internationales, la société civile, des sociétés pharmaceutiques et autres entreprises privées, ainsi que la Banque mondiale, gestionnaire de la trésorerie de Gavi, comme nous le verrons dans le prochain article de cette série.

Le poids de Bill Gates à l’OMS sur ces programmes de vaccination y est pour quelque chose. Le plus grand organisme de santé publique au monde sert à légitimer les programmes initiés par la Fondation Gates.

En 2010, l’OMS annonçait le lancement de la « Décennie des vaccins », un « plan d’action mondial pour les vaccins », en collaboration avec l’UNICEF, le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dirigée à l’époque par Anthony Fauci, et la Fondation Bill & Melinda Gates.

Ce plan visait uniquement les populations les plus démunies de la planète.

On peut lire dans cette annonce :

« Cette collaboration fait suite à l’appel lancé en janvier 2010 par Bill et Melinda Gates pour que les dix prochaines années soient la Décennie des vaccins. Le plan d’action mondial pour les vaccins permettra une meilleure coordination entre toutes les parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques – et identifiera les lacunes importantes en matière de politique, de ressources et autres qui doivent être comblées pour réaliser le potentiel des vaccins à sauver des vies. »

Donc voilà. Quand Bill et Melinda appellent, l’OMS répond.

Et cela devrait tous nous inquiéter car actuellement Bill Gates est sur toutes les tribunes, appelant à vacciner la planète entière contre le coronavirus, avec plusieurs doses, alors que les voix qui s’élèvent contre cette idée sont supprimées, même s’il s’agit d’experts en sciences de la santé.

Quiconque est en faveur de la vaccination obligatoire ignore totalement ce que cela implique, soit que nous servions tous de cobayes pour un vaccin expérimental fait à toute vitesse contre un virus encore méconnu, le tout au profit de l’industrie pharmaceutique, de leurs actionnaires et partenaires d’affaires, incluant la Fondation Bill & Melinda Gates.




« Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités

[Source : afrik.com]

Par Hélène Bailly

Le Professeur Didier Raoult, appelant l’Organisation mondiale de la Santé à réagir, a clairement indiqué que le remdesivir ne soigne pas le Coronavirus. Pire, souligne la blouse blanche, ce médicament cause de graves effets secondaires.

Alors que le remdesivir est le premier médicament autorisé au niveau de l’Union Européenne dans le cadre du traitement du Covid-19, le Professeur Didier Raoult a dénoncé, mercredi 8 juillet, dans un tweet, l’efficacité du médicament mis sur le marché par les laboratoires Gilead.

Cet antiviral autorisé en Europe depuis le 3 juillet dans le traitement du Covid-19 est à la base d’effets secondaires non négligeables, notamment des insuffisances rénales. « Le remdesivir ne soigne pas. Pire, il cause des insuffisance rénales : sur les cinq premiers patients traités par ce médicament à l’hôpital Bichat, deux ont été mis sous dialyse », a tweeté Raoult.

« Quand aura-t-on les résultats de Discovery ? Qu’attend l’OMS pour réagir ?», s’interroge le Professeur Didier Raoult, qui met ainsi l’institution face à ses responsabilités. A noter que l’essai européen Discovery a pour objectif d’évaluer l’efficacité de plusieurs traitements contre le Covid-19.

A l’origine, le remdesivir a été mis sur le marché pour combattre la fièvre hémorragique Ebola. Son utilisation en urgence dans les hôpitaux a été autorisée aux Etats-Unis, où curieusement, on dénombre plus de cas et plus de morts de Covid-19. Et c’est ce remdesivir, qui ne parvient pas à résoudre le problème de Covid-19 au Etats-Unis, que l’on tente de faire passer pour le médicament… miracle.

Cette sortie de Didier Raoult coïncide avec la décision des autorités américaines de rompre leur coopération avec l’Organisation mondiale de la Santé. Une troublante coïncidence si l’on sait que, le 17 juin dernier, l’OMS a définitivement entériné l’abandon de l’hydroxychloroquine et tracé un boulevard au remdesivir objet d’alerte de la part du Pr Raoult.




Chronologie d’une pandémie organisée

[Source : Pierre Jovanovic (du 18 au 22 juillet)]

[Auteur : Pierre Jovanovic]

Bruxelles avait préparé son rapport le Passeport Vaccin Européen 5 mois avant Wuhan !

Comme je vous l’ai annoncé depuis le mois de mars, Bruxelles travaille sur un passeport « Vaccins » afin de mettre la population sous surveillance totale. Mieux: la Commission Européenne avait préparé son rapport passeport-vaccin DES MOIS AVANT que le covid19 ne se répande à partir de Wuhan :

« Surprise, surprise, the European Commission had a « Roadmap on Vaccination » ready months before the COVID-19 pandemic broke out. The Roadmap should lead to a « commission proposal for a common vaccination card / passport for EU citizens by 2022 ».

Last updated during the third quarter of 2019, the 10-page document was followed, on September 12th, by a « global vaccination summit » jointly hosted by the EC and the World Health Organization. Under the header « Ten Actions Towards Vaccination for All – Everyone should be able to benefit from the power of vaccination », the summit manifesto laments that:

« Despite the availability of safe and effective vaccines, lack of access, vaccine shortages, misinformation, complacency towards disease risks, diminishing public confidence in the value of vaccines and disinvestments are harming vaccination rates worldwide. »

And with them, arguably, the pharmaceutical companies’ profits. In July 2017, for example, Italy made 12 vaccinations compulsory for children. In the aftermath, the prices of these very vaccines went up by 62%: from an average price per dose of € 14.02 up to € 22,74. The global vaccination market is currently worth USD 27 billion a year. According to WHO estimates, it will reach USD 100 billion by 2025« .

[NdNM : 2022: A Vaccination Passport]

Et devinez qui est celui qui encourage le plus les Italiens à se vacciner ? Une ordure nommée Gunther Oettinger celui qui avait dit que « les marchés donneront une bonne leçon à l’Italie » après que celle-ci ait voté contre l’Europe à 70%. Lire ici.

PS : une étude de Stanford a montré que le taux de mortalité du covid19 est quasiment de zéro pour tous ceux qui ont moins de 45 ans :

« For people younger than 45, the infection fatality rate is almost 0%. For 45 to 70, it is probably about 0.05%-0.3%. For those above 70, it escalates substantially »

lire ici le Washington Examiner.

Bill Gates avait préparé l’application de suivi par smartphone 6 mois avant Wuhan !

Voici une autre information qui vous montre que tout, absoluement tout a été préparé à l’avance. Le site The Pundit a découvert que Bill Gates avait négocié très précisément un don/budget de 100 milliards de dollars (oui milliards) du Congrès américain pour le suivi par application téléphone des malades covid !!!

« The Bill and Melinda Gates Foundation helped negotiate who would score a $100 Billion government-backed contact tracing contract in August 2019 – 6 months before the « pandemic » arrived in the United States and 4 months before it swept through China – .

The shocking revelations were unveiled on the Thomas Paine Podcast and the Moore Paine Show on Patreon by the two investigators who blew the whistle on the massive Clinton Foundation tax fraud during a Congressional hearing in 2018. John Moynihan and Larry Doyle testified in Congress, detailing the fraud and schemes utilized by the Clinton’s to avoid paying up to $2.5 BILLION in federal taxes (…) And just last month – nine months after the meetings with the Gates Foundation in Rwanda – Rush, a Democrat from Illinois, introduced the $100 BILLION H.R. 6666, the COVID-19 Testing, Reaching and Contacting Everyone (TRACE) Act.

Paine has since learned Congressman Rush traveled to Rwanda with his spouse from August 12th to 19th, 2019 to take part in talks and a week-long event underwritten by the Bill and Melinda Gates Foundation and the Rockefeller Brothers Fund.« 

Lire ici The Pundit

Et la question la plus pertinente, en effet, consiste à savoir comment vous négociez les conséquences d’une pandémie 6 à 7 mois avant que celle-ci ne se déclare ? .

LoL

La réponse est donc ultra simple et logique: PARCE QUE TOUT A ETE ORGANISE AVANT, remerciez quelques scientifiques français (parties prenantes avec la Fondation Bill Gates) qui ont préparé le virus pour le lâcher à Wuhan. 

GAVI : quand les banques veulent aussi vacciner la population !

Vous avez beaucoup entendu parler du GAVI, un bazar financé par Bill Gates évidemment qui, sous couvert d’oeuvre charitable de santé, se propose de vacciner toute la planète avec l’aides des bigpharma.

Le Global Alliance for Vaccines and Immunization (donc GAVI), fondé en l’an 2000, reçoit des dons de beaucoup de pays membres (Australie, Allemagne, Arabie Saoudite, Brésil, Canada, Chine, Danemark, France, Europe, Hollande, Islande, Inde, Irlande, Italie, Japon, Luxembourg, Monaco, Norvège, etc., etc.) mais aussi de multinationales parmi lesquelles le Bill & Melinda Gates Foundation, JP Morgan, Mastercard et même la Banque Mondiale…

Notez que Seth Berkley, président du GAVI, a siégé au conseil d’administration de… Gilead. Il est vrai que dans le monde des vaccins le monde est petit.

Mais le meilleur résumé du GAVI a été fait par le HuffPost:

« L’Alliance réunit les gouvernements de pays donateurs et de pays en développement, l’Organisation mondiale de la Santé, l’UNICEF, la Banque mondiale, l’industrie pharmaceutique des pays industrialisés et en développement, des instituts techniques et de recherche, des organisations de la société civile, la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi que d’autres fondations caritatives privées.

Le soutien de GAVI consiste à fournir des vaccins capables de sauver des vies et à renforcer les systèmes de santé. Depuis 2000, plus de 326 millions d’enfants ont été vaccinés et plus de 5,5 millions de décès prématurés évités grâce aux programmes financés par le GAVI.« 

Wouaa… Quand Bill Gates et les banques se proposent de vacciner, je ne sais pas pourquoi, j’ai comme un doute. Et vous aussi, sachant que Bill Gates veut REDUIRE la population mondiale et qu’il a refusé de vacciner ses enfants. Il y a une aiguille sous roche là, c’est clair !!!!

Preuve que Macron, vendu a Bill Gates, a tout fait pour que le Covid-19 se répande en France (suite)

Ce nouveau graphique vous montre, sous un autre angle, qu’il y a bien eu collusion AU PLUS HAUT NIVEAU DE L’ETAT pour dégager la chloroquine du Pr Didier Raoult afin de favoriser les labos pharmaceutiques en rapport étroit avec la Fondation Bill et Melinda Gates.

Regardez bien : la France a le plus haut score !!!!

Non seulement ce choix a été purement criminel, mais en plus nous sommes en présence ici de ce qu’on peut qualifier de HAUTE TRAHISON. C’est incroyable.

Mes chers lecteurs, ce graphique vous ne le verrez pas sur les TV vendues à ces mêmes traîtres. Quand je pense qu’on nous présente Edouard Philippe comme ayant été « un grand PM » !!!! Quelle honte, quel mensonge abominable. Tous ces gens, en temps normal, se retrouveraient devant un peloton d’exécution. 

Une preuve de plus de l’arnaque du confinement Macron : Suède vs New York (suite)

Voici un autre graphique que vous ne verrez pas sur BFM-TV Israel News, celui qui prouve que le confinement n’a servi strictement à rien, sauf à :

  1. VOLONTAIREMENT tuer toute l’économie, fabriquer massivement des chômeurs et mettre les gens sur la paille
  2. tuer tous les vieux à qui il n’y aura plus de retraites à verser (720 millions pour 30.000 personnes à raison de 2000 euros / mois et sur 1 an. Si on porte à disons 5 ans de plus, cela représente des économies de 3,6 milliards. Toujours ça d’économisés on va dire.
  3. et surtout endetter les gens encore plus grâce aux soi-disant « prêts » pour sauver les entreprises !
  4. casser le moral de toute la population et la fragiliser.

Jean-Pierre Chevallier qui suit cette revue de presse nous rappelle également ceci :

VietNam (0 mort covid pour 95,5 millions d’habitants), Taiwan (7 morts covid pour 23,8 millions) et ces pays n’ont pas imposé de confinement! D’après l’Insee, il y a actuellement 25.000 morts supplémentaires sur 2019 (et l’année n’est pas terminée, l’écart baissera) mais en 2015 il y a eu 30.000 décès en plus par rapport à 2014.
Citation de Machiavel: « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».

Vous comprenez aussi pourquoi Christine Lagarde nous a dit il y a environ un an « que le plus important à l’avenir sera d’avoir un travail » (plutôt que de l’épargne). Elle savait ce qui se tramait, forcément.

Chers lecteurs, soyez vigilants, quelque chose me dit que Macron et le Deep State préparent une suite, et cela risque d’être encore pire que les 3 mois de confinement vécus.

Conséquences du confinement criminel de Macron sur les PME françaises

De notre lecteur Adrien qui travaille dans une usine française de matelas :

« L’entreprise Hermès, l’assureur crédit que nous utilisons pour nos clients se désengage de plus en plus, et cela a commencé bien avant le covid. Mais depuis le deconfinement c’est l’hécatombe: tout nos petits clients indépendants perdent leurs assurances, donc soit on passe en facturation pro forma et on leur met le couteau sous la gorge, soit on prend le risque de ne pas être payé…

Bref ils veulent tuer les pme et les commerçants.

C’est degueulasse!« 

Une loi au Michigan pour encourager la population a être pucée !

Et voici la suite du passeport Vaccins que prépare Bruxelles. Imaginez qu’une sénateur républicaine, Bronna Kahle, de l’État du Michigan a bien fait voter une loi (!!!) pour encourager les citoyens à se faire poser une puce et cela « afin de protéger leurs informations confidentielles » et pour que les employeurs ne dépassent pas certaines limites.

!!!

Wouaaa ceci est un pas de plus après que Benjamin Natanyahou, le PM israélien, se soit déclaré pour le puçage des enfants, là aussi « pour les mieux protéger » !!!

« The Michigan House of Representatives has passed a controversial bill to microchip humans voluntarily in the state under the guise of protecting their privacy. The Microchip Protection Act would allow Michigan employers to use microchipping of their workers with their consent.

However, research has shown that RFID transponders causes cancer.

The plan to microchip humans is sponsored by Rep. Bronna Kahle under the guise of protecting the privacy of workers. The stated objective of the bill is that it will protect the privacy rights of Michigan workers and promote further growth for job providers as it relates to microchipping – a cutting-edge technology on the rise that increases workplace efficiency.« 

Ceci est le premier pas pour paver le chemin sur le puçage global de la population américaine, puis mondiale, tel que voulu par Bill Gates et l’institut Rockefeller dans le cadre du plan ID2020 où on retrouve Blythe Masters (regardez la dernière revue de presse papale). Lire ici ABC news pour le croire.

PS : nous sommes à nouveau en plein dans le livre 777.




Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteure :] Karen Selick – LewRockwell

dim., 26 avr. 2020


Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.

Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons et bien sûr des virus. Bien que l’idée ait circulé bien avant que Pasteur ne devienne éminent, ses travaux de laboratoire dans les années 1860 ont donné l’impression de fournir les preuves scientifiques qui manquaient auparavant.

Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». Ils considéraient que le facteur le plus important qui détermine si une personne tombe malade ou non ne tient pas en la présence d’un germe, mais relevait plutôt de la disposition propre à l’environnement interne du corps (le « terroir » ou le terrain) à se préparer en vue de repousser ou de détruire le germe en question.

L’un des principaux scientifiques de la théorie du terrain était Antoine Béchamp (1816-1908). Pasteur et Béchamp étaient des rivaux acharnés autour de nombreuses questions scientifiques. Le livre de R. B. Pearson, publié en 1942 Pasteur: Plagiarist, Imposter [Pasteur, plagiaire et imposteur – NdT] suggère même que Pasteur a plagié une partie de ses travaux à partir de ceux de Béchamp ce qui a dû constitué pour ce dernier un point de contestation compréhensible, lui qui finalement est mort dans l’oubli le plus total. En revanche, Pasteur est devenu habile à s’auto-promouvoir, au point que son nom est devenu un mot commun bien après sa mort.

Commentaire : Pasteur ne s'est par contre pas promu tout seul... Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l'on reprend le contexte de l'époque où fleurissait aussi la théorie de l'évolution de Darwin, l'on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.
À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s'exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d'entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.
Nous pouvons aussi nous interroger sur la fonction exact des microbes dans l'écologie planétaire, et déterminer s'ils ne seraient pas en fait nécessaires à l'évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd'hui religion.

L’autre grand défenseur de la théorie du terrain était Claude Bernard (1813-1878), qui malgré leurs divergences d’opinion sur les questions scientifiques était un ami proche et un associé de Pasteur. À la fin de sa vie, Pasteur aurait reconnu l’importance de ce que Bernard avait essayé de lui dire, en remarquant que « Bernard avait raison. Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

En 1982, la chercheuse française Marie Nonclercq a publié sa thèse de doctorat sur Béchamp, alléguant que Pasteur était non seulement un plagiaire mais aussi un fraudeur et un falsificateur de données expérimentales. Mais quelle que soit la personnalité de Pasteur, et qu’il se soit à la fin de sa vie rétracté ou pas, ce qui subsiste après lui, c’est l’état d’esprit, clairement visible chez la plupart des professionnels de la santé et des bureaucrates de la santé d’aujourd’hui, selon lequel c’est le germe officiellement désigné sous le nom de SRAS-CoV-2 qui doit être traqué, isolé, évité et éradiqué et que rien d’autre ne compte. Pour les penseurs modernes conventionnels, le « terrain » n’est rien.

Par exemple, sur le site web du gouvernement de l’Ontario qui indique à ses citoyens ce qu’ils doivent faire pour lutter contre le Covid-19, les conseils donnés consistent entièrement en des mesures destinées à empêcher les gens d’entrer en contact avec le virus : restez chez vous, lavez-vous souvent les mains, ne touchez pas votre visage, gardez une distance physique et portez un masque lorsque vous devez sortir.

Aucune mention n’est faite des mesures que les individus peuvent prendre pour s’assurer que leur système immunitaire fonctionne au maximum de son efficacité ou comme l’auraient dit les scientifiques français Béchamp et Bernard que leur terrain soit bien préparé pour organiser une bonne défense immunitaire. C’est presque comme si le gouvernement de l’Ontario pensait que les êtres humains sont dénués de tout système immunitaire ou que ce dernier s’il existe ne serait que d’une quelconque utilité. Le seul espoir de ce gouvernement repose sur le brevet d’un vaccin développé par une société pharmaceutique, puisqu’il s’agit selon eux de la seule façon qu’ont les êtres humains de se défendre contre un virus, ou d’acquérir une immunité.

Commentaire : Dans cette approche matérialiste, notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l'organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l'intérieur », tout en stérilisant l'environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l'influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d'entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l'opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.
Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l'objet d'un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l'organisme, et qu'elle ne peut jamais, en rien, procéder d'un équilibre intérieur.

En fait, l’Ontario et le Canada ont fait tout leur possible pour décourager les gens dans leurs éventuelles recherches de méthodes pour s’aider eux-mêmes. Le site web de l’Ontario indique qu’« il n’existe pas de traitement spécifique » contre le Covid-19. Fin de l’histoire. La société de radiodiffusion publique du Canada, la CBC, a récemment publié cet article dénonçant les « faux remèdes », notamment la vitamine C, le zinc, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.Cette attitude officielle est totalement absurde il existe en fait une abondance de preuves scientifiques soutenant que divers compléments alimentaires contribuent à préparer le système immunitaire en vue de repousser ou de surmonter les infections virales.

Prenons le zinc, par exemple. De nombreux patients atteints du Covid-19 ont mentionné comme symptômes la perte de leurs sens de l’odorat et du goût. Selon la BBC, ces symptômes touchent jusqu’à 18 % des patients atteints. Cet article de CNN indique que certaines personnes mettront des jours ou des semaines à retrouver ces sens perdus après avoir été touchées par le virus, alors que d’autres mettront des mois ou des années à le faire.

Commentaire : La liste des symptômes du Covid-19 ne cesse de s'allonger, c'est devenu un fourre-tout bien pratique pour maintenir une peur constante et sans fin. Nul doute que la liste continuera de s'allonger, et tant pis si c'est complètement incohérent, tant pis si nous atteignons des summums de bêtise crasse et mal intentionné, pendant ce temps là, l'État fait sa tambouille, nos libertés chéries s'effritent et le monde sombre dans le chaos d'un Nouvel Ordre Mondial qui accélère tous ses programmes.

Mais la perte de ces sens est un symptôme bien établi de la carence en zinc, un fait qui n’est mentionné dans aucun des deux articles cités, et qui n’est apparemment pas connu de la plupart de la communauté médicale conventionnelle. Pourtant, voici une étude de PubMed qui établit un lien entre les carences en zinc et les « troubles de l’odorat et du goût ». Voici une autre étude qui établit un lien spécifique entre les « patients âgés » et les carences en zinc provoquant la perte d’acuité des sens du goût et de l’odorat. Ces deux études mentionnent également que les carences en zinc entraînent une altération de la fonction immunitaire ou un risque accru d’infection. Les « experts » médicaux et les gouvernements ne peuvent-ils pas faire le lien ?

Commentaire : Ce lien est pourtant fait par d'autres, mais ceux-là ne sont pas cités comme «experts ». Ils traitent pourtant avec succès des patients atteints de covid-19 avec de l'hydroxychloroquine, de l'azithromycine et de l'orotate de zinc.

La vitamine D est un autre nutriment une hormone, en fait dont les scientifiques reconnaissent les bienfaits antiviraux. Google Scholar recense 3 670 rapports de recherche publiés rien qu’en 2020 contenant les mots « vitamine D » et « virus ».

Mais plutôt que de recommander aux Canadiens [on pourrait écrire Français – NdT] des quantités suffisantes de vitamine D, Santé Canada [on pourrait écrire Santé publique France NdT] a pendant de nombreuses années découragé les populations de prendre des compléments alimentaires. « La plupart des Canadiens [Français – NdT] consomment suffisamment de vitamine D », indique ce site web du gouvernement, qui recommande uniquement aux personnes de plus de 50 ans de prendre la quantité dérisoire de 400 unités internationales (UI) par jour. D’autres pages du gouvernement canadien en recommandent un peu plus. Celle-ci, par exemple, indique que les adultes de plus de 70 ans devraient prendre jusqu’à 800 UI par jour. Leurs recommandations n’approchent jamais celles de la Société de la vitamine D, un consortium de scientifiques qui étudient ce sujet. Leur brochure FAQ recommande au moins 4 000 UI par jour pour maintenir un taux sérique de vitamine D suffisant.

Mais il y a pire. La vitamine D est en fait gratuite, si les gens n’allaient dehors ne serait-ce qu’en été et s’exposaient correctement à notre Soleil. De nos jours, il existe même des applications pour téléphones portables qui vous indiquent quand le Soleil est dans la bonne position pour votre emplacement, combien de temps vous devez rester dehors et quelle superficie de votre corps doit être exposée pour obtenir le bon dosage. Ces applications peuvent également être utilisées pour déterminer comment prévenir une brûlure.

Au lieu de dire aux Canadiens comment se procurer cette vitamine gratuite et accessible, Santé Canada leur dit depuis des années de faire exactement le contraire : s’enduire de crème solaire chaque fois qu’ils iront à l’extérieur pendant l’été et ne jamais s’exposer au Soleil.

Commentaire : On en viendrait à croire que tout ce que ces « experts » nous disent devrait être envisagé à l'opposé ! Quelle mascarade. La connaissance protège...

Combien de Canadiens sont morts, et continueront de mourir, d’affections pathologiques dont le Covid-19 ou la grippe parce que leur gouvernement leur a donné ce conseil extraordinairement mauvais ?

Les Étatsuniens ne sont pas mieux lotis. La fiche d’information des National Institutes of Health sur la vitamine D recommande le même maximum de 800 UI que celui recommandé par le Canada. Et elle dit :

« L’Académie américaine de dermatologie conseille de prendre des mesures de photo-protection, y compris l’utilisation d’un écran solaire, chaque fois que l’on s’expose au Soleil. »

Ce n’est pas une surprise, vraiment. Le gouvernement étatsunien est encore plus à l’aise que le gouvernement canadien avec les sociétés pharmaceutiques qui seront finalement autorisées à produire le vaccin sacré.

Mais alors que l’esprit de la théorie des germes de Pasteur règne dans l’administration, les consommateurs avertis semblent suivre Béchamp et Bernard, sans peut-être jamais en avoir entendu parler. La vitamine C, les pastilles de zinc et les compléments alimentaires plus exotiques comme la monolaurine un dérivé de l’huile de noix de coco qui, dans les tests de laboratoire, détruit l’enveloppe virale un peu comme le ferait un savon se vendent comme des petits pains et disparaissent des rayons des magasins. Les vendeurs en ligne en vendent tellement que leurs stocks se vident au fur et à mesure qu’ils entrent parce que les gens apprennent qu’ils peuvent faire pour eux davantage que de simplement faire confiance à leur gouvernement.

Les épidémiologistes débattent activement des avantages et des inconvénients du confinement et des masques pour contrôler la propagation du virus, mais je n’ai encore vu aucun rapport de qui que ce soit ayant pensé à comparer les taux sériques de vitamine D chez ceux qui ont succombé, par rapport à ceux qui se sont rétablis, et par rapport à ceux qui n’ont jamais été infectés. C’est le genre de données qu’ils devraient examiner, mais imprégnés de la mentalité de la théorie des germes, ils laissent ces précieuses informations de côté.

J’espère que cet article contribuera à changer cela.


À propos de l’auteur :

Karen Selick a obtenu sa licence en droit à l’université de Toronto en 1976. Elle a pris sa retraite de la pratique du droit en 2015 et a ensuite passé deux ans à étudier la nutrition holistique au Edison Institute of Nutrition. Elle est rédactrice indépendante depuis plus de 30 ans. Ses travaux ont été publiés dans The Freeman, Fraser Forum, le National Post, The Globe and Mail, le magazine Canadian Lawyer et ailleurs.

Source de l’article initialement publié le 20 avril 2020 : LewRockwell
Traduction : Sott.net


Commentaire :
Voici quelques extraits de l'ouvrage du Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur (pages 83, 84, 85, 87, 90, 91).

Bien introduit dans les antichambres du pouvoir, Pasteur va imposer ses vues sur un autre sujet à la mode, celui de la génération spontanée, dont il va pourfendre les défenseurs avec sa vindicte coutumière. Les savants s’affrontent rarement dans la sérénité.

L’orgueil et les préjugés s’en mêlent, comme la nécessité d’assurer sa carrière, ses titres et ses subventions.
[…]
La négation par Pasteur d’une « génération spontanée » à partir de matière inerte était donc justifiée en son temps, mais elle l’a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter mais en aucun cas de se transformer en « autre chose ». Or Béchamp puis Tissot ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique.
[…]

Ce dernier passage est très intéressant si l'on considère le « Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ou la similitude frappante entre les possibles transformations réversibles de ces micro organismes et les astéroïdes qui peuvent devenir des comètes (et revenir à l'état d'astéroïde, ou pas), qui elles-mêmes peuvent devenir des planètes, le tout en fonction du champ électrique cosmique dans lequel ils et elles progressent.
Voir : Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon
Pour en revenir au livre du Dr Éric Ancelet, poursuivons.

De ces débats découlent deux conceptions radicalement opposées de l’écologie microbienne.
Pour Pasteur, le microbe génère la maladie. […] « À chaque germe une maladie ». […] « À chaque maladie un vaccin ».
[…]
Pour Béchamp, la maladie active le microbe.
[…]
Alors, Pasteur ou Béchamp ?

Nous avons vu pourquoi la France du siècle dernier avait besoin que Pasteur ait raison. Bien mieux que Béchamp, savant discret et peu « médiatisé », Pasteur était capable de jouer le rôle politique de fer de lance d’une France républicaine profondément éprouvée dans son orgueil national.

Toutefois,

C’est seulement en 1877 que Pasteur, âgé de 55 ans […] va entreprendre des recherches sur les micro-organismes « responsables » des maladies humaines et animales.

Avant cela, Pasteur a plagié les travaux antérieurs de Béchamp, travaux dédiés à des recherches sur les maladies des vers à soie. Il présentera le résultat de ces travaux comme les siens propres sans jamais citer Béchamp, et en affirmant que ses travaux sont antérieurs à ceux de Béchamp. En outre, et pour bien appuyer le tout, en « fin diplomate et beau parleur » qu'il est, Pasteur « dédiera son traité sur les maladies des vers à soie à l'Impératrice ». Puis,

C’est alors que survient un événement considérable dans une vie humaine, surtout à la lumière d’une « médecine nouvelle » qui à chaque maladie associe, non pas un microbe pathogène ou un gène défectueux, mais un conflit de nature psycho-émotionnelle.

Le 19 octobre 1868, à l’âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d’hémiplégie qui paralyse son côté gauche.

Selon les lois biologiques du docteur R.G. Hammer, il pourrait s’agir d’une « crise épileptoïde » déclenchée en phase de guérison par un œdème cérébral situé dans l’hémisphère droit, au niveau des centres moteurs. Guérison de quoi ? Chez l’homme droitier, cette partie du cerveau est en étroite relation avec des conflits de territoire. Or Pasteur vient d’imposer in extremis son antériorité sur Béchamp ! Nous devons signaler aussi que l’hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspondent classiquement à la part féminine de l’être, à la passion, au sens artistique, à l’intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s’est construite sur des valeurs purement masculines, l’action, l’affrontement, l’analyse, la raison, que toute le biologie post-pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?

On ne peut que se résoudre à croire que c'est le cas... Pasteur est hémiplégique depuis neuf ans quand il entreprend les recherches pour lesquels il est « connu ».



Jean-Marie Bigard se dit prêt à devenir le «porte-drapeau» des Gilets jaunes

[Source : RT]

[Photo d’illustration : © Joel Saget Source: AFP
Jean-Marie Bigard, le 6 mai 2014, à Paris.]

Dans un entretien à Valeurs actuelles, l’humoriste s’épanche sur des thématiques très politiques, de «Big Pharma qui se moque de soigner les gens» aux «guignols qui nous gouvernent», en passant par les Gilets jaunes et ses propres ambitions.

Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Valeurs actuelles et mis en ligne le 29 mai, l’humoriste Jean-Marie Bigard exprime sa colère quant à la gestion de la pandémie de coronavirus par les autorités françaises. Tançant les «guignols qui nous gouvernent», il regrette que les dirigeants du pays préfèrent «mentir sur la dangerosité des masques qu’avouer que l’on en n’a pas». 

Ceux qui nous gouvernent ont du sang sur les mains

Dénonçant «ceux qui sabrent le professeur Raoult et sa chloroquine avec des études foireuses juste parce qu’il casse les couilles des laboratoires avec un traitement en vente depuis 70 ans et qui ne coûte rien», Jean-Marie Bigard entend épingler l’industrie «Big Pharma qui se moque de soigner les gens, parce que tout ce qu’ils veulent c’est engranger les milliards».

D’après l’humoriste, «ceux qui nous gouvernent ont du sang sur les mains». «En m’attaquant aux puissants comme Big Pharma, je sais qu’on va tout faire pour me nuire, me salir, peut-être même que l’on va me buter ! On me souffle aujourd’hui de faire attention lorsque je prends mon scooter», va-t-il même jusqu’à dire.

Celui qui laisse planer le mystère à propos d’une éventuelle candidature à la présidentielle de 2022 confie à Valeurs actuelles que «s’il y a un nouveau monde après cette crise, je veux bien en faire partie». Et de préciser : «Le seul parti d’opposition en France, ce sont les Gilets jaunes. Je suis prêt à être leur porte-drapeau.»

Enfin, Jean-Marie Bigard évoque l’entretien téléphonique qu’il affirme avoir eu avec le président de la République, à propos de la réouverture des bistrots : «A travers moi, [Emmanuel] Macron sait qu’il peut sentir le goût du peuple, le questionner. Je suis leur porte-drapeau. Comme tout monarque, il aime prendre la température du peuple. Un peu comme un Louis XI qui se déguisait presque en clodo pour savoir ce que l’on disait de lui dans les campagnes et les bas-fonds. Je respecte Macron car il a eu le courage de m’appeler. « Je vous ai écouté et je vous écoute toujours », m’a-t-il dit.»

En savoir plus sur RT France : 
https://francais.rt.com/france/75486-jean-marie-bigard-se-dit-pret-devenir-porte-drapeau-gilets-jaunes




Dr Hélène Potrich – Je refuse d’être dépistée, je refuse d’être vaccinée

[Source : Fractale huit via sott.net]

« Bonjour à tous et à toutes. Je m’appelle Hélène Potrich je suis médecins généralistes à Séverac-le-Château, c’est en Aveyron. Et j’ai décidé aujourd’hui de faire cette vidéo pour vous faire part de toute ma colère. Aussi bien en tant que médecin, qu’en tant que citoyenne.

Tout d’abord ma colère de médecin à qui le gouvernement demande de trahir le secret professionnel en signalant non seulement mes patients qui seraient dépistés positifs au Covid-19, comme cela se fait déjà pour les maladies à déclaration obligatoire. Mais également toutes les personnes qui ont été en contact avec eux durant les deux semaines qui précèdent le dépistage positif, en donnant leurs coordonnées : nom, adresse, et même numéro d’immatriculation à Sécurité sociale. Tout cela pour leur envoyer une brigade sanitaire appelée pompeusement « Anges Gardiens ». Quelle hypocrisie… Moi j’appelle cela de la délation.

Et comme le gouvernement sait très bien qu’il ne peut pas nous obliger à le faire, eh bien il nous paye pour chaque signalement. J’appelle cela de la « tentative de corruption ». Moi je refuse, je refuse de faire tout signalement. Votre médecin traitant comme moi, on est tout à fait capable de vous soigner, de vous donner les conseils nécessaires. De s’occuper également de votre entourage et des personnes contactes qui le désireraient. Nous n’avons besoin ni de la sécurité sociale, ni du gouvernement pour vous soigner en garantissant le secret professionnel. Votre état de santé ne regarde personne.

D’autre part on nous a interdit de prescrire l’hydroxychloroquine sous peine de radiation par le conseil de l’ordre … »

https://youtu.be/-jwqblMqpXc



Coronavirus. Docteur Michel Pareti : « Si on compare aux victimes du tabac, aux morts sur la route, aux accidents domestiques, nous ne sommes pas dans une crise sanitaire énorme »

[Source : Breizh-Info]

Michel Pareti est médecin généraliste,
diplômé de la faculté de médecine de Paris. Médecin libéral, il a aussi
été pendant 22 ans attaché hospitalier dans un service de médecine
interne et d’infectiologie.

« J’ai connu l’arrivée de l’épidémie de SIDA, nous étions en première ligne. Et j’ai vu des erreurs faites à l’époque, à l’arrivée de cette épidémie, notamment celles des centres de transfusion, qui ont coûté la vie à beaucoup d’hémophiles ».

Le docteur Pareti porte particulière attention aux avis du Professeur François Bricaire, infectiologue et ancien chef du service Maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière qui lui semblent les plus conformes à la réalité scientifique.

Des interventions qui visent à contrer
la vague de panique actuellement liée au coronavirus en France et dans
le monde, et à faire relativiser la situation, du point de vue du virus
uniquement (pas des conséquences économiques, sociales, et du désastre
au sein de l’hôpital, donc le virus n’est qu’un élément déclencheur,
mais qui couvait depuis des décennies).

Nous avons interrogé Michel Pareti, qui a bien voulu répondre à nos questions et proposer son analyse de la situation.

Breizh-info.com : Quel regard portez-vous sur la pandémie actuelle ?

Dr Michel Pareti : Je
suis à la retraite depuis 3 ans, je n’exerce plus sauf en suivi de
quelques proches, car il y a de moins en moins de médecins en exercice
en France et je suis donc bien sollicité.

J’ai connu de nombreuses épidémies
grippales (grippes, SRAS, H1N1…) avec à chaque fois des drames humains.
Des patients sont morts, parfois des enfants. D’autres ont été sauvés
avec des techniques poussées. J’ai vécu ce que mes confrères
réanimateurs décrivent aujourd’hui avec des services de réanimation déjà
saturés.

N’oublions pas que les grippes
saisonnières infectent entre 3 et 6 millions de personnes tous les ans
avec des milliers de morts (2000 à 8000 ces dernières années, 30 000 en
1968). Et ce dans une indifférence quasi générale de la population et
des médias.

Pourtant, si la majorité des décès porte
sur des patients âgés ou polypathologiques, d’autres sont parfois
constatés chez des jeunes enfants, des femmes enceintes ou des patients
obèses. Mais la grippe n’effraie pas et les Français se vaccinent peu
faute d’obligation.

C’est pourquoi, je pense que les mesures
prises actuellement paraissent disproportionnées. Prises dès
connaissance de l’apparition du Covid-19 en Chine, elles auraient été
plus cohérentes. Maintenant je crains qu’il soit un peu tard. Elles vont
faire perdurer l’épidémie en ralentissant le développement de
l’immunité collective, sans apporter de bénéfices importants sur le
nombre de décès global.

Par ailleurs, elles vont entrainer une crise économique et surtout sociale sans précédent.

Breizh-info.com : En tant que médecin, vous le connaissiez de longue date ce coronavirus ?

Dr Michel Pareti : Les
Coronavirus sont connus depuis longtemps. Certains sont responsables de
simples rhumes, d’autres comme le Covid-19 sont plus agressifs. La
contagiosité du Covid-19 est forte et les complications graves sont
surtout pulmonaires.

La crainte est de voir ce virus muter et
entrainer plus de complications graves. A priori ce n’est pas le cas
actuellement. Il parait stable. Son indice de mortalité, le plus fiable,
est probablement celui des pays, qui ont fait des dépistages
systématiques sur leur population et non uniquement sur les malades ou
personnes en contact avec des patients infectés.

Ainsi, en Corée du Sud, il est à 0,8%.
Certes, cela est supérieur à la Grippe (0,1 à 0,2%), mais cela est loin
d’être comparable à d’autres virus (60% pour l’Ebola par exemple). Même
si cela est difficile, il nous faut donc relativiser. Le tabac fait
c’est 70 000 morts par an, les accidents domestiques 20 000, la route
pas loin de 4000 morts par an.

Breizh-info.com : Alors
qu’est-ce qui explique cet emballement, dans le monde entier ? Quelle
est la raison ? On est donc dans l’irrationnel le plus total ? 

Dr Michel Pareti : Il y
a un manque de courage politique aujourd’hui, dans tous les pays. Dans
un premier temps, on n’ose pas prendre les mesures qui s’imposent. On a
peur de se voir reprocher ensuite que ce n’était pas si grave… Puis
quand un Etat commence à prendre des mesures coercitives, les autres,
par contagion, ont peur d’être à la traine. Il y a l’effet de panique,
et tout le monde veut commencer à confiner. Les Anglais avaient commencé
une tentative d’immunité collective, mais ils commencent à reculer, par
peur qu’on leur reproche après, si l’épidémie était plus grave que
prévu, de ne pas avoir pris les mesures nécessaires.

Breizh-info.com : Certains scientifiques et laboratoires évoquent un médicament à base de Chloroquine, qu’en dites-vous ?

Dr Michel Pareti : La
Chloroquine est efficace in vitro. Le professeur Raoult à Marseille a
entamé un essai de traitement in vivo. Mais, des doses 5 fois
supérieures à celles données dans la prévention du paludisme seraient
nécessaires (500mg par jour pendant 10 jours).

Les effets secondaires sont fréquents
même à 100mg par jour et les interactions médicamenteuses sont
nombreuses. En mettant en balance les bénéfices et les risques, ce
traitement s’il s’avérait efficace serait plutôt à réserver aux cas les
plus graves.

D’autres médicaments sont en étude, en particulier des antiviraux. En particulier, le Favipiravir, médicament japonais, parait prometteur. Mais il est tératogène (anomalie chez le foetus) dans les essais sur les animaux. Des  antihypertenseurs (IRA2) utilisés dans le traitement de l’hypertension ou de l’insuffisance cardiaque seraient une possibilité thérapeutique.  Mais je crains que ces médicaments ne puissent être utilisés qu’en fin d’épidémie.

Breizh-info.com : On a parlé
d’une forme d’irrationalité collective en France. Mais pour le système
finalement, n’est-ce pas une aubaine que cette pandémie qui pourrait
faire sauter le système de santé, et donc permettre aux dirigeants de
s’abriter derrière le coronavirus pour se dédouaner d’un massacre débuté
il y a plusieurs décennies déjà ?

Dr Michel Pareti : Tout à fait.
Quand j’entends mes collègues réanimateurs dire qu’on est saturé, je
suis étonné. Car tous les ans, les services sont saturés. Quand j’étais à
l’hôpital, aux Urgences, nous étions toujours saturés. Je vais même
peut-être un peu plus loin : ce n’est même pas pour masquer quelque
chose, je pense que pour ceux qui dirigent, la Santé n’est pas un sujet
préoccupant. J’ai toujours entendu que soigner un malade coûtait cher,
que la Sécurité sociale représentait 35 % du PIB, que les patients
dépensaient trop pour des anti douleurs… J’ai toujours entendu ce
discours.

Il y a toujours eu plus une approche
comptable de la Santé. On a bricolé avec. Les hôpitaux se plaignent,
mais pour les généralistes c’est encore pire. Quand on voit les
honoraires des médecins généralistes aujourd’hui, c’est une honte. On
parlait des 35 h pour les salariés, mais les médecins en font 70, ils
n’ont pas le droit aux arrêts maladie, ils payent des cotisations
énormes, on leur donne des codifications d’actes compliquées, des
conditions d’accessibilité à leur cabinet improbables…

On a tout fait pour désertifier le tissu
médical français. J’ai toujours entendu les gens de la Sécurité
sociale, sortis de l’ENA ou d’écoles comptables, venir nous expliquer
que la Santé coûtait trop cher en France, que l’on consommait trop de
soin. En Économie générale, quand on veut diminuer la consommation, il
faut diminuer l’offre, et c’est ce qu’ils ont fait.

Aujourd’hui, ça se paye.

Quand j’étais attaché hospitalier, déjà à
l’époque, « je quémandais des lits » partout dans les services. Nous
étions à la fin des années 90.

J’ai démissionné de l’hôpital, car je
n’en pouvais plus de me battre, non pas contre la maladie, mais contre
les coupes sombres. On n’avait pas de quoi payer à des externes un
otoscope alors qu’on avait changé deux fois de suite la décoration de la
salle d’attente.

À l’hôpital, l’administration a pris le
pouvoir. C’est devenu un empire, avec des emplois administratifs pour
des tas de gens sortant des grandes écoles qui seraient au chômage
sinon….A l’APHP de Paris, le personnel compte une très grande majorité
d’administratifs, ou d’encadrants, et une minorité de soignants.
Le problème est là aussi.

Breizh-info.com : Quelles conséquences voyez-vous, une fois la pandémie dissipée ?

Dr Michel Pareti : Je ne connais
rien en économie. L’argent déboursé aujourd’hui, il faudra le récupérer
d’une façon ou d’une autre. Des entreprises vont fermer. La crise
sociale sera plus grave que la crise sanitaire. Il y aura des drames
sociaux, économiques, familiaux…

Madame Lagarde annonce un total de 1050 milliards débloqués par l’Union européenne…

Quand l’épidémie sera terminée, et que
les gens seront rassurés, ils ne comprendront pas qu’on ne puisse pas
leur accorder de l’argent quand ils en demandent (certaines corporations
comme les Agriculteurs notamment) alors qu’on en accorde aux États en
faillite… il va y avoir des Gilets jaunes puissance 1000.

Pour conclure sur ce virus, j’essaie
d’être plutôt rassurant même si l’épidémie est grave. Cette maladie
reste bénigne pour une immense majorité de patients qui en guérissent
sans séquelle.

Cette épidémie met en évidence les erreurs commises dans notre
système sanitaire. Depuis des décennies on nous a dit qu’il y avait trop
de lits dans les hôpitaux, trop de médecins en France, que les Français
se soignaient trop, que la Sécurité sociale représentait 35% du PIB
français. On a donc supprimer des lits dans les hôpitaux, établi un
Numérus clausus pour les études médicales, écrasé les médecins libéraux
sous des charges asphyxiantes, sous des formalités administratives
complexes, des contraintes d’accessibilité des locaux, le tout
constituant une véritable dissuasion à l’exercice médical.

J’écoutais récemment le Professeur
Maffesoli qui a parfaitement résumé la situation, en nous expliquant que
nous avions quitté la modernité, c’est à dire la raison et l’esprit de
synthèse scientifique, pour la post modernité. On fait dans l’affectif,
dans le mythe, on ne raisonne plus, il n y a plus de débat…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Covid-19 : on tient un suspect !

[Source : Néo Santé]

Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu fou ?   Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout !  Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du confinement généralisé.  Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera  sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique.  De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ?   Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double  de décès avec une population 22 fois inférieure. Comment expliquer  une telle tragédie ?

Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça  s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques.  La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant  sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars  de l’Istituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3  ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et  seulement  0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois.  Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas,  celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).  Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou non,  la Covid-19  fauche très préférentiellement les vieilles personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi,  que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider  la surmortalité lombarde. Pollution automobile ?  Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles. Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait de mieux en Italie,  pays où les soins sont totalement gratuits. À mon avis,  c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale , 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est  ainsi devenu  celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.

Vous me voyez venir ?  J’insiste en effet  sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire  italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52%   des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport  est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale,  la chloroquine fait  aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or  si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est  quand  même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas.  La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait  sérieusement léser les poumons.  Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique,  le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ?  L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal.  En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient  une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte  pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement  pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ? 

La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale  favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde.  Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage.  J’en étais encore à me creuser la cervelle quand j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des  semences non inscrites aux catalogues officiels.  Entérinée par une décision européenne, cette victoire  devrait lui valoir mille fois le prix Nobel alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici,  le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier,  la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale :  comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ? Regardez cette séquence télévisée où le professeur  Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé.  Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping !  Comme en atteste ce communiqué, la presse chinoise met le paquet sur cette enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en Chine !  Je m’interroge : comment  se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger. 

En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif.  Ce qui est très important à vérifier, c’est s’il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie.  Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée.  Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide,  la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite  ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B.  Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en  sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique »  a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes.  Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS  (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel  est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici. Que devrait-on faire maintenant  que le suspect vaccin est identifié ?  À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant,  le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’argument habituel de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ?  Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.

Yves Rasir