LES « VACCINS » ANTI-COVID PRÉVUS SONT ILLÉGAUX !

04/01/2021 (2021-01-04)

[Sources : Minurne Résistance et coe.int]

L’UTILISATION DE CES MODIFICATEURS DU GÉNOME EST INTERDITE PAR LA LOI

Il s’agit d’une loi européenne de 1997, dite Convention d’Oviedo, du nom de la ville espagnole où elle a été annoncée et présentée. Son article 13 stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite. Beaucoup de pays ont hésité à la signer, craignant que cette disposition entrave leur recherche médicale.

La France l’a ratifiée en 2011 par l’article 1er de la loi du 7 juillet 2011 sur la bioéthique. Elle est opposable en droit interne depuis le 1er avril 2012, conformément aux dispositions de son article 33 §4

Article 1er : Est autorisée la ratification de la convention du Conseil de l’Europe pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997.

Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :

La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir préalablement signé un document donnant la composition détaillée du médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.

Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.

Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.

La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit.

L’Imprécateur
12 décembre 2020


Pour complément d’information :

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (STE n° 164) a été ouverte à la signature le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne).

Cette Convention est le seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Elle établit les principes fondamentaux applicables à la pratique médicale quotidienne et est considérée comme telle dans le Traité européen sur les droits des patients. Elle traite également de manière spécifique de la recherche biomédicale, de la génétique et de la transplantation d’organes et de tissus.

Les dispositions de la Convention ont été développées et complétées dans les Protocoles additionnels relatifs aux domaines spécifiques.

  Traités du Conseil de l’Europe


  Documents connexes


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(8 commentaires)

  1. Heureusement que « toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite »! C’est bien la moindre des choses. Mais le vaccin ARN messager (ou ARNm) ne modifie pas le génome. Vous vous trompez de cible. L’ARN messager ne fait que transmettre la description du virus au cytoplasme de nos globules blancs, sans toucher au noyau d’aucune de nos cellules. Ce faisant, notre système immunitaire fabrique lui-même les anticorps spécifiques requis pour tuer le virus. C’est un vaccin bien plus sécuritaire que les vaccins classiques, puisqu’on introduit aucun virus ou extrait de virus dans notre corps. Son message transmis, l’ARNm s’auto-détruit en quelque sorte, ou plutôt, il se désagrège, car il est très vulnérable à la chaleur. C’est la première fois qu’on l’utilise sur l’homme, mais il n’est pas nouveau: le procédé existe depuis quelques décennies et a été longuement testé sur des animaux. Il est mûr pour une première utilisation sur l’homme. Il reste une inconnue c’est qu’on ignore pour combien de mois ou d’années son effet contre la COVID persistera dans le corps humain. Mais sinon c’est une percée extraordinaire de la médecine moderne, et elle tombe à pic! J’ai bien hâte de recevoir ce vaccin.

    1. Selon la théorie en vogue, l’ARN messager est normalement produit dans les noyaux des cellules par transcription. Les apprentis sorciers qui jouent avec notre matériel génétique ont-ils la moindre preuve qu’un ARN messager étranger ne peut pas intervenir au sein même de ce noyau et affecter par exemple le mécanisme de réparation des brins d’ADN endommagés par diverses causes (notamment des molécules toxiques) ? Ont-ils surveillé en permanence ce qu’il se passe réellement dans les noyaux cellulaires ? Disposent-ils d’un instrument d’observation capable de vérifier cela à l’intérieur d’une cellule d’organisme vivant, en temps réel ? La réponse à ces diverses questions est très probablement « Non ». Or, sans une réponse positive à ces trois questions, nous n’avons en fait aucune certitude ni garantie qu’un vaccin à ARN messager ne contribuerait pas d’une manière ou d’une autre à altérer notre matériel génétique, ceci d’autant plus que la science génétique se base sur des théories qui, comme toutes les autres théories scientifiques, sont susceptibles d’être remises en question par de nouvelles découvertes.

    2. Courez aller vous vacinar, mais ne venez pas pleurer ci rien marche comme vous dites, et pas de indemnisations non plus, parce que vous êtes volontaires.

    3. Oui, mais avez vous pu amener la preuve irréfutable de ce que vous avancez en ayant un accès à la fiole du dis vaccin pour analyse interimaire dans un laboratoire indépendant ?

    4. Bien sûr. Les virus colonisent les cellules des etres vivant depuis des millions d’années. Le COVID-19 transmet lui même son ARN messager aux cellules pour se dupliquer. Si les vaccins pouvaient provoquer cela, le virus modifierai également le génome 🧬. On serait tous des zombis depuis longtemps 🤣🤣🤣🤣

  2. les risques de décéder d’une injection d’ARN messager sont beaucoup plus importants que ceux induits par les virus que l’on prétend vouloir combattre. Le rapport « bénéfices – risques » n’est donc clairement pas en faveur d’un tel dispositif.
    Pour aller plus loin, découvrez les travaux du professeur Dolores Cahill, docteur en biologie et immunologue, chercheuse à l’University College de Dublin, qui, elle, est une véritable spécialiste de ce type d’expérimentation. Ce qu’elle décrit correspond en tous points à ce que, déjà, on a pu observer dans les hôpitaux de Saint-Lô ou de Périgueux, aux USA, au Portugal, en Norvège, en Allemagne, en Afrique du Sud, etc. Objectivement, les faits constatés lui donnent raison. Tout simplement.
    La Réalité ne regarde pas la télévision.

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