L’atmosphère Chat GPT des va-t’en guerre

Par Lucien SA Oulahbib

Les pue-la-mort pètent la forme à tout va dans les « chat » formatés. Ils pullulent d’arborescence Chat GPT mal digérée par leurs boyaux mentaux qu’ils recrachent (tant bien que mal) sur les plateaux fromages des médias de grand chemin. Ceux-ci suintent cependant de plus en plus la mouise des perdants qui se recyclent, faute de dixième vague virale, dans l’hallali du meurtre par procuration : le dernier ukrainien ou russe allant de pair avec la dernière centrale à gaz allumée pour forger à l’équilibre le prix à payer du whatever it takes [quoi qu’il en coûte].

La lourde machine de l’engrenage 1914, coup de revolver au départ de Sarajevo, plusieurs dizaines de millions de morts quatre ans plus tard à l’arrivée, refait surface façon Terminator IV. Alors que « la faim tue dans le monde un être humain toutes les quatre secondes », cherchez l’erreur… S’il y avait « vraiment » un « gouvernement mondial » cherchant à s’occuper des affaires humaines au mieux comme le subodorait le mandat onusien…

Nous n’en serions pas là, aurait chanté Lennon à Woodstock (où es-tu ?…). Une naïveté certes (Fonda mettant le racisme sur le dos du réchauffement ou l’inverse GPTO au secours « chattent » les faux Pinocchio), mais tout de même. Il paraît d’ailleurs que le secrétaire général actuel de l’ONU n’est pas content (du tout) de l’envoi de chars en Ukraine, arrête ton char (pense éberlué Chat j’ai pété… un câble ? Dirait, peut-être, Rémy de Juste Milieu ou presque…). Pendant ce temps (soyons sérieux), les quelques spécialistes de la chose rament, n’ayant pas le bon logiciel dans la tête (en attendant la balle, s’alarme Régis de Castelnau).

Arno Klarsfeld certes s’en va pétitionner pour la « paix » en renvoyant bien sûr dos-à-dos les « détestables » proches de la version Clinton sur les électeurs de Trump (« pitoyables ») ce qui est bien à la mode aujourd’hui tant le parti de la Guerre est binaire et surtout puissant et qu’il faut montrer patte créole si l’on ne veut pas être traité de « racaille » par Pilotis ou en « faillite morale » par l’EX-Presse, un torchon si faisandé qu’il risquerait de boucher les latrines les plus turques ce qui s’avère être un exploit peut-être concurrencé par Hibernation en chute libre, tous deux ayant une « moralité » au-dessus de tout soupçon avec carte de « prêche », dirait Praud (alpagué lui aussi comme « méchant ») au sermon subventionné (mais il ne faut pas le dire, juste le murmurer), comme chacun sait…

Ces cerveaux à un neurone et demi (les autres ont fui) auraient donc bien besoin de Chat machin chose ; mais celui-ci a encore un langage châtié et (prétendument) mesuré que ces feuilles de chou ne possèdent plus, journaux locaux germanopratins que l’on sert aux Deux magots (public et privé) avec le croissant vert que l’on déverse aussi à l’autre w.c. nommé Science Po de chambre queer ou latex (mais ne pas trop coller aux murs des directeurs soudain se défenestrent). À force de trop fumer la moquette entre deux lignes blanches, les seules qui restent encore admises dans leur couleur d’origine…