Les mensonges professionnels : un outil d’auto-génocide de l’individu et de l’Humanité

Par Patriarcat Catholique Byzantin


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« Le diable est un menteur et un meurtrier ».

(Jn 8, 44)

« Et ce n’est pas étonnant ! Car Satan lui-même se transforme en ange de lumière. Il n’est donc pas étonnant que ses ministres se transforment eux aussi en ministres de justice, dont la fin sera conforme à leurs œuvres ! »

(2Cor 11:14-15)

Leur fin sera en enfer !

« Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ».

(Ap 22:15)

À qui sert Internet, Google, les réseaux sociaux et les médias de masse ? À l’Esprit de vérité, ou à l’esprit du mensonge ?

Les créateurs des médias sociaux disent que publier la vérité est ennuyeux pour les gens. Les gens veulent entendre des mensonges. Ils ont admis publiquement que c’est la raison pour laquelle le rapport entre la vérité et le mensonge dans les médias est de 1 contre 6. Cependant, ceux qui ont reçu le mensonge comme étant le leur, le considèrent comme la vérité et ne veulent pas admettre qu’ils ont été trompés. De plus, ils diffusent même ce mensonge comme étant la vérité. Les grands médias d’aujourd’hui, et en particulier Internet, sont contrôlés par ceux qui servent l’esprit de mensonge et de mort. L’ensemble du système antichrétien actuel est construit sur un mensonge. L’Écriture prévient :

« Le malin viendra avec la puissance de Satan… Il usera de toute espèce de tromperie diabolique pour tromper ceux qui sont sur la voie de la perdition, parce qu’ils refusent d’aimer et d’accepter la vérité qui les sauverait. Et c’est pourquoi Dieu les livrera à la puissance de la tromperie, et ils croiront au mensonge ».

(2Th 2:9-11)

Cet avertissement s’applique également à l’Église catholique actuelle, qui n’aime ni ne sert la vérité. Au contraire, elle promeut et aime les hérésies et les mensonges grossiers, comme nous le voyons avec l’actuel pseudo-pape François et ses adhérents corrompus dans la hiérarchie qui est concentrée au Vatican et en Allemagne.

Une loi spéciale agit sur l’homme : même s’il a été trompé mille fois, il continuera à croire aux mensonges. En revanche, il doutera toujours de la vérité, et s’il est obligé de souffrir pour elle, il s’en offusquera et la rejettera. Pourquoi ? Parce qu’il est préoccupé par son propre ego, qui est la source du mal. Le cœur du premier homme a été infecté spirituellement par le père du mensonge (cf. Jn 8, 44), le serpent infernal (Gn 3, 13). La personne qui est sous l’influence de l’ego ne veut pas que la Vérité incarnée la délivre du mensonge et lui accorde la vie éternelle. Elle ne veut même pas admettre que le mensonge avec lequel elle s’est unie lui fait du mal non seulement à elle, mais aussi aux autres. L’homme est fortement enclin au mensonge et à l’auto-illusion. Il défendra jusqu’à la mort ceux qui le flattent et le trompent, et haïra ceux qui lui disent la vérité.

Comment est-il possible qu’il y ait des lois aujourd’hui selon lesquelles des enfants peuvent être volés à n’importe quelle famille ? Jusqu’à tout récemment, si un enfant était volé à ses parents, une recherche mondiale était lancée immédiatement. Si le criminel était retrouvé, il recevait la punition la plus grave. De plus, comment est-il possible que l’on ne puisse pas dire, à partir des textes des nouvelles lois, qu’ils ont intégré le crime programmé ? Même les meilleurs avocats ne sont pas en mesure de le détecter, et diront très honnêtement : « C’est une excellente loi ». En fait, cette loi possède un programme de criminalité codé.

L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a refusé de signer cette loi dotée du titre manipulateur « sur la protection sociale et juridique des enfants », que l’ONU a tenté d’imposer pendant trois ans. Les médias l’ont présenté comme un cynique qui ne se souciait pas des enfants, ni même des orphelins. Mais il protégeait en fait les enfants. Il savait très bien ce que contenait cette loi insidieuse, c’est pourquoi il s’y est opposé à plusieurs reprises. Mais il était impuissant contre la campagne médiatique. La loi a finalement été appliquée. Quel système insidieux de mensonges ! Si un avocat avertit ouvertement contre les abus de la loi, ces abus ne sont toujours pas stoppés et cet avocat sera soumis à une persécution. L’un après l’autre, les États adopteront ensuite la loi malveillante. Comment peut-il être possible qu’un véritable mot d’avertissement contre le crime n’ait pas de force ? La question du vol des enfants n’est-elle pas la chose la plus sensible ?

La nouvelle législation internationale, avec ses conventions, ses résolutions et ses recommandations, défend fanatiquement les privilèges pour toutes les orientations sexuelles possibles. Ceux-ci incluent désormais non seulement les homosexuels, mais aussi les pédophiles, les transsexuels, les zoophiles, les sadomasochistes et les meurtriers sexuels. Une de ces personnes ayant cette soi-disant orientation sexuelle innée a tranché la gorge de plus de cinquante femmes. Néanmoins, ces personnes déviantes sont toujours considérées comme des victimes innocentes et lésées. Cette fausse opinion publique a été créée exprès. Celui qui les appelle par leur nom propre sera puni en tant que « -phobe » criminel. La loi permet désormais à une personne d’être poursuivie pour de simples soupçons selon lesquels elle pense de manière critique par rapport à un sodomite, une personne transsexuelle ou « Q » (queer). Sous ces pseudo-juges, l’accusé n’a plus le droit à la présomption d’innocence. Il peut être puni sous le titre d’homophobie ou de personne qui déteste les queers, et risque jusqu’à trois ans de prison. La législation actuelle privilégie l’immoralité et promeut officiellement les crimes commis contre les enfants ! Et ces mensonges législatifs sont mis en œuvre sous les concepts positifs des « droits des enfants » ou de « l’intérêt supérieur de l’enfant ». Il s’agit, en fait, d’une injustice cynique et du meilleur intérêt à détruire l’enfant ! Ces pseudo-lois révèlent à quel point un mensonge peut être suggestif. Cette soi-disant législation internationale n’est pas fondée sur la vérité ou la justice, mais sur les mensonges et la promotion les plus grossiers de crimes entraînant le génocide de l’humanité : la réduction de la population à un soi-disant milliard idéal d’individus.

Aujourd’hui, le mensonge absurde et stupide appelé idéologie du genre est extrêmement rampant. Les enfants dans les écoles et les jardins d’enfants sont obligés de penser qu’ils ne sont pas un garçon ou une fille, mais qu’ils peuvent choisir qui ils veulent être. Ensuite, ils sont obligés de croire qu’ils ne sont certainement pas qui ils sont. L’enfant subit un traumatisme psychologique et est constamment opprimé par l’idée d’être confronté à un processus de mutilation, se terminant par une chirurgie de changement de sexe.

Cette folie est soutenue par le pseudo-pape François. Il a exhorté de manière suggestive les parents irlandais à ne pas dire à leurs enfants la vérité selon laquelle on leur avait menti à l’école. Quelles atrocités sont alors officiellement perpétrées sur les enfants mineurs à cause de ce mensonge maléfique ! Par exemple, une fillette de 15 ans a subi cette opération contre la volonté de ses parents. Immédiatement après la chirurgie, l’esprit de mensonges semblait s’écarter d’elle et elle s’est retrouvée victime d’une tragédie de la vie. Cette fille a fini par se suicider. Les États-Unis ont adopté ces jours-ci une loi stupide et sadique sur le soi-disant droit des enfants à changer le sexe dès l’âge de douze ans ! De plus, les écoles subissent une pression psychologique afin de promouvoir le transsexualisme. Le fruit de cette loi sera un crime de masse commis contre les enfants, et le suicide de la nation. Le président russe a déclaré à propos des architectes du N.O.M., qui font la promotion de cette atrocité, qu’ils sont devenus complètement fous et que ce satanisme est programmé.

Les États individuels sont obligés d’adopter une idéologie du genre suicidaire sous la pression de sanctions économiques ou autres. Un certain président en Afrique a déclaré : Nous sommes prêts à manger de l’herbe, mais nous n’accepterons pas de compromis concernant cette condition suicidaire. Malheureusement, peu de présidents ont un tel bon sens ou un tel courage pour défendre la vérité et la vie. Et si l’un d’eux le possède, les médias de masse commenceront le lavage de cerveau avec des mensonges suggestifs, et la majorité trompeuse de la société finira par se retourner contre leur libérateur. C’est ce qui s’est produit, par exemple, avec le Premier ministre Fico en Slovaquie, lorsqu’il a ouvertement déclaré que la Slovaquie n’adopterait jamais la convention d’Istanbul, qui légalise l’idéologie du genre et le vol d’enfants liés à la création de ce que l’on appelle le GREVIO. Ils ont organisé un coup d’État contre lui, ont choisi une victime sacrée et, en deux soirées, l’ont forcé à démissionner avec l’aide de la jeunesse organisée et trompée. Le mensonge a donc prévalu, et celui qui souhaitait le bien-être des jeunes fut hué par ces jeunes manipulés comme s’il était un criminel.

Qui manipule la jeune génération ? Les médias sociaux, en particulier. Les jeunes reçoivent de ceux-ci des fragments d’information et ne peuvent plus penser par eux-mêmes. Ils acceptent tout simplement, passivement, et deviennent les victimes de mensonges programmés de façon systématique. Ils vivent une vie plus irréelle que réelle.

Le soi-disant traité de Lisbonne est une moquerie grandiose de la vérité, de la justice et de la moralité. La vérité a été échangée contre des mensonges et la justice a été échangée contre l’injustice. Lorsque l’Irlande a rejeté le traité de Lisbonne au cours d’un référendum, elle fut contrainte de procéder à un deuxième référendum.

Chaque mot de la loi doit être défini avec précision afin d’en éviter une mauvaise utilisation. Cependant, la législation supranationale a commencé à utiliser des termes ambigus qui ont ouvert la porte aux mensonges et aux crimes professionnels. L’ancien président de la République tchèque, V. Klaus, a déclaré : « Vous ne découvrirez ce qu’était réellement cette loi-ci ou cette loi-là, qu’au moment où vous vous retrouverez devant un tribunal ».En d’autres termes, vous ne pouvez pas le dire d’après le libellé de la loi elle-même.

Il y a environ 20 ans, des organisations supranationales telles que l’ONU, l’OMS, l’UE et le Conseil de l’Europe, ont commencé à exiger que la législation des États individuels soit soumise à de soi-disant résolutions, recommandations et conventions. Un préambule fut ajouté aux lois des États, déclarant que la pseudo-législation internationale était prioritaire. En pratique, il s’agit d’une fraude colossale et des crimes judiciaires les plus grossiers.

Ces pseudo-lois utilisent intentionnellement trop de mots, de sorte que la grande quantité de texte rend ces lois peu claires. Les députés n’ont souvent même pas le temps de les lire avant de les voter. Personne ne sait alors ce qu’il approuve. En fait, ce sont des fraudes mortelles. Les députés votaient parfois chaque jour dix amendements de loi différents.

Une autre forme de manipulation trompeuse se produisit, par exemple, dans le cas de la Convention d’Istanbul qui, avec l’utilisation de formulations trompeuses sur la lutte contre l’abus des femmes, a secrètement légalisé une idéologie de genre ainsi que le mécanisme GREVIO destiné à voler les enfants à leurs parents. Les représentants de l’État ont dû voter à ce sujet en même temps que sur une série de lois sur les pêcheries, donc personne n’avait anticipé un tel mensonge et telle une manipulation.

Environ 60 à 100 enfants, volés à leurs familles, se suicident chaque année en Norvège. Néanmoins, ce mécanisme criminel continue de courir et la couverture médiatique de ces crimes contre les enfants est interdite sous peine de sanctions. Lorsque la police tenta de pénétrer dans une maison en Finlande afin de voler des enfants à une famille, le père tua les enfants et se suicida de désespoir afin d’échapper à la tyrannie de la justice pour mineurs. L’éducation favorise la démoralisation des jeunes de façon systématique. Un certain nombre d’écoles en Angleterre ont été soumises à une expérience criminelle au cours de laquelle le transsexualisme a été fortement imposé aux enfants. En conséquence, environ 98 % des enfants avaient des pensées suicidaires, et certains ont même tenté de se suicider.

Les soins de santé ont été exploités à l’échelle mondiale afin d’introduire une vaccination expérimentale à travers des mensonges professionnels.

Pourquoi Dieu a-t-il permis à tout cela de se produire ? La Bible donne la réponse : les gens n’ont pas aimé la vérité. Ils veulent être trompés. Mais derrière le mensonge, il y a l’esprit des mensonges et de mort, Satan. Les gens ont abandonné Dieu ; ils ont abandonné les lois de Dieu et introduit des pseudo-lois de genre. Le Seigneur annonce par le prophète :

« La Terre est souillée sous ses habitants, car ils ont transgressé les lois (de Dieu), changé l’ordonnance (de Dieu), brisé l’alliance éternelle. Par conséquent, la malédiction a dévoré la terre et ceux qui y habitent sont désolés. Par conséquent, les habitants de la Terre sont brûlés et peu d’hommes sont laissés ».

(Isa 24 : 5-6)

Dieu a averti à plusieurs reprises les gens par les prophètes, les menaçant de punition. Si la nation se repentait, la punition était évitée. Aujourd’hui, l’humanité ouvre la voie à son propre auto-génocide à la suite de l’abandon de Dieu et du rejet de Ses lois. Les paroles de Jésus-Christ s’appliquent ici :

« À moins que vous ne vous repentiez, vous périrez tous ! »

(Lk 13:3)

Que tout le monde se repente donc dans sa vie personnelle. La base pour ceci est l’autocritique et une réserve de temps pour la prière. Il s’agit de la communication verticale avec Dieu. Dieu donnera de la lumière et de la force à ses guerriers dans la vraie prière. Si l’humanité reste passive, les mensonges professionnels la détruiront. Derrière les mensonges, il y a le père des mensonges — Satan — et ses serviteurs, les architectes du Nouvel Ordre Mondial. Il est à présent grand temps de commencer à se battre pour la vérité ! Par où commencer ? Commencez à lutter contre vous-même, en vous-même ! Ensuite, vous pourrez démasquer les mensonges professionnels dans le monde et surmonter l’esprit des mensonges et de mort.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMR + Timothée OSBMR
Évêques secrétaires

Le 17 décembre 2022




GRAVES DANGERS DU MONDIALISME

[Source de l’illustration : casimages.com]

Par Colonel AMIOT Jacques

Je ne prétends pas avoir raison ; cet écrit, comme les autres, n’est qu’un résumé de mes réflexions. Il y a cependant une constante ; comme les précédents, il est en opposition totale à Macron, son gouvernement, les médias aux ordres, et à tous les traîtres qui détruisent la France. Ils devront un jour prochain répondre de leurs méfaits, car ils savent ce qu’ils font.

Il ne faut rien attendre des grands médias subventionnés, car ils appartiennent à ceux qui ont propulsé Macron au pouvoir.

Pour les internautes, notamment ceux qui font partie depuis peu de ma liste de diffusion, je joins deux écrits qu’ils pourront lire s’ils le souhaitent. Cependant il est possible de se contenter du présent document, qui est une synthèse de mes différents écrits. Elle présente l’évolution de ma réflexion, de plus en plus axée sur les menées nuisibles du mondialisme qui sont à la source de tous les graves problèmes subis par le monde occidental, et à l’origine de conflits.

Dans un premier temps (à partir de 2012), mes écrits se sont principalement rapportés aux dangers de l’immigration, notamment islamique.

J’en fais un résumé très succinct :

  • La laïcité chère au Français vole en éclats sous la pression de l’immigration incontrôlée, notamment islamique. L’Islam n’est pas qu’une religion ; c’est une idéologie totalitaire (loi islamique).
  • Progression rapide du nombre de musulmans en France (1,23 % de la population en 1968 et 11,94 % en 2009 ; chiffres officiels) ; depuis l’INSEE ne fait plus ce type de statistiques !
  • Naïveté du peuple et de nos dirigeants, principalement de gauche. Laxisme de ces derniers, malgré les alertes des services de renseignements et même de musulmans lucides, notamment des femmes.
  • Attitude incompréhensible de nos dirigeants, d’autant que les islamistes ne cachent pas leur volonté d’islamiser le monde.
  • Manipulation et fanatisation des jeunes par les imams et autres prédicateurs (large diffusion de versets vindicatifs du Coran, de sourates…). Rejet de la civilisation et des valeurs occidentales.
  • Importance des minorités agissantes capables de manipuler les masses (communisme, fascisme, et maintenant islamisme).
  • Tolérance inacceptable de l’implantation de « zones de non-droit », appelées pudiquement « zones sensibles ».

Je joins cependant ce premier écrit de 2012, pour ceux qui seraient intéressés :

Réflexions sur l’islamisme à l’intention des naïfs

Lorsqu’un problème me préoccupe, je mets généralement mes idées sur le papier afin de mieux les structurer. C’est ce que je fais ci-après de manière résumée à propos de l’islamisme, car je pense que la laïcité chère aux Français va voler en éclat sous la pression de cette idéologie dans les prochaines décennies en raison de la naïveté du peuple et surtout d’une grande partie des hommes politiques notamment de gauche qui porteront une lourde responsabilité.

Mon propos n’est pas guidé par des idées racistes ou d’ordre confessionnel. J’ai souvent voyagé et je respecte les religions, croyances, modes de vie des pays que j’ai visité : Afrique du Sud, Birmanie, Cambodge, Chine, Inde, Mexique Népal, Thaïlande, Vietnam… ainsi que de nombreux pays musulmans (Égypte, Jordanie, Maroc, Tunisie, Turquie…).

Ce que j’ai constaté dans beaucoup de ces pays c’est, qu’en temps qu’étranger, il était très prudent de respecter les règles et coutumes sinon on risquait de graves ennuis et je constate qu’en France comme dans beaucoup de pays occidentaux on peut par contre braver les règles, traditions et coutumes, fouler aux pieds les symboles sans beaucoup de risques. Cela me paraît très dangereux, car je pense qu’une nation ou une civilisation qui ne défend pas ses valeurs et ne fait pas respecter les règles qu’elle s’est données coure à sa perte.

La démocratie, la liberté d’expression, d’agir, de se comporter c’est bien, mais il y a de mon point de vue des limites à ne pas dépasser, car le laxisme à toujours conduit à de graves désillusions.

Je pense qu’en France on fait preuve de beaucoup de naïveté et je vais revenir un peu sur l’histoire récente pour étayer mon propos.

Dans les années 30 du siècle dernier, on pensait beaucoup au progrès social, je pourrais presque dire qu’une grande partie du peuple et beaucoup d’hommes politiques ne pensaient qu’à ça (Front populaire…). Pourtant les services de renseignement savaient que les troupes de l’Allemagne nazie allaient tôt ou tard déferler sur notre territoire ; ils en avaient informé nos dirigeants, mais ces derniers étaient bien trop occupés à essayer de satisfaire les aspirations sociales du peuple pour les écouter. Dans cette période le summum de la naïveté, de la bêtise et de la lâcheté a été incarné par Daladier lorsqu’il a signé bien inutilement les accords de Munich avec Hitler en automne 1938. On sait que Daladier a subi la pression de son homologue anglais Chamberlain, mais des hommes d’État dignes de ce nom devraient savoir prendre leurs responsabilités et écouter les agents payés pour les informer surtout quand il y a péril en la demeure comme c’était le cas. On connaît la suite et on ne s’en serait pas sorti sans l’intervention massive des forces alliées.

Pendant la Guerre froide, la naïveté d’une partie du peuple et des hommes politiques (principalement de gauche) a été au-delà du ridicule. Beaucoup croyaient au « petit jésus soviétique », de la volonté de paix des soviets à la réussite économique et sociale du régime. Dans les armées, on était un peu informé de la réalité des choses par les services de renseignement, que ce soit des plans d’invasion de l’Europe de l’Ouest à la pauvreté en passant par la répression, le goulag… Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin pour que beaucoup comprennent ; et encore, ils n’ont pas tous compris !

Dans cette période de Guerre froide, nous avons eu la chance d’être protégés par le parapluie nucléaire de l’OTAN qui a réussi à dissuader les soviets. Sans lui notre invasion programmée serait rapidement devenue réalité.

Bref, j’ai le sentiment que l’histoire se renouvelle et qu’aujourd’hui une grande partie du peuple et beaucoup de dirigeants font preuve d’une grande naïveté par rapport à l’islamisme.

L’islamisme ce n’est pas une religion, ce n’est pas l’islam ; c’est une idéologie politique qui, comme toutes les idéologies, porte en elle la volonté de domination, d’occupation et qui de ce fait me paraît aussi dangereuse que le fascisme ou le communisme même si le mode d’invasion est différent. Comme le danger est différent puisqu’il est insidieux et surtout interne ce n’est ni une intervention extérieure ni l’OTAN qui pourra nous en préserver.

Pourtant il semble bien que les services de police et de renseignement avertissent les politiques. Par exemple on a pu voir circuler sur Internet une vidéo intitulée « rapport DGSE » tout à fait claire à ce sujet. Ce n’est pas un hoax (canular), car elle n’est pas répertoriée comme telle et on peut toujours la visionner en tapant : « rapport DGSE » sur Google. La personne qui parle se sachant filmée fait une présentation pondérée, mais j’aimerais en privé savoir ce qu’elle pense vraiment.

De nombreuses personnalités tirent également la sonnette d’alarme y compris des musulmans et notamment des femmes cultivées très réalistes par rapport à l’islamisme dont elles connaissent bien les dangers. L’intervention à l’automne de l’Iman de Drancy est très instructive à ce sujet on peut la trouver sur Internet en tapant sur Google « Iman de Drancy ».

Si on fait quelques recherches sur Internet, on s’aperçoit d’ailleurs que les islamistes ont clairement annoncé leur intention de dominer l’Europe, voire le monde.

Les radicaux utilisent les aspects guerriers et vindicatifs de nombreuses sourates du Coran et des hadiths pour fanatiser les masses musulmanes et provoquer le rejet et même la haine des « infidèles » occidentaux.

On me dit quelquefois que le christianisme a été aussi très agressif et très vindicatif. J’en conviens, qui n’a pas entendu parler des guerres de religion, des croisades, de l’inquisition ? Mais ce qui m’inquiète c’est le présent et surtout l’avenir et pas ce qui s’est passé il y a plusieurs siècles.

On me dit aussi que beaucoup de musulmans veulent vivre paisiblement ; c’est peut-être vrai, ceux qui sont venus il y a plus de cinquante ans en France avaient la volonté de s’intégrer (mon père en a embauché dans sa petite entreprise), mais il est certain que leurs petits enfants ne sont pas tous dans les mêmes dispositions d’esprit.

On me dit également que les islamistes radicaux sont en petit nombre ; oui, pour l’instant. Au début du 20siècle, les communistes étaient peu nombreux en Russie, mais en 1917 ils ont imposé un régime dictatorial qui a duré plus de 70 ans ; la première fois que le parti fasciste s’est présenté aux élections en Allemagne il a obtenu un peu plus de 2 % des voix. On connaît la suite.

Il me paraît particulièrement dangereux de minimiser voire d’ignorer la capacité de nuisance des activistes. On devrait se souvenir de ce qu’est capable de réaliser une petite minorité déterminée et agissante face à une masse passive. On sait très bien que dans les banlieues les radicaux sont très actifs notamment envers les jeunes qui depuis toujours ont été la cible privilégiée des idéologues (jeunesses communistes, jeunesses hitlériennes…). On entendra certainement un jour parler des jeunesses islamistes, d’ailleurs elles existent déjà dans certaines banlieues même si elles ne sont pas encore structurées et si les médias ignorent leur existence.

Il y a quelques années on n’entendait pas parler des revendications des musulmans, mais maintenant elles sont très nombreuses et le plus souvent à caractère religieux. Elles ne peuvent que s’accroître et devenir systématiques avec l’augmentation continue de la population musulmane et l’oreille attentive d’une partie des pouvoirs publics. La volonté, qui fait tache d’huile, manifestée par les musulmans radicaux de modifier les règles du jeu, notre culture et notre mode de vie est évidente. Il n’y a même pas besoin d’aller dans les banlieues chaudes pour s’en rendre compte. Cela ne me plaît pas et je fais le raisonnement, que certains trouveront peut-être basique, mais qui me paraît logique, que c’est à ceux qui viennent en France, souvent pour profiter d’avantages, de s’adapter à notre culture et pas l’inverse.

Je suis peu pratiquant, mais je constate que la France, comme beaucoup de pays d’Europe occidentale, a une culture façonnée depuis deux millénaires par l’influence du christianisme (la séparation de l’église et de l’état depuis plus d’un siècle n’y change rien), que ce soit au niveau du mode de vie, des traditions ou de l’architecture (églises, cathédrales, abbayes, monastères…) ; même dans la nature (que je fréquente beaucoup) on rencontre de multiples témoignages de notre passé chrétien (croix, calvaires, chemins de croix, chapelles,), au bord des chemins, au sommet des collines et même des montagnes… Il suffit de regarder une carte IGN au 1/25000 pour s’en rendre compte. Je m’estime tolérant, mais cependant je n’accepte pas l’idée d’une modification en profondeur de notre mode de vie, de notre patrimoine historique et en définitive de notre culture ; je pense que je ne suis pas le seul.

En France le laxisme des autorités me révolte. Les agressions de lieux de culte chrétiens, de cimetières… se multiplient sur notre propre territoire pratiquement dans l’indifférence. Sans beaucoup de réactions on peut brûler le drapeau, diffuser une photo (de plus primée par la FNAC) d’un énergumène se torchant avec, siffler l’hymne national, vendre des milliers de disques de rappeurs vomissant leur haine du pays où ils vivent, sans parler des casses, agressions multiples… qui sont presque toujours l’œuvre de populations issues de l’immigration principalement musulmane. Quand une nation laisse profaner ses symboles, il y a du souci à se faire. Dans beaucoup de pays étrangers, on emprisonne pour beaucoup moins que ça.

Toutes les exactions n’émeuvent pas beaucoup les médias qui systématiquement ignorent ou minimisent les forfaits commis. Ils sont beaucoup plus prompts à relayer les réactions d’indignation du MRAP, de SOS racisme et autres associations bienpensantes quand un « jeune » (fautif) est soi-disant agressé par la police, par exemple à l’occasion d’une course poursuite qui se termine mal pour le ou les fuyards.

Même si les médias n’en parlent pas on sait que la persécution des chrétiens dans le monde est en nette augmentation notamment dans les pays musulmans et il apparaît que ce sentiment antichrétien s’insinue dans la population musulmane vivant en France.

« L’invasion islamique » est de plus largement favorisée par le soutien de nombreux élus de gauche : Delanoë à Paris, Aubry à Lille, Ries à Strasbourg et tous les autres, sans parler de Vauzelle président de la région PACA qui se déclare fier d’être président d’une grande région musulmane ! On croit rêver. Que cherchent-ils ? L’anéantissement de notre civilisation ? Pour la remplacer par quoi ? Sans une vive réaction, un jour, peut être pas très éloigné, un énergumène de ce type pourra se dire fier d’être président d’une grande république islamique.

Il existe en France de vastes zones de non-droits où les forces de l’ordre ne peuvent pas pénétrer sauf en masse à l’occasion d’opérations trop rares et où se développe une économie souterraine florissante. Là aussi ces zones sont occupées pour une grande part par une population issue de l’immigration et les émeutes qui y éclatent régulièrement à propos de n’importe quel prétexte sont le résultat d’une tension constante générée par des populations non intégrées et qui pour beaucoup ne souhaitent pas l’être. J’estime que cela est inadmissible dans un état de droits et que c’est une preuve supplémentaire de notre incapacité à gérer un volume trop important d’immigrés.

Nous sommes de plus dans une situation économique difficile, nous avons un chômage trop élevé et certainement pas la capacité de donner du travail à une masse très importante d’immigrés souvent sans qualification attirés par nos avantages sociaux, la possibilité de se faire soigner et opérer gratuitement… ce qui représente un énorme gouffre financier. Tous les jeunes issus de l’immigration sans travail qui traînent dans les banlieues sont des proies faciles pour les islamistes radicaux.

Il n’existe pas de chiffres officiels, mais en 1968 les musulmans représentaient environ 1,2 % de la population, 3,6 % en 1988 et plus de 10 % en 2009. C’est une progression trop importante et si on trace une courbe sur un graphique on constate qu’elle est très ascendante ; elle ne peut continuer qu’à monter fortement en raison de deux facteurs qui se conjuguent : l’immigration et la natalité importante chez les musulmans ; en effet, même si cette dernière a un peu diminué elle reste beaucoup plus élevée que dans la population de souche. Le pourcentage de musulmans en France va donc devenir très important et dans quelques décennies il risque fort de dépasser les 50 %.

Or on sait très bien qu’au-delà d’un certain pourcentage il n’y a plus intégration, mais juxtaposition de cultures. Je ne suis pas historien, mais il me paraît clair que la juxtaposition de cultures sur un même territoire aboutit le plus souvent à des conflits graves d’autant qu’il y a d’un côté des islamistes activistes animés d’un esprit de domination et de l’autre des citoyens déterminés à ne pas se laisser submerger. Un sentiment hostile à l’Islam se développe en France en réaction à sa pénétration et on ne peut pas exclure sa radicalisation au détriment des musulmans qui souhaitent s’intégrer ; une action provoque toujours une réaction, c’est une loi générale.

Les mentalités des communautés sont beaucoup trop divergentes pour pouvoir espérer sur le long terme une coexistence pacifique. Certains leaders politiques d’autres pays ont eu le courage de déclarer que le multiculturalisme était un échec ; je partage cet avis.

Un des pays où les musulmans sont les plus nombreux est l’Inde (plus de 100 millions), mais il y a en face plus d’un milliard d’hindous et il est évident que les autorités indiennes n’ont pas du tout l’intention de se laisser déborder par leur minorité musulmane comme c’est le cas en occident.

Il y a eu en France dans un passé récent des flux migratoires importants notamment d’Italiens, mais la culture de ces populations est très proche de la nôtre et en une génération elles se sont totalement intégrées ; ce ne sera pas le cas des populations islamiques pour qui le religieux à une grande importance. À peine libérés de leurs dictateurs, les peuples du sud de la Méditerranée portent largement en tête des élections les partis islamistes et les futurs dirigeants déclarent vouloir gouverner selon la Charia, mode de gouvernance totalement opposée à notre conception laïque.

Comment en occident laïque et notamment en France concevoir l’existence d’un parti religieux ? C’est pourtant ce qui nous attend avant que ce parti, s’appuyant sur le nombre, devienne dominant parce que l’on n’aura pas su limiter l’immigration et obliger les populations issues de cette immigration à s’adapter à nos principes et valeurs et que par naïveté, faiblesse et bêtise on les aura laissés imposer leur culture, leur mode de vie et leur religion.

Pour éviter ce scénario pessimiste il faudrait prendre rapidement un certain nombre de mesures : limitation importante de l’immigration notamment en provenance d’Afrique ; imposer aux musulmans de s’adapter à nos règles et à notre mode de vie et pas l’inverse même si on peut accepter quelques adaptations ; faire preuve d’une très grande fermeté face aux exactions et provocations diverses, en particulier donner le choix à ceux qui manifestent leur haine de la France entre de sévères sanctions ou le départ vers des pays où ils se sentiront mieux ; surveiller étroitement les meneurs et prédicateurs islamistes et les sanctionner sans faiblesse où leur demander de faire le choix d’un autre pays ; ne plus accepter l’inacceptable c’est-à-dire l’existence de zones de non-droit « gouvernées » par des populations issues de l’immigration où la propagande bat son plein comme les trafics de toutes sortes…

En fait je ne crois pas à la volonté des politiques et surtout pas à ceux de gauche qui au contraire font tout pour accélérer le mouvement et qui feront preuve d’une grande complaisance avec l’Islam s’ils reviennent au pouvoir.

L’histoire se renouvelle et les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Dans les années 30 du siècle dernier, le peuple et nos dirigeants voulaient à tout prix la paix avec l’Allemagne, mais par naïveté et lâcheté on a eu la guerre. Aujourd’hui on ne veut pas froisser les musulmans, on ne veut pas enflammer les banlieues…, alors par naïveté et faiblesse on n’agit pas et on laisse la situation se dégrader. Cette attitude ne nous mettra pas à l’abri de graves difficultés, bien au contraire.

Comme on le voit, les données en ma possession ne m’incitent pas à l’optimisme pour l’avenir. Je souhaite me tromper et je suis preneur d’arguments crédibles et solides infirmant mon analyse, mais de grâce en évitant les affirmations lénifiantes et fallacieuses du « politiquement correct » que l’on entend trop souvent.

Début 2016 ma réflexion s’est modifiée sur un point essentiel, par la lecture d’un document de deux pages que j’ai souvent cité « l’heure de vérité » du père Henri Boulad. J’ai découvert que je faisais une grosse erreur en distinguant l’islamisme et l’Islam.

En effet, le père Henri Boulad souligne avec justesse que le problème se situe dans les fondamentaux de l’Islam. Je joins ce document, à relire éventuellement :

[Au lendemain des attentats de Paris du 13 novembre 2015]

L’HEURE DE VÉRITÉ

Lettre sereine aux musulmans ouverts, modérés et libéraux:

J’imagine votre embarras et votre confusion face à cette horreur, que vous condamnez sans doute du plus profond de vous-mêmes. Vous sentez bien cependant que c’est l’islam lui-même qui est incriminé, car c’est bien aux cris d’ «Allahou akbar» que s’est perpétuée cette tragique agression.

N’essayez surtout pas d’exonérer l’islam de ce qui s’est passé. Ne continuez pas à répéter ce refrain bien connu, suite à toutes les horreurs commises par les islamistes dans le monde : «Tout ça n’a rien à voir avec l’islam». Ne criez surtout pas à l’« amalgame », manière élégante de dédouaner l’islam des violences récurrentes perpétrées en son nom.

C’est incongru d’affirmer que tout ce qui se passe comme atrocités au nom de l’islam n’a rien à voir avec l’islam. Un certain occident « libéral » et une certaine Eglise catholique, tous deux partisans de l’ouverture et du dialogue, ne cessent de ressasser de tels slogans, sans chercher à aborder les vrais problèmes, dans un dialogue franc et ouvert.

L’« heure de vérité » a sonné, et il est grand temps de reconnaître que l’islam a un problème. Un problème qu’il doit avoir le courage de regarder en face et de tenter de résoudre en toute objectivité et lucidité. Ce n’est pas en enfouissant sa tête dans le sable qu’on peut espérer trouver une solution.

Je ne doute nullement de la sincérité et la bonne volonté des musulmans ouverts et modérés. Mais là n’est pas la question. On peut être pleinement sincère tout en étant dans l’erreur.

Il est trop facile pour les musulmans d’incriminer l’occident « corrompu » et «impérialiste» comme étant la source de tous leurs maux. Il est trop facile d’accuser ceux qui instrumentalisent l’islam pour leurs propres intérêts. C’est dans l’islam même que gît le problème. Les musulmans ont toujours eu tendance à chercher des boucs émissaires partout, sauf en eux-mêmes. Il est grand temps qu’ils se posent certaines questions cruciales et se rendent compte que «le ver est dans le fruit.» S’ils condamnent et rejettent ce radicalisme barbare qui les embarrasse, qu’ils fassent un petit effort pour en chercher la cause.

Ils découvriront alors que la cause se trouve dans les textes fondateurs de leur religion – Coran, Sunna, Hadiths – qui regorgent d’appels à l’intolérance, au meurtre et à la violence. Ces textes sont encore enseignés aujourd’hui à l’Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite, chargé de la formation des prédicateurs et ulémas à travers le monde. Cette doctrine atteint le petit peuple à travers les prêches du vendredi – souvent incendiaires – et rejoint les élèves via les manuels scolaires.

Vers le septième siècle, l’islam a eu le choix entre la voie mystique, modérée et ouverte, celle de La Mecque, et la voie violente, radicale et conquérante, celle de Médine. Il a malheureusement opté pour la seconde, en privilégiant les versets médinois aux mekkois, dans la fameuse doctrine de «l’abrogeant et de l’abrogé» (An nâsékh wal mansoukh).

Pour éviter alors que quiconque ne revienne sur cette décision, les ulémas de l’époque ont décrété que « la porte de l’ijtihad » était désormais close. Ce qui signifie que tout effort de réflexion critique susceptible de remettre en question une telle décision était pour toujours interdit.

Les nombreuses tentatives de réforme de l’islam, tout au long de son histoire, se sont heurtées à ce décret considéré comme immuable et irréversible. Le grand cheikh soudanais, Mahmoud Taha, pour avoir proposé d’inverser la doctrine de l’abrogeant et de l’abrogé, en privilégiant les versets mekkois aux médinois, a été pendu sur la grande place de Khartoum, le 18 janvier 1985.

L’islam est dans la souricière, une souricière dans laquelle il s’est lui-même mis. Une souricière dont il ne parvient pas à sortir. Tel est le drame qui met les musulmans dans une angoissante situation.

«Les nouveaux penseurs de l’islam» – comme on les appelle aujourd’hui – rêvent d’une réforme et d’un islam compatible avec la modernité. Les émouvantes tentatives d’un homme aussi brillant qu’Abdennour Bidar n’en sont qu’un exemple. Malheureusement, la pensée de ces hommes courageux ne fait pas le poids face à l’islam rigoureux et borné qui domine depuis quatorze siècles.

J’imagine à quel point cela doit être douloureux pour ces penseurs, qui aimeraient tant trouver une issue à l’impasse dans laquelle ils se trouvent.

L’Église est passée par la même crise. Mais elle est parvenue à la dépasser grâce au Concile Vatican II. Il est grand temps que l’islam en fasse autant et procède au même aggiornamento. Vœu pieux? Utopie, wishful thinking ?… L’islam peut-il se réformer sans se dénaturer ?

[NDLR Vatican II a cependant ouvert la porte à la Franc-Maçonnerie qui a depuis lors infiltré l’Église Catholique Romaine et contribué à détruire ses fondements et encore davantage l’enseignement du Christ.]

Je ne le pense pas. Mais c’est aux musulmans eux-mêmes de répondre.

Henri Boulad,
Le Caire, 14 novembre 2015

En particulier, il rappelle qu’il y a 14 siècles l’Islam a fait le choix de la voie Médinoise expansionniste et agressive au détriment de la voie Mecquoise pacifique, et qu’il n’est jamais revenu sur ce choix. 

Par ailleurs, il suffit de lire le Coran, même très superficiellement, pour se rendre compte que son contenu (versets, sourates…) est particulièrement agressif. Les égorgeurs musulmans, qui sévissent régulièrement dans notre pays, ne font qu’appliquer certains de ses préceptes ; ce que font semblant d’ignorer « nos élites politiques », les médias…

À partir de cette époque, j’ai approfondi mes connaissances, notamment par la lecture de plusieurs livres. Je cite les principaux :

« L’Islam à la conquête de l’Occident » de Jean-Frédéric Poisson qui traite principalement des organisations islamiques internationales comme l’OCI (l’Organisation de la Coopération Islamique), fondée en 1969 ; « Islam » d’Annie Laurent ; « soufi ou mufti » d’Anne-Marie Delcambre ; « décomposition française » de Malika Sorel ; « Le Projet des Frères Musulmans » d’Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi.

Un autre livre m’a paru d’un très grand intérêt : « L’Islam mis à nu par les siens ». Il s’agit de textes et de prises de position de nombreux érudits musulmans ou ex-musulmans (femmes et hommes), qui ont analysé en profondeur le Coran et la vie de Mahomet ; édifiant !

À cette époque j’ai aussi commencé à être sensibilisé au mondialisme par des échanges avec des internautes et la lecture d’autres livres, principalement : « la Super-classe mondiale contre les peuples » de Michel Geoffroy ; « de Tragédies en Espérances — nos illusions de Justice, de Liberté et de Démocratie » de Joseph Plummer.

Par toutes les informations que j’ai recueillies, j’ai (entre autres) découvert un fait très important : l’immigration de masse, notamment islamique, est une arme utilisée par les mondialistes pour détruire les nations souveraines, qui sont le principal obstacle à la mise en place d’une gouvernance mondiale.

Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme, car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité ». La France en est l’exemple type.

Je suis toujours surpris quand j’entends dire que Macron est incompétent. Je pense personnellement qu’il est très compétent pour la mise en œuvre de la mission qui lui a été assignée par ses mentors : détruire la France en tant que nation souveraine. Macron n’aime pas la France, ses actes et ses paroles (souvent prononcées à l’étranger) le prouvent.

Par ailleurs on sait que le milliardaire Soros, mondialiste bien connu, finance largement les ONG qui transportent illégalement des migrants de l’Afrique vers l’Europe.

Après l’immigration je passe rapidement à un deuxième volet des menées mondialistes : le pseudo-réchauffement climatique.

Depuis plusieurs années, je suis des cours d’astronomie, ce qui me permet d’avoir quelques notions sur ce sujet :

Dans environ 5 milliards d’années, le soleil va exploser ; il ne restera que quelques résidus du système solaire dans notre univers ; nous ne sommes pas concernés ; (tout naît, tout vit, tout meurt).

Avant cela, dans quelques millions d’années, il fera très chaud sur la terre, il n’y aura plus de vie, sauf peut-être quelques bactéries ? Nous ne sommes pas concernés.

Nous sommes un peu concernés par le réchauffement du système solaire, inexorable, mais très lent, qui n’empêche pas les fluctuations climatiques de moyen terme d’une planète, dues à d’autres facteurs (par exemple pour la terre, variation de son ellipse autour du soleil, variation de son inclinaison, précession ; voir les paramètres de Milankovitch). Ainsi il y aura d’autres changements climatiques importants (glaciations, grandes périodes de réchauffement ; sans parler des cycles beaucoup plus courts qui ont toujours existé).

L’homme n’est rien par rapport aux forces de la nature ; aussi le GIEC est composé d’incompétents, manipulés par des lobbyistes (constructeurs d’éoliennes par exemple), qui distillent la peur pour mieux vendre leur « camelote », nuisible et très peu utile. Si un faible réchauffement provoqué par l’homme existe (ce qui est très contestable et contesté par de nombreux scientifiques), il est principalement provoqué par les activités de très grandes entreprises ; armateurs de tankers très pollueurs par exemple.

Je suis, par contre, préoccupé par les graves problèmes de pollution, surtout engendrés par la mondialisation ; pollution des terres, de l’air, des mers, des rivières. Mais c’est un autre débat.

J’en arrive à une partie très importante, particulièrement démonstrative des visées des mondialistes : la pseudo pandémie Covid 19, fabriquée de toutes pièces. Il y a beaucoup à dire et je vais essayer de résumer.

Dès le mois de janvier 2020, j’ai été surpris par la décision de madame Buzyn de classer l’hydroxychloroquine comme produit dangereux, alors que cette molécule est utilisée depuis des décennies, notamment en Afrique, comme traitement antipaludéen.

Au mois de mars, j’ai compris qu’il y avait « anguille sous roche » quand Véran a interdit aux médecins généralistes l’utilisation des soins précoces.

Dès lors, j’ai suivi les choses de près, notamment en étudiant les statistiques et principalement celles diffusées régulièrement par le général Delawarde.

Je ne vais pas revenir sur tous les aléas que nous avons subis (confinements inutiles, masques inutiles puis obligatoires… bref, le grand folklore macroniste).

Assez rapidement je me suis rendu compte de deux faits importants :

En premier lieu la faible mortalité au plan mondial ; les décès ne concernaient que des personnes âgées déjà affaiblies par des comorbidités, les jeunes n’étant pas touchés. Ceci malgré l’augmentation factice du nombre de décès ; on se souvient que beaucoup de malades décédés avec la Covid étaient classés décédés de la Covid ; c’est peut-être encore le cas.

Au final la mortalité n’a pas été plus importante que celle due à une mauvaise grippe, mais certains gouvernements, notamment celui de la France, faisaient tout pour faire peur à leur population afin de pouvoir la soumettre.

En second lieu, la différence très importante de mortalité entre les pays qui utilisaient les soins précoces et ceux, comme la France, qui les refusaient. Par exemple, à ce jour, on peut constater par une petite recherche sur Internet que les États-Unis ont un nombre de décès beaucoup plus élevé que celui de l’Inde alors qu’ils ont environ 4 fois moins d’habitants. Pourtant en Inde il y a une grande promiscuité et le système de santé n’est pas très performant ; mais ils ont utilisé largement l’Ivermectine. Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples.

Le refus du gouvernement français d’utiliser les soins précoces me choquait, et j’ai commencé à en comprendre la raison quand j’ai appris qu’il ne pourrait pas imposer un « vaccin » s’il admettait l’existence d’une possibilité de soigner les malades en début de l’infection. À l’évidence l’obligation vaccinale était prévue dès le début 2020 ; il était donc nécessaire pour nos dirigeants d’affirmer qu’il n’existait pas de possibilités de soins.

Le 12 juillet 2021, Macron a prononcé une allocution à la télévision au cours de laquelle il a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants, les pompiers… et pratiquement toute la population, car sans « vaccin » on ne pouvait même pas aller boire un verre dans un café.

Cette allocution a provoqué ma colère et quelques jours après j’ai adressé un courrier à Macron, Castex et Véran en les accusant d’être des criminels.

Il est en effet évident que le refus de laisser les médecins prescrire les soins précoces a provoqué le décès d’un grand nombre de nos concitoyens. On peut retrouver cette lettre sur Internet (colonel Amiot Jacques Besançon).

Je sais que mon courrier est arrivé aux instances gouvernementales, car plus de 6 mois après j’ai été sanctionné par la ministre des armées (retrait de l’Honorariat). L’Honorariat est une distinction honorifique ; on ne m’enlevait donc rien d’important, mais j’ai cependant contesté la décision auprès du tribunal administratif de Paris. J’ai adressé mes arguments au mois de juillet 2022 et, à ce jour, il n’y a pas de réaction du ministère des armées.

La sanction pratiquement insignifiante au regard de la gravité de mes accusations, et le fait que le ministère n’ait pas encore réagi, pratiquement 6 mois après, me paraissent significatifs de l’embarras des autorités pour trouver des arguments à m’opposer ; d’autant qu’il est de plus en plus évident que les soins précoces sont sûrs et d’une grande efficacité. C’est maintenant une certitude.

Si j’avais à écrire ce courrier aujourd’hui, je serais encore plus virulent. Il me faudrait aborder la dangerosité des « vaccins » ; nous sommes malheureusement qu’au début des graves effets secondaires, que tentent de cacher le gouvernement et la plupart des médias. Mais la vérité finira par éclater.

Il me faudrait aussi aborder les liens étroits entre la Macronie et la société Mac Kinsey, elle-même en lien avec la société Pfizer… On nage en plein cloaque ; je sais bien qu’il y a peu d’enfants de chœur en politique, mais je crois que l’on atteint des sommets.

Malgré les graves effets secondaires engendrés par les « vaccins » le gouvernement continue à en faire la promotion ; on croit rêver. Il doit y avoir un gros stock de doses à écouler !

Le conflit en Ukraine est tout à fait révélateur de ce que beaucoup appellent la 3guerre mondiale ; celle des mondialistes contre les nations souveraines. Je vais beaucoup résumer, car j’ai récemment évoqué le sujet dans un écrit intitulé « évolution ».

Après la chute de l’URSS, on a cru à la paix mondiale, mais on se trompait lourdement, car les mondialistes étaient déjà à l’œuvre, notamment dans leur fief aux US.

Les promesses de l’Occident n’ont jamais été tenues, comme celle faite à Gorbatchev de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est ; au contraire, les bases militaires de cette organisation encerclent pratiquement la Russie.

Les accords de Minsk signés en 2014, que l’Allemagne et la France devaient faire respecter, étaient un piège. Madame Merkel a admis récemment (début décembre 2022) qu’il n’était pas prévu par l’Occident que ces accords soient appliqués. De son propre aveu, ils ont été signés que dans le but de donner du temps à l’Ukraine pour se préparer à la guerre contre la Russie. Quelle duplicité de l’Occident ! On peut aisément vérifier sur Internet (Merkel accords de Minsk).

Hollande a récemment confirmé ces aveux. Tout se passe comme si l’Occident, principalement les US, mais aussi l’Allemagne, la France…, cherchait la confrontation. C’est très dangereux, car l’Occident ne me paraît pas en position de force, d’autant que sa politique provoque un rapprochement entre la Russie et la Chine.

Ce conflit profite aux US, mais est destructeur pour les pays européens, dont la bêtise est incompréhensible. Comment comprendre ce suicide de nations européennes si ce n’est en raison de l’adhésion au mondialisme de leurs dirigeants ?

Comme je l’ai déjà exprimé, le mondialisme est une « maladie » de l’occident où se trouvent les personnages les plus « vénéneux » de cette caste (Schwab, Soros, Gates, Fauci, Biden, Harari, Attali, Macron…). Il apparaît clairement que de nombreuses nations ont compris le danger mondialiste ; elles s’allient et se dressent pour y faire face (les « BRICS » et toutes les nations qui les rejoignent).

On vit une période très troublée, angoissante pour beaucoup, nous subissons des restrictions, une baisse de pouvoir d’achat et j’estime que les menées des mondialistes en sont les principales causes. À mon avis beaucoup de problèmes pourraient être réglés si l’Occident arrivait à se débarrasser du mondialisme.

Je pense par exemple que l’invasion islamique, qui présente un très grave danger pour l’avenir de notre pays, pourrait être combattue ; ce qui suppose bien sûr la disparition préalable de l’Union européenne telle qu’elle existe actuellement, mondialiste et corrompue.

À la place de Macron et de son gouvernement de traîtres, un président déterminé et bien entouré pourrait agir efficacement pour faire respecter notre identité.

Il ne s’agit pas dans mon esprit d’une « chasse aux sorcières », car il y a des musulmans qui souhaitent vivre en paix en France ; il s’agit de séparer le bon grain de l’Ivraie. Je l’ai déjà écrit, dans sa petite entreprise, mon père a employé dans les années 50 des Algériens qui ne posaient aucun problème. Dans son livre « Islam », Annie Laurent souligne le fait que de nombreux musulmans sont les victimes d’une idéologie.

Quelles dispositions faudrait-il prendre ? Je cite les principales : limiter drastiquement l’immigration notamment islamique ; réduire très fortement les prestations sociales pour les immigrés, car elles constituent un grand appel d’air (beaucoup ne vivent que de ces prestations) ; justices sévères pour les délinquants (prison ou exclusion) ; surveillance étroite des imams ; interdiction stricte de la charia (application de nos lois, règles et coutumes) ; « grand nettoyage » d’une ou deux « zones de non-droit », éventuellement par l’armée ; je pense que les autres auraient compris et se nettoieraient d’elles même, avec un peu d’aide si nécessaire…

La France est en déclin dans presque tous les domaines : économie, industrie, éducation, justice… ; le redressement sera difficile ; mais il est surtout urgent qu’elle retrouve sa souveraineté, son unité et son identité, sources de dynamisme.

Cependant rien ne pourra se faire tant qu’elle sera sous la coupe du mondialisme ; il faut donc s’en libérer. Le combat pour la survie est là.




Rockefeller, Rothschild, Morgan : le Deep State sort de l’ombre

[Source : zejournal.mobi]

Ce n’est que ces dernières années que parler de « l’État profond » et d’une organisation secrète dirigeant les États-Unis est devenu de mauvais goût pour les Américains. Avant cela, diverses tentatives ont été faites pour parler du rôle des Rockefeller, des Rothschild, des Morgan. Mais maintenant, les joueurs sont complètement sortis de l’ombre. Une tentative de comprendre les subtilités de la gouvernance américaine, en rappelant les concepts de base, a été effectuée par le politologue et publiciste Igor Pshenichnikov.

Cet article a été publié en deux parties que nous réunissons en un seul texte

La question de savoir s’il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis dirigeant réellement le pays et en partie le monde entier, et celle de déterminer qui tire les ficelles de la gestion du président lui-même et du congrès, ont fait l’objet, dans les années 70 et 80 du siècle dernier, de nombreuses discussions dans les journaux américains. L’apogée de ces débats fut la publication en 1980 du livre – encore populaire à ce jour – des politologues américains, Leonard Silk et Mark Silk : « American Establishment », dans lequel les auteurs – père et fils -, s’efforcent de comprendre le mécanisme de prise de décision gouvernementale aux États-Unis.

La légende est ancienne mais les « haut-parleurs » sont nouveaux

C’est l’ancien président américain, Donald Trump, qui est devenu le principal défenseur de la théorie du complot de « l’État profond » des temps modernes. Et, soyons honnêtes, après les tentatives à grande échelle pour éliminer Trump, l’on n’a pas de mal à y croire. 

Mais revenons à l’essentiel. Le « deep state » (État profond, comme on l’appelle en Amérique), l’establishment libéral, l’élite mondialiste, le « marais de Washington » (selon les termes de Trump) sont toutes des définitions différentes d’un même thème et qui apparaît souvent sous ces définitions dans la presse actuelle.

Les auteurs du livre « The American Establishment » ont donc révélé au monde les cinq plus grandes « institutions » qui gouvernent selon eux l’Amérique : l’Université de Harvard ; le journal The New York Times – soit dit en passant, c’est le NYT qui a formé le régime de Kyiv aux relations presse ; la Fondation Ford ; le groupe de réflexion Brookings Institution ; le Council on Foreign Relations, une structure privée qui détermine de facto la politique étrangère des États-Unis. Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse « Commission trilatérale ». Celle-ci est une sorte de club rassemblant les plus grands banquiers et entrepreneurs, ainsi que les principaux politiciens des pays occidentaux. Elle vise à « rechercher des solutions aux problèmes mondiaux » …

Ainsi, il en ressort clairement que « l’État profond » consiste en un groupe de « citoyens » qui, ensemble se distinguent par de sérieuses capacités d’analyse et de prévision. Ce sont des « maîtres de l’argent » (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et les propriétaires de sociétés transnationales (STN). Ces plus grands entrepreneurs ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui ont formellement le pouvoir politique. En outre, « l’État profond » regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Passons maintenant aux personnalités

De diverses sources, on peut recenser des informations sur les membres composant cet « État profond», même si, bien sûr, l’on doit s’attendre à ce que toutes ces personnalités soient les premières à nier l’existence d’une sorte de pouvoir secret et d’implication dans les affaires du pays. 

Les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de la réserve fédérale. Ce sont les « maîtres de l’argent » : les Rockefeller, les Rothschild et les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l’origine de la création du « Club de Rome », qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le « nid familial » de la « Commission trilatérale » déjà mentionnée.

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, Elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des informations dans l’imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l’échelle mondiale des « intérêts » du clan Rockefeller, vous pouvez retenir les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d’autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l’État profond ». On sait qu’au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l’origine de la destitution et de la nomination de dirigeants de divers États, ainsi que de coups d’État anodins … L’un des membres les plus célèbres du clan, Nelson Rockefeller, qui a été vice-président des États-Unis en 1974-1977, dans une interview au magazine Playboy, avait décrit le credo de sa famille comme suit : « Je crois vraiment à la planification, à la planification économique, sociale, politique, militaire, mondiale ».

Avec une mise à niveau

De toute évidence, beaucoup de choses ont changé depuis la rédaction de « The American Establishment ». Certaines personnes sont parties, et de nouvelles sont arrivées. Et, probablement, tout n’est pas si plat et linéaire. La vérité, bien sûr, est beaucoup plus compliquée. Et plus effrayante. Les « institutions » ci-dessus ne se limitent pas aux forces qui souhaitent influencer la politique intérieure et étrangère des États-Unis. La présidence Trump a montré que les plus hauts gradés de l’armée et les dirigeants de la communauté du renseignement américain, qui ont activement participé à la lutte contre Trump aux côtés du Parti démocrate, font partie intégrante de « l’État profond ».

Trump lui-même a pointé du doigt des hauts responsables de la CIA, du FBI et du ministère de la Justice qui enquêtaient conjointement sur ses « liens » avec le Kremlin. Ils n’ont rien trouvé, ni présenté quoi que ce soit au public. Cependant, les « enquêteurs » ont réussi à réduire à néant les relations entre les États-Unis et la Russie. Dans le même temps, le caractère unilatéral des activités des services spéciaux était évident. Ils ont méprisé Trump, mais ont fermé les yeux sur les méfaits évidents d’Hillary Clinton liés à sa correspondance officielle. Comme il l’a indiqué, Trump a regretté que le « département de la justice de l’État profond » n’ait pas pris de mesures contre la « malhonnête Clinton ».

Dis que je suis parti

La discussion soulevée par Trump sur l’influence de « l’État profond », sur tout et tout le monde en Amérique, a suscité un énorme intérêt pour ce sujet dans la société américaine. Mais la presse libérale a commencé à réfuter l’existence de tout pouvoir secret.  Il est devenu clair que « l’État profond » était très inquiet. 

The National Interest, considéré comme un magazine libéral analytique, a organisé un symposium par correspondance sur le thème « L’État profond existe-t-il ? ». Cela a abouti à une série d’articles par des « experts et analystes » bien connus. La « mousse aux lèvres », ils ont réfuté la théorie de l’existence d’un « État profond » aux États-Unis …

Voici comment, par exemple, John Deutch, directeur du renseignement central américain sous le président Clinton, a commenté ce sujet : « Les partisans les plus paranoïaques du président Trump disent que le nouvel État profond est une résistance organisée des responsables du gouvernement fédéral qui sont déterminés à saper sa présidence. Pas étonnant que les employés fédéraux, principalement dans les agences civiles, n’aiment pas les politiques de Trump, en particulier celles qui nécessitent des coupes budgétaires et d’autres restrictions. Mais qualifier cette résistance d’organisée est exagéré. En effet, il est ridicule d’affirmer que l’escalade des fuites de fonctionnaires mécontents qui entendent influencer la politique est la principale preuve de l’existence de l’État profond… Voici mon conseil. Lorsque vous entendez le terme « gouvernement fantôme », changez de chaîne ou éteignez la radio, ou si vous voyez un article comme celui-ci, tournez la page ».

Seul consensus, et rien de plus

Les auteurs des articles de The National Interest ont fait valoir que les hauts fonctionnaires adhèrent à l’unanimité au « consensus général » sur ce que devrait être la politique du pays après la fin de la guerre froide. Par exemple, ce consensus unit tous les fonctionnaires, quelle que soit leur affiliation partisane, et il est à la base du fait que la classe politique américaine dirige le pays dans la même direction choisie depuis longtemps. Et, disent-ils, en cas d’échecs, cette classe politique, sur la base d’un consensus inébranlable, corrige les erreurs qui peuvent être commises au sein du pouvoir exécutif ou législatif. Et dans le cas de Trump, par exemple, c’est ce consensus des politiciens américains qui a freiné les initiatives du président, et pas du tout une sorte d’« État profond ». Emma Ashford, experte du Cato Institute, écrit : « Le problème n’est pas, comme le prétend Trump, que « l’État profond » fasse dérailler son agenda politique. Il s’appuie sur des conseillers qui s’accordent eux-mêmes sur un consensus de politique étrangère post-guerre froide. Et jusqu’à ce que ce consensus soit modifié, la politique étrangère américaine continuera de suivre la même voie cohérente, quelle que soit l’administration ».

Contre les travailleurs ?

Rejoignant la vague de dénégations de l’idée de l’existence de « l’Etat profond », un autre expert, professeur à l’université du Texas, Michael Lind, est même prêt à admettre qu’il existe une « conspiration des élites transatlantiques », mais selon lui, il n’y a pas d’« Etat profond » secret. Toujours dans The National Interest, il écrit qu’après la fin de la guerre froide, le grand capital des deux côtés de l’Atlantique, afin d’augmenter ses profits et de renforcer son contrôle, a tenté de freiner les travailleurs et leurs syndicats. A cette fin, « les élites transatlantiques… ont restructuré le système de gouvernance de la société afin de minimiser la responsabilité démocratique. Pour ce faire, ils ont déplacé la prise de décision du législatif vers l’exécutif et le judiciaire au sein de l’État-nation. Et ils ont créé les conditions pour diverses prises de décision au sein de l’État-nation, à travers des organisations telles que l’Union européenne, qui sont assez isolées des électeurs ».

Cette révolution oligarchique venue d’en haut après la fin de la guerre froide peut être qualifiée de conspiration, mais ce n’est pas une conspiration étatique profonde. « C’était un programme mené au grand jour par Bill Clinton, George W. Bush et Tony Blair en collaboration avec des dirigeants centristes européens. Ils ont réussi à atteindre leurs objectifs : affaiblir l’influence économique et le pouvoir politique de la majorité ouvrière aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays occidentaux », écrit Michael Lind. Une révélation intéressante. Mais cela ne fait rien pour réfuter l’existence d’un complot appelé « l’Etat profond ». De plus, cela prouve que cet « état profond » n’est pas américain, mais supranational.

Et alors ?

L’existence d’un « État profond » est unanimement réfutée par la presse libérale américaine, qui tente de ridiculiser ceux qui croient le contraire. Cet « État profond » essaie de toutes ses forces de prouver qu’il n’existe pas. 

Le premier problème urgent auquel est confronté ce conglomérat de forces – qui ne recherchent pas la lumière et la publicité, mais contrôlent toute la vie américaine et tentent de contrôler le monde entier – est de maintenir sa superstructure visible à la Maison Blanche : c’est-à-dire l’administration actuelle, que ce soit celle de Biden ou de quelqu’un d’autre.

Le deuxième problème non moins urgent de « l’État profond », c’est l’existence d’une Russie indépendante, qui défend les valeurs traditionnelles et qui est le fleuron de toutes les forces mondiales opposées à l’hégémon, lequel professe presque ouvertement le « satanisme » dans ses diverses manifestations. 

La bataille va donc s’engager. Mais pour ce faire, « l’État profond » devra agir et se montrer. Par conséquent, il ne pourra pas cacher ses « oreilles », peu importe ses efforts.  Ainsi, de temps en temps, nous aurons l’occasion de mieux le connaître.   

– Source : Tsargrad TV (Russie)




Dr Louis Fouché sur la corruption du Système

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Le temps des clarifications

Hollande-Minsk II, Mort subite, “escroquerie coloniale” : Bruxelles, sifflets contre Debbouze…

Par Lucien SA Oulahbib

Le réel des vérités « brutales » (dirait Amélie Paul) craquelle la croûte des mensonges putrides par son irruption salutaire. Ainsi Hollande confirme les propos de Merkel sur la farce des accords de Minsk, tandis que la « mort subite de l’adulte » progresse chez les injectés dudit « vaccin », que Bruxelles croule sous la pression « post-coloniale » des mêmes sifflant l’un des leurs ayant choisi « aussi » la France au Maroc, et qu’enfin l’animateur du Cercle Aristote se méprend sur la réalité dite « coloniale » qu’il résume à une « escroquerie » (à 47:38) ce qui aurait fait rire Aristote lorsque l’on observe sur le temps long que « la » colonisation n’existe pas, mais apparaît plutôt comme une succession d’événements tels que la Course infestant la Méditerranée puis se réfugiant à Alger, l’essaimage de ceux refusant tel ou tel « vivre ensemble » dans les Cités grecques, les sectes protestantes anglaises se propulsant/se réfugiant en Amérique, les exilés de la Commune et de l’Alsace-Lorraine parqués à Alger, enfin les centaines de milliers voire les millions maintenant d’Africains (Nord et Sud) se réfugiant en France pour fuir les régimes installés par… De Gaulle et sa « Françafrique »…

Sans oublier la « politique arabe de la France » sacrifiant des centaines de milliers de personnes en « Algérie » (et cela continue : Debbouze traité de harki… Ou tel(le) autre de « Bounty »…) ayant cru dans le « je vous ai compris » gaullien, mais aussi l’abandon forcé de l’Indochine (la France lâchée par les US) devant la pression maoïste, et que solde Mendès, mais qui revint en boomerang vingt ans plus tard avec l’échec US, semblable au fond à celui qui vient d’être soldé à Kaboul (quasiment les mêmes images d’aéroport) et bientôt à Kiev, la France impliquée là encore, car il ne suffit pas d’envoyer de l’argent, des armes et le groupe « Mozart »…

Il n’y a certes du moins en apparence aucun lien entre ces divers faits, seulement une congruence, un faisceau, qui, en s’entrecroisant, tisse une perception et par là un imaginaire de plus en plus délétère où l’on entrevoit que les nouveaux « Dévorants » chers à Balzac en sont bien les tisserands fabriquant cette Toile non plus seulement « communicationnelle » (Internet), mais politico-affairiste sur fond sectaire de mœurs façon Caligula ou la désespérante décadence de suppliciés du désir (d’échecs) attendant, et avec frénésie, le coup de grâce

Qui le donnera ?… Leurs alliés djihadistes ? Certainement pas les néo-léninistes, eux-mêmes devenus les esclaves épileptiques de ces derniers. Il y a en fait bel et bien ces temps-ci une sorte d’hésitation historique, mêlée d’incertitudes, la pièce (shakespearienne) roule « bien » sur sa fente, mais tournoie aussi, s’arrête, bien plus semblable à cette antilope fascinée par le hurlement du guépard la sommant d’accepter de se faire (mortellement) agripper que ce lapin aveuglé plus que pris dans les phares d’une voiture. On dépasse alors et de manière morbide le jeu amoureux du « tel est pris qui croyait prendre », ce mélange goethéen des « affinités électives », ce cocktail sublime d’admiration et de plaisir stendhalien, celui de la fusion corps/esprit ou le basculement vif vers l’énergie pleine du Noun, subsumé par le Nirvana et surtout la Félicité, cette Autre face « trans-cosmique » toujours permanente tressant notre présentiel terrestre. Lapièce en gestation roule encore entre les limbes dans le magma obscur des has been et des wannabe, d’où surgit, sans coup férir parfois, le couperet « esprit du Temps » qui tranche alors les têtes à couper, celles de toute cette jeune/vieille élite, fadasse en tout cas, et qui s’accroche à cause et non plus grâce à toutes ses doses multiformes injectées désormais à la va-vite, malgré l’euthanasie et le suicide assisté tant vantés (pour la plèbe chic plutôt…) et, ainsi (soit-il) délivre, enfin, l’époque (epochè)…

Du moins selon l’expérience… Mais il y a l’inédit…




Usés par l’hôpital français, des soignants se tournent vers la Suisse

[Source : francetvinfo.fr]

[Illustration : La clinique privée Cecil du groupe Hirslanden, à Lausanne, en décembre 2022. (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)]

De plus en plus de soignants, dégoûtés, écœurés par leurs conditions de travail, décident de changer de vie. Ils quittent l’hôpital en France pour aller travailler en Suisse, où les conditions et le salaire sont plus attractifs. 

Par Solenne Le Hen

À Lausanne, la très chic clinique privée Cecil du groupe Hirslanden est installée dans un magnifique bâtiment historique, avec vue sur le lac Léman. Au sein de son service d’urgences, les soignants sont tous français. L’une vient de Haute-Savoie, juste de l’autre côté du lac, une autre de Lorraine, un troisième de Bordeaux et un autre est grenoblois. « On a des collègues d’Auxerre, de Lyon, de Paris, de Nantes, d’Annecy, énumère un soignant. De toute la France, en fait. » 

Parmi eux, le Dr Maurice Raphaël. Il a démissionné il y a deux ans de son poste de chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, en Île-de-France. « On a une certaine idée de ce métier et évidemment c’est très difficile de lâcher les patients, donc on est là tout le temps. Moi j’étais là 28 jours sur 30 à peu près », se souvient-il. « Physiquement, on ne peut pas tenir comme ça longtemps. »

>> « Je n’avais pas signé pour ça » : huit soignants témoignent d’un hôpital public à bout de souffle

« On a le nez dans le guidon et on avance, on avance. Et on ne se rend pas compte qu’on est en train de se détruire. »

Dr Maurice Raphaël

Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)
Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)

Son entourage avait réellement la crainte qu’il se tue à la tâche. « Je ne suis pas parti pour venir en Suisse, explique ce médecin. La plupart des soignants qui sont ici ne sont pas des gens qui sont venus spécialement en Suisse. C’est avant tout pour quitter le système français, pour ne plus subir. » 

Virginie Céria, infirmière aux urgences en Haute-Savoie pendant 15 ans, confirme : c’était la Suisse, ou bien tout laisser tomber et abandonner le métier. « Et pourtant j’ai adoré travailler aux urgences en France, confie-t-elle. Mais au bout d’un moment, je ne me sentais plus capable. Car dans un service d’urgence fait pour 80 passages par jour, on pouvait aller jusqu’à 200 patients, avec des manques de lits d’hospitalisation. Vous vous dites : ‘je ne peux pas vieillir dans ce métier en France’. » Elle envisageait carrément « arrêter d’être infirmière », avant qu’un collègue ne lui parle de la Suisse. 

« Ce n’est pas tout rose, mais c’est tellement mieux »

L’un des avantages de la Suisse, ce sont les salaires, entre 1 000 et 3 000 euros de plus par mois, selon les postes, par rapport au même emploi en France. Mais à la clinique Cecil de Lausanne, la rémunération n’est pas la motivation première des soignants. « Ça n’aurait pas été la Suisse, ç’aurait été le Canada. Sinon, la Belgique », affirme Agathe, infirmière auparavant en Île-de-France. « C’est un peu le chat qui se mord la queue. On n’a pas envie de quitter les soins, on a envie de rester infirmiers, de passer des journées avec des patients. »

« On aimerait être en France, mais on aimerait que ce soit bienveillant. On aimerait qu’ils comprennent que laisser des gens pendant huit heures aux urgences dans des brancards, c’est grave. On ne peut pas se permettre ça. »

Agathe, infirmière à la clinique Cecil de Lausanne

Depuis qu’elle est en Suisse, ses conditions de travail n’ont plus rien à voir. Agathe a trois fois moins de patients à prendre en charge dans son service de médecine-chirurgie. Elle se souvient d’un épisode dans son ancien hôpital francilien : « C’est aux infirmières du matin de prendre les constantes des patients, explique-t-elle. Mais on n’a pas de thermomètre. J’arrive en réunion avec sept médecins, le chef de service qui me dit : ‘Alors, est-ce qu’ils ont chauffé ?’ Eh bien je ne peux pas répondre à cette question parce que je n’ai pas de thermomètre. » Qu’en est-il dans son nouvel établissement ? « Ici, il y a 20 patients, il y a cinq thermomètres. »

Agathe ne regrette pas son exil. Pas plus que Virginie Céria, qui habite côté français et a trois heures de transports chaque jour, aller-retour. Malgré tout, venir en Suisse l’a « réconciliée avec le métier d’infirmière. Elle détaille : On a le temps de prendre en charge les patients, on a le matériel qu’il faut, Ce n’est pas tout rose mais c’est tellement mieux. J’ai trouvé où je vais finir ma carrière. »

+ 10% de soignants frontaliers dans le canton de Vaud chaque année

« Très peu font le chemin inverse », affirme Fanny Lazzarotto, la directrice des ressources humaines des deux cliniques du groupe Hirslanden à Lausanne, qui emploie 250 Français. « S’ils le font, c’est qu’ils ont une contrainte familiale. Mais à ma connaissance, si j’ai peut-être trois ou cinq collaborateurs, ces quinze derniers mois, qui ont du le faire plus que souhaité le faire, c’est le maximum. » Elle embauche chaque année des dizaines de Français. Et elle insiste, elle ne cherche pas à piller l’hôpital français, car en Suisse aussi, il y a pénurie de professionnels de santé. En fait, dit-elle, les CV français tombent pratiquement tout seuls sur son bureau.

« Aujourd’hui, 7 000 soignants – infirmiers et aide-soignants – habitant dans l’Ain et la Haute-Savoie travaillent en Suisse« , détaille Anne Reffet-Rochas, chef de projet Insee Auvergne Rhone Alpes. Elle a participé à une étude récente sur le sujet« Chez ces soignants transfrontaliers, on constate entre 2008 et 2018 une hausse de 200% de ceux qui vont travailler tous les jours vers le canton de Vaud (canton de Lausanne) et 65% vers le canton de Genève. Entre 2016 et 2021, la hausse est même davantage marquée, avec 10% par an de soignants frontaliers de plus allant travailler dans le canton de Vaud et 3% de plus vers le canton de Genève. Mais ces hausses importantes doivent être nuancées, car elles concernent de petits effectifs. »

« On constate néanmoins une omniprésence de ces infirmiers et aide-soignants français en Suisse », ajoute Charles-Julien Giraud, lui aussi auteur de cette étude.

« Dans les cliniques privées du canton de Genève, 79% des soignants ont un diplôme français, et 47% dans les cliniques privées du canton de Vaud. »

Charles-Julien Giraud, chargé d’études à l’Insee

Cet exode des soignants vers la Suisse risque de se poursuivre dans les prochains mois et les prochaines années. Virginie Céria, l’ancienne infirmière de Haute-Savoie, est toujours en contact avec ses collègues de l’époque. « Il y en a beaucoup qui sont partis depuis que je suis partie, pourtant ça ne fait pas longtemps, ça fait un peu moins de trois ans, raconte-t-elle. Ils sont allés en Suisse essentiellement. Il en reste quelques-uns, ils me posent beaucoup de questions, en disant : ‘le jour où j’aurais envie, tu me diras’… En tout cas ils se posent tous la question, ça c’est sûr. » 

Chez ces soignants qui travaillent en Suisse, on sent de la tristesse, souvent un sentiment de culpabilité d’avoir abandonné le « navire-hôpital » en plein naufrage. Pour autant, ils le disent, ils ne veulent plus mal faire leur travail. Aucun ne reviendra en France tant que l’hôpital ira si mal.





Vœux de Joseph pour 2023

Par Joseph Stroberg

Un édifice ou un système, comme le Nouvel Ordre Mondial, peut être détruit d’au moins trois manières :

  1. en enlevant sa pierre angulaire, sa clef de voûte, ce qui produit son effondrement depuis le haut et est l’équivalent d’une décapitation ;
  2. en s’en prenant à ses fondations, ce qui peut être facilité lorsque le système ressemble à un château de cartes ;
  3. en le rongeant partout avec l’équivalent d’un acide (ou en cessant de l’alimenter).

Ronger le Nouvel Ordre Mondial partout simultanément ne peut se faire que par une prise de conscience massive de sa réalité et de son fonctionnement. L’acide est la Conscience éclairée. Il semble bien que l’Humanité en soit actuellement loin, encore trop soumise à la peur (notamment de la mort), ce qui fait qu’elle continue d’alimenter ce système au lieu d’en ronger, désagréger tous les aspects par un changement de mode de vie.

Le Nouvel Ordre Mondial est construit sur le principe de l’inversion de la Création, d’où en particulier l’énorme intérêt des élites pour le transhumanisme, l’artificiel et le renversement naturel de la biologie avec notamment la théorie du genre. Poutine tente de s’attaquer à ces fondations pour rétablir les principes traditionnels accordés sur la Création, mais même avec ses énormes moyens militaires, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir.

Quelle est la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial ?
Ce sans quoi les élites mondialistes n’auraient jamais pu imposer mondialement la distanciation sociale, les confinements, les masques, les tests PCR, les QR codes et les vaccinations : la théorie virale. Or, de plus en plus d’éléments factuels démontrent que celle-ci ne relève pas de science, mais de scientisme, de mauvaise cuisine ou de mauvaise religion, comme le lecteur pourra en avoir un bon aperçu en se plongeant dans les articles du dossier Vaccins et virus, ceci à condition qu’il accepte de remettre en question les croyances massivement entretenues par l’industrie pharmaceutique (qui contrôle notamment l’enseignement des médecins à l’université) et de s’ouvrir aux éléments démonstratifs et révélateurs proposés dans ces articles.

En lisant ces articles, le lecteur découvrira notamment les points suivants :

Les virus pathogènes n’ont jamais été scientifiquement isolés et caractérisés.
À ceux qui répondent que l’absence de la preuve de l’existence de virus pathogènes n’est pas la preuve de leur inexistence, je réponds :

l’absence de la preuve de l’existence d’éléphants roses n’est pas non plus la preuve de leur inexistence,
et l’absence de la preuve de l’existence de Dieu n’est pas non plus la preuve de son inexistence.
Dans le premier cas (celui des éléphants roses), nous avons cependant affaire à du delirium tremens ou à des théories purement fantaisistes, même pour ceux qui pensent qu’il suffit de peindre en rose un éléphant réel pour démontrer l’existence d’éléphants roses.
Dans le second cas, il s’agit d’une croyance d’ordre purement religieux qu’il n’est pas possible de démontrer scientifiquement.

L’effet cytopathique qui prétend démontrer la culture virale s’obtient pareillement sans la moindre présence de tissus biologiques supposés infectés par un virus pathogène, ce qui démontre implacablement que cet effet n’est nullement la démonstration de la présence d’un tel virus, la mort des cellules dites de culture ne résultant que des poisons inclus dans le milieu (antibiotiques et nombreux toxiques censés favoriser la multiplication virale, mais qui en fait tuent les cellules de culture).

Les séquençages de seconde génération qui prétendent ensuite reconstituer le matériel génétique dudit virus sont de véritables farces. Ils partent d’une soupe génétique indifférenciée et non caractérisée qui peut mêler aussi bien des bouts de gènes en provenance du prétendu tissu infecté que des cellules de cultures et d’autres composants biologiques présents dans le milieu. Et cerise sur le gâteau, ils coupent ces bouts de gènes en séquences de quelques cinquantaines ou centaines de codons (ou de bases) et moulinent tant et aussi longtemps qu’ils ne s’approchent pas d’un modèle théorique servant de référence à la reconstitution du puzzle. C’est exactement la même situation grotesque et non scientifique qui consisterait à tenter de reconstituer le roman Germinal de Zola (le modèle, tel que SRAS-CoV-2) à partir du découpage en petits morceaux de papier de milliers de romans pris au hasard dans une bibliothèque. Avec un peu de chances et suffisamment de patience (en faisant tourner suffisamment longtemps la moulinette du séquençage génétique — opération purement logicielle), en collant les petits bouts de papier adéquatement, en reconstituant ainsi des phrases (génétiques), on finira par retrouver 99,7 % du roman Germinal et on prétendra qu’il était bien présent dans la bibliothèque au départ, alors qu’il ne s’y trouvait pas nécessairement.

Le fait que les « virus » soient visuellement semblables aux exosomes ou à d’autres composants cellulaires (par ailleurs eux scientifiquement caractérisés) ne démontre par ailleurs pas qu’ils soient responsables de maladies, pas davantage que la présence de mouches sur des cadavres ne démontre que ces dernières seraient les responsables de la mort des animaux ou des êtres humains concernés.

La théorie virale s’est vue coller tellement de rustines pour tenter d’éviter son éclatement (alors qu’elle aurait dû disparaître il y a près de 70 ans) qu’elle en est devenue incontestable, ce qui de fait la déplace hors du cadre de la science (puisque le propre de toute véritable théorie scientifique est d’admettre ses limites et la possibilité d’être contestée).

Les rares contagions effectives (en dehors de l’exposition à une cause commune, comme le sont les champs électriques et les ondes électromagnétiques, sachant que le corps lui-même est de nature électrique, magnétique et électromagnétique, jusqu’aux niveaux cellulaires et moléculaires) peuvent s’expliquer par la communication et l’influence expérimentalement démontrée entre organismes vivants, par les biophotons.
(Voir Communication entre organismes vivants par biophotons et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques.)

En réponse à l’argument des labos P4, voir C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !.

Mon vœu est que les êtres humains, et spécialement s’ils sont médecins ou travaillent dans le domaine de la Santé, se penchent sérieusement et avec ouverture d’esprit sur la contestation de la théorie virale afin qu’ensuite la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial soit détruite et que ce dernier s’effondre dans la foulée. Un vœu alternatif est qu’à défaut ils soutiennent Poutine face à l’inversion occidentale. Cependant l’approche de la pierre angulaire peut être plus rapide et surtout éviterait bien des morts.

Joseph Stroberg

P.S.

Les prix Nobel, y compris en médecine, sont délivrés à des êtres humains qui ont été particulièrement utiles aux élites mondialistes en vue de l’édification du Nouvel Ordre Mondial, même si leur aide est purement involontaire.
Montagnier a ainsi reçu son prix pour avoir permis de renforcer la légende urbaine des virus pathogènes et Kary Mullis pour l’invention du test PCR qui est bien utile pour inventer des épidémies, spécialement depuis l’invention du concept scientifiquement frauduleux et fallacieux de « malades asymptomatiques ».
(Voir :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Repenser le SIDA
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Pas de fleurs pour le sidarnarqueur
La virologie et le test PCR
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH
L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade
La fraude des anticorps
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies)




Pierre de Gaulle : « Moins de 50% des aides arrivent aux ukrainiens »




Ukraine/Russie : «Un génocide» ? De l’importance des mots – Le billet d’humeur d’Arno Klarsfeld

[Source : Radio J]

« Je ne veux pas au sein de l’Union européenne d’une Ukraine qui au lieu de condamner des crimes commis contre des dizaines de milliers de familles juives par les nationalistes ukrainiens et par une partie importante de la population ukrainienne, dresse des statues aux génocidaires comme Bandera et abat celles commémorant la victoire contre le nazisme.

Je ne veux pas d’une Europe qui risque de considérer dans l’histoire et dans l’avenir que la Russie était le véritable ennemi et que l’Allemagne nazie et les nationalistes ukrainiens défendaient la civilisation européenne. Cette tendance à sataniser la Russie existe déjà, non seulement dans les médias, mais aussi chez les responsables politiques européens qui disent ou laissent dire que la Russie commet un génocide à l’encontre du peuple ukrainien.

Si j’écris sur Twitter que la Russie commet des crimes de guerre mais ne commet pas un génocide, j’obtiens la réponse suivante de Nathalie Loiseau, responsable du parti centriste français au Parlement européen : et les atrocités, et les privations d’eau et d’électricité ?

Je venais pourtant de dire que la Russie commettait des crimes de guerre, mais cela ne suffit pas. Pour la doxa, il faut dire aussi que la Russie commet un génocide. Il faut noircir la Russie le plus possible quitte à tordre la vérité. »




Robert Kennedy Jr : à qui profite le crime ?




Le pape François aussi cinglé que Macron ? Ça expliquerait bien des choses !

[Source : RL]

Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression.

En réalité, l’explication serait sans doute ailleurs que dans l’exubérance des attitudes… mais plutôt dans l’adhérence [adhésion] au Nouvel Ordre Mondial et ses sataniques décideurs. 

Je viens d’en apprendre une bien bonne… le pape François qui serait, selon certaines sources, l’un des hommes les plus détestés dans le monde aujourd’hui… Non pas majoritairement par les athées, les protestants ou les musulmans, comme on pourrait s’y attendre, mais… par les chrétiens et ses propres partisans.

Il est vrai que catholique d’origine, devenue non pratiquante assidue depuis des décennies, je ne porte pas dans mon cœur ce fieffé hypocrite (qui n’a certainement pas été placé au plus haut de l’échelle de la chrétienté par hasard…) affichant en permanence ses préférences pour… les prétendus malheureux des autres religions sans se soucier de ses propres ouailles… tout comme en France nos salopards de politiciens n’ont d’yeux que pour les étrangers à notre pays, principalement musulmans !

M’étant comme des millions d’humains dans le monde réjouie en 2013 de l’arrivée de ce pape « différent », archevêque de Buenos Aires, semblant bien plus proche des petites gens que ses prédécesseurs depuis longtemps dans les ors de l’Église, j’ai bien vite déchanté à propos de cette différence… qui s’avérait finalement bien plus dans une envergure « politique » que religieuse.

Diverses informations à propos de son omniprésente bienveillance envers notamment les mahométans… à l’opposé de sa quasi-indifférence pour les souffrances des chrétiens d’Orient, pourtant martyrisés précisément par ses favoris, n’a pas aidé à la maintenance de l’admiration envers ce pape spécial.

Et la découverte ce jour de l’article du site « anna-bellas.com », présenté comme « une page gaulliste de ré-information. Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l’ivraie », ne pouvait que me conforter dans ma méfiance envers ce prélat.

N’ayant pas accès aux vidéos annoncées dans l’article, pour les raisons évidentes de dérives totalitaires du fou qui prétend nous gouverner, je mets néanmoins les deux liens, pour ceux des lecteurs qui sauraient peut-être les convertir…

https://rumble.com/v1wy7me-klaus-schwab-god-is-dead-and-the-wef-is-acquiring-divine-powers.html

À suivre quelques extraits troublants

À ce paragraphe de décembre 2022 reprenant en partie la traduction du lien d’origine, revenant sur l’appel à un gouvernement mondial, annoncé par le pape :

En réalité, l’appel à un gouvernement mondial et à une religion mondiale unique lancé par le pape François et d’autres riches élitistes n’a rien à voir avec le relèvement des nations appauvries ou le « sauvetage de l’humanité. » Un tel gouvernement garantirait au contraire l’inégalité des richesses dans le monde, une surveillance mondiale du type de celle promue par le Forum économique mondial de Klaus Schwab, et un monde dirigé par les mêmes intérêts corrompus qui ont utilisé la pandémie pour consolider la richesse et le pouvoir dans le monde

… correspond parfaitement ce commentaire d’avril 2021, démontrant à quel point ce pape est davantage un politique qu’un homme de foi, puisqu’il se complaît davantage dans les échanges avec notamment Klaus Schwab et les grands argentiers (Davos–le NOM), qu’à œuvrer infatigablement pour soulager la misère morale de ceux qui s’enfoncent de plus en plus dans « la misère » totale !

VILLE DU VATICAN, 8 avril 2021 (LifeSiteNews) – Le pape François s’est adressé à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international lors de leur réunion de printemps, appelant à une « gouvernance mondiale » à la lumière du COVID-19, plaidant fortement pour des vaccins universels et déplorant la « dette écologique » envers « la nature elle-même ».

Cette lettre est la dernière d’une série d’actes récents dans lesquels François s’est aligné sur des entreprises mondiales engagées dans des programmes anticatholiques.

https://www.crashdebug.fr/le-pape-francois-appelle-a-une-gouvernance-mondiale-et-a-des-vaccins-universels-dans-une-lettre-adressee-a-un-sommet-financier-mondialiste-lifesitenews-com

Revenons au texte d’anna-bellas :

Fait troublant, les chefs religieux mondiaux commencent également à se réunir pour prêcher à partir de la même feuille de cantiques, demandant à leurs brebis d’accepter les composantes du gouvernement mondial unique du Nouvel Ordre Mondial.

C’est le pape qui a informé ses ouailles que « les relations avec Jésus sont dangereuses et nuisibles ». Rompant avec des siècles de tradition chrétienne, le pape François a suscité des craintes qu’il soit un pape illégitime avec un agenda sinistre lorsqu’il a déclaré à une foule de 33 000 pèlerins sur la place Saint-Pierre à Rome qu’une relation personnelle, directe et immédiate avec Jésus-Christ » doit être évitée à tout prix.

La version inversée du christianisme du pape François est déroutante pour beaucoup, cependant l’image devient claire quand on comprend qui le pontife sert vraiment. Pour citer la candidate présidentielle française Marine Le Pen, le pape François est un « bulldog mondialiste » qui est loyal au Nouvel Ordre Mondial.

Maintenant, le pape François défie activement les écritures bibliques en travaillant à la création d’une « religion mondiale unique ».

Les masochistes pourront durablement se faire mal en lisant l’intégralité du texte, voire à la suite, en anglais, le texte d’origine publié par Baxter Dmitry sur Newspunch.com.

À lire également :

Je n’ai pas attendu l’autorisation de ce pape perfide pour créer ma propre religion, basée uniquement sur le bon sens, l’intégrité et l’observation des faits avant des bavardages « autorisés », donc je me moque qu’il se maintienne malgré ses douleurs au genou, ou qu’il démissionne… cela ne changera rien pour moi ; mais si je  peux être utile à quelques âmes égarées en leur ouvrant les yeux sur les manipulateurs politiques, dont manifestement François fait partie, je n’aurai pas perdu mon temps.

Amen.




REVUE DE PRESSE DU 1er JANVIER 2023

EDITORIAL
Matrix et le légionnaire

Non ce n’est pas le titre d’un thriller (encore que..), mais « l’usine à gaz » du vaccin de Novavax destiné aux réfractaires aux vaccins à ARNm. Une imposture de plus au rayon des vaccins dont on n’en finit pas de décrire les effets indésirables qui augmentent avec le nombre d’injections, qui tuent de plus en plus et en particulier des sujets jeunes, tandis qu’il suffirait de rendre ses lettres de noblesse à l’Ivermectine aussi bien en préventif qu’en curatif. La justice avance dans le monde, l’Inde enquête sur le lien entre les vaccins et les morts brutales, mais en France l’Éducation nationale promeut la vaccination à tout âge alors que la stratégie sanitaire est un échec cuisant. La résistance reste dynamique et s’affiche même à la une de Nexus, qui se préoccupe des « substances » contenues dans les vaccins.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

FranceSoir a déposé un référé suspension contre la décision de non-renouvellement de son agrément

https://www.francesoir.fr/politique-france/francesoir-depose-un-refere-suspension-contre-la-decision-de-la-cppap

« Le rôle de la presse est de servir de contre-pouvoir et qu’il ne relève pas du rôle du ministère de la Santé de s’immiscer dans ce processus de décision censé garantir la séparation des pouvoirs. »

École : incitation à la vaccination, du CP à la terminale

« Le complotisme, ainsi que l’absence de lien de causalité prouvée entre les vaccins et certaines pathologies sont donc utilisés comme arguments principaux pour contrer l’hésitant ou le réfractaire. »

ÉTRANGER

INDE Enquête sur le lien possible entre vaccins et arrêts cardiaques

https://timesofindia.indiatimes.com/india/sudden-cardiac-arrest-icmr-to-probe-covid-link/articleshow/96467046.cms

« Le conseil de la recherche a lancé une vaste étude avec les meilleurs cardiologues pour étudier toutes les causes possibles de cette flambée de morts subites en particulier chez des jeunes, en train de danser, chanter ou se promener dans la rue. »

USA Le sang de « non vaccinés » est très recherché

« Un remake de l’affaire du sang contaminé des années SIDA ? En Nouvelle-Zélande, le bébé Will en est mort. »

USA Comment le Pr Bhattacharya avait été censuré par Twitter

« Si des opinions scientifiquement informées sont supprimées, censurées ou artificiellement interdites d’accès à la sphère publique, comme cela s’est produit fréquemment tout au long de la pandémie de Covid-19, le perdant n’est pas seulement les scientifiques censurés, mais la science elle-même, et le progrès humain plus généralement. »

JUSTICE

Les « injecteurs » mis en cause

« Une enseignante condamnée pour exercice illégal de la médecine, un médecin belge accusé d’avoir inoculé un vaccin expérimental, des médecins accusés de refus de soins parce que non vaccinés. »

USA, Floride La Cour suprême autorise un grand jury à enquêter sur les fabricants de vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-monde/en-floride-la-cour-supreme-autorise-un-grand-jury-enqueter-sur-les-fabricants-de

« Les acteurs de toute la chaîne de vaccination, allant de la conception à sa distribution, en passant par le développement, les tests cliniques et la commercialisation, seront concernés par l’enquête de ce grand jury/Le comité sera constitué de plusieurs professionnels de la santé, dont le Dr Jay Bhattacharya. »

COVID

Comment mettre fin à l’épidémie ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/comment-mettre-fin-l-epidemie-de-covid-19

La prévention, toujours et encore. Avec de l’Ivermectine, preuves à l’appui.

TRAITEMENT

Ivermectine, le traitement de choix du Covid 19, confirmé par son inventeur

https://lemediaen442.fr/le-prix-nobel-de-medecine-satoshi-omura-presente-livermectine-comme-traitement-contre-le-covid/

ET

https://www.theepochtimes.com/health/ivermectin-is-safe-and-effective-the-evidence_4944960.html

« Le fait que ce médicament antiviral extrêmement efficace, sûr et peu coûteux ne soit pas aussi bien connu dans le monde que la pénicilline est ungouffre d’ignorance inexcusable et mortelle que l’ère COVID donne au monde l’occasion de corriger. »

Échec de la stratégie sanitaire française

« Dans le monde réel, les antipaludéens ont limité contamination et mortalité, et le seul bénéfice des pseudo-vaccins a été financier pour les firmes et leurs actionnaires. »

Paludisme et Covid, l’étrange parenté et l’efficacité des antipaludéens

« L’Afrique pratiquement pas injectée a résisté à la covid en utilisant les antipaludéens, macrolides, cyclines, ivermectine et artémisinine. »

INJECTIONS

Preuves que les injections sont des armes biologiques

https://fr.sott.net/article/41503-Nous-avons-toutes-les-preuves-Les-vaccins-contre-le-Covid-sont-bien-des-armes-biologoqies

« Pfizer dit sur son site Web que c’est de la technologie. Les nanoparticules lipidiques sont techniquement appelées microrobots biohybrides. Cela sonne mal, alors ils les appellent des nanoparticules lipidiques pour que cela ne semble pas aussi effrayant. Donc, il y a de la technologie dans les injections Covid-19. »

Le Nuvaxovid pour les nuls

https://merylnass.substack.com/p/novavax-vaccine-contains-1-mg-of

« Ce 5e vaccin anti-Covid-19 autorisé en France a pour but de convaincre les “anti”-ARN messager. La protéinespikedu vaccin est cultivée en modifiant génétiquement desbaculoviruspour produire laspike, puis en infectant des cellules d’insectes pour transformer l’ensemble en une usine de protéinespike… et avec un adjuvant dont on ne connaît rien, le “Matrix-M”…

Dans chaque injection, protéines de pointe, ADN et protéines debaculoviruset cellules du légionnaire d’automne. Le vaccinNovavaxn’est pas suffisamment purifié. Nul ne peut dire comment les contaminants protéiques et ADN d’insectes et virus affecteront les receveurs. Ce n’est pas un vaccin traditionnel, mais un autre “leurre” mis en place uniquement pour attirer les non-vaccinés, car il n’est pas constitué d’ARNm.

Les autorités de réglementation admettent qu’elles n’ont aucune idée de l’efficacité du vaccin ni de sa dangerosité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

À quel moment surviennent les effets indésirables ?

https://www.aimsib.org/2022/12/25/a-quel-moment-surviennent-les-effets-secondaires-lies-a-la-vaccination-anti-covid/

La principale conclusion d’une étude canadienne est que la plupart des événements liés à la santé, tels qu’enregistrés comme des changements dans les dossiers pharmaceutiques des patients, se sont produits au-delà de la période d’observation de 6 semaines, actuellement utilisée par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Ceci appelle à une extension de cette période et à une révision des directives établies pour la déclaration et les analyses des EI post-vaccination.

Heureux les pauvres qui n’ont pas injecté de booster

« L’Afrique et une partie de l’Asie ont éliminé la Covid, le Japon démontre la nocivité des injection.

Plus on vaccine, plus on a de doses, 3e, 4e, plus on a de décès. On est loin, très loin de la protection des formes graves, ces courbes successives montrent le contraire. »

Efficacité du vaccin bivalent

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1

« Une étude de Cleveland révèle quele risque de COVID-19 a augmenté avec le temps écoulé depuis la dernière maladie COVID-19 et avec le nombre de doses reçues précédemment. »

Un ado sur 30, vacciné trois doses, fait une myocardite

« Avant vaccin Covid : 4 cas de myocardite/million ;
après vaccin Covid chez 13-18 ans et 2 ou 3 doses : 25 000 cas par million !!! »

N’injectez pas les enfants avec ce produit inefficace et dangereux !

Une image qui vaut mille mots :

RÉSISTANCES

Corruption et fraude dans la crise Covid, colloque interdisciplinaire

https://www.kairospresse.be/colloque-interdisciplinaire-corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020/

« Cette intervention montre que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objectives aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux. »

Appel aux dons pour soutenir les personnels suspendus

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/les-heros-c-est-bien-eux-jean-louis

« Il y a déjà eu des suicides dans cette population, on voudrait éviter à tout prix que ça continue. Et surtout il y a des gens qui se retrouvent dans une détresse phénoménale : financière, psychologique, juridique. »

On achève bien les soignants

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/catherine-bouissou-on-acheve-bien-les-soignants

« Déboires, appels au secours et solidarité entre soignants non vaccinés. »

Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font !

https://www.babelio.com/livres/Jacquemin-Ne-leur-pardonnez-pasIls-savaient-trEs-bien-ce-q/1471500

« En fouillant sur les sites gouvernementaux américains, anglais, israéliens, français et ailleurs en Europe, liés à la Santé, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin y a découvert pléthore de documents qui l’ont incité à approfondir le sujet auprès de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, généticiens, cancérologues mondialement connus : ils sont unanimes sur les répercussions d’injections expérimentales proposées — imposées. »

NEXUS numéro de janvier 2023



Dr Louis Fouché : « La principale cause de mortalité, au fond, c’est un peu notre système de santé »

[Source : Sud Radio]




L’appropriation illégitime de la fausse élite

Par Lucien SA Oulahbib

Allez voir « le monde d’après » de Laurent Firode à l’espace Saint-Michel (Paris, 19 h tous les jours, 7 euros, voir ici aussi) pour comprendre le degré de décrépitude, d’abrutissement, non-sens, régression absolue suintant de cette fausse élite s’accrochant aux lustres, murs, fondations, dorures de ces institutions françaises certes boursouflées, chancelantes et en fin de course, mais aussi œuvres tout de même au fil des ans de tout ce qu’a fait ce peuple de France depuis des siècles, ses monuments, pavés, immeubles, lieux de vies, restos, bars, toutes ces choses subliminales qui tissent une atmosphère et sa perception, son imaginaire, sa chair symbolique et tactile, tout cela est de plus en plus « viandé », faisandé par cette fausse élite qui surfe dessus, s’enveloppant avec tout en le salissant avec sa crasse, son ignorance, sa vulgarité exponentielle.

Dégoût. Exaspération aussi, de les voir encore se pavaner dans des « illusions perdues », s’empêtrer dans des explications et productions inutiles tant tout ce qui provient d’eux s’avère nul et non avenu, perte de confiance, totale.

Comment non pas les écouter encore, mais toujours les entr’apercevoir, au détour d’une image, d’une affiche, telle celle de « l’Ex-presse » parlant des « nouveaux obscurantistes » alors que ce feu-magazine en est devenu la quintessence, désormais au sein des réplicants (voir les analyses d0 FranceSoir sur ce point).

Mêmes les révélations de corruptions, gabegies, provenant d’apprentis sorciers, et désormais innombrables, ne les freinent pas, car comme disait Audiard « les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ». Sauf qu’ils ne sont pas cons. Il faut en finir avec cette légende urbaine…

C’est plutôt nous.




La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans

En 2002, la Dr Rima Laibow, épouse du général américain Stubblebine, a été informée par l’un de ses patients, un chef d’État, de la pandémie de Covid et des vaccins empoisonnés. Il lui a dit :

« C’est presque l’heure du grand abattage des mangeurs inutiles… »

Elle a montré comment insérer un long écouvillon dans le passage nasal pour recueillir un échantillon olfactif, une zone normalement protégée contre les interférences étrangères et l’invasion de la lame criblée. Lorsque le cinéaste et ancien gouverneur d’État Jesse Ventura l’a interviewée dans l’émission « Conspiracy Theory », diffusée en 2009, elle a averti que les gouvernements annonceraient une pandémie mondiale et que 90 % de la population humaine serait éliminée… la véritable menace et le moyen de mourir seraient le vaccin.


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Source : Rumble


Dr Rima Laibaw
et le général Albert Stubblebine
(source : http://drrimatruthreports.com/)

Le major général Albert Stubblebine III, décédé le jour de son 87e anniversaire, était à la tête des services de renseignement de l’armée américaine au début des années 1980 ; il était surnommé « spoonbender » [« tordeur de cuillères », probablement d’après Ury Geller] en raison de sa croyance dans l’utilisation des pouvoirs psychiques et télépathiques dans la guerre.
(Source : https://www.telegraph.co.uk/obituaries/2017/04/07/major-general-albert-stubblebine-iii-us-intelligence-chief-involved/)


Dans la vidéo suivante, la Dr Rima Laibow évoque de nouveau le plan des mondialistes :
(noter qu’à un moment elle épelle un mot qui est rendu seulement par ses quatre dernières lettres « lled » dans les sous-titres alors qu’il s’agit du mot « culled » qui signifie éliminé ou abattu).



Le Dr Rima Laibow est le médecin [psychiatre] qui a dénoncé à Alex Jones et Jesse Ventura, en 2009, l’existence d’une future pandémie au cours de laquelle les mondialistes dépeupleront le monde à 90% grâce aux vaccins.

Dans cette interview, elle partage avec nous la réalité dévastatrice de la façon dont cela sera réalisé si nous continuons sur cette voie, qu’il est peut-être déjà trop tard pour beaucoup, et ce qu’ils ont prévu d’autre pour l’humanité sur la base de ses informations et de ses recherches.

La vidéo originale du Dr Rima dénonçant les faits est disponible ici :

(Source : https://zeeemedia.com/interview/dr-rima-laibow-devastating-90-of-the-global-population-will-die-globalist-agenda/)






Une enquête de l’Associated Press met la lumière sur l’usage des technologies anti-Covid à des fins de surveillance

[Source : FranceSoir]

Dans une enquête, l’Associated Press (AP) dévoile la manière par laquelle
des gouvernements à travers le monde exploitent les technologies créées
pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 à des fins de surveillance de leurs populations.
©Valery Hache/AFP

Dans une enquête publiée le 21 décembre, l’Associated Press (AP) dévoile la manière par laquelle des gouvernements à travers le monde exploitent les technologies créées pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 à des fins de surveillance de leurs populations. L’AP s’intéresse aux procédés utilisés par des pays des cinq continents, considérés comme dictatoriaux ou démocratiques, pour prévenir ou réprimer toute forme de contestation, “harceler des communautés” minoritaires ou exploiter les informations sur la santé à des fins d’espionnage.

Cette enquête, menée pendant plus d’un an, fait partie d’une série intitulée « Tracked« , qui s’intéresse “au pouvoir” et aux “conséquences des décisions prises par des algorithmes sur la vie quotidienne des gens”. Dans cette partie, publiée par les journalistes de l’AP après avoir interviewé une multitude de “sources et consulté des milliers de documents”, il est expliqué “comment les technologies utilisées pour ‘aplanir la courbe’ des contaminations ont été utilisées à d’autres fins”.

“Tout comme l’équilibre entre la vie privée et la sécurité nationale a changé après les attentats terroristes du 11 septembre, le Covid-19 a donné aux autorités un argument pour intégrer des outils de surveillance de la société qui ont duré longtemps après les confinements”, résume l’AP, qui consacre également dans son enquête un encadré au projet « big data de la tranquillité publique » à Marseille, en France.

Les libertés individuelles suspendues à un QR Code

Cette enquête ne pouvait certainement pas faire l’impasse sur la Chine et sa politique “ultra-stricte” de zéro Covid. Les autorités chinoises, nationales comme locales, ont misé sur les confinements mais surtout les applications mobiles pour lutter contre l’épidémie. Les citoyens ont été obligés d’installer des programmes sur leurs smartphones pour pouvoir circuler librement entre les différents États chinois. À partir des données de santé et des résultats de tests PCR, ces applications génèrent des codes QR individuels, qui passent du vert au rouge, selon l’état de santé de chaque individu.

Pour circuler, embarquer sur des vols ou des trains, voire même accéder à un supermarché, à une salle de sport, un hôtel ou un restaurant, les citoyens chinois devaient naturellement présenter un QR Code vert. Toutefois, le QR code basculait vers le rouge dès que la personne est testée positive au coronavirus ou que les autorités locales imposent un confinement.

Mais il existe des preuves que ce système de QR code a été utilisé pour étouffer la dissidence” et les manifestations qui se sont déclenchées en 2022 dans les grandes villes du pays contre la politique “zéro covid”. L’AP relate des cas de citoyens qui ont vu leur code QR devenir subitement rouge afin d’être restreints sous prétexte de danger sanitaire. Une des méthodes employées consistait à déclarer l’existence de cas positifs dans la zone où se trouvaient des citoyens soupçonnés de vouloir participer aux manifestations, afin de les confiner. Interrogé par l’AP, Yang Jiahao, qui avait acheté un ticket de train vers Pékin pour manifester, a expliqué que son code devenait devenir orange après la “détection d’un cas dans la zone où il se trouvait la veille”, en attendant de présenter des tests afin de prouver sa non-contamination. Mais son code QR a subitement basculé vers le rouge.

D’autres ont essayé en juin de se rendre vers la province de Henan pour manifester contre leur banque car leurs comptes bancaires étaient inaccessibles depuis des mois. Interceptés par la police à la gare, ils étaient plus de 1 300, selon l’AP, à avoir vu leur QR code scannés, devenir à chaque fois rouges. Pourtant, les passagers avaient soumis les résultats négatifs des tests lorsqu’ils ont sollicité un code vert auprès de la province de Henan avant de s’y rendre.

« C’est un modèle de gouvernance, l’objectif est de renforcer le contrôle social grâce à la technologie. Il est renforcé par des applications de santé, et il va certainement se poursuivre après la pandémie de Covid, a déclaré Yaqiu Wang, chercheur et membre de Human Rights Watch. « Je pense que c’est très, très puissant”, a-t-il renchéri auprès de l’AP.

Des SMS pour menacer les citoyens

À Jérusalem, cette enquête s’est intéressée aux caméras de surveillance qui “bordent le labyrinthe de voies caverneuses” de cette vieille ville et “les technologies avancées” utilisées pour accroître la surveillance. L’agence de sécurité intérieure, le Shin Bet, utilise la technologie de surveillance de masse, acquise pour détecter des cas de coronavirus, contre les résidents en Israël et les citoyens israéliens “à des fins totalement étrangères au Covid-19”.

L’AP explique que “les Israéliens s’étaient habitués à ce que la police se présente chez eux pour vérifier s’ils observaient ou pas la quarantaine ». Ils savaient, grâce à la presse, que le “Shin Bet réutilisait la technologie de surveillance téléphonique, utilisée auparavant pour surveiller les militants palestiniens”.

Une année plus tard, cette agence de sécurité intérieure israélienne a eu recours aux mêmes technologies pour envoyer des menaces aux Arabes d’Israël et aux résidents que les autorités soupçonnaient d’avoir participé à de violentes manifestations. “Certains d’entre eux vivaient ou travaillaient dans la zone, ou étaient juste de passage”, explique AP, qui cite le cas de Majd Ramlawi, serveur dans un café à Jérusalem, qui a reçu un de ces SMS“C’est comme si le gouvernement était dans votre poche”, a-t-il déclaré.

Cette pratique a suscité un tollé en Israël. Le Shin Bet a justifié cette pratique en évoquant “un besoin clair en matière de sécurité d’envoyer un SMS urgent à un très grand nombre de personnes, qui avaient toutes des soupçons crédibles d’être impliquées dans la perpétration de crimes violents ». La démarche a vite été légitimée en février, lorsque le procureur général d’Israël a confirmé l’utilisation continue de la technologie hors covid, affirmant qu’il s’agissait d’un “outil de sécurité légitime”, tout en reconnaissant des problèmes dans le système. “La Cour suprême d’Israël examine actuellement la question”, note l’Associated Press.

Un système de surveillance à 360°

En Inde, c’est la reconnaissance faciale et l’intelligence artificielle qui est utilisée depuis l’arrivée au pouvoir du parti nationaliste hindou Bharatiya Janata du Premier ministre Narendra Modi en 2014, devenant un outil permettant à la police de surveiller les rassemblements de masse. “Le pays cherche à construire ce qui sera l’un des plus grands réseaux de reconnaissance faciale au monde”, affirme l’AP.

Au début de l’épidémie, dans la ville de Hyderabad, ces technologies étaient déployées pour photographier les personnes qui “portaient mal le masque ou qui ne le portaient pas du tout”. La ville a dépensé des centaines de millions de dollars ces dernières années pour des véhicules de patrouille, des caméras de surveillance, des applications de reconnaissance faciale et de géolocalisation ainsi que plusieurs centaines de caméras de reconnaissance faciale.

Le commissaire de la ville a justifié ces mesures par la volonté de “rassurer les entreprises qui investissent en examinant l’état de l’ordre public”. Et d’affirmer à l’AP : « Les gens ici sont conscients de ce que les technologies peuvent faire, et il y a un soutien pour cela”.

Cette enquête rapporte qu’en mai 2020, le chef de la police de l’État de Telangana a tweeté que son département déployait un logiciel basé sur l’IA, utilisant la vidéosurveillance pour cibler les personnes ne portant pas de masque. Une année plus tard, un autre tweet montrait les policiers scanner eux-mêmes à l’aide de tablettes portables les visages des personnes à l’aide d’une application de reconnaissance faciale. 

« Lorsqu’ils voient quelqu’un qui ne porte pas de masque, ils prennent une photo sur leur tablette, notent leurs coordonnées comme le numéro de téléphone et le nom”, expliquait à l’AP un responsable.

Il poursuit en soulignant que :

L’application sur la tablette vérifiera ensuite les données pour chercher un antécédent criminel de la personne scannée”.

Les autorités locales sont notamment soupçonnées d’avoir procédé à une gigantesque collecte de données de la population durant l’épidémie afin de se doter d’un “système de surveillance à 360°, qui liera plusieurs données sur le logement, l’aide sociale, la santé et d’autres types de données autour d’un profil”.

Les données de santé pour résoudre des crimes

Les pays jugés dictatoriaux ne sont pas les seuls à figurer dans cette enquête. L’Associated Press s’est également intéressé au cas de l’Australie, où les agences de renseignements ont été surprises en train de collecter des données depuis les applications Covid, qui servaient à informer les citoyens se trouvant à proximité d’une personne testée positive.

Ces applications servaient aussi à enregistrer leurs profils, via des codes QR, pour pouvoir être contactés en cas de flambée des cas. Les données ont été exploitées pour enquêter sur des crimes. La police locale à Perth, capitale de l’Australie-Occidentale, a accédé aux enregistrements des noms et numéros de téléphones de 2 439 personnes, des fans de courses de dragsters, pour enquêter sur le meurtre d’un chef de gang de motards.

Cette mesure allait à l’encontre de la promesse du Premier ministre d’Australie-Occidentale, Mark McGowan, selon laquelle les données liées au Covid-19 ne seraient accessibles qu’au personnel de recherche des contacts du ministère de la Santé.

Aux États-Unis, le gouvernement fédéral s’est doté d’une “boîte à outils de surveillance”, à travers, notamment, deux contrats en 2020 d’une valeur de 24,9 millions de dollars. Des documents auxquels l’AP a pu accéder ont montré que les fonctionnaires fédéraux étaient prêts à partager les données au-delà de leur usage dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19.

L’objectif était, entre autres, de recourir à des “données identifiables sur les patients” telles que des informations sur leur santé mentale, la consommation de drogues et ou encore de données provenant de foyers de groupe, de refuges, de prisons, d’établissements de désintoxication et des écoles.

« La pandémie a fait exploser une industrie de collecte massive de données biométriques et biographiques« , a déclaré Paromita Shah, directrice exécutive de Just Futures Law, un groupe de défense des droits des immigrants qui a obtenu les documents dont l’AP a eu accès. L’enquête révèle que les CDC (Centers for Disease Control) des États-Unis ont acquis, l’année dernière, des données détaillées sur la localisation des téléphones portables révélant les allées et venues quotidiennes des personnes, dans tout le territoire américain.

La porte-parole du CDC, Kristen Nordlund, a déclaré que l’agence a acquis ces données “avec des protections étendues de la vie privée, pour la recherche en santé publique”.

La France épinglée pour le projet “Big data de la tranquillité publique”

Plusieurs pays ont été concernés par cette enquête, même lorsque les technologies utilisées sont antérieures à l’épidémie de covid. L’AP cite la Russie, qui a obligé ses citoyens testés positifs à télécharger une application pour s’assurer qu’ils soient en quarantaine en les traquant via un GPS. La Colombie est épinglée pour l’usage d’hélicoptères équipés de vision nocturne et de caméras de reconnaissance faciale pour réprimer des manifestations. En Afrique du Sud, l’agence de presse s’est intéressée à un outil de suivi en temps réel des cas contacts, qui a été développé à l’origine pour suivre les braconniers d’animaux sauvages, par la suite imposé aux citoyens après de violentes manifestations.

Cette enquête épingle notamment la France et son projet “Big data de la tranquillité publique” à Marseille. Officiellement, la mairie a suspendu ce projet de « vidéoprotection intelligente » lancé en 2017 par l’administration Jean-Claude Gaudin. Un document judiciaire, signé par un avocat de la ville, laisse entendre que le dispositif est toujours en cours de développement. Le projet a rapidement inquiété les défenseurs des libertés publiques, qui y voient un outil de surveillance.

« Toute intervention qui renforce le pouvoir de l’État pour surveiller les individus est de long terme », a déclaré John Scott-Railton, chercheur principal au Citizen Lab, un organisme de surveillance Internet basé à Toronto, à AP. « Une fois que vous l’obtenez, il est très probable qu’il ne disparaisse jamais”.




Houellebecq et Onfray oublient l’alliance néo-léniniste et djihadiste avec le « Pouvoir »

Par Lucien SA Oulahbib

C’est surtout ce qui manque dans ce dialogue à la mode entre le vulgarisateur Onfray et l’échotier Houellebecq : un certain manque d’analyse stratégique en profondeur (mais ce n’est pas leur métier, il est vrai) malgré de bonnes observations telles celle sur la diaspora chinoise (même si, là aussi, cela bouge quant aux toutes dernières générations), car ce qui manque ou se trouve sous-estimé c’est bien l’étude de cette alliance, par ailleurs perverse, entre un néoléninisme sournois (incarné par un Plenel et Mélenchon) et un djihadisme hypocrite aux gants blancs (tels ceux du recteur de la Mosquée de Paris aux propos moins sibyllins que sournois sur les « mécréants »).

En fait, il n’y a plus (il n’y a jamais eu) d’un côté une sorte » d’islamo-gauchisme », de l’autre côté quelques extrémistes « islamistes » et plus loin un État « laïc » soucieux de « l’unité du pays » comme le prétend également le recteur de la mosquée de Paris (comme s’il était, lui, l’État) dans sa dernière plainte contre Houellebecq ; non, encore une fois, il y a bel et bien plutôt une collusion « systémique » entre ces puissants désireux de préserver consolider affiner négativement leur emprise de plus en plus nuisible sur la société française et sa civilisation singulière, au sens d’unique, comme il y en a peut-être une à deux par… millénaire…

Un seul exemple : jamais aucun de ces alliés objectifs (et de plus en plus subjectifs au sein d’un orientalisme surfait) n’aura demandé que soient libérés les prisonniers politiques dans les pays dominés par les arabo-musulmans comme ces militants amazighs qui croupissent dans les geôles du Pouvoir dit « algérien » ni exigé une réciprocité quant à la construction d’édifices religieux et culturels dans ces mêmes pays.

Et puis il n’est même pas la peine d’aller bien loin lorsque l’on songe que la poursuite sous d’autres formes du génocide arménien ne fait guère fureur, pas plus que les Serbes chrétiens du Kosovo ou ailleurs — ce que l’on appelle « les chrétiens d’Orient » (et d’Afrique tombant sous les coups de Boko Haram et affiliés) pourchassés désormais au même titre que les Juifs naguère ces « réfugiés du silence » chassés de leurs pays d’accueil dans lesquels ils étaient installés suite à la répression romaine et ce bien avant même que l’islam ait été inventé… Ne parlons pas des Yéménites ou Ouïghours…

Il est dommage que Houellebecq, comme Zemmour au fond, pointe surtout principalement du doigt ce fait, exact cependant, stipulant qu’il existe bien plus d’agressions issues de l’immigration alors que le problème de fond n’est pas seulement là puisque d’une part cela provient déjà de sa gestion incohérente et contradictoire (impossible de travailler sans permis de séjour et impossible d’avoir un permis sans contrat de travail, d’où la tentation criminelle pour certains) d’autre part parce que cette gabegie est non seulement permise par le Pouvoir français et européen, mais aussi onusien ; or, il n’y a guère de dénonciation, sinon par le seul vocable de « mondialisme », il n’y a pas de manifestation devant les portes mêmes du ministère français dédié, devant le Parlement européen, la Commission de l’UE, l’ONU, l’UNESCO, de la Banque Mondiale, FMI, etc., pour exiger impérativement que cesse cette hypocrisie cherchant à voiler qu’aura été décidée en haut lieu une « créolisation » démographique et aussi ethno-différentialiste au sens d’isoler peu à peu les autochtones parqués dans des réserves (chics pour les mieux lotis) tandis que les villes seront de plus en plus occupées par une immigration fuyant la culture de pays qu’ils prétendent pourtant reproduire en pis dans les pays d’accueil…

Tant que la question de l’immigration ne sera pas vue dans sa pluralité et dans sa causalité (les présences kabyles, kurdes, subsahariennes en France proviennent directement par exemple de l’impéritie sournoise et corrompue des pouvoirs français et arabo-turco-musulmans depuis des décennies) subsumées par la stratégie séparatiste et fractionniste des puissances affairistes hygiénistes alarmistes prétendant dans un millénarisme à l’illuminisme exacerbé nous transformer en particules cybernétiques sous hystérie bien moins psychédélique qu’épileptique, tant que ceci ne sera pas tiré au clair la compréhension et l’action à son encontre n’auront pas lieu, mis à part les constats stériles, mais qui agitent faute de mieux la Galerie.




France : en pleine tourmente judiciaire, la directrice communication de McKinsey s’apprête à « prendre la fuite »

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

En pleine tourmente judiciaire, la Dircom (directrice de communication) de McKinsey s’apprête à quitter son poste à la fin de l’année. Cette information a été révélée ce 14 décembre, date à laquelle une perquisition a été menée au siège parisien du cabinet de conseil américain visé par une enquête du PNF (Parquet National Financier).

Les rats s’apprêtent-ils à quitter le navire? Cette question se pose au moment où l’étau se resserre autour du cabinet de conseil McKinsey et de ses relations très suspectes avec le gouvernement français. Et c’est dans ce contexte houleux qu’un poids lourd du cabinet de conseil américain va quitter son poste à la fin de l’année.

Cette personnalité n’est autre que Charlotte Pasternak, nommée directrice de la communication du cabinet McKinsey en France en mai 2021. D’après le média Consultor spécialisé en cabinets de conseil, Pasternak a tout simplement décidé de quitter ses fonctions.

« Charlotte Pasternak, une ancienne de Danone (dont McKinsey est un consultant de choix) et du PMU (dont la DG est également une ancienne du cabinet), arrivée aux fonctions de directrice de la communication de McKinsey en France en mai 2021, quittera ses fonctions à la fin de l’année, a appris Consultor. Elle a eu à gérer une des plus importantes crises de réputation de l’histoire de la firme depuis qu’elle s’est implantée dans l’Hexagone en… 1964 », révèle la source.

Et Consultor d’ajouter : « ainsi, encore tout récemment, apprenait-on que Charlotte Pasternak avait initié un appel d’offres pour protéger sa réputation ». En effet, il y a moins d’un mois, le média d’investigation Lettre A révélait que le cabinet de conseil américain avait lancé un appel d’offres pour nettoyer sa réputation.

« Le numéro un mondial du conseil, McKinsey, a lancé un marché début novembre pour améliorer son image, en réaction à la divulgation de son recours à l’optimisation fiscale. Plusieurs agences planchent sur l’e-réputation de la marque, qui affronte une nouvelle tempête judiciaire sur le financement de la campagne d’Emmanuel Macron », nous a appris Lettre A le 25 novembre dernier.

Il faut dire que cette tentative de redorer son image intervient dans un contexte extrêmement difficile pour la multinationale américaine secouée par de nombreux scandales en France, aux Etats-Unis mais aussi dans d’autres pays du monde, tels que l’Afrique du Sud.

En France, le cabinet est accusé de favoritisme et d’avoir touché plusieurs millions d’euros de l’Etat français qui n’a cessé de recourir à ses services. D’ailleurs, en novembre dernier, il a été révélé que l’Etat français a dépensé 28 millions en cabinets de conseil lors de la pandémie et de cette somme, 6,7 millions sont allés tout droit dans les poches de McKinsey.

C’est du moins ce que nous a appris le média Marianne. En effet, d’après cette source qui cite un rapport du sénat français, 28 millions d’euros ont été dépensés en cabinets de conseil lors de la pandémie à Coronavirus. La source précise que l’information est apparue dans le rapport « Santé » du Budget de l’Etat et a été confirmée par la députée Véronique Louwagie.

Les cabinets ayant bénéficié de cette immense ont été cités. Il s’agit de : Citwell Consulting, Accenture, CGI (comprenant sa filiale française CGI France) et McKinsey, qui travaillait avec sa société Orphoz. Et les dépenses ont connu une hause vertigineuse lors de la période allant de mars 2021 à mai 2022.

« En novembre 2021, Véronique Louwagie avait évalué à 11,2 millions d’euros, le montant de la première facture liée au recours aux consultants entre mars 2020 et février 2021. Au total, ce sont ainsi 28,6 millions d’euros qui ont été dépensés par l’exécutif auprès de cabinets privés pour gérer la crise sanitaire », renseigne la source. Et sans surprise! Le cabinet américain McKinsey a touché le jackpot en empochant 6,7 millions d’euros pour trois missions réalisées entre mars et août 2021.

« Le cabinet de conseil américain, champion de l’évasion fiscale, était notamment venu en appui de la task force de vaccination du ministère de la Santé. Pour compléter le podium : Accenture a remporté 19 appels d’offres, pour un montant global de 5,3 millions d’euros, suivi juste derrière de la société Citwell, qui a empoché 3 millions d’euros. Cette dernière avait été appelée en renfort, d’avril à juillet 2021, pour l’accompagnement logistique et la distribution des vaccins contre le Covid-19 », détaille le rapport.

Le départ de Charlotte Pasternak est certainement dû à la crise qui secoue le cabinet de conseil sous le feu des critiques depuis le début de la pandémie. D’ailleurs, ce 14 décembre, son siège parisien a été perquisitionné par la justice française qui mène une enquête sur ses liens avec la campagne présidentielle de Macron en 2017.





La paix autour du sapin. Comment expliquer à sa vieille tante qu’on ment sur les chiffres à la télé… en 5 minutes !

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Pour passer un Noël paisible sous le sapin. J’ai testé l’hiver dernier, ça a marché!


En cette période de fêtes, vous allez peut-être retrouver des proches qui ne comprennent pas votre attitude, en particulier les aînés. Vous aimeriez leur démontrer que vous avez raison de douter du discours officiel et que vos actions ne sont pas égoïstes, au contraire vous vous souciez de leur santé. Malheureusement, leur principale source d’information est la télévision et elle vaut parole d’évangile. Elles n’ont ni la patience, ni les capacités de lire les excellents articles scientifiques que vous avez décortiqués. Elles pensent que vous êtes fou et extrémiste.

Je vous propose une astuce qui a fonctionné avec ma tante Renée qui a 86 ans et qui fait partie de la catégorie de personnes pour qui la modernité s’est arrêtée à la fin des années 70, sans qu’on sache trop pourquoi. Elle écrit sa liste de courses en sténo, est incapable d’utiliser un smartphone et à chaque visite elle vous torture en essayant de vous faire réparer un vieil appareil. Vous avez déjà expliqué 1000 fois qu’une adresse email ne correspond pas à une adresse physique où il y a un fonctionnaire qui va recevoir le paquet qu’elle vous demande d’envoyer à travers l’écran. Peine perdue. Quant à l’info, c’est uniquement au JT, entre l’inspecteur Derrick et une place au soleil, avec une préférence marquée pour les faits divers tragiques et les nouvelles angoissantes.

En contraste, vous êtes devenu un complotiste aguerri, rien ne vous échappe plus. Vous en êtes au 5e niveau de lecture des diverses manipulations de la mafia mondiale. Vous avez écouté Raoult et lu les bouquins de Perronne et vous savez que la CIA contrôle les agences de presse et les publications scientifiques.

Problème : vous avez 5 minutes pour essayer de tendre un pont au-dessus du gouffre abyssal entre les mondes dans lesquels vous vivez, afin de les rassurer et de passer un Noël paisible. La mission urgente est de démolir 60 ans de crédulité absolue dans les infos de la télé.

Voici ce qui a marché avec ma tante Renée :

Je l’ai invitée à regarder deux vidéos sur mon ordinateur (pas le téléphone c’est trop petit). Et je lui ai dit ceci :

Moi : Viens je vais te montrer un exemple. Tu vas voir qu’ils cachent des choses à la télé et qu’ils mentent sur les chiffres, ça ne prend que deux minutes.

Tante Renée : Bon, mais pas plus de deux minutes

Moi : Tu connais Kennedy, l’ancien président des États-Unis ?

Tante Renée : « Oui, bien sûr » (ouf !)

Moi : « Tu te souviens, après la guerre, on a construit un mur à Berlin pour arrêter les communistes et Kennedy était venu prononcer un discours historique pour défendre la démocratie » Le fameux « Ich bin ein Berliner » (imitez si vous le pouvez, c’est plus convaincant).

Tante Renée : oui, oui ça me dit quelque chose

Moi : Et bien, il a un neveu qui s’appelle Robert Kennedy Junior. C’est le fils de son frère Robert Kennedy, celui que l’on a aussi assassiné un peu plus tard.

Tante Renée : ah oui je me souviens, mais je ne connais pas son fils.

Moi : Normal, les médias ne veulent pas qu’on en parle. Et bien en 2020, Robert Kennedy Junior, le neveu, est aussi allé à Berlin, pour la plus grande manifestation en Europe depuis la fin de la guerre. Dans les traces de son oncle, il a aussi prononcé un discours historique pour défendre la démocratie. Kennedy Junior a dénoncé le fait que les gouvernements ont profité de la pandémie pour raboter les libertés des gens et mettre la main sur leurs biens. Alors que les cartels Pharma et les investisseurs privés se sont enrichis.

Tu en as entendu parler ?

Tante Renée : non, pas du tout. Jamais

Moi : et bien regarde, ici il y a la vidéo sur le site de Kennedy (montrer cette vidéo)

Et ici, il y a les images de centaines de milliers de personnes dans la foule. En tout, il y en avait peut-être plus d’un million. (monter l’autre vidéo)

Tante Renée : ah oui. Je ne savais pas du tout, c’est curieux.

Moi : Tu ne penses pas que normalement, c’est une information qui aurait dû sortir au JT ? Une manifestation de plus d’un million de personnes avec le neveu de l’ancien président des États-Unis.

Tante Renée : Si si, bien sûr.

Moi : Et tu sais ce qu’on a dit au JT en Allemagne ? Ils ont dit qu’il y avait 38 000 personnes, des manifestants d’extrême droite et ils n’ont pas parlé de Kennedy. Voilà ils ont « gommé » tous ces gens pacifiques, comme s’ils n’avaient pas été là. Pourtant, toutes ces personnes étaient dans la rue, on en a les images !

Alors, si l’on arrive à faire passer de trucs aussi gros, tu imagines à quel point, ils sont capables de mentir sur tout le reste. Par exemple sur les chiffres de la santé pour vendre des vaccins ?

Tante Renée : Ah oui, vraiment c’est incroyable. Tu as raison, ce n’est pas normal. Ça va, j’ai compris.

Moi : Merci, je suis contente que tu aies pris la peine de regarder cela avec moi.

… Prenons l’apéritif !

Bon, c’est un exemple. Évidemment pour moi, c’est d’autant plus facile que j’ai participé à cet évènement et que j’ai pu y ajouter des photos personnelles. L’important c’est de partir d’une référence positive, ancrée dans le passé de la personne et de la relier à une démonstration imagée de la mauvaise foi des médias.

Voilà, j’espère au moins vous avoir fait sourire et si jamais vous faites le test et que cela marche, n’hésitez pas à m’en faire part dans les commentaires [ici : https://sentadepuydt.substack.com/p/la-paix-autour-du-sapin-comment-expliquer].

Joyeuses fêtes à tous !




L’état mental de Macron est-il compatible avec l’exercice de son mandat ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

François Asselineau explique depuis plus de 15 ans que l’appartenance de la France à l’Union européenne interdit aux présidents de la République de défendre prioritairement les intérêts de la France et des Français.

Non seulement Macron ne fait pas exception à cette règle, mais encore il met un zèle tout particulier à détruire la France dans tous les domaines.

À ce constat de haute trahison, s’ajoute le comportement personnel de plus en plus inquiétant et déséquilibré de Macron, qui signale une santé mentale en grave détérioration.

Entre prétendue « grave dépression », inventions d’entretiens avec des chefs d’État étrangers qui n’ont pas lieu, annonces de projets grandioses mort-nés, comportements erratiques et hystériques et déclarations sans queue ni tête, Macron achève de se ridiculiser et de ruiner le peu de crédibilité qu’il restait à la France sur la scène mondiale.

Les Français vont-ils pouvoir supporter encore presque quatre ans et demi un président de la République frappé de troubles mentaux évidents et de plus en plus fréquents ?

La question de la santé mentale de Macron est posée ; l’article 68 de notre Constitution permet d’y répondre :

« Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».

L’ÉTAT MENTAL DE MACRON EST-IL ENCORE « COMPATIBLE » AVEC SA FONCTION ?




Dmitri Anatolievitch Medvedev plaint les peuples de l’UE victimes d’un IVe Reich

[Source : RL]

Par Valérie Bérenger

Il n’est pas tendre Dmitri Anatolievitch Medvedev, c’est le moins que l’on puisse dire. Ni tendre, ni patient. En tout cas beaucoup moins que Vladimir Poutine. Il est vrai que l’Occident lui a donné toutes les raisons valables pour ne pas l’être. Pourtant, voici quelques années, alors qu’il dirigeait la Fédération de Russie, il était enclin à s’entendre avec l’Occident. Il n’avait alors pas encore compris à quel point la confiance qu’il mettait dans ses interlocuteurs allait être trahie.

En effet, en 2010, lors de la réunion du Conseil Russie-OTAN à Lisbonne, à laquelle il participait en tant que président de la Fédération de Russie, les membres de l’alliance n’ont eu aucun mal à le convaincre que la Russie et eux ne se menaçaient pas mutuellement. Dmitri Anatolievitch Medvedev a cru alors que l’Occident et la Russie étaient prêts à travailler ensemble à la sécurité globale de la région euro-atlantique. Grave erreur !

Mais les Russes sont comme ça. Ils font confiance. Jusqu’à ce qu’ils comprennent qu’ils se sont fait blouser. Une fois… mais pas deux. Car, contrairement aux Occidentaux, ils ont de la mémoire et prennent en compte les événements historiques et les trahisons qui en ont découlé.

Suivez la chaîne Telegram de Boris Karpov : https://t.me/boriskarpovblog

Aujourd’hui vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, président du parti politique panrusse « United Russia », cet homme brillant et perspicace a eu en cette fin d’année une pensée miséricordieuse pour les peuples de l’Union Européenne en disant : « On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. »

Que voilà un homme lucide que l’on ne peut que remercier de vouloir différencier les fous génocidaires de l’Occident et les peuples qui en subissent le joug chaque jour un peu plus.

Pourtant pour Dmitri Anatolievitch Medvedev :

« Les illusions sont finies, aujourd’hui nous sommes séparés du monde occidental par bien plus que ce qui nous unit. (…) Il est tout à fait clair que dans la relation des États indépendants et souverains avec le monde anglo-saxon dans la configuration actuelle, on ne peut parler de confiance, d’espoir en la décence des partenaires, de leur fidélité en leur parole et même en leurs principes magnifiquement énoncés. Mais, hélas, maintenant nous n’avons personne avec qui parler et négocier en Occident. Il n’existe rien dans ce domaine, et il n’y a pas besoin de le faire. Ce sont les événements de l’année écoulée qui ont annulé la possibilité même d’un dialogue confidentiel et respectueux avec les représentants de ce « pôle » mondial. Il ne reste que l’étonnement : ces gens se considèrent-ils sérieusement comme des leaders mondiaux, revendiquent-ils quelque chose de global, rêvent-ils de dicter leur volonté aux autres ? Sur quelle base, s’ils se discréditent, signent-ils leur impuissance, mentent, s’enlisent-ils dans les problèmes ? ».

Fort d’une lucidité que nombre de dirigeants européens devraient cultiver, il a publié récemment sur son compte Twitter anglophone dix prédictions que la presse mainstream française et européenne a qualifié « d’apocalyptiques » pour l’année 2023. « Tout le monde fait des pronostics en ce moment, affirme-t-il dans son tweet qui a été lu plus de 28 millions de fois. Beaucoup émettent des hypothèses futuristes, comme s’il fallait trouver les plus folles, voire les plus absurdes ».

[Voir Prédictions apocalyptiques de Medvedev pour 2023]

Parmi ces affirmations, notons que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5 000 dollars pour 1 000 mètres cubes ; le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. Mais le plus logique de ce discours est l’argument qui prétend que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Ce qui n’aurait rien de surprenant lorsque l’on sait que la Pologne a déjà revendiqué auprès de Kiev ses territoires historiques.

Dmitri Anatolievitch Medvedev n’hésite pas à évoquer la création du IVReich, qui « englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie, les États baltes, la République de Kiev et d’autres parias ».
Il soutient également qu’une guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. « L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods. »

Cerise sur le gâteau, il termine ses prédictions en souhaitant de « joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant ».

Nous pouvons supposer que les « joyeux porcelets grognant » sont les alliés – ou plutôt vassaux – de Washington, l’UE en tête. Saluons néanmoins l’humour dont fait preuve l’ancien président russe.

Si vous étudiez la géopolitique actuelle, vous vous rendrez compte que ces « prédictions » ne sont pas aussi vides de sens que l’on veut bien vous le dire. Le prix du pétrole à 150 dollars n’aurait rien d’étonnant. En 2013, l’institution américaine Bank of America Merrill Lynch indiquait dans une note s’attendre à ce que le baril de pétrole progresse à 140 dollars au cours de l’année ce qui amènerait, dans le cas où l’écart de prix demeurerait le même à un baril de pétrole Brent à 160 dollars. En janvier 2022 les prix du gaz en Europe dépassaient déjà 1 100 dollars pour 1 000 m3. Or, les stocks vont se vider très vite et sans le gaz russe il n’est pas du tout impossible de voir une nouvelle fois les prix s’envoler pour être multipliés par deux ou par trois, voire bien plus.

Lorsque, dans un article publié dans le magazine russe  Rossiyskaya Gazeta, Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme que :

« Le taux d’inflation aux États-Unis et dans la zone euro franchit littéralement le « plancher » des prévisions pessimistes : il est respectivement de 8 à 10 %, avec une croissance du PIB de 2 %. Sans parler de divers imbéciles d’Europe de l’Est ou des États baltes, où l’inflation a grimpé en flèche au-delà de 20 %.».

Il est en fait très en dessous de la vérité concernant la zone euro.

Il suffit pour en être persuadé de se rendre dans n’importe quelle grande surface alimentaire en France et s’apercevoir que certaines références ont vu leur prix multiplié par deux. Le prix d’une simple bouteille de gaz butane a pris en quelques mois +25 %, passant de 29,90 € à 39,90 €.

Quant au IVe Reich, soyons lucides, c’est une réalité. Il suffit de voir les symboles arborés par les combattants ukrainiens et certains mercenaires de l’UE ou des USA qui les ont rejoints pour être – hélas – fixé sur la question. Et la question qu’il pose avec une certaine logique trouve sa réponse dans les événements actuels :

« Qu’attendre de certains pays européens, qui à un moment donné ont donné naissance au national-socialisme et au fascisme ? Ce sont eux qui sont aujourd’hui responsables du renouveau de l’idéologie nazie. Apparemment, les douleurs fantômes de la grandeur perdue dans la classe politique de ces pays ne peuvent être supprimées par les médicaments du temps. Et bien que les forces dirigeantes se disent gauchistes ou chrétiennes, elles sont en fait les véritables héritières de la cause au Parti national-socialiste (NSDAP) et du Partito Nazionale Fascista (PNF). Et tôt ou tard, ils répondront de ceux qui ont été nourris de leurs propres mains. »

En cette fin d’année 2022, face à cette tragédie, quid de l’avenir du monde dit civilisé ?

Entre mensonges et trahisons de la part du monde occidental, la Russie n’a pas eu d’autre choix que de lancer son opération militaire spéciale. Angela Merkel a elle-même avoué que les accords de Minsk n’avaient eu pour but que de permettre à l’Ukraine de se préparer à une guerre et à l’Otan de l’armer. Ce que le clan occidental n’a pas encore compris – et gageons qu’ils ne le comprendront jamais – c’est que pour la Russie tout entière cette opération est une question de SURVIE. Il ne s’agit pas seulement de venir au secours des républiques du Donbass mais également de la souveraineté et de la survie du monde russe.

La faute à qui ? Fin 2021 l’Alliance de l’Atlantique Nord a refusé tout net de garantir à la Russie que l’Ukraine ne rejoindrait pas l’OTAN malgré toutes les promesses faites et non tenues depuis 20 ans. Kiev, de son côté, annonçait sa volonté de relancer un arsenal nucléaire visant sans conteste à détruire la Russie.

Il est navrant de constater que les leçons de la Seconde Guerre mondiale ont été complètement oubliées. Que la générosité et la grandeur de la Russie, qui a éreintée les armées allemandes au prix d’un lourd tribu, ont été effacées d’un simple coup de crayon au profit d’une hégémonie américaine nuisible qui n’a aucune justification.

Comment ne pas donner raison à cet homme lorsqu’il affirme :

« Au service de ses « maîtres » et en raison de sa stupidité, le régime de Kiev cherche désespérément à « interdire » non seulement tout contact de ses citoyens et entreprises avec la Russie, mais aussi tout « esprit russe », toute culture russe – même celle qui est devenue à juste titre un classique mondial. En Ukraine, les monuments aux écrivains et aux généraux russes sont démolis, et les rues Pouchkine portent le nom de l’ordure Bandera. Ils interdisent la langue russe dans les écoles et à la maison, ils mettent les livres russes au pilori. Que scénario familier – il ne manque plus que les camps de concentration et la Nuit de cristal. Gogol, Boulgakov, Malevitch, Akhmatova, Vernadski et même Lessia Ukrainka ou Taras Chevchenko doivent se retourner dans leurs tombes. Tout cela s’accompagne de convulsions hystériques de propagande et d’appels à « punir » la Russie obstinée par tous les moyens. »

La russophobie totalement irrationnelle a atteint cette année dans l’UE un niveau hallucinant. Après le Covid, les enfermements, l’isolement, la mise en esclavage des peuples, les injections inutiles et mortelles dont on découvre chaque jour la nuisance et la gravité des effets secondaires, les mensonges à répétition, l’autoritarisme des dictatures larvées qui s’est fait jour, c’est une nouvelle forme de lèpre qui vient nous envahir.

Ainsi, après l’effondrement idéologique et philosophique global du monde occidental, son remplacement est assuré par une perversité démoniaque et souterraine qui s’est répandue comme la peste noire en son temps, vitesse grand V. Ce monde est devenu fou et il est grand temps pour nous de sonner la fin de la récréation.

Continuant sur une logique imperturbable Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme avec une générosité que l’Occident ne mérite certainement pas :

« On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. Leurs slogans enflammés sur la solidarité avec l’Ukraine ne réchaufferont pas leurs maisons et ne rempliront pas le réservoir d’essence de leurs voitures. Toutes les « sanctions infernales », blocus et autres restrictions sont supportées par ceux qui doivent maintenant payer des factures insensées de services publics ou de carburant. Accueillir des réfugiés ukrainiens et leur donner du travail, endurer crise après crise par la faute de leurs propres politiciens qui ignorent la question : pourquoi tout ce supplice ? Qui est le plus mal loti à la fin ? Pourquoi, comme d’habitude, seule l’Amérique est-elle relativement gagnante ? Leurs citoyens comprennent que la pauvreté et l’incertitude sont des phénomènes à long terme. Et ce n’est pas une partie de plaisir : des reportages sur les manifestations de rue apparaissent quotidiennement sur les fils d’actualité en Europe. »

Tout est dit ! Les peuples européens payent et continueront de payer au centuple la facture que l’Amérique présente. Alors en cette fin d’année la seule question qui se pose est : voulons-nous continuer à servir d’esclaves aux USA où voulons-nous retrouver notre liberté et notre libre-arbitre et vivre mieux ?

Car, si les Russes savent être généreux, les Américains ne le sont pas. Gageons qu’ils nous sacrifieront jusqu’aux derniers vivants exactement comme ils le font avec les Ukrainiens. Si nous voulons retrouver notre liberté, notre fierté et notre pays tel que nous l’avons connu, il nous faut nous débarrasser une fois pour toutes de l’hégémonie américaine et, avec elle, de celle de l’UE pour nous rapprocher, comme le voulait le Général de Gaulle, du seul allié fiable que nous pourrions avoir : la Russie.

Ce n’est plus pour la France et les Français une question seulement économique ou politique, en 2023 il en ira de notre survie !




Quand les médiocres arrivent au pouvoir

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Patrick Jardin s’exprime sur l’affaire du capitaine Alexandre Juving-Brunet

[Source : Profession Gendarme]

Qui est Patrick Jardin ?

Patrick Jardin est le père d’une victime assassinée au Bataclan lors des attentats du 13 novembre.

Voici une vidéo sur CNews où il s’exprime sur cet attentat :



« On est passé complètement à côté de ce procès. D’énormes zones d’ombre continuent à peser(…). Pour moi les politiques sont carrément responsables de ce qui s’est passé. »

Patrick Jardin

Aujourd’hui Patrick Jardin s’exprime sur l’affaire du Capitaine Alexandre Juving-Brunet et sa parole ne peut être laissée de côté, mais au contraire appelle à réflexion.

Les propos de Patrick Jardin :

L’affaire du capitaine Juving Brunet : En fait il s’agit d’un scandale politique (un de plus).

Que reproche-t-on à cet ex-capitaine de gendarmerie ? On lui reproche d’avoir voulu créer une monnaie concurrençant l’Euro… Rien que ça afin de concurrencer en termes de monnaie l’euro… Évidemment la Banque de France a averti M. Juving Brunet et a fini par déposer une plainte contre lui… Et c’est sur cette plainte que les services publics ont jugé utile et nécessaire d’incarcérer M. Juving Brunet alors qu’à ce jour aucun utilisateur du « Franc Libre » n’a jugé opportun de déposer une plainte contre M. Juving Brunet.

C’est là que le bât blesse : en France vous pouvez violer ou agresser une vieille dame dans la rue sans être poursuivi, mais si vous vous attaquez à des institutions évidemment là on vous incarcère directement !

Les chefs d’inculpation sont « exercice illégal d’émission de monnaie », « mise en place illégale de services bancaires », « mise en place d’une monnaie illégale » et « escroquerie en bande organisée ». Mais tout cela sans aucun plaignant ! Le dossier ne fait état à ce jour ni d’enrichissement personnel, ni d’un détournement de fonds, ni d’un quelconque préjudice commis à l’égard d’un tiers et donc le chef d’escroquerie en bande organisée ne peut perdurer en fait CETTE INCARCÉRATION EST LE FAIT DU PRINCE !

En France il y a deux lois une pour les ministres, une pour le peuple, car j’estime que ce que l’on reproche à M. Juving Brunet me paraît beaucoup moins grave que ce que l’on reproche à certains de nos tartuffes de ministres qui eux sont mis en examen, mais bien entendu 

SANS AUCUNE INCARCÉRATION !

Jugez plutôt : Dupont Moretti—prise illégale d’intérêt (donc enrichissement personnel) ; Sébastien Lecornu — prise illégale d’intérêt (donc enrichissement personnel), mais apparemment selon Olivier Vereux (les loups ne se mangent pas entre eux) un ministre mis en examen ne doit pas nécessairement quitter le gouvernement…

Si vous êtes un ancien capitaine de gendarmerie contre le pouvoir en place c’est directement la prison, si vous êtes ministre, selon Verreux, en totale opposition avec son crétin de patron (qui avait déclaré qu’il voulait des ministres intègres, c’est réussi !) non seulement vous n’allez pas en prison, mais vous pouvez continuer vos activités à 9000 € par mois et passer Noël bien au chaud (pas plus de 19° NORMALEMENT) AVEC VOTRE FAMILLE. Car mise en examen ne veux pas dire coupable, mais pour les simples particuliers ce n’est pas la même chose !

Je me pose la question de savoir si on arrive à prouver que Macron a triché lors de sa déclaration de patrimoine lors de son premier mandat, ou les sommes perçues chez Rotschild ont miraculeusement et opportunément disparu (sûrement d’après ce qu’il se dit dans les îles Caïmans), ou si plus récemment il est prouvé dans les affaires McKinsey que des sommes ont été détournées afin de financer sa campagne, Macron sera incarcéré comme l’est M. Juving Brunet ?

Permettez-moi d’en douter, puisque même après avoir fait appel de son incarcération M. Juving Brunet reste en détention pendant que Dupont Moretti et Darmanin eux sont libres !

Pourquoi ? Si réellement il y a un doute, il me semble qu’une mise en examen aurait pu suffire, M. Juving Brunet n’est pas un bandit de grand chemin, il ne menace personne, il n’est pas un danger pour la France. Bien au contraire.

J’ai personnellement pu le rencontrer et je peux témoigner de son amour pour la France, comme la grande majorité des militaires. Et son incarcération ne repose sur rien. La France ne doit surtout pas en être fière !

Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir écrivait Jean de la Fontaine dans les animaux de la peste…

Force est de constater que depuis ses écrits rien n’a changé !

Patrick Jardin




En avoir ou pas

[Source : strategika.fr]

Par Galileo Ferraresi

Source : maurizioblondet.it
Traduction : Strategika

En 1936, au plus fort de l’ère fasciste, le socialiste Alberto Beneduce (1877 – 1944) sépare les banques commerciales des banques financières, nationalise la Banque d’Italie et interdit la libre circulation des capitaux étrangers en Italie.

Entre 1950 et 1960, Mattei et Eni ont approvisionné l’Italie en méthane et en pétrole.

En 1953, l’Italie était si riche qu’elle a effacé la moitié de la dette que lui devait l’Allemagne. L’autre moitié n’a jamais été payée.

En 1954, Olivetti a produit le premier ordinateur personnel au monde.

Entre 1955 et 1960, la lire était la monnaie la plus forte et la plus stable de toute l’Europe et ses performances étaient supérieures à celles de l’or.(([1] Préférée à l’or parce qu’elle était considérée comme plus sûre et qu’elle rapportait plus que son échange officiel contre de l’or.))

Dans les années 1970, les étudiants rattrapés par le programme d’études recevaient un pré-salaire de l’université afin de pouvoir étudier et vivre.

Au milieu des années 1970, les bus étaient gratuits à Bologne.

Dans les années 1980, l’Italie était le cinquième pays le plus industrialisé.

Jusqu’aux années 1980, l’Italie était le pays le plus politisé d’Europe.

En 2000, les Italiens étaient les personnes les plus riches du monde, avec un dépôt bancaire moyen de 35 000 euros par personne.

En 1990, 70 % des Italiens étaient propriétaires de leur logement ; en 2007, ce pourcentage était passé à 81 %, le plus élevé au monde.

Alors, que s’est-il passé ?

La Première Guerre mondiale a pillé l’économie italienne tandis que la Suisse s’est enrichie grâce aux dépôts des riches des nations impliquées dans la guerre.

L’Allemagne n’a pas payé ses dettes de la Première et de la Deuxième Guerre mondiale, d’abord parce qu’elle n’avait pas d’argent et ensuite parce qu’elle devait se réunifier.

En 1960, l’ingénieur Adriano Olivetti voyageait dans un train et lorsque le train a quitté un tunnel, Olivetti est mort. Un an plus tard, dans un étrange accident de voiture, Mario Tchou, l’ingénieur qui avait inventé l’Elea 9003, le premier ordinateur personnel à transistors au monde, décède. Avec ces deux décès, la technologie de l’information est passée de l’Italie aux États-Unis d’IBM.

En 1962, une bombe fait s’écraser l’avion dans lequel se trouve Enrico Mattei, et la réalisation de l’autonomie énergétique de l’Italie, revenue sous le contrôle des Seven Oil Sisters des USA et de la GB, tombe également.

La lire a été attaquée par le dollar et nous sommes à nouveau soumis à la puissance politique, économique et culturelle du Royaume-Uni et des États-Unis.

Les Italiens sont-ils trop politisés ? Alors dépolitisons-les ! Comment ?

Nourrir chaque jour des programmes radio et télé débiles rend tout le monde débile ;
En faisant croire aux gens que l'important c'est le football, on les détourne des vrais problèmes ; nous sommes le seul pays au monde à avoir trois journaux sportifs qui sortent tous les jours !!!
Si le vin est trop fort, vous pouvez le diluer, c'est ainsi que cela a été fait avec les Italiens : 10 millions d'immigrants affamés sans idées politiques ont dilué 45 millions d'Italiens politisés ayant clairement en tête leurs droits acquis au cours d'un siècle de lutte. Une bonne mise en œuvre du plan Kallergi.

Les secrétariats des partis ont choisi et envoyé au parlement et au gouvernement des personnes de plus en plus corrompues, corruptibles, déficientes, criminelles, ignorantes et mafieuses. Des politiciens qui pensaient à être réélus, pas des hommes d’État qui pensaient au bien du peuple.

Les syndicats ont subi la même fin, un seul fait suffit : en 1975, un groupe d’écolos sans argent pour suivre les luttes des étudiants et des usines a ouvert Radio Alice, une radio libre du contrôle de la RAI, dans un grenier de Bologne. Le Parti radical, un groupe d’autres personnes sans argent, diffuse ses idées dans toute l’Italie depuis Rome depuis quarante ans. Dans le monde de la communication globale, les syndicats qui comptent la plus grande masse de travailleurs dans la nation ne disposent toujours pas d’une radio, d’un journal, d’un tract ou d’un mégaphone pour communiquer avec les travailleurs et les chômeurs. Aveuglement politique ? La stupidité au pouvoir ? Un plan pour dépolitiser la population ?

Les transports publics, qui étaient autrefois gratuits pour faciliter les déplacements et réduire la pollution, sont passés du secteur public au secteur privé, et ce dernier, qui ne pense qu’à gagner de l’argent, fait payer les transports très cher.

Pour élever le niveau culturel de la population, il y a un siècle, l’État investissait dans l’éducation et un enseignant avait un salaire égal à celui d’un magistrat, aujourd’hui à celui de … a-t-il encore un salaire ?

Grâce à l’IRI, à ses banques et à ses entreprises publiques, l’Italie a toujours disposé d’une structure industrielle capable d’effectuer des recherches et de développer de nouvelles technologies qui se répercutaient en cascade sur les petites entreprises privées. Depuis que les invités du Britannia ont croisé sur les côtes italiennes, le tandem Prodi/Berlusconi, au pouvoir depuis un quart de siècle, a déconstruit l’IRI, donné les joyaux de l’État et démoli la puissance industrielle et bancaire de l’Italie, réalisant ainsi le projet d’État libéral de von Hayek.

En 1992, le socialiste Giuliano Amato et ses camarades détruisent la réforme Beneduce : ils autorisent la libre circulation des capitaux étrangers en Italie (mondialisation), privatisent la Banque d’Italie, autorisent le mélange des banques commerciales et financières, et privatisent le secteur public.

L’introduction de l’euro a soudainement réduit de moitié le capital des Italiens. Un café qui coûtait mille lires coûte désormais un euro, soit deux fois plus.

La baisse du pouvoir d’achat a été aggravée par la baisse des salaires. En 1974, il fallait trois ans et six mois du salaire d’un employé moyen pour acheter une maison de 60 mètres carrés à Milan ; en 2015, il fallait neuf ans de salaire pour les mêmes mètres carrés, aujourd’hui il en faut 11.

Dans les années 1950 et 1960, il était normal de voir des familles avec deux ou trois enfants ; avec le salaire d’une personne, on vivait décemment, on achetait des appareils électroménagers, une voiture, puis une maison. Aujourd’hui, 30% des Italiens sont célibataires ou séparés, 20% sont des couples sans enfants, 50% sont mariés et ont rarement plus d’un enfant. La politique et l’économie ont détruit la famille italienne.

La brique, le bien traditionnel refuge des Italiens, le seul bien qui a toujours été réévalué dans le temps, est devenue, avec l’introduction des classes énergétiques, un bien qui non seulement ne se réévalue pas dans le temps mais, comme une voiture, perd de sa valeur au fil des ans, se déprécie, a un coût d’entretien qui ne sera jamais récupéré. Avec une loi simple et apparemment inoffensive, la brique a également été touchée, et les biens des Italiens perdent de plus en plus de valeur.

En 1951, 7% de la population avait plus de 65 ans, aujourd’hui un quart de la population italienne a plus de 65 ans.

Chaque année, 145 000 jeunes, généralement diplômés de l’université ou hautement qualifiés, émigrent vers d’autres États où la situation économique, politique et culturelle est meilleure.

Que faire ? Lénine a écrit il y a un siècle…

Ceux qui restent en Italie ne peuvent que choisir entre :

Accepter de s'appauvrir de plus en plus ou
se lancer dans la lutte et changer le cours de l'histoire et de l'Italie.

Un choix qui se résume à deux verbes : être ou avoir.

Être des couilles ou en avoir.





Restez couchés, le clan des être humains

[Source : Brunolelosq]






Soutien au Capitaine Alexandre Juving-Brunet

[Source : soutienaucapitaine.fr, Site de soutien au Capitaine Juving-Brunet, via Qactus]

Interpelé le jeudi 24 novembre 2022 à son domicile alors qu’il prenait 24h. de repos dans une course folle dédiée à aider les Français à se réarmer moralement et intellectuellement, le Capitaine Juving-Brunet est actuellement mis en examen pour escroquerie en bande organisée en détention provisoire à la maison d’arrêt de Toulon (La Farlède) sans qu’aucun plaignant n’ait été encore recueilli par la justice sur réquisition (ordre) du parquet aux ordres de l’État macronien inféodé à l’État profond occidental.

Sa détention se poursuit à la maison d’arrêt de Draguignan, loin de sa famille…

Le seul combat du Capitaine Juving-Brunet est livré pour rendre à la France et ses peuples réunis en Nation leur liberté ancestrale avec pour fonctionnement premier : la Vérité !

Vérité, Liberté, Souveraineté.
Vive la Résistance !
Vive la France !


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Publié(s) par la suite dans la mesure de la bienséance. (Mille excuses pour le délai d’attente)


Pour Écrire au Capitaine Alexandre Juving-Brunet :
(bien évidemment les courriers sont lus, avant de lui parvenir)

M. JUVING-BRUNET Alexandre
Écrou 6350 – Maison d’arrêt de Draguignan
3305, Avenue Fred Scamaroni – 83300 DRAGUIGNAN


Afin, d’aider et soutenir notre Capitaine dans sa captivité, ainsi que sa famille qui le soutient sans faille, vous pouvez, sous les conseils de son avocat envoyer tout votre soutien (lettres, etc…) à l’ adresse suivante :

Madame ARÈNE
BP 10067 – 83040 TOULON CEDEX 9

*d’autres informations vous seront communiquées ultérieurement

Chers Amis, dans la continué, si vous souhaitez me soutenir dans ma captivité,
merci d’envoyer vos virements aux coordonnées suivantes :



LIENS


[Voir aussi sur Nouveau Monde :
Alexandre Juving-Brunet]




Zelensky : la vérité derrière la propagande

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Comment faire disparaître radicalement le patrimoine français ?

[Source : nice-provence.info]

Par Pierre-Émile Blairon

… et tous ces vieux villages qui puent le monde traditionnel et la bouse de vache ? Rien de plus simple ! Pas de bombes, pas de chars d’assaut : l’économie d’énergie ! Fallait y penser ! C’est à la mode et ça ne tue personne !

Dystopies

« Dommage que ça ne tue personne, d’ailleurs… ça aurait fait d’une pierre deux coups ! », se sont dit les frères Big Brother et Big Pharma, obséquieusement relayés par les organes de presse, et d’ajouter :

« Depuis le temps qu’on s’échine à essayer de réduire cette population de gueux ! Nous avons pourtant employé tous les moyens. La pandémie : ça n’a pas marché, ils ont travaillé comme des cochons, les laborantins de Wu-Fu, résultat : pas mieux qu’une bonne grippe de derrière les fagots, comme ils disent chez les ploucs. Le vaccin, oui, ça fonctionne, il y a beaucoup de morts et d’éclopés, mais ça n’est pas suffisant, il nous reste des milliards de doses à écouler. La guerre, c’est bien, ça fait tourner les usines, mais il y en a certains qui ne sont pas d’accord et qui n’arrêtent pas de nous mettre des bâtons dans les roues ; là, nous nous sommes carrément fait rouler dans la farine ».

C’est alors que, au moment même où tout ce beau monde mondialiste était dans le désarroi total, le lobby des BTP (Bâtiments et Travaux Publics), une structure économique qui existe dans un vieux pays, la France, d’un vieux continent, l’Europe, eut l’idée de leur proposer la bonne affaire, une lueur d’espoir pour ne pas sombrer dans la neurasthénie :

« Si on ne peut pas se débarrasser des habitants, on pourra toujours éradiquer tous ces agglomérats hideux et moisis de maisons délabrées ou, au moins, les cacher à notre vue en attendant de les remplacer par des grandes tours pour y loger nos futurs esclaves, comme l’avait si bien imaginé ce bon Le Corbusier pour détruire Paris. »

Ce petit passage d’introduction amusant (?), en forme de conte moderne (de Noël ?), était bien sûr une dystopie. Qu’est-ce qu’une dystopie ? C’est un récit de fiction qui décrit un monde où l’utopie, du genre « tout le monde, il est beau, tout le monde, il est gentil », loin de se réaliser, a accouché d’un monde catastrophique. 1984, de George Orwell, ou Le Meilleur des Mondes, d’Aldous Huxley, sont des dystopies. Tout comme la république, la démocratie… ou l’architecture de Le Corbusier.

En 1922, l’architecte Le Corbusier, préfiguration des transhumanistes, avait imaginé de raser tous les bâtiments anciens sur la rive droite de la Seine à Paris (sauf les églises) pour y construire 18 gratte-ciel qui logeraient entre 500 000 et 700 000 habitants. Projet bienheureusement avorté

Deux lois mortifères et un règlement stupide : le « diagnostic de performance énergétique »

La vérité, c’est que c’est Ségolène Royal, alors ministre de l’écologie(([1] Avant de prendre un peu de plomb dans la tête depuis ses derniers revirements, ce qui nous permet de saluer ici sa « bravitude ».)), qui a initié ce processus destructeur en faisant adopter un décret (du 30 mai 2016) qui obligera les propriétaires des maisons (anciennes ou pas) à isoler leurs bâtiments par l’extérieur, une absurdité que Le Canard Enchaîné du 17 août 2016 fut l’un des premiers à dénoncer :

Ce décret a été conforté par deux lois qui vont dans le droit fil des mesures contraignantes liées au possible « passe énergétique » qui viendrait remplacer, ou, pire, doubler, le « passe médical » dont rêvent tous les dictateurs de la planète. On peut lire dans un article paru dans Les dernières nouvelles d’Alsace :

« Faut-il asseoir la transition énergétique sur un champ de ruines, celui de notre patrimoine ? Malgré d’inventives initiatives individuelles, la maison à colombages perd du terrain, en Alsace : chaque année, elles seraient plus de 300 à finir en petit bois. Le phénomène n’est pas près de s’inverser depuis la promulgation de deux lois aux amers effets secondaires : la loi climat et résilience (2021), qui établit le principe du zéro artificialisation nette et la loi énergie climat (2019), qui vise l’interdiction progressive à la location de passoires thermiques, pour favoriser des rénovations thermiques à mener tambour battant, puisque l’État leur assigne un caractère d’urgence climatique. Deux lois vertueuses en apparence, mais qui font peser sur le bâti ancien une pression inédite et mortifère : l’une en accélérant la densification des centres des communes, ce qui se fera parfois en ratiboisant l’ancien, et l’autre en prônant une rénovation qui ne tient pas compte des caractéristiques bioclimatiques du bâti ancien et qui aboutira à sa ruine. Les matériaux naturels ont en effet besoin de respirer, ce que ne permet pas l’utilisation de polystyrène expansé avec lequel on recouvre de plus en plus souvent les colombages… Depuis cet été, des voix s’élèvent pour dénoncer cette catastrophe qui s’annonce, à savoir que le bois « pourrisse » derrière sa nouvelle coque étanche. »

À ces deux lois vient s’ajouter une mesure plus ancienne (2016) : le « Diagnostic de Performance Énergétique » (DPE), obligatoire lui aussi lors de la vente ou de la location d’un bâtiment ; ces diagnostics ont vu éclore quantité d’entreprises qui flairaient l’affaire juteuse, toutes aussi incompétentes les unes que les autres, qui conduisent les propriétaires à effectuer des travaux inutiles et coûteux (voir les associations de défense des consommateurs, dont la revue Que Choisir d’octobre 2022, dont extrait ci-dessous) :

Que Choisir a évalué une seconde fois le nouveau diagnostic de performances énergétiques (DPE), nécessaire lors d’une transaction immobilière. Ce DPE considère désormais la pire des deux sous-notes entre la consommation énergétique et l’émission de CO2. Pour l’étudier, les associations locales de l’UFC-Que Choisir ont sélectionné 7 maisons avec des bâtis, des périodes de construction et des modes de chauffage différents. Chaque propriétaire a appelé 3 réseaux et 2 diagnostiqueurs immobiliers indépendants. Le bilan est catastrophique, avec des classements très différents allant de A à G pour un même logement. Des « conseils » d’équipements en chauffage inexacts ont même été proposés. Une telle différence reflète l’incompétence de certains professionnels dont le mauvais travail a des conséquences : un classement bas peut entraîner une décote lors de la vente d’un bien et bientôt empêcher sa location (pour les logements classés F et G). Il s’agit d’un véritable scandale !

Les associations de défense du patrimoine sont vent debout contre ces mesures

Le 2 novembre 2022, la sénatrice Sabine Drexler alertait le gouvernement sur les conséquences dramatiques de cet ensemble de mesures sur le patrimoine français qui ne pourrait y survivre.

Le 18 novembre 2022, il y a donc un mois, le G7, regroupement des principales associations de défense du patrimoine bâti, sous la conduite de Maisons paysannes de France, envoyait une lettre ouverte (comme un SOS ou une bouteille à la mer) à leurs ministres de tutelle : ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et ministre de la Transition énergétique (amusant, non, ces ministères de « transition », ce qui veut dire qu’ils ne sont là que provisoirement, en attendant le Great Reset ou les passes écologique et énergétique ? Et que veut dire « cohésion des territoires » si ce n’est : uniformisation ?)

Voici deux extraits de cette lettre ; nous sourierons malicieusement à la petite phrase : « Nous n’imaginons pas un seul instant qu’il s’agisse d’un choix volontaire », comme si les rédacteurs de la loi auraient pu « oublier » que la France existait avant 1948 :

« Étonnamment, la loi climat & résilience ne mentionne pas le bâti ancien (d’avant 1948) qui ne peut pourtant pas être confondu avec celui d’avant 1975 – dit des “30 glorieuses” – ni rangé dans la catégorie des “passoires thermiques”. Ce bâti ancien, qui constitue l’un des atouts de l’esthétique et de l’attractivité de nos villes et de nos campagnes, appelle certes des travaux pour améliorer sa performance énergétique, mais dans le respect de ses matériaux et de l’écosystème qu’il constitue. Si ces travaux ne respectent pas ce qu’il est – un bâti bioclimatique par nature – et le confondent avec ce qu’il n’est pas – une passoire thermique – loin de l’inscrire dans la durée, ils vont le condamner irrémédiablement. Nous n’imaginons pas un seul instant qu’il s’agisse d’un choix volontaire. C’est donc une omission de la part des rédacteurs de la loi, qu’il est urgent et vital de corriger. […] »

« La disparition programmée de nos menuiseries anciennes, des croisées et des portes – illustrations des savoir-faire du menuisier, du sculpteur, du serrurier ou du verrier – au profit de modèles standardisés, généralement en PVC, n’est pas acceptable. L’âme centenaire de nos maisons ne doit pas être effacée par des productions de l’industrie qui n’ont rien de durable. L’isolation par l’extérieur qui détruit toute ornementation en saillie des façades pour y arrimer des dalles souvent en polystyrène, ramène l’architecture à un simple gabarit et la met en péril. Que penser d’une isolation par l’intérieur substituant au second œuvre ancien et à ses décors, des boîtes en placoplâtre ? Nous nous opposons à cette extinction patrimoniale de masse, à cette négation de l’architecture offerte à tous, annihilant les diversités régionales, les statuts, les époques ou les styles de ces bâtiments. Ce nivellement industriel, consistant souvent à plastifier nos logements, loin de sauver la planète, nous déshumanise et prive les Français de leur héritage artisanal et artistique le plus immédiat. Pour tous les acteurs, il est urgent de mettre en œuvre une politique cohérente de formation technique et patrimoniale qui, comme le confirment certains médias, fait visiblement défaut aujourd’hui. Nos associations sont contactées par de nombreux propriétaires désemparés à la lecture des résultats du nouveau DPE, devenu opposable et qui débouche dans la plupart des cas sur une préconisation d’isolation par l’extérieur, avec des matériaux et des techniques qui font fi de la valeur patrimoniale des façades et des logiques de fonctionnement de leurs matériaux, tous sensibles à l’humidité et perspirants. Devant la catastrophe annoncée, nous attirons votre attention sur ces carences d’une loi qui, appliquée dans l’urgence, risque d’avoir des conséquences néfastes sur le bâti ancien… »

La France, premier pays touristique au monde

Et, comme en France moderne, tout finit par des chiffres (en France traditionnelle, c’était des chansons, chaque époque a ses priorités), en voici quelques-uns qui prouvent abondamment que ce gouvernement n’en a rien à faire des Français, de la France, de son avenir, et encore moins de son histoire, de son legs patrimonial ou de son rayonnement dans le monde.

Chiffres disponibles de 2019 : la France est la première destination touristique mondiale : 90 millions de touristes internationaux en 2019, et la troisième destination pour les recettes engrangées par ce tourisme. Ces touristes ont dépensé en France 170 milliards d’euros pour cette année-là.
En terme d’activité professionnelle, le tourisme emploie 2 millions de salariés directs et indirects et constitue 7 % du PIB français.

Pourquoi les touristes viennent-ils si nombreux en France ? Parce que si la France n’est peut-être pas le plus beau pays du monde (en tout cas, peu s’en faut), il est à coup sûr celui qui offre la plus grande diversité, à la fois de paysages, de monuments, d’architectures locales admirablement et consciencieusement préservées (ces villages et ces petites villes de culture harmonieusement dessinés au fil des siècles et où il fait si bon flâner), de gastronomies et de cultures régionales enracinées, de patrimoine artistique et historique (que la Révolution n’a pas réussi à totalement éradiquer), il bénéficie d’un climat tempéré qui fait qu’il est possible de visiter le pays à peu près tout le long de l’année selon les régions, d’un ensoleillement maximum dans ses régions du sud, et enfin, il dispose de structures d’accueil (hôtellerie et restauration) qui offrent un large choix à la portée de tous les budgets.

Croyez-vous que ces touristes seront encore là lorsque toute cette richesse patrimoniale aura été saccagée ? Pensez-vous qu’ils se déplaceront pour visiter des quartiers sinistres peuplées de tours, pour traverser des zones industrielles sans fin, ou pour croiser des villages aseptisés composés de maisons toutes aussi semblables les unes que les autres ?

La qualité de vie n’est pas une question de richesse matérielle, et même ces « élites » mondialistes, avec tout l’argent dont elles disposent (qu’elles auront volé aux Peuples), quand elles sortiront de leurs bunkers, seront alors obligées de vivre dans un monde où toute beauté aura été effacée.





Karl Zéro balance tout !

[Source : Les Incorrectibles]
POUR VOIR LA SUITE DE LA VIDÉO NON-CENSURÉE : https://utreon.com/v/3IuJzKyRRnu?t=2691

Karl Zéro est l’invité d’Éric Morillot à l’occasion du lancement de sa web TV : https://www.karlzero.tv (média dédié à la lutte contre la #pédocriminalité).




Günther Anders et L’Obsolescence de l’homme

« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.

L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.

Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.

En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.

L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. »

« En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.»

Günther Anders

[Source : Le Philoscope]


[Source : usbeketrica.com]

Pourquoi il faut (re)lire « L’Obsolescence de l’homme » de Günther Anders

Soixante-trois ans après sa publication, l’essai du philosophe allemand n’a pas pris une ride. On peut même affirmer qu’Anders était plutôt extralucide…

Par Vincent Edin
8 juillet 2019

L’été est une saison idéale pour ralentir, se déconnecter de l’actualité et, pour les plus téméraires d’entre nous, (re)lire des classiques. L’Obsolescence de l’homme de Günther Anders en est un. Dans ce texte magistral de 1956, le philosophe allemand s’alarmait de l’idolâtrie pour le progrès technologique au service d’une civilisation des loisirs où les machines auraient retiré aux hommes toute la pénibilité de l’existence.

C’est un livre qui n’a pas la postérité qu’il mérite. À sa publication, en 1956, il connut pourtant un très grand succès, comme en témoignent les nombreux retirages et nouvelles éditions de l’essai à l’époque, avec des ajouts de l’auteur justifiant la réimpression de ses thèses écrites plusieurs années auparavant. Bravache, Anders écrit même ceci, en préface à la cinquième édition de L’Obsolescence de l’Homme :

« Non seulement ce volume que j’ai achevé il y a plus d’un quart de siècle ne me semble pas avoir vieilli, mais il me paraît aujourd’hui encore plus actuel ». 

Et pourtant, peu de nouvelles éditions sont à signaler depuis le début du XXIe siècle – surtout aucune en livre de poche permettant de démocratiser ce texte essentiel.

« Même si l’occasion se présente d’entrer en relation avec des personnes véritables, nous préférons rester en compagnie de nos copains portatifs »

Songeons aux économistes, sociologues et philosophes du progrès et des loisirs qui sont tombés en désuétude parce que leurs analyses de la télévision ne résistaient pas à l’arrivée d’Internet, tandis que celles les analyses sur Internet étaient rendues caduques par l’invasion des réseaux sociaux… L’obsolescence de leurs thèses était indexée sur les objets qu’ils observent. Avec le livre d’Anders, ça n’est pas du tout le cas.

Faites l’exercice honnêtement. Lisez ces quelques lignes sans chercher à savoir qui a pu les écrire et quand :

« Rien ne nous aliène à nous-mêmes et ne nous aliène le monde plus désastreusement que de passer notre vie, désormais presque constamment, en compagnie de ces être faussement intimes, de ces esclaves fantômes que nous faisons entrer dans notre salon d’une main engourdie par le sommeil – car l’alternance du sommeil et de la veille a cédé la place à l’alternance du sommeil et de la radio – pour écouter les émissions au cours desquelles, premiers fragments du monde que nous rencontrons, ils nous parlent, nous regardent, nous chantent des chansons, nous encouragent, nous consolent et, ne nous détendant ou nous stimulant, nous donnent le la d’une journée qui ne sera pas la nôtre. Rien ne rend l’auto-aliénation plus définitive que de continuer la journée sous l’égide de ces apparents amis : car ensuite, même si l’occasion se présente d’entrer en relation avec des personnes véritables, nous préférons rester en compagnie de nos portable chums, nos copains portatifs, puisque nous ne les ressentons plus comme des ersatz d’hommes mais comme de véritables amis ».

Impossible de ne pas être percuté par l’incroyable actualité de ces lignes… écrites en 1956. Remplacez « radio » par « smartphone », « émissions » par « podcasts », rajoutez « Netflix » et « réseaux sociaux » à l’ensemble, et observez comme ce texte correspond à la perfection à notre temps. La puissance de ce texte visionnaire est sans égale. Déjà, à l’époque, Anders voyait que la croyance dans un salut par le progrès technologique était vaine si cela ne nous permettait pas de nous resocialiser, de nous rapprocher les uns des autres. Pire, en consommant des loisirs de masse, le travailleur contribue lui même à la standardisation des goûts, des usages, nous dit le philosophe allemand. Les appareils de transmission et les émissions (ou les « contenus » pour être plus moderne) aliènent la singularité de chacun dans un mouvement qui nous rend interchangeables – et donc obsolètes.

Le problème de la « honte prométhéenne »

Anders est conscient des critiques que son propos peut susciter, et il se défend par avance contre ceux qui voudraient le dépeindre en réactionnaire en rétorquant que le problème est rhétorique : les défenseurs du progrès jugent ce dernier bon par essence et défendent un bloc, celui du up to date : tant que l’on peut avoir la dernière version de l’homme, on doit le faire, et honte à ceux qui ne s’adaptent pas ! C’est ce qu’Anders appelle « la honte prométhéenne ».

Pour appuyer sa démonstration sur le progrès inutile et même « mortifère », il ajoute une seconde partie intitulée : « Sur la bombe et les raisons de notre aveuglement face à l’apocalypse » avec des analyses qu’il développera dans d’autres livres, notamment La Menace nucléaire : Considérations radicales sur l’âge atomiqueSes thèses sont saisissantes et implacables sur l’insuffisante remise en question de notre rapport à la technique après Auschwitz et Hiroshima.

« Aux États-Unis, on peut affirmer que la mort est déjà devenue introuvable »

En tirant le fil de la « honte prométhéenne », Anders tire des conclusions pleines de prescience. Ainsi, à la fin du livre, il prédit l’émergence du courant transhumaniste en ces termes :

« De la croyance au progrès découle donc une mentalité qui se fait une idée tout à fait spécifique de « l’éternité », qu’elle se représente comme une amélioration ininterrompue du monde ; à moins qu’elle ne possède un défaut tout à fait spécifique et qu’elle soit simplement incapable de penser à une fin (…). Aux États-Unis, on peut affirmer que la mort est déjà devenue introuvable. Puisqu’on y considère que seul existe « réellement » ce qui toujours s’améliore, on ne sait que faire de la mort, si ce n’est la reléguer en un lieu où elle puisse indirectement satisfaire à la loi universelle du perfectionnement ». 

La boucle est alors bouclée. Disciple de Husserl, premier mari de Hannah Arendt, Anders a fréquenté les plus grands esprits du siècle et signait en 1956 un livre de leur niveau. Si ce n’est déjà fait, lisez donc L’Obsolescence de l’homme pour comprendre notre époque.

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Image à la une : Bombardement atomique d’Hiroshima le 6 août 1945 / 509th Operations Group – Wikimedia




Elon Musk admet que « presque toutes les théories du complot à propos de Twitter se sont révélées vraies »

[Source : anguillesousroche.com]

Elon Musk, PDG de Twitter, a admis que « pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot concernant Twitter se sont avérées vraies » et souvent « plus vraies que ce que les gens pensaient ».

Musk s’exprimait dans une vidéo suite à la publication de Twitter Files 9, qui a révélé des détails supplémentaires sur la censure gouvernementale à Twitter et sur d’autres plateformes de médias sociaux.

La CIA faisait partie d’un certain nombre d’agences étatiques de sécurité, dont le département d’État et le Pentagone, impliquées dans la censure de Twitter, selon la neuvième tranche des Twitter Files publiée par Elon Musk, via le journaliste Matt Taibbi.

À la suite de la déclaration bizarre publiée par le FBI, qualifiant le signalement des Twitter Files de « désinformation » diffusée par des « théoriciens du complot » dans le « seul but de discréditer l’agence », M. Taibbi a publié une nouvelle tranche de fichiers internes de Twitter révélant une implication du gouvernement dans la censure encore plus étendue que ce que l’on connaissait jusqu’à présent – ajoutant : « Pourquoi s’arrêter à une seule [agence] ? »

Il n’y a pas que les soi-disant théories du complot sur Twitter et les médias sociaux qui se sont avérées vraies. Au cours des dernières années, le discours de l’élite mondiale s’est effondré et les « théoriciens du complot » ont eu raison sur une longue liste de sujets.



Par exemple, presque toutes les théories du complot que tout le monde avait sur Covid se sont avérées vraies. Vous vous souvenez quand la théorie de la fuite du laboratoire était strictement interdite sur les médias sociaux ? Vous vous souvenez que déclarer que les vaccins Covid ne protègent pas contre la transmission vous valait un bannissement immédiat ?



Compte tenu de l’effondrement du récit de l’élite, il n’est pas surprenant qu’elle intensifie ses attaques contre les « théoriciens du complot ».

Les Nations unies ont déclaré la guerre aux théories du complot, décrivant la montée de la pensée conspirationniste comme « inquiétante et dangereuse », et fournissant au public une boîte à outils pour « pré-bunk » et « debunk » toute personne qui ose suggérer que les gouvernements mondiaux sont tout sauf complètement honnêtes, droits et transparents.

L’ONU veut que vous sachiez que les événements ne sont PAS « secrètement manipulés dans les coulisses par des forces puissantes aux intentions négatives » et si vous rencontrez quelqu’un qui pense que l’élite mondiale conspire pour consolider son pouvoir et dicter les événements mondiaux, vous devez agir.

Le Forum économique mondial (FEM) est également en première ligne de la guerre contre les « théories du complot » qui font dérailler ses plans de domination mondiale. Au début de l’année, le FEM a annoncé qu’il avait recruté des centaines de milliers de « guerriers de l’information » pour contrôler l’internet, en surveillant les médias sociaux et les forums à la recherche de « désinformation » et de contenus conspirationnistes qui seront ensuite systématiquement fermés.

Selon le FEM de Klaus Schwab, la désinformation sur l’internet est une « infodémie » qui est « potentiellement mortelle » et nécessite un « remède ». La définition de la désinformation, selon le FEM, est tout ce avec quoi ils ne sont pas d’accord. Cela signifie que les guerriers de l’information seront essentiellement engagés dans l’acte de faire taire la dissidence.

Le contrôle autoritaire de l’internet, des médias et des médias sociaux par l’élite mondiale a eu des conséquences désastreuses sur nos libertés.

Faire taire les voix dissidentes est catastrophique pour le bon fonctionnement d’une société.




Échec de la stratégie sanitaire française. Vive les traitements précoces !

Par Dr Gérard Delépine

Durant cette crise covid, la propagande omniprésente des médias a répété en boucle les messages publicitaires de Big Pharma et du gouvernement : « les traitements précoces sont inefficaces et dangereux ! Les vaccins vous sauveront ». Et le conseil de l’Ordre des médecins, grand inquisiteur du dogme gouvernemental, poursuit opiniâtrement les médecins qui ont osé affirmer le contraire même s’ils sont députés ou sénateurs et sans même considérer les faits établis qui leur donnent raison.

Après 32 mois d’évolution de l’épidémie, le bilan de notre politique sanitaire basé sur ses résultats avérés permet d’examiner la pertinence de ces slogans officiels.

Les mesures sanitaires coercitives et les vaccins ont été dramatiquement inefficaces

Une mesure sanitaire nationale ne peut être évaluée sur des études de commande conçues pour conforter les décisions politiques des gouvernants, mais sur des données nationales vérifiées et publiées. Les données officielles de l’OMS1 sont sans appel : c’est dans les pays qui ont instauré les mesures sanitaires les plus restrictives et imposé le plus brutalement possible les pseudo vaccins que les mortalités covid cumulées par million sont les plus élevées.

Ainsi, au 20 décembre 2022, la mortalité par million atteignait 3366/M à Gibraltar (taux de vaccinés : 115 % !), 3348/M en Grèce (qui a rendu obligatoire la vaccination des plus de 60 ans) et 3102/M en Italie (82 % d’injectés), deux pays ou la dictature sanitaire a été particulièrement brutale, 3217 aux USA, 3157/M en Grande-Bretagne (champion européen du vaccin Astra Zeneca), 2844/M en Belgique (79 % d’injectés) et 2639/M en France (80 % d’injectés), 2501/M au Portugal (87 % d’injectés), 2452/M en Espagne (plus de 90 % d’injectés)… Et à cette mortalité covid officielle des pays riches, il convient d’ajouter d’innombrables « victimes collatérales » liées aux confinements, aux plans blancs et autres restrictions des libertés et des crises économiques qui en ont résulté. Dans aucun de ces pays, les mesures sanitaires et les pseudo vaccins ne sont parvenus à diminuer ou ralentir les transmissions, les hospitalisations ou la mortalité.

À l’opposé les pays peu vaccinés, qui souvent n’ont pas pu confiner leurs populations2, bénéficient d’une mortalité 8 à 300 fois moins élevée : 374/M en Inde, 180/M en Afrique, 153/M en Algérie, 76/M en Ouganda, 70/M au Cameroun, 64/M au Congo, 48/M à Madagascar, 30/M en Côte d’Ivoire, 14/M au Nigéria, 12/M au Bénin, 10/M au Tchad…

Certes la jeunesse de leurs populations explique une réduction de risque des pays pauvres, mais, après correction de ce facteur démographique, la mortalité Covid des pays qui ont imposé la stratégie « tout vaccin » de l’OMS reste 3 à 50 fois supérieure à celles constatées en Afrique ou en Inde alors que ces pays pauvres souffrent d’une insuffisance chronique de médecins, de médicaments et d’hôpitaux.

La stratégie OMS de « confinement, pas de traitement précoce, tout pour les vaccins » a abouti à des désastres sanitaires.

Dans le monde réel, les antipaludéens ont considérablement limité les contaminations

L’équipe de l’IHU Méditerranée3 a montré que la charge virale des malades diminuait rapidement sous traitement par HCQ limitant ainsi le risque de contamination de leurs contacts. Les données de l’OMS, illustrées par les courbes de l’Université John Hopkins confirment totalement leur résultat : les pays qui ont largement utilisé les antipaludéens (pays d’Afrique souffrant de paludisme, Algérie, Madagascar, Inde…) ont fortement limité l’intensité des poussées d’épidémie. En particulier en Inde où la Covid Task Force a recommandé le traitement4 à titre préventif pour les soignants et les membres des familles contaminées avec une efficacité de plus de 90 %5 6.

Au 20/12/22 Gibraltar (610 000/M) et la France (566 000/M), qui ont refusé les traitements précoces se retrouvent avec plus de la moitié de leurs populations contaminées alors que les pays qui ont utilisé les antipaludéens ont protégé leurs nationaux que ce soit Madagascar grâce à l’Artémisinine (2 200/M), l’inde (31 000/M) ou l’Algérie (6 039/M) et la Côte d’Ivoire (3 122/M) adeptes du traitement Raoult.

Les fortes réductions des contaminations observées grâce aux traitements précoces confirment les résultats préliminaires des études publiées et les déclarations des responsables de ces pays au début de la crise, trop souvent ignorées par les médias français. Si nous avions utilisé les traitements précoces (au lieu de les interdire) nous aurions certainement réduit le nombre de malades et la pression sur l’hôpital.

Dans le monde réel les antipaludéens ont fortement limité la mortalité

Bénin, Sénégal, Burkina Faso, Cameroun, Madagascar, Côte d’Ivoire, République Centre Africaine, Nigéria, Tchad… dans ces pays où le système de santé est quasi inexistant, les dirigeants ont généralisé le traitement à base de chloroquine sans attendre les résultats définitifs d’études randomisées honnêtes.

Leur stratégie des traitements précoces et/ou préventifs leur a permis de protéger leur population avec des mortalités 8 à 300 fois inférieures à celle observée dans les pays riches adeptes du tout vaccin.

La comparaison avec l’Algérie est particulièrement démonstrative ; ce pays souffre comme la France d’un taux élevé de plus de 60 ans (27 %), d’une prévalence d’obèses semblable à la nôtre, d’un tabagisme un peu plus faible (17 % VS 25 %), mais le double de diabétiques (10 % vs 4,7 %), soit globalement des facteurs de mauvais pronostic Covid similaires aux nôtres. En Algérie les responsables sanitaires ont conseillé le traitement Raoult et le Dr Mohamed Bekkat membre du comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de Covid-19 a affirmé publiquement :

« Les milliers de cas traités avec ce traitement l’ont été avec succès et sans réactions indésirables ».

Si nous avions suivi leur exemple, nous aurions pu éviter 140 000 à 150 000 décès attribués au covid

Dans le monde réel, les antipaludéens n’ont pas donné de complications notables

Avant le covid les dérivés de la chloroquine avaient été administrés sans toxicité notable à des milliards de personnes pendant plus de 70 ans (depuis 1947)7 8. Brutalement, pour imposer l’autorisation temporaire des pseudo vaccins elle a été déclarée dangereuse, à l’aide d’études bidon comme celle du Lancet Gate9 10 11. Le recul dont on dispose maintenant en Inde12 comme dans les pays africains qui l’ont promu confirme que les antipaludéens n’ont pas donné de complications notables.

Le seul bénéfice des pseudo vaccins a été financier pour les firmes, leurs actionnaires, les politiques et les leaders d’opinion corrompus

Au 13 décembre 2022, les 13 008 560 983 doses de vaccin administrées13 ont rapporté un peu plus de 280 milliards de dollars aux firmes pharmaceutiques dont les bénéfices14 et les marges15 ont explosé et qui en ont probablement reversé suffisamment à leurs mercenaires (fast checkers, épidémiologistes de plateaux télé, certains académiciens et membres de la HAS, cabinets de conseil, décideurs administratifs et politiques corrompus) pour justifier leurs propos mensongers sur la prétendue toxicité et inefficacité des traitements antipaludéens et l’utilité des pseudo vaccins expérimentaux.

L’examen objectif des faits avérés analysés par des chercheurs sans liens d’intérêts avec les firmes ou les gouvernements vaccinolâtres, les données officielles de l’OMS et les courbes de l’université John Hopkins démentent totalement leur propagande marchande.

L’approche scientifique se démarque de l’attitude religieuse par la confrontation permanente des théories du moment aux faits établis ; lorsque les faits constatés ne sont pas en accord avec les théories, ces dernières doivent être abandonnées. Les religions se singularisent au contraire par l’immuabilité du dogme. Il est grand temps que les magistrats du siège et les conseillers de l’ordre des médecins arrêtent de croire aveuglément au dogme covid officiel et qu’ils basent leurs décisions sur l’analyse scientifique des faits constatés.

John Geer, professeur de science politique à l’université Vanderbilt :

« Raconter des mensonges ou refuser d’admettre les faits est fondamentalement antidémocratique. Pour résumer, en niant l’évidence, vous faites courir un risque au fondement même de notre démocratie ».

Quel que soit votre âge, ne craignez plus le covid. Plutôt que de vous faire indéfiniment injecter des traitements expérimentaux peu efficaces, constituez-vous une petite réserve de médicaments (antibiotiques, hydroxychloroquine ou Ivermectine) à prendre dès le début d’une infection compatible !

Vivez normalement sans masque, sans tests et embrassez ceux qui vous sont chers !

Battez-vous pour défendre toutes vos libertés et les soignants scandaleusement ostracisés.

La vie est belle quand on l’aborde sans crainte et qu’on se bat pour le bien commun.





La vérité contre l’ordre

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Je suis à nouveau convoqué par l’ordre des médecins, en Belgique, à Mons, ce 11 janvier 2023, audition à 19h30.

Médecin engagé pour l’utilisation et la diffusion des traitements précoces efficaces du COVID, pour la liberté d’expression, pour le débat scientifique public et équilibré, pour le véritable consentement éclairé des patients, pour un moratoire sur les injections expérimentales faussement appelées vaccins dont la morbi-mortalité actuelle est alarmante, et pour la défense du serment d’Hippocrate rappelé page 14 du livre « La déontologie du médecin » du vice-président national belge Philippe Boxho et notamment ces points :

« Au moment où je deviens membre de la profession médicale, je prends l’engagement solennel d’œuvrer toujours de mon mieux pour une médecine de qualité, au service des personnes et de la société.

Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité.

J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins. (…) J’exercerai ma profession avec conscience et dignité

J’actualiserai et partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient

Je fais ces promesses sur mon honneur… »

Je comparais devant l’ordre des médecins provincial du Hainaut en Belgique pour, selon lui, avoir outrepassé les limites de la liberté d’expression en répandant largement, notamment sur les réseaux sociaux, des allégations qui relèvent davantage de convictions personnelles que de données factuelles et validées par la science.

En quoi un ordre des médecins est-il garant des données factuelles et validées par la science ?

La science, les connaissances évoluent sans cesse.

Comment peuvent-ils ignorer toutes les données factuelles et convaincantes sous-tendant tous mes propos, ainsi que ceux d’illustres confrères de par le monde et ce depuis 2020 ?

Sont-ils les seuls à définir ce que sont les données factuelles et validées par la science ?

En quoi un Ordre des médecins, en principe compétent en matière de déontologie et de rapports entre les médecins et leurs patients, serait-il garant des données factuelles et validées par la science ?

Les rencontrer ne me fait pas peur et j’irai là sans me dédire, sans renier mes propos, en exploitant au contraire cette opportunité pour susciter un débat que les autorités nous ont interdit jusqu’ici.

Comment respecter mon serment d’Hippocrate, prioritaire sur tout le reste ? Comment informer correctement les personnes qui font appel à mes soins, dans un espace où tout débat a été empêché, nié, refusé, repoussé, ridiculisé ?

Je leur poserai la question.

Je suis fier de ce que j’ai fait. Je le referais.

Je suis fier, dès 2020, d’avoir correctement informé mes patients, ces gens dont nous médecins avons la charge de l’information vraie et du soin correct. 

Ma priorité de médecin, mon premier devoir n’était ni de plaire à l’Ordre, ni de suivre des directives politiques ou médiatiques, mais de soigner et d’informer correctement mon patient. Tel est le devoir le plus important d’un médecin.

Ce l’était et ça le sera toujours.

Soyez nombreux à soutenir les médecins inquiétés de par le monde. Soyez des milliers autour de ces médecins courageux.

C’est cela votre force ! Montrer qu’un tel symbole, la recherche et la défense de la vérité, peut encore mobiliser des milliers de citoyens honnêtes et désireux que la démocratie ne soit pas un mot vide. C’est cela notre force : le nombre ! La puissance d’une assemblée citoyenne de personnes éclairées qui reprennent le pouvoir sur leurs vies et leurs santés.

Au travers des institutions officielles comme l’Ordre des médecins, le système veut faire de nous, Alain Colignon, Laurence Kayser, Frédéric Goaréguer, Gaëtane Beeckaert, Éric Beeth, Cécile Andri, moi et d’autres en Belgique, des exemples pour faire peur à l’ensemble des thérapeutes qui ne vont pas dans leur sens unique.

Vous, citoyens, faites de nous des exemples, oui, des symboles d’intégrité, de courage et de vérité. Des modèles, des exemples à suivre.

Ne le faites pas pour nous en tant que personne ou en tant qu’individu, faites-le pour les valeurs que nous défendons pour vous.

J’irai là-bas sans haine, sans colère, sans reproches.

Ce n’est pas une guerre de science, de vérité, ni de justice car tous ces domaines sont largement corrompus. Ce n’est pas une guerre du tout.  

C’est une occasion. Une chance. Un espoir fou de faire évoluer l’humanité.

De petits foyers de courage et d’opiniâtreté s’allument partout dans le monde, en ce moment.

J’irai seul avec la paix qui règne dans mon cœur, avec la volonté de les aider à voir ce qu’ils ne veulent pas voir, avec l’empathie que m’ont enseigné toutes ces épreuves.

Si chacun invite deux personnes, et que chacune d’entre elles invite à son tour deux personnes, imaginez le nombre de voix et de mains, de quoi enfin renverser le rapport de forces et faire que la peur change de camp.

Venez de toute la Belgique ou d’ailleurs, louez des cars, des bus. Faites-cela partout où la vérité, où la bienveillance sont attaquées.

Faites silence quand ils font du bruit de matraque. Faites du bruit quand ils imposent l’omerta.

Soyez unis dans le calme puissant et la solidarité qu’aucun de leurs canons, qu’aucune de leurs agressions ne peuvent briser.

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2022




La chance de l’humanité

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« À l’intérieur du corps existe un agent inconnu
Qui travaille pour le tout et pour les parties,
Qui est à la fois Un et Multiple »

Hippocrate

Nous sommes à l’acmé de cette époque au cours de laquelle toutes les vérités ont été falsifiées, carrément inversées.

Nous y sommes, arrivés au dernier sommet du Kilimandjaro du mensonge travesti en vérité.

Cela ne pouvait marcher qu’en allant de pair avec l’infantilisation extrême de l’être humain, avec son abêtissement progressif qui lui aussi atteint son point culminant.

Tout a concouru à cette destruction de l’intelligence humaine et toutes ses parties, physique, rationnelle, émotionnelle, spirituelle.

Des tirs croisés nourris de bêtises habillées en évidences, de culot, d’arrogance, de mépris, de violences, de distractions, de saturations, de paradoxes, de terreur, de mauvaise foi, de corruptions, de paresse, d’inertie, de stimulations incessantes et de bruits constants…

L’esprit humain est maintenu en ébullition.

Toutes les disciplines ont été contaminées par cette maladie qui consiste à corrompre la vérité, parfois de manière évidente, visible, plus souvent de manière subtile comme un cancer qui épuise aussi lentement que sûrement les capacités de guérison de l’organisme violé à son insu.

Il s’agit d’une vaste coalition de programmes et de décisions, étalée sur plusieurs générations, ce qui, à lui seul, démontre l’intention malveillante organisée derrière cette entreprise de démolition contrôlée du potentiel humain.

En ce sens, que faire ?

Déjà, remarquer puis accepter cette évidence.

Combien tombent encore dans le piège de maintenir un dialogue avec les diffuseurs d’illusions, ces personnes adoubées par le système, autoproclamées tenants de LA vérité, dénommées « experts ». 

Comprenez-bien ce dont il s’agit : « Les experts ne se sont jamais trompés. Ils ont toujours menti. » 

C’est une grosse différence, une importante nuance. Je ne parle pas à un menteur patenté comme je le ferais avec quelqu’un qui se serait juste trompé.

D’ailleurs, je ne parle pas à un menteur patenté. Je démonte ses mensonges et tente, avec tact et douceur, d’alerter mes concitoyens trompés.

Il ne faut pas nécessairement être l’instigateur malveillant du système pour le défendre becs et ongles. D’ailleurs, ceux-là restent souvent en retrait, peu visibles voire invisibles pour la majorité des humains. Ils ont donné leurs ordres, distribué récompenses ou menaces, et assistent ensuite au spectacle.

Beaucoup des défenseurs du système de l’Illusion sont des personnes honnêtes et bienveillantes, trompées ou accrochées à leurs croyances, sans se rendre compte qu’en faisant cela, elles servent involontairement le système qu’elles pensent combattre.

Juddi Krishnamurti(([2] Qui est Krishnamurti ? (krishnamurti-france.org) )) est un sage hindou qui prônait l’indépendance totale vis-à-vis de tout système de pensée qui, aussi valable fut-il pendant un temps, finissait par enfermer ses adeptes dans une vérité devenue obsolète. Tôt ou tard, les tenants de toute école préfèrent ignorer les faits contraires, éviter les débats contradictoires, se focaliser sur ce qui confirme leur vision des choses et basculent obstinément dans la défense de leurs idées, plutôt que de poursuivre la quête de la vérité.

Car la vérité est un objectif inatteignable. C’est une recherche permanente, une remise en question perpétuelle.

La vérité figée en idée, en système de pensées, est comme un ruisseau qui se serait arrêté de couler, transformé en mare stagnante, morte.

Pas d’école.

Pas de système.

Effectivement, quiconque adhère à une école, à un système de pensées, encore plus s’il en est un fondateur, s’accrochera à son école, à son système, même alors que l’évolution des connaissances et de la maturité humaine l’ont rendu caduque, mensonger ou limitant.

L’histoire humaine le prouve.

À moins d’un effort de lucidité et de volonté énorme, il est très difficile de renoncer à des idées auxquelles nous nous sommes identifiés toute notre vie, pour lesquelles nous avons consacré notre vie.

C’est encore plus vrai pour les fondateurs, pour ceux qui gagnent leur vie grâce au mode de pensée qu’ils défendent et vendent, pour ceux qui en retirent pouvoir, renommée, récompenses.

Toutes les écoles de pensées quel que fût leur bienfondé, au début, deviennent des systèmes finis, limitant la vérité qui évolue sans cesse, deviennent des carcans confortables mais trompeurs.

À côté de cela, nous trouvons les imposteurs, les menteurs patentés, ceux qui trafiquent leurs études, volent les travaux des autres.

Le prototype est certainement Louis Pasteur, l’usurpateur, et son antithèse est Antoine Béchamp, véritable chercheur honnête, intègre, passionné, répétant ses travaux des dizaines de fois dans toutes les conditions, sur des années, avant de tirer des conclusions et de les publier, prêt à se remettre en question, comme l’a prouvé sa vie entière.

Pourtant, si vous demandez autour de vous qui connaît Antoine Béchamp, même parmi les médecins que vous connaissez, très peu vous diront oui. Encore moins sauront ce que cet homme tout à la fois extraordinaire et modeste, humble et rigoureux, a mis en évidence.

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
Un nouveau paradigme médical
Les Racines de nos Maladies
Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?]

C’est bien simple.

Il vous invite à oublier complètement tout ce que vous avez cru savoir.

Il vous montre, vous prouve que la vie n’est pas du tout une guerre comme ces « experts » nous la présentent aujourd’hui, encore moins un conflit avec l’extérieur qui serait menaçant.

La vie est une harmonie puissante, yin et yang, entre l’interne et l’externe, maintenue depuis les tréfonds du corps humain lui-même.

Aujourd’hui, la crise du COVID, la guerre en Ukraine (éclipsant toutes les autres créées par l’Occident), les variations de climat utilisées comme alibi à plus de contrôle et d’austérité, les crises énergétiques fabriquées par certains hommes me font dire que si l’humanité ne saisit pas l’occasion, que si un nombre suffisant d’humains ne se lèvent pas non pas pour exiger la fin du système actuel (il se détruit de lui-même) mais pour reprendre le contrôle sur leur vie, leur santé, pour reprendre le chemin vers la vérité, alors, cette humanité aura laissé passer sa chance.

Repartons de vrais modèles de vertu, d’intégrité, de rigueur et de bienveillance.

Parmi ces modèles, Antoine Béchamp nous montre la voie.

Je suis confiant.

« Vous devez apprendre à désapprendre en permanence
tout ce que vous avez appris »

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2022

Notes :