Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

[Source : Stop Mensonges]

Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu
l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je
vous fais suivre.

Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.

Régalez-vous !

Eric Müller

PS : Cet article vient de la revue Alternatif Bien-Être et était au départ réservé à ses abonnés. Mais le sujet est tellement important que son rédacteur en chef a décidé de le rendre public. N’hésitez donc pas à le transférer à votre entourage.


LUC MONTAGNIER : L’HOMME À ABATTRE ! par Pierre Lance

Comme tous les gens bien informés le
savent, le complexe pharmaco-industriel mondial (que j’ai surnommé dans
mes ouvrages « le tyrannosaure ») est une véritable mafia qui a mis
toute l’humanité en coupe réglée et qui fait la pluie et le beau temps
au sein de toutes les «Autorités de santé» de dizaines de nations
réputées indépendantes.

Or, en ce qui concerne la santé, ou plus exactement la maladie, aucun
État n’est véritablement libre de ses choix, car la grande majorité de
ses «experts» sont en conflit d’intérêts avec les grands laboratoires,
dont ils sont salariés ou actionnaires. Aussi est-il de plus en plus
urgent que les démocraties, à commencer par la France, veillent à ce que
les décideurs des divers organismes de santé soient totalement
indépendants de l’industrie pharmaceutique, faute de quoi il n’existera
bientôt plus aucune liberté du citoyen en ce qui concerne sa santé et
celle de sa famille. Sous prétexte de le «protéger», des décisions
bafouant délibérément ses droits les plus élémentaires lui seront
imposées.

Un prix Nobel face au tyrannosaure

L’une des plus grandes victoires (que
j’espère provisoire) du « tyrannosaure » a été remportée récemment en
France et en Italie par l’obligation de 11 vaccins infligés à nos bébés,
alors que rien ne pouvait justifier une telle mesure, qui est une
atteinte caractérisée à nos droits constitutionnels. Faut-il que le «
tyrannosaure » soit puissant pour qu’il soit parvenu à circonvenir le
Président Emmanuel Macron, qui fut pourtant élu dans le but de réformer
et fortifier la démocratie française. Toutefois, la guerre des vaccins
n’est pas terminée, et l’on voit de nombreux David saisir leur fronde
afin de terrasser le monstrueux Goliath, empereur des seringues.

Le Pr Luc Montagnier lors d’un congrès à Lindau, en Allemagne

Parmi ces David figure désormais le Professeur Luc Montagnier, Prix
Nobel de physiologie ou médecine, ancien professeur émérite à l’Institut
Pasteur, directeur émérite de recherche au CNRS, ancien professeur à
l’Université de New-York et membre des Académies des sciences et de
médecine. Mais Luc Montagnier étant un esprit libre, qui a toujours
refusé de se plier aux ukases des mandarins conformistes, il a poursuivi
de nombreuses recherches personnelles en sortant des sentiers battus,
ce qui lui a valu de féroces inimitiés. D’autant qu’il a pris fait et
cause pour deux de mes « savants maudits », Mirko Beljanki et Jacques
Benveniste.

Il a même annoncé en 2010 qu’il fuyait le «climat de terreur
intellectuelle» qui sévit en France et il a pris la direction d’un
institut de recherche à l’Université Jiaotong de Shangaï. Mais c’est en
novembre 2017 qu’il a mis le comble à la fureur du « tyrannosaure » en
alertant l’opinion sur les risques liés aux vaccins et en prenant
nettement position, en compagnie du Pr Henri Joyeux, chirurgien
cancérologue, contre la nouvelle loi infligeant aux nouveau-nés 11
vaccins obligatoires.

La presse complice

Dès lors, Luc Montagnier est devenu le
nouvel « homme à abattre » et la mafia médico-pharmaceutique a mobilisé
le ban et l’arrière-ban des mercenaires de la presse conformiste pour
tenter de discréditer Luc Montagnier dans l’opinion publique. La
dernière en date des attaques en règle contre ce grand scientifique est
parue dans « Le Point » (N° 2386 – 24 mai 2018). J’avoue que, jusqu’ici,
je considérais « Le Point » comme un journal sérieux. Depuis ce 24 mai,
il a beaucoup baissé dans mon estime, car il a ouvert ses colonnes à un
article qui déshonore les journalistes qui l’ont commis.

Sous le titre « Mais qu’arrive-t-il au Pr Montagnier ?», deux
folliculaires nommés Thomas Mahler et Violaine de Montclos, à
l’évidence dûment chapitrés par le « tyrannosaure », et dont les
connaissances médicales doivent être proches de zéro, se sont permis
d’aligner un ramassis de moqueries, de rumeurs, de ragots assaisonnés
par une pétition « anti-Montagnier » signée à l’aveuglette par les
moutons de Panurge du corps médical. Les rédacteurs de ce galimatias
nous disent, dès les premières lignes, avoir assisté à la conférence
Montagnier/Joyeux, qu’ils nous présentent ainsi : « Sur la scène du Théâtre Michel, ce 7 novembre 2017, deux personnages donnent (…) une drôle de farce. » 

Ainsi, d’entrée de jeu, le ton est donné : ces deux grands médecins
sont des farceurs, tenez-vous le pour dit. Et ils poursuivent : « Devant un public nombreux qui leur est tout acquis, que prophétisent les deux compères (sic) opposés tous les deux à la vaccination obligatoire ? Un « empoisonnement » général de la populationune «tempête de cytokines» dans le cerveau de nos enfants… (Je
précise que les cytokines sont des substances solubles de signalisation
cellulaire agissant à distance pour réguler l’activité et la fonction
d’autres cellules. Donc, Montagnier et Joyeux ont parfaitement raison :
Il est logique et probable qu’une injection massive de plusieurs vaccins
déclenche un « affolement » des cytokines aux conséquences
imprévisibles.) …et des « corrélations temporelles sérieuses » entre la mort subite du nourrisson et l’injection de vaccins avec adjuvants à base d’aluminium.»

Une interview truffée d’arrière-pensées…

Nos deux plumitifs ont tout de même été
rendre visite à leur victime avant de la flinguer sans sommation et nous
annoncent ainsi l’entrevue : «…Un Luc Montagnier on ne peut plus
sûr de lui nous reçoit dans les bureaux fantomatiques de sa Fondation
mondiale prévention et recherche sida, abritée par le siège parisien de
l’Unesco.» 
J’ignorais que des bureaux pouvaient être «
fantomatiques » et je constate que nos deux rédacteurs du « Point » ont
une approche de la langue française pour le moins approximative.

Ils nous parlent ensuite d’une pétition signée par « plus d’une centaine de membres des Académies des sciences et de médecine » et qui proclame : «
Nous ne pouvons accepter de l’un de nos confrères qu’il utilise son
prix Nobel pour diffuser, hors du champ de ses compétences, des messages
dangereux pour la santé, au mépris de l’éthique qui doit présider à la
science et à la médecine. » 

Or, je précise que l’Académie des sciences compte 262 membres et
l’Académie de médecine 290 (sans compter les membres étrangers). Soit au
total 552 membres, ce qui réduit les signataires de la pétition à la
proportion de moins d’un cinquième des académiciens. Je présume que tous
les autres, qui ont certainement été sollicités, ont refusé d’attaquer
un de leurs pairs sans raison crédible. Mais en outre, le texte de cette
pétition est totalement grotesque. D’abord parce qu’il est absurde de
prétendre que Luc Montagnier « utilise » son prix Nobel dans quelque but
que ce soit. Il est Prix Nobel, point barre, et ne peut avoir aucune
influence sur toutes les personnes qui jugent bon d’en faire état. Quant
aux ahuris qui ont signé ce torchon, on se demande de quel droit ils se
permettent d’interférer dans l’action d’un de leurs confrères qui dit
ce qu’il croit juste et qui parle en s’appuyant sur ses recherches et
ses connaissances, auxquelles ses censeurs n’ont pas accès.

Mais voici que nos deux rédacteurs téléguidés adoptent un autre angle d’attaque et nous disent : « Dans
les années 2000, déjà, il (Montagnier) repêche l’embarrassante théorie
de la mémoire de l’eau popularisée par Jacques Benveniste, que le
découvreur du sida voit comme un «Galilée des temps modernes». En 1988,
cet immunologiste de l’Inserm publiait une découverte qui, d’après Le
Monde, pouvait «bouleverser les fondements de la physique
 ». Après
les annonces sensationnalistes, l’expérience, non reproductible, fait
vite pschitt, et si les milieux complotistes et ésotériques les
encensent, les travaux de Benveniste sont balayés par la communauté
scientifique
. » Là, j’avoue que je reste pantois devant l’ignorance
crasse et la vanité redondante de nos deux gratte-papiers du «Point»,
qui, de toute évidence, n’ont pas la moindre idée de ce dont ils parlent
et se contentent de faire chorus avec tous les pense-petit, les
pisse-vinaigre et les va-d’la-gueule de la prétendue «communauté
scientifique».

Avoir raison ne donne pas bonne presse

Personnellement, je connais très bien
les travaux de Jacques Benveniste, dont les expériences étaient
parfaitement reproductibles (à condition évidemment qu’on veuille bien
se donner la peine d’essayer de les reproduire). Non seulement
Benveniste parvint à établir que l’eau conservait la trace de tout ce
qui la traversait, mais il réussit même à enregistrer ces traces et à
les transmettre par Internet à très longue distance. Seulement voilà,
comme ses travaux donnaient l’explication fondamentale de l’efficacité
de l’homéopathie malgré la disparition de toute substance matérielle (et
donc par un effet de « mémorisation »), il devenait aussitôt « l’homme à
abattre » pour le cartel de la pharmaco-chimie dont l’allopathie
demeure l’irremplaçable vache-à-lait. (Je rappelle que pas un médecin
homéopathe n’est membre de l’Académie de médecine, et que lorsque
celle-ci affecte de mépriser cette thérapie, dont l’efficacité a été
mille fois prouvée, elle se permet de juger une discipline qu’elle n’a
jamais étudiée et à laquelle ses membres ne connaissent rien).

Bref, Jacques Benveniste fut licencié de l’INSERM et privé de tout
soutien et de toute ressource jusqu’à ce que mort s’ensuive. Aussi
doit-on féliciter hautement Luc Montagnier d’avoir le courage de
réhabiliter Jacques Benveniste, car il devient ainsi lui-même la cible
privilégiée des mercenaires du « tyrannosaure ». Son nom vient donc
allonger la liste des excommuniés de l’Eglise du caducée, qui compte
déjà bien des scientifiques célèbres.

Nos deux frelons du «Point», se ridiculisant eux-mêmes sans s’en
rendre compte, ne se privent d’ailleurs pas d’en égratigner quelques-uns
au passage, faisant écho à une prétendue « maladie du Nobel »
diagnostiquée par un pourfendeur américain des « pseudo-sciences » (les
cloportes de la «communauté scientifique» nomment ainsi les sciences
qu’ils ne comprennent pas), notamment Linus Pauling, dont ils n’ont
évidemment pas lu le moindre texte, et qu’ils maltraitent sans vergogne
par ces lignes assassines : «Ainsi Linus Pauling, légende de la physique quantique et double Nobel, qui se fourvoya dans des travaux sur la vitamine C…». 

Or, non seulement Linus Pauling, génie incontestable, ne s’est
nullement fourvoyé, mais c’est grâce à ses expériences que le monde
entier connaît les vertus de la vitamine C (ou acide ascorbique),
substance indispensable aux performances de notre système immunitaire.
Toutefois, la vitamine C (présente dans tous les fruits et légumes et
principalement dans les agrumes) est affligée d’un inconvénient majeur :
elle ne coûte presque rien et ne peut permettre à aucun laboratoire de
faire fortune. C’est pourquoi les spadassins de la mafia pharmaceutique
entreprirent de ridiculiser Linus Pauling et y parvinrent pour une
grande part, grâce à la complicité de journalistes bigleux dont l’esprit
critique était tombé dans les chaussettes. (Toutefois, je suis obligé
de me demander si quelques enveloppes rebondies ne circulent pas dans
les salles de rédaction, afin d’encourager parfois la «bien-pensance».)

Je vous ferai grâce de toutes les autres balivernes qui émaillent ces
trois pages du «Point», dont le seul but est de jeter le discrédit sur
l’un de nos plus brillants chercheurs. On nous dit, et je trouve ça très
amusant, que certaines hypothèses médicales de Luc Montagnier sont «
très controversées ». Parbleu ! Comme si les travaux de tous les
pionniers qui s’aventurent dans les forêts vierges de la connaissance en
traçant leur propre chemin pouvaient ne pas être « controversés » par
la piétaille des conformistes et des médiocres qui ne savent circuler
que sur les autoroutes bien balisées du «scientifiquement correct».
Quoiqu’il en soit, Luc Montagnier et Henri Joyeux viennent d’adresser
une requête au Président Macron pour demander que soit inscrit dans la
Constitution le principe de précaution en matière de santé. Si cette
requête était satisfaite, l’obligation vaccinale généralisée aurait du
plomb dans l’aile, car le moins qu’on puisse dire est qu’elle foule aux
pieds toute précaution envers les enfants fragiles et nos libertés
essentielles du même coup.

Cela dit, je ne veux pas mettre en doute la bonne foi de M. Mahler et de Mme de Montclos, même s’ils se sont laissés trop aisément manipuler par quelques mandarins. Mais je me vois contraint de leur faire un reproche majeur : Leur conscience professionnelle de journalistes aurait dû les inciter, au minimum, à prendre connaissance de tous les arguments scientifiques et médicaux qui ont été développés par les médecins contestataires de l’obligation vaccinale, et notamment ceux du Dr Dominique Rueff, diplômé universitaire de cancérologie, publiée le 15 juillet 2017 (https://www.lettre-docteur-rueff.fr/vaccinations-obligatoires-jai-choisi-camp/).

Enfin je me permettrai d’inciter M. Sébastien Le Fol, directeur de la
rédaction du «Point» et M. Etienne Gernelle, directeur de publication,
dont j’apprécie grandement les éditoriaux, de bien vouloir rappeler à
leurs rédacteurs qu’ils ont un devoir d’objectivité et de loyauté et que
leur travail ne consiste pas à «servir la soupe» à quelque coterie que
ce soit ni à être des «snipers» médiatiques à la solde des ennemis
déclarés de l’un des plus éminents esprits libres de la science
française.

Pierre Lance

Pierre Lance est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages et notamment de la série Savants maudits, chercheurs exclus (4 tomes, 2002 à 2010 – Guy Trédaniel Editeur) qui regroupe les biographies résumées de 48 chercheurs de génie qui furent méconnus, occultés, voire persécutés par la « nomenklatura » scientifique et médicale.

[Voir aussi :