Dhimmitude*, Covid-19, climat : la même engeance ignare

Par Lucien Oulahbib

Le niveau bac aujourd’hui en France est grosso modo l’équivalent du certificat d’études avant-guerre avec en plus une moins bonne syntaxe et orthographe à en lire les lettres de nos Poilus. Ce qui fait qu’un doctorat aujourd’hui en particulier dans les Humanités et Lettres atteint à peine un niveau bac avant-guerre. Sauf exception bien sûr où là peut-être le niveau d’une licence est sans doute approché (toujours avant-guerre).

À cela s’ajoute la malignité perverse de gens certes ignares donc, mais dont l’intelligence naturelle mise au service de certains réseaux (et faisceaux sectaires) permet de se hisser tout de même à des postes de pouvoir (instruction et intelligence différant) et, selon les circonstances, vont en abuser lorsque c’est possible à l’encontre de personnes ayant, elles, le bagage requis, mais dont les premiers sentent bien que dans ce cas elles les dépassent de cent coudées surtout si elles ont en plus une certaine classe et intelligence du monde elles aussi. Aussi s’agira-t-il, surtout si elles font preuve d’indépendance d’esprit conforme somme toute à une certaine tradition qui remonte à… Adam et Eve…, de les briser, de les accuser de « charlatanisme », également aujourd’hui de complotisme, de conspirationnisme, même si le fait qu’il y ait des complots est pourtant vrai par ailleurs, mais il sera interdit ne serait-ce que d’y songer, ce qui est le comble évidemment…

D’où l’impossibilité qu’un ex/futur commissaire politique comme un certain Joseph Plenelski puisse comprendre un Raoult à mille coudées au-dessus évidemment (ce qui est dur à avaler évidemment pour quelqu’un qui se croit, toujours, au niveau d’un Marx), d’où le désir de lui chercher les poux en optant pour des accusations puériles dévoilant en réalité cela même que l’on cherche à couvrir. Ainsi alors que nous sommes toujours en phase expérimentale massive totalement illégitime tout en étant couverte par des lois scélérates et dont l’efficacité est d’autant plus quasi nulle que le risque reste infime lorsque la maladie est soignée de façon précoce, l’ami commissaire politique va accuser l’Institut du second d’avoir fait des expériences « sauvages » sur des malades atteints de la tuberculose, ce qui est évidemment faux. Mais plus c’est gros… (idem pour les commissaires politiques confondant météo et climat).

C’est ce que de toute façon ne peuvent pas comprendre ces ignorants qui tout n’ayant jamais été du camp démocratique (marqué par l’esprit fraternel de liberté, soc de l’égalité) n’ont en plus sans doute jamais vu une expérience chimique ou physique de leur vie : lorsque la dose, la vitesse ou la résistance ne sont pas bonnes cela ne MARCHE PAS.

Il en est de même pour les affaires humaines : si les fondamentaux ne sont pas respectés — comme la liberté de penser et d’entreprendre — dans le cadre d’un système politico-juridique à la fois protecteur et flexible, les chances de réussir à « persister dans son être » sont très faibles.

C’est ce que ne comprennent également pas les représentants dits de ladite « communauté juive » en France, qui préfèrent somme toute la dhimmitude(*) au fait de persister à préserver la Nation française dont ils n’ont visiblement cure tant leurs attaques contre Zemmour (contre Trump aussi pour leurs équivalents états-uniens alors que Jérusalem a pu être reconnue par ce dernier…) relatent bien de cette tendance cherchant plutôt la soumission pour éviter « le déshonneur et la guerre » alors qu’au bout du compte…

Et sans aller jusqu’à indiquer que « les Juifs pessimistes ont fini à Hollywood et les optimistes à Auschwitz », les défaitistes ont toujours vanté les mérites de la soumission au Sultan ottoman ou marocain, tandis que les autres acceptant d’être enfants de leur nation d’accueil ont donné des Spinoza, Bergson, Einstein, Simone Weil, Edith Stein… Même Barrès a été obligé de s’en rendre compte durant la guerre de 14…

Cette ignorance (de plus en plus) crasse est telle qu’à l’instar des périodes totalitaires dans lesquels des bandes d’adolescents enfiévrés allaient casser du renégat « en chantant », aujourd’hui des « adulescent(e)s » viennent éructer dans les radios et TV pour clouer au pilori des sommités parce que la Propagande 1984 leur aura par exemple intimé l’ordre de confondre « cas » et « malades » et de ne faire aucun lien (aucun) entre absence de soins précoces, injonctions expérimentales hasardeuses exacerbées et aléas des résurgences épidémiques, ou encore d’insinuer que le 0,90 % d’impact français en matière de gaz à effet de serre serait la goutte d’H20 insupportable, tout en oubliant que sans C02 il n’y aurait plus de végétation sur Terre… et donc d’Humanité (ce qu’ils cherchent sans doute… par cette fuite en avant folle, non plus à l’instar de ces sectes allant se jeter, elles, dans les précipices en conformité à leur doctrine, mais en nous forçant à le faire alors qu’elles restent bien au chaud à nous regarder sombrer chacun petit Titanic individualisé).

Nous nageons donc en plein délire totalitaire de type paranoïaque, prélude aux répressions physiques à venir, déjà en interdisant à la partie adverse de parler, donc en la considérant comme « ennemie » avec laquelle en effet l’on se bat seulement physiquement, la joute « méta » (physique) ne suffisant pas (d’autant qu’ils ne sont pas au niveau, voire supra).

Nous en sommes donc . Le reste n’étant que billevesée.


(*) : Le terme est un néologisme français créé en ajoutant le suffixe -tude à dhimmi, un mot arabe qui signifie littéralement « protégé ». Historiquement, il a été utilisé pour désigner une personne vivant dans une région envahie par les musulmans, à qui l’on accordait un statut de protégé et qui était autorisée à conserver sa foi d’origine en échange du paiement de taxes.
Par généralisation ici, cela peut signifier le fait de se soumettre (notamment aux mesures sanitaires ou à la piqûre) en échange du maintien d’une partie de son confort cette fois physique (et non plus moral, psychique ou spirituel).