La fraude qu’est la virologie expliquée en 19 minutes

[Source : LeLibrePenseur.org via Profession Gendarme]

[Note de Joseph : en préambule, voici ci-après une petite présentation tirée d’un récent courriel écrit à destination d’une doctoresse pour répondre à une vidéo sur le virus du singe.

Le prétendu virus du singe n’a pas plus été réellement isolé que les autres prétendus virus pathogènes.

Les séquences génétiques prétendument virales contenues dans les banques informatiques de gènes ne sont que des séquences illusoires, obtenues suite à une mauvaise recette de cuisine (nommée « culture virale ») qui contient un mélange de cellules (celles de soi-disant « culture » — souvent des cellules VERO provenant de rein de singe vert —, celles d’embryon de bœuf, et divers composants génétiques en provenance des tissus prétendument infectés et qui peuvent aussi contenir n’importe quoi présent dans l’environnement de la personne chez qui ces tissus ont été prélevés, comme des cellules d’animaux domestiques) et différentes substances toxiques.

De cette soupe on ne sort aucun virus réellement isolé, purifié et caractérisé chimiquement, mais on prélève, suite à une centrifugation, des bouts de tissus ou de cellules dont la densité correspond à celle du supposé virus. Et cerise sur le gâteau, à partir de ce méli-mélo génétique on procède au final à un séquençage informatique qui n’est qu’une moulinette logicielle tournée suffisamment longtemps pour arriver à reconstituer un puzzle génétique par collage de bouts de chaînes génétiques de plusieurs dizaines de codons, par invention des parties manquantes et par rabotage ou moyennage des parties qui ne collent pas bien pour les forcer à se raccorder et à coller au modèle génétique du supposé virus cherché dans la soupe. De plus, le modèle génétique viral est lui-même le résultat d’une opération similaire.

Quand par une telle méthode informatique on reconstitue un pourcentage suffisant du puzzle (par exemple 99,7 %) on déclare avoir trouvé le virus cherché. Si le pourcentage est un peu trop bas, on déclare que l’on a découvert un « variant » du virus. On est dans la même logique que dans l’exemple suivant :

On cherche le roman Germinal de Zola dans une bibliothèque contenant 10 000 livres. Pour cela on coupe les romans en morceaux pour en analyser les phrases (équivalent de bouts de code génétique, le livre lui-même étant le code génétique complet d’un virus qui serait effectivement isolé). On donne les millions de bouts de papier à un robot pour qu’il reconstitue le roman Germinal à partir du modèle présent dans la bibliothèque virtuelle logicielle. Étant plus rapide qu’un être humain, à partir d’un certain nombre d’heures, il finit par arriver à recoller les morceaux de papier déchirés et à rafistoler tant bien que mal 99,7 % du roman cherché, ceci en ajoutant des mots manquants et d’autres fois en rabotant des parties un peu trop grosses pour bien entrer dans les trous. Alors le robot déclare avoir trouvé Germinal dans la bibliothèque réelle. Pourtant, ce roman pourrait ne pas être présent dans la liste des ouvrages répertoriés et à aucun moment on ne s’en est assuré.

À aucun moment les virologues n’effectuent les indispensables expériences de contrôle comme celle qui consiste à pratiquer la « culture virale » sans tissus prétendument infectés. Quand on fait une telle expérience (ce qu’a réalisé Stefan Lanka), on obtient exactement le même résultat sur les cellules de prétendue culture : elles meurent pareillement en délivrant des exosomes pris pour des virus pathogènes, alors qu’il n’y a aucun tissu en provenance d’un être humain. Elles meurent simplement et principalement à cause des poisons présents dans la soupe.

Les virologues recourent à des raisonnements circulaires tels que le suivant. Ils supposent notamment la présence d’un virus dans le tissu supposément « infecté », obtiennent la mort des cellules de culture, et en déduisent que c’est ce virus qui a tué ces cellules. S’ils faisaient l’expérience de contrôle mentionnée ci-dessus, ils obtiendraient exactement la même mort des cellules de culture et pourraient ainsi constater que cette mort n’est pas due à la présence d’un supposé virus. Ils ont inventé les tests de supposés « anticorps » parce qu’ils ne parvenaient pas à trouver des virus chez les personnes malades qui pourtant d’après leur théorie devraient être envahies de virus. La présence de ces supposés « anticorps » était alors pour eux la preuve (indirecte) de la présence du virus chez le malade.

Quant aux tests PCR, ils ne font que multiplier des chaînes génétiques non spécifiques (n’appartenant pas à un virus réellement isolé et purifié), en introduisant des erreurs à chaque cycle d’amplification. Et au final, on y cherche seulement des « amorces » supposées spécifiques au virus.

Les virologues ne sont jamais parvenus à trouver Germinal (un virus pathogène donné, n’importe lequel) dans leur bibliothèque (chez un être humain ou un animal) et ils ont donc inventé des méthodes pour prétendre qu’il existait quand même. Alors que la virologie a été scientifiquement réfutée il y a près de 70 ans ! Les maladies dites « virales » ne sont jamais produites par des virus pathogènes, mais par d’autres causes. Dans la plupart des cas, y compris pour la grippe, il n’existe qu’une contagion apparente, les gens étant exposés à des causes communes (notamment le retour du froid) et aucune expérience scientifiquement valide n’a pu démontrer la moindre contagion naturelle à partir de personnes ou de matériel supposément infectés.

Le dossier Vaccins et virus contient des informations complémentaires sous diverses formes, dont Un adieu à la virologie.

Un des arguments qu’opposent les gens crédules de l’hypothèse virale est celui des labos P4 et des armes bactériologiques. Une réponse y est donnée dans l’article C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !. Un autre argument est celui de se faire inoculer la rage ou le SIDA par exemple. Tout ce que l’on se ferait ainsi inoculer est une mixture empoisonnée, mais pas de virus qui n’ont jamais pu être réellement isolés, purifiés et caractérisés.

Voir aussi :

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