Les jurés soumis au procès d’Axelle symbole de l’effondrement français

Par Lucien SA Oulahbib

Est-ce le syndrome de Stockholm, l’expérience de Milgram, la peur tout bonnement d’une réactivité mafieuse assassinant témoins jurés juges et autres, mais aussi l’empathie malsaine inculquée depuis le primaire présupposant que chaque immigré est une victime du colonialisme et chaque blanc un nazi, et pour « preuve » le frère d’Axelle qui « aurait fait un tel geste… » semblable à ces manifestants des Patriotes qui « auraient fait un tel salut… » ? Est-ce ceci, cela ?…

Tout cela à la fois sans doute, avec en plus la psychorigidité croissante des membres de la Secte SHAA qui chassent en meute. Le tout y compris sur d’autres terrains : la hargne entêtée :

  • à punir les soignants suspendus,
  • à détruire le matériel de protestation des masques blancs,
  • à brûler le drapeau,
  • à injecter de force des substances aux effets incontrôlables à tour de bras,
  • à imposer des migrants pour qu’ils se constituent de fait en enclaves,
  • à faire de la sexualité une « identité » politique se substituant à l’identité « nationale », parachevant ainsi la déchéance de la personnalité complexe au profit d’une individualité interchangeable — une variété parmi d’autres diff-errances,

tout cela « en même temps », certes, mais sans doute aussi :

  • à hiérarchiser, ventiler, selon les endroits et situations ;

sans oublier le rapport miteux/mité au « travail », aux ressources humaines dont la crise énergétique et le haro sur les « superprofits » montrent bien en quoi l’arbre cache la forêt et que la montagne des « protestations » n’accouche à chaque fois que de souris souriant sur le trajet Nation-République et puis basta après avoir écouté les retraités de la LFI bégayer « le droit à la paresse » en petits-bourgeois ronflants ;

et tout ce gouffre et ces trous noirs ambiants en guise d’esprit du temps montrent bien enfin que cette fin de civilisation à l’instar d’une fin de « race » animale engendre pour de bon, mais comme prévu, le fléchissement final de l’aurochs sur ses genoux, la tête volontairement bien tendue afin que le couperet puisse bien couper le cou d’une tête de toute façon disparue ou mise en automatique.

Automatisme psychologique ; dernier avatar de l’inconscient lorsque se détachant du subconscient le Soi (Sujet, acteur, agent) n’aperçoit même plus par exemple que son bras bouge, qu’il a des tics, parle à voix haute, énonce des propos abjects sans honte puisque tout « sur-moi » (éthique) aura été démembré et remplacé par de la propagande orwellienne bas de gamme — genre le blanc et l’homme sont des salauds — ou haut de gamme, style l’Ouest « impérialiste » peut cependant se racheter en disparaissant par l’implosion de son « genre », par ses frontières ouvertes au tout venant et par l’envoi de ses chars Leclerc (En attendant les F-machin chose)…

Dans cet état d’hypnose métapsychique que sécrète la croyance détachée de tout doute et introspection (interdits car susceptible de laisser de l’espace à une liberté de conscience), il est impossible de ramener quiconque à la raison, du moins à court et moyen terme, pour preuve les 12 ans donnés à « l’homicide » d’Axelle : « ceci n’est pas un meurtre », dernier avatar de l’art contemporain destroy ayant désormais pris possession également de la sphère juridique.

Aussi assistons-nous, en cinémascope et même 3D, au glouglou du Titanic France-UE entouré d’icebergs miroirs indiquant le contraire (les médias) et d’ours blancs sympathiques (milliardaires à la Musk, miraculés, eux…) tout en ayant l’impression cependant et pour l’instant de voir cet engloutissement en narrateur omniscient : dedans certes, mais aussi dehors ; sauf que ce dernier point s’avère illusoire, car hormis ceux qui sont déjà réellement dehors, en Suisse, aux USA, voire en Russie, « nous » sommes, nous les sans-dents et gens-de-rien, dans la nasse ; à l’instar des Juifs allemands qui n’y croyaient toujours pas, même après la Nuit de Cristal, ou des juifs français, même après que Pétain ait signé les lois interdisant aux juifs français tout un ensemble de métiers, même avant que la Milice par la suite n’entame elle aussi la Solution Finale (même après le « Je vous ai compris » de 1958…), une Milice que l’on retrouve aujourd’hui ressuscitée dans la Milice Antifa qui se comporte à l’identique (quasi…) se contentant via sa frange « soft » (gramscienne) d’empêcher pour l’instant les universitaires, les journalistes, les hauts fonctionnaires de faire leur métier, jusqu’à les détruire socialement avant d’ordonner indirectement à sa frange « hard » (redskins) de les massacrer par automatisme psychologique volontaire (ou l’auto-endoctrinement) ne nécessitant pas de donner des ordres pour y aller franco : le complot est partout tout en n’étant nulle part…

Reste, pour les contrer, à créer des îlots de combat en sourdine, des lieux pour se ressourcer, être protégé, reconnu, aimé, une entre-aide entre combattants de la France Libre saison deux… Vaste programme…