Les USA et l’OTAN risquent une guerre nucléaire en se préparant à attaquer la Russie

[Source : World Socialist Web Site]

Déclaration du comité de rédaction du WSWS

Face à la détérioration de la position militaire de l’Ukraine et aux avancées significatives des forces russes, les puissances de l’OTAN menacent d’une escalade massive de la guerre avec l’envoi direct de troupes de l’OTAN sur le territoire ukrainien et des frappes contre les infrastructures et les villes russes.

Sur cette photo fournie par le ministère sud-coréen de la Défense,
un missile Taurus vole lors d’un exercice au large de la côte ouest du pays en Corée du Sud,
le mercredi 13 septembre 2017.
[AP Photo/Ministère sud-coréen de la Défense]

Après un retrait d’Avdiivka, les forces ukrainiennes se replient à nouveau. Au milieu de pertes massives, l’armée ukrainienne ne peut pas recruter de remplaçants sur le front. « Zelensky est dans l’impasse sur la façon d’enrôler plus de troupes au fur et à mesure que les forces russes avancent », titrait dimanche le New York Times.

La semaine dernière, les membres des gouvernements de quatre membres de l’OTAN — la France, le Canada, les Pays-Bas et la Lituanie — ont déclaré qu’ils envisageaient d’envoyer des troupes de combat pour combattre la Russie en Ukraine. Puis, vendredi, les médias russes ont publié une discussion divulguée entre les chefs militaires allemands sur l’utilisation d’armes allemandes à longue portée pour frapper la Crimée. En même temps, le gouvernement britannique a avoué avoir envoyé un « petit nombre » de troupes en Ukraine.

Cette escalade irresponsable de la guerre procède sans aucune explication publique de ce que prévoit l’OTAN, encore moins de reconnaissance franche des conséquences potentiellement catastrophiques de l’envoi de forces en Ukraine et d’attaques contre la Russie.

Rejetant l’avertissement explicite lancé la semaine dernière par Poutine, qui a déclaré qu’une intervention directe de l’OTAN en Ukraine pourrait conduire à l’usage d’armes nucléaires, les dirigeants et les médias de l’OTAN se moquent du danger et affirment que Poutine fait du bluff.

[NDLR Pourtant, en Russie, contrairement aux USA, on ne joue pas au Poker, mais plutôt aux échecs.]

Rien ne justifie une telle complaisance. L’administration Biden et ses alliés européens sont engagés dans un jeu de roulette russe nucléaire incroyablement téméraire.

Oubliant apparemment qu’au début de la guerre, en février 2022, ils déclaraient que l’intervention directe de l’OTAN signifierait une troisième guerre mondiale, les dirigeants impérialistes disent à présent que la Russie ne ripostera pas, même face à une attaque directe. De plus, même s’il existe la possibilité d’une contre-attaque massive, ils déclarent que l’OTAN ne doit pas être dissuadée par ce danger.

Un argument avancé dans les médias et par les think tanks est que l’OTAN a commis une faute en exprimant son inquiétude quant à l’escalade de la guerre en Ukraine vers une guerre nucléaire avec la Russie.

« Se plier au chantage nucléaire de Poutine rend la guerre nucléaire plus probable », dit Peter Dickinson de l’Atlantic Council, un think tank américain. « L’Ukraine a souvent dénoncé le bluff de Poutine, exposant la vacuité des fanfaronnades nucléaires du dictateur russe. » Il a conclu, « Si l’Ukraine refuse de se laisser intimider par le chantage nucléaire de Poutine, on ne peut pas en dire autant de l’Occident… La peur occidentale d’une escalade est le grand obstacle. »

En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung écrit que la menace russe d’utiliser l’arme nucléaire « ne sera pas réalisée. Pas même si, comme cela arrive régulièrement, des missiles de croisière américains et britanniques attaquent des cibles militaires dans le territoire ukrainien annexé par la Russie, y compris la Crimée. » L’Institut Lowy, un think tank pro-OTAN australien, dit : « La question clé est de savoir si l’Occident appellera le bluff de Poutine ou cédera à sa posture nucléaire à enjeux élevés, une décision qui façonnera l’issue du conflit. »

En affirmant publiquement que Poutine ne fait que bluffer, l’OTAN l’incite à réagir de manière agressive et à dénoncer son erreur de calcul.

Tout en affirmant haut et fort que la Russie ne répondra pas, les stratèges américains et européens évoquent la possibilité d’une escalade nucléaire. Le New York Times a commencé à publier dimanche une série d’articles d’opinion extraordinaires sous le titre « Au bord du gouffre », axé sur « la menace des armes nucléaires dans un monde instable ».

Le journaliste qui dirige cette série, W. J. Hennigan, l’a lancée avec une chronique, « Le bord », qui commence par déclarer :

« S’il semble alarmiste d’anticiper les conséquences horribles d’une attaque nucléaire, considérez ceci : les gouvernements des États-Unis et de l’Ukraine ont planifié ce scénario depuis au moins deux ans. »

À l’automne 2022, écrit-il, « une évaluation par le renseignement américain a estimé à 50 pour cent les chances que la Russie lance une frappe nucléaire pour arrêter les forces ukrainiennes si elles violaient sa défense de la Crimée ». Il ajoute qu’avant, « l’administration Biden avait demandé à un petit groupe d’experts et de stratèges, une “Équipe tigre”, de concevoir un nouveau “playbook” nucléaire ».

En annonçant la campagne présidentielle du Parti de l’égalité socialiste, le dirigeant national du SEP (États-Unis), David North, a déclaré :

« Les puissances de l’OTAN ont dit plusieurs fois que la menace du feu nucléaire ne les dissuaderait pas de poursuivre la guerre. Ainsi on normalise le recours délibéré aux armes nucléaires tactiques et stratégiques, rejeté pendant des décennies comme étant synonyme de folie, mais à présent traité de composante légitime de la stratégie géopolitique impérialiste ».

La guerre est poussée à une échelle beaucoup plus grande et plus sanglante. Tout cela se fait dans le dos de la population, en s’appuyant sur la désinformation. Lundi, l’État allemand a menti de manière flagrante, affirmant qu’une convocation d’urgence de l’ambassadeur allemand au ministère russe des Affaires étrangères n’avait rien à voir avec les discussions divulguées sur les missiles allemands ciblant la Crimée.

La classe dirigeante ment, car elle veut être libre de mener à bien ses complots militaires. Il y a déjà une large opposition parmi les travailleurs et les jeunes à l’escalade militaire. Selon les sondages, 68 pour cent des Français et 80 pour cent des Allemands s’opposent à l’envoi de troupes européennes en Ukraine combattre la Russie que propose Macron. Dans la mesure où des masses de gens aux États-Unis et dans tous les pays de l’OTAN prennent conscience de ce qui se passe, cette opposition va s’accroître.

Le World Socialist Web Site dénonce la conspiration de l’impérialisme otanien pour entraîner l’humanité dans une catastrophe nucléaire. Il faut ôter le pouvoir à ces fauteurs de guerre. Leurs actes menacent de détruire la civilisation humaine. Il faut organiser des manifestations de masse dans tous les pays pour exiger le retrait total des forces de l’OTAN d’Ukraine et la fin immédiate du conflit. Il faut lier ceci au développement d’un mouvement anti-impérialiste dans la classe ouvrière internationale, contrant la barbarie capitaliste avec le programme de la révolution socialiste mondiale.




COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Il dénonce le totalitarisme, alors qu’il en est le principal agent en France

Plus gonflé que lui, on meurt par explosion.

Cet homme sorti de nulle part a été porté au pouvoir par un coup d’État judiciaire dont les organisateurs devraient avoir à répondre devant la Nation. Il a méthodiquement détruit les institutions, les grands services publics, vendus à l’encan à ses maîtres américains les ressources du pays et voilà que ce psychopathe obsédé par son nombril se prend maintenant pour un chef de guerre ! Depuis le début Emmanuel Macron triche et ment en permanence. Aujourd’hui il s’invente un monde qui n’existe pas et bascule avec emphase dans le délire :

« Il conviendra de ne pas être lâche. (…) La guerre est revenue sur notre sol, des puissances devenues inarrêtables sont en train d’étendre la menace, de nous attaquer chaque jour davantage : il nous faudra être à la hauteur de l’Histoire et du courage qu’elle implique. »

Toute de boursouflure, cette tirade est ridiculement ubuesque. Une nouvelle fois, Macron nous humilie à la face du monde qui ricane devant notre pays abaissé, dirigé par un pareil tocard. La lecture de la presse internationale qui s’intéresse encore à ses foucades est de ce point de vue accablante. Comment pouvons-nous supporter ça ?




« Les délires va-t-en-guerre sont tous simplement criminels ».




Les églises brûlent aussi au Canada

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : une église en feu à Fort Chipewyan, dans le nord de l’Alberta, en août 2022. Le bâtiment plus que centenaire a été complètement détruit. (Photo d’archives)
PHOTO : FACEBOOK/ALLAN ADAM]

Traduit de l’anglais. Article de Robyn Urback publié le 22 février 2024 sur le site du Globe and Mail.

Par Robyn Urback

Le mot « épidémie », autrefois limité à la description de la propagation d’une maladie, a évolué, tant dans le langage courant que dans le langage officiel, pour désigner toutes sortes d’activités délétères qui se sont répandues. La violence sexiste est une épidémie, selon le gouvernement fédéral et diverses municipalités. Il en va de même pour la dépendance aux opioïdes et à d’autres drogues, comme le décrit le comité permanent de la santé du gouvernement. La solitude est une épidémie, selon l’Institut national du vieillissement. Même le problème des vols de voitures au Canada a été qualifié d’« épidémie » par divers médias.

[…]

Si le contexte était différent — cible différente, histoire différente, groupe différent d’auteurs présumés — les incendies criminels qui ont frappé les églises catholiques du Canada au cours des trois dernières années pourraient être qualifiés d’« épidémie ». Les militants des droits de l’homme se rassembleraient sur la colline du Parlement, brandissant des pancartes énumérant les noms des deux douzaines d’églises qui ont été complètement détruites par des incendies criminels confirmés depuis mai 2021 (selon un décompte du média de droite True North, 47 ont été endommagées par le feu — dont beaucoup dans des circonstances suspectes — et 53 autres ont été vandalisées). Les politiciens de tous les partis se lèveront dans l’hémicycle pour condamner les attaques. Les Canadiens exigeraient une enquête et le gouvernement nommerait un représentant spécial/envoyé/rapporteur chargé d’assurer la liaison avec les communautés et de faire rapport.

Il y aurait très certainement une réaction nationale vigoureuse si des mosquées ou des synagogues étaient incendiées, plutôt que des églises. Mais les chrétiens du Canada ne sont généralement pas considérés comme une minorité persécutée (même si le fait de voir leurs lieux de culte incendiés constitue sans doute un certain degré de persécution). De plus, l’histoire de cette affaire est complexe : Les incendies ont débuté à la suite d’informations faisant état de tombes anonymes sur les sites d’anciens pensionnats gérés par l’Église. Si l’on ajoute à cela une politique sociale inconfortable — dans certains cas au moins, les incendiaires présumés sont des autochtones —, ce que l’on pourrait qualifier d’« épidémie » nationale est pour l’essentiel passé sous silence.

Au début du mois, le pasteur de la paroisse Blessed Sacrament de Regina a diffusé des images de surveillance montrant un homme tentant de mettre le feu à l’église. Le député de Saskatoon-University Corey Tochor a demandé le consentement unanime de la Chambre pour condamner l’acte, mais cela lui a été refusé. L’année dernière, après l’incendie de deux églises dans sa circonscription, le député de Peace River-Westlock, Arnold Viersen, a tenté à plusieurs reprises de faire adopter par la commission permanente des affaires autochtones et du Nord une motion condamnant ces actes. Il s’est heurté à la même fin de non-recevoir.

Nous ne savons pas si tous les incendies criminels ou les actes de vandalisme perpétrés dans les églises au cours des trois dernières années étaient l’expression d’une vengeance calculée à l’encontre de l’Église catholique. D’une part, l’histoire des tombes anonymes sur les sites des pensionnats est devenue plus alambiquée ; sur la grande majorité des sites signalés, aucun reste n’a été trouvé jusqu’à présent (ce qui ne veut pas dire que des enfants ne sont pas morts dans des circonstances horribles dans ces pensionnats). Les incendies n’en ont pas moins continué. Quatre églises de l’Alberta ont brûlé en décembre ; la police enquête sur ces incendies criminels.

Bon nombre des personnes accusées de vandalisme ou d’incendies suspects dans diverses églises semblent être touchées par des problèmes tels que le sans-abrisme, la toxicomanie et l’anarchie chez les jeunes, ce qui suggère que, comme pour la plupart des épidémies sociales, il n’y a pas de cause fondamentale unique. Mais l’effet est plus simple : les communautés perdent leurs lieux de culte et les individus perdent le sentiment de sécurité dont ils devraient jouir dans l’endroit où ils choisissent de pratiquer leur foi. Les églises, comme tous les espaces religieux, ne sont pas de simples structures ; elles fonctionnent plutôt comme des symboles de leurs communautés. C’est pourquoi, lorsqu’elles sont attaquées, c’est l’ensemble du groupe religieux — et pas seulement certains paroissiens ou fidèles — qui se sent victime.

Il n’est pas surprenant que certains dirigeants politiques ou militants sociaux hésitent à condamner les attaques contre les églises. Nous vivons à une époque où les hiérarchies de pouvoir perçues régissent les dogmes et où les personnes et les institutions sont classées dans les catégories inamovibles d’« oppresseurs » et d’« opprimés ». Et qui veut être vu en train de défendre la grande et puissante église au détriment de ceux qui ont été historiquement marginalisés ? (Un fait gênant est que certaines des églises détruites étaient situées dans des communautés autochtones et comptaient des fidèles indigènes).

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale

[Voir aussi :
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2039965/eglise-feu-canada]




La nouvelle histoire Le nouveau délit belge : « l’atteinte méchante à l’autorité de l’État »

[Source : bam.news]

Par Marcan

Le 22 février, le Parlement belge adoptait le livre II du Code pénal au sein duquel figure un nouveau délit aussi vague que préoccupant : l’atteinte méchante à l’autorité de l’État.
Après le DSA européen et la loi française contre les dérives dites sectaires (adoptée dans un simulacre de démocratie), cette criminalisation de la contestation constitue un clou supplémentaire dans le cercueil de la liberté d’expression. Mais dormez sur vos deux oreilles, c’est sous le noble prétexte de « protéger les valeurs fondamentales de notre démocratie » qu’on nous présente ces merveilleuses initiatives…

Inscrite dans une mise à jour exhaustive du Code pénal belge, la nouvelle notion d’« atteinte méchante à l’autorité de l’État » côtoie dans une même loi les crimes de guerre, la prise d’otages, l’écocide, la torture, les homicides intrafamiliaux, le voyeurisme, le viol…

Dans sa formulation initiale, l’article de loi définissait l’« atteinte méchante à l’autorité de l’État » comme un acte intentionnellement nuisible et manifeste, qui défie directement l’autorité légale ou encourage la désobéissance. La version finale de cet article de loi introduit cependant des distinctions importantes : elle réprime non seulement les actes nuisant à l’autorité de l’État, mais aussi ceux menaçant la sécurité nationale, perturbant l’ordre public ou entravant la prévention des infractions. Elle impose également des peines plus rigoureuses, tout en les modulant en fonction de la catégorie de la loi transgressée et de la sévérité de l’infraction commise.

Peine de niveau 1 : Travail d’intérêt général ou amende de 80 à 800 €.
Peine de niveau 2 : Jusqu’à 3 ans de prison pour des infractions plus graves, avec des alternatives comme les amendes (de 200 € à 2000 €) ou le travail d’intérêt général.
Peine de niveau 5 : De 10 à 15 ans de prison pour des infractions très graves, telles que la prise d’otage ou la torture de personnes vulnérables1

Avis négatif du Conseil d’État

Les débats parlementaires avaient pourtant révélé une tension notable entre la volonté de renforcer l’autorité de l’État et la nécessité de préserver les libertés fondamentales.

Le Conseil d’État a mis en évidence l’importance d’une définition précise des termes tels que « ordre public » et « atteinte à l’autorité de l’État », soulignant le risque d’une interprétation trop large qui pourrait engendrer des restrictions disproportionnées des libertés individuelles. Le besoin d’aligner strictement toute nouvelle législation avec les directives de la Cour européenne des droits de l’Homme a été un leitmotiv, avec des rappels fréquents sur la nécessité de maintenir un équilibre entre la sécurité de l’État et les libertés démocratiques.

Des membres du parlement fédéral, tels que Mme Rajae Maouane (Ecolo‑Groen) et M. Philippe Lamberts (Ecolo‑Groen), ont exprimé leur inquiétude sur la possibilité que la loi soit utilisée pour restreindre indûment les manifestations et la liberté d’expression, des piliers démocratiques essentiels inscrits dans la constitution. Ils ont plaidé pour une approche mesurée et proportionnée, en accord avec la jurisprudence existante.

Des débats ont également porté sur la redondance potentielle de la loi, avec des arguments selon lesquels les infractions déjà existantes couvraient suffisamment le champ d’action de la nouvelle loi proposée. Cela a soulevé des questions sur l’utilité concrète de cet article, avec certains intervenants craignant qu’il ne serve à introduire des mesures punitives supplémentaires non nécessaires, qui pourraient être exploitées de manière arbitraire.

Mme Sophie Rohonyi (DéFI) a rappelé l’importance cruciale de la loi dans la protection de la liberté de la presse et de la critique gouvernementale, évoquant la nécessité de garantir que toute mesure législative soutienne et ne mine pas ces droits fondamentaux.

Un collectif de 513 signataires tire la sonnette d’alarme

Dans une carte blanche publiée dans Le soir du 15 février2, un collectif de 513 signataires issus du monde associatif, universitaire, judiciaire et de la société civile ont attiré l’attention des politiques et du public sur les dangers d’une telle loi pour la liberté d’expression et la démocratie.

Nature antidémocratique de la proposition

Le collectif considère que la désobéissance civile, qui consiste en des actes de transgression de la loi de façon publique, collective, consciente et non violente, est un élément fondamental et traditionnel dans l’évolution des civilisations. Ils soulignent que la désobéissance civile ne remet pas en cause l’État de droit, mais vise à instaurer un débat public essentiel à la démocratie. Les auteurs de la carte blanche rappellent que la désobéissance civile a été un moteur important de changement social et politique tout au long de l’histoire. La désobéissance civile a été cruciale pour le mouvement des droits civiques aux États‑Unis, aboutissant au Civil Rights Act de 1964 avec Martin Luther King. Elle a également mené à l’indépendance de l’Inde avec Gandhi. Son rôle a été déterminant dans l’acquisition du suffrage féminin. Enfin, elle a contribué à la fin de l’apartheid en Afrique du Sud avec Nelson Mandela. La loi proposée, en criminalisant de telles actions, sape les fondements de la démocratie.

Dangers liés à l’application de la loi

Le collectif considère également que son champ d’application trop étendu, permet potentiellement la criminalisation de la protestation dans un sens large et compromet gravement le droit à la liberté d’expression et de protestation. De plus, son application pourrait créer des inégalités devant la loi et compromettre la sécurité juridique.

Redondance et inutilité de la loi

À l’instar de certains parlementaires, le collectif considère que la disposition est redondante, car la désobéissance civile est déjà couverte par la liberté d’expression protégée par des textes internationaux, européens, régionaux et nationaux. Ils affirment que la nouvelle infraction ne représenterait aucun avantage et que des dispositions similaires, qui finissent par être utilisées dans un contexte différent de celui initialement prévu, ont déjà été observées par le passé.

Le collectif insiste donc sur le fait que cette proposition de loi est antidémocratique, dangereuse et inutile et qu’elle contredit la tendance au sein même du monde politique à reconnaître l’importance de la désobéissance civile pour le débat démocratique. Ils exhortent les parlementaires à rejeter fermement cette disposition, la considérant comme une menace sérieuse pour les droits fondamentaux.

« Qu’à cela ne tienne ! »

Malgré le concert de désapprobations émanant du Conseil d’État, de l’Institut Fédéral des Droits Humains, ainsi que des voix associatives, universitaires, judiciaires et de la société civile, la majorité du parlement est resté sourde et a finalement adopté la loi3.

Maigre consolation : l’État, dans sa grande mansuétude, appliquera la loi deux ans après sa publication… Probablement le temps de s’accoutumer à notre nouveau régime démocratique en apprenant à ne pas être méchant envers l’autorité de l’État… En route pour la démocratie absolue, où l’allégeance pour le pouvoir est inscrite dans le Code pénal.

Marcan pour BAM !


1 Un nouveau code pénal adapté au 21e siècle — Team Justice




Les origines du Plan Marshall

Par Christian Eyschen

Note de lecture

Les origines du Plan Marshall par Annie-Lacroix Riz

Depuis l’annonce du plan Marshall, au printemps 1947, s’est imposée dans la zone d’influence américaine la conviction que les prêts en dollars des années 1948-1951 avaient apporté une aide décisive aux «pays bénéficiaires». Ils auraient seuls sorti l’Europe occidentale de la faim, de la misère, des ruines et permis sa reconstruction. Ils l’auraient aussi protégée de l’Armée rouge de Staline qui corsetait l’Europe orientale.
Se fondant sur la chronologie et les archives, notamment américaines, Annie Lacroix-Riz éclaire autrement ce dossier. Elle revient sur les accords cruciaux qui, en six années seulement, ont ouvert la porte aux produits et capitaux américains : le Prêt-Bail à l’Angleterre, en 1941-1942, les accords de Bretton-Woods mondialisant le dollar, en juillet 1944, et les accords Blum-Byrnes de mai 1946.
Ces six années marquèrent l’avènement d’un projet qui, loin de dater de la Seconde Guerre mondiale, avait été initié et mené sans répit depuis les années 1890. En définitive, il s’agissait moins de tendre une main secourable à l’Europe que de mettre en place une hégémonie financière, commerciale, politique et culturelle.

Cet ouvrage, monumental à bien des égards, est sous-titré « Le mythe de l’aide américaine ». C’est ce thème qui est traité avec force arguments et documents par notre amie et camarade Annie Lacroix-Riz. Le sujet étant à la fois politique, économique, technique, il n’était pas simple d’en faire une approche globale et compréhensible. En cela, ce livre est une réussite.

La thèse « impérialiste » était que, mus par un élan généreux, les États-Unis avaient, quasiment philanthropiquement, porté secours à la vieille Europe pour se redresser après le désastre de la Seconde Guerre mondiale. Le vieil adage populaire qui dit que le cœur est à gauche et le portefeuille à droite est plein de vérités et l’auteure le démontre.

La Première guerre mondiale n’a eu que des vaincus et un seul vainqueur : les USA qui vont alors dominer le monde et imposer leur Talon de Fer. Dès lors, ils vont n’avoir de cesse que d’imposer leurs intérêts, leurs politiques, leur économie, leur ordre militaire au monde entier. Et cela sur tous les plans.

L’auteure détaille beaucoup, et à raison, l’interventionnisme nord-américain dans le cinéma pour imposer ses films et son idéologie. L’utilisation après la guerre du Festival de Cannes en fut sans doute une pierre importante et annonciatrice. Les Accords Blum/Byrnes à la sortie de la guerre sont une soumission croissante à Hollywood et à ses intérêts, l’Art y a peu à voir.

Ce livre montre aussi les accords économiques entre Washington et Berlin, de tout temps pourrait-on dire, notamment par des consortiums d’intérêts économiques communs, y compris entre 1939 et 1945. La reconnaissance du ventre sera telle que, par exemple, les Américains assureront après 1945, 2 200 calories aux Allemands vaincus et leurs prisonniers contre 1 200 aux Français. Le coffre-fort a ses raisons que le cœur ignore.

Cet ouvrage très riche et documenté démontre bien des choses de ce genre. Toutes les négociations à partir de 1945 n’avaient pour but que d’assujettir les économies européennes aux besoins américains. Le journal libéral Anvers Nieuwe Gazette eut cette heureuse formule : « Les Américains ne prêtent pas de l’argent aux Français pour que ceux-ci deviennent des concurrents, mais pour qu’ils restent de bons clients ».

Cette formule s’appliquera partout et réduira à néant les économies et les Empires coloniaux de l’Angleterre et de la France, et anéantira littéralement l’économie anglaise qui ne devint plus qu’une dépendance des USA. La Zone Dollar évincera la Zone Sterling. Les Accords de Bretton-Woods en étaient l’instrument dominateur et destructeur.

Les « aides » américaines étaient constitutives d’un véritable pillage des économies européennes en général et en particulier de la France. Et les USA imposaient aux pays « vainqueurs » de racheter à prix d’or leurs surplus militaires dont la qualité militaire était plus que contestable et bien obsolète.

L’ouvrage ne traite pas du Plan Marshall, je pense que cela sera logiquement dans l’ouvrage suivant, mais il montre bien le cadre dans lequel celui-ci va se mettre en place : un alignement complet sur tous les plans. L’auteure montre aussi que la demande de l’URSS d’avoir des réparations allemandes en biens matériels s’est toujours heurtée au veto de la Maison-Blanche, ce qui était une constante depuis le Traité de Versailles. Il ne fallait l’URSS d’aucune manière.

On voit bien que cette politique économique n’était pas du tout éloignée de la politique en générale et que la « future » Guerre froide se mettait en place à travers cela. L’auteure montre aussi que la situation économique dramatique et l’assujettissement croissant aux USA n’a pas été étrangers à la démission de de Gaulle du gouvernement et à son départ du pouvoir le 20 janvier 1946. Ne voulant pas porter le chapeau, il remit son képi.

On voit bien aussi que Roosevelt et Truman avaient une « Politique Vichyste » jusqu’au bout et même après. Les Accords Clark/Darlan de fin 1942 visaient à « faire glisser Vichy à Alger ». Cet « antigaullisme » primaire les conduira à protéger et à faire recycler la plupart des Pétainistes notamment par le MRP, jugé plus sûrement anticommuniste que la SFIO. Le Canard Enchaîné avait bien raison de l’appeler la « Machine à Ramasser les Pétainistes ».

Un dernier point qui m’a aussi beaucoup intéressé : Paul Vignaux, dirigeant de la CFTC et animateur du courant « Reconstruction » qui va la déconfessionnaliser pour la transformer en CFDT, est recruté comme agent de l’OSS (Office of Strategic Services), ancêtre de la CIA, en 1942 par Allen Dulles. Après la guerre, les Américains lui verseront « pour son action anticommuniste » quelques millions pour ses activités « syndicales ». Il est curieux que l’on n’ait jamais entendu « CFTC-CFDT-CIA », sans doute parce qu’elle avait conclu un « Pacte d’union syndicale » en 1966   avec la CGT, qui servait bien la politique du PCF ?

Cet ouvrage donne d’utiles renseignements sur bien des aspects historiques et économiques. Il est à lire, étudier, et relire, tant la foison de documents est grande.

Christian Eyschen

Les origines du Plan Marshall par Annie-Lacroix Riz — éditions Armand Colin — 572 pages — 29,90 €




L’effondrement de l’empire américain

[Source : littoria.substack.com]

Par Joseph Jordan

Les idéologues néoconservateurs/sionistes comme Robert Kagan ont beau écrire sur le caractère exceptionnellement inévitable de l’ordre mondial américain, les citoyens américains ont le sentiment général que leur pays n’a pas d’avenir. Cette impression est-elle justifiée ? Ceux qui étudient le déclin impérial peuvent examiner les observations historiques et les parallèles pour en décider.

Certes, le recours à l’historicisme pour tenter de prévoir les évolutions géopolitiques à court et moyen terme est une science imparfaite, qui prend souvent la forme de devinettes ou d’affirmations intuitives fondées sur des préjugés.

Le problème réside en partie dans le fait que l’on se fie trop à l’histoire ancienne, en particulier à celle de Rome, comme point de référence pour comprendre la montée et la chute des empires. Le manque de données spécifiques concernant les développements qui ont abouti à la chute de Rome a conduit les commentateurs ultérieurs à combler les lacunes à travers les prismes idéologiques de leur époque. Par exemple, l’historien britannique du XVIIIe siècle Edward Gibbon a désigné la décadence comportementale de l’élite romaine comme le catalyseur de sa chute. La pureté morale individuelle était une fixation forte pour les Anglais protestants comme Gibbon à son époque, mais cette théorie peut être remise en question par des informations révélant des dérives morales à grande échelle chez les dirigeants romains pendant la préparation et la réalisation de l’apogée territoriale de l’empire au IIe siècle après J.-C., par exemple Caligula ou Néron, dont l’obscénité est tristement célèbre.(([1] Il n’est pas sûr du tout que ceci représente un réel contre-argument de l’hypothèse de Gibbon, car il est au contraire plausible que la déchéance morale pourrisse seulement progressivement les diverses composantes (économiques, industrielles, éducatives, etc.) d’une civilisation, ceci en finissant par toucher la majorité ou au moins une minorité influente et déterminante de la population — NDLR.)) Aujourd’hui, les récits accusant le changement climatique d’être à l’origine du déclin de Rome, une obsession du XXIe siècle, ont pris de l’ampleur.(([2] Dans le cas d’une influence climatique, il est en effet nettement plus probable que le froid excessif soit plus destructeur de civilisations qu’une augmentation de température de quelques degrés. Preuve en est que l’Afrique tropicale et équatoriale est loin d’être déserte et c’est même la région du monde qui connaît la plus forte croissance démographique. Alors qu’à l’opposé, il ne devait pas faire bon vivre en Europe lors de la dernière période glaciaire — NDLR.))

Une comparaison plus directe avec la chute de l’Union soviétique, pour laquelle des informations détaillées sont disponibles, est plus utile pour enquêter sur le malaise et la viabilité à long terme de l’empire américain. Les États-Unis de 2024 partagent plusieurs tendances démographiques avec l’Union soviétique des années 1970 — « l’ère de stagnation » — qui a finalement conduit à l’implosion de la grande superpuissance eurasienne en 1991.

En examinant le pronostic à court et moyen terme (10 à 30 ans) de l’empire américain, nous le comparerons également à ses principaux adversaires : principalement la Russie et la Chine, et, en complément (plus encore dans les articles suivants), l’Iran.

Cet auteur souligne qu’il n’a pas l’impression que la Russie, la Chine ou l’Iran puissent vaincre l’empire américain à eux seuls. Ces trois pays présentent des avantages différents par rapport aux États-Unis dans leur lutte historique contre l’unipolarité néolibérale, mais aussi des inconvénients en tant que candidats individuels, ce qui laisse penser qu’un avenir sans Pax Americana pourrait être celui d’avant la Seconde Guerre mondiale, limité aux sphères d’influence naturelles, plutôt qu’une recréation des efforts ambitieux de Washington pour dominer le monde. Si les trois puissances se coordonnent et s’unissent — comme le suggère le partenariat « sans limites » de la Chine et de la Russie ou les pactes pluriannuels des deux puissances avec l’Iran — l’ordre mondial libéral d’après-guerre dirigé par Washington pourrait s’effondrer plus tôt que prévu.

La Russie et la Chine restent derrière l’Amérique sur un large éventail de paramètres, mais ce qui est impossible à nier, c’est qu’elles commencent à rattraper leur retard alors que les États-Unis se trouvent globalement à un point d’inflexion. En 2021, Xi Jinping a souligné ce point dans son discours, affirmant que « le temps et l’élan » étaient du côté de la Chine.

Un point logique à souligner est que, d’une manière générale, la vie des Russes et des Chinois ordinaires s’améliore objectivement, alors que les choses se détériorent manifestement en Amérique. Cela seul peut créer des divergences dans le moral national lors d’une compétition entre grandes puissances.

Les facteurs économiques, militaires, politiques et autres qui annoncent l’échec et la neutralisation géopolitique des États-Unis et de leur idéologie sur la scène mondiale seront examinés dans de futurs articles.

Partie I : Démographie

L’un des premiers symptômes du déclin d’une nation est l’effondrement de la santé sociale et humaine. Souvent, de petits changements dans les données liées au bien-être de la population témoignent de la partie immergée des problèmes, plus importants et plus systématiques au sein d’un peuple.

Au plus fort de la « stagnation de Brejnev » en URSS, au milieu et à la fin des années 1970, les démographes ont commencé à spéculer sur la santé de l’empire autrefois apparemment tout-puissant après avoir découvert que les taux de mortalité infantile du pays commençaient à augmenter. Bien que cette augmentation soit mineure — seulement quelques points de pourcentage — elle a brisé un cycle de décennies de progrès rapides en matière de capacité de survie des nourrissons soviétiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Cela était déroutant pour les observateurs traditionnels de l’époque, car l’Union soviétique jouissait, financièrement, d’une relative prospérité en raison d’un boom mondial des exportations de pétrole déclenché par l’embargo pétrolier de la Ligue arabe en 1973. L’URSS de Leonid Brejnev (qui a gouverné de 1964 à 1982) a planifié son économie pour devenir un pair militaire des États-Unis (en particulier dans le domaine des armes nucléaires), a été puissante sur le plan industriel et a égalé ou devancé ses rivaux dans le monde dans divers domaines de pointe, tels que l’aérospatiale.

Pourtant, malgré le succès superficiel du système, l’atout le plus important de l’URSS, sa population, commençait à montrer des signes de décadence et de misère.

Aujourd’hui, aux États-Unis, nous observons des tendances similaires.

Dans le contexte soviétique, les minorités d’Asie centrale au sein de l’espace soviétique multiethnique, qui bénéficiaient de privilèges économiques, sociaux et juridiques particuliers (avant l’Amérique, les bolcheviks de l’Union soviétique ont créé la première nation à pratiquer une discrimination raciale officielle à l’encontre de ses propres citoyens appartenant à la majorité ethnique, comme l’explique Terry Martin dans son livre The Affirmative Action Empire, publié en 2001), ont connu une croissance beaucoup plus rapide que la population slave, moins fertile, au cours des années 1960 et 1970. En 1979, les Russes ethniques ne représentaient plus que 52 % de la population soviétique.

Comme l’a montré le livre Bowling Alone de Robert D. Putnam paru en 2000, le multiculturalisme/multiracialisme est fortement corrélé à l’aliénation et à la méfiance. Comme l’URSS en période de récession, la composition raciale de l’Amérique a radicalement changé au cours des 50 dernières années, les Blancs représentant désormais moins de 58 % de la population.

Outre les problèmes nationaux créés par l’aliénation raciale et culturelle, les changements démographiques entraînent des changements dans l’ensemble de la société. Les nations commencent naturellement à prendre le caractère des pays d’origine des nouvelles populations qui les peuplent, ce qui, dans le contexte américain, signifie qu’elles prennent du retard sur la périphérie de leur empire, telles que l’Europe occidentale, dans des secteurs critiques. Il s’agit là d’un autre point commun avec l’URSS des années 1970, où la patrie soviétique elle-même était en proie à des dysfonctionnements et où le niveau de vie était inférieur à celui des protectorats du Pacte de Varsovie homogènes sur le plan ethnique et racial, tels que la Hongrie ou l’Allemagne de l’Est. Les nations non blanches et non asiatiques pourraient peut-être réussir, mais cela nécessiterait une gouvernance illibérale, une cohésion ethnoculturelle et une discipline imposée dont les pays totalement multiraciaux (comme l’Amérique ou le Brésil) semblent être dépourvus.

Comme on pouvait s’y attendre, ce n’est pas une coïncidence si les États-Unis sont confrontés à une baisse du niveau de vie et à une dégradation sociale, y compris au sein de la majorité blanche autrefois prospère, ce qui les place dans une situation gravement désavantageuse par rapport à leurs concurrents géopolitiques.

En 2022, le Center for Disease Control a rapporté que la mortalité infantile aux États-Unis a augmenté de 3 % pour la première fois depuis des décennies, passant de 5,44 décès infantiles pour 1 000 naissances vivantes l’année précédente à 5,60. En 2023, aucun progrès n’a été fait pour résoudre ce problème : le même chiffre a été rapporté.

En comparaison, la mortalité infantile en Russie est désormais plus faible. En 2023, il y a eu 4 807 décès pour 1 000 naissances vivantes, soit une baisse de 3,8 % par rapport à 2022. Il s’agit d’un exploit remarquable du gouvernement de Vladimir Poutine. En 2003, au début du règne de Poutine, la Russie a enregistré un taux alarmant de 16 156 décès pour 1 000 naissances vivantes, alors que les États-Unis avaient à cette époque un taux de mortalité infantile de 6,85.

Sur le front chinois, leur population massive est à la traîne de celle des États-Unis, avec 8,4 nourrissons qui meurent pour 1 000 naissances. Nous pouvons consulter ici la citation de Xi Jinping sur « l’élan ». La Chine a vu ce chiffre diminuer régulièrement de plus de 3 % chaque année, alors que l’Amérique subit l’inverse, ce qui suggère que, comme la Russie, on peut s’attendre à ce qu’elle surmonte cet obstacle.

Cette hausse de la mortalité infantile est en grande partie liée à l’augmentation de la population minoritaire américaine. Les Noirs et les Amérindiens en particulier ont des taux élevés de mortalité infantile en raison d’activités négligentes telles que la consommation de drogues, l’alcoolisme, les abus, ainsi que des services de santé surchargés ou mal administrés par les minorités. Dans le même temps, le taux de mortalité infantile augmente également chez les mères blanches, ce qui suggère que ces symptômes de détérioration nuisent également à la communauté blanche américaine.

Ce dépérissement des mesures fondamentales de la vie s’inscrit dans une tendance plus large. De 2019 à 2023, l’espérance de vie aux États-Unis est passée de 79 ans à 76 ans aujourd’hui. Ce chiffre convient davantage aux pays en développement qu’à ceux que nous considérons comme avancés. Parmi les pays libéraux américains développés, l’espérance de vie actuelle de l’Allemagne est de 82 ans, celle du Royaume-Uni de 82 ans, celle de la France de 83 ans, etc.

Après une légère augmentation entre 2022 et 2023, l’espérance de vie de 77 ans des Chinois dépasse désormais celle des Américains, une première historique pour la Chine. La Russie, qui mène une guerre brutale en Ukraine, a encore vu son espérance de vie augmenter entre 2022 et 2023 : 72 à 73 ans.

Pour en revenir aux chiffres de 2003, l’espérance de vie des Américains était de 77 ans, celle des Chinois de 73 ans et celle des Russes de 65 ans. Si l’on compare les données soviétiques à l’époque de la stagnation, on constate une fois de plus une similitude avec les États-Unis. Le Politburo a commencé à tirer la sonnette d’alarme en interne lorsqu’il a découvert que l’espérance de vie avait soudainement chuté d’une manière similaire à celle des États-Unis, passant de 69,5 en 1971 à 67,9 en 1978, un fait révélé publiquement et très controversé pendant la Perestroïka et la Glasnost.

La diminution de l’espérance de vie et l’augmentation de la mortalité infantile aux États-Unis, comme dans le cas de l’Union soviétique, sont alimentées par une explosion de la toxicomanie, de l’obésité, du suicide, des échecs institutionnels et d’autres mesures informelles de nihilisme et de désespoir enracinés dans l’anomie.

En 2023, il y a eu 112 000 décès par surdose de drogue, principalement parmi les jeunes.

Cela éclipse la Russie, qui est elle-même considérée comme ayant un problème de drogue. Lors d’une récente augmentation des surdoses de drogue en 2021, le pays qui compte moins de la moitié de la population américaine a subi 7 316 overdoses mortelles, en partie dues à l’ennui ou à la solitude pendant la COVID.

En Chine, avec une population de 1,4 milliard d’habitants et une crise historique de dépendance à l’opium dans le rétroviseur, le taux de décès liés à la drogue est d’environ 49 000 par an.

Dans le domaine du suicide, la Russie a longtemps eu la réputation d’être un leader mondial dans cette catégorie, mais les États-Unis l’ont désormais discrètement dépassée.

En 2021, la Russie a connu 10,7 décès auto-infligés pour 100 000 habitants. La même année, le taux aux États-Unis a grimpé à 14,04 pour 100 000 habitants.

À titre de comparaison, en 2000, les Russes se sont suicidés au taux de 39 décès pour 100 000 personnes. Leurs nouveaux chiffres constituent donc un énorme pas en avant dans la résolution de ce problème.

En Amérique, nous subissons un étonnant recul. En 2000, les Américains étaient 40 % moins susceptibles de se suicider, avec un taux de 10,4 pour 100 000.

En Chine, les taux de suicide ont diminué, passant de 10,88 à 5,25 entre 2010 et 2021.

Dans le monde des maladies mentales graves, les États-Unis sont également en tête de leurs rivaux.

En 2022, environ 5 % des Américains souffraient de troubles mentaux graves, comme la psychose ou la schizophrénie, tandis qu’un citoyen américain sur cinq est soigné médicalement pour des formes plus légères comme la dépression clinique.

En Russie, environ 8,8 % des citoyens reçoivent un diagnostic de dépression clinique. Seulement 0,3 % des Russes sont schizophrènes. Il s’agit d’une autre forte baisse statistique par rapport au passé récent de la Russie.

Personne ne sera surpris d’apprendre que les Américains sont les plus obèses au monde, une comorbidité clé qui accélère ces problèmes démographiques. Cela ne nécessite pas de calculs.

Ce qui pourrait surprendre certains, cependant, c’est que les citoyens de l’Union soviétique des années 1970 et 1980 étaient également inhabituellement obèses.

Les citoyens soviétiques ont commencé à prendre du poids pendant l’ère Brejnev en raison de la plus grande disponibilité de nourriture par rapport au passé.

Dans une étude médicale commandée par l’État soviétique pendant la Perestroïka, il a été constaté que 30 % des citoyens étaient en surpoids et que les deux tiers étaient sédentaires, malgré de nombreuses possibilités de faire de l’exercice et du sport. Cela allait à l’encontre des efforts tant vantés de l’Union soviétique pour devenir internationalement connue comme une superpuissance sportive.

C’était un fait que le régime soviétique ne pouvait cacher dans les années 1970. Pour lutter contre l’épidémie d’obésité, le gouvernement a recherché des solutions technocratiques, ce qui a conduit à des recherches qui ont découvert de nombreux régimes spéciaux et traitements popularisés aujourd’hui, comme le jeûne intermittent.

Contrairement à la propagande de la guerre froide des deux côtés reliant l’obésité au capitalisme, les citoyens soviétiques étaient plus gros que les Américains. En 1975, seulement 20 % des Américains étaient considérés comme étant en surpoids.

Les données soviétiques publiées lors de la Glasnost et de la Perestroïka dans les années 1970 et 1980 ont également révélé une énorme augmentation des décès dus à l’alcoolisme, une augmentation des décès liés aux stupéfiants et une augmentation des taux de suicide. Cette crise sociale a continué à s’intensifier dans les années 1980, atteignant son apogée sous la présidence post-effondrement de Boris Eltsine, où l’espérance de vie d’un homme russe a été réduite à 57 ans.

La condition préalable à toute tentative de gestion d’un empire mondial est naturellement le bien-être et le bonheur de son peuple. Les Américains sont plus obèses, drogués, aliénés, malades mentaux et meurent de causes évitables à des taux plus élevés que les citoyens des pays cherchant à renverser l’ordre mondial américain. Ce n’est qu’une question de temps avant que ce différentiel ne devienne irréfutablement apparent dans l’équilibre mondial des pouvoirs.

Les économistes peuvent considérer la croissance du PIB américain, un sujet que nous explorons dans la prochaine partie, comme une preuve de la stabilité impériale. Mais les économistes libéraux n’ont pas d’analyse de la puissance dans leurs perspectives, et dans le domaine de la puissance militaire, technologique, de type « soft power » [« à la manière douce »] ou d’autres formes de concurrence internationale, celle-ci découle de la santé générale d’un peuple, de ses capacités et de sa foi dans le fait que ses dirigeants améliorent ses conditions de vie. Cela a été perdu depuis longtemps dans l’Amérique de 2024, et il n’est plus possible d’ignorer la gravité de la situation.

Tout comme les Russes ont été désenchantés par le système soviétique, le peuple américain (en particulier les Blancs) a renoncé à l’Amérique.

Partie II : Économie

[Source : littoria.substack.com]

Si nous devions identifier la clé du succès de l’Amérique au cours des deux guerres mondiales et de l’impasse avec l’Union soviétique, ce serait son économie dynamique et ses impressionnantes capacités de production.

Cette prouesse économique évidente a été réduite à celle d’une énigme. Une part substantielle de la valeur de l’empire américain aujourd’hui est imaginaire.

Si l’on s’en remettait uniquement à la discipline académique de l’économie pour l’interprétation, il serait difficile de comprendre comment une nation fortement financiarisée peut convaincre d’autres pays de continuer à produire des produits réels, physiques, que les citoyens d’une nation fortement endettée se vendent les uns aux autres et consomment à des taux qui ne sont pas compensés par les exportations nettes.

Il est difficile de rationaliser — bien que les économistes, à force de répétitions et d’affirmations, essaient — comment la Bourse de New York peut valoir 32,7 milliards de dollars alors qu’il n’y a que 2,3 milliards de dollars en circulation, s’il ne s’agit pas d’une pyramide de Ponzi glorifiée, truffée de titres et de fraudes comptables.

Il existe peut-être des explications plausibles, bien que tirées par les cheveux, sur la façon dont la valeur des actions de WeWork est passée de 4,4 milliards de dollars à 47 milliards de dollars en trois mois, mais nous sommes à court de mots lorsque nous enquêtons sur la façon dont 50 % de la richesse déclarée de cette entreprise a disparu de l’économie nationale en un jour.

Tous les chemins mènent au dollar américain, la monnaie de réserve mondiale, et à une autre énigme à résoudre. De 2008 à 2011, il a été découvert que la Réserve fédérale avait transféré 16 000 milliards de dollars de crédit bon marché qu’elle avait imaginé pour soutenir plusieurs banques et entreprises à travers le monde — une histoire que l’entité privée d’impression de billets s’est efforcée de garder secrète, hors de portée du public.

Pendant des années, le dollar a prospéré sous un régime de taux d’intérêt de 0 %, de déficits commerciaux massifs et de niveaux records d’emprunts et de dépenses fédérales. Le dollar américain reste un poids lourd et l’inflation — même si elle se fait davantage sentir aujourd’hui — ne provoque pas les crises apocalyptiques de la balance des paiements observées ces dernières années en Argentine ou en Grèce.

Les raisons de cette situation vont au-delà de l’économie conventionnelle, qui manque généralement d’examen du pouvoir et de la politique. La véritable force derrière le dollar omnipotent découle de la conquête impériale et de l’établissement de règles et d’institutions économiques créées par les vainqueurs après la Seconde Guerre mondiale. Certains appellent ce système post-industrialisme, mondialisme ou néolibéralisme, mais tous décrivent le même programme : le monde doit commercer en dollars américains, libeller ses dettes en dollars américains, libéraliser ses marchés et continuer à emprunter à des conditions souvent usuraires auprès des banquiers américains.

Ce nouvel ordre a été établi lors de la conférence de Bretton Woods en 1944. Lors de cette réunion de 44 nations, deux Juifs — Harry Dexter White et Henry Morgenthau — ont créé le Fonds monétaire international (FMI), qui agirait comme une structure de prêt prédatrice centrée sur le dollar pour toute l’Humanité.

Ce transfert radical de pouvoir ne convenait pas à tout le monde, y compris aux membres de la Grande Alliance. À Bretton Woods, White et Morgenthau se sont heurtés à la résistance de l’économiste britannique John Maynard Keynes, qui a suggéré la création d’une banque centrale mondiale qui émettrait une monnaie neutre, le Bancor, afin d’éviter les abus prévisibles du pouvoir de monopole monétaire dont Washington et New York allaient jouir dans le cadre du système du FMI. Bien que Keynes soit beaucoup plus connu, plus respecté au niveau international et plus convaincant dans le débat contre White et Morgenthau, son idée a été écartée en raison du fait que, par le biais du Lend-Lease Act, l’Amérique est devenue le créancier de l’Empire britannique. L’Union soviétique refusa catégoriquement de signer cet accord, mais son économie ayant été dévastée par la guerre, elle n’a pas non plus eu d’influence. Le mark allemand et le franc français étant détruits ou en perdition, les superpuissances européennes, épuisées et brisées, n’ont eu d’autre choix que d’accepter la dictature du dollar.

C’est ici que White et Morgenthau, fortement motivés par leur identité ethnique juive, ont forgé un squelette qui permettrait au monde de la haute finance, dominé par les Juifs, de devenir roi du monde.

Les pires craintes de Keynes se sont réalisées dès la fin de la guerre. Les États-Unis ont soudainement coupé toutes les lignes de crédit de la Grande-Bretagne après le jour de la Victoire sur le Japon et ont exigé des renégociations en échange de la poursuite de l’aide à l’allié supposé, militairement affaibli et en faillite. Les conditions extorquées du nouveau prêt comprenaient l’ouverture des vastes marchés protégés de l’Empire britannique aux entreprises américaines, la neutralisation de la livre sterling par des attaques contre sa convertibilité et diverses réformes visant à démanteler l’Empire britannique et le niveau de vie des travailleurs britanniques. Le prêt anglo-américain, comme on l’a désormais appelé, exigeait le paiement d’intérêts ainsi qu’un accord autorisant l’installation de bases militaires américaines sur les territoires britanniques. La Chambre des Lords a protesté contre cette prise de contrôle par l’argent et la puissance militaire des États-Unis, mais Keynes, malade et démoralisé, a été contraint par le fragile gouvernement travailliste de Clement Atlee de capituler. Il a fallu 50 ans au Royaume-Uni pour rembourser ces dettes.

Washington s’est retrouvé en possession d’opportunités infinies après la soumission militaire des puissances industrielles que sont l’Allemagne et le Japon, la base manufacturière américaine saine et sauve et la transformation de la Grande-Bretagne en un État vassal. L’« ordre libéral fondé sur des règles » — dans lequel Washington établit les règles et les enfreint quand bon lui semble — est né.

Dans le cadre de l’accord initial de Bretton Woods, Washington avait promis que le nouvel ordre économique fixerait la valeur du dollar sur l’or pour empêcher son utilisation abusive. Cela n’a pas duré.

Le dollar adossé à l’or a été une source de consternation pour New York et Washington tout au long de son existence, mais les choses ont atteint leur paroxysme dans les années 1960.

Avant son renversement lors de la tristement célèbre révolution de couleur menée par les Juifs en 1968, le général Charles De Gaulle cherchait à réaffirmer la souveraineté française contre le « privilège exorbitant » du dollar américain en abandonnant l’offre de dollars de son pays pour sa valeur en or. Bien que De Gaulle ait été renversé en 1969, sa rébellion contre le dollar a réussi à épuiser les réserves d’or du Trésor américain. Cela a abouti à une ruée sur le dollar américain — le « choc Nixon » — qui a forcé la Maison-Blanche, désespérée, à mettre arbitrairement fin à l’étalon-or de Bretton Woods en 1971 pour éviter un effondrement économique.

Depuis lors, le dollar a, de manière contre-intuitive, gagné en importance. L’économie postindustrielle américaine, axée sur la finance, a entraîné de graves souffrances économiques pour la classe ouvrière et la classe moyenne dans le pays, mais elle offre également aux oligarques du monde entier une incitation tentante à s’enrichir rapidement. Les étrangers détiennent aujourd’hui 40 % du capital des États-Unis, ce qui fait de l’acquiescement aux caprices politiques et impériaux de Washington et de New York un prix que beaucoup sont prêts à payer.

Pour les gouvernements et les élites étrangers peu enclins au risque, il est également rentable et sûr d’acheter de la dette américaine. Lorsqu’un débiteur possède une machine capable d’imprimer l’argent qu’il doit, il y a fort à parier que les créanciers seront remboursés, avec intérêts. Dans le cas de la Chine, maintenir le dollar fort tout en dévaluant le yuan en achetant la dette de Washington a traditionnellement servi de solution gagnant-gagnant, maintenant à un niveau élevé la demande des consommateurs américains pour les produits chinois.

Alors que les forces ploutocratiques à Washington deviennent de plus en plus agressives et misanthropes, plusieurs pays commencent à réexaminer leur entente avec l’empire américain. La politisation et la militarisation du dollar américain et le pouvoir américain sur les institutions financières, comme on l’a vu ces dernières années avec des régimes de sanctions totales et des gels d’actifs visant des pays comme l’Iran et la Russie, amènent de nombreuses personnes à remettre en question leur relation avec l’économie américaine.

Ce n’est qu’une question de temps avant que les ennemis de l’Amérique, dont la liste ne cesse de s’allonger, ne décident de couper l’herbe sous le pied de l’économie américaine. Une telle manœuvre pourrait provoquer le chaos dans la finance et le commerce mondiaux, mais les conséquences les plus graves seraient réservées à la classe dirigeante américaine à l’intérieur du pays, alors que le niveau de vie des gens ordinaires s’effondrerait.

Des taux d’intérêt sans précédent ont donné l’impression que le dollar est plus fort que jamais, mais il s’agit d’une illusion construite par la cannibalisation de l’Europe et du Japon. En soi, l’économie américaine désindustrialisée n’est ni compétitive ni durable.

Baisse du niveau de vie

Il est bien établi que l’une des principales sources d’instabilité politique (populisme, désespoir, révolution, etc.) est l’inégalité des richesses. Aujourd’hui, les États-Unis ont la répartition des richesses la plus déséquilibrée du monde développé, avec un coefficient de Gini de 41,5 (comparé aux deux rivaux du « second monde » : 36 en Russie et 38,2 en Chine).

Le véritable état de l’économie américaine est caché sous des piles de livres truqués et des gros titres de propagande exagérés comme « L’étonnante croissance économique de l’Amérique passe à la vitesse supérieure », mais cela peut à peine cacher les anecdotes croissantes qui gagnent des dizaines de millions de vues, comme des femmes sur les chaînes populaires TikTok déclarant que le nouveau « rêve américain » est d’émigrer.

Une partie de la désillusion massive à l’égard de l’économie américaine trouve son origine dans la manière dont elle sera structurée en 2024 par rapport à l’âge d’or de la classe moyenne des années 1950. L’impression générale est que le niveau de vie de la majorité des gens s’est dégradé.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’économie américaine représentait 45 % du PIB mondial, largement tirée par la production de biens physiques de haute qualité. Aujourd’hui, cette part de la richesse mondiale est tombée à 25 %, ce qui reste impressionnant, mais la répartition de cette activité économique a changé.

La financiarisation radicale de l’économie stimulée par les théories de l’économiste juif Milton Friedman dans les années 1980 a inauguré un nouveau système qui a commencé à centraliser le pouvoir économique et politique entre les mains de forces non productives du secteur des finances, des assurances et de l’immobilier (FIRE(([3] Finance, Insurance, and Real Estate en anglais — NdT.)) ).

Selon les données recueillies par Greta Krippner, en 1954, près de 40 % de la population active américaine était employée dans le secteur manufacturier, contre environ 5 % participant aux activités FIRE. Les États-Unis avaient déjà dépassé l’Empire britannique sur le plan économique après la Première Guerre mondiale, et le besoin mondial de produits américains a fait du pays une superpuissance exportatrice après la Seconde Guerre mondiale.

Au cours de la même période, ces 40 % de travailleurs du secteur manufacturier ont créé 35 % du PIB américain, tandis que le marché FIRE représentait environ 13 % de l’économie.

Cette influence sur l’économie a permis aux travailleurs américains de détenir un levier important sur le capital. En 1954, 35 % des salariés américains étaient syndiqués.

Suite à la mise en œuvre du friedmanisme pendant la « révolution Reagan », cette synergie socio-économique a été renversée.

En 2022, le Bureau of Labor Statistics a rapporté que seulement 12,8 % des travailleurs américains sont employés dans le secteur de la production de biens (construction, mines et fabrication). D’un autre côté, 70 % des Américains travaillent désormais dans le secteur des services, contre 15 % en 1954.

Moins de 10 % des travailleurs américains (environ 30 millions) sont employés à la fois dans le marché FIRE et dans les services professionnels qui les desservent (comptables, avocats, consultants, conseillers financiers, etc.). Pourtant, le pourcentage du PIB contrôlé par ce secteur a considérablement augmenté, passant de 13 % à 33 % aujourd’hui.

Les dépenses publiques (11,6 %) ont désormais dépassé l’industrie manufacturière (11 %) en termes de contribution au PIB. Ce phénomène est étroitement lié à l’effondrement des taux de syndicalisation, qui sont tombés à 10 %, bien que, même dans ce cas, environ la moitié des organisations syndicales soit composée de syndicats du secteur public qui détournent l’argent des contribuables. D’autres facteurs, tels que l’immigration de masse et l’externalisation — des éléments essentiels de la politique néolibérale antidémocratique et antipatriotique — jouent également un rôle important dans l’affaiblissement du pouvoir des travailleurs(([4] ou l’amoindrissement de la main-d’œuvre ouvrière — NdT.)).

Cette inégalité est encore aggravée par le plan économique de l’élite dirigeante américaine, axé sur la finance. Le mois dernier, on a appris que 10 % des Américains détenaient 93 % de toutes les actions. En ce qui concerne les bilans, le code fiscal américain punit le travail productif (impôt sur le revenu) tout en encourageant les activités spéculatives (faibles impôts sur les plus-values), ce qui signifie que les riches s’enrichissent tandis que la classe ouvrière s’appauvrit.

La stagnation de la création de richesses pour les salariés, en conjonction avec les activités moralement dangereuses du FIRE soutenues par la Fed, a rendu les nécessités de base comme le logement et la nourriture de plus en plus difficiles à payer pour les gens ordinaires.

Sur le papier, les travailleurs américains sont parmi les plus riches de la planète, avec un revenu médian compris entre 55 000 et 60 000 dollars par an. Mais il s’agit d’un chiffre politique créé par omission plutôt que par le reflet du niveau de vie réel.

Par exemple, un travailleur gagnant 50 000 dollars par an ne gagne qu’environ 39 129 dollars après impôts. Les employés américains de la tranche intermédiaire (50 à 100 000 dollars) paient 22 % d’impôt sur le revenu, ce qui est inférieur à la moyenne de l’OCDE ( 34 % ), mais en échange d’un tiers de plus, les citoyens des autres pays développés bénéficient de transports publics de haute qualité., des soins de santé universels et une éducation gratuite, tandis que les travailleurs américains sont censés payer tout cela de leur poche, souvent au moyen de prêts à taux d’intérêt élevés et de cartes de crédit. Le résultat est que le ménage moyen aux États-Unis est endetté de 128 824 dollars ( 17 300 milliards de dollars au total ), dont une part croissante provient de la dépendance excessive aux cartes de crédit pour joindre les deux bouts.

Pour qu’un ménage américain appartienne de manière plausible à la « classe moyenne », deux revenus sont nécessaires, mais cela ne constitue pas une garantie. En 2019, il a été découvert que 44 % des Américains occupent des emplois rémunérés à 18 000 dollars par an ou moins. Pour cette population — les travailleurs pauvres et les indigents — l’État fournit de la nourriture, une assurance sociale, des allocations sociales et des subventions aux soins de santé, ce qui accentue encore davantage le problème de la balance des paiements.

Cela a conduit à une évolution délicate, où des pays perçus comme un second monde, y compris la Russie, rivale des États-Unis, ont commencé à rattraper le niveau de vie longtemps admiré des États-Unis.

Après ajustement à la parité de pouvoir d’achat (PPA), un travailleur russe gagnant le salaire médian de Moscou de 19 200 dollars par an peut se permettre le même style de vie qu’un travailleur américain gagnant 72 000 dollars par an dans une grande ville américaine (Chicago, Los Angeles, New York, etc. ).

Les travailleurs russes paient un impôt forfaitaire de 13 % sur leurs revenus, ce qui leur permet en retour de bénéficier de transports publics de qualité et d’un système de santé universel. Selon les statistiques de 2017, la Russie a un taux de syndicalisation presque trois fois supérieur à celui des États-Unis, soit 27,5 %. Les travailleurs russes bénéficient de 28 jours de vacances payées chaque année, contre 11 jours en moyenne pour leurs homologues américains. 23 % des travailleurs russes sont employés dans les domaines de la production de biens, et 5,8 % supplémentaires participent au secteur agricole (la production agricole russe a doublé depuis le début des sanctions occidentales en 2022).

La répartition déséquilibrée des richesses reste un problème en Russie, mais le règne de Vladimir Poutine a considérablement amélioré la situation. Parmi les « Sept oligarques » hautement juifs qui, à un moment donné dans les années 1990, contrôlaient la moitié des richesses russes et la quasi-totalité de ses médias, la majorité d’entre eux ont été soit emprisonnés, soit contraints à l’exil par le gouvernement Poutine.

Les défenseurs de la domination économique mondiale de Washington citent souvent le milliard de personnes qui sont sorties de la pauvreté depuis 1990. Pourtant, l’essentiel de ce travail de lutte contre la misère s’est déroulé en Chine, où 800 millions de personnes ont été sorties de la pauvreté. Une grande partie de cette croissance de la richesse réelle a été tirée par le secteur manufacturier chinois, qui emploie 28 % des travailleurs. Le doublement de la classe moyenne chinoise entre 2012 et 2022 a permis à l’État de commencer à réorienter son économie vers la consommation intérieure alors que la guerre commerciale avec les États-Unis s’intensifie.

Taille, Balance commerciale et dette

Les médias américains ont prédit à tue-tête l’effondrement imminent de l’économie chinoise, mais en 2023, la Chine a connu une croissance du PIB de 5,2 %, contre 2,5 % pour les États-Unis.

Parmi ceux qui parient sur le fait que l’économie chinoise continuera à croître deux fois plus vite que l’économie américaine, on trouve les industriels américains les plus antipatriotiques. Tim Cook d’Apple, Elon Musk de Tesla et d’autres ont passé l’année 2023 à visiter la Chine pour annoncer l’expansion de leur participation économique dans le pays, malgré les efforts de Pékin pour surveiller et réglementer étroitement les investissements étrangers.

Pour les capitalistes occidentaux, perdre l’accès au marché chinois est impensable. En ajustant le PIB à la parité de pouvoir d’achat, l’économie chinoise a depuis longtemps dépassé celle des États-Unis. En 2023, la Chine représentait 30 300 milliards de dollars, tandis que les États-Unis arrivent en deuxième position avec 25 400 milliards de dollars.

Un fait moins connu est que l’année dernière, la Banque mondiale a rapporté que l’économie sanctionnée de la Russie (5 320 milliards de dollars) a discrètement dépassé l’Allemagne (5 300 milliards de dollars) pour devenir la plus grande économie d’Europe et la cinquième de la planète. Si la Russie dépasse le Japon stagnant (5 700 milliards de dollars) d’ici un an ou deux, trois des quatre plus grandes économies du monde appartiendront aux BRICS.

En y regardant de plus près, il convient de constater qu’il existe de sérieuses différences dans la santé de ces économies respectives. La Chine, dont le système économique est conçu pour exporter plus qu’elle n’importe, bénéficie actuellement d’un excédent commercial de 877 milliards de dollars, tandis que les Russes, riches en ressources, ont perdu 140 milliards de dollars grâce à la rotation de leur marché pétrolier vers l’Asie. En revanche, les États-Unis ont enregistré un déficit commercial de 773 milliards de dollars en 2023, même s’il s’agit encore d’une amélioration relative par rapport au déficit de près de mille milliards de dollars de l’année précédente.

La dette s’élève actuellement à 112 % du PIB américain, contre 66,5 % en Chine et 15,1 % en Russie. Le protectorat asiatique le plus important des États-Unis, le poids lourd économique japonais, est soutenu par une dette de moins en moins viable qui représente 232 % de son PIB.

Même si le « privilège exorbitant » du dollar américain peut permettre à l’Amérique d’importer bien plus qu’elle n’exporte, sa base manufacturière vidée de sa substance la place dans une situation sérieusement désavantageuse à l’ère de la concurrence des grandes puissances.

Entre le vaste potentiel manufacturier de la Chine et les abondantes ressources naturelles de la Russie, nous arrivons à un point où les sanctions et les guerres commerciales lancées par le G7 nuisent davantage aux agresseurs qu’à leur cible.

Selon l’indice de vulnérabilité de la chaîne d’approvisionnement, les États-Unis sont le pays au monde le plus vulnérableaux interruptions du commerce mondial. Cette interdépendance, où les États-Unis consomment sans produire, révèle une énorme disparité avec les Chinois, pleinement autosuffisants. Les droits de douane imposés par l’administration Biden sur 300 milliards de dollars de produits chinois imposés par l’ère Trump ont causé bien plus de dégâts aux capitalistes américains qu’aux entreprises chinoises.

Cette dynamique se ressent également dans le domaine des conflits cinétiques, comme le montre l’évolution de la guerre en Ukraine. La capacité de l’industrie russe à résister simultanément aux sanctions mondiales et à produire rapidement des armes a déconcerté l’OTAN. Le bloc atlantiste est incapable de continuer à fournir au régime Zelensky les armes nécessaires pour conserver le statut militaire artificiel de l’Ukraine, dont il a joui contre la Russie en 2022 et une partie de 2023.

Détrôner le roi du dollar

Le dollar américain, exceptionnellement puissant, est une source de misère à la fois pour les Américains ordinaires et pour une grande partie du monde.

Le taux de change élevé du dollar (et dans une moindre mesure de l’euro) par rapport aux autres monnaies mondiales est l’un des principaux moteurs de l’immigration massive des pays du Sud vers l’Occident, car les fonds envoyés par les migrants contribuent largement à l’économie de leur pays d’origine. Les immigrants qui versent de grosses sommes d’argent aux passeurs pour qu’ils les amènent en Occident sont souvent à la recherche de dollars et d’euros — un investissement qui ne vaudrait pas la peine si ces monnaies étaient ramenées à un taux de change plus réaliste et plus compétitif.

Au niveau national, en dehors des bénéfices records réalisés par les sept premières entreprises (en grande partie des entreprises technologiques surévaluées et des opérations improductives d’extraction de données comme Meta et Google) du S&P 500, les entreprises américaines généralement non rentables ont été durement touchées par la hausse des taux d’intérêt. L’absence de flux de crédit bon marché a provoqué en 2023 un nombre record de faillites depuis 13 ans, ainsi que la plus grande faillite bancaire depuis la crise de 2008.

À cela s’ajoute l’incitation à maintenir les salaires aussi bas que possible en Occident ainsi qu’à sous-traiter, en raison de la nécessité du capitaliste américain de maintenir les prix de ses marques (Teslas, iPhones, etc.) à un niveau accessible pour les classes moyennes supérieures des pays moins développés. Si les importations sont bon marché grâce à cette relation, l’inconvénient est que les Américains ont du mal à acheter les produits de première nécessité qui doivent être achetés dans leur pays.

Lors de la réunion du G10 en 1971, le secrétaire au Trésor américain John Connally a déclaré aux « alliés » européens que le dollar américain était « notre monnaie et votre problème ». Un dollar fort permet à Washington d’éviter les problèmes politiques engendrés par une inflation galopante en obligeant l’Europe et l’Asie de l’Est à en subir les conséquences. Les pays industriels pauvres en ressources, tels que le Japon et l’Allemagne, sont contraints d’importer des matières premières — généralement en dollars — ce qui, parallèlement à l’arrêt de l’approvisionnement en matières premières par le biais des sanctions imposées à la Russie, a fait grimper le prix de leurs produits manufacturés au point de provoquer des contractions massives dans ces deux économies.

En d’autres termes, le dollar nuit à presque toutes les parties prenantes, à l’exception de l’élite américaine, majoritairement juive. Ces dernières années, ils ont arraché leur masque en utilisant le contrôle de la monnaie de réserve mondiale et des institutions financières pour lancer des attaques géopolitiques visant à affamer l’Iran et la Russie jusqu’à l’effondrement.

Pour une grande partie de l’élite mondiale, les actifs américains (actions, immobilier, etc.) sont attractifs en raison de leur taux élevé de rentabilité rapide. Cela a traditionnellement donné aux États-Unis un degré élevé de levier économique sur les pays étrangers, mais la guerre en Ukraine a amené de nombreux pays à reconsidérer leurs investissements. En fait, on pourrait dire qu’ils recherchent une issue de secours.

En 2022, les États-Unis et leurs pays vassaux du G7 ont confisqué unilatéralement 300 milliards de dollars d’actifs russes détenus sur leurs territoires, sur instruction de Washington et de New York. Cela s’est accompagné du retrait de Moscou du système SWIFT, contrôlé par les États-Unis. Le but de cette entreprise était le sabotage économique : empêcher la Russie de remplir ses obligations financières et ainsi « transformer le Rouble en ruines ».(([5] En anglais, jeu de mots : « turn the Rubel into rubble » — NdT)) Frustrée par l’absence de résultats souhaités, la vindicative secrétaire juive au Trésor américaine, Janet Yellen, a récemment lancé l’idée de donner tout l’argent volé de la Russie à l’Ukraine.

Naturellement, la majeure partie du monde — la majorité qui a refusé de participer aux sanctions contre la Russie — a été inquiétée par cette militarisation de la puissance économique américaine. Les superpuissances énergétiques et manufacturières que sont la Russie, la Chine et l’Iran ont déjà largement dédollarisé leurs échanges bilatéraux, principalement par nécessité, mais ce qui devrait être plus alarmant pour les décideurs politiques de Washington, c’est que désormais des pays partie intégrante du succès du dollar, comme la France et l’Arabie Saoudite, commencent à signer des accords commerciaux financés par des échanges de devises et des yuans.

La menace la plus grave pour la domination financière américaine vient des BRICS, qui ont officiellement ajouté cinq nouveaux membres cette année. Trois de ces nouveaux participants — l’Iran, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis — sont des puissances productrices de pétrole. Au total, les membres des BRICS contrôleront désormais plus de 30 % du marché mondial de l’énergie, éclipsant les États-Unis à 21 %. Les BRICS consommeront également 31 % de l’énergie mondiale (la dépendance énergétique de l’Inde est la principale raison pour laquelle elle a refusé de sanctionner la Russie), ce qui, dans ce seul domaine, les incitera énormément à abandonner le dollar.

L’Irak, qui produit 5 % supplémentaires de l’approvisionnement mondial en pétrole, est également impatient de rejoindre les BRICS, mais cet effort a été bloqué par l’occupation militaire américaine de son pays. Dans les circonstances actuelles, l’économie pétrolière irakienne est entièrement gérée par la Réserve fédérale de New York. Si l’Irak et l’Iran travaillent ensemble pour expulser l’armée américaine du pays, il est peu probable que Bagdad reste dans la sphère d’influence de Washington.

Les BRICS ont exprimé leur intérêt pour la création de nouvelle monnaie à échanger, soutenue par un panier de leurs monnaies locales et leurs capacités respectives en matière de ressources et de fabrication. Aujourd’hui, les pays du G7 ne contribuent qu’à environ 30 % de l’activité économique mondiale après ajustement des PPA.

Il existe cependant plusieurs obstacles et différences irréconciliables entre les pays des BRICS. Les États-Unis peuvent faire ce qu’ils veulent dans un ordre de plus en plus multipolaire en raison de leur puissante emprise militaire et financière sur les économies européenne, japonaise, taïwanaise et coréenne, tandis que parmi les BRICS, aucun pays n’est intéressé ou capable de ce type d’hégémonie. Des rumeurs se répandent selon lesquelles il est prévu de dévoiler un tueur de dollars lors de la conférence des BRICS organisée en Russie cette année, mais cela doit être pris avec des pincettes.

En général, une monnaie BRICS n’est pas vraiment nécessaire, et il serait insensé de considérer la prédominance du dollar américain comme acquise, indépendamment de ce qui se passera ensuite. Plutôt qu’une monnaie unique opposée, il est plus envisageable que le monde augmente le commerce bilatéral via les monnaies nationales jusqu’à ce que le dollar meure à cause de mille coupures.

Les atermoiements des décideurs politiques américains en matière de relocalisation de l’industrie aux États-Unis ou à proximitélaissent présager que Washington se prépare au pire.

Bidénomique : pourquoi la relocalisation échouera

La plupart des malheurs impériaux de l’Amérique pourraient être résolus en poursuivant une politique d’autarcie. Avec sa vaste population, sa sécurité physique face à ses rivaux et sa grande population, cela est dans le domaine du possible, la question est donc de savoir si la volonté est là.

C’est là qu’intervient Bidenomics, un ensemble de projets de loi d’une valeur de plusieurs centaines de milliards de dollars visant à s’écarter du « consensus de Washington » néolibéral et à faire sauter les toiles d’araignée de l’industrie américaine. Jusqu’à présent, ce projet a produit des résultats dérisoires.

Prenons par exemple la loi CHIPS and Science Act de 2022. Dans le but de vaincre la Chine dans les domaines mondiaux de l’IA et des semi-conducteurs, le gouvernement américain offre des subventions et des allégements fiscaux massifs à des entreprises telles qu’Intel, TSMC, Nvidia, etc. pour qu’elles investissent dans la recherche et le développement, ramènent leur production aux États-Unis et laissent la Chine sur le carreau.

Les limites de l’économie capitaliste américaine centrée sur l’actionnarial apparaissent au premier plan. Dans le cas de Nvidia, la société s’est lancée dans un programme massif de rachat d’actions de 25 milliards de dollars, ce qui a amené certains analystes à mettre en garde contre la hausse de la valeur des actions de la société, qui est fausse et dissociée de sa rentabilité. La loi CHIPS interdit aux entreprises de voler les subventions versées aux contribuables par le biais de ce type d’activité spéculative, mais aucune condition n’est attachée une fois qu’elles ont investi le strict minimum. Cela signifie qu’ils jouent sur le marché boursier dans l’intérêt de réaliser des transactions intéressées plutôt que de faire un effort de bonne foi pour investir dans le développement dans l’espoir de réaliser des bénéfices à long terme.

Nvidia a même dépensé de l’argent pour trouver des moyens de contourner les sanctions américaines sur les semi-conducteurs contre la Chine (premier consommateur mondial de tels appareils), ce qui a conduit à l’absurdité de l’utilisation potentielle de subventions publiques pour trouver des solutions de contournement qui continuent d’aider les ennemis du gouvernement américain.

Intel est un autre délinquant en matière de rachats d’actions. De 2022 à 2023, la société a augmenté son programme de rachat d’actions de 91 %, soit 5,5 milliards de dollars. Ce cycle de cupidité et de stagnation est en partie alimenté par des parasites qui cherchent agressivement à vendre à découvert les actions d’Intel, qui se sont révélées très volatiles. L’État chinois a neutralisé les effets néfastes de la vente à découvert sur l’économie en l’interdisant purement et simplement, mais une telle initiative de l’État américain nécessite l’exercice d’un pouvoir sur la finance que notre ploutocratie n’a pas.

Quant à l’installation révolutionnaire de 40 milliards de dollars de Taiwan Semiconductor Manufacturing Company à Phoenix, les célébrations ont eu lieu avant les résultats. L’ensemble du projet a souffert d’importants retards de haut en bas. TSMC a récemment annoncé qu’il ne pourrait pas démarrer la production de semi-conducteurs avant 2025 en raison d’un manque de main-d’œuvre qualifiée.

Une partie du défi économique auquel l’Amérique est confrontée réside dans le manque relatif de diplômés en STEM(([6] Science, Technology, Engineering, Mathematics (science, technologie, ingénierie, mathématiques) — NdT)). Selon Facing Reality de Charles Murray, les Américains blancs ont un QI moyen de 103, tandis que les méso-américains ont un QI de 94 et les Noirs de 91. En utilisant ces données, nous pouvons conclure que les changements drastiques dans la composition raciale des États-Unis au cours des 40 dernières années ont fondamentalement abaissé le QI national.

Mais le QI n’est pas nécessairement une fatalité. Le QI de l’Iran est inférieur à celui des États-Unis (98), mais l’État iranien a investi massivement dans l’identification et l’éducation des étudiants doués afin de survivre aux attaques incessantes contre sa souveraineté et aux meurtres de ses scientifiques par l’ordre mondial sioniste. Le résultat de cette politique prudente se reflète dans l’essor inattendu et soudain de l’Iran en tant que producteur d’armes sophistiquées, notamment de missiles hypersoniques. Actuellement, 41 % des étudiants chinois obtiennent leur diplôme en STEM, 37 % en Russie et 33 % en Iran, tandis que les États-Unis sont à la traîne avec 20 %.

Le mépris que l’élite américaine, fortement juive, éprouve pour les Américains blancs doit également être pris en compte. Un exemple est la disposition bizarre de la loi CHIPS qui ordonne aux bénéficiaires de boycotter les fournisseurs et les travailleurs d’origine européenne. Dans l’enseignement supérieur, qui aux États-Unis est une entreprise coûteuse et à but lucratif, pratiquement toutes les bourses d’études en ingénierie exigent que les candidats appartiennent à une minorité ou soient des femmes.

La décision de la Cour suprême des États-Unis d’annuler la discrimination positive dans l’enseignement supérieur l’année dernière semble être conçue pour tenter de ramener les Blancs dans la maison pour combattre la Russie, l’Iran et la Chine. On ne sait pas jusqu’où cela ira dans la pratique, car la plupart des universités d’élite américaines semblent idéologiquement engagées à exclure les blancs non juifs et il existe peu de ressources juridiques accessibles aux étudiants blancs.

Nous constatons des problèmes identiques dans le secteur manufacturier, où les largesses financées par l’État entraînent une expansion initiale de l’activité industrielle qui s’essouffle peu de temps après. Il semble que, quel que soit le montant dépensé par le gouvernement, il ne dispose tout simplement d’aucun mécanisme pour forcer les capitalistes à investir dans l’augmentation de la production ou dans le développement des marchés en dehors des domaines contraignants (comme la technologie et la finance).

Il s’agit d’une conséquence de la corruption intrinsèque qui sévit dans tout système capitaliste libéral.

Pour la Chine et la Russie, les économies sont planifiées de manière centralisée autour de l’autonomie à des degrés divers. Les deux pays connaissent la corruption, mais ils la poursuivent de manière agressive, notamment dans le cas chinois en infligeant régulièrement la peine de mort aux oligarques et aux fonctionnaires compromis.

Les États-Unis divergent radicalement. Aux États-Unis, il est légal pour les fonctionnaires de recevoir des paiements du secteur financier (par le biais du « lobbying », des PAC (([7] Political Action Committees (Comités d’action politique)—NdT)) et d’autres pratiques interdites dans les États concurrents), réduisant ainsi l’indépendance des États et rendant difficile pour les représentants politiques de discipliner le capital.

Il est impossible de spéculer sur l’ampleur des fraudes en matière de valeurs mobilières et de comptabilité dans l’économie américaine à l’heure actuelle, mais le taux record de poursuites pénales en col blanc devrait être interprété comme un clin d’œil à Wall Street.

La question est de savoir combien de temps encore le monde va supporter cette situation. Un seul coup de vent pourrait faire s’écrouler tout le château de cartes économique et lancer l’Amérique dans des eaux totalement inconnues et périlleuses. Une classe dirigeante rationnelle aurait accepté le fait que les rôles se sont inversés et aurait commencé à nouer des relations avec la Chine, l’Iran et la Russie.

Au lieu de cela, l’oligarchie de Washington-New York-Californie redouble de déni et intensifie ses actions menaçantes à l’encontre des peuples du monde et de ceux d’entre nous qui ont le malheur d’être sous leur coupe.


Notes additionnelles (non incluses dans l’article originel)



Le petit Français (« micron ») est le fusible idéal puisqu’il est complètement à la masse




Censure croissante contre les alternatifs

Ceci touche divers pays occidentaux :

Rappel :

Voir aussi :




Châtelet et le devenir-gibier de la jeunesse en France

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Dans les années soixante, rappelle Thomas Frank, on a imposé le slogan Think Young, pour célébrer la marchandise et la non-culture nouvelles à base de pub et de communication, une « culture d’usurpateur », disait Guy Debord, qui veut faire oublier comment elle est arrivée au pouvoir. On chassa les anciens et la tradition pour imposer le jeunisme consumériste à base de gilet James Dean, de rébellion creuse, de chewing-gum Hollywood et de coca-cola ; cela marcha comme sur des roulettes.

Cinquante plus tard, on a une jeunesse de dystopie, à 90 % ruinée par l’immobilier, par les études, promue à des petits boulots disqualifiés, à des exils ingrats, à un nomadisme cheap et à un abrutissement technologique festif.

Malgré cela les jeunes valent mieux que leurs aînés et votent, rappellent Todd ou Guilluy, contre le système, en France comme en Angleterre. Mais la jeunesse est remplacée et divisée. En outre elle n’a plus aucun outil culturel pour affronter le système. Depuis la fin des années 1970, on ne lit plus — ou mal…

Celui qui a le mieux décrit cette involution est le mathématicien Gilles Châtelet, vers la fin des années 1990 quand Paris achève sa grande transformation, pour parler comme Polanyi. Paris est promue capitale des fêtes, de services et de la vie chère, bourrée de gadgets, de culture néo et de « tantouzes de première ».

Dans Vivre et penser comme des porcs, ouvrage polémique, enflammé et philosophique, Châtelet commence par une description festive :

« Un dimanche soir de novembre 1979… Personne ne voulait manquer la “soirée rouge et or”. Tout ce qui avait compté, ou prétendait encore compter, avait promis de venir : brillants universitaires ralliés à la nuit, anciens et futurs ministres, mondains professionnels, jeunes condottieri de la mode, prédateurs et chasseurs de tête. »

Je le dis et je le répète, lisez le livre de ma condisciple Bacqué sur Richard Descoings. « Richie » dénonce la collusion entre élites et fêtes, fric et multiculturalisme, appétits sans fin et humanitarisme creux. L’axe DSK-Macron-Benalla est déjà là, avec cette « nuit porte-jarretelles » qui n’en finit pas — et rappelle l’apocalypse joyeuse de Broch ou le festif de la Cacanie de Musil (j’en reparlerai). On vit, dit Châtelet, dans une société d’entendidos, de renards qui se comprennent à demi-mot en forniquant, pendant que les couillons continuent de voter pour la gauche ou la droite, et les vieux politiciens soi-disant responsables.

Châtelet comprend que les jeunes seront maltraités (en 1999, disait le Figaro il fallait gagner 90 000 franc mensuels pour mieux vivre à Londres qu’à Paris). Alors à quoi sert ce cirque romain et inhumain ?

« La commande sociale de l’ordre cyber-mercantile est simple : comme les grandes villes d’autrefois, qui montraient un solide appétit pour les pauvres, il se montre très friand de tout ce cyber-bétail de “jeunes à baladeur nomades et libres dans leur tête”, un peu râleurs mais au fond malléables, facilement segmentables en tranches d’âge et en générations, et donc gibier sociologique idéal pour les modes. »

Les gadgets technologiques n’auront en rien aidé :

« La crétinisation postmoderne par la communication remplace avantageusement la caporalisation perpétrée par les conservatismes d’autrefois, décrits par Ernest Renan. »

Ceci dit si les jeunes ont voté pour le Brexit, contre Clinton, pour Donald ou Bernie, pour Mélenchon ou pour Le Pen, c’est que ces outils ambivalents ont quelque part desservi le système… Le jeune échappe à la télé et se nourrit de programmes subversifs sur les réseaux… Raison pourquoi le système veut imposer le programme, comme à la télévision…

Châtelet commente l’increvable Attali dans un de ses meilleurs chapitres :

« Pour les Turbo-Bécassines et cyber-Gédéon de deuxième génération, l’ordre cyber-mercantile pourrait se montrer fort appétissant : en scrutant l’horizon des grandes tendances, Attali croit discerner une multitude de jeunes cavaliers chargés d’objets-nomades de plus en plus “intelligents”. »

Tout le livre de Châtelet tourne autour de la dénonciation de la satanée pensée britannique (pour moi le pire reste le trop méconnu Bentham) :

« Il n’est pas difficile de voir que ces jeunes à baladeur, prédictibles et stockables, ne sont que la forme festive et transurbaine des créatures de l’état de nature de Hobbes, réclamant donc un monde de souveraineté à la hauteur de leur mobilité et de leur convoitise exaspérée par les objets-nomades. »

Oui, la vie postmoderne est devenue « solitary, poor, nasty, brutish, and short », comme dit Hobbes. Car les attentats festifs aident à l’écourter cette vie.

Mais au-dessus de cette plèbe cheap et technophile règnent « les cavaliers-nomades de la surclasse »… Comme Christophe Guilluy, Châtelet souligne l’antiracisme tartuffe de cette surclasse à la romaine (revoyez les Fellini, Dolce Vita et le Satiricon). Et d’ajouter :

« On peut accorder une chose à cette surclasse : elle n’est pas “raciste” et même friande d’exotisme. Elle adore visiter ces précieux réservoirs de sauvagerie que sont les peuples-marchés pourvoyeurs de gladiateurs-boxeurs et de nubiens à plume. »

La bourgeoisie néo préfère les migrants aux compatriotes. Comme dit encore Guilluy, elle a besoin d’ouvriers du bâtiment et de serveurs de restau — sans oublier de footeux…

Le système n’aime pas les gilets jaunes mais il adore la racaille et les émeutiers. Châtelet écrit :

« On peut parier que les émeutes n’inquiéteront pas plus la surclasse qu’elles n’inquiètent M. le juge Richard Ponzer, pour qui la ville de New York illustre la possibilité pour des communautés situées aux deux extrêmes de l’éventail des revenus de cohabiter et de coopérer dans des conditions qui ne sont pas parfaitement harmonieuses et certainement pas placides. »

Car un pauvre de votre origine peut devenir plus dangereux, communiste. Il l’a montré dans le passé. Il faut donc le remplacer.

Les émeutes font bouger, donc c’est du tout bon :

« Toute révolte ne sera qu’un “remous” inaudible par les marchés, aussi inoffensif et pathétique que les règlements de comptes entre jeunes mâles d’un troupeau de bovidés. »

Visionnaire, Châtelet annonce la réaction populaire de la France larguée :

« Car il reste encore aujourd’hui quelques braises de lucidité populaire ; le malaxage en peuple-marché et en cyber-bétail réversible n’a pas encore triomphé !…Demain, naturellement, les “populistes ringards” risquent d’aboyer — sinon de mordre — encore plus fort. »

Quant à la jeunesse, à moins d’être milliardaire, on sait ce qui l’attend, entre le Bataclan, Orlando, le RER en panne, la chambre de bonne à mille euros et les frais d’inscription à dix -vingt mille l’année :

« Comment battre de vitesse l’atomisation et sa prolifération d’unités de détresse réduite à leurs baskets, leur deux kilos de cervelle et leur baladeur ? »

Et Gilles Châtelet de conclure justement sur une référence mythologique :

« Prométhée n’est pas le dieu adoré par les saltimbanques de l’anarcho-mercantilisme. C’est devant Hermès — Hermès, Hermès l’esclave de Zeus —, et surtout devant Plutos l’argent-roi, qu’ils se vautrent, sans aucune pudeur. »

On espère que la jeunesse finira par comprendre. Elle a commencé, malgré son inculture politique et philosophique institutionnalisée par la dégénérescence de nos programmes éducatifs (tout pour le fric ou pour l’ouvert), et cela n’est pas bon sur le système qui repose comme on sait sur les retraités (80 h de BFM par semaine), le bobo ahuri qui accepte euphorique sa progressive prolétarisation, et les cathos zombie évoqués par Emmanuel Todd.

Sources principales

  • Gilles Châtelet — Vivre et penser comme des porcs (Gallimard)
  • Hobbes — Léviathan
  • Raphaelle Bacqué — Richie (Grasset)
  • Nicolas Bonnal — Lettre ouverte à la droite fille de joie (Michel de Maule) ; la décadence romaine (Amazon.fr)



Le gouvernement fantôme de l’Allemagne

Par Jean-Michel Grau

Dans la guerre qui oppose la Russie et les USA en Ukraine par OTAN interposé, l’Allemagne a une place à part. Elle est le seul état européen à faire la jonction entre l’Est et l’Ouest. En d’autres termes, entre la Russie et l’Occident, encore aujourd’hui. En effet, les conséquences de sa division Est-Ouest perdurent 35 ans après la chute du mur de Berlin et la disparition des RFA et RDA, malgré la réunification allemande.

Les stigmates de la défaite de 1945, puis de la guerre froide sont encore bien présents, ne serait-ce que dans la faiblesse de l’actuelle armée allemande, en troupes et en armement, en comparaison de celles de la Grande-Bretagne et de la France, même si toutes les trois sont à l’os, après leur contribution massive à l’effort de guerre en Ukraine.

La conséquence directe des brûlures de l’histoire est que l’Allemagne est toujours et encore aujourd’hui le pays le plus inféodé aux USA. Militairement en particulier, avec la présence sur son sol du plus grand nombre de bases de l’OTAN, mais surtout de son centre de commandement intégré à Ramstein, sans parler de la base américaine de Büchel qui y abrite des bombes nucléaires comme dans 4 autres pays (Belgique, Pays-Bas, Italie et Turquie).

Pour toutes ces raisons, il apparaît donc ici évident que l’Allemagne est en première ligne dans l’éventualité d’un conflit ouvert entre la Russie et l’OTAN.

Ce qui nous amène à la divulgation de cette invraisemblable discussion entre ces quatre officiers allemands de la Lufwaffe dans les médias russes RT et Sputnik.(([1] https://fr.sputniknews.africa/20240301/attaques-contre-le-pont-de-crimee-le-texte-integral-dune-conversation-au-sein-de-la-bundeswerh–1065341183.html))

Pourquoi invraisemblable ? Il ne s’agit pas de nier ici la réalité de cette discussion qui a été reconnue par le ministère de la défense allemand, mais qui peut croire que des officiers de l’armée de l’air allemande puissent échanger tranquillement dans une conversation téléphonique non cryptée sur un sujet aussi grave que celui d’envoyer des missiles à longue portée en Ukraine pour atteindre la Crimée, aujourd’hui territoire russe ? Avec, pour clore le tout, un des participants à Singapour ?

Si la présence de ce général de brigade à Singapour était si indispensable pour cette discussion, que n’était-il pas plus simple et raisonnable de lui payer un billet d’avion pour l’Allemagne afin de discuter bien tranquillement au fond d’un bunker de Ramstein à l’abri des oreilles indiscrètes ?

La première réponse qui vient donc à l’esprit est que cette discussion a été faite pour être divulguée.

Il faut être un enfant de 4 ans pour croire aux explications vaseuses de Boris Pistorius, le ministre de la Défense, qui impute la divulgation de cette conversation à une attaque hybride de la Russie.(([2] https://www-rt-com.translate.goog/news/593702-german-defense-chief-blames-russia-for-leak/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en))

En fait, le pauvre homme ne sait plus où il habite, parlant tout à la fois de « guerre de l’information que mène Poutine » et « d’attaque hybride visant la désinformation » tout en recommandant de « réagir de manière particulièrement pondérée, mais néanmoins résolue. »

Derrière toutes ces injonctions contradictoires, que ne désavouerait pas un Macron, se cachent la discorde au sein du gouvernement allemand entre les bellicistes (Pistorius, Baerbock) et le chancelier Scholtz qui a affirmé plusieurs fois récemment qu’il était hors de question d’envoyer des missiles Taurus à l’Ukraine.

D’où cette question qui se pose aujourd’hui sans détours :

Qui gouverne aujourd’hui l’Allemagne ? Les civils ou bien l’armée ? Scholtz ou bien Baerbock ?

Il est facile de considérer celle-ci comme une Nuland(([3] La sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland est restée célèbre pour sa distribution de cookies sur la place Maidan à Kiev lors du coup d’État américain en Ukraine de 2014 et par son jugement tout en finesse lors d’une écoute téléphonique : “Fuck Europe !”)) allemande, tant son bellicisme n’a d’égal que son alignement inconditionnel à Washington.

On peut comprendre que cette question inquiète particulièrement la Russie, qui vient de convoquer son ambassadeur d’Allemagne.

Mais plus grave encore, pour Dmitri Medvedev, la divulgation de cet enregistrement des officiers allemands préparant une attaque du pont de Crimée met en relief la volonté de l’Allemagne de préparer une guerre contre la Russie via l’OTAN.

Et il explique : « L’Histoire connaît de nombreux exemples où les militaires ont été capables de prendre des décisions à la place de leurs supérieurs civils concernant le déclenchement d’une guerre ou simplement l’incitation à un conflit », évoquant un scénario de provocation hypothétique, dans lequel l’armée allemande pourrait convaincre Scholtz que les forces russes avaient lancé un missile sur Berlin qui aurait été intercepté.

Ce qui donne du poids aux craintes de Medvedev, ce sont deux évènements récents. L’un majeur et lourd de conséquences, l’autre qui est passé totalement inaperçu.

Ainsi, tout d’abord, le sabotage de Nord Stream par les Américains, pour définitivement déscotcher l’Allemagne de l’énergie russe bon marché, qui a mis à genoux toute l’économie allemande et qu’a laissé faire sans broncher le chancelier Scholtz. Par son silence face à cet acte de guerre, Scholtz est passible d’une inculpation pour complicité de haute trahison contre son propre pays.

L’autre évènement, beaucoup plus discret, à savoir le détour par le Texas d’Annalena Baerbock, lors de sa visite à Washington le 13 septembre dernier. À cette occasion, elle a rencontré le gouverneur républicain Greg Abbott. Bizarre autant qu’étrange, sachant que celui-ci est, selon Courrier International, l’antithèse de l’écologiste d’outre-Rhin. Futur vice-président du candidat Donald Trump, Abbott « a fait passer une des réglementations relatives à l’avortement les plus dures des États-Unis, envoie la garde nationale contre les migrants le long des 2000 kilomètres de sa frontière avec le Mexique et se refuse à renforcer la législation sur les armes à feu. »

Ce qui fait dire à Courrier International que celle qui surnomme le Texas « l’État des extrêmes » est venue se rendre compte des chances de Donald Trump de remporter les élections présidentielles de novembre et que l’Allemagne prépare déjà l’après Biden.

Si l’on prend en considération :

1) — la probabilité du retour au pouvoir de Trump en novembre qui ne voit plus l’intérêt de continuer à entretenir l’OTAN alors que son pays est englué dans une immigration continue qui explique le gel par les républicains du Congrès des nouveaux fonds américains à envoyer à l’Ukraine,

2) — l’entraînement exceptionnel « Steadfast defender » des 90 000 troupes de l’OTAN pendant 4 mois jusqu’en juin aux frontières de la Russie, on peut raisonnablement se demander si l’Allemagne via ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères n’est pas en train de profiter de cet entraînement pour préparer une attaque de la Russie en passant par-dessus son chancelier qui apparaît plus que jamais comme un idiot utile à la politique de Washington.

La divulgation de la réunion préparatoire des quatre officiers de la Luftwaffe pour une attaque contre le pont de Crimée pourrait apparaître comme volontaire, ne serait-ce que pour forcer la main au chancelier Scholtz en montrant sa duplicité face à une escalade guerrière contre la Russie. Traduction : « je refuse d’envoyer des missiles Taurus à l’Ukraine, mais mon armée s’y prépare. »

Rappelons enfin qu’Annalena Baerbock est étrangement silencieuse sur ce scandale de la divulgation de la discussion des officiers de la Luftwaffe, mais aussi sa compatriote, dont le bellicisme forcené n’est plus à démontrer, Ursula Von der Leyen, tout aussi étrangement muette…

Pour terminer, citons Maria Zakharova qui a déclaré aujourd’hui :

« L’Allemagne est gouvernée par une puissance de l’ombre. Il existe une force invisible et inconnue pour l’électeur allemand, sans rapport avec le système électoral, au sein de l’appareil d’État qui gouverne désormais l’Allemagne. Les Allemands parlent du “Schattenstaat”, un “État fantôme”. »





CENSURE TOTALE — et après ?

[Source : kla.tv]

Ceux qui pensent que la censure totale d’Internet a déjà aboli notre liberté de parole et d’opinion se trompent. Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique ici en 12 minutes que la censure d’Internet n’est que la première étape pour les persécuteurs de la vérité. Mais Sasek présente également des solutions révolutionnaires pour sortir de cette censure mondiale.

Par Ivo Sasek

Transcription

Celui qui pense que la restriction totale de notre liberté d’expression et d’opinion sur Internet, prévue à partir de l’année 2024, mettra fin à ce processus de limitation se trompe — il n’a toujours pas compris comment fonctionnent nos contrôleurs d’opinion.

La censure totale sur Internet n’est que le premier acte de restriction numérique, comme l’indique déjà le nom DSA (Digital Services Act).

Je l’avais déjà prédit en 2009, lors de la création de notre journal Express main à main d’une feuille A4, le Voix et Contre Voix. (V&CV). Cela avait déclenché à l’époque une tempête d’indignation. Jamais une censure ne serait possible dans nos médias libres, oh combien sociaux, disait-on alors de toutes parts — on me traitait d’amateur inconscient. Mes pronostics allaient se confirmer, c’est pourquoi nous réitérons ici avec force ce que nous constatons depuis 2008 avec nos archives AZK et depuis 2012 avec nos archives Kla.TV. C’est maintenant une question d’être ou ne pas être, chers amis. Écoutez !

Notre monde est malheureusement depuis des siècles sous l’emprise d’une société secrète bestiale.

Et celle-ci massacrera une fois de plus des peuples entiers si nous ne nous unissons pas maintenant pour réclamer sa tête. Et ceux qui prétendent le contraire mentent. Celui qui complique ce schéma simple de notre problématique mondiale primaire, trompe, séduit et paralyse ainsi toute résistance unifiée nécessaire, sur laquelle je vais maintenant dire des choses importantes !

Le fait est que cette élite secrète au pouvoir veut empêcher par tous les moyens que le monde sache dans quelles dimensions inconcevables elle lui a menti, elle l’a trompé, volé et continue de le faire. Étant donné que tous les médias de censure et les grandes plateformes appartiennent à cette secte secrète, ils séparent stratégiquement le peuple des personnes libres chargées de l’information. Ils ont délibérément poussé ces derniers dans des bulles Internet de plus en plus isolées. Nous ne pouvons les surmonter qu’ensemble. Mais ils ont d’abord mis leur couteau DSA sur la poitrine de leurs propres vassaux. La Commission européenne, par exemple, a immédiatement interdit TikTok sur tous les téléphones portables professionnels. Même chose aux États-Unis, etc.

Mais ce n’était que le début. Vous comprenez ? Maintenant, toutes les plateformes doivent être systématiquement nettoyées de tout ce qui menace cette secte dominante mondiale. Vous comprenez ? Il est donc urgent de se mettre en réseau physiquement, et pas seulement numériquement !

Mais venons-en à la question principale : que se passera-t-il après la censure totale sur Internet ? Réponse : ce que ce clan de la domination mondiale a déjà imposé à chaque étape précédente de son infiltration internationale : la censure totale à chaque niveau d’information libre ! L’obligation d’adopter des narratifs obligatoires comme pour le Covid — cette fois sous la menace de l’expropriation et de la peine de mort au moindre écart ! Et ceux qui me considèrent à nouveau comme un idiot qui ne connaît rien témoigneront encore de la justesse de mes propos ! Faites partie, si possible, du réseau mondial du journal Voix & Contre Voix. Nous nous propageons de manière exponentielle, plus rapidement et de manière plus sûre que sur le net. Et maintenant, le plus important.

Si nous, les lanceurs d’alerte libres, nous nous mettons physiquement en réseau à temps, c’est-à-dire si nous nous confions mutuellement nos adresses postales, alors notre force de percée synergique n’en sera que plus violente, même si des black-out planifiés ou autre devaient paralyser l’ensemble d’Internet. Nous serons alors d’autant plus nombreux à descendre dans la rue, comme pour le Covid, ou comme récemment à Karlsruhe, où des milliers de manifestants ont déposé avec Me Ludwig les quelque 600 plaintes pénales contre les criminels du Covid. Avec Ralf Ludwig, allons jusqu’à la Cour internationale de justice, au cas où l’ennemi public numéro 1, la pieuvre déguisée en État, se manifesterait à nouveau.

L’objectif premier de tout dévoilement commun doit être que les peuples comprennent enfin les relations planifiées, que non seulement les guerres mondiales, les guerres du printemps arabe et diverses épidémies ont été planifiées à l’avance de manière ciblée, mais qu’en plus chaque crise financière, chaque effondrement moral, chaque nouvelle catastrophe écologique, etc. Et derrière tout cela, il est prouvé que ce sont toujours les mêmes quelques milliers de chefs de sectes qui mettent méticuleusement en œuvre leur agenda et provoquent le chaos.

Leur but est d’établir un nouvel ordre mondial à partir du chaos qu’ils ont eux-mêmes créé ! Kla.TV a mis en lumière et publié non seulement leurs plans anciens, mais aussi leurs plans des dernières décennies. Vous avez pu les lire de vos propres yeux et voir ainsi comment tous les événements cruels ont ensuite concordé exactement avec ces plans. Avec quelle rapidité toute hantise mondiale prendrait fin, si seulement les peuples pouvaient enfin reconnaître ce simple lien ! En fin de compte, ce sont quelques dizaines de multimilliardaires ou de milliardaires qui dirigent cette conspiration mondiale au plus haut niveau de la société secrète, et quelques milliers d’autres têtes faiseuses d’argent au deuxième étage de leur pyramide de pouvoir. C’est un fait.

Si donc une justice légale, libérée de tous les diktats économiques et politiques, et donc bien sûr fonctionnant enfin, se bornait à arrêter ces personnes, à les exproprier et à les mettre derrière les barreaux, toutes les horreurs et les pénuries mondiales seraient déjà quasiment éliminées.

Et je suis bien sûr conscient que ces élites secrètes exercent également un pouvoir sur des armées entières. C’est la raison pour laquelle nous ne cessons de réveiller les peuples endormis et de leur crier : ne partez plus en guerre contre eux ! Refusez par principe toute guerre, car vous ne ferez que sacrifier votre vie à ces bellicistes de la société secrète, quel que soit le pays du monde ! Mais tout serait encore plus détendu si une justice libérée, sur décision populaire, arrêtait également leurs quelques 10 000 vassaux et les expropriait ! Dans la pratique, la vague d’arrestations devra probablement commencer par ces marionnettes, car elles sont directement visibles à tous les leviers de commande du pouvoir. Cela pourrait se faire avec quelques commandos d’intervention de nos forces de l’ordre. Cela aussi, sans aucune guerre !

Et les peuples décideraient immédiatement cela, croyez-le, si seulement nous, les lanceurs d’alerte libres, brisions définitivement les blocages d’information des propriétaires hautement criminels du mainstream et d’Internet !

Il y aurait encore tant de choses à dire, mais je terminerai en rappelant quelques développements intolérables, mais qui ne sont que trop typiques de beaucoup d’autres développements. Et voyez : ce n’est qu’en formation synergique que nous sommes en mesure de mettre un terme à tous ces agissements : nous, les peuples, sommes restés trop longtemps silencieux lorsque l’OMS, Big-Pharma et nos caisses d’assurance maladie, par exemple, sont devenus autonomes. En effet, ces systèmes se sont depuis longtemps transformés en organisations criminelles qui n’ont vraiment aucune idée du traitement des causes, ou du moins ne veulent rien savoir, car il est prouvé qu’ils nous maintiennent délibérément malades, voire qu’ils nous rendent de plus en plus malades de manière ciblée, et qu’ils gaspillent de plus en plus l’argent de nos prélèvements obligatoires, même pour les opérations les plus aberrantes et autres — mais nous, nous les laissons tous impunis jusqu’à présent et nous les finançons également.

Dans le monde entier, la justice a été sapée, voyez-vous. Elle ne poursuit plus le pyromane, mais celui qui dénonce l’incendie (comme je l’ai déjà expliqué en détail lors de mon discours à la 19e AZK) et nous finançons encore cela sans protester. S’il vous plaît, écoutez si possible mon discours « Ennemi public numéro 1 — la pieuvre en costume d’État » ; c’est peut-être le plus important des quelque 2 000 discours que j’ai déjà prononcés. Je m’y suis beaucoup investi.

Nos médias de masse sont en outre liés à tous les grands criminels que j’ai mentionnés, ainsi qu’aux chefs du complexe militaro-industriel, mais aussi aux financiers criminels, aux Frankenstein de la science et à toutes sortes de politiciens corrompus — mais nous les laissons tous impunis et nous les finançons en outre avec des centaines de milliards d’euros de nos impôts — et ce, chaque année.

Je demande : ne sommes-nous pas complices ? Oui, rien qu’en Allemagne, vous payez chaque année quelques milliards rien que pour les arnaqueurs à la retraite de ces médias mainstream avec votre redevance obligatoire GEZ ! À cause de vos politiciens gaspilleurs d’argent, vous perdez chaque année 30 à 40 % de l’ensemble du budget fédéral gagné, rien que pour les intérêts de ces spéculateurs. Mais les peuples se taisent, parce qu’ils n’ont pas conscience de tout cela. C’est pourquoi, en dépit de toutes les accusations de génocide scientifiquement prouvées, Big-Pharma a pu vendre cinq milliards et demi de nouvelles doses de vaccin à l’UE, soit un gaspillage de 100 milliards d’euros d’argent des contribuables ! Et ce, bien qu’il ait été prouvé de manière irréfutable que la vaccination par ARNm nuit toujours à l’homme et le tue — à court et à long terme ! N’oubliez jamais que de tels crimes contre l’humanité ne sont jamais prescrits ! Et je pourrais continuer ainsi pendant des heures.

Mais je conclurai en vous demandant une fois de plus de nous faire confiance et de nous relier physiquement les uns aux autres en nous communiquant en temps voulu nos adresses postales et nos numéros de téléphone. Je pense que le V&CV-express main à main serait le mieux adapté à cette interconnexion mondiale. En effet, depuis 2009, des dizaines de milliers de personnes forment et gèrent ensemble ce réseau physique. Je vous invite d’écouter ma conférence Voix & Contre Voix à ce sujet afin de comprendre de quoi il s’agit exactement.

Je dis : ce monde meurtri a besoin de toi, il a besoin de nous tous. Nous sommes le nouveau monde — et le nouveau monde sans argent. La preuve : si tu télécharges toutes nos archives Kla.TV et AZK sur ton ordinateur, tu n’as pas seulement assuré la véritable écriture de l’histoire, tu t’es en outre approprié gratuitement des archives cinématographiques historiques dont la valeur de travail devrait à elle seule dépasser le milliard d’euros. Croyez-le, s’il vous plaît. Diffusez et faites la promotion de ces archives cinématographiques historiques uniques partout où vous le pouvez. Car des milliers d’entre nous ont travaillé bénévolement et très dur pendant des années, souvent en famille ou en association de familles. Car le nouveau monde commence à la maison. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Organisation Mafieuse de la Santé

[Source : Ye shall know the truth]

[Note de Joseph : dans la partie consacrée à la grippe porcine, le reportage reste influencé par l’hypothèse virale, ce qui ne peut en définitive que conforter l’OMS et l’industrie pharmaceutique (même si l’influence de cette dernière est évoquée) qui est à l’origine de cette fraude scientifique et du maintien des croyances liées, par son contrôle sur le domaine de la santé en général et sur la formation des personnels soignants en particulier. Voir :
Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez
La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio]






Debré et le Général face au Kali-Yuga français

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Philippe Grasset nous avait fait découvrir ce livre incroyable : entretiens avec le général (Albin Michel).

Résumons la chute de la France sous la présidence de de Gaulle : pour un Québec libre d’ailleurs peu suivi d’effet, il a fallu se payer l’industrialisation, « la France défigurée », l’immigration, mai 68, le noyautage culturel marxiste (cf. les réflexions de Zemmour sur le rôle sinistre de Malraux), le pays de Cocagne de Pierre Etaix et le Play-Time de Tati, sans oublier l’Alphaville de Godard. On y créa le consommateur et vacancier hébété, qui a rompu avec tous les modèles antérieurs et était prêt pour la goberge télé et bagnole. J’ai écrit et publié un livre sur ce thème : la disparition de la France au cinéma. Car de Farrebique ou de Jean Devaivre (découvrez par exemple l’admirable Alerte au Sud sur notre chevalerie coloniale, notre épopée saharienne) aux Valseuses ou à Mortelle randonnée, on s’était bien effondré — et bien avant Macron ou Mitterrand.

Rien ne résume mieux la situation que Jean Gabin ne retrouvant ni sa maison ni sa rue à Sarcelles, au début de Mélodie en sous-sol.

Le vénérable et pathétique Michel Debré (1 % à la présidentielle de 1981…) est lui-même encore plus traumatisé par ce que va devenir la France : marxisation culturelle via Malraux (voir son livre p. 145), inflation et taux d’intérêt… à 15 % (livre p. 151), déclin moral et spirituel (et même militaire : car on n’a plus d’empire comme me le rappela mon ami historien de Sparte Nicolas Richer), effondrement du christianisme. Debré et de Gaulle sont conscients de tout. L’Histoire de France est EN FAIT terminée. On vivote dans une Europe mondialisée…

Dans ses Entretiens avec le général, Debré écrit donc (p. 57-58) :

« J’évoque ces forces violentes qui désirent tant l’intégration de la France dans l’Europe, c’est-à-dire en fin de compte la fin de la France, et je crains aussi que les divisions de l’Occident et l’incapacité américaine ne conduisent notre civilisation au déclin décisif. Je parle d’abord des forces qui poussent à l’intégration européenne : tous ceux qui Sont hostiles à l’État, tous ceux qui ne comprennent pas la nécessité d’une pensée et d’une action indépendantes, se précipitent vers la supranationalité parce qu’ils savent, au fond d’eux-mêmes, que la supranationalité, c’est le protectorat américain. »

On a parfaitement compris pourquoi Asselineau et Philippot qui sautent comme des cabris au nom du Général font 1 % des voix. La masse veut la supranationalité et sans rire le protectorat américain avec ses armes qui ont cinquante ans de retard. Le souverainisme ne l’effleure même plus ; comme dit le Général à Debré il y a soixante ans déjà : il n’y a que vous et moi qui pensons à l’Indépendance de la France.

Dans le livre de Debré, le Général paraît souvent triste, distrait, rêveur et impuissant (idem pour son fils avec qui j’avais l’honneur récurrent de discuter aux jardins du Ranelagh si chers à mon ami gnostique-gaulliste Jean Parvulesco) ; il est en position non de gourou, mais de disciple dénué de maître. Car comprendre ce que la France devient à cette époque, il faut l’oser en effet, pas vrai ?

« Le général de Gaulle m’interrompt pour me demander si je crois possible de résister à ces forces. “Il n’y a que vous et moi qui pensons à l’Indépendance de la France.” Je lui réponds que nous devons être, en réalité, plus que deux et j’ajoute qu’il y aura tellement de déceptions à la suite de cette politique d’intégration qu’il ne faut pas douter d’être dans la vérité en expliquant qu’il faut faire l’Europe par l’association des États et non par la disparition des nations, à commencer par la disparition de la France. »

Malheureusement les réponses sont et seront matérielles et matérialistes (Pompidou-Giscard…) :

« Que faire pour encourager ce mouvement ? » me dit-il. Je lui expose que les chemins sont clairs pour maintenir aux Français et à la France la volonté de demeurer une nation. Il faut poursuivre notre effort de modernisation industrielle. Il faut poursuivre notre volonté d’être une puissance militaire atomique et il faut aussi ne pas chercher à nous dégager de nos responsabilités africaines. Je lui expose que ses réticences à l’égard des réunions des chefs d’État africains d’expression française, réunions qui pourraient avoir lieu autour de lui, aboutissent à couper des liens qui pourraient être renforcés. »

De Gaulle échoue — mais il en ressort qu’on ne pouvait qu’échouer. Sur le référendum — sa porte de sortie comme on sait — nous sommes clairement informés (citation déjà reprise par PhG) :

« J’expose au Général que le but de ma visite est de préciser les conditions qui peuvent permettre le succès, du référendum. Interruption du Général : “Je ne souhaite pas que le référendum réussisse. La France et le monde sont dans une situation où il n’y a plus rien à faire et en face des appétits, des aspirations, en face du fait que toutes les sociétés se contestent elles-mêmes, rien ne peut être fait, pas plus qu’on ne pouvait faire quelque chose contre la rupture du barrage de Fréjus. Il n’y aura bientôt plus de gouvernement anglais ; le gouvernement allemand est impuissant ; le gouvernement italien sera difficile à faire ; même le président des États-Unis ne sera bientôt plus qu’un personnage pour la parade.

Le monde entier est comme un fleuve qui ne veut pas rencontrer d’obstacle ni même se tenir entre des môles. Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge lui-même de son destin.” »

(p.112)

On répète parce que c’est merveilleux :

« Je n’ai plus rien à faire là-dedans, donc il faut que je m’en aille et, pour m’en aller, je n’ai pas d’autre formule que de faire le peuple français juge lui-même de son destin. »

Vive Pompidou, Beaubourg, Michel Sardou, la loi Veil et Emmanuelle…

C’est qu’il n’y a plus de religion :

« Le Général redit son analyse. Ce qui paraît le frapper le plus c’est le fait que les sociétés elles-mêmes se contestent et qu’elles n’acceptent plus de règles, qu’il s’agisse de l’Église, de l’Université, et qu’il subsiste uniquement le monde des affaires, dans la mesure où le monde des affaires permet de gagner de l’argent et d’avoir des revenus. Mais sinon il n’y a plus rien. »

(p. 122)

C’est le Kali Yuga, donc on ne peut rien faire — à part se remplir les poches, en bon vaisya. On peut se demander quand même pourquoi la masse des couillons ne réagit plus. C’est ce que fait le Général :

« Le Général m’interrompt pour me dire, à la suite des exemples que je lui donne : “Comment se fait-il que les chefs d’établissement ou les recteurs n’interviennent pas ?” Je rappelle au Général ce que je disais tout à l’heure. L’autorité n’existe plus de par la volonté délibérée du ministère de l’Éducation nationale et j’ajoute en outre que, pour ce qui concerne les activités socio-éducatives. Les chefs d’établissement ont des instructions formelles de ne point intervenir. Je regrette d’autant plus cette abdication et cette complicité que l’on sent les prodromes d’une réaction. Le corps enseignant, même dans ses éléments gauchisants, ne comprend plus cette anarchie et s’émeut de ses conséquences. »

Puis Charles de Gaulle, héritier perdu d’une France militaire et chrétienne, comprend ensuite que la famille disparaît à cette époque, qu’elle n’est plus la structure unifiant la société chrétienne — puisqu’il n’y a plus de société chrétienne :

« Le Général me dit : “Comment se fait-il que les familles ne réagissent pas ?
— La vie familiale aujourd’hui n’est plus celle d’hier. L’évolution fait que l’État, le corps enseignant ont pris une responsabilité de plus en plus grande à l’égard des enfants. C’est là une situation à laquelle les familles se sont peut-être trop facilement habituées. Au surplus les réactions des parents se dispersent dans toute une série de directions : le programme, les examens, le comportement des professeurs, et, de ce fait, quand elles s’orientent contre certaines dégradations de l’enseignement, n’ont pas la même force.” »

(p. 174)

La famille, seul État qui crée et aime ses citoyens (Chesterton), va disparaître. C’est là que je cesse toute critique à son encontre (ce qui m’énerve c’est son culte et cette nostalgie d’une époque déjà dégénérée). Il fallait passer sur ordre le témoin aux Giscard et aux soixante-huitards, car la France progressiste et mondialiste voulait son Kali-Yuga.

Assez logiquement du reste elle demande un coup de grâce ou de race à la Russie qui symbolise encore cette malédiction historique ou impériale.




Français, réveillez-vous pour refuser une guerre qui ne nous concerne pas

APPEL À LA PAIX

Par le Dr Gérard Delépine

L’UE, l’OTAN et Macron veulent nous précipiter dans une guerre totale contre la Russie qui mettrait en jeu la vie de nos enfants et du monde. Lors de la guerre d’Algérie, les pacifistes s’étaient unis contre l’envoi à la guerre de nos jeunes et leurs manifestations avaient précipité la paix. Il est grand temps que les Français d’aujourd’hui se mobilisent contre les tentatives d’E. Macron de nous impliquer totalement dans une guerre qui ne nous concerne pas, car il s’agit d’un conflit purement russo-ukrainien visant définir des frontières plus respectueuses des populations que le découpage arbitraire décidé par Khrouchtchev en 19541.

Quelques rappels historiques

L’Ukraine ne fait partie ni de l’UE ni de l’OTAN et, dans l’Histoire, n’a jamais été notre alliée. Lors de la Seconde Guerre mondiale, ceux qu’elle honore comme les héros de son indépendance comme Stepan Bandera s’étaient enrôlés dans les troupes SS et ont largement participé aux massacres des juifs à Babi Yar 2 et des Polonais en Volhynie alors que la Russie a été notre alliée au prix de millions de morts. L’Ukraine n’est pas le modèle de démocratie, de liberté, ni de transparence que les médias tentent de nous faire croire. En tant qu’état le conflit Russie Ukraine ne nous concerne pas même si notre compassion pour les peuples russe et ukrainien nous incite à tout faire pour que les combats cessent le plus vite possible.

L’Ukraine est un pays tout neuf (33 ans). Si son peuple est ancien, son territoire a été presque constamment partagé, et administré par ses voisins plus puissants : Russie, Pologne, Lituanie, Roumanie ou Empire d’Autriche qui survivent encore dans de nombreuses minorités qui ont gardé leur langue d’origine.

L’indépendance formelle, octroyée par la Russie en 1991 a été ratifiée par un référendum populaire. L’Ukraine est ainsi devenue un État composé de différentes ethnies parlant des langues différentes aux frontières incertaines à l’exemple de la Crimée qui lui a été donnée par un décret de Khrouchtchev en dépit de sa libération de l’Empire ottoman par la Russie et la composition de sa population majoritairement russe. Depuis l’indépendance, le gouvernement de Kiev s’est efforcé d’effacer les héritages de son histoire en réprimant l’enseignement des langues et les coutumes des minorités suscitant de nombreuses révoltes. La guerre Russie Ukraine n’est que l’internationalisation du conflit entre les minorités russophones de l’est et le pouvoir central de Kiev, parce que les accords de Minsk n’ont pas été appliqués.

Les accords de Minsk, occasions de paix manquées

Nous aurions dû tout faire pour éviter de nous impliquer dans cette guerre et nous devrions tout faire pour qu’elle s’arrête le plus vite possible. Pour aider les peuples ukrainien et russe, nous aurions dû rester neutres et devenir un intermédiaire de paix comme l’a fait avec succès Sarkozy lors de la guerre Russie-Géorgie de 2008.

Les Accords de Minsk du 5 septembre 2014 (Minsk 1) puis du 11 février 2015 (Minsk 2) constituaient une solution crédible pour un règlement pacifique de la guerre dans le Donbass. Ils prévoyaient : la décentralisation du pouvoir en Ukraine par un amendement à sa Constitution avec l’adoption par l’Ukraine d’une loi relative au statut spécial de certaines parties des oblasts (régions) de Donetsk et Luhansk (en abrégé, « ORDLO ») accordant l’autodétermination linguistique, le droit, pour les autorités locales des ORDLO, de nommer procureurs et juges, de constituer des « unités de police du peuple », d’avoir une « coopération transfrontière avec des districts de la Fédération de Russie », tout cela s’accompagnant d’un soutien social et économique de l’État ukrainien, du rétablissement des liens socio-économiques avec l’Ukraine, notamment en matière de fiscalité et de système bancaire. L’organisation d’élections locales dans ces régions aux termes de la nouvelle loi et l’octroi par l’Ukraine d’une amnistie aux participants au conflit.

Le gouvernement ukrainien, influencé par les USA et l’UE a refusé d’appliquer la partie politique de l’accord, et a tenté de reprendre par les armes le contrôle des provinces sécessionnistes entraînant l’intensification des combats, puis l’entrée en guerre de la Russie.

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, clef de la charte de l’ONU

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est aujourd’hui considéré comme l’un des droits les plus fondamentaux dans l’ordre juridique international est ainsi rédigé dans la charte des Nations Unies chapitre 1, article 1 alinéa 2 :

« Les buts des Nations Unies sont les suivants :maintenir la paix et la sécurité internationale et à cette fin… ; développer entre les nations des relations amicales fondées sur le respect du principe de l’égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d’eux-mêmes, et prendre toutes autres mesures propres à consolider la paix du monde… »

L’intégrité territoriale d’un État repose sur le désir des gens de vivre dans ce même État. C’est en application de ce principe que le Kosovo a été séparé de la Serbie alors qu’il constituait pour la majorité des Serbes le cœur historique de leur nation. La résistance opiniâtre qu’opposent les populations russophones du Donbass à la violence militaire que déploie l’Ukraine montre clairement que leur volonté n’est pas de vivre sous le joug du gouvernement de Kiev.

Nous pouvions tenter d’éviter la poursuite de cette guerre et nous aurions dû le faire !

La France, l’Allemagne et l’OSCE qui ont supervisé les négociations de Minsk et en étaient les garants n’ont pas incité l’Ukraine à appliquer rapidement les accords, tandis que les USA la poussaient à l’intransigeance conduisant inéluctablement à la reprise de la guerre. Jacques Baud a ainsi conclu son livre3 :

« Si la France avait fait son travail il n’y aurait pas eu de guerre ! »

Cette politique va-t-en-guerre de nos dirigeants, loin de favoriser la paix, prolonge inutilement une guerre et a participé à ruiner la France et les Français. Ruine de nos entreprises en Russie : fin 2021, la France et la Russie avaient affiché un volume d’échanges économiques supérieur à ce qu’il était avant l’introduction des sanctions en 2014. Parmi ses concurrents européens, la France, premier employeur étranger en Russie, se distinguait comme étant la seule de ces nations à enregistrer, une balance commerciale excédentaire avec la Russie. Les principales entreprises actives en Russie étaient : Auchan (356,1 milliards de roubles de recettes), Leroy Merlin (226,7 milliards de roubles), Renault (126,2 mds de roubles), Danone (116 mds de roubles), L’Oréal (50,3 mds de roubles) Sanofi (48,6 milliards de roubles) et Schneider Electric (46,5 milliards de roubles). Le retrait de Russie décidé par la Commission européenne a entraîné pour toutes ces entreprises la perte sèche de leurs investissements. Ainsi Renault a reçu 1 rouble pour la vente de ses 2,2 milliards euros d’actifs. La perte des investissements, des activités en Russie et des bénéfices futurs aggrave le déficit de notre balance commerciale.

Appauvrissement des Français : la prolongation des sanctions de l’UE a déjà entraîné pour les Français des privations considérables : forte inflation, augmentation du prix des énergies obligeant certains à grelotter dans leur logement cet hiver, destruction de notre agriculture par les importations ukrainiennes de blé et de poulet, milliards d’argent magique envoyés en Ukraine alors qu’il n’y a presque rien pour les agriculteurs, l’hôpital, la police, la justice…

Et Macron voudrait maintenant nous imposer l’impôt du sang en envoyant nos enfants au front !

Les folles propositions d’E. Macron

En novembre 2022 Emmanuel Macron a prétendu qu’« Aujourd’hui plus encore qu’hier, les intérêts vitaux de la France ont une dimension européenne. Nos forces nucléaires contribuent donc par leur existence propre à la sécurité de la France et de l’Europe », sous-entendant ainsi qu’elle pourrait être utilisée en de dehors de toute menace directe contre le territoire national. En détournant la mission de nos forces nucléaires créées par De Gaulle comme ultime arme de sauvegarde de l’indépendance et de l’intégrité nationale, Il met en danger l’existence même de l’ensemble de la population !

Lors de la conférence internationale de soutien à l’Ukraine qui a réuni 21 chefs d’État à l’Élysée, Emmanuel Macron a évoqué, la possibilité d’envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine en déclarant que l’envoi de troupes occidentales à l’avenir ne pouvait être exclu :

« Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre ».

« Rien ne doit être exclu ».

« Tout est possible si c’est utile pour atteindre notre objectif ».

Dans le cas de la France, les forces opérationnelles immédiatement mobilisables, celles de l’armée de terre comprennent 130 000 hommes et femmes, dont plus de 25 000 réservistes globalement mal armés et non préparés à une guerre de haute intensité. Il a de plus appelé à la création d’une nouvelle coalition dédiée à la livraison de missiles de moyenne et longue portée et mentionné une liste de cinq « catégories d’actions ».

Interrogé à l’Assemblée sur les déclarations d’Emmanuel Macron, le ministre des Affaires étrangères, a répondu :

« Nous devons envisager de nouvelles actions de soutien à l’Ukraine »

Celles-ci « doivent répondre à des besoins très précis ». Il nomme le « déminage », le « cyber » et la « production d’armes sur place, sur le territoire ukrainien ».

« Certaines de ces actions pourraient nécessiter une présence sur le territoire ukrainien sans franchir le seuil de belligérance ».

Le 29 février 2024 malgré les appels à la prudence, unanimes de nos voisins Macron a réitéré :

« Ce sont des sujets suffisamment graves. Chacun des mots que je prononce sur cette matière est pesé, pensé et mesuré ».

L’isolement international de la France après les propos d’E. Macron

Tous les dirigeants de l’UE ont contredit les propositions belliqueuses d’Emmanuel Macron.

« Nous ne sommes pas d’accord », a tranché, ce mardi, la porte-parole de l’exécutif espagnol, Pilar Alegría.

Olaf Scholz chancelier allemand a affirmé :

« Ce qui a été décidé entre nous dès le début continue à être valide pour l’avenir », à savoir « qu’il n’y aura aucune troupe au sol, aucun soldat envoyé ni par les États européens, ni par les États de l’OTAN sur le sol ukrainien ».

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que son pays « n’envisageait pas d’envoyer ses troupes en Ukraine ».

La Première ministre italienne Giorgia Melonia a confirmé :

« Depuis l’agression de la Russie il y a deux ans, tous les alliés sont unis sur la question de soutien à apporter à Kiev ».

« Ce soutien ne prévoit pas la présence de troupes des pays européens ou de l’OTAN sur le territoire ukrainien. »

Ulf Kristersson, Premier ministre suédois, a affirmé sur la chaîne publique suédoise que l’envoi de troupes en Ukraine n’était « pas du tout d’actualité ».

Mark Rutte, Premier ministre néerlandais :

« La question de l’envoi de troupes au sol n’avait pas été à l’ordre du jour ».

Prague a également réfuté la proposition aventureuse d’E. Macron.

Rishi Sunak, Premier ministre britannique, a précisé :

« Un petit nombre de personnes envoyées par Londres se trouvaient déjà sur place pour soutenir les forces armées ukrainiennes, notamment en termes de formation médicale ».

Mais :

« Nous ne prévoyons pas de déploiement à grande échelle ».

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a également réfuté toute idée d’implication directe de l’Alliance atlantique dans les combats en Ukraine.

« Les alliés de l’OTAN apportent un soutien sans précédent à l’Ukraine. Nous le faisons depuis 2014 et nous avons intensifié nos efforts après l’invasion à grande échelle ».

« Mais il n’est pas prévu que des troupes de combat de l’OTAN soient présentes sur le terrain en Ukraine. »

En France ses propos ont été unanimement critiqués par les oppositions

Jean-Luc Mélenchon :

« La politique étrangère de la France est faite de dérapages incontrôlés et d’annonces fantasques… L’envoi de troupes en Ukraine ferait de nous des belligérants. La guerre contre la Russie serait une folie ».

« Il n’est pas question de faire la guerre ».

« La totalité des alliés ont affirmé qu’ils ne voulaient pas participer ».

« Nous ne sommes ni Ukrainiens ni Russes, et ce n’est pas vrai, contrairement aux surenchères verbales sur le sujet, que nous sommes menacés dans toute l’Europe ».

Et il met en garde contre « une escalade dont personne ne connaît l’issue », et son groupe La France insoumise a réclamé « que le Parlement soit saisi sur l’ensemble de la stratégie en Ukraine ».

Olivier Faure premier secrétaire du Parti socialiste a critiqué « linquiétante légèreté présidentielle », et estimé :

« Soutenir la résistance ukrainienne, oui. Entrer en guerre avec la Russie et entraîner le continent. Folie ».

Marine Le Pen s’est indignée :

« Emmanuel Macron joue au chef de guerre, mais c’est la vie de nos enfants dont il parle avec autant d’insouciance. »

Jordan Bardella a rajouté :

« Emmanuel Macron semble perdre son sang-froid. »

Selon un sondage CSA pour Europe 1, C News et « Le Journal du dimanche », 76 % des Français sont contre l’envoi de militaires français en Ukraine. Leurs opinions politiques ne départagent pas les sondés : 67 % des électeurs de gauche sont contre l’idée de voir des soldats tricolores sur le front ukrainien faire face aux troupes russes, 67 % pour les sympathisants de la France insoumise, 78 % pour Europe Ecologie-Les Verts et 65 % pour le PS. Quant aux sympathisants de Renaissance, ses électeurs, ils sont à 68 % contre l’idée du chef de l’état.

Il faut d’urgence recadrer E. Macron pour stopper une escalade verbale qui nous dirige vers une guerre ouverte contre la Russie, met inutilement en danger nos soldats et même la population entière si on atteint le seuil nucléaire. Un bon stratège ne brandit jamais une menace qu’il ne peut pas utiliser pour un motif futile. Qu’avons-nous à faire dans cette galère ukrainienne ?

Il faut d’urgence distribuer des tracts, informer vos voisins, pétitionner, interpeller vos élus pour qu’ils imposent un contrôle parlementaire sur la politique ukrainienne et les paroles du président !

Je ne veux pas que nos soldats et nos enfants meurent pour l’Ukraine !

Le seul combat qui vaille est celui de la paix. Au lieu d’armes, envoyons des diplomates pour ouvrir des discussions directes entre les belligérants.

MULTIPLIONS LES MANIFESTATIONS





Le monde dans le filet de la franc-maçonnerie

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Seuls ceux qui reconnaissent à quel point notre beau monde est pris dans le filet des loges maçonniques peuvent comprendre pourquoi tout fonctionne comme on le voit fonctionner. Dans ce discours, le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique en détail qui a tissé ce réseau maçonnique et quelles associations en font activement partie. La conclusion de cette découverte passionnante est claire : que tous les États sortent de ce réseau criminel, ou que ce réseau criminel sorte de nos États, à commencer par l’OMS.

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  • 00:00:00 : 1. Introduction d’Ivo Sasek
  • 00:07:26 : 2. L’ONU
  • 00:21:22 : 3. L’OMS
  • 00:27:15 : 4. L’UE
  • 00:31:50 : 5. Le FEM
  • 00:36:34 : 6. Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !
  • 00:42:10 : 7. City of London
  • 00:45:11 : 8. Federal Reserve (FED)
  • 00:47:18 : 9. La BRI
  • 00:52:39 : 10. Résumé
  • 01:21:10 : 11. @ Vérificateur de faits

Approfondir le sujet :

Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
https://www.kla.tv/27892

Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme
https://www.kla.tv/19023

Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade
https://www.kla.tv/23995

La Chine — ce système de domination nous menace tous !
https://www.kla.tv/27164

Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat
https://www.kla.tv/28157

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ?
https://www.kla.tv/18254

Le dossier Tedros – Le chef de l’OMS va-t-il devenir l’homme le plus puissant du monde ?
https://www.kla.tv/26779

Transcription

Avec ce discours, je résume ce que nous avons déjà démontré dans des milliers d’émissions avec des centaines de milliers de sources solides. Je vous en prie, transmettez au plus vite ces informations à vos députés, à tous vos représentants du peuple, à vos politiciens et à vos responsables, car chacun d’entre nous est confronté à une menace existentielle. Et ce qui est valable pour la plus petite entité de notre société doit naturellement l’être aussi pour le grand tout, l’État.

Aujourd’hui, nous allons nous exercer à la pensée fractale. Nos États sont en effet soumis aux mêmes lois que nos arbres et nos plantes. Si nous suivons des yeux les grosses branches principales d’un arbre, nous constaterons que l’intégralité de l’arbre se répète dans chacune d’entre elles. Ainsi, l’image de l’arbre entier est toujours nouvelle même dans ses subdivisions — et pourtant c’est la même image. L’arbre dans son ensemble est en quelque sorte notre pays, ou notre État dans son ensemble. Chaque grosse branche est notre département ou notre canton. En comparaison les branches de plus en plus fines sont nos communautés locales. Chaque fractale est un modèle réduit dans lequel l’ensemble se reflète réellement dans ses parties. Dans les ramifications extrêmes, nous pouvons donc voir notre voisinage et, tout au bout de la branche, les différentes cellules de vie ou familles. Et de telles réalités fractales s’étendent maintenant comme principe d’ordre à travers toute la création, et elles ne s’arrêtent pas à la forme matérielle, mais elles s’étendent comme une loi à tous les domaines immatériels de la vie. De ce point de vue, nous considérons également le fait que tout ce qui est valable pour le petit arbre fractal le plus extérieur doit et est toujours inévitablement valable pour l’arbre entier. Ainsi, tout ce qui nuit à la petite branche nuit également à la branche, et nuit également à l’arbre entier — et tout ce qui nuit à l’arbre entier nuit également à chaque branche et petite branche individuelle. Vous comprenez ? Et avec cette constatation, nous passons maintenant à un événement qui reflète cette loi dans une dimension purement quotidienne. Supposons qu’il nous arrive, là où nous vivons, exactement ce qui est arrivé à de nombreuses familles sans méfiance, du Soudan à l’Ouganda en passant par la République centrafricaine. Il y a là-bas un certain Joseph Kony, c’est son nom, qui promet de n’appliquer que ce qui est écrit dans la Bible ; donc un mouvement religieux. Son mouvement s’appelle l’Armée de résistance du Seigneur, ou LRA. Or, de nombreux membres de familles crédules ont rejoint ce mouvement, pensant qu’il s’agissait d’un mouvement de résistance chrétien qui les autorisait en quelque sorte à lutter contre des forces diaboliques. Mais très vite, ils ont malheureusement dû constater qu’il s’agissait simplement d’un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien, et qui attaquait des villages et des villes entières. Qui oblige aussi les gens à le suivre. Donc, au lieu d’une communauté remplie d’esprit, ils ont trouvé un royaume terroriste avec ses propres règles strictes, qui attirent de sérieux problèmes à ceux qui ne les respectaient pas. Mais ce n’est pas tout. Ils ont même recruté des enfants-soldats et des petites filles sont contraintes à la prostitution. Ils attaquent des villages entiers, commettent des attentats contre des institutions gouvernementales, etc. La LRA s’est donc révélée être une organisation extrêmement brutale. Ils ont dix mille meurtres à leur actif. Et ils continuent de tuer. Et maintenant, comme je l’ai dit, appliquons de manière cohérente ces lois fractales : que peut attendre l’arbre entier, c’est-à-dire l’État, de ses fractales les plus petites, si elles sont tombées dans un piège tel que celui tendu par les hommes avec ce Joseph. Oui, s’ils ont rejoint — sans le savoir et sans le vouloir — un groupe terroriste déguisé en groupe chrétien ? Qu’attend papa État ? Oui, tu as raison : du point de vue de l’État, le simple fait d’être membre d’un groupe terroriste suffirait à ce que vous soyez dénoncé, poursuivi, emprisonné et condamné à une lourde amende. Mais comment réagirait tout célibataire sincère, tout couple honnête ou toute famille saine s’il remarquait la moindre tendance à de telles dérives terroristes ? Encore une fois, aucun d’entre nous ne voudrait maintenir une telle relation ne serait-ce qu’une heure de plus. Et vous voyez, ce qui vaut pour la plus petite unité de notre société doit aussi valoir pour l’ensemble, vous comprenez ? Si un système étatique entier s’est trompé en s’associant à une organisation supranationale criminelle, il doit d’autant plus agir de la sorte. Bien sûr, même si ce système étatique a déjà conclu toutes sortes de contrats commerciaux avec cette association terroriste supranationale, et s’est peut-être engagé à effectuer des paiements réguliers de quelque nature que ce soit. Le citoyen individuel ne pourrait pas non plus rester dans un groupe terroriste à cause de tels engagements, vous comprenez ? Tout engagement pris le rendrait d’autant plus coupable s’il retardait pour cette raison sa séparation. Ce qui est très surprenant, c’est que nos systèmes étatiques, en tant qu’arbre entier, ne renoncent pas immédiatement de la même manière à toute association supranationale, chaque fois qu’il s’avère que celle-ci s’est alliée par erreur ou peut-être même consciemment à des organisations terroristes. C’est pourquoi nous examinons aujourd’hui de plus près 12 associations terroristes hautement criminelles dont nos États se sont rendu membres par toutes sortes d’alliances et de traités. Tu demandes si une telle chose existe, n’est-ce pas ? Commençons par l’adhésion à l’ONU, fondée en 1945. Qu’est-ce que l’ONU ?

[1. L’ONU (1945)]

L’ONU est une organisation supranationale qui, lors de sa création et de sa candidature à l’adhésion, s’était vantée de servir ou de vouloir servir uniquement le maintien de la paix mondiale, la sécurité internationale ainsi que la bonne coopération entre les pays, et bien sûr de servir les droits de l’homme, les pauvres, les faibles, même les enfants, de servir tout le monde, cela avait été hautement loué. Et pour entrer dans cette organisation, tous les États membres ont dû depuis lors renoncer volontairement à une bonne partie de leur liberté, de leurs droits souverains et de leur indépendance. La Suisse est également membre de l’ONU, sans aucune connaissance de ce que vous entendez aujourd’hui, et elle y a adhéré le 10 septembre 2002. Mais entre-temps, il s’est avéré que l’ONU ne faisait que simuler toutes ces bonnes intentions. Vous savez, outre d’innombrables témoins, un ancien fonctionnaire haut placé de l’ONU, Calin Georgescu, devenu lanceur d’alerte, a vraiment mis en lumière les secrets les plus sombres, les atrocités et la corruption extrême de l’ONU. Il révèle désormais dans les moindres détails comment les Nations unies sont contrôlées par des oligarques criminels qui ne se contentent pas de truquer les élections pour s’enrichir et asservir l’humanité, mais qui comme nous allons le voir maintenant, se livrent à des actes encore plus cruels. Et il n’y a rien d’étonnant à ce que l’ONU ait été fondée pendant la Seconde Guerre mondiale par deux francs-maçons de haut rang : le président américain Franklin D. Roosevelt de la « Loge Marion N° 70 » et le Premier ministre britannique Winston Churchill qui appartenait à trois loges maçonniques se réclamant de Satan : la « United Studholme Loge N° 1591 », la « Loge Rosemary N° 2851 », mais aussi la « Loge Albion », de l’ancien ordre druidique. Vous voyez, et dès 1948 ces pères fondateurs maçonniques ont désigné très officiellement cette Société des Nations comme leur Loge mondiale. Mais l’ex-fonctionnaire de l’ONU qui témoigne a lui-même été pendant deux ans président international du club maçonnique de Rome. Donc, après plus de 18 ans de service à plein temps, il sait de quoi il parle et relate aujourd’hui devant les caméras comment l’ONU commet en permanence d’innombrables violations imprescriptibles et des crimes contre les droits de l’homme. Selon un vieux dicton « Si on marche avec, on est pris avec ». Pas vrai ?

Selon le lanceur d’alerte de l’ONU Calin Georgescu, les essais nucléaires qui ont détruit la plupart des archipels des Maldives et des îles Marshall entre 1946 et 1958 sont directement imputables à l’ONU. Cela signifie qu’au nom de la sécurité internationale, l’irradiation nucléaire a non seulement détruit toute la population de thons, mais aussi l’espérance de vie des habitants des îles Marshall. Imaginez que ceux-ci vivaient en moyenne 180-200 ans avant le bombardement — cela a été prouvé. Par la suite, l’espérance de vie de ces personnes, qui auparavant ne connaissaient même pas la maladie ou les médecins, a chuté à 35-45 ans en moyenne. Et vous comprenez, ces gens adorables, ne savaient même pas qu’il y avait eu une guerre mondiale. Alors, s’il vous plaît, dites-moi quelle est la différence avec le groupe terroriste de ce Joseph Kony, à part le fait que l’ONU a commis un terrorisme incomparablement plus grave. Mais ce n’est pas tout. Tout comme la bande terroriste de Joseph Kony, les employés de l’ONU violent réellement des femmes et des enfants à grande échelle, et ce de manière répétée. En 2017 déjà, il a été révélé qu’ils avaient violé environ 60 000 enfants rien qu’en Haïti. Mais c’est seulement ce qui est révélé, vous voyez ? L’ex-fonctionnaire de l’ONU et lanceur d’alerte Calin Georgescu témoigne avec force qu’il existe aussi à l’ONU un réseau mondial de trafic d’enfants, d’abus d’enfants et même de sacrifices d’enfants. Et ce n’est que grâce à de tels témoignages que la communauté internationale peut enfin comprendre pourquoi c’est justement l’ONU qui a créé, avec de nombreuses sous-organisations, le Fonds mondial pour l’enfance (UNICEF), qui est censé « s’occuper » de manière si touchante de tous les enfants du monde… Vous voyez ce que je veux dire ?

L’ONU, en collaboration avec l’OMS, demande aux autorités scolaires du monde entier d’apprendre aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber. Ils recommandent à nos enfants d’utiliser des films pornographiques, ce qui était encore un délit il y a quelque temps, vous vous souvenez ? Ils recommandent différentes techniques sexuelles, comme l’apprentissage de la fellation, aux jeunes enfants, et d’avoir des relations homosexuelles, et tout ce genre de choses. L’ONU et l’OMS demandent donc aux éducateurs d’encourager les enfants à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à trouver des partenaires sexuels. Il existe également des preuves que cela fait partie d’une opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Rien d’étonnant à cela. Et maintenant, je répète : montrez-moi la différence avec la secte terroriste de Joseph Kony… sauf que l’ONU et l’OMS, dont nous parlerons plus tard, font des millions de fois pire, dans le monde entier. Vous voyez, le simple fait d’adhérer à l’ONU sans se douter de quelque chose ne devrait pas être considéré comme un crime par un État membre bien intentionné. Mais dès que de telles atrocités de l’ONU comme on vient de l’entendre, sont révélées au grand jour, aucun État membre ne doit avoir la moindre raison de ne pas se retirer immédiatement de cette association terroriste hautement criminelle ! C’est clair ?

Et surtout, aucun État ne doit se taire lorsque de telles choses se produisent, ou s’arroger le droit de rester dans cette organisation criminelle au nom d’un quelconque contrat ou même privilège. C’est exactement le contraire : tout État non coupable doit agir immédiatement, traîner les crimes révélés au grand jour les plus graves devant un tribunal équitable, pour éviter que l’arbre étatique tout entier ne tombe dans la complicité de crimes internationaux. Et si des États membres trompés et maintenant éclairés devaient avoir l’idée de maintenir cette organisation criminelle en vie, de la réformer en quelque sorte, au nom de son beau nom ou des innombrables contrats signés, il faudrait alors, en pensant en termes fractals, accorder le même droit à toutes les associations terroristes bien plus inoffensives, comme celle de Joseph Kony, par exemple, n’est-ce pas ? Elles aussi ont des noms et des contrats prometteurs. Il ne viendrait à l’idée de personne sous ce ciel de maintenir une organisation terroriste après avoir simplement changé la tête et quelques-uns des complices de cette bande d’assassins, vous comprenez ? Seuls des esprits dérangés, qui ont déjà incité des États entiers à devenir membres de réseaux terroristes dominant le monde, peuvent avoir des idées aussi perverses. Mais ceux-ci, pensés de manière fractale, devraient être punis d’autant plus sévèrement que l’arbre entier est plus lourd que sa branche fractale extrême, et même que sa plus petite représentation. Il convient de mentionner que c’est la même organisation secrète maçonnique qui a fondé l’ONU en 1945, puis l’État d’Israël trois ans plus tard et la Communauté européenne (CE) en 1957. Or, comme vous le savez, chaque franc-maçon du plus haut grade se réclame de Lucifer ; c’est son dieu. En d’autres termes, il s’agit d’adorateurs du diable, vous saisissez ? Des adorateurs du diable qui ont fondé non seulement les institutions que je viens de mentionner, mais aussi toutes ces institutions et bien d’autres encore. En effet, ils ont fondé la FED (Federal Reserve), l’OMS, l’OTAN, la NASA, le FEM, l’UE, l’œcuménisme, mais aussi l’ensemble du système éducatif avec toutes ses universités. Ils ont également créé l’ensemble du secteur de la presse et l’industrie de l’édition, mais aussi les plus grandes maisons d’édition de livres, l’ensemble de toute la machine télévisuelle et hollywoodienne avec son contrôle FSK et je ne sais quels autres organismes de contrôle. Il ne faut pas non plus oublier ces sociétés secrètes maçonniques, fondatrices de toutes les principales agences de presse du monde, qui alimentent jour après jour leurs médias mainstream, je dis bien leurs médias mainstream, avec leurs trucs. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont également fondé de nombreux services secrets, et même la recherche sociale comme l’École de Francfort et bien d’autres choses encore. Mais nous allons d’abord nous pencher sur d’autres machinations hautement criminelles issues de toutes les fondations maçonniques que nous venons de mentionner, et plus tard, nous nous pencherons encore sur les coûts que l’ONU maçonnique à elle seule nous fait supporter chaque année. Les peuples, enfermés et généralement déjà intégrés dans les autres constructions de sociétés secrètes que nous venons de mentionner, livrent sans cesse leurs impôts durement gagnés aux mêmes oligarques. C’est ce qu’il faut comprendre aujourd’hui.

Comme nous le verrons par la suite, dans le monde entier une seule et même société secrète luciférienne s’est infiltrée depuis des siècles dans tous les postes importants de notre société. Et leurs méthodes sont toujours les mêmes : mensonges, tromperies, et ce par principe. En règle générale, ils font exactement le contraire de ce qu’ils promettent. Et pour eux, les êtres humains ne sont rien de plus, rien de moins que du bétail ou des machines, ce sont simplement des marchandises qu’il faudrait réduire à 500 millions d’entre nous. C’est ce qu’ils disent ouvertement. Et cette secte luciférienne, qui s’est formée depuis des siècles dans des structures de sociétés secrètes, domine vraiment tous les peuples du monde. Certes, ils mettent constamment en avant des slogans qui parlent de démocratie, de tolérance, de fraternité, voire de liberté. Mais ils manipulent nos politiciens et toutes les structures devenues imaginables par des méthodes astucieuses. Les paroles et les actes ne concordent pas, mes chers amis. Et ce ne sont pas les peuples qui les contrôlent, mais eux qui contrôlent les peuples. C’est ce qui est le plus grave ! Et tout cela se fait à l’insu du grand public, au mépris de tout droit ou de toute constitution en vigueur. Et tout ce qu’ils font, ils le font soit sans aucun mandat politique, soit sans mandat des peuples, soit au moins par la méthode déjà mentionnée qui consiste à obtenir hypocritement l’adhésion d’États de bonne foi et sans méfiance. Tout ce qu’ils font et manipulent passe complètement à côté de la conception qu’a le peuple de la justice. J’ai dit le peuple ! Ils nous imposent sans cesse de nouvelles lois, sans tenir compte des principes démocratiques. Ils exercent une influence toujours plus grande sur nos écoles, sur nos enfants — et ce, de manière conséquente, en ignorant tous les parents, les enseignants et les représentants légaux.

Il s’agit donc d’une conspiration solide qui passe outre tous nos responsables et toute responsabilité. Dans d’innombrables émissions de Kla.TV, nous avons démontré que les institutions suivantes ont toutes été fondées par cette société secrète de la franc-maçonnerie de haut niveau, organisée de manière luciférienne. Et comme nous allons le voir, ces associations secrètes se comportent les unes comme les autres, de manière hautement criminelle, et c’est le cas de l’OMS. C’est à elle que nous allons nous intéresser maintenant.

[2. L’OMS]

L’Organisation mondiale de la santé est une organisation spéciale de l’ONU fondée en 1948, dont nous venons de prouver l’origine maçonnique. Et ces mêmes 193 États membres de l’ONU sont également les membres de l’OMS, qui doivent payer chaque année des cotisations fixées. Et ce secteur maçonnique engloutit lui aussi plusieurs milliards de dollars par an. Mais passons maintenant au côté criminel : l’actuel directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a été pendant de nombreuses années un dirigeant d’une organisation terroriste communiste. Celle-ci porte le sigle TPLF, et elle est même officiellement répertoriée comme organisation terroriste dans la base de données mondiale des terroristes. Le TPLF est une organisation violente qui a provoqué ou participé à de nombreux enlèvements, prises d’otages et massacres. Ses membres ont vraiment commis les plus graves violations des droits de l’homme au cours de leurs presque 30 années de règne. Et maintenant, que l’OMS nous explique quelle est la différence par rapport à l’organisation terroriste de Joseph Kony en Afrique centrale !

Avant même l’expérience du Covid-19, explicitement soutenue par l’OMS, qui a fait des millions de victimes et des centaines de milliers de morts, c’est l’OMS qui a rendu stériles des millions de femmes au Kenya et dans d’autres pays en ajoutant des substances nocives pour la grossesse dans les vaccins antitétaniques. C’était l’OMS !

L’OMS a également tenté de dissimuler ses vaccins nocifs contre le paludisme en violant gravement les normes éthiques internationales lors de l’évaluation de l’étude. Et en collaboration avec l’organisation maçonnique GAVI, fondée au FEM, l’OMS tente en ce moment même d’inonder littéralement l’Afrique avec un vaccin contre le paludisme.

Le cheval de bataille de GAVI est d’ailleurs l’ID 2020, dont l’objectif est de doter chaque personne dans le monde d’une identité numérique propre — autrement dit, de la rendre transparente à 100 %. Pour moi, ce n’est rien d’autre qu’une sorte de voyeurisme politico-économique, vous comprenez ! Mais revenons maintenant aux crimes vaccinaux de l’OMS et de GAVI : car une fois de plus, des études à ce sujet ont pu démontrer que les personnes vaccinées par l’OMS présentent un risque dix fois plus élevé de méningite ou de malaria cérébrale et un risque de mortalité deux fois plus élevé. Que des juges et des procureurs compétents montrent aux peuples la différence avec les dizaines de milliers de personnes assassinées par la bande terroriste de Joseph et qu’ils nous expliquent pourquoi ils n’ont pas demandé des comptes à ceux qui ont causé des dommages et des assassinats X fois plus nombreux ! Mais l’OMS n’est pas seulement couverte par ses amis francs-maçons, c’est-à-dire par toutes les organisations maçonniques environnantes, l’OMS elle-même couvre à son tour ses amis de Big Pharma, c’est-à-dire les fabricants de vaccins. En effet, l’OMS a exempté les fabricants de vaccins du paiement de dommages et intérêts en cas de dommages causés par des vaccins défectueux. Vous voyez comment ça marche ? Comme toujours, une main maçonnique en lave une autre, vous voyez ? Et en ce moment même, cette OMS criminelle est en train de concocter un traité international sur les pandémies avec tous ses copains de la société secrète. Ils essaient de faire de leur chef terroriste de l’OMS, Ghebreyesus, le seul et unique souverain du monde par ce biais. C’est une voie intelligemment conçue vers la dictature de la santé. Vous devez le comprendre. Ces nouvelles lois, qui sont une fois de plus concoctées derrière des portes closes en ignorant totalement chaque peuple, doivent avoir force de loi pour le monde entier dans quelques mois. C’est ce qu’elles essaient de faire. Mais ils ne pourront le faire que si nous, les peuples trompés, ne nous opposons pas de toutes nos forces. Et la seule chose correcte que tous les éléments fractals de cet arbre mondial doivent faire maintenant, c’est exactement ce que chaque État du monde exigerait d’un allié terroriste de Joseph Kony : comme pour l’ONU, nous devons nous retirer immédiatement de cette organisation terroriste qu’est l’OMS ! C’est comme ça que ça marche ! Et en même temps, nous devons mettre les criminels qui la dirigent sous les verrous. Il ne suffit pas d’expulser l’OMS de tous nos pays, car même les plus petits terroristes sont traités avec beaucoup plus de sévérité. Nous devons exproprier totalement l’OMS et y mettre un terme. Tout le reste serait totalement inapproprié, je le dis. Nous ne l’accepterions jamais, ne serait-ce que pour un Joseph Kony et son organisation terroriste. Mais nous allons maintenant faire un pas de plus vers l’UE.

[3. L’UE (01.11.1993)]

Au fait, qui a fondé l’UE ?

C’était en 1993. Tout d’abord, tout le développement de l’UE était basé sur le plan Coudenhove-Kalergi, qui était un membre de la loge maçonnique Humanitas de Vienne. Et c’est avec sa proposition de créer une Paneurope que la presse maçonnique mainstream a attiré l’attention internationale dès 1922, alors que Kalergi n’avait que 28 ans. Et vous voyez, ils font la même chose aujourd’hui avec tous les Young Global Leaders formés en secret.

Puis, des francs-maçons de haut niveau comme les Français Robert Schuman et Jean Monnet sont entrés en scène. Et c’est de ce dernier que vient la fameuse méthode Monnet. Il s’agit de cette politique d’intégration progressive et délibérément insidieuse, qui a finalement conduit à la naissance de l’UE. Je n’ai pas le temps de parler ici des cofondateurs, Paul-Henri Spaak de Belgique, et Altiero Spinelli d’Italie.

Comme c’est typiquement le cas pour ces sociétés maçonniques, elles ont introduit en 2012 le Mécanisme européen de stabilité en abrégé MES, afin de maximiser leurs profits et leur pouvoir. Mais celui-ci s’est avéré être une mine d’or pour leurs banques, et non pour le peuple : les banques ont d’abord pu prêter de l’argent à la Grèce via le MES. Et lorsque la Grèce n’a plus pu payer, ce qui était prévisible, les autres États de l’UE ont dû intervenir via le MES, donc PAS les banques maçonniques ! Comprenez-vous cela ? Dans le cadre du sauvetage de la Grèce, les États de la zone euro et le FMI ont transféré 207 milliards d’euros, dont 170 milliards ont été versés, comme on pouvait s’y attendre, au secteur financier.

L’UE commet en outre des crimes très graves contre la population civile. Et au plus tard avec ses sanctions sévères, l’UE s’est déjà révélée être une association terroriste en Syrie en 2011, et une association qui déclenche des catastrophes humanitaires. Pourquoi ? Les biens médicaux n’étaient tout simplement plus disponibles en quantité suffisante pour la population innocente à cause de l’UE. De nombreuses installations d’électricité et d’eau ainsi que des hôpitaux ont dû fermer faute de composants et d’essence, l’approvisionnement en nourriture n’était plus suffisant, de nombreuses personnes ont perdu leur emploi parce que les marchandises/produits nécessaires n’étaient plus disponibles, même l’eau potable et l’électricité ont dû être rationnées. Tout cela à cause de l’UE. Vous comprenez ?

Et aujourd’hui, l’UE participe à nouveau à la guerre en Ukraine, en injectant pas moins de 50 milliards dans cette guerre depuis le début. Mais l’UE a également participé directement à la livraison d’armes. Peu après le lancement de l’offensive militaire russe en Ukraine, l’UE a pris la décision historique d’utiliser l’argent d’un fonds relativement nouveau, le Fonds européen pour la paix, FEP, pour soutenir l’Ukraine. Pour la première fois, ce fonds a été utilisé pour fournir des armes létales, c’est-à-dire des armes potentiellement mortelles, à un pays tiers. En a-t-elle le droit ? Non, elle n’en a pas le droit.

L’UE se révèle de plus en plus clairement être un instrument maçonnique de démantèlement de la démocratie et de la souveraineté dans ses pays membres. C’est ainsi. Environ 80 % des lois de ses pays membres sont désormais dictées par l’UE, c’est-à-dire par sa commission non élue par le peuple. Les pays membres qui s’en écartent sont soumis à de lourdes sanctions. Je dis qu’on ne peut pas faire plus sectaire. Comprenons-le enfin.

[4. FEM (24.01.1971)]

Nous allons maintenant faire un pas de plus vers le FEM, qui a été créé le 24 janvier 1971.

Le Forum Économique Mondial, ou FEM, est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière franc-maçonne de haut niveau, comme les Rothschild ou la dynastie Rockefeller. La société secrète du FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Mais elle travaille aussi avec acharnement à un objectif, qui s’appelle Great Reset, et ce avec toute l’humanité. Et maintenant, tout le monde connaît le livre Great Reset de Klaus Schwab. Mais presque personne ne sait qu’un frère de loge satanique notoire et franc-maçon de haut rang a publié en même temps un ouvrage presque identique. Une simple coïncidence, bien sûr. Non, l’Italien Giuliano Di Bernardo est un franc-tireur invétéré. Et en tant que Grand Maître de plusieurs associations maçonniques, comme le Grand Orient d’Italie et la Grande Loge Régulière d’Italie, il a notamment créé l’Académie des Illuminati et le soi-disant Ordre de la Dignité. En accord avec ses objectifs, le FEM annonce maintenant ouvertement le transhumanisme luciférien et nous assure à tous : Vous ne posséderez rien, vous devrez vous en contenter et en être satisfaits. De telles déclarations viennent de là. Le FEM a également dévoilé ouvertement ses objectifs pour 2030 — je les répète ici en quelques mots : la création d’un gouvernement mondial unique — très démocratique — une monnaie mondiale contrôlée sans argent liquide — la fin de toutes les souverainetés nationales, encore une fois très démocratique, non ? — la fin des élections régulières, car elles devraient être remplacées par l’intelligence artificielle, super, non ? — la fin de toute propriété privée — l’abolition des transports privés — un système mondial de crédit social — comme en Chine — le contrôle de la croissance démographique, c’est-à-dire la dépopulation — l’identité numérique de chaque être humain, j’en ai déjà parlé, ID 2020 — la souveraineté absolue du mainstream par la censure des médias indépendants, tout cela ouvertement documenté — la création d’un nouvel être humain par la fusion de l’homme et de l’IA, c’est-à-dire l’intelligence artificielle et le transhumanisme. Les autres objectifs du FEM sont la mise en place d’une technocratie — le Green Deal pour imposer une économie planifiée centralisée, nous aimons tous ce mot, qui équivaut au socialisme pour la gestion étatique de tous les domaines ; le prétexte est bien sûr la folie climatique qu’ils ont eux-mêmes attisée. Regardez à nouveau les émissions très instructives et bien documentées qui apparaissent à l’écran. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

Il est donc prouvé que le Forum économique mondial (FEM), tout comme le Club de Rome, la Commission trilatérale ou le Bilderberg, etc. est un véritable bastion de la franc-maçonnerie par excellence. Et c’est pourquoi le FEM est protégé par une immunité et des privilèges à Genève, en Suisse, c’est clair. Selon leur accord avec le gouvernement suisse, leurs archives semblent inviolables, ce qui leur permet bien sûr de planifier et d’organiser sans transparence le mouvement des fonds au sein de leur réseau.

Selon l’expert financier Ernst Wolff, le FEM profite aussi particulièrement du droit moderne des fondations. Selon lui, ce système a été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. De plus, il est possible d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires — là encore, c’est très démocratique, vous entendez ?

Le flux d’argent va toujours dans les mêmes poches !

Cela veut dire, chers amis, qu’il est urgent que nous comprenions qu’il existe des dizaines d’institutions maçonniques au total, qui ponctionnent vraiment la population mondiale de tous les côtés, avec une préférence pour l’argent de nos impôts, par le biais de taxes directes, mais aussi de plus en plus indirectes, comme actuellement par exemple dans le commerce de l’énergie.

Celui-ci s’étend de plus en plus sous nos yeux, passant par exemple du commerce du mazout et des carburants au commerce des émissions — c’est-à-dire les taxes environnementales, les impôts sur le CO₂, les pénalités climatiques, etc. Mais avant de nous pencher sur les méthodes d’arnaque à grande échelle, totalement invisibles à l’œil nu, je vais résumer les coûts des constructions maçonniques supranationales mentionnées jusqu’à présent, juste ce que nous avons déjà entendu :

[Coûts de ONU]

Les coûts de l’ONU par exemple. Les coûts de fonctionnement interne de l’ONU s’élèvent à environ 3,47 milliards de dollars en 2024. Pour les 193 États membres, cela représente une moyenne de 18 millions par an. Or, l’Allemagne paie chaque année dix fois la moyenne, soit 200 millions ! Seulement le fonctionnement interne. La Suisse paie 40 millions par an rien que pour le budget de l’ONU ! Mais c’est maintenant que les chiffres et les coûts réels apparaissent.

Pour financer l’Agenda 2030 de l’ONU, ils ont l’intention, selon leurs propres dires, de nous soutirer 5 à 7 billions de dollars supplémentaires par an. C’est en moyenne un 6 suivi de 12 zéros, vous comprenez ? Et l’article 17 de la Charte des Nations unies stipule que les dépenses de l’organisation sont à la charge des États membres, c’est-à-dire de nous, les contribuables. Calculons ce que cela nous coûte chaque année :

7 billions divisé par 193 donne « selon Adam Riese » 36 milliards de dollars en moyenne. Comme nous venons de le voir avec la répartition inégale des coûts internes des ménages, certains contribuables, comme les Allemands, devraient être un peu plus « privilégiés »… Mais même avec une consommation annuelle moyenne de « seulement » 36 milliards, l’Agenda 2030 prélèverait 430 dollars par an et par personne sur le contribuable allemand ! Pour une famille avec trois enfants, cela représenterait 2 150 dollars par an… Donc chaque année, rien que pour ces deux postes financiers de l’ONU, de très bonnes vacances seraient tout simplement supprimées… Vous comprenez cela ?

[Coûts de l’UE]

Nous en venons maintenant aux coûts de l’UE. Les dépenses de l’UE pour la période 2021-2027 s’élèvent au total à, écoutez bien : 1 824,3 milliards d’euros. La traduction de documents dans les 24 langues officielles de l’UE coûte donc à elle seule 100 millions d’euros par an. Si ces « philanthropes », comme ils aiment à se présenter, distribuaient ces presque 2 billions d’euros, ainsi que les 6 billions annuels pour l’Agenda 2030, directement aux bouches affamées du monde, vous savez que nous n’aurions plus de famine pendant des décennies, le croyez-vous ? Sur toute la planète. Vous comprenez ?

Mais même nos contribuables suisses, qui ne sont même pas encore membres de l’UE, se voient prélever par ces suceurs de sang une contribution à la cohésion de 2 milliards au total.

Et celle-ci nous ponctionne déjà 229 CHF par an et par personne, et même par nourrisson ! Pour ma famille nombreuse avec petits-enfants, cela représente 6 870 CHF par an…

[Coûts du FEM]

Venons-en maintenant aux coûts du FEM. Environ 2 500 personnes ont participé au FEM 2024. Ces dernières années, l’armée suisse a mis à disposition 20 à 30 millions de francs suisses par an pour cet événement. Mais à cela s’ajoutent 9 millions de francs supplémentaires pour couvrir les services de police et autres frais de sécurité. Pour cette secte, vous comprenez ? Maintenant, passons directement à autre chose.

[Coûts de l’UNESCO]

L’UNESCO est principalement financée par les contributions obligatoires de ses États membres. Pour les années 2022 et 2023, l’UNESCO disposait de 1,5 milliard de dollars américains. Vous voyez ces chiffres ? Toujours dans les mêmes poches.

Et maintenant, comme promis, nous en venons aux quatre plus grandes structures de pouvoir de cette société secrète maçonnique, qui sont en même temps les plus invisibles pour nous tous, et ce, avec les tributs gigantesques qu’elles exigent de nous en permanence :

[5. La City of London (43 apr. J.-C.)]

[Centre financier de la pieuvre]

Nous parlons maintenant de la City of London. Vous connaissez ? La City of London a été fondée, tenez-vous bien, par les Romains en 43 après J.-C. et s’appelait alors Londinium. Je ne me suis pas trompé. 43 ans après Jésus-Christ. Alors, il ne faut jamais oublier que quelques années plus tard, Rome est tombée. Il s’agissait déjà d’un mouvement clandestin. C’est en 1140 après J.-C. que le précurseur de la City of London Corporation a été créé, qui gère encore aujourd’hui la City of London. Et cette City est un État à part entière, comme le Vatican par exemple, et ne doit donc pas être confondue avec l’Angleterre ou la Grande-Bretagne que nous connaissons. Le wiki maçonnique — le lexique — révèle cette compagnie à la première ligne avec ces mots. Je cite : « Vénérable compagnie des francs-maçons ». Bien compris ? Pas étonnant, puisque la City of London est contrôlée par les Rothschild. Et là encore, on en revient à l’aspect criminel. En effet, depuis 1815, les Rothschild et leur cartel bancaire ont pratiquement toujours financé les deux camps de chaque guerre. Donc, rien que cela a coûté la vie à plus de 85 millions de personnes pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale. D’autres victimes sont à déplorer dans les guerres financées par Rothschild : guerres ottomanes, 9 millions de morts ; Révolution russe : 14 millions de morts ; Seconde Guerre mondiale : plus de 70 millions de morts, auxquels s’ajoutent 7 millions de viols ; Guerre du Golfe : 100 000 morts ; Vietnam : 3 millions de morts, 7 millions de blessés… Je pourrais en citer d’autres.

Mais parlons maintenant de la City of London elle-même, contrôlée par les Rothschild : Je dis qu’elle est leur premier centre financier mondial. Et plus de 500 banques font des affaires dans le Square Mile, la City of London. Cela veut dire que la City of London est un aimant pour l’argent de l’évasion fiscale du monde entier. A la City of London, des milliers de comptables et d’avocats sont exclusivement occupés à ouvrir de nouvelles brèches aux super-riches. En d’autres termes, les multinationales, à l’aide des spécialistes londoniens, mettent leurs bénéfices à l’abri dans ce qu’on appelle des paradis fiscaux. Et cela coûte chaque année aux pays pauvres, je dirais — et c’est un euphémisme — 170 milliards de dollars. Ce chiffre n’est probablement pas exact, il doit être revu à la hausse.

[6. FED (23.12.1913)]

Nous arrivons maintenant à la Réserve fédérale, la FED.

Et maintenant, en ce qui concerne les pertes financières, c’est encore plus frappant :

La Réserve fédérale, fondée en 1913, était déjà la troisième banque centrale des francs-maçons Rothschild en Amérique. Pour obtenir le soutien de l’opinion publique, ils ont alors affirmé de manière mensongère que seule une banque centrale pourrait résoudre les problèmes d’inflation et de déflation. En principe, il n’y a rien de mal dans cette phrase, elle est juste entre de mauvaises mains. Mais les francs-maçons, c’est bien connu, racontent toujours en public l’exact contraire de ce qu’ils ont réellement l’intention de faire. Il faut le comprendre. Car l’idée derrière les banques centrales de Rothschild était justement, dès le début, de pouvoir manipuler le flux monétaire de telle sorte que ces banques puissent elles-mêmes générer de l’inflation et de la déflation à volonté. Vous comprenez ? Avec leur système de réserves fédérales, ils se sont également arrogé le droit attesté de créer de l’argent à partir de rien, pour le prêter ensuite à des intérêts et des intérêts composés coûteux… vous connaissez l’histoire. Lors de la promulgation de la loi sur la Réserve fédérale le 23 décembre, le membre du Congrès Charles Lindbergh a déclaré, je cite : « Un pouvoir monétaire invisible est ici légalisé, le plus grand crime de tous les temps est exercé par ces législateurs bancaires et monétaires. » Fin de citation.

Il avait raison, car la FED est immédiatement devenue la mère de toutes les inflations. Entre de mauvaises mains, comme je l’ai dit. Elle avait déjà provoqué la Grande Dépression dans les années 1930, c’est-à-dire la pire crise économique du XXe siècle. En raison de cet effondrement délibéré, des millions de personnes se sont retrouvées sans emploi et ont perdu leur fortune. Ce n’est que le sommet de l’iceberg.

On avance, on passe à la BRI et à ses crimes.

La Banque des règlements internationaux, ou BRI, a été fondée en 1930 à Bâle, en Suisse. Et pourquoi cela ? Pour s’assurer que l’Allemagne paierait ses réparations aux superpuissances de la Première Guerre mondiale. Mais écoutez bien : cette même BRI avait auparavant contribué à financer les préparatifs de guerre du Troisième Reich par des crédits et avait soutenu les raids nazis en amont. Vous comprenez ? En recevant par exemple l’or qu’ils avaient volé et en le transformant en devises. Et comme nous l’avons déjà mentionné, les banques Rothschild ont toujours financé les deux camps de la guerre, — et nous voyons ici comment elles le font après la guerre. Aujourd’hui, il n’y a plus que deux ou trois pays dans le monde dont la banque centrale est restée indépendante de la propriété ou du moins du fort contrôle des Rothschild. La BRI a donc contribué, dans le dos du public, à l’organisation de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle plus de 70 millions de personnes ont d’ailleurs perdu la vie, et elle n’a pas manqué une occasion de s’enrichir elle-même.

Plus tard, la BRI a joué un rôle décisif dans la création de la Banque centrale européenne, la BCE, et a contribué à poser les jalons de la crise de 2007/2008 et de la crise de l’euro qui a suivi, en faisant en sorte que les conséquences de ces deux crises ne soient pas répercutées sur leurs responsables, à savoir les grandes banques et les fonds spéculatifs, mais sur la population active. Sur toi et moi.

Et ainsi, nous pourrions encore citer beaucoup d’autres institutions maçonniques avec leurs crimes, car nous n’avons pas encore dit un mot, par exemple, des trois plus grandes agences de presse, l’AP, Reuters et l’AFP avec leur système mainstream interconnecté au niveau mondial. Nous n’avons pas non plus parlé de tout le système de téléphonie mobile avec ses technologies Wifi, Smart et de surveillance, ni du bastion maçonnique de Washington DC ; pas un mot non plus sur le WWF, Amnesty International (il y aurait aussi beaucoup à dire), et encore moins sur le Vatican, qui est soutenu par toute l’infrastructure maçonnique mentionnée ici et qui, en tant que chef non négligeable de toute l’histoire, influence toute la construction mondiale du point de vue religieux. Il a pour mission de faire entrer le tout dans le culte de Lucifer. Retenez bien cette phrase !

Il y aurait également beaucoup à dire sur l’UNESCO maçonnique, car elle sacrifie dans notre dos d’immenses surfaces, par exemple des réserves naturelles, pour des mines d’uranium. L’UNESCO a par exemple approuvé une modification des frontières d’une réserve naturelle en Tanzanie, de sorte que l’uranium peut désormais être extrait dans la réserve pour approvisionner les centrales nucléaires, etc.

Ou encore le Pentagone. Le Pentagone, il faut l’appeler une loge maçonnique militaire. En arrière-fond, vous voyez le bilan de quelques guerres du Pentagone. Toutes des œuvres maçonniques. Cette autorité, la plus puissante du monde, a en effet tué lors de bombardements près de 14 millions de personnes depuis 1945. Et maintenant, ça continue. Même Hollywood, une autre fondation maçonnique, travaille pour le compte du Pentagone. Des documents nous révèlent comment Hollywood encourage les guerres pour le compte du Pentagone, mais aussi de la CIA, de la NSA, etc. Les services secrets militaires américains ont directement influencé pas moins de 1 800 films et émissions de télévision. Les scénarios, tout. L’institution du Pentagone coûte vraiment cher au monde, et en particulier aux États-Unis. Car juste un jour (voici un exemple en gras) un jour avant le 11 septembre, avant la catastrophe des tours, le secrétaire américain à la Défense de l’époque, Donald Rumsfeld, a déclaré lors d’une conférence de presse que 2,3 billions de dollars américains avaient disparu sans laisser de trace au Pentagone — écoutez bien —. Donc 2 300 × 1 milliard de perdu, ou en d’autres termes encore une fois : 2 300 × 1 000 millions. Nous ne pouvons pas saisir ces chiffres. Un jour plus tard seulement, les tours jumelles, y compris le WTC 7, ont été englouties dans la poussière nucléaire — et avec elles toutes les preuves, ou du moins d’innombrables preuves.

[Résumé simplifié]

Bien que cela prenne un peu plus de temps, j’aimerais résumer l’ensemble en mots plus simples.

Tout ce que cette secte de sociétés secrètes a construit pendant des siècles détermine aujourd’hui notre politique, notre science, notre religion, notre système de santé, notre système d’éducation, et même tout notre système de sécurité, et ce jusqu’à la justice, jusqu’à l’armée, etc. Et tout ce que fait cette secte luciférienne, comme j’aime l’appeler, complètement à l’insu du peuple. Mais ça va également à l’encontre de tout droit en vigueur, de toute constitution en vigueur. Elle ignore tout mandat politique donné, elle ignore toute compréhension de la justice par le peuple, j’ai dit « le peuple ». « Le peuple » cherche la justice pour lui-même, il ne la cherche, pas pour des oligarques, à l’encontre de tous les principes démocratiques. En Suisse, cela a été particulièrement clair avec le refus… c’est-à-dire lorsque le Conseil fédéral a tout simplement refusé de mettre en œuvre l’expulsion du flot d’étrangers, etc., alors qu’il avait été habilité à mettre en œuvre les initiatives populaires, ce Conseil fédéral. Il ne met pas en œuvre les décisions populaires, vous comprenez, et au lieu de destituer l’ensemble du Conseil fédéral, de le révoquer immédiatement ou, mieux encore, de le traduire en justice pour haute trahison, mais au moins de le révoquer sur-le-champ, nous, les Suisses, nous nous sommes laissés entraîner à lancer une initiative dite de mise en œuvre, nous en sommes encore là. Récolter à nouveau 100 000 signatures signifie donc dire une fois de plus au Conseil fédéral, qui y est légalement tenu, que les décisions fermes du peuple, les décisions démocratiques, doivent maintenant être réellement mises en œuvre. Vous voyez comment ça se passe, rien n’a changé depuis. J’en ai suffisamment expliqué la raison. Comme vous le voyez, ils passent outre à tout principe démocratique, mais aussi à tous les parents, même aux enseignants et aux chargés de cours ou aux délégués, quels qu’ils soient. Ces têtes maçonniques passent outre et manipulent tous les responsables, contournent toute responsabilité. Et c’est pourquoi de nouvelles décisions populaires sont d’urgence nécessaires et inévitables. Je dis : finissons-en avec l’immunité, finissons-en avec l’invisibilité de ces éléments dirigeants qui corrompent le peuple. Avant que ces vicieux de la domination mondiale ne déclarent définitivement le citoyen transparent, je dis que les peuples doivent déclarer une visibilité obligatoire de toutes ces structures sectaires. Il faut rendre visible qui appartient exactement à quel club, à quel parti, à quelle religion ou à quelle secte. Je dis que le peuple doit déclarer une interdiction totale des sociétés secrètes. Il faut qu’on voie clairement avec qui de nos responsables légaux les personnes influentes de ces lobbyistes lucifériens entretiennent des contacts, vous comprenez.

Ces personnes doivent rendre transparents tous les flux financiers. Où vont par exemple toutes nos taxes sur l’alcool, le tabac, le climat, etc. Est-ce qu’elles atterrissent vraiment dans nos caisses de maladie, en premier, oui ? Les lanceurs d’alerte de l’ONU ont clairement déclaré que des milliards sont constamment utilisés pour renforcer le pouvoir de cette secte et jamais pour lutter contre la pauvreté, la faim ou quoi que ce soit d’autre, les choses qui ont été mentionnées précédemment. Tous les peuples doivent donc savoir combien de milliards de leurs impôts vont dans la construction maçonnique de haut niveau, par exemple l’ONU et ses bâtiments. Les peuples doivent déclarer une année de rémission en raison du pillage des oligarques. Des référendums qui déterminent que toutes les dettes des États, qu’ils ont contractées par ignorance, qu’ils ont envers les 1 % les plus riches de ces oligarques, soient tout simplement effacées. Voilà, fini, vous comprenez ? Il faut travailler à de telles décisions populaires dans le monde entier. C’est pourquoi nous devons informer l’humanité de ce qui se passe ici pour des milliers de milliards de vols permanents, j’ai dit des milliers de milliards, pas des milliards. Et avant qu’ils ne puissent nous dépouiller de tous nos biens lors du Great Reset, il faut que les peuples récupèrent toutes les terres de ces grands profiteurs de la crise. Exemple : Bill Gates est devenu le plus grand propriétaire terrien privé des États-Unis avec plus de 108 000 hectares de terre. D’autres sources parlent même de bien plus depuis le Covid. Mais la couronne britannique en possède beaucoup plus, à savoir environ 2,5 milliards d’hectares, cette maison royale maçonnique qui a toujours usurpé tous les pays. Ce sont les têtes, vous comprenez. Mais il faut aussi, par des décisions des peuples, déclarer un arrêt total de toute géo-ingénierie. Il faut rendre public l’ensemble des épandages qui ont eu lieu, avec par exemple des données précises sur les millions de tonnes et des indications sur le contenu exact de ce qui a été pulvérisé sur nous. Sur les peuples ignorants. Les peuples doivent destituer toutes les ONG et organisations supranationales qui ont acheté nos gouvernements et ainsi trompé le peuple. Il faut une sortie totalement cohérente de toutes ces structures et organisations secrètes lucifériennes. Tout le baratin sur le sauvetage du climat mondial provient du même milieu luciférien, orchestré par les mêmes sociétés secrètes, qui se réunissent chaque année à Davos, en Suisse, avec leurs marionnettes et leurs pions. La Suisse ne doit plus jamais financer cette secte, ni même l’admettre sur son territoire.

Je continue à résumer, avec des mots plus simples encore une fois. Je vous prie, je vous en conjure, portez ces témoignages aussi vite que possible à tous vos députés, à tous les politiciens et partis que vous pouvez trouver, à toutes les personnes encore ignorantes que vous pouvez trouver, car le temps presse. Avec des centaines de milliers de sources fiables à l’appui, nous avons pu démontrer avec Kla.TV que tous ces oligarques qui proclament aujourd’hui ouvertement leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur gouvernement mondial, sont également issus de la tradition ancestrale d’une conspiration mondiale secrète et en font partie. Je le répète : une secte luciférienne s’est infiltrée au fil des siècles dans presque tous les postes importants de notre société. Leurs méthodes sont par principe le mensonge et la tromperie. Ils font presque toujours exactement le contraire de ce qu’ils nous promettent. Pour eux, les êtres humains n’ont pas plus de valeur que le bétail ou les machines. Ils ne sont que des marchandises utiles à leurs yeux et leur objectif est de réduire cette marchandise utile à environ 500 millions dans le monde. Et à la tête de cette conspiration mondiale se trouvent quelques milliers d’oligarques, c’est-à-dire de multimilliardaires, voire de milliardaires, qui, secrètement reliés entre eux, dominent chaque domaine des institutions humaines. En d’autres termes, ils sont directement impliqués dans les abus d’enfants, le trafic d’enfants, mais aussi le trafic de femmes, et sont responsables de la disparition d’environ huit millions d’enfants par an dans le monde. C’est ce qu’a révélé un spécialiste de l’ONU. C’est de ces oligarques pédocriminels et richissimes que viennent simultanément les slogans tant cités, comme démocratie, liberté, égalité, fraternité. Mais en réalité, ils manipulent toute la politique mondiale et tentent ces jours-ci de contraindre l’ensemble de la population mondiale à leur propre domination mondiale. Finie la démocratie, ils ne font qu’en parler, ils font le contraire. Le traité de pandémie de l’OMS qu’ils ont élaboré n’est que la possibilité qu’ils ont prévue de gouverner le monde via une dictature de la santé. De la même manière, ils cherchent à diriger leur domination mondiale par le biais de leur dictature militaire ou de l’éducation, de leur dictature de l’environnement, de leur dictature de l’œcuménisme dans le domaine religieux ; de leur dictature scientifique, de leur dictature pharmaceutique, de leur dictature des services secrets ; ils essaient de nous dominer davantage par le biais de leur dictature des médias et bien d’autres choses encore. Et ils font tout cela sans avoir jamais été élus par aucun peuple. Sans siéger directement dans nos parlements ou dans nos cabinets gouvernementaux.

Non, ils manipulent tout cela de l’extérieur depuis des siècles par le moyen des ONG — c’est-à-dire des organisations non gouvernementales, qu’ils ont créées dans ce but. Et il est complètement faux de penser que ces ONG ont été créées par des personnes bien intentionnées et qu’elles ont ensuite été reprises par les oligarques. Peut-être que cela a existé auparavant. Mais en général, c’est le contraire. Les oligarques entre eux, organisés en structures de sociétés secrètes, ont créé ces ONG spécialement pour exercer à travers elles une influence directe et pourtant cachée sur la politique et sur chacun de nos systèmes étatiques. C’est ce qu’ils ont toujours fait, en se faisant passer pour des bienfaiteurs, des philanthropes, des défenseurs de l’environnement, des défenseurs des droits des femmes, des défenseurs des enfants, et même pour des organisations d’intérêt général. Mais en réalité, il a toujours été prouvé qu’ils faisaient exactement le contraire de ce que leurs objectifs de bienfaisance prétendaient. Et maintenant, je nomme encore une fois les plus importantes de ces ONG par leur nom et je répète encore une fois avec force que toutes ces institutions sont un réseau d’une secte se réclamant de Lucifer, c’est-à-dire de Satan. Le monde est tombé à son insu dans ce réseau de satanistes de haut niveau — et il perd encore de nos jours ce qui lui reste de biens durement acquis, parce que la population mondiale n’a toujours pas réalisé et compris que toutes ces institutions, que je vais à nouveau appeler par leur nom, n’ont jamais été là pour leur bien, mais pour leur plus grand mal. Car tous ces clubs, dans leurs aspirations juridiques, politiques, économiques ou scientifiques, mais aussi militaires, sont toujours enracinés dans l’esprit antique de la tyrannie romaine. Et ce mouvement souterrain aspire depuis des millénaires à la gouvernance mondiale. C’est la réalité. Et par leurs racines médicales ou spirituelles-idéologiques, elles remontent même à l’époque de la Grèce antique. Et ce qui est le plus grave, c’est qu’elles remontent à l’ancien culte occulte et barbare de Moloch, avec toutes ses adorations du diable, ses perversités et ses sacrifices d’enfants qui n’ont jamais cessé depuis l’époque de la Babylonie ancienne, voire de l’Égypte ancienne, vous comprenez. Et ce sont justement les dirigeants mondiaux suprêmes, totalement inconnus des peuples spoliés, qui sont derrière toutes les créations citées. Je le rappelle : la CE en 1957, l’ONU en 1945, puis l’OTAN, l’UE, l’œcuménisme, le Conseil mondial des Églises, la FED, la BRI, et même la création de l’État d’Israël en 1948, etc. Ils sont en effet aussi les pères fondateurs d’Hollywood, nous l’avons vu, de toute l’industrie cinématographique, de toute la presse et de l’édition, mais aussi de nos universités, les pères fondateurs. Ils sont les pères fondateurs de tous les médias principaux avec leurs instances de recours comme l’UBI, la FSK avec leur soi-disant protection des mineurs. Et ce sont les mêmes francs-maçons de haut niveau, dont les plus hauts grades professent ouvertement le culte de Lucifer, c’est-à-dire le culte de Satan, qui ont également fondé la recherche sociale, comme l’École de Francfort, etc., ont apporté le Talmud babylonien, la Kabbale, etc. Et ce sont les mêmes fondateurs de sectes qui sont à l’origine de la NASA, du Pentagone, de toutes les sciences renommées. Ils sont les pères fondateurs de Big Pharma, du système d’assurance, du système de santé tel que nous le connaissons. Ils ne sont pas seulement les fondateurs du Club de Rome de 1968, mais aussi de l’UNESCO en 1945, ils sont aussi les fondateurs de chaque commission de la concurrence, pour ainsi dire. Et ces derniers ont justement pour seule mission de protéger les alliances maçonniques de leurs rivaux industriels indépendants. Vous voyez comment la classe moyenne est maintenant détruite, c’est comme ça que ça marche. Et de même que l’autocontrôle responsable de l’industrie du cinéma (FSK) ne sert pas en premier lieu à la protection des mineurs, comme ils le prétendent, mais à la protection des rivaux, de même les instances de plainte des médias et les commissions de la concurrence servent à éliminer tous les rivaux de ce réseau maçonnique. Mais entre eux, ils sont partout reliés par des communautés d’intérêts. Ces autorités de surveillance font le même travail que les services secrets, qui ont été créés dans la plupart des cas par cette secte secrète. Ils ne sont là que pour protéger les intérêts de cette société secrète, rien d’autre. Il est donc prouvé que l’OTAN n’est rien d’autre que, je dirais, l’armée privée de la famille d’oligarques Rothschild. D’ailleurs, presque tout ce qui vient d’être mentionné est à mettre au compte de cette dynastie Rothschild.

Et justement, il est important de ne jamais confondre avec le judaïsme les Rothschild et l’ensemble du sionisme qui se cache derrière toutes ces institutions. C’est vraiment important pour moi. La population juive a toujours souffert depuis des siècles du mélange de ces familles qui se déguisent en juifs. Cela a conduit à des diffamations répétées de la population juive. Mais en réalité, il n’y a que quelques juifs de sang dans cette secte, qui se sert et s’est déjà servie de multiples mensonges historiques et de propagande. Mais les Rothschild sont aussi apparentés aux familles royales d’Europe qui prétendent avoir des origines juives messianiques. Ces familles sont connues sous le nom d’Illuminati. Parmi eux, les plus connus sont la famille Collins, les Freeman, Astor, Bundi, Morgan, Rockefeller, Oppenheimer, Sassoon, Schiff, Taft, Van Duyn, etc. Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Et ils utilisent la religion comme moyen de dissimulation pour s’assurer et construire leur propre État au Moyen-Orient en tant que peuple élu de Dieu. Comme nous l’avons dit, les vrais juifs ont toujours été attaqués dans le passé, y compris pour les atrocités commises par ces familles. Cela en particulier parce que la famille Rothschild a toujours financé des guerres des deux côtés. Et pour ceux qui se demandent comment ils ont pu acquérir une telle influence dans le monde entier, il faut comprendre ceci : cela n’a été possible que parce que ces familles puissantes ont pu mettre en place ce népotisme familial de plus en plus puissant grâce à l’inceste et au mariage au sein de la famille elle-même et aux mariages avec les cousins du premier et du deuxième degré, etc. Et tout cela avec la mise en place de divers clubs secrets, loges, services secrets et même de l’armée. Et c’est ainsi que depuis des siècles, la franc-maçonnerie, la mafia et Mammon forment vraiment un pacte de malheur contre l’humanité. C’est pourquoi il n’existe pratiquement plus aucun pays sans banque centrale contrôlée par Rothschild. Car dans le domaine de la monnaie, ils sont parvenus dès le début à ce pouvoir par la plus grande ruse possible. La création de la FED (Federal Reserve System), une institution monétaire entièrement privée, qui a su habilement obtenir le droit de créer de l’argent à partir de rien, a posé la première pierre de tous ces assujettissements mondiaux de tous les États et pays. Avez-vous bien compris ce qui a été dit jusqu’ici ?

Donc, ni une démocratie, ni aucune autre forme de politique ou de supervision humaine n’exerce de contrôle sur les institutions mentionnées ci-dessus. C’est exactement le contraire. Sans aucune connaissance ni compréhension de l’humanité, ces systèmes fondés par les oligarques lucifériens se sont imposés sur notre politique, sur nos droits de l’homme, voire sur l’humanité tout entière. Et ils exercent un pouvoir presque total. Si nous ne reconnaissons pas ensemble leur joug et ne le secouons pas, ce monde et nous-mêmes irons vraiment mal. Il ne peut donc y avoir qu’une seule réponse correcte à tous ces développements horribles, et elle est la suivante :

Peuples de cette Terre, détournez-vous, renoncez à toute relation et à tout soutien — actuellement surtout à l’OMS ! Car c’est par le biais de ce tentacule luciférien que cette secte est en train de s’assurer une position de domination mondiale avec son Tedros Ghebreyesus, dont nous avons suffisamment entendu dire qu’il était un horrible terroriste. Ne l’oubliez jamais. Alors, sortez tous les peuples de l’OMS ! Sortez l’OMS de tous les pays ! C’est la seule chose qui compte. Tout le reste serait faux. Je dis : Peuples, défendez-vous contre toutes ces institutions maçonniques ! Détournez-vous d’elles et ne les financez plus ! Détournez-vous de l’ONU ! Détournez-vous de l’OTAN ! Détournez-vous du FEM, du Forum Économiques Mondial ! Détournez-vous de l’UE, mais aussi de toute la soupe de mensonges du mainstream ! Ils détruisent nos démocraties. Vous, les pieux du monde entier, je vous le dis : Détournez-vous de tout Conseil œcuménique mondial des Églises. Ils ont été créés par les francs-maçons et la secte des Illuminati — et ce, dans le but d’éliminer, c’est le but, toute religion non luciférienne. Retenez bien cette phrase, vous la comprendrez mieux plus tard. Mais je ne mets pas seulement en garde les personnes pieuses contre un simple acte extérieur ou une sortie. Se détourner et quitter des dénominations, des partis (appelez cela comme vous voulez) ou des églises et des associations œcuméniques, cela ne sert absolument à rien tant qu’on n’a pas aussi échappé par essence au poison idéologique et mal orienté. Comprenez-vous cela ? Tant qu’on se comporte, qu’on pense, qu’on ressent et qu’on sent encore de manière ecclésiastique, sortir de l’église ou de la paroisse ne sert à rien. Car toute cette pensée religieuse qu’on nous a inculquée est et reste une doctrine maçonnique – d’ailleurs instillée spécialement pour nous, les pieux, afin que nous les suivions docilement et que nous fonctionnions comme leurs marionnettes. On ne ferait donc que former une autre métastase de ce cancer luciférien si on quittait ces cercles seulement extérieurement, mais que l’on conservait intérieurement les anciennes pensées, les anciens sentiments, les anciennes volontés, etc. Mais la communauté mondiale doit aussi se débarrasser des objectifs mal orientés de notre système judiciaire, car c’est partout la même chose.

L’ensemble du système judiciaire est désormais infiltré par la franc-maçonnerie de haut niveau, tout comme notre système financier. Car l’ensemble du système judiciaire défend de plus en plus les intérêts financiers et de pouvoir de la haute finance, c’est-à-dire des oligarques, mais en comparaison, il ne défend guère les droits des gens du peuple. Les peuples doivent organiser des élections et des décisions démocratiques afin de créer, par cette voie légale, de nouveaux tribunaux et d’habiliter ceux qui sont réellement à nouveau là pour défendre les intérêts du peuple, des petites gens. C’est l’appel que je lance à tous. Nous avons besoin de tribunaux qui soient également là pour nous, lorsque des politiciens, et Big Pharma commettent des actes hautement criminels et nuisent à des peuples entiers et tentent ensuite de s’immuniser par des lois qu’ils ont eux-mêmes élaborées et qui sont totalement injustes. Comme c’est le cas maintenant avec le Covid, etc. Nous devons percer ce système. Il ne doit donc plus y avoir d’immunité pour tous ces gens qui exercent le plus grand pouvoir, mais qui en abusent systématiquement et qui causent les plus grands dommages à nos peuples. Fini, l’immunité.

Ce sont précisément ces parasites haut placés qui, jusqu’à présent, sont les mieux protégés de toute poursuite judiciaire. Vous devez le savoir et le reconnaître. Mais cela n’est possible que parce que la franc-maçonnerie luciférienne a modifié nos constitutions et nos lois de manière à ce que cela soit possible. C’est pourquoi des décisions populaires doivent être prises dans le monde entier, afin de dissoudre toute fausse immunité, et d’en finir avec elle. Autre chose, il n’est bien sûr pas non plus possible que tous les hommes politiques nouvellement élus soient constamment poursuivis en justice par des personnes mal intentionnées, de sorte qu’ils ne puissent plus faire leur travail correctement. La solution : pendant un mandat, seuls les avocats de nos politiciens devraient venir à bout d’éventuelles querelles. Mais chaque fois que des politiciens commettent un crime, comme c’était et c’est encore le cas massivement avec le Covid, ils doivent être immédiatement destitués et sanctionnés. Pour cela, nous avons besoin de nouveaux tribunaux. Mais au plus tard après la fin d’un mandat, un tribunal équitable doit exiger des comptes pour tout ce que ces personnes ont détruit. Des décisions populaires doivent être prises afin de restituer au peuple les milliards de bénéfices de crise réalisés par Big Pharma. Car Big Pharma est entièrement entre les mains de ces oligarques lucifériens. Tout notre système de santé est entre leurs mains, comprenez-le enfin. C’est pourquoi, depuis des siècles, nous ne sommes pas guéris par ce système, mais plutôt maintenus malades. Goethe le savait déjà. La preuve, c’est que les frais d’assurance maladie ne cessent d’augmenter. Vous savez quoi ? Je dis que nous pouvons aussi être malades sans tous ces systèmes, n’est-ce pas ? C’est pourquoi les peuples du monde doivent s’opposer à ces groupes et institutions maçonniques, s’en détacher radicalement et se réorienter complètement. Toute cette aberration satanique selon laquelle nos systèmes de santé visent toujours les symptômes et non les causes doit être mise au jour et abolie. C’est là que réside le grand mal.

Tout l’agenda du genre est également issu de cette secte maçonnique de haut niveau. Ils sont responsables de toute la sexualisation précoce de nos enfants, de l’initiation à la pornographie, de nombreuses drogues, et de manière générale de presque toutes les nouvelles dérives sur Internet et maintenant, de plus en plus, dans nos écoles. C’est la pure vérité. Toutes ces expériences nihilistes et contre nature, jusqu’aux rapports sexuels avec des animaux et des démons, mais aussi le changement de sexe et bien d’autres choses encore, sont à mettre sur leur compte. C’est une secte secrète luciférienne qui tient le monde entier dans son étau. Et tout ce qu’ils font eux-mêmes, ils nous le reprochent en même temps ou préalablement. Tout ce qu’on devrait faire légalement, c’est-à-dire avec eux, ils cherchent à le faire d’avance avec nous, les peuples. Et c’est pourquoi, avant que le citoyen transparent n’arrive, les citoyens du monde doivent d’urgence décider, dans le monde entier, et exiger que le politicien transparent soit d’abord créé, vous comprenez ? L’oligarque transparent doit venir en premier. La communauté mondiale doit décider que la science transparente doit être mise en place en premier, pour au moins 20 ans ou plus. Nous avons un droit de regard partout. Chaque projet individuel doit d’abord devenir transparent avant que nous, en tant que citoyens, ne le devenions. De HAARP en passant par la géo-ingénierie jusqu’au plus petit laboratoire de biochimie, tout doit devenir transparent. Chaque brevet doit être transparent. Même les flux financiers des plus grands doivent être d’abord transparents, vous comprenez ? Avec les technologies qu’ils ont maintenant élaborées pour nous. Les peuples ne doivent plus dépenser inutilement un centime d’argent des contribuables dans des projets opaques. Et tout ce que Great Reset prévoit pour les peuples, les peuples doivent le mettre en œuvre avec les alliés du FEM, avec tous ces clubs dont nous parlons ici. Il faut qu’on sache clairement qui paie combien d’impôts parmi ces multinationales, et qu’on examine également toutes les grandes entreprises comme Microsoft ou Google ou Amazon, BlackRock, Vanguard, jusqu’à Ikea, Aldi, Lidl, Migros, Coop, etc. Nous avons besoin de nouvelles institutions de surveillance et de compétences, d’instances et de comités vraiment neutres, nous avons besoin de nouveaux tribunaux qui défendent désormais aussi le peuple et pas seulement les finances publiques ou les intérêts des élites. Il faut en finir avec toute déshumanisation par l’État ou toute déshumanisation par la médecine, par la pharmacie, par la justice, par l’éducation, la déshumanisation par la politique, ou par la science. Il faut en finir avec la déshumanisation par le satanisme, par tout le nihilisme et le népotisme, dont nous parlons tout le temps ici.

Une dernière chose pour vous, les vérificateurs de faits : Nous sommes conscients qu’il n’est pas exclu qu’avec une telle quantité d’informations, une déclaration doive être quelque peu reformulée ou complétée. Faites quand même en sorte d’attester publiquement tous les faits cités ici qui sont corrects, avant d’ignorer, comme d’habitude, des centaines de faits hautement explosifs et de les jeter par-dessus bord pour ensuite dénoncer, faire une montagne du cheveu recherché et trouvé dans la soupe. Par ce comportement extrêmement inconvenant, vous, les vérificateurs de faits, vous êtes soupçonnés d’être les complices de toutes ces atrocités dont nous nous plaignons ici. Je vous conseille donc de sortir à temps votre tête de l’ornière, en commençant toujours par confirmer publiquement tout ce qui est juste, afin de ne pas avoir à vous justifier un jour devant la justice comme complices de tous ces grands escrocs et génocidaires dénoncés.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de i.s.

Sources/Liens :




Le Parlement européen nous interdit de rendre hommage aux victimes des vaccins COVID

[Source : Virginie Joron]

Alors que le Parlement européen autorise en permanence des expositions au goût douteux, une exposition de citoyens sur les effets secondaires des vaccins COVID a été interdite, car ne correspondant pas aux « valeurs européennes ».




Quand des femmes se crêpent le chignon

[Source : breizh-info.com]

Body shaming (([1] Le Body shaming — littéralement « honte corporelle » — est l’action ou l’inaction consistant à soumettre une personne à l’humiliation et à la critique en raison de ses caractéristiques corporelles.)), ou la fausse sororité : les femmes sont bien pires que les hommes !

Par Audrey D’Aguanno

Commentaires désobligeants, discrimination, lynchage public, on peut s’en offusquer, mais cela va de pair avec la société de l’image : quand on se met continuellement en scène, on s’expose. Et que les commentaires désobligeants aient principalement attrait au physique est assez élémentaire puisque les corps sont les premiers mis en avant. Un phénomène amplifié par la prédisposition des réseaux sociaux à générer de « l’opinion » : le moindre imbécile est sommé de donner son avis sur tout et n’importe quoi. Mais comme le ridicule ne tue plus, on a trouvé bon d’en faire un phénomène, le body shaming. Avec un nom anglo-saxon, ça fait encore plus cool, comme toutes les conneries que nous exporte l’Oncle Sam.

Dans les cercles progressistes, dénoncer avoir été victime de body shaming, c’est la gloire assurée. Pareillement, exhiber bourrelets et poils inopinés, c’est être rebelle. Avec, en filigrane, que la laideur est la nouvelle beauté, ou que cette dernière n’a jamais existé, on ne comprend plus trop…

Mais le plus surprenant reste encore le fait que ce body shaming est imputé au fameux et terrifiant « patriarcat ». On nous dit très sérieusement que sans le patriarcat — même si personne n’a l’a jamais vu — ce serait la fin des moqueries sur l’apparence féminine. Ce qui est absolument magique puisque ce sont les femmes qui critiquent et insultent le plus le physique de leurs congénères ! Si les études en la matière ne convainquent pas, il suffira de lire les commentaires sous une quelconque photo de femme laide ou extrêmement sexy pour s’en assurer. Accuser les hommes d’une « faute » commise en grande partie par ces mesdames, il fallait oser. Mais on est plus à une incohérence près : pour abattre le mâle, tous les mensonges sont permis. Accusons-le gaiement de tous les maux de la Terre, de toute façon personne n’ira chercher midi à quatorze heures, il est tout désigné. Et encore une fois, ça vous rendra cool.

[Voir aussi :
« Le patriarcat n’existe pas »]

Outre à détruire le mythe de la sororité envers et contre tous, cela met en évidence un autre point : que les femmes sont plus vulnérables et plus sujettes aux modes. En effet, lorsqu’il s’agit de nous soumettre à des injonctions esthétiques, nous faisons tout toutes seules, comme l’illustrent à la perfection les modes des lèvres exagérément gonflées et celles des muscles saillants ou de la minceur extrême qui déplaisent tant à ces messieurs, mais que des femmes s’infligent y voyant le nec plus ultra de la beauté.

Ce à quoi il faut ajouter que les hommes sont plus tolérants que les femmes quant aux petites imperfections qui nous obsèdent. Cellulite et quelques kilos de trop ne sont pas un frein au désir masculin, mais bien un complexe de femme. (Loin de moi l’idée de vanter le body-positive — qui n’est qu’une tentative de normaliser l’obésité et une excuse pour les moches de le rester —, mais plutôt un juste milieu entre la fausse perfection des Instapoufs et la glorification de l’excès de gras morbide.)

Bref, il ne faut pas blâmer un fantasmagorique « patriarcat », mais le « capitalisme de la séduction », magistralement décrit par Michel Clouscard et l’utilisation de l’image de la femme — en particulier des corps de filles jeunes, belles, frivoles et disponibles — comme outil de promotion publicitaire.

Quant à se plaindre des railleries après avoir publié des photos de ses fesses sur un compte visible à tout un chacun et ouvert aux commentaires, il va falloir accepter que c’est un peu la règle du jeu. Que l’on soit moche comme un pou (puisque l’humain et l’humaine sont fondamentalement mauvais, quoi qu’en pense Rousseau) ou sublime comme Aphrodite (puisque les belles seront toujours perçues comme une menace pour leurs congénères).

Sinon, on peut toujours refuser de s’exhiber. Parce qu’espérer « que les mentalités changent » en « cassant les codes » (sic), risque de prendre un peu plus de temps que prévu. Surtout quand on a de cesse de vouloir abaisser le niveau culturel et les facultés cognitives de la masse.

Audrey D’Aguanno


Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Crédit photo : Flickr, Miguel Pires da Rosa
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Daniel Balavoine en 1983 à propos de la guerre : « j’emmerde tous les pouvoirs »




« J’ai vu ce qu’était un pays en guerre… La guerre, c’est sérieux, on ne la fait pas du fond de son fauteuil »

[Source : France Soir]

Par Xavier Azalbert

Dans ce débriefing, Olivier Frot, ancien militaire et docteur en droit, nous parle du récent traité franco-ukrainien et des dernières déclarations du président Macron qui n’exclut pas d’envoyer des troupes françaises en Ukraine. Un pas de plus vers une guerre que les décideurs et journalistes commentent :

« Je trouve que c’est léger de la part de personnes qui sont très jeunes. La guerre c’est sérieux, ce n’est pas ce que l’on fait du fond de son fauteuil ».



Olivier Frot salue le courage du sénateur Houpert qui a décidé de saisir le Conseil d’État pour demander au Président de soumettre l’accord franco-ukrainien au Parlement en vertu de l’article 53 de notre Constitution. Le Président ne fait une nouvelle fois que de la communication en informant qu’il soumettait cet accord en invoquant l’article 50-1 de cette même Constitution. Article qui n’engage pas la responsabilité du gouvernement.

Dans la seconde partie de ce débriefing, Olivier Frot évoque les affaires de contrats sur les vaccins Covid ainsi que l’organisme HERA, l’autorité européenne de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire, mis en place par l’UE (avec un budget de 30 milliards d’euros…) pour leur achat. Une hérésie, selon l’analyse (fine) d’Olivier Frot, l’UE n’ayant selon lui aucune compétence en matière sanitaire. 


Chers députés, chers sénateurs,

L’heure est grave entre « l’accord bilatéral Macron Ukraine qui doit être discuté à l’Assemblée » et les déclarations « assumées » et « réfléchies » de Mr Macron sur « rien n’est exclu » concernant « l’envoi de troupes au sol ».

Non il n’a pas fait d’erreur, non il n’est pas fou, il sait très bien ce qu’il dit.
Et l’a dit pour enclencher « une petite musique » dans l’esprit des Français
et cette folie médiatique guerrière et organisée qui depuis se déchaîne sur les écrans.

NOUS, PEUPLE FRANÇAIS, DISONS NON À L’ACCORD BILATÉRAL DE MACRON signé avec Zelinsky.
NON à 10 ans d’accord de livraisons d’armes, avec des missiles à longue portée, puis de troupes au sol.
Rien que les missiles à longue portée peuvent déclencher le conflit NUCLÉAIRE entre la Russie et l’Europe.
L’Allemagne a refusé d’en envoyer, pour une bonne raison !

C’est NON à la « toute puissance » auto-attribuée de macron qui décide contre le peuple français une aide par l’UE, l’OTAN expansionniste et ses bases, et des va-t-en-guerre irresponsables à la TV.

OUI à une paix durable en Europe, paix qui doit tenir compte de la Russie, et OUI à des négociations de PAIX entre Ukraine et Russie.

Sinon cet accord bilatéral nous conduira inévitablement à l’escalade, et enfin à la Guerre directe avec la Russie avec des armes NUCLÉAIRES.
Ce sera la fin de la France et peut être du monde.

Est-ce que vous en avez conscience ?

Tous les mensonges à présent sont répétés au peuple ignorant en boucle, à dessein, pour l’habituer, le formater, le lobotomiser encore un peu plus.

S’il reste une once de Démocratie dans notre pays, prouvez que vous en faites partie.
Pour nous, pour vous, pour nos enfants pour vos enfants et l’avenir existentiel de la France.

Merci

VIDÉO : 100 % d’accord avec NDA :

CDT

Bonne journée




La journaliste Lara Logan dénonce la collusion entre les médias et le gouvernement

[Source : rwmalonemd.substack.com]

[Voir la vidéo (< 13 min) sur le site source. Elle est extraite de
Federal Health Agencies and the COVID Cartel: What Are They Hiding?
https://rumble.com/v4fpw4c-federal-health-agencies-and-the-covid-cartel-what-are-they-hiding.html
(Les agences fédérales de santé et le cartel COVID : Que cachent-ils ?)]

Transcription

Sénateur Ron Johnson :

Notre prochaine intervenante est Mme Lara Logan. Lara Logan est une journaliste d’investigation primée, ancienne correspondante de 60 Minutes, correspondante étrangère en chef et correspondante en chef pour les affaires étrangères de 60 Minutes et animatrice de The Rest of the Story with Lara Logan (Le reste de l’histoire avec Lara Logan).

Lara Logan :

Merci, sénateur Johnson. Bonjour à tous. On m’a demandé de témoigner sur la censure des médias et le premier amendement, sur l’importance de la liberté d’expression. Je tiens à dire que c’est un honneur et un privilège d’être ici avec vous tous. Sénateur Johnson, je vous remercie d’accueillir cette commission « Rogue » (([1] Voyou, escroc. NdT)).

Il est important pour nous tous, en raison de tout ce qui a été discuté aujourd’hui, que nous nous penchions sur les principes et valeurs essentiels qui n’existent réellement qu’aux États-Unis d’Amérique. Cela dit, nous vivons la pire des périodes pour les médias dans ce pays. Nous vivons à l’ère de la guerre de l’information, où la propagande n’est pas seulement une arme, mais tout le champ de bataille. Il s’agit d’une guerre de l’esprit qui s’appuie sur une technologie de pointe, et nous n’avons jamais connu une telle situation, dans toute l’histoire de l’humanité.

C’est un moment où, en tant que journalistes, nous devrions nous unir et, indépendamment de la politique, nous devrions nous battre pour la vérité et pour la liberté. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, nous avons permis à l’un des nôtres, Tucker Carlson, d’être qualifié de traître simplement parce qu’il faisait son travail. En fait, de nombreux soi-disant journalistes ont mené la charge contre Tucker, l’accusant de trahison pour le simple fait d’avoir interviewé le président de la Russie, Vladimir Poutine. À ma connaissance, aucune institution médiatique traditionnelle n’a pris la parole.

Il ne s’agissait pas seulement d’une attaque contre un homme pour des raisons politiques. Il s’agissait d’une trahison des principes les plus sacrés d’une presse libre. Et mes collègues des médias savent que c’est vrai, quoi qu’ils en disent. Je crains qu’ils ne s’en soucient plus ou qu’ils n’aient pas le courage moral d’être honnêtes, y compris avec eux-mêmes. J’ai travaillé aux plus hauts niveaux des médias en tant que correspondante à plein temps pour 60 Minutes, correspondante en chef pour les affaires étrangères pour CBS News, correspondante en chef pour les affaires étrangères pour CBS News. C’est là que j’ai vécu pendant 16 ans. En tant que journaliste, j’ai rencontré des dirigeants mondiaux, des meurtriers de masse et des terroristes, et j’ai demandé des comptes à des personnes des deux bords.

J’ai vu la souffrance et j’ai affronté le mal, et j’ai traversé les feux de l’enfer sur des champs de bataille lointains. J’ai fait face à ma propre mort aux mains d’une foule de quelque 200 hommes en Égypte, lorsque j’ai été victime d’un viol collectif, sodomisée et battue presque à mort alors que j’étais en mission pour 60 minutes.

Et pourtant, pendant près de dix ans, j’ai été prise pour cible et accusée à tort de nombreuses choses que je n’ai pas faites. Ils se sont attaqués à mon travail, à mon caractère, à ma santé mentale et à mon mariage. Et je ne suis pas seule. Nous sommes nombreux et nous n’abandonnerons pas, et nous ne céderons pas à ceux qui souhaitent censurer l’idée de la liberté d’expression. En Amérique et dans le monde entier, les entreprises de médias, les institutions et les écoles de journalisme nous ont tous déçus. Et pendant trop longtemps, nous avons permis à des organisations à but non lucratif de se faire passer pour des chiens de garde non partisans des médias, alors qu’en réalité elles ne sont guère plus que des propagandistes et des assassins politiques grassement payés, dont la seule raison d’être est d’écraser tous ceux qui se dressent sur leur chemin, et avec ces derniers, les idées chères et de longue date de la liberté d’expression, de la liberté de pensée et de la liberté d’esprit.

C’est un sport sanguinaire pour elles, leurs alliés politiques et leurs marionnettistes. Elles savent comment tuer un journaliste sans l’assassiner. Nous appelons cela la culture de l’annulation. En réalité, c’est une condamnation à mort et elles s’en tirent parce qu’elles dominent l’information. Certains sont assez forts pour survivre, mais seuls quelques-uns, comme Glenn Greenwald, Tucker Carlson, Matt Taibbi, sont capables d’atteindre de plus hauts sommets et de prospérer. Les organisations à but non lucratif dont je parle font partie d’un vaste réseau de censure qui comprend des agences gouvernementales. Elles utilisent la tromperie pour masquer leurs actions avec des objectifs nobles tels que la prévention de la propagation de la désinformation et des discours de haine. Ils utilisent des expressions telles que « protéger la démocratie ». Et ne vous y trompez pas, les mots ont de l’importance. Les médias collaborent avec les agences et les agents gouvernementaux pour censurer et façonner le champ de bataille de l’information afin de justifier certaines actions.

Par exemple, lorsque le président des États-Unis menace les personnes non vaccinées en disant que sa patience est à bout et qu’il les accuse de mettre les communautés en danger, ses mots sont conçus pour justifier la haine, la censure et l’intimidation. Et lorsque le vice-président compare le 6 janvier au 11 septembre et à Pearl Harbor, il s’agit d’un prédicat pour faire taire l’opposition et justifier la militarisation du système judiciaire.

Nous assistons déjà à une autre opération de façonnage visant à influencer le résultat de l’élection de 2024, cette fois avec la fausse affirmation que si un camp gagne, ce sera la fin de la démocratie. Ce mensonge a été inventé pour garantir un résultat particulier et pour saboter la liberté d’expression. Une fois de plus, l’argent des contribuables étrangers provenant d’Américains qui travaillent dur est distribué par des contractants sous l’égide du Bureau des initiatives de transition de l’USAID ou du Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail du département d’État. Ces contractants, dont beaucoup sont des fanatiques idéologiques, qui ne sont même pas des fonctionnaires du gouvernement américain, gagnent souvent plus d’un quart de million de dollars par an et sont hors de portée de sénateurs comme vous et de commissions comme celle-ci.

Ils distribuent l’argent des contribuables à des programmes conçus par des ONG très partisanes qui se cachent derrière des termes tels que « dialogue interreligieux », alors qu’en réalité elles financent des écoles musulmanes qui forment des terroristes islamiques, comme elles l’ont fait en Malaisie. Un autre exemple est celui de Humanist International. Par son intermédiaire, le département d’État finance des bourses d’athéisme qui cultivent activement un réseau de défense des athées au Népal. Il ne s’agit pas seulement d’attaquer la religion et de manipuler la politique étrangère. Il s’agit d’une attaque contre la liberté d’expression, la foi et Dieu. Si la propagande et la censure ne sont pas nouvelles, la technologie confère un pouvoir et une portée sans précédent à quelques entreprises comme Facebook, Instagram et Google. Comme vous l’avez entendu à maintes reprises aujourd’hui, on leur a permis d’accumuler un pouvoir monopolistique. En conséquence, non seulement elles atteignent des milliards de personnes à travers le monde à chaque seconde de la journée, mais elles exercent un contrôle absolu sur ce que nous voyons et ce que nous entendons. Imaginez ces outils dans les mains de Lénine, Staline, Mao ou Hitler.

Lorsque je suis devenue journaliste il y a plus de 35 ans, nous voulions des restrictions d’urgence dans l’Afrique du Sud de l’apartheid et j’avais 17 ans. La sécurité publique était l’arme de prédilection de l’État. La nôtre était la vérité. Nous n’avions pas de déclaration des droits, pas de constitution, pas de Premier Amendement, pas de Déclaration d’Indépendance, et les journalistes devaient cacher leurs enregistrements à la police de sécurité, parfois en cousant les bandes dans leur matelas à la maison pour qu’elles ne puissent pas être saisies et utilisées pour identifier et cibler les manifestants que nous avions filmés. La lumière de la liberté qui a enflammé nos cœurs en Afrique du Sud a été allumée à des milliers de kilomètres de là. Elle a été allumée ici même, où nous sommes assis aujourd’hui, aux États-Unis d’Amérique.

Lorsque les pères fondateurs ont placé la liberté d’expression au premier plan, ce n’était pas par hasard. C’était à dessein. Les droits qui ont suivi ont été en partie créés pour protéger le premier amendement. Sans lui, ils savaient que la liberté elle-même disparaîtrait. Je me souviens aujourd’hui des paroles prononcées par le ministre britannique des Affaires étrangères. En 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Edward Gray a déclaré : « Les lampes s’éteignent dans toute l’Europe. Nous ne les reverrons pas allumées de notre vivant ». Une fois de plus, nous voyons s’éteindre les lumières de la liberté. Elles s’éteignent ici et dans le monde entier, et c’est à nous de déterminer si elles seront rallumées un jour.

Merci, sénateur Johnson. Je suis prêt à répondre à vos questions.

Sénateur Ron Johnson :

Merci, Madame Logan. Vous avez dit que vous avez été ciblée au cours des dix dernières années. Pouvez-vous décrire ce qui a précipité votre ciblage ?

Lara Logan :

Oui, je rapporte la vérité sur Benghazi. J’ai été attaquée par l’une de ces ONG qui se fait passer pour un organisme de surveillance non partisan, en violation de son statut 501c3. Elle occupe une position très partisane. Je parle de Media Matters for America. Je suis sûr qu’il y a beaucoup de médecins dans cette salle, des scientifiques qui ont été attaqués par les mêmes personnes, les mêmes personnes qui dirigent cette organisation — David Brock, par exemple.

Un autre assassin politique dirige aujourd’hui une organisation appelée Facts First, USA, dont le but est de s’assurer que vos recherches, Dr (Sabin) Hazan, ne parviennent jamais à la population ou au public. Il existe d’autres organisations comme Defeat Disinformation, qui prétend être un PAC(([2] political action committee (comité d’action politique). NdT)) qui s’en prend à la désinformation, et qui a été créée en particulier pour cibler Covid. Et à travers Covid avec le général Stanley McChrystal et les autres personnes qui conseillent cette organisation. Mais ce que dit le sénateur Johnson, c’est que l’existence de ces organisations n’est pas un secret. Ce qui n’est pas très connu et ce dont on ne parle pas, c’est qu’elles sont payées par nous.

Elles sont financées par les contribuables dans le cadre de vos projets de loi de finances omnibus qui sont adoptés par la Chambre des représentants et le Sénat contre la volonté des citoyens de ce pays. Il y a des représentants de ces ONG, et ce qu’ils font, c’est blanchir cet argent. Ils le font passer d’une ONG à l’autre et, au nom de la prévention de la diffusion de la désinformation, ils censurent, réduisent au silence, intimident et punissent.

J’ai dit qu’il s’agissait d’une condamnation à mort pour les journalistes. C’est ainsi que l’on assassine un journaliste sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine un scientifique sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine un médecin sans le tuer. C’est ainsi que l’on assassine les personnes blessées par un vaccin alors qu’elles ne sont pas encore mortes. C’est ainsi qu’on les achève, elles et tous les autres membres de leur famille.

Il est temps que les personnes qui viennent travailler chaque jour dans ce bâtiment nous servent. C’est le seul pays où le peuple est le gouvernement. C’est un gouvernement pour le peuple, du peuple et par le peuple. Il en va de même pour les soi-disant journalistes. Cet homme (M. Del Bigtree) a été pris pour cible pour avoir simplement assisté aux audiences de la FDA et les avoir filmées lorsqu’elles approuvaient des vaccins. Il les a filmés en train de ne rien faire et a diffusé ces images pour montrer aux gens qu’il n’y a pas de véritable processus d’approbation. Elles n’ont pas fait leur travail. Et c’est pour cela qu’il a été pris pour cible pendant des années, bien avant que le COVID n’arrive sur le marché.

Il est donc temps pour nous d’arrêter d’utiliser l’argent des contribuables pour nous égorger nous-mêmes.

Je vous remercie.





À propos de notre participation aux guerres en cours

[Source : profession-gendarme.com]

Par Emilie Mugabo

Aujourd’hui j’ai envie de secouer le cocotier en vous soumettant une question qui mérite d’après
moi réflexion et débats. Elle part de mon propre positionnement, incompréhensible, voire suspect
pour certaines personnes qui me suivent. Pourquoi je ne parle jamais des guerres en cours ?

C’est d’abord un choix que j’ai fait, comme de ne pas non plus aborder le thème de la politique en
France et ne presque plus m’exprimer dans le champ géopolitique, considérant depuis longtemps
que ce n’est que théâtre, diversion et fumisteries vu que l’enjeu et le siège réel du pouvoir est au-delà, sous la face cachée de l’iceberg. La majorité de la population l’a d’ailleurs compris désormais.

Concernant les guerres de ce monde, et notamment celle qui se déroule en Ukraine vu qu’on m’en
parlait hier sur le réseau VK, autant j’ai défendu et dénoncé dès 2014 ce que subissaient les gens
du Donbass et souhaité que les Russes mettent fin aux massacres, autant lorsque cette guerre a
éclaté, je suis sortie du « jeu », désabusée et écœurée.

Des guerres qui ne massacrent que les populations et ne visent jamais directement les donneurs
d’ordre, leurs palais ou leurs entreprises voire tout bonnement ces personnes, j’appelle ça une
partie du scénario
, comme le covid ou ceux qui se laissent dérober leur élection puis nous font le
coup de la victimisation dans le cadre d’un « storytelling » partie intégrante du plan. Et je refuse
d’y prendre part en commentant et choisissant un camp ou l’autre tellement c’est grossièrement
pipé.

Qu’on se pose objectivement la question. Ceux qui arment les deux camps (et la France est dans le
top 3 en vente directe ou indirecte) dépensent un pognon de malade (le nôtre, de façon là aussi
directe ou indirecte) pour finalement ne pas cibler ceux qui ont provoqué ces guerres ou refusent
d’y mettre un terme ? Et constatant ce fait, on devrait néanmoins encourager tel ou tel camp et
prendre part à ces combats, physiquement ou par l’attention et toute l’énergie qu’on y porte ?

Je suis née à Pau (64) d’un père influent, jésuite, haut-grade de la maçonnerie et rwandais,
quoiqu’apatride à ma naissance. Offerte dès ma naissance au « réseau » dans un bastion
opérationnel national et historiquement infesté de jésuites sans la moindre odeur ou aura de
sainteté. Mais aussi et évidemment de Khazars et grandes lignées de la noblesse noire
internationale œuvrant, via la franc-maçonnerie et l’allégeance de gré ou de force au satanisme, à
la fabrique de ces guerres et ces coups d’état en Françafrique et autres contrées, souvent
opportunément remplies de gaz ou pétrole. Le siège stratégique d’Elf puis Total a d’ailleurs
toujours été installé à Pau, comme les régiments de paras et de barbouzes dédiés aux opérations
« spéciales » de l’époque pour les intérêts de la caste et son arrière-cour discrète et friquée du
Bordelais, autour de grandes familles comme les Rothschild et dynasties esclavagistes et collabos
nazis notables.

Un bastion se chargeant aussi de la fabrique des récits et des fausses oppositions, y compris le FN
et ses corollaires « autonomes » toujours très actifs dans la Résistance comme d’autres dissidents
enfantés et promus. Je le réalise actuellement suite à divers événements et ces recoupements me
touchent donc personnellement parce qu’ils réactivent mon passé de survivante et toutes les
capacités et compréhensions qu’il m’a fallu mobiliser pour échapper à leurs filets et autres
« grands projets » pour moi. Ces postes et avantages que tant d’autres ont acceptés sans y voir le
mal ou ne voyant avant tout que leur intérêt.

On en revient toujours à la moralité de nos choix et conformismes passés. Ce à quoi on a bien
voulu (ou pas) participer. Qui nous a formé et formaté, également. Regardez combien de
personnalités de premier plan sont passées par des lycées jésuites ou de grandes facultés anglo-
saxonnes et leurs fraternités étudiantes soi-disant « humanistes », y compris dans la Résistance,
comme Richard Boutry, « Campagnol » ou le frère de Karl Zéro (au lycée parisien de Saint-Louis de
Gonzague où le Macron a lui-même achevé de perdre son innocence et toute intégrité anale).

Le poids de leurs conditionnements et attaches nouées à cette époque-là est-il anecdotique ou
partie intégrante du système d’encadrement et d’emprise servant le contrôle de l’humanité ? Nous
naissons libres, mais cessons de l’être si vite qu’il nous faut vraiment rester humbles face à ce qui
peut agir à travers nous et à notre insu ou non. Et surtout vigilants.

Parler d’opposition « sous contrôle » plutôt que « contrôlée » me semble bien plus pertinent, en
dehors des vrais agents infiltrés directement rémunérés par des officines et agences. Cela permet
aussi de s’extirper des combats de personnes en se polarisant plutôt et surtout plus
constructivement sur ce qui fait de nous des marionnettes plus ou moins nocives et utiles au plan.

Un exemple, pour démonstration : si on m’empêche de proférer des mensonges qui servent le plan
et me montre que j’agis par conditionnement voire par loyauté mal placée, cela m’aide à ne pas
nuire à l’humanité et rester intègre dans la cause que je défends sincèrement. Et si je n’étais pas
sincère, mais abîmée ou psychopathe au point de réellement me réjouir que les ténèbres
progressent autant, peut-être que la honte de me voir conchiée et traitée de marionnette me
culpabilisera assez pour réfléchir à ce que je veux réellement et ai fait. Où demeure mon vrai
intérêt, naturel et originel, comme mon besoin universel d’être aimé.

En bref, dénoncer c’est aussi aider. Chaque petit soldat, kapo ou général qu’on fait passer dans le
camp de l’humanité en lui secouant le cocotier est une victoire pour l’avenir. L’ennemi, ce n’est pas
Nous. Il est juste en nous et en attente qu’on l’en extirpe enfin, car tel est l’implacable ET salutaire
ordre naturel des choses.

Alors quand je m’exprime, ce n’est pas depuis « le néant » ni pour me sentir exister ou me faire ma
place dans la Résistance. Ni d’ailleurs compenser une vie d’isolement et de précarité qui n’a en rien
changé depuis que j’agis publiquement, vu la rancune et les attaques de « mon » réseau, jusqu’à
encore tout récemment, pour dissuader Ariane Bilheran et Céri de DondeVamos de travailler avec
moi et risquer ainsi que je dénonce « trop » de choses. Je fais cette précision pour les trolls et les
aigris toxiques qui s’empressent toujours de réduire chaque vrai débat à des attaques personnelles
ou pinaillages sur quelques mots, et nous empêchent ainsi d’élever le niveau : ne vous mentez pas
sur ce dont vous faites activement le jeu en vous abaissant de la sorte. Ayez honte et on vous
pardonnera.

Je parle parce que je suis excédée de voir les gens tomber toujours dans les mêmes pièges et
réactions alors que dans le même temps, jamais je n’ai eu le bonheur de voir autant de personnes
qu’actuellement se réveiller et aider par leurs publications sur divers réseaux à comprendre ce qui
se joue réellement. A fortiori quand avoir vécu la mort plusieurs fois (EMI) et en être revenue m’a
permis comme bien d’autres d’accéder à cette énergie d’amour qui est à la source de tout.

Prenons le bon, le beau, le vrai. Au lieu de nous diviser sur le laid. Il y a tant de belles voix qui
s’élèvent, accélérons le mouvement !

Et pour en revenir aux guerres dont trop peu analysent encore les vrais tenants publiquement,
forcément, je suis incapable de raisonner comme beaucoup le font encore et pour cause : les
méthodes employées depuis des lustres pour conditionner les masses sont tellement insidieuses
qu’à moins d’avoir du apprendre à les reconnaître tôt pour simplement sauver sa peau et ne pas se
laisser enrôler par la caste, il est dur d’éviter les pièges et j’y tombe encore moi aussi malgré tout
ce que j’ai compris, sachant qu’on ne m’a jamais initiée et en un sens, heureusement, vu le
formatage évité.

Alors ce n’est pas un jugement que j’exprime ici, mais une invitation à davantage de réflexion,
individuelle et collective, sur nos façons de participer à ces guerres et ces plans eugénistes en
restant sans s’en rendre compte des marionnettes du scénario. Parce que de mon point de vue, il
ne peut y avoir de Résistance sans pleine conscience ni d’ailleurs de pédagogie et d’indulgence
pour ceux qui ne comprennent pas encore qu’ils font ce que l’on attend d’eux. Mais l’indulgence
n’implique pas de les laisser faire. La critique doit construire notre avenir et nous aider, pas nous
détruire.

Pour rappel, il n’y a de guerres que s’il y a des humains pour les provoquer, les alimenter, les
regarder passivement et bien évidemment les faire. Nous générons nous-même notre réalité. Alors,
choisir son camp ? Désigner les boucs émissaires que nous propose le système ? Non merci, pas
pour moi. Je suis du côté de l’humanité et ceux qui orchestrent ces mascarades et génocides si
perfidement consentis ne seront jamais mes alliés. Juste des personnes à secouer et guérir parce
qu’on est tous du même camp, à l’origine, il est temps de se le rappeler.

Et vous, où en êtes-vous ?

Emilie Mugabo

[Voir aussi :
L’enjeu de notre intégrité morale
et
Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?]




Les USA ont testé des poisons sur leur propre population

[Source : kla.tv]

[Voir aussi :
L’histoire secrète de Fort Detrick, la base de la CIA pour les expériences de contrôle de l’esprit]

Transcription

L’un des principaux arguments des partisans actuels de la vaccination est que les gouvernements de ce monde ne nous feraient jamais de mal intentionnellement. Malheureusement, il existe de nombreux faits et preuves qui démontrent exactement le contraire. Un ancien reportage de 1994 du magazine Spiegel TV révèle précisément cette intention. Il prend pour exemple les expériences à grande échelle menées dans la plupart des grandes métropoles américaines. Les sujets de test involontaires étaient ici des citoyens américains. Ils ont été empoisonnés parce que l’armée voulait voir ce qui se passerait — puisque les substances de combat doivent être testées avant d’être utilisées chez « l’ennemi ». Par exemple, une école primaire a été bombardée chaque jour pendant trois mois, comme pseudo « ennemi », avec du sulfure de zinc et de cadmium. Chaque jour, les enfants étaient contrôlés pour détecter des résidus, sans que les parents ne sachent pourquoi. Les conséquences ont été cruelles. Une ancienne élève a raconté qu’elle était l’une des rares à être encore en vie. La moitié de ses anciens camarades de classe sont morts, les autres sont confrontés à des maladies très graves, à la stérilité ou au handicap de leurs enfants. Elle-même a donné naissance à trois enfants lourdement handicapés. Son crime : être allée sagement à l’école. Voici le reportage encore non censuré de Spiegel TV de 1994 :

14 août 1994. Reportage du magazine Spiegel TV : Essais toxiques sur des citoyens américains :

« Des centaines de milliers de citoyens américains sont devenus des cobayes involontaires. Des produits chimiques prétendument inoffensifs ont été pulvérisés à grande échelle depuis des avions sur des villes américaines dont les conditions climatiques correspondaient à celles des villes soviétiques. Comme, par exemple, Minneapolis, où il fait presque aussi froid en hiver qu’à Moscou. C’est pourquoi l’armée a bombardé pendant trois mois cette ville de plusieurs millions d’habitants avec du sulfure de zinc et de cadmium. »

Pendant trois mois, la population a donc été aspergée d’une substance toxique extrêmement dangereuse, à son insu.

Leonard Cole :

« On voulait savoir comment les bactéries se propagent, comment elles survivent et jusqu’où elles sont poussées par le vent. Le sulfure de zinc et de cadmium a été utilisé parce qu’il se comporte de la même manière que les agents biologiques et chimiques qui devaient être utilisés en cas de guerre. »

Inimaginable : un gouvernement s’en prend secrètement à la vie de ses propres concitoyens pendant 40 ans…

« Pendant plus de quatre décennies, l’armée a bombardé de manière généralisée son propre pays avec des poisons dont elle-même ne connaissait pas exactement la dangerosité. »

Cette action du gouvernement est tout à fait comparable à l’injection anti COVID. Par exemple, Pfizer savait tout à fait que l’injection était nocive et l’a consciemment accepté. Consultez nos émissions en allemand sur le sujet. (www.kla.tv/27838 : « Ralf Ludwig : Une attaque contre les droits de l’homme individuels montre que la vie n’a pas de valeur » et www.kla.tv/27814 : « Grande manifestation à Karlsruhe — Best-of de tous les rassemblements »)

Les métropoles à forte densité de population ont été privilégiées. On voulait en effet savoir s’il était possible de contaminer des villes entières avec des virus ou des produits chimiques sans que personne ne le remarque. Chaque détail a été saisi, enregistré et répertorié.

Intéressant : on peut établir un parallèle avec le test Covid.

« C’est ainsi que leur propre population est devenue un sujet de test pour les “docteurs bizarres” des laboratoires de recherche de l’armée et des services secrets et leurs conseillers allemands, qui avaient appris leur métier à l’époque du Zyklon B. »

Ici aussi, nous voyons des similitudes avec les actions du RKI (institut Robert Koch) et de Drosten et Cie.

« À l’époque, on n’avait guère idée des dégâts possibles. En 1953, le gouvernement des États-Unis était encore considéré comme exempt de tout péché. Si le gouvernement disait quelque chose au peuple, on lui répondait que cela devait être vrai, car le gouvernement est omniscient ! »

En comparaison, les similitudes avec la pandémie de Covid ne peuvent être niées : une confiance aveugle de la population qui ne peut pas imaginer être délibérément lésée par le gouvernement.

Le passé montre de manière factuelle, par le biais de ce rapport, que les gouvernements causent des dommages à leur population de manière tout à fait intentionnelle, sans se soucier des conséquences ̶ comme cela a été le cas récemment et actuellement par le biais de l’injection antiCovid. L’histoire se répète jusqu’à ce que chacun de ces crimes méprisables soit finalement mis en lumière et que justice soit rendue.

Brisons ce karma et faisons en sorte que les répétitions prennent fin rapidement !

de tt.

Sources/Liens :

USA —Essais de poison sur sa propre population :




La transhumanisation de l’Homme

Louis nous écrit du sérieux : « Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?! Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre. »

Nicolas Bonnal

Par Louis

Macron se plaignait récemment devant les caméras de la difficulté de « réinventer quand tout n’a pas été détruit », phrase anodine de prime abord, mais qui est un leitmotiv chez cet interlope en costume de gendre-idéal pour boomer soixante-huitard forcément attardé. Serge de Beketch disait qu’en raison du Libre Arbitre, le diable était obligé de se dévoiler d’une manière ou d’une autre : un sabot ou une queue fourchue qui dépasse, etc.

Tout est dans le détail, toujours.

Vous citez adéquatement Tocqueville sur la « nécessité » du recours à la guerre pour en finir avec la résistance et la liberté… Il reste une dernière chose eschatologique à nous ôter, définitivement, c’est bien la vie. La Vie dans toute sa dimension spirituelle et religieuse, chrétienne.

Quand il reste selon (https://covidtracker.fr/vaccintracker/) (le nom du site est édifiant ; nous sommes traqués) 18,9 pour cent des gens à traiter, à savoir de personnes dont le gêne-home ou le gène-homme (tiens, ça sonne plus biblique !) n’a pas été trafiqué par vous savez quoi ; le but non avoué de tout cela n’est pas que la liberté, pour quoi faire comme disait l’autre, mais bien la Vie humaine dans son rapport à la création à la vie et donc au salut. Quand on s’attaque à un tel point à la création dans le détail des détails : l’ADN, la génétique, la volonté de saboter est plus qu’évidente.

Ainsi, le monde moderne, malmené par des idées chrétiennes devenues folles avec des gens qui croient en n’importe quoi sauf à Dieu (merci Chesterton), est agité par une mystique du mal, ou plutôt du malin.

Baudelaire disait que la plus belle des ruses du diable était de nous faire croire qu’il n’existait pas, depuis il est passé à la vitesse supérieure celle de nous faire croire que Dieu lui-même n’existait pas.

Cela étant fait, il pourra apparaître le moment venu et tenter de rafler les brebis égarées devenues proies du loup.

Rien n’est gratuit dans cette Psychomachie dont le champ de bataille se trouve être l’âme de l’homme, et tout est bon pour nous détourner du Créateur, comme la farce et l’origine simiesque de l’homme, la science-fiction avec le big badaboum, le pain et les jeux avec le foot et les émissions de bagnoles le dimanche matin, etc., c’est un inventaire à la Prévert.

Si nous n’étions que cela, que ce que l’on veut bien nous faire croire, des grands singes évolués alors pourquoi tout cela ? Pourquoi cet acharnement ? À quoi bon ?!

Mais si au demeurant nous sommes des créatures d’un Dieu bon et relationnel qui nous modelé à Son image, S’est révélé à nous, S’est Incarné et fait siéger notre nature transfigurée unie, mais non confondue en la personne du Christ à la droite du Père éternel, alors le jeu en vaut la chandelle, et son éclairage est tout autre.

Il faut donc éteindre cette chandelle fébrile, étincelle divine dans le tréfonds de l’homme pour l’annihiler, le condamner et donc empêcher de saboter le plan divin.

Tout le reste est accessoire et ne concerne que la mise en scène, les décors, le script, les personnages… Deus absconditus avant le Deus ex machina.




Nouvelles antiplandémiques

[Source : Sud Radio]




Le ministre de l’Économie visé par une enquête préliminaire pour faux en écriture publique, et autres nouvelles d’une France en décomposition

[Source : Louis de Dreslincourt]

Autoroutes : B. Le Maire, accusé de faux en écriture ! Dilaté comme jamais pour couvrir Macron ?

Macron le chaos en marche, les analyses des entretiens enfin reprises par l’opposition.

Pourquoi Macron a-t-il précipité son annonce d’envois de soldats en Ukraine ?

Analyse de Tremolet de Villers sur Macron, enfin de l’information ?

Olaf en fureur !

Pustula et Klaus en soutien de Macron ?

La polémique Attal-Le Pen, le complotisme comme seule défense ?

Macron et son regard, enfin un débat !

Bruno Lemaire et le scandale inouï des autoroutes ! Des faux en écriture ?

Salon de l’agriculture, la ligne rouge !

Florian au salon.

Rubrique humour : Béchu et le PMU !

Mary Poppins effacée !




Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

[Source : Bertrand SCHOLLER]

Par Bertrand Scholler

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire.

Ne pas oublier les armes de destructions massives en Irak et les couveuses au Koweït, on cherche encore les deux, mais plus d’un million de civils irakiens sont morts, mais le pétrole n’est pas perdu pour tout le Monde.

Les Casques Blancs en Syrie étaient les meilleurs amis de Fabius, le nouveau pote de Macron, ils étaient toujours les premiers sur les sites d’attaques chimiques… dont on attend toujours les preuves.

S’ils étaient plongeurs, eux auraient peut-être trouvé les coupables de Nord Stream, contrairement aux Danois et Suédois, qui se sont déclarés bredouilles. Les Allemands en récession ont arrêté l’enquête faute de budget.

Maidan… c’était évidemment un moment populaire, une histoire de petits pains et de madeleines Allbright…

Biden a été le Président le mieux élu de l’histoire des USA, mais il ne s’en souvient plus, son fils non plus ; il pense justement être le votre président de quelqu’un, mais on ignore de qui. Il n’est pas le seul à être diminué là-bas, par l’âge, et chez nous en Europe par l’incompétence, la bêtise et la fatuité.

Le Covid, vous savez ce truc qui a provoqué l’arrêt de la planète, c’est un pangolin, le vaccin devait sauver, car c’était un acte d’amour… et le PCR, ce truc si intrusif, c’était pour chercher à la base du cerveau, un virus ou sa trace, alors qu’une seule goutte (dans la salive) pourrait tuer un cluster entier (oups le mot anglais que tout le Monde a appris… mieux que Love) comme, par exemple, les passagers de tout un paquebot… au large du Japon.

La Russie est désignée pour avoir commencé une guerre en févr. 2022, car tout le Monde a oublié les accords de Minsk, car des civils russophones au Donbass y étaient sous les bombes depuis 2014.

Que dire de Butcha… c’était évidement les Russes et leur esprit illogique à se tirer une balle dans la paix qu’ils recherchaient depuis si longtemps et croyaient avoir trouvé enfin, eux si content et naïf, d’avoir signer un accord avec annexes, avec les Ukrainiens… c’était compter sans Macron qui voulait cette guerre longue et que les Russes passent pour des bouchers.

Et aussi… le 7/10 ce sont des centaines de mecs en sandales et parapentes qui ont déjoué la sécurité du pays le mieux protégé du monde, en sortant armes de canifs et de Kalashnikov (de collection) de leur ghetto sous blocus et surveillé par des drones, des espions et des informateurs… pour aller couper des bébés et les cuire dans des fours, mais aussi je ne sais pas quoi encore//évidement ça rappelle le 11/09 et tout le monde l’a dit et répète… le 7/10 c’est le nouveau 11/09 (les Égyptiens n’ont qu’à bien se tenir… Netanyahu fera l’enquête après avoir fini ce que la CIJ rappelle un génocide).

Puis dans le complot… on a monté d’un cran avec Navalny… qui cette fois a vraiment été tiré, mais comme la mort a eu lieu ça ne peut pas être les Russes ; ils ratent à chaque fois avec les poisons… Si c’était… une grande compagnie pharma, la CIA et une future veuve éplorée à Munich qui devient l’alliée numéro 1 de l’Ukraine de Zelensky et d’Israël de Netanyahu (l’un, car on repense à lui… et l’autre, car on l’oublie) ?

Que penser de ce qu’a démontré #AaronBushnell, qui en s’immolant a prouvé que tout est mensonges et manipulations, doubles langages et doubles standards… Que n’était-il pas un LGBT+ iranien réfugié en France et qui s’immole devant l’embrassade d’Iran ou un trans ukrainien qui fait de même devant l’ambassade russe à Paris ?

AARON BUSHNELL a montré que ce ne sont que faux semblants et inversions accusatoires.
LES MORTS NE SE VALENT PAS.
LES MARTYRS NON PLUS.
Mais à Gaza ils l’ont compris dans leur chair.

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

Et tout commence avec les sorciers de Babylone.
Les Khazars puis… bientôt dans une capsule.




« Si la France avait fait son travail il n’y aurait pas eu de guerre ! »

[Source : Les Incorrectibles]

Éric Morillot est rejoint par Jacques Baud pour discuter de son nouveau livre, « L’art de la guerre russe ». Ils se penchent sur le conflit ukrainien, décortiquant la stratégie militaire russe, l’influence des médias et le défi d’un reportage objectif. L’épisode se termine par une analyse des conséquences politiques du conflit.

  • 0:00 Introduction et présentation de l’invité, Jacques Baud
  • 6:54 Discussion sur le processus de recherche pour le livre « L’art de la guerre russe »
  • 11:11 Analyse de la situation actuelle en Ukraine et la réalité du terrain
  • 20:12 Analyse de la philosophie et des principes de la guerre russe
  • 29:02 Influence des militaires et des journalistes sur la perception des conflits
  • 35:22 La réflexion holistique russe : un regard sur la guerre et la société
  • 45:40 L’importance de la mobilité et la rapidité dans la stratégie de guerre russe
  • 54:07 La sécurisation de l’Europe par l’entente entre les nations
  • 1:00:21 Analyse de l’opération spéciale russe et de la situation en Ukraine après Biden
  • 1:14:11 Bilan de l’opération spéciale en Ukraine et conséquences politiques du conflit



France — Libertés en danger

[Source : Tocsin]

Le cauchemar d’Orwell en passe de devenir réalité ! Si nous ne faisons rien, toutes les opinions libres seront définitivement bannies en France.

00:00 : Introduction et édito

00:03:00 : La dictature passe à l’ouest !

🔷 Adina de Souzy
Artiste peintre, restauratrice de tableaux, a vécu son enfance dans la Roumanie communiste du dictateur Ceaucescu.
Auteur de « Une dictature nommée démocratie : Chronique de la Covidofolie » (Talma studios)

🔷 Slobodan Despot
Créateur du site Antipress, écrivain :
« Le Miel » aux éditions Gallimard
« Le Rayon bleu » aux éditions Gallimard

00:50:00 : La chronique d’Alexandre Cuignache d’Apreval

01:00:00 : La pensée totalitaire en lien avec les déclarations médiatiques sur la guerre.

🔷 Avec Ariane Bilheran
Ancienne Élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), Philosophe
Psychologue clinicienne, Docteur en Psychopathologie,
Auteur dernièrement de « Psychopathologie du totalitarisme » (éditions Guy Trédaniel)

🔷Et Maître Virginie de Araujo-Recchia
Avocate au Barreau de Paris




Chronique d’une descente aux enfers annoncée

[Source : place-armes.fr]

Par le Général Antoine MARTINEZ

Devant l’évolution funeste de notre pays dans tous les domaines qui s’accélère élection après élection et plonge dorénavant les Français dans la souffrance et la désespérance, la question qui se pose aujourd’hui n’est plus de savoir si la rupture du lien entre les dirigeants politiques et le peuple peut se produire — c’est manifestement déjà fait — mais si ce dernier pourra longtemps accepter sa descente aux enfers. Car il est impensable en démocratie de refuser indéfiniment, comme c’est le cas depuis notamment la fin de l’année 2018, d’entendre ce que dit le peuple souverain ignoré, méprisé et malmené. On ne gouverne pas ainsi, en effet, impunément contre lui. Alors, comment en est-on arrivé là ? Comment la classe politique peut-elle dans sa grande majorité cautionner de voir sombrer notre pays un peu plus chaque jour ?

Dans un premier temps, il est important de rappeler comment notre Constitution qui représente le socle de notre démocratie est bafouée et instrumentalisée depuis longtemps du fait de la conception très personnelle de l’exercice du pouvoir que se font les présidents de la République successifs. Les dernières modifications de la Constitution sont probablement, au moins en partie, à l’origine de cette dérive. En effet, depuis l’instauration du quinquennat, le dévoiement de l’esprit, voire de la lettre de notre Constitution dans son application par le président de la République, censé pourtant être le garant des institutions, s’est imposé par étapes successives. Ce dernier, en décidant d’être en permanence à la manœuvre dans tous les domaines et occuper ainsi l’espace médiatique, a oublié le rôle qui est le sien. De ce fait, le président ne préside plus avec la hauteur de vue qui convient, mais gouverne ce qui est le rôle du Premier ministre qui détermine et conduit la politique de la nation en dirigeant l’action du gouvernement selon les articles 20 et 21 de la Constitution. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs, dans cette conception très particulière de l’exercice du pouvoir, le Premier ministre, n’étant plus qu’un exécutant, ne peut logiquement être considéré comme un fusible en cas de crise. Le véritable Premier ministre et seul responsable, c’est désormais le président. M. Sarkozy l’avait bien compris ainsi en maintenant son Premier ministre pendant tout son mandat. Sur ce point, il était cohérent. En revanche, cette cohérence assumée ne caractérise certainement pas ses deux successeurs, M. Hollande ayant nommé trois Premiers ministres et M. Macron deux, au cours de son premier mandat, et deux après deux ans de son second mandat, ce qui permet d’éventuelles autres nominations avant 2027. Cette absence de cohérence avec leur conception de l’exercice du pouvoir révèle, en fait, le refus d’assumer personnellement leurs responsabilités lors de la survenance de crises qu’ils ont eux-mêmes créées. Dans ces circonstances et particulièrement aujourd’hui, le changement de Premier ministre, simple paravent protecteur, n’est qu’une supercherie dont le but n’est que de relancer le président affaibli et contesté et d’occuper l’espace médiatique pour occulter les vrais problèmes. Cette transgression de l’esprit de notre Constitution est dangereuse, car elle engendre d’autres dérives. S’étant emparé des attributions du Premier ministre, le président de la République se comporte comme tel, c’est-à-dire comme chef de la majorité parlementaire et non plus comme président de tous les Français.

Dans un deuxième temps, il faut insister sur les conséquences de ces dérives de l’exercice d’un pouvoir trop personnel sans lien avec les aspirations du peuple qui conduisent progressivement le pays vers des drames.

En 2005 par exemple, les Français ont rejeté par référendum le projet de traité constitutionnel sur l’Europe à près de 55 %. Les Néerlandais en faisaient de même à plus de 60 %. Pourtant, trois ans plus tard, M. Sarkozy décidait de ratifier par la voie parlementaire le traité de Lisbonne qui reprenait l’essentiel du texte rejeté par le peuple français ! Moralement et juridiquement cette faute est condamnable et impardonnable. Comment qualifier cette atteinte à la volonté du peuple souverain sinon de forfaiture ? Quant aux parlementaires, censés être les représentants du peuple et qui se sont prêtés à cette mascarade, ne se sont-ils pas déshonorés ? Dans une vraie démocratie, cette offense infligée à nos institutions et au droit du fait du simple bon vouloir du prince ne doit pas se produire. Malheureusement, les conséquences d’une telle forfaiture deviennent, une quinzaine d’années après, insupportables avec une submersion migratoire non combattue et le terrorisme islamiste qui en découle, une révolte du monde paysan, une guerre en Ukraine et la crise énergétique provoquée par les sanctions sur la Russie avec une Union européenne (UE) devenue despotique et corrompue. Le résultat est accablant !

De son côté, M. Hollande, « président normal », a également manqué aux devoirs les plus élémentaires attachés à sa fonction avec en particulier son renoncement et le non-respect de son devoir de discrétion révélés par ses confessions accordées à deux journalistes du journal Le Monde qui ont publié, en octobre 2016, un ouvrage qui a suscité une immense polémique. S’agissant de l’immigration, après avoir avancé qu’on ne pouvait « continuer à avoir des migrants qui arrivent sans contrôle et qu’il y a trop d’arrivées, d’immigration qui ne devrait pas être là », il évoque lui-même la sécession des territoires. « Comment éviter la partition ? Car c’est quand même cela qui est en train de se produire, la partition. » Mais qu’a-t-il entrepris pour enrayer cette évolution mortifère et prévisible depuis des années pour l’avenir de la nation puisqu’il en était conscient ? Rien ! Par ailleurs, il a également dévoilé dans ses confessions aux deux journalistes non habilités des dossiers classés secret-défense sur notamment des opérations aériennes projetées sur la Syrie et sur des assassinats ciblés dans ce pays. Cette infraction est normalement punie de 7 ans de prison et 100 000 € d’amende (art. 413-10 du Code pénal). Mais le président bénéficie dans l’exercice de sa fonction d’une immunité judiciaire totale ! Une proposition de destitution avait été signée par 79 parlementaires, mais rejetée par le bureau de l’Assemblée nationale. Les drames successifs (Charlie Hebdo, Hypercasher, Bataclan, Nice…), sans oublier l’invasion migratoire de l’Europe déclenchée par l’État islamique à l’été 2015 et qui se poursuit aujourd’hui, n’ont en rien modifié le renoncement du président d’affronter les réalités malgré l’évidence de la menace exercée sur l’unité et la sécurité de la nation par cette immigration hostile à notre pays. Les conséquences sont aujourd’hui catastrophiques. Le résultat est désastreux !

Quant à M. Macron, le la était donné avant même son élection lors d’un déplacement en Algérie avec sa déclaration infamante accusant la France de crime contre l’humanité en évoquant la colonisation. Il ignore, en réalité, qu’en débarquant sur les côtes nord-africaines en 1830, la France a mis fin à l’esclavagisme, ce crime contre l’humanité pratiqué depuis plus de trois siècles par les barbaresques mahométans de la régence turque d’Alger. Il renchérissait peu après en affirmant qu’il n’existe pas de culture française. Chacun se souvient, ensuite, des conditions de son élection en 2017 acquise après un hold-up démocratique fomenté par des officines liées au pouvoir et épaulées par certains médias pour priver de sa victoire le candidat de la droite donné gagnant. Cela dit, ses sept ans de présidence témoignent d’une volonté froide d’exercer le pouvoir de manière autoritaire sans tenir compte des aspirations du peuple qu’il n’aime pas et pour ne servir qu’un programme européiste qui sacrifie les intérêts de la France et du peuple français et qui s’inscrit dans un projet davocratique prônant un ordre mondial nouveau. Lorsqu’on est attaché au principe que l’État doit viser le bien commun et rechercher continuellement l’intérêt de la nation, on ne peut pas comprendre cette volonté affichée de diviser pour mieux réaliser des objectifs peu conformes avec l’intérêt et les aspirations des Français. La méthode cynique et machiavélique utilisée pour obtenir la promulgation de la loi sur l’immigration n’est-elle pas révélatrice d’un exercice pervers du pouvoir ? On feint de passer un accord avec la droite qu’on piège en acceptant ses amendements, on force sa majorité à voter la loi pour qu’elle soit adoptée pour mieux la détruire ensuite en saisissant le Conseil constitutionnel. Le président peut ainsi poursuivre son projet immigrationniste funeste d’autant plus que l’appel à ne pas signer le Pacte de Marrakech (2018) et celui lancé dans la lettre à nos gouvernants présentée comme la tribune des généraux (2021) ont été totalement ignorés. Que dire, par ailleurs, des décisions prises dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie qui aurait pu être évité et que l’Europe n’a aucun intérêt à alimenter ? En 1962, en pleine guerre froide, la crise des fusées de Cuba déployées par l’ex-URSS provoqua un risque de guerre nucléaire, car il s’agissait d’une question existentielle évidente pour les Etats-Unis, soutenus fort justement par la France. L’ex-URSS céda. Avec l’Ukraine, le problème posé aujourd’hui est le même : il s’agit d’une question existentielle non moins évidente, cette fois pour la Russie, et la France n’a choisi ni la voie de la raison ni celle de ses propres intérêts. « Être prêts à agir, défendre et appuyer l’Ukraine, peu importe ce qui se passera », est-ce bien raisonnable et les Français sont-ils prêts à mourir pour Kiev ? C’est peu probable. En tout cas, les conséquences économiques pour les peuples européens sont désastreuses. Par ailleurs, pourquoi le Parlement n’est-il pas consulté depuis le début de ce conflit sur les livraisons d’armes et surtout sur l’accord de sécurité récemment signé avec l’Ukraine qui lie la France et engage ses finances pour dix ans ? N’est-ce pas, parmi les différentes dérives évoquées, l’exemple même d’une violation de notre Constitution ? Enfin, il ne faut pas oublier le deux poids, deux mesures utilisé dans l’emploi de la violence légitime de l’État selon le principe ignoble du fort au faible et du faible au fort. La différence de traitement des Gilets jaunes et des émeutes ethniques de juin 2023 en est l’illustration. Il ne faut pas oublier non plus le Benallagate ni la gestion criminelle de la crise sanitaire (covid) construite sur une stratégie de la peur, sans oublier le McKinseygate qui a mis en évidence l’intrusion d’agences privées étrangères au cœur même du fonctionnement de l’État avec la mise en danger des intérêts fondamentaux de la nation. Le pays sombre un peu plus chaque jour. Le résultat est tragique !

Alors, dans un troisième temps, on le constate, les conséquences des dérives et des décisions contraires aux intérêts de la France et des Français évoquées ne font qu’aggraver la situation et ne peuvent que mener le pays au naufrage par des dirigeants qui, maniant indifféremment, selon le besoin, l’abus de pouvoir ou le renoncement, veulent surtout dessaisir le peuple de sa souveraineté pour l’exercer à sa place et ainsi mieux la déléguer à l’UE. Cela dit, non seulement cette UE ne protège pas les intérêts des peuples européens, mais elle les trahit pour participer à la construction d’un ordre mondial nouveau dirigé par l’oligarchie financière peu soucieuse du sort des peuples, dans une optique purement économique et visant logiquement la destruction des nations peu compatibles avec cette vision d’un monde nouveau sans frontières. Dans cette perspective, avoir accepté de signer le Pacte de Marrakech, en 2018, a permis à l’UE d’établir en cohérence avec ce dernier son propre pacte migratoire qu’elle veut imposer aux Européens sans leur consentement. Ces quatre derniers quinquennats auront donc progressivement conduit, par l’exercice d’un pouvoir personnel de plus en plus coupé du peuple et de ses aspirations contraires au projet de la Davocratie, au déclassement, au délitement de la France et à la mise en danger des Français. Ce désastre incontestable sur tous les plans trouve en grande partie sa source dans les ravages — au mieux ignorés, au pire acceptés par idéologie immigrationniste, par des dirigeants politiques irresponsables dans les deux cas — d’une immigration de peuplement subie depuis plus de quatre décennies et complétée, depuis 2015, par une invasion migratoire organisée auxquelles s’ajoute aujourd’hui le risque d’entraînement dans une guerre qui n’est pas celle de la France. L’instauration du quinquennat, en laissant s’établir un régime « présidentiel », a donné au Chef de l’État les clés de la toute-puissance exercée aujourd’hui en marginalisant le gouvernement et le Parlement, ce dernier n’exerçant plus vraiment son rôle de contrôle de l’exécutif, l’Assemblée nationale étant devenue une chambre d’enregistrement, et en ignorant totalement le peuple. De plus, on l’a constaté dernièrement, une fois de plus, le « gouvernement des juges » a défait la loi votée par les parlementaires et s’est opposé ainsi, lui aussi, comme le président de la République, à la volonté exprimée par le peuple par l’intermédiaire de ses représentants dans un domaine qui le concerne directement, car il touche à l’âme même de la France, à son identité et à son droit légitime à la continuité historique. Dans ce domaine précis, est-il dans les attributions du président de décider seul contre la volonté du peuple souverain en l’empêchant de s’exprimer ? En tout cas, il n’a pas été élu pour cela. Au contraire, un chef d’État doit défendre son peuple et non pas accepter, voire participer à son effacement progressif. C’est le devoir de tout responsable politique d’oser le lui dire. Le général de Gaulle aurait-il permis une telle invasion par des populations de culture incompatible et hostile à la nôtre ? Aurait-il interdit au peuple français de résister à une invasion qui se traduit en réalité, aujourd’hui, par une véritable colonisation ? Que deviendrait d’ailleurs dans ces circonstances notre outil militaire avec des effectifs qui refuseraient, pour une partie d’entre eux, d’être loyaux à la France en cas de guerre ? C’est, en fait, de la survie de la nation qu’il s’agit ! Alors, où en sera la France en 2027, au terme du présent quinquennat ?

Dans ce contexte alarmant et angoissant, les Français sont sérieusement affectés par le déclassement et le délitement de la France. Ils sont notamment meurtris et tourmentés par d’une part, la colonisation de notre pays qui constitue LE sujet majeur, car existentiel par nature et que le pouvoir politique ne pourra pas éviter très longtemps, d’autre part par le risque d’entraînement dans une guerre en Ukraine qui n’est pas la nôtre, enfin par le risque d’une atteinte à la liberté d’expression par des mesures illibérales édictées par l’UE ou par nos gouvernants pour étouffer les voix discordantes, car conscients de la révolte qui gronde. La souffrance et la colère manifestées violemment par les agriculteurs à l’ouverture du salon de l’agriculture témoignent de cette révolte qui monte. S’agissant de la colonisation de notre pays, la situation de Mayotte préfigure celle que pourrait connaître la France si nos dirigeants ne prennent pas sérieusement et rapidement la mesure de la menace. La suppression du droit du sol, contrairement à la préconisation du gouvernement, ne doit pas être territorialisée avec ce seul département d’outre-mer, mais instaurée et appliquée sur tout le territoire national. Il faut redonner la parole au peuple et un référendum dans ce sens devrait être organisé pour lui permettre de s’exprimer clairement, première étape pour engager une reprise en main de son destin confisqué, le référendum permettant d’empêcher l’action du « gouvernement des juges ». Aux Français de se manifester résolument et massivement pour l’obtenir. Quant au risque d’entraînement de la France dans la guerre, le silence de la grande majorité des parlementaires est assourdissant alors que les décisions successives prises par l’exécutif depuis le début et couronnées par l’accord de sécurité signé pour dix ans avec l’Ukraine pourraient nous entraîner dans un engrenage incontrôlable. Il faut cependant saluer et soutenir l’initiative du sénateur Alain Houpert et du député Nicolas Dupont-Aignan qui ont saisi en référé le Conseil d’État sur la foi de l’article 53 de notre Constitution pour que le Parlement, qui doit prendre ses responsabilités, ratifie ou pas l’accord de sécurité signé. Rappelons que dans cette guerre par procuration qui aurait pu être évitée, la Russie est une puissance nucléaire de premier plan et qu’il s’agit pour elle dans ce conflit d’une question existentielle. Elle ne peut donc pas perdre cette guerre. C’est une simple question de bon sens. Alors, sommes-nous prêts à déclencher l’apocalypse ?

Dans cette descente aux enfers annoncée, devant le cavalier seul du pouvoir négligeant le Parlement et ignorant totalement les aspirations des citoyens, le sursaut ne pourra donc venir que du peuple lui-même et de personne d’autre. Il peut, en effet, reprendre en main son destin s’il refuse d’accepter de plonger dans la résignation et le désespoir. « La plus haute forme de l’espérance est le désespoir surmonté. » (Georges Bernanos)

Le 25 février 2024 Général (2 s) Antoine MARTINEZ

Place d’armes vous invite à envoyer une lettre au président, au palais de l’Élysée, 55 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris (l’affranchissement du courrier n’est pas nécessaire), pour exiger un référendum sur la suppression du droit du sol et une initiative de la France pour la mise en œuvre de négociations de paix pour le conflit Ukraine-Russie.




La religion secrète du monde ?

Altiyan Childs, vainqueur de X-factor, explique pourquoi notre monde brûle, pourquoi les sociétés secrètes et le secret sont une abomination dans une société libre.

Cette vidéo contient des éléments essentiels pour comprendre comment la Cabale a réussi à cultiver la guerre et la destruction pour le profit à la plus grande échelle à travers l’histoire. Que vous soyez de gauche ou de droite, ces conclusions sont inéluctables.

Mikael Hagenbo

[Source : @EpokEllipse via @fabroots2]






Superstitions de fin des temps : où en sont-ils ?

[Source : Jérémie Mercier]

Lors de nos deux derniers entretiens, Icaros nous a expliqué que les planificateurs centraux suivent un script eschatologique. Nous revenons dans cet entretien sur les prédictions déjà faites, et sur les prochains événements à attendre.

[Voir aussi, en relation avec le contenu de la vidéo :
►dossier Vaccins et virus (sur l’inexistence des virus) ;
►dossier Climat (sur le prétendu réchauffement climatique anthropique) ;
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus ;
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires ;
Troisième temple.]

[En cas de censure YouTube :]






La route de la servitude selon La Boétie

Par Nicolas Bonnal

Jamais nous n’avons été autant surveillés, menacés, humiliés, remplacés, écrasés, et jamais nous n’avons été aussi platement soumis, que ce soit dans un hideux immeuble, dans un aéroport, dans un monstre de croisière. Plus je vois cela, plus je m’émerveille. Et plus je m’émerveille, plus je me fais traiter de factieux et de conspirateur.

Cela m’apprendra. On est trop bon pour moi. Je finirai comme les libyens, hagard sur les sables pour m’apprendre.

Il n’y a pas besoin de théorie de la conspiration. Le peuple n’est pas un gentil innocent, une victime naïve. Le peuple aime naturellement être mené à l’étable ou à l’abattoir. Telle est l’éternelle leçon de la Boétie qui s’extasie devant l’infinie capacité des hommes à s’aplatir devant l’autorité. Chouchou des libertariens et de mon très cher Murray Rothbard, l’adolescent prodige s’écœure lui-même en écrivant ces lignes, en rappelant ces hauts faits :

« Il n’est pas croyable comme le peuple, dès lors qu’il est assujetti, tombe si soudain en un tel et si profond oubli de la franchise, qu’il n’est pas possible qu’il se réveille pour la ravoir, servant si franchement et tant volontiers qu’on dirait, à le voir, qu’il a non pas perdu sa liberté, mais gagné sa servitude. Il est vrai qu’au commencement on sert contraint et vaincu par la force ; mais ceux qui viennent après servent sans regret et font volontiers ce que leurs devanciers avaient fait par contrainte. »

Dostoïevski observe dans sa Maison des Morts (qui est plutôt une Maison des vivants, son roman le plus drôle) que l’on s’habitue en effet à tout. La Boétie :

 « C’est cela, que les hommes naissant sous le joug, et puis nourris et élevés dans le servage, sans regarder plus avant, se contentent de vivre comme ils sont nés, et ne pensent point avoir autre bien ni autre droit que ce qu’ils ont trouvé, ils prennent pour leur naturel l’état de leur naissance. »

C’est la vraie conspiration dont parle aussi en prison le fasciste Rebatet : nos nous soumettons au joug de la bagnole, de la salle de bains américaine, des artefacts électroniques. La Boétie explique ensuite comment on développe les jeux, l’esprit ludique, et dans quel but politique :

« Mais cette ruse de tyrans d’abêtir leurs sujets ne se peut pas connaître plus clairement que Cyrus fit envers les Lydiens, après qu’il se fut emparé de Sardis, la maîtresse ville de Lydie, et qu’il eut pris à merci Crésus, ce tant riche roi, et l’eut amené quand et soi : on lui apporta nouvelles que les Sardains s’étaient révoltés ; il les eut bientôt réduits sous sa main ; mais, ne voulant pas ni mettre à sac une tant belle ville, ni être toujours en peine d’y tenir une armée pour la garder, il s’avisa d’un grand expédient pour s’en assurer : il y établit des bordels, des tavernes et jeux publics, et fit publier une ordonnance que les habitants eussent à en faire état. Il se trouva si bien de cette garnison que jamais depuis contre les Lydiens il ne fallut tirer un coup d’épée. Ces pauvres et misérables gens s’amusèrent à inventer toutes sortes de jeux, si bien que les Latins en ont tiré leur mot, et ce que nous appelons passe-temps, ils l’appellent ludi, comme s’ils voulaient dire Lydi. »

Les bordels et les tavernes : comptez le nombre de sites porno sur le web pour voir un peu (Snyder parle de quatre millions) ; cet comparez aux fréquentations des sites antisystème. Vous verrez que nous sommes bien peu de chose. Pessimiste ! Coupable !

Politiquement incorrect, La Boétie dénonce l’effémination des territoires soumis à la tyrannie. Elle fonctionne avec la servilité et la soumission. Avec la culture aussi, comme le verra Rousseau.

« Tous les tyrans n’ont pas ainsi déclaré exprès qu’ils voulussent efféminer leurs gens ; mais, pour vrai, ce que celui ordonna formellement et en effet, sous main ils l’ont pourchassé la plupart… Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes étranges, les médailles, les tableaux et autres telles drogueries, c’étaient aux peuples anciens les appâts de la servitude, le prix de leur liberté, les outils de la tyrannie. Ce moyen, cette pratique, ces allèchements avaient les anciens tyrans, pour endormir leurs sujets sous le joug. Ainsi les peuples, rendus sots, trouvent beaux ces passe-temps, amusés d’un vain plaisir, qui leur passait devant les yeux, s’accoutumaient à servir aussi niaisement, mais plus mal, que les petits enfants qui, pour voir les luisantes images des livres enluminés, apprennent à lire. »

Puis La Boétie compare les méthodes éducatives, et ce n’est pas piqué des vers. Lui aussi aime Sparte — comme Rousseau et comme d’autres (il faut aimer le sport et l’inconfort !).

« Lycurgue, le policier de Sparte, avait nourri, ce dit-on, deux chiens, tous deux frères, tous deux allaités de même lait, l’un engraissé en la cuisine, l’autre accoutumé par les champs au son de la trompe et du huchet, voulant montrer au peuple lacédémonien que les hommes sont tels que la nourriture les fait, mit les deux chiens en plein marché, et entre eux une soupe et un lièvre : l’un courut au plat et l’autre au lièvre. “Toutefois, dit-il, si sont-ils frères”. Donc celui-là, avec ses lois et sa police, nourrit et fit si bien les Lacédémoniens, que chacun d’eux eut plus cher de mourir de mille morts que de reconnaître autre seigneur que le roi et la raison. »

Ensuite il remarque que comme sur Facebook on aime participer à Big Brother, on aime participer à son propre emprisonnement (empoisonnement) moral et physique — on paie même pour :

« Celui qui vous maîtrise tant n’a que deux yeux, n’a que deux mains, n’a qu’un corps, et n’a autre chose que ce qu’a le moindre homme du grand et infini nombre de nos villes, sinon que l’avantage que vous lui faites pour vous détruire. D’où a-t-il pris tant d’yeux, dont il vous épie, si vous ne les lui baillez ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne les prend de vous ? Les pieds dont il foule vos cités, d’où les a-t-il, s’ils ne sont des vôtres ? Comment a-t-il aucun pouvoir sur vous, que par vous ? Comment vous oserait-il courir sus, s’il n’avait intelligence avec vous ? Que vous pourrait-il faire, si vous n’étiez receleurs du larron qui vous pille, complices du meurtrier qui vous tue et traîtres à vous-mêmes ? »

Le citoyen participe à sa propre aliénation. On n’a jamais autant payé d’impôts en Amérique ou en France en 2016. L’État haï des pauvres libertariens n’a jamais été aussi sûr ! Quant au monstre froid européen… No comment.

Puis le jeune auteur parle des réseaux de la tyrannie qui sont sur une base six, comme le web (WWW_666, voyez mon livre qui d’ailleurs va être republié). On pense à Musset et à Lorenzaccio qui eux-mêmes répètent déjà la faible antiquité gréco-romaine :

« Toujours il a été que cinq ou six ont eu l’oreille du tyran, et s’y sont approchés d’eux-mêmes, ou bien ont été appelés par lui, pour être les complices de ses cruautés, les compagnons de ses plaisirs, les maquereaux de ses voluptés, et communs aux biens de ses pilleries. Ces six adressent si bien leur chef, qu’il faut, pour la société, qu’il soit méchant, non pas seulement par ses méchancetés, mais encore des leurs. Ces six ont six cents qui profitent sous eux, et font de leurs six cents ce que les six font au tyran. Ces six cents en tiennent sous eux six mille, qu’ils ont élevé en état, auxquels ils font donner ou le gouvernement des provinces, ou le maniement des deniers, afin qu’ils tiennent la main à leur avarice et cruauté et qu’ils l’exécutent quand il sera temps, et fassent tant de maux d’ailleurs qu’ils ne puissent durer que sous leur ombre, ni s’exempter que par leur moyen des lois et de la peine. »

Enfin La Boétie se méfie de l’architecture civile (Hitler en fait l’éloge) :

« De là venait la crue du Sénat sous Jules, l’établissement de nouveaux États, érection d’offices ; non pas certes à le bien prendre, réformation de la justice, mais nouveaux soutiens de la tyrannie. »

Ah, les deux tours, ah le pentagone !