Je n’osais l’avouer mais « je ne suis ni un homme ni une femme ! »

Merci aux théoriciens du genre venus pour nous « libérer »

[NDLR À lire au second degré.]

« Que se passe-t-il, je peux voir à travers toi ?
Mon fils m’a dit qu’il était transgenre.
Ce qui fait que je suis…
trans-parent. »1

Depuis mon plus jeune âge je sentais bien qu’il y avait un truc qui n’allait pas avec mon corps d’athlète mais je n’avais jamais osé le conscientiser totalement et encore moins le verbaliser.

Tout ceci appartient désormais au passé, ce soir je fais mon coming-out, je n’ai pas à avoir honte de ma vraie nature et vous devriez en faire autant !

Au fil des années, je voyais bien comment les autres semblaient bien dans leur peau, en harmonie avec leur corps mais ce n’était absolument pas le cas pour moi.

Alors que mes contemporains avaient des projets d’avenir, de métier, l’un voulant être pompier ou cosmonaute (et qui sait être un jour le premier humain à marcher sur la lune), mes désirs semblaient plus basiques, plus primaires, plus instinctifs, plus simples, bref plus « biologiques ». Les fonctions de base comme me nourrir, dormir, aller aux toilettes, me comblaient et semblaient me suffire.

Manque de motivation, de « coups de pieds au cul », éducation laxiste ou intégrisme religieux ?

Le malaise était plus profondément ancré !

Je me suis donc « fondu » dans la masse au fil du temps et j’imagine que vous êtes peu nombreux à avoir percé au jour ma souffrance et ma nature profonde. À force de cacher aux autres on finit naturellement par se cacher aussi à soi-même au point de ne plus en être conscient.

Je ne remercierai donc jamais assez les théoriciens du genre d’avoir mis sur la table un problème si profond et si réel qui concerne probablement des milliards d’individus sur Terre, victimes de leur corps si l’on compte tous ceux qui l’ignorent.

En écrivant « théorie » je demeure dans le carcan d’un vocabulaire répressif et régressif créée par « les blancs hétérosexuels », si éloigné de la réalité du monde.

Oui mes bien chers frèr-e-es-ie-ies, sœur-e-es-ie-ies et amphibien-ens-ene-enes, la théorie du genre n’en est pas une !

« Quoi ? Que dit-il, comment peut-il proférer de telles horreurs ? »

Non, pas plus que les théories freudiennes sur l’œdipe et « l’obsession sexuelle d’un fils à vouloir culbuter sa mère ou d’une fille de rêver de se faire pénétrer par son père ». Nous savons vous et moi, libérés de cette morale judéo-chrétienne castratrice, que c’est la nature profonde des enfants et des bébés d’avoir des pulsions sexuelles2 pour des adultes et leur famille.

Comment en vouloir à celles et ceux qui ne peuvent résister aux sirènes de ces enfants en leur procurant un « plaisir sain, biologique et légitime ». Qui serions-nous pour condamner l’amour et ce quel que soit l’âge des protagonistes3 ?

Le docteur Roger Teboul4 pédopsychiatre nous éclaire :

« Le problème de l’excitation sexuelle et de sa contention soulevé par la très grande proximité relationnelle induite lorsqu’une mère (plus rarement un père) se retrouve seule à élever son enfant pose de façon très aiguë la question du désir sexuel qui pourrait bien être une des composantes du désir d’enfants. »

« Protégée par son instinct maternel, la mère ne serait que sensuelle avec son enfant, là où le père, à qui la société ne reconnaît aucun instinct paternel, ne serait que sexuel, et donc pédophile dans ses actes. »

« En 1980, É. Badinter écrit un essai sur l’amour maternel où elle soutient, recherches historiques à l’appui, que l’instinct maternel n’existe pas. 

« L’exemple classique donné par S. Freud pour décrire le mécanisme de sublimation concerne les liens d’amitié entre hommes. Ces liens auraient à leur origine une attirance homosexuelle qui n’est pas socialement admise. 

« Une femme aussi peut être pédophile, ce qui n’est absolument pas à confondre avec une mère incestueuse, car c’est bien du corps de l’enfant comme objet de jouissance sexuelle dont il est ici question et pas du lien qui unit l’enfant à son parent. 

« L’impasse du désir sexuel de l’adulte pour l’enfant est ici flagrante pour une société individualiste comme la nôtre. »

« Mais s’il ne fait aucun doute pour nous que l’acte pédophile ne procède pas toujours du viol, il n’empêche que le pouvoir qu’exerce l’adulte sur l’enfant oblige le premier à une réflexion sur l’exercice de ce pouvoir dans sa relation au second. »

Et comme disait si bien Daniel Cohn Bendit5 en son temps :

« En ayant des expériences avec les gosses, en jouant avec eux, en ayant des rapports émotionnels et même sexuels, dans le sens émotif, caresses, etc. que j’ai appris beaucoup sur ma propre personne. »

« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : « Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ? » Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même6. »

Ce grand homme politique « vert progressif » n’hésitant pas à ajouter7 :

« Vous savez, quand une petite fille de 5 ans se met à vous déshabiller, c’est fantastique ! »

Bien heureusement la censure était là pour nous protéger de la morale passéiste voulant salir « l’amour ». Saluons le fait que Jean Pierre Mocky n’ait jamais pu sortir en salle son « torchon », « les ballets écarlates8 », une caricature grotesque des amours interdits.

Mais je m’égare, poète que je suis, jouissant du merveilleux de notre monde.

Non les théories du genre ne relèvent pas de la « théorie » mais sont le reflet d’une réalité biologique scientifique fondée9.

Si nous avions laissé la Création à un « Lucifer qui aime les hommes10 » et non à un « enculé de Dieu qui les déteste » nous n’en serions pas là11. Il n’y a qu’à voir comment Dieu est misogyne12 et homophobe13 et il est légitime de se poser la question du racisme du créateur !

Coluche, devenu un saint homme post-mortem, aurait déclaré14 sans finir en prison en 2006 :

« Savez-vous pourquoi Dieu a fait les Noirs ? Parce qu’il n’avait plus assez de poils pour finir les singes. »

Il faut dire que le « gars » (Dieu) devait être méchamment bourré certains jours lors de la fabrication de la vie.

Tenez, prenez l’ornithorynque qui a lui seul prouve la folie ou l’abus de drogues de Dieu ! Sans rire, un mammifère à bec de canard, une queue de castor, un pelage de taupe, qui respire de l’air et vit dans l’eau, qui pond des œufs et ensuite allaite ses petits… il fallait oser !

Ne nous étonnons donc pas que des « femmes naissent dans le corps d’un homme », des « hommes dans le corps d’une femme » ou des « je sais pas comment on dit » avec des cerveaux de « je sais pas qui ils sont mais iels non plus ».

Tout ceci serait parfaitement « normal » si des parents délirants n’imposaient pas à ces bébés innocents un statut de garçon ou de fille dès la naissance ou même avant, les privant de leur libre arbitre. Ces pauvres victimes sont habillées et éduquées avec des stéréotypes de genre contre nature.

Cette maltraitance va si loin que l’enfant, contraint par ces hétérosexuels délirants aux privilèges blancs, s’approprie son corps sans réaliser la tromperie et la maltraitance qu’il subit. Et oui, ces pauvres enfants qui durant la grossesse puis leur petite enfance ne sont pas confrontés au doute et au fait de cette attribution arbitraire et dictatoriale d’un sexe biologique contre nature.

Toute cette apparence harmonieuse n’est qu’illusion et ne nous étonnons pas que tous les mâles de la planète ne soient que de dangereux prédateurs sexuels violents. Cette violence réprimée (ou exprimée) des mâles avec un phallus n’étant que le reflet de ce viol de pensée qu’est l’assujettissement du sexe biologique comme « réalité ».

Comment ne pas soutenir Alice Coffin15, élue EELV de Paris qui déclarait :

« Il ne suffit pas de nous entraider, il faut, à notre tour, les éliminer »

(à propos des hommes)

Et de rajouter sur un plateau de RT16

« Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, à ne pas être tuée, à ne pas être tabassée, avait-elle déclaré en direct. Et cela évite que mes enfants le soient aussi. »

Je jalouse le bien-être de c(s)es enfants nés et éduqués dans un environnement sain, tolérant et aimant.

Dire qu’il a fallu attendre le début du 21ème siècle pour que la « normalité » puisse commencer à poindre le bout de son nez.

Des messages nous réchauffent le cœur comme en témoigne le magazine allemand Bild17.

« La ministre de la famille et de la jeunesse, Lisa Paus, élue vert, avec un logo officiel et financé sur l’argent des contribuables, s’adresse aux enfants sur Internet « je ne suis pas du tout une fille. Ou : je ne suis pas du tout un garçon. »

Littéralement il est écrit sur le « portail arc-en-ciel » – selon le ministère destiné à être une « plate-forme d’information pour la communauté LGBTQ* » : « Es-tu encore très jeune ? Et tu n’es pas encore pubère ?

Ensuite, tu peux prendre des bloqueurs de puberté (…) De cette façon, tu auras plus de temps pour réfléchir. Et tu pourrais penser paisiblement : quel corps me va ? »

Je vous invite aussi à vous procurer cet excellent ouvrage disponible dans des écoles aux USA, un must pour lutter contre les discriminations de genre et éduquer vos enfants, « gender queer18 ». (La note de bas de page renvoie vers un site illustrant quelques pages du livre19.)
Le livre est aussi disponible en France (Fnac20, Amazon, etc.)

« Dans Genre Queer, Maia Kobabe offre le récit intense et cathartique de son chemin vers l’identification en tant que personne genderqueer (ou non binaire, c’est-à-dire qui déroge aux normes de genre et de sexualité) et asexuelle, et celui de son coming out auprès de sa famille et de la société. Parce qu’elle traite d’identité de genre – ce que cela signifie, comment l’appréhender -, cette histoire se révèle un guide aussi nécessaire et utile qu’il est touchant. »

J’aurais précisé « touchant » et « pénétrant ».

Une fois de plus je m’égare… Je vous expose tout le positif de notre époque mais j’en oublie ma souffrance refoulée.

Rendez-vous compte que j’ai à ce point nié ma nature profonde que je me suis marié avec une femme (ne me jetez pas la pierre, je suis une victime) et que j’ai eu des enfants.

Ne vous étonnez pas qu’ils soient traumatisés de toute évidence par un « père » ayant subit un parcours contre nature.

Comment pourrais-je ne pas désespérer en pensant que j’aurais fabriqué des monstres !

« Des garçons qui se pensent garçons et des filles qui se pensent filles ! »

Imaginez-vous avoir un « garçon » qui cacherait ses émotions « de fille », aimerait les voitures de course, ne porterait que du blanc ou du noir et certainement pas du rose, etc. Et une fille qui adorerait The Voice, le rose, chanter ou des habits colorés ?

Je sais que c’est terrible et ne croyez pas que mes nuits soient exemptes de cauchemars.

Comment retrouver le sommeil tout en détruisant ses enfants par une éducation judéo-chrétienne castratrice et en ignorant si il est trop tard, si il est encore possible de les sauver ?!

Le sujet a été abordé, demandant à ces pauvres victimes privées du droit de choisir leur corps après la naissance, si ils étaient « garçons » ou « filles ». Croyez moi ou pas, mais si on leur avait parlé mandarin, ils n’auraient pas réagi différemment. Cette question, que vous reconnaissez primordiale si vous êtes de bon parents aimants, semblait totalement débile à leurs yeux.

« Ben oui je suis un garçon » ou « ben oui je suis un fille »

C’est là que l’on voit à quel point il est facile de manipuler le cerveau malléable d’un enfant
et lui mettre n’importe qu’elle connerie dans la tête !

Pourtant les solutions existent comme le prouve la ministresse allemande de la famille dont je reprends et développe ses conseils :

  • Suggérer dès la naissance à un enfant qu’il n’est peut-être pas du genre de son corps biologique.
  • Ne pas l’enfermer dans les stéréotypes de genre, proposer une robe à un « garçon » et une tenue militaire aux « filles ».
  • Lui dire qu’il n’est pas obligé de subir la tyrannie de la puberté.
  • Lui proposer de prendre des retardateurs de puberté, probablement « sans danger et sans effets secondaires » afin qu’il puisse prendre sereinement sa décision et choisir le corps qui devrait être le sien.

Ainsi l’harmonie et le bonheur seront au rendez-vous. Peace and love !

Comment leur cerveau pourrait être synchrone avec leur carcan biologique alors qu’il n’y a strictement rien de naturel dans cette relation perfide imposée par dame nature.

J’espère que la société, l’éducation nationale et nous, familles aimantes, arriveront à leur ouvrir les yeux avec une « thérapie de découverte du genre21 ». comme cela se pratique aux USA qui ont toujours une sacrée avance sur nous, les arriérés.

Songez qu’il y aurait au moins 150 000 jeunes transgenres22 aux states entre 13 et 17 ans !

Je me sens coupable de cette situation désespérante mais pour autant j’ai mes circonstances atténuantes car je suis moi-même victime de cette état de fait, car amputé de ma nature profonde.

C’est en ce sens que je veux à la fois remercier les génies qui nous ont prouvé qu’il existe autre chose que des hommes, des femmes et des « je ne sais pas quoi » dans des corps biologiques aléatoires et pas forcément figés.

En revanche, je trouve qu’ils font preuve d’un sectarisme, voire même d’un racisme à l’égard des autres catégories de notre « monde pluriel ».

Je m’explique :

Si Dieu dans son infini machiavélisme a permis la création de femmes avec corps d’homme et d’hommes avec un corps de femme il est évident qu’il a pu se planter encore plus !

Sans compter qu’il a aussi crée des êtres humains, ni homme ni femme, comme nous en voyons tous les jours dans les « maternités » (terme sexiste transphobe), alors même qu’il n’a pas crée de sexe « neutre », sauf pour les anges.

Et c’est là que j’en arrive à ma vraie nature celle que je vous cache depuis toujours ! Ne vous impatientez pas, je ne vais pas poursuivre le suspense à l’infini.

Ma réalité est apparue comme évidente, une forme de révélation :

« De tout temps, je rêvais de pouvoir me « fignoler les gonades », ne comprenant pas pourquoi tant d’animaux pouvaient le faire si naturellement. »

« Pourquoi eux pouvaient se les léchouiller pendant des heures alors même que ce simple geste m’était rendu impossible par mon corps rigide ? »

J’avais entendu parler de certains acteurs pornos dont on disait qu’ils pouvaient mettre leur propre sexe dans leur bouche mais je voyais cela comme un mythe biblique, un éden utopique, plus qu’une réalité tangible. Comment mon corps aurait pu me permettre d’y parvenir ? Peut-être dans une autre vie ou ou paradis mais dans ce monde c’était définitivement impossible.

Et c’est là que j’ai eu le déclic, tel un ange gardien (asexué comme il se doit) m’apportant la lumière divine dans mon monde d’obscurité :

Je n’étais pas « Un homme dans un corps d’homme »
mais
« Un caniche dans un corps d’humain ! ».

Vous n’imaginez pas comment ma souffrance est tombée tel les murs de Jéricho23.

Tout s’expliquait enfin, mon goût pour la nourriture en croquettes, le sommeil, pisser sur un arbre, etc.

Enfin je pouvais être moi dans ma tête !

Comme les IELs, je réclame donc mon droit à pouvoir être déclaré officiellement « chien » et plus précisément « caniche » auprès de l’état civil.

Je réclame simplement le droit de pouvoir faire mes besoins dans la rue et renifler des fesses comme l’impose ma nature profonde ! Cela relève de mes droits fondamentaux et nul ne peut les contrarier !

Le sujet est tabou et a été parfois abordé dans le monde du cinéma sur le ton de l’humour :

Citons par exemple le merveilleux film « Tendrement vache24 » où le protagoniste, Jean Lefebvre retrouve sa femme réincarnée en vache.

Il faut dire qu’à l’époque le sujet était tabou et il était plus simple de l’aborder sur l’angle de la réincarnation. Il existe aussi des histoires merveilleuses comme celle de cette femme de 74 ans, veuve, qui aurait épousé son mari décédé réincarné dans une vache25. À l’amour… toujours l’amour !

Surtout ne dites rien aux enfants. J’ai prévu de leur faire la surprise. Ils vont être fous de joie, eux qui rêvent d’avoir un chien depuis des années. Ce soir c’est la fête, « croquette partie ! ».

Mais revenons à mon sujet du droit à être soi dans son corps qui est toujours bafoué.

La transphobie est un fléau et je suis le premier à partir au front pour lutter contre ce mal qui ronge notre société de lumières.

Mais que dire de la zoophobie ?

Le sujet est tellement tabou, tellement réprimé par cette société à la morale bourgeoise étriquée que je suis persuadé que certains d’entre-vous ricanent ou se marrent en lisant ces lignes.

Pourtant le sujet n’a rien de risible, on parle ici de chauve-souris, de renards ou de cochons prisonniers d’un corps d’humain condamnés à ne pouvoir vivre leur nature réelle !

Il n’y a rien de risible quand on aborde la souffrance psychologique que ces créatures de Dieu (d’un dieu pervers) doivent endurer depuis des millénaires.

Notre société est à ce point barbare qu’elle a fait de ces êtres en souffrance une pathologie mentale appelée lycanthropie clinique26.

« Certains cas de lycanthropie clinique peuvent être associés à divers degrés de suicidalité27. »

Je suis extrêmement choqué que d’excellents médecins humanistes et généreux réparent les erreurs de la nature en permettant à des hommes de devenir des femmes biologiques et en permettant à des femmes de devenir des hommes « pleinement épanouis » mais s’en tiennent là !

Où sont les recherches pour permettre aux caniches prisonniers d’un corps humain
de pouvoir réintégrer leur enveloppe corporelle naturelle ?

Et je ne parle pas des araignées prisonnières d’un corps de femme ou des éléphants de mer prisonniers d’un corps d’homme.

Ne croyez pas que je sois le seul dans ce cas ! De très nombreuses personnes sont dans ma situation mais tentent de rejeter leur nature profonde.

Tenez, citons ce pauvre président d’une association28 dont je tairais le nom par pudeur.

(Il me semble que c’est le « REfuge des Amphibiens Capturés en Terres Inondées Obsédés par le Naturisme 19 » 1919 serait l’année de naissance de son président).

Cette personne serait à ce point dans le déni, à ce point dans l’incapacité de s’approprier sa nature qu’elle aurait conclu le plus gros contrat avec « Comme J’aime29 » de perte de 184 kg, si, si, 184 kg !

Il aurait sombré dans la folie et serait désormais dans une lutte contre des ennemis invisibles tout droit sortis de son cerveau torturé. Nous devons faire cesser ces mutilations et permettre à chacun de réintégrer le corps naturel qui est le sien. Ceci est tout à fait possible comme en atteste cette photo !

Il faut donc la volonté politique pour mener ce combat juste.

Nous devons soutenir activement le parti anti-speciste30 et ses propositions de bon sens :

« Nous réclamons, aujourd’hui, l’abolition de l’application du droit de propriété sur les animaux, afin qu’ils puissent sortir de leur condition d’objets de droit et enfin devenir des sujets de droit et même des personnes juridiques. En tant que sujets de droit, les animaux pourraient posséder des droits fondamentaux visant à protéger leurs intérêts fondamentaux »

Fini la souffrance animale, il ne sera plus possible d’exploiter ou de tuer un animal. Si vous étiez pris en train de manger un lapin que vous auriez chassé, sa famille aurait le droit de vous poursuivre et de vous faire condamner pour meurtre et acte de barbarie.

Saluons cette initiative qui me permettra, en tant que caniche, de pouvoir exister au niveau de l’état civil.

C’est un défit lancé à la communauté scientifique, permettre à tout un chacun d’avoir le droit légitime d’être dans son vrai corps biologique.

Il y a de nombreux obstacles techniques mais je pense que la plus prometteuse pour les humains serait le transfert de cerveau vers un corps d’homme ou de femme.

Ce geste pourrait être 100% écolo, nous pourrions par exemple recycler les corps de personnes en pleine santé physique euthanasiées à « leur demande ». (cf cette jeune femme de 23 ans euthanasiée31 en mai dernier en Belgique).

Nous pourrions aussi utiliser les corps des condamnés à mort qui pourraient bénéficier d’une « 2ème vie ». Cela se fait déjà pour prélever des organes comme en Chine32, organes qui sont revendus pour des riches occidentaux, alors pourquoi pas des corps entiers ?

Nous pourrions aussi obtenir des corps moyennant finance comme nous pouvons obtenir des enfants moyennant finance en Ukraine33. Quel merveilleux geste d’humanité de donner son corps afin qu’un homme ou une femme puisse enfin avoir le corps qui devrait être le sien ! La famille du défunt recevant une indemnité permettant d’être à l’abri jusqu’à la fin de ses jours. Que d’amour !

Bien entendu le problème est un peu plus aigu lorsqu’il s’agit de transférer le cerveau d’un corps d’humain vers un corps d’animal. Des solutions semblent exister comme le montre Tim Burton dans Mars Attacks34.

Mais attention le droit à l’erreur doit être introduit dans la loi et permettre un changement de corps tous les ans sur simple déclaration à l’état civil.

STOP à LA DISCRIMINATION, CHACUN A LE DROIT d’affirmer SA NATURE !

Merci.

Alain Tortosa35.

15 octobre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221013-je-ne-suis-ni-un-homme-ni-une-femme.pdf