CO2, géo-ingénierie et couche d’ozone

[Source : Ciel Voilé]

CO2, géo-ingénierie et couche d'ozone
Le professeur Claudia von Werlhof a écrit à Greta Thunberg. Dans cette lettre, Claudia von Werlhof explique que la perturbation du climat mondial n’est pas due au CO2.

Silvia Terribili, a sollicité une interview de Claudia von Werlhof. Elle a eu lieu le 9 avril 2019 lors de l’émission de radio Onda Italiana à Salto.nl.

Traduction française :
Ciel voilé

CvW : La question est de savoir comment nous définissons le changement climatique et sa prétendue cause qui serait le CO2. Le changement climatique, au moins dans le discours officiel, est considéré comme un « réchauffement planétaire » or ce réchauffement planétaire n’existe pas. Les données de la NASA, l’Agence Spatiale nord-américaine, montrent que ces 18 dernières années, il n’y a pas eu de réchauffement planétaire. Ce qui existe effectivement — parce que nous ne nions pas le problème —, ce sont des changements dans différentes dimensions du temps, du climat et plus encore de l’atmosphère, etc. Nous allons expliquer cela davantage dans cette interview. La seconde question est celle du CO2 qui est maintenant très importante puisque tous ces jeunes à présent dans la rue croient en cette histoire et en ce dogme du CO2. Et cela est très étrange, car beaucoup de scientifiques, de vrais scientifiques, nient que le CO2 soit la cause du changement climatique ou qu’il ait la moindre influence sur lui. Par exemple, aux États-Unis, environ 30 000 scientifiques déclarent que le CO2 ne pose aucun problème. Au contraire, le CO2 est un gaz qui provient de matière organique en décomposition dont les plantes ont besoin pour la transformer en oxygène. Ils disent que le CO2 n’est pas du tout préjudiciable au climat et que c’est même quelque chose que nous devons accueillir, dont nous avons besoin pour nos arbres et nos plantes et qui a un effet positif. Donc, ce qui est risible, c’est que le CO2 est souvent présenté comme une saleté, comme s’il s’agissait d’une saleté dans l’air. Ensuite, vous regardez les usines qui sont présentées à cette occasion, vous voyez la fumée qui en sort, etc. Ce n’est pas du CO2 ! Le CO2 est un gaz invisible et ne dégage aucune odeur. Vous ne le voyez donc pas. En général, la quantité de CO2 dans l’atmosphère est d’environ 0,038 % seulement. Ce qui sort des usines est essentiellement de la vapeur, de la vapeur d’eau, à 80 ou 70 % environ. Ainsi, cette infime quantité de CO2 ne peut rien changer d’énorme, tel le climat de la planète. C’est impossible. Donc, tous ces scientifiques qui sont des scientifiques sérieux nient une influence négative du CO2 sur le climat. Il y a même des lauréats du prix Nobel, comme Ivar Giaever, qui l’explique, ou des gens du MIT, du Massachusetts Institute of Technology, comme Richard Lindzen et d’autres. Le GIEC, le Groupement International d’Experts du Climat, fondé à la fin des années 80 du siècle dernier, n’est cependant pas tant une organisation scientifique que politique, et diffuse et vend le mythe du CO2 au public. C’est donc une question politique et du point de vue d’un vrai scientifique, le CO2 n’est vraiment pas nuisible et ne change pas le climat. Il est trop infime pour le faire.

Si vous regardez les origines de ce débat à la fin des années 80, vous voyez qu’avant, tout le monde parlait d’une possible période glaciaire, d’une nouvelle période glaciaire. Lowell Ponte, f. i., a écrit un livre sur « The Cooling ». C’était en 1976. Ils ont parlé d’un refroidissement et d’une nouvelle ère glaciaire contrastant avec le discours sur le réchauffement climatique d’aujourd’hui. Il n’y a plus de débat historique sur l’origine de ce mythe du CO2. Le GIEC a été fondé par des groupes de réflexion, tels que le Club de Rome, le World Watch Institute, les Rockefeller, etc., des personnes qui ont un intérêt différent sur le sujet. Et ils ont trouvé, je crois que c’était une analyse de William Engdahl, qui a dit qu’ils ont trouvé et inventé le mythe du CO2 pour définir un ennemi commun, à savoir l’humanité elle-même. L’humanité est coupable de produire autant de CO2 par l’industrie civile et par la consommation. Cette idéologie peut être utilisée pour une autre, une nouvelle politique. C’est donc là, l’origine du mythe du CO2 et leur propagande dans le monde entier. Puis vint Al Gore et tout le monde l’a cru. Pourtant le contraste entre le changement climatique réel et ce qu’il raconte est saisissant. Cette histoire n’est généralement pas connue. Et les gens ne savent vraiment rien de la nature et de la planète. L’ignorance est générale et le public croit tout simplement en tout.

Il y a beaucoup de changements dans le monde, dans le climat, à bien des égards, comme ceux découverts par Rosalie Bertell (nous en parlerons plus tard) qui a déclaré que nous détruisions notre planète. Mais comment ? Ce n’est pas par le réchauffement climatique, mais par quelque chose de totalement différent. Ceux qui parlent du changement climatique ne la mentionnent même pas. Ils ne voient pas qu’il y a des changements, pourtant il y en a des différents, d’origines très différentes.

ST : Oui, il semble également que les modèles informatiques prédisant un réchauffement climatique catastrophique dans les années à venir soient « paramétrés » et qu’il existe un risque quant à la diffusion des résultats de ces méthodes et modèles. Pouvez-vous dire quelque chose de ces modèles ?

CvW : Ces modèles utilisés par le GIEC sont des modèles informatiques. Leurs résultats ne sont que le résultat de la simulation informatique. Cela n’a rien à voir avec la réalité et ce qu’ils mesurent est ce qu’ils veulent mesurer. Ils mesurent simplement quelque chose comme une production accrue de CO2, mais ils ne tiennent pas compte de la complexité du climat sur cette planète. Ils n’ont aucun paramètre à ce sujet et ils essaient donc vraiment de nous tromper avec ce qu’ils disent à propos d’un changement climatique et d’un réchauffement climatique si énormes. Cela ne se produit pas et cela ne se produira pas à cause du CO2. Donc, ce sont des méthodes étranges, non scientifiques. Il faut dire que ce sont des méthodes politiques qui veulent prouver quelque chose qui n’existe pas. Il n’y a donc aucune raison pour que le réchauffement de la planète dépasse 4 degrés, ce qui est impossible. Du moins, c’est impossible simplement en ajoutant du CO2, en si infime quantité, dans l’air. Vous n’obtiendrez jamais aucun effet et c’est très comique que tout le monde croie ce non-sens. C’est une théorie qui n’a rien à voir avec la réalité et nous devrions rechercher pourquoi cette théorie existe. Donc, c’est la question la plus importante.

ST : Il y a quelque 30 ans, nous étions déjà prévenus que la couche d’ozone protectrice avait diminué. De nos jours, nous ne semblons plus nous préoccuper de l’affaiblissement de la couche d’ozone dans la stratosphère. Comment expliquer cela, car nous devrions nous inquiéter de cet affaiblissement et de ce qui le provoque ?

CVW :
La question de l’ozone, oui. C’est encore une chose très comique
et ce n’est pas drôle du tout en fin de compte, car nous avons
vraiment besoin de la couche d’ozone. Sans la couche d’ozone, il
n’y aurait pas de vie sur terre, car elle nous protège des rayons
cosmiques du soleil, en particulier des rayons UV B et C, très
toxiques. Et il a été découvert que ces radiations descendent
aujourd’hui sur terre, ce que la couche d’ozone empêche
normalement. Mais maintenant, ces rayons passent et c’est une
longue histoire, car il y avait le protocole de Montréal dans les
années 80 qui interdisait l’utilisation de CFC, de tous ces
produits chimiques que vous avez dans les réfrigérateurs, etc.,
parce qu’ils pensaient qu’ils étaient la cause du trou dans la
couche d’ozone. Mais c’était déjà faux à l’époque, car
nous savons que ce qui nuit vraiment à l’ozone, c’est surtout la
radioactivité. Il y a beaucoup de radioactivité dans l’air
puisque l’armée a mené des expérimentations en faisant exploser
des bombes nucléaires depuis les années 40 et 50 jusqu’à la
fin des années 90. Nous avons eu environ 2 200 explosions
nucléaires sur terre et dans l’atmosphère et elles ont produit
beaucoup de rayonnements radioactifs qui détruisent la couche
d’ozone. C’est la principale raison de l’affaiblissement de
cette couche, car la radioactivité détruit l’ozone et l’étouffe,
car l’ozone est une sorte d’oxygène atmosphérique et la
radioactivité détruit cet oxygène. Le problème est de l’ordre
de la suffocation et un effet toxique du rayonnement qui descend sur
Terre lorsque cette couche est détruite ou inhibée. L’année
dernière, les personnes qui mesuraient la couche d’ozone ont
constaté que celle-ci était plus faible que jamais et qu’elle ne
s’était pas rétablie comme l’avait proposé le Protocole de
Montréal. Et ils ont découvert qu’au contraire, il n’existait
pas seulement les trous recouvrant l’Antarctique et l’Arctique —
ce dernier n’existant que depuis Fukushima, puisqu’il n’y a
jamais eu de trou au-dessus de l’Arctique. Et donc
l’affaiblissement de la couche d’ozone existe même dans
l’Arctique, même dans toute la partie nord de la Terre. Ainsi, le
rayonnement toxique ne se produit pas seulement aux pôles, mais
partout, il diminue et détruit de nombreuses plantes et réduit la
vie animale, comme les insectes. Avec la disparition des insectes,
les oiseaux et l’ensemble de la chaîne alimentaire sont affectés
par l’affaiblissement de la couche d’ozone. Dans les océans, le
plancton meurt, ainsi que le krill que mangent les gros poissons.
Maintenant, beaucoup de poissons meurent de faim et les récifs
coralliens sont en train de mourir, comme, par exemple, la Grande
Barrière de corail à l’est de la Nouvelle-Zélande, la plus
grande du monde, qui meurt actuellement, et elle ne se reproduit
presque plus. Les gens disent que c’est parce que les océans se
réchauffent, mais ce n’est pas la vraie raison. Le principal
problème est que les rayonnements toxiques du soleil tombent
également dans l’eau et causent la mort de la vie dans les océans.
Et puis vous avez toute cette radioactivité de Fukushima qui a été
conduite dans le Pacifique pour que la vie dans le Pacifique
s’éteigne et que bientôt vous n’ayez plus aucun poisson. C’est
en quelque sorte très tragique, car Rosalie Bertell avait déjà
écrit son livre « La Terre, la dernière arme de guerre » en
2000. Elle a étudié tous ces problèmes et leur origine, et elle a
toujours mis en garde contre la couche d’ozone, car elle avait déjà
réduit de 10 % à la fin des années 90 et maintenant,
elle continue à diminuer. Et Rosalie Bertell a prédit qu’avec une
réduction de 20 % de la couche d’ozone, il n’y aurait plus
d’agriculture, car les plantes seraient détruites par la toxicité
des rayons UV. Vous pouvez le voir même sur votre balcon lorsque
vous y installez vos plantes. Les feuilles brunissent déjà et vos
plantes ne poussent pas beaucoup au soleil. C’est donc peut-être
le plus gros problème auquel nous soyons confrontés et le résultat
de très nombreux effets qui détruisent la couche d’ozone non
seulement par la radioactivité, mais également par d’autres
instruments et technologies pires que le CO2 ou le réchauffement de
la planète.

ST : Que pouvons-nous dire de la géo-ingénierie et en particulier de l’injection d’aérosols dans la stratosphère qui est l’une des technologies qu’évoque le GIEC comme solution possible au réchauffement de la planète. Qu’en pensez-vous ?

CvW : En raison de cette théorie mondiale du réchauffement de la planète et du CO2, des géo-ingénieurs civils sont maintenant apparus, ce qui n’existait pas auparavant. Maintenant, ils ont leurs instituts de recherche partout et prévoient une solution à ce problème qui est supposé être une « gestion du rayonnement solaire » des SRM ou des SIC qu’ils envisagent d’injecter par aérosols dans l’air afin d’empêcher le soleil de briller et de chauffer la terre. Ainsi, au lieu de supprimer le CO2, parce que cela semble impossible politiquement, ils préconisent cette autre solution pour lutter contre les effets du soi-disant réchauffement planétaire, ce qui empêcherait le soleil de briller trop sur la planète. Le projet consiste donc à injecter des aérosols dans l’atmosphère et, en particulier, David Keith de l’Université de Harvard a mis au point un projet appelé SCOPEX pour ce processus. Dans le cadre de ce projet, il souhaite même injecter dans l’atmosphère de l’acide sulfurique ressemblant à une éruption volcanique et l’appelle effet Pinatubo parce que le Pinatubo est un volcan qui a explosé en 1991 et que les cendres et ce qui est sorti ont eu pour effet d’abaisser les températures. Et maintenant, ils essaient d’imiter cet effet en ajoutant de l’acide sulfurique dans l’air. Récemment, David Keith, ce professeur de l’Université de Harvard, a même déclaré que des dizaines de milliers de personnes en mourraient, au moins parce que cela signifierait que des acides retomberaient sur terre en y détruisant toute vie. J’estime que ce sont des expériences folles qu’ils préparent, et cela vaut pour les géo-ingénieurs civils et le plus drôle avec ce mouvement de géo-ingénieurs civils est qu’ils ne parlent pas du contexte militaire de toutes ces technologies qu’ils propagent maintenant. Et tous ces mouvements sur le changement climatique, etc. ne le savent pas non plus. On nie simplement que ce sont des expériences militaires que nous connaissons déjà, car depuis 30 ans, il y a des pulvérisations régulières d’aérosols dans l’atmosphère, donc tout cela se produit déjà. Je veux dire que la gestion du rayonnement solaire SRM n’est pas nouvelle. Nous l’avons déjà sous forme de pulvérisations de baryum, d’aluminium et d’autres substances très nocives pour la vie et l’agriculture. Monsanto, par exemple, a inventé une graine résistante à l’aluminium, imaginez. Ainsi, de telles choses se produisent et les gens s’y opposent, mais ils ne voient pas que ces expériences sont déjà une réalité, car elles font partie de la géo-ingénierie, de la géo-ingénierie militaire, qui existe depuis environ 70 ans. Il s’agit d’un projet de la Seconde Guerre mondiale dans lequel les militaires ont inventé le nucléaire en tant qu’arme de guerre et, après le nucléaire, d’autres armes comme celle du contrôle des conditions météorologiques. Comme Rosalie Bertell l’a dit, ils ont inventé les guerres climatiques, la géo-ingénierie et les armes à plasma, des armes électromagnétiques utilisées et émises par des chauffages ionosphériques. Il s’agit d’une technologie très spéciale presque inconnue, basée sur les inventions de Nicola Tesla, inventeur et ingénieur aux XIXe et XXe siècles. Il s’agit donc d’une technologie spéciale peu connue, comme HAARP en Alaska, qui est l’un de ces chauffages ionosphériques fonctionnant avec des ondes électromagnétiques. Ces ondes sont produites artificiellement et atteignent environ un milliard de watts. Elles sont projetées très haut dans l’ionosphère pour produire certains effets qui les renvoient vers la Terre. C’est une technologie très très dangereuse qui peut également être utilisée pour produire toutes sortes de catastrophes naturelles telles que, par exemple, des tsunamis ou des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou le changement de temps dans des régions entières, ou des ouragans, des sécheresses, les incendies et les inondations, et même changer les courants océaniques. Ce sont des technologies qui ne sont pas discutées en public, mais qui existent déjà depuis la guerre du Vietnam. Elles ont été inventées à cette époque et la Convention des Nations Unies sur les modifications de l’environnement, la fameuse convention ENMOD de 1977, explique ces armes, les effets qu’elles peuvent avoir lorsqu’elles sont utilisées. Donc, ce n’est même pas un secret et cela fait des décennies qu’elles ont été inventées et sont en cours d’expérimentation, et c’est comme une guerre menée contre la Terre et la planète telle un être cosmique immense dont nous dépendons. C’est très très dangereux et c’est exactement Rosalie Bertell qui nous a expliqué le fonctionnement de ces technologies, notamment en tant qu’armes de destruction massive électromagnétiques post-nucléaires. Ces chauffages ionosphériques se trouvent maintenant partout.

ST : Qu’est-ce qu’un chauffage ionosphérique ? Pourquoi l’utilisent-ils ? Quel est son but ? Nous ne comprenons pas puisque selon eux il y aurait un réchauffement climatique, ils ont dit qu’il y avait un réchauffement climatique. Donc, ils chauffent quand même l’ionosphère, mais c’est fou !

CvW : Ils chauffent l’ionosphère, la partie de l’atmosphère qui s’étend entre 80 et 800 km. C’est une partie de l’atmosphère électrifiée et quand ils y envoient les ondes électromagnétiques, ils la chauffent parce qu’ils chauffent l’ionosphère, cette partie de l’atmosphère, ils peuvent manipuler ces rayons électromagnétiques pour qu’ils redescendent sur Terre, en faisant une courbe. Ils peuvent travailler avec un angle et, comme l’a dit Rosalie, c’est comme un canon dirigé depuis l’ionosphère contre la Terre et quand ce rayon redescend sur Terre, il est terriblement destructeur. Ces rayons peuvent même traverser le noyau de la Terre.

ST : Mais cela chauffe aussi, alors c’est complètement fou puisqu’on a trop de réchauffement et qu’on en envoie…

CVW : Parce que le réchauffement est là-haut. Ce n’est pas ici. S’il y a un réchauffement, c’est là-haut. La NASA n’a pas constaté de véritable réchauffement de la terre en général, mais vous avez différentes régions du monde qui se réchauffent ou se sont réchauffées, comme les pôles, les régions polaires et les montagnes où se trouvent les glaciers qui fondent. Cela n’a rien à voir avec un réchauffement global dû au CO2. Certains d’entre eux sont certainement des effets de l’utilisation militaire des chauffages ionosphériques. Par exemple, en 1974, un traité a été signé entre les États-Unis et l’Union soviétique, l’accord secret de Vladivostok, aux termes duquel ils prévoyaient de réchauffer l’Arctique parce qu’ils voulaient que la glace disparaisse pour atteindre le pétrole sous l’océan au Nord, et ils ne pouvaient pas y arriver à cause de la glace. Aujourd’hui, la moitié de la glace arctique a déjà fondu, parce qu’ils ont utilisé des ondes électromagnétiques. Les ondes ELF, qui sont des ondes d’extrêmement basses fréquences, ont décongelé l’Arctique de cette manière. Cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique, mais avec cette technologie militaire.

ST : Pour en revenir à la géo-ingénierie, à la gestion du rayonnement solaire, avons-nous des preuves du programme ? Je veux dire, nous voyons tous ces types de traînées dans le ciel et le ciel est complètement recouvert parfois par ces traînées. Elles persistent, restant tout le temps. Que pensez-vous de ce phénomène ?

CVW : Il s’agit d’une technologie militaire plus ancienne qui a récemment été mise en œuvre il y a environ 30 ans. Cela a commencé dans les années 90 et, par exemple, vous avez des effets dans des régions comme Shasta en Californie. Ils ont été fortement pulvérisés par des aérosols. C’est comme l’agent Orange qui a été pulvérisé sur le Vietnam, un produit toxique de Monsanto, c’est pareil. C’est toxique et, par exemple, dans cette communauté de Shasta, dans le nord de la Californie, la terre ne produit plus, tout le monde est malade et les animaux et les plantes meurent. Ils ont reçu une telle quantité de produits toxiques, d’aérosols qui tombaient du ciel, et après les avoir analysés, ils ont organisé un grand événement, il y a quelques années pour protester publiquement contre les pulvérisations. Néanmoins, les mouvements alternatifs et sociaux n’acceptent pas — même le groupe ETC, ce qui est très important à cet égard — que cela soit déjà en cours, ce qui est pourtant une réalité pour les personnes touchées. Ils nient que les SRM soient déjà utilisés et ne discutent que des mauvais effets que cette méthode aurait sur nous. Ils sont donc contre, mais ils nient que ces méthodes soient déjà utilisées partout. Bien sûr, c’est ce que vous voyez dans le ciel, et j’ai fait quelques recherches pour savoir pourquoi ils le font, car les militaires ne s’intéressent pas au mythe du réchauffement climatique. Ils nient même le réchauffement climatique parce qu’ils sont davantage au courant.

ST :
Alors, ils le font ?

CVW : Oui, ils le font, ils sont plus informés, comme Trump qui l’a appris des militaires. Mais j’ai découvert qu’ils n’étaient pas intéressés par la question du réchauffement climatique. Ils le font en raison de l’appauvrissement de la couche d’ozone, S’il y a un trou dans la couche d’ozone ou une faiblesse, ils ne peuvent pas transmettre leurs ondes électromagnétiques. Ils ont besoin de ce que j’appelle une atmosphère de remplacement. Ils ont besoin de pulvériser des aérosols en tant que conducteur, ils ont besoin d’une atmosphère conductrice et les trous ne le sont pas. C’est la raison pour laquelle ils utilisent autant de métaux lors de la pulvérisation, des métaux lourds comme le baryum et le strontium et l’aluminium, qui n’est pas un métal lourd, mais ils sont tous conducteurs pour les ondes électromagnétiques. Récemment, j’ai découvert une femme qui s’appelle Schmitt et qui vit au Vénézuéla. Elle a analysé ces pulvérisations comme étant protectrices contre le cosmos, une sorte de cage de Faraday, produisant une sorte de grille autour de la terre pour la protéger des radiations, ce qui a également à voir avec l’appauvrissement de la couche d’ozone. La couche d’ozone est vraiment la question centrale qui doit nous alarmer, car c’est le moment de vérité. Si nous ne pouvons pas empêcher que de telles choses se produisent, cette destruction se produise, nous mourrons dans 20 ou 30 ans.

ST – Mais dans la version officielle, personne ne parle de l’appauvrissement de la couche d’ozone.

CVW :
Non. Il y a eu une alarme l’année dernière, un collègue aux
États-Unis, Marvin Herndon, qui effectuait des recherches sur cette
question avec ses collègues, et qui les a publiées. Il a prouvé
que l’appauvrissement de la couche d’ozone entraînait l’arrivée
de radiations toxiques sur la Terre. Et il a découvert que la NASA,
l’Agence spatiale nord-américaine, avait déjà obtenu le même
résultat en 2007. Et ils n’ont rien fait. Ils le savaient déjà à
ce moment-là, mais ils n’ont rien fait, car les militaires
estiment pouvoir faire tout ce qu’ils veulent. S’ils en avaient
besoin, ils inventeraient une nouvelle couche d’ozone. C’est ce
qu’ils pensent. Ils pensent qu’ils ont…

ST : Une solution technique

CVW : Oui, et ils pensent qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent et empêcher que des choses ne se produisent. Mais après toutes ces explosions nucléaires dans l’atmosphère et dans l’ionosphère et dans les ceintures de Van Allen qui ont détruit des parties du champ magnétique de la terre, elles ne pourraient jamais remplacer ou guérir le champ magnétique ni l’atmosphère. Ils ne pouvaient rien faire à ce sujet. Ils l’ont détruit et il est détruit. C’est l’une des raisons des changements météorologiques. Donc, il y a beaucoup de raisons très complexes pour lesquelles les choses se passent. Par exemple, vous pouvez même utiliser les ondes électromagnétiques émises par les chauffages ionosphériques pour déplacer le Jet qui consiste en des vents rapides entourant la Terre, créant ainsi une frontière entre le chaud et le froid. Donc, si vous les déplacez vers le nord, vous avez la chaleur du sud au nord et lorsque vous les déplacez vers le sud, vous avez le froid de l’Arctique au milieu de l’Europe…

ST : Ils influencent fortement le climat et la météo

CVW : Avec ces technologies, vous pouvez presque tout faire et modifier les flux de vapeur qui constituent les flux humides de la Terre. Vous pouvez transporter l’humidité en Arabie par exemple. C’est l’une des plus grandes entreprises d’aujourd’hui, car ses habitants ont besoin d’eau et vous pouvez simplement transporter l’eau d’ici là. Ainsi, même la neige tombe dans le désert du sud de l’Arabie. Ce sont toutes des manipulations, des manipulations météorologiques, des manipulations climatiques. Personne n’en parle, mais cela se produit constamment. Et un autre effet de l’atmosphère pleine de métal est son assèchement, de sorte que nous avons beaucoup moins de pluie en Europe, par exemple, ce qui n’a rien à voir avec un réchauffement ou du CO2.

ST : En Italie, il y a la sécheresse.

CVW : L’Italie est en train de sécher. Vous avez ensuite des incendies qui sont également provoqués, non seulement à cause du temps sec, mais également des armes à énergie directe et des armes à laser. Vous pouvez donc produire ces incendies comme ce qui se passait au Portugal, en Australie et en Californie. Ils n’ont rien à voir avec les incendies de forêt et ils ne détruisent pas les plantes, ils détruisent les bâtiments. C’est comme si une guerre était passée là. Toutes ces choses sont discutées comme étant le résultat du réchauffement climatique et du CO2. Cela n’a rien à voir avec ça. Toute cette question du CO2 et du réchauffement de la planète est utilisée pour distraire les gens de ce qui se passe réellement, afin qu’ils ne voient pas ce qui a été commis contre la planète, l’atmosphère, la météo, etc., afin qu’ils ne regardent pas parce qu’ils pensent que tout cela est du réchauffement climatique.

ST : Malheureusement, nous devons presque arrêter l’émission, mais j’aimerais vous poser une nouvelle question. Du 23 au 26 mai, nous aurons des élections européennes à venir. Que pouvons-nous faire en tant qu’Européens soucieux d’inscrire l’ingénierie climatique et tous les risques connexes dans l’agenda électoral, car nous attendons des institutions européennes qu’elles protègent les 300 millions de citoyens des risques liés à ces technologies extrêmement dangereuses. Que pouvons-nous faire ?

CVW : Ce que nous avons fait, informez les gens. Nous venons de publier un livre. Cela s’appelle « Global Warning! » — ne pas réchauffer, mais avertir. Cela va paraître bientôt. Dix femmes expliquent leurs recherches sur ce dont nous parlons maintenant et cela sera publié par Talma Studio International à Dublin. Donc, je peux le recommander. Le problème est que les gens ne savent rien de ce qui se passe autour d’eux et ne sont pas informés même si cela est possible. Le livre de Rosalie Bertell existe dans la 4e édition en allemand, il existe en italien, français et espagnol. Tout le monde peut le lire et beaucoup de gens ont commandé la 4e édition maintenant, elle a été imprimée 15 000 fois. Quelqu’un aurait dû le lire, mais les gens n’en parlent pas. Les partis qui se présentent aux élections n’ont rien à voir avec tout cela. Les Verts devraient être les plus intéressés par cette question, mais ils ne le sont pas. Nous devons regarder derrière le programme de lutte contre le changement climatique. Il doit y avoir quelqu’un qui veut que les gens soient distraits, organisés autour d’autres problèmes. Vous avez tout le mouvement Smart City et 5G, la « technification » [fait de rendre technologique] de la société, et une sorte de politique de réduction contrôlée de la production et de la consommation. C’est comme l’agenda de dépopulation de certaines personnes qui semble être lié à cela. Je pense qu’il y a d’autres projets politiques, le Nouvel Ordre Mondial et les intérêts qui le sous-tendent. Le CO2 n’est que le bouc émissaire pour empêcher les gens de les regarder. Les Verts, par exemple, sont totalement impliqués dans ces projets d’économie dite « verte », mais elle ne l’est pas. Ce n’est pas une économie verte. C’est une économie fondée sur les armes que nous voyons approcher. Je ne vois pas la gauche, elle n’a aucun intérêt pour l’ensemble de la question, car elle se préoccupe du progrès et du développement, disons-le ainsi. Nous avons besoin d’une critique de ces technologies. Je l’appelle alchimie militaire ce que nous avons maintenant. Mais la gauche n’est pas intéressée par cela, et les autres partis, en tout cas, pas du tout non plus. Donc, je ne sais pas qui va être intéressé du point de vue des parties. Les gens ne sont pas informés, ils ne s’informent pas et les gens qui en parlent sont traités des théoriciens du complot, etc. Comment s’y prendre pour changer, pour ne plus croire en ces idéologies d’en haut afin de voir ce qui se passe réellement ? Comment des personnes comme Greta peuvent-elles s’informer sur la réalité ? Elles devraient savoir ce qui se passe réellement et non ce qui est supposé se passer. C’est le problème. C’est pourquoi j’ai écrit la lettre à Greta Thunberg pour l’informer et, comme je sais, elle a même finalement reconnu qu’il existait un problème militaire, mais pas celui dont nous discutons, celui de la géo-ingénierie militaire.

ST : Est-ce qu’elle vous a répondu ?

CVW :
Non, bien sûr que non. Comme il y a un grand mouvement derrière
elle, le mouvement du CO2 est derrière elle, bien sûr. Il y a eu
des projets : il y a 7 ans, nous avons déjà discuté de la
manière de mobiliser les jeunes. Ce n’est pas simplement une
entreprise du peuple, mais une campagne organisée de l’autre côté.

ST : Claudia, nous devons nous arrêter malheureusement, mais nous présenterons votre livre au moment de sa parution et peut-être que nous pourrons présenter le livre de Rosalie Bertell une fois de plus, car notre tâche est d’informer les gens. Nous faisons ce que nous pouvons pour informer les gens.

CVW : Peut-être pouvez-vous le traduire pour l’Italie et les Pays-Bas.

ST : Oui, malheureusement, je dois m’arrêter, mais je vous remercie beaucoup d’être avec nous ce soir et j’espère pouvoir vous parler à nouveau.

CVW : Merci beaucoup. Bye Bye.

Transcription de Linda Leblanc, avec corrections formelles de l’entrevue du 9 avril 2019

Biblio-note :

  • Rosalie Bertell : Kriegswaffe Planet Erde, 4e éd., Gelnhausen 2019, J.K. Fischer
  • Rosalie Bertell : Pianeta Terra. L’ultima arma di Guerra, Trieste 2018, Astérios
  • Rosalie Bertell : Planeta tierrra, La nouvelle guerre, Guadalajara 2018, La maison du mag
  • Rosalie Bertell : La Planète Terre, ultime arme de guerre, Tome 1, Paris 2018, Talma Studios

Michel Chossudovsky : https://www.globalresearch.ca/does-the-us-military-own-the-weather-weaponizing-the-weather-as-an-instrument-of-modern-warfare/5608728

Claudia von Werlhof (Ed.) : Avertissement mondial! La géoingénierie détruit notre planète, Dublin 2019, Talma Studios International (à paraître)

NOTE de Claudia von Werlhof : Je dois remercier Linda Leblanc qui a transcrit et fait don de son travail au Mouvement planétaire pour la Terre nourricière !!!