Italie. Selon l’Institut national italien de la santé, la plupart des décès recensés en 2020 n’ont pas été causés par le Covid-19

[Source : breizh-info.com)

Selon le rapport de juillet 2021 de l’Istituto Superiore di Sanità (Institut national italien de la santé, équivalent de notre ARS) sur la mortalité due au Covid, cité par le journal Mainstream Il Tempo, il semblerait que la plupart des décès recensés en 2020 n’aient pas été causés par le Covid-19 mais par des comorbidités et des pathologies lourdes.

Ainsi, sur les 130.000 décès répertoriés Covid depuis février 2020, seuls 3.700 seraient réellement liés au virus en lui-même, et uniquement à lui.

[Ndlr : cela signifie que seulement 1 décès sur 35 est réellement attribuable à ce qui a été nommé Covid-19 (et qui est à la base un ensemble de symptômes). La proportion est probablement voisine dans la plupart des autres pays qui trichent sur les chiffres, comme la France, les USA et le Canada.]

Tous les autres décès sont en réalité liés aux autres maladies des patients (hypertension, cancer, diabète, pathologie pulmonaire, cardiopathie).

Ceux qui ont perdu la vie et qui ont été classés comme « décédés du Covid » avaient entre une et cinq maladies qui, selon l’Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d’espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies cumulées, et 18% au moins deux cumulées.

Selon l’Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d’hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n’est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d’une insuffisance cardiaque, 28 % d’une cardiopathie ischémique, 24,8 % d’une fibrillation auriculaire, plus d’un sur dix était également obèse, plus d’un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d’autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.

Traduction ; des personnes faibles et gravement malades, dont les décès n’étaient que question de jours, de semaines ou de mois, ont été probablement achevées par le Covid-19.

Rien qui ne justifiait, ni qui ne justifie toujours, d’enfermer pendant des mois et de mois une population, et de mettre en place une politique sanitaire tyrannique de contrôle des masses….Qui devra rendre des comptes ?

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