Les promoteurs du « grand réveil » : des loups déguisés en brebis ?

[Source : MédiainfocitéTV2]

Par Isabelle

Le « great awakening » (« le grand réveil) se décrit comme un mouvement de rédemption par la politique qui est menée par des groupes concertés qui se disent « mandatés par Dieu » pour combattre l’État profond, pour détruire les pédosatanistes et ainsi faire échec aux ténèbres. Au nom du patriotisme, de la sauvegarde de nos droits et libertés, et au nom de Dieu, ce gigantesque phénomène prend énormément d’ampleur à travers l’Amérique et ailleurs. Mais qu’en est-il vraiment des véritables allégeances de ces « bergers », de ces promoteurs qui se disent investis d’une mission divine ?

[NDLR Certains des intervenants de cette courte vidéo peuvent sans doute assez facilement passer pour des possédés, au moins pour un regard européen.]

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus,
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur]




Témoignage d’un ancien sataniste sorcier — Si les chrétiens savaient…

[Source : Profession Gendarme]

Je tombe, vraiment par hasard, sur cette vidéo qui vient éclairer ce que j’ai écrit hier, sur Le CULTE de LUCIFER -> CULTE auquel appartiennent Les ADEPTES (psychopathes) de la MAÇONNERIE LUCIFÉRIENNE : Les 13 Dynasties Lucifériennes… les 36 Ur-Lodges Maçonniques internationales… toutes les Organisations Para Maçonniques internationales… La Franc–Maçonnerie « déviée » internationale.

Écoutez bien CE qu’il dit à 9:51…

LE SATANISME A PRIS LE CONTRÔLE des GOUVERNEMENTS GLOBALISTES OCCIDENTAUX, dont le SOMMET de l’ÉTAT FRANÇAIS !!!

LE SATANISME, Le VAUDOU et Le PÉDOSATANISME NE SONT PAS UNE FICTION, MAIS L’EFFROYABLE RÉALITÉ !!!

Ronald Guillaumond

Source : Youtube

TOUR DE PRIERE SEMEUR




Invasions ou conquêtes musulmanes ?

Par Lucien Oulahbib

[Illustration issue de lewebpedagogique.com]

Dans les livres d’histoire en particulier scolaires le terme de conquête est préféré à celui d’invasion alors qu’actuellement le Complexe politico-médiatique parlera plutôt d’invasion russe en Ukraine, pourquoi ?

On parlera de Conquête de la Gaule, de Conquête de l’ouest en Amérique du Nord, mais pas d’invasion. C’est que le premier terme est toujours quand même bien connoté, du genre d’apport positif (ainsi Rome en Gaule ou alors la conquête de l’espace), tandis que le second est plutôt destructeur et ne souligne en plus que le côté guerrier.

D’où les cris d’orfraie de certains lorsque l’on parle d’invasion migratoire, puisque cela ne s’accompagne pas de destruction de mairies, écoles, piscines, bus, voitures de particuliers, de policiers, de pompiers, de médecins, qu’il n’y a pas d’attaque au quotidien parce que l’on n’est pas habillé façon islamique, mais ce n’est pas le sujet…

Non, on ne parle pas d’invasion musulmane de l’Afrique du Nord puis de l’Espagne, d’invasion de la Judée Samarie (rebaptisée Palestine par les Romains), d’invasion de l’Égypte de la Phénicie, de la Syrie, de la Perse, de l’inde, mais de « conquête ». Et on en parle ainsi parce que cela évite de parler des bains de sang, des massacres. On ne gardera que le côté apport civilisationnel, ainsi le mythe andalou, mais guère indien, bizarrement.

Mais comme il faut bien aussi parler de peuplement, alors le terme colon puis colonisation seront introduits, mais dans le sens conquête donc positif quelque part.

Donc la colonisation musulmane sera vue positivement comme elle est considérée encore actuellement puisque tout le travail négatif de l’invasion est édulcoré et réservé à celle de… l’Occident…

Tout d’un coup en effet sera introduit l’idée que la conquête européenne est plutôt une invasion et l’invasion musulmane plutôt une conquête en fin de compte positive, l’orientalisme des poètes aidant pour lui donner bonne presse malgré les réserves de Dante, Voltaire, Renan, Tocqueville… Hitler était très admiratif et aujourd’hui un des leaders Nupe regrette que Charles Martel ait gagné contre l’islam…

Qu’à cela ne tienne ! On effacera donc le côté négatif de son colonialisme jusqu’à même édulcorer sa traite esclavagiste jusqu’à ne jamais mentionner l’émasculation des mâles, l’émasculation qui fait d’ailleurs rêver nombre d’ultra féministes devenues ses idiotes utiles…

Il s’agit donc bien plus au fond que d’une seule affaire de vocabulaire, mais d’abord d’une question politique qui permet mieux de comprendre l’acharnement nihiliste des sans-frontièristes à détruire la nation France en particulier et les nations en général : déjà pour expier la conquête européenne réduite à une invasion alors que celle de l’islam apparaît bénéfique surtout si les Croisades n’avaient pas eu lieu, ce qui est un non-sens absolu, l’islam s’étant autodétruit en écartant l’esprit philosophique puis scientifique en son sein ; ensuite parce que les idéologues postmarxistes sont devenus les idiots utiles de la Technostructure globaliste affairiste qui considère que toute limite s’avère un obstacle à la notion devenue Culte de Flux…

Tout doit devenir flux, flexible, éphémère, fragile, interchangeable, intersexe, intersection. Tout se tient.

Mais il faut accompagner cela de sacrifices, afin que le trop plein de passions ainsi suscitées s’expulse. Ce sera celui du mâle blanc de plus de 50 ans pour une belle cause, sauver la Terre dont il serait l’envahisseur en chef. Fini le mot positif de conquête, une Terre qui a horreur pourtant que l’on parle en son nom…




Le scandale médiatique suisse n’est que la pointe de l’iceberg : dissimulation mondiale d’abus rituels sataniques

[Source : kla.tv]

Apparemment, les révélations sur le thème des « abus rituels sataniques » deviennent trop brûlantes. En effet, la chaîne de télévision suisse a récemment interrompu la diffusion de son propre documentaire sur le sujet. Kla.tv saisit l’occasion pour citer d’autres chaînes qui dissimulent les abus rituels sataniques. En effet, dans le monde entier, de nombreux récits de victimes, de témoins et de survivants sont délibérément étouffés, passés sous silence et cachés au public. Des experts chevronnés sont dénigrés et réduits au silence à l’aide d’une stratégie perfide et sophistiquée. Ce documentaire est une mise à jour historique de nombreux crimes de censure qui doivent être sanctionnés par la justice.

Transcription

Récemment, la radio télévision suisse SRF a menacé la chaîne Kla.tv de graves conséquences juridiques. Que s’est-il passé ?

À partir de décembre 2021, SRF a diffusé successivement 6 épisodes d’une série intitulée « Rec.—Panic Satanic ». Dans cette série, le journaliste de SRF Robin Rehmann s’est efforcé de prouver qu’il n’existe pas d’abus rituel satanique, mais qu’il s’agissait d’un récit de conspiration ; des survivants et des témoins d’abus rituels sataniques, ainsi que des thérapeutes, des militants et même un enquêteur de police ont été ridiculisés et présentés comme peu crédibles.

Explication : le sujet des abus rituels sataniques concerne les crimes les plus cruels commis dans le cadre de cérémonies sataniques. Dans le monde entier, des milliers de survivants, de victimes, de témoins, de thérapeutes et même de membres du système judiciaire font état d’abus sexuels, de tortures et même de sacrifices rituels. Selon eux, il s’agit de crimes commis par un cercle élitaire d’auteurs bien organisés et disposant d’un bon réseau, qui sait bien se protéger. Kla.tv a publié sur ce thème en novembre 2022 le documentaire intitulé « La secte du sang — 27 victimes, 27 témoins ». Outre les 27 victimes et 27 témoins d’abus sataniques, mentionnés dans le titre, qui ne sont qu’une petite sélection du nombre immensément élevé de victimes de ces pratiques sataniques, cette émission a également évoqué la série pseudo-investigatrice de SRF et de Robin Rehmann.

Il est particulièrement intéressant de noter que Kla.tv a ensuite reçu des informations montrant comment Rehmann se présente avec des symboles sataniques, comme, par exemple, de Baphomet — et entretient même des liens avec un grand prêtre satanique du nom de Francis Dollarhyde. La diffusion de ces faits explosifs a entraîné plusieurs événements : d’une part, SRF a menacé la chaîne Kla.tv de conséquences juridiques. D’autre part, la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » a visiblement tenté de brouiller les traces : sur leur page Internet, ils ont rapidement transformé leur grand prêtre Dollarhyde en un « PDG » d’apparence plus inoffensive, et peu après ils ont fait disparaître complètement son nom de leur page Internet.

Le scandale médiatique de SRF continue de faire des vagues

Il y a quelques jours, le 10 juillet 2023, le Tagesanzeiger et d’autres médias suisses ont annoncé que SRF avait stoppé la diffusion de son propre documentaire sur les abus rituels sataniques. Exactement selon le même schéma que pour la survivante d’abus Hajar mentionnée dans l’émission de Kla.tv « Scandale : SRF et Robin Rehmann », pour laquelle deux interviews déjà terminées ont été retirées peu avant la diffusion, un documentaire de SRF également prêt à être diffusé a été annulé.

On constate toujours le même schéma : des journalistes du terrain, qui ont à cœur de mettre fin à ces crimes atroces, font des recherches approfondies et solides sur le thème des abus rituels sataniques, puis la diffusion des protagonistes est stoppée au niveau de la direction. Au plus haut niveau, on a fait marche arrière « à la dernière minute », car le documentaire contiendrait des « éléments narratifs conspirationnistes ». La réalisatrice de SRF, Ursula Brunner, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années et a acquis une certaine maturité, rejette catégoriquement ces accusations, car elles seraient « dénuées de tout fondement ». La question se pose de savoir si les médias publics sont autorisés à priver les téléspectateurs de sujets tels que les abus rituels sataniques — un sujet qui présente un intérêt public considérable. Ce qui est absolument scandaleux, c’est que le documentaire a été financé par les pouvoirs publics à hauteur de 125 000 francs suisses, dont 75 000 proviennent de la redevance télévisuelle de SRF qui a maintenant été jetée aux ordures aux frais des citoyens suisses !D’autres exemples montrent que ce n’est vraiment pas un hasard, mais une stratégie constante, que les abus rituels sataniques soient dissimulés par les médias :

1. La direction du journal suisse « 20 min » annule la diffusion de l’interview de Chantal Frei, victime de torture

L’auteure Chantal Frei, qui a grandi en Suisse romande, n’avait que six ans lorsque des satanistes ont décidé de faire d’elle ce qu’ils appellent une « mère des ténèbres ». Elle avait survécu à des tortures massives. C’est pourquoi le culte la considérait comme suffisamment forte, sage et intelligente pour la former dans le cercle des Illuminati. Lors de rituels cruels, elle rencontrait des chefs d’État, des nobles et des célébrités. Pour cela, elle a été conduite dans des lieux connus du public — comme la Maison-Blanche et l’intérieur d’une célèbre basilique espagnole — et a également pénétré dans des installations militaires secrètes et un château isolé en Belgique. Ces lieux et ces personnes, dont certains sont également cités par d’autres survivants, illustrent l’ampleur terrifiante d’un phénomène profondément obscur, connu dans la littérature spécialisée sous le nom de violence rituelle. Chantal Frei a publié un livre sur ses terribles expériences sous le titre : « Je parle ! »Il est également arrivé à Chantal Frei qu’une interview qu’une journaliste du journal suisse « 20 min » avait réalisée avec elle et deux autres survivants ne soit pas diffusée. Citation de Chantal Frei :

« Quelque temps avant la publication de mon livre, une journaliste de 20 min avait réalisé une très longue interview avec moi. Elle m’a fait une impression vraiment bonne et empathique. […] La journaliste avait aussi fait d’autres recherches et voulait écrire un article à ce sujet. Elle a également interviewé deux autres survivants, un homme et une femme. Mais l’article n’a jamais été publié, car il a été stoppé par la direction ».

2. La BBC et le Daily Mail dissimulent des abus rituels sataniques à Hampstead en Angleterre

En septembre 2014, Alisa Dearman et son frère Gabriel ont déclaré, entre autres, dans le cadre d’entretiens avec la police, qu’ils étaient régulièrement victimes d’abus sexuels dans leur école. Ils ont expliqué que des rituels sataniques étaient pratiqués, que des bébés étaient tués et que leur sang était bu. Après avoir tué les bébés, leurs restes ont été mélangés à la nourriture de l’école. Leur propre père, Ricky Dearman, aurait été impliqué dans les sacrifices sataniques et les abus. Ella Draper, l’ex-femme de Ricky Dearman et la mère de leurs deux enfants, Alisa et Gabriel, l’a confirmé et a déclaré que Dearman était le chef du groupe satanique de Hampstead. Il aurait participé à la production de snuff-vidéos et les aurait vendues sur le darknet. Après qu’Ella Draper a rendu cette information publique, une véritable bataille médiatique s’est engagée : elle a été diffamée de la pire manière. Malgré les rapports médicaux officiels confirmant les graves abus sexuels subis par les enfants, les médias ont affirmé qu’elle avait forcé ses enfants à témoigner de ces faits. De nombreux magazines, comme le Daily Mail, ont qualifié Ella Draper de menteuse. Elle a même été poursuivie par la police. La grande agence de presse anglaise BBC a diffusé une interview de Ricky Dearman, dans laquelle la présentatrice de la BBC s’est efforcée de le faire paraître innocent. On a fait croire qu’il avait été victime d’une campagne malveillante. De nombreux téléspectateurs ont commenté l’interview en disant qu’ils pensaient que Ricky Dearman avait l’air d’un mauvais acteur et qu’ils pouvaient tout à fait imaginer qu’il avait commis ces horribles crimes. « Il a l’air coupable » pouvait-on lire dans la colonne des commentaires. Par la suite, la fonction de commentaires a été rapidement fermée.

3. La chaîne de télévision britannique BBC impliquée dans les crimes pervers de Jimmy Savile

Selon les données officielles de la police, le populaire présentateur anglais de la BBC Jimmy Savile a abusé pendant 50 ans (!) d’au moins 450 victimes âgées de 5 à 47 ans. Avant 1961 déjà, la police a interrogé Savile pour la première fois sur des accusations selon lesquelles il aurait eu des relations sexuelles avec des mineures dans les dancings qu’il gérait à l’époque. Savile a utilisé ses contacts pour approcher des enfants, entre autres dans un hôpital psychiatrique hautement sécurisé. Il a commis les crimes les plus odieux, allant jusqu’à violer un garçon mourant et à abuser de morts. Des victimes ont déclaré avoir été abusées par Savile dans le cadre de messes sataniques. Le 7 décembre 2011, un film sur les crimes de Savile devait être diffusé. C’est le journaliste Meirion Jones, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à la BBC, qui a fait les recherches nécessaires. Il a trouvé des témoins qui ont lourdement chargé Savile. Mais le scandale a éclaté : le film a été annulé — selon la BBC, pour des « raisons journalistiques ». Le directeur responsable du programme « Newsnight », Peter Rippon, a arrêté la diffusion, le journaliste Meirion Jones a été suspendu. Des années plus tard, l’ancien producteur de télévision de la BBC, Wilfred De’Ath, âgé de 75 ans, a parlé. Il a déclaré que tout le monde à la BBC était au courant des crimes pervers de Savile ! Il est significatif que le scandale n’ait été révélé qu’après le décès de Savile. Des survivants d’abus ont même confirmé que ces abus étaient dus à un réseau pédophile organisé au sein de la BBC. La trace des agissements pédophiles de Savile mène directement à la famille royale anglaise, à des juges de haut rang, à des parlementaires éminents et même à un ancien Premier ministre.

4. L’article diffamatoire du Spiegel provoque la fermeture du service de consultation sur la violence organisée et rituelle de l’évêché de Münster

Le 12 mars 2023, le magazine « Der Spiegel » a publié un article sur le thème des abus rituels sataniques et du contrôle mental et a titré :

« Dans le délire des thérapeutes, les adeptes de cultes secrets maltraitent les enfants et contrôlent les gens via la manipulation du cerveau : sous l’égide des églises et des cliniques, les thérapeutes propagent de tels mythes d’horreur, et persuadent les patients de prétendus abus. »

https://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/wie-therapeuten-eine-verschwoerung-ueber-vermeintliche-opfer-ritueller-gewalt-verbreiten-a-fd5ea9b2-9c67-42ef-b451-0f511cb80053

L’article utilise précisément deux stratégies bien connues : d’une part, il place toute la thématique dans le domaine des théories de conspiration, en utilisant la notion bien établie de « panique satanique ». Et d’autre part, les thérapeutes — en particulier le service de consultation de l’évêché de Münster — sont une fois de plus pris pour cible à l’aide de la stratégie bien établie du « syndrome des faux souvenirs » :

Les thérapeutes du service de consultation de l’évêché de Münster ont été accusés d’avoir persuadé les victimes d’avoir subi des abus rituels sataniques. Une fois de plus, on discrédite les thérapeutes et on tente de les intimider. Malheureusement, la stratégie a fonctionné : deux jours seulement après la parution de l’article du Spiegel, l’évêché de Münster a annoncé qu’il avait fermé son service de consultation sur la violence rituelle — et ce après 20 ans d’un excellent travail de consultation et d’information !Une annonce de la confrérie satanique « Brotherhood of Samael » sur Facebook, qui se réfère précisément au centre de consultation de Münster, est explosive et révélatrice à ce sujet :

NOTE EXPRESS ! 5 ans de travail acharné pour enfin faire tomber cette association et un article de divulgation a finalement fait pencher la balance. Nous le leur avons dit en 2017, nous le leur disons aujourd’hui. « Nous gagnons. Vous perdez. Fin de l’histoire. »

Il est remarquable que l’auteur de l’article — le rédacteur de Spiegel Christopher Piltz — ait listé sur sa page Facebook le journaliste de SRF Robin Rehmann et la psychologue criminologue Lydia Benecke comme amis. Lydia Benecke est connue comme une militante allemande qui donne depuis des années des conférences dans lesquelles elle nie l’existence d’abus rituels sataniques. Pour ce faire, elle utilise dans ses interventions les stratégies que nous venons d’exposer.

Retour en arrière : Pourquoi et quand a-t-on créé les termes stratégiques de « panique satanique », « faux souvenirs » et « théorie du complot » ?Nous constatons ici que la stratégie bien connue de dissimulation des abus rituels sataniques, qui a déjà « fait ses preuves » dans les années 90 pour les abuseurs, est à nouveau mise en évidence. Déjà à l’époque, lorsque de plus en plus de cas d’abus rituels sataniques et de contrôle mental ont été mis en lumière, les médias ont utilisé avec succès les mots d’ordre « Satanic Panic » et « faux souvenirs ». En 1980, Michelle Smith, la première des survivantes, a publié avec son psychiatre Lawrence Pazder un livre intitulé « Michelle se souvient ». https://en.wikipedia.org/wiki/Satanic_panic

Au cours des deux décennies qui ont suivi, les thérapeutes américains ont enregistré un afflux de victimes de violence rituelle satanique qui avaient eu le courage de leur demander de l’aide. On parle d’environ 12 000 victimes au total. Comme les thérapeutes ne parvenaient pas à cerner cette évolution débordante, ils ont échangé entre eux et organisé des congrès spécialisés sur ce thème. En 1992, le Dr Corydon Hammond, psychiatre américain renommé, a prononcé lors d’un congrès spécialisé le discours dit de Greenbaum, dans lequel il a parlé de programmation, de dédoublement, de CIA, de MK-Ultra, de structures et de programmes occultes. Il a ensuite été réduit au silence.

Vous pouvez voir ici la lettre originale scannée de la CIA dans laquelle il est écrit textuellement que des mesures concrètes doivent être prises contre les lanceurs d’alertes qui s’élèvent. À cette époque, les journalistes d’investigation révélaient de plus en plus d’incohérences au sein du gouvernement et de la CIA. La direction de la CIA a alors qualifié les journalistes d’investigation de conspirationnistes. La CIA a chargé ses agents d’influencer la politique et les médias et a ainsi fait taire les lanceurs d’alertes. Kla.tv dispose de nombreuses preuves à ce sujet. Aujourd’hui, la notion de « conspirationniste » est encore plus exacerbée, allant jusqu’à la rapprocher du radicalisme et de la violence.

En plus de la stratégie consistant à qualifier de panique sataniste les cas d’abus rituels sataniques devenus publics et à les tourner en ridicule, la « Fondation du syndrome des faux souvenirs » a également été créée en 1992.

Cette fondation a diffusé la thèse de la « fausse mémoire », c’est-à-dire l’affirmation selon laquelle les récits des victimes ne se seraient pas réellement produits. Les abus rituels sataniques n’existeraient pas, mais les thérapeutes auraient simplement persuadé les patients qu’ils avaient vécu de telles atrocités dans le cadre de rituels sataniques. On leur aurait donc implanté de « faux souvenirs » au moyen d’astuces psychologiques.

La stratégie des « faux souvenirs » a été utilisée pour discréditer et intimider les thérapeutes. Il est significatif que Ralph Underwager, un pédophile avoué, ait été l’un des fondateurs de la « Fondation du syndrome des faux souvenirs ». Underwager a dû quitter plus tard le conseil consultatif de cette même fondation lorsqu’il est apparu qu’il avait qualifié la pédophilie « d’expression acceptable de l’amour de Dieu » dans une interview accordée à un magazine pédophile néerlandais.

Après ces explications historiques, on peut maintenant mieux situer le scandale suisse de SRF et ses autres conséquences.

Au-delà de la stratégie d’étouffement médiatique mentionnée au début, de nombreux thérapeutes ont été licenciés après le reportage de SRF, ainsi que deux enseignants, un reporter principal, une chef de clinique et un médecin chef de service. Des témoins importants qui avaient témoigné dans le documentaire ont perdu leur emploi :

1. Deux enseignants sont licenciés

L’enseignant du secondaire Daniel Vuilliomenet et l’enseignante de primaire Marianne Lander, qui avaient courageusement pris position dans le documentaire de SRF sur le thème des abus sataniques dans leur environnement proche, ont tous deux été suspendus de leurs fonctions d’enseignants et n’ont plus été autorisés à enseigner. Ils ont même été scandaleusement discrédités par le service de presse Nau.ch en tant que « professeurs sataniques ».

2. Le reporter en chef du Basler Zeitung est licencié

Daniel Wahl, le reporter en chef de la Basler Zeitung, qui travaillait depuis huit ans pour ce journal, a subi le même sort que les enseignants. Trois jours seulement après la diffusion du documentaire de SRF « Satanic Panic », soit le 17 décembre 2021, il n’a plus été autorisé à travailler pour la Basler Zeitung. Il a été suspendu de ses fonctions et n’a plus eu accès à tous les documents sur lesquels il travaillait. Fait particulièrement explosif : Daniel Wahl n’a été que très brièvement mentionné par l’un des enseignants dans le documentaire de SRF. Daniel Wahl s’est concentré sur les domaines de la justice et du KESB [Le KESB en allemand (Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde)], l’autorité suisse de protection de l’enfant et de l’adulte, entre autres. Il lui a reproché à plusieurs reprises de ne pas protéger suffisamment les enfants et les adultes concernés. Cet engagement de Wahl a conduit à plusieurs reprises le Conseil de la presse à réprimander la Basler Zeitung. L’un de ces cas contestés était l’affaire Nathalie : une fillette de huit ans avait fait des déclarations sur les abus rituels sataniques de son propre père. Daniel Wahl avait écrit plusieurs fois sur le cas Nathalie dans le Basler Zeitung en 2020 et 2021. Résultat : le père a été juridiquement acquitté, la Kesb disculpée, le reporter en chef Daniel Wahl réprimandé par le Conseil de la presse — et maintenant au final licencié.

Il est intéressant de noter que Jan Grüebler, le président de la 3e chambre du Conseil suisse de la presse, est également directeur adjoint de la rédaction de SRF. On ne peut donc pas vraiment parler d’impartialité du Conseil de la presse. Regardez la série Kla.tv « Presserat oder Presse VERRAT » (« Conseil de la presse ou trahison de la presse ») du fondateur de Kla.tv, Ivo-Sasek. Des ramifications bouleversantes apparaissent au grand jour.

3. Clinique Littenheid —Le médecin chef de service est licencié

Ses déclarations sur ses années de thérapies avec des survivants de la violence rituelle dans le documentaire de SRF ont eu pour conséquence que le médecin-chef, le Dr Matthias Kollmann, a lui aussi été mis à pied, puis licencié, quelques jours seulement après la diffusion du documentaire. Il s’agissait donc déjà de la quatrième personne dans le documentaire à être licenciée immédiatement après l’émission.

4. Clinique Littenheid — procédure pénale contre la chef de clinique — elle est également immédiatement mise à pied

Mais cela ne suffisait pas. Dès la publication du documentaire, une procédure pénale a été engagée contre le médecin-chef de la clinique Littenheid, suite à quoi elle a été immédiatement mise à pied. En outre, plus aucun patient atteint de TDI ne sera admis jusqu’à la révision des concepts. Il s’agit de patients souffrant de troubles dissociatifs de l’identité, souvent liés à des abus rituels sataniques.

5. Clinique Littenheid — Le personnel muselé

Les employés se plaignent d’avoir été muselés après la diffusion du documentaire. La clinique dément bien entendu cette affirmation. Mais un rapport d’enquête à ce sujet a montré que les employés interrogés avaient désormais évité les termes à connotation négative tels que « contrôle mental » et utilisé à la place des termes neutres et non chargés, ce qui revient à minimiser les thèmes de la violence rituelle et du contrôle mental.

6. Nombreux licenciements parmi le personnel du centre de thérapie de Münsingen

Le centre psychiatrique de Münsingen a également licencié une partie de son personnel après la diffusion du documentaire de SRF. Le reste du personnel a été reconverti. Apparemment, cela s’est fait suite à l’affirmation de SRF selon laquelle le centre de thérapie de Münsingen emploie des personnes qui croient à une théorie du complot appelée « Satanic Panic ».

La question se pose de savoir si ces nombreux licenciements et la vaste couverture médiatique dont ils ont fait l’objet ont servi d’exemple. Et ce dans le but d’intimider d’autres témoins et personnes concernées qui n’ont pas encore osé sortir de leur réserve ? S’agit-il d’attiser la peur de révéler les atrocités que l’on a soi-même vécues ou observées, car cela pourrait avoir de telles conséquences négatives ?

Conclusion :

Comme on peut le voir à travers les tentatives considérables de SRF et d’autres médias, d’énormes efforts sont visibles depuis un certain temps déjà dans le monde entier pour que le sujet des abus rituels sataniques ne soit pas divulgué. Des campagnes médiatiques agressives sont menées, les centres de conseil sont étiquetés « conspirationnistes » et les thérapeutes sont discrédités et intimidés. Les portails d’information alternatifs, comme Kla.tv, qui publient des informations de fond sur le sujet, sont immédiatement menacés de poursuites judiciaires. Les témoins perdent leur emploi et leur bonne réputation — ils sont isolés socialement et leur existence même est finalement mise en danger. Les victimes et les survivants sont privés de toute aide thérapeutique après toutes les horreurs qu’ils ont vécues et sont totalement décrédibilisés.

Pourquoi emploie-t-on depuis des décennies des armes aussi puissantes pour rendre cette thématique ridicule et non crédible ? Un proverbe bien connu dit : Il n’y a pas de fumée sans feu. Chers téléspectateurs, si on considère les actions médiatiques mentionnées, on ne peut s’empêcher d’être méfiant. C’est pourquoi : faites vos propres recherches sur toutes les relations et examinez les déclarations des survivants et faites connaître largement ces scandales médiatiques.

Sources/Liens :




La propagande pour les trans par les « progressistes » leur nuit lourdement

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroît aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues, dont certains actuellement au pouvoir, cessent de les utiliser.

Faut-il être « d’extrême-droaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme, risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont-ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?

Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de côté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.

La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entraîné une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années1.2

« L’Éducation nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Éducation nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBT phobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »3

Le ministre est-il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.

L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».

L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout

Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés. Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans (personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1 % de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration, etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose »…

Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du « Figaro La Nuit », la pensée progressiste s’organise « autour de la figure du transsexuel ». « Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste », relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.

« Le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).4

En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.

Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »

Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.

En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129 % pour les crimes et délits, et +115 % pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’Intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant « le revers de la plus grande visibilité des personnes trans »

Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.

Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans

De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux, car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex » est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.

Les féministes effacées

« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !

Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle », témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’« anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.

« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes. De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »

En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour « Trans-Exclusionary Radical Feminists » (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »

J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot « femme » en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».

Aux USA, l’association « Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.

Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. À l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10 % à 20 % en faveur des hommes : lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9”58/10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social » qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.

L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas…

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.

Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ».

De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’« invisibilisation des femmes ».

Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels, a aussi déclaré :

« Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste ».

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.  

Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin ».

Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.

Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitions ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !

Dans les écoles

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.

Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.

En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’École alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être « enceints ». Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».

Le Syndicat de la famille — a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »

Le département d’île et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister, le 20 mars 2023, des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon », un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.

Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.

Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.

Et la pression du ministère étonne et scandalise :

Cf. bd Voltaire :

«les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60 000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux.»5

Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie).

Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?

En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.

Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe ! Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?

Dans les prisons

En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04 %). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré :

« En cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenusinvitant à “adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes”. »

Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.

Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique. »

En Écosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. » Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés — vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnées pour viol dans des établissements pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.

Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité surreprésentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.

Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive

Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordu les doigts.

Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.

Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 2023 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26 %, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux États-Unis et son cours en bourse a chuté de 11 %.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 2023. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards6 de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.

Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.

Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent régulièrement les entreprises qui le pratiquent.

Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois finalement défavorables à leur communauté

En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. À partir de septembre 2023, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.

En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse et/ou chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.

En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteints d’anomalies congénitales.

À Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le Premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »

En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.

Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le Premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT, car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins ».

En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.

Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun ».

La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.

Et d’ailleurs, écoutons la parole d’une drag queen :7

« Pourquoi voudriez-vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage [dans les coulisses] ».

Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !

« Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 :





Prochaine plandémie : « Marburg » = 5G + injection

Une source de plus nous en avertit

[Source : ActuPlus11 via santeglobale.world]



[Note de Joseph : le prétendu « virus » choisi importe peu dans le plan. Il suffit que les effets qu’on lui attribue soient suffisamment effrayants. Ce sera peut-être autre chose que Marburg, même si celui-ci paraît un très bon candidat.]

[Voir aussi :
Les bizarreries de Marburg
Nouvelle plandémie en vue ?
Bill Gates prépare sa prochaine plandémie
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Pour en finir avec les plandémies]




Des températures de 48°C en Europe qui n’ont jamais eu lieu

[Source : Association des climato-réalistes]

Article publié le 19 juillet 2023 par le site NoTricksZones. Traduit par la rédaction.


L’ESA (European Space Agency) et les médias vivement critiqués pour des reportages manipulateurs.

Par Pierre Gosselin

La semaine dernière, il s’est répandu dans les médias la nouvelle que les températures dans le sud de l’Europe montaient en flèche pour atteindre 48°C ! Or, il n’en était rien.

L’hystérie a commencé lorsque des médias à sensation en Allemagne et ailleurs, comme le Spiegel, ont cité sans réserve un rapport du 13 juillet 2023 bâclé et manipulateur de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). [NDT : Les médias Français n’étaient pas en reste, lire ici l’Express du 14 juillet le tweet Sandrine Rousseau, évoquant une température de “60°C en Espagne]

Ce rapport faisait d’abord référence à la température de l’air :

Les températures s’emballent en Europe cette semaine dans le contexte d’une période de chaleur intense et prolongée. Et cela ne fait que commencer. L’Italie, l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Pologne sont toutes confrontées à une vague de chaleur majeure avec des températures de l’air qui devraient grimper jusqu’à 48 °C sur les îles de Sicile et de Sardaigne. Potentiellement les températures les plus chaudes jamais enregistrées en Europe.

Le rapport original de l’ESA a été maintenu, une précision a été apportée ultérieurement que ce rapport faisait en fait référence à la température de surface [NDT : mesure par satellite de la température du sol, bien distincte d’une mesure de l’air ambiant].

L’animation ci-dessous utilise les données du radiomètre de la mission Copernicus Sentinel-3 qui montre la température de la surface terrestre à travers l’Italie entre le 9 et le 10 juillet. Comme le montre clairement l’image, dans certaines villes, la surface du sol dépassait 45°C, notamment à Rome, Naples, Tarente et Foggia. Le long des pentes orientales de l’Etna en Sicile, de nombreuses températures ont été enregistrées à plus de 50°C.

Carte des températures de surface : Agence spatiale européenne (ESA)

Il ne s’agissait pas ici des températures standard enregistrées à 2 mètres au-dessus du niveau du sol toujours utilisées dans les bulletins météorologiques quotidiens mais celles de la surface du sol qui sont beaucoup plus chaudes. Cette différence cruciale est passée totalement inaperçue des médias et des journalistes, qui ont fait état de nouveaux records de températures. Au moment où la manipulation a été éventée par des lecteurs attentifs, la nouvelle avait déjà fait le tour du monde.

Hier, l’ESA a publié une (vague) clarification expliquant la différence entre la température de surface et la température de l’air à 2 mètres au-dessus du sol, mais a persisté à induire ses lecteurs en erreur.

Température de surface et températures à 2 mètres du sol

La température de la surface terrestre  est la chaleur ressentie par la « surface » de la Terre au toucher. La température de l’air, donnée dans les prévisions météorologiques quotidiennes, est une mesure de la chaleur de l’air au-dessus du sol.

L’ESA n’a pas pris la peine de mentionner que la température de surface est beaucoup plus élevée que la température de l’air à 2 mètres.

[NDT Pour une bonne compréhension de ces 2 types de mesure, on pourra consulter cet article publié le CNRS et celui-là par la revue Earth and Space Science ].

Un mensonge climatique éhonté

« Ce que nous avons vécu au cours des derniers jours est le mensonge climatique le plus éhonté depuis le début des enregistrements de la température », a commenté l’Allemand Achtung Reichelt ici sur les implications du communiqué de presse de l’ESA et de la tempête médiatique qui s’en est suivie : « Le problème avec ce rapport est que rien de tout cela n’est vrai ».

En Sicile, la température n’a atteint que 32°C pendant le week-end, bien loin des 48°C, ce qui illustre la grande différence entre la température de surface du sol et les relevés effectués à 2 mètres au-dessus du sol.

Une fois la supercherie révélée, Spiegel a discrètement changé son article du 14 juillet :

Image créées par Achtung Reichelt . 

Spiegel a changé le texte de gauche où il était question de « beaucoup de morts à cause de la chaleur » par celui de droite qui précisait que « la mesure de 48°C n’étaient pas la température habituelle de l’air, qui peut être considérablement plus basse ».

Il est clair que les autorités et les médias se sont essayé à un exercice rapide de propagande à destination du public, mais qu’ils ont été rattrapés par des lecteurs attentifs.




Israël : la longue marche du peuple contre Nétanyahou




Poutine déclare que la Russie a beaucoup d’amis parmi le peuple français, malgré la propagande

[Source : lemediaen442.fr]

Le 19 juillet 2023, lors d’une réunion du conseil de surveillance de l’organisation autonome à but non lucratif « Russie-Terre d’opportunités » dans la salle Catherine du Kremlin, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la Russie comptait de nombreux amis dans les pays occidentaux, y compris en France, malgré les efforts déployés pour restreindre la pensée critique :

« Nous avons beaucoup d’amis dans les pays européens, notamment en France, je le sais personnellement. Je sais que les gens pensent comme nous. Mais on essaie de les empêcher de réfléchir par eux-mêmes. D’autres le font à leur place », a souligné le président Vladimir Poutine.

Un point crucial soulevé par la journaliste française Christelle Néant, fondatrice du site Donbass Insider, a été la censure des médias russes en Europe. Vladimir Poutine a confirmé que la chaîne d’information Russia Today (RT) était particulièrement touchée par ces interdictions et obstacles.

« C’est la raison pour laquelle ils bannissent partout notre source d’information destinée au public occidental : Russia Today. Celle-là est chassée partout. »

Le chef d’État russe a critiqué les dirigeants européens en les accusant d’avoir manipulé les opinions publiques pour déformer la perception du conflit ukrainien. Selon Poutine, ils auraient fait croire que le conflit avait débuté en février 2022, alors qu’en réalité, il avait commencé huit ans auparavant, avec la répression de Kiev contre le Donbass russophone.

En conclusion, Vladimir Poutine a salué le travail de journalistes comme Christelle Néant, qui, selon lui, remplissent une mission essentielle en remettant en question les politiques des élites dirigeantes européennes.

« Des personnes comme vous, de mon point de vue, remplissent une mission très importante qui va au-delà des intérêts du peuple du Donbass, qui sert les intérêts de votre pays. Car vous essayez de montrer que la politique des élites dirigeantes de ces pays est erronée », a-t-il conclu.

Version longue de l’entretien : 




Excellent témoignage d’un cardiologue vaxiné




Les Lgb contre les TQ

Par Lucien Samir Oulahbib

Naulleau en s’en prenant dans un Twitt à Philippe de Villiers critiquant la nomination d’Attal à l’Éducation en disant que « l’on passe du wokisme à la propagande Lgbtqi » est tombé lui aussi dans le panneau et avec lui tous les idéologues de droiche et de gaute (y compris Jordan Bardella du RN) croyant encore que les lgbtqi défendent les droits homosexuels alors qu’ils s’en servent de cache-sexe pour « fluidifier » ce dernier comme ils disent. Donc même l’homo droit dans ses bottes doit disparaître. Le tout masqué également par leur histoire de « dysphorie de genre » alors que c’est très minoritaire et sert plutôt à introduire dès le plus jeune âge un « trouble dans le genre » pour reprendre le titre d’un essai de l’une de leurs égéries adeptes de Foucault.

D’où les attaques contre ce qu’ils appellent les « TERFS » à Nantes et à Bruxelles…

Aussi Philippe de Villiers a raison de s’insurger, la nomination d’Attal vise à accélérer cette « fluidité de genre » afin de fabriquer des « variétés » de Post-humains comme le préconise Deleuze dans Mille plateaux et que j’analyse en long et en large dans Éthique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du sens…

C’est en conformité avec le programme de l’OMS sur l’éducation sexuelle et le tout vaccinal défendu tout autant par la Nupes que la Macronnie ces deux faces de la Secte SHAA…




La destruction de la France au cinéma

Par Nicolas Bonnal

Texte de deux mille mots environ, présentant mon prochain livre (Amazon.fr pour les fauchés, mais aussi Avatar Éditions) sur la disparition de la France sous les Trente Glorieuses, bien avant l’immigration si tancée donc.

Ce livre commente la destruction — ou la disparition de la France — de 1945 aux années 70. Je considère que si la France est devenue ce que l’on sait depuis, elle était déjà foutue alors — dans les années 70. Je l’ai perçue ainsi enfant déjà quand j’y venais, sorti de ma tranquille Tunisie. Je suis arrivé à Brest en famille en 1972, ville entièrement détruite et reconstruite, artificielle au possible. Cela ne parlait que football et télé à l’école et j’avais déjà le caractère des trois vieux emmerdeurs des Vieux de la Vieille. Mon seul réconfort visuel : les classiques US à la télé encore bien doublés et Chapeau melon et bottes de cuir — Emma Peel et Tara King.



Ce qui restait de la France c’était des bribes : le petit village, la petite campagne vite captée, le tourisme industriel avant de servir d’investissement immobilier au bourgeois écolo — on ne disait pas encore bobo. Le reste était promis à plus d’industrialisation, plus de destruction, plus de remplacement. On avait une émission très bonne qui s’appelait : la France défigurée (Péricard et Bériot) le samedi, je crois, après manger.

Le remplacement aussi m’est apparu dès cette époque : on se foutait de l’histoire, de la littérature ; on aimait la baise, le tourisme, la gesticulation motorisée ; on aimait la ville nouvelle, la bouffe nouvelle, et la spéculation. Et on est passé de mille balles du mètre à dix mille euros en cinquante ans, et à peu près partout. On s’adapte, comme dit Céline.

Le cinéma a bien filmé tout cela : il est la vérité vingt-quatre fois par seconde quand la télé est le mensonge vingt-quatre fois par seconde — conditionnement pour accepter tout ça et pour la fermer. J’ai vu par le cinéma la France remplacée dans Play Time de Tati, j’ai vu la France cybernétique et totalitaire dans Alphaville, et j’ai vu comme Rimbaud les effets sur les populations : les valseuses. J’ai vu la fin des ânes dans Balthazar.

J’ai vu disparaître ce qui restait d’Ancien Régime : le marquis libertin de la Femme du boulanger, les paysans traditionnels de Farrebique, les chevaliers servants de l’Empire dans Alerte au Sud (admirable et méconnu film de Devaivre). J’ai vu disparaître les curés aussi : c’est l’athée Jean Renoir qui filme un chant du cygne antimoderne dans le Déjeuner sur l’herbe. Son curé y est prodigieux et y annonce comme ceux de Pagnol la grande catastrophe. Mais les idiots avancent toujours, les somnambules, dit Hermann Broch.

À la place est apparue une société froide et structurée autour de nouveaux axiomes : le capitalisme, l’État-providence, le court terme, le sexe, la violence fantasmée, la sottise télé. Tout cela a suscité au début des résistances (merci à Guy Debord qui m’aura éclairé pour tout) et puis on s’est habitué. Va critiquer la télé maintenant, va… Va remettre en cause l’usage hypnotique de la technologie, va… C’est Fahrenheit 451 partout (marrant tout de même ce film de Truffaut tourné en anglais et pas en français).

Un écrivain américain a parlé de conquête du cool et il dit qu’en cinq ans on change un peuple. Patrick McGoohan (le Prisonnier donc, la seule série à connaître) dit qu’on ne peut échapper ni au Pentagone, ni à Madison, ni à la télé. Le peuple froncé fut créé sous le gaullisme en quelques années. On peut dire que le phénomène était partout le même, mais je tape quand même sur le gaullisme, sur son culte indécent, sur sa constitution, sur ses trente glorieuses, sur ses grandes transformations, sur sa société de consommation. Comme disait André Bercoff dans sa Reconquête, ces technocrates auraient dû lire les situationnistes pour voir dans quel hexagone ils nous mettaient et soumettaient.

Certes la France est coutumière du fait : c’est un pays implacable quand il s’agit d’idées, a dit le professeur Paul Hazard. On aime s’y refaire à neuf. Le bonheur est une idée neuve, etc. On aime les nouvelles vagues, etc. On aime se moderniser, se créoliser, etc. C’est la Lumière du monde (dixit de Gaulle) donc on peut tout se permettre. Mais franchement c’est ici que la technocratie aura fait le plus de dégâts ; ensuite les écologistes ont pris le relais et ont couvert leur hexagone d’éoliennes.

J’en suis resté à Nerval et à Adrienne moi, et à la danse de la Chapelle dans Drôle de frimousse, filmé par un petit juif nommé Stanley Donen, qui avait déjà réalisé dix chefs-d’œuvre et qui lui aussi allait affronter l’ère du cool américaine et ne plus s’en remettre — voyez mon livre sur la comédie musicale américaine. Stanley bis (l’autre c’est Kubrick) a filmé la chute de Paris dans Charade : on est en 1963 seulement. Chute brutale : la ville perd son charisme ; c’est une « commodité ». Après c’est Open bar, après c’est les drugstores, les aéroports, les autorités, les banlieues dégueulasses pour parler comme Belmondo (Nanterre forever), les villes nouvelles, les camps de vacances (vive les bronzés !), après c’est aussi une bonne inconscience de plus abrutis par la consommation et par la télé, abrutissement que filment Godard ou Pierre Etaix au début des années soixante. Etaix aussi ne s’en remettra pas et Godard disparaît pour une décennie et sans doute pour toujours — un peu comme Rimbaud parti pour l’Abyssinie et revenu pour se faire amputer — ici par la commission d’avances sur recettes.

Dans les années cinquante quand Tati filme mon Oncle, le public français réagit encore (peut encore réagir) et le monde entier aime son film ; et en URSS explique le grand et génial Jacques, le film rencontre un immense succès, car la bourgeoisie en prend plein la gueule. Dix ans plus tard, le modèle américain a gagné, la bourgeoisie américanisée et motorisée a gagné et elle a imposé son modèle. Play Time est un film aussitôt oublié et nié : on a mieux à faire dans les journaux bourgeois, on adore le gauchisme, le cul, la violence, la rébellion, notions toutes recyclées par nos bourgeois. La société postmoderne vit de la haine qu’elle s’inspire comme tel champ vit de la merde de ses paysans.

Mais comme c’est au sens figuré, c’est plus grave.

Le système crée alors d’autres modèles : ses vieux râleurs (Gabin…), ses nostalgiques (Audiard…) qu’on aime bien et qu’on évoquera ici. Il crée de risibles jeunes chrétiens, des loubards, des queutards, des pauvres filles, des bobos, des renégats, des richards, des paumés, des consommateurs, des petits cultivés dont jl a fait partie. On est dans la société de services. Et les sévices vont se multiplier.

Trois citations pour terminer — ou pour commencer. On espère qu’elles exaspéreront les imbéciles et rafraîchiront l’imagination des bons chrétiens comme dit Léon Bloy. Mes fidèles lecteurs les connaissant déjà :

Debord sur la mafia et l’avilissement universel :

« C’était une forme de crime organisé qui ne pouvait prospérer que sur la “protection” de minorités attardées, en dehors du monde des villes, là où ne pouvait pas pénétrer le contrôle d’une police rationnelle et des lois de la bourgeoisie. La tactique défensive de la Mafia ne pouvait jamais être que la suppression des témoignages, pour neutraliser la police et la justice, et faire régner dans sa sphère d’activité le secret qui lui est nécessaire. Elle a par la suite trouvé un champ nouveau dans le nouvel obscurantisme de la société du spectaculaire diffus, puis intégré : avec la victoire totale du secret, la démission générale des citoyens, la perte complète de la logique, et les progrès de la vénalité et de la lâcheté universelles, toutes les conditions favorables furent réunies pour qu’elle devînt une puissance moderne, et offensive. »

Bonald sur la disparition du sol et du peuple :

« Le sol n’est pas la patrie de l’homme civilisé ; il n’est pas même celle du sauvage, qui se croit toujours dans sa patrie lorsqu’il emporte avec lui les ossements de ses pères. Le sol n’est la patrie que de l’animal ; et, pour les renards et les ours, la patrie est leur tanière. Pour l’homme en société publique, le sol qu’il cultive n’est pas plus la patrie, que pour l’homme domestique la maison qu’il habite n’est la famille. L’homme civilisé ne voit la patrie que dans les lois qui régissent la société, dans l’ordre qui y règne, dans les pouvoirs qui la gouvernent, dans la religion qu’on y professe, et pour lui son pays peut n’être pas toujours sa patrie… Dès lors, l’émigration fut une nécessité pour les uns, un devoir pour les autres, un droit pour tous. »

Drumont enfin sur le Français et Paris remplacés :

« L’être qui est là est un moderne, un nihiliste, il ne tient à rien. Il n’est guère plus patriote que les trois cent mille étrangers, que l’aveuglement de nos gouvernants a laissé s’entasser dans ce Paris dont ils seront les maîtres quand ils voudront ; il ne se révoltera pas comme les aïeux sous l’empire de quelque excitation passagère, sous une influence atmosphérique en quelque sorte qui échauffe les têtes et fait surgir des barricades instantanément. »

Cela me paraît important pour dire que l’immigration et le racisme qui va avec n’ont rien à faire ici et que le Grand Remplacement était joué dans les seventies [les années 1970] sous Pompidou-Giscard. Après on a créé un être festif et nul (le bobo) nourri au bio et au cinoche de festival — et aussi et surtout comme partout ailleurs un maniaque du cinéma américain — non pas de Walsh, Hawks et Wilder, mais des blockbusters et des films-culte. C’est un autre sujet.

On n’a choisi que 72 films ici et comme dit notre correcteur Franz cela fait notice. C’est l’effet recherché. On a oublié de parler de Melville (encore un juif bien outillé intellectuellement et heureusement d’ailleurs parce que le froncé…) qui dans plusieurs films a fait mouche : dans l’Orchestre rouge, il montre la société froide et glacée et technocratique qui sort du gaullisme (une société structuraliste) ; dans l’Armée des ombres, il montre le martyrologue de la Résistance (la France antichrétienne adore se créer des religions de substitution) ; et dans Deux hommes dans Manhattan il dévoile les dessous sexuels des élites françaises à New York, la laideur de New York by night sans technicolor et la pourriture de l’ONU qui n’a pas fini de nous en faire baver. Le tout sans prétentions, sans y toucher, presque humblement. Pas étonnant qu’on l’ait oublié : de toute manière il n’y a plus de nostalgie. Tout est mort et très enterré — y compris les nostalgiques. Je peux en parler moi qui ai pleuré à la mort de Tati (un Russe), de Buñuel (un Aragonais) ou de Simone Signoret (autre immigrée) qui l’a bien dit : la nostalgie n’est plus et ne sera plus ce qu’elle était. Le Grand Reset a déjà eu lieu dans tous les cerveaux et le froncé pouvait se faire remplacer physiquement. Il ne sait plus s’il est vivant, le froncé, entre sa télé et sa pharmacopée. Ce n’est même pas vrai d’ailleurs : il est plus vieux, engraissé par la dette, et servi par le tiers-monde après avoir bien vécu après mai 68 ; mais de quoi se plaint-il ?

Un grand regret, que les films français de cette époque damnée ne soient pas meilleurs — mais c’est que la France est depuis longtemps un pays surfait et brillant qui vit de sa légende et de sa propagande ; Paris aussi est surestimé un peu comme Washington, car c’est une ville qui a été conçue par les bonapartistes et les républicains pour impressionner, et épater le touriste bourgeois). Le Grand Meaulnes est un film d’italien tourné avec un acteur… ukrainien ; on n’a rien fait sur Nerval et son Adrienne essence de la France druidique et médiévale enfouie ; du coup on a rajouté quelques comédies musicales à notre convenance qui toutes tournées dans les années cinquante ont montré au béotien hexagonal ce que c’était Paris avant son impeccable destruction moderniste et industrielle des années soixante. Comme dit mon ami Paucard dans ses Criminels du béton, on n’a plus écrit de chanson à la gloire de Paris depuis cette époque, alors…

J’ai donc cité peu de films des années 80 et d’après. Je considère en effet que le mal était fait. On n’avait plus que du crétinisme subventionné à pourfendre et notre religion était faite avec JJ Annaud : il valait mieux s’exporter que s’abonner aux Nuits fauves des huns et des autres. Notre film préféré à Tetyana et moi ce sont les Visiteurs parce que le serf s’adapte tout de suite (normal on est dans une société de services) à l’affreux monde (banquiers, bowlings et château recyclé sans oublier la rocade qui traumatise notre génial dentiste surexcité) et parce que le noble Hubert qui trouve que tout pue décide de retourner dans son moyen âge, laissant nos contemporains à leur kolkhoze fleuri, comme dit Audiard (on a fait pire que le kolkhoze ici comme à l’ouest du Pecos, Michel, allez !).

Notre plan préféré ? Gabin de retour à Sarcelles ne reconnaît pas sa ville.




De la mafia française depuis 1815

Par Nicolas Bonnal

[Source de l’illustration :
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:James_Tissot_-The_Circle_of_the_Rue_Royale-_Google_Art_Project.jpg]

Macron caracole en tête de cet hexagone promis à la guerre et au Reset avec un personnel politique et technique bourgeois, qui s’est mondialisé et américanisé, mais qui est caractéristique de leur France. En revoyant les Mystères de Paris, les Misérables ou le Comte de Monte-Cristo (extraordinaire version de Claude Autant-Lara) je me suis dit que sur le plan métaphorique ce film exprimait une vérité bien française génialement décrite par Balzac et Joly : la France est dirigée par une mafia — au sens de l’élite de l’ombre — bourgeoise.

Certains l’appellent la caste. On peut dire que la France est dominée par une élite républicaine dangereuse et cruelle, et ce depuis longtemps. C’est une élite de talents (comme on disait fièrement chez les bourgeois) et de diplômes, mais pas seulement. C’est une élite d’argent, de maçonneries, de gens invisibles ou visibles, parfois cooptés, mais rudement bien connectés en réseaux. C’est une élite qui conspire et qui joua à la politique : droite et gauche. C’est aussi une élite de familles et dynasties bourgeoises : les enfants sont un signe de richesse, m’a dit un bourgeois. Les bourgeois seront les seuls autorisés à se produire : c’est aussi ça le Grand Reset. Sa mission est d’interdire tout mouvement à l’ancienne masse citoyenne imprudemment mise en avant par la bourgeoisie sauvage de 1789 et 1793. Cette bourgeoisie sauvage (ou mafieuse donc) a eu recours aux guerres pour diminuer-réduire ce peuple, aux guerres coloniales et à l’immigration ensuite. Elle tient sa guerre contre la Russie pour asseoir totalement son pouvoir.

Sa mise en place à cette mafia moderne (antiaristocratique d’abord, elle s’agrégea la noblesse ensuite) eut un merveilleux descripteur : Balzac. Mais on a aussi Eugène Sue (les bas-fonds de Paris qui décrit l’ascension de la mafia française), le Dumas de Monte-Cristo (horrible société d’après-guerre, d’après la révolution et l’empire donc), le Hugo des Misérables (avec deux pièces maîtresses dans l’échiquier, le flic Javert et le truand Thénardier).

Balzac donc (Z. Marcas, seize pages de vision pure) :

« Il m’a dit en 1831 ce qui devait arriver et ce qui est arrivé : les assassinats, les conspirations, le règne des juifs, la gêne des mouvements de la France, la disette d’intelligences dans la sphère supérieure, et l’abondance de talents dans les bas-fonds où les plus beaux courages s’éteignent sous les cendres du cigare. Que devenir ? »

Certes il y a des raisons physiques. Trop d’apprentis-bourgeois, trop de diplômés qui veulent (ô mal français) vivre de la manne étatique. Balzac explique :

« Aujourd’hui que tout est un combat d’intelligence, il faut savoir rester des quarante-huit heures de suite assis dans son fauteuil et devant une table, comme un général restait deux jours en selle sur son cheval. L’affluence des postulants a forcé la médecine à se diviser en catégories : il y a le médecin qui écrit, le médecin qui professe, le médecin politique et le médecin militant ; quatre manières différentes d’être médecin, quatre sections déjà pleines. Quant à la cinquième division, celle des docteurs qui vendent des remèdes, il y a concurrence, et l’on s’y bat à coups d’affiches infâmes sur les murs de Paris. »

Nos professions dites libérales sont décidément très étatisées :

« Dans tous les tribunaux, il y a presque autant d’avocats que de causes. L’avocat s’est rejeté sur le journalisme, sur la politique, sur la littérature. Enfin l’État, assailli pour les moindres places de la magistrature, a fini par demander une certaine fortune aux solliciteurs. »

La Mafia française va se métamorphoser et se grandir avec le bonapartisme et la ploutocratie.

La France est dirigée par une bourgeoisie sauvage (il y avait une bourgeoisie chrétienne plus sage, mais les frontières sont poreuses comme disait Mitterrand des années quarante…) depuis l’Empire. L’Empire marie une haute et féroce fonction publique avec les profiteurs de guerre et la bourgeoisie héritière de la braderie des biens nationaux. Le Second Empire renforce cette société haïssable que Maurice Joly décrit bien mieux que Zola ; société qui va s’accommoder comme un charme de la république de 1870.

Ici on vire à la ploutocratie, mais n’est-ce pas la définition de toute bonne société finalement ? On reverra avec plaisir les bas-fonds du très honorable André Hunebelle (Jean Marais et Pierre Mondy), le Comte de Monte-Cristo (toujours Mondy et Louis Jourdan) et le colonel Chabert avec un prodigieux Raimu.

Quant à Marx il a aussi brillamment écrit sur ce sujet bonapartiste qui taraude les rares observateurs :

« Dans ces voyages, que le grand Moniteur officiel et les petits Moniteurs privés de Bonaparte ne pouvaient moins faire que de célébrer comme des tournées triomphales, il était constamment accompagné d’affiliés de la société du 10 décembre. Cette société avait été fondée en 1849. Sous le prétexte de fonder une société de bienfaisance, on avait organisé le sous-prolétariat parisien en sections secrètes, mis à la tête de chacune d’elles des agents bonapartistes, la société elle-même étant dirigée par un général bonapartiste. À côté de “roués” ruinés, aux moyens d’existence douteux, et d’origine également douteuse, d’aventuriers et de déchets corrompus de la bourgeoisie, des forçats sortis du bagne, des galériens en rupture de ban, des filous, des charlatans, des lazzaroni, des pickpockets, des escamoteurs, des joueurs, des souteneurs, des tenanciers de maisons publiques, des portefaix, des écrivassiers, des joueurs d’orgues, des chiffonniers, des rémouleurs, des rétameurs, des mendiants, bref, toute cette masse confuse, décomposée, flottante, que les Français appellent la “bohème”. »

Bohème peut-être, mais qui va s’occuper de tout. L’État fort et inefficace n’est pas un vain mythe dans nos contrées latines :

« Ce pouvoir exécutif, avec son immense organisation bureaucratique et militaire, avec son mécanisme étatique complexe et artificiel, son armée de fonctionnaires d’un demi-million d’hommes et son autre armée de cinq cent mille soldats, effroyable corps parasite, qui recouvre comme d’une membrane le corps de la société française et en bouche tous les pores, se constitua à l’époque de la monarchie absolue, au déclin de la féodalité, qu’il aida à renverser. »

Problème :

« Toutes les révolutions politiques n’ont fait que perfectionner cette machine, au lieu de la briser. Les partis qui luttèrent à tour de rôle pour le pouvoir considérèrent la conquête de cet immense édifice d’État comme la principale proie du vainqueur. »

Dans mon livre sur la destruction de la France au cinéma je montre le rôle sinistre du gaullisme (rôle dénoncé par Godard, Tati, Verneuil, etc.) et de ses villes nouvelles déracinées et hors-sol comme on dit, qui a abouti à l’irréel hexagone que l’on sait.




Comment éviter un régime totalitaire dans son pays ?

Par Terry Oldberg
Ingénieur/scientifique/chercheur en politiques publiques
Los Altos Hills, California, USA
1-650-941-0533
terry_oldberg@yahoo.com

Introduction

Dans le livre intitulé The Psychology of Totalitarianism (La psychologie du totalitarisme), le professeur de psychologie clinique Mattias Desmet présente les résultats d’une étude historique du totalitarisme qu’il a menée et qui est rédigée du point de vue d’un psychologue. Mon objectif en publiant cet article est de présenter une critique de ce livre qui est écrit du point de vue d’un ingénieur en systèmes de contrôle. En tant qu’ingénieur en systèmes de contrôle, je me concentre sur la stabilité du système physique pour lequel on tente de contrôler les résultats de ses événements futurs. En l’absence de stabilité, ce système ne peut être contrôlé.

Un exemple

L’exemple suivant illustre les préceptes de l’ingénierie des systèmes de contrôle. L’un de ces préceptes est que le contrôleur doit anticiper les résultats des événements futurs pour le système à contrôler avant qu’ils ne se produisent ! La capacité d’anticipation est fournie au contrôleur par un modèle de ce système. Dans cet exemple, le système physique à contrôler est composé d’une bicyclette et de son conducteur. Les propriocepteurs du corps du cycliste lui fournissent un retour d’information [feedback ou rétroaction] sur l’état de ce système à tout moment, ce qui lui permet d’essayer de contrôler la séquence temporelle des résultats des événements futurs de ce système. Le rôle du retour d’information est d’éloigner l’état de ce système physique du chaos et de le rapprocher de l’ordre. Sans cette rétroaction, la bicyclette et le cycliste s’écrasent !

Identifier le système à contrôler dans le cas du totalitarisme

Dans le chapitre de son livre intitulé The Dead versus the Living Universe (L’univers des morts contre celui des vivants), le professeur Desmet révèle qu’il a découvert dans les archives historiques que l’identité du système physique qui doit être contrôlé dans le cas du totalitarisme est, en fonction de l’identité de l’individu qui réfléchit, soit un univers mort, soit un univers vivant, un univers mort étant un exemple de système non complexe et un univers vivant étant un exemple de système complexe. Desmet conclut, sur la base des données historiques, que l’idée que ce système est non complexe est le fruit d’une pensée mécaniste.

Je conclus de ma compréhension de la théorie du contrôle que le point de vue selon lequel ce système est complexe est le fruit d’une pensée holistique [NDLR qui perçoit les choses et les êtres dans leur globalité et comme constituant d’un tout]. Le sous-ensemble de personnes qui appliquent la pensée mécaniste à la tâche de maîtriser l’univers appartient à ce que Desmet appelle une « formation de masse ». Il conclut, à partir des archives historiques, que chaque personne appartenant à une formation de masse est soumise à « … une sorte d’hypnose de groupe qui détruit la conscience éthique de l’individu et le prive de sa capacité à penser de manière critique ». Desmet observe dans l’histoire que « … les gigantesques formations de masse du nazisme et du stalinisme… » sont des exemples de ce phénomène.

Résumé et conclusion

Le totalitarisme est un système de gouvernement dans lequel un gouvernement impose un contrôle total sur la vie des personnes qu’il gouverne. Les nombreux défauts du régime totalitaire soulèvent la question de savoir comment l’éviter à l’avenir. La théorie du contrôle apporte une réponse à cette question. La réponse consiste à appliquer une pensée holistique plutôt que mécaniste à la tâche consistant à atteindre un certain degré de contrôle sur un système physique complexe composé des citoyens d’un pays. Un tel système présente une ou plusieurs « propriétés émergentes », chacune d’entre elles étant une propriété de l’ensemble du système et non de ses différentes parties. Une bicyclette et son conducteur sont un exemple d’un tel système.

[Note de Joseph : les artisans du Nouvel Ordre Mondial, fonctionnant avec une pensée matérialiste mécaniste ont adopté une démarche inverse. Comme ils ne sont pas en mesure de contrôler une Humanité complexe, ils cherchent à la simplifier en l’atomisant de sorte à l’amener dans un état permanent de chaos dans lequel les divers individus sont les clones d’un unique représentant médiocre et indifférencié, mi-homme, mi-femme (ou androgyne).
Voir L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité.]




L’atomisation de l’Homme et de l’Humanité

Par Joseph Stroberg

S’il est souvent connu que certains groupes humains souhaitent faire naître leur ordre à partir du chaos, les raisons pour cela le sont moins. Nous verrons cependant ici comment ces dernières impliquent l’atomisation de l’Humanité, jusqu’à celle de l’individu, selon le degré de chaos recherché, et quelle forme d’ordre peut en émerger.

L’idée que l’on se fait souvent du chaos est celle de destruction, de désorganisation ou d’anarchie. Cependant, le sens que lui donne la physique, et peut-être celui que lui donnent certaines élites qui souhaitent faire naître un Nouvel Ordre Mondial à partir du chaos, n’est pas tout à fait cela. En physique, la notion de chaos est simplement équivalente à celle de désordre, dans le sens où rien n’est organisé, rien n’est trié, tout reste indifférencié, mélangé dans un tout qui paraît globalement homogène. Le lait peut donner une idée d’un tel chaos. À l’œil nu, il paraît blanchâtre, uniforme, sans éléments distinctifs ou différentiés. Néanmoins, lorsqu’on y verse du citron ou qu’il gèle complètement puis dégèle, ses constituants principaux se séparent et il sort de l’état proche du chaos pour trouver un semblant ou un début d’ordre : d’un côté le petit-lait, liquide transparent ; de l’autre le fromage blanc qui tombe au fond du liquide.

On doit fournir de l’énergie, chimique (provenant de l’action acide du citron) ou physique (produisant les changements d’État de la matière qui passe du liquide au solide puis inversement), pour produire de l’ordre à partir du chaos. Par contre, l’augmentation du chaos ne nécessite pas nécessairement de dépense d’énergie, puisque selon les lois de la thermodynamique (qui n’ont pour l’instant jamais été mises en défaut, à notre connaissance), l’entropie (qui caractérise le degré de désordre ou de désorganisation d’un système matériel ou vivant ne peut que croître au cours du temps). Autrement dit, sous les seules conditions et lois de la matière, l’Univers glisserait naturellement et implacablement vers le chaos. Pourtant, de l’ordre est né à partir du chaos primordial supposé, mais ceci parce qu’il existait une grande quantité d’énergie disponible et parce qu’un principe d’Intelligence ou de Conscience est intervenu pour organiser la matière en formes distinctes à de multiples niveaux, depuis les quarks et les atomes jusqu’aux galaxies, en passant par les étoiles, les planètes et les êtres vivants à la surface de certaines planètes.

Le niveau de complexité et d’intelligence organisationnelle de l’Univers est tel, ne serait-ce déjà que dans une minuscule cellule végétale, animale ou humaine (agencée de composants formels qui doivent être créés de manière synchrone tellement ils sont interdépendants et imbriqués), que le seul hasard n’est pas une explication plausible ni même probable1. L’implication logique et cohérente est la nécessité de l’intervention d’une forme de Volonté consciente ou de Conscience volontaire capable de conception intelligente pour produire un tel degré de complexité fonctionnelle aussi élaborée.

Pour créer quelque chose de fonctionnel, comme une automobile avec son moteur, l’Homme doit déployer son intelligence et sa volonté de manière suffisamment consciente et responsable. Il doit généralement d’abord penser sa future création, la visualiser dans son mental, l’imaginer, la concevoir… Il lui faut prévoir la forme et l’agencement adéquats de tous les composants pour qu’il s’imbriquent le jour venu en un tout fonctionnel et cohérent. Il ne doit pas mettre des années entre la fabrication des différentes pièces, car autrement certaines seraient rouillées ou dégradées le temps que les autres soient matérialisées. Il doit au contraire les créer toutes dans un laps de temps réduit. La complexité d’une cellule est relativement aussi grande.

L’Hermétisme considère que ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et réciproquement. Autrement dit, ce qui vaut pour l’Homme vaut pour l’Univers et réciproquement. Ils sont à l’image l’un de l’autre, ou encore le premier est un élément fractal du second. Chaque élément de l’univers est une image fractale2 ou réduite de celui-ci, essentiellement au niveau fonctionnel. Si l’Homme crée en mettant en œuvre la succession suivante de ses capacités, il en est de même pour l’Univers : Volonté (de créer, de manifester, de matérialiser), conception mentale Intelligente des formes intermédiaires et de la forme globale résultante, Production des formes, puis l’Organisation finale (ou l’Ordre) pour aboutir à la forme globale voulue, à la Manifestation concrète du projet. Certaines aptitudes n’ont pas été mentionnées ici, car elles ne sont pas nécessairement utilisées par l’Homme : l’Amour (ici du travail bien fait) et la Sagesse (notamment d’attendre le moment propice à chaque étape de la création). Leur absence risque d’amener des conséquences nuisibles ou néfastes de l’utilisation ultérieure de la forme ou du système créé.

Les mondialistes et autres élites qui cherchent à finaliser leur Nouvel Ordre Mondial sont des êtres humains et en tant que tels utilisent ou font utiliser par d’autres les mêmes capacités pour concrétiser leur propre projet. Or ce dernier doit passer au moins à un moment du processus créateur (ou de manifestation) par le chaos, au moins selon l’idée qu’ils s’en font. Si une partie de ce chaos peut se déceler actuellement dans l’incohérence gouvernementale, économique, financière, industrielle, etc. ainsi que dans les nombreux conflits armés qui existent encore, il ne s’agit probablement pas de la plus importante pour l’aboutissement du plan. Son importance secondaire réside dans le fait qu’il sera transitoire. Le type primordial de chaos recherché est celui contre l’Humanité elle-même, car il pourrait être permanent, du moins si rien ne venait faire tomber le NOM.

Le chaos contre l’Homme vise à son homogénéisation, à son uniformisation, à son nivellement par le bas (sachant par exemple que s’il est quasi impossible de transformer un crétin en génie, il est beaucoup plus facile de transformer un génie en crétin). Il ne doit plus exister qu’un seul modèle d’Homme/Femme, un androgyne robotisé qui proviendra d’un seul exemplaire humain : moyen, médiocre, normalisé, mi-homme, mi-femme (ou sans sexe, la reproduction étant alors effectuée par des machines). Et pour parvenir à un tel niveau d’uniformité, il faut faire disparaître toutes les formes intermédiaires non vitales (aux yeux des élites) : les nations, les religions, les petites et moyennes entreprises (pour ne laisser que les multinationales monopolistiques), les structures indépendantes (ayant toutes des formes spécifiques), les maisons individuelles (il n’y aura plus que des cellules habitables indifférenciées dans des tours à logement), les médias alternatifs (à ceux de la pensée unique et de la propagande officielle), les médecines alternatives (à l’allopathique pétrochimique), les modèles de vêtements (il n’y aura plus qu’un uniforme monocolore à la Star-Treck), les véhicules autres qu’électriques (qui seront réservés aux élites et à leurs serviteurs directs), les écoles de pensées, les opinions alternatives (qui sont des formes mentales, éventuellement colorées d’émotions), etc.

La disparition des formes gênantes se fait par atomisation : on divise et fractionne pour mieux régner ou pour que les adversaires artificiels se détruisent mutuellement ; on multiplie les courants et les mouvements (notamment politiques ou religieux) ; on éparpille les forces résistantes ; on ajoute des frontières artificielles (notamment administratives territoriales) ; on en détruit d’autres qui permettaient de préciser des formes ; on pulvérise certaines des organisations ou des structures les plus coriaces (par la taxation abusive, par le dénigrement systématique, par une compétition déloyale, par l’assèchement des ressources, par de nouvelles lois qui asphyxient, par l’expropriation, par le vol [par exemple de brevets], par de nouvelles interdictions, etc., et même au besoin par le recours aux incendies, aux meurtres ou aux explosifs, éventuellement nucléaires)… L’Homme lui-même est atomisé. Au lieu de favoriser sa cohésion interne et son alignement physique, émotionnel, mental, psychique et spirituel, on le tire dans différentes directions, on l’écartèle entre des préoccupations vitales, des émotions, des désirs et des centres d’intérêt peu compatibles, on le plonge en perpétuel état de dissonance cognitive avec des contes de fées et d’autres récits officiels qui entrent en contradiction flagrante avec les faits observables.

L’Homme moderne est devenu un déséquilibré chronique, cherchant en particulier à combler son vide existentiel, psychique et spirituel par l’expérimentation de drogues, par celle d’émotions ou de sports extrêmes, ou encore par une frénésie d’achats de biens matériels. La supposée « civilisation » humaine est à son image. Ses drogues sont notamment le prétendu « progrès » et la non moins prétendue « information » (qui n’est trop souvent que propagande, rumeurs, hypothèses non vérifiées ou pure désinformation). Ses sports extrêmes sont la guerre et les révolutions. Son vide existentiel provient d’un matérialisme de plus en plus profond, jusque dans les domaines qui devraient au contraire élever l’âme, tels que la religion et l’art.

Pour contrôler efficacement les foules, les élites doivent préalablement déconnecter les êtres humains des plans psychique et spirituel (ce qui est facilité par la destruction des religions révélées), puis elles doivent leur enlever toute possibilité de discernement mental (à l’aide d’une prétendue « éducation » qui écarte le développement du sens critique et la logique). Alors, il leur suffit de stimuler les instincts, les désirs, les émotions (dont la colère, la haine et la peur), le vice et les passions (notamment par la publicité), ce qui est facilement fait par la télévision, le cinéma, les réseaux sociaux et l’addiction au téléphone mobile. Et lorsqu’il n’existe plus qu’un modèle unique d’être humain (asexué ou androgyne), il est d’autant plus aisé de prédire et de manipuler le comportement, les actions, les émotions et même les croyances et les idées de l’Humanité dans son ensemble.

L’atomisation de l’Humanité en général et de l’Homme en particulier permet l’établissement d’un chaos sociétal permanent, condition particulièrement propice au contrôle quasi absolu de la première comme du second. Contrairement aux autres formes de chaos déjà expérimentées ou en cours d’expérimentation, celui concernant les êtres humains eux-mêmes, collectivement comme individuellement, n’est pas destiné à disparaître tant que le NOM ne tombera pas. Étant donné le niveau de contrôle déjà obtenu par les élites mondialistes non seulement sur l’Homme, mais aussi sur son environnement dans tous les domaines de l’existence incarnée, il est peu probable que l’Humanité puisse se libérer de son asservissement croissant uniquement par elle-même. Pour cela, il lui faudrait rapidement développer des qualités et des manières de voir et de vivre qu’elle a en grande partie perdues : Amour, Pardon, Charité et Humilité (les quatre piliers de l’enseignement du Christ) ; ou parole juste, action juste, moyens d’existence justes, effort ou persévérance juste, attention juste, vision juste et pensée juste (l’équivalent qui provient de l’enseignement du Bouddha Gautama). Tout ceci constitue en particulier un antidote efficace contre la peur (notamment de la mort) et favorise l’épanouissement de la Conscience, seule à même de sortir de la néfaste influence et planification mondialiste. Cependant, en absence de telles qualités et manières de voir et de vivre, ou en absence d’un degré collectif suffisant de maturité et de Conscience, l’Humanité peut toujours prier pour qu’un miracle se produise. Des miracles ont déjà eu lieu dans l’Histoire des nations. Et elle peut aussi tenter de nous prouver que nous la sous-estimons. Quoi qu’il en soit, le NOM démontre de plus en plus qu’il est opposé et adversaire de l’ordre naturel et de ce fait, il finira par s’effondrer, d’une manière ou d’une autre et l’Humanité ressuscitera.





14 juillet, fête de la mort !

[Source : Jean-Marie M.A Chevrier via michelledastier.com]




Oswald Spengler et la stérilité des Européens vers 1920…

Par Nicolas Bonnal

On va parler de Spengler, mais je voudrais faire quelques rappels pour expliquer pourquoi les Européens sont morts depuis longtemps. Nietzsche en a parlé, et Yockey et Drieu…

Dans mon recueil sur les penseurs allemands, j’ai souligné cette haine et cette peur du monde moderne et de la catastrophe qu’il amène ; on les retrouve chez tous les grands penseurs allemands ou autrichiens, y compris les juifs.

Dans son petit texte sur la guerre, voici ce Freud écrit sur la culture :

« Et voici ce que j’ajoute : depuis des temps immémoriaux, l’humanité subit le phénomène du développement de la culture (d’aucuns préfèrent, je le sais, user ici du terme de civilisation.) C’est à ce phénomène que nous devons le meilleur de ce dont nous sommes faits et une bonne part de ce dont nous souffrons. Ses causes et ses origines sont obscures, son aboutissement est incertain, et quelques-uns de ses caractères sont aisément discernables. »

Voici les conséquences de ce développement culturel si nocif à certains égards, et auxquelles nos élites actuelles se consacrent grandement :

« Peut-être conduit-il à l’extinction du genre humain, car il nuit par plus d’un côté à la fonction sexuelle, et actuellement déjà les races incultes et les couches arriérées de la population s’accroissent dans de plus fortes proportions que les catégories raffinées. »

Goethe lui rêvait déjà du paysan, pas encore trop pollué par la civilisation :

« Notre population des campagnes, en effet, répondit Goethe, s’est toujours conservée vigoureuse, et il faut espérer que pendant longtemps encore elle sera en état non seulement de nous fournir des cavaliers, mais aussi de nous préserver d’une décadence absolue ; elle est comme un dépôt où viennent sans cesse se refaire et se retremper les forces alanguies de l’humanité. Mais allez dans nos grandes villes, et vous aurez une autre impression… »

Et il insiste encore, au début du tome deuxième de ses entretiens avec Eckermann (voyez mes textes), sur l’affaiblissement des hommes modernes :

« Causez avec un nouveau Diable boiteux, ou liez-vous avec un médecin ayant une clientèle considérable — il vous racontera tout bas des histoires qui vous feront tressaillir en vous montrant de quelles misères, de quelles infirmités souffrent la nature humaine et la société… »

Venons-en au déclin de l’occident de Spengler. Dans le tome II et le chapitre sur les villes notre auteur écrit des lignes admirables sur la fin du tact cosmique. On écoute le maître :

« Ce qui rend le citadin de la ville mondiale incapable de vivre ailleurs que sur ce terrain artificiel, c’est la régression du tact cosmique de son être, tandis que les tensions de son être éveillé deviennent chaque jour plus dangereuses. N’oublions pas que le côté animal du microcosme, l’être éveillé, s’ajoute à l’être végétal, mais non inversement. Tact et tension, sang et esprit, destin et causalité sont entre eux comme la campagne fleurie et la ville pétrifiée, comme l’être et ce qui dépend de lui. La tension sans le tact cosmique qui l’anime est le passage au néant. »

Comme Mirbeau Spengler se rend compte que dans les grandes villes « toutes les têtes se ressemblent » :

« L’intelligence est le substitut de l’expérience inconsciente de la vie, l’exercice magistral d’une pensée squelettique et décharnée. Les visages intelligents se ressemblent chez tous les peuples. C’est la race elle-même qui se retire d’eux. Moins l’être sent le nécessaire et l’évident, plus il s’habitue à vouloir tout “éclairer”, plus l’être éveillé calme sa phobie par la causalité. D’où l’identification par l’homme du savoir et de la démonstration ; d’où la substitution aussi du mythe causal ou théorie scientifique au mythe religieux ; d’où enfin la notion d’argent abstrait, considéré comme pure causalité de la vie économique, par opposition au commerce d’échanges ruraux qui est tact et non système de tensions. »

Et comme je citais Mirbeau :

« … j’ai remarqué, à quelques exceptions près, que les villes, surtout les villes de travail et de richesses, qui, comme Anvers, sont des déversoirs de toutes les humanités, ont vite fait d’unifier, en un seul type, le caractère des visages… Il semble maintenant que, dans les grandes agglomérations, tous les riches se ressemblent, et aussi tous les pauvres. »

C’est dans La 628-E8, un livre prodigieux dont l’héroïne est une automobile.

Maigre divertissement urbain (Spengler de nouveau) :

« La seule forme de récréation, spécifique à la ville mondiale, que connaisse la tension intellectuelle est la détente, la “distraction”. »

Et tout amène logiquement à la stérilité qui frappe toutes les races et tous les peuples du monde en ce vingt-et-unième épris de grands remplacements et d’inintelligence artificielle. Spengler :

« Et de ce déracinement croissant de l’être, de cette tension croissante de l’être éveillé il résulte, comme conséquence suprême, un phénomène préparé de longue date, sourdement, qui se manifeste soudain à la claire lumière de l’histoire pour mettre fin à tout ce spectacle : la stérilité du civilisé. »

Ce n’est pas la culture de mort du pape polonais, c’est « le tournant métaphysique vers la mort » qu’incrimine plus justement Spengler (cela explique pourquoi les renaissances chrétiennes envisagées depuis deux siècles ont toutes échoué) :

« Ce phénomène est impossible à comprendre par la causalité physiologique, comme l’a tenté, par exemple, journellement la science moderne. Car il implique absolument un tournant métaphysique vers la mort. Certes oui comme individu, mais comme type, comme collectivité, le dernier homme des villes mondiales ne veut plus vivre : la phobie de la mort est éteinte dans cet organisme collectif. La crainte profonde et obscure qui s’empare du paysan, l’idée de la mort de sa famille et de son nom, ont perdu leur sens. Dans la continuité du sang, proche parent du monde intérieur visible ; on ne sent plus un devoir du sang, la condition dernière de l’être, une fatalité. »

Spengler sera rejoint par Freud sur ce point précis :

« Les enfants manquent non seulement parce que leur naissance devient impossible, mais parce que l’intelligence extrêmement avancée ne trouve plus de raisons pour sa propre existence. »

Problème auquel furent déjà exposés les Grecs et les Romains (voyez mon recueil sur leur décadence) et dont parla abondamment Ibn Khaldun. On voit bien du reste cette impossibilité — en Russie actuelle comme ailleurs — de repeupler. Les gens ne veulent/peuvent plus. Le dépeuplement venu de la civilisation nihiliste occidentale n’est pas ce besoin dont a parlé Hitler à Rauschning : c’est devenu un destin.

Sources :

https://www.dedefensa.org/article/goethe-et-les-entropies-du-monde-moderne

https://www.dedefensa.org/article/sigmund-freud-politiquement-incorrect

https://ia802903.us.archive.org/14/items/oswaldspenglerledeclindeloccident.esquissedunemorphologiedelhistoireuniverselle1923/Oswald%20Spengler%20-%20Le%20d%C3%A9clin%20de%20l%27Occident.%20Esquisse%20d%27une%20morphologie%20de%20l%27Histoire%20universelle%20%281923%29.pdf

https://lesakerfrancophone.fr/ibn-khaldun-et-notre-moderne-decadence

http://www.dedefensa.org/article/ibn-khaldun-et-le-modele-arabe-de-la-liberte-1

http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2021/03/12/goethe-et-la-devitalisation-des-europeens-6303097.html

http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2018/09/28/goethe-et-les-entropies-du-monde-moderne-6093015.html




La France : état fasciste en route pour la guerre ?

[Source : mondialisation.ca]

Par Christian Leray

La liste des lois antidémocratiques passées depuis qu’Emmanuel Macron a été élu président de la France s’allonge quasiment chaque jour, ce qui commence à interroger sérieusement.

Des lois toujours plus liberticides

Début 2021, l’article 52 de la loi dite de « Sécurité globale » interdisait aux citoyens qui filmaient des violences policières de diffuser les images, car les agents « pouvaient subir des menaces ou voir leur vie privée atteinte ». Même si le Conseil constitutionnel (l’équivalent de notre Cour Suprême) avait retoqué cette mesure, les policiers ont depuis tendance à confisquer les caméras des gens qui filment, voire même à arrêter des journalistes…

https://www.cnews.fr/france/2023-03-23/manifestations-t-le-droit-de-filmer-les-policiers-1336002

Et ce n’était qu’un début. Toujours la même année, une autre loi avait permis aux policiers de ficher les gens en fonction de leur appartenance à un parti politique, à un syndicat ou en fonction de leur religion… On croyait ne plus jamais revoir cela après la 2e guerre mondiale. Mais Emmanuel Macron l’a fait !

https://www.la-croix.com/France/Le-Conseil-dEtat-valide-fichage-convictions-religieuses-opinions-politiques-2021-01-05-1201133268

Récemment, une loi a autorisé l’installation de caméras biométriques gérées par l’intelligence artificielle. Souriez, on vous géolocalise ! Le prétexte est la tenue des Jeux olympiques… Mais comment faisaient les autres pays avant ? Il n’est pas prévu de les retirer une fois l’évènement passé.

https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/03/23/jo-2024-les-deputes-autorisent-la-videosurveillance-algorithmique-avant-pendant-et-apres-les-jeux_6166681_3242.html

Cette semaine, une loi a été votée permettant aux autorités d’« activer à distance un objet connecté — comme un téléphone portable —, sa caméra et son micro pour géolocaliser ou procéder à des écoutes de suspects dans certaines affaires. »

https://www.lcp.fr/actualites/justice-l-assemblee-autorise-l-activation-a-distance-des-telephones-portables-pour

Dans le même temps, les autorités continuent d’avancer les projets d’identité numérique, de monnaie banque centrale, etc. Des systèmes qui une fois en place nous contrôleront totalement.

Mais ce n’est pas fini. Suite aux émeutes des derniers jours, le parlement français vient de voter une loi sur la « majorité numérique ».

Même si les autorités ne savent pas encore concrètement elles comptent s’y prendre, le but est de savoir (pour le moment) si la personne qui se connecte est majeure. Mais comment faire si ce n’est en créant une identité pour chaque internaute ? Cela signifie donc que l’on ouvre la porte à l’identification sur Internet, ce qui signifierait la fin de l’anonymat, avec des conséquences désastreuses pour la liberté d’expression…

Vers la mobilisation des personnes et des biens en cas de « menace » ?

Cela fait beaucoup d’un coup me direz-vous ? Et bien ce n’est pourtant pas terminé : le parlement français est actuellement en train de discuter de la dernière « loi de programmation militaire ». Celle-ci est quasiment adoptée et donnera au président français des pouvoirs exorbitants.

En l’état actuel du texte (qui doit être revu une dernière fois par l’Assemblée nationale), le président pourra déclarer la mobilisation des personnes et la réquisition de tous les biens pour à peu près n’importe quelle raison (menace de guerre, pandémie, changement climatique, etc.). Cet article de France Soir qui en traite est à lire absolument : Olivier Frot, La loi de programmation militaire impérative : vers un coup d’État masqué ?, le 5 juillet 2023).

Le paragraphe dans lequel l’auteur traite des « engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer » s’applique parfaitement à l’Ukraine par exemple.

Les mêmes mécaniques qu’en 1914 et dans les années 1930 ?

Tout comme le Canada et les pays de l’OTAN, la France est « engagée » avec l’Ukraine. Sachant que le président français, Emmanuel Macron, va disposer désormais du pouvoir de déclarer « la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services » en cas de « menace » et vus l’évolution de la situation et de l’arsenal législatif français, il devient tout à fait envisageable que la France s’engage militairement en Ukraine. Cela semble bien sûr inimaginable, surtout quand on pense à notre jeunesse, plus habituée aux écrans qu’aux « duretés de la vie ». Mais qui aurait pu penser dans les années 1930, seulement quelques années après la fin de la Première Guerre mondiale, que le monde serait à nouveau plongé dans une guerre aussi horrible ?

Cette avancée vers la guerre est possible, car l’Ukraine est « neutre » : ce n’est ni un pays de l’OTAN (une organisation dont le but était à l’origine d’assurer la sécurité de l’Europe face à l’URSS et dont les membres doivent se porter une assistance mutuelle), ni la Russie (ou un BRICS). Donc il peut s’y dérouler une guerre « traditionnelle » sans crainte d’une guerre nucléaire (tant que le conflit reste cantonné à l’Ukraine et qu’il ne touche ni le territoire russe ni celui d’un pays de l’OTAN).

Actuellement la guerre d’Ukraine peut être considérée comme l’équivalent de la guerre d’Espagne (1936), lorsque les nazis ont utilisé leurs nouvelles armes, notamment les Stukas, tandis que les Français n’intervenaient pas. Elle permet de tester les nouvelles armes, les nouvelles stratégies, de mesurer la réaction et la préparation adverse. Résultat : même s’il y a bien sûr d’autres explications, la France se faisait balayer en 6 semaines quelques mois plus tard (la guerre d’Espagne se termine en 1939).

Sans parler des enjeux, côté russe, la guerre en Ukraine est l’équivalent de la guerre contre la Finlande (1939-40). L’URSS avait perdu cette guerre, pourtant facile sur le papier… mais a beaucoup appris, ce qui a lui permis de résister de justesse à l’invasion allemande en 1941. Sans cette guerre, l’URSS aurait perdu face aux nazis.

La guerre en Ukraine montre que l’armée russe est désorganisée. Cela va leur permettre de s’améliorer.

De l’autre côté, l’OTAN voit que sa capacité de production militaire est famélique : l’armée ukrainienne engloutit en quelques jours toutes les munitions et armes produites par tous les pays de l’OTAN… en un an ! De même l’OTAN a beaucoup de retard concernant les missiles hypersoniques (qui vont à plus de 20 000 km/h) et les avions de 5e génération.

L’OTAN comprend donc qu’il doit impérativement augmenter ses capacités de production et avancer le développement des nouvelles armes. Logiquement les budgets militaires explosent… comme dans les années 1930. On a vu ce que cela a donné.

On est aussi dans la situation de 1914. À cette époque, l’Allemagne montait en puissance et était sur le point de détrôner l’Angleterre. C’est cette montée en puissance qui a convaincu les Anglais de les entraîner dans une guerre (en utilisant les Français qui étaient faciles à fanatiser pour reprendre l’Alsace et la Lorraine). Par le jeu des alliances, toute l’Europe est entrée en guerre. L’OTAN pourrait conduire au même résultat.

Dans le même temps, il y avait de gros problèmes sociaux en Europe. La France, l’Allemagne, la Russie et l’Angleterre faisaient face à une montée du socialisme qui terrifiait l’oligarchie. Donc envoyer tous les contestataires se faire tuer n’était pas forcément une mauvaise affaire : le regard était détourné vers l’extérieur et le peuple ne pensait plus aux causes de sa misère. Les survivants n’ont pas eu la force de s’attaquer au système. Cela a très bien marché… sauf en Russie.

De nos jours, du point de vue de l’oligarchie la situation est inquiétante : on a l’« assaut » du Capitole aux USA, les camionneurs au Canada, les gilets jaunes et les émeutiers en France. L’oligarchie craint clairement des révolutions, surtout avec l’inflation et la hausse des taux d’intérêt qui provoquent une hausse ahurissante de la pauvreté si bien que la part du revenu des ménages pour le logement et la nourriture ne cesse de croître et atteint pour bien des gens des niveaux insupportables. Actuellement, en France, les dépenses de consommation alimentaire s’effondrent. Le peuple a faim et l’oligarchie sait que quand le peuple a faim, ça peut très vite basculer. Les révolutions commencent toutes comme ça.

Dans le même temps, il est possible que les Russes, voire les Chinois et les Iraniens, voire d’autres encore, soient eux aussi ravis d’envoyer leur jeunesse (et pas que) se faire massacrer. Poutine est populaire, mais moins chez les jeunes, qui n’ont connu que lui et veulent du changement. En Iran, où la contestation gronde, est-il nécessaire de faire un dessin ? Et en Chine, malgré son Crédit social et ses systèmes de surveillance dystopiques, envoyer des jeunes contestataires ne ferait pas forcément de tort.

Donc quand l’Ukraine ou le peuple français, ou les deux à la fois, seront vraiment au bout du rouleau, ce qui ne devrait plus tarder (d’autant que d’après Jacques Attali, le « porte-parole de l’oligarchie », un énorme krach financier devrait se produire dans les mois à venir)… il se pourrait que l’arsenal de lois passées par les autorités françaises risque d’entraîner mécaniquement le pays dans le conflit, avec fin des libertés, surveillance généralisée, mobilisation pour aller défendre l’Ukraine et confiscation des biens pour aider à l’effort de guerre.

Il ne s’agit là bien sûr que d’une supposition et cela paraît incroyable à seulement imaginer… Mais comme nous le disions plus haut, qui aurait cru dans les années 1930 qu’une énorme guerre allait à nouveau éclater ? Si les Français ne se réveillent pas maintenant, la ligne est toute tracée. Mais le problème est que la plupart ne se rendent pas compte de ce qui passe, persuadés que l’enjeu est de défendre un gentil pays attaqué par un grand méchant. Le fait que l’OTAN ne cesse de se rapprocher de la Russie, alors qu’il avait promis de ne « pas faire un pas vers l’Est » lors de l’effondrement du Rideau de fer en 1989, ne choque personne (en fait tout le monde l’a oublié). Et Poutine (loin d’être parfait) endosse, tel Sadam Hussein à la belle époque, le costume du grand méchant.

La table est donc mise, on n’attend plus que l’étincelle, comme en 1914, qui mettra le feu aux poudres. Une fois qu’elle aura éclaté, il sera trop tard : comme lors de toute guerre, la censure sera la règle et la propagande galvanisera les sentiments patriotiques. Nous ne serons que quelques-uns, inaudibles, à prêcher la paix. Il faut donc prendre la parole avant qu’il ne soit trop tard et nous devons appeler, voire forcer Russes et Américains à s’asseoir autour d’une table pour régler ce conflit ! Il est aberrant qu’en 2023 on ne puisse régler ce genre de guerres.

Et le Canada dans tout ça ?

Le Canada fait partie de l’OTAN et comme on l’a vu les statuts de cette organisation sont très clairs : à partir du moment où un membre est en guerre, alors tous les autres doivent lui porter assistance. Cela signifie que si la France (mais cela peut être la Pologne, l’Angleterre ou un autre) prend part au conflit, mécaniquement, tous les autres membres de l’OTAN, dont le Canada, seront impliqués. Nous sommes donc les premiers concernés par ce qui se passe en Ukraine, en France et plus globalement au sein de tous les pays membres de l’OTAN.

Christian Leray, M.A

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Christian Leray, Mondialisation.ca, 2023




France — Température de pharmaciens

[Source : Nicolas Bonnal]

C’est l’été !

Par Amal

J’ai vécu dans une station balnéaire au bord de la méditerranée pendant 30 ans, alors la chaleur étouffante, je connais.

Ici dans ma campagne, il fait bon. Il est arrivé d’avoir 30° ou 32°, mais ce n’est pas quotidien.

D’habitude le matin je mets un pull pour sortir, et l’après-midi il fait chaud.

En général les étés dans la marne sont pourris. Pluie, fraîcheur, humidité…

Cette année, nous n’avons pas eu de printemps. Il a plu tout le temps jusqu’à fin mai.

En juin, il a fait très beau et chaud. C’était un régal.

Le mois de juillet est mitigé. Il y a eu des matinées ou la veste était indispensable.

En ce moment, le matin il fait entre 11° et 16°.

On a eu peu de journées à 30°. S’il fait chaud c’est 27° pas plus. La fraîcheur s’installe rapidement vers 22 h.

Le soir, si je dois laisser les fenêtres ouvertes, je mets la couette pour la nuit (j’utilise rarement un simple drap pour dormir ici).

Dans mon petit bourg, la droguerie (commerçant de longue date et encore à l’ancienne) a un thermomètre extérieur, hier vers 16 h, il affichait 27° : ce qui me semblait très cohérent, mais le nouveau pharmacien à cette immense plaque d’affichage qui signalait 34°.

Ils sont à 50 mètres l’un de l’autre. Je me suis dit : « Tiens, tiens, on n’essayerait pas de nous duper ? ».

Bien sûr que oui ! Ou alors, il est en connexion directe avec la station météo officielle du Macronistan, ce qui pourrait expliquer le pourquoi du comment. Il devrait passer en Fahrenheit, ça impressionnerait davantage, n’est-ce pas ?

Lundi, j’étais dans la grande ville, le matin j’ai dû mettre une veste jusqu’à 10 h 30. Après, il faisait chaud avec un petit vent rafraîchissant. En attendant mon bus pour rentrer chez moi vers 12 h, j’ai regardé le panneau d’affichage de la pharmacie près de l’Église Monseigneur Tissier, son thermomètre affichait 30°. J’étais étonnée. En général à cette température on cherche l’ombre. Moi, j’étais sur un banc en plein soleil à lire mon livre. J’étais ni en nage ni en train de crever de chaud. Je profitais de ce beau soleil et de cette merveilleuse chaleur.

Conclusion : les enseignes de pharmacie sont en train d’afficher de fausses informations pour que les débiles qui nous entourent croient à toute cette propagande climatique.

PS Je viens de remettre ma veste, car les fenêtres sont ouvertes et l’air est frais, il est 11 h 35




Coût des émeutes en France

[Source : boursorama.com]

[Photo : un véhicule brûlé devant une école de Lormont, près de Bordeaux.
AFP/PHILIPPE LOPEZ]

Les violences urbaines en France de la fin juin ont entraîné des dégâts estimés à 650 millions d’euros, d’après la fédération des assureurs. La SMACL, le principal assureur de collectivités durement touchées, tire le signal d’alarme face à un risque « systémique ».

« Nous ne pouvons pas faire face seuls au risque d’émeutes ou de mouvements populaires ». Dans les colonnes des Échos, le directeur de la SMACL, principal assureur des collectivités locales, ne cache pas les difficultés connues par son groupe après la flambée de violences fin juin en France, qui devrait coûter 100 millions d’euros à l’assureur. Cette somme est cinq fois supérieure à celle ayant résulté des émeutes urbaines de 2005, rapporte les Échos.

« Le risque est systémique et couvre l’ensemble du territoire, contrairement aux tempêtes qui concernent quelques communes à la fois. Cela pose la question de l’assurabilité des collectivités locales sur ce risque », juge Patrick Blanchard, dans les colonnes du quotidien d’information économique, mardi 18 juillet.

Au total, la fédération France Assureurs avait estimé que les nuits de vandalisme ont causé des dégâts estimés à 650 millions d’euros. 481 collectivités ont déclaré avoir subi des dégradations ou des incendies sur leur mairie, école, ou bâtiment de police municipale. Parmi elles, les trois quarts sont assurées à la SMACL, rapporte Les Échos.

Pas de soutien de l’État en vue

« Après les sinistres climatiques exceptionnels de 2022, nous avions prévu un plan de retour à l’équilibre en 2024. Il est trop tôt pour savoir si cela sera possible, mais nous serons dans tous les cas déficitaires cette année », met-il en garde. De quoi s’interroger sur la solvabilité de l’assureur ? « La solution passera par une recapitalisation ou une autre voie, mais nous n’envisageons pas de soutien public », répond-il.

Dans un communiqué, la présidente de France assureurs Florence Lustman avait indiqué que les neuf dixièmes « du coût (…) concernent les 3 900 biens des professionnels et des collectivités locales sinistrés ». Le reste concerne essentiellement des dégâts subis par des particuliers, dont les véhicules notamment ont été dégradés. La fédération a décompté 11 300 déclarations de sinistres liées aux violences nocturnes.




Pour en finir avec les éoliennes — Partie 1 : des promesses aux réalités

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Comment les « traumatismes » ont été détournés par des activistes pour créer une nouvelle génération de « victimes »

[Source : quebecnouvelles.info]

Traduit de l’anglais (Article d’Alastair Mordey pour Quillette, publié le 16 juillet 2023 sur le site du National Post.)

Dans son article de 2016 intitulé « Concept creep : Psychology’s expanding concepts of harm and pathology », Nick Haslam, professeur de psychologie, aborde la manière dont la psychologie s’est politisée par le biais de manipulations du langage et de la terminologie : « Les concepts qui se réfèrent aux aspects négatifs de l’expérience et du comportement humains ont élargi leur signification de sorte qu’ils englobent désormais un éventail de phénomènes beaucoup plus large qu’auparavant… (produisant) une sensibilité de plus en plus grande aux préjudices ». Selon M. Haslam, une telle dérive conceptuelle « risque de pathologiser l’expérience quotidienne et d’encourager un sentiment de victimisation vertueux mais impuissant ».

L’un des meilleurs exemples de ce type de dérive conceptuelle est la redéfinition du mot « traumatisme ». Les cliniciens utilisent aujourd’hui ce mot pour décrire presque n’importe quelle adversité.

Ce changement d’usage est motivé par un agenda politique spécifique. Le mot « traumatisme » est devenu un terme utile pour les praticiens de la santé mentale qui sont impliqués dans l’activisme pour la justice sociale, car il rend certaines de leurs préoccupations essentielles, telles que l’inégalité sociale, plus menaçantes et alarmantes. Il est à la fois vrai et regrettable que certaines personnes aient une vie plus difficile que d’autres. Mais si nous disons à ces personnes qu’elles sont des victimes de traumatismes, cela améliorera-t-il leur santé mentale ? Et est-ce même vrai ?

La déclaration suivante du Centre pour la non-violence et la justice sociale de l’université de Drexel justifie l’utilisation excessive du terme que l’on retrouve dans le verbiage de tous les campus universitaires, centres de désintoxication et centres de conseil d’aujourd’hui :

Le mot « traumatisme » est utilisé pour décrire des expériences ou des situations qui sont émotionnellement douloureuses et pénibles, et qui dépassent la capacité des gens à y faire face, les laissant impuissants. Le traumatisme a parfois été défini en référence à des circonstances qui sortent du cadre de l’expérience humaine normale. Malheureusement, cette définition n’est pas toujours vraie. Pour certains groupes de personnes, les traumatismes peuvent être fréquents et faire partie de l’expérience humaine commune… Outre les événements terrifiants tels que la violence et les agressions, nous pensons que des formes relativement plus subtiles et insidieuses de traumatisme — telles que la discrimination, le racisme, l’oppression et la pauvreté — sont omniprésentes et, lorsqu’elles sont vécues de manière chronique, ont un impact cumulatif qui peut fondamentalement changer la vie.

Cette redéfinition du mot « traumatisme » est motivée par la politique, déguisée en diagnostic médical.

Jusqu’à récemment, tout le monde savait ce que signifiait le terme « traumatisme ». Dans le dernier Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5), le traumatisme est défini comme un trouble psychiatrique présentant des symptômes indubitables et extrêmement débilitants, plus proches de ceux de la psychose que de la dépression. Ces symptômes peuvent survenir après que des personnes ont été soumises ou ont été témoins « d’une mort, d’une blessure grave ou d’une violence sexuelle, réelle ou menacée », c’est-à-dire de choses qui sortent du cadre de « l’expérience humaine normale ». Cela n’inclut pas les préjudices « plus subtils et insidieux », tels que le racisme ou l’oppression (même s’ils sont moralement répréhensibles).

Nous devrions également remettre en question l’idée selon laquelle les situations « douloureuses et pénibles » dépassent nécessairement la capacité des gens à y faire face. Cela suppose que la plupart des gens sont fragiles et impuissants face à l’adversité. Ce n’est tout simplement pas vrai. La plupart des êtres humains (y compris les enfants) sont extrêmement résistants, même lorsqu’ils sont confrontés à des événements véritablement traumatisants. Une étude de 2008, par exemple, a examiné le bien-être subjectif de ressortissants allemands sur une période de vingt ans avant, pendant et après le décès d’un être cher. Environ 60 % des sujets ont relativement bien géré le deuil et se sont rétablis en l’espace d’un an. Vingt autres pour cent ont considérablement souffert pendant la période de crise, mais ont retrouvé leur niveau antérieur de bien-être subjectif au cours des deux ou trois années suivantes. Les 20 % restants étaient encore en deuil de nombreuses années plus tard, mais beaucoup d’entre eux avaient déjà déclaré souffrir de problèmes de santé mentale avant le décès.

es auteurs notent que les êtres humains ont tendance à « revenir à un niveau de bien-être relativement rapidement après les événements de la vie, qu’ils soient les plus pénibles ou les plus favorables ». Les psychologues le savent depuis les années 1970. Alors pourquoi la plupart des professionnels de la santé mentale ne le savent-ils pas ou l’ignorent-ils aujourd’hui ? Peut-être parce que la psychologie universitaire et la psychologie clinique ont été complètement absorbées par la politique de justice sociale qui, comme l’ont expliqué les sociologues Bradley Campbell et Jason Manning, valorise le statut de victime.

En fait, relativement peu de personnes souffrent de traumatismes (au sens traditionnel du terme), même parmi les populations les plus vulnérables. Les taux de SSPT chez les toxicomanes, par exemple, sont inférieurs à ceux d’autres troubles mentaux. Dans une étude citée par la Substance Abuse and Mental Health Service Administration (SAMHSA), la plus grande organisation de services de santé mentale aux États-Unis, des chercheurs ont examiné la prévalence des troubles psychiatriques parmi un échantillon de consommateurs chroniques de crack dans une communauté pauvre. Alors que 24 % des consommateurs avaient reçu un diagnostic de trouble de la personnalité antisociale et que 17,8 % souffraient de dépression, seuls 11,8 % d’entre eux avaient souffert d’un syndrome de stress post-traumatique. Il est intéressant de noter que les chercheurs ont constaté que les toxicomanes blancs étaient plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux que les toxicomanes noirs, ce qui suggère que, contrairement à la déclaration de l’université Drexel citée plus haut, les traumatismes ne sont pas principalement le résultat d’un racisme institutionnalisé.

Une étude portant sur des consommateurs de crack brésiliens, également citée par la SAMHSA, a révélé que l’extrême violence de la rue et la dégradation à laquelle ils étaient soumis et exposés en raison de leur consommation de drogue étaient la principale source de leur traumatisme. En tant que personne ayant passé beaucoup de temps à travailler avec des toxicomanes par voie intraveineuse, je ne trouve pas cela surprenant.

Selon les lignes directrices de la SAMHSA sur les soins tenant compte des traumatismes (dernière mise à jour en 2014), le traumatisme résulte d’un « événement, d’une série d’événements ou d’un ensemble de circonstances vécus par un individu comme physiquement ou émotionnellement nuisibles ou menaçants et qui ont des effets négatifs durables sur le fonctionnement et le bien-être physique, social, émotionnel ou spirituel de l’individu ».

Le problème est que cette définition du traumatisme est une question d’interprétation subjective : elle suggère que n’importe quelle expérience peut être traumatisante si elle fait que la personne qui en souffre se sent mal. Le divorce des parents et d’autres adversités courantes pourraient être définis comme des « traumatismes » s’ils sont « vécus » comme néfastes. Si le guide de la SAMHSA suit le DSM-5 en reconnaissant que le traumatisme n’est susceptible de se produire que lorsque les personnes sont exposées « à la mort, à des blessures graves ou à des violences sexuelles, réelles ou menacées », il dilue la définition en affirmant que le traumatisme psychologique n’est « pas limité à ces critères de diagnostic » et peut être « caractérisé de manière plus large ». Ce n’est pas la nature des événements eux-mêmes qui les définit comme traumatisants, mais la réaction émotionnelle de l’individu à ces événements. Selon cette définition, un enfant en bas âge qui refuse de se coucher à l’heure et dont les ressources émotionnelles sont « submergées » par l’heure du coucher au point de provoquer des crises de colère nocturnes pourrait être considéré comme souffrant d’un « traumatisme ».

Cet élargissement de la définition a naturellement entraîné une augmentation du nombre de personnes déclarant avoir subi un traumatisme. Les professionnels de la santé mentale ont réagi en proposant des soins tenant compte des traumatismes (TIC). Selon la SAMHSA, la plupart des plus de 10 000 programmes de soins de santé comportementale aux États-Unis proposent aujourd’hui une forme ou une autre de TIC.

Selon le Centre de recherche sociale de l’université de Buffalo, les soins tenant compte des traumatismes « partent du principe qu’une personne a plus de chances qu’une autre d’avoir des antécédents de traumatisme… tiennent compte de la nature omniprésente des traumatismes et favorisent des environnements de guérison et de rétablissement plutôt que des pratiques et des services qui peuvent involontairement traumatiser à nouveau ». Les patients peuvent être traumatisés à nouveau, selon eux, en étant « traités comme des numéros », en « ne se sentant pas vus ou entendus », en manquant de « sécurité émotionnelle » et/ou en étant victimes de « microagressions ».

[…]

Pour lire l’article dans sa forme originale




Tous vaccinés, tous en danger ?

Vaccins à ARNm et corruption :
les vérités sur la crise sanitaire

Par Jean-Loup Izambert

[Source : is-edition.com]

« Tous vaccinés, tous en danger ? » est le quatrième ouvrage d’une série entamée en 2020 par Jean-Loup Izambert avec « Le virus et le Président » (co-écrit avec Claude Janvier), livre qui explorait les origines de la crise sanitaire vécue en France et qui s’est vendu à plusieurs milliers d’exemplaires.

Avec la précision d’un détective et le courage d’un lanceur d’alerte, Jean-Loup Izambert dévoile dans ce nouveau livre une histoire troublante de corruption et de désinformation qui a conduit des millions de Français à se faire vacciner contre la Covid-19 au mépris du principe de précaution, souvent sous la contrainte d’un Pass Sanitaire liberticide, et malgré un bénéfice-risque très peu élevé pour la grande majorité de la population en bonne santé.

Problématiques majeures abordées :

– Vaccins à ARNm : Jean-Loup Izambert démantèle les mythes entourant les vaccins à ARNm avec l’appui du Docteur Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS. Il s’interroge sur les risques potentiels pour la santé publique en matière d’effets secondaires, soulignant les inquiétudes concernant la rapidité de production de ces vaccins et leur stabilité.

– Scandale de l’Ivermectine : le livre expose comment l’Ivermectine, un médicament peu coûteux, largement documenté scientifiquement et efficace contre la Covid-19, a été marginalisé au profit de nouveaux vaccins potentiellement dangereux. Jean-Loup Izambert dénonce également la surprenante volte-face du chercheur Andrew Hill, chargé d’une étude sur l’Ivermectine pour le compte de l’OMS, qui ouvrira la porte à la plus grande campagne de vaccination de tous les temps.

– Corruption et désinformation : Jean-Loup Izambert critique enfin le manque de transparence dans des transactions qui ont impliqué des milliards d’euros de fonds publics et des grands laboratoires, et l’absence de contrôles pour détecter et prévenir les abus de corruption.

Une enquête d’intérêt public ?

Publié par un éditeur libre car ne percevant aucune subvention, « Tous vaccinés, tous en danger? » est une lecture qui poussera le lecteur à réfléchir et questionner les dirigeants politiques sur l’usage qui a été fait de leur santé, de leurs libertés et de leurs impôts durant une des périodes les plus sombres de l’histoire.

« Tous vaccinés, tous en danger ? » paraît ce vendredi aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).

Conformément à nos habitudes, deux livres papier et deux livres numériques sont également à gagner cette semaine sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !




Les mystères de notre soumission au parti démocrate américain

Par Nicolas Bonnal

Le parti démocrate est le parti préféré des Français et des Européens ; c’est le parti dit-on du social et des minorités, le parti des écologistes et des LGBTQ et le parti surtout de la guerre à mort contre la Chine et la Russie. Quand Obama fit soi-disant tuer le Ben Laden de service, Kagan se rengorgea et se dit que l’on pouvait « démocratement » mener une guerre messianique d’extermination contre le reste du monde. Surtout avec Trump en face…

Mais le parti démocrate c’est surtout celui des deux premières guerres mondiales : les USA ont vu, ils sont venus, ils ont vaincu — et comme dit Trotski ils ont commis à leur service la social-démocratie européenne pour mettre l’Europe à la portion congrue.

Il semble que le parti démocrate invincible et indéboulonnable sera aussi le parti de la troisième guerre mondiale qui achèvera le vieillard débile et consentant européen.

En France terre des droits de l’homme et des guerres en boucle on honore surtout le parti démocrate. Le téléphage froncé voulait dans les sondages voter à 90 % pour Biden contre Trump qui lui garantissait la paix et l’énergie peu chère (mais on ne refera pas les Français). On honore la mémoire de Roosevelt (Franklin Delano), de Wilson donc ou de Kennedy. On y a déifié Obama en France, qui a démoli la Libye, peuple l’Europe de migrants, et qui a déclenché les hostilités finales contre la Russie en 2014, tout en recevant un prix Nobel à Stockholm et en déclenchant sur ordre écolo-bancaire la liquidation de nos industries.

Ce parti démocrate mène le monde à sa perdition avec sa troisième guerre mondiale contre la Chine et la Russie ; il mène l’Europe à sa ruine totale et il livre l’Amérique aux hordes ethniques comme on dit, au lobby LGBTQ et à la faillite financière via la dette — le tout sur fond de hausse infinie et arrogante de la bourse.

C’est lui qui peuplé de « dibbouks »1 (Kunstler2) a créé sous Wilson (élu grâce à une division des républicains et à une participation abusive et sans doute contrôlée de Théodore Roosevelt aux élections présidentielles de 1912) la Banque Fédérale avec les Warburg, c’est lui qui a liquidé le libéralisme américain et renforcé et créé l’État moderne (voyez l’ouvrage collectif de Denton, Goldberg ou Hoppe), c’est lui qui a militarisé la nation et créé les mille bases, c’est lui qui a créé la Deuxième Guerre Mondiale et réduit l’Europe à la portion congrue, c’est lui qui avec Truman a créé de A à Z la guerre froide contre la Russie (génial Ralph Raico) et c’est lui qui a fait la guerre pendant dix ans au Vietnam, guerre inutile, assassine et cruelle. Mais c’est lui qui est adoré.

Et ce parti en même temps qu’il veut une guerre d’extermination contre la Russie et la Chine désire remplacer la population (quel que soit le pays qu’il contrôle en Europe) et liquider agriculture et industrie (Harris-Kerry).

Et c’est normal puisque c’est le parti non pas du chaos (comme dit Kunstler) mais de la mort. L’Occidental des temps de la Fin adore l’obscur, disait Guénon, alors qu’il adore la mort.

Et on ne parlera pas de JFK, par pitié. On répétera avec Trotski :

« Pendant ce temps, l’Amérique édifie son plan et se prépare à mettre tout le monde à la portion congrue… La social-démocratie est chargée de préparer cette nouvelle situation, c’est-à-dire d’aider politiquement le capital américain à rationner l’Europe. Que fait en ce moment la social-démocratie allemande et française, que font les socialistes de toute l’Europe ? Ils s’éduquent et s’efforcent d’éduquer les masses ouvrières dans la religion de l’américanisme ; autrement dit, ils font de l’américanisme, du rôle du capital américain en Europe, une nouvelle religion politique. »





Le pont de Crimée et le destin de la Russie

[Source : geopolitika.ru]

Par Alexandre Douguine

La révolution par le haut peut empêcher la révolution par le bas.

À propos de la nouvelle attaque sur le pont de Crimée. Remarquez l’entêtement forcené de l’ennemi. C’est la marque de fabrique des Malorossiens(([1] NDLR Une partie des régiments cosaques.
Voir https://opentran.net/french/fr-ru/malorossiens.html et https://dictionary.tn/cosaques/)). Mais aujourd’hui, c’est de mauvais augure.

Ils ont commencé à bombarder Donetsk en 2014 et ne s’arrêtent pas un seul jour.

Ils ont attaqué le territoire d’anciennes régions russes – Belgorod, Koursk, Briansk – et continuent.

Ils ont commencé à tuer des Russes par des attaques terroristes, et ils le font encore et encore.

Ils ont attaqué des installations nucléaires, et ils le font encore et encore.

Il en va de même pour le pont de Crimée. Tant que l’Ukraine existera avec cette population folle et ce régime maniaque, il est tout simplement stupide et irresponsable de penser que son comportement changera. À mon avis, il faut mettre fin à la simulation d’une vie paisible en Russie, reporter les élections (nous avons déjà élu Poutine, et toute autre personne ne l’est évidemment pas) et passer à une mobilisation totale.

Les changements de personnel sont inévitables ; les retarder devient un processus suicidaire. Nous avons affaire à un ennemi complètement fou, extrêmement agressif et dément. Et il a l’Occident derrière lui. Il n’y a pas de remède à la rage.

Et bien sûr, nous devons encore et toujours nous tourner vers les causes.

Qui a préparé et réalisé l’effondrement de l’Union ?

Qui l’a applaudi et en a profité ?

Tous sont responsables de la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons déjà et qui, en fait, ne fait que commencer.

L’élite russe actuelle a été formée dans les années 90. Elle est composée de criminels historiques.

Le libéralisme est un crime contre la Russie. Poutine a commencé à changer cet état de fait, mais pendant 23 ans, y compris le SWO, 5 % des libéraux se sont échappés, 0,000001 % ont été punis ou expulsés de force, 15 % ont changé d’opinion pour devenir patriotes (sincèrement ou par nécessité, peu importe). Et le reste des complices (les libéraux) sont à leur place. Aujourd’hui, ils entravent de toutes leurs forces le processus de transition du pays vers l’armée, les réformes patriotiques et la renaissance de la civilisation.

Gorbachov et Eltsine, longtemps maudits par le peuple et l’histoire russe, ne le sont pas encore pour l’élite. La Perestroïka et les réformes des années 90, qui pour le peuple et l’histoire sont une trahison et une catastrophe, y compris pour toutes les figures du premier plan de l’époque, sont pour l’élite « l’âge d’or » et « le début de l’histoire de la réussite personnelle ». Nous sommes aujourd’hui en guerre acharnée contre 1991, contre Gorbatchev, contre Eltsine, contre cette Anti-Russie qui s’est d’abord renforcée en Russie même.

Sans cette Anti-Russie russe, il n’y aurait pas d’Anti-Russie en Ukraine et dans d’autres États post-soviétiques, pas d’Anti-Russie pop des Pougatchev et des Galkin, pas d’Anti-Russie des migrants scalpant les Moscovites.

Vous ne pouvez pas vaincre les conséquences sans éliminer les causes qui ont conduit à la catastrophe.

Autre chose : ce qui se passe en Russie n’est-il pas une « guerre civile latente » ?

D’un côté, le peuple et l’armée, qui, après la mobilisation, est presque la même chose. De l’autre côté, les tours libérales qui persistent à s’opposer à toute nouvelle avancée dans le sens du patriotisme.

Et seul Poutine empêche la situation de passer de la phase latente à la phase ouverte.

N’était-ce pas là le but de la mutinerie de Wagner ? Elle n’aurait pu être et n’a été éteinte que par Poutine, le fusible de la guerre civile. Il est légitime non seulement du point de vue du peuple, mais aussi du point de vue de la volonté du ciel, du point de vue de la Providence. Mais les élites encore libérales ne le sont pas. Elles ne sont légitimes d’aucun côté.

Le début de la NWO a été le moment de l’invasion parabolique du début supérieur de notre histoire, car le peuple russe a été créé à l’origine pour l’avenir – pour la bataille finale avec la civilisation de l’Antéchrist. Cette bataille commence maintenant.

Poutine, qui se tient au-dessus de la mêlée, ne peut pas sacrifier le peuple et le front.

Il ne veut pas sacrifier l’élite.

Théoriquement, une nouvelle élite peut être créée, et même rapidement, mais un nouveau peuple est impossible par définition, bien que les libéraux des années 90 y aient sérieusement pensé, en exterminant et en séduisant lentement les anciens.

Les guerres civiles ont leur propre logique inexorable. Une révolution par le haut peut empêcher une révolution par le bas. Et la révolution d’en haut peut être créative, tandis que la révolution d’en bas détruira tout. Mais les conditions préalables sont précisément créées par le sommet – sa politique aliénée de la société, compradore, exploiteuse, irresponsable et à courte vue.

La situation devient de plus en plus aiguë : soit une révolution par le haut, soit une guerre civile.

Agir avec fermeté ne signifie pas qu’il faille procéder immédiatement à une frappe nucléaire. Nous devrions essayer d’autres mesures qui n’ont pas encore été déployées, à savoir

  • l’élimination drastique des agents ennemis des postes clés de l’État,
  • un remaniement du personnel,
  • lancer une véritable mobilisation de la société,
  • cesser de dire que « nous avons été trompés », éliminer purement et simplement cet argument, car seuls ceux qui croient peuvent être trompés, mais c’est un crime de croire l’Occident,
  • d’abolir la paix dans le pays et
  • et de déclarer la guerre dans le pays.

Qu’est-ce que l’état d’urgence (Ernstfall) ? C’est la fin du temps de paix et de ses règlements et le début du temps de non paix. Pour tout le monde, et pas seulement pour les habitants des nouvelles régions ou de la région de Belgorod. En temps de paix, les règles d’urgence s’appliquent : un danger menace le pays, l’ensemble de la société, l’ensemble de l’État, et tous les moyens sont bons pour le repousser.

Et seulement si tout cela (et nous n’avons même pas encore commencé) ne suffit pas, alors nous devrions envisager la possibilité d’attaquer l’ennemi avec des armes nucléaires.

C’est ce que craint le régime de Kiev : que nous cessions de divaguer et que nous commencions à le combattre réellement avec des moyens conventionnels. Il tombera alors. C’est pourquoi l’Occident, par l’intermédiaire de ses agents – et qui sont les libéraux russes, sinon des agents occidentaux ? – et nous incite à passer immédiatement ( !) à un scénario extrême (ou plutôt, craignant les conséquences au dernier moment, à ne pas passer à l’action).

Ce n’est que sous l’état d’urgence que l’on détermine qui détient la véritable souveraineté. Le souverain qui déclare l’état d’urgence et qui prend des décisions dans ses conditions, en s’appuyant non pas tant sur la loi que sur la volonté et l’esprit. Le sujet ne naît que dans l’état d’urgence. Dans les autres cas, il s’agit d’un sujet conditionnel (soit un sujet, soit un objet), et seul l’état d’urgence met tout à sa place.

Traduction par Robert Steuckers




Opération Toussaint – Tim Ballard / Operation Underground Railroad

[Source : @JeanneTraduction ou @quantumleaptraduction]

💪 Tim Ballard a quitté son poste d’agent spécial du ministère américain de la sécurité intérieure pour fonder O.U.R. [Operation Underground Railroad]. Grâce à cette organisation, Tim et son équipe planifient des opérations d’infiltration pour sauver des enfants victimes de trafic sexuel dans le monde entier. À ce jour, ils ont sauvé des centaines d’enfants de conditions horribles, ce qu’il n’était pas en mesure de faire lorsqu’il était lié par des restrictions gouvernementales. Découvrez O.U.R. et sa mission de mettre fin à l’esclavage moderne en rejoignant Tim et son équipe de forces spéciales lors d’une mission secrète en Haïti, pour traduire en justice un réseau de trafiquants sexuels qui ont soudoyé les autorités pour échapper à la prison. L’opération Toussaint (2018).

[Note de Joseph : le film Sound of Freedom est basé en partie sur l’histoire de Tim Ballard, mais le reste est totalement fictif. Il semble y avoir un autre côté à la médaille ici aussi. Voir notamment :
Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?
Plus on creuse et plus le trou est profond, ténébreux et crasseux…
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et sa suite (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains qui apporte des éléments probants et forts troublants concernant un lien entre les réseaux pédophiles et ceux qui financent certains mouvements (ou des organisations) prétendument destinés à lutter contre ces mêmes réseaux et qui ont également financé le film Sound of Freedom. Cela relève alors du même mécanisme que pour la fameuse « opposition contrôlée » dans la complosphère.
On peut toujours objecter que l’important est de dénoncer la pédophilie pour qu’un maximum de personnes en prenne conscience. Cependant, si on ne s’attaque pas au fond du problème et aux plus hauts responsables, cela ne dérangera pas vraiment les réseaux pédophiles qui remontent jusqu’au sommet des diverses hiérarchies et ont une extension mondiale. Ne s’en prendre qu’à des pions ou à des fusibles ne représente qu’une égratignure sur la peau de la pieuvre alors que ses divers tentacules et son cerveau restent intacts.
Pour l’instant, dès que des dénonciateurs fournissent trop de preuves et de noms, ils sont systématiquement éliminés, comme le montre « Suicidés ».
N’oublions pas non plus que les élites sont passées maîtres dans l’art de manipuler les individus en jouant notamment sur les émotions. Et le film Sound of Freedom, au dire des spectateurs, remue fortement les trippes.]

🤝 Participants à ce projet :

Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Le Déclencheur : https://odysee.com/@Q…uestions:6
Elo Trad : https://odysee.com/@Elo:84
Quartz Traduction : https://odysee.com/@Quartz:1
L’Aile à Stick : https://odysee.com/@laileastick:4
Vivre Sainement : https://odysee.com/@Vivresainement:f
Anais Tea : https://odysee.com/@anaïstea:0
Akina : https://odysee.com/@AKINA:7
Merci à Karoline pour le doublage !






Le journaliste Serge Garde s’exprime sur la difficulté de dénoncer la pédophilie en France

[Voir aussi :
https://pedopolis.com/category/les-sources/qui-ose-parler/serge-garde/,
https://www.decitre.fr/livres/le-livre-de-la-honte-9782862749167.html
et
Serge Garde, réalisateur du documentaire « Outreau, l’autre vérité »]




Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Nicole Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Gérard Delépine, J.-M. Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

[Voir aussi :
Günther Anders et L’Obsolescence de l’homme
Gunther Anders et le virus de la télévision
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, parents, élèves, unissez-vous !]




France — ALERTE : la loi visant à protéger les mineurs risque d’être abrogée le 21 juillet 2023

[Source : @WendigoFuriosa]

La loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste du 21 avril 2021 est remise en question par la saisine du Conseil Constitutionnel avec 3 avocats qui remettent en question deux articles en particulier. Ceux-ci remettent sur le devant de la scène le débat sur le consentement ce qui est très dangereux. Et tout cela se passe dans l’indifférence totale puisque personne n’est au courant ! Le Conseil Constitutionnel rendra sa décision le 21 juillet 2023.

Source : https://www.conseil-constitutionnel.fr/decisions/affaires-instances affaire 2023-1058 QPC

Pédoland a déjà un fort pouvoir en France, le simple fait d’avoir la possibilité de plaider le retour du viol légal sur les mineurs dans un silence médiatique assourdissant, c’est une preuve d’influence notoire. L’influence se mesure à la possibilité de crier sur tous les toits de certains, ou d’autres à étouffer. Pédoland écrase par moment les journalistes, et les policiers qui enquêtent sur la pédophilie, en Angleterre, en France et ailleurs. Pour plus d’infos, il y a les vidéos de Sofzilog et du lapin du futur.

Commentaire de @julienmartin4908




« Suicidés »

Documentaire sur l’important nombre de « Suicidés » qui enquêtaient sur ou luttaient contre les réseaux pédophiles.

[Source : @Vivresainement]

VO :

https://dauntlessdialogue.com/suicided/

[Voir aussi, en anglais :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains, l’article qui fait suite à
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et qui dénonce notamment les Clinton.]



Transcription de l’original anglais

Sources :




La CIA et le FBI à la tête de la censure. Google, Twitter, et les grands médias emploient tous des agents de la CIA

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

D’après un article de Brenda Baletti pour le Defender

Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plates-formes Internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public.

Les Américains sont conscients des efforts déployés par l’État sécuritaire pour contrôler les médias depuis les années 1970, lorsque la commission Church du Sénat a révélé l’opération Mockingbird de la CIA, a déclaré M. Greenwald aux auditeurs de son podcast, « System Update ».

Dans le cadre de ce programme, des agents de la CIA ont infiltré et influencé secrètement les plus grands organes de presse du pays.

La révélation du projet Mockingbird a fortement embarrassé les médias et le gouvernement, car il est interdit à la CIA de cibler le public américain, a expliqué M. Greenwald.

Au cours de la dernière décennie, une série de dénonciateurs ont révélé que l’État sécuritaire américain avait de nouveau intensifié ses activités secrètes de ciblage des citoyens américains, en particulier depuis le début de la guerre contre le terrorisme, après le 11 septembre.

Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignement espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses.

Selon Greenwald les choses ont changé. En fait, il est devenu courant que les principaux organes d’information embauchent ouvertement d’anciens agents des services de sécurité américains pour couvrir et commenter l’actualité.

Au cours des derniers mois, les dossiers Twitter et la dernière décision Missouri v. Biden ont clairement montré à quel point le régime de censure est devenu agressif.

Le gouvernement américain dicte en partie le contenu que les plates-formes de médias sociaux doivent autoriser sur leurs sites, a déclaré M. Greenwald. Mais il a ajouté : « Il y a un autre élément, une autre forme de censure » :

« Il y a un autre élément, une autre couche, qui est qu’ils ont infiltré ces grandes entreprises technologiques — ces anciens agents de la CIA l’ont fait — exactement comme ils ont infiltré les organes d’information des entreprises. Ils sont partout dans ces régimes de censure ».

Les postes de direction des entreprises technologiques sont désormais occupés par des personnes issues directement des agences de renseignement.

Par exemple, James Baker, dont les Twitter Files ont révélé qu’il était impliqué dans la plupart des décisions de censure avant la prise de contrôle de la plate-forme par Elon Musk, a travaillé en tant qu’avocat général pour le FBI avant de devenir avocat adjoint de Twitter.

« Le FBI a donc envoyé son meilleur avocat travailler dans la partie de Twitter qui censurait les contenus politiques », a déclaré M. Greenwald. « Vous comprenez ? C’est le FBI qui contrôle notre discours politique national et ses limites. »

MintPress News a dressé le profil d’un certain nombre d’anciens agents de la CIA qui gèrent et élaborent aujourd’hui des politiques de désinformation pour Facebook dans un article datant de juillet 2022 que M. Greenwald a partagé.

Selon l’article, le problème n’est pas que ces personnes soient incompétentes. « Le problème, c’est qu’avoir autant d’anciens employés de la CIA qui dirigent les plates-formes d’information et de nouvelles les plus importantes au monde n’est qu’un petit pas en avant par rapport à l’agence elle-même qui décide de ce que vous voyez et de ce que vous ne voyez pas en ligne — et tout cela sans pratiquement aucun contrôle public. »

En effet, cela permet aux agences de renseignement de conserver une influence significative sur les flux d’informations et de nouvelles, tout en maintenant « un certain vernis de dénégation plausible ».

Le gouvernement américain n’a pas besoin de dire aux plates-formes ce qu’elles doivent faire, car les personnes qui prennent les décisions ont d’abord gravi les échelons de l’État de sécurité nationale — « ce qui signifie que leurs perspectives correspondent à celles de Washington », a déclaré M. Greenwald, citant MintPress News.

Selon M. Greenwald, il s’agit là de la preuve d’un effort sur plusieurs fronts : d’une part, d’anciens agents de l’État de sécurité font de la propagande auprès du peuple américain dans les médias d’entreprise et, d’autre part, ils contrôlent ce qui peut être dit sur les plus grandes plates-formes de Big Tech.

Il en résulte, selon lui, que tout l’éventail des opinions dissidentes est « tout simplement interdit ».

Le complexe industriel de la censure

Le compte Twitter @NameRedacted247 suit le mouvement des agents de sécurité de l’État dans les sociétés de médias sociaux où ils travaillent sur la désinformation.

Le compte a fourni un fil de discussion, que l’équipe de Greenwald a confirmé, indiquant qu’en décembre 2022, Google employait au moins 165 personnes occupant des postes de haut niveau au sein de la communauté du renseignement.

Dans l’ensemble de l’entreprise, il y avait 27 anciens agents de la CIA, 52 anciens agents du FBI, 30 personnes issues de l’Agence nationale de sécurité (NSA), 50 du Département américain de la sécurité intérieure (DHS) et six du Directeur du renseignement national.

Facebook comptait au moins 115 anciens agents des services de sécurité à des postes élevés — 17 de la CIA, 37 du FBI, 23 de la NSA et 38 du DHS.

L’équipe « confiance et sécurité (trust and safety team) » de Google, qui gère les contenus autorisés sur la plate-forme, est dirigée par trois anciens agents de la CIA qui contrôlent la désinformation et les discours haineux.

L’un d’entre eux, Nick Rossman, a qualifié les « anti-vaxxers » sur Twitter de « nazis » et de « confédérés ».

Pensez-vous que ces personnes sont des arbitres objectifs de la désinformation ? Ou pensez-vous qu’ils utilisent leur pouvoir de censure au sein de Big Tech pour cela, idem pour les personnes infiltrées au sein des médias d’entreprise.

Greenwald a ainsi présenté une série de profils en ligne de personnes qui ont travaillé dans les services de renseignement pendant des années, voire des décennies, avant d’occuper récemment leurs nouvelles fonctions dans les grandes entreprises technologiques.

Matt Taibbi a lui aussi rapporté que les entreprises ont commencé à embaucher d’anciens agents de renseignements après l’élection de 2016, lorsque le FBI a créé son groupe de travail axé sur les médias sociaux, The Foreign Influence Task Force ou FITF.

Depuis lors, un énorme « complexe industriel de la censure » s’est développé, a déclaré Greenwald, qui comprend l’État américain, des fondations philanthropiques, des organisations de « vérification des faits », Big Tech, des universités, des groupes de réflexion, des organisations à but non lucratif et des entrepreneurs privés.

La marque du totalitarisme

Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire. « L’idée que ces agences sont néfastes est au cœur de la politique libérale de gauche », a-t-il déclaré. Mais tout cela a changé avec la présidence Trump :

« … en 2015, en 2016, l’État sécuritaire américain s’est aligné contre Donald Trump et s’est consacré au sabotage d’abord de la campagne Trump, puis de la présidence Trump ».

Il y a maintenant très peu de médias qui font des reportages critiques sur ces agences, car elles sont « au sommet de leur pouvoir, plus puissantes que jamais ».

C’est pourquoi elles sont intégrées aux plus grandes entreprises qui contrôlent l’information et la propagande aux États-Unis — les médias d’entreprise et les grandes entreprises technologiques.

Ils sont obsédés par la destruction des quelques avant-postes de médias indépendants, les quelques endroits qu’ils ne peuvent pas contrôler, parce que sans eux, ils ont vraiment un système d’information complètement fermé.

« Et un système d’information totalement fermé est la marque du totalitarisme. Si vous pouvez contrôler la façon dont les gens pensent et les empêcher d’entendre des opinions divergentes, vous pouvez contrôler toutes leurs actions parce que leurs actions sont basées sur ce que sont leurs pensées.

« Et si vous pouvez contrôler leurs pensées, vous n’avez même pas besoin de contrôler leurs actions. Et c’est le système qui est en train d’être créé ».




Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin

[Source : Health Impact News]

Par Brian Shilhavy

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains.

La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News.

[Voir aussi :
Dossier adrénochrome
Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes
Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars
Les sacrifices humains de l’antiquité se poursuivent-ils aujourd’hui avec les mêmes rituels ?
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
La synagogue de Satan
et, du même auteur, l’article postérieur (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains ]

Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants.

Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique.

Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela.

Mais il ne l’a pas fait.

Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

Des copies de ce « message spécial » de Caviezel, d’une durée d’environ 2 minutes, sont disponibles sur l’Internet :



Il est vraiment regrettable que ce film soit présenté par les médias comme un film « chrétien conservateur de droite » (je ne pense pas que Caviezel ou Ballard le voient de cette façon), alors qu’il s’agit clairement d’une question non partisane qui touche tout le monde, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses.

Caviezel déclare que le film a été réalisé pendant 5 ans « avec tous les obstacles imaginables ».

De nombreux médias alternatifs en ont déduit que les « élites » avaient fait tout ce qu’elles pouvaient pour empêcher le message de ce film d’être diffusé.

Mais le fait qu’il ne s’agisse manifestement pas d’un film à petit budget et qu’il soit déjà un énorme succès au box-office semble contredire ce point de vue. Les droits du film appartenaient à l’origine à la Fox, puis ont été rachetés par Disney, et Disney aurait décidé de ne pas le sortir.

Les studios Angel ont alors négocié l’achat des droits du film, qui est aujourd’hui dans tous les grands cinémas.

Ce type de retard n’est pas si rare dans l’industrie cinématographique, et si les « élites » ne voulaient vraiment pas que ce film sorte, je peux vous assurer que Disney n’aurait en premier lieu probablement pas vendu les droits du film.

Le fait que ce film soit aujourd’hui dans toutes les grandes salles de cinéma des États-Unis montre clairement que l’industrie cinématographique ne censure pas ce film.

Ils ont clairement le pouvoir de le faire.

Il suffit de demander à Del Bigtree, Polly Tomney et au Dr Andrew Wakefield qui ont produit le film VAXXED en 2016 et ont vu le film être interdit dans tous les festivals du film et ne jamais être présenté dans les grandes salles de cinéma.

De même, un documentaire de 1994 intitulé « Conspiracy of Silence », qui décrivait le réseau pédophile opérant à Boys Town, au Nebraska, a été financé à l’origine par Discovery Channel, mais a été mis de côté et n’a jamais été diffusé à la télévision. Voir :

Si l’industrie voulait empêcher Sound of Freedom d’apparaître sur le grand écran, elle l’aurait certainement fait, mais je pense qu’elle autorise la diffusion de ce film parce qu’il ne cite pas de noms, qu’il ne lance pas de véritable appel à l’action pour mettre fin à tout cela, et que les médias corporatifs de gauche peuvent facilement le rejeter en le qualifiant de « théories de conspiration Qanon ».

Ma critique de « Sound of Freedom »

Comme je l’ai écrit plus haut, je recommande de regarder ce film.

Mais en tant que personne qui couvre cette question depuis une dizaine d’années, je tiens également à souligner certains des problèmes que pose ce film.

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’un documentaire, mais d’une dramatisation basée sur une « histoire vraie ». Quelques jours avant que le film ne sorte en salle, Tim Ballard a publié sur son site web une page indiquant quelles parties du film étaient vraies et lesquelles ne l’étaient pas.

Les spectateurs qui se pressent pour voir ce film savent-ils que des parties importantes du film sont fictives et n’ont jamais eu lieu ?

Cela soulève la question de savoir pourquoi l’histoire vraie n’était pas assez puissante en soi sans avoir à inventer des scènes qui n’ont jamais eu lieu.

Je soupçonne que la raison en est que les studios Fox ont commencé la production et ont estimé que c’était nécessaire, et qu’au moment où les studios Angel ont obtenu les droits, il était trop coûteux de recommencer.

Dans une scène qui m’a mis la puce à l’oreille, Caviezel se fait passer pour un médecin qui livre des vaccins « salvateurs » aux membres du cartel dans le but de sauver la petite fille qui faisait l’objet d’un trafic dans la jungle colombienne.

Les soldats du cartel fouillent son bateau et signalent qu’il ne transporte que des vaccins et que son voyage médical jusqu’à leur emplacement dans la jungle est probablement légitime.

Je ne crois pas qu’une telle chose puisse réellement se produire, car dans de nombreux autres endroits du monde, les forces rebelles antigouvernementales, telles que les talibans au Pakistan et en Afghanistan, ne font PAS confiance aux médecins et à leurs vaccins occidentaux, et empêchent en fait les Occidentaux d’injecter leurs enfants.

Tim Ballard cite cette scène comme étant fictive, mais il affirme également que son organisation s’est fait passer pour des médecins pour mener une mission en Haïti.

Tim s’est rendu seul dans la jungle colombienne pour sauver une petite fille. FAUX

Dans le film, Tim se fait passer pour un médecin et se rend dans la jungle, quelque part en Colombie, pour retrouver la sœur du petit garçon, peu après l’opération Triple Take.

Cela ne s’est pas produit.

Cependant, dans la vraie vie, Tim a conduit un groupe d’opérateurs de l’O.U.R., se faisant passer pour des médecins, dans une jungle à la frontière d’Haïti et de la République dominicaine, quelques années après l’opération Triple Take, à la recherche de Gardy.

Personne n’a été sauvé, mais l’opération a permis de faire avancer la recherche de Gardy, et les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin.
(Source.)

Des vaccins ont-ils été injectés à des enfants lors de leur opération en Haïti, où « les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin » ?

Par ailleurs, étant donné que Tim Ballard était à l’origine un agent d’une agence de renseignement du gouvernement américain, le mensonge semble être la norme et parfaitement acceptable, s’il permet d’atteindre l’objectif d’attraper des terroristes et des pédophiles.

Dans l’une des premières scènes, Tim Ballard se fait passer pour un pédophile (en mentant) afin de gagner la confiance d’un vrai pédophile pour l’arrêter.

Mais pour les personnes qui prétendent être des disciples de Jésus-Christ, le mensonge peut-il jamais être justifié ?

Jésus se présente comme « La Vérité » (Jean 14:6) et désigne les personnes qui prétendent le suivre, mais ne le suivent pas comme appartenant à leur père, le Diable, qui est « le Père du mensonge » (voir Jean chapitre 8).

Si vous êtes l’enfant ou l’épouse d’un homme qui ment pour gagner sa vie, pouvez-vous faire confiance à cette personne pour dire toujours la vérité lorsqu’elle ne remplit pas les fonctions de son travail, comme dans les agences de renseignement du gouvernement américain ?

La principale filière de trafic d’enfants est financée par le gouvernement américain

Le plus gros problème que j’ai avec le film « Sound of Freedom », c’est qu’il présente le trafic d’enfants comme un problème essentiellement international, sans exposer le fait que la plupart des enfants victimes de trafic aux États-Unis sont financés par notre propre gouvernement, principalement par le biais du système de protection de l’enfance, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Nous avons couvert cette question au cours de la dernière décennie, notamment en publiant des centaines d’histoires de familles qui se sont vu arracher leurs enfants par le gouvernement, qui a ensuite fait la traite des enfants par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Voici quelques-uns des articles que nous avons publiés précédemment et qui exposent ce réseau de trafic d’enfants opérant aux États-Unis :

En 2009, Bill Bowen a diffusé la bande-annonce d’un documentaire qu’il produisait et qui dénonçait la corruption des services de protection de l’enfance aux États-Unis.

Le film s’intitule Innocence Destroyed (L’innocence détruite). Bill Bowen est décédé de manière inattendue l’année suivante, en 2010, apparemment d’une crise cardiaque, avant d’avoir pu terminer le film.

Les séquences achevées se trouvent maintenant sur YouTube, dans trois vidéos différentes, mais nous les avons combinées et mises en ligne sur Bitchute.

AVERTISSEMENT :
La vidéo contient des images qui ne conviennent pas aux enfants !
Réservé aux adultes.



Voici quelques informations sur Bill Bowen, y compris des citations qui lui sont directement attribuées, que nous avons pu trouver sur Internet.

À propos de Bill Bowen

Bill Bowen est un ancien pompier et enquêteur fédéral. Il est également connu pour avoir dénoncé le service des pompiers de la ville de New York dans un livre intitulé Radio Silence F.D.N.Y. The Betrayal of New York’s Bravest (Silence Radio F.D.N.Y. La trahison des plus braves de New York), qu’il a coécrit avec le chef de bataillon John Joyce. Ce livre décrit comment 125 pompiers de la ville de New York et de nombreux civils ont perdu la vie le 11 septembre à cause de problèmes liés à leurs radios bidirectionnelles.

Bien qu’il ait beaucoup de pain sur la planche, sa priorité absolue est de terminer Innocence Destroyed et d’aider les gens à engager des recours collectifs contre les agences des services de protection de l’enfance dans les cinquante États. (Source : Daniel Weaver — Albany CPS and Family Court Examiner, 10 septembre 2010.)

Plus d’informations :

Le cinéaste documentait les abus des services de protection de l’enfance et les enfants assassinés sous la garde de l’État avant sa mort

J’apprécie le fait que Jim Caviezel expose dans des interviews une grande partie de ce trafic sexuel d’enfants financé par le gouvernement, car ce sujet n’est PAS abordé dans le film Sound of Freedom. Il affirme que les agences de l’alphabet, telles que la CIA, financent une grande partie de ce trafic.

Mais ces informations sont accessibles au public depuis des décennies, notamment grâce aux présentations publiques de l’ancien directeur du FBI, Ted Gunderson, avant sa mort en 2011.

Ted Gunderson est né à Colorado Springs. Il est diplômé de l’université du Nebraska en 1950. Il a rejoint le Federal Bureau of Investigation (FBI) en décembre 1951, sous la direction de J. Edgar Hoover.

Il a travaillé dans les bureaux de Mobile, Knoxville, New York et Albuquerque. Il a occupé le poste d’agent spécial adjoint à New Haven et à Philadelphie. En 1973, il est devenu chef du FBI de Memphis, puis du FBI de Dallas en 1975. Ted Gunderson a été nommé à la tête du FBI de Los Angeles en 1977. En 1979, il fait partie des quelques candidats interviewés pour le poste de directeur du FBI, qui est finalement attribué à William H. Webster.

Après avoir pris sa retraite du FBI, Gunderson a créé une société d’enquêtes privées, Ted L. Gunderson and Associates, à Santa Monica. Lors d’une conférence donnée en 1995 à Dallas, Gunderson a mis en garde contre la prolifération de groupes sataniques secrets et le danger que représente le Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement de l’ombre qui contrôle le gouvernement américain.

Il a également affirmé qu’une « vente aux enchères d’esclaves » au cours de laquelle des enfants étaient vendus à des hommes portant des turbans avait eu lieu à Las Vegas, que quatre mille sacrifices humains rituels étaient pratiqués chaque année à New York et que l’attentat à la bombe perpétré en 1995 contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City avait été perpétré par le gouvernement américain.

Gunderson a découvert qu’il existe aux États-Unis un vaste réseau secret de groupes qui enlèvent des enfants et des nourrissons et les soumettent à des abus rituels sataniques suivis de sacrifices humains.

L’un de ces groupes s’appelle The Finders et, selon Gunderson, il est dirigé par la CIA.

M. Gunderson a parcouru le pays pour donner des conférences sur son travail, notamment sur les cas qui l’ont amené à découvrir les groupes cachés impliqués dans l’occultisme satanique, y compris les abus sexuels sur les enfants et les sacrifices d’enfants. Sa conférence générale durait environ 4 heures, mais il existe une conférence encore disponible aujourd’hui où il l’a condensée en un peu plus d’une heure.

À la fin de cette conférence, Gunderson demande à une femme nommée Linda Weigand de venir témoigner. Lorsqu’il l’a présentée, Gunderson a dit :

C’est l’un des exemples de corruption les plus classiques que j’aie jamais vus. Et croyez-moi, vous pouvez dire, d’après mon exposé, que j’ai vu des exemples de corruption assez terribles.

Comme son témoignage se trouve à la fin de sa conférence, nous l’avons extrait dans une vidéo séparée afin que vous puissiez choisir de le regarder en premier, si vous voulez avoir un avant-goût de ce dont il s’agit.

Mais je dois vous avertir que cette vidéo est très GRAPHIQUE et très maléfique. Elle vous perturbera.



Voici l’intégralité de la conférence de Ted Gunderson :

Une grande partie du travail de Gunderson reste en ligne ici (pour l’instant). Il serait judicieux de copier ses documents avant qu’ils ne disparaissent.

Voir aussi :

L’histoire de Jennifer Guskin, que nous venons de publier, est l’une des plus horribles qui soient sur la façon dont le système de placement familial a été utilisé pour faire du trafic sexuel d’enfants au profit des riches et des puissants de la région de Washington.

Nombre d’entre vous ne devraient probablement pas regarder cette vidéo, car elle pourrait vous causer un grave traumatisme émotionnel. Si vous avez regardé le documentaire publié par le producteur polonais Patryk Vega, intitulé « Eyes of the Devil », et que vous avez pu le supporter, sachez que l’histoire de Jennifer est bien pire.

AVERTISSEMENT : CONTENU GRAPHIQUE SUR DES SUJETS TELS QUE LE CANNIBALISME, LES RELATIONS SEXUELLES AVEC DES ENFANTS, LA TORTURE, LE MEURTRE, ETC. NE CONVIENT PAS AUX ENFANTS — DISCRÉTION CONSEILLÉE !

C’est sur notre chaîne Bitchute.



Regarder un film de fiction ne résoudra pas ce problème – Que peut-on faire pour aider les parents et les enfants ?

Le problème du trafic sexuel d’enfants aux États-Unis est si répandu que si l’on ne s’attaque pas au principal moyen de financement de ce système diabolique, à savoir le gouvernement américain et le système de protection de l’enfance, il n’y a guère d’espoir de changer quoi que ce soit.

Et non seulement l’organisation de Tim Ballard, Operation Underground Railroad, ne dénonce pas le trafic sexuel d’enfants dans le cadre du système national de protection de l’enfance financé par le gouvernement, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption, mais elle soutient en fait cette filière n° 1 pour le trafic sexuel d’enfants.

Lettre de Katherine Ballard, fondatrice de Children Need Families

Lorsque mon mari Tim et moi-même avons adopté nos deux enfants d’Haïti, nous avons fait l’expérience directe de tous les formulaires, des autorisations gouvernementales, des frais juridiques, du temps et de la patience qu’il a fallu pour les ramener enfin à la maison.

Ce fut un voyage long, frustrant, déroutant et coûteux. Je voulais que mes enfants soient en sécurité chez moi, mais notre famille ne pouvait rien faire d’autre que de suivre la procédure, de prier et d’attendre. Nous avons eu la chance d’avoir une famille et des amis généreux qui nous ont aidés financièrement et nous ont apporté un soutien général.

C’est à la suite de cette expérience que le projet Children Need Families (Les enfants ont besoin d’une famille) a vu le jour. J’ai senti que quelque chose devait et pouvait être fait pour aider d’autres familles à traverser le long et difficile processus d’adoption (jusqu’à trois ans dans de nombreux cas, comme le nôtre).(Article complet.)

Voir aussi :

Comment l’Église chrétienne et le gouvernement américain collaborent pour faire le trafic des enfants dans le monde entier par le biais du commerce lucratif de l’adoption

Pour être juste envers les Ballard, je crois qu’ils essaient d’abord de réunir ces enfants dans des endroits comme Haïti avec leurs familles biologiques, mais ce système ne pourra pas être réformé tant que les groupes et les organisations qui dénoncent le trafic sexuel d’enfants ne cesseront pas de travailler avec le gouvernement américain, qui est la principale source de financement du trafic d’enfants.

L’Arizona est l’un des endroits des États-Unis qui est clairement une plaque tournante de la traite sexuelle des enfants.

L’Arizona a toujours retiré les enfants à leurs parents par le biais du système de protection de l’enfance à un taux plus élevé que tous les autres États, et c’est aussi un endroit où de nombreux enfants sont amenés aux États-Unis pour le trafic sexuel à travers la frontière avec le Mexique.

Nous avons lancé MedicalKidnap.com en 2014 pour documenter la façon dont les enfants étaient victimes de la traite dans le cadre du système de protection de l’enfance, et l’Arizona est, de loin, l’État où nous avons réalisé le plus grand nombre d’articles sur la traite des enfants.

La situation est si grave en Arizona que nous avons acheté du temps d’antenne sur une station de radio locale basée à Phoenix et produit une série d’émissions en 2019 exposant le problème de la traite des enfants en Arizona en transmettant notre message directement à la population.

Avec la récente révélation du trafic sexuel d’enfants par le film Sound of Freedom, j’ai vu un clip d’une résidente de l’Arizona, Cindy McCain, épouse de l’ancien sénateur John McCain, qui avouait que tout le monde connaissait Jeffrey Epstein et son réseau de pédophiles.

Pendant des années, Cindy McCain a fait partie du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains, tout comme le gouverneur de l’époque, Doug Ducey.

Nous nous sommes donc intéressés au Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains de Cindy McCain dans l’une de nos émissions diffusées sur KFNX Talk Radio 1100, en interviewant Lori Ford, responsable de l’AZ DCS Oversight Group, un groupe de bénévoles qui assistent aux réunions concernant les questions relatives au Département des services à l’enfance de l’Arizona.

Le groupe compte également des « observateurs » qui assistent aux audiences du tribunal des dépendances en tant que défenseurs des parents et qui observent la façon dont ces parents sont traités au tribunal des dépendances.

Lori a déclaré que le groupe ne voulait PAS devenir une société à but non lucratif 501 c3, car il ne voulait pas tomber sous la « coupe du gouvernement ».

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les membres du groupe fournissaient gratuitement leurs services aux familles et à d’autres personnes, elle a répondu :

La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est que c’est très important. Il s’agit de l’avenir de notre pays, de l’avenir de notre nation. Et la famille représente tout pour nous tous.

C’est pourquoi nous le faisons. Nous constatons que de nombreux droits sont violés dans ce système de tribunaux de la dépendance.

Nous avons interviewé Lori juste après qu’elle et son groupe aient assisté à l’une des réunions du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains.

Lori s’est adressée au Conseil au cours de la section des commentaires publics, soulignant que si le Conseil avait dénoncé des sites Web qui pratiquaient la traite des enfants, tels que BackPage.com, qui a été fermé par le FBI en 2018, le Conseil n’avait pas abordé un autre site Web en Arizona qui pratiquait la traite des enfants, le site Web DCS .gov : « Children’s Heart Gallery ».

Ce site Web financé par les contribuables est destiné à recruter des parents adoptifs, mais il expose ces enfants à des prédateurs en publiant des photos et des descriptions d’enfants vivant actuellement dans des familles d’accueil.

Il n’y a aucune précaution à prendre pour accéder à ce site Web. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire, il est simplement ouvert au monde.

Lorsqu’on lui a demandé si les enfants figurant sur le site Internet du DCS provenaient de parents qui avaient volontairement donné leurs enfants à l’adoption, Lori a répondu :

Les enfants qui figurent sur cette galerie du cœur, qui fait partie du site Web du DCS, sont des enfants qui sont sous la garde du DCS. Ce sont des enfants placés en famille d’accueil ou en foyer.

Il s’agit d’un site d’adoption forcée, d’un site de relogement forcé si vous voulez, d’enfants qui sont sous la garde du DCS.

Ils vendent des enfants en ligne.

Pourtant, si un parent qui se bat contre le système pour récupérer ses enfants met en ligne des photos de ses enfants placés en famille d’accueil, les juges du tribunal des dépendances de l’Arizona lui ordonnent systématiquement de retirer ses photos, et ont même menacé MedicalKidnap.com de mettre en ligne des photos que les parents ont fournies de leurs propres enfants, faisant ainsi pression sur les parents pour que Health Impact News retire leurs histoires et leurs photos (ce que nous n’avons JAMAIS fait).

Lorsqu’on lui a demandé ce que le Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains avait réellement accompli, Lori a répondu :

Je ne sais pas ce qu’ils ont accompli, pour vous dire la vérité…. C’est un Conseil où des intervenants parlent de la traite des êtres humains… ils parlent de la traite des êtres humains.

D’après ce que j’ai vu de ce Conseil, je ne crois pas qu’il fasse quoi que ce soit pour empêcher la traite des êtres humains.

Écouter l’intégralité de l’entretien avec Lori Ford :

Lori et son groupe, l’AZ DCS Oversight Group, sont un exemple de ce qui peut être fait au niveau local pour dénoncer le trafic d’enfants par le biais du système de protection de l’enfance, en travaillant avec des parents dont les enfants ont été kidnappés par l’État, et en allant au tribunal avec eux en tant que « surveillants de tribunal » pour faire savoir aux criminels que les gens de leur communauté les surveillent et dénoncent leur trafic d’enfants sous le couvert de la loi.

Vous pouvez la trouver sur Twitter et Facebook sous le nom de « AZ DCS Warriors ».

Ce que ce groupe fait depuis de nombreuses années pour dénoncer le trafic d’enfants et aider les parents et les enfants devrait être un modèle pour TOUS les États des États-Unis.

Nous contactons Lori pour voir si nous pouvons l’aider à créer un site Web et à collecter des fonds pour aider d’autres personnes à travers les États-Unis à créer des groupes similaires dans d’autres États.

C’est ce type d’activisme, avec des « bottes sur le terrain », qui est nécessaire pour vraiment faire la différence dans le domaine de la traite sexuelle des enfants.

La frontière entre l’Arizona et le Mexique est un autre endroit où des bénévoles aident les victimes de la traite des enfants. J’ai récemment publié un rapport sur la façon dont les habitants de l’Arizona aident les enfants qui traversent la frontière. Voir :

En effet, ces bénévoles trouvent souvent des enfants seuls, abandonnés juste après avoir franchi la frontière dans le désert brûlant de l’Arizona, où ils risquent souvent de mourir de soif ou d’être ramassés par les cartels avant que les services de contrôle des frontières ne les trouvent et ne les traitent.

Certaines de ces personnes font cela à la frontière depuis des années.

Ainsi, bien que le film Sound of Freedom expose une partie de ce trafic d’enfants, le film lui-même ne présente aucune nouvelle information qui n’ait pas déjà été exposée par d’autres depuis de nombreuses années, et le simple fait de regarder un film dans un cinéma ne changera probablement pas grand-chose à ce trafic d’enfants financé et géré par le gouvernement.

Si vous voulez protéger les enfants de votre communauté contre la traite, vous devez vous solidariser avec les parents dont les enfants ont été enlevés par l’État, et la grande majorité d’entre eux sont des familles vivant dans la pauvreté qui aiment leurs enfants et feraient n’importe quoi pour les garder si les gens les aidaient.

C’est certainement vrai dans d’autres pays également, mais le secteur lucratif de l’adoption et du placement familial est tout simplement trop prospère et trop puissant pour permettre que cela se produise, car le gouvernement dépense d’énormes ressources financières pour que des parents sans enfants, y compris des pédophiles, accueillent et adoptent les enfants d’autres personnes, plutôt que de dépenser ces ressources pour que les enfants restent dans leur famille biologique.

Cet article a été écrit par un être humain, sans l’aide de l’IA



Réchauffement : de gré ou de force, les médias veulent du 50 degrés

Changer la couleur des cartes fait monter la température !

Par Gérard Le Maître

La blague du réchauffement prend de l’ampleur en été. C’est normal, chez nous, en France, l’été est chaud. C’est une tradition nationale, surtout dans le sud, là où les gens sont handicapés par un accent, sûrement un effet de la chaleur. D’ailleurs, les sudistes sont souvent exagérateurs, encore un effet de la chaleur.(([1] https://fr.sott.net/article/42381-Rechauffement-de-gre-ou-de-force-les-medias-veulent-du-50-degres))

40° en Andalousie, en Grèce etc. ?? mais c’est tous les étés comme ça !!!

50° dans La Vallée de la mort en Californie ? Ha bon ?!!

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…

La vallée de la Mort (Death Valley) est une vallée du désert des Mojaves située en Californie et incluse dans le parc national de la vallée de la Mort. Il s’agit d’un rift endoréique de forme allongée et orienté nord-sud. Son point le plus bas, Badwater, est, avec −85,5 mètres sous le niveau de la mer, le point le plus bas des États-Unis.

J’y étais il y a plus de 30 ans (en juillet 1986 et juillet 1998) il y faisait plus de 50° naturellement comme tous les étés…(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_de_la_Mort))

Et si on arrêtait de croire à toutes ces « couineries » ?

Ce sont 3 lauréats du Nobel de physique qui expliquent :

Le climat a toujours changé sans demander la permission à qui ce soit, on ne le contrôle pas. C’est devenu une nouvelle religion. Ce qui devrait nous inquiéter, c’est la propagande unilatérale basée sur une science erronée. Le CO2 est essentiel.

La vérité de ce matraquage médiatique mondial ?

C’est Kamala Harris qui a lâché le morceau : nous sommes trop nombreux sur terre alors

Kamala Harris, vice-présidente US, vient de dire que « réduire la population » est un objectif du mouvement contre le changement climatique.

Ils ne le cachent plus. VOUS êtes le carbone qu’ils veulent éliminer ! Le vrai mal

Elle devrait dire quel est le plan pour réduire la population.

En quelques mots : Rendre les enfants infertiles via la vaccination et libérer des virus afin de tuer un maximum de gens.

C’est ce que ces démocrates et socialistes font partout dans le monde.

Des dizaines d’autres scientifiques dénoncent cette supercherie, dénoncent l’imposture du GIEC qui n’est qu’un ramassis de non-scientifiques, mais politiques payés par les mondialistes pour tromper le monde entier et servent d’alibi aux gouvernements, mais ils ne passent pas sur BFManip’ évidemment…

Informez-vous ! Sortez la tête du sable !

Et surtout ÉTEIGNEZ LA TV!




Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]