L’impunité en actes : le cas Brigitte Autran

[Source : rolandsimion.org]

Par Dr Marc Girard*

Dans mon précédent post, je constatais qu’une des raisons du marasme actuel, c’était qu’il n’y avait eu aucune sanction du précédent H1N1. Depuis lors, la nomination de Brigitte Autran comme patronne des conseils de Macron (présidente du comité français de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est venue donner une confirmation éclatante à mon analyse : pas sanctionnée mais promue.

Certes, nul ne saurait contester au Président son habileté consommée dans l’art d’accommoder les vieux restes. Mais de là à recruter comme personnel innovant quelqu’un qui est allé aussi loin que Brigitte Autran dans l’erreur et la fausse alerte…

Ce qui est fascinant, c’est que la propagande ne nécessite aucun renouvellement : même personnel à chaque fois, mêmes arguments pour affoler les foules (en gros, on va tous mourir et il n’y a rien à faire pour l’empêcher, hormis obéir aveuglément même aux plus absurdes consignes), mêmes réfutations débiles (pensez à vos bébés et à vos vieux parents, qui vont forcément mourir si vous ne mettez pas vos masques)…

Orwell comme si vous y étiez…

[[Pétition] Hôpital au bord de l’explosion :
Nous demandons la réintégration des 15.000 soignants suspendus
(leslignesbougent.org)]


* À propos de l’auteur

Étudiant en mathématiques, Marc Girard était frappé de voir que les collégiens mis en échec par les « math modernes » étaient naturellement adressés à des médecins, alors que ces derniers se targuaient plutôt d’avoir été formés aux « humanités ». En cette époque où la conscience écologique naissante s’exerçait sur le scandale du « veau aux hormones », il ne comprenait pas non plus pourquoi saturer le corps fascinant des contemporaines avec ces mêmes hormones sous prétexte de contraception devait être tenu pour une « émancipation ». Devenu médecin non par vocation, mais par engagement politique à l’encontre d’un métier dont le potentiel totalitaire était déjà patent, il a cru bon mettre sa compétence de spécialiste du médicament au service de la justice, avant de constater qu’entre sanctionner les criminels de la santé et ceux qui les dénonçaient, la justice avait choisi la seconde option.