Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur

[Source : Le Saker Francophone]

Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur


Par Brandon Smith − Le 6 février 2019 − Source Alt-Market.com


Au
cours de nombreuses années d’enquête sur les mécanismes des
événements mondiaux et les personnes qui les ont provoqués, je
suis peut-être devenu un peu obsédé par un sujet particulier –
la source et les motivations du mal. Cette fascination ne provient
pas d’une simple curiosité morbide, mais d’un besoin stratégique
de comprendre l’ennemi. Tout comme un exterminateur a besoin de
comprendre le comportement des cafards pour être efficace, je
cherche à comprendre le comportement et la nature du mal organisé.

Un fait très important qui doit d’abord être clair dans l’esprit des gens est que le mal existe effectivement. La propagande de l’establishment a consacré énormément de temps, d’efforts et de capitaux à tenter de conditionner la société à croire que le mal n’est rien de plus qu’une construction sociale – une opinion. Le mal est supposé être dans l’œil du spectateur ; un produit du conditionnement religieux. C’est un mensonge. Tout comme les concepts de beauté, les concepts de mal sont en fait inhérents à notre psychisme dès la naissance. L’« œil de  l’observateur » n’a pas d’importance.

Deux
domaines particuliers de la psychologie humaine appuient ce fait.

Tout d’abord, comme l’a montré le travail de Carl Jung (et par extension des anthropologues comme Joseph Campbell), tous les êtres humains, où qu’ils soient nés dans le monde, de la tribu la plus isolée d’Amazonie à la plus grande métropole d’Amérique, portent les mêmes symboles archétypes dans leur psyché. C’est-à-dire que nous avons TOUS les mêmes éléments psychiques dans notre esprit, quel que soit l’environnement.

Ce
seul fait est tellement accablant pour l’homme moderne que
certaines personnes refusent même de le reconnaître comme une
possibilité. On nous a entraînés comme des rats de laboratoire à
ne voir qu’un seul chemin dans le labyrinthe ; on nous a répété
à maintes reprises que tout est « relatif » ;
que chaque personne est entièrement un produit de l’environnement
et que nous commençons tous en étant des « pages
blanches »
.

Les attaques vicieuses de l’establishment contre Carl Jung (y compris les mensonges selon lesquels il aurait coopéré avec les nazis) me disent que Jung était très proche de la cible. Il était tombé sur quelque chose de très dangereux pour l’establishment, quelque chose qui pourrait faire dérailler son conditionnement du public.

Deuxièmement,
l’existence indéniable de la conscience humaine suggère que nous
sommes nés avec une compréhension de la dualité. Ce qui veut dire,
comme Jung l’a découvert, que nos psychés contiennent des
concepts inhérents au bien et au mal qui influencent nos décisions
et nos réactions. Jung parlait du mal, ou d’impulsions
psychologiquement destructrices, comme de l’« ombre
personnelle »
 et
de l’« ombre
collective »
.

La
grande majorité des gens ont une relation intuitive avec le bien et
le mal. Ils ressentent de l’anxiété lorsqu’ils sont confrontés
à des actions ou des pensées mauvaises, et ils se sentent
personnellement coupables lorsqu’ils savent qu’ils ont fait du
mal à d’autres personnes. Certains pourraient appeler cela
une « boussole
morale »
.
Je dirais que c’est une partie de l’âme ou de l’esprit.

Quoi
qu’il en soit, il y a un contingent de personnes dans le monde qui
ne l’ont pas – un petit pourcentage de la population qui
naît sans conscience, ou qui trouve facile de l’ignorer. Nous
parlerons de ces gens dans un instant, mais d’abord, nous devrions
probablement définir ce qu’est le mal.

Le
mal est d’abord et avant tout toute action qui cherche à détruire,
exploiter ou asservir au nom du gain ou de la satisfaction
personnelle. Malheureusement, les mauvaises actions sont souvent
présentées à tort comme avantageuses pour le groupe, ce qui les
rend moralement acceptables. Les besoins du plus grand nombre sont
censés l’emporter sur les besoins du plus petit nombre, et le mal
est ainsi rationalisé comme un moyen d’atteindre une « fin
positive »
 pour
le « bien
supérieur »
.

Dans
la plupart des cas, cependant, les actions destructrices ne finissent
pas par servir les intérêts de la majorité, et finissent seulement
par donner plus de richesse et de pouvoir à une minorité élitiste.
Ce n’est pas une coïncidence.

Le
mal commence par le déni de l’existence de la conscience, ou le
déni de l’existence du choix. Chaque personne naît avec une
capacité ou une liberté de choix. Nous pouvons écouter notre
conscience ou l’ignorer. Nous pouvons faire le bien ou le mal. Le
mal nous dit que le choix est relatif et que la moralité est
relative ; qu’il n’y a pas de différence entre un bon choix et
un mauvais choix, ou que le mauvais choix est le seul choix.

Au-delà
de l’ignorance de la conscience, nous devons aussi définir la
motivation qui conduit au mal. La psychologie suggère que les
actions destructrices mues par l’égoïsme proviennent d’un désir
obsessionnel d’obtenir ou de contrôler des choses que nous ne
pouvons ou ne devrions pas avoir. Il est intéressant de noter que
c’est aussi ce que certaines religions nous enseignent, mais
restons-en à un examen profane.

Comme
nous l’avons déjà mentionné, il y a un groupe de gens dans le
monde qui ne voient pas le bien et le mal comme la plupart d’entre
nous le voient. Leur psychisme fonctionne d’une manière
complètement différente, sans le filtre de la conscience. Ces
personnes présentent les traits des sociopathes narcissiques. Les
sociopathes narcissiques de haut niveau représentent environ 1% à
5% de la population humaine totale, et la plupart d’entre eux sont
nés ainsi, et non fabriqués par leur environnement. De plus, 5 à
10 % des personnes présentent des traits latents de narcissisme ou
de sociopathie qui ne font généralement surface que dans un
environnement de crise instable.

J’ai beaucoup écrit sur les sociopathes narcissiques et l’establishment globaliste dans de nombreux articles. J’ai également expliqué comment ces personnes, contrairement à la croyance populaire, ne sont pas isolées les unes des autres. En fait, ils s’organisent en groupes pour un gain mutuel.

Il y a une idéologie ou un système de croyance qui défend le contraire de ce que la conscience nous dit être « bon », et ce système est le luciférisme. En fait, le luciférismesemble être la source d’influence de la plupart des « ismes » destructeurs existant dans notre société actuelle (y compris le socialisme et le globalisme). Selon ma théorie, le luciférisme est une religion ou un culte conçu par des narcissiques sociopathes au profit des narcissiques sociopathes.

Il est parfois difficile d’identifier les vrais « sacrements » derrière le luciférisme car, d’une part, les lucifériens refusent de reconnaître que le système est une religion. Ils préfèrent appeler cela une philosophie ou une méthodologie, du moins en public. Le système semble également encourager la désinformation active afin de dissuader ou d’induire en erreur les non-adhérents. Le terme historique de ce secret religieux est « occultisme ». J’appellerais cela « élitisme ».

Il y a des croyances fondamentales que les lucifériens admettent ouvertement. D’abord et avant tout, le but du luciférisme est d’atteindre la divinité. C’est-à-dire qu’ils croient que certains êtres humains ont la capacité de devenir des dieux par l’accumulation de connaissances.

J’ai écrit sur la folie du but de la divinité dans le passé, soulignant comment la physique quantique et les théorèmes d’incomplétude de Kurt Gödel rendent impossible une observation et une compréhension scientifique et mathématiques totale de l’univers. Mais la réalité mathématique n’empêche pas les cercles lucifériens de rechercher de manière destructrice ce qu’ils ne peuvent pas avoir. Par extension, des connaissances scientifiques non-tempérées par la discipline, la sagesse et une boussole morale peuvent conduire à la catastrophe. La connaissance matérielle est invariablement utilisée abusivement par ceux qui recherchent le pouvoir divin.

La
notion d’adoration de soi est un trait fondamental des narcissiques
sociopathes ; le luciférienisme ne fait que la codifier comme
si c’était une vertu. Un autre problème avec l’idée de devenir
un dieu est qu’on développe inévitablement un désir d’avoir
des disciples et des adorateurs. Après tout, qu’est-ce qu’un
sauveur sans troupeau ? Mais comment un être humain gagne-t-il
un troupeau et devient-il un dieu ? Par la force ou par la
ruse ?

Deuxièmement,
les lucifériens prétendent qu’ils cherchent à élever le pouvoir
de l’individu en général. Dans l’esprit de beaucoup de gens,
cela ne semble pas du tout négatif. Même moi, j’ai plaidé en
faveur de l’importance de l’individualisme face aux
contrôles de la société. Cela dit, n’importe quelle idéologie
peut être poussée à l’extrême.

La
recherche de la satisfaction individuelle peut être poussée trop
loin, au point que les gens autour de nous commencent à souffrir. En
raison de la nature élitiste du luciférisme, ils ne cherchent pas
nécessairement l’élévation de tous les
individus, mais seulement de certains individus « méritants ».
Il y a une tendance à considérer les non-adhérents comme
des « inférieurs » ;
des gens stupides qui devraient être tondus comme des moutons par
ceux qui poursuivent un rêve supérieur de divinité personnelle.

Cette
attitude se retrouve aussi dans les actions communes des sociopathes
narcissiques, qui n’hésitent pas à escroquer ou à exploiter les
gens autour d’eux comme des ressources, en se nourrissant des
autres comme des parasites. Ils considèrent cela comme une pratique
acceptable parce qu’ils se considèrent comme spéciaux ; ils sont
destinés à accomplir plus que la populace ignorante. Ils sont
destinés à faire de grandes choses, et leur image est destinée à
être scellée dans les fondations de l’histoire.

L’élitisme
du luciférisme est à peine caché. Les lucifériens prétendent
qu’ils n’ont aucun intérêt à convertir d’autres personnes.
Au lieu de cela, les adhérents doivent être « assez
intelligents »
 pour
arriver au système de croyance par eux-mêmes. Cependant, leur
objectif d’influencer le public à travers les sphères sociales et
politiques est assez évident.

Les gardiens politiques, même s’ils ne sont pas ouvertement lucifériens, ont parfois tendance à laisser échapper leurs affiliations. Saul Alinsky, organisateur de haut niveau à gauche et gardien Démocrate, loue Lucifer, le rebelle, dans les reconnaissances personnelles de son manuel politique Règles pour des radicaux, dans lequel il dit :

N’oublions
pas au moins d’accorder notre reconnaissance, en passant, au tout
premier radical : dans toutes nos légendes, mythologie et histoire
(et qui sait où la mythologie s’arrête et où l’histoire
commence, ou laquelle est laquelle), la première personne radicale
connue de l’homme qui s’est rebellée contre l’establishment et
l’a fait si efficacement qu’il a au moins gagné son propre
royaume, c’est Lucifer.

Le luciférisme est également répandu dans les institutions globalistes. Par exemple, l’ONU semble être fortement impliquée dans l’idéologie à travers des groupes comme leLucis Trust, une maison d’édition fondée par Alice Bailey, une fervente promotrice du luciférisme qui possédait également la Lucifer Publishing Company. Le Lucis Trust avait à l’origine son siège social dans le bâtiment de l’ONU à New York, et gère encore aujourd’hui une bibliothèque privée de livres occultes hors du cadre de l’ONU.

D’anciens directeurs de l’ONU comme Robert Muller étaient étroitement liés au Lucis Trustet à l’œuvre d’Alice Baily et faisaient ouvertement la promotion du luciférisme. M. Muller a joué un rôle central dans les politiques mondiales de l’ONU en matière d’éducation des enfants et a créé de nombreuses agences dans l’intention d’assurer une gouvernance mondiale. Vous pouvez lire les livres blancs de Robert Muller sur la formation d’un gouvernement mondial sur son site Good Morning World.

Les
lucifériens abordent la gouvernance mondiale comme ils font tout le
reste, avec une forte propagande. Muller soutient que l’objectif
doit être présenté au public par le biais de l’idée
de « protéger
la Terre »
.
En d’autres termes, il croyait que l’environnementalisme était
la clé pour convaincre les masses de la nécessité d’une
centralisation totale du pouvoir entre les mains des institutions
globalistes. Les idéaux lucifériens sont enrobés de sucre dans une
multitude de motifs fleuris et nobles. Mais de quoi s’agit-il
vraiment ?

Certains
lucifériens adoptent une position gnostique sur la figure du diable
et prétendent seulement apprécier le concept comme mythologique
plutôt que voir le diable existant comme force, littéralement.
Certains textes gnostiques dépeignent Satan comme le« bon »et
Dieu le « méchant » dans
l’histoire de la Genèse ; Dieu étant un impitoyable maître
d’esclaves et le serpent un « libérateur » apportant
la connaissance du monde matériel aux hommes. Lucifer est présenté
comme une sorte de Prométhée, le titan qui a volé le feu aux dieux
et l’a donné aux hommes.

Ce récit de « Lucifer comme sauveur héroïque » est très courant. Manly Palmer Hall, franc-maçon du 33e degré et écrivain New Age influent est cité pour avoir écrit dans son recueil d’écrits intitulé The All Seeing Eye :

Lucifer
représente l’intellect et la volonté individuelle qui se rebelle
contre la domination de la nature et tente de se maintenir contre
l’impulsion naturelle. Lucifer, sous la forme de Vénus, est
l’étoile du matin dont il est question dans l’Apocalypse, qui
doit être donnée à ceux qui dominent le monde.

Un
modèle luciférien décrit Dieu comme un concept archétypal
seulement, un réconfort mythologique qui nous aide à affronter la
solitude de l’existence. Ils ne croient pas à l’existence d’une
figure corporelle de Dieu, mais on se demande comment ils peuvent
concilier l’existence d’archétypes psychologiques inhérents
avec cette notion ? D’où viennent les archétypes s’il n’y
a pas de conception créative ou de signification voulue pour
l’humanité ?

Les Lucifériens plus discrets soutiennent parfois que la figure mythologique de Lucifer est distincte de l’image chrétienne de « Satan » . Le nom « Lucifer » n’est pas mentionné directement dans la Bible en référence à Satan (bien que l’expression « étoile du matin », la traduction directe du mot « Lucifer » soit mentionnée en référence à Satan). Mais cet argument me semble plutôt timide et malhonnête. Pendant des siècles, le terme « Lucifer » a été synonyme dediable dans la conscience publique. Les lucifériens semblent essayer de se séparer des connotations négatives associées au satanisme en jouant sur les mots et la sémantique.

Mais pourquoi s’en soucieraient-ils ?  À moins, bien sûr, qu’ils ne cherchent à influencer la conscience publique et qu’ils se rendent compte qu’il est difficile de vendre le satanisme à la population, alors ils veulent donner un visage différent à une vieille et moche idée. Les satanistes se réfèrent souvent à Lucifer et Satan dans le même souffle comme étant la même figure. Dans ce documentaire, Anton LaVey, un représentant bien connu dans les milieux sataniques et lucifériens, fait exactement cela.

LaVey
semble être traité comme une gêne par les groupes lucifériens
plus soucieux du marketing. Je soupçonne que son franc-parler public
de ce qu’impliquent les croyances lucifériennes est perçu comme
trop honnête. Ces gens croient au secret et à l’initiation. Ils
n’aiment pas que le monde entier puisse voir et juger leur côté
sombre.

Une antithèse directe à quelqu’un comme Anton LaVey serait Michael Aquino, un officier du renseignement militaire spécialisé dans la guerre psychologique qui était membre de l’église satanique de LaVey, mais qui est parti pour créer son propre « Temple Of Set » plus facile à vendre. Aquino est surtout connu pour une thèse tactique sur la guerre psychologique qu’il a écrite avec le général Paul Vallely, (crédité dans l’article comme Paul E Valley intitulé « Des Psy-OP à la guerre psychologique »). La thèse décrit le recours à la propagande et à d’autres stratégies pour retourner une population cible contre elle-même, soit pour détruire cette population, soit pour la contrôler plus facilement sans jamais avoir à recourir à la force militaire pure et simple.

Le
livre d’Aquino met en évidence la croyance luciférienne en
la « magie »,
mais pas la magie telle qu’elle est comprise par la culture
populaire. Les lucifériens croient au pouvoir des mots magiques et
des symboles sous forme de phrases clés psychologiques et
d’archétypes. C’est-à-dire qu’ils ont adopté l’utilisation
de la psychologie archétypique, mais là où des psychologues comme
Carl Jung ont utilisé la psychologie archétypique pour guérir les
personnes souffrant de maladies mentales et émotionnelles, les
lucifériens utilisent des archétypes pour manipuler et contrôler
la pensée publique.

Cela se fait souvent par le biais de la culture populaire et des films. Truthstream Media a produit un excellent documentaire sur ce sujet que je recommande fortement.

Il existe des exemples plus évidents comme Blade Runner de Ridley Scott, dans lequel des androïdes se rebellent contre leur maître esclave et créateur et finissent par le tuer. Puis il y a un divertissement plus subversif comme Series Of Unfortunate Events de Netflix, qui commence comme un conte humoristique amusant pour enfants, mais qui se termine par une démonstration de tous les aspects de la croyance luciférienne jusqu’à l’élitisme comme pratique nécessaire, le relativisme moral, une figure divine inutile et contrôlée, entourée de sycophantes, et même un serpent portant une pomme contenant le « savoir » pour sauver les héros d’un horrible destin.

La
duplicité du luciférisme à elle seule devrait suffire à rendre
les gens méfiants à l’égard de ses promesses et de ses
arguments. L’humanité a passé la majeure partie de ces
dernières deux millénaires à essayer d’éliminer les
influences de l’élitisme occulte (la classe des grands prêtres)
de nos structures politiques et sociales. Pourtant, ces gens sont
implacables dans leur désir de pouvoir.

Indépendamment
de la tournure positive que les lucifériens adoptent pour leur
idéologie, les fruits de leurs activités parlent beaucoup plus fort
que leur propagande. Ce que je vois à travers leurs efforts vers le
globalisme, c’est un désir cancéreux de contrôle de la
civilisation et de tous les aspects de la pensée humaine. Je vois
aussi une perversion de la nature alors qu’ils cherchent à obtenir
ce qu’ils appellent la « divinité ».
Le transhumanisme et la manipulation génétique portent toutes les
marques de l’idéal luciférien. Quelles que soient les
affiliations religieuses, il est difficile de trouver quoi que ce
soit de valable dans leur système. Tout en lui est un affront à la
conscience innée. Il ne peut devenir acceptable pour la majorité
que par la tromperie.

Si
vous devez mentir sur les motivations de votre philosophie pour que
les gens l’adoptent, alors votre philosophie doit être
dangereusement incomplète ou carrément cataclysmique.

Brandon
Smith

Traduit
par Hervé, relu par jj  pour le Saker Francophone