«Ils n’ont pas tout prévu c’est pour ça qu’on va les foutre en l’air»

[Source : Reservoir Apps]

[NDLR À propos de Poutine supposé Young Global Leader de Schwab dans la vidéo suivante, l’article https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/, devenu payant, tend à démontrer que ce n’est pas fondé.
À propos de Valérie Bugault et du droit continental, voir :
Les attaques contre le Droit continental s’intensifient]




Covid : une arnaque génocidaire qui a rapporté des milliards de dollars

[Source : RL]

Par Christian Navis

Tels des psychopathes fanfarons, les « saigneurs » de Big Pharma se délectent à afficher leurs exploits. Ainsi Albert Bourla, directeur général de Pfizer, claironne :

« 2022 a été une année record pour Pfizer, non seulement en termes de revenus et de bénéfices par action, qui ont été les plus élevés de notre longue histoire, mais plus important encore, en termes de pourcentage de personnes qui ont une opinion positive de Pfizer, grâce aux médias. »

Tuer est une activité très lucrative pour Big Pharma

Des enjeux énormes ont balayé tous les scrupules chez ceux qui en avaient encore… Avec un coût de fabrication de 2,5 dollars la dose, le « vaccin » était vendu au prix moyen de 20,00 USD l’unité, tarif appliqué au gouvernement américain en 2020 par Pfizer et Moderna… Les ventes de ces saloperies ont alors dépassé les 280 milliards de dollars dans le monde entier. Chiffre en augmentation constante depuis. Panique bien orchestrée oblige.

En Eurocrature, c’est encore plus dingue. En octobre 2022, des députés de droite (forcément !) ont dénoncé l’achat de 4,5 milliards de doses du « vaccin » par la présidente non élue Ursula von der Leyen, pour piquer 450 millions de personnes résidant dans l’UE. À raison de 10 doses chacune ! Un des plus grands scandales de corruption de notre époque. En plus d’être un crime contre l’humanité. Une spécialité dans laquelle les Boches ont toujours été champions.

Car en 2022, de nombreux médecins, dont Robert Malone, ancien chercheur sur les thérapies à ARNm, avaient démontré la relation de causalité entre le bilan financier des dealers de « vaccins » et la hausse concomitante de la mortalité dans les pays riches… La pauvreté des Africains les ayant en grande partie préservés. Avec la prescription de Nivaquine à titre préventif de la malaria, depuis des lustres.

Peu importe que les manants crèvent comme des mouches

Le professeur Michel Chossudowsky a eu entre les mains des documents de Pfizer sur la morbidité et la mortalité de leur « vaccin » à ARN messager. Dans un premier rapport du 28 février 2021, 13 semaines après le début de la campagne mondiale de « vaccination », les experts relevaient 42 086 cas avérés d’effets secondaires nocifs, liés à leur mixture. Aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, en France au Portugal et en Espagne.

Les troubles respiratoires et cardiaques, les dégradations musculaires, les affections gastro-intestinales, les allergies et chocs anaphylactiques, les atteintes cutanées, les infections génitales, les empoisonnements et complications diverses, ainsi que les pathologies neuropsychiatriques, tout était répertorié et documenté. On ne pouvait plus plaider l’ignorance et la bonne foi.

Dès lors que ces effets étaient connus et que les « vaccins » étaient imposés par la coercition, les chantages et les menaces, par des dirigeants étatiques qui ont touché leur part au passage, leurs manigances relevaient du crime organisé.

Avec le recul, on peut ajouter la stérilité de femmes et d’hommes jeunes pluri-vaccinés. De quoi satisfaire des magnats du NWO qui exigent, au Bilderberg comme à Davos, qu’on réduise de moitié la population de la Terre.

Les chiffres de l’hécatombe, désormais couverts par les secrets d’État, ont été multiplié par dix, puis par cent, puis par mille au cours des mois et années qui ont suivi. L’obstination à faire du pognon en contaminant les gens malgré des risques létaux, en les utilisant comme cobayes pour tester des produits en cours d’expérimentation, en les trompant ou sous la contrainte… constitue un crime contre l’humanité à l’échelle planétaire, au sens du Code de Nuremberg.

La préméditation des crimes est établie

Dès novembre 2020, tandis qu’on enfumait et terrorisait les gens avec les pangolinades, l’objectif fixé était de vacciner, avec 5 ou 6 doses, les 8 milliards de personnes vivant sur Terre. L’idéal étant deux rappels par an chacun ensuite. Condition sine qua non : « Éduquer » (= embobiner) les populations d’abord.

Pour ce faire, Pfizer, Moderna et les autres exigèrent des décideurs politiques l’interdiction des traitements efficaces à l’aide d’HCQ puis d’Ivermectine. Et des mesures coercitives pour museler les critiques par tous les moyens. Menaces. Dénigrements. Chantages. Mises à pied. Procès. Voies de fait. Un psychopathe immature comme Macronescu, qui ne supporte pas qu’on lui résiste, ira au-delà des instructions de ses sponsors, en interdisant aux médecins indociles d’exercer leur profession.

Les gouvernements cupides ont dissimulé puis détruit toutes les statistiques relatives aux effets secondaires de cette prétendue « vaccination ». Selon les estimations les plus basses, le nombre de morts provoquées par ces injections illégales atteindrait 2 millions dans les pays dits avancés, Amérique du Nord, Europe occidentale, Japon, Corée du Sud, Australie et Nouvelle-Zélande. Et au moins 10 fois plus de personnes qui souffriront d’effets secondaires handicapants jusqu’à la fin de leur vie abrégée.

On a maintenant la preuve que ces injections ne protègent pas d’une infection par le coronavirus, qui n’est qu’une forte grippe. En outre, on sait que ces « vaccins » n’empêchent pas la transmission du virus par des personnes infectées à des « vaccinées ». Et pire, ils produisent des anticorps spécifiques facilitant une nouvelle infection.

Ce phénomène dit ADE, acronyme de « antibody-dependent enhancement », observé et décrit dès le début des campagnes de « vaccination », relève de la liaison du virus à des anticorps sous-optimaux afin d’améliorer son entrée dans les cellules-hôtes… Une manipulation hasardeuse suivie d’une réplication incontrôlable. Un vrai pousse-au-crime pour imposer encore et toujours plus de « vaccins ».

Des tribunaux interviennent avec des condamnations symboliques

Des « class-actions » s’organisent aux USA, Canada et NZ, qui se réveillent de leur hypnose médiatique, pour poursuivre Pfizer, Moderna et les autres producteurs de mixtures toxiques. Mais la plupart des Français sont encore anesthésiés par les discours lénifiants des ministricules et des journalopes.

Des députés européens courageux comme Virginie Joron tentent de dévoiler la corruption au plus haut niveau de la Commission européenne. En particulier les liens financiers étroits entre la von der Leyen (qui doit son job à qui ?), son mari Heiko, patron de labos spécialisés dans les traitements géniques, et Albert Bourla, PDG de Pfizer, auquel l’Eurocrature a acheté des quantités astronomiques de ses poisons. Sans même en négocier les prix.

Ces petits arrangements entre amis sont cachés et on voit leur réticence à présenter les documents exigés par des injonctions de justice aux USA. Quant au silence du côté de Bruxelles, il est conforme à la tactique habituelle dans ce genre de procès : éviter de faire des vagues, puisque les médias aux ordres en parleront le moins possible. Et faire traîner les procédures… Pour payer dans quelques années une amende apparemment lourde, mais qui ne représentera au pire pour les empoisonneurs publics que 1 % de leurs bénéfices.

La société Pfizer est une multirécidiviste puisque celle-ci a déjà été condamnée à des amendes salées, 74 fois au cours de ces dernières années dans de nombreux pays, pour un montant total de plus de 8 milliards de dollars. Du fait de produits dangereux promus par des campagnes de publicité mensongère, soutenues par des décideurs politiques véreux et des médicastres corrompus.

Pfizer et les autres mériteraient de passer devant un « tribunal de Nuremberg ». Mais comme ce genre de juridiction ne peut siéger qu’à l’initiative des gouvernements « arrosés » par Big Pharma, le risque est minime. Ils peuvent donc continuer. Et ils ne s’en privent pas. Le grand public conditionné par une propagande incessante est toujours prêt à gober de nouvelles sornettes. Nouvelles maladies, nouveaux « vaccins », qui s’ajouteront au massacre covidesque. Le terme « génocide », souvent utilisé à tort et à travers, est là tout à fait approprié.

La complicité active des politiciens stipendiés par les labos

Protégés par des immunités sur mesure, tant qu’une révolution improbable ne les mettra pas hors d’état de nuire, ils peuvent en France comme en Eurocrature, sous la pression de consultants infiltrés dans les rouages des États, décider de sanctions pénales et administratives illégitimes. Contre les lucides réfractaires aux seringues assassines. Tandis que les impacts négatifs sur la santé du « vaccin » contre le Covid-19 font l’objet d’un déni systématique par les autorités sanitaires, politiques et médiatiques, qui seules « détiennent la vérité ».

Un empêcheur de tuer tranquille

Le Professeur Michel Chossudovsky est un universitaire. Pas un médecin, ce qu’on lui reproche. Mais parmi les vaccinators frénétiques, combien sont médecins ? Et parmi ceux qui ont le diplôme, combien sont directeurs commerciaux des labos, sans avoir vu un malade depuis la fin de leurs études ?

Depuis qu’il a fondé à Montréal le « Centre de recherche sur la mondialisation » chargé d’étudier de façon pluridisciplinaire les sujets que les médias mainstream esquivent ou falsifient, il est traité de « complotiste »… Lorsqu’il a dénoncé les crimes sanitaires liés au covid, on a mis en doute sa santé mentale… Et récemment il a gagné une nouvelle étiquette : agent secret des Russes !

Chossudovsky, interdit de médias sur ordre des labos, a été éjecté de YouTube et censuré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial. Pourtant, il ne diffame ni n’insulte personne. Il s’est juste procuré les rapports financiers internes de Pfizer. Et il les divulgue. Or le grand public doit ignorer ce qui mijote dans les chaudrons du Diable si on veut continuer à l’empoisonner.

Chacun peut obtenir légalement ces documents. Il suffit de souscrire quelques titres de la société. Ainsi Pfizer elle-même indique à ses actionnaires que cette entreprise bien gérée a réalisé 100,3 milliards de dollars de profit pour l’année fiscale 2022. Et les projections sur un proche avenir permettent d’espérer faire beaucoup mieux !

Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/




Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie

Par Nicole Delépine

« Les apprentis sorciers stoppés dans leur folie »1

Merci à notre collègue et amie, Alexandra Henrion Caude pour « les apprentis sorciers » et plus encore son long combat depuis trois années contre la plandémie covid19, faisant suite à ses prises de position courageuses et nécessaires sur les dérives de la pseudo bioéthique (et très isolées) qui permet maintenant d’« avorter » un bébé viable si la mère présente des difficultés psychiques.2

Petit retour en arrière, je ne connaissais pas le Pr Henrion-Caude en début 2020, mais l’ai découverte avec bonheur en cherchant comment dénoncer certains éléments de la loi dite de bioéthique3 qui devait se discuter à l’Assemblée nationale fin juillet 2020 (et votée définitivement en août 2021, évidemment en période de congés et dans un étrange silence médiatique et médical… Car évidemment quoi de moins important que de décider d’autoriser l’avortement ou appelé tel jusqu’à neuf mois (intitulé infanticide jusqu’au nouveau Code pénal qui a supprimé cette incrimination spécifique remplacée par le meurtre sur un mineur de moins de 15 ans)4 ou la fabrication de chimères homme — chèvre ou homme-lapin, etc..

Quelle joie ce fut pour moi de rencontrer par ses articles et vidéos une spécialiste du domaine qui osait dire les choses, combattre les dérives, expliciter, permettre d’en débattre enfin………

Elle avait tiré l’alarme en 2019

Alors que la France s’apprêtait à généraliser la Procréation Médicalement Assistée, le docteur Alexandra Henrion-Caude, généticienne et directeur de recherche à l’INSERM, avait tiré la sonnette d’alarme. En raison d’un recul scientifique très insuffisant sur les pratiques concernées banalisées et leurs contrôles totalement insuffisants, l’épigénéticienne livrait ses inquiétudes sur les enfants à naître et la société en devenir.

Des enfants issus de FIV fragilisés

« Peu de scientifiques osent le dire : certaines pathologies se retrouvent surreprésentées chez les enfants nés d’une PMA. Fertilité plus faible chez les petits garçons, syndromes récurrents, les conséquences de cette pratique promue par les politiques semblent loin d’être maîtrisées. Des parents sous informés face à des risques pour la santé des enfants à naître, la plupart des médecins adoptent le déni. Rares sont les professionnels de santé qui disent la vérité aux parents sur les risques de complications de santé que pourront porter leurs futurs enfants. De même, les pratiques de stimulation hormonale revêtent un caractère invasif important pour les femmes sans qu’elles en soient informées au préalable… »5

Ce fut le premier vote de la loi dite de bioéthique fin juillet 2020 adoptée en août 2021 dont l’article phare était la PMA pour toutes, mais qui contenait de nombreux autres points inquiétants, comme l’avortement de fait jusqu’à neuf mois…

Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita dénonçait une « complète rupture éthique. La majorité présidentielle a fait prévaloir l’intérêt d’adultes au détriment des droits de l’enfant, et s’est obstinée à intensifier la manipulation du vivant, sans aucun principe de précaution ».

Bien avant le scénario Covid, le DR Henrion-Caude se battait pour l’Humanité contre la perversion de la société et les dérives de la science.

LOIS DE BIOÉTHIQUE : UNE DÉRIVE EUGÉNIQUE ET TRANSHUMANISTE AVEC ALEXANDRA HENRION CAUDE du 30 07 20206

Après moins d’une semaine de débats à l’Assemblée Nationale, le texte de révision des lois de bioéthique avait été voté dans la nuit du 31 juillet au 1er août. Entretien réalisé par Delphine Allaire. « Le texte a été voté au cœur de la nuit par 60 voix contre 37 et 4 abstentions, sous des applaudissements de la majorité. » Il est insensé que des modifications aussi importantes de nos lois et donc de notre société puissent être votées par si peu de députés sans un quota de présences exigées (comme dans toute assemblée de copropriétaires ou autres !).

Écoutons A H-C

« Une loi de bioéthique se définit comme ayant pour but d’encadrer le développement du progrès pour protéger les droits fondamentaux de la personne ».

Dans le cas présent, il n’y a ni encadrement d’un développement du progrès, ni protection des droits fondamentaux de la personne, quel qu’en soit l’âge ou le stade de développement. C’est une loi de rupture, de transgression par rapport à l’humanité, de transgression sociétale, qui compromet durablement la santé des individus.

Déjà, car elle autorise l’État à devenir géniteur. L’État se permet d’avoir un accès aux ovocytes, en proposant aux femmes de les conserver. Cela lui permet de faire des expériences sur l’embryon jusqu’à 14 jours.

Deuxièmement, le droit à l’enfant.

Le Sénat en France avait dit qu’il fallait inscrire en préalable de cette loi la mention que nul n’avait le droit à l’enfant. Les parlementaires à l’Assemblée ont restauré la notion de droit d’une personne sur une autre, en supprimant la phrase : « Nul n’a le droit à l’enfant ».

Enfin, ce projet de loi supprime tous les liens de parenté biologique pour les remplacer par des liens d’intention.

QUELS SONT LES DANGERS DE CETTE LOI RELATIFS À LA MANIPULATION DU VIVANT ?

Elle autorise les modifications de l’espèce humaine, la création d’embryons génétiquement modifiés, mais aussi la création de nouvelles espèces, générées par le mélange homme-animal, les fameuses chimères. Elle institue enfin l’eugénisme, selon des critères numérologiques du nombre de chromosomes.

Ensuite, c’est une loi qui n’a aucune indication médicale, et se revendique comme telle. Elle n’informe pas des risques encourus sur la santé des enfants à naître. Des risques notables d’infertilité des générations futures, qui n’auront d’autres choix que de recourir aussi à la procréation médicalement assistée. L’autre aspect, c’est l’augmentation des maladies épigénétiques, jusqu’à quatre fois chez les enfants issus de PMA. On n’en informe jamais les parents.

Comment expliquez-vous cette volonté politique paradoxale de révolutionner ainsi la biologie ?

« Il y a un mensonge, car sur 34 points de cette loi, 30 ne concernent pas la PMA pour toutes, mais relèvent des transgressions que je vous ai énumérées : conservation des ovocytes, chimères homme-animal, modifications génétiques. La raison avancée pour laquelle cette loi doit être discutée là, en plein cœur de l’été alors que l’Hémicycle est vide, serait qu’elle représente une urgence sanitaire. Mais qui dit urgence sanitaire, dit indication médicale. Or, elle n’en a pas.

Cette loi revendique être un accompagnement des changements sociétaux. Ça n’est pas exact, car des homosexuelles femmes qui ont des enfants, cela a déjà eu lieu depuis des années, avec un contact physiologique, par insémination naturelle ou artificielle. C’est donc un passage en force, sans respect des débats, pour une loi qui n’est un progrès pour personne. » 7

ET LES APPRENTIS SORCIERS ONT CONTINUÉ LE MASSACRE DE LA SCIENCE, DE LA SOCIÉTÉ ET DE L’HUMAIN

Notre éminente collègue, chercheur en génétique (singulièrement sur l’ARNm), a réussi le prodige d’écrire un livre 8court, lisible par tous, sans termes sophistiqués qui auraient fait « savants » comme tant d’autres livres, et qui donc permet à chacun en quelques heures de lecture de décrypter et confirmer le scénario de la plandémie du Covid199. Nous ne saurions donc que vous recommandez de le lire très vite afin d’aider les citoyens encore trompés par la propagande du gouvernement et des médias officiels sur ce sujet à enfin comprendre ce qui s’est passé.

Les plus méfiants sauront lire les informations médiatiques anglaises qui détaillent via le fil de 100 000 SMS échangés entre les puissants du Royaume-Uni, les moqueries des membres de l’élite sur les décisions imposées au vulgus pecum dont ils connaissaient les mensonges..10

Pour les plus curieux, le DR Henrion — Caude fournit en fin d’ouvrage toute la bibliographie scientifique internationale sur lesquels elle fonde ses démonstrations. Quel dommage que les journalistes, mais aussi enseignants, chercheurs de toutes spécialités et dramatiquement médecins, aient refusé de l’écouter, comme tant d’autres scientifiques tels les PR Raoult et Perronne, et laissé abîmer tant de vies par les mesures coercitives, confinement, masques, distanciation inutiles, et perverses et pire encore par les injections géniques expérimentales scandaleusement appelées vaccins alors qu’elles ne contiennent aucun antigène extrait du virus. Chaque jour apporte de nouvelles constatations terribles sur la mortalité globale en particulier des plus jeunes, liée directement aux effets secondaires des pseudovax11 (myocardites…), mais aussi aux pertes de défense immunitaire, dont les conséquences, un peu plus lentes à apparaître, s’étaleront probablement sur de longues années (turbocancers12 13, maladies auto-immunes et neurologiques, etc..).14

Ce livre de 2023 est l’accomplissement d’un combat de chaque jour depuis trois ans contre la coronafolie et la suite de ses engagements pour la bioéthique. Nous ne saurions mieux le présenter qu’Yves Lusson : Les « apprentis sorciers » stoppés dans leur folie. 15

« Âmes sensibles, surtout ne pas s’abstenir : nous aurons besoin de tous, à commencer par tous ceux qui ne supportent plus de devoir se soumettre à une société atteinte de démence.

Écrit pour donner à la population toutes les clés d’une catastrophe planétaire — le scandale sanitaire du “vaccin” à ARNm contre le Covid, “jusqu’à 98 fois plus dangereux que le Covid lui-même” (page 21) —, ce livre m’a plongé dans un abîme de sentiments vertigineux, allant de la profonde tristesse à l’éblouissement, en passant par la colère, voire même la rage.

Les apprentis sorciers est d’abord le fruit d’un travail colossal, méthodique, scrupuleux et génial, produit par une scientifique de très haut niveau, courageuse et rigoureuse, qui n’a pas lésiné sur ses efforts, aussi bien pour mettre l’ARNm à la portée du quidam — le peuple, concerné jusque dans sa chair par cette “vaccination” très spéciale à tous points de vue — que pour renvoyer l’ensemble de ses affirmations à une multitude d’études toutes plus sérieuses les unes que les autres réalisées par des scientifiques parmi les plus reconnus et fiables au monde. »16

Ce livre est : « l’œuvre d’un être profondément humain et digne, qui a su rester debout face à un ouragan mondial inédit de non-sens et d’abus, ébranlant tant de nos institutions qui semblaient à beaucoup d’entre nous inébranlables : l’OMS, les gouvernements, les autorités médicales, la recherche scientifique, les médias, etc.

Extrêmement solide dans la lucidité de son récit, dans la clarté de ses explications, dans le sérieux de ses références, ce livre nous pose plus de questions qu’il n’y répond sur comment nous en sommes arrivés là. Quelle démence collective nous a plongés dans autant de mensonges, d’imprudences, d’inconsciences, d’irrationalités, d’irresponsabilités, politiques, médicales, médiatiques, mais aussi de tout un chacun ? 

De nombreux spécialistes en sciences humaines auront à cœur se pencher sur cette “perte de raison” planétaire, et sur les phénomènes individuels et collectifs qui y auront conduits. En attendant, des centaines de millions de personnes auront été trompées, manipulées, forcées, maltraitées, par des élites défaillantes, corrompues ou perverses dont forcément de nombreux procès détermineront les degrés de responsabilité, voire de culpabilité. 

Mais c’est aussi la défaillance d’une société tout entière qu’il faudra voir, entendre, reconnaître, examiner, comprendre, analyser. », car si nos dirigeants nous ont maltraités, les populations ont trop facilement accepté les atteintes à leurs libertés.17





Climats sous influence : des modèles pas vraiment top

[Source : climatorealist.blogspot.com]

Par Christian Navis

La climatologie science pervertie au profit d’une idéologie politique

Le GIEC n’est pas un organisme scientifique de référence !

Il pourrait être une institution internationale respectable s’il compilait des données brutes et les mettait à la disposition de la communauté scientifique. Au besoin en animant des débats où tous les points de vue seraient appelés à s’exprimer.

Mais ivres du pouvoir que leur confèrent certains politiciens, des professeurs et des chercheurs qui n’ont jamais rien trouvé d’autre que des subventions, s’aventurent dans des spéculations hasardeuses, prétendent prédire l’avenir et « guider l’action des gouvernements. »

En 2016, le groupe 3 du GIEC avouait : 

« Dans la majorité des cas, les projections sous-jacentes reflètent les choix particuliers de l’équipe de modélisation quant à la façon de conceptualiser l’avenir. Les scénarios de référence présentent un large éventail d’hypothèses concernant la croissance économique, la demande d’énergie et l’intensité carbone de l’énergie »

Par ailleurs, quand les faits démentent leurs allégations, ils n’hésitent pas à tricher, et à truquer les données, afin de conserver leur emprise sur des gens au bagage scientifique succinct et à la mince culture historique.

Parmi les nombreuses supercheries dénoncées sur ce site, celle de Puerto Casado (Paraguay) résume le modus operandi de beaucoup d’autres : On choisit des endroits éloignés, isolés, où espère-t-on personne n’ira voir… En on « ajuste » les relevés de températures avant de les intégrer dans le modèle unique du réchauffement cataclysmique.

L’ajustement des données, pour ne pas dire la fraude grossière, a été dénoncée par Terence Kealey, vice-président de l’Université de Buckingham, Peter Chylek, physicien attaché au labo de Los Alamos, Richard McNidier, professeur de physique atmosphérique à l’ Université d’Alabama, Roman Mureika, universitaire expert en méthodologie statistique et Roger Pielkle Sr, professeur de climatologie à l’Université du Colorado.

Autre exemple [de manière] dont les imposteurs manipulent l’information :

Le 7 février 2021 un glacier himalayen se fracasse à la suite d’un glissement de terrain, parti d’une faille observée depuis l’espace. Des morceaux du glacier tombent dans un fleuve qui déborde, provoquant la catastrophe de Tapovan.

Inutile de rappeler que les glaciers bougent, qu’ils sont soumis à des forces de compression et de dilatation, et qu’il y a toujours eu des poches d’eau  sous certains glaciers et des lacs glaciaires à leur moraine frontale.

Pour les réchauffards, pas l’ombre d’une hésitation, ce ne peut être qu’un effet de leur prétendu réchauffement cataclysmique !

Les bégaiements répétés de la fausse science

Qui se souvient que dans les années 1950, 1960, des scientifiques du style professeurs Cosinus aux vues étroites affirmaient que les systèmes planétaires devaient être extrêmement rares dans le cosmos ?

Qui se souvent qu’à cette même époque, des savants du genre mandarins sans imagination clamaient que Neandertal et Cro Magnon ne pouvaient être interféconds ?

Dans le premier cas, la logique conduisait à réfuter cette théorie, lointaine héritière du géocentrisme, selon laquelle notre étoile et notre terre seraient uniques dans l’univers.

Dans le second, on connaissait en Europe et au Proche Orient des squelettes dits « mixtes » associant des caractéristiques des 2 espèces. Mais on refusait de les voir, attribuant à des maladies ou à une dégénérescence ces anomalies.

Nul ne devait remettre en cause la doxa, et surtout pas de jeunes assistants impudents et irrespectueux.

L’informatique balbutiait encore, mais des théoriciens bornés élaboraient déjà avec leurs règles à calcul des tableaux et des graphes conduisant à des modèles ayant la prétention de tout expliquer. Des trucs d’illusionnistes pour enliser les conformistes dans leur marécage intellectuel.

Le mental de l’humain reproduit les mêmes dysfonctionnements d’une génération à l’autre, car les cuistres ne sont pas prêts de partager leur minuscule pouvoir académique. Ainsi fonctionne, de façon élargie, la secte réchauffiste, avec ses gurus, ses adeptes, ses thuriféraires et ses suiveurs.

Les prédictions extravagantes du GIEC

Cet organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan poursuivait des objectifs qui n’avaient rien d’écolo : Pour la première, mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent grévistes à son goût, et faire accepter l’énergie nucléaire à une opinion publique réticente.

Pour le second, sortir du marasme économique par des innovations rendant obsolètes les anciennes structures, en incitant les financiers à investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux profits, conformément au principe de destruction créatrice élaboré par Schumpeter.

Le réchauffement planétaire anthropique fut leur alibi et la clé de voûte d’une propagande qui dépassa ses initiateurs.

L’outil de lavage de cerveaux fut, là comme ailleurs, l’utilisation des médias audiovisuels aux ordres, chargés de trier les infos en occultant celles qui contredisaient la nouvelle théorie, tout en commençant à répandre la terreur de la fin du monde prochaine.

En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC...

On voit d’un simple coup d’œil l’imminence du déluge annoncé !Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères ne tardaient pas à répercuter les prédictions catastrophistes des astrologues du GIEC :

  • Plus de neige en France dès 2010
  • Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,
  • Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020
  • Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,
  • Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030

Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :

  • La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,
  • Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts des courants marins,
  • Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements de la lithosphère,
  • Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,
  • Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur une refroidissement constant de l’Antarctique depuis 30 ans :
La réalité : les cycles glaciaires. La prédiction : la fonte des glaces

Les prévisions du GIEC, colportées par des Greta et autres simples d’esprit, plus fantaisistes et irréalistes les une que les autres, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à ces élucubrations.

Mais cette officine pratique ouvertement le « name dropping » pour gagner en crédibilité, et continue d’associer sans vergogne des dissidents et des opposants à sa propagande. Surtout s’ils ont une réputation de scientifiques sérieux et émérites. 

Si l’on exclut la supercherie délibérée, chiffres trafiqués, courbes truquées, des manœuvres aisément démontrables tant elles sont pitoyables, dans la plupart des cas, les coupables s’appellent « les modèles »

Le modèle le prétend, donc c’est vrai !

Un culte est voué aux modèles. Nul ne peut blasphémer en doutant des modèles ! Pourtant ce ne sont que des constructions intellectuelles spéculatives reposant sur des apriori.

En théorie, les modèles s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles i.e qui cherchent à établir des relations entre des fonctions inconnues et leurs dérivées aléatoires. Du solide quoi !

Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on les applique au petit bonheur la chance. La présentation numérique avec distorsions visuelles sur commande est censée renforcer le sérieux de la démarche… Mais on peut aussi numériser une crotte de chien en 3D !

La planète est subdivisée en grilles tridimensionnelles émiettées où on reporte sur chaque élément des suites séquentielles renforcées d’extrapolations plus ou moins cohérentes.

Puis on évalue les résultats à l’aune des interactions supposées avec les points voisins. Sans risque de surprises, puisqu’on a programmé d’avance dans chaque case 3D les écarts thermiques « probables » en fonction des vents « possibles », du rayonnement solaire « envisageable » , de l’hydrologie et de l’humidité « plausibles ». Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours aux schémas théoriques.

Il s’agit donc au mieux d’approximations qui, la plupart du temps, s’écartent des observations de terrain. Ou les infirment totalement. D’où la tentation de « compenser les écarts » (= tricher en novlangue) pour ne pas perdre la face. C’est aussi une des méthodes de prédilection des sondeurs politiques.

            Fiabilité des modèles et observations réelles 

Des modèles trompeurs à ne pas suivre !

Les béotiens matraqués par la propagande médiatique ont fini par tenir pour infaillibles les modèles du GIEC.

Une aura de science qui impressionne les ignorants, servie par des « intellectuels » en blouse et barbe blanches, dignes et sérieux, renforcés par des escouades de jeunes ambitieux au léger vernis, courant après les subventions. Et une abondance de termes de pataphysique pour impressionner le bon peuple.

Or il faut rappeler cette évidence : un modèle ne rend que ce qu’on y a mis dedans. Le cas le plus typique est la courbe en crosse de hockey de Mann, le Saint Graal du GIEC, abandonnée après que le MIT l’ait qualifiée « d’artefact mathématique médiocre », et la justice de « fraude caractérisée ».

Son auteur avait tout simplement lissé 1000 ans d’évolution climatique, gommant l’optimum médiéval et amplifié le léger réchauffement observé depuis le petit âge glaciaire. Cécité ou complicité, personne n’avait rien vu. Ou n’osait protester. Le docteur Tim Ball géo climatologue qui réussit à faire condamner Mann subit l’opprobre de ses pairs et des pressions soutenues des éditeurs et des organisateurs de colloques, au cours d’un procès qui dura près de 10 ans.

Les autres modèles du GIEC ne sont pas des supercheries aussi grossières. Instruits par les déboires de Mann, les affabulateurs opèrent désormais par petites touches plus discrètes. N’hésitant quand même pas à redresser les courbes pour qu’elles aillent toutes dans le « bon sens », celui d’un réchauffement accéléré et cataclysmique.

C’est au moment où le GIEC ne sait pas expliquer la fin du réchauffement cyclique que le tapage médiatique est le plus fort pour occulter le phénomène !

Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer une loi, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…

Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

D’autant plus que le GIEC est devenu un club privé où l’on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certains pays dont la France, les pouvoirs politiques et la pression médiatique prétendent imposer une vérité scientifique officielle.

Comme en d’autres temps pour le géocentrisme, le lyssenkisme, la phrénologie ou la « science raciale » des nazis, une circulaire de Pécresse quand elle était ministresse des universités interdit de seulement faire allusion aux théories anti-réchauffistes. Or la vraie science n’a nul besoin des diktats des politiciens pour appuyer ou réfuter ses démonstrations.

Perroquets instruits, craintifs ou flatteurs

J’appartiens à une génération à la fois cartésienne et contestataire. Non seulement on appliquait à la lettre les schémas d’analyse critique du discours de la méthode, mais avec une suave perversité on se délectait à étriper les vaches sacrées pour voir ce qu’elles avaient dans le ventre.

Aujourd’hui, je suis stupéfait de constater la soumission et l’absence de réflexion personnelle chez la plupart des jeunes scientifiques avec lesquels il m’arrive parfois de débattre. Parce que certains Bac + 8 ou + 10 s’alignent de façon pavlovienne sur les vaticinations d’une mongolienne semi-illettrée mais médiatisée. Abdication de la raison au profit de la pression sociale !

Avant 30 ans, beaucoup de ces jeunes scientifiques sont déjà formatés. Crainte révérencielle des mandarines et des mandarins, susceptibles de briser la carrière d’un hérétique, et ambition d’accéder à un poste de chercheur ou d’enseignant au prix d’une indigestion de couleuvres avalées, pour une minorité de cyniques qui savent à quoi s’en tenir mais font « comme si ». Sans doute, mais pas que… Même si leurs craintes sont justifiées !

Vous osez discuter ? On vous vire ! Au nom d’un prétendu consensus qui proscrit le doute…

Parmi les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste, cette liste non exhaustive : Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l’institut météorologique hollandais, Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale, éjecté, ou encore les éminents universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de tout crédit de recherche. Les uns et les autres coupables d’avoir contesté les fondements de l’hypothèse du prétendu réchauffement climatique anthropique.

Mais aussi Suzan Crockford docteur en zoologie virée de l’université de Victoria pour avoir dénoncé le détournement de photos d’ours blancs cachectiques, cancéreux ou grièvement blessés, dont l’état de faiblesse était imputé au réchauffement climatique. Tandis que, depuis 20 ans, leur population globale s’est accrue de près de 50 % infirmant les clameurs annonçant la disparition de cette espèce !

Mais encore Peter Ridd universitaire à la James Cook University du Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d’algues et d’animalcules qui colonisent le corail. Au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique.

Au procès, les attendus de la cour furent révélateurs : 

« Ayant refusé de signer des articles dans lesquels il avouait avoir eu tort (NDLR : façon procès staliniens de Moscou) Ridd a été victime de persécutions, de brimades, et d’un harcèlement hystérique jusque dans sa vie privée, alimentés par une vindicte systémique sans autre reproche que d’avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

Quant à la France, est-il utile de rappeler les tombereaux d’injures déversés par les médias aux ordres sur Claude Allègre,  médaille d’or du CNRS et membre de l’Académie des Sciences ? Avec cet argument spécieux : « Il n’est pas climatologue ! » Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l’époque, le Français Jouzel et l’Indien Pachauri étaient l’un physicien atomiste et l’autre ingénieur ferroviaire.

On est loin de l’esprit de Harvard où le prof n’est pas là pour imposer sa théorie et ses lubies. Ce sont les étudiants qui, en discutant, analysent des données concrètes et en extraient des conclusions pouvant déboucher sur des concepts. Provisoires parce qu’ils seront à leur tour passés au crible de la critique constructive. Évidemment, quand on retourne en France, on a du mal à se débarrasser de ces « mauvaises habitudes » . 

Avantage de la démarche : On apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue à coup d’arguments et de contre-arguments. C’est une approche confrontée à la réalité des faits, très loin du cours magistral destiné à formater des imbéciles instruits.

En France, sont considérées comme des vertus l’incapacité à sortir des chemins balisés parce que l’enseignement secondaire et supérieur des 50 dernières années s’est ingénié à raboter le sens critique, annihiler l’esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l’esprit qu’est la remise en cause des théories qu’on croit acquises pour les exploser, et en explorer de nouvelles.

Des voyants à la vue trouble

L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on parvient à sérier séparément mais dont on a le plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que celle-ci est également conjoncturelle et ponctuelle.

Prétendre maîtriser l’ensemble de ces paramètres, en les confiant à un ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations selon le programme qu’on lui a implémenté, témoigne d’une extraordinaire suffisance confinant à l’arrogance.

La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire et justifier le réchauffement global. Et une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !

C’est tout simplement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%)

Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1

C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

En outre, les « savants » du GIEC ignorent l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Demain peut-être le refroidissement climatique?

Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au « minimum de Maunder » à partir de 2030.

Coïncidence ? L’inénarrable Jouzel que les brosses à reluire des télés présentaient comme un prix Nobel (excusez du peu !) du fait de sa seule appartenance au GIEC, professait qu’une nouvelle ère glaciaire s’annonçait. Oui mais ça c’était avant. Avant que le GIEC l’embauche.

Pour Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de l’étude de l’atmosphère : 

« Il n’y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long terme du climat et sur leurs causes  (…) Nous ne sommes pas en position d’attribuer avec suffisamment de confiance les changements climatiques passés au dioxyde de carbone ou de prédire ce que le climat sera dans le futur »

Tandis que feu Frédérick Seitz, physicien expert en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et  président de l’Académie des Sciences des USA, disait 

« Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.»

Contre la science, pensée unique et pensée magique

Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires, (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.

Ce sont les paramètres de Milankovitch. 

Les paramètres de Milankovitch ont été validés par la science expérimentale :

Par l’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations avec les éruptions solaires et les ralentissements d’activité de notre astre.

La cyclostratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l’analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d’indicateurs dans les dépôts carbonés stratifiés de l’influence de la précession, de l’obliquité et de l’excentricité.

Sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10.000 ans, le dendrochronologie étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.

Mais qu’importe ! Les réchauffistes sont persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur Greta voit et sent le CO2, et se sont auto-investis de la mission sacrée de protéger l’espèce humaine contre ses propres erreurs.

Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant qu’en 1931 : 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé.

Pour les chamanes de la nouvelle religion réchauffarde, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux et le Mal, et menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent leurs lubies. C’est une logique d’inquisiteur. Ou de stalinien. Ou de Khmer rouge repeint en vert.

Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme au siècle précédent. Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte bécasse, sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !




La destruction des gazoducs du Projet Nord Stream constitue un acte de terrorisme international

[Source : Sott]

Déclaration du professeur Jeffrey D. Sachs lors de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU sur la destruction du gazoduc Nord Stream le 21 février 2023.

Par Jeffrey David Sachs
zeit-fragen.ch

Je m’appelle Jeffrey D. Sachs. Je suis professeur à l’Université de Columbia. Je suis économiste, spécialiste en économie internationale, ce qui inclut le commerce international, la finance, les infrastructures et la gouvernance économique. Je me présente devant le Conseil de sécurité des Nations unies à titre personnel. Dans le cadre du témoignage que je vais livrer, je ne représente aucun gouvernement, ni aucune organisation.

La destruction du Nord Stream

La destruction, le 26 septembre 2022, des gazoducs Nord Stream constitue un acte de terrorisme international et représente une menace pour la paix. Il est de la responsabilité du Conseil de sécurité des Nations unies de déterminer qui a pu commettre cet acte, afin d’en traduire les auteurs devant la justice internationale, d’indemniser les parties lésées et d’empêcher que de tels actes ne se reproduisent.

Les conséquences de la destruction du Nord Stream 2 sont énormes. Elles englobent non seulement les pertes économiques considérables liées aux gazoducs eux-mêmes et à leur utilisation potentielle future, mais aussi la menace grandissante qui pèse sur toutes sortes d’infrastructures transfrontalières: les câbles internet sous-marins, les pipelines internationaux pour le gaz et l’hydrogène, le système transfrontalier de fourniture
d’é lectricité, les parcs éoliens en mer, etc. La transition mondiale vers l’énergie verte exigera des infrastructures transfrontalières considérables, y compris dans les eaux internationales. Pour cela, chaque pays doit pouvoir être certain que ses infrastructures ne soient pas détruites par des tierces parties. Certains pays européens ont récemment exprimé leur inquiétude quant à la sécurité de leurs infrastructures maritimes. Pour toutes ces raisons, l’enquête du Conseil de sécurité des Nations unies sur les explosions impliquant le Nord Stream est une priorité mondiale.

La destruction des gazoducs Nord Stream a été le fruit d’une planification, d’une expertise et d’une capacité technologique de très haut niveau. Les gazoducs Nord Stream 2 sont une merveille d’ingénierie. Chaque tronçon de conduit est constitué d’acier laminé d’une épaisseur de 4,5 cm et d’un diamètre intérieur de 1,15 m. La canalisation est ensuite enrobée de béton sur une épaisseur de 10,9 cm. Le poids de chaque tronçon de canalisation enrobée de béton est de 24 tonnes. Les gazoducs Nord Stream 2, d’une longueur de 1 200 kilomètres, sont constitués d’environ 200 000 tuyaux. Les pipelines reposent sur le fond de la mer. La destruction d’un oléoduc en acier laminé lourd, enrobé de béton, à une profondeur de 70 à 90 mètres, nécessite des technologies très avancées en matière de transport des explosifs, de leur installation en plongée sous-marine et de leur mise à feu.

Procéder de la sorte sans être détecté, dans les zones économiques protégées du Danemark et de la Suède, accroît considérablement la complexité de l’opération. Comme l’ont confirmé un certain nombre de hauts fonctionnaires, ce type de manœuvre a forcément été effectué par un acteur de niveau étatique.

Seule une poignée de protagonistes au niveau national dispose à la fois de la capacité technique et de l’accès à la mer Baltique nécessaires à cet objectif. Il s’agit de la Russie, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de la Pologne, de la Norvège, de l’Allemagne, du Danemark et de la Suède, soit à titre individuel, soit en association. L’Ukraine ne dispose ni des technologies nécessaires, ni de l’accès à la mer Baltique. Un récent rapport du Washington Post a révélé que les services de renseignement des pays de l’OTAN ont conclu à titre privé qu’il n’y avait aucune preuve que la Russie ait participé à cette intervention. Cela confirme également le fait que la Russie n’avait aucune raison évidente de perpétrer cet acte de terrorisme sur ses propres infrastructures vitales. En effet, la Russie devra probablement engager des dépenses considérables pour réparer ces oléoducs.

Trois pays ont apparemment mené des enquêtes sur les actes de terrorisme liés au Nord Stream: Le Danemark, l’Allemagne et la Suède. Ces pays en savent probablement long sur les circonstances de l’attaque terroriste. La Suède, en particulier, est peut-être celle qui a le plus de révélations à faire au monde concernant la scène de crime, sur laquelle ses plongeurs ont enquêté. Pourtant, au lieu de partager ces informations au niveau mondial, la Suède a gardé le secret sur les résultats de son enquête.

La Suède a refusé de partager ses conclusions avec la Russie et de mener une enquête conjointe avec le Danemark et l’Allemagne. Dans l’intérêt de la paix mondiale, le Conseil de sécurité des Nations unies devrait exiger de ces pays qu’ils lui communiquent immédiatement les résultats de leurs enquêtes.

Il n’existe à ce jour qu’un seul récit détaillé des dégradations subies par le Nord Stream, celui présenté récemment par Seymour Hersh, un journaliste d’investigation, et qui est apparemment basé sur des informations communiquées par une source anonyme. Hersh attribue la destruction du Nord Stream à une décision ordonnée par le président américain Joe Biden et exécutée par des agents américains dans le cadre d’une opération secrète dont Hersh donne une description détaillée.

[Voir :
Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream
et Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit]

La Maison Blanche a qualifié le rapport de Hersh d’« entièrement et intégralement faux », sans fournir cependant d’information contredisant ce récit, ni proposer d’autres explications.

Avant et après la destruction du Nord Stream, certains hauts fonctionnaires américains ont fait des commentaires en public témoignant de l’hostilité des Etats-Unis à l’égard des gazoducs. Le 27 janvier 2022, la sous-secrétaire d’Etat Victoria Nuland a tweeté: « Si la Russie envahit l’Ukraine, d’une manière ou d’une autre, Nord Stream 2 n’avancera pas. » Le 7 février 2022, le président Biden a déclaré: « Si la Russie lance une nouvelle invasion … il n’y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons un terme ». A la question d’un journaliste comment il comptait s’y prendre, il a répondu: « Je vous promets que nous serons en mesure de le faire .»

Le 30 septembre 2022, immédiatement après l’attaque terroriste contre le gazoduc, le secrétaire d’Etat Antony Blinken a déclaré que la destruction du gazoduc était « également une formidable opportunité. C’est une excellente occasion de supprimer une fois pour toutes la dépendance à l’égard de l’énergie russe et donc d’empêcher Vladimir Poutine de transformer en arme l’énergie pour faire avancer ses desseins impérialistes ». Le 28 janvier 2023, la sous-secrétaire Nuland a déclaré au sénateur Ted Cruz: « Je pense que, tout comme notre administration, je suis très heureuse de savoir que Nord Stream 2 n’est plus désormais, comme on dit, qu’un tas de ferraille au fond de la mer. »

Face au terrorisme international, ce genre de discours est totalement inapproprié. J’espère que les Etats-Unis et tous les autres membres du Conseil de sécurité condamneront cet acte odieux de terrorisme international et participeront ensemble à une enquête urgente menée par le Conseil de sécurité des Nations unies sur ce crime international afin d’établir la vérité. Le monde ne connaît pas encore la vérité, mais il est possible de la connaître.

Plus que jamais, le monde compte sur le Conseil de sécurité des Nations unies pour faire son travail et empêcher l’escalade vers une nouvelle guerre mondiale. Le monde ne sera en sécurité que lorsque les membres permanents travailleront ensemble de manière diplomatique à la résolution des crises mondiales, y compris la guerre en Ukraine et les tensions croissantes dans l’est asiatique. Le Conseil de sécurité de l’ONU est l’unique instance mondiale capable de contribuer à la consolidation de la paix. Plus que jamais, nous avons besoin d’un Conseil de sécurité des Nations unies sain et opérationnel, qui s’acquitte de la mission que lui assigne la Charte des Nations unies.

Une enquête objective du Conseil de sécurité des Nations unies sur le terrorisme du Nord Stream, à laquelle tous les pays contribueraient en fonction de ce qu’ils savent, est importante pour la confiance mondiale dans cet organisme et, avant tout, pour la paix et le développement durable dans le monde.

Source : https://www.jeffsachs.org/recorded-lectures/f4rsfnzw9rbdx2tz2n38lfgsctsbc8
Traduction Horizons et débats

Jeffrey David Sachs est un économiste américain. Il est directeur du Réseau des solutions de développement durable des Nations Unies. De 2002 à 2016, il a été directeur de l’Earth Institute à l’Université de Columbia et de 2002 à 2006, il a été conseiller spécial sur les objectifs du millénaire pour le développement auprès du secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, conseiller auprès du FMI, de la Banque mondiale, de l’OCDE, de l’OMC et le PNUD.




Les deux armes de la Macronie pour naufrager la résistance

[Source : Le Courrier des Stratèges]




Point presse dictature au 12 mars 2023

Les médias mainstream ignorent qu’il y a eu une manifestation nationale contre la suspension des personnels soignants ce samedi 11 mars et que Monaco va réintégrer les siens

Je viens de faire une recherche sur Google1 pour la journée du 11 mars en écrivant « manifestation Lyon » (sans guillemets).

Si je m’intéresse uniquement aux journaux ou chaînes de TV nationales, je constate que de rares médias nationaux sont répertoriés, mais uniquement pour parler de la réforme des retraites.

De toute évidence, il ne s’est rien passé d’inhabituel dans la journée de samedi sur Lyon !

Si je me focalise sur les médias locaux, ici encore beaucoup de références à la manifestation contre la réforme des retraites. Notons que BFM Lyon nous précise qu’il y avait entre 7 000 et 18 000 manifestants selon les sources. France 3, Lyon Capitale et d’autres reprennent tous les mêmes chiffres.

Mais que lis-je, étonné ?!

Europe-1 Lyon2 parle d’une « manifestation pour la réintégration des soignants suspendus » !

Bien étrange, d’autant plus qu’aucun média national ne semble le mentionner.

Manifestation pour la réintégration des soignants ?

Qu’à cela ne tienne, je reprends mon bâton de pèlerin et je cherche cette fois-ci « manifestation soignants3 » (toujours sans guillemets) toujours pour la journée de samedi.

Cette fois-ci les informations sortent !

Europe 1, France-Bleu, Lyon Capitale, BFM Lyon, Le Progrès, etc.

BFM Lyon4 qui dans un reportage de 32 secondes précise que c’est une « manifestation nationale ».

Le Progrès5, quant à lui, a procédé au comptage : entre 3 000 et 6 000 participants selon les sources.

Quant à France-3 Lyon, lui ne semble pas du tout informé du fait. Ce qui pourrait étonner ou faire sourire lorsque l’on observe le parcours de la manifestation contre la réforme des retraites, suivie par ce même France 3. Parcours se terminant place Bellecour, lieu où se tenait la fameuse manifestation invisible pour la réintégration des soignants.

Quant aux médias nationaux, silence total sur Google !

Ceci est d’autant plus « étrange » que France-Bleu (radio du service public) et BFM Lyon (filiale de BFM TV) en étaient informés et que ni France Télévision ni BFM national ne relaient cette information si l’on en croit le moteur de recherches.

Avec la soif de compréhension que vous me connaissez, je me suis mis en quête d’une explication rationnelle, ne pouvant croire au complot !

Peut-être que cette manifestation comptait trop peu de participants pour que les journalistes nationaux s’y intéressent ?!

Pourtant, même s’il n’y avait eu que dix personnes, ce nombre ridicule eût été une information pertinente en soi du type « rien à foutre des suspendus ».

Et si les médias ne relayaient que les grosses manifestations ?

J’ai donc regardé si les médias mainstream ignoraient les « petites ».

La Dépêche6 :

« Paris : une manifestation contre le racisme et les violences policières. »
« Près d’un millier de personnes ont manifesté à Paris contre le racisme et les violences policières, ce samedi 19 mars 2022. »

Radio-France7 :

« Manifestation contre l’homophobie : “Stop aux agressions !” »
« 2 500 personnes ont manifesté ce dimanche après-midi place de la République à Paris, à l’appel de SOS homophobie et de l’Inter LGBT, qui rassemble une trentaine d’associations, pour soutenir les victimes d’agressions homophobes et transphobes. »

Ici pas de « selon les organisateurs » ou « selon la préfecture » comme quoi il doit y avoir des « bons » et des « mauvais » manifestants.

Le Point8 :

« Manifestations dans plusieurs villes de France en soutien à l’Ukraine. »
« Bougies, drapeaux, monuments illuminés en jaune et bleu : plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées vendredi dans plusieurs villes françaises pour afficher leur soutien à l’Ukraine, un an après le début de l’invasion russe. »

« Plusieurs centaines de personnes ??!! »

De fait, une manifestation nationale avec plusieurs milliers de participants devrait être de nature à intéresser les médias nationaux.

Notons que Mme Martine Wonner, ancienne député, ainsi que M. Dupont-Aignan étaient sur place pour soutenir le mouvement.

Et si Google ne faisait pas son travail ?

J’ai une légère petite tendance à critiquer les médias, mais Google est peut-être l’unique coupable, qui sait ?

Reculant devant aucun sacrifice, j’ai alors lu l’intégralité du Parisien édition du samedi 11 mars (et aussi du lendemain).

Par un « heureux hasard », ceux-ci consacrent un article à l’éventuelle réintégration des soignants dont le titre est :

« Fin de l’obligation vaccinale des soignants ? L’idée fait des remous. »

Pour résumer le papier, même si la HAS n’y voit plus d’inconvénients, c’est une très mauvaise idée… si, si !

Je cite :

« à partir du moment où la balance bénéfice-risque des vaccins (Sans préciser lesquels, donc tous) est favorable, que ces vaccins préviennent les formes graves (L’Église a remplacé la science) de la pathologie et que, nonobstant certains débats (Pas dans les médias en tous cas), ces vaccins contribuent aussi à réduire la transmission (Ici même la Foi est remplacée par de la pure escroquerie), il n’y a pas lieu de lever l’obligation vaccinale », écrit la SFPT9.

Le plus « drôle » est dans la phrase suivante, je vous rappelle qu’ils viennent de dire que le vaccin est sûr et efficace et réduit la transmission :

« Il convient toutefois de préciser que l’efficacité vaccinale contre l’infection et la transmission est assez faible (Euphémisme “scientifique” ?) et qu’elle chute rapidement. »

« Par ailleurs un soignant non vacciné et ayant attrapé le Covid, bénéficie lui aussi d’une certaine protection contre le Covid. »

Pour résumer leur « pensée » :

En 1) ça réduit.
En 2) ça réduit, mais assez faiblement.
En 3) les non-vaccinés ont une certaine protection (donc mieux que faible sinon ils le diraient).

Notons que l’article prend bien soin de mélanger les obligations vaccinales pour les enfants donc hors covid, et l’obligation vaccinale Covid pour les soignants.
Le SFPT plaide pour élargir l’obligation vaccinale pour les soignants à d’autres « vaccins », il n’y a pas de petits profits.

Vous pouvez donc voir que Le Parisien fait un papier sur la question de la réintégration des soignants et « oublie » de parler d’une manifestation nationale programmée depuis des semaines le même jour.

Et à Monaco ?

Autre point passé sous silence une information publiée dans l’Observateur de Monaco10 du 9 mars soit deux jours avant le papier du Parisien.

« Fin de l’obligation vaccinale pour les soignants à Monaco. »
« Le gouvernement vient d’annoncer que les personnels suspendus en raison de leur non-vaccination au Covid-19 pourront être réintégrés dès le lundi 27 mars 2023. »

Nous pourrions imaginer qu’une information provenant d’un pays aussi lointain et exotique comme Monaco n’aurait pas passé la frontière, mais France-3 Côte d’Azur en a fait l’écho le 10 mars.

« Monaco suspend l’obligation vaccinale et réintègre ses soignants non vaccinés contre le Covid11. »

Nice-Matin en a parlé aussi.

À la décharge du Parisien strictement aucun organe de presse national ou TV national ne semble informé de la prochaine réintégration des soignants suspendus à Monaco.

Résumons :

Si vous êtes une personne « normale », n’habitant pas Lyon et sa région, prenant son « information » uniquement dans la presse ou des médias nationaux, j’ai toutes les raisons de penser que vous ne savez PAS qu’il y a eu une manifestation nationale pour la réintégration des soignants ce samedi 11 mars.

Événement pour lequel plusieurs milliers de personnes étaient présentes. Ce nombre est d’autant plus significatif et impressionnant qu’aucune publicité de l’événement n’a été faite dans les médias.

Vous ne savez pas non plus que les personnels soignants non vaccinés de Monaco vont être réintégrés et que la décision de ne pas réintégrer les Français, comme celle de les suspendre, est purement politique.

Des personnels soignants, pompiers, etc. qui sont interdits d’exercer depuis plus de 500 jours parce qu’ils ont refusé de prendre une substance expérimentale !

« Vaccin » dont il est prouvé qu’il n’empêche ni ne protège de la contamination et ne diminue en rien une épidémie.

Ceci ne constitue donc pas une information pour les médias mainstream.

Nous avons donc une preuve de plus que la dictature se porte toujours merveilleusement bien et que les médias mainstream sont sous ordre.

Merci

Alain Tortosa12
12 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230312-medias-ignorent-manifestation-soignants.pdf





Jacques Baud : 1 an du conflit russo-ukrainien

[Source : Dialogue Franco-Russe]

Conférence avec Jacques Baud en 3 parties. C’est une présentation détaillée et importante à nos yeux du conflit russo-ukrainien. Jacques Baud , ancien colonel de l’armée suisse, spécialiste du renseignement et du terrorisme.

01:08 Renseignement sur le conflit en Ukraine
02:17 Discours manichéen
03:03 Conflit raconté par les ukrainiens
05:06 L’Otan en 2014
05:46 Pas de troupes russes dans le Donbass avant 2022
06:30 Kiyv Post
07:07 Problème du Donbass
08:48 Pourquoi début 2022
09:03 Planification du conflit par le think tank du Pentagone en 2019
10:30 L’Otan organisation pas comme les autres
12:40 Ukraine pose le problème
13:42 Orestovich sur la guerre avec la Russie
16:18 24 mars 2021- décret de Zelenski
18:00 Mécanisme de l’intervention
18:38 Mensonges des accords de Minsk
19:40 Loi des droits sur les populations indigènes
20:11 1 juillet 2021 Russes les citoyens de la 2 zone
20:46 Article de Poutine sur les russes et les ukrainiens
23:22 Responsabilité de protéger – Nations Unis
25:36 Opération spéciale
27:20 Plan A: isolation de la Russie
28:15 Paix empêchée par l’EU
29:35 Denis Kyreev
31:00 Paix sabotée par Boris Johnson
32:20 Bennet sur la paix
32:37 Le but est de néantir la Russie
33:10 But des sanctions
34:50 Croissance de la Russie
39:00 Economie réelle

00:42 Fonds souverains russes disparus
03:34 Rôle de l’UE
04:50 Swift
06:28 Sanctions préparées en 2021
06:42 Sabotage du Nord Stream
07:59 La Russie perd
08:39 Intensité des troupes russes dans le Donbass
10:51 Donbass
11:49 Vies humaines
12:10 Referendums
12:52 Coalition russophone
15:18 Pas de combats mais milliers de morts
16:05 Balakleia
17:00 Kherson
17:42 Plan B : Démantelement du régime Poutine
18:20 Sourovkin
19:20 Stocks d’armes
20:50 Prigozhine
22:02 Munitions pour les ukrainiens
22:37 Victoire ukrainienne
23:50 Morale des russes et des ukrainiens
25:50 Occident attise le feu
26:37 Chars de combat
30:16 Purge en Ukraine
31:18 Allemagne -USA ( Léopard-Abrams)
34:19 Grandes déclarations
35:50 Popularité de Poutine ( Levada)
37:50 Pertes russes
42:46 Pertes ukrainiennes
45:30 Paranoïa de Poutine
46:20 Décolonisation de Poutine
47:40 Frappes sur le territoire russe
48:27 Risque de la stratégie de la désintégration de la Russie
49:14 Eviter la guerre
49:40 La Crimée
52:50 Odessa
54:20 Croix Rouge

00:44 Rationalité russe
01:23 Occident émotionnel
03:16 La pire faute des Occidentaux
04:25 Nous sommes pas honnêtes avec les ukrainiens
05:30 Républicains américains
06:09 Problèmes américains
07:34 Déontologie des médias
08:05 Traitement médiatique des pertes
09:28 Ukrainien d’Odessa
10:26 Recrutement forcé
11:12 Pro-russe?
11:44 Seymour Hersh ( Nord Stream)
12:46 Allemagne
13:44 Accusations contre la Russie
14:40 Comment fonctionne l’Otan?
15:35 Explosion Nord Stream ( Allemagne)
16:25 Ordre international basé sur les règles
17:08 Droit international




REVUE DE PRESSE DU 13 MARS 2023

Par MF

ÉDITO
TOUJOURS SUSPENDUS

Depuis plus de 540 jours sans AUCUNE rémunération d’aucune sorte, soignants, pompiers et autres personnels se sont réunis à Lyon le 11 mars, nombreux et solidaires, tandis que Monaco va réintégrer les suspendus le 27 mars, que tout le discours sur le Covid s’effondre avec la mise en évidence de la fraude scientifique et de la manipulation des gouvernements et des médias et que les scandales éclatent au sujet du refus de repositionner les molécules anciennes et sûres comme l’Ivermectine. Le Covid ne faisant plus recette, la France mise maintenant sur le Gardasil, ce vaccin qui a déjà montré son extrême toxicité, mais pas son efficacité, mettant en danger les vies des enfants à travers une obligation à peine déguisée.

Et comme le diable se cache dans les détails, il faut écouter l’intervention de Jarnac, qui nous apprend que « LES CONSULTATIONS SONT INUTILES ». Que celui qui a des oreilles pour entendre entende (Bible, Matthieu 13.9).

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS persiste et signe

Plus de primo-vaccination, mais maintien des rappels dont on sait à quel point ils sont inefficaces et dangereux, et promotion d’une double injection anticovid/grippe dont on ignore les possibles effets indésirables et l’efficacité.

Le quotidien des soignants suspendus

https://actu.fr/normandie/avranches_50025/avranches-soignants-suspendus-ces-professionnels-de-sante-temoignent-de-leur-quotidien_57857630.html

« Cécile, aide-soignante suspendue : “Aujourd’hui, j’ai dû vendre ma maison. On prend du retard pour les factures. Heureusement, j’ai trouvé quelqu’un qui me loge gracieusement avec mes deux enfants”. »

Mais Monaco réintègre ses soignants suspendus !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/monaco-suspend-l-obligation-vaccinale-et-reintegre-ses-soignants-non-vaccines-contre-le-covid-2728798.html

« La décision à partir du lundi 27 mars. Le gouvernement monégasque a aussi allégé les exigences sanitaires comme l’isolement des personnes positives et les tests PCR pour les cas contacts. »

ET

https://www.francesoir.fr/societe-sante/monaco-reintegre-les-soignants-suspendus

« Excellente nouvelle pour les 53 personnels concernés, mais trop tard pour réintégrer les soignants qui ont déjà démissionné ou qui ont été licenciés ».

ÉTRANGER

ÉQUATEUR — Victoire contre le ministère de la Santé

https://uncutnews.ch/in-ecuador-geschieht-etwas-wunderbares/

« Les combattants de la liberté en Équateur ont gagné une importante victoire contre le ministère de la Santé, qui doit désormais rendre publics les contrats passés avec les fabricants de vaccins »

Royaume-Uni — Comment les autorités ont terrorisé la population

« Les “Lockdown files” publiés par The Telegraph secouent l’opinion publique, mettant en cause l’ex-ministre Matt Hancock qui terrorisait exagérément la population pour obtenir sa docilité. »

Et

https://www.mondialisation.ca/confinement-fermetures-des-ecoles-port-du-masque-the-daily-telegraph-devoile-des-messages-whatsapp-compromettants-des-responsables-britanniques/5675624

« Les échanges démontrent que plusieurs décisions concernant différents aspects de la lutte contre la pandémie ont été prises sans raison suffisante, parfois de manière contradictoire. »

USA — Manipulations des autorités pendant la crise sanitaire

« La nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : la réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. »

USA — Rebondissement dans l’affaire des « Fauci mails »

https://www.francesoir.fr/societe/etats-unis-un-article-scientifique-majeur-sur-l-origine-du-covid-fausse-par-anthony-fauci

« Le 26 février, le quotidien économique américain The Wall Street Journal a annoncé que le Département de l’Énergie des États-Unis considère désormais la fuite de laboratoire comme l’origine du Covid-19la plus probable. La commission parlementaire dirigée par Brad Wenstrup tiendra sa première audience sur la question ce mercredi 8 mars. »

COVID

La vraie létalité du Covid chez les moins de 70 ans

On avait annoncé 3 à 4 %, c’est 0,095 % et même 0,034 % pour les moins de 60 ans

Le meilleur vaccin au monde contre la Covid c’est… Omicron !

« Il a vacciné 70 à 90 % de la population. Le même scénario qu’en 1890 ! »

TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

IVERMECTINE, le plus gros scandale sanitaire de l’histoire

https://www.covid-factuel.fr/2023/02/24/ivermectine-andrew-hill-le-plus-gros-scandale-sanitaire-de-lhistoire/

Combien de morts auraient pu être évitées si on avait soigné précocement les malades avec un médicament qui avait fait la preuve de son efficacité et de son absence de dangerosité ?

Les masques, une preuve supplémentaire de leur inefficacité

https://www.libre-media.com/article/les-masques-completement-inutiles-selon-une-nouvelle-etude

Quelle que soit la catégorie, les masques sont aussi inutiles qu’inefficaces (étude Cochrane, Oxford, janvier 2023)

INJECTIONS

Le collectif américain Réseau d’actions accuse Pfizer d’avoir menti

https://www.francesoir.fr/societe/un-collectif-accuse-pfizer-d-avoir-menti-sur-les-resultats-d-une-etude

« Certains rongeurs utilisés dans une étude précoce de Pfizer auraient développé des effets secondaires à court terme, ou seraient même décédés, ce que le laboratoire a caché »

Les victimes oubliées de l’essai Pfizer et l’étude cachée du gouvernement israélien

« Naomi Wolf écrit dans la préface de son livre “Pfizer Documents Analysis Report” que la vaccination contre le Covid-19 “a probablement commis un crime contre l’humanité d’une ampleur sans précédent”. L’étude israélienne montre que le vaccin augmente progressivement le risque de décès au fil du temps, avec un pic 4 mois après la vaccination. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Les vaccins à ARNm ne sont ni sûrs ni efficaces, mais dangereux

« Les vaccins COVID-19 provoquent plus d’effets secondaires que n’importe quel autre vaccin. Non seulement la protéine de pointe produit des effets secondaires indésirables, mais l’ARNm et les nanoparticules en produisent également. »

Effets secondaires des injections

« Le poison tue et personne ne bouge en France, pire des citoyens sont privés de statut social pour avoir refusé de se faire injecter, et pourtant les articles se multiplient décrivant syndrome de Guillain-Barré, syncopes, thromboses, maladies auto-immunes, etc.. »

Explosion de turbo-cancers

Dr Krüger, hôpital de Kalmar en Suède, spécialiste du cancer du sein :

« Les cas de tumeurs cancéreuses à croissance rapide, les “turbo-cancers”, se sont multipliés, en particulier chez les jeunes femmes qui étaient moins touchées par de telles tumeurs auparavant. La taille des tumeurs a également changé. Auparavant, il était inhabituel pour le Dr Krüger de trouver une tumeur de 3 cm. Maintenant, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois même 12° cm, et même une tumeur de 16 cm qui remplissait tout un sein. Elle a également observé des cas de tumeurs multiples, c’est-à-dire des tumeurs qui se développaient dans plusieurs organes de la même personne. Dans les mois qui ont suivi la vaccination, une patiente a développé des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons. »

Responsabilité des vaccins anticovid dans l’apparition de maladies neurodégénératives

Pronostic glaçant :

« Nous supposons que l’âge d’apparition des maladies neurodégénératives au niveau de la population diminuera à l’avenir dans les pays où la couverture vaccinale a été élevée »

APRÈS COVID

Le Gardasil, la nouvelle aubaine des laboratoires… et un nouveau scandale en marche

« Nulle part la vaccination n’a fait régresser les cancers invasifs et que, parfois, paradoxalement, la vaccination anti-HPV est suivie d’une augmentation du risque de cancer invasif du col de l’utérus » 

Et

https://www.aimsib.org/2023/03/12/gardasil-episode-6-aucune-preuve-quil-previenne-le-cancer-du-col-de-luterus-au-contraire/

« La principale cause de cette augmentation continue semble être l’augmentation des cancers associés aux souches non vaccinales. En effet, de nouvelles preuves suggèrent que la vaccination contre le PVH rend les femmes plus sensibles que leurs homologues non vaccinées aux génotypes de PVH non couverts par le vaccin. »

Épisodes précédents :

https://www.aimsib.org/2023/02/05/gardasil-episode-1-deja-le-debut-de-la-fin/

https://www.aimsib.org/2023/02/12/gardasil-episode-2-de-vioxx-a-gardasil-comment-faire-confiance-a-merck/

https://www.aimsib.org/2023/02/19/gardasil-episode-3-devastateur-et-pourtant-17-ans-sans-proces-pourquoi/

https://www.aimsib.org/2023/02/26/gardasil-episode-4-mais-au-fait-le-gardasil-cest-fait-avec-quoi/

https://www.aimsib.org/2023/03/05/episode-5-gardasil-des-essais-cliniques-truques/

Le covid ne fait plus recette, qu’importe, on dégaine en hâte un nouveau fléau qui menace nos préados et pourrait, quel hasard, permettre à certains industriels d’engranger de belles recettes…

L’occasion pour un dirigeant de signer l’arrêt de mort de la médecine : discours de Jarnac (deuxième vidéo) à 2 min 55 s :

« Pour supprimer les consultations/les consultations sont inutiles »

https://www.charentelibre.fr/politique/macron-a-jarnac-une-quarantaine-d-opposants-a-la-reforme-des-retraites-presents-live-et-video-14237319.php

ou (à 2 min 48 s, son de meilleure qualité) :

RÉSISTANCES

CSI n° 94 du 9 mars 2023

https://crowdbunker.com/v/LCJaHZfB

Invité : Pr Jean-Paul Bourdineaud, docteur en biologie cellulaire et microbiologie.
Sujet : Critique définitive de l’article du Lancet prétendant que les vaccins génétiques auraient évité jusqu’à 20 millions de décès.



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L’Élection de Macron est-elle un chèque en blanc pour passer sa réforme ?

[Source : maximetandonnet.wordpress.com]

Réforme des retraites : et si la classe politique avait tout faux ?

Par Maxime Tandonnet

« Le résultat des élections de 2022 doit impérativement prévaloir sur les sondages et sur “la rue” » : cette affirmation domine le discours officiel, politique et médiatique, pour justifier la volonté du pouvoir actuel et de ses alliés de mener à son terme, quoi qu’il arrive, l’emblématique réforme des retraites. Ainsi, le report à 64 ans du départ de l’âge à la retraite, dérivé de la promesse de campagne de M. Macron de porter cet âge à 65 ans, serait comme gravé dans le marbre. Un tel raisonnement se heurte à l’esprit initial de la Ve République. Dans l’esprit de son fondateur, Charles de Gaulle, l’élection ne valait pas une sorte de chèque en blanc pour les dirigeants politiques, dont la légitimité pour réformer le pays reposait, au-delà du scrutin initial, sur la confiance populaire préservée. D’où les referendums successifs où le Général engageait sa confiance et la poursuite de son mandat. Présider ou gouverner la France contre son gré, sans la confiance et le soutien populaire, était inconcevable à ses yeux.

Les faits lui donnent raison. C’est une erreur profonde de prétendre qu’en élisant le président Macron en 2022, une majorité des Français (globalement) lui a accordé un feu vert pour mettre en œuvre les 65 ou 64 ans. La présidentielle de 2022 s’est déroulée sans véritable campagne, sans le moindre débat de fond, entre les terreurs covidesques et le déclenchement de la guerre d’Ukraine. Le choix de nombreux électeurs de l’actuel président était dominé par la crainte de voir M. Mélenchon ou Mme Le Pen parvenir à l’Élysée. Certes à un moment de la campagne, pour couper l’herbe sous le pied de la candidate de droite, le candidat-président a annoncé un report de l’âge de la retraite à 65 ans (tandis que quelques mois auparavant, il fustigeait cette mesure comme hypocrite). Mais il est abusif d’affirmer que les électeurs (dans leur ensemble) avaient cette mesure à l’esprit quand ils ont voté dans un contexte global extrêmement anxiogène. Quant au message principal, des législatives qui ont suivi, avec 46 % de participation, le refus d’accorder une majorité absolue au chef de l’État manifestait bien au contraire une volonté populaire de ne pas accorder au président un blanc-seing, y compris sur les 65 ans.

La séquence politique actuelle est dramatique pour la démocratie française. La mesure phare des 64 ans est immensément impopulaire et rejetée par les trois quarts des Français et les neuf dixièmes des actifs comme le prouvent toutes les enquêtes d’opinion, confirmant une réalité que chacun peut percevoir dans sa vie quotidienne. Or, sous de mauvais prétextes, la classe dirigeante donne le sentiment de n’en tenir aucun compte. Elle s’enfonce dans une attitude qui manifeste une sorte de fuite dans le mépris et la déconnexion. Pire : dans ce bras de fer entre les élites dirigeantes et le peuple, c’est le peuple qui a raison sur le fond. Les 64 ans ne servent strictement à rien compte tenu de la règle des 43 annuités. Leur unique effet sera d’obliger à travailler plus de 43 ans quelques catégories de travailleurs ayant commencé avant 21 ans donc ayant peu fait d’études (et échappant aux dérogations prévues pour les carrières longues). Le reproche d’inutilité et d’injustice envers cette mesure totémique est avéré. L’image d’une classe politique obtuse, refusant d’écouter le pays, à l’abri de ses palais et engoncée dans l’indifférence pendant que la France populaire s’enfonce dans une nouvelle galère — le blocage de l’économie et des transports — est dévastatrice.

Selon le discours dominant, le président « ne pourrait plus gouverner s’il renonçait à cette mesure ». Pourtant, qu’il cède ou non, la confiance, déjà fragile, sera définitivement rompue avec le pays, obérant gravement la suite de son mandat. Et quasiment toute la classe politique sortira perdante de cette épreuve de force entre elle-même et la Nation. Les leaders officiels de la droite LR se sont gravement compromis avec la majorité présidentielle dans une logique d’arrogance au prétexte de coller à un programme qui, à quatre reprises (présidentielles et législatives), a contribué à leur défaite. La Nupes a fait naufrage dans l’outrance. Cette crise sociale a aussi montré les limites de la « dédiabolisation » du RN, avec lequel les syndicats rejettent tout contact, un parti qui ne parviendra jamais à incarner l’apaisement et une réconciliation dont la France a tellement besoin. Dans cette débâcle qui signe peut-être le paroxysme de la décomposition politique et semble ouvrir sur un abîme, seuls les « frondeurs » de la droite LR pourraient éventuellement tirer leur épingle du jeu. Ils sont une vingtaine de la jeune génération LR. Ils ont compris (contrairement aux leaders du parti) qu’au-delà de l’emblématique report à 64 ans (encore une fois inutile et injuste) se jouait un bras de fer entre les « élites dirigeantes » incarnées par la présidence Macron et la France populaire, le monde du travail. À condition cependant de ne pas faire naufrage à leur tour dans la mégalomanie, la prétention solitaire et le culte de la personnalité. 




Aux États-Unis, de plus en plus de grands journaux rapportent les manquements et manipulations des autorités durant la crise sanitaire

[Source : covidhub.ch]

Newsweek publie les 10 mensonges officiels sur le Covid

Si vous êtes opposé depuis belle lurette aux discours officiels sur la « pandémie », vous n’apprendrez peut-être rien de nouveau…

…la nouveauté, c’est en fait que Newsweek, un magazine leader d’opinion dans le monde, publie le point de vue d’un chercheur réputé en santé publique à la Hoover Institution de Stanford, Scott W. Atlas, sous le titre : La réponse américaine au Covid a été basée sur des mensonges. (en anglais).

Pour de nombreux observateurs comme le mathématicien Igor Chudov, une telle publication, le 8 mars 2023, a la valeur d’un « changement sismique ». Elle suit d’ailleurs la parution, le 22 février, d’une prise de position signée par deux autres opposants prestigieux, les Pr Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, intitulée: Il nous faut une Commission Covid (en anglais).

Voici, énumère Scott Atlas :

« les 10 plus grands mensonges – connus depuis des années pour être faux (…) – répandus par les responsables américains de la santé publique, les officiants élus et non élus et les universitaires désormais discrédités :

  1. Le coronavirus SARS-CoV-2 a un taux de mortalité plusieurs fois supérieur à celui de la grippe.
  2. Tout le monde a un risque important de mourir de ce virus.
  3. Personne n’a de protection immunologique, car ce virus est complètement nouveau.
  4. Les asymptomatiques sont les principaux moteurs de la propagation.
  5. Le confinement – fermer les écoles et les entreprises, bloquer les gens chez eux, stopper les soins médicaux non Covid et supprimer les déplacements – arrêtera ou éliminera le virus.
  6. Les masques protégeront tout le monde et arrêteront la propagation.
  7. Le virus est connu pour être d’origine naturelle, et prétendre qu’il provient d’un laboratoire est une théorie du complot. [Note de Joseph : voir cependant C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! et le dossier Vaccins et virus pour une remise en question de la théorie virale.]
  8. Les enseignants courent un risque particulièrement élevé.
  9. Les vaccins Covid arrêtent la propagation de l’infection.
  10. La protection immunitaire ne peut venir que d’un vaccin. »

Enfin, Scott Atlas demande des enquêtes et des excuses. Il reconnaît également que les enquêtes risquent d’être fausses :

« Mais pour s’assurer que cela ne se reproduise plus jamais, les chefs de gouvernement, les fonctionnaires, les universitaires et conseillers influents qui entretiennent souvent des conflits d’intérêts, doivent être tenus pour responsables. Personnellement, je reste très sceptique sur le fait que toute enquête ou commission gouvernementale puisse éviter la politisation. Indépendamment de leur intention, toutes ces enquêtes dirigées par le gouvernement seront au moins perçues comme politiquement motivées et leurs conclusions seront catégoriquement rejetées par beaucoup. Ces enquêtes doivent cependant se poursuivre, ne serait-ce que pour rechercher la vérité, pour enseigner à nos enfants que la vérité compte et pour se souvenir de G.K. La leçon essentielle de Chesterton selon laquelle « le bien est le bien, même si personne ne le fait. Le mal est le mal, même si tout le monde ne le voit pas. »

(Right is right, even if nobody does it. Wrong is wrong, even if everybody is wrong about it.)

Sur Scott W. Atlas : 

Scott W. Atlas, MD, est chercheur principal en politique de la santé à la Hoover Institution de l’Université de Stanford, codirecteur du Global Liberty Institute, membre fondateur de l’Académie des sciences et de la liberté de Hillsdale et auteur de A Plague Upon Our House: My Fight at the Trump White House to Stop Covid from Destroying America (Bombardier Press, 2022) (Un fléau sur notre maison. Mon combat à la Maison Blanche de Trump pour empêcher le Covid de détruire l’Amérique)




Et si les États-Unis s’effondraient ?

[Source : Idriss J. Aberkane]

D’Emmanuel Todd à Igor Panarin, l’effondrement de l’empire américain a été pronostiqué depuis plusieurs années, et est souvent analysé comme la conséquence naturelle et historiquement inévitable de l’« imperial overstretch » ou « hyperextension impériale » prédite par Paul Kennedy. Une différence importance cependant : l’empire de Washington (pour étendre les termes de Brzezinski, puisque le FMI et la Banque Mondiale se trouvent à Washington) dispose d’un pouvoir sans précédent : la capacité à forcer le monde entier à financer son influence, en forçant toutes les nations à accepter sa monnaie.

En 1997 Zbigniew Brzezinski, dans son classique Le Grand Échiquier, anticipe quelques conséquences géopolitiques à l’effondrement de l’Empire de Washington, et même s’il est juge et partie, nous devons observer que oui, ces conséquences seraient dramatiques, et ce malgré toutes les exactions géopolitiques brutales commises par cet empire depuis 1945, parce que le fonctionnement des relations internationales n’a quasiment pas changé depuis le Traité de Westphalie en 1648, et demeure basé sur les rapports de force, dans lesquels l’empire de Washington fonctionne comme la banque centrale de la force militaire à travers le monde, et se retrouve, logiquement, « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]…

[Note de Joseph : le point de vue d’Idriss Aberkane est discutable. D’une part, si les États-Unis s’effondraient la Chine et la Russie les remplaceraient rapidement en matière d’influence mondiale et celle-ci serait plus probablement stabilisatrice que guerrière. Et d’autre part, une bonne partie du réseau financier occidental qui finance notamment les conflits s’effondrerait aussi. Enfin, il pourrait y avoir une ouverture vers une démilitarisation massive plutôt qu’une poursuite de la course actuelle aux armements stimulée par l’agressivité américaine.]




L’enseignement de la grammaire en détresse

[Source : bvoltaire.fr]

Par Philippe Kerlouan

D’où vient que les enfants sont si nuls en grammaire ? Bien sûr, comme toujours, il y a des exceptions qui confirment la règle. Mais la plupart des élèves sont les victimes de ce mal qui, malheureusement, ne concerne pas que cet enseignement. Le collectif Sauvez les lettres, qui porte bien son nom, vient de lancer une pétition dans un « Appel au ministre de l’Éducation nationale : plaidoyer pour une grammaire scolaire »dont L’Obs du 7 mars s’est fait l’écho. « Il est grand temps d’ouvrir les yeux », écrivent les signataires, mais n’est-ce pas déjà trop tard ?

Les promoteurs de cette nouvelle grammaire enseignée aujourd’hui aux élèves s’appuient sur des travaux universitaires de linguistique, qui sont, sans doute, de qualité, mais ne sont pas transposables à l’école primaire. Ainsi peut-on lire dans cette tribune, selon la terminologie officielle que doivent suivre les professeurs : « Dans la phrase “Je vais à Paris”, “à Paris” est un COI (complément d’objet indirect) du verbe aller, et non un complément de lieu, comme le pensent encore naïvement une grande majorité de Français. » N’importe quel enfant comprend spontanément que « à Paris » désigne un lieu, mais qu’est-ce que ce COI qu’on emploie à toutes les sauces ?

Les méthodes pédagogiques contribuent aussi à ce désastre. Depuis quelques décennies, sous l’influence des prétendues sciences de l’éducation, on veut rendre l’enseignement de la grammaire ludique et plus actif, on laisse les élèves manipuler les phrases pour en tirer eux-mêmes des conclusions. Bref, on les fait réfléchir comme des scientifiques alors qu’ils n’ont pas les connaissances de base qui le permettent. Le bon sens préconise un enseignement structuré et progressif où l’on passe du simple au complexe. Il ne semble pas partagé rue de Grenelle, où l’on préconise tout le contraire.

Si l’on ajoute le peu d’heures consacré à l’apprentissage de la langue française, le laxisme qui se substitue à une exigence bienveillante, la quasi-disparition des textes littéraires, les exhortations du ministère et de quelques inspecteurs à sa botte sommant les professeurs de se plier à cette nouvelle grammaire, on comprend pourquoi cet enseignement est aujourd’hui en déshérence et pourquoi la majorité des élèves ont tant de lacunes en orthographe. Sans compter que cet enseignement, qui n’en est pas un, nuit aux plus défavorisés socialement, qui ne peuvent compter que sur l’école publique pour s’instruire et se cultiver.

« Comme vous le savez, c’est sur les ruines de la grammaire que germe l’obscurantisme », conclut l’appel au ministre. On peut douter qu’il y soit sensible. Il fait, en effet, partie de cette caste qui met ses enfants à l’abri des dérives qu’elle laisse se propager dans l’enseignement. Pour elle, le peuple n’a pas besoin d’accéder à la logique de la langue, à la compréhension d’un texte et à la profondeur de la littérature. Ce serait même dangereux qu’il pût faire preuve de jugement critique et se mît à penser par lui-même. Il est fait pour exécuter et consommer sans se poser trop de questions.

Tous ces progressistes de pacotille feraient bien de relire Condillac, qui écrivait en 1775 : « Je regarde la grammaire comme la première partie de l’art de penser. » Un peuple qui pense, c’est le cauchemar de nos prétendues élites. C’en serait fini de leur suprématie, de la morgue qu’elles ont du mal à cacher et dont Macron est le parangon.




Des grèves et encore des grèves en Belgique et en France : en vain, alors que le monde se dirige vers le Jugement dernier

[Source : arretsurinfo.ch]

[Illustration :
La CGT a aussi appelé à la grève dans l’ensemble des entreprises du secteur de l’énergie. Jusqu’ici, 5 centrales nucléaires étaient concernées, de même que les stockages de gaz d’ENGIE et les raffineries, dont EURACTIV avait déjà fait état ces derniers jours.
(GUILLAUME HORCAJUELO/EPA-EFE)]

Par Gilbert Doctorow

La semaine dernière a été marquée par de nombreux petits conflits sociaux en Belgique, dont le point culminant a été la fermeture massive de tous les transports publics hier. Pourtant, l’inutilité de ces grèves et leur erreur totale d’appréciation de l’atmosphère politique et économique du jour se sont reflétées dans le fait remarquable que la grève de vendredi n’a pas attiré une seule ligne de couverture journalistique dans les deux principaux quotidiens de langue française à Bruxelles, Le Soir et La libre Belgique.

Je dis « inutile » parce que le gouvernement est soumis à de fortes pressions financières, ayant à peine récupéré des dépenses extraordinaires liées à la pandémie de Covid, et titubant sous les coûts directs et indirects de son soutien à l’Ukraine, dans lequel il marche au même pas que le reste de l’Union européenne. Dans la mesure où la Belgique était lourdement endettée bien avant ces dernières crises, comme la France, l’Italie, la Grèce et un certain nombre d’autres États de l’UE, elle n’a pas les poches profondes de l’Allemagne pour payer les accords salariaux de compensation de l’inflation pour les travailleurs du secteur public.

Je parle d’erreur d’appréciation, car les dirigeants syndicaux ne voient pas que l’inflation extraordinaire qui motive leurs actions de grève provient de décisions strictement politiques du gouvernement concernant la guerre et les sanctions contre l’Ukraine. En d’autres termes, la solution aux difficultés économiques ne peut venir que de changements dans la politique étrangère et militaire de la Belgique et des autres États membres de l’UE.

Dans le cas présent, alors qu’il existe une menace réelle et immédiate de voir le conflit ukrainien dégénérer en une guerre entre l’OTAN et la Russie, c’est-à-dire en une troisième guerre mondiale, il incombe aux dirigeants du mouvement ouvrier de reconnaître que la présentation de revendications purement économiques semble, disons, à courte vue.

Je ne veux pas dire que les dirigeants syndicaux belges sont les seuls à ne pas comprendre. Ce n’est pas du tout le cas. En France voisine, l’économie et la vie normale de la grande majorité des Parisiens sont perturbées semaine après semaine par des manifestations de masse contre la réforme de l’âge de la retraite de Macron. Quelles sont les œillères de ces grévistes et de leurs dirigeants ? Le fait que l’âge légal de la retraite en France soit de 64 ou de 62 ans fera-t-il une quelconque différence pour qui que ce soit lorsque l’armement provocateur de l’Ukraine en vue d’une victoire sur la Russie poursuivi par le président Macron se terminera par un échange de missiles nucléaires qui anéantira la majeure partie, voire la totalité, de la population de l’Hexagone ?

Il est temps de cesser d’armer l’Ukraine, de présenter aux deux parties au conflit la demande d’un cessez-le-feu et de négociations de paix qui reviennent aux principes acceptés par Kiev en mars 2022 avant que Boris Johnson ne fasse échouer les négociations en faisant de la poursuite de la guerre une condition préalable à l’aide de l’Occident. Revenir aux projets d’accord de paix de mars signifie reconnaître à l’Ukraine le statut d’État neutre sans bases militaires étrangères sur son territoire. C’est le minimum que la Russie acceptera. D’autres conditions, telles que les frontières définitives de l’État ukrainien, peuvent être réglées beaucoup plus facilement et de manière pragmatique sur la base du territoire détenu par les forces militaires respectives au moment de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Dans la mesure où le règlement se fera par un traité de paix internationalement reconnu, il ne pourra plus y avoir d’échanges de tirs d’artillerie à travers la frontière ni de persécution de civils pour des raisons linguistiques, ethniques, religieuses ou autres, quel que soit le côté de la frontière où ils se retrouveront lorsque la poussière sera retombée.

Je suis pleinement conscient que cette modeste proposition ne réjouira pas les guerriers qui attendent la victoire totale à Kiev ou à Moscou. Mais, comme on dit, une mauvaise paix vaut mieux qu’une bonne guerre, surtout à l’ère nucléaire. J’ajoute à cela une autre condition essentielle pour remédier à la misère économique des Belges, des Français et des autres citoyens de l’UE : dès la conclusion du traité de paix entre l’Ukraine et la Russie, toutes les sanctions imposées à la Russie devraient être levées immédiatement et sans condition.

Source : Gilbert Doctorow
(Traduit de l’anglais)




Le portefeuille d’identité numérique européen pourrait entrer en vigueur sans le vote du Parlement

[Source : Nexus]

Par Hermine Le Quellec

Le portefeuille d’identité numérique entre dans sa phase de concrétisation à l’échelon européen. Après que la Commission a révélé l’architecture technique qui soutiendra les différents pilotes, et que de gigantesques consortiums industriels ont été choisis pour les construire, le portefeuille d’identité numérique est à présent entre les mains des institutions européennes, et pourrait se passer d’un vote au Parlement.

La loi sur le portefeuille d’identité numérique entre ce printemps en phase de « trilogue », c’est-à-dire en négociations interinstitutionnelles, entre le Parlement, la Commission et le Conseil européens. Attendu initialement en mars pour être soumis au vote des eurodéputés en assemblée plénière, le paquet de lois sur les possibilités permises par le prochain portefeuille numérique européen pourrait se passer de cette étape et être négocié au plus haut niveau des institutions européennes sans l’avis des députés.

[Voir aussi :
Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique
Attention : le portefeuille d’identité numérique arrive en France
La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire
Les Québécois en route vers une identité numérique par reconnaissance biométrique
Les Pièges de l’identité numérique
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La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
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En marche vers la dictature numérique…
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »]

◆ Quand le règlement de l’UE permet de s’affranchir de la démocratie…

En vertu du règlement du Parlement européen (article 71, alinéa 1), le comité parlementaire chargé du dossier sur l’identité numérique (en l’occurrence, le comité ITRE compétent sur les questions industrielles) a voté à la majorité de ses membres, un mandat pour faire entrer la loi sur le portefeuille digital directement en négociation, sans passer par un vote des députés.

Ainsi, la loi sur le portefeuille d’identité numérique européen pourra continuer son parcours législatif entre la Commission européenne (gouvernement exécutif) et le Conseil européen (représentation des États membres), et s’affranchir de l’avis du Parlement, seul organe représentatif des citoyens européens, pourtant les premiers concernés par la loi.

Une demande de recours a été lancée par le député conservateur hollandais Rob Roos. Si cette demande est signée par un nombre suffisant de députés, alors un vote en plénière devra avoir lieu au mois d’avril. Ce recours sera déposé mardi 14 mars et la décision rendue jeudi 16 mars.

◆ Un portefeuille numérique aux possibilités multiples

Le portefeuille d’identité numérique est dans les cartons de l’Union européenne (UE) depuis plus d’un an et demi. En juin 2021, le règlement sur le droit digital (règlement eIDAS) a été modifié pour inclure le cadre légal du prochain portefeuille numérique européen.

« C’est passé comme une lettre à la poste », se souvient Virginie Joron, eurodéputée française issue du Rassemblement national et membre du groupe « Identité et Démocratie » au Parlement européen.

Dès lors, trois avancées majeures ont eu lieu. D’abord, un groupe opaque d’experts  de la Commission européenne a imaginé l’architecture de référence qui soutiendra les portefeuilles digitaux et les rendra interopérables. Puis, deux gigantesques consortiums d’industriels (POTENTIAL et NOBID) ont été choisis par la Commission pour construire les premiers pilotes.

Ainsi, ce portefeuille numérique, application mobile ancrée dans votre téléphone sur une nouvelle génération de cartes SIM, contiendra vos données civiles et biométriques (empreinte digitale, photo…), permettra d’héberger votre dossier médical partagé et y recevoir vos ordonnances électroniques, donnera accès aux services bancaires et gouvernementaux (impôts, prestations sociales, services préfectoraux, etc.), contiendra votre permis de conduire digitalisé et potentiellement tout document et certificat important (diplômes, attestations d’assurance, etc.). Enfin, le portefeuille numéirique devra pouvoir servir de terminal de paiement, via la connectivité NFC des téléphones portables, et sera compatible avec le prochain euro digital.

◆ Quand la technologie supplante la démocratie

Alors que cette technologie rend possible des usages liberticides en cas d’un partage trop permissif des données entre les différents compartiments du portefeuille numérique, et offrirait aux États une connaissance quasi exhaustive des usages et comportements de leurs administrés, les garde-fous légaux sont importants pour empêcher un dévoiement de la technologie en outil de contrôle politique. D’autant que les entreprises qui co-construisent les premiers pilotes de portefeuilles numériques, comme les français Thales ou Idemia, sont déjà à la pointe des technologies de surveillance.

De plus, l’architecture qui surplombera les différents portefeuilles numériques propose d’affubler tous les citoyens européens d’un identifiant unique qui semble pouvoir être traçable par les fournisseurs des portefeuilles numériques (les États membres a priori).

Enfin, si cette technologie pourrait effectivement permettre un contrôle citoyen accru sur ses données et la manière dont il consent – ou non – à les partager, il est nécessaire que le cadre légal le prévoie en amont. Il semblerait cette fois-ci que la technologie ait été définie avant que le processus légal ait fait son travail de contre-pouvoir.

Deux grands dossiers législatifs sont attendus cette année sur le plan européen : le nouveau cadre légal concernant l’intelligence artificielle et le nouvel espace européen des données de santé. Tous deux seront décisifs pour baliser les possibilités des prochains portefeuilles numériques, dont les premiers pilotes sont attendus en 2025.




Un grain dans le rouage du Great Reset : retour de l’argent liquide en Suède

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

L’expérience de vivre sans argent liquide a fait long feu en Suède. Plusieurs raisons dont les inégalités sociales engendrées et des potentielles cyberattaques expliquent cette marche arrière de la nation du progressisme. Ce retour aux espèces est un grain dans les rouages du Great Reset et du « tout numérique » vanté par l’Union Européenne.

Une loi suédoise oblige les institutions de crédit à fournir des services en argent liquide

Le quotidien Le Temps revient sur cette mauvaise expérience :

« Dans ce pays où l’on peut tout payer par carte bancaire, sans minimum d’achat (…), ils sont de plus en plus nombreux à n’avoir aucune pièce ou aucun billet dans leur porte-monnaie.

« Dans les églises, la traditionnelle quête a été remplacée par la possibilité de verser son obole par Swish, un système de paiement instantané par téléphone qui lie votre numéro à votre compte bancaire. Même les mendiants, plutôt que de tendre la main en vain, arborent sur leur poitrine leur numéro de Swish. Les 56 milliards de couronnes qui circulent encore dans le pays ne représentent plus que 1,2 % du PIB, le plus bas niveau du monde (la moyenne dans l’Eurozone est de 10 %), et le cash n’est plus utilisé que dans 6 % des transactions.

« La Suède se vantant d’adopter au plus tôt les nouvelles technologies, ces performances étaient célébrées comme le signe d’une société “agile”, rapide, efficace »… jusqu’au 1er janvier 2020. Cette année-là « a vu en effet l’entrée en vigueur d’une loi sur “l’obligation des institutions de crédit de fournir des services en argent liquide”, aux dispositions plutôt radicales dans cette économie “tout numérique”. Les Suédois doivent maintenant pouvoir retirer de l’argent liquide — et en déposer pour les entreprises — dans un rayon de 25 kilomètres autour de leur domicile. Une disposition qui doit s’appliquer à 99,7 % de la population, les autres 0,3 % vivant dans des recoins trop reculés de Laponie. La mesure a été adoptée à la quasi-unanimité des députés en novembre dernier et accorde un an aux banques pour se mettre en conformité, l’autorité de supervision bancaire se donnant le droit d’amender les récalcitrants. »

Il s’agit de laisser à chaque Suédois la liberté de choisir ses moyens de paiement, et de protéger les plus vulnérables

Pour le gouvernement suédois, cette décision vise à laisser à chaque Suédois la liberté de choisir ses moyens de paiement, et de protéger les plus vulnérables : « Le paiement électronique présente beaucoup d’avantages, mais on doit aussi pouvoir utiliser le cash. Les personnes âgées, les handicapés, ceux qui viennent d’arriver en Suède doivent pouvoir payer en liquide. », a expliqué en son temps le ministre des Finances Per Bolund.

Le déclin du cash, expliquait en mars 2020 Le Temps, était « si rapide en Suède — la proportion de paiements liquides dans les commerces a chuté de 40 % en 2010 à 15 % en 2016 — que ce choix risquait bientôt de ne plus être possible. Les agences bancaires sont de plus en plus nombreuses à n’offrir aucun service en argent liquide et, en ville, il faut parfois marcher de longues minutes avant de trouver un distributeur de billets. Les magasins qui refusent le cash — c’est légal — se multiplient, et même l’accès aux toilettes publiques se fait au moyen d’une carte. »

« Ainsi, continuait Le Temps, la motivation profonde de cette nouvelle loi, et donc de ce revirement, est avant tout sociale. Si l’argent est injuste, ségrégateur, l’argent numérique l’est encore plus. Il implique, en Suède, d’avoir un numéro universel d’immatriculation, un compte en banque, un domicile fixe, ce que n’ont pas les immigrés, les touristes ou les personnes dans des situations de grande précarité. Il demande de maîtriser les outils numériques, de consulter son compte bancaire sur un ordinateur portable, de savoir envoyer de l’argent par téléphone. Il exige un accès permanent au réseau téléphonique et à internet, ce qui n’est pas toujours le cas en zone rurale. Et, enfin, il empêche tous ceux qui ne remplissent pas ces conditions d’acheter biens et services. »

« C’est un argument que l’on emploie depuis longtemps et qui a enfin été écouté », se félicitait en janvier 2020 Björn Eriksson, policier à la retraite qui milite pour le maintien du cash à la tête de l’association Kontantupproret. « Presque tous les partis ont voté cette loi pour forcer les banques à faire leur travail. » Une unanimité d’autant plus grande que cette méfiance autour de l’argent électronique, aujourd’hui, ne concerne plus seulement les marges de la société. La Banque centrale suédoise, soucieuse de voir disparaître un moyen de paiement dont elle a le monopole, « garanti par l’État », s’est félicitée de ce « pas dans la bonne direction ».

L’autre bataille pour le retour des espèces consiste, explique Björn Eriksson, à « obliger » les boutiques et les commerces à ne plus refuser le cash :

« Il faut obliger certains d’entre eux à faire machine arrière ».

À l’heure d’aujourd’hui, beaucoup d’entre eux continuent à refuser le paiement en liquide.

Les cyberattaques, autre danger d’une nation sans liquide et du tout numérique

Le Temps évaluait encore ainsi la situation :

« Du côté de la sécurité civile, on s’inquiète aussi des risques en cas de guerre ou de cyberattaque : que deviendrait un pays sans aucun moyen de paiement ? Chez les jeunes, ce sentiment progresse également, pour d’autres raisons : “Quand vous entendez ces nouvelles venues de Chine sur le fichage électronique des citoyens à travers leurs achats, comment pouvez-vous être sûr que ce genre de surveillance ne va pas arriver dans des pays comme la Suisse ou la Suède ?” s’alarme Björn Eriksson. “Ce n’est peut-être pas pour demain, mais je rencontre de plus en plus de jeunes, de cadres très bien insérés qui limitent leurs achats par carte, car ils craignent Big Brother !” »

Le cauchemar d’une Suède du « tout numérique » se dissipe et c’est tant mieux. La nation pionnière en ce domaine, comme en presque toutes les thématiques progressistes, a fait marche arrière depuis 2021, comme elle fait marche arrière sur bien d’autres « progrès » sociétaux qu’elle a portés au pinacle, tels le vivre-ensemble multiculturel et multiethnique ou le lgbtisme sans limites, avant de prendre conscience des ravages sociaux qu’ils ont engendrés.

Cet exemple suédois est une note d’espoir, le Great Reset numérique ne sera pas si facile à imposer même s’il est malheureusement à craindre que l’Union Européenne et la France suivent la voie de l’illusion idéologique d’une vie sans cash sans tenir compte du réel qui a fini par reprendre le dessus en Suède et qui s’imposera à elles aussi même s’il sera bien tard…  




Dossier adrénochrome

L’adrénochrome, substance satanique qui consisterait à boire du sang de bébés torturés, n’existe pas, les médias en sont certains !

Toute personne normale ou naïve n’a jamais entendu parler de ce machin, ce qui est tout à fait logique.

Moi, pourtant complotiste diplômé, en avais entendu parler, mais je n’avais pas enquêté profondément.

TPMP1

Si je vous en parle aujourd’hui c’est suite à un invité sur TPMP dont l’intervention a fait grand bruit.

Celui-ci a non seulement affirmé que le « produit » ne relevait pas du mythe, mais qu’il était utilisé par des « grands » de ce monde. Cyril Hanouna a bien entendu mis fin extrêmement vite à l’émission lorsque le nom de Macron a été prononcé. Il y a depuis un tollé médiatique général pour dénoncer ces propos « complotistes et délirants » tenus à une heure de grande écoute sur une chaîne de la TNT.

Un produit chimique sans histoire !

Selon Wikipédia2, l’adrénochrome est un produit issu de l’oxydation de l’adrénaline. Point.

Je n’ai pas cherché à savoir ni pourquoi ni comment, cela n’étant pas le sujet du jour.

Un mythe ?

Le mythe voudrait que des satanistes (célébrités, maîtres du monde et autres détraqués), boivent du sang de glande pinéale de bébés préalablement longuement torturés avant d’être mis à mort. Le produit permettrait de rajeunir, mais serait aussi une puissante drogue extrêmement addictive au point que celui qui aurait goûté une fois au « nectar » ne pourrait plus s’en passer.

Ceci est totalement nié par toutes les publications mainstream et a fait l’objet d’un article sur factuel de l’AFP3. Note humoristique, ceux-ci ont affiché un énorme FAUX… en rouge sang.
Autre site faisant un fact-checking, mais en anglais (voir le lien4).

Mythe dont la genèse serait le film « Las Vegas parano » !

Selon la version officielle, les complotistes auraient fait de ce « délire » une « vérité » issue d’une scène du film. Dans cette scène, un des protagonistes prend de l’adrénochrome. Il n’est nullement question d’adrénaline oxydée comme c’est clairement dit dans le film. Nous pouvons entendre dans la version française :

« Glande provenant d’une opération sur un humain encore vivant. »

ou

« Il m’a proposé du sang humain disant que ce serait la plus grande défonce de ma vie. »
« Je lui ai dit que je préférais quelques centilitres d’adrénochrome pur. »
« Ce gars (qui a fourni la drogue) a été coincé pour viol sur mineurs. »

Vous pouvez voir la scène5 en question si vous le désirez.

Une présentation tout autre que celles de Wikipédia et autres doxas !

Selon un site aujourd’hui supprimé et dont il est encore possible de lire le contenu au 6 janvier 2019 grâce à Web archive :

« Le composé Adrénochrome (C9H9NO3) est synthétisé par l’oxydation de l’adrénaline, provenant du sang d’enfants humains. ADRENOCHROME est le produit le plus pur du marché, récolté dans des conditions strictement réglementées auprès de notre chaîne d’approvisionnement internationale d’enfants donneurs6. »

Et de préciser :

« Depuis des temps immoraux, le sang est lié à la jeunesse, à la vitalité et à l’immortalité. Le sang des enfants et des vierges, en particulier, a longtemps été converti pour ses propriétés vivifiantes — à la fois comme offrande sacrificielle et comme substance à boire rituellement. La mythologie et l’histoire vénèrent chacune les propriétés symboliques et matérielles du sang. Ils le dépeignent comme un élixir de vie, libéré au moment de la mort. L’effusion de sang, à la fois symbolique et rituelle, est inextricablement liée à l’acquisition de connaissances sur le salut, la vie éternelle et la relation de l’humanité avec le Divin. Outre sa dimension spirituelle, la nature viscérale du sang l’aligne sur la soif de pouvoir et de richesse sur notre plan terrestre. Les propriétés physiques et spirituelles du sang sont indiscernables, liées par le sang à travers un cycle de mort et de renaissance. L’histoire humaine est cyclique et le sang est le ciment qui relie tout. L’adrénochrome est le composé chimique de formule moléculaire C9H9NO3 synthétisé à partir de l’oxydation de l’adrénaline dans le sang. C’est un puissant élixir rajeunissant et psychotrope récolté à partir de la glande pinéale des enfants donneurs.

Alors que les niveaux élevés de consommation d’adrénochrome resteront limités aux échelons supérieurs de la société, le composé chimique sera enfin mis à la disposition d’une clientèle plus large via la pièce ADC7 »

Il nous est impossible de savoir si ce texte a été rédigé par des blagueurs, des fils de putes qui en font ou faisaient le commerce ou par des complotistes voulant donner vie à un mythe.

Une vidéo détaillant la pratique.

Il est possible de regarder (si elle n’a pas été encore censurée) cette vidéo de 1 h 57.
« Adrénochrome, l’autre nerf de la guerre8 » publié par Black Bond en janvier 2023.

Ici encore chacun sera libre de se faire sa propre opinion : Faits, délires, mélanges des deux ?

La vidéo est présentée ainsi :

« Dans cet épisode extrêmement riche, nous plongeons au cœur du business le plus important pour le culte satanique qui contrôle le monde. Ce business c’est celui de l’adrénochrome et de nos enfants. C’est un sujet qui est vaste et complexe, et vous allez voir dans cet épisode que les personnes qui gravitent autour de cette industrie, se donnent un mal fou, pour acquérir l’une des commodités les plus prisées au monde. »

On y parle :

« D’enfants torturés, violés assassinés puis consommés, offrande aux divers dieux. »
« De sang adrénalisé par la peur, une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. »
« De culte pédophile dans tous les pans de la société. »
« Ils se servent de nos enfants pour assouvir leurs désirs les plus pervers. »
« On pourrait croire que ce cela relèverait du mythe comme cherchent à nous faire croire les factcheckers. »

Je ne prétends pas prouver quoique ce soit, mais poser des questions.
Un tel culte est-il crédible, plausible ou avéré ?

Le culte de la jeunesse

Le doute n’est pas permis. La vieillesse est présentée par la société comme une maladie et nous devons tout mettre en œuvre pour nous en protéger. « Vieux » est devenu une insulte. Il y a quelques décennies on commençait à l’être à partir de 50 ans, aujourd’hui traiter de « vieux » une personne de 70 ou 75 ans est inapproprié. Peut-être le sommes-nous après 80 ans, et encore !

La chirurgie esthétique

Le magazine 20 minutes9 nous dit : On découvre également que Josiane Balasko s’est faite refaire le nez, « pour éviter de vieillir en ressemblant à Coluche », que Véronique Sanson s’est faite lifter, qu’Axelle Red se fait injecter du Botox et que Ségolène Royal a opté pour un réalignement des dents.

Une obsession de la jeunesse éternelle

Basta media10 titrait en 2018 :

« Ces milliardaires et multinationales qui investissent dans la quête d’immortalité et de jeunesse éternelle. »
Et de préciser : « Des start-up se lancent dans des transfusions de sang de patients jeunes vers des personnes plus âgées dans le but de prolonger la vie. Des grandes fortunes ou des multinationales, comme Google-Alphabet, investissent dans des biotechnologies pour identifier les gènes de longévité et ralentir le vieillissement. D’autres mènent des expérimentations pour dupliquer le cerveau dans des machines. L’industrie de la cryoconservation — congeler un organisme en attendant un hypothétique remède contre la mort — connaît un succès grandissant. Tous partagent l’ambition transhumaniste : créer un être humain à la longévité décuplée, voire immortel. Sans aucune réflexion sur les conséquences sociales. Une enquête extraite de l’ouvrage Au Péril de l’humain, coécrit par Agnès Rousseaux, journaliste de Basta!. »

Le ton est donné !

Transfusions sanguines dans des cliniques suisses11

Certaines pratiques ne relèvent pas du délire complotiste quand bien même je les pense délirantes. Johnny Hallyday révélant le secret de sa vitalité : des séjours réguliers dans une clinique privée suisse spécialiste de la régénération, dont l’adresse lui avait été donnée par Zidane.

« C’est formidable. On vous enlève du sang, on l’oxygène et on vous le remet… Zidane y va deux fois par an et je le comprends… Selon les connaisseurs, le top du top est la Clinique La Prairie, à Montreux. Paul Niehans, fut en effet le pionnier la thérapie cellulaire. Une véritable cure de jouvence consistant en des injections de cellules fraîches prélevées sur le foie de fœtus de moutons. »

Nous avons là une démonstration qu’il existe un marché pour rester jeune.

Une base « scientifique » ?

Du sang de jeunes pour rajeunir

En 2014 Le Figaro Santé12 publiait un article « Les secrets de l’éternelle jeunesse se cachent dans le sang » :

« Une expérience menée sur des souris ravive la discussion scientifique autour du rajeunissement. Cette étude montre que la transfusion de sang de souris jeunes rajeunit les organes de plus vieux rongeurs. »
« En reliant les systèmes sanguins d’une souris jeune et d’une plus âgée, Rando et son équipe avaient déjà noté un rajeunissement des muscles et du foie de la vieille souris. » « Nous avons observé que les vieilles souris à qui avait été administré du plasma de jeunes souris pouvaient repérer plus facilement la plate-forme cachée et commettaient moins d’erreurs en la cherchant, raconte le Pr Villeda »
« La prochaine étape sera de passer à des expérimentations chez l’homme pour vérifier l’innocuité et l’efficacité de l’élixir de jouvence identifié chez les souris »

Des produits à base de cellules de fœtus avortés

Cette fois-ci c’est Le Parisien13 qui nous éclairait.
Vous noterez que je prends soin de citer des sources non complotistes !

« Un antirides à base de fœtus humain. »
« Une crème antirides commercialisée aux États-Unis est fabriquée à partir des cellules d’un fœtus humain provenant d’un avortement. Ce qui provoque la polémique outre-Atlantique. »

J’espère que vous comprenez pourquoi la société est si encline à promouvoir l’avortement, c’est un marché titanesque.

Il existe donc une base plus ou moins scientifique qui prouverait que le sang de personnes jeunes et les cellules de fœtus permettraient de se protéger de la vieillesse ou même de rajeunir.

Des enfants disparus ?

Si vous voulez produire de l’adrénochrome, il va vous falloir de la « matière première » !

Le monde est à ce point « merveilleux » qu’il n’existe aucun fichier, aucune statistique officielle sur les enfants disparus et non retrouvés. Et je vous parle ici uniquement des pays riches et développés.

« En 2017, 1328 disparitions inquiétantes d’enfants ont été signalées14 ».

Je ne sais pas ce qu’ils pensent par « inquiétantes ».

« Ce chiffre de disparitions inquiétantes grossit année après année : en 2016, on n’en comptabilisait que 687, contre 1328 en 2017. »
« Cela pourrait vouloir dire que les forces de l’ordre ont tendance à être plus vigilantes, à ne pas tout de suite penser à une simple fugue, et donc à lancer des recherches de plus grande ampleur », analyse Anne Larcher. »
« Nous aimerions être capables de créer un fichier qui nous en dirait plus. »

Le Bien Public précise :

« Ces enfants disparus et jamais retrouvés15 »
« Environ 400 disparitions inquiétantes de mineurs par an sont signalées. Très peu d’enfants disparaissent sans laisser aucune trace. Les associations réclament la création d’un fichier qui n’existe pas. »

En Suisse ce n’est pas mieux :

Selon la fondation Missing Children16 :

« Toutes les 2 minutes, un enfant est porté disparu sur le territoire européen. »

Bien entendu, une écrasante majorité est retrouvée, néanmoins :

« No data, no problem! » On pourrait le croire, mais la réalité quotidienne de Missing Children Switzerland et les dernières disparitions d’enfants en date ont démontré que notre pays n’échappe pas au phénomène. De plus, notre système en la matière est lacunaire, à l’image de l’Alerte Enlèvement qui n’a jamais été déclenchée. Le manque de volonté des autorités helvétiques et la particularité du système fédéral font que nous n’avons toujours pas de statistiques officielles sur la disparition des mineurs en Suisse. C’est pourquoi nous travaillons sans relâche à obtenir ces chiffres. Les autorités comme les habitants doivent réaliser que la Suisse n’est pas épargnée par la problématique des disparitions d’enfants. Sans l’appui de statistiques officielles, ce phénomène reste invisible.

L’association précise :

« En Inde, près de 96 000 enfants disparaissent chaque année. »

Vous pouvez imaginer que la police ne passe pas des années à essayer de les retrouver.

Si vous arrivez à m’expliquer pourquoi ces données (faciles à mettre en œuvre) n’existent pas, ce serait avec plaisir !

Il y a donc de la « matière première », des enfants disparaissent chaque année dont certains ne sont jamais retrouvés et cela ne semble pas une préoccupation première.

Des réseaux pédophiles ?

Pour faire simple, en France ou en Suisse cela ne semble pas ou peu exister, sans doute une exception liée à la « bonne santé mentale des citoyens » ?

Le pédophile français semble donc très solitaire et égoïste, il n’aime pas partager.

Dans Heidi News17 nous pouvions lire en 2020 :

« Les réseaux pédophiles au cœur des thèses complotistes. »

« Des enfants seraient enlevés dans le monde entier et donnés en pâture aux élites : voilà la théorie cardinale des complotistes, mystérieusement incarnée à Genève par le cas « Marco » (prénom modifié). »

Je précise que le slogan du journal est « Le journalisme de précision qui répond à vos questions »

France-Inter18 en 2021 :

« On ne mesure pas forcément l’importance que peut avoir la pédocriminalité dans les fantasmes complotistes. Elle y tient une place particulière pour plusieurs raisons. »

Ou le site Debunkers19

« L’étrange obsession des complotistes pour les pédophiles. »

Je pourrais en citer pendant des pages.

Mais en Allemagne20 c’est peut-être une autre paire de manches.

En 2021 « Allemagne : un réseau pédophile de plus de 400 000 membres démantelé. »

« Après de longs mois d’enquête sur le darknet, la police a annoncé lundi 3 mai être venue à bout de ce réseau, considéré comme l’un des plus grands du monde

On a quand même de la chance en France d’être à l’abri de plein de trucs.

Sans parler de l’affaire Epstein que les médias français n’ont pas réussi à masquer totalement.

« Lors d’une conférence de presse mercredi, Denise George a indiqué avoir ordonné une enquête sur Jeffrey Epstein peu après sa prise de fonctions, en mai 2019. Celle-ci a montré que le financier avait organisé un « vaste réseau de traite d’être humains, et d’abus sexuels de jeunes femmes et de mineures ici, aux îles Vierges21 ». »

Il y a donc des pédophiles, des réseaux pédophiles et des personnes haut placées qui en goûtent, n’en déplaise à nos médias corrompus.

Des gros tarés ?

Si vous voulez des personnes qui boivent le sang de glandes pinéales de bébés ou d’enfants torturés et violés, il nous faut de sacrés malades mentaux.

Michel Bouffioux22 a écrit

« Ces criminels psychopathes qui ne sont pas resocialisables. »

« Quelle est la prévalence de la psychopathie dans la société ? »

« Cela représente environ 0,5 % à 3 % de la population générale. Mais tous les psychopathes ne sont pas violents physiquement. Il y a aussi des tricheurs, des fraudeurs, des menteurs pathologiques… Il y en outre des « psychopathes sociaux ». Ce sont des personnes totalement dénuées d’empathie, comme leurs alter ego qui se trouvent internés ou emprisonnés, sauf qu’elles parviennent à s’insérer dans la société en exerçant leur violence de manière sournoise, voire en l’utilisant comme un outil de pouvoir, de manipulation et de domination. »

« Il s’agit de personnes qui n’hésitent pas à en écraser d’autres dans le milieu professionnel et familial, avec une absence totale de remords et un recours permanent à la manipulation et au mensonge. N’ayant pas accès à leurs émotions, elles sont étrangères à tout sentiment de culpabilité et incapables de s’inscrire dans la perspective d’autrui. »

« Ces psychopathes souffrent-ils eux-mêmes de leur état mental ?
Nullement. Des recherches montrent qu’ils sont plutôt protégés de maladies comme la dépression. Il ne s’agit certainement pas de personnes anxieuses. »

Des tarés violeurs de bébés et/ou qui les torturent ?

Voici quelques titres de la presse :

  • « Vendée : Un père jugé pour le viol de son bébé de quinze jours23. »
  • « Les parents du bébé violé et décédé ont été mis en examen24. »
  • « Un homme âgé de 23 ans a été mis en examen pour le viol d’un nourrisson de 5 mois25. »
  • « Le père de famille de 34 ans repéré sur le darknet pour la consultation de sites pédopornographiques. En garde à vue, il a avoué le viol d’un de ses enfants26 (10 mois). »
  • « Bébé torturé et tué à Lunel : le couple a refait ses terribles gestes27. »
  • « Six personnes jugées pour “torture et barbarie sur un enfant de deux ans28. »
  • « Trafic d’organes : double énucléation d’un enfant en Chine29. »
  • « Une opération coordonnée par INTERPOL ciblant le trafic de migrants et la traite d’êtres humains a donné lieu à 121 arrestations dans 25 pays, déclenchant 193 nouvelles enquêtes. Les autorités ont lancé l’offensive contre des groupes criminels organisés soupçonnés de faire franchir des frontières à des hommes, des femmes et des enfants asiatiques à des fins d’exploitation et/ou de profit30. »

Vous en voulez encore ou j’arrête ?

Des sacrifices d’enfants au 21e siècle ?

Vous allez penser que j’ai fumé la moquette.

« Ce type de pratique remonte à la préhistoire ou aux Incas. »

Pourtant ce n’est pas moi, mais RFI31 qui l’affirme :

« Chaque jour, les journalistes de The Punch publient des faits divers plus stupéfiants les uns que les autres. Les “cultistes” y ont la part belle. Ce sont des individus qui recherchent des victimes pour pratiquer des sacrifices humains afin d’assurer leur succès dans les affaires ou en politique. »

« La découverte en mars 2014 d’un vaste charnier consacré aux sacrifices humains ou à l’utilisation des restes humains à des fins de magie noire à Ibadan (grande ville située à 130 kilomètres de Lagos) a semé l’émoi dans les populations. Cette affaire révélée par The Sunday Tribune a fait grand bruit : outre les cadavres démembrés et les crânes, des prisonniers enchaînés et affamés ont également été retrouvés par la police. »

Ah, mais, suis-je bête, c’est en Afrique, les occidentaux, eux, sont civilisés !

« États-Unis : une sataniste de 19 ans avoue “au moins” 22 meurtres32. »
« La police enquête sur le meurtre de quatre Américains aux corps démembrés33. »

Alors existe-t-il des rituels mettant en œuvre l’adrénochromie ?

Témoignages, preuves ?

Si cette pratique existe, vous comprendrez bien qu’elle ne peut être pratiquée par un individu seul. Il faut un réseau pour se procurer des enfants et pour faire disparaître les corps. Des complicités dans le monde judiciaire, politique, médiatique, etc. sont indispensables dans les plus hautes sphères, l’affaire Epstein en est une illustration. Il n’y qu’à voir comment les médias mainstream balayent non seulement l’adrénochrome, mais aussi les réseaux pédophiles. Karl Zéro34 se fait cracher dessus par tous les médias depuis des années.

L’affaire Hampstead35 :

En Angleterre, année 2014, deux enfants de 8 et 9 ans, Alisa et Gabriel Dearman dénoncent des (et leurs) viols d’enfants et des crimes rituels de bébés. Fait exceptionnel, il est possible de visualiser (en anglais que l’on peut mettre en français avec la traduction automatique) les interrogatoires de plusieurs heures des enfants diffusés par la police. Alisa décrit avec froideur, moult détails et méthode comment les enfants étaient violés et les bébés assassinés.

Les vidéos sur le sujet sont disponibles sur le groupe Docus qui Dérangent36.
Par la suite les enfants se rétracteront et diront qu’ils ont tout inventé. Je vous laisse juge de la crédibilité de ce retournement de situation.
L’affaire s’est terminée sur la BBC37 avec une interview « émouvante » de ce « pauvre père en larmes faussement accusé d’avoir violé et prêté ses enfants » sous la bienveillance de la journaliste.

« Il n’y avait donc pas de réseau pédophile satanique à Hampstead ! »

Nous avons de source sûre (mainstream) :

  • Une pratique de sacrifices de bébés largement décrite (mais non prouvée).
  • Un culte de la jeunesse, mais aussi de l’immortalité dans la société.
  • Des célébrités et des gens riches prêts à tout pour le demeurer.
  • Une base « scientifique » sur les « vertus » du sang de jeunes et des cellules d’embryons.
  • Des milliers d’enfants disparus chaque année qui ne réapparaissent jamais.
  • Des réseaux pédophiles impliquant des puissants de ce monde.
  • De vrais psychopathes comme dans les films.
  • De la traite d’humains.
  • Des trafics d’organes sur personnes encore vivantes.
  • Des bébés torturés.
  • Des violeurs de bébés.
  • Des rituels de sacrifices d’humains au 21e siècle.
  • Des témoignages réfutés.

Et les médias dans leur ensemble SAVENT que des sacrifices d’enfants torturés
dans le but de boire le sang de leur glande pinéale n’existent pas !

Il ne sont pas à dire que cela n’a jamais été prouvé, non, ils SAVENT que c’est faux et affirment que l’adrénochromie n’existe pas et relève uniquement de délires complotistes si possible antisémites !

Le Parisien38 résume admirablement bien la situation :

« Une théorie complètement fantaisiste, mais tenace sur les réseaux sociaux. »

Je ne résiste pas au plaisir de vous citer leurs conclusions, comme quoi on peut même rire avec des sujets horribles :

« L’adrénochrome n’est pas un médicament, il ne possède pas d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), et n’a donc pas d’utilisation médicale », insiste Bernard Basset.

Imparable, comment voulez-vous ensuite que des malades mentaux satanistes l’utilisent alors qu’il n’a pas d’AMM ?!

À moins que les labos n’aient torturé des bébés puis testé si le sang de leur glande pinéale devenait addictif ? Il faudrait leur demander.

Je reste sans voix devant de telles démonstrations !

Merci

Alain Tortosa39.
11 mars 2023
https://7milliards.fr/tortosa20230311-adrenochrome-mythe-ou-pas.pdf





Détransition, conséquence d’une épidémie factice et de diagnostic de « dysphorie de genre » surestimé

Par Nicole Delépine

Les enfants sacrifiés de la théorie du genre : arrêtez le Trans train comme en Suède

Les lobbies, la mode, le business conduisent beaucoup d’adolescents qui se sentent mal dans leur peau (ce qui est bien normal à cet âge) à se laisser convaincre que leurs soucis viennent d’une erreur de « genre », idée induite par la publicité mensongère à tous niveaux : cinéma, télévision et malheureusement école, y compris chez les très jeunes, âge de la plus grande facilité de la manipulation.

Certains tentent parfois de revenir en arrière : on les appelle les détransitionneurs !

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie]

Un acteur britannique, influenceur sur les réseaux raconte sur une TV américaine son parcours.1

« L’influenceur Oli London, 32 ans, révèle qu’il est en train de revenir d’une femme coréenne à un homme britannique — et dénonce les écoles pour avoir “normalisé le changement de genre” et enseigné aux enfants “à idolâtrer les hommes faibles comme Harry Styles”.

L’influenceur britannique a suscité la controverse après s’être identifié comme “transracial” et avoir dépensé plus de 271 000 dollars pour ressembler à des pop-stars coréennes.

London a déclaré que les guerres culturelles américaines sur le genre et les écoles ont laissé les gens confus sur le sujet.

Les enfants apprennent dès leur plus jeune âge, dès l’âge de cinq ans dans certains cas, qu’il n’y a pas de mal à changer de sexe, qu’il n’y a pas de mal à porter une jupe, qu’il n’y a pas de mal à ce qu’un garçon utilise des toilettes neutres quand cela met les filles en danger »

La pub et les réseaux sociaux, les influenceurs et même la publicité gouvernementale en France, la peur d’être poursuivi pour transphobie des familles et des médecins psychiatres en cas de refus immédiat du souhait de l’enfant (politique pro affirmative d’emblée),2 conduisent trop de candidats à foncer d’emblée dans le TGV de la transition, sans avoir le droit, de fait, à une période suffisante de maturation de leur décision. Qui sont finalement les victimes si ce ne sont ces enfants pris en otage de la mode ?

Nouvelle normalité

La question n’est pas qu’un certain nombre de personnes se sentent d’un autre sexe que celui de leur corps visible, cela a toujours existé, mais de façon très minoritaire.

Le problème est lorsque des personnes arrivant au pouvoir politique affirment que c’est « la nouvelle normalité » et tentent de marginaliser tous ceux qui ne ressentent pas cette différence.

La nouvelle culture portée par un petit groupe puissant surreprésenté parmi nos dirigeants occidentaux3 4 5 6 et lobbies auprès des parlements, conduisent à des erreurs de diagnostic chez des enfants ou jeunes en mal être qu’il eut été nécessaire d’écouter longuement ainsi que leurs familles et proches, avant de s’engager dans un long parcours du combattant qui le plus souvent ne les satisfait pas d’après leurs témoignages. D’où ce nouveau chapitre de l’histoire de la théorie du genre, les détransitionneurs.7

Le transgenrisme a pris une dimension politique aux USA et par contamination habituelle, en UE

Rachel Levine, ministre de Biden est transgenre : « Les enjeux de représentation sont devenus centraux » (marianne.net) « La question des transgenres était déjà au centre de la campagne de 2015-2016. »8 Nommée ministre adjointe de la Santé par Joe Biden, Rachel Levine « représente un choix historique » a écrit Joe Biden en annonçant sa nomination comme ministre adjointe de la Santé. Jusqu’alors directrice de la Santé de l’État de Pennsylvanie, Rachel Levine devrait devenir la première responsable fédérale transgenre. Un choix hautement politique, entre lutte contre l’épidémie de Covid-19 et sur représentation des minorités. »Elle officie au sein d’« Equality Pennsylvania », organisation pour le droit des personnes LGBT.

LE DROIT DES PERSONNES TRANSGENRES FORTEMENT POLITISÉ

« Elle représente un choix historique et extrêmement qualifié pour aider à mener les politiques de santé de notre administration », s’est enthousiasmé Joe Biden, ajoutant qu’elle « apportera le leadership ferme et l’expertise cruciale dont nous avons besoin pour guider les gens à travers cette pandémie, peu importe d’où ils viennent, leur race, religion, orientation sexuelle, identité de genre ou leur handicap. »

0,6 % DE LA POPULATION ADULTE AMÉRICAINE

« Joe Biden fait comprendre que les personnes transgenres constituent une part importante de notre pays » a réagi Mara Keisling, directrice exécutive du National Center for Transgender Equality. Joe Biden avait nommé Shawn Skelly, une vétéran trans, dans son équipe de transition.

« Les personnes transgenres représenteraient 0,6 % de la population adulte des États-Unis, mais leurs revendications résonnent plus fortement dans le débat public. 9

Les associations mettent régulièrement en avant leur situation précaire. Selon le National Center for Transgender Equality, 29 % des personnes transgenres aux États-Unis vivraient dans la pauvreté ».

LA REPRÉSENTATION DES MINORITÉS, STRATÉGIE POLITIQUE

Les politiques de tous pays sont rarement désintéressés. Chez les démocrates aux USA la représentation des minorités est devenue une réelle stratégie politique dominante.

« La communication sur l’identité sert à donner des gages à certaines clientèles électorales et surtout à la gauche du parti », reconnaît Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin, « on peut imaginer que c’est une version américaine du “en même temps”. »

On peut comprendre que des politiques tentent de se trouver de nouvelles clientèles et quoi de mieux de chercher dans les minorités, voire les extrêmes minorités.. Mais combien de victimes converties trop rapidement à un changement de genre alors que leur état relevait d’une autre pathologie (ou pas) ou d’un mal être transitoire ?

J’ÉTAIS SÛR : JE SUIS UN GARÇON

Charlie Evans est né femme, a vécu comme un homme pendant dix ans et est maintenant une femme à nouveau. Elle met en garde contre les décisions précoces et incontestées.

Le « detransitioner » de Manchester est un combattant déterminé contre le changement de sexe trop rapide. Elle parle très ouvertement de ses expériences personnelles. Elle a fondé le Detransition Advocacy Network. Elle a parlé lors de la « Lesbian Strength March » à Leeds.10

« Je savais que j’étais un garçon parce que j’aimais les voitures, les camions, la boue et les boîtes — et les filles. Je savais que j’étais un garçon parce que je n’agissais pas comme une fille. Rien chez moi ne semblait girly, et l’idéologie trans dit que tout le monde ressent son genre. Je ne me sentais pas comme une fille.

Je savais que j’étais un garçon parce que je répondais aux critères de la dysphorie de genre : une forte aversion pour les jouets et les vêtements typiquement féminins ; amis principalement masculins ; sentir que mes sentiments et mon comportement étaient typiques d’un garçon ; le désir d’être traité comme un garçon ».

Tous l’ont conforté dans son changement de genre tout de suite, amis comme les thérapeutes qu’il a consultés ! Comme si une fille n’avait pas le droit d’être finalement « un garçon manqué » pendant son enfance !

EN SUÈDE, PRÉCURSEURS EN UE DES TRANSITIONS MÉDICOCHIRURGICALES, ILS METTENT LE FREIN : ARRÊTEZ LE TRANS-TRAIN 11!

28 avril 202112 de Christine Westerhaus

Dans la Suède libérale, le débat trans a fait rage sur les faux diagnostics et une nouvelle loi scandaleuse. Les médecins et les parents étaient en colère. La femme trans Aleksa Lundberg s’est également rangée du côté des critiques, déclarant :

« Quelque chose ne va pas fondamentalement. »

Alors qu’une nouvelle loi devait faciliter la chirurgie chez les mineurs, y compris sans l’accord des parents la polémique a permis de réagir.

Mais au fil des ans, des doutes se sont accrus en elle quant à savoir si elle faisait toujours la bonne chose. Surtout avec ses patientes.

« Ces dernières années, de plus en plus de filles biologiques sont venues à notre cabinet. Beaucoup d’entre elles avaient d’autres diagnostics tels que l’autisme, les troubles de l’alimentation ou le trouble de stress traumatique.Néanmoins, on s’attendait à ce que nous répondions aux souhaits de ces patients en matière de traitement de changement de sexe. »

En 2019, Sämfjord a quitté son emploi.

« J’avais peur d’infliger des dommages irréversibles aux jeunes. »

Dans l’équipe KID de l’hôpital universitaire Karolinska, les cas avaient explosé depuis la création de l’équipe en 2000, passant de cinq à dix par an à 200 par an, la plupart d’entre eux étant des filles.

Des psychologues et des médecins, des parents, mais aussi des centres de conseil trans et des soi-disant détransitionnaires se sont plaints de la négligence avec laquelle les filles de 14 ans de l’hôpital universitaire ont été amputées des seins, sans qu’aucune autre cause de leur malaise avec leur propre corps n’ait été suffisamment clarifiée ou même traitée.

Dans le documentaire, elle se sent « comme un cobaye », explique une jeune femme qui s’est laissée transformer en homme trans.

« Ils expérimentent avec des jeunes sans preuves scientifiques. C’est irresponsable et cela me met en colère ! »

Dans Svenska Dagbladet, C Gillberg, psychiatre à Göteborg, a averti que les traitements hormonaux et chirurgicaux sur les enfants étaient « une grande expérience » qui pourrait potentiellement devenir « l’un des plus grands scandales médicaux du pays ».

Les parents ont également pris la parole. À 16 ans, la plus jeune fille de Jannika Häggström a dit à sa mère qu’elle était un homme. La mère a refusé de consentir au traitement de changement de sexe. À l’âge de 18 ans, la fille adulte a été amputée des seins et a pris de la testostérone.

« À l’âge de 20 ans, à peine deux ans plus tard, elle a réalisé que tout cela n’était qu’une idée fixe. »

En 2018, Häggström a créé le « Gender Identity Challenge Sweden » (GENID) avec d’autres parents pour protéger parents et enfants

Le Suédois avait observé une tendance inquiétante :

« Presque aucune mère ou père n’ose refuser à son enfant le consentement à des interventions chirurgicales. Ce souhait n’est plus guère remis en question, car de nombreux parents rapportent que leurs enfants ont rompu le contact avec eux parce que d’autres jeunes trans leur ont conseillé de le faire sur Internet. »

D’autres parents avaient indiqué que le « Bureau de protection de la jeunesse » les avait contacté car ils avaient refusé de s’adresser à l’enfant avec le « pronom correct ». PRESSION INSUPPORTABLE DES BUREAUCRATES AU SERVICE DES POLITIQUES.

Le réseau compte une centaine de membres. « Nous voulons empêcher les médecins de continuer à faire des expériences sur nos enfants », explique Jannika Häggström.

« Les opérations et les traitements hormonaux sont une expérience, il n’y a pas d’études scientifiques à long terme sur les conséquences de telles interventions. Les jeunes ne peuvent donc pas donner leur consentement éclairé. »

GENID exige un âge minimum de 25 ans pour les interventions chirurgicales.

Finalement, le gouvernement suédois a arrêté le « Trans Train ». Elle a chargé l’Agence d’évaluation des technologies de la santé d’examiner les données sur l’augmentation du nombre d’adolescents atteints de dysphorie de genre. Résultat : Il existe très peu de données, tant sur les raisons de l’augmentation que sur les risques ou les bénéfices des traitements hormonaux et des chirurgies.

Un rapport de l’autorité nationale de la santé a révélé qu’une fille sur trois âgée de 13 à 17 ans souffrant de dysphorie de genre avait reçu un diagnostic de trouble anxieux et qu’un autre tiers souffrait de dépression. Un sur cinq souffrait de TDAH et un sur sept d’autisme. Enfin, une analyse de l’autorité sociale suédoise « Socialstyrelsen » est arrivée à la conclusion :

« Il y a plus d’inconvénients que d’avantages possibles à abaisser l’âge minimum pour la chirurgie de conversion sexuelle. »

« Lorsque les adolescents voient le changement de sexe comme une solution à leurs problèmes d’identité pendant la puberté, quelque chose ne va pas », explique Aleksa Lundberg femme de 39 ans, de Stockholm qui vit en tant que femme depuis près de 20 ans. »

« Quand je me suis réveillé et que j’ai réalisé que j’avais perdu une partie importante de mon sens sexuel, ce fut un véritable choc pour moi»

Elle dit qu’elle déciderait différemment aujourd’hui.

« J’ai réalisé que j’étais en fait un homme gay féminin qui sentait qu’il devait changer son corps pour être accepté. »

Autre chose est devenu clair pour elle :

« Les jeunes fondent leur décision pour ou contre le traitement sur les histoires ensoleillées que nous, les personnes trans, racontons dans les médias. Et j’ai caché une partie importante de mon histoire aux gens. » 13

DE PLUS EN PLUS DE FEMMES DEVIENNENT DES HOMMES

Il y a 30 ans, il y avait 3 000 transsexuels en Allemagne, aujourd’hui il y en a 24 000. De plus en plus de femmes fuient vers le sexe opposé. Pourquoi ? Battage médiatique pour les jeunes femmes ou néoféminisme en panne d’idées ?

Lea venait d’avoir 16 ans, et a présenté sa solution au problème à ses parents. « Elle nous a expliqué qu’elle détestait son corps féminin et qu’elle était en fait un garçon. » La mère était consternée. Sur Internet, elle a constaté que de nombreux parents ressentent la même chose qu’elle. Le phénomène a même récemment eu un nom : « Rapid Onset Gender Dysphoria » (ROGD).14

TRANS EST UNE TENDANCE15

« DETRANSITIONNEURS » : DES ADOLESCENTS REGRETTENT LEUR CHANGEMENT DE SEXE ET DÉNONCENT DES DIAGNOSTICS DE DYSPHORIE DE GENRE TROP HÂTIFS, QUI FERAIENT FI DE CERTAINES PATHOLOGIES16.

Les personnes qui regrettent leur transition sexuelle seraient en nombre croissant, d’après un avis de l’Académie de médecine :

« Le risque de surestimation diagnostique est réel, comme en atteste le nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant détransitionner. Il convient donc de prolonger autant que faire se peut la phase de prise en charge psychologique ».

Un député britannique dévoile sa transidentité et dit avoir été victime de chantage et de viol.

« En France, on sait par ailleurs que le nombre de mineurs qui ont souhaité changer de sexe a été multiplié par vingt sur la même période », selon Arnaud Alessandrin, sociologue spécialiste de la transidentité à Bordeaux, et certains regrettent.

Ces « détransitionneurs » peuvent être classés en deux catégories, selon le sociologue : « Il y a ceux qui ont été opérés lorsqu’ils étaient majeurs, ont été surdiagnostiqués et le regrettent. Ils représentent entre 1 et 2 % de la population trans ». Puis, les plus jeunes qui ont suivi un traitement hormonal. « Entre 20 et 40 % de ces jeunes disent ensuite que cela ne leur convient pas ».

Un chiffre considérable qui devrait faire réfléchir les partisans de la transition rapide.

Des diagnostics de dysphorie de genre trop hâtifs ignoreraient certaines pathologies responsables du mal être du mineur.

« Parmi les adolescentes qui détransitionnent, on se rend compte que souvent, une autre pathologie antérieure à la transition était en cause, comme l’anorexie, la boulimie, l’autisme », indique Nicole Athea, gynécologue au Parisien.

« Que peut-on décider quand on a 15 ans, qu’on est dans une situation de souffrance psychologique et bien souvent sous l’emprise d’une idéologie trans ? »17

Transgenrisme : « De jeunes détransitionneurs viennent nous apporter le récit de leur parcours »18

Attaquées dans un article sur Mediapart sur la question de la prise en charge des mineurs qui se déclarent transgenres, Caroline Eliacheff et Céline Masson, codirectrices de l’Observatoire La Petite Sirène19, répondent.

« Cliniciennes auprès d’enfants et d’adolescents depuis plusieurs décennies nous récusons ce procès en légitimité. C’est à ce titre qu’avec d’autres partenaires de différentes disciplines, nous avons créé l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent (Petite Sirène — l’OPS).20 »

De nombreux témoignages de parents et de détransitionneurs attestent d’une prescription hormonale trop rapide, en dépit de troubles psychiques avérés.

Il est important de savoir comment est éclairé le consentement du jeune et de ses parents concernant les traitements, leurs effets secondaires, leur éventuelle irréversibilité et notamment le risque d’infertilité.

Sont-ils informés de la permanence incertaine de l’identité de genre d’un enfant ou d’un adolescent et, qu’à ce jour, aucun critère fiable ne permet de dire qui persistera et qui changera d’avis ? Sont-ils informés des alternatives au traitement médical telles que la psychothérapie et l’attente bienveillante que préconisent actuellement la Suède et la Finlande ? (Après avoir été les pionniers des pratiques chirurgicales de transformations sexuelles.)

Les parents savent-ils que de nombreux experts (Genspect)21 déconseillent la transition sociale totale des enfants soulignant que cela concrétiserait ce qui pourrait n’être que « transition temporaire ? »

INFLUENCE DES RÉSEAUX SOCIAUX

À Paris, 30 à 50 % d’enfants persistent dans leur identité inversée alors dans d’autres équipes, notamment celle du Pr Zucker au Canada, 70 à 90 % d’enfants retrouvent une harmonie avec leur sexe quand ils sont pris en charge autrement.

Toutes les publications qui affirment une amélioration après traitement hormono-chirurgical ont été jugées de « très faible fiabilité » et court-termistes.

En revanche, la sursuicidalité pendant toute la vie des personnes trans est bien démontrée (43 % soit dix fois plus que la population hétérosexuelle) et sert même d’argument (discutable) pour dénoncer la discrimination dont les trans sont l’objet alors pourtant, que d’autres minorités sexuelles (homosexuels et bisexuels) ou autres, tout autant discriminées, ne souffrent heureusement pas d’un taux de suicide aussi élevé.

LE CONFINEMENT LIÉ AU COVID A LARGEMENT AMPLIFIÉ LA SUREXPOSITION AUX RÉSEAUX SOCIAUX

Dans l’accélération récente du phénomène, il faut sans nul doute analyser la part terrible de l’invraisemblable confinement imposé à une grande partie du monde, folie organisée qui a abouti à une augmentation majeure des troubles psychiques et singulièrement chez les plus jeunes. 

Le confinement lié au Covid a largement amplifié la surexposition aux réseaux sociaux.

« C’est là que les jeunes s’endoctrinent, s’autodiagnostiquent et acquièrent le vocabulaire et les codes pour convaincre leurs parents et les médecins ; c’est là qu’un avenir meilleur leur est promis s’ils s’éloignent de leurs parents, forcément transphobes si ceux-ci émettent la moindre réticence ; c’est là qu’ils adhèrent à leur nouvelle communauté qui les encourage dans leur détermination et les héroïse. »

Ils étaient perdus, isolés à la suite des mesures coercitives de la plandémie covid, ils deviennent membres d’un groupe chaleureux, qui les comprend et au passage les manipule et les utilisent : ils trouvent le nom de médecins complices qui prescrivent des hormones à la première consultation ou s’en procurent sur Internet. Ils y trouvent même le nom de chirurgiens (parfois même indiqués par nos grands centres de référence !) pratiquant des mastectomies

Ces mutilations sexuelles sont souvent voilées par des euphémismes tels que torsoplastie ou encore « chirurgie du haut » (les médecins reprenant à leur compte le vocabulaire trans) — opérations autorisées en France avant dix-huit ans avec l’accord des deux parents et réalisées dans des cliniques privées, à Paris et en province.

LES DÉTRANSITIONS

Il est bien sûr très difficile d’en établir le nombre, car les services spécialisés ne les voient pas forcément et ne tiennent pas forcément à mettre en exergue les échecs de leurs pratiques discutables, mais fort lucratives.22

« Les détransitionneurs ont rarement envie de revoir les médecins qui les ont traités et estiment-ils souvent, mal traités. »23

Ces jeunes gens découvrent qu’ils sont toujours aussi malheureux, qu’ils ont été soignés de leur mal-être en dépit du bon sens (bon nombre se découvrent simplement homosexuels ou bisexuels), et/ou qu’ils étaient en réalité atteints de troubles psychiatriques bien plus lourds (autisme, psychose, traumatismes, etc.) que la dystrophie de genre présumée qui les a conduit à des mutilations irréversibles et à des traitements hormonaux inutiles et potentiellement dangereux.24

La vraie médecine prend du temps et doit avant tout ne pas nuire.

Quand un mineur mal dans sa peau se croit atteint de dystrophie de genre, il faut l’écouter patiemment, le rassurer sur l’amour et le respect qu’on lui porte et la solidité des liens parents-enfant, lui expliquer les conséquences avérées d’une transition sexuelle complète (traitement à vie, mutilations irréversibles, stérilité) et promouvoir un accompagnement psychologique prudent. L’écoute, le dialogue, l’information, le refus de décisions hâtives irréfléchies et le temps parviennent à rassurer 75 % à 90 % des adolescents qui se croient trans sous la pression.

Cette prudence dans l’usage de traitements qui nous a toujours guidés dans notre pratique pédiatrique, cancérologique et chirurgicale sauvera de nombreux mineurs et permettra peut-être d’éviter un scandale sanitaire à venir.





Ponce Pilate à la Maison Blanche : Les États-Unis, l’Ukraine, la Chine, la Russie et les prophéties orthodoxes russes

[Source : lesakerfrancophone.fr]


Par Batiushka − Le 5 février 2023 − Source The Saker Blog

Avant-propos

La seconde moitié de cet essai répond à un commentateur qui a écrit : « Batiushka, faites-nous savoir comment lire vos prophéties ». Il y a là un malentendu fondamental. Toutefois, avant d’en arriver là, examinons le tableau d’ensemble des événements géopolitiques, après quoi seulement la seconde moitié deviendra pertinente.

PREMIÈRE PARTIE : Les États-Unis et leur guerre perdue en Ukraine

La guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie par l’intermédiaire des idiots utiles de l’élite ukrainienne n’avait pas tant pour but de détruire la Russie que d’affaiblir la Chine par le nord. Pour les États-Unis, la Chine est le seul véritable rival sur la scène mondiale. Elle dépasse les États-Unis en termes de PNB, elle envahit l’Afrique et l’Australie. La Chine est la principale nation productrice des BRICS et de l’OCS, qui remplacent/ont remplacé le club des vassaux américains du G7. La Corée et le Japon tomberont également aux mains de la Chine et, franchement, tout le Pacifique occidental aussi. Pour les États-Unis, la Russie n’est qu’un moyen d’atteindre la Chine. La Chine est la superpuissance et Taïwan est l’Ukraine de la Chine. Après presque un an de guerre par procuration en Ukraine, l’élite américaine a réalisé que son Grand Jeu en Ukraine était une erreur. Attaquer par le biais de l’Ukraine ne détruira ni la Russie, ni, surtout, la Chine, ce qui est le véritable objectif.

L’Ukraine était censée être une attraction secondaire, mais elle est devenue une distraction très sérieuse, épuisant de précieuses ressources militaires dans une campagne longue et infructueuse. La guerre en Ukraine détruit également l’Occident sur le plan économique par le biais de ses sanctions anti-russes suicidaires. Les États-Unis hubristiques ont totalement sous-estimé la Russie, comme on pouvait déjà le voir dans l’affirmation arrogante d’Obama le 25 mars 2014, selon laquelle la Russie n’était qu’« une puissance régionale ». Les précieuses ressources militaires américaines pourraient être utilisées plus efficacement pour « contenir » la Chine, le véritable rival. La panique et le désespoir s’emparent maintenant des États-Unis. L’Ukraine doit être abandonnée comme la patate chaude qu’elle est. Puisque même les néoconservateurs ont maintenant compris que l’Ukraine dévastée ne présente aucun intérêt réel pour eux, ils doivent trouver un moyen de sauver la face.

Les États-Unis laisseront tomber l’Ukraine parce qu’elle est corrompue, qu’elle ne se bat pas bien, qu’elle continue à perdre des équipements, et porteront leur attention sur « le véritable ennemi », la Chine. Actuellement, il est question que le directeur de la CIA, M. Burns, offre à la Russie 20 % de l’Ukraine en échange de la paix – en d’autres termes, plus ou moins le territoire qu’elle détient déjà ! Il s’agit peut-être d’un faux drapeau (en russe ‘утка’, un canard, qui est la traduction du « canard » français signifiant la même chose). Mais le simple fait que cette histoire existe prouve que Washington est en train de tester l’eau pour les réactions, d’observer les ondulations après avoir jeté sa pierre dans le « bassin aux canards » et envisage de se débarrasser de l’Ukraine. Il s’agit bien sûr d’une offre ridicule pour tenter de soudoyer la Russie. La Russie va supprimer l’Ukraine en tant que menace. Totalement. Et il existe d’autres preuves très solides pour affirmer cela.

Les États-Unis et la Chine

Toute une séquence d’événements dramatiques concernant les intentions des États-Unis à l’égard de la Chine s’est déroulée depuis 2019. Le premier a été l’apparition de la Covid-19. Une expérience pour une arme biologique américaine du centre virologique de Wuhan qui s’est retournée contre elle à cause d’une fuite ? Qui sait ? Ce que nous pouvons dire avec certitude, c’est que l’opération Covid-19 implique les États-Unis et la Chine. Puis, en deuxième étape, est venue une autre opération des États-Unis et de la Chine – le « Quad », le « Dialogue quadrilatéral indo-pacifique« , sérieusement mis à jour en mars 2021. Il s’agissait d’un pacte conclu il y a des années entre l’Australie, l’Inde, le Japon et les États-Unis, maintenu par des discussions entre eux et des exercices militaires conjoints d’une ampleur sans précédent.

Cet arrangement diplomatique et militaire était une réponse agressive à la puissance économique et militaire croissante de la Chine. En effet, les Chinois ont réagi au Quad en protestant auprès de ses membres, l’appelant avec justesse « l’OTAN asiatique ». Après une période de tergiversations australiennes, le Quad a été relancé en 2017. Enfin, dans cette déclaration commune de mars 2021, intitulée « L’esprit du Quad », les membres du Quad ont décrit « une vision commune pour un Indo-Pacifique libre et ouvert (= contrôlé par les États-Unis) » et un « ordre maritime fondé sur des règles (= contrôlé par les États-Unis) dans les mers de Chine orientale et méridionale ». Le Quad a ensuite tenu une réunion « Quad Plus » à laquelle ont participé, comme on pouvait s’y attendre, des représentants de la Corée du Sud et de la Nouvelle-Zélande et, de manière surprenante, du Vietnam. Les intentions étaient claires.

Six mois plus tard, le 15 septembre 2021, est intervenue la troisième étape, AUKUS, le « pacte de sécurité«  entre l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis pour la région indo-pacifique. En vertu de ce pacte, les États-Unis et le Royaume-Uni aideront l’Australie à acquérir des sous-marins à propulsion nucléaire. (Peut-être les Britanniques fourniront-ils la superglue pour réparer les boulons autour des réacteurs nucléaires) ? Le pacte AUKUS prévoit une coopération dans les domaines suivants : cybernétique avancée, intelligence artificielle, capacités sous-marines, guerre électronique, innovation et partage d’informations. La formation de l’AUKUS en 2021 a réduit les Français à une fureur aveugle car ils avaient perdu une énorme commande australienne de plusieurs dizaines de milliards d’euros pour des sous-marins nucléaires, qui n’ont pas besoin de superglue britannique. Enfin, le 2 août 2022, survient l’escalade de la phase 4, la « visite » de Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, à Taïwan et ses menaces à la Chine. Il s’agissait d’une déclaration claire de guerre froide.

Le pivot des États-Unis vers la Chine en 2023

En novembre dernier déjà, le porte-parole de l’État américain, le New York Times, avait signalé que le complexe militaro-industriel américain ne pourrait pas soutenir le rythme et l’ampleur des fournitures militaires à Kiev. Cette information faisait suite à des avertissements répétés concernant les faibles stocks de munitions aux États-Unis et à d’autres rapports indiquant que les États-Unis étaient à court d’armes à fournir au régime de Kiev. En janvier dernier, le secrétaire d’État américain à la Marine, Carlos del Toro, a déclaré que les États-Unis pourraient bientôt devoir choisir entre répondre à leurs besoins minimaux en matière de sécurité nationale ou à ceux de l’Ukraine. Ensuite, la RAND Corporation, l’un des principaux groupes de réflexion du Pentagone, a déconseillé la poursuite de la guerre par procuration menée par les États-Unis contre la Russie en Ukraine, ce qui signifie que les États-Unis doivent mettre fin à la guerre dès que possible. En d’autres termes, les États-Unis doivent mettre fin à la guerre au plus vite, car une longue guerre dégraderait les capacités américaines face à la Chine.

Pour couronner le tout, un mémo du général Minihan de l’armée de l’air, qui a fait l’objet d’une fuite à la fin du mois de janvier 2023, indique que les États-Unis devraient être prêts à mener une guerre conventionnelle contre la Chine d’ici 2025. En d’autres termes, les États-Unis doivent trouver un moyen de se retirer de leur guerre par procuration en Ukraine en 2023, afin d’utiliser 2024 pour se préparer à la guerre contre la Chine en 2025. Viennent ensuite les événements absurdes des premiers jours de février, l’énorme dirigeable chinois, identifié comme un « ballon espion », flottant à 18 km dans les airs. (Curieux, pourquoi utiliser une technologie des années 1950, un ballon/avion géant, alors que les satellites chinois survolent les zones sensibles en permanence ? Après tout, la Chine a atterri sur la face cachée de la lune, ce qui n’est pas le cas des États-Unis).

Quoi qu’il en soit, quelle que soit la vérité, ce dirigeable a servi de prétexte à l’annulation du voyage du secrétaire d’État Antony Blinken à Pékin, qui avait pour objectif la « détente » sino-américaine. Dès le lendemain, le 4 février, Pékin annonçait qu’elle renforçait ses relations avec la Russie. Pas de détente de ce côté-là. Puis vint le courageux pilote de chasse américain qui, dans un vaillant combat aérien, parvint à abattre le méchant dirigeable oriental avec un seul missile. Des médailles pour tout le monde ! Il est clair que les génies de la Maison Blanche sont pressés de mettre en place leur stratégie de sortie de l’Ukraine pour sauver la face. Menacés par un dirigeable géant, ou peut-être par une flotte entière comme dans un film d’ovnis des années 1950, les États-Unis doivent se recentrer sur la Chine et oublier la lointaine Russie, qui n’a jamais été intéressée que par l’Ukraine (en fait, à l’origine, par une petite partie de l’Ukraine russe à l’est et au sud, bien qu’elle ait été forcée par la politique américaine à neutraliser le tout). Passons maintenant aux prophéties orthodoxes russes concernant tout cela, des prophéties que je connais depuis des décennies, mais qui n’avaient guère de sens jusqu’à ces dernières années.

DEUXIÈME PARTIE : Le christianisme orthodoxe

Tout d’abord, des excuses. Je sais que la plupart des lecteurs de ce site ne sont pas des chrétiens orthodoxes russes, pas des chrétiens orthodoxes, peut-être pas des chrétiens d’aucune sorte, et peut-être même pas des croyants d’aucune sorte. Veuillez suspendre votre incrédulité pendant quelques minutes. Je n’ai pas l’intention d’essayer de vous convertir. Je ne suis qu’un messager. Je veux juste expliquer comment la plupart des orthodoxes russes voient les événements géopolitiques actuels. Tout d’abord, des faits statistiques : 200 millions de personnes appartiennent à l’Église orthodoxe. Sur ces 140 millions, 70% sont des orthodoxes russes, bien que, cette Église étant multinationale, seuls environ 100 millions d’entre eux sont des Russes ethniques, beaucoup d’autres vivent ou vivaient en Ukraine.

Autre remarque : la plupart des orthodoxes russes pratiquants restent en dehors de la manipulation artificielle et absurde « gauche/droite » de la politique occidentale, inventée pour faire croire aux zombifiés qu’ils vivent dans des démocraties et ont des choix démocratiques. Certes, la grande majorité des orthodoxes sont des conservateurs sociaux, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de droite (« fascistes »), mais nous sommes aussi pour la justice sociale, la santé et l’éducation gratuites, ce qui fait de nous, aux yeux des Occidentaux, des gens de gauche (« socialistes »). Tout le contraire des néoconservateurs, qui sont des libéraux sociaux et des libéraux économiques, des LGBT qui prônent plus de capitalisme en mode loi de la jungle, et sont anti-famille et anti-nation. Comme les Chinois et les autres non-occidentaux, nous sommes pour des politiques pro-famille et pro-nation qui unissent le peuple. Cela explique à la fois le président Poutine, son parti « conservateur » appelé « Russie unie » et sa politique nationale de réunification de la Russie en Ukraine, ainsi que les politiques de « marché libre socialiste » du parti « communiste » chinois.

L’Église orthodoxe compte 1 000 évêques. 400 d’entre eux appartiennent à l’Église orthodoxe russe. Toutefois, les évêques orthodoxes les plus respectés se trouvent probablement en Serbie et en Ukraine, pays persécutés, et non en Russie. Une fois que l’Église orthodoxe russe aura été débarrassée des américanisés corrompus qui se trouvent en son sein, elle deviendra un rival spirituel inégalable pour les États-Unis. Car si certains traîtres peuvent avoir du pouvoir dans l’Église, ils n’ont aucune autorité dans l’Église. Ceux qui ont l’autorité dans l’Église, qui ont le respect et la révérence du peuple, sont les saints et les justes et ceux qui sont considérés comme des saints, des anciens et des justes, dont quelques-uns sont évêques, la plupart ne le sont pas, et dont certains ont fait des prophéties.

Sur les prophéties

Nous devons maintenant faire très attention à distinguer les prophéties des canulars et des fraudes des personnes qui cherchent à attirer l’attention et à gagner de l’argent. N’importe quel fraudeur peut se lever le matin et dire : « J’ai reçu un message sur l’avenir, j’ai fait un rêve sur l’avenir, et on m’a dit ceci et cela ». Non, je parle de paroles prononcées par ceux qui ont l’autorité depuis des décennies et des générations, qui sont vénérés pour leur vie humble, de saints ou d’anciens qui seront déclarés saints par le peuple, s’ils ne l’ont pas déjà été. En d’autres termes, nous ne parlons pas de l’idiotie de George Bush « Dieu m’a dit d’envahir l’Irak ». Nous parlons du spirituel.

Il faut ajouter ici que toutes les prophéties authentiques sont conditionnelles. Les prophéties ne sont que des avertissements, dont les échéances peuvent être repoussées de centaines, voire de milliers d’années. Les gens peuvent changer leurs habitudes et la réalisation des prophéties est alors reportée. Les prophéties restent vraies, mais leur application peut être retardée, en fonction des réactions humaines aux avertissements qu’elles contiennent. Ne doutez jamais que les gens peuvent regretter, revenir en arrière et changer. Mais ne doutez jamais non plus que les prophéties se réaliseront, s’il n’y a pas de changement de comportement une fois l’avertissement lancé.

Revenons maintenant au commentateur qui a demandé : « Batiushka, dites-nous comment lire vos prophéties ». Tout d’abord, je n’ai pas de prophéties. Je ne suis en aucun cas un prophète. Mais je connais des prophéties qui sont pertinentes ici. Celles par exemple de saint Séraphin de Sarov (+ 1833), de saint Jean de Cronstadt (+ 1908), de saint Aristocleus l’Athonite (+ 1918), de l’archevêque Théophan de Poltava (+ 1940), de saint Séraphin de Vyritsa (+ 1949), l’ancien Séraphin de Belgorod (+ 1982), avec la bénédiction duquel j’agis, saint Paisios l’Athonite (+ 1994), que j’ai rencontré, l’ancien Nikolaï Guryanov (+ 2002), que je vénère, et l’ancien Jonas d’Odessa (+ 2012), sur la tombe duquel je prie.

Prophéties

Voici quelques-unes de leurs prophéties : Saint Jean de Cronstadt a dit que « la délivrance de la Russie viendra de l’Est ». À la fin de sa vie, saint Aristocleus a dit que « la fin viendra par la Chine. Il y aura une explosion extraordinaire et un miracle sera révélé par Dieu ». L’archevêque Théophane de Poltava a déclaré qu’il devait y avoir un tsar prédestiné par Dieu et que la restauration de l’orthodoxie en Russie provoquerait la haine du monde, qui « prendra les armes contre la Russie ». Cela a été confirmé par l’aîné Nicholas Guryanov, qui a prédit que le président Poutine sera remplacé par un tsar, comme l’avait également prédit saint Paisios l’Athonite.

L’aîné Iona, bien-aimé des orthodoxes d’Odessa, a déclaré : « Après moi, il y aura une Pâques sanglante, une Pâques affamée et une Pâques victorieuse ». Bien sûr, comme pour toutes les prophéties, les interprétations varient. Une Pâques sanglante se réfère-t-elle à 2022, une Pâques affamée à 2023 et une Pâques victorieuse à 2024 ? Certains disent qu’une Pâques victorieuse peut se référer à 2023. Si seulement il pouvait en être ainsi… Saint Seraphim de Sarov a prédit que :

« Vers cette époque, les évêques deviendront si impies qu’ils surpasseront dans leur impiété les évêques grecs de l’époque de Théodose le Jeune, de sorte qu’ils ne croiront même plus au dogme principal de la foi chrétienne… On commencera à prêcher la repentance mondiale ».

Vous pouvez rejeter tout cela comme une absurdité, si vous le souhaitez. Mais vous devrez quand même admettre qu’il y a de curieuses coïncidences. Et que ce n’est pas un non-sens pour les chrétiens orthodoxes, russes ou non. Nous voyons que la Maison Blanche ne pense qu’en termes de suprématie mondiale par la force et que, pour elle, la véritable bataille du 21e siècle n’est pas entre les États-Unis et la Russie, utilisant l’Ukraine comme son « incident du Tonkin », mais entre les États-Unis et la Chine utilisant Taïwan comme son « incident du Tonkin ». Pour nous, une Russie purifiée sera le véritable rival, car c’est là que se trouve le potentiel spirituel. La Chine n’a que le potentiel industriel. Ce que les laïcs américains ne comprennent pas, c’est que la domination à long terme du monde ne passe pas par le pouvoir séculier, qui n’est qu’à court terme, mais par le pouvoir spirituel, qui est à long terme. La Maison Blanche est comme le gouverneur romain Ponce Pilate qui a demandé au Christ : « Qu’est-ce que la vérité ? » parce qu’il avait un esprit séculier. Il n’y avait pas de réponse à sa question parce qu’il avait posé la mauvaise question. Il regardait la réponse en face. Sa question aurait dû être : « Qui est la Vérité » ? Et nous sommes là, à éviter l’Armageddon nucléaire et nous continuerons à le faire, aussi aveugle que soit Ponce Pilate.

Batiushka
Recteur orthodoxe russe d’une très grande paroisse en Europe, il a servi dans de nombreux pays d’Europe occidentale et j’ai vécu en Russie et en Ukraine. Il a également travaillé comme conférencier en histoire et en politique russes et européennes.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Jeudi soir, dans l’émission Touche Pas à Mon Poste de Cyril Hanouna, l’ancien dealer Gérard Fauré, connu pour avoir affirmé qu’Eric Dupont Moretti était l’un de ses meilleurs clients à qui il fournissait de la cocaïne, était invité pour commenter l’affaire Palmade. Gérard Fauré est rapidement passé à des sujets plus délicats comme l’adrénochrome et les sacrifices d’enfants. Selon les propos de Gérard Fauré, des sacrifices d’enfants sont pratiqués pour transfuser du sang de jeunes enfants à des personnalités richissimes en quête de cure de jouvence d’un genre particulier. Le micro de Gérard Fauré a été coupé quand il a commencé à parler de Macron et l’émission s’est terminée dans la confusion générale. Depuis, un torrent de critiques s’abat sur cette émission accusée d’avoir exposé des théories « complotistes » et « antisémites ». Un classique.

Il reste à essayer d’y voir clair. L’utilisation du mot adrénochrome pour évoquer une consommation de sang d’enfants a fait son apparition depuis plusieurs années. L’acteur Jim Caviézel (qui a incarné Jésus-Christ dans le film La Passion) a explicitement évoqué le fait que des gens de Hollywood consommaient de l’adrénochrome.

Une certaine confusion peut exister, qui facilite la critique, car l’adrénochrome est le nom donné à une substance chimique commercialisée en toute légalité et qui n’a pas de lien avec du sang d’enfant.

Pour être précis, il faudrait parler de parabiose hétérochronique. Cette expression désigne bien l’utilisation de sang « jeune » pour servir de cure de jouvence. Une pratique jusqu’ici assumée par de nombreuses personnalités de la jet set sans qu’on se préoccupe trop de l’origine de ce sang « jeune ».

Regardez d’abord cet extrait d’une ancienne émission. Antoine de Caunes en parle ouvertement.

Une simple et rapide recherche permet de retrouver différents articles de la presse mainstream évoquant ce sujet.

Le magazine belge Le Vif parle même de « vampirisme médicalisé » pour évoquer la parabiose hétérochronique pratiquée par le milliardaire Peter Thiel « avide de sang ».

« S’il y a une chose qui excite vraiment Thiel, c’est la perspective de transfuser le sang de jeunes personnes dans ses propres veines », écrit le journaliste Bercovici qui avait réalisé une interview de ce milliardaire.

Suite à l’émission TPMP et aux propos de Gérard Fauré, le journal Le Monde a aussitôt dégainé les anathèmes destinés à clore le débat : ces théories sont complotistes et antisémites. Mais le même journal Le Monde a bien lui aussi évoqué précédemment, le 10 juin 2014 pour être précis, la parabiose hétérochronique.

Le journal Le Monde évoquait bien le sang comme « un élixir de jouvence » et les recherches menées sur les effets du « sang jeune ».

Le Monde écrivait bel et bien que « certaines stars du rock se sont laissées tenter par des transfusions pour rajeunir ».

Certes, Le Monde ne parlait pas de sacrifices d’enfants pour récolter ce sang « jeune ». Mais pourquoi serait-il loufoque ou antisémite de penser que les personnes voulant tester les effets de cet « élixir de jouvence » ne se fourniraient pas toutes par des circuits légaux. Ceux qui croient à cet « élixir de jouvence » voudront sans doute que le sang provienne de très jeunes enfants. Ce ne sont donc pas des voies légales qui vont permettre de l’obtenir.

Ajoutons qu’il existe suffisamment de faits avérés démontrant la participation de gens du monde des affaires, du spectacle ou de la politique à des activités et des rituels de type occultiste, maçonnico-sataniste.

Il est donc bien naturel que les Français réclament d’en savoir plus sur ces horreurs.




Les apprentis sorciers

Magnifique livre d’une résistante depuis trois ans malgré l’adversité et les calomnies.

Nicole Delépine




Le coup d’État des straussiens en Israël

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

[Photo : Elliott Abrams, l’un des straussiens historiques, pilote le changement de régime en Israël.]

Alors que les observateurs pronostiquaient une guerre d’Israël contre un de ses voisins, l’État hébreu n’est attaqué de nulle part. Il a des adversaires, mais pas d’ennemi, sinon lui-même. Son organisation politique n’étant définie par aucune Constitution est d’autant plus facile à renverser. Les straussiens, qui sont au pouvoir au département d’État et à la Maison-Blanche, pilotent aujourd’hui le changement de son régime. Les manifestations se succèdent dans tout le pays pour empêcher ce pays de devenir, selon les mots d’un ancien directeur du Mossad : « un État raciste et violent qui ne pourra pas survivre ». Mais il est probablement déjà trop tard.

Depuis deux ans, les Israéliens sont divisés et ne parviennent pas à désigner de gouvernement. À l’issue de cinq élections générales, ils ont décidé de renvoyer l’équipe Lapid/Gantz et de mettre au pouvoir une nouvelle coalition autour de Benjamin Netanyahu. Cependant, deux mois après la formation du tout nouveau gouvernement, ils ont encore changé d’opinion. Une majorité d’Israéliens ne veut déjà plus de ceux qu’elle a choisis.

En effet, à la surprise générale, Benjamin Netanyahu a constitué une coalition avec de petits partis suprémacistes juifs. Il leur a promis :

  • de retirer de la loi fondamentale la clause 7a interdisant aux partis ouvertement racistes de se présenter aux élections ;
  • d’amender la loi anti-discrimination afin de pouvoir financer des événements ou des structures pratiquant la séparation des sexes et afin d’autoriser le refus de services en raison de ses croyances ;
  • de contraindre les autorités locales à financer les écoles ultra-orthodoxes, même si elles ne sont pas sous le contrôle de l’administration centrale, n’en suivent pas les programmes et refusent d’enseigner les matières laïques de base telles que les mathématiques et l’anglais ;
  • de retirer l’attribution des bons alimentaires au ministère des Aides sociales et la confier à celui de l’Intérieur. Il appliquera comme critère pour les distribuer le fait de ne pas payer d’impôts, sachant que les ultra-orthodoxes en sont dispensés, quelles que soient leurs ressources.

Cependant, le Premier ministre a tenu à se démarquer de ses alliés. Ainsi a-t-il déclaré que jamais il n’autoriserait que l’on puisse évoquer sa foi pour refuser des services à un citoyen israélien. « Il y aura de l’électricité le Shabbat. Il y aura des plages [mixtes] de baignade. Nous maintiendrons le statu quo. Il n’y aura pas de pays [gouverné] par la halakha [la loi juive] » « Il n’y aura pas d’amendement de la loi du retour » (les alliés du Premier ministre exigent que tout candidat au retour fasse la preuve qu’il a un parent juif au sens strict du terme). Il a désavoué son fils, Yair Netanyahu, pour qui les juges qui l’ont mis en examen alors qu’il était encore Premier ministre sont des traîtres et doivent être punis comme tels. Enfin il a fait élire le seul député ouvertement gay, Amir Ohana, président de la Knesset.

Aussi choquant que soit ce programme, ce n’est pas l’important. Benjamin Netanyahu a annoncé une refonte du système judiciaire qui remet en cause l’équilibre des pouvoirs sur lequel reposait jusqu’à présent ce pays sans Constitution, au point que ses opposants parlent d’un « coup d’État ».

Les manifestations se suivent et s’amplifient. Au départ, elles n’étaient le fait que du centre et de la gauche. Puis, d’anciens alliés de Benjamin Netanyahu s’y sont joint et, désormais, des groupes de droite et, enfin, quelques Arabes.

Établissant un parallèle entre l’actuel gouvernement Netanyahu et le régime nazi, un ancien chef d’état-major, le général Moshe Ya’alon a déclaré : « Le peuple juif a payé un lourd tribut pour le fait que, lors d’élections démocratiques en Allemagne, un gouvernement est arrivé au pouvoir qui a éliminé la démocratie, et la première chose qu’il a éliminée a été le principe démocratique fondamental de l’indépendance du pouvoir judiciaire ».

Moshe Ya’alon est un adversaire de longue date de Benjamin Netanyahu, mais en quelques semaines, ce sont d’anciens alliés du Premier ministre qui ont abondé dans le même sens.

  • L’ancien ministre de la Justice du Likud et vice-Premier ministre sous Netanyahu, Dan Meridor, a pris la parole lors de la principale manifestation devant la Knesset, le 20 février. Il a déclaré : « Qui aurait cru que nous aurions besoin de défendre la démocratie en Israël, mais elle est attaquée ! ».
  • L’ancien directeur du Mossad, choisi à l’époque par Benjamin Netanyahu, Tamir Pardo, est aujourd’hui l’un des coordinateurs des manifestations. Dans une interview à la radio publique Kan, il a accusé le Premier ministre de réformer la justice uniquement pour pouvoir la fuir personnellement. En outre, il a accusé des éléments de la Coalition gouvernementale de vouloir édifier « un État raciste et violent qui ne pourra pas survivre ».
  • L’ancien directeur du Shin Bet, Yoram Cohen, également choisi à l’époque par Benjamin Netanyahu, a déclaré dans une manifestation de droite : « La réforme proposée changera la structure gouvernementale en Israël, puisque le pouvoir exécutif — et à sa tête le Premier ministre — aura un pouvoir illimité. Les freins et contrepoids nécessaires à une société démocratique disparaîtront. Tout citoyen doit être concerné par une telle situation, sans lien avec son appartenance politique. La réforme dans son état actuel, [imposée] dans la brutalité et [élaborée] sans dialogue avec toutes les composantes de la nation, pourrait conduire au désastre. »
Avi Moaz, ministre adjoint de l’Identité juive, a fait dresser une liste des gays travaillant dans les médias et une autre des employés du ministère de la Justice ayant suivi des formations avec des associations prônant l’intégration des Israéliens arabes.

Plusieurs pétitions d’économistes et d’entrepreneurs de la high tech ont tiré la sonnette d’alarme : les réformes annoncées feraient fuir les investisseurs étrangers. 56 économistes de renommée mondiale, dont 11 Prix Nobel, ont publié une lettre ouverte. Ils y écrivent : « La coalition au pouvoir en Israël envisage une série d’actes législatifs qui affaiblirait l’indépendance du pouvoir judiciaire et son pouvoir de contraindre les actions gouvernementales. De nombreux économistes israéliens, dans une lettre ouverte à laquelle certains d’entre nous se sont joints, ont exprimé leur inquiétude quant au fait qu’une telle réforme nuirait à l’économie israélienne en affaiblissant l’État de droit et en déplaçant ainsi Israël vers la Hongrie et la Pologne ».

Le plan de réforme de la Justice se déroulera en quatre phases dont, pour le moment, seule la première a été présentée au public.

  • Celle-ci (phase I) comprend :

    • (1) légiférer sur une disposition de dérogation qui permettrait à la Knesset d’adopter une deuxième fois à la majorité simple une législation qui aurait été invalidée par la Cour suprême ;
    • (2) éliminer la norme de raisonnabilité des décisions judiciaires ;
    • (3) renforcer le pouvoir de la coalition gouvernementale au sein du Comité des nominations judiciaires ;
    • et (4) affaiblir le statut des conseillers juridiques au sein des ministères.

  • La phase II fera de la Loi fondamentale sur la Dignité humaine et la Liberté un simple texte sans plus de valeur que n’importe quelle autre loi. Elle pourra donc être aisément remplacée.
  • La phase III limitera le droit de recours devant la Cour suprême.
  • La phase IV divisera les pouvoirs actuels du procureur général. Une seconde instance, un « procureur en chef », sera la seule autorité capable de traduire des politiciens devant la Justice.

Cette réforme changera du tout au tout la nature d’Israël. Elle est ouvertement portée par deux think tanks, le Kohelet Policy Forum et le Law and Liberty Forum. Ce dernier est inspiré par un des groupes qui composent aux États-Unis la Federalist Society ; l’association qui a rédigé en secret l’USA Patriot Act et l’a imposé à l’occasion des attentats du 11 septembre1. Le Law and Liberty Forum est financé par le Tikvah Fund qui est présidé par le néoconservateur israélo-états-unien Elliott Abrams (connu pour son rôle dans l’affaire Iran-Contras et dans quantité de coups d’État en Amérique latine).2

Le président de la Commission de la Constitution, du droit et de la Knesset, Simcha Rothman, lors de l’adoption de la première partie de la réforme. Il est aussi président du Law and Liberty Forum, l’association financée par les straussiens.
Droits réservés

La Federalist Society et le Law and Liberty Forum ont pour stratégie de modifier la jurisprudence en changeant les juges3. En une trentaine d’années, la Federalist Society est parvenue à justifier légalement le néo-libéralisme, à limiter les possibilités de recours devant les grandes entreprises, à déconstruire la manière dont le Parti démocrate avait imaginé la lutte contre les discriminations et pour le droit à l’avortement, à empêcher les USA d’adhérer à quantité de traités internationaux et, enfin, à transformer l’équilibre des pouvoirs US de sorte que le président puisse mener les guerres qu’il souhaite et pratiquer la torture.4

L’originalité de la méthode de la Federalist Society a été de réinterpréter les principes du droit anglo-saxon. S’appuyant sur les écrits du philosophe Leo Strauss, elle a substitué le « droit naturel » au « droit positif ». Par exemple, durant les années 80, le président Ronald Reagan souhaitait déréguler l’économie, mais il était contraint par le Droit et ne le pouvait pas. Un théoricien de la Federalist Society, le professeur Richard Epstein, a alors posé que la propriété ne relevait pas du droit positif, c’est-à-dire des conventions élaborées par les législateurs, mais du droit naturel, c’est-à-dire qu’elle était instituée par Dieu. Or, toute régulation d’une activité économique consiste à limiter la manière dont se comportent certains propriétaires. Donc toute régulation est une expropriation qui nécessite une indemnité.

Ainsi, si une loi, dans l’intérêt de la collectivité, impose aux industriels de ne fabriquer que des produits d’une certaine qualité, elle limite leur droit de propriété, ils doivent donc être indemnisés. Cette interprétation du droit a permis au président Ronald Reagan de déconstruire toutes les régulations économiques préexistantes.

La plupart des adhérents de la Federalist Society sont juste des juristes conservateurs ou libertariens. Ils ne se préoccupaient que du droit de la famille et de celui de l’économie. Cependant, au sein de cette association, un petit groupe s’est mêlé de politique internationale. C’est ce groupe qui influence aujourd’hui Israël. Aux États-Unis, il est d’abord parvenu à faire triompher l’« exceptionnalisme américain ».5

Cette école de pensée refuse d’appliquer les traités internationaux en droit interne ; juge les comportements d’autrui avec sévérité, mais absout par principe les États-Uniens qui agissent de même ; et refuse que toute juridiction internationale s’intéresse à ses affaires intérieures. En un mot, elle estime que, pour des motifs religieux, les États-Unis ne sont pas comparables aux autres États et ne doivent se soumettre à aucune loi internationale. Cette idéologie US est parfaitement compatible avec l’interprétation politique de la théorie théologique du « peuple élu ». Si, d’un point de vue religieux, il s’agit d’affirmer que les hommes qui se tournent vers Dieu ont été choisis par lui, compris littéralement, cela signifie que les hommes sont inégaux, les juifs étant au-dessus des gentils (en hébreu, des « goyim »).

Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité nationale, a relancé les provocations d’Ariel Sharon. Il s’est rendu sur la partie jordanienne du Mont du Temple et l’a revendiquée.

L’autre grand combat de ce groupe de la Federalist Society a été de renverser la « doctrine de la non -délégation ». Les juristes états-uniens considéraient que la séparation des pouvoirs constitutionnels ne permettait pas à l’Exécutif d’empiéter sur les privilèges du Législatif et de définir lui-même les critères d’application d’une loi. Désormais, c’est l’inverse : la séparation des pouvoirs interdit au Législatif de se mêler des activités de l’Exécutif. Le Congrès perd donc son pouvoir de contrôle de la Maison-Blanche. C’est sur la base de ce tour de passe-passe que le président George W. Bush a pu lancer une série de guerres et généraliser la torture.

Les liens entre ce groupe de la Federalist Society et le Likud israélien ne sont pas nouveaux. En 2003, Elliott Abrams avait organisé le Sommet de Jérusalem avec la participation de presque tous les groupes politiques israéliens. Il y avait affirmé qu’il n’y aurait pas de paix dans le monde tant qu’Israël n’aurait pas écrasé les revendications des Palestiniens.6

Dans cette logique, une fois le gouvernement Netanyahu formé, le général Avi Bluth, commandant des forces israéliennes en Cisjordanie occupée, a distribué un ouvrage à ses officiers : Ours in Tabu: The Secrets of Land Redeemers From Our Father Abraham to the Young Settlements. Il présente comme une volonté divine l’occupation par les juifs de la Palestine, que ce soit par l’achat de terres ou par la violence, depuis Abraham jusqu’aux colonies illégales.

La première conséquence visible de ce virage et de cette propagande est survenue en Cisjordanie quand 400 colons de Har Bracha ont attaqué la ville de Huwara. Ils entendaient se venger de l’assassinat de deux d’entre eux, supposément par des Palestiniens de cette localité. Durant cinq heures, ils ont caillassé les habitants, brûlé plusieurs centaines de voitures et 36 maisons. Sous les yeux de l’armée israélienne qui bouclait le village pour empêcher ses habitants de fuir, ils se sont acharnés contre eux, faisant plus de 400 blessés et un mort. Loin de condamner ces violences, le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, a regretté que des particuliers aient fait ce qui, selon lui, relève de la responsabilité de l’État : à savoir, « anéantir » cette localité.

Dans les déclarations de ses leaders, la coalition au pouvoir, déjà complice de ces exactions, annonce qu’elle va utiliser les moyens de l’État pour les étendre à toute la population arabe, non seulement palestinienne, mais aussi aux Arabes israéliens.

Le ministre des Finances, Bezalel Smotrich. Dans une séquence audio, récemment diffusée, il se félicite d’être homophobe et assure que ses donateurs s’en moquent.

Les manifestations de masse se succèdent en Israël, tandis que les hommes politiques étrangers favorables à Israël multiplient les mises en garde. Rien n’y fait. Le processus est en marche. Bezalel Smotrich considère les Arabes comme des bêtes sauvages qu’il faut dompter par la force. Mais le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, aborde la question d’un autre point de vue. Pour lui, Dieu a donné la terre aux juifs qui doivent en expulser les squatters arabes. Peu importent les points de vue, tous les membres de la coalition se retrouvent sur un point : le gouvernement est souverain et ne doit pas être limité dans son action par des lois. Cela convient parfaitement au Premier ministre, Benjamin Netanyahu, sous le coup de plusieurs enquêtes judiciaires.

Ce qui se joue en Israël ne concerne pas seulement les Israéliens et les Palestiniens. Elliott Abrams est un straussien historique, plus encore que ne le sont le secrétaire d’État US, Antony Blinken, et son adjointe, Victoria Nuland. Il est donc prévisible que si la « réforme » de la Justice israélienne se poursuit, le nouveau régime s’alignera totalement sur les positions des straussiens. Pour le moment, Israël refuse d’envoyer des armes en Ukraine selon le principe du général Benny Gantz : « Aucune arme israélienne ne doit parvenir aux massacreurs de juifs ». Le risque d’alliance entre les « nationalistes intégraux » ukrainiens, les « straussiens » états-uniens et les « sionistes révisionnistes » israéliens n’a jamais été aussi grand7. Certes, les États-Unis viennent d’interdire au ministre des Finances, Bezalel Smotrich, de venir sur leur territoire. Ils sanctionnent encore ses propos racistes, mais pour combien de temps ?





Pierre Chaillot : « Pas la première fois que l’OMS est responsable d’une panique mondiale ayant permis un enrichissement démesuré de ses financeurs »

[Source : breizh-info.com]

Alors que le Royaume-Uni découvre via le journal The Telegraph, que sa population a été manipulée à des fins politiques durant la période du Covid-1, en France, la presse mainstream fait toujours semblant, visiblement, d’ignorer certains faits gênants pour le pouvoir en place.

Il y a quelques mois, Pierre Chaillot, statisticien depuis 15 ans et créateur de la chaîne YouTube « Décoder l’éco » en 2015, a publié un remarquable ouvrage intitulé Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels.

Depuis le début de la crise du Covid, il a collecté scrupuleusement toutes les semaines l’intégralité des données officielles disponibles sur les sites d’EUROSTAT, de l’INSEE, de la DREES et des différents ministères. Mortalité, occupation des lits, positivité des tests, âges, etc… Deux ans d’un travail méticuleux, désormais rendu public. Qu’a-t-il constaté ? De gigantesques anomalies.

En France comme dans tous les autres pays européens, la mortalité de l’année 2020 standardisée (c’est-à-dire étudiée par tranches d’âges et non pas en données brutes) est au niveau de celle de l’année 2015 soit la septième année la moins mortelle de toute l’histoire de France.

Quant à la mortalité de l’année 2021, elle au niveau de celle de 2018, la troisième la moins mortelle de toute l’histoire de France.

Les chiffres présentés par les médias et les organes publics sont partiels et tronqués, aussi bien en ce qui concerne la mortalité que l’activité hospitalière ou l’efficacité vaccinale.

Il expose dans ce livre la totalité de ses recherches pour qu’enfin un débat scientifique serein puisse avoir lieu sur cette crise dont les conséquences sont loin d’être derrière nous.

Ce livre dérange tellement qu’il a été attaqué par « Conspiracy Watch » non sans entrainé une réponse en coupe réglée.

Nous avons interrogé Pierre Chaillot pour en savoir plus.

Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ainsi que la chaine décoder l’éco ?

Pierre Chaillot : Je m’appelle Pierre CHAILLOT, j’ai 37 ans, marié, 3 enfants, je suis statisticien depuis 15 ans et créateur de la chaîne YouTube « Décoder l’éco » en 2015. Depuis cette date, j’écris des articles et réalise des petites vidéos explicatives sur les différents concepts économiques (PIB, dette, chômage, pauvreté etc.). L’objectif est d’expliquer aux gens les concepts de façon qu’ils cessent de se faire berner par la propagande politique relayée par des médias qui ne comprennent rien aux chiffres. Une fois que l’on a compris le sens d’une statistique, et notamment ses limites, on cesse de prendre pour argent comptant les discours alarmistes qui l’utilisent.

Breizh-info.com : Quel a été le point de départ qui vous a mené à vous lancer dans cette épaisse enquête statistique sur le Covid ? Quelles ont été vos conclusions principales ?

Pierre Chaillot : A partir de janvier 2020, les médias ont inondé les Français de statistiques sur le « nouveau coronavirus chinois tueur ». Les journalistes poussaient des cris d’orfraie devant les « 2500 morts » en un mois. J’ai commencé par faire une vidéo pour rappeler qu’il y a 20 fois plus d’habitants en chine qu’en France, mais qu’il décède en France 2500 personnes tous les jours l’hiver sans que cela n’émeuve personne. Il était donc parfaitement ridicule de s’alarmer pour 2500 morts en 1 mois là-bas. Je me suis alors retrouvé, bien malgré moi, comme belligérant au sein d’un guerre (pour reprendre les mots de notre Président), mais médiatique. J’ai poursuivi mes investigations de façon à comprendre ce qui se passait, et y ai consacré une grande partie de mes nuits à partir du moment où la folie des adultes a commencé à nuire aux enfants.

Mes principales conclusions couvrent plusieurs niveaux. Il faut commencer par comprendre qu’il n’y a nulle part l’hécatombe promise. Il n’y a même pas eu la saturation hospitalière annoncée dans les médias. L’étude des données de mortalité et des rapports officiels de Santé Publique France et de l’ATIH sont formels à ce sujet. Aucune mesure coercitive n’est justifiée. D’ailleurs les pays qui en ont le moins pris sont ceux qui n’ont aucune hausse de mortalité. C’est l’abandon qui a tué, et uniquement des personnes âgées, dans un nombre inférieur à ce qui se passe lors des hivers un peu rudes. Une fois cela compris, on peut s’attaquer au fond du problème : les statistiques Covid-19 ne sont rien d’autre qu’une arme de propagande.

Breizh-info.com : Vous avez déclaré que la totalité des statistiques qui ont été publiées sur le Covid ne valaient rien. Pour quelles raisons ? Pourquoi en avoir fait un ouvrage dans ce cas ?

Pierre Chaillot : J’affirme et j’explique dans le livre pourquoi les statistiques Covid-19 ne valent rien. Prenez les décès par exemple. On distingue 3 endroits où un médecin peut enregistrer le décès d’une personne en France : son domicile, l’hôpital, un Ehpad. Quand un médecin est appelé pour constater le décès d’une personne chez elle, comment voulez-vous qu’elle connaisse la cause de décès sans autopsie ? Les mentions « Covid-19 » dans ce genre de cas ne révèlent que les certitudes du médecin. S’il pense qu’un virus tueur est en train de provoquer une hécatombe, il a de fortes chances d’écrire « Covid-19 » sur le certificat de décès. A l’hôpital c’est pire. Depuis janvier 2020, l’OMS a instauré un « nouveau code d’urgence Covid-19 » demandant aux hôpitaux de codifier les « infections respiratoires » soupçonnées d’être « liées au nouveau virus » dans cette case.

En France il y a 3,6 millions de malades respiratoires chroniques. Soit un énorme réservoir de patients possibles pour cette case à la moindre maladie. L’étude des statistiques hospitalières montre depuis la mise en place de ce nouveau code un effondrement des bronchites, pneumonies, bronchopneumopathies, bronchiolites, tuberculoses et autres grippes. Les statistiques « Covid-19 » à l’hôpital, des malades comme des décès, ne révèlent pas les dégâts d’un nouveau virus, mais un transfert de codage. Enfin, pour les Ehpad, c’est la décision de privilégier l’usage des soins palliatifs à la place de tout autre traitement qui est à l’origine des statistiques de décès estampillés « Covid-19 ». Le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020, surnommé « décret Rivotril » autorise l’utilisation de ce médicament pour du soins palliatifs dans le cas d’une « suspicion Covid-19 ». Le contexte est celui d’un gouvernement en panique qui fait passer le message qu’il n’y a pas de traitement, ni de place à l’hôpital pour les plus âgés. Le seul recours est alors le palliatif. Or, pour pouvoir utiliser le Rivotril, il faut déclarer la personne âgée comme « malade du Covid ». Les statistiques Covid-19 en Ehpad et la mortalité suivent exactement les dates du décret. Quel virus a une courbe de mortalité qui suit gentiment les dates des décrets ? Ce n’est pas le « virus du Covid-19 » qui a déclenché l’utilisation du palliatif, mais l’utilisation du palliatif qui a forcé l’étiquetage en « Covid-19 » et créé les statistiques.

Mon livre ne tire donc aucune conclusion à partir de ces statistiques qui ne sont que le résultat de la bureaucratie sanitaire. Il les démonte, et utilise à la place de vraies statistiques, sans biais, exploitables : les décès toutes causes confondues.

Breizh-info.com : Ce qui ressort de votre ouvrage, c’est que la population a été prise à la fois pour un cobaye géant, mais aussi que les individus ont été pris pour des imbéciles durant plusieurs années. Mais visiblement, ça a fonctionné et ça fonctionne encore non ? La propagande est-elle plus forte que la réalité des chiffres ?

Pierre Chaillot : Pour être exact, les statistiques, les chiffres, les modèles, les mathématiques, ne sont pas « la réalité », mais découlent de l’interprétation que nous en avons. Il est toujours possible de construire des statistiques afin de coller à une théorie, un « narratif », une propagande. Les chiffres de « cas Covid-19 » ne sont pas « faux ». On peut même les considérer exact. C’est juste la définition de « cas Covid-19 » qui est une supercherie. Il ne s’agit pas de malades. Je montre d’ailleurs que les résultats de tests n’ont aucun rapport avec aucune maladie identifiable. On devrait les remplacer par un jet de dés. Ce serait moins désagréable et coûterait moins cher à la sécu.

La propagande utilisée est basée sur la peur. C’est une vieille recette utilisée à outrance grâce à la puissance des médias : « vous allez mourir d’attaques terroristes si vous n’acceptez pas plus de surveillance », « le réchauffement climatique va rendre la planète invivable si vous n’acceptez pas la taxe carbone », « nous n’aurons plus de gaz cet hiver si vous ne baissez pas le chauffage », « vous n’aurez plus de retraite si on ne remonte pas l’âge légal de départ » … La peur est la pire des conseillères et les dirigeants le savent très bien. Les « crises » sont leur manière de se rendre indispensable. Concernant cette « crise Covid-19 », ils ont pu voir à quel point l’utilisation de la peur de la maladie était puissante. Nous avons vécu un niveau de totalitarisme (et d’absurdité, rappelons-nous des auto-attestations ou de l’interdiction de s’asseoir sur la plage) qui n’a pas été atteint depuis le deuxième guerre mondiale. Je pense que les gens ont fini par en avoir marre. Sans forcément se l’avouer, ils se sont rendu compte que le danger était inexistant. La peur retombant, il fut de plus en plus difficile d’imposer des contraintes. La nocivité des vaccins anti-Covid a aussi fortement joué. Les effets indésirables, notamment les graves, ont lourdement fait diminuer le nombre de candidats et de supporters de cette piqûre. Ce que nous devons combattre aujourd’hui c’est l’égo des personnalités, politiques et médias qui se sont complètement plantés dans toute cette histoire et ont montré un suivisme effarant. Certains soutiendront leur fable jusqu’au bout. Comme a dit Mark Twain : Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés.

Breizh-info.com : N’allez vous pas un peu loin lorsque vous dites qu’on est incapables de juger de ce qui est une avancée scientifique ou juste un encart publicitaire payé par les labos. Il y a tout de même des scientifiques dans ce pays, dans le monde entier…tout n’est pas que corruption et publicité si ?

Pierre Chaillot : John Ioannidis dit depuis vingt ans que la plupart des études sont fausses, mêmes relues par les pairs. J’ai été très surpris de constater la médiocrité des méthodologies utilisées pour défendre un point de vue à tout prix. Le mathématicien Vincent Pavan a déposé plainte contre un article de Simon Cauchemez publié dans Science qui contient des formules mathématiques fausses ! Certaines erreurs sont visibles pour un élève à Bac+1. Ce papier contient également des courbes maquillées. Vincent Pavan l’a découvert en faisant tourner les programmes informatiques mis en ligne par les auteurs. Cela signifie que les pairs sensés vérifier le travail avant publication n’ont absolument pas fait leur travail. D’ailleurs c’était impossible à faire dans des délais aussi courts. Cet article est toujours en ligne, alors que d’autres articles ont été refusés ou mêmes acceptés puis rétractés sans motif scientifique, mais uniquement parce que les conclusions déplaisent. Nous avons de sérieux problèmes avec la presse scientifique qui dépend du bon vouloir de ses financeurs : le monde de la finance et les laboratoires pharmaceutiques. Ce n’est un secret pour personne. Enfin, tout n’est pas que corruption dans le monde de la science puisque de nombreux scientifiques se sont levés et ont dénoncé cette immense escroquerie depuis 3 ans. Ils ont juste été invisibilisés et ont vu leur carrière détruite. Facile de faire croire à un consensus avec de telles méthodes.

Breizh-info.com : L’OMS représente-t-elle une menace pour la liberté scientifique et médicale et donc, à terme, pour les citoyens ?

Pierre Chaillot : Ce n’est pas la première fois que l’OMS est responsable d’une panique mondiale ayant permis un enrichissement démesuré de ses financeurs. Mon livre traite de l’escroquerie H1N1 bien expliquée dans le rapport du Sénat traitant de sa « gestion » par les autorités. Au menu : modèles mathématiques extravagants, panique entretenue par les médias, faux consensus scientifique créé par la stigmatisation de tous les opposants, achat massif de masques et de vaccins qui se sont révélés parfaitement inutiles. L’OMS est sévèrement pointée du doigt pour son rôle là-dedans et ses nombreux conflits d’intérêts. La situation n’a fait qu’empirer depuis. Pour écrire le nouveau rapport du Sénat, il suffirait de changer le titre. Aucune sanction n’a été prise à l’époque malgré l’ampleur du gâchis. L’information supplémentaire que nous avons aujourd’hui, c’est que si nous ne tirons pas de conclusions fortes, le compte à rebours est lancé pour la prochaine folie pandémique.

Breizh-info.com : Quel est  le message final que vous voulez faire passer à travers votre ouvrage ?

Pierre Chaillot : Il faut cesser de vénérer les statistiques et de croire qu’elles ont le moindre pouvoir signifiant. Ce que nous avons vécu c’est un recueil de données organisé par de la bureaucratie, le mot d’ordre a été : « comptez du Covid ! ». L’erreur scientifique majeure a été de vouloir se servir de ces statistiques pour « prouver » l’existence de la pandémie Covid. C’est un raisonnement circulaire, une tautologie. C’est pourtant une limite bien connue des statisticiens, qu’on a bien trop vue se prendre les pieds dans le tapis, en toute bonne foi : c’est la peur qui a motivé les décisions et biaisé toutes les analyses. La peur c’est l’ennemi de la raison. Il est impossible de faire de la science, d’avoir un quelconque raisonnement logique sous l’emprise de la peur.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Un journaliste britannique montre comment la CIA a joué un rôle « direct » dans la création de Google

[Source : strategika.fr]

Par Emily Mangiaracina

Source : lifesitenews.com – 27 février 2023
https://www.lifesitenews.com/news/british-journalist-shows-how-the-cia-played-a-direct-role-in-the-creation-of-google/
Traduction : Strategika

Google « a fondamentalement commencé comme un projet de la CIA », selon le journaliste et auteur de Propaganda in the Information Age, Alan MacLeod, qui a averti que les liens des géants de la technologie avec les agences de renseignement posent de gros problèmes pour la liberté d’information ainsi que pour la liberté d’expression.

MacLeod, qui a mené des recherches approfondies sur les liens entre l’organisation de sécurité nationale et les grandes entreprises technologiques, a expliqué à la journaliste Whitney Webb, sur le podcast Unlimited Hangout, comment une enquête menée par le Dr Nafeez Ahmed a révélé que la CIA et l’Agence de sécurité nationale (NSA) « finançaient » les recherches de Sergey Brin à l’université de Stanford, qui ont « produit Google ».

« Non seulement cela … mais le superviseur de Brin était une personne de la CIA. L’a CIA’agence a donc directement contribué à la création de Google. Jusqu’en 2005, la CIA détenait des actions de Google, qu’elle a finalement vendues », a déclaré MacLeod à Webb.

Écoutez le podcast complet et étonnant ici : podcast here

M. Ahmed a expliqué que M. Brin et son cofondateur, Larry Page, ont mis au point « l’élément central de ce qui est finalement devenu le service de recherche de Google », »grâce au financement de l’initiative de bibliothèque numérique (DLI) », un programme de la National Science Foundation (NSF), de la NASA et de la DARPA.

En outre, l’initiative MDDS (Massive Digital Data Systems) de la communauté du renseignement, un projet parrainé par la NSA, la CIA et le directeur du renseignement central, « a fourni à Brin un financement de départ, qui a été complété par de nombreuses autres sources. »

Brin et Page rendaient « régulièrement » compte au Dr Bhavani Thuraisingham et au Dr Rick Steinheiser, qui étaient « des représentants d’un programme de recherches sensibles de la communauté du renseignement américain sur la sécurité de l’information et l’exploration des données ».

Ahmed a affirmé que l’implication des agences de renseignement dans la naissance de Google est profondément intentionnelle : elles ont « nourri les plateformes web que nous connaissons aujourd’hui dans le but précis d’utiliser la technologie … pour mener [une] « guerre de l’information » mondiale – une guerre visant à légitimer le pouvoir de quelques-uns sur le reste d’entre nous ».

Dans ses propres recherches, MacLeod a constaté que les liens de la CIA avec Google se poursuivent aujourd’hui, car « il y a des dizaines et des dizaines d’exemples » d’anciens agents de la CIA qui travaillent aujourd’hui chez Google, « qui sont parachutés à des postes d’extrême importance. »

Les anciens employés de la CIA se retrouvent souvent dans des rôles de « confiance et de sécurité », qui ont une énorme influence sur la gestion de la soi-disant « désinformation » et des « discours de haine. » On peut citer, entre-autres, Jacqueline Lopour, Ryan Fugit et Nick Rossman.




La vérité sort de la bouche des enfants

[Source : medias-presse.info]

Cette insupportable et inadmissible propagande transgenre auprès des enfants se heurte heureusement à un certain bon sens de ces derniers.




Il y a plus de 40 ans, les propos prophétiques de Mgr Lefebvre sur la disparition de nos libertés

[Sources : medias-presse.info et dominicainsavrille.fr]

On va actuellement, vers une socialisation qui apparemment pour nous, ne paraît pas aussi dure que celle du communisme, mais qui, en définitive, va être tout simplement une image du communisme, mais réalisée par des moyens scientifiques au lieu d’être réalisée par la force

Le 22 août 1979, Mgr Marcel Lefebvre fit une conférence à Shawinigan au Québec.
Nous en avons extrait ce passage qui semble presque être une prophétie, tant elle annonce, plus de quarante ans en avance, la situation que nous connaissons.
Rappelons qu’en 1979 les ordinateurs en étaient à leur début, on en était aux tout premiers ordinateurs de bureau.
L’internet n’existait pas, ni bien sûr la 5G.
On était encore en pleine guerre froide, le communisme était à l’Est.

On peut penser qu’en ce 22 août, fête du Cœur Immaculé de Marie, la Sainte Vierge a donné à Mgr Lefebvre l’intuition de ce qui arriverait si les papes s’obstinaient à ne pas accomplir ses demandes de Fatima, notamment la dévotion aux cinq premiers samedis du mois et la consécration de la Russie à son Cœur Immaculé.
Et les papes se sont obstinés… 
Alors :

« Bientôt nous serons fichés avec des ordinateurs, nous aurons tous notre numéro et nous ne pourrons plus rien faire sans que tout soit indiqué sur la fiche que nous aurons, et tout ça par ordinateur. Nous serons dans une situation pire que dans un pays soviétique. »

Paroles de Mgr Lefebvre : 

Mais ce qui légitime aussi notre frayeur, c’est de penser que par cette dégradation de l’Église, cette dégradation des idées même dans l’Église, des idées, parce que ce sont les idées libérales qui pénètrent à l’intérieur de l’Église, les idées en définitive, maçonniques qui pénètrent à l’intérieur de l’Église, qui était encore le bastion qui résistait. Maintenant que l’ennemi a pénétré jusque dans les plus hauts sommets de l’Église, comme le disait Notre-Dame de Fatima, comme le prédisaient Notre-Dame de Fatima et Notre-Dame de la Salette, c’est en même temps tout l’édifice social qui est en train de s’en aller, parce que l’Église, par ses principes, soutenait encore, je dirais, la vraie liberté, la vraie liberté. La liberté d’accomplir notre devoir. C’est ça. Pourquoi avons-nous la liberté ? Pour accomplir notre devoir. Parce que nous avons le devoir d’aimer Dieu et d’aimer notre prochain et d’accomplir par conséquent notre devoir, notre devoir vis-à-vis de Dieu dans la religion et notre devoir vis-à-vis de notre prochain par les fonctions que nous avons ; fonctions sociales quelles qu’elles soient. Nous avons à accomplir notre devoir d’état.

Or, de moins en moins nous sommes capables d’accomplir notre devoir d’état, aussi bien religieux que social, parce que tout devient dirigé et orienté par un État socialiste. Le socialisme fait des progrès considérables ; mais cela avec toute la puissance de la maçonnerie actuelle qui est partout, partout, partout ; qui est à Rome, qui est partout. La maçonnerie est partout et dirige tout. Bientôt nous serons fichés avec des ordinateurs, nous aurons tous notre numéro et nous ne pourrons plus rien faire sans que tout soit indiqué sur la fiche que nous aurons, et tout ça par ordinateur. Nous serons dans une situation pire que dans un pays soviétique. On dira que ce sont des pays libres, mais ce ne sont pas des pays libres : on ne sera plus libre de faire quoi que ce soit. On imagine, c’est absolument inouï.

La constitution aussi du gouvernement européen est très grave et très dangereuse, parce que c’est un gouvernement qui est rempli de maçons et par conséquent, ils vont appliquer maintenant à l’Europe, d’une façon globale, tous les principes maçonniques. On allait jusqu’à dire ceci, pour le gouvernement européen, que, évidemment, on proclame les droits de l’homme, on proclame les droits de la femme. Si la femme a les droits égaux à ceux de l’homme, eh bien, on n’a pas le droit de ne pas donner à la femme l’autorisation d’être prêtre. Alors, on va poursuivre les évêques qui ne veulent pas ordonner des femmes, parce que les femmes ont les mêmes droits que les hommes. C’est possible, ça été mis dans les journaux, ça été mis dans les journaux ; qu’on allait arriver à des choses comme celles-là, sous prétexte de droits, d’égalité des droits.

C’est épouvantable, on ne s’imagine pas vers quoi on va actuellement, vers une socialisation qui apparemment pour nous, ne paraît pas aussi dure que celle du communisme, mais qui, en définitive, va être tout simplement une image du communisme, mais réalisée par des moyens scientifiques au lieu d’être réalisée par la force, comme l’ont fait les communistes, ce sera la même chose.

Alors on éliminera de la société tous ceux qui ne veulent pas se soumettre à cet ordre. À cet ordre socialiste. On les éliminera. Il y aura toujours moyen de les éliminer. Maintenant on élimine les enfants qui gênent, on éliminera bientôt les vieillards. Bientôt les vieillards vont y passer aussi ; et après, ce n’est pas difficile de faire une piqûre ou de faire quelque chose à quelqu’un qui est malade, qui est gênant ; on le fait disparaître. On le fera disparaître de la société sous prétexte que ces gens-là sont gênants. Ils n’arrivent pas à se faire encadrer dans les normes qui sont prévues. Nous allons vraiment vers une société affreuse, qui se dit libre et qui n’aura plus aucune liberté, mais aucune liberté.

Transmettre la Tradition

[Note de Joseph : Pour ce qui est de forcer les prêtres au célibat, il faut recourir à un certain tour de force pour le voir justifié par l’enseignement même du Christ. Quand a-t-il réclamé l’existence de prêtres et quand a-t-il voulu leur célibat ? On voit le résultat d’un tel célibat : pédophilie massive.]




Les vérités bien cachées sur la guerre d’Ukraine orchestrée par les Khazars

[Source : numidia-liberum via profession-gendarme.com]

Par Biblicism Institute

La vérité sur le conflit avec la Russie. Et la mort imminente du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale

 « En temps de guerre, la vérité est si précieuse, qu’elle doit toujours être protégée par un rempart de mensonges. »

Winston Churchill

Le conflit actuel entre les États-Unis et la Russie est dû à une raison simple : les Ashkénazes, également connus sous le nom de Juifs ashkénazes. Ils ont de nombreux comptes à régler avec la Russie.

[Note de Joseph : Tant que l’Humanité se polarisera sur le corps, sur la personnalité et/ou sur la prétendue « race » au détriment de l’esprit ou de l’âme, les conflits existeront.
D’un point de vue eschatologique, la destinée de l’Humanité est de sortir du matérialisme qui d’après plusieurs traditions découle d’une influence non humaine, celle des dieux serpents, des démons, des dragons ou encore des anges déchus. En termes plus modernes ou ufologiques, on parle plutôt d’entités intraterrestres ou extraterrestres, comme des Reptiliens ou des Dracos. Le chef de tels êtres a été désigné comme étant le roi ou le prince de ce monde, et dénommé Satan, Lucifer ou le Diable par les chrétiens. Et bien entendu, s’il est réel, l’Humanité abandonnée à elle-même n’aura quasiment aucune chance de se libérer tant et aussi longtemps qu’une masse critique d’êtres humains ne transcendera pas sa nature animale pour atteindre sa dimension divine ou bien sans le concours d’êtres hors du commun tels que le Christ si jamais il revient. Car notamment ce Satan joue sur l’orgueil, la peur de la mort, les désirs sexuels, le besoin de sécurité… des individus pour les éloigner de leur âme et en faire des psychopathes narcissiques, les meilleurs serviteurs humains qu’il puisse trouver. Et ces derniers ne se trouvent certes pas seulement parmi les élites ashkénazes ou khazares, même s’ils peuvent s’y trouver de manière plus concentrée qu’ailleurs parce que le prince de ce monde aurait jeté son dévolu sur cette branche humaine particulière. Aucune ethnie, aucune idéologie, aucune religion, aucun mouvement humain n’est à l’abri. Et des victimes des actes de tels individus alors coupés de leur dimension divine se trouvent partout.]

Vengeance 1

Permettez-moi de transmettre un peu de tableaux chronologiques alors que nous nous plongeons dans le fond du conflit.

Les Ashkénazes sont les descendants des Gentils (Goy) Ashkénazes, les Japhetites :

« Les fils de Japhet étaient Gomer, Javan… Les fils de Gomer : Ashkenaz, Riphath et Togarmah. » Genèse 10:2,3

« Par ceux-ci étaient les îles des Gentils divisées dans leurs terres ; chacun selon sa langue, selon sa famille, selon sa nation. » Genèse 10:5

C’est un peuple turc résilient et itinérant. Les Ashkénazes ont le don de se réinventer. Ils sont d’abord apparus dans les annales mondiales en tant que Scythes ou Sakadéens, selon la phonétique régionale, et ils étaient réputés notoirement barbares,

« En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous.. » Colossiens 3 : 11

Le mot Scythe ou Sakadéen vient du mot Saka — avec sa racine verbale iranienne Sak, signifiant errer. L’Empire iranien, alors nommé Parthie et attenant à la Scythie, a influencé ce mot.

Les Scythes ont colonisé l’Eurasie centrale qu’ils ont conquise avec leur frère Gentil Togarmath et divers autres cousins, s’étendant sur une vaste étendue de terre qui englobait, mais sans s’y limiter, des parties de la Turquie et de l’Iran actuels. Leur frère Gentil, Riphath, ainsi que les descendants de leur oncle Javan se sont installés en Grèce.

Plus tard, ils se sont réinventés et se sont installés sur une terre qu’ils appelaient Khazaria — du mot Qasar, avec sa racine turque Qaz, signifiant errer — suite à l’éclatement de l’empire des steppes de la Turquie occidentale. Ensuite, le pays s’est converti en masse au judaïsme/pharisaïsme, entre 740 et 920 apr. J.-C., juste pour rester indépendant des deux empires concurrents de l’époque, le christianisme et l’islam.

« Le judaïsme était la religion qui faisait le plus de prosélytisme », a expliqué l’historien juif Shlomo Sand. « La conversion de masse la plus importante s’est produite au 8e siècle, dans l’immense royaume Khazar entre les mers Noire et Caspienne. »

(([1] Comment fut inventé le peuple juif
Antisionisme/antisémitisme : Shlomo Sand adresse une lettre ouverte à Macron, « inculte politique> »
L’Ancien Testament et le génocide))

Puis, Sviatoslav Ier de Kiev détruisit la Khazarie vers 1048 et l’absorba dans la Russie de Kiev, un territoire qui deviendra plus tard une partie de l’Empire russe.
Dans la Russie impériale, les Ashkénazes étaient étroitement contrôlés et enfermés dans la zone de résidence, qui, selon Wikipédia, « était une région occidentale de l’Empire russe avec des frontières variables qui existaient de 1791 à 1917 où la résidence permanente des Juifs était autorisée, et au-delà de laquelle la résidence juive, permanente ou temporaire, était pour la plupart interdite. »

Un traitement pour lequel les Ashkénazes — alias le peuple « Jamais oublier, jamais pardonner », sauf lorsqu’ils commettent eux-mêmes des crimes contre l’humanité — n’ont jamais disculpé la Russie.

Juifs ashkénazes khazars 1878

Attendant leur heure, ils ont nourri leur haine et comploté leur vengeance avec une nouvelle réinvention. Ils sont devenus le pouvoir derrière les odieux bolcheviks qui ont pris le contrôle du gouvernement russe dans les années 1910, tué 66 millions de chrétiens, dont 200 000 membres du clergé chrétien, et détruit 40 000 églises.(([2] Document le plus controversé de l’histoire d’Internet : L’histoire cachée de la mafia khazare incroyablement perverse
– « L’antisémitisme » en Union soviétique
Comment les juifs de Harvard pillent la Russie
En 1994, les juifs Chabad ont comploté pour exterminer les Slaves (partie 2)
Journaliste israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
La Clé du Mystère (Partie 4). LE COMMUNISME, MOYEN DE CONQUÊTE JUIVE
– Le rôle juif dans la révolution bolchevique
– LECTURE ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
Les juifs russes considèrent les goyim comme leur propriété
– Poutine et ses juifs (partie 1)
Poutine et ses juifs (partie 2)
Que disent Jésus, Einstein, Voltaire, Soljenitsyne, Goethe, Liszt sur l’antisémitisme ?
Russie. Le « meurtre rituel juif » de la famille impériale russe
– Russie. Les atrocités inimaginables commises par les Juifs bolcheviques contre les Gentils : des preuves irréfutables.
Soljenitsyne condamne l’influence juive sur le peuple russe
Vladimir Poutine : « 80 à 85 % des bolcheviques au pouvoir en URSS étaient juifs. »))

Soljenitsyne avec Poutine

« Vous devez comprendre que les principaux bolcheviks qui ont pris le contrôle de la Russie n’étaient pas des Russes », a révélé le célèbre écrivain chrétien russe Alexandr Soljenitsyne. « Ils détestaient les Russes. Ils détestaient les chrétiens. Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de Russes sans la moindre once de remords humains. Ceci ne doit pas être surestimé. Le bolchevisme a commis le plus grand massacre humain de tous les temps. Le fait que la majeure partie du monde ignore et ne se soucie pas de cet énorme crime est la preuve que les médias mondiaux sont entre les mains des perpétrateurs ».

La grande majorité de ces bolcheviks vicieux étaient des juifs ashkénazes tels que Vladimir Lénine, Léon Trosky, Lev Kamenev, Gregory Zinoviev, Yakov Sverdlov et Grigory Sokolnikov. Ils ont été financés par des banquiers ashkénazes de New York et de Londres(([3] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l’argent sale)), tels que Rothschild Bank et Jacob Schiff of Kuhn and Loeb & Co. qui ont eux-mêmes défendu l’idéologie destructrice de l’ashkénaze Karl Marx, et ont trouvé rentable d’investir dans la conquête désastreuse de la Russie par les communistes, tout en gagnant des dollars dans le processus en pillant le pays via des agents bien placés qui seront plus tard connus sous le nom d’« oligarques ».

L’ensemble de l’empire soviétique russe s’est effondré en 1991. Ainsi, les Ashkénazes ont réussi à mettre la Russie à genoux.

Le Round 1 de la vengeance a ainsi été accompli.

Vengeance 2

La Khazarie chevauchait l’Ukraine et la Crimée

Aujourd’hui, la Russie est sous le feu des critiques pour le conflit en Ukraine. Un conflit déclenché par la néoconservatrice ashkénaze Victoria Nuland au département d’État américain, avec son mari ashkénaze Robert Kagan(([4] – La guerre sans fin : une juteuse affaire de famille (sioniste)
–  Une revenante : Victoria Nuland)) travaillant en arrière-plan via des organisations puissantes telles que Project for a New American Century, la Brookings Institution et le Council on Foreign Relations. L’ashkénaze George Soros a également contribué financièrement à la « révolution » ukrainienne de Maïdan.

« De nombreux participants aux manifestations » EuroMaidan « de Kiev étaient membres d’ONG financées par Soros et / ou ont été formés par les mêmes ONG dans les nombreux ateliers et conférences parrainés par la Fondation internationale de la Renaissance (IRF) de Soros et ses divers instituts d’Open Society. et fondations », a écrit William F. Jasper dans The New American. « L’IRF, fondée et financée par Soros, se vante d’avoir donné » plus que toute autre organisation donatrice « à la » transformation démocratique « de l’Ukraine. »

En d’autres termes, les Ashkénazes — ou les néo-et-vrais-cons [néoconservateurs] américains qui sont majoritairement juifs — aiguillonnent l’ours russe en excitant le chien américain. Le chien ne peut pas vraiment refuser de réagir parce que le groupe de pression juif AIPAC le tient par la laisse, soudoyant à la fois les républicains (Trump inclus) et les démocrates, qui ne sont que des putains politiques prêtes à trahir leur pays et à risquer la paix du monde. Et rappelez-vous, l’AIPAC est contrôlé par de puissants chefs d’entreprise américains ashkénazes. Découvrez comment les Juifs ashkénazes ont conquis l’Occident.

Leur seul but est de détruire à nouveau la Russie en allumant un incendie dans son ventre, l’Ukraine. Un incendie qu’ils prévoient de propager en Russie proprement dite par la guerre économique et militaire — un peu comme ce qu’ils ont fait à l’Allemagne avec le boycott économique de 1933 suivi d’un conflit militaire total. Pourquoi ?

1. Parce que la Russie a eu le culot de se relever de ses cendres encore chaudes induites par les Ashkénazes.

2. Parce que la Russie a eu la témérité d’arrêter leurs agents mafieux bien placés connus sous le nom d’« oligarques », dont beaucoup ont fui le pays vers l’Israël de l’apartheid(([5] Israël est un refuge sûr pour les escrocs juifs
–  Comment les pédophiles juifs se cachent de la justice en Israël
–  La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie
–  Les malfrats israéliens dépouillent des milliers d’Américains et d’Européens, grâce à des gouvernements complices
–  À quel point la guerre contre la Russie est-elle juive ? Soyons honnêtes sur ceux qui en font la promotion)), à partir duquel ils ne peuvent plus violer la Russie et voler ses ressources pour enrichir encore plus l’élite juive.

3. Parce que la Russie a eu l’audace d’entraver la guerre américaine contre la Syrie, qui a été orchestrée par l’AIPAC au profit d’Israël, un ignoble pays d’apartheid qui escroque encore et encore le peuple américain.

4. Parce que, comme l’explique David Sant, « la position de la Russie en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU avec droit de veto est une épine dans la patte de la bête atlantiste depuis la guerre froide. La volonté de la Russie d’utiliser son armée pour défendre ses alliés en Syrie, en Ukraine et en Arménie présente un facteur de risque incontrôlable pour l’hégémonie (sioniste) anglo-américaine. Ils ne peuvent pas le tolérer. La Russie a utilisé son veto au Conseil de sécurité à plusieurs reprises pour bloquer le bellicisme américain. »

5. Parce que la Russie menace la domination juive ashkénaze du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et émise par la Réserve fédérale contrôlée par les juifs : un monopole que la Russie est en train de défaire avec sa réémergence mondiale inattendue, en particulier en Europe, en Asie et au Moyen-Orient où le commerce avec la Russie contourne le dollar américain. Un tel retour de l’ours russe est quelque chose que l’élite juive essaie d’empêcher depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont été implacables dans leurs efforts pour maintenir le pays en érigeant des murs économiques et, plus tard sous Poutine, des sanctions paralysantes pour empêcher un tel scénario. Anuradha Chenoy explique :

« … Le gouvernement des États-Unis, en tant qu’émetteur de la monnaie de réserve mondiale, ne s’intéresse qu’à une chose : la prolifération du dollar américain. Ce seul fait est tout ce qu’il faut saisir pour vraiment comprendre la politique étrangère américaine.

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Cela signifie que le gouvernement américain, en collusion avec la Réserve fédérale, a la capacité d’imprimer le dollar américain à volonté… et peut exporter son inflation vers le reste des nations du monde. Toute nation qui souhaite s’engager dans le commerce international, y compris l’achat de matières premières telles que le gaz naturel ou le pétrole, doit maintenir d’énormes réserves de dollars américains pour ses achats.

Le monde, en effet, agit comme une éponge pour absorber l’inflation américaine, permettant au gouvernement américain d’accumuler des déficits obscènes qui permettent un budget militaire massif et enrichissent une très petite partie de la population américaine au détriment non seulement de la population mondiale, mais aussi de la classe ouvrière américaine.

Quant à toute nation qui veut se libérer du dollar américain, nous ne savons que trop bien ce que les États-Unis lui réservent… C’est là qu’intervient la Fédération de Russie. Si l’on veut vraiment comprendre pourquoi l’establishment américain déteste la Russie sous Vladimir Poutine, il suffit de comprendre le rôle du dollar dans le monde. La Russie est une menace directe pour la prolifération du dollar américain.

Pour sa part, la Fédération de Russie est devenue assez résiliente au cours des 20 dernières années et beaucoup moins sensible à toute pression ou influence extérieure… La Russie est une nation souveraine qui n’est pas intimidée par les États-Unis.

Les États-Unis ne peuvent pas simplement lancer une frappe militaire contre la Fédération de Russie comme ils l’ont fait en Irak et en Libye et dans de nombreux autres pays qui ont rejeté l’hégémonie du dollar. La Russie a désormais le pouvoir d’empêcher la prolifération du dollar américain. Pour revenir à l’analogie de l’éponge : la Russie réduit la taille de l’éponge. Cela laisse le gouvernement américain avec un nombre de plus en plus petit de pays vers lesquels exporter l’inflation en dollars. Plus l’éponge devient petite, plus la politique étrangère américaine devient désespérée, alors que les dirigeants américains essaient par tous les moyens de préserver leur emprise sur la puissance mondiale… »

…. Tout cela au profit d’une petite élite juive et de leur pays d’apartheid qui leur sert de refuge au cas où les choses cesseraient soudainement d’aller dans leur sens. L’apartheid israélien n’existe pas en tant que foyer pour tous les Juifs à cause du soi-disant antisémitisme mondial, comme ils le prétendent, mais c’est :

a) le protecteur de la Réserve fédérale contrôlée par les Juifs — l’agence d’espionnage d’Israël, le Mossad, espionne les politiciens américains et les fait chanter avec leur linge sale, en même temps que l’AIPAC les soudoie sans vergogne, assurant ainsi la domination juive sur le dollar américain, la monnaie de réserve actuelle du monde ;

b) l’exécuteurchargé de détruire tout pays qui refuse d’utiliser le système financier judéo-américain et son dollar fiduciaire comme principal outil de commerce ;

c) le sanctuaire pour les criminels élitistes juifs — en particulier lorsqu’il y aura une véritable révolution américaine, similaire à ce qui s’est passé en Russie sous Poutine, qui cible les oligarques juifs détruisant l’économie américaine pour s’enrichir.

Par conséquent, parce que la Russie est une menace pour l’emprise de l’élite juive américano-ashkénaze sur le pouvoir mondial, elle est ciblée. Et ce qui suit a été lancé :

1) une guerre économique de la terre brûlée contre le pays afin de le détruire intérieurement ;

2) l’OTAN empiétant sur les frontières de la Russie, contrairement aux accords précédents, pour mieux lui faire la guerre dans un futur proche ;

3) les dirigeants juifs ukrainiens et leurs bataillons néonazis commettant des crimes de guerre et le nettoyage ethnique des Russes dans la région ukrainienne du Donbass en quête d’indépendance, qui est habitée principalement par des Russes, afin d’inciter la Russie à une opération militaire pour protéger ses compatriotes russes là-bas, puis les vilipender et imposer des sanctions économiques plus paralysantes.

La vengeance Round 2 est en cours.

Vengeance 3

Après la destruction de la Khazarie, un grand nombre d’Ashkénazes se sont dispersés à l’Est et à l’Ouest à travers l’Europe et se sont réinventés en tant que Juifs errants ou Juifs errants (Khazars/Sakadéens ou Scythes). Cette étiquette n’avait rien à voir avec un désir de Palestine, mais un désir de Khazarie ou peut-être un désir d’une nouvelle terre, n’importe quelle nouvelle terre. Voici un extrait de Wikipédia :

« En 1903, Theodore Herzl a présenté le programme de l’Ouganda britannique [comme foyer juif] au sixième congrès sioniste à Bâle.

À la fin des années 1930, la Ligue sioniste britannique a envisagé un certain nombre d’autres endroits où une patrie juive pourrait être établie. La région de Kimberley en Australie a été envisagée jusqu’à ce que le gouvernement Curtin (en fonction : 1941-1945) rejette la possibilité.

Avec le soutien du Premier ministre de Tasmanie de l’époque, Robert Cosgrove (en poste depuis 1939), Critchley Parker proposa une colonie juive à Port Davey, dans le sud-ouest de la Tasmanie. Parker a arpenté la région, mais sa mort en 1942 a mis fin à l’idée.

L’oblast autonome juif créé dans l’Extrême-Orient russe en 1934 représentait une approche soviétique pour fournir une patrie juive. »

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un grand nombre se sont assimilés à contrecœur dans toutes les Amériques. Cependant, la grande majorité a émigré en Palestine où ils ont créé de nombreux groupes terroristes tels que Irgun, le Stern gang, et Haganah.. Ils ont terrorisé la population palestinienne, tué des milliers de personnes et forcé des centaines de milliers de personnes à quitter leurs maisons et à se réfugier dans les pays arabes voisins. Par conséquent, ils ont volé la Palestine et l’ont rebaptisée Israël afin de se réinventer en tant qu’Hébreux et tromper les chrétiens crédules en Occident.

« Il est certain qu’il n’y a pas de continuum ethnique ou racial entre les israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l’État juif », a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif.

Dans leurs pays d’adoption en dehors d’Israël, y compris les États-Unis et l’Europe, les Ashkénazes sont devenus des puissances financières et influentes, non pas parce qu’ils sont juifs — au fond, la majorité d’entre eux ne sont vraiment pas religieux du tout et s’en fichent — mais parce que ce sont des rapaces avisés. Ils ont beaucoup appris de leur errance à travers l’histoire. Ce sont les ultimes nomades.

Était-ce dans l’esprit de Poutine ?

Se pourrait-il qu’après deux échecs idéologiques successifs sous les formes du communisme et la destruction actuelle au ralenti du sionisme en Israël, quelque part au plus profond de l’esprit des dirigeants ashkénazes purs et durs se trouve un plan pour une nouvelle réinvention ?

Cette réinvention sera-t-elle la reconquête de leur Khaganat Khazar — une terre située au plus profond de la Russie et englobant l’Ukraine et la Crimée ? Est-ce pour cela que Poutine a soudainement rattaché la Crimée à la Russie ?

Se pourrait-il que le plan des Ashkénazes soit de reprendre et de réinstaller leur ancienne Khazarie après la chute probable de l’apartheid Israël ? Est-ce la raison pour laquelle le président dûment élu de l’Ukraine a été destitué de force en 2014 afin d’installer un gouvernement fantoche avec un nouveau Premier ministre nommé Arseni Iatseniouk, qui, selon The Guardian, essayait de cacher ses racines juives ?

Arseni Iatseniouk a ensuite été remplacé par un autre Juif, Volodymyr Groysman, avec un président juif sniffeur de coke [une tantouse idole des télévisions occidentales] Volodymyr Zelensky, un comédien cochon et grossier (voir la vidéo ci-dessous), qui aurait été « élu » (qui a volé 850 millions de dollars au Trésor ukrainien) ; faisant ainsi de l’Ukraine à ce moment-là le seul pays au monde, en dehors d’Israël de l’apartheid, dont le président et le Premier ministre étaient tous deux juifs, indiquant ainsi la direction vers laquelle le pays se dirigeait. D’ailleurs, Zelensky ne s’en cache pas, il a déclaré :

« L’Ukraine deviendra le Grand Israël ».

[Comment Zelensky, à gauche, joue du piano]

Wayne Madsen explique la conspiration derrière ce concept ukrainien du Grand Israël :

« L’histoire explosive du Times of Israël sur les racines khazares des Ashkénazes a également révélé qu’Israël, sachant qu’un État palestinien est inévitable, compte tenu de la pression croissante de l’Europe, se prépare à transférer des colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. Les recherches avancées d’Israël en génétique ont abouti à l’établissement d’une lignée ADN directe entre les Ashkénazes d’Israël et les Khazars qui ont été dispersés à travers l’Europe centrale et orientale après que la Russie a conquis l’empire khazar au 11e siècle…

En Ukraine, le soi-disant “deuxième Israël” (le magnat milliardaire juif ukrainien), Ihor Kolomoisky et Kiev ont enrôlé un certain nombre d’anciens membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, y compris le bataillon (nazi) Azov. L’une des unités israéliennes est connue sous le nom de “Casques bleus de Maïdan” et est commandée par un Israélien utilisant le pseudonyme “Delta”. Si Israël n’avait pas intérêt à étendre son influence en Ukraine, il pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre en Ukraine…

Certains russophones du Donbass se méfient des intentions des pro-israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoisky a recruté un certain nombre de néonazi de l’ouest de l’Ukraine et d’Europe pour combattre dans ses bataillons dont les organisations de droite ont toujours souscrit à l’idée d’une future “bataille royale” entre la Russie et les restes de la Khazarie en Israël, en Ukraine, en Pologne et dans la République de Géorgie pour venger la défaite de la Khazarie au XIe siècle face à l’Empire russe. »

Il est tout à fait possible que les Israéliens ne soient pas seulement intéressés par la vengeance et la réinstallation des voleurs de terres juifs (c’est-à-dire des colons) de la Cisjordanie de Palestine dans une région du Donbass ethniquement nettoyée et exempte d’indigènes russes, en particulier lorsque l’establishment juif d’Israël a juré qu’il n’y aura jamais d’État palestinien, et encore moins d’expulser les voleurs de terres juifs des terres volées en Cisjordanie.

Leur plan ouvertement discuté pour que les voleurs de terres israéliens se « réinstallent » en Ukraine pourrait être une couverture pour le but plus néfaste de reconquérir l’ensemble de leur Khaganat Khazar où une grande partie de la population juive d’Israël de l’apartheid, en particulier ceux qui n’ont pas de double passeport de leurs pays d’origine, migrera une fois que la Grande Guerre éclatera au Moyen-Orient.

« En regardant en arrière dans l’histoire, il faut admettre que ces terres sont les anciennes terres ancestrales de la Khazarie juive, c’est-à-dire Israël, capturées par la Rus’ de Kiev (l’ancien État de Russie avec la capitale à Kiev) au Xe siècle », a pontifié il y a 25 ans le rabbin Menahem Mandel Schneerson, un aspirant Messie trompeur. « Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et sont susceptibles d’être expulsés. Nous reviendrons sur ce territoire et construirons la Grande Khazarie — l’État juif — sur ces terres fertiles de la même manière qu’il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s’installeront partiellement ici et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Il y aura un petit Territoire du Nord, une réserve avec une population compacte — une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique. »

Mais les Juifs ashkénazes seraient-ils d’accord avec juste l’Ukraine — moins la Crimée, le Donbass et le Sud (tous les territoires russes avant 1922, habités par des Russes de souche et récemment annexés à la Russie proprement dite par vote populaire) — comme nouvelle base à partir de laquelle ils projetteraient de détruire leur perpétuel ennemi russe, ainsi que tous les autres ennemis imaginaires, et de préserver leur emprise sur le système financier mondial en utilisant leur émission par la Réserve fédérale de dollars américains fiduciaires comme monnaie de réserve mondiale incontestée ?

Vengeance Round 3 ? Niet.
ET L’ARROGANCE S’ARRÊTE ICI

La cabale juive contrôlant le monde financier occidental pensait que la patience russe face à leur agression incessante en Ukraine pour déstabiliser leur pays était une faiblesse, et donc une erreur de calcul.

« C’est un fait qu’au cours des 30 dernières années, nous avons patiemment essayé de parvenir à un accord avec les principaux pays de l’OTAN concernant les principes d’une sécurité égale et indivisible en Europe », a déclaré Poutine en février 2022. « En réponse à nos propositions, nous avons invariablement été confrontés soit à des tromperies cyniques et à des mensonges, soit à des tentatives de pression et de chantage, tandis que l’alliance nord-atlantique continuait de s’étendre malgré nos protestations et nos inquiétudes. Sa machine militaire est en mouvement et, comme je l’ai dit, s’approche de notre frontière même. »

Maintenant, la Russie a agi, et après une longue hibernation, l’ours s’est réveillé avec fureur. Poutine a ordonné à son armée de libérer la région du Donbass des Ukronazis et de démilitariser et dénazifier entièrement l’Ukraine (c’est-à-dire que la région du Donbass sera coupée de l’Ukraine et deviendra indépendante tandis que l’Ukraine doit être ramenée dans l’orbite de la Russie et loin du contrôle juif).

Le Juif nazi-sioniste immoral :
le président ukrainien Zelensky,
Secteur Droit, au défilé de la « fierté gay »

« L’opération militaire spéciale du président Poutine pour défendre le peuple du Donbass contre une offensive générale imminente du régime néonazi de Kiev est non seulement pleinement justifiée en droit international par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, mais elle est pleinement cohérente avec la praxis militaire et la doctrine de la légitime défense des États face à une menace imminente émanant d’un État voisin ou de forces ennemies », explique Heinz Dieterich, directeur du Centre des sciences de la transition (CTS) de l’Université métropolitaine autonome à Mexico et coordinateur du World Advanced Research Project (WARP).

Et si les conspirateurs sionistes/néocons et leurs politiciens occidentaux achetés et payés n’ont pas clairement compris le message, Poutine a fait cette déclaration sans équivoque :

« Je voudrais maintenant dire quelque chose de très important pour ceux qui pourraient être tentés d’interférer dans ces développements de l’extérieur. Peu importe qui essaie de nous barrer la route ou, a fortiori, de créer des menaces pour notre pays et notre peuple, ils doivent savoir que la Russie réagira immédiatement, et les conséquences seront telles que vous n’en avez jamais vu dans toute votre histoire. Peu importe comment les événements se déroulent, nous sommes prêts. Toutes les décisions nécessaires à cet égard ont été prises. J’espère que mes paroles seront entendues. »

« J’ai vu la prospérité des méchants… Leur force est ferme… L’orgueil leur sert de collier ; La violence les couvre comme un vêtement… C’est ainsi que sont les méchants — toujours sans souci alors qu’ils continuent d’amasser des richesses… Sûrement (Seigneur) Tu les places sur un sol glissant… Comme ils tombent soudainement et sont détruits, complètement emportés par des terreurs ! » Psaume 73:2,4,6,12,18,19

CONCLUSION : LA RUSSIE ET LE $ US

La Russie est dans le collimateur des barons voleurs juifs (alias les « élites » occidentales) depuis plus d’un siècle, et sa survie même dépend de sa capacité à repousser de toutes ses forces.

En fait, en affrontant les supplétifs néonazis ukrainiens formés par Israël de cette cabale juive satanique qui espère soumettre le monde et détruire le fondement chrétien de la civilisation occidentale, la Russie ne se bat pas seulement pour elle-même, mais pour l’Occident et toute l’humanité.

« La dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes », a déclaré Poutine.

« C’est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une “religion à l’envers” — le pur satanisme. Dévoilant de faux messies, Jésus-Christ a dit dans le sermon sur la montagne : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Ces fruits vénéneux sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays, mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes dans le monde. Ouest lui-même. »

Avec une victoire de la Russie commencera la destruction du système financier par lequel cette mafia juive contrôle et influence le monde. Le Russe Andrei Bezrukov, membre du Présidium du Conseil de politique étrangère et de défense, est d’accord :

« Je veux dire que l’Occident a réussi à nous entraîner dans cette guerre. Peu importe comment nous avons essayé de résister, c’est leur victoire tactique. Ils ont réussi à heurter deux nations fraternelles l’une contre l’autre.

De cela, nous pouvons tirer la conclusion suivante — maintenant nous avons été pratiquement contraints, surtout après le dernier paquet de sanctions, dans une position où nous n’avons pas d’autre choix que de restructurer totalement notre économie, notre système financier et, en substance, notre politique intérieure.

Le fait est qu’en gagnant tactiquement et en réussissant à nous quereller avec le peuple ukrainien — la guerre, naturellement, est le niveau ultime de querelle — ils n’ont pas compris qu’en faisant cela, ils ont totalement détruit le système même qu’ils avaient construit dans le monde. Ce n’est pas encore visible, mais dans quelques mois, leurs chaînes financières coupées, leurs messages idéologiques brisés et leur système de sécurité brisé deviendront apparents. »

Bloomberg semble être du même avis et conclut comme suit :

« Expulser la Russie du système mondial critique — qui gère 42 millions de messages par jour et sert de bouée de sauvetage à certaines des plus grandes institutions financières du monde — pourrait se retourner contre lui, faisant grimper l’inflation, poussant la Russie à se rapprocher de la Chine et protéger les transactions financières de l’examen minutieux de l’Occident. Cela pourrait également encourager le développement d’une alternative SWIFT qui pourrait éventuellement nuire à la suprématie du dollar américain. »

Et lorsque le FMI se joint au chœur selon lequel les sanctions contre la Russie pourraient se retourner contre la position du dollar américain dans le monde, alors la situation devient vraiment grave.

« Le premier directeur général adjoint du FMI, Gita Gopinath, a averti que les sanctions occidentales contre la Russie, et plus précisément la confiscation des réserves libellées en dollars et en euros détenus par la Banque centrale russe, pourraient se retourner contre eux en rendant les autres banques centrales étrangères plus réticentes à détenir une si grande quantité de leurs propres réserves de change en dollars et en euros », a écrit Zero Hedge.

Prenant les choses d’un cran, Poutine a officiellement décrété qu’à partir du 1er avril 2022, la Russie n’acceptera que des roubles, de l’or ou des bitcoins comme paiement pour les exportations d’énergie vers des pays « inamicaux ».

« Si Poutine applique sa demande d’accepter uniquement les roubles, l’or ou le bitcoin pour les exportations d’énergie, le dollar perd instantanément une utilité significative dans le monde », a écrit Mike Adams. « Les pays qui souhaitent acheter de l’énergie à la Russie — qui comprend la plupart des pays européens — devront d’abord acheter des roubles, puis échanger des roubles contre de l’énergie. Cela donne aux roubles un soutien instantané aux matières premières… La dernière décision de Poutine menace l’avenir même de la monnaie dollar (fiat) et pourrait signifier le début de la fin pour le dollar. »

« Celui qui creuse une fosse y tombera et celui qui roule une pierre, elle retombera sur lui. » Proverbes 26:27


ADDENDA
Un rapide récapitulatif des sionistes ukrainiens

Par Pepe Escobar

Seuls les cerveaux morts à travers l’OTANstan — et il y en a des hordes — ne sont pas au courant de Maidan en 2014. Pourtant, peu de gens savent que c’est alors le ministre ukrainien de l’Intérieur Arsen Avakov, ancien gouverneur de Kharkov, qui a donné le feu vert à un groupe de 12 000 paramilitaires pour matérialiser des hooligans de football de la Sect 82 qui ont soutenu le Dynamo Kiev. C’est ainsi qu’est né le bataillon Azov, en mai 2014, dirigé par Andriy Biletsky, alias le Führer blanc, et ancien chef du gang néonazi des patriotes d’Ukraine.

Avec l’agent de l’OTAN Dmitro Yarosh, Biletsky a fondé Pravy Sektor, financé par le parrain de la mafia ukrainienne et milliardaire juif Ihor Kolomoysky (plus tard le bienfaiteur de la méta-conversion de Zelensky de comédien médiocre à président médiocre).

Il se trouve que Pravy Sektor était farouchement anti-UE — dites-le à Ursula von der Lugen — et politiquement obsédé par l’idée de relier l’Europe centrale et les pays baltes dans un nouvel intermarium sordide. Surtout, Pravy Sektor et d’autres gangs nazis ont été dûment formés par des instructeurs de l’OTAN.

Biletsky et Yarosh sont bien sûr des disciples de Stepan Bandera, collaborateur nazi notoire de la Seconde Guerre mondiale, pour qui les Ukrainiens purs sont proto-germaniques ou Scandinaves, et les Slaves sont Untermenschen.

Azov a fini par absorber presque tous les groupes néonazis en Ukraine et a été envoyé pour lutter contre le Donbass — leurs acolytes gagnant plus d’argent que les soldats réguliers. Biletsky et un autre dirigeant néonazi, Oleh Petrenko, ont été élus à la Rada. Le Führer blanc était autonome. Petrenko a décidé de soutenir le président Porochenko. Bientôt, le bataillon Azov a été incorporé en tant que régiment Azov à la Garde nationale ukrainienne.

Ils se sont lancés dans une campagne de recrutement de mercenaires étrangers — avec des personnes venant d’Europe occidentale, de Scandinavie et même d’Amérique du Sud.

Cela était strictement interdit par les accords de Minsk garantis par la France et l’Allemagne (et aujourd’hui de facto disparus). Azov a mis en place des camps d’entraînement pour adolescents et a rapidement atteint 10 000 membres. Erik « Blackwater » Prince, en 2020, a conclu un accord avec l’armée ukrainienne qui permettrait à son équipe renommée, Academi, de superviser Azov.

Ce n’est nul autre que la sinistre distributrice de biscuits Maidan, la virago Vicky « Fuck the EU » Nuland, qui a suggéré à Zelensky — tous deux, soit dit en passant, juifs ukrainiens — de nommer le nazi avoué Yarosh comme conseiller du commandant en chef des forces armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi. L’objectif : organiser une guerre éclair sur le Donbass et la Crimée — la même guerre éclair dont le SVR, les renseignements étrangers russes, a conclu qu’elle serait lancée le 22 février, propulsant ainsi le lancement de l’opération Z.

Tout ce qui précède montre qu’en Ukraine, il n’y a aucune différence entre les néonazis blancs et les al-Qaïda/ISIS/Daesh de couleur brune. Ainsi les néonazis sont tout aussi « chrétiens » que les takfiris salafistes djihadistes d’ISIS sont « musulmans ».

Lorsque Poutine a dénoncé une « bande de néo-nazis » au pouvoir à Kiev, l’humoriste (qui sait jouer du piano avec son sexe et qui sait danser en tenue cuir et avec des talons hauts, d’où son succès en Occident) a répondu que c’était impossible car il était juif. Absurdité. Zelensky et son patron Kolomoysky, à toutes fins pratiques, sont des sionistes.

Alors même que des branches du gouvernement des États-Unis admettaient les néonazis retranchés dans l’appareil de Kiev, la machine Exceptionnaliste (US) a tout simplement fait disparaître le bombardement quotidien du Donbass pendant 8 ans. Ces 14 000 victimes civiles n’ont jamais existé.

SOURCE : State of the Nation


NOTES de H. Genséric




Panique des élites génocidaires ?

[Source : profession-gendarme.com]

Par Ronald Guillaumont

Bonjour à tous,

2 minutes de pur bonheur sur la panique des élites génocidaires. Je partage son analyse à 200 %. Ils accélèrent, ils font n’importe quoi et tous les endormis, les crédules se réveillent. Ils sont finis et ils le savent. Leur dernière arme, l’accélération du chaos comme un baroud de déshonneur.

Cette panique est visible et finit par réveiller les plus endormis.

Michel Maffesoli le disait il y a plus d’un an sur CNews :

Des voix, dans le monde entier, expriment cette sensation de fin de la macabre supercherie, le dévoilement de la guerre des élites, aidées des institutions nationales et supranationales, contre les peuples. Une guerre mise au point dès la fin de la Seconde Guerre mondiale par les USA et déclarée de longue date contre l’humanité, avec une accélération ces trois dernières années. C’est cette accélération qui sera fatale à la cabale.

[Note de Joseph : dans une perspective eschatologique ou même ufologique moderne, le combat pourrait être encore assez loin de sa conclusion. Dans le premier cas, plusieurs traditions évoquent l’influence d’entités manipulant les destinées de l’Humanité, présentées comme des dieux serpents, des démons, des dragons, ou encore des anges déchus. Dans le second, on parle plus volontiers de Reptiliens, de Gris ou encore de Dracos. Dans ces deux conceptions, ces entités ont un chef, un meneur. Il est appelé par exemple Satan, le Malin, le Roi ou le Prince de ce monde, ou encore le chef des Dracos. Dans un cas comme dans l’autre, cette entité ne peut être défaite par l’Humanité abandonnée à elle-même, mais nécessite l’intervention d’un être du type du Christ, un Messie, ou un être extraterrestre d’envergure suffisante (avec au besoin ses armées). Si la partie visible des élites mondialiste peut paniquer, est-ce vraiment le cas de ceux qui dirigent depuis les coulisses à ce stade de la situation terrestre ?]




Biocontrôle : du cauchemar à la réalité

[Source : LHK]

Par Vincent Held

Dans Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques (1968), Philip K. Dick imaginait une société dans laquelle tout un chacun se verrait implanter un « organe d’humeur » pouvant être activé à distance et permettant de moduler ses émotions d’un simple coup de télécommande. Des techniques de contrôle mental entretemps passées de la fiction à la réalité… et que le World Economic Forum contemple avec une certaine gourmandise.

Dès 1956, le Time Magazine avait consacré une publication à la science alors déjà fort prometteuse du « biocontrôle » :

« Une horreur bien connue des amateurs de science-fiction, c’est l’esclave dont les pensées et les actions sont régies par un gadget électronique greffé dans son cerveau. Il pourrait y avoir une part de vérité dans cette fiction affirme l’ingénieur électricien Curtiss R. Schafer, qui conçoit et développe des instruments électroniques pour la Norden-Ketay Corp. de New York. L’électronique, pense-t-il, pourrait épargner beaucoup de travail aux endoctrineurs et aux contrôleurs de la pensée du futur. […]

Le biocontrôle est la nouvelle science du contrôle des processus mentaux, réactions émotionnelles et perceptions sensorielles par des signaux bioélectriques. […] Déjà, grâce au biocontrôle, les scientifiques ont changé le sens de l’équilibre des gens. Et ils ont fait en sorte que des animaux avec le ventre plein aient faim – ou qu’ils aient peur quand ils n’ont rien à craindre. »

L’optogénétique, une méthode de biocontrôle aujourd’hui technologiquement dépassée…

[Voir aussi :
Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?]

C’est donc bien à des techniques de ce type que faisait référence le célèbre conseiller présidentiel américain Zbigniew Brzezinski dans son livre d’anticipation technologique sur La révolution technétronique (1970) :

Selon certains, la conduite humaine peut être prédéterminée et soumise à un contrôle délibéré.[…] Parlant d’un avenir se situant dans quelques décennies au plus, un expérimentateur en contrôle de l’intelligence [le Dr. David Krech] affirmait [devant le Congrès, en 1968] :

« Je prévois le temps où nous aurons les moyens et donc, inévitablement, la tentation de manipuler le comportement et le fonctionnement intellectuel de tout un chacun par la manipulation environnementale et biochimique du cerveau. »Testimony by Dr. D. Krech, Government Research Subcommittee of the Senate Government Operations Committee, as reported by The New York Times, April 3, 1968, p. 32;

On notera qu’ici, l’appréciation « dans quelques décennies au plus » est le fait de Zbigniew Brzezinski lui-même. Le Dr. Krech, pour sa part, avait exprimé lors de la même allocution (en 1968, donc) le sentiment « qu’une telle évolution pourrait intervenir d’ici 5 à 10 ans » à peine.(([1] DAVID KRECH, 68, DIES; PSYCHOLOGY PIONEER, New York Times, 1977))

Quoiqu’il en soit, quarante années ont passé et il semblerait bien que ces technologies cauchemardesques puissent aujourd’hui être déployées à grande échelle. Et de façon furtive, qui plus est.

Biocontrôle et « armes neurotechnologiques » : les avertissements du Prof. Giordano

Pour nous en assurer, prêtons l’oreille à ce qu’affirmait en 2019 le Prof. James Giordano, professeur en « Neurologie & Biochimie » à l’Université de Georgetown et consultant de l’establishment militaire américain sur les questions de « neuroéthique ».

« Il y a plein d’autres choses [que les armes à énergie dirigée] qui peuvent venir secouer et cogner votre cerveau. Mieux on comprend le fonctionnement du cerveau à un niveau très granulaire, et plus on est capable de développer certains types de médicaments spécifiques qui non seulement peuvent améliorer et optimiser les performances de nos troupes, mais aussi amoindrir – et même dans certains cas manifester des changements profondément morbides – dans les troupes [adverses]. […] Une des choses que l’on peut aussi faire, c’est la neuromodulation transcraniale, c’est-à-dire traverser le crâne pour moduler le fonctionnement en réseau (node network activity) du cerveau en vue d’optimiser les performances de certaines personnes-clés […] ou alors on peut également faire cela contre des personnes hostiles – ou peut-être même belligérantes. On peut aller plus loin encore, et implanter certaines interfaces cerveau-machine [dans le cerveau]. Il y a beaucoup de programmes de la DARPA […] dont l’un des plus connus est le programme N3 pour « Neuromodulation neurochirurgicale non-invasive » […] L’idée ici étant de placer des électrodes de taille minimale en réseau dans le cerveau via une intervention minimale, afin d’être capables de lire et écrire dans les fonctions cérébrales – en temps réel et à distance. Les États-Unis ne sont pas les seuls à mener [ce type de projets]. »

Et de préciser que ces armes neurologiques pourraient être à l’avenir employées contre l’adversaire, aussi bien pour le rendre plus malléable et positif vis-à-vis de soi-même (« notion de militarisation positive »), que pour « affaiblir voire même dans certains cas anéantir sa capacité et sa volonté de se battre ».

[Voir aussi :
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]

« Ces agents [neurologiques] vont soit changer les pensées, la volatilité et les penchants pour la violence et l’agression des individus, ou alors leur infliger une morbidité, des dysfonctionnements et/ou une mortalité de manière à réduire [leur capacité] d’engagement dans son ensemble. »

Cette publication scientifique de 2021 précise que les nanorobots en question peuvent « traverser la barrière hémato-encéphalique », « reconnaître la cible spécifique » y compris « dans les parties internes éloignées et inaccessibles du cerveau » et « libérer une cargaison minuscule mais létale de médicaments ou de nanoparticules pour tuer les cellules cancéreuses ».

Or, rien ne semble plus s’opposer au déploiement massif des neurocapteurs miniaturisés qui doivent permettre le biocontrôle « non-invasif » de nos cerveaux…

« Il a été annoncé officiellement il y a quelques semaines que l’on peut désormais aérosoliser les nanomatériaux – et on peut aller encore plus loin. On peut créer de petites unités robotiques d’échelle nanométrique contrôlables [à distance] – et elles aussi peuvent être aérosolisées pour créer un nano-essaim de matériaux qui vont pénétrer dans l’organisme et s’intégrer dans toutes sortes de membranes de mucus – n’importe où, dans la bouche, le nez, les oreilles, les yeux – pour ensuite passer dans le système vasculaire pour causer des caillots. Ça peut passer dans le système vasculaire du cerveau ou directement se diffuser dans le cerveau – et être militarisé (weaponized). Et cela peut se faire de telle manière que leur présence soit presque impossible à détecter. »

La peu ragoûtante « attaque de nanorobots » du dernier James Bond ne semble donc pas devoir grand-chose à l’inventivité des scénaristes…

« Plus tôt cette année [2013, donc], des chercheurs chinois ont annoncé le développement de robots de la taille d’une cellule qui pourraient être utilisés dans l’administration ciblée de médicaments. […] Les chercheurs du Georgia Institute of Technology ont mené des modélisations et des simulations informatiques qui montrent que le matériau peut constituer une bonne antenne à l’échelle nécessaire pour relier les nanomachines au monde extérieur. Les antennes mesureraient environ un micron de long et 10 à 100 nanomètres de large. »

Afin d’éviter tout malentendu, nous préciserons ici que le Prof. Giordano appelle à une réflexion préalable poussée et à une prudence extrême dans le maniement de ces technologies, qu’il compare volontiers à des « armes de destruction massives ». Et dont il considère qu’un emploi inconsidéré pourrait « salir l’honneur » des États-Unis, voire mener à ce que l’on « se coupe la gorge à soi-même ».

Or, il paraît évident que ce qui peut être réalisé grâce à des nanorobots « aérosolisés » peut également l’être via des nanorobots injectés. Ce qui, par rapport aux « épandages par drones » et autres vecteurs d’aérosols envisagés par le Prof. Giordano, peut en outre présenter l’immense avantage de ne pas exposer inutilement à la contamination les « agents » qui mènent l’opération.

Il peut dès lors être intéressant de relever que le World Economic Forum, grand promoteur d’injections vaccinales en tous genres, s’intéresse lui aussi à « poser des capteurs artificiels » dans nos cerveaux en vue de créer « de nouveaux systèmes de création de valeur » pour l’économie 4.0.

Quatrième Révolution industrielle : la connectivité cérébrale au programme

« Les technologies de la Quatrième Révolution industrielle […] peuvent s’immiscer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit en lisant nos pensées et en influençant notre comportement. »Klaus Schwab in Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution, 2018

En 2016 déjà, le World Economic Forum avait manifesté son intérêt pour le fait de « manipuler des circuits neuronaux individuels », quitte à modifier génétiquement certains neurones de façon ciblée.

« Imaginez si nous pouvions utiliser l’optogénétique ou une technologie similaire pour obtenir l’entrée d’un capteur artificiel dans notre cerveau. En principe, nous pourrions non seulement restaurer la fonction, mais nous pourrions améliorer nos fonctions actuelles. »

Il serait dès lors possible de « manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées », pour le plus grand profit des heureux propriétaires de ces cerveaux connectés.

Deux ans plus tard, Klaus Schwab précisait ses ambitions dans un livre qui aura reçu bien peu de publicité :

« Les neurotechnologies nous permettent de mieux influer sur la conscience et les pensées. Ceci inclut un décodage affiné de ce que l’on pense grâce à de nouveaux produits chimiques et des interventions qui peuvent influencer nos cerveaux pour y corriger les erreurs ou en améliorer le fonctionnement. […] Des technologies spécialisées telles que les microélectrodes modernes sont capables d’enregistrer l’activité d’un neurone individuel – ou de l’activer, quand on en a besoin. […] Pouvoir « lire et écrire dans » le cerveau va créer de nouvelles industries et de nouveaux systèmes de création de valeur… »

Les « cerveaux augmentés » feraient bel et bien partie intégrante des « opportunités de la 5G », si l’on en croit cette présentation produite en 2018 par le consortium SwissCognitive, dont la Confédération suisse est partie prenante.

Il est ainsi fascinant de constater que les « armes neurotechnologiques » sur les dangers desquelles le Prof. Giordano tente d’attirer l’attention sont pleinement intégrées, en tant que « nouveaux systèmes de création de valeur », aux projets du World Economic Forum pour la « Quatrième Révolution industrielle ». Et que la 5G semble bel et bien être appelée, dans ce contexte, à jouer un rôle essentiel dans l’exploitation des nouvelles « interfaces cerveau-machine » annoncées par le Prof. Schwab…

De telle sorte que l’on comprend déjà un peu mieux cette fameuse citation du gourou de Davos : « La Quatrième Révolution industrielle mènera à une fusion de l’identité physique, numérique et biologique ».

Quant à savoir s’il pourrait y avoir a un lien entre ces évolutions technologiques quelque peu dystopiques et les campagnes de vaccination de masse si agressivement promues depuis le début de la pandémie covidienne par les puissants relais politiques du World Economic Forum, la question nous semble être encore ouverte.

Vincent Held


Notes & Références




Lockdown Files : le ministre de la santé britannique Matt Hancock a fait une plaisanterie sur les puces injectées aux vaccinés

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

NDLR : les Lockdown Files continuent de faire parler d’eux. Aujourd’hui, les réseaux sociaux se sont enflammés sur la plaisanterie de l’ancien ministre de la santé britannique, Matt Hancock, au sujet des « puces injectées aux vaccinés ». Alors qu’il discutait avec le conseiller spécial pour les médias du ministère de la Santé, Damon Poole, au sujet de l’éventuel soutien de Bill Gates sur la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), Matt Hancock a suggéré en plaisantant à son interlocuteur : « Dis-lui que vu le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces, il m’en doit une ! ». Le Telegraph, qui a publié l’information, s’est empressé d’interpréter la conversation comme une blague sur la « théorie du complot » selon laquelle le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces. Cependant, la plaisanterie pourrait être comprise de façon bien moins légère, au regard des nombreuses découvertes faites sur les nanotechnologies présentes dans les injections Covid. Chacun se fera son propre avis. Dans tous les cas, on a bien compris qu’ils attendent l’approbation de Bill Gates, ce qui en soi est déjà un élément incriminant et un aveu du rôle majeur joué par Bill Gates dans la plandémie.


Publié par The Telegraph, le 5 mars 2023

Matt Hancock fait une blague sur la conspiration de Bill Gates sur le Covid

L’ancien ministre de la santé s’est moqué d’une théorie farfelue lorsqu’il a parlé d’obtenir le soutien d’un milliardaire de Microsoft.

Matt Hancock a plaisanté en disant que Bill Gates « m’en doit une » vu « le nombre de personnes à qui je fais injecter ses puces ».

Le secrétaire d’État à la santé de l’époque espérait obtenir l’aide du milliardaire de Microsoft, M. Gates, pour promouvoir une offre d’expertise britannique en matière d’identification des variantes de coronavirus lorsqu’il a lancé cette boutade en janvier 2021.

À l’époque, Internet était inondé d’affirmations farfelues selon lesquelles le programme de vaccination était utilisé comme un moyen de contrôler la population mondiale en implantant des micropuces microscopiques dans les bras des gens.

Certains ont suggéré que le génie du mal à l’origine de ce complot était M. Gates, qui a été l’homme le plus riche du monde.

Le 25 janvier 2021, Damon Poole, le conseiller médiatique de M. Hancock, lui a envoyé un message WhatsApp lui demandant s’il avait parlé à Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, de la plateforme d’évaluation des nouveaux variants (NVAP), qui offrait à d’autres pays l’expertise du Royaume-Uni pour détecter et évaluer les nouveaux variants dans le monde.

Traduction :

De nombreuses théories du complot concernant le vaccin Covid auraient été diffusées sur Internet par des médias pro-Kremlin.

Elles suggéraient notamment que M. Gates voulait implanter des dispositifs de localisation dans chaque être humain par le biais d’une vaccination de masse, et que les micropuces contenues dans les vaccins permettraient à Microsoft de « contrôler » l’ensemble de la population mondiale.

L’Union européenne a même publié de longs conseils sur la manière de persuader les gens que le complot des micropuces était une fiction.

Une autre théorie du complot populaire, qui aurait été diffusée par la Russie, était que le vaccin de l’Université d’Oxford/AstraZeneca était un « vaccin pour les singes » qui non seulement contrevenait aux droits des animaux, mais transformait également les gens en singes.

M. Gates n’a, en tout état de cause, pas soutenu le NVAP.




Le programme de contrôle de la population

[Source : khouse.org]

Au-delà du contrôle des naissances

Par Dr Stan Monteith, M.D

Le contrôle planifié de la population, y compris le génocide, est un concept difficile à accepter pour les Américains. Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.

« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans
La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort]

Margaret Sanger et le Planning familial

Nos impôts financent Planned Parenthood, une organisation fondée par Margaret Sanger. Dans le rapport annuel 1985 de Planned Parenthood, ses dirigeants ont proclamé qu’ils étaient « fiers de leur passé et qu’ils planifiaient leur avenir ».(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 105, disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Comment peut-on prétendre être fier d’une organisation dont la fondatrice a écrit dans l’histoire qu’il fallait « exterminer les “mauvaises herbes humaines”… », mettre fin à la charité…, [recourir à] la ségrégation « des crétins, des inadaptés et des désaxés » et… [à] la stérilisation « des races génétiquement inférieures » ?(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 65.))

Dans les années 1930, Margaret Sanger a publié The Birth Control Review, dans lequel elle soutenait ouvertement le « programme d’infanticide » de l’Allemagne nazie et défendait publiquement l’objectif de suprématie blanche aryenne d’Adolf Hitler. Avant la Seconde Guerre mondiale, elle a chargé le nazi Ernst Rudin, directeur des redoutables programmes d’expérimentation médicale allemands, de servir de conseiller auprès de son organisation.

Dans Killer Angel, George Grant a relaté la vie et les écrits de Margaret Sanger, y compris ses projets d’ingénierie génétique de la race humaine. Dans The Pivot of Civilization, Margaret Sanger appelle à « l’élimination des mauvaises herbes humaines », et à « l’arrêt de la charité » parce qu’elle prolonge la vie des personnes inaptes. Elle préconise la ségrégation des inaptes et leur interdit de se reproduire.

En 1939, Margaret Sanger organise le Negro Project, destiné à éliminer les membres de ce qu’elle considère comme une « race inférieure ». Elle justifie sa proposition par le fait que :

« Les masses de Noirs… en particulier dans le Sud, continuent à se reproduire de manière imprudente et désastreuse, avec pour résultat que l’augmentation chez les Noirs, plus encore que chez les Blancs, provient de la partie de la population la moins intelligente et la moins apte… ».(([3] Woman’s Body, Woman’s Right, Linda Gordon, Penguin Press, New York, p. 332; voir également Killer Angel, p. 73.))

Elle a ensuite révélé qu’elle avait l’intention « d’engager trois ou quatre pasteurs de couleur pour se rendre dans diverses enclaves noires afin de faire de la propagande en faveur du contrôle des naissances… L’approche éducative la plus efficace auprès des Noirs passe par un appel religieux. Nous ne voulons pas que l’on dise que nous voulons exterminer la population noire, et le pasteur est l’homme qui peut redresser cette idée si jamais elle vient à l’esprit de l’un de leurs membres les plus rebelles ».(([4] Killer Angel, p. 74: voir également Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334.))

Au fur et à mesure que l’organisation de Margaret Sanger se développe, elle écrit sur la nécessité de cibler également les groupes religieux à détruire, estimant que les « races dysgéniques » devraient inclure « les fondamentalistes et les catholiques » en plus des « Noirs, des Hispaniques [et] des Amérindiens ».(([5] Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334; voir également Killer Angel, p.73.)) Au fil des ans, Sanger devient de plus en plus obsédée par les croyances occultes et hostile au christianisme et au précepte américain de la liberté individuelle. Son dégoût pour l’Amérique est évident dans ses écrits :

« Le contrôle des naissances séduit les radicaux avancés parce qu’il est calculé pour saper l’autorité des églises chrétiennes. Je me réjouis de voir un jour l’humanité libérée de la tyrannie du christianisme, tout autant que de celle du capitalisme ».(([6] Killer Angel, p. 104.))

Tout comme Adolf Hitler, Margaret Sanger était une disciple de la théosophie et de sa fondatrice, Madame Blavatsky. Sanger et Hitler étaient tous deux impliqués dans une religion qui vénérait Lucifer et qui était alimentée par les mêmes forces spirituelles obscures.

Le Lucis Trust est un important représentant moderne de la théosophie, une extension de la Lucifer Publishing Company, qui est également une ONG des Nations unies. Le Lucis Trust a été fondé par Alice A. Bailey au début du 20e siècle. Bailey était une disciple de Madame Blavatsky et la dirigeante nominale de la Société théosophique au début des années 1900.

Le nom « Lucifer » ayant une très mauvaise connotation, Bailey a changé le nom de son organisation de Lucifer Publishing Company en Lucis Trust. La nature et les convictions de cette organisation sont toutefois restées les mêmes.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao]

Le Lucis Trust est l’un des principaux groupes de façade par lesquels la théosophie influence la vie en Amérique. Les publications du Lucis Trust font régulièrement référence au « Plan » pour l’humanité qui a été établi par la « Hiérarchie ». Les disciples de Sanger sont encore en vie aujourd’hui et influencent les politiques nationales et internationales de contrôle de la population.

David Graber, chercheur biologiste au National Park Service, a été cité dans le Los Angeles Times Book Review Section du 22 octobre 1989, comme ayant déclaré :

« Le bonheur humain et certainement la fécondité humaine ne sont pas aussi importants qu’une planète sauvage et en bonne santé. Je connais des spécialistes des sciences sociales qui me rappellent que les hommes font partie de la nature, mais ce n’est pas vrai… Nous sommes devenus un fléau pour nous-mêmes et pour la Terre… Jusqu’à ce que les homosapiens décident de rejoindre la nature, certains d’entre nous ne peuvent qu’espérer que le bon virus se présentera ».(([7] Los Angeles Times, Book Review Section, 22 octobre 1989, p. 9.))

Dans The First Global Revolution, publié par le Conseil du Club de Rome, une organisation élitiste internationale, les auteurs notent que :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ». (([8] The First Global Revolution: Club of Rome, Alexander King and Bertrand Schneider, Pantheon Books, New York, 1991, p. 115.))

Le 5 avril 1994, le Los Angeles Times citait David Pimentel, professeur à l’Université de Cornell, s’adressant à l’American Association for the Advancement of Science, qui déclarait que :

« La population mondiale totale ne devrait pas dépasser 2 milliards d’habitants au lieu des 5,6 milliards actuels ».

Dans Le Courrier de l’UNESCO de novembre 1991, Jacques Cousteau écrivait :

« Le dommage causé à la planète est fonction de la démographie, mais également du degré de développement. Un Américain fatigue la planète beaucoup plus que vingt Bangladeshis… C’est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si horrible à dire, qu’il ne faut même pas le dire ».(([9] “The Population Controllers,” New American Magazine, 6/27/94, p. 7.))

Dans The Impact of Science on Society (L’impact de la science sur la société), Bertrand Russell a déclaré :

« Actuellement, la population mondiale augmente… Jusqu’à présent, la guerre n’a pas eu d’effet majeur sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances soit le seul moyen d’empêcher la population d’augmenter. Il y en a d’autres… Si une peste noire pouvait se répandre dans le monde une fois par génération, les survivants pourraient procréer librement sans que le monde soit trop plein… La situation pourrait être quelque peu désagréable, mais qu’en est-il ? Les personnes qui ont un esprit vraiment élevé sont indifférentes à la souffrance, en particulier à celle des autres. »

La société Negative Population Growth Inc. de Teaneck, dans le New Jersey, a récemment diffusé une lettre exposant son objectif à long terme :

« Nous pensons que notre objectif pour les États-Unis ne devrait pas dépasser 150 millions d’habitants, ce qui correspondait à notre taille en 1950. Pour le monde, nous pensons que notre objectif devrait être une population ne dépassant pas deux milliards d’habitants, soit sa taille peu après le début du siècle ».(([10] Documentation disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Il est impossible d’atteindre ce chiffre par le biais de l’attrition normale et du contrôle des naissances, et il existe suffisamment de preuves pour indiquer que d’autres plans sont à l’étude.

Davantage d’influence New Age

S’exprimant lors du Forum sur l’état du monde organisé par Gorbatchev à San Francisco en 1996, l’écrivain et philosophe du Nouvel Âge, le Dr Sam Keen, a déclaré qu’il existait un large consensus sur le fait que les institutions religieuses devaient assumer la responsabilité principale de l’explosion démographique.

Il a ajouté :

« Nous devons parler beaucoup plus clairement de la sexualité, de la contraception, de l’avortement, des valeurs qui contrôlent la population, parce que la crise écologique, en bref, est la crise démographique. Si l’on réduit la population de 90 %, il n’y a plus assez de gens pour causer beaucoup de dégâts écologiques ».

Les remarques du Dr Keen ont été accueillies par des applaudissements de la part de l’auditoire composé d’adeptes du New Age, de socialistes, d’internationalistes et d’occultistes.

Le mois prochain, nous explorerons quelques cas spécifiques de contrôle de la population, tant caché que flagrant, y compris le lien entre les avortements et le cancer du sein et ce qui s’est réellement passé pendant les massacres au Rwanda.

Cet article a été initialement publié dans le
Personal Update News Journal de septembre 1997




Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La divulgation de plus de 100 000 messages WhatsApp de l’ancien secrétaire à la Santé britannique Matt Hancock dans les colonnes du Telegraph jette une lumière crue sur la gestion de la pandémie covid par le gouvernement de Boris Johnson. Confinements, fermetures des écoles, tests, l’argument scientifique n’a été qu’un argument fallacieux en faveur d’enjeux politiques.

La divulgation des messages était « dans l’intérêt public », explique la lanceuse d’alerte, la journaliste Isabel Oakeshott

Le Telegraph a obtenu plus de 100 000 messages WhatsApp entre Matt Hancock, le ministre de la Santé britannique et d’autres ministres et fonctionnaires au plus fort de la pandémie de Covid-19. Les messages ont été remis au quotidien britannique par la journaliste Isabel Oakeshott, qui les a reçus de M. Hancock lui-même alors qu’ils travaillaient sur son livre Pandemic Diaries. M. Hancock a qualifié la fuite de ses messages par Mme Oakeshott de « trahison massive » utilisée pour produire « un compte rendu partiel et biaisé adapté à un programme anti-verrouillage ».

Mais Isabel Oakeshott a insisté hier sur le fait que la divulgation des messages était « dans l’intérêt public ». « Je ne pense pas qu’il devrait y avoir une répétition des catastrophes induites par les verrouillages », explique-t-elle en qualifiant les textes de « document historique vital à un moment où nous avons besoin de réponses urgentes ».

Les communications couvrent les années de la pandémie et révèlent des discussions entre le secrétaire à la Santé de l’époque et ceux qui sont au cœur du processus décisionnel, y compris le Premier ministre de l’époque, Boris Johnson. Ils font apparaître l’inhumanité et la folie des confinements et des mesures restrictives imposés aux Britanniques. Ils révèlent également l’approche souvent désinvolte que les ministres ont adoptée pour prendre des décisions importantes, notamment l’appel à la fermeture de salles de classe, l’introduction de masques faciaux dans les écoles et la fourniture de tests dans les maisons de soins.

Absence de justification solide, mesures inhumaines et inefficaces, pression sur la police, données erronées n’ont pas empêché les confinements et les mesures liberticides à répétition

Par exemple Matt Hancock a rejeté l’avis d’un des conseillers du ministère de la Santé qui lui faisait remarquer que les restrictions imposées aux visiteurs des maisons de soins étaient « inhumaines ». Ainsi les résidents sont restés isolés plusieurs mois.

Les masques faciaux ont été introduits dans les couloirs et les zones communes des écoles après que le Premier ministre a été informé que cela éviterait une « dispute » avec le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon.

Alors que l’ancien secrétaire à l’éducation, Sir Gavin Williamson, avait persuadé le Premier ministre de garder ouvertes les écoles en janvier 2021, Matt Hancock a décidé de les fermer tout de même.

De même le gouvernement Johnson savait qu’il n’y avait « aucune justification solide » pour imposer la « règle de six » aux enfants, mais l’a quand même fait.

Le secrétaire à la Santé a également déclaré que le gouvernement devrait « s’acharner sur la police » pour l’aider à réprimer les contrevenants aux règles des confinements.

Les plus hauts conseillers scientifiques du gouvernement ont déclaré au Premier ministre que la mise en place des mesures de confinement n’était pas « très efficace ». Boris Johnson lui-même a évoqué la perspective de donner aux plus de 65 ans « le choix » entre se protéger du virus ou prendre ce qu’il espérait être un « risque de plus en plus décroissant » de vivre une vie plus normale. Il a comparé le risque des plus de 65 ans de mourir de Covid à celui de « tomber dans les escaliers », ajoutant :

« Et nous n’empêchons pas les personnes âgées d’utiliser les escaliers ».

Par ailleurs Boris Johnson avait été averti que les modélisations sombres prévoyant 4000 décès par jour étaient fausses. Mais, malgré ces réserves, le gouvernement a quand même réintroduit le confinement à l’échelle nationale. Sachant que les données « étaient erronées » selon ses propres mots, Johnson était donc impatient d’assouplir les restrictions sur la vente au détail, l’hospitalité et les rassemblements en juin 2020, mais on lui a dit qu’il était « trop en avance sur l’opinion publique ».

Le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies

Les messages WhatsApp donnent l’impression que presque tout ce que le gouvernement Johnson a fait pour essayer d’atténuer l’impact de covid-19 — distanciation sociale, verrouillage, masquage, fermeture d’écoles, restriction de l’accès aux maisons de soins — n’était qu’un non-sens qu’il a inventé au fur et à mesure, dans le but d’être vu en train de faire quelque chose. Ainsi le gouvernement britannique a imposé des politiques dont il savait qu’elles causeraient des souffrances généralisées, sans vraiment savoir si elles sauveraient des vies.

Les Lockdown Files montrent à quel point les préoccupations politiques ont façonné les mesures covid, la « science » étant trop souvent utilisée comme habillage verbal.

La même politique ayant été imposée en France, on peut gager que la « science » — qui ne se rappelle pas les injonctions « Restez chez vous, sauvez des vies, vaccinez-vous » ? —, n’a été qu’un habillage verbal pour les Macron, Veran & Co destiné à imposer les mêmes restrictions folles. À quand une enquête sérieuse sur la gestion covid comme en Grande-Bretagne ?







SAUVEZ L’ENSEIGNEMENT DES MATHÉMATIQUES EN FRANCE !

Par Nicole Delépine

« Il est pour le moins surprenant que les réformateurs de 2018 aient recherché l’égalité des chances en supprimant les mathématiques alors que les révolutionnaires de 1794 l’avaient recherchée précisément à travers les mathématiques »

(Marwan Lahoud, Président de l’AX).

Alors que les épreuves de mathématiques du baccalauréat version 2023 approchent à grands pas, que les retardataires tentent de boucher leurs lacunes et leurs profs de les aider comme ils peuvent, il nous paraît important de relayer l’appel au secours de professeurs, parents, scientifiques dont les éminents chercheurs de l’école Polytechnique, dont des anciens devenus grands patrons.

Parents, grands-parents, ex-étudiants des excellentes facultés françaises dans les années 60 – 70, il nous paraît légitime dans l’intérêt de nos petits-enfants et des générations qui viennent de faire écho aux appels au secours pour sauver l’enseignement des mathématiques, appels si peu relayés par nos médias.

Citons les Échos1 :

« La communauté polytechnicienne se mobilise afin de sauver une matière fétiche de l’école, les mathématiques. La revue des anciens de l’X revient sur la révision scolaire de 2018 qui a restreint le rôle et la place de la discipline dans l’enseignement en France. Mêlant le point de vue d’une élève férue, des analyses d’anciens devenus professeurs ou chefs d’entreprise (Saint-Gobain, par exemple), le dossier contient aussi la synthèse d’une étude réalisée par le sociologue Pierre-Michel Menger.

Paradoxe : si le niveau moyen est médiocre (combien de nos concitoyens maîtrisent vraiment la règle de trois ?), l’excellence, qui se compte en particulier en médailles Fields, demeure française. Même si la production de mathématiciens est fragile et leurs carrières pas évidentes. Pour Menger, afin de ne pas faillir, une voie essentielle : “Redresser les maths au lycée !” L’idée-force du numéro est de soutenir les vocations scientifiques. Un dossier clé, ici sans aucune équation ».

(à consulter en service payant)

https://www.lajauneetlarouge.com/quelle-place-pour-les-mathematiques-en-france-aujourdhui/ 2
Par Stéphane JAFFARD (X81)

« Les mathématiques et l’École polytechnique, c’est d’abord un long mariage d’amour : les fondateurs de l’École étaient conscients de l’importance de cette discipline dans la formation des futurs officiers des armes techniques, comme l’artillerie, et ils ont voulu la doter de cours d’analyse rigoureux incluant les avancées les plus récentes. (…).

Au XIXsiècle, les cours d’analyse de l’École polytechnique, enseignés par les plus grands mathématiciens de l’époque, font référence dans l’Europe entière. Encore tout récemment, l’École a résisté avec succès aux tentatives de baisser le niveau d’exigence en mathématiques demandé aux élèves, consciente du fait qu’un haut niveau dans cette discipline sera indispensable aux ingénieurs de demain.

Nul ne sera donc étonné si, parmi les nombreux patrons qui sont intervenus au printemps dernier dans les médias pour défendre les mathématiques, une grande proportion d’entre eux étaient polytechniciens.

De quoi s’alarmaient-ils ? Tout d’abord de la disparition des mathématiques dans certaines filières du lycée (…). Mais aussi de l’appauvrissement de l’enseignement de cette discipline à tous les niveaux, avec des conséquences dramatiques pour notre économie. Éblouies par les derniers feux d’une recherche d’excellence, comme la médaille Fields d’Hugo Duminil-Copin l’été dernier, les autorités politiques se sont refusées à voir un effondrement déjà bien engagé. »

Dans La Jaune et la Rouge en ligne de septembre 2022,

« Emmanuel Royer et moi annoncions la tenue des assises des mathématiques, du 14 au 16 novembre dernier ; le but de ce colloque à l’UNESCO était de faire le point sur les nouveaux besoins de mathématiques dans les autres sciences, l’économie et la société (…) !

Exposés accessibles sur le site du colloque :https://www.assises-des-mathematiques.fr.(…)

C’est l’INSMI (Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions) du CNRS qui effectuera le portage des propositions issues des sept groupes de travail (…)

j’émets le vœu que leurs propositions ne soient pas édulcorées, mais que les décideurs politiques prennent pleinement conscience de la situation critique dans laquelle se trouvent les mathématiques en France aujourd’hui. »

APPEL DU SÉNATEUR HOUPERT POUR LA SAUVEGARDE DES MATHS EN FILIÈRE ÉCONOMIE

Notre collègue le sénateur A Houpert plaide pour le respect des heures de maths en prépa commerce ! il est radiologue et lanceur d’alerte dans la plandémie covid et récemment interdit d’exercice par le conseil de l’ordre des médecins pour avoir informé la population sur les mensonges de la doxa officielle du Covid19 et sur les dangers des injections géniques. Dans son rôle d’élu, il interpelle le ministre de l’Éducation nationale.

Question écrite n° 05574 de M. Alain Houpert (Côte-d’Or — Les Républicains)
publiée dans le JO Sénat du 02/03/2023 — page 1483

« M. Alain Houpert attire l’attention de M. le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse sur l’actuel projet de réforme des classes préparatoires de la filière économique et commerciale générale (ECG) aux écoles de commerce, qui, sous couvert de renforcer l’attractivité auprès des lycéens et de leurs familles de cette filière issue de la réforme de 2021, recèle en réalité les prémisses de sa prochaine disparition.

Ce qui explique la forte mobilisation des professeurs de classes préparatoires — quatre cents d’entre eux viennent de signer une lettre ouverte explicite3— et de leurs représentants syndicaux. Alors qu’un timide retour en grâce des mathématiques est annoncé pour tenter de pallier la désaffection des lycéennes et des lycéens après la réforme du lycée, ce projet désoriente, non seulement par son contenu (avec notamment la réduction envisagée de moitié des heures de mathématiques, avec l’ouverture d’une option “mathématiques avancées” que seuls pourront proposer les grands établissements des métropoles au détriment des lycées de province, et la diversification des options de première année dont la poursuite en deuxième année pourra parfois obliger les élèves à changer de lycée), mais aussi par une volonté de mise en œuvre prématurée, la précédente réforme n’ayant fait l’objet d’aucune évaluation préalable — les premiers concours n’auront lieu qu’en avril — mai 2023 —, et sans réelle concertation en amont de son élaboration.

C’est pourquoi, pour prendre toute la mesure des effets induits — suppressions de postes de professeurs, remises en cause des enseignements pluridisciplinaires et de l’accompagnement complémentaire des élèves, fragilisation des lycées de proximité —, il lui demande de bien vouloir mettre sous moratoire ce projet, qui, s’il devait se conjuguer à la concurrence de la filière “bachelor”, porterait atteinte à la spécificité des classes préparatoires et à leur formation d’excellence, auxquelles participe pleinement la filière ECG. Il le remercie de sa réponse.

Transmise au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche

En attente de réponse du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ».

Voici la lettre ouverte des professeurs de prépa4

La lettre ouverte des professeurs de CPGE ECG

« Objet : “vive inquiétude des professeurs de CPGE face à un projet de réforme de la filière ECG qui la dénature et porte atteinte à l’intérêt des étudiants”

Madame, Monsieur,

Nous, enseignants de Classes Préparatoires, souhaitons vous faire part de notre vive inquiétude au sujet du projet de réforme des CPGE ECG qui nous a été présenté le 19 janvier lors d’un Comité de Pilotage au Ministère de l’Éducation Nationale :

— annonce de la fragilisation des classes dont le taux de remplissage n’atteindrait pas 80 % de la quantité souhaitée par le Ministère s’il n’y a pas de réforme ;

— dans les classes préparatoires ECG (aux grandes écoles de commerce et de management),division par deux de l’horaire de mathématiques et informatique, alors que la réforme du lycée entraîne la formation de groupes terriblement hétérogènes mêlant des lycéens ayant suivi 1 h 30 de mathématiques en première à ceux qui ont suivi 6 heures ou 9 heures (spécialité plus maths expertes) ;

— création d’une option “mathématiques avancées”, qui ne serait pas proposée dans tous les lycées, mais pourrait l’être dans les “grandes prépas”.

La filière ECG repose sur quatre piliers : les langues vivantes, les lettres et la philosophie, les mathématiques et les sciences humaines. Les mathématiques permettent à nos étudiants de poursuivre leurs études en comptabilité, finance, contrôle de gestion, systèmes d’information, actuariat, mais aussi dans des masters qui nécessitent de plus en plus d’algèbre, de statistiques et d’informatique, en lien avec la gestion de données massives, les questions liées à l’intelligence artificielle ou encore la logistique.

Ces poursuites d’études sont plébiscitées par beaucoup d’étudiants, et tout particulièrement par ceux dont les origines sont les plus modestes, du fait de la qualité et la sûreté des emplois qu’elles leur offrent.

Dans ce contexte, comment ne pas être sidérés de voir le Ministère proposer un projet qui entre en totale contradiction avec la volonté affichée par le gouvernement d’ériger l’enseignement des mathématiques comme cause nationale ; en contradiction également avec l’inquiétude exprimée avec force, ces derniers mois, par les grandes entreprises sur les besoins importants de compétences mathématiques pour les entreprises ?

Comment ne pas être sidérés face à un projet qui risque de creuser fortement les inégalités ?

Inégalités de genre, d’abord : la filière ECG a la particularité d’être une filière d’excellence où la parité est quasiment toujours présente. La réforme du lycée a montré à quel point les systèmes modulaires peuvent creuser les inégalités, en particulier quand ils concernent le choix par les jeunes femmes de faire ou non des mathématiques. Comment ne pas craindre que le projet de réforme n’aboutisse à plus d’inégalités au détriment des femmes ?

Inégalités territoriales, ensuite : l’option “mathématiques avancées” ne serait pas proposée dans tous les lycées, mais pourrait l’être seulement dans les “grandes prépas”, fermant ainsi peu ou prou aux élèves des “petites prépas” de province ou de banlieues l’accès aux écoles du top 5, ainsi qu’à la poursuite d’études dans les filières évoquées plus haut.

Quant à l’intention affichée de mettre un maximum d’étudiants dans les classes, ceci ne peut aboutir qu’à concentrer un peu plus l’offre de formation dans les grandes métropoles au détriment des territoires périphériques, en augmentant le prix des études et la précarité des étudiants. Comment ne pas nous interroger sur l’égalité des chances et sur la représentation géographique et sociale dans nos élites de toutes les composantes de la société ?

Nous alertons donc fortement sur les risques importants que le projet de réforme comporte, et nous contestons la méthode employée :

— réforme annoncée avant même la nécessaire évaluation de la précédente réforme de la filière, remontant à 2021, et dont la première promotion n’a même pas encore passé les concours ;

— après avoir affirmé qu’il n’y avait pas de projet de réforme, puis nié que les projets qui circulaient étaient de vraies hypothèses de travail, la dernière réunion de COPIL (Comité de Pilotage de la réforme) a montré qu’il était bien prévu, depuis le début, de fermer certaines classes et baisser massivement l’enseignement de mathématiques en Classes Préparatoires ECG.

L’enseignement de culture générale (lettres et philosophie) a lui aussi fait l’objet de menaces de diminution de son volume horaire. À travers la culture générale, c’est notamment l’acquisition de compétences fondamentales qui est en jeu : la rédaction, l’argumentation, la structuration de la pensée, la problématisation, etc.

Cette menace sur le volume horaire se double d’une autre menace : celle de transformer la culture générale en un enseignement de questions contemporaines coupées des humanités, ce qui reviendrait à une mutilation portant atteinte aux ressources les plus vives de l’esprit critique. Ce serait là un pas inadmissible vers la superficialité. Généralement, les étudiants aiment cette matière et se souviennent ensuite avec bonheur d’avoir suivi un enseignement qui permet aux cadres qu’ils sont devenus d’avoir davantage de distance réflexive sur leur action et donc de mieux dominer leurs tâches.

Nous pensons qu’à rebours du projet annoncé, des parcours différenciés et ambitieux seraient préférables à un tronc commun qui nivelle par le bas, et des spécialités faméliques qui ne permettent pas d’atteindre le niveau de compétence nécessaire pour poursuivre des doubles diplômes et des masters exigeants proposés en Écoles de Management.

Nous sommes convaincus que les CPGE ont toujours un rôle à jouer, tant pour la promotion de l’égalité des chances que pour le maintien d’un maillage fin de l’offre d’éducation dans les territoires, ainsi que pour contribuer à la puissance économique et industrielle de la France.

C’est pourquoi nous nous opposons fermement à ce projet et nous nous permettons de vous en présenter les modalités et les risques. »

EN CONCLUSION

Les autorités françaises glissent une fois de plus dans la dérive américaine bien résumée par trois mathématiciens d’origine française qui ont observé le déclin de leur passion aux USA :

« La diversité au mépris de l’excellence

En effet, dans nombre de nos grandes institutions universitaires et de recherche, y compris les Académies américaines des sciences, l’Académie américaine des arts et des sciences, la Fondation américaine des sciences et les Instituts américains de la santé, l’excellence scientifique est en train d’être supplantée par la diversité comme facteur déterminant d’éligibilité aux prix et autres distinctions. Et certaines universités, marchant dans les pas de l’université de Californie, mettent désormais en œuvre des mesures visant à évaluer les candidats aux postes de professeurs et aux promotions sur la base non seulement de la qualité de leur recherche, de leur enseignement et de leurs services, mais aussi de leur engagement vis-à-vis de politiques diversitaires.

Plusieurs institutions ont même introduit des voies d’accès à la titularisation uniquement fondées sur les activités liées à la justice sociale. Les dommages potentiels que de telles mesures peuvent causer aux normes académiques dans les STEM sont immenses.

L’histoire des sciences regorge d’exemples montrant comment l’adhésion ostentatoire à une idéologie politiquement encouragée, facilement contrefaite par des scientifiques aussi opportunistes que médiocres, peut conduire à la dévalorisation de domaines universitaires entiers.5 »

Notre amie Karen Brandin, mathématicienne alerte depuis plusieurs années sur le sort cruel réservé à cette matière dans les programmes des lycées et collèges6 7

Des machines et des profs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

« Depuis plus de dix ans, nous sommes quelques-uns à alerter régulièrement sur cette entreprise de destruction massive et l’hémorragie scientifique qui ne manquera pas d’en résulter. Mais puisque l’on est seuls, puisqu’on est fous et qu’ils sont si nombreux, et puisque surtout, l’on est pris au piège du redoutable courant des baïnes de la “désinstruction nationale”2 selon le terme de René Chiche au point d’être empêchés de lutter efficacement contre cet Enseignement de l’Ignorance parfaitement décrit par Jean-Claude Michéa3 dans un essai prophétique du même nom, le temps semblait peut-être venu finalement de suivre les recommandations des sauveteurs en pareil cas : arrêter de lutter ; se laisser dériver, quitte à échouer sur un autre rivage que celui de l’enseignement.

Se laisser dériver pour ne pas se noyer dans une mer de désillusions et de trahisons successives. »

Dans cet article, elle rappelle que Christophe Besse (Directeur de l’Institut national des sciences mathématiques et de leurs interactions — CNRS) a fait un bilan chiffré tragique concernant notamment la sous-représentation des maths pures (section 25) et rapporté l’effondrement drastique du nombre de postes qui en l’espace de dix ans a été divisé par 4,5.

N’est-ce pas la disparition des enseignants qui poussent à cette réforme de l’enseignement des mathématiques en filière économique, comme la disparition des médecins a conduit à la fermeture des services hospitaliers et à des réformes iniques du système de santé visant à remplacer les docteurs par des machines ?

« Les maths agonisent ; elles dépérissent et comment pourrait-il en être autrement lorsque en terminale, ce sont rien de moins que 9 grands thèmes qui doivent être “traités” (bâclés) en l’espace de quelques mois, l’épreuve de spécialité étant programmée mi-mars (du 20 au 22 mars 2023 plus exactement). Une aberration de plus de cette réforme en tous points absurde qui verra son funeste apogée à compter du 19 juin avec l’imposture du Grand Oral, changé en mauvais concours d’éloquence, car, à compter de cette année, les élèves n’auront plus le droit d’utiliser le tableau comme support pour leur exposé. Il ne manquerait plus qu’il y ait du contenu !8

On veut de l’artificiel. C’est pourtant facile à comprendre.

Le fait est qu’il est bien difficile de s’arranger avec la réalité, car les maths sont et resteront une discipline littéraire avant d’être numérique et surtout une discipline du temps long, même si c’est impopulaire dans une société où il faut aller vite, où tout se règle à grand coup de QCM et où il est mal vu de discuter, d’argumenter, de démontrer.

Les notions en maths ont besoin d’infuser ; elles sont besoin d’être observées dans différents milieux, différents contextes. Les objets mathématiques, bien qu’abstraits, ont besoin d’être manipulés. Quant aux erreurs, il leur faut de la place pour être commises puis réparées, car plus que tout, ce sont elles qui sont riches d’enseignement et conduisent à une compréhension complète et définitive. Ce sont elles qui nous font progresser que l’on soit prof ou élève.

Ce temps, nous l’avons bien compris, on ne veut pas nous le donner et en réalité, on ne souhaite pas nous le rendre. En dédommagement, on préfère investir dans une IA qui promet de nous en faire gagner, en l’optimisant.

Mais tutelle ou pas, le programme est tellement démesuré à défaut d’être ambitieux, que cela contraint, condamne à un enseignement dégradé et maltraitant auquel on a honte de participer ; que l’on a honte de dispenser, faute de le cautionner ».

Il est temps pour les Français de reprendre leur pays en main, en imposant aux élus de revoir leurs copies, au ministre de raisonner sur le long terme, en recentrant l’enseignement à l’école sur les bases de la connaissance : lecture, écriture, calcul mental dans les petites classes et suffisamment d’heures de français, mathématiques, philosophie et histoire géographie dans les collèges et lycées au lieu de consacrer des heures à faire la propagande de la théorie du genre et de prôner l’éducation sexuelle comme la priorité du ministère de l’Éducation nationale.

Une république égalitaire et efficace doit aussi redonner aux examens leur caractère anonyme (écrits) et exigeant. Que les militants de la journée du 8 mars pour les femmes (en les discriminant de fait…) réfléchissent aux conclusions des professeurs dans leur lettre ouverte. Cette réforme de la réforme aboutira encore à une diminution du nombre de femmes dans ces filières. Alors plutôt que de grands discours, regardons les actes !

Sinon notre pays continuera à s’enfoncer dans un tiers monde dont les pays émergents sont sortis… Les choix dépendent de nous tous.





La journaliste Isabel Oakeshott explique sa décision d’avoir divulgué les messages WhatsApp de Matt Hancock

[Source : Anaïs Tea]

« Il me semblait qu’il n’y avait vraiment pas d’autre option que de les exposer. Pouvez-vous imaginer un journaliste digne de ce nom, ignorant de tels documents? »

Rappel des faits: Le 04 mars 2023 le Daily Telegraph a dévoilé des milliers de messages WhatsApp (+ de 100 000) mettant directement en cause Boris Johnson et son ministre de la Santé, Matt Hancock, concernant la gestion du Covid-19 au Royaume-Uni.

[Voir aussi :
Les « lockdown files » — Le nouveau scandale britannique révèle la gestion calamiteuse et « non-scientifique » de la pandémie covid]

Dans certains messages divulgués, le ministre ne se cache pas avoir utilisé la peur et la culpabilité pour imposer les confinements, demande quand sera déployé le prochain variant, et déclare même que Bill Gates lui en doit une « au vu du nombre de personnes à qui il a fait injecter ses puces ».

Pas de panique ce dernier message a été fait sur le ton de la boutade selon The Telegraph
https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/05/matt-hancock-joke-bill-gates-covid-vaccine-conspiracy-theory

https://www.telegraph.co.uk/news/2023/03/04/project-fear-covid-lockdown-files-matt-hancock-whatsapp 

https://www.telegraph.co.uk/news/lockdown-files