Ces orcs néonazis sont bien sûr sans scrupules (Guadeloupe, mamans louves, Livre noir, légitime défense…)

Par Lucien SA Oulahbib


La morgue, crasse, des orcs néonazis est de mieux en mieux connue, tel ce dénommé « Yassine Bellatar » qui séquestre un journaliste de Livre Noir parce que ce média aura osé faire son métier, sans Ausweis, dans des contrées que l’orc néonazi Bellatar juge « siennes », au même titre que le « 18e » dans lequel il tente (tel Hitler dans les bars de Munich en 23) d’ameuter ses meutes d’orcs néonazis avides de prendre (tout) le pouvoir parce qu’ils auraient la bonne couleur de peau, la bonne religion, surfent sur le bon discours (« en marche », bien qu’enlisé) et aiguisent en permanence leurs dents (blanches) si longues qu’elles rongent d’impatience le parquet… d’en dessous, le leur étant insuffisant tant ils suintent de cette furie envieuse qui façonne les pavés de la guerre d’extermination comme le promet littéralement l’orc néonazi Bellatar si l’on prend au sérieux les dires du journaliste de Livre Noir ainsi assailli.

Toute cette « pensée » ultra-narcissique de psychopathe hyper violent suinte donc de plus en plus. Il s’agit de toute une morgue crasseuse également repérable dans tous leurs misérables petits propos méprisants à souhait, ici face à la juste lutte des Guadeloupéens, là contre ces mamans louves qui défendent nos petits, là-bas à propos de l’acquittement de ce gamin américain qui a osé (se) défendre alors qu’il voulait protéger sa ville injustement incendiée à la suite d’une arrestation musclée d’un violeur pédocriminel récidiviste (voir la réaction d’Amala à 15,55). Il était attaqué par trois orcs dits « antifa » (la blague), frappé à la tête avec un skateboard et, surtout, était sous la menace d’un revolver (voir la réaction de Ted Williams à 0’55).

C’est que ces orcs n’ont aucun scrupule, bien sûr, et lorsqu’ils ont un revers, une résistance, ces néonazis, désireux de voir dominer leur race supérieure anti-blanche, anti-française, anti-occidentale, et piétinant pour ce faire toute notion de liberté (en particulier le droit à la critique), nient violemment évidemment la réalité autre que la leur parce qu’ils veulent imposer uniquement celle-ci, ce simulacre pour les bœufs : ou comment construire du faux en carton-pâte pour les autres (eux vivant normalement la vraie vie) tout en osant dire non seulement qu’il s’agit du réel, mais du seul possible, du seul pensable (tuant les récalcitrants de mots balles comme « complotiste », « conspirationniste », « extrême droite »).

Ces orcs néonazis s’affublent même de divers visages « humains » (Hitler aimait les chats et était végétarien), alors que leur but reste identique aux spécificités fascistes, nazies, léninistes : v(i)oler la piétaille, olé olé, en son nom, ce qui est plus jouissif (pour ton « bien », ma petite). Plus ce mensonge, criminel, est gros, plus il passe, jusqu’à heurter toute raison que leurs descendants d’aujourd’hui prétendent défendre en « franc-tireurs », alors qu’ils lui font honte tant tout n’est pour eux que « simulacre et simulation », telle cette fausse injection hygiéniste (aucun virus, même peu létal, ne doit subsister) et dont le « rappel » est pourtant ordonné (employant ainsi le vocable des vrais vaccins : « rappel »).

Le troupeau des moutruches et des mascocéros s’y attelle, au sens littéral, heureux même de servir avec la muselière ses nouveaux maîtres qui à l’instar d’autrefois et depuis la nuit du 5 août 2021 (annulant celle du 4 août 1789) plastronnent, festoient à l’air « libre » (congrès des maires, soirées à l’Élysée, restaurants clandestins lors des confinements) alors que les nouveaux serfs les servent après avoir été entassés comme des bestiaux dans les transports dédiés, et tatoués non plus seulement par eux-mêmes, mais par cet État de plus en plus néonazi au sens de ségréguer non seulement les purs (injectés) des impurs, mais aussi ayant la bonne couleur de peau et le bon sexe « iel » porte de plus en plus ouverte aux actuelles manips génitales et hormonales faisant suite aux nouveaux sacrifices humains que sont les avortements dits de « détresse », sans parler des enfants sans « père » ni « mère », ces notions dépassées (le Président Macron sortant de sa fonction pour en faire la promotion — vendeur multicasquettes — à une représentante d’une association familiale) comme si le βίος ne charriait que de la chimie et de la physique organique (Joseph Nuttin, Théorie de la motivation humaine, 1980, pp.166, 215).

Mais les moutruches et les masquocéros acceptent cet état de soumission/dhimmitude (le masque comme voile et muselière postmoderne vantée dans les romans à l’eau SM), acceptent que des églises soient fermées dans les pays musulmans et ferment les yeux sur le fait que des deniers publics servent à la construction de mosquées sans même exiger donc de réciprocité, du moment qu’ils peuvent aller s’abreuver, se restaurer, s’abrutir dans les mangeoires attitrées en montrant l’Ausweis comme s’il s’agissait d’une médaille, d’un diplôme, d’un bon point et tableau de déshonneur (à la mode churchillienne pourtant).

Et puis il y a pis.

En Guadeloupe par exemple, mais aussi au sein de cette Commission européenne qui veut fourguer en Afrique les doses d’injections que personne ne veut plus tant les effets secondaires sont désastreux. Il apparaît alors le vrai racisme de ces orcs néonazis, celui de se dire : « après tout, ces Africains et ces guadeloupéens, ne savent rien ce sont des sous-développés, forçons-les à écarter leur médecine ancestrale, voire enfermons, traquons les médecins qui prônent les traitements précoces (qui font pourtant leurs preuves) puisque nous, orcs néonazis à la solde de la Secte globale hygiéniste scientiste affairiste, nous savons tout… » Tout en disant le contraire bien sûr…

Ainsi « l’Impérialisme » chassé soi-disant par la porte revient par la fenêtre en montrant sa patte sanitaire mâtinée d’écologie. Il incite à la sobriété et à la frugalité à longueur d’émissions « opium des peuples », alors que cette Secte, dans sa vraie vie, se délecte d’orgies à faire pâlir un Caligula sans parler de Néron jouant de la lyre, tel Macron qui sournoisement conseillait d’aller au théâtre en janvier/février 2020 alors qu’il savait pertinemment qu’il allait sonner la charge un mois plus tard (sa ministre de la santé clouant l’antiviral bon marché au pilori deux mois plus tôt suivant les directives globales mises en place dès l’automne 2019). Celui-ci joue ainsi en même temps les rôles de flic gentil ET de flic méchant et, continuant toujours dans l’horreur à l’heure présente, il massacre toute une enfance de plus en plus détruite (à entendre les praticiens), les « mamans louves » (« maman », terme honni par ces néonazis ). La « viande » enfantine est réduite elle aussi à son devenir de bétail au sexe simulacre « iel » que ces orcs voulaient même (se)farcir avant 15 ans (ne le fait-on pas dès neuf ans dans certaines contrées ?) s’il n’y avait pas eu le réflexe électoraliste de survie d’usage.

Et dans ce déluge incessant d’images apparemment sans scénario, ceux qui tiennent la caméra et le projecteur savent eux où ils vont : vers l’inédit d’une extermination globale de ce qui fut autrefois cette fameuse « émancipation du genre humain », cette berceuse contée naguère par les Mélenchon de l’époque en racontant la Sagesse de l’Antiquité, le Moyen-Âge des cathédrales, la liberté de la Renaissance, l’émergence de l’Universel apportant la Lumière du Savoir au Monde, toutes ces billevesées calant aujourd’hui les bureaux devenus inutiles de la Technocratie feuilletonesque de plus en plus au service de la junte des orcs néonazis au pouvoir et aspirant à garder in(dé)finement ce dernier.

L’Ordre des Orcs néonazis veille. Oyez, oyez ! Circulez, il n’y a rien à voir, juste à obéir pour avaler le grain de leurs injonctions sous forme d’injections diverses et (a)variées.