L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts

[Source : jacqueshenry]

Par Paul Craig Roberts [avec commentaires de Jacques henry (en rouge)]

L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts un peu comme la Wehrmacht après Stalingrad. Le port de masques et les confinements sont de retour, car les autorités sanitaires admettent désormais que les vaccins Covid n’offrent pas de protection efficace, notamment contre ce qu’on appelle les « nouveaux variants ». À quoi sert un passeport Covid quand le vaccin ne protège pas et que les vaccinés doivent porter des masques ? La presse (presstitute dans le texte) aux États-Unis rapporte faussement que la « nouvelle épidémie » de Covid atteint surtout les jeunes non vaccinés, et la pression est donc exercée pour vacciner tous les jeunes. Mais les faits racontent une autre histoire. Au Royaume-Uni, par exemple, les nouveaux cas de Covid explosent parmi les personnes entièrement vaccinées, augmentant de 40% en une semaine tandis que les nouveaux cas de Covid parmi les non vaccinés diminuent de 22%. Israël est un autre exemple où la hausse des cas de Covid se fait parmi les vaccinés.

[Ndlr : dans le cas très hypothétique où les « vaccins » ne seraient que des placebos, si 99 % de la population était vaccinée, il faudrait s’attendre logiquement à ce que 99 % des cas de covid se retrouvent parmi ces vaccinés, et, inversement, à ce qu’il n’y ait que 1 % des cas de covid parmi les non-vaccinés. On ne doit donc pas comparer par rapport à la population globale, mais regarder le taux de malades parmi chacune des deux populations séparément : celle des vaccinés, d’une part, et celle des non-vaccinés d’autre part. Ainsi nous ne pourrions affirmer que le vaccin rend davantage malade que la covid elle-même uniquement si par exemple nous constations une moitié de malades de la Covid suite à la vaccination, par rapport à seulement un tiers ou un quart de malades chez les non-vaccinés.]

Il est hilarant de voir les défenseurs des vaccins soutenir que l’augmentation des nouveaux cas de Covid parmi les vaccinés est la preuve que les vaccins fonctionnent ! Non, je n’invente pas. Voici ce que déclare Katelyn Jetelina : « Plus une population est vaccinée, plus nous entendrons parler de vaccinés infectés ». Note, les inserts entre parenthèses et caractères italiques sont de mon fait et non de l’auteur de l’article.

Arieh Kovler explique : « Les pays à forte vaccination verront la plupart des personnes vaccinées tomber malades de Covid. » https://www.deseret.com/coronavirus/2021/7/20/22584134/whats-going-on-in-israels-outbreak-among-vaccinated-people . Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’au fur et à mesure que les populations se font vacciner, il n’y a personne pour attraper le Covid, sauf les vaccinés. Malgré ces évidences, les propagandistes des vaccins revendiquent toujours une efficacité de 97,5% pour les vaccins. Il n’y a aucune preuve que ce soit pour cette affirmation fantaisiste. Seul un crétin ignorant ferait une affirmation aussi absurde.

Bien que les vaccins soient inutiles comme protection, leurs effets secondaires sont mortels. La base de données de l’Union européenne sur les déclarations de réactions médicamenteuses suspectées couvrant 27 pays européens, EudraVigilance, rapporte qu’au 17 juillet 2021, il y a eu en 2021 18 928 décès et 1 823 219 effets secondaires associés aux vaccins Covid : https://www.globalresearch.ca/18928-dead-1-8-million-injured-50-grave-reported-in-european-unions-database-of-adverse-drug-reactions-for-covid-19-shots/5750722

La base de données américaine, VAERS, rapporte qu’au 9 juillet 2021, il y avait 10 991 décès et 463 457 effets indésirables sur la santé associés aux vaccinations Covid. Un lanceur d’alerte du CDC ayant accès aux données du VAERS a révélé dans une déclaration sous serment sous peine de parjure que le nombre réel de décès dans la base de données est cinq fois plus élevé que le nombre publié https://www.paulcraigroberts.org/2021/07/26/how-the-covid-scam-is-perpetrated/ La base de données britannique des effets secondaires causés par les vaccins s’appelle le système Yellow Card. Au cours des quatre premiers mois de cette année, il y a eu 888 196 événements indésirables liés au vaccin et 1 253 décès.

Considérant que les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ne devraient pas couvrir plus de 10 % de ces effets adverses et des décès dus aux vaccins, pour les seuls États-Unis et le Royaume-Uni du début de l’année à la mi-juillet ces pays pourraient avoir subi 22 866 760 effets indésirables sur la santé et entre 299 190 et 639 280 décès dus aux vaccins contre le Covid (cette estimation me semble hasardeuse dans la mesure où le chiffre de 10 % n’est pas prouvé et probablement loin de la réalité). C’est un résultat pire que ce qui a été observé lors de l’épidémie de Covid. Les presstitués (expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes), les bureaucrates de la santé publique et les politiciens stupides qui ont rampé sous les pressions multiples ne rapportent pas ces chiffres massifs. Leur excuse est que les systèmes de déclaration des effets indésirables des vaccins ne prétendent pas que ces événements indésirables sont causés par les vaccins, mais seulement qu’ils sont associés à la vaccination. Mais dans tous les cas précédents de vaccination (l’exemple emblématique fut l’essai en phase 3 de Sanofi aux Philippines pour un vaccin contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 2000 enfants), un nombre beaucoup plus petit de décès associés a servi à retirer les vaccins de leur utilisation. Pourquoi pas cette fois ? De toute évidence, il existe des programmes en cours qui ont la priorité sur les règles normales et la santé publique – le profit, une augmentation du pouvoir du gouvernement sur des personnes autrefois libres, et peut-être des programmes plus sombres tels que la « grande réinitialisation » du WEF (World Economic Forum, alias Club de Davos) et le contrôle de la population. Ces possibilités sont-elles les croyances des « théoriciens du complot » ou sont-elles des conclusions logiques des contradictions évidentes du récit officiel du Covid ?

La pandémie est-elle réelle ?

L’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont admis que la base même de la prétendue « pandémie de Covid » – le test PCR – n’est pas fiable et ne peut pas faire la différence entre grippe et Covid et entre infecté et non infecté. Le CDC a annoncé qu’il retirait sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du test PCR à compter du 31 décembre 2021: https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html .Pourquoi le CDC attend-il quatre mois pour cesser d’utiliser un test Covid qui exagère énormément le nombre de cas ? La réponse est-elle que, comme le test est exécuté à des cycles élevés qui produisent un taux de faux positifs de 97%, le CDC veut préserver la peur d’une infection massive jusqu’à ce que tous soient vaccinés ? Comme le CDC partage le butin de Big Pharma, tout comme le NIH, nos autorités de santé publique ont de graves conflits d’intérêts. Alors que nous vivons dans un monde où littéralement tout est corrompu par l’argent, pourquoi devrions-nous penser que la santé publique est une exception ?

Mathew Crawford a examiné le remaniement par le CDC de son système d’alerte qui est utilisé pour indiquer quand les événements indésirables associés aux vaccins atteignent un niveau d’alerte rouge. https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals Il a constaté que l’effet de la révision était de brouiller la différence entre les vaccins sûrs et ceux qui sont dangereux. En d’autres termes, le signal d’avertissement a été désactivé. Était-ce le résultat d’une incompétence ou d’une intention? Ne vous attendez pas à ce qu’une enquête soit menée. L’ensemble du monde politique, médiatique et médical est lié à la pandémie orchestrée et à l’efficacité de vaccins mortels. Leur crédibilité est en jeu. Ils ne peuvent pas se permettre qu’une telle chose soit reconnue et encore moins étudiée.

Et maintenant, nous avons un autre développement honteux. Eli Lilly a développé un remède avec des anticorps pour Covid, et son déploiement est bloqué au motif qu’il ne guérit pas des variants, ce qui pourrait être plus présumé que réel. https://www.wsj.com/articles/eli-lilly-covid-19-antibody-drug-shipments-paused-over-variant-concerns-11624652980 . Comme l’establishment commence à l’admettre les vaccins ne protègent pas contre les nouveaux variant et il existe la totalité de la presse pour défendre et contraindre à la vaccination universelle avec ces vaccins dangereux. Si le même argument utilisé contre le traitement d’Eli Lilly est appliqué aux vaccins, l’utilisation des vaccins devrait être immédiatement bloquée, en particulier avec leur dossier d’effets secondaires dévastateurs. De plus, l’establishment médical n’a fourni aucune preuve que le remède d’Eli Lilly ne fonctionne pas avec les variantes. C’est pourtant sur une affirmation mensongère que les presstitués font du battage médiatique.

En effet, comme je ne cesse de le demander, comment savons-nous que ce que l’on appelle des variants ne sont pas des maladies induites par la vaccination ? Comment qualifient-t-ils ce grand nombre signalé de maladies induites par la vaccination parmi les personnes entièrement vaccinées ? Ils ne le font pas. Ils les cachent sous le tapis. Je soupçonne que la véritable raison du blocage du traitement d’Eli Lilly est que les fabricants de vaccins ont plus de poids et ne veulent pas de diminution de leur marché des vaccins tant qu’ils n’auront pas pleinement exploité financièrement parlant les craintes de Covid. De plus, je soupçonne que les autorités de santé publique qui ont enfreint la loi en autorisant l’utilisation d’urgence des vaccins non testés au motif qu’il n’y avait pas de remède alors qu’il y en avait deux – HCQ et Ivermectine – ne veulent pas d’un troisième remède dans le paysage.

Le bureaucrate médical, le Dr Tony Fauci, qui a qualifié le sénateur américain Rand Paul de menteur pour avoir souligné que les documents de subvention du NIH montrent que Fauci a financé des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine soucieux de rendre le coronavirus plus infectieux, a maintenant admis à la télévision qu’il avait financé la recherche et il la défend sur des motifs totalement absurdes que son protecteur presstitué, Jake Tapper, a soigneusement négligé. 
https://nypost.com/2021/07/25/anthony-fauci-defends-us-funding-research-at-wuhan-lab/?utm_campaign=iphone_nyp&utm_source=mail_app. Ce crétin de CNN est d’accord avec Fauci, qui a fait un paquet d’argent avec ce virus et qu’il aurait été « négligent » s’il n’avait pas financé la création du SARS-CoV-2.

Nous avons donc « le principal expert américain en virus » (quelle blague !) créant un virus, puis en créant une pandémie autour de lui sur la base de l’utilisation d’urgence frauduleuse d’un test invalide, puis en soutenant des blocages insensés qui ont détruit les entreprises de la classe moyenne, puis en prenant en charge l’obligation de port de masque insensée. qui n’offrait aucune protection et causait de nombreuses maladies, rien de moins qu’un masque N95 n’offre aucune protection, puis a augmenté un grand pourcentage de la population mondiale avec une nouvelle technologie expérimentale appelée un vaccin qui est très dangereux, et demande maintenant la vaccination obligatoire des adolescents et des enfants qui ne sont pas menacés par le Covid-19. L’establishment médical complètement corrompu dit d’un côté vicieusement que les vaccins Covid ne protègent pas contre les variants, donc les vaccinés doivent à nouveau porter des masques, et de l’autre côté tout aussi vicieusement ils disent, en totale contradiction, que les jeunes doit être vaccinés avec ces vaccins pour être sûr.

Maintenant, soit nous avons une situation dans laquelle presque tout l’establishment médical est totalement incompétent et stupide au-delà de toute croyance, soit nous avons presque tout cet establishment médical impliqué dans une gigantesque escroquerie qui tue et blesse des centaines de milliers de personnes. Il n’y a pas d’autre explication.

Il en va de même pour les politiciens. L’un des plus odieux est le meurtrier de masse de New York, le gouverneur Andrew M. Cuomo, qui a envoyé des patients Covid dans des maisons de retraite où les personnes âgées infectées par les patients Covid importés sont décédées. Le démocrate Cuomo a obtenu un laissez-passer du département de la justice du démocrate Biden. Voilà pour la responsabilité et la justice. Si vous êtes démocrate, il n’y a pas de responsabilité. Qu’est-il advenu du rapport de John Durham sur le Russiagate ? De toute évidence, le rapport n’est qu’une autre victime de la non-responsabilité des démocrates.

Voici le meurtrier de masse Cuomo. Regardez son expression folle. Écoutez ce meurtrier de masse hystérique déclarer la guerre aux non vaccinés :

Les républicains, y compris ce rénégat de McConnell se sont joints aux démocrates pour encourager les vaccinations. Maintenant que l’on sait que les vaccins ne protègent pas mais tuent, des républicains idiots veulent que tout le monde soit vacciné. Comme beaucoup le disent depuis si longtemps, il n’y a pas de parti d’opposition. Les agences fédérales imposent désormais la vaccination de leurs effectifs : 
https://www.theepochtimes.com/mkt_breakingnews/first-federal-agency-to-mandate-covid-19-vaccine_3918989.html?utm_source=News&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-07-26-3&mktids=22baca7c76e659bf404b407ad98afb5e&est=9B%2FSynA47SoRBDrsWy%2B%2BJs4ZudZ3GuM5s8sCo0KQSwTIjxgRyM%2FjbA%3D%3D

Il en va de même pour les États bleus : 
https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

Le département de la « Justice » (sic) (DOJ) corrompu de Joe Biden a « déterminé que la loi fédérale n’interdit pas aux agences publiques et aux entreprises privées d’exiger des vaccins contre le Covid-19, même si les vaccins n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence », du moins c’est ce que dit le président de CNN : 
https://www.cnn.com/2021/07/26/politics/doj-covid-19-vaccine-requirements-olc-opinion/index.html

C’est un mensonge flagrant, tout comme le « Russiagate » et la procédure d’impeachment du DOJ à l’encontre de D. Trump. Les États-Unis ont un département « Justice » (sic) indifférent à la justice et incapable de dire la vérité, ou alors ils ont un département « Justice » (sic) dont l’incompétence est sans précédent. (Remarque : il en est exactement de même en France macronienne, pays où non seulement la magistrature mais également le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ne remplissent plus leur rôle).

Voici les faits réels : « Les vaccins sont une intervention médicale. Toutes les interventions médicales exigent de par la loi qu’un consentement valide soit obtenu. Voir, par exemple, le site officiel du UK National Health Service – https://www.nhs.uk/conditions/consent-to-treatment/ – qui indique : « Le consentement au traitement signifie qu’une personne doit donner sa permission avant de recevoir tout type de traitement médical, de test ou d’examen.

« Cela doit être fait sur la base d’une explication par un clinicien.

Le consentement d’un patient est nécessaire quelle que soit la procédure, qu’il s’agisse d’un examen physique, d’un don d’organes ou autre.

Le principe du consentement est un élément important de l’éthique médicale et du droit international des droits de l’homme.

Pour que le consentement soit valide, il doit être volontaire et éclairé, et la personne consentante doit avoir la capacité de prendre la décision.

Le sens de ces termes est :
volontaire – la décision de consentir ou de ne pas consentir au traitement doit être prise par la personne et ne doit pas être influencée par la pression du personnel médical, des amis ou de la famille.
informée – la personne doit recevoir toutes les informations sur ce que le traitement implique, y compris les avantages et les risques, s’il existe des traitements alternatifs raisonnables et ce qui se passera si le traitement ne se poursuit pas.
capacité – la personne doit être capable de donner son consentement, ce qui signifie qu’elle comprend l’information qui lui est donnée et qu’elle peut l’utiliser pour prendre une décision éclairée

Si un adulte a la capacité de prendre une décision volontaire et éclairée de consentir ou de refuser un traitement particulier, sa décision doit être respectée.

C’est toujours le cas même si le refus de traitement entraînerait leur mort, ou la mort de leur enfant à naître ». (Ces règles fondamentales de l’éthique médicale sont également valables en France et inscrites dans la loi).

De toute évidence, la rétention d’informations sur les risques potentiellement graves et mortels des vaccinations et le fait d’obliger et de contraindre des personnes à subir des interventions médicales est non seulement immoral et contraire à l’éthique et sape la relation patient-médecin, mais viole également la loi et devrait conduire à des poursuites pénales. Mais ce ne sera pas le cas. Les démocrates protègent leurs criminels. Les démocrates réservent « leur justice » aux innocents qui protestaient pour défendre le président américain Trump.

Les États-Unis ont le même code d’éthique médicale. Le problème est que l’establishment médical américain ne suit pas son propre code. L’éthique médicale ne paie pas lorsque vous pouvez éviter la responsabilité. Si vous pouvez gagner de l’argent en injectant un vaccin contre la mort à des personnes non informées, faites-le. Les fabricants de vaccins ont utilisé des contributions de campagne politique pour acheter leur protection contre la responsabilité du Congrès corrompu des États-Unis. Ils peuvent assassiner toutes les personnes qu’ils veulent sans aucune responsabilité. Comme je l’ai souligné pendant des décennies, la population américaine est aussi crédule et confiante que les Amérindiens qui ont accepté des couvertures imprégnées de variole comme cadeaux de bonne volonté. Les Américains pensent qu’il est antipatriotique de se méfier du gouvernement. Comme ils pensent que ceux qui se méfient du gouvernement américain sont communistes et pire, il est facile pour l’establishment de contrôler leurs esprits.

Malgré l’échec des vaccins à protéger contre l’infection et malgré leurs effets indésirables massifs, le crétin du Bureau ovale se dit déterminé à forcer la FDA à approuver les vaccins non testés qui sont utilisés uniquement sur la base d’une « utilisation d’urgence » frauduleuse : 
https://www.globalresearch.ca/politics-science-biden-admin-signals-intent-force-fda-approval-covid-vaccines/5751215

La Maison Blanche souhaite que la condition « utilisation d’urgence uniquement » soit supprimée et que les vaccins non testés reçoivent une approbation officielle d’utilisation. L’idiot du bureau ovale le veut malgré les preuves accablantes que les vaccins ne protègent pas mais provoquent des effets indésirables graves sur la santé et des décès. Vous pouvez maintenant voir pourquoi l’establishment a volé une élection présidentielle pour mettre un idiot au pouvoir. Il gagne de l’argent pour eux et fait avancer leurs agendas secrets. Dites-moi, Biden est-il un homme qui représente le bien-être des Américains, ou est-ce un homme qui représente le bien-être et les profits de Big Pharma et des agendas cachés derrière la pandémie orchestrée ?


Article de Paul Craig Roberts paru sur son blog il y a quelques jours.

Cerise sur le gâteau pour ce qui concerne la France : 

https://www.youtube.com/watch?v=V_bnCyNSBas&t=179s



Vers la grève générale contre le pass sanitaire et la casse des moyens santé

[Source : mediapart.fr]

Le mouvement s’amplifie et s’accélère dans la santé. Un mouvement identique pourrait se déclencher aussi chez les territoriaux où de premiers appels à la grève sont lancés, et chez les pompiers où la colère gronde.

Appel à la grève illimitée contre le pass sanitaire et l’obligation vaccinale à partir du 5 août dans les hôpitaux de Marseille, après déjà Montélimar, Lyon, Bastia, Poitiers, Nord Franche-Comté, Lille, la Martinique, le Lot… le droit de retrait aux Urgences de l’hôpital Tenon à Paris… plusieurs EHPAD ou centres de santé également en grève…

Les grèves se multiplient dans les hôpitaux contre l’obligation vaccinale et le pass sanitaire


FO CHU de Lille

GRÈVE GÉNÉRALE -CHU DE LILLE -JEUDI 05 AOÛT 2021 – DEVANT LE BÂTIMENT ICP (cardio)…

NE PAS OUBLIER !!!

GRÈVE GÉNÉRALE AU CHU DE LILLE

JEUDI 05 Août 2021
DEVANT L’ICP (hôpital cardio)
A partir de 13h00

Manifestation contre l’obligation de vaccination et contre les sanctions possibles envers les soignants et non soignants qui refusent de se faire vacciner …

Ce n’est absolument pas une grève contre le pass-sanitaire.

Chacun est libre de se faire vacciner ou non.


ET ENCORE UN HÔPITAL QUI REJOINT LA LUTTE CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET LE PASS SANITAIRE

Vaccination : préavis de grève illimité au centre hospitalier Jura Sud dès le 5 août

C’est sur sa page Facebook que la CGT du Jura a annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.

« Ça bouge avec la CGT de l’hôpital de Lons-le-Saunier sur la vaccination obligatoire et le pass-sanitaire. Vaccination OUI, mais seulement sur la base du volontariat. » Les mots sont clairs. C’est sur la page Facebook de l’Union départementale de la CGT du Jura que les élus du syndicat CGT du centre hospitalier Jura Sud ont annoncé la nouvelle ce vendredi 30 juillet.  



« Nous déposons ce jour, un préavis de grève illimitée pour tous les professionnels de santé à compter du jeudi 5 août, à minuit. » 

Parmi les revendications, « l’opposition au pass-sanitaire qui fait le jeu de la discrimination, l’opposition à l’obligation vaccinale pour les professionnels de santé », ou encore « la reconnaissance en maladie professionnelle de la SARS-Cov2 ». 

A noter, que le 24 juillet dernier, près de 500 personnes ont manifesté dans les rues de Lons-le-Saunier, contre le pass-sanitaire.


LE GOUVERNEMENT S’ACHARNE A DÉTRUIRE LA SANTÉ PUBLIQUE

LE CARACTÈRE POLICIER DE SA CAMPAGNE CONTRE LES NON VACCINÉS EST JUSTE DESTINÉE A LE CACHER

LES MANIFESTATIONS ANTI PASS SANITAIRE DU 31 JUILLET DOIVENT ÊTRE AUSSI DES MANIFESTATIONS POUR PLUS DE MOYENS ET DES EMBAUCHES POUR LA SANTÉ PUBLIQUE

(CIU = Collectif Inter Urgences)


QUAND LES SOIGNANTS DEMANDAIENT PLUS DE MOYENS ET D’EFFECTIFS, MACRON LEUR ENVOYAIT LES FLICS

ET MAINTENANT IL LES MONTRE DU DOIGT POUR CACHER QU’IL N’A RIEN FAIT

Marion D. Infirmière, street medic, réclamait des moyens pour l’hôpital il y a quelques temps. Elle fut rouée de coups…


La France a été mauvaise dans la recherche contre le Covid, selon la Cour des Comptes

Un rapport de la Cour des comptes étrille le manque de moyens alloués à la recherche française ainsi que l’absence d’un « chef de file » pour coordonner la gestion de crise.

CORONAVIRUS – Les financements accordés à la recherche publique en France pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ont été “nettement en retrait” par rapport à d’autres pays et “trop dispersés pour répondre aux enjeux de la crise” notamment sur la recherche de vaccin, estime ce jeudi 29 juillet la Cour des comptes.

Cette situation découle de “défauts structurels” que la mobilisation en urgence de tous les acteurs n’a pas suffi à pallier, ainsi que de l’absence d’un “chef de file” clair, analyse l’organisme de contrôle dans un “audit flash”, mené en quatre mois.

Entre janvier 2020 et mars 2021, “le montant total des ressources affectées à la recherche publique française sur la Covid-19 s’élève à 530,17 millions d’euros, fonds européens compris, ou à 502,48 millions d’euros sans ces fonds”, calcule la Cour des comptes.

Cette estimation a été obtenue en additionnant tous les “crédits d’intervention” (donc hors rémunération des chercheurs titulaires) attribués aux organismes de recherche, aux universités et aux centres hospitaliers universitaires, de sources publiques et privées. Du fait du calendrier particulier de cet audit, elle a pris en compte les crédits alloués et non les dépenses effectivement exécutées.


VERAN EST-IL VRAIMENT MÉDECIN ?

https://twitter.com/__iron_man_/status/1420330925993385988



Des restaurateurs ni « anti-vaccins » ni « complotistes » refusent de contrôler leurs clients

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Un restaurateur vérifie les laissez-passer sanitaires Covid-19.
(PASCAL POCHARD-CASABIANCA/AFP via Getty Images)]

Par Emmanuelle Bourdy

Une dizaine de restaurateurs de la Manche publient une tribune pour dénoncer l’obligation de contrôler le passe sanitaire de leurs clients. Ils estiment en effet que ce n’est pas leur tâche.

Si le 5 août 2021 le Conseil constitutionnel donne son feu vert sur l’extension du passe sanitaire dans les restaurants, alors celui-ci sera obligatoire à compter du 9 août prochain. Les restaurants, déjà durement touchés par les fermetures successives depuis le printemps 2020, devront alors contrôler leurs clients à l’entrée de leur établissement, sans quoi, ils s’exposent à des sanctions pouvant aller jusqu’à la fermeture administrative de leur établissement.

« Nous ne sommes pas anti vaccins, nous ne sommes pas complotistes, nous sommes témoins de l’histoire, respectueux de l’État de droit dans lequel nous nous trouvons et c’est pour cela que, républicainement, respectueusement et fermement, nous ne pouvons accepter cette injonction », ont déclaré les dix restaurateurs du Cotentin dans leur tribune. Leur but est d’interpeller les services publics.

« Ce n’est pas notre métier »

« Nous ne pouvons nous substituer aux agents de la paix qui sont les seuls habilités à pouvoir contrôler les citoyens », ont encore avancé les dix restaurateurs. « On n’a déjà pas suffisamment de personnel et on demande à nos salariés d’être dédiés à une autre tâche que celle prévue dans leurs contrats. C’est très compliqué pour nous », s’irrite Christophe Iskenderian qui gère Le Baligan à Siouville-Hague, ainsi que le rapporte France 3 Normandie. Le restaurateur a d’ores et déjà sollicité l’aide des députés et sénateurs de sa circonscription.



« Notre métier c’est de rassembler et d’accompagner les gens dans un bon moment », confie encore à France 3 le restaurateur de Siouville-Hague, qui refuse de choisir ses clients et estime en outre que ces contrôles sont aux antipodes des valeurs de sa profession. « Ce qui me gêne c’est de contrôler des citoyens. Ce n’est pas notre métier de contrôler et de diviser la société en deux. Tant sur le fond que sur la forme, nous sommes réticents à cette mesure, elle est choquante parce qu’elle n’a pas été concertée », renchérit-il.

Difficile en plein service !

Ainsi que le relatait La Voix du Nord le 20 juillet dernier, Franck Trouet, porte-parole du syndicat des indépendants de l’hôtellerie-restauration, le GNI, avait indiqué : « Nous sommes prêts à mettre à disposition de nos clients les moyens matériels de scanner le QR Code attestant qu’ils sont en possession d’un passe sanitaire en règle mais en plein service, quand il y a plein d’allées et venues, nous ne sommes en pas en mesure de faire des contrôles ». Selon lui, cette tâche « appartient à la police », car légalement, « nous n’avons pas le droit de demander une pièce d’identité à nos clients », avait-il rappelé. « C’est le principe même de la responsabilité que nous contestons », avait-il encore soulevé.

« Avec cette mesure, notre métier est en tension. Un salarié qui va être à l’entrée pour contrôler les passes sanitaires va être soustrait de ces tâches principales qui est l’accompagnement des convives pendant le temps qu’ils passent dans nos restaurants », détaille le patron du restaurant Le Baligan. « Il y a aussi cette idée de diviser les gens et de générer des tensions à l’entrée de notre établissement. De mettre nos salariés dans des situations qu’ils ne pourront pas gérer », conclut-il pour France 3.




Pauvres petits milliardaires ! – Un aperçu de l’arnaque Covid (par Ivo Sasek)

[Source : Kla.TV]

[Photo : classement 2018]

Par Ivo Sasek




Je parle maintenant d’un rapport de la plateforme internet inequality.org. Le 23 mars de cette année, elle a publié ce rapport qui examine la plus extraordinaire croissance de la richesse des 657 milliardaires américains les plus fortunés. Nous allons donc y jeter un coup d’œil ensemble. Et ce rapport est basé sur ce qu’on appelle des « données en temps réel », du 18 mars 2021, provenant de Forbes [Note de la rédaction : Magazine anglophone, un des magazines d’affaires les plus performants au monde].

Maintenant, écoutez ça : Au total, la richesse cumulée par les 657 multimilliardaires a augmenté de plus de 1 300 milliards de dollars (1 300 000 000 000 dollars) au cours des seuls douze derniers mois. Des trillions ! … C’est un peu plus de 600 personnes qui ont réalisé ce bénéfice. C’est une augmentation de 44,6 % depuis le début de la prétendue pandémie. Et dans ce court laps de temps, le nombre de milliardaires, ou plutôt de multimilliardaires, est passé de 614 à 657. La croissance de la richesse des 15 milliardaires les plus riches a atteint à elle seule 563 milliards de dollars (563 000 000 000). Ce qui représente plus de 40 % de la croissance de l’ensemble des 657 multimilliardaires. Cependant, dans le même temps, selon le magazine Forbes, près de 80 millions (80 000 000) de personnes ont perdu leur emploi. 18 millions de personnes étaient au chômage aux États-Unis au 27 février de cette année 2021. Vous entendez ces chiffres ?
Et maintenant, nous allons nous intéresser à différentes personnes qui font des affaires avec cette situation. Essayez de comprendre… Je veux que vous compreniez qu’elles ne sont pas devenues multimilliardaires par hasard. Nous allons élucider ça. Êtes-vous d’accord ? Nous allons clarifier cela. Je vais d’abord vous donner quelques exemples pour que vous puissiez saisir le contexte. Je peux vous dire qu’il s’agit d’un conglomérat de personnes qui profitent de cette situation très spécifique. Et ce sont les mêmes personnes qui font de la pub depuis le début pour ce qu’a apporté ce confinement, parce que ça fait directement rentrer les profits dans leurs caisses. Jetons un coup d’œil à certaines de ces personnes.

  1. Au sommet de ces grosses fortunes se trouve Elon Musk. Il est le cofondateur de PayPal, la plateforme de paiement sans argent liquide et le cofondateur de l’entreprise spatiale SpaceX et du constructeur de voitures électriques Tesla.

Et maintenant, quand je dis ce que chacune de ces personnes fait, ce qui remplit les poches de ces milliardaires au fil des mois, pensez au programme politique qui est actuellement poursuivi contre l’essence et le diesel, etc. Vous comprenez ? Ils font leur commerce dans le secteur de l’électricité. Et quand vous regardez de plus près, vous réalisez que ce sont eux qui tirent les ficelles et qui influencent constamment nos politiciens parce que par derrière… ils ont déjà préparé toutes ces choses. Et c’est vrai dans tous les domaines dont je parle maintenant.

Sa valeur nette estimée a déjà augmenté de mars 2020 à octobre 2020 de… – maintenant écoutez ce chiffre, c’est difficile à croire – elle est passée de 24 600 millions de dollars (24 600 000 000) à 92 800 millions de dollars (92 800 000 000). Peux-tu imaginer une telle somme ? 92 800 millions de dollars ! Donc, ce revenu… c’est déjà une augmentation de 68 200 millions de dollars au début de la pandémie – une croissance de 277 %. Cet homme… il tire les ficelles derrière la politique. Vous comprenez ? Et au cours des douze derniers mois de l’épidémie, Elon Musk a encore augmenté sa fortune de 137,5 milliards de dollars ! Vous comprenez ? Imaginez ce chiffre : C’est 137 500 millions de dollars ! Oui, ce sont eux qui font du profit. Il faut que ça se sache. Il faut de la transparence. Ainsi, le propriétaire de Tesla possède maintenant 162,1 milliards de dollars, soit 162 100 millions de dollars, et plus encore. Et pendant que je parle, il a encore gagné quelques millions de plus ! C’est comme ça qu’il faut voir les choses. Pourquoi ? Parce que le programme est fait à l’échelle mondiale pour lui remplir les poches ! Donc, en mars 2021, il possédait 162 100 millions de dollars.

  1. Nous en arrivons à Bill Gates, fondateur de Microsoft, pape du vaccin de l’OMS. Vous savez comment ils sont grâce à toutes ces émissions. Quand vous entendez Microsoft, pensez à toute la pression politique actuelle qui pousse en faveur du travail à domicile, aux millions d’enfants qui suivent l’école à la maison, qui sont connectés aux innombrables outils numériques qui sont en conséquence devenus indispensables(les ordinateurs, etc., les innombrables logiciels). Vous comprenez ?

Microsoft a réalisé un bénéfice de 44 280 millions de dollars en 2020 ! Donc 44,28 milliards de dollars. Et au premier trimestre 2021, à nouveau 17 000 millions de dollars ! Quel argent de poche ! En quelques mois, en un trimestre. Il s’agit d’une augmentation de 31 % par rapport au premier trimestre 2020.

L’augmentation de sa fortune durant la seule période du Covid s’élève à 20 000 millions de dollars ! Un seul homme ! Et sa valeur nette estimée a augmenté du 18 mars au 13 octobre 2020, de 98 000 millions de dollars à 118 000 millions de dollars ! Donc, une somme incroyable, une augmentation de 20 000 millions de dollars. Une croissance de 20,4 %. Vous voyez, rien d’étonnant à ce que l’économie mondiale ait été bloquée au point qu’on a été obligé de passer au travail à domicile. Et puis au sujet de la vaccination – il a déjà tout préparé dans les coulisses pour la vaccination. C’est le même homme qui pousse à étendre la vaccination parce qu’il gagne et gagne et gagne encore.
Il a des actions partout, et ses dispositifs sont configurés exactement de telle sorte qu’ils soient imposés politiquement par la suite… Ça fait donc de lui le deuxième homme le plus riche du monde. Il a une fortune de 144 000 millions de dollars. A lui seul ! Depuis mai 2021.

  1. Venons-en à Jeff Bezos. Nous examinons douze de ces hommes. Êtes-vous prêts à faire de la transparence ? C’est le fondateur de l’entreprise de cybercommerce Amazon. Et maintenant pensez à tous les magasins fermés dans le monde entier.
    Vous le savez, cet homme avait déjà le premier mois – je ne sais pas, je pense que c’était 100 000, vous vous en souvenez ? – environ 100 000 nouveaux employés. Je veux dire, nous aussi nous gérons des entreprises. Avant que tu aies embauché et formé un employé, tu as du travail, vous comprenez ? Là, vous pouvez voir qu’un énorme travail préalable a été fait. D’abord, tout a été préparé, puis la politique a tout imposé. Et je vous le dis, tous ces gens manipulent tout cela politiquement, de telle sorte que leurs poches débordent littéralement de profits. Donc sa valeur nette a augmenté de 90 100 millions de dollars ! Sa valeur nette estimée est déjà passée de 113 000 millions de dollars à 203 100 millions de dollars entre le 18 mars 2020 et le 13 octobre 2020, c’est-à-dire pendant la phase de démarrage du Covid. Vous comprenez ces chiffres ? C’est une augmentation de 90 100 millions de dollars, dans la phase de démarrage ! Donc, une croissance de 79,8 % pour lui.
  2. Nous en venons à Bom Kim. Il est également citoyen américain et c’est le fondateur du géant du commerce électronique Coupang. C’est en fait… on dit « L’Amazone de la Corée du Sud ». Et maintenant, il faut à nouveau réfléchir… faire le lien. Encore une fois, il faut penser à tous les magasins fermés. Amazon – la même chose, tous les magasins fermés, et tout à coup on se retrouve dépendant d’internet, pour faire des achats. Il a tout préparé. Une augmentation de 670 % de son capital. Donc il vient de rafler 6 700 millions de dollars.
  3. Nous arrivons à Ernest Garcia II. Il est dans la vente de voitures en ligne, le financement, etc. Ici, vous pensez de nouveau à toutes les entreprises qui ont fermé. Dans le monde entier, des entreprises automobiles ont fermé. Là, on pourrait à nouveau démontrer pendant des heures les parallèles avec les transactions qui avaient beaucoup plus de mouvement, qui étaient alors ouvertes. Son augmentation de richesse : 567 % – soit 13 600 millions de dollars. C’est ce que cet homme a raflé en un temps record pendant cette période du Covid.
  4. Anthony Wood. C’est le fondateur de Roku, la télévision en ligne, le streaming vidéo. Ah, à quoi ça nous fait penser ? A tous les cinémas fermés, vous voyez. Tous ces cinémas fermés, tous ces centres de divertissement fermés. Vous pouvez y mettre ce que vous voulez. Tout ce qui était proposé dans le domaine culturel a été écrasé, et ce qui est resté : seulement des offres de divertissement en ligne ! Croissance des actifs : 331% de 5,3 milliards de dollars !
  5. Jack Dorsey, cofondateur de Twitter et de Square. C’est une application de paiement. Et là, vous repensez à toutes ces injonctions constantes dans les magasins : « Paiement aseptique (sans germe), s’il vous plaît ! ». « Paiement… sans argent liquide, sans argent, sans argent ! » Dans tous les magasins du monde, on entend ça ! Vous voyez, c’est son travail, c’est son acquisition. Et il augmente sa richesse en conséquence de 396 %. Exprimée en dollars, ça fait 10 300 millions de dollars. Parce que tout ça … ça se passe comme il le souhaite.
  6. Nous en arrivons à Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook. Une augmentation de la richesse… Je ne fais plus le parallèle maintenant. Tout ce que je peux vous dire, c’est que pour chaque homme dont vous entendez parler ici – et ce n’est qu’un petit échantillon de ces plus de 650 multimilliardaires – la même chose se produit partout. Ce sont des hommes qui étaient prêts à faire la grosse prise. C’était déjà en place. Une augmentation de fortune de 46 500 millions de dollars. Ce sont des chiffres ! 46 milliards de dollars d’augmentation– bien entendu : Augmentation dans ce court laps de temps. Sa fortune estimée est passée de 54 700 millions de dollars à 101 200 millions de dollars, soit 101 milliards de dollars de plus entre le 18 mars 2020 et le 13 octobre 2020 – c’est également la phase de démarrage du Covid. Une augmentation modeste de 46 500 millions de dollars. Ce sont les faits dont nous disposons. Cela doit être transparent. Donc une croissance de 85,1 % –en quelques mois seulement.

Brian Armstrong, directeur de la plus grande bourse de crypto-monnaie du pays : Une croissance des actifs de 550 %. Ça veut dire qu’il vient de ramasser 5 500 millions de dollars.

  1. Bobby Murphy. Il est le cofondateur avec Evan Spiegel de Snapchat. Ce sont les programmes les plus rapides pour chatter avec des amis. Quelle vitesse faut-il encore ? Et dans cette crise où tout le monde est seul, vous pouvez deviner qui a fait la bonne affaire. Une augmentation de sa richesse de 531 %, soit 10,1 milliards de dollars, ou encore, pour le dire autrement, 10 100 millions de dollars encaissés.
  2. Evan Spiegel a également obtenu une croissance de 490 %. Donc 9 300 millions de dollars de plus en peu de temps.
  3. Nous arrivons à Dan Gilbert. Il est le propriétaire de QuickenLoans, le financement en ligne : Ecoutez bien : sa richesse a augmenté de 642 %, soit 41 700 millions de dollars – 41 700 fois 1 million de dollars ; c’est 41,7 milliards de dollars. C’est donc comme ça que ça se passe.
  4. Au tour de Jeff Green. Fondateur de Trade Desk, une société de publicité numérique. Sa richesse a augmenté de 300 %, il a donc encaissé 3 000 millions de dollars.

Et maintenant vient notre question cruciale : « Et Big Pharma dans tout ça ? ». Vous voyez, pour une fois, nous n’avons parlé que de personnes bien distinctes. Quand j’ai commencé à faire des recherches, pour voir ce qui se passe avec Big Pharma – vous savez ce qui s’est passé ? Big Pharma se plaint partout sur le net de la chute de ses ventes à cause du Covid ! Allez sur le net vous-même, regardez ça, regardez les coefficients des profits. Et vous savez comment ils font ? En vérité, ils ne cachent rien. C’est tout simplement incroyable. Mais cette baisse des profits est basée uniquement sur les vaccins contre la grippe ordinaire.

Ils ont si habilement mis en place ce système qu’ils se plaignent exagérément, tous ensemble, ils se plaignent d’être dans une phase négative tout en admettant que cela ne concerne que les vaccins conventionnels. Ce n’est pas étonnant quand il n’y a plus que le coronavirus, vous savez ? Et c’est ainsi qu’on trompe le monde entier sur les milliards de bénéfices encaissés grâce au Covid. Vous voyez, en tant qu’alliance unie, c’est là que nous devons créer la transparence, c’est notre travail, vous comprenez ? Les médias ne le font pas. Nous, nous le faisons.

Nous ne faisons que passer en revue un éventail de produits, mais vous pouvez l’élargir de plusieurs façons. Les gains sont infiniment plus importants que les pertes quand on additionne le tout. Ce n’est qu’un aperçu. Maintenant, nous voyons diverses entreprises pharmaceutiques se lamenter sur le fait que les gains ne sont pas suffisants. Elles veulent probablement obtenir un dédommagement par rapport au manque à gagner sur tous les vaccins hors Covid.

Savez-vous par exemple que Pfizer (USA) a réalisé un bénéfice de 9 620 millions de dollars ? Voilà à quoi ressemblent en réalité, les chiffres qui sont dans le rouge, et c’était en 2020, mais maintenant écoutez : le premier trimestre, c’est-à-dire les trois premiers mois de 2021, il a dégagé un bénéfice de 4 900 millions de dollars. C’est donc une augmentation de 45 % par rapport à toute l’année dernière, ce qui était déjà énorme – et nous parlons toujours de trimestres ici, pas de l’année entière.

Passons à Johnson & Johnson, ils ont fait un bénéfice de 14 710 millions de dollars en 2020. Encore une fois, à la fin du premier trimestre de 2021, donc en trois mois, ils ont fait un bénéfice de 6 900 millions de dollars. Une augmentation de 12,5 % par rapport à toute l’année précédente. Pour le seul vaccin contre le coronavirus, Johnson & Johnson a réalisé 100 millions de dollars de ventes aux États-Unis au premier trimestre.

Nous en venons maintenant à BioNtech, en Allemagne, un partenaire de Johnson & Johnson, également impliqué dans la fabrication du vaccin Covid19. Ils ont réalisé un bénéfice d’un milliard 130 millions d’euros et c’est pour cela qu’ils se plaignent ? Donc une augmentation modeste de 7,533 % par rapport au bénéfice de toute l’année précédente, vous voyez ? Par conséquent, si on compare le premier trimestre de l’année dernière et celui de 2021, BioNtech a subi une perte nette de 53 millions d’euros, c’est incroyable.

Venons-en maintenant à GlaxoSmithKline. Ils ont gagné 5 milliards 750 millions de livres sterling rien qu’en 2020, donc convertis en euros, cela équivaut à 6 milliards 670 millions d’euros, donc des chiffres incroyables. Et en termes de dollars, c’est 8 milliards 165 millions de dollars. Et ils se lamentent sur la façon dont ils… oui, ils préfèrent encore mendier pour obtenir une aide, j’ai entendu ça aussi.

C’est au tour de Roche Holding SA. Elle a réalisé un bénéfice de 15 milliards 100 millions de francs suisses en 2020. C’est la vérité toute nue et ce n’était qu’une petite parenthèse.

Comme je l’ai dit, si vous prenez les 600 et quelques multimilliardaires, vous pourriez répéter cette histoire encore et encore, et je vous promets une chose – il y a encore une recherche qui reste à faire et nous allons la faire ensemble, d’accord ? Ecoutez, de quoi il s’agit, si nous faisons des recherches et que nous regardons de près les affaires qu’ils dirigent, alors la franc-maçonnerie au grand complet sera démasquée.

Ce sont les personnes qui ont des accords secrets entre elles. Il y a les gens qui s’assoient ensemble au forum, là où nous ne sommes pas autorisés à les écouter car les accords sont secrets. Ce sont ces personnes qui envoient ensuite leurs lobbyistes, qui font pression sur tous nos politiciens, et font du chantage. Je ne sais pas ce qu’ils font, mais vous pouvez être sûrs d’une chose : Où que vous alliez pour faire vos recherches, vous constaterez alors qu’ils forment un conglomérat, tous sont interconnectés, ils sont en réseau. Je dirais que c’est le plus grand pillage de tous les temps. Quand j’étais enfant, les gens parlaient d’un vol de 25 millions dans une banque et disaient « Mon Dieu, c’était horrible ». Je vous le dis, ils le font à chaque instant. Vous savez, à chaque instant, ils pillent le monde avec des chiffres comme ça. C’est simplement incroyable. Vous pouvez donc être sûrs que tout a été préparé à l’avance pour réaliser cette grande supercherie qui se déroule dans le monde. C’est ma conviction personnelle la plus profonde. J’aimerais qu’il y ait de la transparence afin que nous puissions voir qui dirige le monde, les alliances, les réseaux et les liens d’intérêts.

Ivo Sasek

Sources / Liens :

Die reichsten Menschen der Welt – Angaben zu den Milliardären:
https://corona-transition.org/elon-musk-erhohte-sein-vermogen-in-den-vergangenen-zwolf-monaten-um-137-5#

https://www.forbes.at/artikel/die-reichsten-menschen-der-welt-2021.html

Zum «Umsatzrückgang» der Pharmariesen:

Q1
Pfizer,Umsatzrückgang im ersten Quartal 2020:
https://www.moneycab.com/international/pfizer-mit-umsatz-und-gewinnrueckgang-durch-wachsende-konkurrenz/

Q2
Johnson & Johnson rechnet wegen Corona für 2020 mit Gewinnrückgang:
https://www.lebensmittelzeitung.net/industrie/Pharmakonzern-Johnson–Johnson-senkt-Ausblick-145805?crefresh=1

Q3
Biontech, Geschäftszahlen zum 3. Quartal 2020 sind nicht so toll…:
https://www.dw.com/de/biontech-macht-keine-gewinne-noch-nicht/a-55554293

Q4
Glaxosmithkline hat im 3. Quartal 2020 weniger verdient als im Vorjahr:
https://www.finanznachrichten.de/nachrichten-2020-10/51080737-glaxosmithkline-nach-gewinnrueckgang-noch-pessimistischer-fuer-2020-015.htm

Q5
Roche-Zahlen 2020 von Coronakrise gezeichnet:
https://www.nau.ch/news/wirtschaft/roche-zahlen-2020-von-coronakrise-gezeichnet-65865021

Sonstige Unternehmen
Q6
Novartishat 2020 weniger Gewinn als 2019:.
https://www.zentralplus.ch/novartis-mit-gewinnrueckgang-1925851/

Q7
Biogen rechnet mit einem deutlich stärkeren Umsatz- und Gewinnrückgang:
https://www.deraktionaer.de/artikel/pharma-biotech/biogen-bittere-pille-fuer-die-anleger-20225029.html

Q8
Merck & Co sieht 2020 wegen Covid-19 Umsatz- und Gewinnrückgang:
https://www.finanznachrichten.de/nachrichten-2020-04/49498349-merck-co-sieht-2020-wegen-covid-19-umsatz-und-gewinnrueckgang-015.htm




Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Comment la science devient une religion

[Source : Aube Digitale]

Par Sheldon Richman

Le slogan populaire d’aujourd’hui est « Croyez en la science ». Il est souvent utilisé comme une arme contre les personnes qui rejettent non pas la science en principe mais plutôt l’une ou l’autre proposition scientifique de premier plan, qu’il s’agisse du vaccin contre le COVID-19, du changement climatique, de la nutrition (alimentation pauvre en graisses ou pauvre en glucides), pour n’en citer que quelques-unes. Mon objectif n’est pas de défendre ou de nier une position scientifique particulière, mais de remettre en question le modèle de la science sur lequel semblent se baser les plus fervents partisans de la science. Leur modèle fait que la science semble presque identique à ce qu’ils entendent par, et attaquent comme, la religion. Si c’est le cas, nous ne devrions pas les écouter lorsqu’ils nous font la leçon sur la nécessité de tenir compte de la science.

Le problème le plus évident avec le rappel à l’ordre de « croire en la science » est qu’il n’est d’aucune aide lorsque des scientifiques de renom – c’est-à-dire des experts de bonne foi – se trouvent des deux côtés (ou de tous les côtés) d’une question empirique donnée. Les parties dominantes de l’intelligentsia préféreraient peut-être que nous ne le sachions pas, mais il existe des experts dissidents sur de nombreuses questions scientifiques que certains déclarent allègrement « réglées » par un « consensus », c’est-à-dire au-delà de tout débat. C’est le cas de la nature précise et des conséquences probables du changement climatique et de certains aspects du coronavirus et de son vaccin. Sans preuve réelle, les francs-tireurs accrédités sont souvent accusés d’avoir été corrompus par l’industrie, avec la foi tacite que les scientifiques qui expriment la position établie sont purs et incorruptibles. C’est comme si la quête de fonds publics ne pouvait pas en soi biaiser la recherche scientifique. En outre, personne, pas même les scientifiques, n’est à l’abri de la pensée de groupe et du biais de confirmation.

Ainsi, le chœur des « adeptes de la science » n’accorde aucune attention aux francs-tireurs accrédités, sauf si c’est pour les diffamer. Apparemment, selon le modèle de science des croyants, la vérité descend d’un Mont Sinaï séculaire (Mont Science ?) grâce à un ensemble de scientifiques oints, et ces déclarations ne doivent pas être remises en question. Les dissidents peuvent être ignorés car ils ne font pas partie des élus. Comment les élus ont-ils atteint leur position élevée ? Souvent, mais pas toujours, c’est par le biais du processus politique : par exemple, la nomination dans une agence gouvernementale ou l’octroi de subventions prestigieuses. Il se peut qu’un scientifique ait simplement gagné l’adoration de l’intelligentsia progressiste parce que ses vues s’alignent facilement sur un programme politique particulier.

Mais ce n’est pas de la science ; c’est de la religion, ou du moins c’est le stéréotype de religion auquel les « adeptes de la science » s’opposent au nom de la lumière. Il en résulte des dogmes et, en fait, des accusations d’hérésie.

Dans la vraie science, il n’y a pas d’élus ni de monts de la science. La vraie science est un processus brutal d’hypothèses, de tests publics, de tentatives de réplication, de formation de théories, de dissension et de contestation, de réfutation (peut-être), de révision (peut-être) et de confirmation (peut-être). C’est un processus sans fin, comme il doit l’être. Qui sait ce qui nous attend au prochain tournant ? Aucune question empirique ne peut être déclarée réglée par consensus une fois pour toutes, même si, avec le temps, une théorie a résisté à suffisamment de défis compétents pour justifier un haut degré de confiance. (Dans un monde où les ressources sont rares, y compris le temps, toutes les questions ne peuvent être approfondies, il faut donc faire des choix). Le pouvoir institutionnel de déclarer que les questions sont réglées par consensus ouvre la porte à toutes sortes de méfaits qui violent l’esprit de la science et peuvent nuire au public, financièrement et autrement.

Ce qui est étrange, c’est que les « défenseurs de la science » montrent parfois qu’ils comprennent correctement la science. Certains athées célèbres, par exemple, utilisent un modèle correct de la science lorsqu’ils insistent auprès des religieux sur le fait que nous ne pourrons jamais atteindre la « vérité absolue », ce qui signifie que l’infaillibilité est hors de portée. Mais ils oublient vite ce principe lorsqu’il s’agit de leurs propositions scientifiques favorites. Ils ressemblent alors soudainement aux personnes qu’ils attaquaient l’heure précédente.

Un autre problème avec les « défenseurs de la science » dogmatiques est qu’ils supposent qu’une politique gouvernementale appropriée, qui est une question normative, découle directement de « la science », qui est une question positive. Si l’on connaît la science, alors on sait ce que chacun doit faire – c’est du moins ce que pensent les dogmatiques scientifiques. C’est comme si les scientifiques étaient exceptionnellement qualifiés, en vertu de leur expertise, pour prescrire la meilleure réponse en matière de politique publique.

Mais c’est tout à fait faux. La politique publique est une affaire de jugement moral, de compromis et de recours justifié à la coercition. Les spécialistes des sciences naturelles ne sont ni les seuls à connaître ces questions ni les seuls à pouvoir prendre les bonnes décisions pour tout le monde. Lorsque les scientifiques médicaux ont conseillé de verrouiller l’activité économique en raison de la pandémie, ils ne s’exprimaient pas en tant que scientifiques mais en tant que moralistes (sous des habits de scientifiques). Quelles sont leurs qualifications particulières pour ce rôle ? Comment ces scientifiques auraient-ils pu prendre en compte toutes les conséquences graves d’un verrouillage – psychologiques, domestiques, sociales, économiques, etc. – pour les divers êtres humains qui seraient soumis à cette politique ? Qu’est-ce qui qualifie les spécialistes des sciences naturelles pour décider que les personnes qui ont besoin d’un dépistage du cancer ou d’une maladie cardiaque doivent attendre indéfiniment alors que les personnes atteintes d’une maladie officiellement désignée n’ont pas à attendre ? (Les politiciens émettent les interdictions formelles, mais leurs conseillers scientifiques fournissent une crédibilité apparente).

Voici la distinction pertinente : si nous devons favoriser la science, nous devons rejeter le scientisme, cette croyance erronée selon laquelle les seules questions qui méritent d’être posées sont celles qui se prêtent aux méthodes des sciences naturelles et que, par conséquent, toutes les questions doivent être soit reformulées de manière appropriée, soit rejetées comme du charabia. F. A. Hayek, dans « La contre-révolution de la science », définit le scientisme comme « l’imitation servile de la méthode et du langage de la science ».

J’aime la façon dont le philosophe Gilbert Ryle l’a exprimé dans « The Concept of Mind » :

« Les physiciens auront peut-être un jour trouvé les réponses à toutes les questions physiques, mais toutes les questions ne sont pas des questions physiques. Les lois qu’ils ont trouvées et qu’ils trouveront peuvent, dans un sens du verbe métaphorique, régir tout ce qui se passe, mais elles n’ordonnent pas tout ce qui se passe. En fait, elles n’ordonnent rien de ce qui se passe. Les lois de la nature ne sont pas des fatalités ».

« Comment devrions-nous vivre ? » ne fait pas partie des questions auxquelles les spécialistes des sciences naturelles sont spécialement qualifiés pour répondre, mais elle mérite certainement d’être posée. De même, « Quels sont les risques que vous ou moi devrions prendre ou éviter ? ». Il y a un monde de différence entre l’affirmation d’un expert médical : « Le vaccin X est généralement sûr et efficace » et « La vaccination devrait être obligatoire ». (L’un des grands critiques du scientisme était Thomas Szasz, M.D., qui a consacré sa vie à lutter contre la croisade de la profession médicale, et en particulier de la psychiatrie, visant à refondre les questions morales en questions médicales et à contrôler ainsi les gens au nom de la science désintéressée).

La plupart des gens ne sont pas qualifiés pour juger la plupart des conclusions scientifiques, mais ils sont qualifiés pour vivre leur vie raisonnablement. Je suis hautement convaincu que la terre est une sphère et qu’une molécule d’eau est composée de deux parties d’hydrogène et d’une partie d’oxygène. Mais je ne sais pas comment confirmer ces propositions. Nous devons donc tous nous fier aux autorités scientifiques et médicales, non pas au sens du pouvoir, mais au sens de l’expertise et de la réputation. (Même les autorités d’un domaine se fient aux autorités d’autres domaines).

Mais nous devons aussi nous rappeler que les affirmations empiriques de ces autorités sont défendables, c’est-à-dire qu’elles sont en principe ouvertes à la contestation [aux contre-arguments] et peut-être à la réfutation, c’est-à-dire au processus scientifique. Hormis les axiomes indispensables et auto-validés de la logique, toutes les affirmations sont ouvertes dans ce sens. C’est ce processus qui nous permet de découvrir la vérité. Comme l’a fait remarquer John Stuart Mill dans son ouvrage intitulé « On Liberty », même un dissident qui a une opinion manifestement erronée sur une question peut savoir quelque chose d’important sur cette même question qui a été négligé. C’est à nos risques et périls que nous faisons taire les gens ou que nous les traitons d’hérétiques. C’est du dogme, pas de la science.


source : https://libertarianinstitute.org

traduit par Aube Digitale




Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels

[Sources : NS2017, ripostelaique.com et profession-gendarme.com)]

Par Colonel Jacques Amiot

C’est la déclaration de guerre de Macron du 12 juillet qui a provoqué ma vive réaction.

Elle correspond en effet à une quasi-obligation vaccinale, ce qui n’était pas du tout annoncé par le pouvoir qui a menti une fois de plus.

Je refuse absolument l’injection, pour moi et mes proches, d’un produit en cours d’expérimentation pour lequel personne ne peut assurer qu’il ne comporte pas de graves dangers à moyen et long terme ; d’autant, qu’à court terme, il y a des décès et des effets indésirables lourds, certainement sous-évalués.

À l’évidence, on se rend compte que la volonté d’imposer la vaccination était en fait prévue depuis début 2020, et que c’est la raison qui a poussé le pouvoir à refuser aux médecins généralistes les possibilités de soins précoces. S’il avait admis qu’il y avait des possibilités de soins, il n’aurait pas pu imposer le vaccin ; ce qu’il tente sournoisement de faire actuellement.

Ce refus de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients a provoqué de nombreux décès, abouti à l’engorgement des hôpitaux, provoqué l’effondrement de l’économie et ses séquelles. Je confirme donc que c’est une décision criminelle.  

Besançon le 28 juillet 2021

Monsieur le Président de la République,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre de la santé,

Quoi qu’il puisse m’en coûter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas).

Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux. Depuis cette époque vous avez des dizaines de milliers de morts sur la conscience car beaucoup de nos concitoyens auraient pu être traités et sauvés.

Je vous défie de me prouver le contraire, car, partout dans le monde, des médicaments ont prouvé leur efficacité. Début 2020 on a aussi découvert que la Chloroquine, largement utilisée depuis plus de 70 ans notamment en Afrique, était mystérieusement devenue un produit dangereux.
Le seul but de cette décision totalement illogique et condamnable a été de pouvoir imposer un « vaccin » en tentant de justifier qu’il n’y avait pas d’autres solutions.
La vérité finira par éclater ; vous ne pourrez pas encore la cacher bien longtemps.

Depuis plus d’un an le général Delawarde fait des recherches minutieuses et publie des analyses approfondies par lesquelles il a démontré que les pays qui pratiquent les traitements précoces ont proportionnellement beaucoup moins de décès que la France ; bien tardivement l’Institut Pasteur vient d’ailleurs de confirmer l’intérêt de l’Ivermectine. Le général a également démontré que la « pandémie » était très largement surfaite et qu’elle pouvait être gérée de manière beaucoup moins destructrice. D’autres maladies sont beaucoup plus meurtrières mais on en parle très peu.

Vous êtes des criminels, car, toujours en raison de ce refus de soins, les hôpitaux ont été engorgés, des opérations et des soins urgents ont été repoussés avec pour conséquences de nombreux décès ; sans parler de « l’assassinat » de personnes âgées par le Rivotril par manque de moyens en raison de votre incurie.

Vous êtes des criminels, car, toujours pour cette raison, vous avez provoqué l’effondrement de l’économie avec pour conséquence un chômage de masse, des suicides…
Messieurs de l’exécutif je ne suis pas anti vaccin ; depuis des années, avec mon épouse, nous nous faisons vacciner contre la grippe et je ne critique pas ceux qui se font « vacciner », car c’est leur choix qui, souvent, a été largement provoqué par la propagande de médias aux ordres.
Il ne faut pas s’étonner de cette attitude de nombreux médias car beaucoup sont la propriété de ceux qui vous ont propulsé au pouvoir par effraction, avec l’aide efficace de la justice, qui a bien opportunément disqualifié monsieur Fillon.

Il est par contre monstrueux de vouloir injecter de force aux Français des produits, toujours en cours d’expérimentation et dont on ne connait absolument pas les effets notamment à moyen-long terme. Les Français, à vos yeux, ne sont rien d’autres que des cobayes soumis au bon vouloir de puissants laboratoires pharmaceutiques.
Manifestement vous accomplissez scrupuleusement la feuille de route prévue depuis longtemps par les mondialistes dont le seul souci est d’imposer un « vaccin » afin d’engranger des milliards de dollars.

Pour imposer cette feuille de route vous avez constamment menti aux français et gouverné par la peur, des cas, des hospitalisions, des décès largement surévalués.
Les mesures que vous avez décidées le 12 juillet sont le fruit de l’imagination de psychopathes tyranniques. Nous faisons partie des cinq pays du monde à être rentré dans une tyrannie plus que draconienne. Qu’est devenue la patrie des droits de l’homme ?
Par plusieurs lectures j’ai compris que pour imposer une gouvernance mondiale les mondialistes devaient préalablement éliminer les nations souveraines ; j’avais encore un léger doute, mais je n’en ai plus.

Messieurs Klaus Schwab, Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Anthony Faucy, et beaucoup d’autres ne s’en cachent pas ; pour s’en convaincre il suffit de retrouver les déclarations et écrits de ces oligarques qui se prennent déjà pour les maitres du monde.
Avec eux vous participez donc activement à la destruction de la France, et actuellement vous nous préparez le coup du variant Delta, certainement pas plus létal que les précédents, de manière à soumettre encore un peu plus le peuple.

Le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État démontrent que l’on ne peut rien attendre d’eux ; ils sont complices.
Nous avons bien compris que vous voulez culpabiliser les non « vaccinés » et, surtout, que votre principal but est de dresser les Français les uns contre les autres. J’espère qu’ils auront l’intelligence de ne pas tomber dans ce piège maléfique ; sans quoi tout peut arriver.
Pour moi il ne s’agit pas uniquement de liberté de choix, mais, surtout, de préserver mon intégrité physique et celle de mes proches. Affirmer que les « vaccins » ne présentent pas de risques graves relève de la « voyance » et non de la science.

À vos places je ne serais pas tranquille, car l’histoire a montré que les tyrans et leurs collaborateurs finissent en général très mal. Je comprends que des Français, peut-être naïfs et crédules pour certains, veuillent devenir députés (c’est une bonne place) ; je comprends que des journalistes veuillent préserver leur emploi, mais beaucoup devraient se méfier de ne pas trop collaborer avec un pouvoir devenu tyrannique, car ils risquent d’en payer le prix fort. On surveille, on note.
Je ne vous salue pas, car un militaire ne salue pas des criminels.

Colonel Jacques Amiot

Colonel Amiot
Lieutenant-colonel de l’Armée de l’Air



Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité

Par Gérard Delépine

Comment reproduire les pires moments de l’Histoire

On nous reproche parfois de faire le parallèle entre ce qui s’est passé durant la dernière guerre et ce qui se passe aujourd’hui en France et en particulier entre le passe sanitaire et l’étoile jaune, car cela « banaliserait » les crimes qui ont été commis contre nos frères juifs.

Eux n’ont pas oublié.

La photo que vous voyez ci-dessus n’a pas été prise par des comédiens à Paris, mais en Israël, lors d’une manifestation contre le passe sanitaire et ce sont des Israéliens qui dénoncent ces similitudes entre l’étoile jaune et le passe.

Il ne s’agit pas de banaliser les horreurs inhumaines qui ont été commises contre eux, mais de rappeler que « le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » et la grande leçon qu’Anna Arendt a tirée de la Shoah, la banalité du mal et des bourreaux nazis « le plus terrible c’est qu’il s’agissait d’hommes très ordinaires » qui prétendaient agir « pour le bien de la nation allemande ». Comme nos dirigeants et la majorité godillot qui a voté cette loi de discrimination incroyable « pour la santé des Français ».

Une loi qui instaure une discrimination totalement contraire à nos valeurs

Le passe sanitaire instaure une discrimination majeure entre les Français, sans précédent dans l’histoire de la république autre que celle instaurée en 1940 par le gouvernement de Vichy.

Hier, c’était sur la race, aujourd’hui sur les opinions. Si on doute de la parole du président (qui a tellement menti)(([1] Après avoir ment sur les stocks, sur les masques, sur la pénurie de moyens pour les soignants, il s’est parjuré sur la vaccination et le pass sanitaire En décembre 2020, il affirmait : « La vaccination ne sera pas obligatoire », avant de la rendre, de fait, obligatoire. En avril 2021 : « Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français » avant d’en faire un droit d’accès qui différencie les Français.)) et de l’efficacité et de l’innocuité des pseudos vaccins expérimentaux actuels, on est traité d’irresponsable, d’égoïste, de complotiste, d’ennemi de la nation, et transformé en citoyen de seconde zone dont il faut « pourrir la vie », comme celle des juifs lors de la période la plus sombre de notre histoire.

La loi du 3 octobre 1940 portant statut des Juifs, suivie par près d’un millier de textes, décrets et règlements antisémites adoptés et appliqués sans états d’âme par des fonctionnaires zélés ont déchu les porteurs de l’étoile jaune de tous leurs droits fondamentaux en leur interdisant entre autres de travailler.

En 1941, les médecins porteurs de l’étoile jaune furent interdits d’exercice dans le silence général complice. L’ordre des médecins y veillait. En octobre 2021, ceux qui n’ont pas de passe ne pourraient plus travailler comme médecin. L’Ordre y veillera.

Dès 1941, la loi interdisait aux porteurs de l’étoile jaune de travailler comme fonctionnaires. Aujourd’hui, la loi scélérate cible les soignants, les pompiers et les serveurs de cafés restaurants, mais la majorité présidentielle rêve d’étendre cette interdiction de travailler des « sans passe » à l’ensemble des professions et en particulier aux enseignants.

La loi scélérate interdit aux « sans passe » de côtoyer les vaccinés dans les cafés et restaurants, cinéma, lieux de culture et les autres lieux publics comme les nazis interdisaient aux porteurs de l’étoile jaune de fréquenter les « bons aryens ».

Cette loi scélérate va plus loin que les lois de Vichy en interdisant aux « sans passe » de consulter ou d’entrer à l’hôpital contraignant les médecins de choisir entre soigner ou obéir(([2] Titre d’un de nos livres prémonitoires publié avant les dernières élections présidentielles)) en violant leur serment d’Hippocrate.

Cette loi organise la rupture du secret médical, fondement de la médecine depuis ses origines, puisqu’elle organise la divulgation des données médicales personnelles détenues par l’assurance maladie à toutes sortes de tiers.

Alors que Tik Tok est condamné aux Pays-Bas pour ne pas avoir clairement prévenu ses utilisateurs de la divulgation possible de leurs données personnelles, l’état organise la transmission de nos données médicales les plus sensibles à de nombreux tiers sans que l’organisme chargé de la protection de notre vie privée [La CNIL] proteste.

Le QR code constitue l’équivalent des matricules si chers aux nazis, qu’ils tatouaient sur les déportés pour les déchoir de leur humanité et qu’ils ne soient plus considérés que comme des numéros.

La loi instaure la déchéance des droits civiques des « sans passe » en leur interdisant l’entrée des bureaux de vote. Une telle manœuvre visant les élus communistes a été utilisée par Hitler après l’incendie du Reichstag pour obtenir la majorité qui lui était nécessaire pour parvenir au pouvoir.

Exclure une partie de la population désignée comme responsable des malheurs de l’Allemagne (communistes, juifs, tziganes, homosexuels) de la société a été la première mesure des nazis avant de les mettre dans les camps pour les assassiner. Aujourd’hui, en France, une majorité parlementaire qui n’a recueilli qu’une infime proportion des voix des inscrits au dernier scrutin électoral désigne les réticents à la vaccination comme responsables de la poursuite de l’épidémie et les exclut du reste de la population sans justification sanitaire réelle. Toute discrimination est dangereuse et constitue le premier pas du retour vers la barbarie.

Une discrimination fondamentalement illogique.

Si les vaccinés croient que les vaccins sont efficaces, ils doivent se sentir protégés et n’ont aucune raison de craindre les non-vaccinés. Et s’ils ne croient pas que les vaccins les protègent, pourquoi seraient-ils davantage protégés par la vaccination des autres ?

Une discrimination inefficace dans la vie réelle

Croire que cette discrimination peut permettre de limiter les contaminations est un mythe démenti par les faits avérés dans le monde réel.

En Autriche, un passe a été instauré le 1er juillet alors que l’épidémie régressait naturellement. Depuis l’instauration du passe, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes a explosé.

Aux Pays-Bas

Les suites du festival Verknipt à Utrecht confirment l’inefficacité du passe. Les organisateurs croyaient protéger les participants en leur imposant un passe sanitaire via l’application CoronaCheck, prouvant qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une grande majorité de vaccinés !). Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer des mesures inefficaces et discriminatoires totalement contraires à nos valeurs ?

Le pass est inefficace, car les vaccins ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts

Si le pass ne sert à rien sur le plan sanitaire, c’est que les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces, et qu’ils ne protègent ni les vaccinés ni ceux qui les côtoient.

À Chavagnes-en-Paillers, en Vendée, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des vaccins expérimentaux ARNm à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires

À bord du HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, une épidémie de Covid a éclaté après une escale à Chypre avec plus de 100 cas, alors que tous les 1300 marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent près de 50 % des nouveaux cas et sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés au point que les responsables de la santé qui prétendaient que le vaccin Pfizer était très efficace envisagent maintenant de reconfiner la population et de recommander une troisième injection.

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non -vaccinées ».

Alors pourquoi veulent-ils nous imposer une mesure inefficace en violant nos libertés fondamentales alors que la prétendue épidémie actuelle au variant delta n’est qu’une augmentation de tests positifs, des cas sans augmentation des nombres de malades, ni d’hospitalisations, ni de séjours en réanimations, ni de morts ?

La liberté est notre bien le plus précieux ; elle n’est pas négociable.(([3] Laurent Montesino « Si nous acceptons, ce chantage, nous accepterons tout » — Entretien essentiel
France Soir le 28/07/2021
https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/si-nous-acceptons-ce-chantage-nous-accepterons-tout-laurent-montesino))(([4] Tranchant Alain – la-liberte-ne-se-négocie-pas
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-liberte-ne-se-negocie-pas France Soir 29/7/21))





Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

[Source : courriel]

EXPLICATIONS PRÉALABLES :

À la suite de la réception par des parents d’élèves ou d’étudiants de lettres envoyées par les autorités scolaires ou universitaires évoquant une prétendue obligation « vaccinale » ou plus exactement une prétendue obligation d’injection de « substances géniques en essais cliniques », une équipe d’Avocats et de Juristes vous propose ce modèle de courrier de réponse à ces « menaces » non fondées juridiquement.

Important : N’anticipez pas, attendez d’être « menacés » à ce sujet par l’établissement scolaire ou universitaire avant d’envoyer ce courrier.

Cette lettre est à adresser à tout directeur d’établissement scolaire ou Président d’Université ou Recteur d’Académie qui imposerait aux étudiants/lycéens/collégiens/écoliers la vaccination Covid19 pour la rentrée scolaire 2021/2022).

Il ne vous reste plus qu’à adapter le courrier en utilisant les mentions adaptées parmi celles proposées et séparées d’un « / ».

Le modèle est établi sur base du droit français. Toutefois, les parents dans les pays limitrophes et francophones (Belgique, Luxembourg, Suisse) peuvent s’en inspirer et conserver en tout ou en partie les références aux dispositions du droit de l’Union européenne (Belgique, Luxembourg) et du droit supranational (Conseil de l’Europe et conventions internationales).


Vous pouvez bien entendu soumettre ce document à votre avocat ou à des associations constituées, pour l’adapter à votre droit interne.

Si une réunion est organisée dans l’établissement scolaire, n’hésitez pas à demander à un représentant du corps médical (notamment les médecins des associations « Reinfo Covid », « Laissons les médecins prescrire », etc.) de vous accompagner pour donner une caution scientifique.

La fin du document contient (en police de caractères rouge pour l’instant) un paragraphe spécifique pour les situations où l’élève suit une filière professionnelle orientée vers l’aide à la personne. Supprimez bien sûr ce paragraphe s’il ne correspond pas à votre situation spécifique.

Enfin, si vous êtes majeur et que vous écrivez ce courrier pour vous-même (étudiants de 18 ans et +), il vous suffira de modifier la formulation en conséquence.

Dans la mesure du possible, il est conseillé que les DEUX titulaires de l’autorité parentale signent ce document lorsque l’élève est mineur.

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ……………………………………

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

(Signatures)




Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris

par Florence Wurtz

Dans l’urgence des événements, nous avons édité cette lettre d’informations
très courte, mais dans laquelle nous donnons des actions juridiques, par notre
avocate Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris.

Nous ne pouvons répondre individuellement à la masse de demandes que nous
recevons, nous en sommes désolés, mais nous œuvrons jour après jour pour
défendre nos libertés.

Bien solidairement

Florence Wurtz
service Média LNPLV




« Corruption silencieuse » à l’ONU : le nouveau rapport de l’ECLJ

[Source : European Center for Law and Justice | ECLJ]

L’ECLJ a publié un nouveau rapport prouvant des atteintes à l’indépendance de nombreux experts de cette institution internationale.

La principale conclusion de ce rapport est que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées (comme la Fondation Ford et l’Open Society Foundations). Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU, et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.




Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »
Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus
Complot, conspiration, plan : dix faits troublants
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
La guerre du Bien contre le Mal
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




Plus de 1500 à Lyon : un bon début pour cette belle au bois dormant

Par Lucien-Samir Oulahbib

Rassemblement statique place Carnot près de la gare Perrache, puis cortège spontané dense et très hétérogène avec deux mots d’ordre « liberté » et « Macron ton passe on n’en veut pas ».

mais des hésitations le long de la Saône devant des cordons de police avant de longer place Bellecour. » la police avec nous », scandent quelques manifestants. Une bobo au balcon met son pouce en bas. Des gens dans la foule lui font un doigt. Tout est dit de cette « France (?) d’en haut », arrogante et suffisante, mais personne ne l’insulte. Foule bon enfant, sur un nuage, pour aller vers le Rhône et prendre le pont de la Guillotière, avant d’hésiter encore, d’aucun voulant taquiner les cordons qui à gauche empêchent d’aller vers la place Bellecour. Reste plus que prendre le pont pour aller vers la Préfecture ?

J’esquisse cette idée, mais rien. Non, cela se scinde. Dommage. Puis cela reprend et tourne à droite, en partie le long des Universités, de la piscine du Rhône. J’en profite pour demander que l’on me rembourse ma carte. Le vigile rigole et me sort qu’il connaît des gens morts du virus, je lui réponds que la grippe tue aussi et beaucoup selon les années, bien plus de jeunes aussi. Or ici, à ce que je vois dans les bassins extérieurs, ce sont plutôt ces tranches d’âge et moins les personnes très âgées qui viennent, mais rien n’y fait bien sûr. Je ne serais pas remboursé, vient-il tout de même me répondre après avoir été demandé [à son patron]. Je lui parle des traitements dont on n’a pas besoin, du passe qui trépassera…

Retour à la manif. Toujours ce flottement d’un mouvement sans direction déjà perçu dans les premières manifs de GJ, mais quelque chose de puissant en attente, une soif de justice, une fibre a été touchée, des gens de tous les horizons, une atmosphère des Trois Glorieuses peut-être. Ils étaient en tout cas bien plus nombreux que les samedis précédents aux dires de certains. N’oublions que Lyon est une ville cossue qui se vide durant les W.E en été, et nous sommes en pleines vacances.




Dans le viseur de l’État

[Source : revue-ballast.fr via legrandsoir.info]

Discussion entre Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber

Nous retrouvons Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber dans un café. La première est historienne et politologue, spécialiste de la justice pénale et de la répression ; la seconde autrice, metteuse en scène et réalisatrice. Toutes deux observent les mécanismes de répression, de surveillance et de délation à l’œuvre au plus haut niveau des États : qui nous surveille ? selon quels procédés ? avec quels objectifs ? Le dernier film d’Eléonore Weber, Il n’y aura plus de nuit, est un montage de vidéos de frappes américaine et française sur des zones de guerre impérialiste (Afghanistan, Irak, Pakistan), enregistrées par les caméras infrarouges d’hélicoptères. Le spectateur voit ainsi ce que voit le soldat, avant de mettre à mort un ensemble de pixels. Le dernier ouvrage de Vanessa Codaccioni, La Société de vigilance, est sous-titré  » Auto-surveillance, délation et haines sécuritaires  » : il éclaire l’avènement de nos sociétés de contrôle permanent. Traçage, fichage, vidéosurveillance, signalements à grande échelle : la résistance est faible. Nous tenions à les faire se rencontrer.


Les images du film Il n’y aura plus de nuit proviennent d’Internet et sont en libre accès. Que nous disent-elles de l’appareil d’État ?

Vanessa Codaccioni : L’État veut voir des corps menaçants, des corps dangereux, et il veut aussi montrer qu’il les voit, qu’il les surveille et qu’il peut les éliminer. Autrement dit, à travers ces images, on voit la puissance de l’État et sa capacité à surveiller, à sécuriser et à tuer. Les agents de l’État construisent des menaces rien qu’en regardant, en contrôlant, en perquisitionnant, en arrêtant dans la rue. C’est une manière d’attirer l’œil et le regard citoyen sur des corps devenus dès lors dangereux. Dans le film, on ne les voit même pas, ces corps : on les devine talibans, on les devine dangereux, on les devine terroristes : mais en réalité on n’en sait rien. Que les pilotes regardent ces corps suffit à en faire des corps dangereux — et donc tuables. On sait aussi très bien que l’État choisit de visibiliser certaines actions de répression plutôt que d’autres. Pourquoi certaines sont-elles accessibles ? Pourquoi d’autres ne le sont pas ? Sans doute parce qu’il s’agit de faire croire que l’État est transparent alors que nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font, notamment en matière de lutte antiterroriste. Il est intéressant de rappeler que le 30 juin 2021, une loi a été votée au Sénat : les archives — notamment celles des services de renseignement — ne seront plus accessibles. Ce qui montre que nous sommes dans un contexte où, précisément, on peut de moins en moins voir ce que font les agents de l’État en matière de punition et de répression — que ce soit l’armée, la police ou les services de renseignement. Les images, comme celles d’Il n’y aura plus de nuit, nous semblent donc extraordinaires, interdites, secrètes — alors qu’il devrait être normal d’y avoir accès.

« Nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Ces images ont été publiées par des soldats et non par les armées. Ils ont l’obligation d’enregistrer sur une clé USB chacune de leurs missions : il leur est très facile de les publier ensuite. Ils le font en toute illégalité. Je ne suis pas allée fouiller dans des archives inaccessibles pour trouver ces images. C’est un spectacle qui existait déjà sur Internet : je n’ai fait que le déplacer, le montrer autrement. L’hypothèse du pilote avec lequel j’ai discuté1, c’est qu’après l’affaire Wikileaks révélant la fameuse bavure en Irak2, l’armée américaine s’est dit qu’il fallait quand même montrer qu’elle tuait de « vrais » terroristes, et pas seulement des civils. L’armée aurait montré une certaine tolérance concernant la publication de ces images classées secret-défense : en quelque sorte, ça l’arrangeait. C’est une forme de propagande indirecte. Je suis d’accord sur le fait que l’enjeu est double : le pouvoir a à la fois besoin de montrer et de cacher ces images.

Vanessa Codaccioni : C’est l’inverse des actions menées par le lanceur d’alerte, qui ont pour but de faire voir ce qu’on ne veut pas montrer. Ici, il s’agit au contraire de montrer ce qu’ils jugent être bien.

Eléonore Weber : À vrai dire, je n’ai pas eu de scrupule moral à montrer moi-même ces images du fait qu’elle étaient déjà largement diffusées sur le Net. J’en aurais eu davantage si j’avais directement eu accès à des images de l’armée, dont la vocation n’est en effet pas d’être regardée comme on regarde des images de cinéma. Il me semble par ailleurs que leur violence tient précisément au fait qu’elles mettent à distance la violence. Ce qui est violent, c’est qu’il soit supportable de les regarder.

Vanessa Codaccioni : C’est tout l’enjeu de ton film, qui peut se regarder comme un jeu vidéo. Il y a une telle déréalisation des corps, de la mort, de la guerre, comme le dit Grégoire Chamayou dans Théorie du drone… Tu ne sais plus où tu es, si tu es dans un film de science-fiction, dans un jeu vidéo… Et puis, petit à petit, tu réalises.

Eléonore Weber : Ça montre aussi à quel point la guerre est elle-même porteuse d’un projet esthétique. En regardant ces images, on voit comment le pouvoir se représente lui-même et comment il représente le monde.

Vanessa Codaccioni : Ces images peuvent fasciner pour ce qu’elles ne sont pas. Elles peuvent fasciner car elles ont une esthétique qui ne montre précisément pas la mort.

Éléonore Weber : Je pense que le désir de voir la mort est très largement partagé même s’il est plus ou moins assumé. Il y a une séquence dans le film où suite à l’explosion d’une mine, les corps sont littéralement volatilisés et les pilotes continuent de regarder alors qu’il n’y a plus rien à voir. Ils tournent longuement autour de ce vide, eux-mêmes sidérés. C’est l’un des moments où la caméra se détache du viseur…

Dans votre film, Eléonore, le soldat scrute les mouvements des corps. L’observation est un préalable à l’exécution : un seul regard a donc le pouvoir de tuer ? 

Eléonore Weber : En principe, tuer par le regard relève de l’impossible. Mais c’est néanmoins un vieux fantasme que la sophistication de ces technologies de guerre est quasiment parvenue à réaliser : celui de l’œil qui tue. La caméra et le viseur sont en effet une seule et même chose dans le dispositif que nos démocraties ont inventé pour faire la guerre. Ce qui pose des questions vertigineuses sur la fonction du regard. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à faire ce film.

Vanessa Codaccioni : Elle est complexe, cette question. L’acte de regarder peut avoir des conséquences répressives qui peuvent aller jusqu’à faire tuer. Je ne dirais pas « tuer » ; j’insiste sur le « faire tuer ». Regarder l’autre, c’est déjà possiblement en faire un suspect, le considérer comme une menace, comme un corps dangereux. Regarder peut également amener à dénoncer, à signaler un comportement aux autorités, et donc, aboutir à l’intervention des appareils répressifs : perquisition, arrestation, garde à vue, procès, voire exécution extrajudiciaire ou actes de torture peuvent s’ensuivre. Comme c’est le cas au camp de Guantánamo, dans lequel se trouvent, ou se sont trouvés, emprisonnés des gens dénoncés. L’œil peut ainsi être le préalable à des formes de répression extrêmement graves qui peuvent aller jusqu’à la mort.

« C’est Obama qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : Sauf que sur le terrain de la guerre, ce n’est précisément pas un simple préalable. Il y a une jonction étroite tête-caméra-canon, et donc un lien presque instantané entre voir et tuer. Mais je te rejoins quand tu dis que filmer quelqu’un, le surveiller, fait d’emblée de lui une menace potentielle. Il y a aussi cette notion de légitime défense différée, très utilisée dans ces guerres-là : elle permet de considérer que l’on est autorisé à tirer sur un individu de manière préventive, avant même qu’il ne constitue une menace réelle. C’est ainsi que les soldats israéliens ont justifié le fait de tirer sur de simples manifestants, en prévision d’une hypothétique attaque terroriste.

Vanessa Codaccioni : Cette notion de légitime défense, appliquée à la lutte antiterroriste, est très intéressante. Les USA ont fait un coup spectaculaire en inventant une riposte défensive contre des groupes terroristes — ce qui n’existait pas auparavant en droit international —, qui leur permet d’intervenir militairement un peu partout au nom de la légitime défense. On leur a accordé un droit de tuer en son nom.

Eléonore Weber : C’est toute la doxa forgée sous Obama. C’est lui qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. Avant ça, rappelons qu’il y a eu Abou Ghraib3 ! Le scandale qu’ont suscité les exactions commises dans cette prison a participé au développement de cette nouvelle idéologie des armées occidentales, cette licence to kill.

Vanessa Codaccioni : Ça montre deux choses fondamentales. Premièrement, qu’on a de nouvelles interactions entre des États qui veulent tuer et des terroristes dits islamistes qui souvent ne veulent pas être pris, et qui se font donc mourir. Deuxièmement, que les modalités et les formes de la répression changent : dans ce cadre-là, il n’y a plus de procès. En tout cas, les procès d’ennemis intérieurs deviennent de moins en moins importants. Surtout, ce qui prime désormais, c’est l’invisibilisation : Abou Ghraib, Guantánamo et les exécutions extralégales participent de la disparition des corps ennemis, mais aussi de la moindre visibilité de la violence étatique.

Faire la guerre « d’en haut » avec des drones, avions ou hélicoptères, est-ce considéré par l’armée comme plus « éthique » qu’un conflit sur le terrain ? 

Eléonore Weber : Les gens se demandent ce qu’est une « guerre juste », si tant est qu’une guerre puisse l’être. Dans le cas de soldats qui visent d’en haut et bombardent des cibles désarmées ou peu armées, nous ne sommes en effet plus dans un contexte de guerre classique où deux armées se font face, ce qui entraîne un grand flou juridique. La Convention de Genève n’est la plupart du temps pas applicable, car les talibans, les « insurgés » ou les groupes islamistes ne l’ont évidemment pas signée, n’étant pas habilités à le faire. Du coup, les démocraties sont en quelque sorte condamnées à définir elles-mêmes ce qu’il est ou non possible de faire. La puissance se donne ses propres limites : autant dire que dans ces conditions, elle ne s’en donne pas… Aucune convention ne l’y oblige. Dans mon film, on voit régulièrement des hélicoptères s’acharner sur des blessés, leur tirer plusieurs fois dessus. Cette grande asymétrie n’est pas sans poser question aux états-majors occidentaux, qui semblent n’avoir aujourd’hui qu’un seul principe éthique : celui de l’immunité de leurs propres soldats. Ceux-ci sont désormais hors d’atteinte et l’objectif des armées est le suivant : « Zéro mort chez nous. »

Vanessa Codaccioni : Sans qu’ils considèrent ceux qui sont en face comme des humains.

Eléonore Weber : Oui, cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. C’est d’ailleurs sensible dans les images que je montre : on ne voit pas les visages, on n’entend pas les voix. L’autre n’est plus qu’une figurine luminescente condamnée au silence.

« Cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. [Eléonore Weber] »

Vanessa Codaccioni : « Les terroristes ne sont pas des hommes : ce sont des bêtes », voilà un argumentaire qui vise à dénier à ceux soupçonnés de l’être la possibilité de bénéficier de droits et de garanties fondamentales. « Ce sont des bêtes » à qui on peut tout faire : à qui on peut donner la mort, bien sûr, mais qu’on peut aussi torturer. Et toutes les justifications de la torture aux USA vont précisément passer par ce genre de rhétorique.

Eléonore Weber : Grâce à ces justifications, l’État et le gouvernement peuvent eux-mêmes commettre des actes atroces.

Vanessa Codaccioni : Ils commettent des exactions. C’est ce que Jacques Derrida appelle l’auto-immunisation : on va s’injecter un peu de la violence des ennemis à combattre pour y faire face. On peut évoquer une sorte de symétrisation des violences : à la violence, à la barbarie et aux exactions, parfois seulement supposées, vont répondre la barbarie et la violence étatiques, légitimées et légalisées.

Eléonore Weber : Et ça, c’est bien une trace, le reste d’une logique qui voudrait que l’on applique une règle commune à ce qu’on peut faire ou non à l’autre. Et comme dans ce cas il n’y a pas de règles communes et qu’il est complètement impossible de placer de limites, alors l’horreur peut commencer.

Le spectateur, dans Il n’y aura plus de nuit, est confronté à des images de guerre vues d’en haut ; il regarde ces images du point de vue du soldat qui les filme. Que voit le spectateur que le soldat ne voit pas, lorsqu’il regarde le film ? 

Eléonore Weber : Le spectateur voit comment le soldat regarde. Et peut-être qu’à force d’être confronté à ces images, il finit aussi par se voir les regardant. La voix off ouvre un espace de pensée : je l’ai écrite afin qu’elle permette au spectateur de ne pas être assigné à la place du tueur. Le soldat, lui, est englouti dans sa propre pulsion insatiable. Il ne se voit pas agir car aucun regard ne se porte sur lui. Je crois que le spectateur voit, au bout du compte, ce que c’est que voir, il est aux prises avec sa propre pulsion scopique.

Vanessa Codaccioni : Il y a quand même un piège dans ces images. D’une part la déréalisation, et d’autre part le fait de s’assimiler à celui qui regarde, qui va tirer ou qui cible. C’est un danger dans une société où on nous incite justement à développer un regard et un œil sécuritaires.

Eléonore Weber : C’est pour ça que j’ai fait ce film, pour ajouter un autre terme à ce regard appareillé, à cet œil-machine. Cet autre terme, c’est le regard du spectateur — à commencer par le mien. C’est aussi pour moi une manière de contredire l’ambition de ces technologies, qui est d’annihiler toute forme de subjectivité. Dans le film, à certains moments, le spectateur peut en effet aller jusqu’à ressentir lui-même l’envie de tirer. Mais je pense qu’il a ensuite l’espace pour se ressaisir et avoir un rapport réflexif vis-à-vis de sa propre position.

Vanessa Codaccioni : Heureusement qu’il y a tout un travail de détournement de ces images — et la voix off qui les accompagne participe de ce détournement. Mais si tu prends les images brutes de ces missions, il y a un risque d’assimilation : d’où la nécessité de recontextualiser. Après, si on coupe le son, chacune et chacun peut les regarder de façon totalement différente : de manière totalement outragée, alarmiste, inquiète, ou d’autres manières. Quelqu’un qui est fasciné par la mort, ou par le pouvoir d’État précisément, peut y trouver un objet de satisfaction — et même de plaisir.

Eléonore Weber : Le risque en effet serait de penser en voyant ce film que l’État est décidément tout-puissant, et d’en être rassuré. Aucun spectateur ne m’a fait ce retour, à vrai dire, et je ne crois pas que le film suscite ce type de réaction…

En octobre 2019, Emmanuel Macron a appelé la nation à se mobiliser pour faire face à « l’hydre islamiste » : « une société de vigilance, voilà ce qu’il nous revient de bâtir4 ». 

Vanessa Codaccioni : La vigilance, c’est un joli terme. Le philosophe Frédéric Gros parle d’ailleurs de la vigilance comme étant une manifestation de la bienveillance. Être vigilant, c’est demander à l’autre comment il va, ce qu’il a fait de sa journée, s’assurer que tout va bien. Le problème est que sa définition a changé et que nous vivons dans une société d’injonctions à la vigilance sécuritaire : se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. Et quand Emmanuel Macron prononce cette phrase, il participe activement à cet appel à la vigilance sécuritaire, à l’autosurveillance, et même à la délation. D’ailleurs, à cette phrase, il ajoute qu’il faut « repérer les petits riens » qui signalent un éloignement d’avec la République.

« Se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : C’est terrible, cet emploi de l’expression « les petits riens »…

Vanessa Codaccioni : Oui. Cette prise de parole, qui s’adressait en particulier aux fonctionnaires, a fait scandale. Trois jours après — lien ou pas —, les membres de la communauté universitaire de Cergy-Pontoise ont reçu une grille de signes de radicalisation qu’ils devaient dénoncer : le port de la barbe sans moustache, d’une djellaba, l’absentéisme aux heures de prière, etc. Les critiques ont été telles qu’ils ont retiré cette grille de comportements devant être considérés comme suspects.

Dans Il n’y aura plus de nuitles corps qui apparaissent à l’écran ne peuvent être vus en détail selon une telle grille. Ils représentent simplement des corps et, parce que les soldats les visent, ils relèvent de la menace…

Eléonore Weber : Plus que « simplement des corps », ils représentent un agrégat de pixels. Les spectatrices et les spectateurs ont très peu renvoyé ces silhouettes fantomatiques à leurs identités particulières. Ce qui n’est pas si surprenant, car ces images ont pour effet de déréaliser les corps et les paysages. Si j’ai moi-même choisi de mettre hors champ la dimension géopolitique, de ne donner aucun repère concernant le pays ou l’année de l’intervention, c’est pour renforcer encore cet effet de lissage. Je voulais montrer à quel point ce système de surveillance homogénéise le paysage, le terrain de guerre et…

Vanessa Codaccioni : Et les corps !

Eléonore Weber : Et les corps, oui. Il y a presque une contradiction entre la stratégie de la vigilance dont tu parles, consistant à déceler « les petits riens » qui identifieraient une personne, et un système de surveillance qui désincarne et déshumanise suffisamment les corps pour qu’aucune particularité, ou presque, ne soit repérable. Sur le théâtre des opérations, le soldat doit malgré tout opérer des distinctions, entre le port d’un objet inoffensif et celui d’une kalachnikov, par exemple. Mais on s’aperçoit que plus ils cherchent à savoir et à voir, plus ils commettent des erreurs.

Vanessa Codaccioni : Je ne pense pas qu’il y ait de contradiction fondamentale : ces deux volets se complètent. D’un côté, il y a la surveillance de l’État et de ses institutions répressives, qui est massive, englobante et fonctionne sur la présomption de culpabilité. De l’autre, il y a l’œil du citoyen qui, lui, doit fouiller, chercher et trier entre le bon et le mauvais musulman : dans la rue, le centre commercial, le métro, etc. Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’il ne s’agit pas des mêmes formes de répression. L’une renvoie au fait de surveiller, de débusquer, tandis que l’autre, à laquelle fait écho ton film, renvoie aux exécutions extralégales et au « faire mourir ». Et « faire mourir » — selon une expression de Michel Foucault —, ce n’est évidemment pas la même chose que surveiller, débusquer.

Qu’est-ce qui est le plus dangereux : la technologie qui tue ou celui qui la manie ? 

Vanessa Codaccioni : J’aurais tendance à dire que les deux sont très dangereux, que ça dépend des formes et des niveaux de répression exercés. S’il s’agit de répression étatique, les hommes sont interchangeables : l’homme derrière la machine peut être éjecté et remplacé à tout-va. Ainsi, peu importe celui qui est derrière la caméra de reconnaissance faciale ou derrière le drone : les hommes changeront, la machine restera. C’est comme une institution, au sens qu’en donne le sociologue Émile Durkheim : quelque chose qui survit à l’homme. La machine aussi survit à l’homme, bien qu’elle soit créée et utilisée par lui. La véritable question est celle de l’autonomie et des ressources dont dispose, non pas celui qui construit et pense la machine, mais celui qui la fait fonctionner contre des cibles qui lui ont été désignées. Et il y a aussi des formes de répression privées, exercées par des citoyens contre d’autres citoyens. Ceux qui patrouillent armés dans les rues aux États-Unis par exemple, mais aussi ceux qui participent à la surveillance latérale. Là il n’y a pas de machine, ni de technologie : l’œil seul suffit, et ce sont nos propres organes qui servent de surveillance. C’est tout aussi dangereux ; mais il me semble qu’ici la variable humaine réintroduit de l’aléatoire.

« En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? [Éléonore Weber] »

Eléonore Weber : J’ai une position assez différente. On parle beaucoup d’une autonomisation de la machine, et particulièrement de la machine de guerre, grâce à la technologie. On fantasme sur le fait que des drones totalement autonomes — il est vrai qu’ils existent — finiront par remplacer les hélicoptères et les drones pilotés par des humains. Or, en réalité, chaque fois qu’on a fantasmé sur tout ça — les soldats-robots et autres —, ça ne s’est jamais vraiment réalisé. Je pense au contraire qu’à mesure que ces technologies se développent, elles ont de plus en plus besoin qu’il y ait quelqu’un derrière la caméra. Les caméras dont sont dotés les hélicoptères ont aujourd’hui une « puissance de voir » bien plus intense que celles qu’on utilise au cinéma. Et cette puissance de voir sollicite un regard qui cadre et qui scrute, pour deux raisons : d’abord parce qu’elle procure une forme de plaisir ou de jouissance, liée précisément au désir de voir, à la pulsion scopique. Et il faut bien que quelqu’un puisse jouir de cette position de toute-puissance. Ensuite, parce qu’il n’y a aucune raison de se passer d’un sujet humain pour exercer ce type de cruauté. Le désir de voir — pulsion très humaine — qui est en jeu dans cette manière de faire la guerre est au contraire mis au service du projet de mort. D’ailleurs, si ces images étaient « purement opératoires », comme disait Farocki, si elles n’avaient aucun lien avec le cinéma, il n’aurait pas été possible d’en faire un film. Les spectateurs n’auraient pas pu les regarder durant une heure quinze. Cette passion de voir est, je crois, commune au pilote, au cinéaste et au spectateur. Et puis les pilotes doutent, ils ne sont jamais sûrs de ce qu’ils voient. Ce qui ne les empêche d’ailleurs pas de tirer. Celui avec qui j’ai discuté parle même d’une « culture du doute ». Le doute est pour moi le signe qu’il y a bien quelqu’un derrière la caméra. Et l’ambition de supprimer tout aléa humain, ambition qui se trouve au cœur de toute cette entreprise technologique, est selon moi vouée à l’échec, pour le moment en tout cas.

Vanessa Codaccioni : Bien sûr, on sait que les soldats doutent, hésitent, peuvent résister… mais je crois beaucoup, malgré tout, à l’interchangeabilité des hommes qui sont derrière la machine.

Eléonore Weber : Il ne faut pas oublier que les pilotes subissent aussi des traumatismes liés à ce qu’ils ont vu. Il leur arrive de suivre quelqu’un pendant des jours et des jours pour ensuite devoir le tuer…

Vanessa Codaccioni : Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’expérience vécue de la surveillance, qu’elle soit exercée ou qu’elle soit subie. Ce que je veux dire, c’est que même si le pilote d’un drone est en situation de détresse psychologique, il va être remplacé et son désespoir n’aura rien changé, ou très peu.

Eléonore Weber : Le soldat ne fait qu’exécuter les ordres et à ce titre, il est éminemment remplaçable. Les citoyens ont au moins la possibilité de résister à l’arbitraire. Cela dit, les penses-tu tout à fait libres d’inventer et d’exercer cette résistance ? En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? Nos choix sont loin d’être majoritairement le fruit du libre arbitre.

Vanessa Codaccioni : Oui et non. Il y a un système de violence d’État, un système de répression qui utilise à la fois des dispositifs, ou des technologies, de pouvoir et des sujets citoyens. Il y a plusieurs rapports en jeu à l’intérieur de ce système de répression : le penser, le faire appliquer, le subir, l’observer ou le critiquer. Dans ce dernier cas, on peut écrire, manifester, saisir le droit, mais ce n’est souvent pas suffisant. Ce qu’il faut, c’est supprimer les dispositifs et ce qui les rend possibles, c’est-à-dire soit modifier la pensée répressive d’État, soit légiférer — comme l’a fait Badinter avec la peine de mort. Mais ça, c’est être au pouvoir. Servir le pouvoir limite considérablement les possibilités de résistance : c’est le cas du pilote de drone.

Eléonore Weber : Bien sûr, mais tu es d’accord pour dire qu’ici, c’est davantage idéologique que « machinique ». Par ailleurs, dans des endroits comme Abou Ghraib, certains actes n’ont-ils pas été accomplis par des humains qui y trouvaient leur compte ? C’est-à-dire qui ne se contentaient pas d’exécuter des ordres ?

Vanessa Codaccioni : Il y a une réappropriation personnelle de la pensée répressive et punitive d’État. Selon la trajectoire des individus, leur passé et histoire, leurs ressources, leur adéquation ou non à l’idéologie, il va y avoir des actes plus ou moins violents. Certaines personnes vont se contenter d’appliquer les ordres, d’autres le feront avec bien plus de zèle, voire de monstruosité, puisqu’on parle d’Abou Ghraib. Mais le gardien de prison sera toujours le gardien de prison. Le pilote du drone restera toujours le pilote du drone. Bien sûr qu’il y a du libre arbitre, bien sûr qu’il peut y avoir des décisions personnelles, des résistances, des refus — rares et individuels : mais si on lui demande de tirer, le pilote, dans la plupart des cas, tirera. C’est qu’il y a des ordres, des individus qui les exécutent, et un système qui permet les ordres.

Dans le film, le viseur du soldat évoque le panoptique de Bentham. Il semble omniscient : il voit tout mais personne ne le voit. À la fin, l’objet filmique se retourne et on voit la famille d’un soldat faire des signes à la caméra dans le ciel. Le viseur est vu par ce qui pourrait être sa cible. Le panoptique se brise-t-il à ce moment-là ? 

Eléonore Weber : C’est le seul contrechamp du film. Si je l’ai mis, c’est précisément pour qu’on se saisisse du fait qu’il n’y en a pas le reste du temps. Ce sont des enfants américains qui filment, du sol, leur père alors que son hélicoptère part s’entraîner. On n’est donc pas au Moyen-Orient, et il ne s’agit pas d’une opération de guerre. Le sens politique et esthétique de cet ultime retournement est en réalité de montrer que les images du pouvoir sont, par définition, sans contrechamp, comme le remarquait déjà Serge Daney5 lors de la première guerre en Irak.

Vanessa Codaccioni : Est-ce que le panoptique se brise à ce moment-là ? Je n’en suis pas certaine.

« Nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Non, parce que c’est une image qui fait exception. On est aux États-Unis, ces enfants filment leur père et ça n’a rien à voir avec la guerre. Le panoptique se brise à un autre moment selon moi, quand des civils jouent avec des lasers. C’est une pratique assez répandue dans d’autres pays que le nôtre : projeter des faisceaux laser sur les hélicoptères ou les immeubles pour faire croire à une attaque, et duper les forces de l’ordre. J’ai trouvé un certain nombre de séquences de ce type. On voit ensuite la police arrêter toute une famille alors qu’il s’agissait d’un simple jeu, d’une anodine provocation. Pour moi, c’est une petite insolence, une manière de dire « On voit que tu nous vois ». Ça perturbe un instant le dispositif de surveillance, qui repose sur le fait qu’aucun regard ne se porte jamais sur l’œil du pouvoir.

Vanessa Codaccioni : Je ne crois pas que le panoptique se brise, car le panoptique permet de voir sans être vu, ce qui est le cas de l’État. Mais du côté de la population surveillée — selon les théories de Bentham, reprises par Foucault —, ses membres vont modifier leur comportement, se sachant peut-être surveillés. C’est la fonction disciplinaire du panoptique : une personne va éviter de faire certaines choses par peur d’être arrêtée mais elle va aussi, peut-être, montrer qu’elle se sait surveillée. Dans tous les cas, elle accomplit des gestes en raison de la surveillance subie. La surveillance est gagnante ici, donc le panoptique n’est pas renversé. Par ailleurs, je pense qu’on évolue dans une société où le panoptique est complètement élargi : nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. C’est plutôt dans un panoptique total que nous vivons, et sa fonction disciplinaire n’a jamais été aussi forte : non seulement on se sait surveillés, mais en plus, désormais, on nous demande de surveiller les autres ou de nous surveiller entre nous. Il y a un renforcement total de la société et de la gouvernance panoptiques.

Eléonore Weber : Mais ne peut-on pas dire que lorsque des citoyennes et citoyens filment les forces de l’ordre en manifestation, il y a une inversion du panoptique ?

Vanessa Codaccioni : Non, ce n’est pas une inversion du panoptique. C’est une réaction, une résistance, mais ça ne le retourne pas. On y reste, car il s’agit d’une autre forme de surveillance de l’autre, qui s’exerce parallèlement. Un lanceur d’alerte comme Snowden surveille l’État : même s’il s’agit d’une surveillance du bas vers le haut — regarder ce que font les agents de l’État — et non d’une surveillance descendante, il s’agit toujours d’une forme de surveillance, en réaction à cette dernière. Nous sommes dans le panoptique mais nous pouvons utiliser d’autres types de surveillance pour y résister.

Vanessa Codaccioni, vous écrivez : « Les appels aux injonctions sécuritaires s’ancrent dans une politique de détournement du regard. » Et vous ajoutez que, « Néanmoins, s’il faut bien voir, il ne s’agit pas de regarder ailleurs ». Comment être confronté aux images dans une politique de détournement du regard ?

Vanessa Codaccioni : C’est là que c’est très compliqué. L’État, les gouvernements, les systèmes de répression orientent notre regard et en ont une captation sécuritaire. Nous sommes censés regarder l’autre à travers une lorgnette extrêmement étroite : certaines institutions, certaines activités sociales, certains corps. Comment détourner ce regard-là ? comment regarder ce que l’on n’est pas censé voir ? Ici, c’est toute la question de l’image qui se pose : pouvoir filmer la police, avoir accès aux informations des services de renseignement, avoir accès aux archives. Comment faire pour maintenir notre droit minimum de regard sur l’État dans ces conditions ? comment regarder ailleurs ? d’autres cibles que celles que nous montre l’État ? Je pense qu’effectivement, il faut regarder là où on ne veut pas que l’on regarde. Mais c’est difficile, si on t’empêche de le faire. Il existe quand même des formes d’espoir. Je pense aux colleuses féministes qui incarnent un exemple intéressant de captation militante du regard, et nous incitent à regarder des faits que l’État ne veut pas que l’on voie et sur lesquels les pouvoirs publics n’investissent pas, à savoir les violences conjugales et les féminicides. Leur démarche du collage dans la rue est intéressante parce que ça attire notre regard, ça capte notre attention et ça nous détourne précisément de ce que l’État veut que nous voyions. Ce n’est pas pour rien que j’ai terminé mon livre là-dessus, sur cette réappropriation citoyenne du regard. Les colleuses féministes sont nécessaires dans une société où notre attention est complètement captée par le démarchage, les publicités, nos smartphones, les campagnes politiques, etc.

« L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques, des choses très simples, qui se font dans la rue. Peut-être qu’il faut justement différencier le fait de regarder et celui de surveiller : surveiller son enfant, par exemple, ce n’est pas le regarder. Ces collages ne détournent pas le regard, mais nous font regarder les choses autrement.

Le titre Il n’y aura plus de nuit évoque quelque chose de très pessimiste…

Vanessa Codaccioni : Je reste persuadée qu’il y a des tentatives multiples de tuer la nuit. Comme tu le montres bien dans ton film, même la nuit, la surveillance ne s’arrête pas. On cherche des corps dans la nuit, qui y deviennent visibles.

Eléonore Weber : Il n’y aura plus de nuit, c’est un clin d’œil, une référence au premier verset de l’Apocalypse, à la folle ambition de ces technologies qui se mesurent à la puissance divine. Mais, en réalité, le film n’est pas si pessimiste. Il montre que ce fantasme de tout voir et de faire jour sur toutes choses est voué à l’échec. On ne pourra pas supprimer la nuit. Le faux jour que les caméras les plus récentes parviennent à recréer ne supprime pas la nuit : les étoiles continuent de briller dans l’image.


Photographies de bannière et de vignette : NnoMan | Ballast


  1. Dans Il n’y aura plus de nuit, une voix off raconte l’histoire d’un soldat, témoignage anonyme recueilli par la réalisatrice.
  2. En octobre 2010, Wikileaks publie près de 400 000 documents secrets de l’armée américaine sur la guerre en Irak et révèle que la coalition internationale a torturé des prisonniers irakiens et fermé les yeux sur des exactions commises par les forces irakiennes.
  3. Le scandale d’Abou Ghraib est une affaire durant laquelle des militaires de l’armée américaine et des agents de la CIA ont été accusés de violation des droits de l’Homme à l’encontre de prisonniers, entre 2003 et 2004, lors de la guerre en Irak, dans la prison d’Abou Ghraib. Ces prisonniers ont été physiquement et sexuellement abusés, torturés, violés et exécutés.
  4. Attentat à la préfecture de police : Macron appelle la nation à se mobiliser face à « l’hydre islamiste »Le Monde, 8 octobre 2019.
  5. « La Guerre invisible »Serge Daney, Libération, 25 janvier 2013.

REBONDS

☰ Lire notre entretien avec David Dufresne : « En critiquant la police, on s’en prend plein la gueule », 18 septembre 2020
☰ Lire notre entretien avec Renaud Garcia : « La technologie est devenue l’objet d’un culte », juin 2019
☰ Lire notre entretien avec Laure Ortiz : « La sécurité a absorbé toutes les libertés », 8 janvier 2018
☰ Lire notre article « Israël : la mort vue du ciel », Shimrit Lee, 23 juillet 2015




Manifestations massives dans toute la France contre le pass sanitaire pour le troisième samedi consécutif

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire le 31 juillet 2021. (Photo ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)]

PAR AFP

La mobilisation contre l’extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire est très forte ce samedi dans toute la France. Les foules se sont rassemblées sur environ 200 points de manifestations dans plus de 150 villes dont Paris, Marseille, Toulon, Draguignan, Poitiers, Toulouse, Aix-en-Provence, Montpellier, Bordeaux, Nice, Metz, Nantes, Pau…

Selon les résultats d’une étude Harris Interactive x Euros Agency pour LCI publiée vendredi, près de la moitié des Français déclarent soutenir les manifestations contre l’instauration d’un pass sanitaire.

A Paris, deux manifestations sont particulièrement suivies. L’une d’elle est partie du métro Villiers (XVIIe) vers 14H00 en direction de la place de la Bastille (XIe). Une autre a démarré à 14H30 à proximité de la gare Montparnasse (VIe) pour un défilé en direction du ministère de la Santé (VIIe), à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot.

https://twitter.com/CharlesBaudry/status/1421445417825357830?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1421445417825357830%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.theepochtimes.com%2Fmanifestations-massives-dans-toute-la-france-contre-le-pass-sanitaire-pour-le-troisieme-samedi-consecutif-1804890.html

Le président du parti pro-Frexit UPR (Union populaire républicaine) François Asselineau a de son côté annoncé vendredi être positif au Covid-19, et donc empêché de manifester contre le pass sanitaire, qu’il juge « absurde, injuste et totalement liberticide ».

Un rassemblement, initialement prévu devant BFM-TV, a été interdit. Une vingtaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la chaîne, dans une rue bouclée par des dizaines de camions de police, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plus de 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour encadrer les manifestants et sécuriser les lieux sensibles, une semaine après que des manifestants ont été repoussés des Champs-Élysées.

Un  important dispositif policier était en place ce samedi matin sur la célèbre avenue parisienne, et ses principales entrées bouclées par des gardes mobiles, selon un photographe de l’AFP.

Regroupée autour des mots-dièses #manif31juillet et #PassDeLaHonte sur les réseaux sociaux, l’opposition aux mesures gouvernementales pour lutter contre le Covid-19 fédère des manifestants anti-pass sanitaire, anti-vaccins ou anti-confinement, aux revendications protéiformes.

Dans les cortèges, où figurent également de nombreux « gilets jaunes », les manifestants fustigent un pass sanitaire « liberticide » et affirment marcher « contre la dictature ».

Le pass sanitaire a été adopté définitivement dimanche soir, après six jours de débats houleux à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Déjà appliqué dans les lieux culturels et de loisirs depuis le 21 juillet, son extension pour les cafés, foires, salons, restaurants et trains est prévue le 9 août. Entre temps, le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi le 5 août.

La Guadeloupe vient de perdre un de ses artistes les plus renommés, Jacob Desvarieux, membre fondateur et pilier du groupe Kassav’, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid. Il avait reçu trois doses de vaccin mais il était aussi immunodéprimé depuis une greffe rénale.




« Vaccins » anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Témoignage d’Angelina Farina, pédiatre au Texas, devant la Commission sénatoriale américaine. La vaccination de nos enfants n’est pas acceptable.

– Merci de m’avoir invitée. Je suis la Dr Angelina Farella, pédiatre indépendante au Texas.
– Je suis là aujourd’hui pour protéger nos enfants du Texas.
– La situation est très inquiétante. Je veux évoquer 2 ou 3 choses : un peu d’Histoire.
– Jamais dans l’Histoire, nous n’avons donné des médicaments non autorisés par la FDA à des personnes qui ne faisaient pas initialement partie des tests.
– Il n’y a pas eu de patients de moins de 18 ans soumis aux expérimentations.
– Dans les tests, il n’y avait pas de patients qui avaient été exposés, ou qui avaient eu le Covid. Ce sont 2 points très importants.
– L’autre point concerne la sécurité. J’ai administré des milliers de vaccins dans mon cabinet, je ne suis pas une anti-vax.
– En fait, je suis une vraie pro-vax, sauf quand il s’agit du vaccin contre le Covid,si on peut l’appeler ainsi.
– Un des gros problèmes est le profil de sécurité. La sécurité et les recommandations concernant les effets secondaires à travers l’ACIP, le Comité consultatif des pratiques d’immunisation. Ils ont émis des recommandations à propos du vaccin contre le Covid.
– Une des choses extrêmement préoccupantes — et c’est dans leur guide ACIP —, pour le vaccin Pfizer en particulier, est que la recommandation sur la sécurité… et sur les effets indésirables sortira après l’autorisation.
– Après l’autorisation. Cela pose un problème très inquiétant.
– Nous devons connaître les données de sécurité avant de soumettre les gens à cette chose.
– Nous permettons aux enfants de 16 ou 17 ans de se soumettre à ce vaccin, mais ils n’ont jamais fait partie d’aucune étude.
– On extrapole les données des adultes aux enfants et aux adolescents. Ce n’est pas acceptable.
– Les enfants ne sont pas de petits adultes. Ce n’est absolument pas acceptable.
– Les enfants ont un taux de survie au Covid de 99,997 %. Je répète : 99,997 %, pour que vous compreniez bien. Les enfants sont en effet des accumulateurs (buffers).
– Cela signifie que ces enfants, qui sait pourquoi, ne diffusent pas la maladie. Les enfants ne sont pas des super-diffuseurs.
– Donc, ce que nous leur faisons est vraiment criminel. Nous les isolons, nous leur mettons un masque, ce qui est cliniquement dangereux. Nous leur disons aussi que (du point de vue psychologique) s’ils apportent le Covid à la maison, ils tueront les grands-parents, tonton, tata, maman et papa.
– C’est une situation horrible que nous leur faisons vivre.
– Laissez-moi revenir sur le vaccin contre le rotavirus en 1999… Il a été retiré du marché à l’époque, à cause de 15 cas d’intussusception. Ce n’est pas forcément mortel, mais le vaccin a été retiré immédiatement du marché, et nous avons arrêté de l’administrer à nos enfants.
– Et ce qui se produit avec ce vaccin en particulier m’interpelle. Il y a plus de 4000 morts, et ce machin n’a pas encore été retiré. C’est absolument inacceptable.
– En plus, il y a quelques années, vous ne vous le rappelez peut-être pas, mais en 2017, nous avons eu une pandémie de grippe qui a tué 95 000 Américains, malgré le fait qu’on avait alors un traitement précoce et efficace contre la grippe.
– OK ? Nous avons maintenant un traitement précoce et efficace contre le Covid-19. Nous l’avons depuis longtemps.
– En tant que pédiatre, je me suis mise en avant pour aider les adultes texans, car les médecins de ma communauté ont fermé leur porte, ont verrouillé leur porte et se sont refusé de traiter leurs patients.
– J’ai vu des centaines d’adultes atteints de Covid. J’ai aussi traité des problèmes post-vaccinaux chez des adultes.
– Et me revoici sur le terrain de bataille. Pourtant, je suis très vulnérable, étant pédiatre, je suis hors de mon domaine, qui reste celui des maladies infectieuses. Je vois beaucoup de petits enfants. Ce sont des pipettes de labos (?). Pourquoi sont-ils des accumulateurs ? C’est exactement pour ça. Ils ont une chose appelée le thymus. Cela les aide pour l’immunité des cellules T. C’est un autre point à prendre en compte.
– Merci de m’avoir permis de m’exprimer.

Elle répond ensuite aux questions de 2 Sénateurs. C’est le dialogue avec le Sénateur Hall (Q) qui est le plus intéressant :

Q. Avec votre expérience, qui apparemment remonte à 1999 ou peut-être avant, y en a-t-il eu un autre (« vaccin ») qui a eu la même forte incidence au niveau des hospitalisations et des morts que celui-ci ?
R. Non. Pas à ce point, absolument pas. Même de loin.
Q. Tout autre vaccin aurait été retiré du marché ?
R. Absolument, et dès les premiers jours, comme nous l’avons vu par le passé.
Q. Et avez-vous vu un autre vaccin être mis sur le marché en ayant évité les tests sur les animaux ?
R. Jamais auparavant. Spécialement s’il s’agit d’enfants.
Q. Et d’après ce que j’ai lu, ils ont commencé les tests sur les animaux, et comme les animaux mouraient, ils ont arrêté les tests.
R. C’est exact.
Q. Messieurs, je pense que c’est important de comprendre que nous disons ici que le peuple américain sert actuellement de cobaye. Voilà le programme de test en cours. Ils n’ont pas fait de tests sur les êtres humains et ils ont stoppé les tests sur les animaux, car les animaux mouraient. Et ensuite, ils l’ont mis à disposition du public. Et nous avons maintenant devant nous des entreprises qui veulent imposer que ce vaccin expérimental soit donné aux gens, comme condition pour leur travail. Et nous avons encore ce nombre de morts qui augmente et qui est complètement ignoré. Voilà ! Vous êtes d’accord avec ce que j’ai dit ?
R. Absolument.
Q. Merci pour votre travail. Merci à vous.

(Transcription : Pierre Delmotte)

La source originale de cet article est IlFattoQuotidiano Fr
Copyright © Dre Angelina Farina, IlFattoQuotidiano Fr, 2021




Les USA sont en train de devenir une URSS 2.0, selon une ancienne du renseignement américain

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[© Photo : Pixabay / TheDigitAlartist]

Rebecca Koffler, ancienne officier des services américains, a mis en garde contre une dérive «soviétique» des États-Unis, entre atteintes aux libertés et règne du politiquement correct.

[Ndlr : il en est de même dans la plupart des pays occidentaux, et spécialement dans l’Union Européenne et au Canada.]

Alors qu’en France des débats sémantiques font rage autour du terme «dictature» dans le sillage des restrictions sanitaires, aux États-Unis une ex-officier du renseignement militaire a mis les pieds dans le plat. Dans un article pour Fox News, Rebecca Koffler a ainsi mis en garde contre une dérive totalitaire de son pays, qui lui rappelle de plus l’Union soviétique d’où elle a émigré.

L’ex-agent a notamment fustigé les opérations de surveillance de l’Agence nationale de la sécurité (NSA) et du Bureau fédéral d’enquête (FBI) à l’encontre de certains politiques. Elle a cité en exemple le cas de Carter Page, conseiller de campagne de Donald Trump, dont la mise sur écoute a fait polémique.

«Étant née et ayant grandi dans un État totalitaire, je suis familière des gouvernements qui espionnent les citoyens ordinaires. Les récentes révélations sur la surveillance par la NSA m’ont ramenée il y a 30 ans dans un endroit qui n’existe plus, mon pays natal, l’Union des républiques socialistes soviétiques», écrit ainsi Rebecca Koffler pour Fox News.

L’ancienne gradée a rappelé que l’espionnage de simples citoyens est l’une «des caractéristiques du totalitarisme», ajoutant que la mésaventure de Carter Page en disait long sur le sentiment d’impunité des «apparatchiks gouvernementaux».

«Cancel culture»

Rebecca Koffler se dit également inquiète de la «cancel culture», qui déborde des campus américains pour imposer le politiquement correct dans toute la société. Un conformisme de rigueur, qui lui rappelle celui de la société soviétique.

«En Amérique, il existe désormais des opinions « correctes », celles de la classe dirigeante […] et ce qu’on appelle en russe des opinions « incorrectes » (nekorrektnoye). Les Américains ayant des opinions contredisant l’orthodoxie idéologique des progressistes sont licenciés, « annulés » par des militants, interdits de parler sur les campus universitaires», explique-t-elle ainsi dans son article.

Des logiques que l’ancienne officier voit également à l’œuvre sur les réseaux sociaux où les géants de la technologie, surnommés Big Tech, traquent les opinions divergentes. Une allusion aux politiques de modération de certains réseaux sociaux qui ne cessent en effet d’interroger. Début juillet, Donald Trump avait d’ailleurs engagé une plainte collective pour «censure illégale» contre plusieurs réseaux sociaux ayant suspendu ses comptes.

Société à deux vitesses

Rebecca Koffler met également en garde contre les promesses de gratuité qui se multiplient aux États-Unis. Fin avril, Joe Biden avait notamment annoncé débloquer des fonds pour faciliter les gardes d’enfants ou mettre en place une université communautaire gratuite. Des promesses qui rappellent à l’ex-agent les systèmes socialistes, où tout était censé être fourni gratuitement par le gouvernement.

En réalité, le modèle soviétique a souvent débouché sur une société à deux vitesses, où la nomenklatura avait droit à tout, quand le peuple était forcé de «faire la queue pendant des heures pour obtenir des produits de base». Une logique que Rebecca Koffler croit déjà avoir vue à l’œuvre durant la pandémie.

«Le double standard que les Américains ont connu pendant les confinements m’a rappelé l’URSS: les politiciens sont allés dans des restaurants chers, se sont fait couper les cheveux et ont voyagé luxueusement, tandis que le reste d’entre nous a souffert, laissant pousser ses cheveux et essayant de calmer les enfants, intenables durant les cours à distance», résume-t-elle ainsi.

En France, des polémiques sur ces doubles standards avaient aussi vu le jour, à propos notamment des dîners clandestins. Plusieurs personnalités politiques avaient alors été soupçonnées de se rendre dans des restaurants, au mépris des mesures de confinement.




La planète des seringues et le Pass sanitaire !

[Source : docteur alwest via Sott.net]




Cruauté accrue de la Secte Affairiste Répulsive Sadique (la SARS) suite…

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette Secte (étudiée depuis bientôt vingt ans maintenant dans ses racines par exemple en 2002) s’avère donc de plus en plus cruelle, manipulant férocement et frénétiquement depuis dix-huit mois les chiffres (passant ces temps-ci de… quatre à huit ou seize, ici et là, alors que le Delta est bien moins létal), le tout toujours pour faire peur (aujourd’hui des « jeunes-aussi-en-réa », bon(ne) d(r)ame), minima du dressage d’esclaves S.M (avec l’injection synthétique comme foutre mécanique, abaissant même l’âge de sa pénétration à 16 ans là aussi), alors qu’elle interdit toujours dans les faits de soigner de façon précoce (pas recommandé, tout en ne l’interdisant plus officiellement), menaçant toujours de casser l’IHU de Marseille (empêchant cependant des collègues de Raoult d’être qualifiés par le CNU au rang de professeur), poursuivant tous ceux (soignants, pourtant) qui contestent leurs mensonges, tout en continuant à fermer des lits d’hôpitaux…

Ce sont donc bien des sadiques, des criminels de plus en plus immoraux, mais qui se veulent « artistes » contemporains (j’en ai également étudié la philosophie dans de nombreux autres ouvrages et articles), affichant bien sûr visage d’ange, sourire, voix douce, compassion, mais — en même temps — visage atroce du zombi sans états d’âme, monstres passés maîtres dans l’art du Simulacre ou comment faire de la mort une œuvre avec ses chiffres en courbes seyantes — « je vais, je viens entre tes reins ».

Il faut bien comprendre que ce sont bien sûr des gens sans foi ni loi, ayant brisé tous les tabous, tous. Tous ? Vraiment ? Il en restait en effet encore un, le fait de ne pas mettre à mort des humains innocents en bonne santé tout en les nommant « malades qui s’ignorent », comme dans ces bons vieux récits antiques où l’on cherche à empoisonner pour asseoir son Pouvoir, ce must désormais pour certains « artistes » post Auschwitz :

« L’acte surréaliste le plus simple consiste, revolvers aux poings, à descendre dans la rue et à tirer au hasard, tant qu’on peut, dans la foule » 1.

C’est chose faite, la seringue en guise de flingue.




Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Les fidèles lectrices et lecteurs de ce blog attesteront que, tel un Juvénal du temps présent, je souligne et regrette bruyamment ici depuis des mois l’effondrement éthique, sociétal et juridique auquel nous assistons sous la houlette toxique d’une médico-cratie en transe, entraînant dans son sillage des politiques qui ne le sont pas moins.

Ceci au détriment de toute logique et de toute souvenance qu’il existe quelque part un vague bidule appelé le « réel ».

Les mêmes professeurs azimutés (mais aussi instrumentalisés et à vrai dire assujettis – directement ou indirectement – à des intérêts privés) qui hurlaient au loup quant à la stratégie suédoise – consistant à n’imposer à la population que des mesures « evidence-based » en prenant soin d’en ré-évaluer régulièrement la pertinence-  nous abreuvent maintenant de beuglements semi-articulés selon lesquels la seule voie possible désormais est celle conduisant au « passsanitaire » et à la remise au pas des récalcitrants.

Soit ceux qui viennent d’être appelés « les paresseux, les égoïstes et les hésitants » par le président de la « Commission d’éthique et de la recherche » (!) du canton de Genève, M. Bernard Hirschel…

Avec un tel éthicien, pas besoin de scientistes un peu déjantés et mal dégrossis à qui rappeler les normes de l’éthique et la réalité du droit !

(Sur ce sujet de l’effondrement de l’éthique, passée d’un arbitrage paragidmatique et circonstancié de valeurs à une « cosméthique » faisant office de protection juridique pour les pouvoirs en place, un lecteur a fort aimablement attiré mon attention sur les travaux du Pr Jean-François Malherbe. On peut aussi bien sûr se référer à l’oeuvre magistrale de l’anthropologue Raymond Massé, que j’avais invité à donner une conférence à Genève sur ce sujet fondamental.)

Alors donc que la Suède continue de DÉMONTRER qu’on peut se passer absolument sans danger des mesures ravageuses imposées depuis 18 mois par ces technocrates enragés, voilà-t’il pas qu’une pléthore de politiciens se piquent de se faire les porte-drapeaux de nouveaux diktats de plus en plus délirants.

On aura donc vu des « incentives » comme on dit en marketing pour les pseudo-vaccins (qui sont en fait des injections géniques expérimentales) à faire se retourner dans leurs tombes les générations de médecins qui nous ont précédé et frémir d’horreur tous ceux à qui il reste un semblant de conscience : fast-food gratuitcrème glacéegâteau OFSP sur la place fédérale, mais aussi désormais loterie et, pourquoi pas bientôt, selon un autre trait de génie éthique du président de commission déjà cité, « payer les gens pour les encourager à se faire vacciner » (il ne s’agit pas d’un vaccin). Ceci dans une grand débondage de mépris social, puisqu’on comprend qu’un professeur de médecine avec un salaire de 300’000.- ou 400’000.- francs suisses par an (nous ne parlons pas des mieux lotis) ne saurait guère pour sa part être sensible aux 20.- ou 50.-promis…

Et comment ne pas penser à Babylone, la Grande Prostituée, devant tout ce cirque, cette danse macabre et fête des fous tout à la fois qui voit nos élites se vautrer dans la fange des cabinets de consultants vendant du vaccin (ce n’en sont pas) comme du savon à barbe ou le dernier gadget numérique à la mode. Menaces et brutalités en plus, certes.

Ceci pour des vaccins (qui n’en sont pas) pour lesquels on nous avait promis monts et merveille et qui s’avèrent de jour en jours beaucoup beaucoup moins sûrs, efficaces et même utiles qu’on nous l’avait vanté dans une opération publicitaire très réussie… et scientifiquement calamiteuse.

Bref, accrochons-nous car s’il nous est déjà arrivé d’observer que nous étions bel et bien en pleine bouffée délirante collective, nous n’avons probablement encore rien vu !

Comme l’avaient magnifiquement annoncé de vrais beaux et grands esprits -tout le contraire des sbires du scientisme obscène qui mènent la danse- les élites en perdition sont désormais dans une sorte de furie destructrice et autodestructrice. Par son mépris et son autocratique morgue, Emmanuel Macron attise les braises des flambées de violence qui inévitablement apparaîtront. L’homme on le sait n’hésite pas à faire nasser, tabasser, mutiler et  comparaître en procédure judiciaire accélérée (= sans les garanties élémentaires de l’état de droit) même et peut-être surtout des manifestants pacifiques. C’est une petite jouissance de la perversité parmi de bien plus grandes.

Alors ? Alors, comme l’autocrate nous l’avait annoncé, nous sommes bel et bien en guerre. Non pas contre un virus, bien sûr : il est aussi stupide de faire la guerre à virus que de manifester contre lui… Une guerre se mène toujours contre une population et c’est bien contre le peuple qui l’a élu que Macron lâche ses bombes à fragmentation et piétine l’état de droit.

Alors ? Alors « à la guerre comme à la guerre » lance en retour Me Fabrice di Vizio dans une interpellation appelant à l’union des gens de biens refusant d’entrer dans la mascarade de la panique chronique, de l’attaque et de la persécution des dissidents (« nous allons leur pourrir la vie » a ainsi lancé un ministre plein d’un sens de l’état et d’une élégance d’âme qui forcent le respect…)

Je le dis depuis longtemps : nos dirigeants politiques et sanitaires se comportent désormais comme des petites frappes sans scrupules ni foi ni loi.

A nous de leur lancer au visage le seau d’eau qui les sortira de leur délire paranoïaque !Comme l’énonce l’avocat parisien : LA CONFIANCE DANS LES AUTORITÉS C’EST FINI !–

La peur du débat (maximale en Suisse) est un signe de profonde déliquescence sociétale, démocratique et scientifique qui montre la fourberie et la lâcheté de ces autoritaires dévoyées. Aucun d’entre eux ne tiendrait deux minutes face à un contradicteur maîtrisant son sujet. D’où les campagnes de médisance et de calomnies contre les « dissidents », fussent-ils les plus compétents dans leur domaine (Ioannidis, Battacharya, Kulldorf, Giesecke, Gupta et Toubiana, c’est tout autre chose dans le domaine de l’épidémiologie que Flahault, Blachier ou Pittet !)

D’où le monopole aussi sur les plateaux et dans les colonnes en Suisse romande de la bande des huit (Flahault-Kaiser-Trono-Diana-Siegrist-Hurst-Kiefer-Pittet) qui ânonnent en chœur ou en solo le même dogme éculé (dans lequel la Suède, la réalité observable, l’éthique comme les bonnes pratiques médicales n’existent plus…) au service des intérêts privés qui les ont financés tout au long de leurs carrières.

Me di Vizio adresse quant à lui un bel hommage aux dissidents et aux résistants dont j’ai l’honneur de faire modestement partie avec tant d’autres, qu’ils soient en vue ou non.

https://youtu.be/n22nw1jNLD8

Et le temps bien sûr finira par nous donner raison d’avoir tenu sur les principes de la rigueur et de la probité intellectuelles, éthiques et citoyennes. Sur notre humanité. Et oui, puisqu’ils ne nous en laissent pas le choix, ce sera la guerre.

Pour notre part, ce sera une guerre pacifique et sans violence. Nous y mobiliserons toutes les ressources de l’intelligence, de la sensibilité, de la tendresse et du courage, avec pour armes le droit, la pensée, la science intègre, l’action communautaire et citoyenne ainsi que les quelques moyens d’action démocratiques qu’il nous reste. Et nous y serons intraitables et souverains face à tant de compromissions, de brutalité et d’iniquité !

Recours introduit par Me di Vizio le 3 juin 2021 auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne pour non-respect du droit communautaire au sujet des Autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections géniques (improprement appelées « vaccins ») : pour accéder au fichier pdf, cliquer ici.

Je reproduis ici le message adressé par Me Virginie de Araujo-Recchia suite aux décisions liberticides de ce qui fut un temps l’Assemblée nationale et semble ne plus être qu’un déserté lupanar entérinant au petit matin les décisions glauques et putrides refusées dans un ultime sursaut de lucidité le soir.

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui ne pourra être rendue obligatoire que lorsque le projet de loi en cours de discussion sera définitivement voté par le Parlement, qu’il aura éventuellement été soumis au Conseil constitutionnel et qu’il aura été publié au J.O.R.F.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé:

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés par les hôpitaux:Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.– Procédure spécifique prévue par la loi:L’article R. 1112-11 du Code de la santé publique édicte les conditions d’admission d’un patient à l’hôpital. L’article R. 1112-12 du Code de la santé publique dispose qu’ « En cas de refus d’admettre un malade qui remplit les conditions requises pour être admis, alors que les disponibilités en lits de l’établissement permettent de le recevoir, l’admission peut être prononcée par le directeur de l’agence régionale de santé ».Il existe ainsi une procédure permettant de pallier un refus de soins constitué par un refus d’admission.– Sur le plan pénal en cas de discrimination:Article L1110-3 du Code de la santé publique:Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins.Un professionnel de santé ne peut refuser de soigner une personne pour l’un des motifs visés au premier alinéa de l’article 225-1 ou à l’article 225-1-1 du code pénal.Article 225-1 du code pénal:« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. (…)

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Net comparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPÉEN:

Une action est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italiens et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19

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« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)

(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »

Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

  1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
  2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:
    • a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;
    • b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;
    • c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;
    • d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte juridique, ils méritent un examen approfondi.


Article très instructif: 
https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

Mémo concernant le consentement: 
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Pour porter plainte contre le « pass » sanitaire

[Source : courriel]

Maitre Di Vizio, l’un des seuls avocats à remuer ciel et terre pour notre droit, a rédigé une plainte pour extorsion qui permet d’invalider le passe sanitaire :

https://www.divizio.fr/recours/

Le Cabinet Di Vizio constitue actuellement deux recours distincts :

  • Un recours contre l’Obligation Vaccinale (s’adresse uniquement aux professions éligibles) / Action contre l’Obligation Vaccinale
  • Un recours contre le « Pass » Sanitaire (s’adresse à tout le monde) / Action contre le « Pass » Sanitaire[*]

IL EST URGENT QUE CHACUN PORTE PLAINTE GRACE À CE TEXTE ET S’ASSURE QUE CHACUN AUTOUR DE LUI FASSE DE MEME !!

Pourquoi ? Parce qu’une fois que suffisamment de personnes seront vaccinées, et qu’il y aura assez de naïfs pour croire qu’on en aura fini, ils pourront imposer la vaccination obligatoire. Il n’y aura plus de résistance. C’est LE MOMENT !

Faites-le et n’hésitez pas à faire remonter comme quoi vous l’avez fait.

POUR RAPPEL, il existe déjà :

  1. Une plainte pour extorsion contre le Premier ministre ;
  2. Une plainte  contre le ministre Alexandre  Djebbari, le ministre de la transition écologique chargé des transports ;
  3. Une plainte  contre Elisabeth Borne, ministre du travail, de l’emploi et de l’insertion ;
  4. Une plainte contre les publicités pour les vaccins qui sont toutes illégales.

Ces plaintes-là sont des plaintes pénales que chaque citoyen doit envoyer lui-même par recommandé avec accusé de réception à la Cour de justice de la République avec le numéro de la loi et il faudra signer la plainte.

Ces quatre plaintes sont totalement gratuites.
Ça doit partir par centaines de milliers. Il faut qu’on soit au minimum 100 000 à l’envoyer.
Elles passent par le site de l’association victimes coronavirus France :
https://association-victimes-coronavirus-france.org/

PLAINTE CONTRE LE PASS SANITAIRE
https://association-victimes-coronavirus-france.org/plainte-contre-le-pass-sanitaire/ :
choisir « plainte extorsion« 

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[*]
Recours #2

Recours contre le Pass Sanitaire

Ce recours s’adresse à toute personne physique :
Frais de participation de 1,20 € ttc / personne.

Pour valider de façon définitive votre inscription, vous devez remplir le formulaire qui suit et régler en ligne par carte bancaire.
JE RÈGLE MON INSCRIPTION




Passe sanitaire : preuve que tout était déjà prévu avant janvier 2020 !

Par Claude Janvier

C’est bête de faire des erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport — Covid-19 : point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 —, le nombre total des décès dus au virus est publié page 41 : « Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43, tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès imputés au Covid-19, mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862 décès. Ah ! quand même… Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le bourrage de crâne politico/médico/médiatique.(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021))

Que se passait-il en janvier 2020 ?

Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque mon épouse et moi avions décidé de nous prendre quelques jours de vacances en Bretagne, histoire de nous changer les idées face à la morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du passe sanitaire liberticide.

Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair, ce gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?

Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci : W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique.

En recherchant sur Google la référence ci-dessus et la date, je tombe directement sur Santé publique France. Organisme d’État. Notez au passage qu’ils ont reçu 3,831 milliards d’euros de subvention pour 2021 — oui, vous lisez bien — pour 625 agents. Déjà en 2020, cet organisme avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros.(([4] Tec hôpital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » —… de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là…)) Tout cet argent pour pondre des rapports alarmants, soporifiques, souvent mensongers et des affiches Covid. Démentiel !

J’ai mis sur mon compte Twitter, https://twitter.com/JANVIERClaude1, ma photo de l’affiche. Beaucoup de rififi à ce propos sur le réseau, surtout de la part d’une quantité non négligeable de trolls macronistes.

Florilège :

  • C’est la loi concernant le fait de ne rien jeter sur la voie publique, loi 2003, modifiée en 2020.
  • C’est la référence d’un papier utilisé en imprimerie, et je cite un commentaire : « ce marquage/logo a été imprimé en 01/2020 et depuis, il sert pour chaque nouvelle impression. »
  • La photo est fausse.
  • Vous avez retouché la photo avec l’ordinateur.
  • Insultes diverses.

Sauf que, d’après mes recherches, cela ne correspond en rien :

Cette affiche a été conçue par Santé publique France le 20 janvier 2020. Pas de doute possible. Or, à cette date, personne n’avait entendu parler du passe sanitaire, ni des confinements, ni du masque obligatoire, etc. À chacun d’en tirer des conclusions.

Toute cette coronafolie était donc bien prévue avant janvier 2020. Dur à avaler certainement pour beaucoup, mais le fait est là. Tout ce cinéma infernal afin de permettre à quelques labos d’empiler des milliards d’euros. Répugnant.

Il est plus que temps de faire le ménage, d’établir une véritable démocratie et de retrouver notre souveraineté.

Claude Janvier
Ecrivain, polémiste.
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes




Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

[Source : observatoiredumensonge.com]

Une ordonnance puis un décret, passés inaperçus dans les médias et aussi dans l’opposition, auront suffi pour la Macronie à prendre le contrôle du corps médical. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

Par Daniel Desurvire

L’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 relative à la certification périodique de certains professionnels de santé, fait apparaître la mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance dans l’exercice de leur art, en regard des ingérences du pouvoir politique. Mais cette époque de liberté est désormais révolue, car la Haute Autorité de santé devra partager ses prérogatives avec l’Exécutif, en ce qui concerne le pilotage de ses actions menées pour surveiller, encadrer et actualiser les niveaux de compétences et la qualité des professionnels salariés, mais surtout de la médecine libérale (article L. 4022-3). Un Conseil national de certification, entièrement soumis à l’autorité politique, est constitué pour délivrer, reconduire ou retirer le droit d’exercer. Ces prérequis, à travers certaines contingences politico-sanitaires, fixent des objectifs et des obligations aux médecins.

Curieusement, cette ordonnance ne fait jamais apparaître l’existence du Conseil de l’Ordre corporatif des médecins, lui-même compartimenté par degrés de juridictions géographiques, comme s’il n’existait pas, ou que le Gouvernement méprisamment l’occulterait. Certes, ce Conseil administratif et juridictionnel de défense et de régulation est déjà placé sous la tutelle du ministère de la Santé, mais il conserve sa spécificité socio-médicale, avec sa déontologie, ses instances disciplinaires et ses activités formatrices. Dans un monde collectiviste où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de cette oligarchie dominante. Ces collaborateurs de la toute-puissance élyséenne ; la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification, tels deux gendarmes, seront désormais l’oreille et la voix de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre des médecins. Cette institution de droit privé devra désormais se ranger à la politique inquisitoriale de l’Étaten dénonçant, en sanctionnant voire en révoquant les médecins qui refusent de relayer l’obligation vaccinale pour leurs patients et pour eux-mêmes, ou en récompensant les bons élèves qui savent piquer sans compter.

Un décret n° 2021-964 du 20 juillet 2021 porte la trace visible de ce changement de paradigme dont la profession toute entière est indéfectiblement liée au serment d’Hippocrate. Nous frôlons ici le syndrome du salut fasciste des forces de l’Axe après l’attentat du 20 juillet 1944 au QG Wolfsschanze en Allemagne nazie, pour exprimer une adhésion forcée des professionnels de santé à une autre idéologie : le ralliement politique. C’est ainsi que « La prime d’intéressement collectif lié à la qualité du service rendu » est devenu : « la prime d’engagement collectif ». En d’autres termes, il ne s’agit plus d’intéressement lié à la qualité de service ou d’un objectif de production, mais d’une incitation mentale, qui frappe du talon en résonnant au pas de l’oie, à obéir aveuglément aux directives politiques de l’autorité oligarchique en embuscade dans les couloirs des hôpitaux. La délation inquisitoriale n’est donc pas éloignée, mais elle se nourrira désormais de dénigrements, de rumeurs et de menaces. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Dans le texte susvisé, « aux objectifs prioritaires et aux équipes porteuses d’un projet », sont ajoutés des « indicateurs de résultats avec des objectifs précis, mesurables, accessibles et adaptés… ». Nous plongeons en plein délire d’initiation à un ordre nouveau ! Le médecin interniste se verra harcelé sur la façon de rédiger une posologie de soins, et de se déplacer en rang d’oignon pour se ranger à un ordre établi, non plus en fonction de son diagnostic et du profil pathologique du patient. L’encadrement revêt ainsi l’uniforme politique du moment, et en bon soldat, le praticien se verra juger sur son comportement, d’où son engagement, non sur la qualité de service rendu.

Pourquoi publier un tel décret où il n’apparaît aucune volonté d’exprimer une orientation à caractère professionnel et/ou didactique ? Ni les mots « santé », « sanitaire » ou « déontologie » ne figurent dans ce texte, où seul un acharnement politique s’y exprime avec la force de mots qui impriment la persuasion par la dissuasion. L’accent comminatoire d’une confiscation de ladite prime sera la première sanction contre celui ou celle qui ne remplira pas les conditions ou les obligations « d’engagement » à l’idéologie politique assénée par le ministre de la Santé. Nous entrons dans une ère nouvelle, ou plutôt en réminiscence par une histoire de triste mémoire que l’on croyait ne jamais revenir en surface. Cette idéologie qui ne se cache même pas, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron, autant avec le « passe-sanitaire », le « QR code » et l’appli « TousAntiCovid ».

Ces indicateurs rappellent étrangement une discrimination entre les citoyens, non de confession, mais du libre choix de disposer de son corps et d’accepter ou refuser des thérapies). Cette liberté issue des droits naturels, est exprimée et inscrite de façon inaliénable par la Constitution française, qui prend sa source dans l’esprit et la lettre des Droits de l’homme. Si les Français ne comprennent pas le virage autoritaire et particulièrement liberticide de cette mandature qui gomme les derniers reliefs de notre démocratie à l’agonie, ce sera toute notre histoire révolutionnaire qui s’effondrera d’un seul bloc.

Mais cela ne suffit toujours pas à l’État-Macron qui veut imposer ses directives politiques, sans devoir en passer par l’esprit professionnel de cette catégorie médicale. Dans une logique spécieuse, la lutte contre l’épidémie, même s’il n’ait personne pour vérifier si elle est toujours présente ou si ce ne seraient que des tests positifs sur des porteurs sains passant pour être la maladie, doit en passer par la discrimination culpabilisante et pénalisante. De fait et pour l’époque présente, trop de médecins s’opposent à la vaccination obligatoire susmentionnée, voire ne sont pas eux-mêmes vaccinés contre la Covid. Devant les motifs professionnels légitimes et scientifiques de cette profession, l’oligarchie élyséenne vient à présent imposer son incontournable autorité en ordonnançant le droit à son avantage exclusif, en dépit de l’intérêt sanitaire national que les médecins ont ordinairement vocation à réserver en priorité à leurs patients.

Dans le rapport joint à cette ordonnance, il est prétendu qu’aucune opposition directe et générale n’a été formulée s’agissant d’une concertation, dont le rédacteur n’a laissé aucune indication de personnes, de lieu et de date pour discerner une trace lisible de ce forum fantôme. Quid de la composition d’acteurs qui auraient conduit à l’orientation de cette résolution ? Ici le mensonge est énorme et cette faconde transpire de mauvaise foi. De sorte que ce Gouvernement en aura déduit que le pilotage scientifique du dispositif lui serait confié, sous la bénédiction dudit Conseil national de la certification périodique qu’il préside.

Une fois encore et comme à son habitude, Emmanuel Macron s’accapare tous les pouvoirs, jusqu’à pénétrer les épidermes professionnels, la chair de nos institutions sociales et sanitaires, puis de tout ce qui bouge, soigne, fabrique et administre. L’histoire de la Covid suscite toutes les interrogations et les suspicions de fraudes, de prises illégales de pouvoir et d’enrichissements personnels exorbitants, dès lors que le Politique prend le pas sur les réalités.

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

♣ ♣ ♣

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: 
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




NOUS SOMMES LA MAIN !

Par Alain Tortosa

Le droit n’est qu’un outil, qu’une arme, qu’un marteau…

Sans la main qui les commande, ils ne sont RIEN !

Vous êtes cette main, vous avez VOTRE destin entre VOS mains !

Réaction 19, Reinfocovid, Mme Wonner et tous les autres ne fournissent que des outils…

Nombre d’entre nous sommes désespérés par le rouleau compresseur du totalitarisme. Le gouvernement, reniflant sans doute l’odeur de la défaite, a appuyé à fond sur l’accélérateur pour imposer la « vaccination » et le pass sanitaire.

Ce que nous avions écrit il y a plusieurs mois se produit, hélas… Des dizaines de milliers de postes-frontières sont mis en place dans notre pays où les libertés ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Pour la quasi intégralité des politiques, des médias et des ex-médecins corrompus, il n’est pas nécessaire d’avoir la moindre réflexion éthique sur le fait d’introduire officiellement des castes, y compris pour les enfants !

Plus de blancs, de noirs, de jaunes, de gris, de bleus ou de verts mais des « sains » vaccinés et des « dangereux » non-vaccinés.

Tels des indiens, ma famille et moi-même sommes devenus des INTOUCHABLES !

Nous sommes désormais de mauvais français, des citoyens de seconde zone, menacés, privés de leurs droits fondamentaux, traqués par la police de Vichy qui a repris du service avec son lot de collabos.

Les personnes qui se vaccinent en masse aujourd’hui ne sont plus les paniqués convaincus d’hier qui ont cru aux mensonges du gouvernement et du fameux « vaccin libérateur ». Le réveil de ceux-ci pourrait être d’une grande violence.

La dictature devra-t-elle utiliser tout l’alphabet grec pour nommer des variants (probablement créés par les vaccinés), justifiant mesures dictatoriales et nouvelles doses ad vitam æternam ? Comment arrivent-ils à gober encore de tels mensonges alors même qu’Israël, cité en exemple par toutes les journalopes, a annoncé que les touristes vaccinés ne pourront plus pénétrer dans leur pays ?

Et ils osent répéter que leur injection criminelle est efficace à 90 %, mais qu’il est néanmoins vital que les non-vaccinés se piquent pour protéger les vaccinés, malgré leur vaccin totalement efficace ! Le 27 juillet le CDC a officiellement ajouté que les vaccinés deux doses devaient porter un masque !(([1] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/fully-vaccinated-guidance.html))

Dans notre « merveilleux pays des droits de l’homme et de l’intelligence », les données de pharmacovigilance sur les effets secondaires sont dix fois moindres que ceux enregistrés aux Pays-bas, qui sont des humains identiques aux Français et sont piqués avec la même merde !

Et alors que depuis le mois de mars 2020, n’importe quel mort qui avait le malheur d’éternuer avant son dernier souffle était étiqueté décédé du Covid. Alors même qu’une personne asymptomatique avec un cancer en phase terminale, testée positive à l’entrée de l’hôpital, est comptabilisée décédée du Covid…, Maxime Beltra, jeune homme de 22 ans, décédé quelques heures après l’injection du poison, parce qu’il voulait partir en vacances en Grèce, sera, sans nul doute, officiellement décédé de ses allergies connues dont il souffrait depuis la naissance.

Je veux bien que la dictature décide officiellement que ce pauvre Maxime soit considéré comme décédé de ses allergies, mais à une unique condition ! Que l’on recompte les vrais morts, que l’on supprime 90 % des décès de personnes mortes avec le Covid pour ne garder que les morts du Covid.

Si Maxime est déclaré mort de ses comorbidités, alors j’exige que le nombre de mort officiel passe à 12 000 morts (et non 115 000). Nous sommes réduits en esclavage et peut-être bientôt placés dans des camps, pardon « des lieux de résidence surveillés », pour « protéger » les vaccinés avec leur « vaccin parfaitement efficace ».

Dans ces conditions, nombreux sont celles et ceux qui renoncent, qui se sont ou qui vont se « vacciner » pour éviter de perdre leur travail ! Leur leitmotiv étant « C’est foutu, je n’ai pas les moyens de perdre mon emploi ».

Allez-vous faire de même pour vos enfants non vaccinés qui seront officiellement soumis à l’apartheid ?

Je ne peux vous garantir que nous sortirons vainqueurs si chacun de nous mène la bataille, mais je peux en revanche vous garantir que nous serons laminés si nous abdiquons avant même de combattre !

  • Allez-vous prendre le risque de vous injecter cet ARNm expérimental ?
  • Allez-vous prendre le risque de voir cet ARN migrer en ADN ?
  • Allez-vous prendre le risque de développer une maladie auto-immune (à vie) dans quelques années ?
  • Allez-vous prendre le risque que votre enfant développe un cancer dans les 10 ou 15 ans ?

Et pour quoi ? (écrit en deux mots.)

  • Pour que votre enfant puisse faire des sorties scolaires ?
  • Pour ne pas perdre votre emploi ?
  • Pour « protéger » (ce qui est faux en plus) des vieux en fin de vie ?

L’association Reaction19, avec Carlo Brusa à sa tête, ainsi que d’autres juristes fournissent des outils pour se battre, des outils pour résister à la dictature !

Mais vous avez quoi à perdre à les essayer ? Vous pensez que la dictature va vous injecter deux fois pour vous punir si vous osez résister ?

Nous avons tous le choix de baisser les bras pendant la bataille si la pression devient insupportable.
Comment pourrons-nous encore nous regarder dans un miroir si nous ne saisissons pas dans notre main les outils offerts pour nous défendre ?

Je le redis, quand bien même nous serions à la dernière étape avant notre licenciement, nous pourrions nous injecter cette merde pour éviter le couperet et nous serions bien sur réintégrés, la dictature étant trop contente de pouvoir afficher notre reddition !

Mais en entendant, nous devons nous battre ! Dans une catastrophe naturelle, celui qui survit, c’est celui qui tient ! Nous ne sommes pas seuls, nous sommes désormais des millions dans la rue ! Nous avons un pack de solutions juridiques et autres pour lutter et gagner du temps !

Rappelez-vous la fin horrible du film The Mist de Stephen King, où le héros renonce cinq minutes avant la fin du cauchemar !
Tenez ! Tenez ! Vous n’avez rien à perdre ! La liberté est au bout du chemin !

Alain Tortosa.

https://7milliards.fr/tortosa20210729-nous-sommes-la-main.pdf




4e vague de Covid-19 à l’hôpital ? « Un mensonge d’État » selon le fondateur de la Société Française de Virologie

[Source : (breizh-info.com]

La vidéo de l’intervention de Jean-Michel Claverie, fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet sur BFMTV est rapidement devenue virale. Et pour cause : le virologue a qualifié de « mensonge d’État » l’hypothèse d’une 4e vague de Covid-19 à l’hôpital tandis que médias maistream et responsables politiques entretiennent un climat de peur afin de justifier l’instauration du pass sanitaire.

« De vraies bonnes raisons éthiques et scientifiques » de s’opposer au pass sanitaire

Sur BFMTV, chaîne particulièrement zélée et inféodée à la politique gouvernementale depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce sont des mots très forts qui ont été prononcés par Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet.

Interrogé en direct par le duo de présentateurs, ce dernier a fortement remis en cause la politique sanitaire de l’exécutif français ainsi que les prévisions alarmistes faites quelques jours auparavant par le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, lequel a redouté que la quatrième vague de coronavirus soit la plus puissante de toutes. Tout en ajoutant le 23 juillet, déjà sur BFMTV, que « le retour à la normale, c’est pas maintenant, c’est peut-être 2022 [ou] 2023 ».

Un constat que ne partage absolument pas Jean-Michel Claverie qui a démonté en quelques minutes plusieurs arguments martelés en boucle par le gouvernement et les principaux médias du pays afin de justifier la mise en œuvre du pass sanitaire.

Tout d’abord en apportant une précision salutaire sur le profil des très nombreux Français ayant pris part aux manifestations du 24 juillet contre le pass sanitaire : 

« Les gens qui sont dans la rue ne sont pas tous des gens qui pensent que la Terre est plate, ou des anti-vax, ou des extrémistes politiques. Il y a de vraies bonnes raisons à la fois éthiques et scientifiques à trouver que le pass sanitaire est quelque chose qui est à la fois inacceptable pas très efficace. »

Sur le plan éthique, le fondateur de la Société Française de Virologie a notamment fait référence aux 10 points d’alerte émis par la Défenseure des droits Claire Hédon le 20 juillet. Et de souligner à juste titre que ces alertes n’ont eu « aucun écho politique » ni « aucun écho médiatique ». CQFD…

4e vague à l’hôpital : « Un mensonge d’État » selon Jean-Michel Claverie

Dans un second temps, Jean-Michel Claverie évoque ensuite la question de la gestion du Covid-19 au plan scientifique. Et apporte un point de vue détonnant sur les chiffres des nombres de cas quotidiens positifs au coronavirus traités de manière alarmiste par une grande partie de la classe politique et médiatique française : 

« Il faut arrêter avec ces 20 000 cas dont on nous bassine tous les jours ; ces 20 000 cas ne sont pas des cas de gens malades mais de gens testés avec un PCR positif ».

Le virologue s’appuie également sur l’exemple de l’Angleterre où, 

« dans une population qui est vaccinée à peu près comme la nôtre, cette maladie fait extrêmement peu de cas graves ou de gens malades ».

Quant aux propos de Jean-François Delfraissy sur la virulence d’une « quatrième vague à l’hôpital », Jean-Michel Claverie utilise des mots lourds de sens : « Là, il y a un mensonge d’État ! »

Tentant par la suite de contredire le fondateur de la Société Française de Virologie, le présentateur BFMTV s’appuie alors sur des chiffres prétendument issus de l’outil CovidTracker. Une erreur que ne manque alors pas de corriger Jean-Michel Claverie, le reprenant alors sur les données des derniers jours. Avant d’interroger : 

« Est-ce que vous pensez que cela justifie de faire ces lois incroyablement liberticides sans aucune justification réelle clinique et sanitaire ? »

Pass sanitaire
Chiffres CovidTracker France au 25 juillet 2021. Source : covidtracker.fr

Vidéo de l’intervention du virologue Jean-Michel Claverie sur BFMTV :

https://www.youtube.com/embed/F551T8B5d2Y

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Où allons-nous avec le pass ?

Par JE. Chabert

👁 L’humanité sous surveillance part1 : 

Les parlementaires français ont voté contre l’arrêt du Pass sanitaire une fois ladite crise passée ! Quelle sera donc l’évolution de ce pass ? Le contrôle total par des outils numériques de toute la population, ou que vous soyez, même dans l’intimité ? 

1️⃣ère vidéo : ARTE, « Crédit social en Chine : comment le gouvernement contrôle sa population avec un système de notation » 

https://www.arte.tv/fr/videos/097011-000-A/chine-le-monde-d-apres/

2️⃣ème vidéo : France 24, « Avec le crédit social, la Chine classe les « bons » et les « mauvais » citoyens » 

3️⃣ème vidéo : France 2 / Envoyé spécial, « Le système de crédit social testé en Chine « existe » déjà en France » 

https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/video-le-systeme-de-credit-social-teste-en-chine-existe-deja-en-france-selon-ce-chercheur-en-intelligence-artificielle_3653119.html

⚠️ Des centaines de millions sont actuellement investis pour mettre en place la reconnaissance faciale. Nous comptons sur vous pour partager cette publication afin que plus prennent conscience de ce qui se prépare pour un futur proche voire très proche. Afin de contrer cette société que nous ne voulons pas !




Un pasteur du Tennessee déclare que les masques ne sont pas autorisés dans son église

[Source : RT USA News]

[Traduction : Aube Digitale]

Alors que les obligations de port de masque continuent d’être débattus à travers les Etats-Unis, un pasteur du Tennessee, connu pour son opposition aux confinements et à la vaccination de masse, a clairement indiqué que les porteurs de masque seront renvoyés de son église.

S’adressant à sa congrégation dimanche, le pasteur controversé a déclaré qu’il était opposé à ce que les comtés réimposent le port du masque pour freiner l’augmentation des cas de coronavirus. Si Mount Juliet, Tennessee, où se trouve l’église Global Vision Bible Church, subit la même régression de politique, le pasteur Greg Locke a affirmé qu’il ne suivrait pas les directives rétablies.

« S’ils passent par le deuxième tour et que vous commencez à vous montrer (avec) tous ces masques et toutes ces bêtises, je vous demanderai de partir », a déclaré Locke sous les acclamations de sa congrégation. « Je vous demanderai de partir. Je ne joue pas à ces jeux démocrates dans cette église. Si vous voulez une distance sociale, allez à la First Baptist Church, mais n’allez pas dans celle-ci », a ajouté le pasteur, sous les applaudissements nourris de l’assemblée réunie sous une tente géante.

Au cours d’une messe diffusée en direct sur Facebook, M. Locke a ensuite critiqué ses collègues pasteurs qui refusent d’organiser des services tels que des baptêmes par crainte du virus et de sa variante Delta qui se propage rapidement.

« Je ne joue pas à ces jeux stupides », a-t-il déclaré. « Une bande de pasteurs qui disent à quel point ils veulent voir les gens guérir et qui ont peur de baptiser les gens à cause du variant Delta – j’en ai marre. »

Locke a déclaré qu’il n’a pas l’intention de fermer même si on lui ordonne de le faire.

« Ils serviront des Frosty’s en enfer avant de fermer cet endroit », a-t-il promis.

Locke a attiré l’attention nationale l’année dernière pendant le confinement du Tennessee lorsqu’il a continué à tenir des services en personne alors que la plupart des autres églises se sont tournées vers des alternatives à distance.

Son mandat anti-masque a, comme on pouvait s’y attendre, provoqué des remous chez les utilisateurs de tendance libérale sur les médias sociaux. Certains ont prédit que Locke et ses partisans allaient inévitablement attraper le Covid-19, un commentateur allant jusqu’à suggérer que le pasteur allait mourir du virus.

[Ndlr : à côté de cet exemple, le Pape fait pâle figure en appuyant les mesures sanitaires et la vaccination. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il est depuis le début un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial.]




Souvenirs de la montée du nazisme

[Source : Sott.net]

En passant… Et en lisant Sebastian Haffner – Allemagne, mars 1933

Source de la retranscription numérique

[Photo : Sebastian Haffner en 1984]

Voici un extrait « éclairant » du chapitre « La révolution », extrait de l’ouvrage de Sebastian HaffnerHistoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), paru aux Éditions Babel.


Qu’est-ce qu’une révolution ?

Les spécialistes du droit public répondent : la modification d’une constitution par d’autres moyens que ceux qu’elle prévoit. Si l’on souscrit à cette sèche définition, la « révolution » nazie de mars 1933 n’en était pas une. Car tout se passa dans la stricte légalité, avec les moyens prévus par la constitution : d’abord des « décrets-lois » du président et enfin une résolution qui transférait au gouvernement la totalité du pouvoir législatif, résolution votée par le Parlement à la majorité des deux tiers exigée pour les changements constitutionnels.

C’est là une imposture manifeste. Mais quand on voit les choses comme elles ont vraiment été, on peut encore se demander si ce qui s’est joué en mars mérite vraiment le nom de révolution. Pour le sens commun, l’essentiel d’une révolution semble résider dans le fait que des gens attaquent par la violence l’ordre existant et ses représentants : police, armée, etc., et l’emportent sur lui. Ce n’est pas toujours forcément magnifique et enthousiasmant, et cela peut fort bien être associé à des débordements, des violences, des brutalités de populace déchaînée ; on peut piller, tuer, brûler. Ce qu’on attend des gens qui se prétendent des révolutionnaires, c’est au moins qu’ils attaquent, fassent preuve de courage, mettent leur vie en jeu. Les barricades sont peut-être un peu démodées, mais une forme quelconque de spontanéité — insurrection, prise de risque, émeute — semble inhérente à l’essence de la révolution.

Rien de tel en mars 1933. Les événements étaient une décoction des ingrédients les plus bizarres, mais on aurait vainement attendu un acte de courage, de bravoure, d’audace de quelque côté que ce fût. Ce mois de mars produisit quatre choses qui auraient pour résultat final la domination incontestée des nazis : la terreur, des fêtes et des déclamations, la trahison, et pour finir un collapsus collectif — plusieurs millions d’individus s’effondrant simultanément. Beaucoup d’États européens, la plupart même, ont eu une naissance plus sanglante. Mais il n’en existe aucun dont la naissance eût été à ce point répugnante.

L’histoire européenne connaît deux formes de terreur : l’une est l’ivresse sanguinaire effrénée d’une masse révolutionnaire déchaînée, grisée par sa victoire ; l’autre est la cruauté froide, délibérée, d’un appareil étatique triomphant qui cherche à intimider, à manifester son pouvoir. Ces deux formes sont normalement réparties entre révolution et répression. La première est révolutionnaire ; elle s’excuse par l’émotion et la rage du moment, par l’emportement. La deuxième est répressive ; elle s’excuse par les représailles à l’encontre des atrocités de la révolution.

Les nazis ont eu le privilège de combiner les deux d’une façon qui n’admet aucune excuse. La terreur de 1933 fut bien exercée par une tourbe ivre de sang (à savoir les SA, les SS ne jouant pas encore le rôle qui serait le leur), mais les SA se présentaient comme une « police auxiliaire » ; ils agissaient sans la moindre émotion, sans la moindre spontanéité, et surtout sans prendre le moindre risque — mais bel et bien en toute sécurité, sur ordre et avec discipline. Le tableau externe était celui de la terreur révolutionnaire : populace hirsute pénétrant par effraction la nuit dans les maisons et traînant des gens sans défense dans une cave pour les torturer. Le processus interne était celui de la terreur répressive : gestion administrative froidement calculée, couverture policière et militaire totale. L’ensemble ne découlait pas de cette excitation qui suit la victoire, un grand danger auquel on a survécu — rien de tel ne s’était produit. Ce n’étaient pas non plus des représailles à l’encontre d’atrocités exercées par le parti adverse — il n’y en avait eu aucune. Ce qui se produisait, c’était l’inversion cauchemardesque des notions normales : brigands et assassins dans le rôle de la police, revêtus du pouvoir souverain ; leurs victimes traitées comme des criminels, proscrites, condamnées d’avance à mort. Un cas exemplaire, rendu public en raison des proportions prises : une nuit, un responsable syndical social-démocrate de Köpenick(([1] Faubourg de Berlin.)) se défendit, aidé de ses fils, contre une patrouille de SA qui avait pénétré chez lui et abattit, en état de légitime défense évidente, deux SA. Sur quoi, cette même nuit, ses fils et lui furent maîtrisés par une seconde patrouille plus nombreuse et pendus dans la remise de leur maison. Mais le jour suivant, en bon ordre, des SA en service commandé pénétrèrent chez tous les habitants de Köpenick connus pour être des sociaux-démocrates et les abattirent sur place. On n’a jamais su le nombre de morts.

Cette sorte de terreur avait un avantage : selon les cas, on pouvait hausser des épaules navrées en parlant des « inévitables conséquences fâcheuses de toute révolution » — c’était l’excuse de la terreur révolutionnaire — ou se référer à la rigueur de la discipline en démontrant que l’ordre et le calme régnaient, que seules avaient lieu les descentes de police indispensables, et que c’était précisément cela qui épargnait à l’Allemagne les troubles révolutionnaires — c’était l’excuse de la terreur répressive. Et les deux étaient effectivement invoquées à tour de rôle, suivant le public concerné.

Cette forme de publicité a contribué, et contribue toujours, à rendre la terreur nazie plus repoussante qu’aucune autre terreur connue dans l’histoire européenne. La cruauté elle-même peut avoir une ombre de grandeur quand elle s’affiche avec la grandiloquence d’une détermination suprême, quand ceux qui l’exercent revendiquent fougueusement leurs actes comme ce fut le cas lors de la Révolution française et des guerres civiles russe et espagnole. Les nazis, en revanche, n’ont jamais affiché autre chose que le rictus blême, lâche et craintif du meurtrier niant ses crimes. Tandis qu’ils torturaient et assassinaient systématiquement des êtres sans défense, ils affirmaient tous les jours avec des accents nobles et touchants qu’ils ne faisaient de mal à personne, et que jamais révolution ne s’était déroulée de façon aussi humaine et pacifique. Et quelques semaines après l’institution de l’épouvante, une loi menaçait d’une lourde peine quiconque affirmait, fût-ce entre ses quatre murs, qu’il se passait des choses atroces.

Il va de soi que cela n’avait pas pour but de tenir secrètes les horreurs. Car alors elles n’auraient pu atteindre leur but, qui était de provoquer chez tous crainte, effroi, soumission. Ce secret tendait au contraire à renforcer l’effet de la terreur par le danger qu’il y avait ne serait-ce qu’à en parler. L’exposition publique — par exemple à la tribune de l’orateur ou dans les journaux — de ce qui se passait dans les caves de la SA et dans les camps de concentration aurait peut-être pu provoquer même en Allemagne une riposte désespérée. Les nouvelles épouvantables chuchotées sous le manteau — « Faites bien attention, voisin ! Savez-vous ce qui est arrivé à X ? » — brisaient bien plus sûrement toutes les résistances.

D’autant plus qu’on était au même instant occupé et distrait par une série interminable de fêtes, de solennités, de célébrations nationales. On commença par fêter la victoire en grand avant les élections, le 4 mars, jour du « Réveil national ». Marches gigantesques et feux d’artifice, tambours, trompettes, orchestres et drapeaux dans toute l’Allemagne, des milliers de haut-parleurs diffusant la voix de Hitler, serments et promesses — et tout cela alors qu’il n’était pas certain que les nazis n’allaient pas prendre une veste électorale. De fait, c’est bien ce qui se produisit ces élections, les dernières à se dérouler en Allemagne, n’apportèrent aux nazis que quarante-quatre pour cent des voix (auparavant ils en avaient obtenu trente-sept) — la majorité votait toujours contre eux. Si l’on songe que la terreur battait déjà son plein, que les partis de gauche avaient été muselés dès la semaine décisive qui précédait le scrutin, il faut dire que le peuple allemand dans son ensemble s’est assez bien comporté. Mais les nazis n’en eurent cure. La défaite fut tout simplement célébrée comme une victoire, la terreur renforcée, les fêtes se multiplièrent. Quinze jours durant, les fenêtres restèrent pavoisées. Une semaine plus tard, Hindenburg abolissait les anciennes couleurs, et le drapeau à la croix gammée devenait, avec le noir-blanc-rouge, le « pavillon provisoire du Reich ». Et chaque jour des défilés, des célébrations géantes, des manifestations de gratitude pour la libération nationale, de la musique militaire du matin au soir, honneurs rendus aux héros, consécration des couleurs, enfin, pour couronner le tout, la mise en scène boursouflée de la « journée de Potsdam », avec ce vieux félon de Hindenburg se recueillant sur la tombe de Frédéric le Grand, Hitler jurant pour la énième fois fidélité à je ne sais quoi, cloches sonnant à toute volée, cortège solennel des députés vers l’église, parade militaire, sabres au clair, enfants agitant des petits drapeaux, retraites aux flambeaux.

L’ineptie, l’absurdité sans bornes de ces manifestations continuelles étaient, selon toute vraisemblance, parfaitement concertées. Il fallait habituer la population à se réjouir et à se « réveiller », même si elle n’en voyait pas vraiment la raison. Chaque jour, chaque nuit, des gens qui s’abstenaient trop ostensiblement de participer — chut ! — étaient torturés à mort à coups de drille ou de fouet d’acier, et c’était déjà une raison suffisante. Réjouissons-nous donc, et hurlons avec les loups, Heil, Heil ! Et on finissait par y trouver goût. En mars 1933, il faisait un temps magnifique. N’était-ce pas beau, sous le soleil printanier, de se mêler à une foule en liesse sur une place pavoisée, prêtant l’oreille. à des propos sublimes où revenaient les mots de patrie et de liberté, de réveil et d’engagement sacré ? (En tout cas, cela valait mieux que de se retrouver à huis clos dans une caserne de SA, à se faire remplir d’eau les intestins).

On se mit à participer — d’abord par crainte. Puis, s’étant mis à participer, on ne voulut plus que cela fût par crainte, motivation vile et méprisable. Si bien qu’on adopta après coup l’état d’esprit convenable. C’est là le schéma mental de la victoire de la révolution national-socialiste.
Pour la parachever, toutefois, une chose était indispensable : la lâche trahison de tous les chefs de partis et d’organisations auxquels s’étaient confiés les cinquante-six pour cent d’Allemands qui, le 5 mars 1933, avaient voté contre les nazis. Le monde n’a pratiquement pas pris conscience de cette évolution historique terrible et décisive. Les nazis n’avaient pas intérêt à la souligner, parce qu’elle ne pouvait que dévaluer considérablement leur « victoire » ; quant aux traîtres eux-mêmes, ils avaient tout intérêt à se taire. Pourtant, seule cette trahison explique le fait apparemment inexplicable qu’un grand peuple, qui ne se compose quand même pas exclusivement de poltrons, ait pu sombrer dans l’infamie sans résistance.

La trahison fut totale, générale et sans exception, de la gauche à la droite. J’ai déjà dit que les communistes, derrière les rodomontades de façade qui exaltaient leur « détermination » et mentionnaient des préparatifs de guerre civile, préparaient en vérité l’exil de leurs hauts fonctionnaires avant qu’il ne fût trop tard.

En ce qui concerne les cadres de la social-démocratie, à qui des millions de braves petites gens fidèles accordaient une confiance aveugle et loyale, ils avaient commencé de les trahir dès le 20 juillet 1932, quand Severing et Grzesinski s’étaient « inclinés devant la force ». Les sociaux-démocrates s’étaient déjà terriblement humiliés au cours de la campagne électorale de 1933 en courant après les slogans des nazis pour souligner qu’ils étaient, eux aussi, de bons « nationaux ». Le 4 mars, veille du scrutin, Otto Braun,(([2] Otto Braun (1872-1955), social-démocrate, à la tête du parti depuis 1911, ministre-président de Prusse entre 1925 et 1933.)) leur « homme fort », chef du gouvernement prussien, passa en automobile la frontière suisse ; il avait pris soin d’acquérir une maisonnette dans le Tessin. En mai, un mois avant la dissolution de leur parti, les députés sociaux-démocrates en étaient à accorder massivement leur confiance au gouvernement Hitler et à chanter le Horst-Wessel-Lied.(([3] Chant de marche de la SA écrit sur une mélodie existante par le jeune Sturmführer (lieutenant) Horst Wessel (1907-1930). Celui-ci ayant trouvé la mort au cours d’une bagarre avec des communistes dans des circonstances mal élucidées, les nazis firent de lui un martyr et de son œuvre l’hymne officiel du parti.)) (Le compte rendu des débats parlementaires note : « Applaudissements sans fin dans la salle et sur les tribunes. Le chancelier lui-même, tourné vers les sociaux-démocrates, applaudit »).

Le centre, ce grand parti bourgeois catholique qui, dans les dernières années, avait rallié une part de plus en plus importante de la bourgeoisie protestante, avait atteint ce stade dès le mois de mars. Ses voix assurèrent à Hitler la majorité des deux tiers qui lui confiait « légalement » la dictature. Il agissait sous la houlette de l’ancien chancelier Brüning. L’étranger l’a généralement oublié aujourd’hui, et Brüning y passe encore largement pour le possible successeur de Hitler. Mais qu’on me fasse confiance : les Allemands, eux, ne l’ont pas oublié. Un homme qui croyait encore, le 23 mars 1933, pouvoir inféoder à Hitler : dans un vote d’importance vitale, le parti qui lui était confié, n’aura plus jamais la moindre chance en Allemagne.

Enfin, le parti national, la droite conservatrice qui revendiquait carrément « l’honneur et l’héroïsme » comme programme — Dieu ! qu’il était lâche et déshonorant, le spectacle que ses chefs infligèrent à leurs partisans en 1933 et par la suite ! Une fois déçue leur attente du 30 janvier, alors qu’ils espéraient avoir « mis les nazis dans leur poche » pour les « empêcher de nuire », on attendait au moins qu’ils « freinent » pour « éviter le pire ». Que non ; ils participèrent à tout : à la terreur, aux pogromes, aux persécutions contre les chrétiens ; ils ne se laissèrent même pas émouvoir par l’interdiction de leur parti et l’arrestation de leurs partisans. Il est déjà navrant de voir des fonctionnaires socialistes s’enfuir en plantant là leurs électeurs et leurs sympathisants. Mais que dire d’officiers nobles qui, voyant fusiller leurs amis et leurs collaborateurs les plus proches — comme M. von Papen —, restent en place en criant Heil Hitler ? Tels partis, telles fédérations. Il existait une Fédération des anciens combattants communistes, et, en ce qui concernait le Parti démocratique allemand, une Reichsbanner schwarz-rot-gold, organisée militairement, non dépourvue d’armes, comptant des millions d’adhérents destinés expressément à tenir les SA en échec si le besoin s’en faisait sentir. Durant tout ce temps, on ne perçut rien de son existence, absolument rien, pas la moindre chose. Elle disparut sans laisser de trace, comme si elle n’avait jamais existé. Dans toute l’Allemagne, la résistance prenait tout au plus la forme d’un acte individuel désespéré — comme celui du syndicaliste de Köpenick. Les officiers de la Reichsbanner ne firent même pas mine de riposter quand les SA « reprirent » leurs locaux. Le Stahlhelm, l’armée des nationalistes, se laissa mettre au pas, puis dissoudre peu à peu, en récriminant, mais sans résister. Il n’y eut pas un seul exemple d’énergie défensive, de vaillance, de tenue. Il n’y eut que panique, fuite éperdue, apostasie. En mars 1933, des millions de personnes étaient encore prêtes au combat. Du jour au lendemain, elles se retrouvèrent sans chefs, sans armes, trahies. Une partie d’entre elles cherchèrent encore désespérément à rallier le Stahlhelm et les nationalistes quand il s’avéra que les autres ne se battaient pas. Le nombre de leurs adhérents enfla démesurément en l’espace de quelques semaines. Puis ils furent dissous eux aussi — et se rendirent sans combat.

Cette terrible capitulation morale des chefs de l’opposition est un trait fondamental de la « révolution » de mars 1933. Grâce à elle, les nazis eurent le triomphe facile. Il est vrai qu’en même temps elle remet en cause la valeur et la solidité de leur victoire. La croix gammée n’a pas été imprimée dans la masse allemande comme dans une matière récalcitrante, mais ferme et compacte. Elle l’a été comme dans une substance amorphe, élastique et pâteuse. Le jour venu, cette pâte est susceptible de prendre une autre forme, avec autant de facilité et sans plus de résistance. Il est vrai que depuis mars 1933 subsiste une question sans réponse : vaut-elle vraiment la peine d’être formée ? Car l’Allemagne a manifesté alors une faiblesse morale trop monstrueuse pour que l’histoire n’en tire pas un jour les conséquences.

Ailleurs, toute révolution, même si elle a laissé le peuple momentanément exsangue et affaibli, a toujours amené une remarquable potentialisation des énergies dans les deux camps en présence — aboutissant, à long terme, à l’émergence d’une nation considérablement plus forte. Qu’on considère la formidable quantité d’héroïsme, d’intrépidité, de grandeur humaine — mêlée sans doute à des débordements, des cruautés, des violences — qu’ont déployée dans la France révolutionnaire jacobins et royalistes, dans l’Espagne contemporaine franquistes et républicains ! Quelle que soit l’issue, la bravoure avec laquelle on a combattu demeure dans la conscience de la nation comme une inépuisable source d’énergie. À l’endroit où cette source devrait jaillir, les Allemands d’aujourd’hui n’ont que le souvenir de l’infamie, de la lâcheté, de la faiblesse. Cela ne peut manquer d’avoir des conséquences qui se manifesteront un jour, peut-être dans la dissolution de la nation allemande et de sa forme politique.

Le Troisième Reich est né de cette trahison de ses adversaires et du sentiment de désarroi, de faiblesse et de dégoût qu’elle a suscité. Le 5 mars, les nazis étaient encore minoritaires. Si de nouvelles élections avaient eu lieu trois semaines plus tard, ils auraient vraisemblablement eu la majorité. Ce n’était pas seulement l’effet de la terreur, ni de l’ivresse engendrée par les fêtes (les Allemands aiment à s’enivrer de fêtes patriotiques). L’élément décisif, c’est que la colère et le dégoût provoqués par la lâcheté et la traîtrise des chefs de l’opposition l’emportaient momentanément sur la colère et la haine à l’encontre du véritable ennemi. Dans le courant du mois de mars 1933, d’anciens opposants au parti nazi s’y rallièrent par centaines de milliers — les « victimes de mars », suspectées et méprisées par les nazis eux-mêmes. Surtout, pour la première fois, même des centaines de milliers d’ouvriers quittèrent leurs organisations sociales-démocrates ou communistes pour s’inscrire clans les « cellules » nazies ou s’enrôler dans la SA. Ils y étaient poussés par diverses raisons, et souvent plusieurs à la fois. Mais on aurait beau chercher longtemps, on n’en trouverait pas une seule dans le lot qui soit bonne, valable, inattaquable et positive — pas une seule de présentable. Le phénomène manifestait dans chaque cas particulier tous les symptômes d’une dépression brutale.

La raison la plus simple, qui s’avérait presque toujours, quand on creusait, la plus intime, c’était la peur. Frapper avec les bourreaux, pour ne pas être frappé. Ensuite, une ivresse mal définie, ivresse de l’unité, magnétisme de la masse. Puis, chez beaucoup, dégoût et ressentiment envers ceux qui les avaient laissés tomber. Puis un syllogisme étrange, typiquement allemand, qui déduisait : « Les adversaires des nazis se sont trompés dans toutes leurs prévisions. Ils ont affirmé que les nazis allaient perdre. Or, les nazis ont gagné. Donc, leurs adversaires avaient tort. Donc, les nazis ont raison. » Puis, chez quelques-uns (en particulier chez les intellectuels), la conviction de pouvoir encore changer le visage du parti nazi et l’infléchir dans leur direction en y adhérant eux-mêmes. Ensuite, bien entendu, la soumission pure et simple, l’opportunisme. Enfin, chez les plus primitifs, les plus frustes, dominés par l’instinct grégaire, un phénomène tel qu’il a pu s’en produire dans les temps mythologiques, quand une tribu vaincue abjurait son dieu tutélaire manifestement infidèle pour se mettre sous la protection du dieu de la tribu victorieuse. On avait cru en saint Marx, il n’avait pas secouru ses fidèles. Saint Hitler était manifestement plus puissant. Brisons donc les statues de saint Marx placées sur les autels pour consacrer ceux-ci à saint Hitler. Apprenons à prier : « C’est la faute aux juifs », au lieu de : « C’est la faute au capitalisme. » Peut-être est-ce là notre salut.

Comme on le voit, ce phénomène n’a rien que d’assez naturel ; il relève tout à fait du fonctionnement psychologique normal, et cela explique presque parfaitement ce qui semble inexplicable. La seule chose qui subsiste, c’est l’absence totale de ce qu’on nomme, chez un peuple comme chez un individu, de la « race » : à savoir un noyau dur, que les pressions et les tiraillements extérieurs ne parviennent pas à ébranler, une forme de noble fermeté, une réserve de fierté, de force d’âme, d’assurance, de dignité, cachée au plus intime de l’être et que l’on ne peut, précisément, mobiliser qu’à l’heure de l’épreuve. Cela, les Allemands ne le possèdent pas. Ils forment une nation inconstante, molle, dépourvue de squelette. Le mois de mars 1933 en a fourni la preuve. À l’instant du défi, quand les peuples de race se lèvent spontanément comme un seul homme, les Allemands, comme un seul homme, se sont effondrés ; ils ont molli, cédé, capitulé — bref : ils ont sombré par millions dans la dépression.
Le résultat de cette dépression généralisée fut le peuple uni, prêt à tout, qui est aujourd’hui le cauchemar du monde entier.

Tel est le processus évident, clair et bien délimité qui se présente aujourd’hui, avec le recul, à l’observateur. Tandis qu’il se déroulait, il m’était bien sûr impossible de le voir dans son ensemble. Je sentais bien, et c’était assez terrible, que tout cela était écœurant jusqu’à la nausée, mais j’étais incapable d’en saisir et d’en classer les éléments. Chaque fois qu’on essayait de comprendre, on voyait s’interposer comme un voile ces discussions infiniment oiseuses et stériles, toujours recommencées, au cours desquelles on s’efforçait de faire entrer les choses dans un système de notions politiques obsolètes qui ne leur était plus adapté. Comme ces discussions paraissent inconsistantes aujourd’hui, quand un caprice de la mémoire en fait remonter à la surface des bribes et des lambeaux ! Avec toute notre culture historique bourgeoise, nous étions intellectuellement démunis devant cette évolution qui ne s’était jamais produite dans tout ce que nous avions appris. Les explications étaient absurdes, les tentatives de justification parfaitement stupides — mais les constructions de fortune que la raison tentait d’édifier autour de ce sentiment d’effroi et de dégoût qui ne trompait pas étaient aussi désespérément superficielles. Tous les -ismes qu’on mobilisait étaient d’une inanité qui me fait frissonner quand j’y pense.

En outre, la vie quotidienne était un obstacle à l’analyse lucide — la vie qui continuait, encore que définitivement irréelle et spectrale, chaque jour tournée en dérision par les événements dans lesquels elle s’inscrivait. J’allais encore au tribunal, comme avant ; on y disait toujours le droit, comme si ce mot signifiait encore quelque chose, et le conseiller juif qui faisait partie de ma chambre siégeait toujours tranquillement en toge derrière la barre. Il est vrai que ses collègues le traitaient déjà avec cette délicatesse pleine de doigté qu’on témoigne aux grands malades. Je continuais d’appeler au téléphone mon amie Charlie, nous allions au cinéma, buvions du chianti dans un bistrot à vin, allions danser quelque part. Je continuais à voir des amis, à discuter avec des camarades, à fêter des anniversaires en famille — mais alors qu’en février on pouvait encore se demander si tout cela ne signifiait pas le triomphe de la vraie vie, de la réalité indestructible sur les agissements des nazis, on devait désormais admettre que ce n’était plus, au contraire, qu’un mécanisme automatique et creux qui démontrait à chaque instant le triomphe des puissances ennemies qui le submergeaient de toute part.

Et pourtant, curieusement, c’était entre autres choses la poursuite machinale de la vie quotidienne qui s’opposait à une quelconque réaction énergique et vitale contre la monstruosité. J’ai déjà dit comment la trahison et la lâcheté de leurs chefs avaient empêché les équipes des autres groupes politiques de se mobiliser contre les nazis. Cela n’explique pas pourquoi il n’y eut pas, ici, là ou ailleurs, un individu pour se dresser et se défendre spontanément, sinon contre l’ensemble, du moins contre quelque injustice particulière, quelque scandale survenu non loin de lui. (Je n’ignore pas que cette question inclut un reproche à l’égard de moi-même).

À cela s’opposait précisément le mécanisme de la vie courante. Il est probable que les révolutions, et l’histoire dans son ensemble, se dérouleraient bien différemment si les hommes étaient aujourd’hui encore ce qu’ils étaient peut-être dans l’antique cité d’Athènes : des êtres autonomes avec une relation à l’ensemble, au lieu d’être livrés pieds et poings liés à leur profession et à leur emploi du temps, dépendant d’une foule de choses qui les dépassent, éléments d’un mécanisme qu’ils ne contrôlent pas, marchant pour ainsi dire sur des rails et désemparés quand ils déraillent. La sécurité, la durée ne se trouvent que dans la routine quotidienne. A côté, c’est tout de suite la jungle. Tout Européen du XXe siècle le ressent confusément avec angoisse. C’est pourquoi il hésite à entreprendre quoi que ce soit qui pourrait le faire dérailler — une action hardie, inhabituelle, dont lui seul aurait pris l’initiative. D’où la possibilité de ces immenses catastrophes affectant la civilisation, telle que la domination nazie en Allemagne.

Certes, j’écumais de rage en ce mois de mars 1933. Certes, je faisais peur à ma famille avec des projets désordonnés : quitter la fonction publique, m’exiler, me convertir avec ostentation au judaïsme. Mais je me contentais de formuler ces intentions. Mon père, riche de l’expérience, point adaptée aux nouveaux événements, d’une vie qui s’était déroulée entre 1870 et 1933, minimisait, dédramatisait, tentait de contrer mes propos emphatiques par une discrète ironie. Il faut dire que j’étais habitué à son autorité, et pas encore très sûr de moi. En outre, le scepticisme tranquille m’a toujours convaincu davantage qu’une grandiloquence péremptoire ; j’ai mis longtemps à comprendre que dans ce cas particulier mon instinct de jeune homme avait effectivement raison contre la sagesse et l’expérience de mon père, et qu’il existe des choses que le scepticisme tranquille est impuissant à maîtriser. À l’époque, j’étais encore trop timide pour tirer les conséquences de mes intuitions.

Peut-être, n’est-ce pas, avais-je effectivement une vision déformée de la situation. Peut-être fallait-il l’endurer, laisser passer les choses. C’est seulement dans mon travail, protégé par les articles du Code civil et du Code de procédure civile, que je me sentais sûr de moi et mûr. Ces articles étaient toujours debout. Le palais de justice aussi. Son activité pouvait pour l’heure paraître vide de sens, mais elle ne s’était en rien modifiée. Peut-être qu’en fin de compte tout cela finirait par s’avérer durable et l’emporterait.

Donc, accomplir la routine quotidienne dans une expectative incertaine. Ravaler sa rage et son effroi ou les épancher à la table familiale en éclats stériles du plus haut comique. Vivant dans la même apathie que des millions d’autres individus, je laissais venir les choses.

Elles vinrent.

© Actes Sud

Voir aussi notre [de Sott.net] article « Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933) », de Sebastian Haffner ou quand l’histoire se répète… à l’échelle mondiale


[Voir aussi :
De la démocratie à la tyrannie
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]


Notes




Grande-Bretagne : des journalistes désillusionnés forment une alliance contre la censure de points de vue alternatif sur le coronavirus

[Source : anguillesousroche.com]

Ces journalistes affirment que les médias traditionnels ne remettent pas suffisamment en question les récits du gouvernement.

Un groupe de 26 journalistes s’est réuni pour dénoncer l’alarmisme du COVID-19 et la censure des points de vue alternatifs par les grands médias et les plateformes Big Tech depuis le début de la pandémie.

Selon le groupe, le résultat de cet alarmisme et de cette censure est que le public reçoit une « vision déformée de la vérité ».

Le groupe s’appelle « Holding the Line: Journalists Against COVID Censorship » (Tenir la ligne : Les journalistes contre la censure du COVID).

Il se compose principalement de journalistes basés au Royaume-Uni qui travaillent pour des journaux, des radiodiffuseurs et des sociétés de relations publiques en tant que salariés ou indépendants.

Les membres ont été interrogés par Press Gazette, la plupart préférant rester anonymes par crainte de représailles de la part de leurs employeurs.

Toutefois, certains étaient plus qu’heureux d’être nommés, notamment Sonia Elijah et Karen Harradine, journalistes d’investigation pour The Conservative Woman, Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, et Laura Berril, journaliste spécialisée dans les relations publiques et la technologie.

La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues.

Pour eux, les médias font un « travail incroyable ». Mais il existe des lacunes, notamment en ce qui concerne les reportages sur le COVID, telles que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement« .

Le groupe a accusé les médias britanniques de publier souvent des rapports « induisant la peur et parfois inexacts », qui créent à leur tour une hostilité envers ceux qui préféreraient ne pas recevoir les vaccins.

« C’est sans précédent la façon dont le COVID-19 a été rapporté au Royaume-Uni, mais pas seulement au Royaume-Uni, dans le monde entier », a déclaré Sonia Elijah, l’un des membres du groupe qui a autorisé Press Gazette à mentionner son nom.

« Il n’y a eu qu’un seul récit officiel dans les médias grand public et cela n’a pas changé avec le temps.

Il n’y a eu qu’une seule ‘vérité scientifique’ autorisée à être discutée : celle approuvée par les organismes de réglementation gouvernementaux du monde entier, et même cela a été très sélectif. Cela a donné au public une vision déformée de la vérité qui a été très préjudiciable. »

Elijah a exprimé son inquiétude quant à la censure des informations qui contredisent le récit fourni par la Trusted News Initiative.

« Pendant longtemps, nous avons été dans cette ère sombre de la censure qui a été incarnée par l’initiative Trusted News qui traverse les grandes technologies et tous les médias grand public », a-t-elle déclaré.

« Elle s’est articulée autour de cette guerre contre la désinformation ou la mésinformation, où tout ce qui allait à l’encontre du récit officiel n’était pas seulement vérifié, mais supprimé ou supprimé. »

Selon M. Gosling, le groupe se fait le champion d’un débat équilibré.

Gosling a déclaré : 

« Notre principale préoccupation est qu’il y a un lobby très puissant derrière beaucoup de ces mesures du COVID, y compris le traitement, l’absence de traitement et les vaccins, évidemment, mais il n’y a pas beaucoup de lobby dans l’autre sens. Et je pense que la plupart d’entre nous ont le sentiment que nos employeurs de toutes sortes n’ont pas représenté les deux côtés. »

Gosling a fait retirer par YouTube deux de ses interviews présentant des médecins prônant un traitement précoce après le diagnostic, l’efficacité de l’ivermectine et les dangers des vaccins « expérimentaux ».

Pour illustrer la couverture « parfois inexacte », il a cité un reportage de la BBC dans lequel le collaborateur affirme que le vaccin Pfizer est « 100 % sûr » pour les enfants âgés de 12 à 15 ans. Ce n’est qu’après sa plainte que la BBC a supprimé l’affirmation « choquante » et « dégoûtante » et a fourni une correction.

Gosling a ajouté : 

« Mon objectif est d’apporter un équilibre, c’est tout. Et aussi de faire remarquer au public que les journalistes ne choisissent pas toujours ce qui est publié. »

« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Analyse d’un Coup d’État institutionnel

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

Par Olivier Demets, fonctionnaire d’État [français] et inspecteur des finances publiques et sapeur pompier volontaire.

A partager en masse.

Gardez confiance !
Soutenez les derniers remparts institutionnels que sont les vrais serviteurs de l’État. Aidez-les à prendre leurs responsabilités en respectant le sens de leur engagement !






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur

[Source : lemediaen442.fr]

Pousser les Français à se faire vacciner en leur faisant peur de la mort, c’est la stratégie de dirigeants eux-mêmes dominés par la peur. Selon Marie-Estelle Dupont, psychologue, les marchands de peur comme Karine Lacombe sont les premiers à avoir peur. Leur personnalité leur dicte leur conduite.



La menace de la carotte et du bâton pour infantiliser, la maladie pour faire peur, le monde d’avant pour rassurer. Autant de dérivés de la méthode d’interrogatoire du méchant flic et du gentil flic qui donne une cigarette en échange d’aveux. Bon, ce n’est qu’une théorie, car quand ça ne marche désespérément pas, Big Pharma passe, avec ses médias, à la menace directe (Emmanuel Lechypre), aux insultes (Thomas Porcher). De la même façon, Emmanuel Macron est passé de l’enfumage médiatique à la répression sauvage contre les Gilets Jaunes, pour finir par totalement emprisonner (euh… confiner) la population.


[Voir : La clef de la libération – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?