La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science

[Source : Signe des temps]

Dans leurs tentatives désespérées de discréditer même de loin tout ce qui a un sens, les darwinistes s’entichent à questionner l’aspect scientifique du dessein intelligent. Leur immanquable réponse est un « non » péremptoire qu’ils formulent sur la base d’une quelconque affirmation ridicule au hasard du jour. Mais ce n’est pas la bonne réponse. La bonne réponse est : « On s’en fout ! ». Imaginons une théorie qui s’avère correcte sans être « scientifique » (quoi qu’elle signifie) et une autre qui s’avère parfaitement « scientifique » en étant fausse ; il faudrait être un imbécile pour choisir la fausse. Et en posant simplement la question « La conception intelligente est-elle scientifique ? », les darwinistes se désignent eux-mêmes comme étant exactement ce genre d’imbéciles. Ils préfèrent se tromper plutôt que de reconnaître l’existence d’un quelconque dessein intelligent.

Citation Darwin
© Sott.net

Si au moins cette partie de la théorie de Darwin est correcte, alors les scientifiques néo-darwiniens sont aujourd’hui une espèce menacée. Donc, se laisser convaincre de l’importance à déterminer si le dessein intelligent est « scientifique » relève de la mystification qui vous laissera peu de chance de découvrir la vérité sur quoique ce soit. Cela revient à se désintéresser de ce qui est vrai ou correct et à se préoccuper d’une chose qui n’a aucun rapport avec la question. On se retrouve alors engagé dans une argumentation stupide sans aucun intérêt et l’on passe complètement à côté de l’essentiel.

Mais puisque cette question est fréquemment évoquée, examinons la réalité scientifique de l’évolution elle-même.

Les darwinistes disent que le dessein intelligent n’est pas scientifique
parce qu’il ne peut ni être observé ni vérifié. Mais la théorie de
l’évolution n’est pas scientifique non plus, puisqu’il n’y a aucun moyen
de prouver qu’elle se produit par des mutations aléatoires pas plus
qu’il n’est possible d’observer ou de vérifier la sélection naturelle.
Ce n’est qu’un des nombreux indices de l’aspect au moins aussi peu scientifique du darwinisme et de la théorie de l’évolution que ne l’est supposément le dessein intelligent.
On observe ici l’évidence d’une cécité sélective et d’un manque extrême
de circonspection. Toutefois, je dirais que la situation dans le camp
de la théorie de l’évolution est bien pire, ce que je vais abondamment
clarifié.

La liste suivante énumère les raisons pour lesquelles la théorie
de l’évolution n’est pas scientifique. Non pas que cela soit vraiment
d’un grand intérêt en soi — c’est l’aspect erroné de ces raisons qui est
d’importance — mais puisque les évolutionnistes se plaisent à brandir
le drapeau de la science à tout bout de champ, montrons simplement à
quel point cette gestuelle est malhonnête. Si l’on peut disqualifier la
théorie du dessein intelligent en l’accusant de n’être « pas
scientifique » par un coup de maître irréfutable, alors donnons à ces
crétins de « l’évolution » un avant-goût de leur propre règle du jeu.

  • La théorie de l’évolution a été imaginée par un bonhomme
    qui ne possédait aucune connaissance de la cellule, de l’hérédité et de
    la génétique
    . La génétique a par la suite démontré que la
    théorie s’avérait totalement invraisemblable, ce qui fut confirmé par la
    découverte de l’ADN et de la complexité de tout le système cellulaire.
    Pourtant, loin d’être reconnue comme abracadabrante, elle acquière un
    statut d’incontestabilité. Il parait que les
    espèces évoluent vers d’autres espèces étape par étape même si personne
    n’est en mesure d’expliquer par quel processus, sans parler du fait que
    personne ne l’ait jamais vu se produire.
    Ce n’est pas de la science. C’est du dogmatisme de la pire espèce.
  • Les
    darwinistes sont dans l’impossibilité absolue d’expliquer l’origine de
    la vie. Leurs tentatives en ce sens invoquent des mécanismes qui n’ont
    jamais été observés dans la Nature. Ce n’est pas de la science
    .
    Ils sont souvent réticents à ne serait-ce qu’admettre l’existence du
    code très sophistiqué de l’ADN, mais même leur orgueil est impuissant
    face à une telle réalité. La seule origine jamais observée pour
    un code est le dessein. Par conséquent, la seule théorie expliquant
    l’origine du code de l’ADN qui puisse être qualifiée de scientifique est
    le dessein intelligent, la seule reflétant réellement notre expérience
    réelle, observable et démontrable
    . Mais au lieu de cela, les
    darwinistes suggèrent des idées complètement improbables dont le
    fonctionnement n’a jamais été observé. Est-il possible de trouver moins
    scientifique ? Autant constater qu’un clou a dû s’enfoncer dans du bois
    accidentellement après avoir observé toute sa vie que des clous
    s’enfoncent dans le bois après avoir été frappés par un marteau (ou un
    dispositif semblable). Pourquoi ? Pourquoi ignorer les observations de
    toute une vie ? L’idée que des atomes puissent s’auto-assembler en
    cellules vivantes complexes et fonctionnelles n’est pas scientifique.
    Dire « Oui, c’est très improbable et personne ne l’a jamais vu, mais
    c’est arrivé », c’est comme dire « Oui, je sais que personne n’a jamais
    vu une licorne, mais elles existent ! ». Exception faite du domaine
    théorique de l’évolution, nul scientifique ne considérerait sérieusement
    ces affirmations, .
  • L’idée que « tout aurait pu commencer de façon rudimentaire » pour évoluer progressivement vers la complexité est absurde.
    Les plus petites bactéries produisent des centaines de protéines.
    Personne ne sait comment une cellule peut fonctionner avec, disons,
    quelques dizaines de protéines. La simple fabrication d’une protéine
    nécessite plus d’une centaine de protéines déjà existantes. La
    réplication de l’ADN nécessite trente-deux protéines. Même si
    personne n’a la moindre idée du comment, il n’est pas scientifique de
    suggérer que tous ces processus pourraient fonctionner avec moins
    .
    Ce sont juste des foutaises qui permettent de contourner
    l’impossibilité factuelle du fonctionnement de l’évolution, des idées
    complètement irréalistes qui ne servent qu’à maintenir artificiellement
    en vie le fantoche de l’évolution. De deux choses l’une, soit il est
    possible d’en démontrer le fonctionnement, soit on invente des
    scénarios.
  • L’interdépendance des différentes substances
    dans les systèmes cellulaires et dans les organismes vivants révèle
    l’absurdité d’une évolution progressive de ces systèmes
    . Il est
    impossible de fabriquer des protéines sans ADN, mais les protéines sont
    fondamentales pour lire, transcrire et répliquer l’ADN. La biologie
    recèle tellement de problèmes liés au concept de primauté de « l’œuf ou
    la poule » que c’en est ridicule. Quelle est l’explication ? « On ne
    peut pas vraiment l’expliquer avec exactitude, mais on sait que ça
    arrive. » Comment « savent-ils » ? Ils ne savent pas, mais ils y
    croient. Il s’agit d’une croyance dogmatique, ce qui n’est absolument pas scientifique.
  • Si
    une chose est censée se produire par hasard, quelle est la probabilité
    pour qu’elle se produise vraiment ? S’il s’avère qu’une telle
    probabilité est d’une sur 10
    100 ou d’une sur 105 000 ou d’une sur 1040 000 ou plus — comme c’est le cas pour l’évolution — nous pouvons affirmer que la théorie n’est qu’ineptie.
    Si l’on demandait à des enfants de cinq ans comment la vie a commencé,
    il est peu probable qu’ils aient une théorie pire que celle qui n’a
    qu’une chance sur 1040 000 de se produire. Je vous invite à
    prendre quelques minutes pour méditer sur la difficulté d’inventer
    quelque chose de moins probable que l’évolution.
  • En concoctant
    leurs théories sur les processus d’évolution d’un organisme, les
    évolutionnistes se concentrent sur ce qu’ils désirent voir se produire,
    et non sur les 9,999,999,999 de choses qui pourraient aller de travers à
    chaque étape. Tout ça parce qu’ils prennent les espèces 1 et 2,
    décident que 2 a évolué à partir de 1 et tentent a fortiori de découvrir
    les moyens de fonctionnement de cette évolution. Ce qui signifie qu’ils
    sont dans l’obligation d’inventer à partir de tout ce qui peut être
    utile en s’accommodant même de ce qu’il y a de plus marginal et
    improbable. C’est en partie concevable, bien que l’improbabilité des
    mécanismes de l’évolution dépasse de loin celle de toute autre chose,
    comme mentionné plus haut. Le pire c’est qu’ils ignorent tous les
    problèmes potentiels qui sont généralement des quintillions de fois plus
    probables que les événements aléatoires requis. Autant expliquer que
    l’on peut réparer une voiture en panne en la démolissant avec un marteau
    qui frapperait au petit bonheur la chance. Le tout étant de mettre
    l’accent sur la façon dont le marteau pourrait, contre toute attente,
    frapper au bon endroit. La quantité d’essais nécessaires est ignorée
    tout comme l’est le fait que chaque coup de marteau est susceptible de
    causer encore plus de dégâts. Une théorie qui place un espoir
    infini dans un processus infiniment improbable et qui écarte un grand
    nombre de choses qui sont très susceptibles de mal se passer n’est pas
    scientifique. C’est l’antithèse du rasoir d’Ockham
    .
  • Seules
    des mutations mineures s’avérant bénéfiques à la survie dans les
    conditions actuelles ont pu être observées. Extrapoler de cela vers
    l’infini en ignorant les réalités biologiques, les mathématiques, la
    simple logique et le bon sens n’est pas de la science. Une seule
    mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un
    tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance
    .
    Permettez-moi de le répéter, car c’est très important. Une seule
    mutation observée dans l’ADN ne peut à elle seule expliquer comment un
    tout nouveau gène pourrait se manifester au petit bonheur la chance. Il
    s’agit là de deux problèmes distincts et d’ordres de grandeur
    différents. Toute science digne de ce nom pratiquée dans ce domaine
    montre que les nouveaux gènes n’évolueront pas par hasard, même avec
    l’âge de l’univers tout entier à notre disposition.
  • L’évolution
    ignore la principale preuve physique : le registre fossile. La réaction
    face aux découvertes de fossiles est du genre « Waouh ! c’est bizarre.
    Comment les faire corresponde à notre modèle d’évolution ? ». Rien dans
    le registre fossile n’a de sens dans le contexte de l’évolution, mais
    l’impératif apparent est de faire tant bien que mal de leur mieux pour
    le rendre cohérent. Il arrive parfois qu’une découverte semble soutenir
    le modèle de l’évolution ce qui fait s’exclamer les évolutionnistes : «
    Ha ! Vous voyez ? On vous l’avait bien dit ! ». Puis on leur demande ce
    qu’ils font des quatre-vingt-dix-neuf pour cent de preuves contre
    l’évolution, et ils prétendent tous ne pas nous avoir entendus. La
    science devrait partir de l’évidence pour créer des théories crédibles.
    L’évolution commence avec une théorie peu plausible et tente ardemment
    d’intégrer les preuves dans cette théorie, même si elle échoue
    constamment
    .
  • Selon la théorie de l’évolution, le
    cheminement pour passer d’une espèce à l’autre procéderait d’une
    continuité graduelle. Dès lors et selon ce seul point de vue évolutif,
    aucune forme définitive d’organismes n’existerait. Tout est supposément
    en mutation perpétuelle au petit bonheur la chance. Si l’évolution était
    mue par des mutations et la sélection naturelle, rien n’y mettrait
    jamais un terme. Les mutations seraient permanentes et la sélection
    naturelle ininterrompue. Pourtant, le registre fossile montre
    clairement l’apparition impromptue d’organismes qui restent inchangés
    durant de longues périodes pour finalement tout à coup disparaître. Bien
    que la réalité observée soit en totale contradiction avec les
    estimations « scientifiques » du darwinisme, ces absurdités élevées au
    rang de « science éprouvée » subsistent obstinément. Ignorer des preuves
    incommodes n’est en rien scientifique
    .
  • En parlant
    d’estimations, les darwinistes accusent le dessein intelligent d’être
    incapable d’estimer quoique ce soit — ce qui n’est ni vrai ni pertinent,
    mais on s’habitue à ce genre de logique tordue quand on a affaire aux
    darwinistes. Mais quelles estimations le darwinisme peut-il faire ? La
    théorie de l’évolution ne peut absolument rien estimer de précis. Tout
    ce qu’elle est en mesure de dire c’est que des espèces pourraient avec
    le temps se transformer au petit bonheur la chance en d’autres espèces.
    La théorie du dessein intelligent estime pour sa part que ce n’est pas
    le cas. Étant donné qu’aucune de nos observations n’a jusqu’à
    présent montré qu’une seule espèce — vivante ou disparue — pourrait
    évoluer en une autre espèce, le point de vue du dessein intelligent est
    cohérent avec ce qui est observé. Le darwinisme ne dispose que d’une
    seule estimation très vague qui n’a pas une seule fois été confirmée par
    l’observation
    .
  • Les darwinistes tressent sans cesse
    des couronnes de laurier à toute preuve qui, même de loin, parle en
    faveur de l’évolution — ce qu’elle ne fait souvent que dans leur tête —
    et ignorent toutes celles qui pourraient la discréditer. Une science
    authentique se préoccupera plus des preuves à l’encontre d’une théorie
    préconçue qu’à celles qui peuvent venir l’appuyer. Ce n’est pas
    en observant cinq faits qui corroborent une théorie que l’on prouve son
    exactitude, loin s’en faut. Elle est par contre fausse s’il est possible
    d’observer un seul fait qui la réfute
    . Échec et mat. La
    récréation est terminée, circulez y’a rien à voir. Trouverait-on une
    autre solution en méditant un peu plus sur le sujet ? En fait, les
    preuves qui corroborent la théorie de l’évolution sont rares tandis que
    celles qui la réfutent sont légion. Lorsque les darwinistes font face à
    une preuve incommode, ils l’expliquent avec un conte de fées ou
    l’ignorent en bloc. Prendre ses désirs pour des réalités n’est pas
    scientifique.
  • Sans aucune preuve pour l’appuyer, l’évolution
    étape par étape de la complexité est pourtant élevé au rang de vérité
    seule et absolue. Nous sommes censés accepter les yeux fermés et sur la
    simple conviction de quelques hommes très intelligents — d’après eux —
    le fait que des systèmes irréductiblement complexes aient pu évoluer de
    façon graduelle, alors que personne n’a été capable d’en expliquer le
    processus. Une idée qui ne s’appuie sur aucune preuve ni aucun
    modèle théorique pour l’expliquer n’est pas scientifique. « Nous croyons
    que c’est possible » ne l’est pas plus
    .
  • Les mutations
    aléatoires et la sélection naturelle sont toutes deux de piètres
    candidates propres à produire une quelconque caractéristique novatrice.
    Les mutations produisent essentiellement des déchets et la sélection
    naturelle ne peut qu’éliminer le pire d’entre eux. Ces deux processus
    n’ont aucun moyen plausible de créer quoi que ce soit qui ait un
    caractère inédit. Instituer l’idée que des nuisances sont en
    mesure de créer une quelconque fonctionnalité, alors que toute notre
    expérience nous dit le contraire, n’est pas scientifique
    .
  • L’évolution contredit les principes scientifiques établis, à savoir l’entropie de l’information.
    On nous assure que la nature informative contenue dans l’ADN augmente
    au fil du temps sans aucun intrant intelligent, sans toutefois que cela
    ait un sens. De par sa nature intrinsèque, l’entropie dégrade le contenu
    de l’information — c’est ce que nous observons chaque fois que nous
    voulons bien nous donner la peine de regarder. L’intelligence est la
    seule source capable d’introduire de nouvelles informations
    fonctionnelles dans un système. Le hasard n’a rien à voir là-dedans. La
    théorie de l’évolution n’est pas scientifique.
  • En se basant sur
    des conclusions spéculatives pour interpréter des faits, les
    darwinistes façonnent leur études à rebours du consensus scientifique.
    Pour chaque nouvelle découverte, les darwinistes sont contraints
    d’élaborer une fable qui s’inscrive dans le sacro-saint modèle
    évolutionniste, une méthode qui le plus souvent requiert une gymnastique
    mentale significative et une suspension consentie d’incrédulité, dans
    une « foi poétique » qui permet la création d’une histoire imaginaire en
    mettant de côté son scepticisme. Tout ça parce parce qu’ils ont décidé
    que la théorie de l’évolution est en conformité avec la réalité. La
    science a pour objet de déterminer les processus de réalités factuelles
    et certainement pas celui de décider de la manière dont les choses se
    produisent pour ensuite inventer des théories qui leur permettent de
    faire correspondre les preuves à leur croyance préconçue
    .
  • Tout
    en ignorant les faits les plus notoires, les évolutionnistes
    maintiennent leurs assertions mensongères avec dogmatisme. Afin
    d’illustrer un des multiples exemples de cette singularité, prenons
    l’appendice iléo-cæcal dans le corps humain : cet organe est connu pour
    avoir au moins deux fonctions admises même par une source aussi basique
    que peut l’être Wikipédia.
    Pourtant, on ne cesse de nous rabâcher que l’appendice iléo-cæcal
    serait un organe à structure « vestigiale » dont la fonction initiale
    aurait été perdue et que seule l’évolution est en mesure d’en expliquer
    la rémanence. Le livre de Jonathan Wells, Zombie Science [« La
    Science fantoche », ouvrage non traduit en français – NdT], contient de
    nombreux exemples d’affirmations similaires dont on nous rebat
    inlassablement les oreilles, bien que leurs aspects erronés ait été
    prouvés il y a parfois plusieurs décennies. L’évidente raison pour que
    décennie après décennie de fausses preuves continuent de nous être
    donnés en pâture, c’est que la théorie de l’évolution ne bénéficie
    d’aucune preuve qui la soutienne.
  • Les darwinistes expliquent
    généralement pourquoi mais pas comment les choses ont évolué. Insister
    sur le processus évolutif d’une chose alors qu’il est impossible de
    démontrer qu’elle peut le faire étape par étape s’apparente à une
    croyance religieuse. « Les girafes ont développé de longs cous pour
    pouvoir atteindre les plus hauts feuillages ». COMMENT ? « Ce singe a
    développé un long doigt mince pour atteindre les trous intérieurs et en
    extraire les insectes ». COMMENT ??? Les scientifiques ne peuvent pas
    expliquer comment les choses ont évolué. Paradoxalement,
    expliquer pourquoi ne fait que renvoyer au dessein intelligent.
    L’évolution est censée n’avoir aucun but. Expliquer pourquoi une chose a
    évolué n’a même pas de sens dans le paradigme scientifique dominant.
    Pour les tenants de l’évolution, la réponse au « pourquoi » se résume
    toujours à « sans aucune raison »
    .
  • Plus controversée
    que jamais après cent soixante ans d’existence, la théorie de
    l’évolution s’évertue à tenter de prouver l’impossible. Loin de se
    renforcer au cours des seize décennies de recherche scientifique, elle
    est devenue de plus en plus douteuse. Et si cent soixante années de
    science ont rendu la théorie moins plausible que jamais, dire que cette
    théorie et la science sont à tout le moins incompatibles est un
    euphémisme.
  • Lorsqu’ils considèrent ce qui est ou n’est pas
    scientifique, les évolutionnistes sont d’avis que la seule vraie science
    est la science naturelle, c’est-à-dire la science matérialiste [en tant
    que doctrine qui ramène toute réalité à la matière et à ses
    modifications – NdT]. Mais le matérialisme est une idéologie
    qui à l’instar de la Bible n’est étayée d’aucune preuve. Tout comme la
    religion, le matérialisme est une croyance dogmatique. Professer que la
    science matérialiste est la seule qui soit d’importance revient à dire
    que la science religieuse est la seule science qui compte. Les
    évolutionnistes adhèrent à une croyance précise et définissent la
    science comme opérant dans les limites imposées par cette croyance. Le
    résultat devient très vite complètement stupide. On finit par
    vous dire — entre autres absurdités — que votre conscience n’existe pas
    vraiment et que vous ne prenez pas vous-mêmes de décisions mais que ce
    sont vos gènes qui le font
    . L’objectivité s’évapore car l’apprentissage de la réalité est limité par des hypothèses arbitraires.

Le darwinisme est pour la science un camouflet qui ignore les faits et les preuves ainsi que de nombreux principes scientifiques en axant de préférence leur obstination sur une croyance dogmatique, tout comme le fait la religion. Les
darwinistes feraient mieux de sortir de l’obscurantisme en cessant de
considérer que leur théorie est aussi inattaquable qu’une vache sacrée
. Ils font exactement ce dont ils accusent les créationnistes.

La théorie de l’évolution n’est pas seulement fausse ; absurde,
illogique et mathématiquement impossible, elle n’est pas scientifique.