Idriss Aberkane dans l’œil de la Secte S.H.A

Par Lucien SA Oulahbib

[Illustratiion : ©Astrid DI CROLLALANZA/opale.photo)]

Quand « l’Élu » s’approche trop de la Matrice imposée en guise de Réel, ses méga machines se mettent en branle, accompagnées d’une nuée d’Agents Smith : ainsi l’Express, méga broyeur d’infos à les transformer en « merdre » façon Ubu se déchaîne sur « Idriss Aberkane » et va lui chercher les noises sur ses analyses cognitivistes en lien avec le développement personnel pour le discréditer plus sournoisement quant à son soutien à ce qui fait encore office de science médicale en France avec le triptyque : expérience, vérification critique, proposition thérapeutique librement consentie.

Car « l’Ex-presse », loin de ses illustres plumes (JJSS Aron, Revel) mitraille au mortier mental mal dégrossi, aux antipodes de cette démarche réaliste, non réservée aux approches scientifiques, au journalisme tout aussi bien comme au temps de Zola, ce « complotiste » avant l’heure bien sûr Dreyfus ayant été accusé par mégarde comme chacun sait. C’est que ce « magazine de référence » aura basculé — comme la plupart des médias officiels dits aujourd’hui » de grand chemin » — dans l’incompétence généralisée s’auto-estampillant « vérificateurs » avec esbroufe et narcissisme, toute une congratulation si boursouflée qu’ils apparaissent plutôt comme des « nettoyeurs » à l’acide médiatique visant à effacer toute trace de rigueur, d’exactitude, adage précieux pourtant de tout prétendant au journalisme (d’un Jack London tout aussi bien).

Que nenni, ma bonne dame ! Voyez d’ailleurs comment au mépris de toute bienséance, avec un orgueil mal placé ils se vautrent encore dans de l’anti-Raoult/Perronne/Fouché/Tubiana primaire, osant encore vanter une injection qui non seulement ne soigne pas, mais détruit à petit feu les plus fragiles dans leur immunité (comme nombre d’études arrivent à l’indiquer, telle celle-ci, tandis que celles prônant des méthodes plus prudentes et vérifiées sont écartées).

Mais foin de « science Mère Ubu ! Pognon pognon et Légion d’honneur grand-croix (n’en jetez !), plus difficile de les épingler sur des beaux tee-shirts noirs à cagoules (le soir on est antifa).