Lettre ouverte pour Sénateurs non fermés et non corrompus

Par Nicole et Gérard Delépine

Le 15 07 2022

Lettre ouverte à Mesdames les Sénatrices et Messieurs les Sénateurs

Objet

Loi Santé

Mesdames les Sénatrices,
Messieurs les Sénateurs,

Médecins cancérologues depuis plus de quarante ans, nous venons une nouvelle fois solliciter votre attention, quant au nouveau vote prévu sur la loi anticovid, et en particulier le pass sanitaire et la gravité d’une incitation directe ou indirecte à la vaccination des plus jeunes.

Nous avons été heureux que des députés de différentes mouvances s’unissent pour traduire les remontées du terrain, le vécu de leurs administrés terriblement marqués par l’échec évident du pseudo vaccin et des passes dont ils refusent la prolongation. De nombreux citoyens avaient cédé aux espoirs d’une solution efficace et durable, pour demeurer hors du groupe des complotistes tant vilipendés et continuer à gagner leur vie (beaucoup malgré eux…).

Ils sont déçus par l’inefficacité des vaccins, prouvée par la demande répétée de rappels.

Avant ces injections ARNm, aucun vaccin n’avait nécessité une telle fréquence d’injections. Les vaccinés sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter des conséquences néfastes constatées par eux-mêmes et chez leurs proches : grande asthénie, cardiopathies, troubles neurologiques, cutanés, rhumatologiques, reviviscence de maladies chroniques et apparition de cancers rapidement évolutifs et intraitables entre autres. Beaucoup de sites en témoignent et nos anciens patients cancéreux inquiets nous demandent directement par téléphone ou mails de transmettre leurs angoisses à qui de droit, donc à vous tous, nos représentants.

En ce qui concerne les enfants, rappelons qu’ils ne risquent rien du covid et innocents de toute transmission en dépit des assertions inexactes que nous regrettons de Mme La présidente de l’Assemblée nationale et du nouveau ministre de la Santé. Cette bénignité du covid infantile, affirmée depuis 2020 par toutes les revues internationales est confirmée par toutes les sociétés de pédiatrie du monde. Alors, pourquoi leur faire courir un risque par une injection ARNm qui mettrait en péril leur avenir médical et leur fertilité pour un risque zéro du covid et sans apporter aucune protection des autres humains puisque l’injection n’empêche pas les transmissions ?

En résumé, le covid infantile est une sorte de grippe curable par les traitements précoces (qui ont protégé les pays pauvres non vaccinés), mais qui ont été interdits ici par le pouvoir sans aucun élément scientifique réel à l’appui.

Les tests PCR répétés qui grèvent le budget de la sécurité sociale ne servent à rien, car non spécifiques comme la FDA l’a récemment avoué, et ne permettent en aucun cas de dire si un cas positif est réellement porteur du virus et contagieux ou non.

Les masques ont démontré leur inefficacité dans le seul essai randomisé publié et par l’analyse de la cinétique de l’épidémie, mais augmentent le risque d’infection bactérienne, donc à proscrire.

Les vaccins eux-mêmes ne protègent pas du covid, ni de la transmission, ni des formes graves.

Ils fragilisent les sujets qui les reçoivent par une baisse de leur immunité naturelle particulièrement marquée après les rappels, rendant les vaccinés beaucoup plus à risque d’infections opportunistes y compris un nouveau covid (comme les patients le constatent trop souvent) responsable d’un important absentéisme au travail qui handicape les entreprises.

Ils sont la source de très nombreux effets dits indésirables à tous les âges de la vie, de la multiplication des fausses couches, des problèmes menstruels (médiatisés par « où est mon cycle »), des myocardites et péricardites particulièrement chez les plus jeunes, sources d’arrêt cardiaque à l’effort chez trop de grands sportifs. Les régressions intellectuelles sont plus décrites chez les sujets âgés qui perdent leurs repères. Les sites officiels EudraVigilance pour l’EMA, VAERS pour la FDA et les CDC américains, MHRA pour les Anglo-saxons permettent à chacun de vérifier que le nombre de morts rapportées après vaccination atteint plusieurs milliers. Rappelons que tout essai conduisant à quelques dizaines de décès était stoppé avant cette triste violation des règles sécuritaires de base : le vaccin contre la grippe aviaire a été stoppé après 53 décès. Le conseil mondial de la santé qui regroupe médecins et scientifiques de différents pays supplie les dirigeants de stopper ces injections encore expérimentales inutiles et toxiques. L’entendrez-vous ?

Dans ces conditions, le pass sanitaire n’a évidemment aucune justification médicale.

Chaque point de ce court résumé est étayé par une lourde bibliographie que nous tenons à votre disposition1. Ce cri d’alerte n’est là que pour relayer auprès de vous les faits établis et le vécu de nos concitoyens. Notre plus grande inquiétude à tous est la protection des enfants et des sujets jeunes à risque zéro du covid, mais que les injections exposent à des complications précoces parfois graves et des risques tardifs inconnus.

Nous vous remercions de votre attention et restons à votre disposition. Avec nos sentiments reconnaissants et dévoués.

Drs Nicole Delépine pédiatre et cancérologue et Gérard Delépine chirurgien cancérologue