Samedi 13 mai était Journée mondiale d’hommage aux VICTIMES des effets secondaires des injections

Par Gérard Le Maître

Les Collectifs d’information de Carcassonne, Narbonne et Perpignan une cinquantaine de personnes étaient présents à Carcassonne Porte des Jacobins pour informer la population sur les effets secondaires des injections qui ont provoqué beaucoup d’effets secondaires dont beaucoup de graves, très graves et de nombreux décès, mais qui sont toujours niés par les gouvernements, les services de santé et surtout les médias qui se taisent.

Des centaines de personnes se sont informées, d’autres, très nombreuses ont fait part de leurs propres problèmes de santé ou de membres de leurs familles, des décès de proches, de tous âges, suite aux injections et beaucoup regrettent et disent qu’ils ont été trompés, abusés par un système politique, médical, médiatique qui a imposé des contraintes qui ont fait que la vaccination était quasi obligatoire de fait, et l’avis général si c’était à refaire ils ne se laisseraient plus prendre.

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Rappelons qu’il ne s’agit pas de vaccins, mais d’injections de substances qui sont toujours en phase d’essais, injections à ARNm dont on ne connaît pas encore toutes les conséquences sur le corps humain…

Vaccination anti-Covid — Une émission sur Arte a parlé des effets secondaires, mais le principal n’a pas été dit : les dizaines de milliers de décès ont été passés sous silence.

Pour La France c’est plus de 2 000 décès enregistrés dans le site pharmacovigilance ANSM santé

https://ansm.sante.fr/

Trouver les chiffres d’effets indésirables pour L’Union Européenne :

https://www.adrreports.eu/fr/eudravigilance.html




Raoul Wallenberg, un héros de l’Humanité dont la vie redonne courage à tous

Par Nicole Delépine

Dans les moments que nous vivons, dans lesquels trop de résistants craquent, se recroquevillent ou se suicident, il est impératif de rappeler que « si vous sauvez une seule vie, c’est comme si vous aviez sauvé tout un univers » et que rien n’est perdu si on se bat jusqu’au bout de nos forces. Alors relisons l’histoire de ce suédois non juif qui sauva des milliers de juifs hongrois avec son arrivée à Budapest qui aidera peut-être certains d’entre nous à garder l’espoir et l’énergie pour sauver des vies, au moins quelques-unes, au moins une…

Héros de l’humanité — Centre Raoul Wallenberg (raoulwallenbergcentre.org)

À propos de l’établissement Raoul Wallenberg — Raoul Wallenberg Centre

Un phare de lumière

Dans des moments comme ceux-ci, le mal dans le monde peut sembler accablant et il peut être tentant de céder au désespoir, aggravant le problème de la communauté internationale en tant que spectateur des atrocités et de l’injustice. Il est donc tout à fait approprié que le 17 janvier — jour de la disparition de Raoul Wallenberg dans le goulag soviétique en 1945 — ait été désigné Journée commémorative Raoul Wallenberg au Canada en l’honneur de ce héros disparu.

Wallenberg, un diplomate suédois, était un phare de lumière pendant les jours les plus sombres de l’Holocauste, et son exemple le reste aujourd’hui. Avant son arrivée à Budapest en juillet 1944, quelque 430 000 Juifs hongrois avaient été déportés à Auschwitz en l’espace de 10 semaines — le meurtre de masse le plus rapide, le plus cruel et le plus efficace du génocide nazi.

Pourtant, Wallenberg a sauvé quelque 100 000 Juifs en six mois en Hongrie en 1944, démontrant qu’une personne ayant le courage de se soucier et l’engagement d’agir peut affronter le mal et transformer l’histoire.

Son héroïsme a été célébré dans l’exposition internationale Wallenberg au cours de l’année du centenaire de sa naissance, intitulée, selon les propres mots immortels de Wallenberg : « Pour moi, il n’y a pas d’autre choix » — reflétant un courage et un engagement singuliers. Postes Canada a également dévoilé un timbre pour souligner le centenaire de ce non-juif suédois, dont l’héroïsme incarne l’idiome talmudique selon lequel « si vous sauvez une seule vie, c’est comme si vous aviez sauvé tout un univers ».

En effet, l’héroïsme de Wallenberg incarnait et symbolisait les leçons universelles de l’Holocauste, avec leur résonance internationale contemporaine et leur importance pour notre époque :

  • Les dangers de l’oubli — la responsabilité de se souvenir ;
  • Les dangers des cultures de haine et d’incitation sanctionnées par l’État — la responsabilité de prévenir ;
  • Les dangers de l’indifférence et de l’inaction — la responsabilité d’agir ;
  • Les dangers de l’impunité — la responsabilité de traduire les criminels de guerre en justice ;
  • Les dangers des atrocités de masse — la responsabilité de protéger :
  • Les dangers de la Trahison des Clercs — la responsabilité de dire la vérité au pouvoir ;
  • Les dangers du racisme, dont l’antisémitisme — la responsabilité d’affronter et de combattre.

Un héros de l’humanité

Ce héros disparu de l’humanité — que l’ONU a appelé « le plus grand humanitaire du 20e siècle » — a démontré qu’une personne peut faire la différence, qu’une personne peut résister au mal et l’emporter.

En effet, en transformant l’histoire et en sauvant les « univers » humains, Raoul Wallenberg, dans son incroyable héroïsme, peut, du point de vue de la justice, être considéré comme ayant présagé les principes fondamentaux actuels du droit international des droits de l’homme et du droit international humanitaire.

Par exemple :

  1. Tout d’abord, dans la distribution des schutzpass — passeports diplomatiques conférant une immunité protectrice à leurs destinataires — et dans la mise en place de refuges conférant un sanctuaire diplomatique à leurs habitants. Raoul Wallenberg est crédité d’avoir sauvé 50 000 Juifs par ces seuls moyens. Ses actes ont affirmé et validé le principe de l’immunité diplomatique — le recours de la protection diplomatique — un principe fondamental du droit international et un modèle de capacité diplomatique à sauver des vies.
  2. Deuxièmement, dans sa protection singulière des civils au milieu des horreurs de l’Holocauste, il a manifesté le meilleur de ce que nous appelons aujourd’hui le droit international humanitaire.
  3. Troisièmement, dans son organisation d’hôpitaux, de soupes populaires, d’orphelinats — les éléments de base de l’aide humanitaire internationale qui fournissait aux femmes, aux enfants, aux malades et aux personnes âgées un semblant de dignité dans le fait du pire de toutes les horreurs et de tous les maux — Wallenberg symbolisait le meilleur de ce que nous appellerions aujourd’hui l’intervention humanitaire internationale.
  4. Quatrièmement, en sauvant les Juifs d’une mort certaine, de la déportation et des atrocités, il symbolisait ce que nous appellerions aujourd’hui la doctrine de la responsabilité de protéger.
  5. Enfin, le dernier sauvetage de Wallenberg a peut-être été le plus mémorable. Alors que les nazis avançaient sur Budapest et menaçaient de faire sauter le ghetto de la ville et d’y liquider les Juifs restants, il fit avertir les généraux nazis qu’ils seraient tenus responsables et traduits en justice, sinon exécutés, pour leurs crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Les généraux nazis ont renoncé à leur assaut et quelque 70 000 Juifs supplémentaires ont été sauvés, grâce au courage indomptable d’une personne prête à affronter le mal radical. En avertissant ainsi les généraux nazis qu’ils seraient tenus responsables de leurs crimes de guerre, Wallenberg était un précurseur des principes de Nuremberg et de ce que nous appellerions aujourd’hui le droit pénal international.

Une histoire de courage moral et d’action

Pourtant, alors que Wallenberg a sauvé tant de gens, il n’a pas été lui-même sauvé par tant de gens qui auraient pu le faire. Plutôt que de le saluer comme le libérateur qu’il était, les Soviétiques — qui sont entrés en Hongrie en tant que libérateurs eux-mêmes le 17 janvier 1945 — ont emprisonné Wallenberg. Il a disparu dans le goulag, et les Soviétiques ont d’abord affirmé qu’il était mort en juillet 1947, puis qu’il avait été assassiné — également en juillet 1947.

Mais ces affirmations soviétiques ont été contredites par plusieurs enquêtes, y compris la Commission internationale sur le sort et les allées et venues de Raoul Wallenberg, inspirée par le frère de Wallenberg, le regretté Guy von Dardel, de Suède, et à laquelle le professeur Irwin Cotler a participé, avec le lauréat américain du prix Nobel de la paix Elie Wiesel, l’universitaire russe Mikhail Chlenov et l’ancien procureur général israélien Gideon Hausner.

En effet, en 1985, un tribunal fédéral américain a jugé la preuve « irréfutable » que Wallenberg avait vécu au-delà de 1947, « convaincante » qu’il était vivant dans les années 1960 et « crédible » qu’il soit resté en vie dans les années 1980 ; Mais précisément ce qu’il est devenu reste un mystère.

Récemment, un groupe d’experts internationaux de Wallenberg a lancé un nouveau projet de recherche international, l’Initiative de recherche Raoul Wallenberg (RWI-70), coordonné par Susanne Berger, chercheuse de longue date. Le groupe a convoqué une table ronde internationale Raoul Wallenberg ancrée dans le référentiel de l’expérience et de l’expertise des chercheurs, afin d’élaborer, selon les mots de Susanne Berger, « un plan pour résoudre l’affaire Wallenberg […] et de discuter de la manière d’obtenir l’accès à la documentation essentielle dans les archives russes et autres archives internationales. »

Plus important encore, ce groupe cherche à obtenir justice pour Raoul Wallenberg — qui a été refusé toutes ces années — afin de percer les secrets de l’histoire afin que nous, et en particulier sa famille qui souffre depuis longtemps, puissions enfin apprendre la vérité sur ce héros disparu de l’humanité et personnification du courage moral et de l’action. Pour nous, « il ne devrait pas y avoir d’autre choix ».




L’association « Gays Against Groomers » accuse les militants trans de « terrorisme » et de promouvoir la mutilation d’enfants

[Source : lemediaen442.fr]

[Sur l’illustration : « Gays Contre Toiletteurs », « toilettez les chiens, pas les enfants »]

L’association Gays Against Groomers qui est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ ». Dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements pro-LGBT. Dans une vidéo (voir ci-dessous [plus bas]) de près de cinq minutes, David Leatherwood représentant l’organisation « Gays Against Groomers » dénonce l’utilisation de la communauté LGBT comme bouclier par des mouvements radicaux qui encouragent la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » de mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine. Cependant, cette avancée est remise en question par des extrémistes qui veulent détruire la prochaine génération de leur pays en créant des « patients médicaux à vie » avant même que ces enfants n’aient atteint la puberté.

Pour l’association, le mouvement trans radical est comme le « culte de la mort » qui se concentre sur la mutilation corporelle, l’automutilation et la destruction d’identité. David Leatherwood affirme que les enfants, qui ne sont pas en mesure de donner leur consentement, sont les principales cibles de ce mouvement qui mène une guerre culturelle. Il dénonce les pratiques de « soins d’affirmation de genre », qu’il qualifie de « mutilation » et de « stérilisation » et appelle les parents à protéger leurs enfants contre la médicalisation expérimentale et souligne que la majorité des membres de la communauté LGBT sont également contre ces pratiques. Il accuse les médias et les groupes de pression de promouvoir la fausse idée que la communauté LGBT soutient la médicalisation des enfants, alors que seul un petit nombre de militants radicaux soutiennent cette idée.

Le président de l’association « Gays Against Groomers » pointe du doigt les organisations Trans financées par des dons de grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer, Johnson & Johnson etUnitedHealth Group, qui ont un intérêt financier à transformer des générations d’enfants en patients médicaux pour leur profit.

Concernant l’association Gays Against Groomers  :

  • Notre communauté qui prêchait autrefois l’amour et l’acceptation des autres a été détournée par des militants radicaux qui poussent maintenant des concepts extrêmes sur la société, ciblant spécifiquement les enfants ces dernières années.
  • L’écrasante majorité des homosexuels sont contre ce en quoi la communauté s’est transformée, et nous n’acceptons pas que le mouvement politique pousse son programme en notre nom.
  • Gays Against Groomers s’oppose directement à la sexualisation des enfants. Cela comprend des heures d’histoires de drag queen, des spectacles de dragsters impliquant des enfants, la transition et la médicalisation des mineurs et la théorie du genre enseignée en classe.



Stanley Payne : « L’Espagnol moyen est devenu un être anesthésié »

[Source : lainformacion.com]

[Traduction automatique révisée par Nicolas Bonnal]

Interview de 2013 d’un grand historien américain dépeignant la sous-condition postmoderne.

Les citoyens, bien qu’ils se sentent floués par les politiciens, supportent cette crise dans un calme social relatif. Ce n’était pas le cas dans les pays européens qui ont connu des circonstances similaires dans le passé.

Stanley Payne, prestigieux hispaniste et historien américain,
est un grand connaisseur de l’histoire de l’Espagne du XXe siècle.

En d’autres temps, les masses ont fait leur apparition. L’Espagne a été terre de grandes révoltes populaires tout au long du XIXe siècle et durant le premier tiers du siècle dernier. La même chose s’est produite avec plus ou moins d’intensité dans d’autres pays européens, comme le décrit l’hispaniste américain Stanley Payne (Texas, 1934) dans son livre « Revolutionary Europe ».

« Nous avons atteint la limite. » « C’est sur le point d’exploser. » « Il faut prendre la rue ». Ce sont quelques-unes des expressions qui accompagnent les mauvaises nouvelles économiques et les derniers scandales politiques. Pourtant, les années passent et il semble que l’ennui général ne dépasse pas les mots.

À une époque où l’injustice et les abus semblent plus évidents que jamais, la population subit ces revers. Qu’est-ce qui nous a changés ? Ne sommes-nous pas toujours les mêmes Espagnols ? Nous avons demandé à l’un des meilleurs connaisseurs de l’histoire de l’Espagne au siècle dernier.


Les gens se demandent pourquoi une révolution sociale n’éclate pas, comme cela s’est produit dans notre pays au début du XXe siècle.

Parce que nous sommes à une époque très différente de celle-là. Entre le XIXe et le XXe siècle, de grands changements politiques, sociaux, démographiques et technologiques se sont produits en peu de temps. En se réunissant, tous ont fini par révolutionner l’humeur des masses.

Maintenant, il y a aussi de grandes avancées technologiques…

Mais elles n’ont pas été assez fortes pour mobiliser une société au même degré que les grandes presses, la radio ou le télégraphe l’ont fait. Les grandes mutations technologiques connues depuis la mort de Franco ont plutôt réussi à atomiser les Espagnols. La mise en place de l’État-providence a également anesthésié la société, comme cela s’est produit dans d’autres pays développés.

Mais… ne voyons-nous pas maintenant un grand mécontentement social ?

Bien sûr, il y en a, et beaucoup. Mais passer du mécontentement à la rébellion implique de passer par une étape longue et compliquée. De plus, en Espagne, le pouvoir est entre les mains d’une structure de parti dominée par des cadres politiques, ce qui rend difficile toute solution aux revendications citoyennes.

Comment éviter la partitocratie sans tomber dans une sorte de caudillismo « à l’italienne » plein de « berlusconis » et de « grillons beppes » ?

Renforcer la société civile, avec des citoyens bien informés et un grand sens des responsabilités. Ce n’est pas facile du tout. L’Italie l’a essayé avec la « révolution des juges » au début des années 90. Mais ensuite elle a reconstruit le système des partis avec les mêmes échecs et défauts de l’ancien système.

Et pourquoi est-ce si difficile ?

Car la société espagnole est anesthésiée par des antivaleurs qui démobilisent les gens : télé poubelle, sport, hédonisme, consumérisme… Avec une citoyenneté absorbée par ces réalités, il est très difficile qu’une mobilisation émerge pour améliorer les structures politiques. L’horizon de vie de la plupart des gens consiste à s’amuser de la meilleure façon possible. L’Espagnol moyen est devenu un être anesthésié avec peu d’ambitions transcendantales.

Le « Goodisme », l’idéologie moderne qui promeut le conformisme

Le président de Metroscopia nous a dit (voir interview) que l’espagnol passionne moins qu’on ne le pense. Est d’accord ?

Oui c’est vrai. C’est quelque chose qui surprend également de nombreux étrangers qui visitent l’Espagne. Ils ont l’image de l’Espagnol exalté d’il y a cent ans et de la guerre civile. Mais c’est fini. La culture s’est transformée. L’Espagnol moyen actuel est un être calme. Il n’en demande pas trop ; il demande quelque chose, mais pas beaucoup. Il est modeste dans ses appétits. Acceptez ce que vous avez et essayez d’en profiter au mieux de vos capacités.

Et les idéologies ? En Espagne, ils ont servi de leviers aux grands mouvements sociaux.

Désormais, il n’y a pas de nouvelles idéologies qui puissent agir comme des leviers de société. Si quoi que ce soit, en Espagne « buenismo » a été imposé, le politiquement correct. Mais ce « goodisme » ne cherche pas à susciter de grandes émeutes, mais l’inverse. Le goodisme est contre les révoltes. Il essaie de dominer la société, mais en promouvant le conformisme, pas les révoltes.

Un changement dans le système électoral peut-il servir à changer les choses ?

Pas complètement, mais ce serait un premier cas. Les listes ouvertes raccourciraient la distance entre l’électeur et le député, en plus d’accroître le pluralisme politique. Or le député sait ce que pense le leader qui le place sur les listes, pas le citoyen qui vote pour lui.

« LES RÉVOLUTIONNAIRES D’AUJOURD’HUI NE VEULENT PAS CHANGER LES STRUCTURES POLITIQUES, MAIS L’IDENTITÉ INDIVIDUELLE »

Il semble que la différence entre la gauche et la droite s’est estompée. C’est une critique qu’ils adressent au PP et au PSOE.

La même critique a également été entendue à l’époque de la Restauration des Bourbons, faisant référence au Parti conservateur et au Parti libéral. Le PP et le PSOE se différencient par le rôle que chacun attribue à l’État dans l’économie. Le PP veut peu d’intervention et le PSOE le contraire. Le problème de ces années de crise, c’est que ni l’un ni l’autre n’a de marge de manœuvre pour changer de politique économique. Comme le PSOE a besoin de se différencier du PP (et ne peut pas le faire en raison de l’aspect économique), il s’est tourné pleinement vers la révolution culturelle.

À quelle révolution culturelle faites-vous référence ?

À des choses comme l’idéologie du genre, l’environnementalisme, le lobby gay, l’hostilité contre l’Église… c’est-à-dire : dans tout ce qui implique d’influencer un mode de vie alternatif au mode de vie traditionnel et des choses comme ça… L’Espagne est devenue un pays de classe postmoderne. Les radicalismes politiques se sont presque complètement éteints. Ils ont été remplacés par des expressions de la révolution culturelle, mais sans capacité de mobilisation des masses.

Cela me rappelle ce qu’un politicien socialiste a dit avec un certain sarcasme : « Nous devons donner la canne à l’Église parce que c’est la seule chose qui nous reste de rouge. »

En effet, l’expression du nouveau radicalisme occidental est culturelle. Contrairement aux anciens révolutionnaires politiques, ces nouveaux révolutionnaires culturels ne cherchent pas à changer les structures politiques, mais l’identité individuelle.

Où sont passées les grandes masses populaires qui ont provoqué des changements politiques comme la révolution russe ou l’arrivée de la Seconde République espagnole ?

Ils ont totalement disparu ou ont été réduits à l’expression minimale. Le mouvement social le plus important de l’Espagne du XXe siècle a été l’anarchisme. Il a failli mourir. Elle n’existe pas non plus en Europe, à l’exception de la Grèce, où il existe encore une certaine vie anarchiste avec la capacité de radicaliser les révoltes dans les rues.

« LES PAYS ARABES TENDENT AU DESPOTISME EN RAISON DE L’ABSENCE DE LA SOCIÉTÉ CIVILE »

Les sociétés islamiques semblent se réveiller. Pourquoi pas aussi les occidentaux ?

C’est un problème très différent. Ce qui se passe dans les pays arabes (je ne parle pas des pays islamiques en général, mais des pays arabes en particulier) est une réaction contre le despotisme, qui est le système politique naturel vers lequel tendent ces pays.

Parce que ?

Parce qu’il n’y a pratiquement pas en eux de société civile, ni d’éducation civique ou politique. Lorsqu’ils éliminent le despotisme, les pays arabes ont tendance à se fragmenter. Et puis les islamistes l’emportent, car ils ont un message que les gens comprennent facilement. Mais ce message n’est guère compatible avec le concept de société civile tel que nous le comprenons en Occident.

L’Europe pourrait-elle intégrer l’immigration musulmane ?

Cela pose un énorme défi. L’Europe n’acceptera jamais les coutumes islamiques comme la charia. Les musulmans devront vivre sous les mêmes lois de chaque pays et, en partie, sous la même culture. Le multiculturalisme n’existe pas. Chaque pays a une culture civique unique et tous les citoyens doivent l’accepter.




« Plus jamais Ça ! » revient à toute vitesse

[Source : plusjamais.eu]

Ce documentaire a été produit pour faciliter une discussion au sein du grand public sur les similitudes entre les événements qui ont conduit à l’Holocauste et les événements actuels dans le monde entier dans ce qui a été appelé « la pandémie de covidie ». Comme l’indique le rapport de la Commission présidentielle sur l’Holocauste, présenté le 27 septembre 1979 : « Un survivant se considère comme un messager et un gardien des secrets qui lui ont été confiés. Un survivant a le sentiment d’être le dernier à se souvenir, le dernier à avertir… ».

Ce documentaire est destiné à servir d’avertissement à l’humanité : Never Again Is Now Global (Plus jamais, c’est maintenant). Nous vous encourageons à regarder et à partager cet important documentaire. Toutefois, comme l’indique un avertissement au début du film, celui-ci « contient des images véridiques d’atrocités commises hier et aujourd’hui. La discrétion du spectateur est conseillée.

Il s’agit d’une production de l’Alliance for Human Research Protection (AHRP) avec le soutien financier majeur de Children’s Health Defense.






EUGÉNIE BASTIÉ : TOUCHE PAS À MON SEXE

[Source : lincorrect.org]

[Photo : © Benjamin de Diesbach pour L’Incorrect]

Par Rémi Carlu

L’essayiste et journaliste du Figaro publie Sauvez la différence des sexes, court mais excellent texte dans lequel elle défend l’altérité des sexes dans ses dimensions naturelle et culturelle, que menacent aujourd’hui les pensées néo-féministes de la déconstruction.

Comment le féminisme, pensé au départ pour émanciper les femmes, en est arrivé à nier l’existence du sexe féminin ?

Le féminisme a connu trois vagues. La première consistait à donner aux femmes des droits politiques et civils déjà obtenus pour les hommes. Ensuite, la révolution sexuelle des années 70 a renversé le patriarcat en donnant aux femmes le pouvoir de s’approprier la reproduction. Nous sommes maintenant dans une troisième vague qui consiste à gommer la différence des sexes sous prétexte que toute différence serait une construction sociale au service de la domination masculine — idée que l’on trouve déjà chez Simone de Beauvoir. En effaçant cette différence, on aboutirait à l’égalité et donc à l’émancipation totale des femmes. Ainsi, le féminisme est devenu le syndicat d’un sujet qu’il déconstruit par ailleurs. La femme doit être partout, mais elle n’existe pas. C’est évidemment un mensonge scientifique. Le problème de ce féminisme est qu’il s’est construit sur le modèle du marxisme : la lutte des classes a été appliquée à la rivalité entre hommes et femmes. Mais là où la différence des classes n’existe pas dans la nature, la différence des sexes est bien réelle. On peut renverser un ordre social, pas l’ordre naturel.

Comment, malgré l’évidence biologique donc, cette idéologie peut-elle prospérer ?

Comme toute idéologie, elle séduit, car elle offre des clés de lecture du monde, en prenant le relais des vieilles utopies. Comme on ne peut plus changer le monde, on change son sexe. Il y a là une espèce de repli du fantasme de toute-puissance dans la sphère de l’intime. L’impuissance révolutionnaire dans la cité se réfugie dans la politique de l’intime. On fait de sa propre vie une révolution, pour entretenir le fantasme moderne du progrès.

Sur la différence des sexes, comment nature et culture s’articulent-elles ?

Il y a deux mensonges : le premier consiste à dire que toute la différence des sexes est un construit social ; le second que tout ce qui est construit doit être déconstruit. À l’inverse, je pense qu’il y a un substrat biologique évident, et que le construit ne mérite pas nécessairement d’être déconstruit. Il existe de belles constructions sociales comme la paternité, qui n’existe pas dans la nature chez les chimpanzés ou les bonobos. Certains construits sont donc positifs et ne méritent pas d’être mis en pièces. D’ailleurs, il n’est pas facile de déconstruire et parfois, il est même plus facile de renoncer à la nature qu’à la culture, par exemple avec les techniques de maîtrise de la procréation.

Lire aussi : Néo-féminisme : l’ennemi des femmes

La culture nous imprègne collectivement, et penser que l’on peut tout gommer d’un trait de plume sans conséquence est absolument vertigineux. Le problème d’un certain féminisme est qu’il est rousseauiste : il pense que l’homme sauvage est naturellement bon et que c’est la société qui le corrompt en éduquant les hommes à être des salauds envers les femmes. Or c’est l’inverse : l’homme a naturellement des pulsions sexuelles et agressives, et tout le travail de la civilisation est de mettre à distance ces pulsions, à travers le mariage ou la galanterie.

Pouvez-vous nous éclairer sur ce paradoxe qui bat en brèche l’argumentaire féministe : c’est dans les sociétés où l’égalité formelle est la plus poussée que les comportements sont les plus genrés.

C’est en Norvège qu’apparaît le paradoxe du fossé sur le marché du travail. En clair, plus les sociétés sont égalitaires, c’est-à-dire que l’on offre aux filles le choix de faire les métiers qu’elles souhaitent, plus les choix de carrière sont genrés : les jeunes hommes se tournent vers les métiers de l’objet alors que les
filles se dirigent vers les métiers du soin. Plus la liberté de choix est grande, plus les différences s’affirment — alors que dans les pays émergents, beaucoup plus de femmes qui vont faire des carrières d’ingénieur pour se hisser socialement. Cela prouve qu’en moyenne, les choix sont genrés et s’expliquent en partie par des différences biologiques — même s’il existe évidemment des contre- exemples.

La complémentarité des sexes suppose que chacun dispose de caractéristiques propres. Qu’est-ce qui distingue les deux sexes ?

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité. La femme engendre dans son propre corps alors que l’homme engendre dans le corps d’autrui. Ce n’est pas une petite différence : nous ne sommes pas de simples esprits placés dans un corps, celui-ci forme véritablement notre rapport au monde. Ainsi, il y a une différence fondamentale entre père et mère dans leur rapport à l’enfant. Porter l’enfant induit un rapport plus fusionnel pour la mère, alors que le père est plutôt là pour couper la mère de l’enfant. Il y a aussi un rapport au temps différent. Par les règles ou la ménopause, le corps des femmes se rappelle à elles, et elles sont donc davantage taraudées par la question de la maternité. En clair, le discours féministe doit prendre en compte la maternité, car c’est de là que viennent les principaux problèmes qui se posent aux femmes, notamment sur la manière de concilier vie professionnelle et vie familiale. Évidemment, cela ne veut pas dire que nous sommes figés dans des rôles déterminés.

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité.

Eugénie Bastié

On doit laisser le choix aux femmes contrairement à Simone de Beauvoir qui disait à une journaliste américaine qu’il ne fallait pas laisser aux femmes le choix de rester à la maison, car elles continueraient de le faire si on le leur donnait. C’est assez révélateur d’une volonté d’ingénierie sociale qui rejoint Rousseau : « On les forcera à être libre. »

Il y a ces derniers temps de nombreuses femmes qui disent publiquement regretter d’avoir eu des enfants. Comment analysez-vous ce phénomène ?

À chaque débat féministe, on parle d’un « tabou », en l’occurrence le tabou du regret d’être mère. J’y vois une grande arrogance qui m’exaspère, comme si on n’en avait jamais parlé avant elles. S’il y a une femme dans l’histoire qui symbolise le regret d’être mère, c’est la Vierge Marie. Dans les faits, elle était évidemment contente d’avoir mis cet enfant au monde, mais elle ressent une immense douleur lorsqu’on lui annonce que son fils va être crucifié. On présente aujourd’hui la maternité comme un fardeau qui pèse sur l’émancipation des femmes. Cette idée est vraie si l’on considère que l’émancipation des femmes consiste à en faire des hommes comme les autres, en mettant la carrière professionnelle au centre de la société. Mais je ne crois pas que la femme doive être réduite à cela.

Pour émanciper les femmes, le féminisme en a donc fait des hommes.

La France est très marquée par le féminisme de Beauvoir qui considérait la maternité comme un fardeau. Et de son point de vue, elle n’a pas tort, car c’est dans la maternité que gît le patriarcat. D’après elle, faire des enfants empêche la femme de devenir l’égal de l’homme. Or, au lieu d’adapter l’économie au
corps de la femme, on a demandé aux femmes d’adapter leur corps à l’économie. On leur demande d’être les plus performantes au moment où elles sont le plus fécondes, plutôt que d’imaginer d’autres échelles de valeurs. On leur fait croire qu’elles peuvent être à la fois des mères épanouies et des travailleuses performantes. Le féminisme ment aux femmes et cela crée de nombreuses frustrations.

En quoi le patriarcat est-il mort à partir du contrôle de la fécondité par les femmes ? Et quel est le rôle de la mécanisation dans cette mise
à mort ?

Sandrine Rousseau devrait en prendre de la graine, car c’est le monde industriel et capitaliste qui a permis l’émancipation de la femme. Si elle veut la décroissance, il va falloir qu’elle retourne au patriarcat, car ce sont la technique (pilule et avortement) et la machine qui ont dévalorisé le rôle masculin et permis la société d’aujourd’hui. Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre. À partir du moment où la force masculine n’a plus de sens et où on ne meurt plus à la guerre, ce contrat-là n’a plus de sens.

Par la contraception et l’avortement, la révolution sexuelle est une révolution au même titre que le renversement des trois ordres menant à la démocratie. C’est pour cela qu’il y a une cristallisation sur la question de l’IVG : c’est le pivot qui fait basculer d’un régime à l’autre. Aujourd’hui en Occident, on n’est plus dans un régime patriarcal, on est même peut-être en train de basculer dans un régime matriarcal.

Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre.

Eugénie Bastié

Or le féminisme actuel refuse de voir que le monde a changé. Il ne voit pas les nouvelles menaces à venir, ni le malaise masculin. Si on prolonge toutes les courbes, on voit que les hommes sont mal lotis dans beaucoup de domaines, notamment l’éducation. Car là gît le problème de fond : la force physique qui fondait le privilège masculin n’a plus d’utilité, tandis que la femme a toujours le privilège de la maternité. Les femmes ont gagné un nouveau rôle alors que les hommes ont été destitués du leur.

Au fond, l’homme n’est-il pas devenu inutile ?

Il a encore un rôle à jouer en tant que père. On s’aperçoit aujourd’hui qu’il y a une surreprésentation des enfants sans père dans la délinquance. Les familles monoparentales sont une catastrophe absolue, problème que l’on nie par peur de stigmatiser. Malgré les hypocrisies bourgeoises du XIXe siècle, le mariage offrait un cadre de stabilité familiale qui donnait un rôle à chacun. L’absence d’injonction au mariage à notre époque crée beaucoup de dysfonctionnements sociaux.

S’il existe bien un fond naturel indépassable, ne surestimez-vous pas la menace que représente cette déconstruction ?

Il est certain que la différence des sexes existera toujours. Mais quel est l’habillage culturel qu’on lui donnera ? Souhaite-t-on donner des modèles
qui incarnent cette différence, ou au contraire l’éradiquer ? Au risque qu’elle ressurgisse de manière caricaturale comme c’est le cas dans la pornographie, dans le masculinisme, dans la culture banlieusarde ou dans l’islam. Je crois que l’on doit préserver un modèle français de la féminité et de la masculinité pour combler le vide actuel.

Lire aussi : Régler son compte au (néo) féminisme

On a tendance à croire que tout ce qui est traditionnel est une forme d’oppression, alors qu’il s’agit de solutions trouvées à un problème qui ont fait leurs preuves dans le temps. À cet égard, je crois beaucoup à l’éducation genrée parce qu’on ne peut pas s’adresser pareillement aux garçons et aux filles, surtout à l’adolescence.

On vit d’ailleurs un mouvement de balancier. Nous sommes allés tellement loin dans la déconstruction qu’il y aura peut-être une appétence pour de nouvelles normes. Je considère le mouvement #MeToo comme un retour de bâton. On a fait croire que l’acte sexuel était banal pour les femmes comme pour les hommes ; finalement, on s’aperçoit que cela entraîne des souffrances et des regrets. Il y a un aspect civilisateur dans #MeToo. Le paradoxe est que
ce besoin de normes s’exprime dans le langage du progressisme.

Rémi Carlu




Servitude et grandeur policières : Vigny et le déclin moderne des forces de l’ordre

Par Nicolas Bonnal

De plus en plus de policiers et de gendarmes démissionnent (France.info/Asselineau). La débâcle française effectuée — comme prévu par de Gaulle — sur ordre des Américains a transformé ces corps précieux en farces de l’ordre, un ordre inique et oligarchique — et même satanique. Une fois de plus un génie littéraire romantique avait tout prévu, Alfred de Vigny, que nous avions évoqué (Servitude et grandeur militaire) lors de la lettre des généraux qui avait fait grand bruit.

Un rappel :

Dans Servitude et grandeur militaire, texte magique que je mets au niveau de la conclusion des mémoires d’outre-tombe, on peut lire ceci sur nos militaires ennuyés après les épopées napoléoniennes (on en reparle) :

« Leur couronne est une couronne d’épines, et parmi ses pointes je ne pense pas qu’il en soit de plus douloureuse que celle de l’obéissance passive. »

Vigny qui est jeune officier, comprend aussi que les militaires seront toujours un peu ringards, un peu en retard :

« … la vie ou du caractère militaire, qui, l’un et l’autre, je ne saurais trop le redire, sont en retard sur l’esprit général et la marche de la Nation, et sont, par conséquent, toujours empreints d’une certaine puérilité. »

Les militaires sont résignés (toujours ?) :

« Ce n’est pas sans dessein que j’ai essayé de tourner les regards de l’Armée vers cette GRANDEUR PASSIVE, qui repose toute dans l’abnégation et la résignation. »

Vigny rappelle le devenir-fonctionnaire du froncé et le destin glorieux des militaires d’antan. Comme B. de Jouvenel il sait que l’instinct de liberté est lié aux aristocraties. Il souligne comme Tocqueville (Ancien Régime et Révolution) que la grande France est morte sous Louis XIV (et comme il a raison !) :

« Soumis à l’influence toute populaire du prêtre, il ne fit autre chose, durant le moyen âge, que de se dévouer corps et bien au pays, souvent en lutte contre la couronne, et sans cesse révolté contre une hiérarchie de pouvoirs qui eût amené trop d’abaissement dans l’obéissance, et, par conséquent, d’humiliation dans la profession des armes. Le régiment appartenait au colonel, la compagnie au capitaine, et l’un et l’autre savaient fort bien emmener leurs hommes quand leur conscience comme citoyens n’était pas d’accord avec les ordres qu’ils recevaient comme hommes de guerre. Cette indépendance de l’Armée dura en France jusqu’à M. de Louvois, qui, le premier, la soumit aux bureaux et la remit, pieds et poings liés, dans la main du Pouvoir souverain. »

Cette histoire d’uniformes m’évoque celle des masques ; combien ont refusé vraiment et totalement d’en porter ? Vous ? Moi (même pas moi en fait) ? Un sur mille ? Un sur un million ?

Et de donner ce bel exemple (l’inévitable vieux noble breton) :

« Ils haïssaient particulièrement l’uniforme, qui donne à tous le même aspect, et soumet les esprits à l’habit et non à l’homme. Ils se plaisaient à se vêtir de rouge les jours de combat, pour être mieux vus des leurs et mieux visés de l’ennemi ; et j’aime à rappeler, sur la foi de Mirabeau, ce vieux marquis de Coëtquen, qui, plutôt que de paraître en uniforme à la revue du Roi, se fit casser par lui à la tête de son régiment : “Heureusement, sire, que les morceaux me restent”, dit-il après. C’était quelque chose que de répondre ainsi à Louis XIV. »

Après Napoléon donc l’armée piétine et devient fonctionnaire :

« L’Armée moderne, sitôt qu’elle cesse d’être en guerre, devient une sorte de gendarmerie. Elle se sent honteuse d’elle-même, et ne sait ni ce qu’elle fait ni ce qu’elle est ; elle se demande sans cesse si elle est esclave ou reine de l’État : ce corps cherche partout son âme et ne la trouve pas.

L’homme soldé, le Soldat, est un pauvre glorieux, victime et bourreau, bouc émissaire journellement sacrifié à son peuple et pour son peuple qui se joue de lui ; c’est un martyr féroce et humble tout ensemble, que se rejettent le Pouvoir et la Nation toujours en désaccord. »

Vigny souligne l’ennui :

« La vie est triste, monotone, régulière. Les heures sonnées par le tambour sont aussi sourdes et aussi sombres que lui… La servitude militaire est lourde et inflexible comme le masque de fer du prisonnier sans nom, et donne à tout homme de guerre une figure uniforme et froide. Aussi, au seul aspect d’un corps d’armée, on s’aperçoit que l’ennui et le mécontentement sont les traits généraux du visage militaire. »

Obéir, obéir, obéir, tel est votre destin, militaires, fût-ce à des Macron, à des Hollande, à des Sarkozy et aux leaders américains (les ogres anglo-saxons) de l’OTAN :

« La Grandeur guerrière, ou la beauté de la vie des armes, me semble être de deux sortes : il y a celle du commandement et celle de l’obéissance. L’une, tout extérieure, active, brillante, fière, égoïste, capricieuse, sera de jour en jour plus rare et moins désirée, à mesure que la civilisation deviendra plus pacifique ; l’autre, tout intérieure, passive, obscure, modeste, dévouée, persévérante, sera chaque jour plus honorée… »

On parle toujours beaucoup trop de Napoléon ces temps-ci. Vigny aussi, et un peu plus intelligemment que les commentateurs câblés :

« C’est une chose merveilleuse que la quantité de petits et de grands tyrans qu’il a produits. Nous aimons les fanfarons à un point extrême et nous nous donnons à eux de si bon cœur que nous ne tardons pas à nous en mordre les doigts ensuite. La source de ce défaut est un grand besoin d’action et une grande paresse de réflexion. Il s’ensuit que nous aimons infiniment mieux nous donner corps et âme à celui qui se charge de penser pour nous et d’être responsable, quitte à rire après de nous et de lui. »

Le futur est au Gambetta, au Paul Reynaud, au Sarkozy :

« Bonaparte est un bon enfant, mais il est vraiment par trop charlatan. Je crains qu’il ne devienne fondateur parmi nous d’un nouveau genre de jonglerie… »

Vigny imagine une conversation entre le pape et Napoléon. Et le phénomène corse d’éructer contre le vieux pontife en des termes américains (« nous inventons la réalité » — voyez Karl Rove) :

« Mon théâtre, c’est le monde ; le rôle que j’y joue, c’est celui de maître et d’auteur ; pour comédiens j’ai vous tous, Pape, Rois, Peuples ! et le fil par lequel je vous remue, c’est la peur ! — Comédien ! Ah ! il faudrait être d’une autre taille que la vôtre pour m’oser applaudir ou siffler, signor Chiaramonti ! Savez-vous bien que vous ne seriez qu’un pauvre curé, si je le voulais ? Vous et votre tiare, la France vous rirait au nez, si je ne gardais mon air sérieux en vous saluant. »

La France avec Napoléon devient le pays de la pose militaire (René Girard en a bien parlé dans son livre sur Clausewitz) et cela va lui coûter de cher de 1870 à 1940 :

« C’est vrai ! Tragédien ou Comédien. — Tout est rôle, tout est costume pour moi depuis longtemps et pour toujours. Quelle fatigue ! quelle petitesse ! Poser ! toujours poser ! de face pour ce parti, de profil pour celui-là, selon leur idée. Leur paraître ce qu’ils aiment que l’on soit, et deviner juste leurs rêves d’imbéciles. »

Dans le même temps Vigny pressent l’effondrement chrétien du pays (cela met des siècles un effondrement, voyez Jules Michelet sur cette question) :

« Cependant il secoua la tête avec tristesse, et je vis rouler de ses beaux yeux une larme qui glissa rapidement sur sa joue livide et desséchée. Elle me parut le dernier adieu du Christianisme mourant qui abandonnait la terre à l’égoïsme et au hasard. »

Vigny résume cette ennuyeuse époque bourgeoise (lisez ce qu’écrit Marx sur Malthus comme as du « dépeupler bourgeois » pour comprendre) :

« Les Grandeurs éblouissantes des conquérants sont peut-être éteintes pour toujours. Leur éclat passé s’affaiblit, je le répète, à mesure que s’accroît, dans les esprits, le dédain de la guerre, et, dans les cœurs, le dégoût de ses cruautés froides. Les Armées permanentes embarrassent leurs maîtres. »

Il ne reste comme chez Balzac que la consommation :

« Dans le naufrage universel des croyances, quels débris où se puissent rattacher encore les mains généreuses ? Hors l’amour du bien-être et du luxe d’un jour, rien ne se voit à la surface de l’abîme. On croirait que l’égoïsme a tout submergé ; ceux même qui cherchent à sauver les âmes et qui plongent avec courage se sentent prêts à être engloutis. »

Comme tous les vrais chrétiens (Drumont, Bloy, Bernanos), Vigny comprend les cathos bourgeois issus de la Révolution et du concordat mieux que personne :

« Les chefs des partis politiques prennent aujourd’hui le Catholicisme comme un mot d’ordre et un drapeau ; mais quelle foi ont-ils dans ses merveilles, et comment suivent-ils sa loi dans leur vie ? — Les artistes le mettent en lumière comme une précieuse médaille, et se plongent dans ses dogmes comme dans une source épique de poésie ; mais combien y en a-t-il qui se mettent à genoux dans l’église qu’ils décorent ? »

Mais remontons le moral des troupes — et pas du troupeau de la servitude volontaire. Que reste-t-il à nos soldats alors et aux rares rebelles de la France du coronavirus et du nouvel ordre mondial ? Oh, un mot pas très compliqué : l’honneur. Vigny :

« Cette foi, qui me semble rester à tous encore et régner en souveraine dans les armées, est celle de l’Honneur. L’Honneur, c’est la conscience, mais la conscience exaltée. — C’est le respect de soi-même et de la beauté de sa vie portée jusqu’à la plus pure élévation et jusqu’à la passion la plus ardente. »

Le baroud d’honneur, comme on dit. On verra si nous en sommes capables, et si nous saurons pour une fois ne pas nous contenter d’un paraphe.

Sources :

https://lesakerfrancophone.fr/vigny-et-la-servitude-militaire-propos-atemporels-sur-la-lettre-des-generaux

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/armee-et-securite/securite-dans-la-police-et-la-gendarmerie-les-demissions-s-enchainent_5823401.html

http://www.bouquineux.com/?telecharger=1271&Vigny-Servitude_et_grandeur_militaires




Une avocate révèle que l’armée canadienne a empêché les médecins de signaler les blessures causées par le vaccin Covid

[Source : naturalnews.com]

Il a été révélé que la raison pour laquelle les médecins canadiens n’ont pas été autorisés à signaler les blessures graves causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est que les Forces Armées Canadiennes (FAC) leur ont ordonné de ne pas le faire.

Selon Catherine Christensen, avocate et fondatrice de Valour Law et du Centre d’action juridique Valour pour le droit militaire, des preuves ont émergé pour démontrer que l’armée canadienne, sous la direction du Premier ministre Justin Trudeau, a conspiré pour cacher la vérité au public sur les blessures et les décès causés par le vaccin Covid.

« Des médecins militaires ont témoigné sous serment qu’on leur avait dit de ne pas signaler les blessures causées par les vaccins, ou que s’ils demandaient comment les signaler, on leur disait de se taire », a révélé M. Christensen lors d’une audience de l’Enquête Nationale des Citoyens (ENC) tenue le 26 avril à Red Deer, dans l’Alberta.

(Voir aussi : Les vaccins obligatoires de Trudeau ont déclenché l’effondrement de l’industrie automobile nord-américaine).

Un médecin militaire canadien et capitaine s’est vu dire directement de NE PAS signaler les blessures causées par la piqûre de covidium

Le NCI est actuellement en train d’évaluer la réponse du Canada à la « pandémie » de Covid et ses effets sur la santé des citoyens canadiens, ainsi que sur leur liberté et leur bien-être social et économique.

Lors de la conférence en question, Christensen représentait 360 soldats des FAC qui ont été directement et négativement affectés par le mandat de l’armée canadienne concernant les vaccins Covid, qui est similaire à celui que le régime de Biden a imposé aux soldats américains.

Christensen a révélé lors de la conférence que les FAC ont choisi d’ignorer toutes les blessures causées par le vaccin Covid et de ne pas suivre les problèmes de santé qui sont apparus chez les soldats qui ont été forcés de se faire injecter.

Nombre de ces soldats ont depuis développé de graves problèmes de santé, comme le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie neurologique relativement rare qui endommage les cellules nerveuses.

« On leur a dit de diagnostiquer d’autres choses, comme le syndrome de Guillain-Barré [SGB], lorsque de jeunes hommes s’effondraient sous la douche après les injections », a déclaré M. Christensen, ajoutant et précisant que ces soldats « avaient été blessés par le vaccin ».

En outre, les FAC ont mal classé les dossiers médicaux des soldats en omettant — ou plutôt en refusant — de classer toutes les blessures causées par les vaccins. Mme Christensen affirme qu’elle a « plus de personnes dans ses dossiers qui ont été blessées par des vaccins que de personnes officiellement répertoriées comme ayant été blessées par des vaccins ».

Après s’être entretenue avec de nombreux militaires canadiens qui ont signalé des blessures causées par le vaccin Covid et avoir recueilli leur témoignage sous serment, Mme Christensen est convaincue qu’il s’agit d’une dissimulation délibérée de la vérité, qui remonte en fin de compte au régime de M. Trudeau.

« Je pense que les FAC ne suivaient pas le nombre et le type de blessures liées au vaccin Covid-19 », a déclaré M. Christensen.

Les FAC ont publié le 17 avril des données montrant qu’un total de 375 000 vaccins Covid ont été administrés aux membres de la FAC. Sur ce nombre, 0,09 % ont officiellement signalé « un effet indésirable quelconque à la suite de la première, de la deuxième ou des doses de rappel », indique le rapport de données.

« La majorité des effets indésirables signalés étaient mineurs et se sont résorbés d’eux-mêmes », affirment les FAC.

Parmi les blessures officiellement signalées entre le 7 janvier 2021 et le 1er février 2023, les FAC indiquent que 316 ont été considérées comme « non graves » et seulement 26 comme « graves ». Sur ces 316 cas de blessures, neuf ont été officiellement enregistrés comme myocardites ou péricardites.

Ces chiffres sont bien trop bas, selon M. Christensen, qui maintient que des milliers de membres des FAC ont été gravement blessés par le programme d’injection obligatoire Covid de M. Trudeau — bien que la grande majorité de ces blessures soient ignorées par le gouvernement.

« Et qu’arrive-t-il à ceux qui ont suivi les ordres et pris les injections et qui sont maintenant handicapés de façon permanente ? Anciens Combattants Canada (ACC) leur répond que non, que ces blessures ne sont pas liées au service », a ajouté Mme Christensen dans son témoignage.

Une fois de plus, les vétérans seront confrontés à un système procédural qui les laisse tomber ou les oblige à aller devant les tribunaux pour obtenir une indemnisation méritée.

Les dernières informations sur la corruption qui a eu lieu pendant la « pandémie » de Covid sont disponibles sur le site Fascism.news.

Les sources de cet article sont les suivantes :
LifeSiteNews.com

NaturalNews.com




Les tireurs de ficelles de l’UE — Pourquoi chaque citoyen de l’UE se trouve aujourd’hui en guerre

[Source : Kla.tv]

L’Union européenne — et donc chaque citoyen de l’UE (!) — se trouve en guerre contre la Russie. Comment en est-on arrivé là ? Dans ce documentaire, Kla.TV se penche sur la genèse et les décideurs de l’UE — depuis les pères fondateurs jusqu’à la politique de haut niveau actuelle. Qui dirige l’Union européenne et quels sont ses véritables objectifs ?

Le projet de paix de l’UE se trouve en guerre ! C’est ce qui ressort des déclarations du représentant de l’UE pour les affaires étrangères, Josep Borrell, lors de la Conférence de Munich sur la sécurité 2023. Il argumente que l’Ukraine ne peut pas gagner la guerre sans munitions. Borrell a déclaré : « Nous sommes en mode de guerre ». Il s’agit désormais de réagir rapidement, a-t-il ajouté.

« Nous sommes en mode de guerre » – L’UE promet d’aider l’Ukraine en matière de munitions
https://orf.at/stories/3305770

L’UE augmente son aide militaire de deux milliards d’euros
https://orf.at/stories/3297414

Un million d’obus en douze mois
Les Etats membres veulent fournir à l’Ukraine « un million de munitions d’artillerie » au total dans un délai de « douze mois ».

https://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/eu-investiert-zwei-milliarden-euro-in-munition-fuer-die-ukraine-18762529.html

L’UE décide d’une mission de formation militaire pour l’Ukraine
https://www.vienna.at/militaerische-eu-ausbildungsmission-fuer-ukraine-beschlossen/7695367

L’Union européenne — et donc chaque citoyen de l’UE (!) — se trouve en guerre contre la Russie. Dans ce documentaire, Kla.TV met en lumière la genèse et les décideurs de l’UE — depuis les pères fondateurs jusqu’au haut niveau de politique actuelle. Qui dirige l’Union européenne et quels sont ses véritables objectifs ?
Pour commencer, découvrez comment l’UE est en guerre contre la Russie. Dans les chapitres suivants, nous nous pencherons sur la question de savoir comment nous en sommes arrivés là.

[Voir aussi :
Les racines nazies de l’UE et de l’OTAN]

CHAPITRE 1 – L’Union européenne se trouve en guerre

Le 10 décembre 2012, l’Union européenne a reçu le prix Nobel de la paix. Dix ans plus tard, l’UE participe à la guerre entre la Russie et l’Ukraine en livrant des milliards de dollars de matériel militaire. Au lieu d’une désescalade et d’une focalisation sur les négociations de paix, cela attise encore plus la guerre.
Jusqu’à présent l’UE a investi dans la guerre Russie-Ukraine 4,5 milliards d’euros pour l’ingérence militaire avec des armes et des équipements. La politique de guerre actuelle de l’Union européenne est ainsi habilement déguisée en politique de paix. La facilité européenne pour la paix est le nom de l’instrument de financement de la guerre de l’UE qui fournit les moyens financiers pour la participation à la guerre. Le 10 janvier 2023, l’UE et l’OTAN ont également signé à Bruxelles une future coopération stratégique.

Comme l’UE s’implique militairement dans la guerre Russie-Ukraine, l’ensemble de l’UE est déjà impliqué dans une guerre menée par un pays non membre de l’UE. Cela risque de provoquer une troisième guerre mondiale et la propagation de la guerre sur le sol européen.
De plus, l’UE est engagée dans une guerre économique avec la Russie. Depuis l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014 et surtout depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine en février 2022, de nombreuses sanctions ont été imposées à la Russie. Mais celles-ci touchent principalement l’Europe – et plus particulièrement la population européenne, car les sanctions font grimper les prix de l’énergie et l’inflation en Europe.

La politique étrangère et la politique de sécurité actuelle de l’UE montre en outre clairement que les pays de l’UE se soumettent aux directives de la direction de l’UE ! Et ce, bien que toutes les décisions importantes au niveau de l’UE – comme dans le cas des livraisons d’armes et des sanctions – soient soumises au principe de l’unanimité, ce qui donne de facto un droit de veto à chaque Etat. Si un seul pays vote contre, la participation à la guerre n’aurait pas lieu.
Des pays comme la Hongrie et l’Autriche, qui ne participent pas aux livraisons militaires, les rendent cependant possibles en utilisant la possibilité d’une « abstention constructive ». Tout en s’abstenant lors du vote, ils n’utilisent pas leur droit de veto en votant NON à la participation à la guerre.
Pourquoi ce droit de veto n’est-il pas utilisé et pourquoi même un pays neutre comme l’Autriche ne vote-t-il pas « non », empêchant ainsi la participation à la guerre ?
Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment l’UE fonctionne et comment elle est construite.

CHAPITRE 2 – L’adhésion à l’UE entraîne l’abandon de la souveraineté des États nationaux

Les débuts de l’UE remontent aux années 1950. Le 9 mai 1950, Robert Schumann, à l’époque ministre français des Affaires étrangères, a présenté l’idée de soumettre la production franco-allemande de charbon et d’acier à une autorité commune. C’est entré dans l’histoire sous le nom de « plan Schumann » et a conduit à la fondation de la Communauté européenne du charbon et de l’acier en avril 1951. C’est pourquoi l’UE célèbre chaque année la Journée de l’Europe le 9 mai. Aujourd’hui, l’UE est une association de 27 États européens, comptant au total 450 millions d’habitants.
Au fil du temps, l’UE s’est transformée en une union politique qui a acquis une influence croissante et une position de pouvoir politique sur les États membres.

En 1957, les traités de Rome ont créé la Communauté économique européenne entre regroupant la Belgique, la France, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas et la République fédérale d’Allemagne. En 1987, la Communauté, jusqu’alors axée sur la coopération économique, s’est transformée en une union politique. Par le traité de Maastricht en 1992, une politique étrangère et de sécurité commune a été ajoutée. Dans les traités de réforme qui ont suivi, le dernier en date étant le traité de Lisbonne de 2009, les compétences politiques supranationales de l’UE ont été constamment renforcées et les gouvernements nationaux ont été privés de leurs pouvoirs.

Pas à pas, les compétences supranationales de l’UE ont été renforcées par plusieurs traités réformateurs, le dernier en date étant le traité de Lisbonne de 2009. Il en résulte qu’aujourd’hui, environ 90% de la législation dans les États membres de l’UE concerne la mise en œuvre de lois européennes. Cela représente une énorme restriction de la souveraineté nationale d’un État membre de l’UE et montre son énorme influence sur la législation. La condition préalable à l’entrée en vigueur du traité de Lisbonne était la ratification par les 27 États membres de l’UE.
Mais qu’en est-il lorsque la ratification n’est pas acceptée par la population d’un pays ? Comment l’UE gère-t-elle les votes non souhaités ?

Après le rejet du traité de Lisbonne par la population irlandaise lors d’un référendum en 2008, un nouveau vote a été organisé sans plus attendre. Le peuple irlandais a finalement approuvé le traité lors d’un second référendum en 2009, bien qu’il n’ait pas fait l’unanimité.
Dans ce contexte, il est également frappant de constater que le gouvernement de l’UE agit très durement contre ses propres pays membres lorsque ceux-ci adoptent des lois ou des réformes qui « ne plaisent pas » à la Commission européenne. En voici quelques exemples :

26.10.2022 | L’UE menace la Pologne au sujet des milliards promis
https://www.welt.de/politik/ausland/plus241801703/Rechtsstaats-Streit-Jetzt-zieht-die-EU-den-Milliarden-Hammer-gegen-Polen

13.12.2022 | L’UE retire 6,3 milliards d’euros à la Hongrie
https://www.derstandard.at/story/2000141751408/eu-entzieht-ungarn-6-3-milliarden-euro

29.9.2022 | La Commission européenne lance plusieurs procédures contre l’Allemagne
https://rp-online.de/politik/eu/eu-kommission-startet-mehrere-verfahren-gegen-deutschland_aid-77578415

Le fait que la souveraineté de tous les États-nations doit être de plus en plus transférée à une instance supérieure – en l’occurrence à l’UE – n’est probablement pas un hasard.
Une déclaration de Georges Berthoin, qui fut directeur de cabinet de Jean Monnet, l’un des pères fondateurs de l’UE, laisse deviner ce qui se cache derrière :
Berthoin a déclaré dans une interview en 2010 :

« Ce qui a été réalisé en Europe sera un jour applicable au niveau d’un gouvernement mondial. C’est précisément le grand défi du 21e siècle. Un exemple frappant est le discours que George Bush senior a prononcé en 1990 devant l’Assemblée générale des Nations unies alors qu’il était président en exercice des États-Unis d’Amérique. Il y déclara qu’il espérait la création d’un nouvel ordre mondial. »

Dans les lignes qui suivent, nous allons à présent citer nommément les tireurs de ficelles et les architectes de ce « nouvel ordre mondial » en rapport avec l’Union européenne.

CHAPITRE 3 – Les pères fondateurs de l’UE

Outre Robert Schumann, les hommes d’État Richard Coudenhove-Kalergi, Jean Monnet, Paul-Henri Spaak, Walter Hallstein et Józef Retinger comptent parmi les pères fondateurs les plus importants de l’UE.

Les pères fondateurs de l’UE – leurs objectifs, leurs financiers et leurs commanditaires

  1. Richard Coudenhove-Kalergi [1894 – 1972]
    Après la Première Guerre mondiale, plusieurs tentatives ont été faites pour réunir les nations européennes sous un seul État. L’une d’entre elles est l’Union paneuropéenne, fondée en 1922 par l’Autrichien Richard Coudenhove-Kalergi.
    Le baron Louis Rothschild a soutenu le mouvement paneuropéen et a mis Coudenhove-Kalergi en contact avec le banquier hambourgeois Max Warburg. Celui-ci fit un don de 60 000 marks-or pour stimuler le mouvement.
    En 1946, le Premier ministre britannique et franc-maçon Winston Churchill a prononcé à Zurich un discours écrit par Coudenhove-Kalergi. Dans ce discours, il appelait à la création des « États-Unis d’Europe ».
    En 1948, un congrès du « Mouvement européen » s’est finalement tenu à La Haye sous la présidence de Churchill, ce qui a conduit plus tard à la création du Conseil de l’Europe de Strasbourg.
    Coudenhove-Kalergi était lui-même franc-maçon et a fondé en 1947 la super-loge (ur-lodge) maçonnique PAN-EUROPE. La loge de recherche maçonnique ‘Quatuor Coronati’ a admis sans ambages dans son annuaire 1995 sur le ‘Mouvement Paneuropéen’ que Coudenhove-Kalergi avait mis en place son organisation politique – dans le monde entier – à l’aide de la structure des loges de la franc-maçonnerie. Parmi les soutiens connus figuraient des francs-maçons comme Otto von Habsburg, Hjalmar Schacht, Ludwig Nathaniel Rothschild, Konrad Adenauer, Felix Warburg et Jean Monnet.
  2. Jean Monnet [1888-1979] et Robert Schumann [1886-1963].
    Le franc-maçon Jean Monnet a rédigé la déclaration historique par laquelle Robert Schuman, alors ministre français des Affaires étrangères, a présenté le 9 mai 1950 la création de la Communauté européenne du charbon et de l’acier. En 1958, Robert Schuman a été élu premier président du Parlement européen nouvellement créé à Strasbourg, qui a remplacé l’Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l’acier.
    Jean Monnet, quant à lui, a été le premier président de la Communauté européenne du charbon et de l’acier de 1952 à 1955. Georges Berthoin était à cette époque son directeur de cabinet. En 1973, Berthoin a également été l’un des fondateurs de la Commission trilatérale, une organisation créée par David Rockefeller et Henry Kissinger dans le cadre d’un gouvernement fantôme mondial. En 1975, Berthoin est devenu président européen de la Commission Trilatérale.
  3. Józef Retinger [1888 – 1960]
    Le franc-maçon polonais Józef Retinger fut, après la Seconde Guerre mondiale, l’un des architectes décisifs du Mouvement européen. La première pierre fut posée lors du Congrès européen de 1948 à La Haye. Sous la présidence de Winston Churchill, 700 délégués y ont participé. Le congrès a été présidé entre autres par Józef Retinger. Lors d’une réunion ultérieure, on a préparé la création du Conseil de l’Europe et l’union économique européenne a été décidée. Józef Retinger a été secrétaire général du Mouvement européen de 1948 à 1950. Il était également considéré comme le cofondateur des conférences informelles Bilderberg de 1952 à 1954, initiées par David Rockefeller. Il a ensuite été secrétaire permanent du groupe Bilderberg jusqu’à sa mort en 1960.
    Depuis 1954, la conférence Bilderberg est une réunion exclusive de dirigeants mondiaux. Elle a lieu une fois par an à huis clos, complètement fermée au public et à l’abri de regards indiscrets. Des participants jusqu’alors peu connus se retrouvent souvent à des postes élevés peu après leur visite chez les Bilderberg.
    A la base de la Communauté économique européenne figurent les traités de Rome de 1957. L’historien britannique Richard Aldrich a révélé qu’ils avaient vu le jour lors de la réunion Bilderberg en 1956.
  4. Paul-Henri Spaak [1899 – 1972].
    Le Premier ministre belge Paul-Henri Spaak a été président du Mouvement européen de 1950 à 1955 et a joué un rôle décisif dans la mise en place des institutions qui sont devenues l’Union européenne.
    Spaak rencontrait régulièrement Jean Monnet, Robert Schuman, Walter Hallstein et Konrad Adenauer dans la maison privée de Jean Monnet pour discuter de la mise en œuvre et du lancement de l’UE. Walter Lippmann, cofondateur du CFR, Council on Foreign Relations, en français « Conseil des relations étrangères » – financé par la famille Rockefeller, y était également régulièrement invité.
  5. Walter Hallstein [1901 – 1982]
    Le juriste et homme politique allemand Walter Hallstein a largement contribué à la rédaction du traité de la « Communauté économique européenne » (CEE), entré en vigueur le 1er janvier 1958. Hallstein fut le premier président de la Commission de la CEE de 1958 à 1967, puis le président du Mouvement européen international jusqu’en 1974.
    Dans ce contexte il faut noter qu’Hallstein a participé à la conférence Bilderberg en 1958.
    Les pères fondateurs montrent que l’UE a été mise en place et financée par la franc-maçonnerie internationale et par de puissantes personnes qui tirent les ficelles. L’objectif : l’établissement d’un gouvernement mondial, comme l’a clairement exprimé le chef de cabinet de Jean Monnet.

Les faits suivants donnent un aperçu supplémentaire du financement des initiatives européennes et des pères fondateurs :
En 1948, Coudenhove-Kalergi a fondé à New York le Comité américain pour une Europe unie. Le financement provenait entre autres des fondations Ford et Rockefeller. Le directeur général de ce comité fut l’ancien chef des services secrets William Joseph Donovan, son adjoint le directeur de la CIA Allen Welsh Dulles. Donovan était également membre de la Fondation Rockefeller. Allen Dulles a également siégé de 1927 à 1969 au conseil d’administration du CFR, financé par la famille Rockefeller, et était considéré comme l’un des francs-maçons les plus influents de son époque.

Le Comité américain pour une Europe unie s’est révélé être un bailleur de fonds important du mouvement européen dans son ensemble jusque dans les années 1960. Il a été utilisé comme un moyen discret d’acheminer des fonds de la CIA vers des organisations européennes, dont le Conseil de l’Europe et la Communauté européenne du charbon et de l’acier. Au milieu des années 1950, ce comité recevait environ 1 million de dollars par an de la CIA. Des documents gouvernementaux américains déclassifiés en 2000 ont également révélé que les dirigeants du Mouvement européen – Józef Retinger, Robert Schuman et Paul-Henri Spaak – recevaient également des fonds de la CIA.

Jusqu’ici, la famille Rockefeller, et en particulier le descendant de la famille, David Rockefeller, se révèle être le puissant cerveau derrière les pères fondateurs et derrière le financement de l’UE. David Rockefeller, décédé en 2017, était un banquier américain qui, à partir de 1949, a fait partie du conseil d’administration, puis a été directeur du CFR, qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre en Amérique. C’est à partir du CFR que, sous la grande influence de David Rockefeller, la conférence Bilderberg et la Commission trilatérale, entre autres, ont été stratégiquement préparées et lancées parallèlement à l’Union européenne. La naissance de l’UE a été essentiellement financée par Donovan et Dulles, ses hommes de confiance, avec l’aide de la CIA.

L’Union européenne se révèle-t-elle aujourd’hui être le jouet de ces puissants acteurs et de leurs relais ? Qu’en est-il de la direction actuelle de l’UE ?

CHAPITRE 4 – Les présidents de la Commission européenne depuis 1999

Il est à noter que les présidents de la Commission européenne ne sont pas directement élus par la population – mais nommés par le Conseil européen et ensuite élus par le Parlement européen.

  1. Romano Prodi [Président de la Commission européenne de 1999 à 2004].
    Romano Prodi était jusqu’en 2019 membre du ECFR – c’est-à-dire du Conseil européen pour les relations étrangères. Ce dernier a été créé et financé principalement par George Soros en 2007 en tant que branche européenne du Council on Foreign Relations. L’ancienne conseillère politique de Prodi, Alba Lamberti, est devenue la directrice adjointe du ECFR. Prodi a participé aux réunions de Bilderberg à partir de 1980 et a même fait partie du comité directeur du groupe Bilderberg par la suite.
  2. Jose Manuel Barroso [Président de la Commission européenne 2004 – 2014].
    Barroso fait partie du groupe Bilderberg depuis 1994 et fait désormais partie du comité directeur de Bilderberg.
  3. Jean-Claude Juncker [Président de la Commission européenne 2014 – 2019].
    En 2019, le quotidien hongrois « Magyar Idök » a fait un rapport détaillé sur les contacts continus et intensifs entre George Soros ou des représentants de ses organisations et des politiciens européens de premier plan. Soros a rencontré officiellement Juncker ou des membres de sa Commission plus de 20 fois depuis le début du mandat de Jean-Claude Juncker.
    La déclaration de Juncker en 1999 explique clairement la procédure à suivre pour un nouvel ordre mondial : « Nous décidons quelque chose, puis nous le mettons dans l’espace et nous attendons un certain temps pour voir ce qui se passe. S’il n’y a pas de grands cris et pas de révoltes, parce que la plupart des gens ne comprennent pas ce qui a été décidé, alors nous continuons – pas à pas, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de retour en arrière possible. »
    C’est là que l’on voit apparaître un autre cerveau qui dirige les décideurs de l’UE. George Soros agit également au sein du CFR. Son empreinte est visible dans le renversement du gouvernement ukrainien, le coup d’État de l’Euromaïdan, entre 2013 et 2014. Soros lui-même a déclaré en 2014 dans une interview à CNN « qu’il avait joué un rôle important dans les événements en Ukraine avec sa Fondation Soros ». Mais il existe aussi des indices concrets selon lesquels Soros a participé à toutes les « révolutions de couleur » – c’est-à-dire aux renversements de gouvernement – de ces 15 dernières années.
  4. Ursula von der Leyen [présidente de la Commission européenne depuis 2019].
    Avant de devenir commissaire européenne, Ursula von der Leyen a officiellement participé à quatre conférences Bilderberg. Elle est considérée comme le premier point de contact de David M. Rubenstein en Europe. Rubenstein est président du CFR et membre de la Commission trilatérale fondée par David Rockefeller et Henry Kissinger.

De nombreux politiciens européens, représentants de gouvernements et personnes clés des principaux pays de l’UE doivent être cités dans le même panier que les présidents de la Commission européenne. Ils sont également membres du groupe Bilderberg, du ECFR ou de la Commission Trilatérale. En voici quelques exemples :

France

Le président de la République française, Emmanuel Macron, a participé à la conférence Bilderberg de 2014. Son conseiller de longue date, Alexandre Adam, et sa conseillère pour les affaires européennes, Garance Pineau, sont membres du ECFR.

Italie

Mario Draghi a été Premier ministre italien jusqu’en octobre 2022. Il a participé à la conférence Bilderberg en 1994, 1995, 2002, 2003, 2004 et 2007. Il est également membre du Group of Thirty – un club privé d’acteurs financiers de premier plan créé par la Fondation Rockefeller.
Giorgia Meloni est la Première ministre italienne depuis octobre 2022. En février 2021, elle a rejoint l’Institut Aspen, un think tank international dont le siège se trouve à Washington D.C. Cet institut est financé entre autres par la famille Rockefeller.

Autriche

Sebastian Kurz a été chancelier fédéral de l’Autriche jusqu’en 2021 et a été membre du ECFR de George Soros pendant cette période. L’actuelle ministre fédérale de l’Europe et de la Constitution, Karoline Edtstadler, est également membre du ECFR. L’actuel chancelier fédéral Karl Nehammer et le ministre autrichien des Affaires étrangères Alexander Schallenberg rencontrent régulièrement George Soros ou son fils Alexander Soros. Presque tous les chanceliers autrichiens depuis 1970 ont participé à des conférences Bilderberg.

Allemagne

Le chancelier allemand Olaf Scholz a participé à la conférence Bilderberg de 2010 et Jörg Kukies est considéré comme l’un de ses principaux conseillers. Il est secrétaire d’État à la chancellerie fédérale et a participé à la conférence Bilderberg de 2022. Les deux secrétaires d’État parlementaires du cabinet d’Olaf Scholz, Niels Annen et Franziska Brantner, sont membres du ECFR.

Ici aussi, on voit clairement comment les dirigeants actuels de l’UE sont mis en place à partir des Bilderberg, du CFR ou de sa branche européenne ECFR. Il en résulte logiquement qu’ils sont également dirigés par ces organes et qu’ils mettent en œuvre leurs objectifs dans leur politique, notamment la création d’un gouvernement mondial unique – et cela passe largement inaperçu auprès de la population.
James Warburg, membre du CFR le 17 février 1950 :

« Nous aurons un gouvernement mondial, que vous le vouliez ou non, soit par soumission, soit par accord. »

Conclusion

Depuis ses débuts, l’UE est financée et dirigée par de puissants tireurs de ficelles qui ont conspiré pour former un gouvernement mondial unique. Ceux-ci ont pas à pas sapé la souveraineté des pays de l’UE et imposé jusqu’ici l’agenda du gouvernement mondial unique contre la volonté de la population. L’UE s’est elle-même transformée en un centre de contrôle de ces stratèges mondiaux, qui dicte à tous les Etats membres jusqu’à la législation nationale.

Ce dont beaucoup ne sont pas encore vraiment conscients, c’est qu’à l’heure actuelle, l’ensemble de l’UE, et donc chaque citoyen européen (!), est en guerre contre la Russie.
Comment une telle chose a-t-elle été possible sans que le grand public ne s’en rende compte ?

David Rockefeller, le fondateur de la conférence Bilderberg, a déclaré en 1991 :

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les rédacteurs en chef ont participé à nos réunions dans le passé et ont respecté l’engagement de confidentialité pendant près de 40 ans. […] Il n’aurait jamais été possible pour nous d’élaborer un plan pour le monde si nous avions été sous les feux de la rampe pendant ces années. Mais le monde est sur une voie complexe et préparée vers un gouvernement mondial. »

En d’autres termes, Rockefeller est très reconnaissant envers les médias grand public, car ceux-ci ont caché les plans à l’opinion publique mondiale pendant des décennies et ont couvert les activités des stratèges mondiaux. Cela inclut également les médias dominants en Europe !
Ce n’est que de cette manière qu’il a été possible, pendant des décennies, de mettre en place pas à pas un gouvernement mondial depuis l’arrière-plan, d’infiltrer les gouvernements des pays membres de l’UE et, finalement, de déguiser même la participation actuelle à la guerre en projet de paix.

Mais il n’est pas encore trop tard !

La population doit connaître et surveiller ces tireurs de ficelles et leurs alliés dans les États-nations, de même que leur plan de mise en œuvre d’un gouvernement mondial et surveillés. C’est le seul moyen pour que la population sans méfiance ne soit plus soumise à ce diktat, mais qu’elle ait le dessus sur ces cerveaux et leurs relais ainsi que sur leurs projets.

Diffusez cette émission au contenu explosif aussi largement que vous le pouvez, s’il vous plaît !

de mw.

Sources / Liens :

Dokumentarfilm Bilderberger – Das geheime Zentrum der Macht, von Andreas von Rètyi und Guido Grandt, 2009




La Tyrannie Numérique

[Source : AVATAR Media]

[Sur l’illustration :

Attention !
Nous sommes désolés. Nos dossiers indiquent que vous avez donné de l’argent à des activités non autorisées.
Votre compte a donc été suspendu pour 14 jours.

]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal.

[Comment l’informatique facilite la tyrannie planétaire.
Voir aussi :
Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Pourquoi la Chine craint : cest un bêta-test pour le Nouvel Ordre Mondial et un modèle pour les mondialistes
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
Changer le Système ?]




Médias en Afrique : l’Occident « devrait apprendre que le reste du monde est différent de lui »

[Source : fr.sputniknews.africa]

Les médias occidentaux mènent une véritable bataille pour l’opinion publique africaine, mais leur influence diminue, estiment auprès de Sputnik des journalistes sénégalais et malien. Concernant la liberté de la presse, le blocage des médias russes en Europe est discriminatoire, bien que l’Occident se pose souvent « en donneur de leçons ».

Dans un contexte mondial marqué par l’aggravation des conditions de travail des médias, la capitale zambienne Lusaka a accueilli du 11 au 13 mai 2023 la deuxième Convention des médias africains. Interrogés par Sputnik, deux journalistes, sénégalais et malien, présents à l’événement, évoquent les défis à relever pour les médias africains et l’état de la liberté de la presse dans le monde actuel.

« Il y a une véritable bataille médiatique pour le contrôle et la volonté d’influencer les opinions publiques africaines », avance Abdou Karim Diakhate, directeur du magazine Le Panafricain.

Pour ce journaliste sénégalais, il est « évident qu’il y a un risque réel que de tels médias (occidentaux) puissent être utilisés comme outils d’influence au niveau du continent ».

Contacté par Sputnik, Mohamed Kenouvi, journaliste malien, souligne que cette influence diminue : « Certains de ces médias occidentaux étaient considérés par une certaine opinion, malheureusement majoritaire sur le continent, comme intouchables et dont l’information n’était jamais remise en cause ». Cependant la donne s’est renversée :

« Il y a de plus en plus une prise de conscience collective qui fait que même si ces médias occidentaux gardent plus ou moins leur influence, elle est clairement en train de diminuer, du moins dans certains pays du continent ».

Abdou Karim Diakhate pointe une certaine passivité des médias africains : « La responsabilité incombe aussi aux Africains eux-mêmes. Il y a très peu de médias africains ayant une couverture internationale et parlant de nos propres actualités. C’est cela qui explique l’influence de ces médias occidentaux ». De plus, le récent rapport de l’ONG Reporters sans frontières (RSF), publié le 3 mai dernier, montre que « c’est en Afrique que la liberté de la presse a le plus reculé en 2022, avec notamment des menaces et intimidations envers les journalistes », rappelle-t-il.

Blocages des médias russes en Europe

Peu après le déclenchement par la Russie de l’opération militaire en Ukraine, l’UE, ainsi que les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni et certains autres pays ont bloqué les médias russes, notamment Sputnik et RT.

Ce geste est qualifié de « discriminatoire » par Abdou Karim Diakhate. Il rappelle que cette mesure avait été dénoncée par la Fédération européenne des journalistes, qui avait évoqué un précédent dangereux. De plus, « le Conseil européen est passé outre et les États ont voté directement l’interdiction (des médias russes, NDLR) en l’intégrant aux sanctions économiques contre les entreprises russes ».

Ce blocage « est beaucoup plus lié à des intérêts géopolitiques, géostratégiques que ces pays veulent préserver », avance Mohamed Kenouvi.

« Aujourd’hui, la communication ou bien l’information est devenue un outil de guerre », met-il en garde.

Le Malien remet en cause l’attitude de l’Occident. « Ce que je déplore, c’est juste que l’Occident se mette en donneur de leçons. Ce n’est pas qu’en matière de liberté d’expression, mais dans beaucoup d’autres domaines, l’Occident se donne très souvent en donneur de leçons pour le reste du monde », souligne Mohamed Kenouvi.

L’Occident « devrait apprendre que le reste du monde est différent de lui », selon le journaliste malien.




« L’inclusivité » ; dénominateur commun des controverses ?

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Philippe Sauro-Cinq-Mars

C’est devenu une occurrence normale du cycle des nouvelles : une décision X d’une institution, d’un organisme ou d’un individu engendre des accusations de wokisme d’une partie de la population et, le lendemain, cette partie de la population est accusée de voir du wokisme partout. Dans toutes les situations, on vient constamment défendre la décision X en disant qu’il ne s’agit pas de wokisme, mais simplement de faire preuve de plus « d’inclusivité ». Mais qu’est-ce alors que cette « inclusivité » qui cause autant de controverses ? Ce concept qui semble de prime abord aller de soi ne cacherait-il pas, justement, un agenda woke auquel la population choquée faisait référence à la base ?

Le dénominateur commun

Drag queen, fête des parents, transgenres dans les compétitions sportives, voile islamique, pronoms non genrés, inclure inclusive ; les exemples ne manquent pas de ces controverses ayant causé des débats de société ces dernières années au Québec. Peu à peu, on a attribué à ce genre de revendications l’étiquette de « woke ». D’une manière un peu floue, on voyait en cela une « nouvelle gauche », plus radicale, mais surtout plus plaintive et à fleur de peau.

Associé au concept de « Social Justice Warrior » et à celui de « Snowflakes » (i.e. flocon de neige), les opposants à ces nouvelles revendications ont rapidement réalisé la fragilité glorifiée dans ces nouvelles idéologies. Dans un esprit de réparation, elles mettent en quelque sorte les « victimes » sur un piédestal.

Au nom de « l’inclusivité », on change désormais toutes les normes communes des populations majoritaires pour plaire aux minorités. Toute expression de « privilège » est désormais vue d’un mauvais œil et condamnée — au risque, d’ailleurs, d’être exclus de ce bel idéal d’inclusivité.

C’est pourquoi, depuis quelque temps au Québec et ailleurs dans le monde, on ne cesse de voir ces controverses opposant la majorité aux minorités, et à chaque fois, les gens à l’origine de la controverse se revendiquent de « l’inclusivité » comme si le mot à lui seul excusait leurs biais idéologiques.

Ça n’excuse rien ; ça ne fait que pointer dans la même direction que les opposants, mais en utilisant des mots qui paraissent mieux.

Un biais langagier

On appelle « biais langagier » des situations où le sens des mots dans un débat peut être détourné à l’avantage de l’un des débatteurs. En effet, si deux débatteurs ne s’entendent pas sur la signification d’un mot, ils auront beaucoup de difficulté à débattre convenablement du sujet. Par exemple, on pourrait facilement imaginer un débat au sujet d’un groupe d’insurgés où un débatteur les qualifierait de « révolutionnaires » alors que l’opposant les qualifierait de « terroristes ». Déjà, à la base, il y aurait mésentente dans le choix des mots utilisés pour qualifier le phénomène.

De plus, on parle aussi de « mots biaisés » dans le sens que certains mots portent en eux même tout un bagage argumentaire. Le mot « bourgeoisie », par exemple, évoque à lui seul toute l’analyse marxiste qui en a été faite, et est très souvent révélateur d’un biais de gauche.

Eh bien, il en va de même du mot « inclusivité », qui, avec son apparence innocente, évoque néanmoins clairement les nouvelles tendances militantes postmodernistes, qui carburent à la déconstruction de la société, des soi-disant « dynamiques intersectionnelles de domination », et qui tentent d’atteindre la diversité et l’inclusivité par de la « discrimination positive », de la moralisation hautaine et des mesures coercitives pour les majorités.

En d’autres termes : l’inclusivité est un mantra du wokisme, et ça ne trompe personne. Tâcher de simplement balayer sous le tapis les accusations de promouvoir le wokisme en se défendant de ne faire qu’appliquer des mesures « inclusives » est simplement une manière de reformuler la situation avec des mots qui paraissent mieux. Mais tout le monde sait de quoi on parle.

L’attaque à la normalité

D’autant plus que la majorité du temps, ces mesures inclusives sont une attaque directe à la normalité. Dans une sorte d’inversion du fardeau de la preuve qui devrait incomber à une minorité aspirant à faire changer d’avis une majorité, on impose simplement le changement à la majorité et, devant le fait accompli, c’est à elle de prouver si l’ancienne norme était préférable.

À force d’imposer de nouvelles normes « inclusives » un peu partout, dans toutes les institutions, les offres d’emplois, les écoles, les médias et j’en passe, on accomplit le changement sans aucune consultation. On l’impose de force à la population, et à partir de là, tout désaccord — qui est pourtant normal étant donné les changements en cours — est qualifié de « réactionnaire » et « d’extrême droite ».

Or ce n’est pas la population qui s’y oppose qui a changé, elle n’est jamais devenue réactionnaire ou d’extrême droite ; elle s’oppose simplement à un changement rapide qu’elle juge injustifié et qui se fait sans son consentement. Et dans la majorité des cas, ce sont les gens normaux qui écopent parce que leurs normes sociales tout à fait banales sont qualifiées de régressives par les partisans de l’inclusivité.

La saturation sociale

Maintenant, l’une des raisons pourquoi ce terme d’inclusivité est derrière toutes les controverses depuis quelque temps n’est pas anodine. Les militants politiques sont tout à fait conscients que pour rentrer une idéologie dans la gorge d’une population, il faut de la répétition, jusqu’à saturation.

Pour implanter durablement une idéologie, il faut frapper partout, tout le temps, sans jamais laisser à l’opposition le temps de se remettre de la dernière controverse. Prenez l’exemple des drag queens : ça a commencé avec quelques lectures de contes dans des bibliothèques, pour ensuite passer à la fée des étoiles d’un défilé de Noël, et ensuite à une émission pour enfants à Radio-Canada, des capsules de cette émission dans des classes du primaire, un drag queen à la place des duchesses au Carnaval de Québec et enfin, Barbada à l’Orchestre Symphonique de Montréal. Dans tous les cas, dans tous ces domaines différents, la chose était justifiée par un besoin « d’inclusivité ».

À partir d’un certain moment, le dogme s’implante, et les gens commencent à adopter ces comportements sans même réfléchir. Cette histoire de « fête des parents » à la place de la fête des mères et de la fête des pères, cette semaine, a beau avoir été le résultat de la bonne foi d’une professeure qui voulait seulement épargner un malaise à certains de ses élèves, mais elle l’a fait conformément au dogme d’inclusivité désormais en place.

Bref, si la gauche veut qu’on arrête de voir du wokisme partout, il faudrait qu’elle commence par cesser de mettre de wokisme dans tout, et reconnaisse une bonne fois pour toutes que la population n’est pas dupe devant des termes comme « inclusivité » ou « diversité ».




Comment la Secte globaliste en France absorbe le discours adverse pour des raisons purement électorales

Par Lucien SA Oulahbib

C’est tout de même lamentable, méprisable, voire ridicule : depuis que la cote de confiance envers les capacités de la France à rembourser sa dette aura été dégradée par une agence de notation — et en attendant la note des autres bientôt à venir —, il fallait bien accélérer le processus de propagande inouï mis en place. Ainsi, la machine à promettre, toujours promettre, accélère l’intensité de sa productivité (la seule qui fonctionne encore), alors que le poids de l’industrie française continue de s’affaiblir, y compris vis-à-vis de l’Italie (ne parlons pas de l’Allemagne) et que la priorité de la priorité aurait été plutôt d’annoncer la sortie française, immédiate, du marché inique européen de l’énergie, et aussi l’arrêt sine die des sanctions unilatérales contre la Russie puisque les tentatives de négociation ont été en réalité essentiellement bloquées par le bloc anglo-saxon (Istanbul, mars 2022), sans oublier la violation des accords de Minsk 1 et 2, reconnue comme telle d’ailleurs par les représentants allemands et français, ce qui nécessite dans ce cas d’en tirer, immédiatement, toutes les conséquences afin que la parole diplomatique de la France soit enfin pleinement restaurée.

Mais au lieu de déclencher sur le champ toutes ces mesures salutaires, la démagogie au Pouvoir est au contraire de plus en plus assumée, agressive, et s’avère être devenue le seul outil tangible en guise de politique gouvernementale. Celle-ci a adopté maintenant cette tactique (déjà ancienne) d’absorber l’énergie du discours adverse afin de prendre les parts de marché dans les publics encore indécis ou qui avaient voté in fine au second tour en faveur de l’Agent Smith mis en place par la Secte SHAA pour liquider les acquis nationaux français tout en disant exactement le contraire et traitant d’extrême droite et de complotiste toute question à ce sujet.

Promettre ainsi tout un tas de mesures « protectionnistes vertes » alors qu’elles ont déjà peu de chances de passer au niveau européen et qu’elles coûtent « un pognon de dingue » revient à s’approprier la fibre souverainiste à bon compte et qu’il est de bon ton de déclencher un an avant les élections européennes. Ceci permet ainsi de faire coup double : admettre une inégalité dans les coûts avec certains pays dont les importations alourdissent le déficit commercial français de plus en plus abyssal ; mais en même temps vociférer sur « l’administration » de l’UE qui empêchera bien sûr un tel protectionnisme ou alors le permettra mais à la marge….

Ainsi ce qui tient d’Agent Smith au pouvoir en France veut absorber en même temps les énergies souverainistes et écologistes, tout en absorbant également l’énergie de l’ultragauche nihiliste en interdisant toute manifestation patriote jusqu’à l’hommage à Jeanne d’Arc, ce qui est non seulement une honte (cette dernière n’a rien à voir avec toute hystérie d’où qu’elle vienne), mais aussi l’affichage brutal d’un mépris flagrant et absolu de toute démocratie constitutionnelle. Dans celle-ci, seul le Peuple EST souverain et non pas une Secte ayant cependant il est vrai réussi à se faire élire par une frange de plus en plus minoritaire du corps électoral, ce qui ouvre une crise de légitimité de plus en plus béante.

Ceci confirme aussi le basculement absolument sectaire du gouvernement actuel dit « français » en démocrature de facto qui associe autoritarisme et nihilisme pur et dur, y compris en décrétant que les principes du queerisme néonazi visant à la manipulation marchandisée des sexes doivent être ingurgités dès le plus jeune âge, tout en visant de façon plus générale à poser le mensonge comme vérité indiscutable sous peine d’être traité de complotiste et/ou d’extrême droite. Ceci est la caractéristique typique d’un comportement sectaire, celle de cette Secte globaliste ayant absorbé toutes les énergies précédentes (comme l’a théorisé Blanchot dans l’instant de ma mort) et qui a décidé d’accélérer la liquidation des nations, peuples, individus depuis les expérimentations à grande échelle réussies au niveau sanitaire et aujourd’hui climatique, et sans frontiéristes.

Ainsi, réduits à être de plus en plus des Lego interchangeables, nations, peuples et individus sont de plus en plus poussés, voire sommés, à survivre dans la réalité virtuelle (se déplacer tous en voiture électrique sera impossible), alors que la réalité imaginaire, celle du rêve qui se prolonge en « vrai » sera, elle, vécue par la seule élite de la Secte. C’est elle en effet qui peut de plus en plus se déplacer sans passe d’aucune sorte.

Un nouveau type d’immunité émerge ainsi, mais il sera de plus en plus dénié pour le grand nombre, lui arrachant alors celle qui lui est la plus naturelle, au profit de ce qui est de plus en plus construit et qu’il lui faut s’auto-injecter par injonction contradictoire : si tu ne le fais pas, c’est que tu es un blanc hétéronormé dans la tête, tueur de la planète et esclavagiste ; autant de mantras hypnotiques, typiques d’un endoctrinement, d’un envoûtement sectaire qui ne repose bien sûr sur aucun argument fondé (hormis quelques chiffres manipulés), mais plutôt asséné, cependant durci dans son énonciation médiatique avec la menace de se voir exclu socialement si l’on n’y acquiesce pas.

D’où la constitution de nouveaux parias, pestiférés qui peuvent également servir de boucs émissaires ou victimes expiatoires le cas échéant, comportement typique, là aussi, des dérives sectaires.

Alea jacta est.




Du danger de la militarisation des ondes électromagnétiques

[Initialement publié sur ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen victime de harcèlement électromagnétique

Depuis quelques années, les risques sur la santé des ondes électromagnétiques alimentent craintes et débats. Ce fut le cas notamment avec la polémique sur les compteurs communiquant Linky et plus récemment avec le réseau 5G.

Un grand nombre d’activistes nous a donc alertés sur les dangers d’une exposition « passive » à ces ondes qui forment un « electrosmog » (brouillard électromagnétique).

Néanmoins une certaine part de la population est victime d’une exposition « active », à comprendre qu’elle est victime d’agressions électromagnétiques délibérées depuis des décennies que nous nommerons harcèlement électromagnétique.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
DU HARCÈLEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DES POPULATIONS À LA NEURO-POLITIQUE DU NOUVEL ORDRE
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Opération Crimson Mist
Une intervenante du Forum Économique Mondial vante une technologie qui va permettre à votre patron de lire dans vos pensées
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Actionner un interrupteur dans la tête]

Elle se regroupe sous l’appellation d’individus ciblés (anglais : targeted individuals). Le gouvernement est directement incriminé par des officiels devenus lanceurs d’alerte.

Cela est le cas pour Barrie Trower, ancien spécialiste des micro-ondes ayant travaillé pour le MI-5 (renseignement militaire britannique). Dans la vidéo ci-bas, il explique qu’il est possible de cibler des individus pour leur induire des pathologies et des symptômes psychiatriques.

Nous y voyons également le scientifique et chercheur américain Nick Begich expliquer les technologies de contrôle mental. En effet, il cite la DARPA (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) américaine pour avoir mis au point ce qu’ils ont baptisé la « télépathie électronique » ou « télépathie synthétique » qui est capable de lire dans les pensées de la cible et d’interférer avec son comportement sans électrodes. Il y a dédié un livre nommé « techniques de contrôle mental » et est aujourd’hui l’un de ses plus fermes opposants.

Les infrastructures de communication (satellites, antennes relais et boxs wi-fi) constituent le socle du harcèlement électromagnétique, les smartphones et PC complètent le tableau. En effet, le scientifique américain Richard Lighthouse ayant travaillé avec la NASA, nous livre un diagramme de ce crime d’État.

Nous y voyons que les civils sont traqués par des satellites GPS qui en combinaison avec des superordinateurs et les antennes relais nous livrent des « microwave bullets » (balles à micro-ondes) à fréquence élevée (2,3 à 3,7 GHz). C’est faisable, car elles sont équipées d’armes à énergie dirigée, ce type de technologies a été utilisé pour agresser des diplomates US et canadiens à La Havane, Cuba. Elles peuvent également émettre des signaux subliminaux et des voix implantées par la technologie V2K (Voice to Skull ou voix au crâne), n° de brevet : US4.877.027A. La seconde technologie pour exercer du contrôle mental est appelée RNM (Remote Neural Monitoring ou Monitoring neuronal à distance), n° de brevet US3.951.134A.

Des armes à énergie dirigée portables sont également à portée de mafias en collusion avec le gouvernement, elles sont plus efficaces et dangereuses encore.

Dans cette vidéo en anglais, Richard Lighthouse livre des informations très précises sur le fonctionnement du harcèlement EM :

Une large gamme de pathologies comme des problèmes neurologiques (perte de mémoire et de concentration, migraines, fatigue, insomnies, réveils nocturnes, douleurs confondues avec de la fibromyalgie, spasmes, entente d’infrasons, acouphènes, apnées du sommeil, électrochocs, troubles de la vision…), cardiaques, à différents organes, des pertes de libido, des apnées du sommeil, un vieillissement prématuré et des brûlures peuvent survenir. Il est donc possible d’exercer de la torture et de tuer une cible à petit feu.

Pour ce qui est des pathologies psychiatriques (psychotroniques) cela peut produire des hallucinations, de l’anxiété, de la paranoïa, des cauchemars, des psychoses et des voix implantées.

Le nombre de victimes augmente de jour en jour, d’après une enquête sur mon canal Telegram, une part non négligeable a commencé à être ciblée après la survenue de la crise covid. Les motifs de ce ciblage sont variés et peuvent aller de la répression des lanceurs d’alerte et des personnes éveillées à « la prévention », le sadisme, la revanche et les expérimentations, car les travaux sur le contrôle mental servent à mettre en place des intelligences artificielles, cela avait été documenté par le praticien américain John Hall.

Dans cette vidéo, des moyens de protections sont proposés :

J’y ai également dédié un article.

Les victimes se retrouvent isolées et impuissantes face à une machine de guerre bien huilée, leurs plaintes sont classées sans suite et peuvent les mener à l’internement psychiatrique.

Nous espérons que cet article ait conscientisé un maximum de personnes sur ce phénomène frappé par l’omerta, car en effet, ces technologies sont classées top secret. Nous estimons que 0,1 % de la population des états de l’OTAN en est victime à divers degrés, mais cela représente près de 10 % des personnes éveillées qui militent ou pas. Nous devons donc agir vite pour éviter un avenir dystopique et exiger la fin de ce programme inhumain même s’il est à prévoir que les autorités nieront leur existence.

Pour conclure l’article, voici une vidéo de témoignage de victimes :




Le complotisme expliqué

Par Gérard Le Maître

Ce que les médias de masse ne vous diront pas… préférant vous traiter de « complotistes » pour remplir leur part du contrat !

LES ENNEMIS DE LA NATION SONT AU POUVOIR !

Voici [plus bas] une vidéo très documentée de Jean-Dominique MICHEL1 qui explique le mécanisme pour traiter tous les opposants de complotistes qui est fait pour dénigrer, ostraciser toux ceux qui gardent les yeux ouverts et dénoncent justement les complots qui sont montés pour mettre les peuples au pas.

La macronie aux abois, sans majorité, ne maîtrisant plus rien, les manifestations continuent et les casserolades font de plus en plus de bruit, Macron s’agite, essaye de reprendre la main en se déplaçant plusieurs fois par semaine, protégé par des centaines de policiers et gendarmes, interdisant tout rassemblement partout où il va, idem pour le Premier ministre et tout autre ministre, espérant que le peuple gaulois, râleur se lassera…. et la dernière trouvaille c’est de monter en épingle une pseudo dangerosité d’une « ultra-droite » qui n’existe à peine que dans leur imagination, et tout ce qui n’est pas dans la doxa est désormais extrême droite et donc dangereux, à l’inverse de toute l’extrême gauche braillarde, mais tolérée qui peut casser impunément, évidemment tous les médias soumis, corrompus, gavés d’argent de L’État suivent et amplifient le mouvement et font monter la mayonnaise… alors que les ennemis de La Nation sont au pouvoir.

L’affaire (qui n’en est pas une) du maire de Saint Brévin qui démissionne (1 300 démissions passées sous silence depuis les dernières municipales, alors pourquoi celui-ci ? Parce que cette démission arrive à point nommé, c’est la faute à l’extrême droite !)2

LA LUTTE CONTRE LE « COMPLOTISME D’EXTRÊME DROITE » TOURNE À PLEIN RÉGIME

En réalité ceux qui sont montrés du doigt comme complotistes sont ANTI-comploteurs, dénonçant et RÉSISTANT aux complots !

Regardez cette vidéo, c’est passionnant :

Parmi les complots les plus gros (et il y en a eu beaucoup), celui de la fausse pandémie est sans doute celui qui a été fomenté avec les plus gros moyens et le plus grand nombre d’acteurs à tous les niveaux qui y ont participé pour manipuler presque tous les pays de la planète.

Les groupes pharmaceutiques surnommés Big-Pharma controlés par les plus grands organismes financiers du monde ont infiltré toutes les organisations mondiales en particulier L’OMS qui a été le maître d’œuvre en dictant à chaque gouvernement les mesures à prendre.

Savez-vous que ces groupes pharmaceutiques ont été multicondamnés à travers le monde pour leurs méthodes trompeuses, corruption aux plus hauts niveaux.

Le total des condamnations est de 96 milliards de dollars ! ! 

Mais ils ne s’arrêtent pas, sachant que JAMAIS aucun d’eux n’ira en prison et les bénéfices qu’ils réalisent sont supérieurs aux amendes et dédommagements c’est intégré dans leur « business-plan » !

La France est le dernier pays au monde à réintégrer les soignants, mais contrainte et forcée…


1 Jean-Dominique Michel, né en 1965 est un anthropologue suisse qui a acquis une certaine notoriété au début de la pandémie de Covid-19, tout d’abord invité à s’exprimer en tant qu’« expert en santé publique ».

2 France — démission massive de maires depuis 2020




Comment Staline a « cancellé » Hamlet en Union soviétique et ce que cela nous apprend sur la « cancel culture »

[Source : epochtimes.fr]

La peur collective peut déboucher sur une censure tout aussi étouffante et oppressive que les interdictions gouvernementales, comme le montre l’histoire.

Par Jon Miltimore

Hamlet de William Shakespeare est souvent considéré comme la plus grande histoire jamais écrite.

La pièce a tout pour plaire : des fantômes, des combats à l’épée, des suicides, de la vengeance, de la luxure, des meurtres, de la philosophie, de la foi, de la manipulation et un bain de sang final digne d’un film de Tarantino. C’est un chef-d’œuvre de grand art et de sensationnalisme, la seule pièce que j’ai vu jouer en direct trois fois.

Évidemment, tout le monde n’aime pas Hamlet. Joseph Staline, par exemple, était un de ses détracteurs.

La haine de Staline pour la pièce est presque devenue légendaire, en partie parce qu’on ne sait pas exactement pourquoi il la détestait. Des articles universitaires entiers se sont penchés sur la question.

Dans son autobiographie Témoignages, le célèbre compositeur russe Dmitri Chostakovitch suggère que Staline considérait la pièce comme excessivement sombre et potentiellement subversive.

« Staline ne voulait tout simplement pas que les gens regardent des pièces dont l’intrigue lui déplaisait », écrit-il. « On ne sait jamais ce qui peut venir à l’esprit d’une personne dérangée ».

Il n’a pas décidé d’interdire la pièce pour autant. Il a simplement fait part de sa désapprobation lors d’une répétition au Théâtre d’art de Moscou, son théâtre préféré.
« Pourquoi faut-il jouer Hamlet au Théâtre d’art ? » a demandé le dirigeant soviétique.

Il n’en fallait pas plus, selon Chostakovitch.

« Tout le monde était au courant de cet incident et personne ne voulait s’y risquer. Tout le monde avait peur », a observé Chostakovitch. « Et pendant de longues années, il n’y a pas eu de Hamlet sur la scène soviétique ».

La « cancel culture » et la peur

Hamlet ne risque rien aux États-Unis aujourd’hui, et c’est heureux. Pourtant, la « cancel culture » d’aujourd’hui a purgé de nombreuses œuvres d’art — certains livres de Dr Seuss, Autant en emporte le vent, des films de Disney tels que Peter Pan et Dumbo.

Ces œuvres d’art ne sont pas interdites par les censeurs de l’État ; elles sont retirées ou limitées par les fournisseurs de contenu eux-mêmes, par les magasins en ligne et les éditeurs, au motif qu’elles sont culturellement ou racialement insensibles.

Seuss Enterprises a déclaré à l’Associated Press qu’elle cesserait de publier six livres de Dr Seuss, dont And to Think That I Saw on Mulberry Street et If I Ran the Zoo, car ceux-ci « dépeignent les gens d’une façon qui est blessante et erronée ».

La question de savoir si ces œuvres d’art sont culturellement insensibles est une question subjective, tout comme celle de savoir si Hamlet est une pièce de théâtre moralement subversive. Certains nient d’ailleurs le fait que Dr Seuss soit « cancellé ».

« Nous pouvons débattre de la question de savoir si c’était la bonne chose à faire, mais il est important de souligner quelques points », a écrit le critique de cinéma Stephen Silver dans le Philadelphia Inquirer. « La décision a été prise par la société qui possède et contrôle les livres, et non par le gouvernement ou par une “foule” qui a fait pression sur elle ».

En effet, M. Silver a raison de noter qu’il existe une différence entre la censure gouvernementale et l’autocensure. Toutefois, affirmer qu’aucune pression n’a été exercée sur la décision mériterait d’être examiné de près. (Nous y reviendrons dans un instant).

Quoi qu’il en soit, s’il existe des différences entre la censure gouvernementale et l’autocensure, toutes deux sont dangereuses, comme l’a fait remarquer George Orwell.

« Il n’est évidemment pas souhaitable qu’un service gouvernemental ait un quelconque pouvoir de censure (…) mais le principal danger pour la liberté de pensée et d’expression à l’heure actuelle n’est pas l’ingérence directe du [gouvernement] ou d’un quelconque organisme officiel. Si des éditeurs et des rédacteurs en chef s’efforcent de ne pas publier certains sujets, ce n’est pas parce qu’ils craignent d’être traduits en justice, mais parce qu’ils ont peur de l’opinion publique. Dans ce pays, la lâcheté intellectuelle est le pire ennemi qu’un écrivain ou un journaliste doive affronter, et ce fait ne me semble pas avoir été discuté comme il le mérite ».

Ce qu’Orwell dit, c’est que la peur de l’opinion publique peut aussi entraîner la censure.

Pour être clair, nous ne connaissons pas avec certitude les motivations des éditeurs qui décident de cesser de publier certains livres de Dr Seuss, et nous ne pouvons pas savoir avec certitude pourquoi Spotify a soudainement fait disparaître 42 épisodes du podcasteur Joe Rogan. Mais il n’est pas déraisonnable de penser que ce qui est l’œuvre ici est similaire à ce qui a bouté Hamlet hors de l’Union soviétique : la peur.

La peur : une censure plus efficace que les interdictions ?

La mise au placard de Hamlet par Staline montre que les interdictions gouvernementales ne sont pas les seuls moyens de réprimer la liberté d’expression, ni même les plus efficaces. Comme l’a fait remarquer Chostakovitch, la capacité de Staline à « canceller » Hamlet d’une simple phrase était une démonstration de son pouvoir bien plus impressionnante qu’une interdiction officielle. Cela n’a nécessité ni loi ni annonce officielle. Il a suffi d’un mot discret, et la peur, une émotion bien connue des Américains d’aujourd’hui, a fait le reste.

Une étude récente de Cato montre que l’autocensure est en plein essor aux États-Unis, deux tiers des Américains déclarant qu’ils ont peur de partager leurs idées en public en raison du climat politique, de plus en plus dominé par le « wokisme ».

Ces craintes ne sont pas irrationnelles. Les exemples d’Américains qui ont perdu leur emploi, qui ont été humiliés ou « cancellés » pour s’être trouvés du mauvais côté de la culture « woke » sont légion. L’année dernière, le phénomène a donné lieu à une lettre dans le magazine Harper’s, signée par des dizaines d’universitaires de renom, qui condamnait le climat d’intolérance dans le monde des idées.

« Des rédacteurs en chef sont licenciés pour avoir publié des articles controversés ; des livres sont retirés pour cause d’inauthenticité présumée ; des journalistes se voient interdire d’écrire sur certains sujets ; des professeurs font l’objet d’une enquête pour avoir cité des œuvres littéraires en classe ; un chercheur est licencié pour avoir diffusé une étude universitaire validée par ses pairs ; et des dirigeants sont évincés pour ce qui ne relève parfois que de la simple maladresse », peut-on lire dans la lettre.

« Nous en payons déjà le prix, des écrivains, des artistes et des journalistes ayant développé une plus grande aversion au risque et craignant de perdre leur gagne-pain s’ils s’écartent du consensus, ou même s’ils manquent de zèle pour se mettre en conformité ».

Ce climat ne se limite pas aux écrivains et aux universitaires. Il s’étend aux salles de conseil d’administration et aux comités de direction des entreprises, où l’on fait pression sur les individus pour qu’ils décident quel art est acceptable et quelles opinions sont aptes à être partagées sur les plateformes.

Être du mauvais côté du débat vous expose aux risques d’être personnellement détruit. Il est tout simplement plus facile d’accepter de retirer les œuvres d’art « nuisibles » ou de licencier l’employé qui a suscité l’ire de la foule sur Twitter.

« Les gens ont peur de les défier », a déclaré Robby Soave, de Reason, à John Stossel l’année dernière lors d’une interview sur la « cancel culture ».

Comme dans le 1984 d’Orwell, dans la culture actuelle, il n’est même pas nécessaire de dire des choses erronées pour être condamné.

Demandez au Dr Howard Bauchner, qui a été démis de ses fonctions de rédacteur en chef de l’éminente revue médicale JAMA en mars dernier. Son crime est que, lors d’un podcast, son rédacteur en chef adjoint a mis en doute l’existence du racisme structurel. « Le racisme structurel est un terme malheureux », a déclaré le Dr Edward H. Livingston, qui est blanc. « Personnellement, je pense que le fait de retirer de la conversation la question du racisme sera utile. »

« Tout le monde avait peur »

Certes, dans l’Amérique d’aujourd’hui, on ne risque pas d’être liquidé pour avoir refusé de se plier à la pression de l’autocensure des œuvres d’art. On ne peut pas en dire autant de l’Union soviétique sous Staline.

Pourtant, il existe un point commun entre ces deux cas de censure : la peur.

« Tout le monde avait peur », a déclaré Chostakovitch.

Ces mêmes mots peuvent s’appliquer à ceux qui se plient aujourd’hui à la « cancel culture ».

Il ne s’agit pas de dire que les œuvres de Dr Seuss sont ou ne sont pas culturellement insensibles, ou que Hamlet contient ou ne contient pas de thèmes nuisibles ou subversifs.

Il s’agit simplement de dire que la peur se cache derrière la disparition de l’art et la suppression de la liberté d’expression. C’est pour cette seule raison qu’il faut s’opposer à ces initiatives.




En Australie, 5 millions de dollars de dédommagement pour des habitants confinés en 2020

[Source : lefigaro.fr]

[Photo : WILLIAM WEST / AFP]

Par Thibaut Déléaz

Le gouvernement propose une compensation à 3000 résidents bloqués chez eux par la police pendant plusieurs jours après la détection de cas de Covid-19 dans leurs immeubles.

Cinq millions de dollars australiens. C’est ce que propose le gouvernement de l’État du Victoria à des habitants de Melbourne en dédommagement du confinement très strict auquel ils ont été soumis en juillet 2020, en pleine pandémie de Covid-19. Un accord financier proposé pour éviter un procès, les 3000 personnes concernées, résidents de neuf grands immeubles de logements sociaux, ayant attaqué le gouvernement en justice.

À l’époque, l’Australie menait une politique de «zéro Covid» et les habitants de Melbourne se sont vus imposer pas moins de six confinements stricts, jusqu’au dernier fin 2021, provoquant le ras-le-bol de la population. En juillet 2020, après l’apparition de 23 cas parmi les résidents de ces tours de logements sociaux, le premier ministre du Victoria avait annoncé dans une conférence de presse leur mise en quarantaine immédiate pour éviter une contagion.

Présence policière

La police avait alors encerclé les immeubles, empêchant leurs habitants de sortir pendant cinq jours pour la plupart, jusqu’à deux semaines dans l’une des tours. Dénonçant cette quarantaine forcée qu’ils estiment «illégale», une mauvaise communication de la part des autorités, des problèmes d’approvisionnement en nourriture et les traumatismes causés, 3000 résidents ont donc lancé un recours collectif contre le gouvernement en mars 2021.

À lire aussi L’Australie, forteresse décriée du zéro Covid

Ceux qui acceptent de renoncer aux poursuites se partageront la somme de cinq millions de dollars australiens (environ trois millions d’euros), y compris les enfants, qui recevront une demi-part s’ils avaient moins de 16 ans à l’époque. Beaucoup souhaitaient pourtant simplement que le gouvernement reconnaisse s’être trompé en prenant des mesures disproportionnées. «Je n’attends que des excuses, rien de plus», glisse un habitant au quotidien local The Age .

Jusqu’à présent, le gouvernement s’y est toujours refusé. Son porte-parole a réaffirmé, sans se prononcer sur ce cas précis, que les mesures anti-Covid «étaient nécessaires pour protéger tous les habitants du Victoria et sauver des vies».




Réformes de l’instruction : Macron perpétue le pacte diabolique

[Source : investisseur-sans-costume.com]

Par Guy de La Fortelle

C’est l’histoire d’un professeur de philosophie qui tente d’expliquer à son élève la différence ontologique entre l’être et l’avoir et lui demande ce qu’il choisirait entre un sac d’argent et un bagage intellectuel débordant :

« Le sac d’argent, répond l’élève.

— À ta place, j’aurais pris l’intelligence, reprend le professeur

 C’est normal, chacun choisit ce qui lui manque le plus ».

Cette blague potache n’est pas anodine : voilà le monde dans lequel nous vivons ; un monde dans lequel il y a de plus en plus d’argent et de moins en moins d’intelligence et de compétence ; un monde dans lequel nous prenons la proie pour l’ombre, un monde dans lequel le signe est devenu incroyablement plus important que sa contre-valeur réelle.

École, baccalauréat, IUT, lycées professionnels, université… Emmanuel Macron avale les réformes de l’instruction comme l’on enfile les perles d’un collier.

L’instruction c’est comme le fric : les deux sont réduits à une signature au bas d’un bout de papier, billet ou diplôme, qui ne valent plus guère que l’encre pour les imprimer.

La destruction de la monnaie et du savoir participent de la même forfaiture.

Ils vous ont trompés et la particularité d’Emmanuel Macron est d’accélérer le mouvement de destruction au moment où celui-ci devient flagrant même aux plus obtus même maquillé d’un vernis putréfié de pragmatisme entrepreneurial, accompagné d’une violence mafieuse pour enrober le tout.

Le grand projet d’Emmanuel Macron est de professionnaliser les enseignements secondaires et supérieurs.

La promesse est louable, mais elle est fausse et l’exécution à l’envers : nous nous rendons bien compte que l’empilement des réformes ne consiste pas à régler les problèmes, mais à brouiller les pistes et casser les thermomètres pour tenter de prolonger un peu plus la forfaiture.

Quelle forfaiture ?

La grande arnaque au progressisme

L’État, depuis un demi-siècle, fait la promesse — vaguement fascisante — de l’Homme Nouveau. Là où les dictatures ont échoué, le capitalisme dévoyé a triomphé.

Il a passé cet accord informel avec le peuple : je vous sacrifie pour que vos enfants aient une vie meilleure.

Votre histoire, votre identité, vos métiers, savoir-faire, traditions, les plats que vous mangez, les habits que vous portez, les mots que vous employez, les pays que vous habitez, les histoires que vous racontez, vos contes, vos légendes tout cela doit mourir en échange de quoi vos enfants seront des rois. Ils seront riches, instruits, puissants, libres, oisifs, charnels…

Cela fait 50 ans et la promesse qui a d’abord semblé tenue est finalement corrompue jusqu’à l’os.

Depuis 2008, nous avons pris conscience collectivement que nos enfants seront plus pauvres et moins instruits que nous, qu’ils auront la vie plus dure. Mais au lieu de nous confronter à ce constat, nous faisons l’autruche et nous racontons des histoires en attendant la mort. Il y a là d’ailleurs une question générationnelle : Les retraités votent aussi pour Macron, car il perpétue cette promesse sur laquelle cette génération s’est construite, pas tous bien sûr, mais une majorité ;

Évidemment l’instruction joue un rôle central dans l’appareil de la vaine promesse de l’Homme Nouveau.

Les promesses n’engagent que ceux qui les croient

Politiquement, vous ne pouviez pas détruire 2 millions d’emplois ouvriers sans promettre un avenir meilleur aux enfants de vos victimes expiatoires.

Dommage, les enfants sont finalement plus cons, avilis plutôt que formés.

Plus nous distribuons de diplômes et plus la compétence baisse, plus nous distribuons d’argent et moins nous créons de richesses.

Nous vivons dans un monde où les signes d’intelligence et de compétence se multiplient aussi vite que les signes monétaires, mais où tout comme la monnaie, les compétences et l’intelligence réelles s’effondrent.

Tout comme la mauvaise monnaie chasse la bonne, la fausse compétence chasse la vraie. La promesse progressiste de l’Homme Nouveau est vaine : il s’agissait simplement de vous faire les poches et désormais la peau.

Avec la réduction des déficits publics, l’amélioration de notre système éducatif est sans doute la promesse la plus martelée et la moins bien tenue de ces 40 dernières années par les machins qui nous servent de représentants politiques et servent la

soupe de la Grande Arnaque du progressisme.

Notez que le problème n’est pas l’éducation nationale ni l’enseignement supérieur : ils ne sont pas défaillants, ils remplissent très efficacement leur fonction. Ils servent à merveille la promesse de l’Être Nouveau et repaient en monnaie de singe les naïfs qui ont osé y croire, élèves, parents, professeurs aussi et nombreux.

Cela se voit particulièrement bien dans les chiffres.

En France, plus le niveau de formation augmente et plus nous nous appauvrissons

En 1980, 20 % de la population française avait le bac et moins de 10 % un diplôme du supérieur.

En 2021 la proportion s’est inversée : 82 % de la classe d’âge a obtenu le bac et près de la moitié des 25-34 ans détient un diplôme du supérieur.

Pourtant cette hausse impressionnante des niveaux de diplômes NE s’est PAS accompagnée d’une hausse de l’activité en France qui stagne et cache une hausse de l’activité féminine et une baisse de l’activité masculine…

Le PIB par habitant est lui passé de 9 200 € (±60 000,00 F) à 37 000 € de 1980 à 2021 selon les chiffres de l’INSEE.

Corrigée de l’inflation, cette différence considérable se réduit comme peau de

chagrin à 30 000 € contre 37 000 € et encore n’est-ce que l’inflation officielle et si l’on corrige encore de l’endettement net, privé, public et hors bilan, on se rend compte que malgré des formations toujours plus longues et des diplômes toujours plus ronflants, nous produisons de moins en moins de richesses et nous appauvrissons en réalité et à grande vitesse désormais.

Un demi-siècle d’allongement de l’instruction et d’augmentation des niveaux de diplômes n’a apporté aucun enrichissement matériel ou immatériel (j’assume ici l’aspect nécessairement subjectif de l’immatériel) aux populations qui ont consenti cet effort.

La baisse des niveaux d’instruction a fini par atteindre tous les niveaux : aussi bien les populations qui n’atteignent pas le bac que celles qui complètent un premier cycle universitaire ou celles qui poursuivent des études longues. Signe tranchant que cette baisse atteint aussi les populations les plus éduquées : les niveaux des concours d’entrée aux grandes écoles de commerce et d’ingénieurs baissent eux aussi*.

L’escroquerie démontrée, nous pourrions nous arrêter -là, mais il y a du fruit à pousser l’analyse un peu plus loin.

Nos politiques de formation entravent activement leur adaptation

À la fin des années 1990, nous étions le pays de l’OCDE qui inscrivait le plus d’élèves en études supérieures, mais qui connaissait également le plus fort taux d’échec. Nous avons désormais un profil moyen, terriblement moyen, qui cache à peine d’immenses disparités et la pente descendante que nous parcourons.

Il est faux en revanche de vouloir nous cantonner à cette image d’étudiants désœuvrés qui s’inscrivent à l’université sans y mettre les pieds ni se présenter aux examens comme l’a encore fait Emmanuel Macron il y a un an en affirmant à tort que la moitié des étudiants de première année ne se présentait pas aux examens alors que 70 % obtiennent leur licence ce qui est comparable aux autres pays de l’OCDE.

Les étudiants de BTS en revanche ne sont que 58 % à aller jusqu’au diplôme. Et ce problème-là est autrement plus grave, notamment car il sanctionne aussi bien la défaillance d’instruction à l’entrée et l’absence de débouchés à la sortir pour ces populations.

Comment commencer à travailler plus jeunes et mieux formés

Pourtant, si nous regardons les systèmes d’instruction des pays les plus riches et fonctionnels aujourd’hui nous nous rendons compte qu’ils partagent 2 caractéristiques communes dans les statistiques de l’OCDE : ce sont des pays où nous observons à la fois un fort taux d’études supérieures ET un âge d’entrée sur le marché du travail précoce.

Taux de diplômés du supérieur dans les pays de l’OCDE
Participation au marché du travail des 15-24 ans des pays de l’OCDE

Il se trouve que nous avions les bonnes formations pour répondre à ces enjeux avec les BTS et DUT (désormais BUT) créés au début des années 1960. Nous avions tout ce qu’il fallait pour réussir cette adaptation… C’était sans compter l’idéologie et la destruction des études primaires et secondaires qui se sont propagées aux études supérieures.

Confrontés à une baisse du niveau général, des bacheliers des filières technologiques et générales se sont de plus en plus tournés vers des BTS et DUT, formations plus en lignes avec leur niveau et aspirations réelles. Plutôt que réformer le baccalauréat et les études secondaires, nous avons préféré forcer les BTS et DUT à prendre des quotas d’étudiants sortant des filières professionnelles. Nous avons tué le BTS et prenons désormais la même voix avec les DUT. Les taux de réussites aux examens sont inquiétants à 58 %, le chômage des diplômés, lui, est supérieur à la moyenne… Autant pour la professionnalisation en France qui ne sait pas plus former sa jeunesse que lui offrir des débouchés.

Il n’y a plus de professeurs en France : que font la première dame et la police ?

Enfin, signe de l’effondrement de notre système fort compréhensible d’ailleurs, nous sommes le pays de l’OCDE qui forme le moins d’enseignants ! Nous trônons sur cette dernière marche, nous portons cette tache honteuse. Avec 4,1 % de diplômés du supérieur en éducation, nous sommes derniers des 38 pays développés de l’OCDE qui forment 10,4 % d’enseignants en moyenne parmi leurs étudiants du supérieur.

Pensez-vous que cela toucherait une première dame professeure de lycée ?

Je ne sais ce qui pèse le plus entre les conditions exécrables, les salaires de misère ou le désaveu de notre société pour ceux qui forment le trésor de notre avenir…

Mais l’on trouve encore nécessaire de faire la guerre aux initiatives à la marge qui tentent de se libérer de la spirale d’échec de ceux qui prennent les diplômes pour des hochets et nos enfants pour les gardes rouges de leur idéologie mortifère.

L’unique raison de l’échec français

L’unique raison de l’échec français est la politisation à outrance de notre école et de notre enseignement qui conduit au sacrifice de la formation effective à l’autel du grand marchandage politique, la distribution de diplômes aussi vides que les promesses de lendemains meilleurs.

J’ai repris le thème de l’instruction après une note de l’inénarrable Patrick Artus, chef économiste de Natixis, qui nous a pondu une note tarte à la crème sur « la priorité absolue en France, c’est l’amélioration du système éducatif » qui fait baisser les compétences et augmenter le chômage. Pour Artus, tout se réglera naturellement une fois que nous aurons repris en main la formation de nos générations montantes… Mais pour faire quoi ? Et à quel prix ?

Former une population dispense-t-elle de faire de la politique ? Évidemment non. Mais comme souvent en France, la politique se mêle de ce qui ne la regarde pas pour mieux éviter les sujets sur lesquelles elle devrait agir.

Artus reprend la sempiternelle antienne de la formation, il contribue à la politiser toujours plus, laissant supposer que nous échouons depuis 40 ans non parce que la voie est mauvaise, mais parce que nous ne la descendons pas assez vite.

Laissez profs, parents, élèves et directeurs tranquilles !

Mais c’est tout l’inverse ! Arrêtez de vouloir réformer l’instruction en France et laissez libres ne serait-ce que 10 ans, directeurs, professeurs, parents et élèves de faire ce que bons leur semble au lieu de les entraver toujours davantage et de les perdre en réformes absconses.

Si demain l’Éducation Nationale disparaissait dans une grande nuée : quel mal cela ferait-il ?

Quel mal aux enseignants enfin libres de leur instruction ?

Quel mal aux directeurs enfin libres de leur recrutement, élèves et professeurs ?

Quel mal aux parents enfin libres de choisir leur école ?

Tout ce monde serait bien obligé de se responsabiliser, de se demander ce qu’ils veulent vraiment et des efforts qu’ils sont prêts à consentir.

Voyez déjà les niches d’enseignement libre, primaire, secondaire et supérieur auxquelles on fait la guerre et qui pourtant font florès.

Bien sûr que tout n’est pas perdu, voyez cette génération qui compense le déficit du nombre par un engagement héroïque, qui s’endurcit à ce feu, renforce sa détermination et ne demande qu’à éclore au premier rayon de soleil. Il dépend de nous, collectivement de faire éclore ce nouveau printemps ou de le tuer dans l’œuf.

Un peuple est toujours libre de refuser une loi

N’oubliez pas qu’une loi ne vaut jamais qu’à mesure qu’elle est appliquée : aucun parlement, aucune police, aucun gouvernement ne peut quoi que ce soit contre une population que refuse une loi collectivement, qui en devient inique en système démocratique.

Bien sûr, cela demande un saut dans l’inconnu, l’espérance que d’autres, en nombre suffisant, feront le même choix. Il s’agit en somme de redevenir un peuple, de reprendre ce dont ils vous ont privés depuis un demi-siècle.

À votre bonne fortune,

Guy de La Fortelle

PS Les statistiques utilisées pour cette lettre proviennent essentiellement de l’OCDE et de la Banque mondiale afin de permettre des comparaisons internationales et dans le temps.

https://www.oecd-ilibrary.org/docserver/f8d7880d-en.pdf?expires=1683382257&id=id&accname=guest&checksum=127257E35EB9BAE5083B6DCB7FF5E1CB

https://data.worldbank.org/indicator/SE.TER.ENRR?end=2020&locations=FR-DE-OE-CH&start=1971

* Il y a 20 ans, mes professeurs nous disaient que le niveau des élèves arrivant en classe préparatoire chutait d’année en année, mais que les concours se maintenaient, nous forçant à un effort considérable pour rattraper l’échec de l’enseignement secondaire. Cela ne pouvait durer éternellement et les niveaux des concours ont fini par baisser. Point de statistiques ici, il suffit de regarder les annales des concours.




France — démission massive de maires depuis 2020

[Photo : @LudovicRochette]

Par Gérard Le Maître

1293 Maires ont démissionné depuis 2020 dans le silence du gouvernement et des médias, sauf pour UN !!

Depuis les dernières élections municipales en 2020, 1 293 maires ont démissionné. De nombreux conseillers municipaux ont fait le même choix. Ce qui semble traduire un malaise aux causes multiples, selon le directeur du Cevipof, Martial Foucault.

Les démissions d’élus locaux atteignent un niveau « jamais vu » selon le président de l’association des maires de France, David Lisnard. Un phénomène qui s’explique par plusieurs difficultés rencontrées par les élus. Entretien avec le directeur du Cevipof, le centre de recherches politiques de Sciences Po, Martial Foucault, auteur de Maires au bord de la crise de nerfs, publié en 2020.

Accroissement des normes, dégringolade des budgets alloués par L’État…

Selon l’AMF, ces causes sont un accroissement de la bureaucratie et des normes imposés par l’État — un cheval de bataille constant de son président David Lisnard — comme un recul de la capacité d’agir des maires et de leurs moyens en raison de la suppression par l’État de la fiscalité locale, de la baisse des dotations en volume et des conditions (rémunération, droits sociaux, fonctionnement des équipes municipales) de moins en moins attractives.

Lassitude des élus

« Il ne faut pas le nier, il y a un malaise, une lassitude des élus dans leur mission » 

Dominique Faure, la ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales, a reconnu le phénomène, devant les sénateurs, le 5 avril. (([1] https://territorial.zepros.fr/actualites/1293-demissions-maires-depuis-ete-2020
https://www.radiofrance.fr/franceculture/demissions-des-maires-c-est-un-acte-politique-tres-fort-8133058))

Le maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, jette l’éponge et s’en va…

Pourquoi celui-ci, le seul parmi les 1292 autres, suscite autant l’attention des politiques au plus haut niveau à peine annoncée sa démission prochaine : 

  • — Le président de la République a dit la « solidarité » de « la Nation », ce jeudi, après la démission de Yannick Morez, maire de Saint-Brevin-les-Pins alors que l’encre de sa lettre de démission n’est pas encore sèche…
  • — Élisabeth Borne promet de « mieux protéger les maires »

Mais qui est donc ce Maire de Saint Brévin pour que sa démission, une parmi tant d’autres, déclenche un tel barouf tout en haut de L’État ? 

La commune de Saint Brévin (14 400 H.) a beaucoup fait parler d’elle ces derniers mois parce qu’un mouvement de résistance s’est constitué contre ce maire qui a voulu imposer un centre pour immigrés sans même en avoir averti sa population ni son conseil municipal.

Yannick Morez, maire (Divers Centre) de Saint-Brevin (44) s’est rendu célèbre en étant le promoteur et l’ardent défenseur d’un projet de CADA jouxtant l’école maternelle et l’école primaire de la Pierre Attelée.

Devaient venir dans ce CADA 120 Africains hommes qui, pour accéder au CADA, devaient passer par la porte de l’école.

Évidemment, de nombreux parents d’élèves se sont émus de ce projet insensé, faisant notamment valoir la nécessaire mise en œuvre du « principe de précaution » s’agissant de la sécurité des enfants, car si tous les migrants ne sont pas de dangereux individus, il pourrait s’en trouver qui le soient et les parents d’élèves refusent de faire prendre le moindre risque à leurs enfants…

Et un mouvement d’ampleur à l’instar de celui qui a fait capoter un projet semblable à Callac (Côtes-d’Armor) s’est beaucoup mobilisé avec le soutien de Reconquête d’Éric Zemmour et donc étiqueté à droite et des affrontements ont eu lieu avec des manifestants de gauche, d’extrême gauche, tous les médias dans cette affaire ne parlent que de l’extrême droite qui serait même responsable de l’incendie de la maison du maire….

Pierre CASSEN, meneur de ce mouvement anti-cada, raconte sur son ton habituel :

« Bien sûr que cet incendie criminel ne peut venir que de l’extrême droite raciste, puisque tous les médias le disent ! Comme les agressions des librairies conservatrices, à Paris, Nancy ou au Puy, ou comme les agressions des journalistes indépendants Jimmy Léopold ou Vincent Lapierre, et celles des 50 militants de Reconquête frappés par des antifas durant la dernière campagne.

Et comme l’attaque du meeting de Jordane Bardella à Rennes.

Et comme la volonté d’interdire Éric Zemmour de dédicace à Villeurbanne ».

Les racistes d’extrême droite qui menacent la République et la démocratie, je vous le dis, c’est eux !(([2] https://pierrecassen.com/2023/03/23/maison-du-maire-incendiee-et-si-cetaient-les-fachos-de-gauche/))

Projet de Loi Immigration reporté, mais pourrait être examiné finalement dès le mois de juillet alors qu’il était reporté à septembre : profiter de la période de vacances d’été alors que les Français penseront à autre chose  ?

Emmanuel Macron a dévoilé jeudi les contours du futur projet de loi sur l’immigration, qui doit être présenté début 2023. Parmi les mesures possibles, l’une d’elles a particulièrement retenu l’attention : envoyer des réfugiés à la campagne.

[Voir aussi :
L’immigration]

Le but affiché est de mieux répartir le flux de migrants que la France peine à juguler. Le chef de l’État a ainsi annoncé que « les conditions de leur accueil seront bien meilleures que si nous les mettons dans des zones qui sont déjà densément peuplées, avec une concentration de problèmes économiques et sociaux massifs ».(([3] https://www.cnews.fr/france/2022-09-16/installation-de-migrants-la-campagne-le-grand-remplacement-est-pour-emmanuel))

Ce serait même 29 et non 21 Lois immigration depuis 1986 ! 




Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial

[Source : multipolaristen.de via RI]

Notre lutte antisataniste, la cinquième colonne et la desouverainisation généralisé

Une contribution à la méthodologie multipolariste

Par Peter Töpfer

Pour assurer la victoire de la multipolarité et la défaite de l’unipolarité sataniste, il s’agit pour nous, en Europe centrale et en Occident, de soutenir les forces patriotiques russes en tant qu’avant-garde de la multipolarité, mais aussi et surtout de ne pas soutenir ce que Alexandre Douguine appelle la cinquième colonne à l’intérieur de la Russie, c’est-à-dire les agents satanistes.  

Bien entendu, nous devons faire de même en Europe centrale et en Occident : lutter pour l’indépendance et la souveraineté de notre pôle, c’est-à-dire unir toutes les forces multipolaristes sur place. C’est nécessaire pour pouvoir mener victorieusement ce combat difficile. 

En Europe centrale et en Occident, notre devoir ne peut pas être de fermer les yeux sur l’existence d’une cinquième colonne. Nous devons essayer de faire la distinction, dans chaque situation, entre les forces patriotiques multipolaires et la cinquième colonne. Et nous devons veiller non seulement à combattre l’ennemi évident, mais aussi à ce que la cinquième colonne ne s’installe pas dans nos rangs ou que nous ne la laissions pas faire par confort et par paresse d’analyse. Penser en noir et blanc est d’une belle simplicité. 

Il ne faut en aucun cas sous-estimer la cinquième colonne. Si nous le faisons, nous courons tout droit — et dans l’illusion de résister — vers le cauchemar unipolaire qui se profile déjà clairement à l’horizon proche. 

Lorsque nous définissons les représentants des forces mondialistes au pouvoir d’un pays, nous avons généralement à l’esprit un groupe relativement restreint, infiltré au sein du système politique et administratif, qui sert les intérêts de l’ennemi extérieur. Et l’ennemi extérieur dans ce contexte est ce centre de commandement unique et extraterritorial associé aux élites anglo-saxonnes et aux États-Unis, qui impose un programme unique à tous les pays du monde. Mais avec le déclenchement de la fausse pandémie en 2020, on a vu que ce qu’on appelle habituellement la cinquième colonne n’est pas seulement un nombre limité, à des postes secondaires dans le système politico-administratif de ces pays, mais même les chefs d’État et toute l’équipe gouvernementale. Dans de tels cas, le terme « cinquième colonne » est trop restrictif et trop partiel, et la formulation la plus précise de ces nouvelles réalités géopolitiques serait la suivante : « régime d’occupation » ou peut-être « gouvernance étrangère ». 

En fait, à mon avis, il est nécessaire de dépasser certaines interprétations superficielles des réalités internationales d’aujourd’hui, fondées sur une grille de lecture dépassée ou déformée. Le moment est venu de reconnaître que la tâche assignée par les élites mondialistes au Club de Rome au titre d’élaborations théoriques et à l’ONU au titre d’exécution a été pleinement accomplie. Il s’agit du processus de desouverainisationde tous les pays du monde. Au-delà des rivalités et des conflits entre un certain nombre de pays et l’Occident collectif, un agenda unique apparaît de manière flagrante, imposé par des organisations internationales affiliées aux mondialistes, mais aussi par la tendance commune à promouvoir les mêmes politiques partout dans le monde.

Une évolution vraiment libre vers la multipolarité réelle ne peut toutefois pas être un simple slogan vide de sens, mais doit avoir un contenu et des critères concrets pour nous démarquer de l’ennemi. Si nous ne mettons pas clairement en évidence ces contenus, nous courons aveuglément à notre perte, et Satan ne s’arrête plus de rire.

Afin de garder ces critères à l’esprit et d’en désigner le contenu comme objectif de notre lutte, le catalogue des facteurs, tel qu’il a été établi par Iurie Roşca dans sa contribution à la Conférence internationale sur la multipolarité du 29 avril 20231, peut nous être utile. Iurie Roşca est l’un des militants multipolaristes et antisatanistes les plus éprouvés, ami et compagnon de lutte de longue date d’Alexandre Douguine. 

Ces facteurs — et le fait qu’ils se réalisent partout allègrement sous nos yeux — devraient tempérer quelque peu l’optimisme de certains compagnons de lutte trop naïfs et aider à renforcer la vue, pour ne pas dire à guérir la cécité. Il s’agit des facteurs suivants : 

Premier facteur : la pandémie Covid-19 [NDLR ou plus généralement la théorie virale et sa théorie mère, celle des germes, sans lesquelles aucune « plandémie » n’est possible] et sa réédition possible à tout moment comme accélérateur de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et l’OMS comme instrument du gouvernement mondial. 

Deuxième facteur : la technologie 5G en tant que menace pour la santé publique et en tant qu’instrument de contrôle et de commande mentale et comportementale.

Troisième facteur : la société sans argent liquide et la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC — Central Bank Digital Currency) comme fin imminente de la liberté humaine.

Quatrième facteur : l’introduction de documents électroniques pour un contrôle total. [NDLR Ou l’emprise d’Internet]

Cinquième facteur : les smart cities, les smart things, les smart bodies comme fin de la vie privée et éléments constitutifs du goulag mondial. [NDLR ou l’Intelligence Artificielle et l’informatique en général]

Sixième facteur : le mythe du changement climatique et l’escroquerie du « réchauffement climatique [anthropique] » comme élément significatif de la transformation de notre monde selon la matrice sataniste. [NDLR ou plus généralement le fanatisme écologique.]

Iurie Roşca ajoute comme septième facteur tous les signes du transhumanisme et de son frère jumeau, la technocratie, comme forme finale de la dictature mondiale satanique. Tous les pays ne seraient plus, selon Iurie Roşca, qu’en concurrence pour s’introduire le plus rapidement possible dans la « nouvelle normalité ». 

[Note de Joseph : ces sept facteurs sont liés au départ à une utilisation dévoyée ou sans conscience de la science et tous reposent sur l’informatique.
La théorie virale l’utilise pour notamment les séquençages génétiques qui s’avèrent n’être finalement que des opérations mentales. (Voir le dossier Vaccins et virus.)
La 5G est pilotée par l’informatique et l’électronique sous-jacente.
La CBDC, les documents électroniques, l’IA et le transhumanisme ne peuvent exister sans l’informatique.
Et le fanatisme écologique, notamment en matière climatique, s’appuie sur des modélisations logicielles. D’ailleurs, la science en général s’appuie de nos jours sur de tels modèles.
Sans l’informatique, tout cela, tous les « miracles » technologiques modernes n’existeraient pas.
Celle-ci a probablement été représentée dans l’Apocalypse de Jean par la Bête de la terre, bête qui pouvait aussi symboliser le pays sans qui elle ne serait pas devenue ce qu’elle est actuellement : les États-Unis avec ses deux pouvoirs (ou cornes) interchangeables que sont les Républicains et les Démocrates.
L’informatique repose sur le silicium, l’élément le plus abondant de la croûte terrestre après l’oxygène, notamment du fait de sa présence dans le sable des plages et des déserts.
Bill Gates est né aux États-Unis, a mondialisé l’usage de l’informatique via Microsoft, a prophétisé le smartphone et d’autres éléments liés à l’informatique, a été longtemps l’homme le plus riche du monde grâce à elle, pousse à la vaxination des milliards d’êtres humains pour leur implanter sa marque digitale (sous forme d’adresse MAC — voir notamment https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/), sans laquelle en combinaison avec la 5G ou la proche 6G et les non moins proches CBDC il ne sera bientôt plus possible d’acheter et de vendre. Quel meilleur candidat Antéchrist ?
Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
et Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique]

Partout où ces facteurs se manifestent, l’ennemi et sa cinquième colonne sont reconnaissables. C’est à l’aune de ces facteurs que tous les acteurs doivent être jugés. Pour pouvoir classer les acteurs, nous ne devons pas attendre que des attentats soient perpétrés contre eux ou qu’ils soient encensés par les médias occidentaux. Seuls les critères énumérés ci-dessus peuvent nous aider à faire la distinction point par point entre amis et ennemis : entre l’unipolarité sataniste et la multipolarité réelle, fondée sur l’indépendance des pôles géopolitiques en tant qu’expression de l’identité civilisationnelle, religieuse et culturelle.

Il semblerait que le « Great Reset » des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC, etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident.

Le projet mondialiste unique et uniformisant pour tous les pays sans exception est promu notamment à travers l’ONU, comme dans le cas de l’Agenda 21 pour le Développement Durable (climatisme, théorie du genre, féminisme, planification familiale, etc.), ainsi qu’à travers La Banque des règlements internationaux (le contrôle des banques centrales et l’imposition de la monnaie numérique). 

Un autre facteur dévastateur et homogénéisant, ce tsunami de culture de masse qui impose des modèles de vie, des fausses valeurs et une standardisation vestimentaire qui efface toute identité culturelle traditionnelle.

Dans ces conditions, alors que le monde est déjà globalisé par la révolution technologique, les différences entre les pays et les cultures se dissolvent à une vitesse énorme. Et aucun État, aucun chef d’État ou aucune force politique ne semble s’opposer à ces phénomènes d’homogénéisation qui conduisent le monde vers une unipolarité technocratique d’essence démoniaque. Dès lors, la tâche des intellectuels de la Résistance antimondialiste est d’établir un diagnostic juste et honnête de l’état du monde aujourd’hui afin de proposer des solutions pratiques pour sortir de cette impasse historique qui risque de pousser l’humanité dans une phase terminale.

Pour être plus direct encore, je dirais qu’à mon avis un homme d’État qui adhère au principe de multipolarité ne peut pas en même temps promouvoir la politique mondialiste à l’intérieur de son pays. Un homme d’État qui s’opposerait à l’unipolarité satanique serait celui qui rejette résolument le plan de gouvernement mondial unique imposé par les méthodes et les instruments énoncés ci-dessus. Et celui qui adhère à l’agenda décrit ci-dessus est le représentant direct de la cinquième colonne mondialiste dans son propre pays. Si quelqu’un connaît de tels dirigeants nationaux, merci de me le faire savoir. Un débat ouvert et franc à ce sujet serait le bienvenu.

[À propos de l’auteur]

Peter Töpfer : auteur de livres, éditeur, journaliste, traducteur, poète, musicien, directeur de l’Institut pour la vérité des profondeursdepuis 1977 dans la lutte anti-globaliste1989 : reporter de révolution en RDA et en Roumanie1989 : hebdomadaire conservateur „Der Montag“1989 : Cofondateur du Parti pour la réunification de l’Allemagne1995–1997 : Cofondateur Verlag der Freunde (Éditions des amis), auteur entre autres : Anatoli Ivanov, Igor Chafarevitch, Alexandre Routskoï, Reinhold Oberlercher, Serge Thion, magazine Sleipnir, auteurs entre autres : Alexandre Barkachov, Alain de Benoist, Christian Bouchet, Alexandre Dougine, Roger Garaudy, Pierre Guillaume, Tomislav Sunic, Jean Thiriart, 1997–2000 : auteur des Staatsbriefe1999 : avec Hans Cany (France) et Troy Southgate (Angleterre) fondeur du national-anarchisme2004–2006 : Cofondateur du comité « Liberté pour Horst Mahler ! »2006 : Participation à la conférence sur l’Holocauste à Téhéran avec le discours „Sauver l’Occident !“, publié dans : „Исследование Голокауста“ (2007, édition Алгоритм, Moscou)2015 : double CD „Wachablösung“ [Relève de la garde] : reprises allemandes autorisées par Bob Dylan avec essai „I’m not there / Ich bin nicht da“2015–2017 : auteur de Compactà partir de 2021 : travail de réflexion intensif sur les pensées d’Alexandre Dougine2022 : préface pour Alexandre Dougine : « Eurasische Mission » (édition allemande) : « Das Radikale Subjekt als Katechon » [Le sujet radical comme katechon], Publications de livres : nationale Anarchie (2004), Nationalanarchismus (2004), Gedichte [poèmes] (2005), Den Westen retten! [Sauver l’Occident !] (2006), Die Wahrheit — sie sagen und in ihr leben [La vérité — la dire et la vivre, base théorique de la vérité des profondeurs (2006), Pan-Agnostik. Für ein theistisch-agnostisches Bündnis im Kampf gegen den Great Reset [Pan-Agnostique. Pour une alliance théiste-agnostique dans la lutte contre le Great Reset] (2023), Traducteur de Serge Thion, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Robert Faurisson, Jean Raspail, Jean Mabire, Gilad Atzmon, Robert Dun, Sites Internet : https://peter-toepfer.de/, http://blog.peter-toepfer.de/, https://nationalanarchismus.de/, http://tiefenwahrheit.de/, https://multipolaristen.de/, http://peter-post.net/, http://faultierfarm.net/plus d’information


1 https://multipolaristen.de/multipolaristen/politik/internationale-politik/iurie-rosca-der-great-reset-und-das-ende-der-klassischen-geopolitik-30-04-2023/




La Grande-Bretagne et la Grande Réinitialisation du roi Charles

[Source : marie-claire-tellier via RI]

Traduction Marie-Claire Tellier

Par Matthew Ehret

Cette semaine, le monde a été exposé à un aspect troublant, archaïque et bizarre de la pagination, que l’on n’avait pas vu depuis plus de 70 ans, avec le couronnement du roi Charles III en tant que chef du Commonwealth britannique mondial, chef de l’Église anglicane et porte-parole d’un programme appelé Global Britain qui a été mis en ligne en tant que mandat officiel du parti conservateur en 2021.

Après avoir géré un empire mondial d’asservissement économique et avoir envahi presque toutes les nations de la Terre à un moment ou à un autre1, la Grande-Bretagne continue d’exercer un vaste contrôle sur les concessions minières d’Afrique avec plus de 1 000 milliards de dollars d’intérêts miniers directs contrôlés par des sociétés britanniques et/ou basées dans le Commonwealth britannique. Selon le rapport 2016 produit par War on Want 2 :

« 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres (LSE) — dont la plupart sont britanniques — ont des activités minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Elles contrôlent collectivement les ressources les plus précieuses de l’Afrique pour une valeur de plus de 1 000 milliards de dollars. Le gouvernement britannique a usé de son pouvoir et de son influence pour s’assurer que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale et c’est encore le cas aujourd’hui ».

La City

Comme je le souligne dans mon nouveau livre The Anglo Venetian Roots of the Deep State, le « mile carré » appelé la City de Londres (une entité juridique distincte de Londres elle-même) est le centre névralgique de la finance mondiale, la Banque d’Angleterre et les paradis fiscaux offshore du Commonwealth dirigeant des milliers de milliards de dollars de blanchiment d’argent de la drogue, de financement du terrorisme et d’autres pratiques corrompues à l’échelle mondiale. La souveraineté de la City, qui échappe à toute juridiction nationale, a été consacrée par la « Magna Carta » oligarchique de 1214, qui a fait de la place financière une société supranationale capable de gérer ses propres forces de police et son propre système judiciaire… qu’elle continue d’entretenir 800 ans plus tard.

Au cours des 183 années qui se sont écoulées entre 1763 et 1946, période pendant laquelle la suprématie britannique unipolaire a exercé la plus grande influence directe sur le monde, les nations appauvries du monde se sont retrouvées encore plus appauvries, moins capables d’acquérir des moyens de production industrielle et plus en guerre avec elles-mêmes et avec leurs voisins par le biais de la tactique « diviser pour régner ». Comme cet empire a pris la forme de la « relation spéciale » anglo-américaine après 1945, cette tendance n’en a été qu’exacerbée.

Le rôle déterminant des services de renseignement britanniques

Du point de vue des opérations de renseignement au niveau mondial, la Grande-Bretagne est le créateur et la structure de commandement centrale de l’appareil de renseignement des Cinq Yeux. Elle a également été surnommée le « Londonistan » pour avoir fourni des refuges aux groupes terroristes internationaux qui ont trouvé refuge dans l’idéologie libérale de surface de la Grande-Bretagne tolérante3.

Les services de renseignement britanniques ont également contribué à la création et/ou ont continué à soutenir des groupes terroristes à l’échelle internationale, comme le souligne Michael Billington, chercheur à l’EIR, dans le rapport British Creation and Control of Islamic Terror (2020) : Background to China’s Defeat of Terror in Xinjiang4.

Tout en nourrissant le terrorisme mondial et l’islam radical, les services secrets britanniques n’ont pas perdu de temps pour cultiver les variantes les plus enragées du sionisme politique, et ont créé l’État d’Israël lui-même à partir du programme de la Table ronde/Société Fabienne, que l’on a fini par appeler « les accords Balfour ». L’histoire de la création par la Grande-Bretagne du sionisme politique et du christianisme croyant en l’Enlèvement de l’Église est décrite dans un épisode de 2021 du Grand Jeu :

The Strategic Hour: Wuhan Labs, Zionism, Rapture and the Creation of Synthetic Cults

Dans cet épisode de l’Heure Stratégique sur Rogue News, Matt Ehret démonte les mensonges et les fausses pistes qui conduisent les Occidentaux à croire que la main du mal qui façonne la Grande Réinitialisation et la fabrication du Covid-19 comme arme destinée à renverser l’ordre mondial est la Chine. Nous examinons les preuves de cette fraude et explorons le modus operandi des techniques anglo-américaines d’utilisation de la terreur biologique sur les populations à l’étranger et à l’intérieur du pays depuis plus d’un siècle, ainsi que la création par les francs-maçons britanniques de cultes qui ont armé des groupes de juifs et de chrétiens à la fin du 19e siècle pour conduire un mouvement géopolitique de « fin des temps » qui s’exprime aujourd’hui dans la montée des néocons, le Projet pour un nouveau siècle américain et la nouvelle ère de la guerre des armes biologiques après le 11 septembre 2001. Nous explorons comment les techniques de mauvaise orientation et de tromperie ont été utilisées pour créer la guerre froide à l’aide d’un canular connu sous le nom d’« affaire Gouzenko », qui utilisait des preuves falsifiées élaborées par les services secrets britanniques pour persuader les imbéciles occidentaux que leur ancien allié, la Russie, devait être détesté et craint plutôt que respecté, ce qui a donné naissance à un ordre mondial dystopique. Nous explorerons également comment la même formule utilisée dans le canular de Gouzenko a été réutilisée dans le cas du 11 septembre pour justifier une nouvelle ère de terreur à l’étranger et la montée d’un État de surveillance à l’intérieur du pays. La pièce de Shakespeare Othello, que Matt et V explorent comme le meilleur antidote aux opérations psychologiques impériales, reste la clé principale pour percer le secret des arts obscurs du contre-espionnage utilisés par les empires depuis l’époque de Babylone jusqu’à aujourd’hui.

Alors que la Chine a accordé des prêts à grande échelle pour des corridors de transport, de nouvelles zones industrielles et des investissements dans le charbon, le pétrole, le gaz naturel, l’hydroélectricité et l’énergie nucléaire à des pays qui ont désespérément besoin d’un véritable développement, la Grande-Bretagne et ses cohortes américaines/européennes ont passé des décennies à n’accorder que des prêts assortis de conditions et de technologies vertes « appropriées » qui empêcheront à jamais l’Afrique ou d’autres nations pauvres de se tenir debout sur leurs deux pieds.

L’idée de Global Britain a toujours eu en son cœur le concept d’un Commonwealth britannique intégré avec les Five Eyes à la tête du renseignement, la City de Londres à la tête de la finance et les structures héréditaires du pouvoir centrées autour de la Couronne en tant que source titulaire de tous les honneurs par lesquels toutes les branches de l’État profond international dérivent leurs pouvoirs.

Les agents de la Couronne

Depuis 1833, la Grande-Bretagne est gérée par un système pseudo-privé d’agents de la Couronne, aujourd’hui appelés agents de la Couronne pour le gouvernement et l’administration d’outre-mer. Ce vaste organisme existe en tant que statut semi-officiel et se décrit comme « une émanation de la Couronne ». Il est extrêmement actif en Europe centrale et orientale et se concentre principalement sur le système économique, énergétique et de gestion de la santé de l’Ukraine. L’agence est partenaire de la Banque mondiale, des Nations unies et de la Fondation Bill et Melinda Gates et agit comme une gigantesque société de portefeuille dont l’un des actionnaires est la Fondation des agents de la Couronne, basée à Southwark, à Londres.

Créé dans les années 1930 pour donner un nouveau visage à l’Empire britannique, le Commonwealth britannique occupe aujourd’hui un territoire de 12,2 millions de kilomètres carrés, compte 2,4 milliards d’habitants et représente 21 % de la superficie mondiale. Pour ceux qui croient encore au mythe de la disparition de l’Empire britannique après la Seconde Guerre mondiale, il est intéressant de comparer les cartes du Commonwealth et de l’Empire.

Le fait est que l’Empire britannique continue d’exercer une vaste influence sur les affaires du monde. Bien qu’il ait théoriquement disparu après la Seconde Guerre mondiale, cédant la place à un « Empire américain », Global Britain est simplement une tentative d’expliciter ce qui a toujours été vrai. Aujourd’hui, les stratèges qui gèrent la « fête de sortie » de l’agenda Global Britain tentent désespérément de positionner le Commonwealth comme le centre d’une nouvelle ère post-résolution.

En tant qu’institution entièrement organisée autour d’institutions héréditaires, la pièce maîtresse de la continuité de cette réforme repose sur une famille régnante occupant la position de Prima inter pares officielle autour de laquelle l’ensemble de la structure de contrôle peut exercer son influence.

A l’époque actuelle, ce rôle est dévolu à une certaine créature consanguine du nom de Charles.

La reine est morte, vive le roi

« London Bridge is Down », tels sont les mots de code prononcés par le secrétaire privé de la reine, Edward Young, à l’intention des hauts fonctionnaires lors du décès de la reine Élisabeth II.

Ce code a été choisi dans le cadre d’un protocole plus large appelé étrangement « opération Licorne » pour des raisons qui dépassent l’imagination la plus folle de cet auteur et qui déclenche une série d’actions culminant avec l’onction du Prince Charles comme nouveau Roi de Grande-Bretagne et du Commonwealth.

Les Canadiens qui pensaient ne plus être contraints de regarder leur Premier ministre déclarer servilement ses serments de fidélité (et ses serments de secret) à un monarque consanguin siégeant de l’autre côté de l’océan, comme cela s’était produit en 2017, seront très déçus.

Justin Trudeau prête serment Justin Trudeau a officiellement prêté serment en tant que 23e Premier ministre du Canada. Trudeau a prêté serment à Rideau Hall, à Ottawa, mercredi. (4 novembre) LA PRESSE CANADIENNE
https://twitter.com/cdnpress
https://www.facebook.com/thecanadianpress

Avons-nous bien compris ?

La loi canadienne sur les serments parlementaires de 1866 exige que les deux chambres du Parlement prêtent serment d’allégeance après la mort de tous les monarques en exercice. C’est exact, chaque membre du gouvernement soi-disant « élu et démocratique » du Canada doit prêter serment de fidélité non pas au peuple ou à une constitution inexistante, mais à une lignée familiale consanguine à l’autre bout du monde.

Des serments similaires ont été lus par les élus de tous les autres États membres du Commonwealth Five Eyes.

Il convient donc de se demander si l’institution des pouvoirs héréditaires dont Charles a hérité n’est qu’une cérémonie sans substance ni influence réelles.

Bien que la majorité des citoyens, y compris les sujets britanniques, pensent que c’est le cas, les faits indiquent une réalité très différente.

Le prince Charles : le plus grand propriétaire foncier du monde

Cela vous surprendra peut-être, mais la Couronne britannique est le plus grand propriétaire foncier du monde, avec des possessions s’élevant à 6,6 milliards d’acres en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Irlande du Nord, au Canada, en Grande-Bretagne et dans les îles Malouines5.

[NDRL Selon d’autres sources (bien évidemment « complotistes »), la « Couronne » désignerait en réalité le syndicat ou groupe privé propriétaire de la City de Londres. Voir par exemple, en anglais :
https://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/sociopol_globalelite177.htm
https://wakeup-world.com/2013/11/05/the-crown-empire-and-the-city-of-london-corporation/
https://steemit.com/sovereign/@sadcorp/the-crown-city-of-london-8ad6750f28f07
En français :
https://reseauinternational.net/trois-corporations-dirigent-le-monde-la-ville-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/
https://www.divulgation.fr/actu-politique/trois-societes-dirigent-le-monde-la-city-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/]

Outre les « Crown Lands » et les « Crown Corporations » qui appartiennent légalement au monarque britannique, une organisation appelée « The Crown Estate » est l’un des plus grands groupes immobiliers au monde. Die Welt Business décrit ainsi cette institution qui verse chaque année 25 % de ses revenus directement dans la bourse du monarque6 :

« Le Crown Estate possède des biens immobiliers dans tout le Royaume-Uni, des châteaux et des cottages aux terres agricoles et aux forêts, en passant par les parcs commerciaux et les centres commerciaux. Il possède plus de la moitié du littoral britannique, ce qui lui confère des droits de vente aux enchères extrêmement précieux pour les activités commerciales en mer, telles que les parcs éoliens ».

La Couronne contrôle la quasi-totalité des fonds marins (et la moitié du littoral) du Royaume-Uni. Toute entreprise souhaitant construire des éoliennes en mer dans le cadre du « Green New Deal » est obligée de louer ses fonds marins à la Couronne. Byline Times note que la Couronne deviendra « le plus grand bénéficiaire de l’agenda vert du Royaume-Uni », qui a récemment dévoilé un plan en 10 points pour une « révolution verte » et une décarbonisation complète d’ici à 2050. Pour ceux qui ne comprennent pas l’explosion des prix des sources d’énergie inefficaces dans toute l’Angleterre, ils ne pourraient pas aller bien loin sans apprécier le gâchis des fermes éoliennes, subventionnées par le contribuable.

Le prince Charles lui-même a démontré qu’il ne considérait certainement pas la Couronne comme une entité symbolique et a été accusé de « lobbying incontinent » en 2013 lorsque des dizaines de lettres personnelles (surnommées les « Black Spider Memos ») adressées à des députés et au Premier ministre ont été rendues publiques après une intense bataille juridique pour les garder secrètes. Le biographe officiel de Charles, Jonathan Dimbleby, a même écrit en 2013 qu’après la succession de Charles à la Couronne, les choses deviendraient beaucoup plus concrètes et « qu’une révolution constitutionnelle tranquille se préparait »7.

Les pouvoirs de prérogative sont réels

Bien que de nombreux efforts soient déployés pour présenter les pouvoirs de prérogative de la Couronne comme purement symboliques, ils couvrent presque toutes les branches de la gouvernance et ont parfois été utilisés… bien que les sphères d’influence britanniques où ils s’appliquent le plus soient généralement tellement autorégulées qu’elles ne nécessitent que très peu d’intervention de la part d’une influence extérieure pour les maintenir dans le droit chemin.

Ces pouvoirs ont été révélés publiquement pour la première fois en 2003 et dans un article intitulé « Mystery Lifted on the Prerogative Powers »8, le London Guardian a noté que ces pouvoirs comprennent (mais ne sont pas limités à) :

« Les affaires intérieures, la nomination et la révocation des ministres, la convocation, la prorogation et la dissolution du Parlement, la sanction royale des projets de loi, la nomination et la réglementation de la fonction publique, l’engagement d’officiers dans les forces armées, la direction de la disposition des forces armées au Royaume-Uni (et dans d’autres nations du Commonwealth), la nomination du Queen’s Counsel, la délivrance et le retrait des passeports, la prérogative de la miséricorde. (S’appliquait dans les cas de peine capitale. Encore utilisée, par exemple pour remédier à des erreurs dans le calcul de la peine), l’octroi de distinctions honorifiques, la création de sociétés par charte, les affaires étrangères, la conclusion de traités, la déclaration de guerre, le déploiement de forces armées à l’étranger, la reconnaissance d’États étrangers, ainsi que l’accréditation et l’accueil de diplomates ».

Lorsqu’un projet de loi a été présenté au Parlement en 2009 proposant de limiter ces pouvoirs, un examen du ministère de la Justice mené par le Conseil privé a conclu que de telles limitations « affaibliraient dangereusement » la capacité de l’État à répondre à une crise, et le projet de loi a été rapidement rejeté9.

Au niveau provincial, nous trouvons des lieutenants-gouverneurs qui (au Canada) sont membres des Chevaliers franc-maçons de Saint-Jean de Jérusalem.

Le roi Charles et la Grande Réinitialisation

Le 3 juin 2020, Charles a démontré cette approche plus pratique de la gouvernance en devenant le patron officiel de la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial et en lançant officiellement le projet en tweetant #TheGreatReset (La Grande Réinitialisation).

Sur son site officiel, le Prince a lancé le projet en déclarant :

« Aujourd’hui, par l’intermédiaire de l’initiative de HRH pour des marchés durables et du Forum économique mondial, le Prince de Galles a lancé une nouvelle initiative mondiale, la Grande Réinitialisation ».

Un éco-guerrier, roi d’une nouvelle croisade

Charles a fait preuve d’un enthousiasme pour la décarbonisation du monde que l’on ne trouve généralement que chez un fanatique religieux qui s’érige en éco-guerrier des monarques, en roi croisé d’une nouvelle religion, sauf qu’au lieu des musulmans de Terre sainte, nos nouveaux croisés écolos connectés à Davos ont ciblé le dioxyde de carbone et la civilisation industrielle, l’agriculture et les mangeurs inutiles qui en sont la cause, comme étant la menace empoisonnée qui doit être détruite. Charles semble se voir marcher sur les traces de son père fondateur du WWF en tant que nouveau porte-parole principal d’une transformation totale de la société sous l’égide d’un sacerdoce de la gouvernance verte du WEF.

L’édition de juillet 2022 du Spectator australien a bien caractérisé l’activisme misanthropique de Charles dans les termes suivants :

« L’environnementalisme dont le prince a décidé de s’occuper en attendant de monter sur le trône n’est pas une sorte d’activité apolitique et inoffensive de plantation d’arbres ou de sauvegarde de la forêt tropicale. Il ne fait pas de câlins aux pandas et ne finance pas de refuges pour les animaux sauvages. Au contraire, il s’est engagé dans une entreprise hybride et un soulèvement politique qui menacent la survie du système politique qu’il est censé superviser. En plus d’être une trahison du citoyen ordinaire, ses actions représentent un manquement à son seul devoir en tant que futur roi : protéger la monarchie constitutionnelle de la montée du fascisme climatique et du mondialisme ».

Racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha

Le rôle de la Couronne dans le renouveau des pratiques du totalitarisme mondial, du contrôle de la population et du fascisme n’est pas sans précédent. Le documentaire Edward VIII : Britain’s traitor King, diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, a récemment révélé un fait gênant : le cœur fasciste de la Couronne était bien vivant pendant les années les plus sombres avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.

[Voir aussi :
Les origines allemandes de la famille royale britannique
Les secrets de la reine : tout savoir sur l’élite mondialiste avec Pierre Hillard
Racines nazies de la famille royale britannique ?]

Ce film, basé sur un livre à paraître prochainement de l’historien Andrew Lownie, utilise des rapports récemment déclassifiés des archives royales pour raconter l’histoire du roi nazi britannique Édouard VIII, qui non seulement souhaitait une victoire nazie lors de la Seconde Guerre mondiale, mais a activement œuvré à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre proprement dite.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un « sieg heil » en bonne et due forme n’a pas été sa seule danse avec le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le hobby royal fricotait avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Edward à des responsables allemands exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant ainsi la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Edward a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne face aux nazis en 1939 et que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre de Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un nouvel ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait câblé aux fonctionnaires d’Hitler pour leur faire part de sa volonté de revenir en Europe en cas de besoin et de reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Au-delà du film : D’autres racines nazies des Windsor

Au-delà du cas d’Édouard VIII, il existe de nombreuses autres connexions nazies embarrassantes avec la maison Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film n’a pas mentionnées, dont certaines impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le duc d’Édimbourg).

Les trois sœurs du duc d’Édimbourg ont toutes été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu officier de la Waffen SS avec le grade d’Oberführer (chef supérieur).

Le mari de Sophie, la sœur de Philippe, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS au sein de l’état-major personnel de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus de hauts responsables du parti nazi.

Philip lui-même a perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans le cadre d’un programme nazi axé sur l’eugénisme dans les années 1930, avant de fonder en 1961 le Fonds mondial pour la nature (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de longue date et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de la Société eugénique de Grande-Bretagne) en tant que cofondateur du WWF.

Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le Prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre le problème de la surpopulation ».

Tout au long de sa vie, le prince Philip a fait preuve d’une misanthropie froide en contemplant le zoo humain et en affirmant :

« On ne peut pas garder un troupeau de moutons plus important que ce que l’on est capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer l’abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte qu’il s’agit d’un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvel hectare mis en culture signifie un nouvel hectare refusé aux espèces sauvages ».

Il convient de noter que le roi Charles a poursuivi l’héritage de son père en tant que président de la World Wildlife Foundation britannique, qu’il dirige depuis plus de 30 ans.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles gestionnaires soulève une question : Pourquoi la poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’est-elle pas plus largement connue ? Dans quel monde vivons-nous pour que des faits aussi surprenants ne soient pas connus de tous ?

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne ; l’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises.

C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg et son appendice junior, le Forum économique mondial, et qui oriente la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations, basé à New York (la version américaine de Chatham House).

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie devraient parvenir à un accord par lequel ils empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays tels que la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie ».

N’importe quel technocrate prônant le programme « Build Back Better for the World » ou le « Global Green New Deal » aurait pu dire la même chose.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, marionnette du FEM, ce qui se poursuit encore aujourd’hui.

L’un des principaux piliers du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence du Conseil privé que sont institués des agents de niveau inférieur, sous la forme de sous-ministres, du Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres nœuds clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris de garder le secret sur les sujets abordés lors des réunions du conseil privé.

La couronne, clé de la continuité de l’empire

Bien entendu, il serait stupide de croire que Charles (ou tout autre monarque ayant régné précédemment) est une personne à part entière, tout en ignorant l’armada d’assistants, de courtisans et de grands stratèges byzantins qui gravitent autour de la Couronne en tant qu’institution parfois surnommée « la source de tous les honneurs ». La source de tous les honneurs est un terme officiel qui désigne l’idée juridique selon laquelle toute l’autorité pour les affaires publiques et privées émane de la source unique de la Couronne et de sa lignée ininterrompue.

La continuité est essentielle pour un empire, et l’importance de maintenir des institutions qui transcendent les vies individuelles a toujours été une préoccupation majeure.

Dans un monde post-1776 qui commençait à goûter à l’autonomie, à la liberté et à la démocratie en tant que nouveau mode d’auto-organisation, la « stabilité » des institutions héréditaires était gravement menacée.

Les dimensions internationales de 1776 et la manière dont un âge de raison a été subverti

MATTHEW EHRET

4 JUILLET 2021

En ce 4 juillet, une ombre plus grande que d’habitude est projetée sur l’Amérique, qui se trouve confrontée à de sérieux problèmes historiques. Si l’existence d’une oligarchie et d’un « État profond » international ne doit pas être ignorée en tant que force politique de l’histoire — organisant des guerres, des assassinats et promouvant l’asservissement économique des peuples et des nations à travers le monde — il n’en demeure pas moins que l’oligarchie et l’« État profond » ne sont pas des forces politiques.

Lire l’article complet

Il n’est pas exagéré de dire que les 250 dernières années ont été marquées par le choc de ces deux paradigmes opposés d’organisation de la société. Alors qu’un paradigme considère comme évidente l’existence de droits inaliénables pour tous les individus, l’autre système suppose que les seuls droits inaliénables sont ceux détenus par une classe de maîtres oligarchiques qui souhaitent régner sur des sujets (alias : mangeurs inutiles) dont les niveaux de population doivent être périodiquement abattus pour faciliter la gestion.

La supposition que les droits ne peuvent être accordés ou refusés par une lignée supérieure est véritablement anathème pour tout système d’oligarchie, même s’il se dissimule derrière le costume d’une espèce de démocratie conçue pour apaiser la plèbe, mais sans lui donner, à elle ou à ses représentants, les moyens d’influencer quoi que ce soit de vraiment significatif sur leur réalité.

Source

Notes




Crimes au plus haut niveau aux USA

[Source : Jean-Dominique Michel]

« Mais où donc est passé Larry Page ?! »

Disparition inexpliquée du co-fondateur de Google, en lien avec l’affaire Epstein !

Pendant que le clan Biden est incriminé pour sa possible participation au crime organisé.

Tout ceci dans le silence de mort des mass-medias…




L’effondrement qui vient : comment s’en prémunir ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Par Alexandre Juving-Brunet

Pour rejoindre les CSP – Comités de Salut du Peuple : www.comitedesalutdupeuple.fr

BIBLIOGRAPHIE :

I. Piero San Giorgio :

« Survivre à l’Effondrement Economique »
https://idoc.pub/queue/san-giorgio-piero-survivre-a-leffondrement-economiquepdf-6ng255pry6lv

« Rues Barbares »
https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2018/03/RUES-BARBARES.pdf

« Survivre à la Guerre Nucléaire »
https://www.piero.com/landin-page-guide-survivre-a-la-guerre-nucleaire/

« NRBC : survivre aux événements Nucléaires, Radiologiques, Biologiques et Chimiques »
https://www.cultureetracines.com/essais/3-nrbc-survivre-aux-evenements-nucleaires-radiologiques-biologiques-et-chimiques.html

II. Alexandre Juving-Brunet

SOUTIEN FINANCIER (Frais d’avocats) :

Bénéficiaire : Alexandre JUVING BRUNET
IBAN : LT81 3250 0952 0605 1996
BIC : REVOLT21

Amitiés résistantes.




Peut-on comparer nazisme et covidisme ?

[Source : anthropo-logiques.org]

La comparaison avec le nazisme est-elle outrancière ?!

Par Don Wilson, juriste canadien

Traduction Jean-Dominique Michel

Beaucoup de gens s’offusquent de voir leur conduite pendant le Covid comparée à celle d’Allemands ayant soutenu la montée du nazisme.

Récapitulons.

Un cinquième de la population était légalement considéré comme impur. Ils étaient interdits d’accès à la plupart des lieux publics, y compris les théâtres, les restaurants, les films, les pubs, les clubs, les piscines, les événements sportifs, les concerts, les conventions, etc.

Pour accéder aux lieux publics, les personnes devaient porter sur elles une marque numérique afin que les autorités puissent confirmer qu’elles n’étaient pas impures.

Les personnes impures étaient licenciées et exclues de la plupart des emplois : éducation, soins de santé, tribunaux – tous les emplois du secteur public, la plupart des emplois syndicaux importants et un grand nombre d’employeurs privés importants. Lorsqu’ils étaient licenciés, les impurs se voyaient refuser l’assurance-emploi, le raisonnement étant qu’ils avaient été licenciés pour un motif valable en raison de leur impureté.

Les impurs sont interdits de voyage en train, en avion et en bateau. Ils n’ont aucun moyen légal de quitter le pays. Même s’ils le voulaient, ils ne pouvaient pas fuir le pays qui les haïssait manifestement. Il est devenu illégal de fréquenter des personnes impures. Ils n’avaient pas le droit d’assister à des mariages ou à des enterrements, ni de rendre visite à des parents ou à des amis malades à l’hôpital.

Des lois spéciales ont été élaborées pour les impurs, les soumettant à une assignation à résidence s’ils se trouvaient à proximité d’une personne ayant récemment subi un test PCR positif. Les personnes impures devaient continuer à se couvrir le visage en public lorsque le port du masque universel a été abandonné.

Il est devenu socialement acceptable de souhaiter la mort aux personnes impures dans les médias sociaux et dans les grands organes de presse. Des personnalités de la santé publique et d’autres politiciens ont donné des conférences de presse pour faire honte et insulter les personnes impures. Le public a développé des noms péjoratifs communs pour les désigner et s’est délecté à insulter les personnes impures.

Les médias publiaient régulièrement des sondages demandant si les personnes impures devaient être arrêtées ou condamnées à une amende. Des personnalités publiques ont ouvertement et fièrement parlé de refuser aux impurs les soins médicaux nécessaires – de les laisser mourir. Les personnes impures ont été retirées des listes de transplantation d’organes, condamnées à une mort quasi certaine.

Aucune date de fin de ces mesures n’a jamais été suggérée, aucun calendrier n’a été donné. Au contraire, ces mesures ont été qualifiées de « nouvelle normalité ».

Le fait de critiquer l’une ou l’autre de ces évolutions faisait de vous un paria social et vous faisait probablement perdre la plupart de vos amitiés et de vos relations familiales, voire votre emploi.

La leçon de l’Holocauste – et du covid – n’est pas que les Allemands, les Albertains ou les gens du XXIe siècle sont exceptionnellement crédules ou mauvais. C’est que pour la plupart des gens, la « moralité » n’est pas une question de principe, mais plutôt d’adoption de ce qu’ils perçoivent comme l’idéologie dominante du groupe – même si cette idéologie est marquée par l’irrationalité gratuite ou l’inhumanité brutale.

En effet, comme dans certaines sectes ou gangs, la brutalité ou l’irrationalité des actes ou des croyances nécessaires pour signaler l’inclusion dans le groupe enracine les gens dans l’idéologie, plutôt que de les repousser ; une sorte de sophisme pervers des coûts irrécupérables.

Donc, oui, si vous êtes une personne typique – albertaine, canadienne ou autre – il est très probable que vous auriez été un nazi si vous étiez né dans l’Allemagne nazie. Si vous avez encouragé les fermetures, les passes et les obligations, cette probabilité s’approche de la certitude.





Indices d’une tromperie planétaire

[Source : Ciel Voilé]



Nick Hudson est président et co-fondateur de Pandemics ~ Data & Analytics (PANDA).
https://twitter.com/nickhudsonct




Infertilité : un programme diabolique

[Source : live.childrenshealthdefense.org]

Dans ce film documentaire, vous apprendrez :

  • L’histoire effrayante et poignante de la façon dont une expérience de contrôle de la population de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sous le couvert d’un programme de vaccination, a abouti à la stérilisation de millions de femmes en Afrique à leur insu ou sans leur consentement.
  • Comment la capacité de mener une grossesse à terme a été tragiquement retirée à ces femmes alors que leur gouvernement tente de dissimuler les preuves.
  • À propos d’un courageux médecin kenyan – le Dr Stephen Karanja – qui a averti le monde qu’une fois qu’ils en ont fini avec l’Afrique, ils viennent pour les enfants et tous les autres.
  • Points de vue d’éminents experts exprimant leurs inquiétudes concernant d’autres vaccins susceptibles de provoquer l’infertilité chez les femmes du monde entier, y compris le vaccin COVID.

Lien pour voir le film :

[Sous-titres en français en cliquant sur CC en bas à droite de la vidéo]

https://live.childrenshealthdefense.org/fr/chd-tv/videos/infertilit–un-programme-diabolique–franais/




Comment la crise covid a servi de banc d’essai à la manipulation de masse…

La manipulation de masse lors de la crise covid expliquée par la politologue guadeloupéenne Paméla OBERTAN invitée par l’honnête journaliste Harold Luce. Vous comprendrez pourquoi en Guadeloupe on a eu que ~ 25 % de vaccinés (~ 75 % de non vaccinés). Ils ne regardent pas trop BFM et vous comprendrez pourquoi c’est le seul département où on a envoyé le GIGN pour « forcer » les gens à se faire vacciner !!

[Voir aussi :
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Comment fonctionne le contrôle mental réel
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Psychologie des foules : le désir de croire plutôt que de savoir
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
La clef de la libération]




Charles III — La fête est finie

Par Gérard Le Maître

Le dossier Roi Charles III : Fini de pleurer dans les chaumières ; la fête est finie ; têtes d’enterrement des couronnés ; foule pas si nombreuse… ; début de la fin du rêve…

LA FÊTE EST FINIE : Le dossier Roi Charles III — Regard derrière les murs du palais

Je sais je vais encore m’attirer des foudres des béats devant ce déploiement de fastes coûteux, ce sont les con-tribuables british qui paient alors on s’en fout un peu, mais quand on découvre l’envers du décor ce n’est pas aussi reluisant…

MENSONGE, TROMPERIE, HYPOCRISIE DE FAUX CULS CHEZ CES GENS-là

D’abord ils ne sont pas anglais, mais allemands teutons à 100 % :

Les Windsor : comment la famille royale a renié ses origines allemandes(([1] https://www.geo.fr/histoire/les-windsor-comment-la-famille-royale-a-renie-ses-origines-allemandes-203924))

Elle s’appelait Saxe-Cobourg-Gotha. Depuis le XVIIIe siècle, par le biais de mariages d’intérêt, la monarchie britannique avait du sang allemand dans les veines. Cette alliance anglo-saxonne vola en éclats lors de la grande guerre. En 1917, le roi George V prit la décision de renoncer au nom germanique de sa famille pour le remplacer par celui de Windsor. Ce fut l’acte fondateur de cette nouvelle dynastie.

Leur changement de nom trop lourd à porter ne date que de 1917 — famille de Saxe-Cobourg-Gotha :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_Windsor

https://www.tf1info.fr/culture/visite-de-charles-iii-en-allemagne-comme-les-saxe-cobourg-ghota-sont-devenus-les-windsor-2252349.html

Philip était un BATTENBERG anglicisé en MOUNTBATTEN :

https://www.courrier-picard.fr/id186361/article/2021-04-24/la-genealogie-du-prince-philippe :

Alors cette image de la famille royale multiséculaire ne soyons pas si naïfs !

« Nous allions assister à un faste d’une rare beauté, disait-on. Ce qui n’arrive pas tous les jours »

Ça, c’était avant…

Le jour du couronnement du vieux schnock arriva et ce fut un jour bien terne.
Un jour bien triste à Londres. Ce fut un désastre.
Mines crispées, traits tirés, le roi et la reine semblaient n’avoir qu’une seule envie, se réfugier aux toilettes. Pour dégueuler ou pour d’autres besoins.
Ils ressemblent à des bouteilles d’eau de javel bonnes à décapsuler pour désinfecter les toilettes.
On dira ce qu’on veut, mais ce couronnement fut un désastre.
Un régime pourri est pourri à jamais.
Les Windsor ne s’en relèveront pas.
Cette cérémonie aura quand même coûté pas moins de 115 millions d’euros au contribuable.

Le rejeton des Windsor, couronné officiellement monarque, pourra se réjouir : c’est le peuple qui paie.

Mais voyons plutôt l’envers du décor, c’est là que ça se gâte :

Le dossier Roi Charles III présente une image totalement différente de celle des médias de masse.

Ceux-ci transmettent à des millions de téléspectateurs du monde entier l’image trompeuse d’un monde royal d’illusion à travers une mise en scène pompeuse du couronnement et occultent la réalité qui existe derrière les murs des somptueux palais.

C’est un très bon business pour les médias…

Comment est-il possible qu’un sympathisant de la pédophilie, tueur à gages potentiel, soit couronné roi et qu’il n’y ait pas de tollé ?

https://www.kla.tv/Dossier/25977



Stop à l’embargo mortel en Syrie !

Par Claude Janvier

Nous revenons d’un voyage d’études en Syrie, invités par Adnan Azzam, écrivain et président du Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples.

Nous sommes allés à Damas, Alep, Soueïda et nous avons pu constater les conséquences désastreuses de l’embargo imposé à la République Arabe Syrienne par les États-Unis et l’Union européenne. Poursuivre la guerre sur le plan économique est voué à l’échec, car le peuple syrien, loin d’être résigné, restera fidèle à ses traditions, à sa culture et à sa liberté.

Mais les conditions de vie du peuple syrien, à cause des effets dévastateurs de l’embargo et des conséquences du tremblement de terre récent dans le nord de ce pays, deviennent de plus en plus difficiles. Les nourrissons et les enfants sont les premières victimes des sanctions économiques.

Manque de médicaments, de nourriture, de produits de première nécessité, d’électricité, de chauffage, tel est le lot quotidien du peuple syrien. Nous avons pu constater qu’à Alep, les conditions de vie pour les habitants sont très difficiles. Le tremblement de terre récent n’a fait qu’aggraver la situation.

— Avons-nous le droit de laisser perdurer cette situation intolérable sans sourciller ?

— Avons-nous le droit de détourner le regard sans nous poser de questions ?

— Avons-nous le droit de ne pas nous élever contre cette persécution qui dure depuis plus de 10 ans ?

— Avons-nous le droit de ne pas interpeller nos dirigeants afin que cessent les morts inutiles ?

Si officiellement, les sanctions américaines et européennes ne concernent pas les aides humanitaires, leurs conséquences sont néanmoins dramatiques, car aucune banque ou entreprise n’ose exporter des équipements pour les hôpitaux ou des médicaments vers la Syrie par crainte de sanctions des États-Unis. Ceux-ci pratiquent en effet l’extraterritorialité juridique qui pénalise lourdement toutes relations avec les états sous embargo. Enfin, cette situation comporte aussi le risque — connu et calculé par les promoteurs de l’embargo — de créer à terme des troubles civils plus ou moins graves.

80 % des Syriens vivent en dessous du seuil de pauvreté. Les prix des produits alimentaires ont grimpé de 133 %. Ce qui se passe sur le sol syrien est un crime contre l’humanité.

Ce mépris intolérable de la vie humaine doit s’arrêter sans délai. La France, patrie des droits de l’homme, doit manifester sa vocation et affirmer ses valeurs humanistes.

Nous demandons solennellement l’arrêt immédiat de l’embargo affamant le peuple syrien. Les morts inutiles et les souffrances des nourrissons et des enfants doivent cesser IMMÉDIATEMENT et IMPÉRATIVEMENT.

Signataires de ce texte :

M. Adnan Azzam. Président du Mouvement International pour la Souveraineté des Peuples.

Membres :

  • Général Dominique Delawarde
  • Capitaine Pierre L.Plas
  • M. Alexandre Garacotche
  • Mrs Halima Merabet
  • Mrs Dominique Mouillard
  • M. Ignace Lovel
  • M. Aïssa
  • Mrs Geneviève Squifflet
  • M. Claude Janvier
  • M. Philippe Cuttat

Contact : mispdanslemonde@proton.me




13 mai — Journée mondiale d’hommage aux victimes et de témoignages sur les effets indésirables des vaccins covid

Bonjour à tous,

Le 13 mai prochain aura lieu la Journée mondiale d’hommage aux victimes et de témoignages sur les effets indésirables des vaccins covid. En voici le communiqué de presse et vous trouverez ci-dessous les informations pratiques.

20 pays et des dizaines de villes de par le monde nous ont déjà rejoints,

en vous remerciant,

François-Marie Périer,
coordinateur de l’évènement

Les pays qui participent :

Argentina 🇦🇷
Bolivia 🇧🇴
Chile 🇨🇱
Costa Rica 🇨🇷
Ecuador 🇪🇨
España 🇪🇸
Estonia🇪🇪
France 🇫🇷

Germany 🇩🇪
Hungary 🇭🇺
Greece 🇬🇷
Italy 🇮🇹
Luxembourg 🇱🇺
México 🇲🇽
Panamá 🇵🇦
Peru 🇵🇪
Switzerland 🇨🇭
UK 🇬🇧
Uruguay 🇺🇾
USA 🇺🇸

La chaîne Telegram pour les infos internationales :

https://t.me/AdverseEvents_International

La liste des lieux en France

13 Mai 2023 : 1ère journée mondiale d’hommages aux victimes des injections — Dépêches Citoyennes

Site internet :

Bear Witness to Covid Vaccines Adverse Events





Bill Gates prépare sa prochaine plandémie

[Source : dailytelegraph.co.nz]

Bill Gates et l’OMS se préparent à la prochaine « pandémie » — le virus SEERS en 2025.
La fondation Bill & Melinda Gates s’est associée à l’Organisation Mondiale de la Santé et au Centre de Sécurité Sanitaire de l’université Johns Hopkins lors d’un récent événement en Belgique.

Les invités ont participé à une « simulation sur table » dans laquelle un entérovirus mortel originaire d’Amérique du Sud en 2025 se propage dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Les enfants seront particulièrement vulnérables à cette maladie, qui fait partie de la famille des virus de la polio.

Le virus est appelé SEERS (Severe Epidemic Enterovirus Respiratory Syndrome [Syndrome respiratoire épidémique sévère à entérovirus]).

[NDLR « seers » signifie prophètes, voyants, devins en anglais. Ils se foutent vraiment du monde. Et le pire est que ça marche.]

L’exercice belge a rappelé le désormais tristement célèbre Event 201, où les mêmes parties ont effectué des simulations d’une épidémie virale mondiale de type « grippe » en octobre 2019, deux mois seulement avant que les premiers cas de COVID ne soient détectés en Chine.

[Voir aussi :
Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19]

La chaîne indépendante d’information et d’opinion Redacted s’est penchée sur la dernière « clinique de préparation aux virus » de Bill Gates. L’ingénieur en informatique, qui a abandonné ses études, a multiplié par 10 ses investissements dans la santé et la technologie des vaccins avant l’apparition du COVID, transformant 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars, dans ce qu’il a appelé son « meilleur investissement ».




REVUE DE PRESSE DU 9 MAI 2023

Par MF

ÉDITORIAL
Fin de l’urgence de santé publique

Décrétée par l’OMS, tandis que l’abrogation de l’obligation vaccinale a été votée en France en première lecture, qu’en Suisse on arrête la vaccination Covid, que l’Ivermectine est dédiabolisée en Australie, que l’Académie de médecine ne rejette plus l’hypothèse d’un virus de laboratoire, que les secrets de Pfizer émergent des dossiers révélés par la justice américaine, et qu’on découvre maintenant que de l’ADN se cache dans les vaccins, pouvant s’inscrire dans le microbiome et contribuer à une production continue de protéines de pointe, y compris chez des non-vaccinés vivant dans l’entourage de vaccinés.

La résistance se poursuit et le 13 mai sera la journée mondiale d’hommage aux victimes des injections anti-covid.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Covid 19 et biopolitique au XXIe siècle

https://www.researchgate.net/publication/370300141_Que_revele_la_gestion_de_la_Covid-19_sur_la_biopolitique_au_XXIe_siecle_

« Il est urgent de relancer le débat sur les dangers des expériences de gain de fonction et des vaccins ARNm, produits géniques qui devraient être soumis aux stricts contrôles concernant les GTP (gene therapy products). Or il y a encore de gros stocks de vaccins à écouler et des commandes en cours et le biopouvoir continue à mener ses projets de vaccination généralisée et de [soi-disant] préparation aux pandémies futures. »

Santé publique et libertés

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/tracts-le-podcast/barbara-stiegler-sante-publique-et-libertes-1994435

« Pendant deux ans, le gouvernement a remis en cause les libertés individuelles et collectives au nom de la santé publique, par des mesures qui ont affaibli les personnes les plus vulnérables, mais aussi le champ de la santé publique. C’est le constat qu’établissent Barbara Stiegler, professeure de philosophie politique, vice-présidente du Comité d’éthique du CHU de Bordeaux et membre du conseil de surveillance de l’Agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, et François Alla, professeur de santé publique et directeur adjoint de l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED), dans Santé publique année zéro (Tracts, Gallimard). »

Abrogation de l’obligation vaccinale en première lecture

https://www.francesoir.fr/politique-france/l-abrogation-de-l-obligation-vaccinale-adoptee-en-premiere-lecture-sans

« Le jeudi 4 mai, l’Assemblée nationale a adopté la proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale contre le covid-19 dans les secteurs médicaux. Les amendements concernant la compensation financière des soignants suspendus ont toutefois été rejetés. Cette proposition de loi doit maintenant être transmise au Sénat. »

L’Académie de médecine ne fait plus de sciences

« L’Académie de Médecine émet des raisonnements paralogiques (son avis reconnaît l’insuffisante efficacité des vaccins Covid-19 contre la transmission, mais promeut le maintien de l’obligation vaccinale des soignants « tant pour protéger leurs patients que pour les protéger eux-mêmes. ) »

Histoire du covid masquée par le secret défense

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/l-histoire-du-covid-cachee-par-le-secret-defense-0#.ZDB5eouuvDI.linkedin

« Nous sommes en guerre…, en guerre bactériologique. Et dans une guerre, le premier objectif est de supprimer l’ennemi. L’ennemi, c’est la spike fabriquée, et on a fait la guerre à la spike, pas à l’épidémie. On n’était pas là pour soigner, mais pour faire disparaître cette spike de la surface du globe, avant que l’on ne découvre le pot aux roses. Raté, rien n’a marché comme souhaité. »

ÉTRANGER

AUSTRALIE — L’Ivermectine dédiabolisée

https://www.francesoir.fr/societe-sante/ivermectine-dediabolisee-en-australie-traitement-efficace

« Redonner une liberté de prescrire aux médecins afin de soigner les malades, une fois la Covid sortie des radars, une fois la bataille passée, apparaît hélas comme bien tardif. »

OMS — Fin de l’urgence de santé publique

https://www.francesoir.fr/societe-sante/oms-annonce-fin-urgence-sante-publique

« La décision avait été prise sur la base des projections de Neil Ferguson, connu pour ses multiples erreurs dans la gestion des crises sanitaires. »

SUISSE — On arrête tout !

https://report24.news/paukenschlag-schweiz-zieht-saemtliche-covid-impfempfehlungen-zurueck/

« La Suisse arrête la vaccination Covid, toutes les recommandations de vaccination ont été retirées. L’Office fédéral de la santé publique suisse a discrètement et secrètement adapté sa recommandation officielle pour la vaccination contre la Covid-19, totalement, avec effet immédiat. Le gouvernement SUISSE confirme officiellement : la vaccination est dangereuse. Les médecins ne peuvent administrer les vaccins controversés que dans des cas individuels sous certaines conditions, mais assument alors le risque de responsabilité pour les dommages causés par la vaccination. »

JUSTICE

Des vaccins exonérés de précautions car ce sont des armes !

https://pgibertie.com/2023/05/02/la-justice-americaine-precise-que-les-vaccins-covid-sont-des-systemes-darmes-militaires-et-ont-ete-traites-comme-tels-en-sexonerant-des-regles-de-precaution/

« Le recours au Pentagone, et à un contrat OTA, assimile le vaccin Pfizer non pas à un vaccin ni même à un médicament, mais à une contre-mesure « de nature militaire ». C.Q.F.D. !

La justice américaine transmet les documents secrets de Pfizer

https://pgibertie.com/2023/04/27/les-secrets-devoiles-des-documents-secrets-de-pfizer-transmis-par-la-justice-americaine-inimaginable-decouvrez-la-synthese/

« Parmi les 11 secrets identifiés, Pfizer savait que ses injections basées sur les gènes avaient une efficacité négative dès novembre 2020/les effets secondaires dans les documents de Pfizer sont bien plus graves que ce que le CDC et les médecins ont dit aux patients/expérience de type Mengele… sur la façon de perturber et d’altérer la reproduction humaine ». Les dossiers disponibles des participants à l’étude qui ont conçu des enfants montrent que 80% ont perdu leur bébé. »

Texas, ouverture d’une enquête contre Pfizer, Moderna et Johnson et Johnson

« Le procureur prévient que ces laboratoires seront obligés de lui rendre tous les documents confidentiels qu’ils cachent au public et devront également s’expliquer sur des mesures prises (en connivence avec les gouvernements) lors de la pandémie et qui ont été une violation totale des droits des citoyens. » 

Affaire Van der Leyen et mépris de la presse française

https://www.francesoir.fr/politique/affaire-ursula-von-der-leyen-quand-les-medias-francais-meprisent-le-devoir-d-informer

« La nature des SMS échangés doit être exposée au public de façon à ne pas discréditer davantage les institutions européennes, court-circuitées par la seule volonté de von der Leyen à traiter unilatéralement cette affaire. Des institutions européennes qui souffrent manifestement d’un point faible structurel inquiétant, celui d’être trop exposées à la puissance des lobbys industriels et financiers. Depuis le début de la crise sanitaire en 2020, les médias français montrent une désarmante inactivité sur ces dossiers. La déontologie relative à la charte de Munich, qui doit garantir aux citoyens une information objective et factuelle quant aux périls qui menacent la chose publique et l’intérêt commun, est oubliée. »

COVID

Revirement de l’Académie de médecine, le virus pourrait avoir été fabriqué en laboratoire

https://baslesmasques.com/o/TextContent/origine-du-covid-19-l-academie-de-medecine-suspecte-une-recherche-dangereus_tco_21392897

« Avant la pandémie, le laboratoire P4 de Wuhan procédait bien à des expériences de gain de fonction, le projet Defuse, consistant à insérer des sites furine dans des virus de chauve-souris. Or, en réalisant plusieurs passages du Banal-52 chez des souris génétiquement modifiés ayant des récepteurs cellulaires proches de ceux des hommes, Marc Eloit a démontré que ce site furine n’a pas pu apparaître naturellement/La plausibilité devenue incontestable que la pandémie de Covid puisse provenir d’expériences de gain de fonction, montre l’impact potentiellement dévastateur de ces pratiques scientifiques à haut risque sur lesquelles le virologue Simon Wain-Hobson alerte depuis plus de 10 ans. Il a déploré devant l’Académie que ce débat ait été trop longtemps étouffé, aux États-Unis comme en Europe. »

Pandémie de Covid, la grande manipulation ( Pr Perronne à Nantes le 5 mai 2023)

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/christian-perronne-conference-nantes

« La France aura dépensé « 400 milliards d’euros pour le Covid » (alors que le pouvoir est à la recherche de 12 à 13 milliards pour les retraites !), et cela « pour un pseudo vaccin toxique« . »

Un décès Covid sur deux s’explique par une infection bactérienne

https://pgibertie.com/2023/05/06/un-deces-covid-sur-deux-sexplique-en-realite-par-une-infection-bacterienne-linterdiction-des-antibiotiques-une-mesure-idiote-et-criminelle/

« Une équipe italienne confirme les thèses de Montagnier et Escarguel : le virus de la covid utilise des bactéries « coopérantes  » pour se propager, ce qui explique l’efficacité des macrolides et des cyclines. »

TRAITEMENT et STRATÉGIES

Traitement précoce, place à l’escroquerie pour cacher la réalité

https://www.covid-factuel.fr/2023/04/08/traitements-precoces-quand-randomisation-rime-avec-escroquerie-intellectuelle/

« Des biais qui confinent au ridicule, mais sous-tendent des mensonges de l’ANSM, repris aussitôt par le Quotidien du médecin. »

Dangerosité des masques faciaux

https://www.zerohedge.com/medical/explosive-new-study-finds-face-masks-may-increase-stillbirths-testicular-dysfunction

« Il existe des données indiquant une toxicité testiculaire chez les adolescents à l’inhalation de CO2 avec une concentration supérieure à 0,5 %, et des preuves circonstancielles que l’utilisation prolongée du masque peut être liée aux observations actuelles de mortinaissances et à la réduction de la motricité verbale et de la capacité cognitive globale chez les enfants nés pendant la pandémie. »

INJECTIONS

De l’ADN dans les vaccins à ARNm

https://worldcouncilforhealth.substack.com/p/red-line-crossed

« Dans une publication récente d’un groupe de généticiens expérimentés, plusieurs méthodes ont mis en évidence des niveaux élevés de contamination par l’ADN. De l’ADN réplicable, sous forme de plasmides, a été retrouvé dans les vaccins monovalents et bivalents, ADN qui ne devrait pas être là du tout. Les chercheurs ont découvert une contamination de l’ADN qui dépassait de loin les exigences de l’Agence européenne des médicaments (EMA) et de la FDA américaine. Le corps humain contient beaucoup plus de bactéries que de cellules, connues sous le nom de microbiome humain. À titre informatif, l’origine du plasmide utilisé provient de la bactérie E. coli, qui fait également partie de notre microbiome intestinal, ce qui suggère qu’il existe une possibilité d’intégration du plasmide dans notre microbiome. La conséquence très préoccupante de l’intégration génomique dans les cellules du microbiome est que cela assurerait la production continue d’ARNm et, par conséquent, la production de particules virales pathogènes, les protéines de pointe…
Le potentiel d’excrétion chez les non-vaccinés pose une question sérieuse pour tout le monde sur cette planète. Nous ne pouvons que spéculer sur la façon dont cela se terminera, mais ce qui doit se passer aujourd’hui après la publication de cet article est un arrêt immédiat du programme « vaccin Covid-19 ».
»

Les données de l’ANSM passées au crible par le Dr Peter Mc McCullough, cardiologue américain

https://www.aimsib.org/2023/04/09/quand-peter-mc-cullough-se-penche-sur-les-statistiques-francaises-et-manque-de-tomber-de-sa-chaise/

« Malgré 335 victimes d’AVC ou accidents cardiaques, les auteurs commettent l’erreur de diviser le nombre de cas par le nombre total de personnes vaccinées et de comparer les taux d’effets indésirables entre récipiendaires du bivalent et du monovalent. Aucune de ces opérations n’est valable puisque la saisie des événements est incomplète et que la comparaison n’a pas été faite avec un placebo ou un groupe de contrôle. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Vaccination sans danger pour les femmes enceintes ?

« Dans l’étude publiée dans le Lancet les femmes n’ont été suivies que sur 7 jours, par téléphone, et avec près de 10% d’effets indésirables significatifs ! »

RÉSISTANCES

CSI n°98 du 6 avril 2023

https://crowdbunker.com/v/u6PYSGnR

« Invitée : Emmanuelle DARLES, enseignante-chercheuse à l’Université, Docteur d’État en Informatique et spécialisée en science des données
Sujet : Défauts de vigilance ANSM, aspects juridico-scientifiques
Discutant : Me David GUYON, avocat. »



CSI n°99 du 13 avril 2023

https://crowdbunker.com/v/2Czfyu1J

« Invité : Surya Arby, informaticien, mathématicien, membre l’AIMSIB, docteur d’État en Informatique spécialisé en science des données
Sujet : vaccins anti HPV (Gardasil), synthèse des données mises à jour
Discutant : Dr Philippe de Chazournes, médecin. »



CSI n°101 du 20 avril 2023

https://crowdbunker.com/v/JzqkE5zf

« Invité : Vincent PAVAN, mathématicien, enseignant chercheur.
Sujet : L’école depuis Platon à nos jours
Discutant : Dr Marie Grenet, pédiatre, spécialiste du neurodéveloppement. »



CSI n°102 du 27 avril 2023

https://crowdbunker.com/v/QB4AKWYz

« Invité : Fréderic Boutet
Sujet : Identité Numérique
Discutant : Dr Eric Ménat et Emmanuelle Darles. »



CSI n° 103 du 4 mai 2023

https://crowdbunker.com/v/KiRRvJkgpY

« Invité : Christian Vélot
Sujet : Perturbateurs endocriniens
Discutant : Philippe De Chazournes et Carole Fouché. »



La centième du CSI les 18 et 19 mai à Saintes

https://www.cityvent.com/events/umoegch4/

HOMMAGES AUX VICTIMES partout le 13 MAI 2023




8 mai : le message de Jeanne d’Arc à la France d’aujourd’hui

[Source : bvoltaire.fr]

Par Iris Bridier

En souvenir de la libération d’Orléans le 8 mai 1429, le deuxième dimanche de mai a été institué par la loi du 10 juillet 1920 comme fête nationale de Jeanne d’Arc et du patriotisme. Deux mois auparavant, le 16 mai, le pape Benoît XV avait canonisé la Pucelle d’Orléans. Depuis lors, sa fête religieuse est fixée au 30 mai. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la figure héroïque de la patrie viendra unir sous un même drapeau ceux qui croient au Ciel et ceux qui n’y croient pas, dépassant les clivages de la laïcité agressive de 1905. Aujourd’hui, Jeanne d’Arc peut-elle encore dépasser les chapelles, les clivages et les partis ? Réponses avec l’abbé Jacques Olivier*, auteur du livre Le Prophétisme politique et ecclésial de Jeanne d’Arc (Cerf).

Iris Bridier. En quoi le message de Jeanne d’Arc, que vous présentez dans votre ouvrage comme un prophète, s’adressait non seulement à son époque, mais aussi à toutes les époques et donc à la nôtre ?

Abbé Jacques Olivier. Les paroles du Christ dans l’Évangile sont intemporelles : quand Dieu parle aux hommes, il manifeste la vérité avec une grande lumière. Le message prophétique de Jeanne d’Arc, reçu de Dieu pour être transmis à ses contemporains du XVe siècle, reste aussi vrai que jadis. Il est toujours à recevoir, comme toute vérité.

L’époque de Jeanne, avec ses crises et ses remises en cause, correspond à la charnière entre la chrétienté médiévale et les temps modernes, avec l’apparition des idées sur lesquelles est construit notre monde. Le message de Jeanne met en garde contre certaines dérives de l’époque qui sont très similaires à celles d’aujourd’hui. Sa canonisation, il y a juste un siècle, en 1920, et sa grande popularité contemporaine manifestent la fascination de notre époque pour sainte Jeanne d’Arc et une soif de se mettre à sa suite et de suivre son exemple.

I. B. Que dirait Jeanne d’Arc à l’Église aujourd’hui, d’une part, et à Emmanuel Macron, d’autre part ?

A. J. O. Le grand message de Jeanne à l’Église de son temps se résume dans sa magnifique parole dite aux clercs qui la jugent à Rouen : « Dieu premier servi. » Aujourd’hui encore, il reste un appel pour l’Église à accomplir par-dessus tout sa mission d’enseignement de la foi, de sanctification des âmes et de recherche du salut éternel, sans se laisser tenter par des compromissions de son message ou une soumission dans ces domaines aux régimes temporels et aux aléas politiques du temps.

Le message au roi Charles VII est celui du sacre de Reims, qui rappelle que tout pouvoir temporel vient « de par le roi du Ciel ». La France, fille aînée de l’Église, selon les paroles du pape Pie XI ou, plus récemment, de Jean-Paul II au Bourget, est appelée à montrer l’exemple d’une nation chrétienne à la face du monde. Jeanne d’Arc, par sa mission, montre à tout gouvernant qui cherche en vérité le Bien Commun, aujourd’hui comme jadis, non seulement les racines chrétiennes de la France, mais surtout que la grandeur actuelle de ce pays et son rayonnement sont à la hauteur de sa fidélité aux promesses de son baptême.

I. B. Il y a aujourd’hui encore grande pitié au royaume de France, nous faut-il une nouvelle Jeanne d’Arc ?

A. J. O. La situation actuelle de la France est bien connue. Comme au temps de sainte Jeanne d’Arc, elle souffre et espère. Et Dieu sauve toujours son peuple. Jeanne d’Arc est arrivée par la prière du peuple de France, écrasé par la guerre, l’insécurité, la pauvreté, la maladie ou la faim. La prière confiante du même peuple peut obtenir le même salut.

Mais la question se pose : attendons-nous passivement une nouvelle Jeanne d’Arc qui nous sauve pour nous redonner le confort matériel, la richesse, la paix humaine ou la gloire devant les peuples ? Ou prions-nous avec foi, espérance et charité pour un vrai miracle qui nous remette davantage sur le chemin du Ciel, en étant prêts à s’engager à le suivre avec courage et fidélité ? Et que tout le reste, plus matériel, nous soit donné par surcroît, car Dieu, Père qui aime chacun des ses enfants, connaît nos besoins ?

I. B. Emmanuel Macron a assisté au sacre de Charles III, quel enseignement peut-il en tirer face aux fragilités de nos institutions ?

A. J. O. À notre époque, la légitimité du pouvoir en France, comme dans de nombreux pays, est fondée officiellement sur la loi du suffrage universel ; en Angleterre sur celle de la succession dynastique. Au-delà des apparences, c’est assez similaire : c’est la loi qui fait le roi, le président ou le gouvernant.

Pour sainte Jeanne d’Arc, selon la conception antique, qui englobe et surélève les dimensions légales, dynastiques ou le simple droit du plus fort, c’est le sacre qui fait le roi : on est au-delà de la conception de la loi seule, alors même que le sacre avait perdu de son importance symbolique au XVe siècle et commençait à tomber en désuétude. Le résultat est là : l’onction divine, faite par les mains de l’Église, donne ou redonne une légitimité forte à un roi contesté et le fait passer du statut de dauphin à celui de roi. Les tentatives de son adversaire pour se faire sacrer aussi ou pour discréditer le sacre de son rival en accusant Jeanne d’Arc d’actions en dehors de ce qui est bien et bon n’y ont rien changé : le peuple a suivi celui qui apparaissait clairement comme voulu par Dieu, même s’il était loin d’être aussi saint et parfait que celle qui l’avait conduit sur le trône.


* Prêtre depuis 2003, l’abbé Jacques Olivier exerce son ministère au sanctuaire de Notre-Dame de Bermont, près de Domrémy, où sainte Jeanne d’Arc venait prier chaque semaine.




Macron vire la foule pour commémorer le 8 mai

[Photo : BENJAMIN MATHIEU / RADIO FRANCE]

Se retrouve-t-il vraiment seul ?

Comme le mentionne Nicolas Bonnal(([1] https://nicolasbonnal.wordpress.com/2023/05/08/ils-le-trouvent-seul-nous-non-il-ny-a-pas-le-peuple-avec-lui-mais-il-y-a-les-flics-il-y-a-les-militaires-il-y-a-les-conseillers-constitutionnels-il-y-a-la-presse-il-y-a-les-journaliste/)):

Ils le trouvent seul. Nous non. Il n’y a pas le peuple avec lui, mais il y a les flics, il y a les militaires, il y a les conseillers constitutionnels, il y a la presse, il y a les journalistes, il y a les caméras, il y a les téléspectateurs, il y a les parlementaires (pas de motion de censure), il y a les retraités, il y a les bourgeois, il y a les milliardaires, il y a les médecins, il y a les minorités, il y a les bons européens, il y a les sectes sexuelles et sociétales, il y a ceux qui sont en vacances (plus personne sur ce blog sauf les donateurs que l’on remercie et qui aident à compléter nos stocks), il y a Davos et les nonagénaires génocidaires. Elu pour lutter contre le fascisme de Marine, il est leur PUNITION PROVIDENTIELLE aux froncés [NDLR Jeux de mots avec Français]. Victimes collatérales, priez fort.