Comment l’État Profond cache les vaccinés morts du COVID

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Le Deep State, nous en avons tous la conviction intime, cache le véritable nombre de décès dus au COVID chez les vaccinés. Intuitivement, nous comprenons pourquoi : pour faire vivre le « narratif » génocidaire du « tout, c’est la faute des non-vaccinés », que des hiérarques paresseux répètent à l’envi, il faut des chiffres établissent sans conteste que le COVID tuent beaucoup plus les non-vaccinés que les vaccinés. Au fil des jours, les comparaisons rétrécissent. Un informateur proche du pouvoir a bien voulu nous fournir son analyse statistique sur la façon dont les services du gouvernement donnent une vision « favorable » des chiffres.

Selon un document interne, également transmis à France-Soir, les analyses de la DREES sont délibérément truquées ou “orientées” pour diminuer intentionnellement les chiffres sur la mortalité du COVID parmi les vaccinés, et pour les gonfler parmi les non-vaccinés. 

Augmenter la mortalité des non-vaccinés, un enjeu essentiel

Nous comprenons tous les raisons pour lesquelles les statistiques tentent de prouver qu’il y a beaucoup plus de non-vaccinés morts, ou malades, que de vaccinés. Tout le “narratif”, comme on dit désormais, sur l’efficacité du vaccin en dépend. 

Il n’en demeure pas moins que les vrais chiffres, c’est-à-dire les chiffres bruts en dehors des proportions et des taux, donnent une vision beaucoup plus nuancée de la réalité que les discours officiels. 

Selon les porte-voix de la caste, en effet, les services de réanimation sont à 80 ou 90% peuplés de non-vaccinés. 

C’est malheureusement (ou heureusement, tout dépend du point de vue) très faux. 

Des réanimations avec 90% de non-vaccinés ?

Dans la pratique, pour le seul mois de septembre/octobre, les vaccinés représentaient un très très gros tiers des lits en réanimation, et la même proportions de décès. 

À cette date, le schéma vaccinal était “tout frais” et les pertes de protection ne se faisaient pas encore sentir. 

Il faudrait reprendre les mêmes chiffres aujourd’hui. 

Toujours est-il que la présentation officielle, qui pondère ces chiffres en rapport avec la population estimée de personnes vaccinés ou non permet des biais “marketing” très différents. Il est en effet possible d’inférer que les vaccinés prennent douze fois moins de risques que les non-vaccinés, sans retenir les éléments extérieurs comme l’âge des personnes. 

Bref, “les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut”. 

Démonstration est faite dans ce document. 

Il n’en reste pas moins que, à la mi-octobre, il n’y avait sans doute pas 90% de non-vaccinés en réanimation, mais beaucoup moins, à un moment où la protection du vaccin était [prétendue, sur la base d’une théorie frauduleuse et d’une autre probable manipulation] la plus forte. 

On comprend mieux pourquoi l’équipe Castex s’efforce de citer des chiffres sans jamais permettre leur vérification.