Il faut défendre les enfants, exiger la suppression du port du masque

Par Dr Nicole Delépine

Les reniements des intervenants sur les TV bien briefés

Le Pr Douste Blazy, ancien ministre, qui avait courageusement défendu la chloroquine en avril 2020 ne parle brutalement plus de traitement, mais prône des camps d’internement pour les testés positifs récalcitrants. Que lui est-il arrivé ? Faut-il voir dans ses derniers propos honteux et discordants l’effet de rumeur de dossiers compromettants, ou l’espoir d’un poste mirobolant au gouvernement ou à l’OMS ?

Autre très choquante surprise : Madame Le Guen pédiatre et représentante sur les médias de la société française de pédiatrie (les fameuses sociétés dites savantes) : retournement à 180° sur le port des masques chez l’enfant. Retournements jamais argumentés par des études scientifiques.(([1] La seule étude randomisée sur l’intérêt du port du masque, la Danmasq19 n’a pas mis en évidence d’efficacité significative du masque pour éviter la contagion.))

Mr Alain Tortosa en est sorti de son silence devant tant de mauvaise foi contre les enfants qu’elle devrait, en tant que pédiatre, défendre contre vents et marées.

Quand la pensée unique, la quête de notoriété, une bêtise sans limite, la corruption ou, pourquoi pas, des menaces, mènent à l’immonde ?

Les enfants sont innocents du COVID

Notons que les pédiatres jusqu’à une période récente avaient donné des avis raisonnables en accord avec l’état de la science sur l’absence de danger de contamination par les enfants.

Avis conforme à toutes les études internationales dont nous avons souvent parlées confirmant TOUTES depuis février 2020 que les enfants ne font jamais de formes graves (sauf de grands malades immunodéprimés) (([2] Rappelons que selon Santé Publique France le covid n’a tué que 3 enfants de moins de 15 ans tous souffrant au préalable de maladie mortelle alors que chaque année la grippe fait entre 7 et 10 victimes dans ce groupe d’âge.)), ne contaminent jamais, ni les adultes, ni les enfants. Quand ils sont contaminés, ils l’ont toujours été par un adulte ou un très proche, surtout si confinés ensemble.

Rappelons ces évidences confirmées par la littérature internationale revue régulièrement, édictées alors par cette pédiatre renégate aujourd’hui :

« En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur », car comment pourrais-je lui accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie. Un pédiatre est un médecin au service des enfants, primum non nocere). Elle a été corédactrice d’un texte appelé « Primum non nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! (([3] Société Française de Pédiatrie Primum non nocere : Tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! 11/06/2020 https://snmpmi.org/IMG/pdf/tribune_societe_francaise_pediatrie_11juin_2020.pdf)) »

Primum non nocere qui veut dire « en premier, ne pas nuire ».

Texte dans lequel il était possible de lire notamment :

« Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »
« Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »

« Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances institutionnelles »

Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie et des sociétés de spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur établissement scolaire » (([4] 1 20h00 du 23 février 2021
https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html)) il était précisé :

« Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. 

En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les
adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »
« De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des mains est tout aussi important. »

 Alors, comment aujourd’hui oser prétendre que le masque chez l’enfant n’a pas de danger, alors que s’accumulent les données tant sur les conséquences psychologiques majeures que sur l’hypoxie importante chez les petits soumis à un port sectaire du masque (prolongé sans échappement de quelques minutes ou laissés gentiment sous le nez).

La peur instillée aux enseignants qui ont pourtant la littérature internationale à leur disposition reste incompréhensible, mais en tous cas ils n’ont, pour trop d’entre eux, pas protégé leurs élèves, pas plus que les parents qui ont préféré se soumettre.

De nombreuses procédures sont en cours dans lesquelles vous retrouverez tous les inconvénients du masque chez l’enfant, comme le site de Maître Brusa reaction19fr, mais aussi dans la procédure judiciaire mise en ligne le 23 février

Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire
Date : 23/02/2021 22 :44 :43 Europe/Paris

Associez-vous à cette procédure   pour la suppression du masque obligatoire !

Tous documents explicites dans l’article du site à télécharger Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire

Télécharger : REQUETE PDT T.J. avec Pièces

#stopconfinement, #stopmasques il faut exiger réouverture de tout, et suppression de toutes les mesures liberticides avant qu’il ne soit trop tard.

Il faut dire stop MAINTENANT avant qu’il ne soit trop tard, car de renoncements en renoncements qui paraissent à chaque fois petit, excusable, pas si grave, on passe doucement à l’irréversible. Relisons l’expérience des Allemands durant l’irrésistible ascension d’Hitler sans bruit en Allemagne, mais aussi en France ou en Angleterre. On pourra négocier avec Hitler …croyaient certains alors. Eh bien non on n’a pas pu…

« Et vous êtes un alarmiste. Vous vous écriez que ceci mènera à cela, mais vous ne pouvez rien prouver. C’est un commencement, mais savez-vous ce que réserve la finalité, et comment elle se présentera ? D’une part, vos ennemis, la loi, le régime, le Parti, vous intimident. De l’autre, vos collègues vous accusent d’être pessimiste ou névrotique. Il ne vous reste que vos amis proches, qui pensent naturellement comme vous l’avez toujours fait.

Mais vous en avez de moins en moins. Certains se sont déplacés, d’autres sont submergés par le travail. Vous n’en voyez plus autant aux réunions et aux sorties habituelles. Les groupes informels deviennent plus petits, et eux-mêmes se désintègrent. Parmi le petit groupe d’amis qu’il vous reste, vous avez l’impression de parler entre vous, d’être isolés de la réalité des choses. Cela ne fait que contribuer à votre incertitude et vous retient davantage — mais de faire quoi ? Il est clair que, si vous décidez de faire quelque chose, vous devez en faire un évènement, et devenez un fauteur de trouble. Alors vous attendez, toujours plus longtemps.

Mais le grand choc, qui fera affluer des centaines, des milliers d’autres dans vos rangs, ne se produit jamais. C’est là le paradoxe.

Si le premier et le dernier des actes affreux commis par le régime étaient survenus en même temps, des millions de personnes auraient été suffisamment secouées et se seraient soulevées — disons si l’extermination de Juifs en 1943 était survenue juste après le placardage d’autocollants ‘Juif’ sur les fenêtres des magasins juifs en 1933. Mais ce n’est pas ainsi que les choses se sont déroulées. Entre les deux, des centaines d’autres actions ont été entreprises, certaines imperceptibles, chacune visant à vous désensibiliser à la prochaine. L’étape C est toujours plus violente que l’étape B, mais si vous ne vous soulevez pas à l’étape B, alors pourquoi le faire à l’étape C ? Et ainsi de suite…

Et puis un jour, il est trop tard ; vos principes, si vous y étiez sensibles, vous sautaient au visage. La déception de vous-même est devenue trop lourde à porter, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, pas plus âgé qu’un bébé, prononçant les mots ‘porc juif’, fait tout s’effondrer autour de vous.

Et puis vous voyez tout, tout ce qui a changé sous votre nez. Le monde dans lequel vous vivez, votre nation, votre peuple, n’est plus celui dans lequel vous avez grandi. Ses formes sont toujours là, identiques et rassurantes, les maisons, les magasins, les emplois, les pauses repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances… Mais l’esprit, auquel vous n’avez jamais prêté attention parce que vous avez fait l’erreur de l’identifier avec la forme, a changé. Vous vivez dans un monde de haine et de crainte, et ceux qui haïssent et qui craignent ne le savent pas eux-mêmes. Quand tout le monde a changé, personne n’a changé. Vous vivez désormais dans un système qui règne sans aucune responsabilité, pas même devant Dieu. Le système lui-même n’y était pas destiné, mais pour survivre, il a dû aller jusqu’au bout »(([5] Quand les Nazis sont arrivés : le peuple qui se croyait libre par Charleston Voice (24hgold.com) )) (([6] L’Histoire se répète parce que la nature humaine ne change pas… Lecture recommandée par Ron Paul.
Un extrait de : They Thought They Were Free The Germans, 1933-45 Milton Mayer, 1955))

CHANGEMENTS PERVERS INSIDIEUX ACCUMULÉS PENDANT DES MOIS OU DES ANNÉES

Alors oui prêtons attention aux changements insidieux que nous acceptons de fait, à chaque fois parce que « pas si terrible » et pas envie de se prendre un LBD dans l’œil. Ce fut l’enfermement et la fermeture des écoles pour frapper les esprits et montrer que la situation était grave(([7] En réalité beaucoup moins grave qu’annoncée par Ferguson dans sa prophétie cataclysmique puisque les suédois qui ont refusé ce mauvais scénario de film catastrophe et n’ont été confinés n’ont pas vu leurs hôpitaux débordés et ne comptent pas plus de morts que nous et ont préservé leurs enfants, leurs travailleurs et leur économie.)), nous séparer de notre famille et amis, puis ce fut l’interdiction de rassemblements de plus de x personnes selon les petits capos locaux trop contents d’avoir un peu de pouvoir. Interdiction aussi sotte que de se promener à deux (souvenez-vous au début du confinement n°1). Une femme promenant ses deux filles dont une handicapée verbalisée parce que 3 au lieu de 2. Et ça a continué, interdiction du surf, des promenades à cheval, de la promenade sur la plage cadenassée. Fin juin alors que l’épidémie était terminée on l’a remplacé par l’épidémie de tests trompeurs qui ne dépistent que des bouts de virus qui ne permettent pas d’affirmer que l’on est porteur de virus actif, ni malade, ni contagieux. Les moutons ne sont pas encore montés dans les camions, mais ils font la queue, sagement masqués, pendant des heures pour un test non significatif pour le virus, mais seulement pour l’obéissance. Et cette épidémie de masques y compris en montagne ou seul dans sa voiture ou sur la plage pendant que les transports en commun parisiens sont bondés.

Chacun peut écrire la suite, de petits faits « supportables » parfois même rigolos … danger du bain de mer seul, de la promenade seul en forêt ou en montagne, verbalisé aussi… Mais soyons lucides, c’est exactement ce que raconte l’excellent Milton Meyer. Alors oui peut-être faut-il prendre son courage à deux mains, rejoindre les manifestations prévues sans peur de l’immédiat, le futur menaçant d’être bien pire si on laisse faire.

Rappelez-vous que la grenouille qui ne saute pas de sa casserole parce que la température augmente doucement finit cuite.

Méditez le poème écrit à Dachau en 1942 par le Pasteur Martin Niemöller

« Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas communiste.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait plus personne pour protester. »

L’histoire se répète parce que l’homme ne change pas. Essayons de faire mentir cette triste évidence.


Notes