DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Manifestation massive pro vaccination à Lyon : ils étaient 100.000 selon BFM, 30… selon vos yeux !

[Source : Le Libre Penseur]

Si on enlève les journalistes, les policiers et les curieux, il reste au maximum une trentaine de personnes ! Ces pauvres manifestants sont ce que représente réellement Macron dans l’opinion publique ou dans les précédentes élections, quasiment rien ! Ce n’est même pas un flop car un flop c’est déjà quelque chose de quantifiable ! Là on est dans le néant, dans l’inexistant !

En face, lorsque les images montrent des centaines de milliers de manifestants dans plus de 200 villes en France chaque samedi en plein juillet-août sous un soleil brûlant, BFM nous explique qu’ils ne représentent rien, que c’est une minorité de radicalisée !




Pass sanitaire : zone libre contre zone occupée, faites votre choix !

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Désormais, les personnes en contact avec le public devront être munies du fameux pass sanitaire, qui n’est pas près de disparaître, comme l’a enfin reconnu Olivier Véran – sans surprise aucune. Et la France, comme à son habitude, est divisée, capable du pire comme du meilleur. Des collaborationnistes empressés proposant des bracelets pour marquer les clients disciplinés, aux résistants réhabilitant fort à propos les zones libres, à chacun d’entre nous de faire son choix, entre deux visions du monde, entre deux visions de l’Homme.

Si vous aviez un doute, Olivier Véran l’a annoncé : le pass sanitaire ne sera pas forcément arrêté au 15 novembre – s’il existe des virus. Rassurez-vous, les virus ont toujours existé, ils ne vont pas disparaître. Donc, votre pass sanitaire non plus. Peut-être, comme Israël, bientôt dès 12 ans, il sera « possible » d’avoir sa 3e dose de vaccin. À la 4e, le café sera offert. Et l’on verra alors les triples vaccinés s’insurger contre l’incivilité des doubles vaccinés, nous vivons dans un monde merveilleux.

Aujourd’hui, comme aux heures d’Occupation les plus sombres, les Français sont divisés. En dehors de la masse qui suit le plus fort (comme à peu près partout), l’on retrouve certains activistes, plus royalistes que le Roi, plus fanatiques que l’Occupant, toujours prêts à démontrer leur inventivité. Ainsi, certains commerçants à Lille ont distribué des bracelets à leurs clients :

« La préfecture a fait part à l’AFP de son accord pour cette initiative, «qui doit faciliter, en particulier, l’identification des clients en terrasse et au bar et favoriser le respect de la réglementation, qui concourt à la prévention de l’épidémie» et est «donc bienvenue». »

En effet, marquer le bétail permet de le diriger plus facilement vers le bon parcage. En parlant de parcage, d’autres ont eu l’idée géniale de clore leur terrasse de café ou de restaurant, afin de mieux contrôler l’accès. L’efficacité, rien de tel… 

Dans le même temps, nombre d’établissements refusent simplement d’ouvrir leurs portes, car ils trouvent cela indigne, contraire à l’esprit même des lieux de convivialité que sont les bars et restaurants :

« Nous ne sommes absolument pas contre la vaccination, mais nous refusons d’appliquer le contrôle du pass sanitaire, « Ce n’est pas à nous de procéder à ce genre de contrôle » ». Contrôle qu’elles trouvent « largement discriminatoire et en totale opposition avec leur activité basée sur l’entraide, la solidarité, la convivialité ».

Des zones libres ont été crées dans toute la France,  par ces gens qui refusent de devenir les instruments d’une surveillance généralisée de la population. Et le problème se généralise – nombre de pompiers démissionnent, car devant se faire vacciner. Certains grands établissements se mettent en grève. Des terrasses sauvages voient le jour. Les manifestations s’enchaînent et grossissent. La France se réveille, la France française se lève contre la France globaliste.

A côté de cela, l’on voit l’hystérie des pseudos experts sur les plateaux télé, demandant à « pourrir la vie » de ces « connards » de non-vaccinés. Au-delà de Thierry Moreau qui vient d’avoir son heure de gloire, faire reposer la responsabilité des mesures liberticides sur les non-vaccinés est devenue courante dans le discours médiatique et a pour but de déresponsabiliser les gouvernants :

C’est de la haine. La haine contre ceux qui ne se soumettent pas. Elle a toujours existé dans les systèmes totalitaires – celui qui n’est pas soumis est un danger pour le système en général, il faut le détruire, aucune « tolérance » n’est possible, aucune « pluralité » n’est envisageable. 

L’argument sanitaire ici n’a plus sa place – à la fois car Israël montre bien que la vaccination massive n’empêche pas une hausse record de la mortalité, et parce qu’en France nous sommes à une quarantaine de décès certifiés conformes par jour quand de toute manière il meurt environ 1 700 personnes par jour et qu’il est toujours interdit de parler de traitement…

Et ne nous y trompons pas. Lorsque l’on parle d’Occupation, ce n’est pas seulement par analogie, mais dans le sens direct du terme, puisque nous avons des structures étatiques qui n’ont pas la maîtrise des décisions qu’elles prennent. L’Occupation d’un pays ne se fait pas uniquement avec des armées et des chars, elle se réalise par la prise de pouvoir sur un territoire et sa population. La gouvernance globalisée au nom d’une dictature sanitaire en est l’exemple aujourd’hui. Certains pays vont plus loin, d’autres moins loin, c’est une question de degré, pas de principe – cela dépend de leur niveau de souveraineté réelle et de la réactivité de la population.

Alors choisissez votre camp. Chacun fait son choix, tout silence est une abdication. Toute abdication est une collaboration.




Pass sanitaire à perpet’ : l’OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Le 27 août, l’OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l’heure de l’éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d’élargir le suivi électronique à d’autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l’on se soumet, l’on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le « nouveau monde » met en place ses instruments.

L’OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d’apparition d’un virus ou d’un autre. L’intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d’exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l’OMS [Ndlr : ⚠️Téléchargement automatique] :

Selon le document lui-même, en plus des « experts » de l’OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l’on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur « l’équité sanitaire » et « l’innovation » financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l’Organisation internationale de l’aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d’élaboration des normes de terminologie de la santé – bref, en charge de l’élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l’immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd’hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l’on trouve ceci :

« This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation.« 
[« Ce travail a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le gouvernement estonien, la Fondation Botnar, l’État du Koweït et la Fondation Rockefeller. »]

Sans commentaire.

En introduction, l’on apprend qu’il s’agit d’un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant – pourtant, pas très changeant depuis deux ans … 

« The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases.« 
[« Le présent document a été rédigé pour la pandémie mondiale de COVID-19 en cours. Ainsi, l’approche est conçue pour répondre à l’évolution de la science et aux besoins immédiats des pays dans ce contexte en mutation rapide. Pour cette raison, le document est publié à titre d’orientation provisoire. L’approche pourrait éventuellement être étendue à la saisie du statut vaccinal pour la protection contre d’autres maladies. »]

Donc, les pays n’ont pas de « besoin immédiat » de soigner cette maladie, ils ont un « besoin immédiat » de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d’autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l’on trouve un besoin.

Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n’est qu’un instrument permettant d’établir électroniquement l’existence d’une vaccination. Si c’est un instrument c’est neutre. Certes… cela met donc en place les « simples » instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l’électronique pour réaliser son fantasme. Et d’une excuse morale pour le faire passer – le culte sanitaire.

Et quelques phrases plus loin, l’on voit déjà apparaître l’incitation, notamment pour les voyages :

« Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”
[« De plus, en réponse à l’avis du CE RSI au Secrétariat, l’OMS travaille activement à la mise à jour de la conception de l’ICVP pour prendre en compte le statut COVID-19 des voyageurs, y compris la vaccination, les antécédents d’infection et les résultats des tests conformes aux spécifications DDCC:VS. En ce qui concerne l’ICVP, le CE RSI recommande en outre aux États membres « la reconnaissance de tous les vaccins COVID-19 qui ont reçu la liste d’utilisation d’urgence de l’OMS dans le contexte des voyages internationaux. En outre, les États membres sont encouragés à inclure des informations sur le statut de COVID-19, conformément aux directives de l’OMS, dans le livret de l’OMS contenant le Certificat international de vaccination et de prophylaxie ; et à utiliser la version numérisée lorsqu’elle est disponible. »]

L’instrument n’est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L’illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance – qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts – établir l’acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l’actualité, prouver la vaccination dans un but qui n’a rien de sanitaire :

« 2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care.« 
[« 2) PREUVE DE VACCINATION : les carnets de vaccination peuvent également fournir une preuve du statut vaccinal à des fins non liées aux soins de santé. »]

Ainsi est donné l’instrument d’apartheid sanitaire. L’utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la « maturité sociale » du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu’il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l’OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu’en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l’opinion nationale.

Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l’homme dans son humanité, conditionner l’accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l’enfermement des personnes malades, sans soins adaptés. 

Et n’oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations. 




Nous sommes en guerre !

Par Diane Vincero

« Nous sommes en guerre ! »

C’est l’annonce faite par E. Macron début 2020.

Terrifiés, nous aurions pu penser que les soldats allemands nous avaient à nouveau envahis (comme pendant la 2e guerre mondiale), ou un autre peuple peut-être ??

Mais, partout autour de nous, RIEN ! Pas un seul soldat étranger !!

Et pourtant, comme pendant la 2e guerre mondiale, il y a eu des confinements, des couvre-feux. Mais, toujours pas de soldats allemands ??!! Mais alors, en guerre CONTRE QUI ??? De quelle guerre s’agit-il ???? Que se passe-t-il ??

Pour comprendre, un « petit » retour en arrière s’impose d’abord. Aux temps lointains de l’âge du fer (1200 av. J.-C.), deux tribus se sont entre-tuées dans les Alpes italiennes sur les ordres de deux (petits) dirigeants adverses qui voulaient s’octroyer le fer, matériau « moderne » dont on venait de découvrir qu’il permettait la fabrication d’outils et d’armes. Ainsi, dans ces temps reculés, les petits dirigeants envoyaient déjà au « casse-pipe » des hommes manipulés pour les seuls intérêts de ces petits dirigeants. Mais, cela ne remonterait-il pas plutôt déjà aux origines de l’Homo sapiens ??

Toujours est-il que les siècles ont passé et que bien d’autres guerres se sont succédé (invasions romaines, guerre de 100 ans en 1337, guerre de religion au 16e siècle, guerres napoléoniennes, guerres mondiales, etc., etc.).

Guerres basées toutes sur le même stratagème depuis la nuit des temps : 1- sous couvert d’un beau principe : « défendre la patrie (elle a bon dos !!), aller tuer les “méchants ennemis” (ils ont aussi bon dos !!), etc. »,

2- toutes les stratégies manipulatoires possibles sont déployées (« il faut être un homme », « devenir un héros de guerre et avoir une belle médaille » posthume, c’est ballot !!…), puis l’inévitable culpabilisation (« si vous ne défendez pas la patrie, etc. », puis arrivent les ordres cinglants assortis de menaces de cour martiale et de décapitation),

3- et les jeunes soldats (de jeunes gamins, NOS enfants !!!) de se faire massacrer (dès l’âge de 18 ans à peine et même plus jeunes……) : « dégâts collatéraux inévitables » va-t-on nous dire… Il est vrai qu’en les prenant à 18 ans, ils sont encore très malléables !!… Et, pour que l’imposture ne se voie pas, on fera de grandes cérémonies de commémorations…

4- tout cela juste….. pour assouvir, EN RÉALITÉ, la soif de pouvoir et d’argent d’une poignée de dirigeants… Exactement comme à l’âge de fer… Vive l’indécrottable Homo sapiens !

***

Alors donc aujourd’hui, c’est quoi cette guerre qu’E. Macron a annoncée début 2020 ???

La réponse apparaît enfin : c’est la poignée de nos dirigeants qui a DECLARE LA GUERRE AU PEUPLE !!! UN VERITABLE SCOOP !!

La petite poignée de dirigeants face au PEUPLE SOUVERAIN

Et, chose incroyable, en Allemagne aussi, la même guerre est déclarée, à savoir, la poignée de dirigeants allemands contre le peuple allemand !! En Suisse pareil !! En Italie pareil !! En fait, dans chaque pays du monde, excepté dans certains pays nordiques…

Donc en fait, une guerre est déclarée à l’échelle mondiale : celle D’UNE POIGNEE DE DIRIGEANTS CONTRE… 7,8 MILLIARDS D’HABITANTS !!! UN VERITABLE SCOOP MONDIAL !!!

Et donc, changement radical de direction : c’est la poignée de dirigeants contre son propre peuple, cette fois. Pour réaliser « cet exploit », il fallait donc… Mais, où est donc passée « la fameuse recette de cuisine de la guerre » ?! Ah, ouf, la voici :

1- trouver le beau principe : « il y a une épouvantable mouche qui vole, du doux nom de coronavirus et qui tue »… (sachant qu’elle tue en réalité 0, 099% de la population, soit moins d’une personne sur mille…, – parmi des personnes âgées ou présentant des comorbidités – et que 999 personnes sur 1000 survivent…), autre beau principe : « il faut que tout le monde se protège et protège les autres », « nous allons prendre toutes les mesures indispensables pour limiter la propagation de cette affreuse mouche et protéger le peuple en fermant les restaurants, les cinémas, etc. donc en fait, en supprimant tous ses loisirs ». Mais, protéger de quoi déjà ???… Supprimer les loisirs = la carotte qui servira à l’étape suivante pour : obliger à se vacciner…

2- puis vous culpabiliser : « vous êtes des égoïstes, vous ne pensez qu’à vous », puis suivent les ordres violents : « vous aurez une amende si vous ne portez pas le masque », et plus violents encore : « votre contrat de travail/votre salaire va/vont être suspendu(s) si vous ne vous faites pas vacciner », et quoi encore après ?? Sanctions violentes = le bâton…

3- et enfin derrière toute cette mascarade, comme à chaque fois : le pouvoir et l’argent. Ici, celui reversé très généreusement à la poignée de dirigeants par Big pharma (l’industrie pharmaceutique).

Une recette infaillible qui a fait recette de tout temps !!!…

Oui, tout ça c’est bien beau, mais, comment y arriver, quand on est juste une petite poignée de dirigeants, pour faire obéir aveuglément tout un peuple de 67 millions de citoyens, voire 7,8 milliards d’habitants à l’échelle mondiale ??? Car là, il ne s’agit plus seulement de faire obéir une poignée de militaires déjà bien formatés à l’obéissance, ce sont 67 millions d’individus qu’il faut pousser dans l’enclos qui les attend… C’est quoi la recette ?

1-On s’assure d’abord d’être bien entourés et protégés par la police, la gendarmerie et l’armée, toutes bien formatées et instrumentalisées, boucliers pour les dirigeants qu’on détourne de leur fonction première qui est soi-disant de protéger le peuple, à qui on donne à certains, une partie des avantages réclamés, pour obtenir leur consentement et pour mieux les diviser entre eux et à qui on ordonne de s’opposer à ce peuple (dont ils sont pourtant issus et dont leurs familles sont aussi issues !!…), en devenant le bras armé de cette poignée de dirigeants avec la mission « suprême » de sanctionner ce peuple, puis de le charger pendant les manifestations… Le bataillon des « chiffons-tampons » manipulés à leur insu, tout comme de tout temps pendant les guerres. Tout cela, toujours pour les seuls intérêts de cette poignée de dirigeants…

2-Puis on délègue aussi ce rôle de « sanctionneurs » aux directeurs d’hôpitaux, de restaurants, d’établissements scolaires et universitaires, etc. pour cibler finalement tous les secteurs de la Société, le tout, comme un gigantesque millefeuille, couche de la Société par couche de la Société. Ces directeurs devenant à leur tour et de fait, le bras armé de ces dirigeants… De cette manière, le système fait tache d’huile et le nombre de personnes se rangeant docilement derrière cette poignée de dirigeants, comme des petites mains armées, enfle au fur et à

mesure. Et le tour est joué : le pouvoir de ces dirigeants trouve une résonnance de plus en plus étendue sur le peuple…

3-On incite aussi les citoyens, à un « très honorable devoir de citoyens », celui de la délation la plus étendue possible, notamment grâce à ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et grâce aussi à la plateforme du service de répression des fraudes du ministère de l’Économie et des Finances où les mêmes éléments peuvent être notifiés. Ainsi ces délateurs deviennent les collabos des temps modernes pour cette poignée de dirigeants, et contre le peuple français lui-même… Et la tache d’huile de s’étendre encore et encore. On sale, on poivre et c’est prêt !!

4-Parallèlement, on procède insensiblement, par étapes, en semant le brouillard par des ordres et contrordres successifs (pas de masques, puis masques obligatoires, pas de vaccination obligatoire, puis vaccination obligatoire, etc.), pour mieux tester et endormir la population, en augmentant progressivement les seuils d’exigences, pour atteindre celui de la VIOLENCE INOUÏE qui est celle d’aujourd’hui et qui s’intensifiera encore à l’avenir si nous ne bougeons pas…

Une véritable pyramide, au sommet — tout petit – de laquelle, se situent les dirigeants et, à la large base de laquelle se trouve tout le peuple. Il est amusant d’observer que c’est précisément grâce à cette très large base que la pyramide bénéficie de cette remarquable stabilité…

Pyramide de la sacro-sainte et éternelle hiérarchie (enseignée dès l’école maternelle…) :

Dirigeants

—————————————-

Police, gendarmerie, armée, directeurs

d’hôpitaux, de restaurants, d’établissements scolaires, etc.

———————————————————————————

Délateurs : sur le site de la répression des fraudes, chez vos voisins, etc.

—————————————————————————————————–

Le peuple français, soit 67 millions de citoyens et 7,8 milliards dans le monde

—————————————————————————————————————–

**

Alors oui, effectivement, nous sommes en guerre!…

France, terre non pas d’asile, mais de terrorisme

par ses propres (façon de parler…) dirigeants
contre son propre peuple.

Mais, que va-t-il se passer quand petit colibri va passer par là??

Eh bien, il va expliquer que si chacun de nous dit NON à tous ces ordres et bien cette poignée de dirigeants va se retrouver isolée sur la minuscule île déserte de leur immense perversion, de leur immense violence et de leur immense soif de pouvoir et d’argent, puisqu’il n’y aura plus personne pour sanctionner et répercuter leurs ordres violents !!! Et les collabos auront l’air bien sots…

C’est encore et toujours petit colibri qui a raison !

TOUS ENSEMBLE DISONS NON!!!

Petit colibri, symbole du Collectif Colibri

Et que se passerait- il si la pyramide s’inversait et que la pointe se retrouve en dessous ? La petite poignée de dirigeants se retrouverait écrasée par la très large base du peuple…

Le peuple français avec ses 67 millions de citoyens

Nos délateurs bien intentionnés

Police, etc., directeurs, etc.

Dirigeants

.

Que se passerait- il si on cessait de formater les enfants à l’obéissance aveugle dès la maternelle, si on cessait de les faire jouer à des jeux de guerre (ce qui permet de banaliser cette dernière), et plus encore, si on cessait de commercialiser tous ces jeux vidéos violents et abrutissants ?? Ce serait le point de départ d’un grand changement. Cela signifie que tout est à reprendre à partir de la base…

Donc, en attendant, c’est AUJOURD’HUI qu’il faut agir

et que chacun de nous (vacciné ou pas) doit dire NON !

À cette fin :

  • -nous avons maintenant à disposition, les textes de loi s’appliquant à la situation de chacun de nous pour l’obligation vaccinale et pour la suspension de contrat/salaire. Mettons notamment les supérieurs hiérarchiques face à leurs propres responsabilités
  • -nous pouvons boycotter les endroits où le pass vaccinal est exigé : c’est NON !! Cela déjoue la stratégie des dirigeants sur la suppression de nos loisirs. Que les restaurateurs, etc. se fédèrent aussi et disent également NON en s’appuyant sur les textes de loi existants.
  • -nous devons prendre soin de nous au milieu de cette tourmente terroriste et, si en septembre elle s’intensifie, nous n’hésiterons pas alors à nous mettre en arrêt de travail pour dépression, pour éviter un burn-out qui est dévastateur, et nous soignerons notre dépression (tristesse, envie de rien, difficultés à s’endormir et réveils nocturnes, voire cauchemars, en lien avec cette situation de terrorisme -, et manque d’appétit).
  • -nous nous associons à la plainte du CSAPE auprès de la Cour pénale internationale, contre nos dirigeants pour crimes contre l’humanité : https://www.csape.international/

Si chaque petit colibri que nous sommes (vacciné ou pas), y compris les policiers, les gendarmes, les militaires et toutes les personnes (directeurs, etc.) qui sont chargées de sévir, nous disons NON de ces différentes manières, alors nos dirigeants se retrouveront totalement impuissants…CQFD !!

Toute autre bonne idée est la bienvenue !!

Fleur symbole du Collectif Colibri



Le travail est-il encore un libre choix ?

Par Claude Janvier

Ce que vous allez lire est une lettre de l’Assurance Maladie, service médical, pays de la Loire, envoyée a un de ses employés qui refusait l’injection « obligatoire ». Trois pages coercitives explicatives, avec en conclusion l’obligation vaccinale fixée au 16 octobre 2021, dernier carat. Après cette date, s’il n’est pas vacciné, plus de travail et plus d’indemnités. Vous êtes bien assis ? Il vaut mieux, car lire cette prose abominable peut vous déclencher une crise de nausées aiguës.

« Assurance Maladie. Service médical. Pays de la Loire

Nantes, le 10 août 2021

Objet : Obligation vaccinale

Madame, Monsieur,

La loi n°2021-1040 relative à la gestion de la crise sanitaire a été promulguée le 5 août 2021 (JORF, 6 août).

Face aux risques élevés de rebond de l’épidémie de Covid-19, la vaccination devient une condition obligatoire d’exercice de l’activité professionnelle à l’égard des personnels exerçant au sein d’établissements, structures ou services limitativement listés, ainsi qu’à l’égard des professionnels de santé mentionnés à la quatrième partie du code de la santé publique (article 12 I.2°) et des personnes travaillant dans les mêmes locaux que lesdits professionnels (article 12 I.4°).

De plus, l’obligation de présentation d’un passe sanitaire, déjà en vigueur à l’égard des usagers des établissements relevant des secteurs sanitaire et médico-social, est étendue aux personnels intervenant dans ces lieux.

Les salariés du Service médical, au regard de la nature des missions de service public qu’ils accomplissent, entrent dans le champ d’application de ces nouvelles dispositions.

À compter du 7 août 2021, tous les personnels du Service médical, affectés au sein des échelons locaux et régionaux, doivent remplir l’obligation vaccinale pour exercer leur activité, à savoir :

  • – les praticiens-conseils et les infirmiers du Service médical, parce que les médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes et infirmiers, au regard de leur seul statut, font partie de la liste limitative des professionnels de santé soumis à l’obligation vaccinale par la loi,
  • – les personnels administratifs, ainsi que toute leur ligne hiérarchique (managers, agents de direction), travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé susvisés concernés par l’obligation vaccinale.

L’obligation vaccinale contre la covid-19 s’inscrit dans une logique d’interaction professionnelle : tous les personnels qui, compte tenu de leur activité et de la communauté de travail qu’ils forment, sont exposés au risque de contamination et peuvent exposer autrui, se trouvent dans le champ de l’obligation. En l’occurrence, les personnels administratifs, parce qu’ils travaillent dans les mêmes locaux que les praticiens conseils et les infirmiers du service médical, eux-mêmes au contact des assurés dans le cadre de leurs missions, sont concernés par les mêmes obligations.

Une période transitoire a été prévue par la loi pour permettre aux personnels soumis à l’obligation vaccinale de prendre leurs dispositions pour se conformer à cette nouvelle condition d’exercice.

Ainsi, les documents que les personnels ont à présenter à leur employeur sont les suivants :

Jusqu’au 14 septembre 2021 inclus

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut de l’un des documents précités, peuvent être présentés :

  • – le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises,

OU

  • – le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme, kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et d’au plus 72 heures.

Du 15 septembre au 15 octobre 2021 inclus

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents :

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut, de l’un des documents précités, peuvent être présentés :

  • – le justificatif de l’administration des doses de vaccins requises (un décret à paraître précisera la nature de ce document),

OU

  • – le justificatif attestant de l’administration d’au moins une des doses requises dans le cadre d’un schéma vaccinal comprenant plusieurs doses (un décret à paraître précisera la nature de ce document),

ET

  • – le résultat d’un examen de dépistage virologique RT-PCR ou antigénique ou d’un autotest supervisé par un professionnel de santé habilité (médecin, pharmacien, infirmier, sage-femme, kinésithérapeute…) ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et d’au plus 72 heures.

Il y a lieu de considérer que, pendant cette période, les salariés déjà engagés dans une démarche vaccinale (au moins 1 dose) complétée d’un test PCR ou antigénique ou autotest supervisé négatif, remplissent l’obligation.

À partir du 16 octobre 2021

Il vous est possible de présenter l’un de ces documents:

  • – le certificat de statut vaccinal,
  • – le certificat de rétablissement (pour sa durée de validité),
  • – le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut de l’un des documents précités, seul le justificatif de l’administration des doses de vaccins pourra être présenté.

Ainsi, à compter du 16 octobre 2021, l’obligation professionnelle vaccinale ne sera remplie que si les salariés concernés justifient d’un statut vaccinal complet ou d’une situation d’exonération à la vaccination (certificat de rétablissement ou de contre-indication à la vaccination).

Il ne sera plus possible de présenter des résultats d’examens virologiques à partir de cette date.

Les dispositions de la loi sont impératives : elles s’imposent tant aux salariés qu’à l’employeur, ce dernier n’ayant d’autre choix que de contrôler, quotidiennement à partir de ce jour et sous peine de contravention, le respect de l’obligation de présentation des certificats et justificatifs.

En cas de non-respect de l’obligation de présentation des documents, et ce dès le premier jour du manquement, votre activité professionnelle sera interdite : vos contrat de travail et rémunération seront suspendus. Seule la régularisation de votre situation administrative vous permettra de reprendre votre activité professionnelle.

Aussi, je vous invite à transmettre sans délai vos certificats et justificatifs selon les modalités suivantes : voir annexe 1 en fin de courrier.

Afin de faciliter vos démarches, vous bénéficiez d’une autorisation d’absence rémunérée pour vous rendre, sur votre temps de travail, aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre la covid-19.

Il vous suffit de transmettre à votre responsable votre convocation médicale.

Je mesure pleinement les impacts de la loi, tant dans votre vie personnelle que dans votre vie professionnelle. Toutefois, je tiens à vous rappeler notre priorité de préserver la continuité du service public rendu à nos assurés, dans un contexte de crise sanitaire qui requiert, de notre part à tous, une mobilisation exemplaire.

Au regard de ces enjeux inédits, je remercie chacun et chacune d’entre vous de prendre les diligences nécessaires pour permettre au Service médical de poursuivre ses missions au service de la solidarité nationale.

Pour le Directeur Général,

Le Médecin-conseil régional »

Direction régionale du Service médical des Pays de la Loire. 7 rue du Président Édouard Herriot – BP 73403 – 44034 Nantes cedex 1

Annexe 1 : Comment déclarer son statut vaccinal ?

Il relève de la responsabilité individuelle de chacun de transmettre ses justificatifs dans les délais.

À qui devez-vous adresser vos justificatifs ? Au service RH qui sera le seul habilité à recevoir et recenser ces documents.

À quelle adresse mail ? obligation-vaccinale-drsmpdl@assurance-maladie.fr

Pensez à renommer de manière lisible le document que vous allez nous envoyer : (Exemple : Dupont-PassSanitaire / Dupont-TestPCR-100821 /…) et à signer vos mails en précisant vos NOM, PRÉNOM et échelon d’affectation.

Quels documents nous adresser jusqu’au 14 septembre inclus :

  • le certificat de statut vaccinal,
  • le certificat de rétablissement,
  • le certificat médical de contre-indication à la vaccination.

À défaut, de l’un des documents précités, vous pourrez présenter:

  • le justificatif attestant de l’administration des doses de vaccins requises
  • OU le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé habilité, d’au plus 72 heures.

Pour les salariés concernés, cela signifie qu’il faudra donner un nouveau test tous les trois jours.

Pour ceux qui devront régulièrement transmettre un test, le résultat devra être adressé avant 10 h 30 au service RH (à l’adresse mail ci-dessus). À défaut, votre contrat de travail et votre rémunération seront suspendus (sauf si vous souhaitez poser un congé) jusqu’à régularisation de votre situation. Un courrier en ce sens vous sera adressé et/ou remis par votre direction locale.

Informations relatives à la protection de vos données :

  • La finalité de la collecte des données : le respect de la loi du 5 août 2021 imposant la présentation d’un pass sanitaire et la vaccination obligatoire.
  • Les modalités de recueil et de conservation des données : les données seront recueillies par le seul service RH qui les conservera sur un dossier informatique sécurisé sur le SDS.
  • Le délai de conservation : la suppression de toutes les données se fera à la fin de l’obligation vaccinale.
  • Le droit d’accès et de rectification aux données ainsi que le droit à leur limitation et d’opposition comme suit : Conformément aux dispositions du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), vous disposez d’un droit d’accès et de rectification aux données qui vous concernent ainsi que d’un droit de leur limitation et d’opposition. Ces droits s’exercent sur demande écrite de votre part adressée soit au Directeur de votre organisme de rattachement, soit au Délégué à la Protection des Données. »

Fin du courrier.

Non vous ne vous rêvez pas, nous sommes bien en France, en ce mois d’août 2021.

L’article 23 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 est totalement foulé aux pieds. Pourtant il stipule :

« Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. »

Les chefaillons de la république en mal d’autorité ont besoin urgemment de clarifier ce paragraphe.

Heureusement, vous pouvez contester via l’excellent site de Maître Brusa, Réaction 19, qui vous donne le modus operandi et aussi l’excellent site de Maître Di Vizio. J’invite tous les salariés qui ne veulent pas obéir à la doxa gouvernementale à utiliser les voies de recours. Vous pouvez gagner contre l’oppression. Le dernier lien est un guide juridique complet avec les modèles de lettres à envoyer.

Claude Janvier

Ecrivain, polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Liens :

https://reaction19.fr/reaction19/actualites/association-reaction19/asso-r19-aout-2021/180821-attestation-sur-lhonneur-autotest/

https://reaction19.fr/

https://www.divizio.fr/

https://www.infovaccin.fr/index.php?_lang=FR&alias=06-08-2021-guide-juridique




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

[Source : QG – Le média libre]

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 400 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du pass sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale.

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très défavorable. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

Vous souhaitez signer cette tribune?
Voici l’adresse mail où le faire :

tribune.liberte.expression@gmail.com
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Les 400 premiers signataires:

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université
  • Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux
  • Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques
  • Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement
  • Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique
  • Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »
  • Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins
  • Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon
  • Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université
  • Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3
  • Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan
  • Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public
  • David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre
  • Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED
  • Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM
  • Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris
  • Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle
  • Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique
  • Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »
  • Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice
  • Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours
  • Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes
  • Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour
  • Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
  • Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne
  • Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice
  • Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre
  • Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8
  • Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot
  • Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2
  • Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris
  • Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains
  • Colette Anné, mathématicienne au CNRS
  • Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie
  • Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS
  • Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier
  • Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest
  • Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie
  • Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires
  • Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI
  • Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes
  • Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université
  • Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes
  • Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie
  • François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS
  • Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique
  • Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier
  • Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark
  • René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA
  • Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel
  • Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris
  • Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre
  • Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur
  • Eloi Buat-Ménard, magistrat
  • Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire
  • Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public
  • Caroline Mecary, avocate 
  • Sendegul Aras, avocat
  • Bruno Raffi, avocat
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour
  • Nicole Foulquier, avocat
  • Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris
  • Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier
  • Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles 
  • Evie Jaumary-Lapeyre, avocat
  • Evelyne Carbonnell, avocate
  • Elodie Menant, comédienne, auteur
  • Grégori Baquet, comédien
  • Clémence Thioly, comédienne
  • Herrade Von Meier, comédienne
  • Nathalie Mann, comédienne
  • Hugues Leforestier, auteur, comédien
  • Myriam Boyer, comédienne
  • Fanny Cabon, comédienne
  • Lionel Gedebe, réalisateur
  • Samuel Ternoy, musicien
  • Béatrice Charrié, éditrice
  • Patricia Halmone, artiste peintre
  • Marc Menant, journaliste et écrivain
  • Benoit Ducene, traducteur et musicien
  • Elena Ducene, professionnelle de la culture
  • Anne Marie Begué-Simon, céramiste
  • Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure
  • Marie-José Minassian, philosophe, écrivain
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg
  • Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • David Esfandi, psychiatre et addictologue
  • Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur 
  • Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Eric Reboli, médecin urgentiste
  • Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin
  • Bernadette Meignan, médecin
  • Béatrice Fort, médecin hospitalier
  • Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Xavier Larvor, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Pierre Quentel, chirurgien urologue
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Philippe de Chazournes, médecin généraliste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Chlotilde Véron, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin
  • Monique Sroussi, médecin
  • Monique Lamizet, médecin
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe
  • Aurore Dessus, ostéopathe
  • Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue
  • Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL
  • Gisèle blanc, médecin
  • Cécile Loth, médecin du sport
  • Jean-Baptiste Mouzet, médecin
  • Bertand Jop, médecine, cardiologue
  • Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier
  • Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste
  • Malina Canolle, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien
  • Catherine Raulin, médecin ostéopathe
  • Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans
  • Francoise Douady, médecin
  • Francine Barouch, médecin 
  • Laurent Hervieux, médecin
  • Claude Chiche, médecin généraliste
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Philippe Lefebvre, médecin généraliste
  • Anne-Marie Begue-Simon, médecin
  • Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin
  • Jean-Paul Guérard, médecin
  • Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
  • Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur
  • Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Catherine Delmas, médecin
  • Christine Calatayud, infirmière
  • Jocelyne Cortier infirmière
  • Nathalie Hannhart, psychologue
  • Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges
  • Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie
  • René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Corinne Reverbel, docteur en biochimie
  • Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Rémi Saudax, pharmacien
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Justine Lewna, infirmière
  • Alice Uwamwezi, infirmière
  • Carole Jolly, infirmière
  • Pauline Ledoux, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, Infirmière
  • Nathalie Loizeau infirmière santé travail
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Daniel Robinson, médecin généraliste
  • Anne Maynadié, médecin généraliste
  • Richard Simon, cadre de santé
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier
  • Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat
  • Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
  • François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste
  • Nicolas Tetaz ingénieur spatial
  • Laurent Durinck, anesthésiste
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Christiane Lassalle, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin généraliste
  • Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL
  • Éric Portes, médecine générale
  • Valérie Papapietro, médecin généraliste
  • Catherine Solignac, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Véronique Chevalier, infirmière
  • Guillaume Renouf, infirmier
  • Marguerite Schnell, infirmière
  • Valérie Nesme, infirmière 
  • Nathalie Devaucoup, infirmière
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale
  • Christine Wahl, kinésithérapeute
  • Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute
  • Cindy Gual, ostéopathe
  • Léa B. Blanchet, ostéopathe
  • Alain Joseph, médecin généraliste
  • Francois Serres, médecin généraliste
  • Josiane Martelin, pharmacienne libérale
  • Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot
  • Rik Verhellen, chirurgien orthopédique
  • Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre
  • Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute
  • François de Chabalier, psychiatre
  • Delphine Rive, médecin généraliste
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste
  • Sophie Conord, médecin radiologue
  • Françoise Robinson, médecin
  • Thuy Chi Nguyen, médecin
  • Anne Crepy, médecin
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie
  • Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste
  • Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires
  • Jean-Christian Prévost, ostéopathe
  • Valérie Giraud, sage-femme, sexologue
  • Cléchet Sylvie, infirmière
  • Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale
  • Youssouf Djonouma, médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Eric Delcour, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste
  • Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Claire Delval, médecin généraliste
  • Christiane Renard, médecin généraliste
  • Geneviève Gueymard, médecin généraliste
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing
  • Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute
  • Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue
  • Pascale Allanic Gabsi, psychologue
  • Laurence Maury, psychologue
  • Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute
  • Gérard Martinez, psychologue clinicien
  • Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne 
  • Muriele Savigny, médecin psychiatre
  • Juliette Bianchi, médecin psychiatre
  • Vladislav Lebedko, médecin psychiatre
  • Sarah Loyer, psychologue
  • Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue
  • Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Alain Picard, pharmacien
  • Valérie Lecomte, infirmière
  • Khadidja Meziani, infirmière
  • Jean-Roch Aubertein, infirmier
  • Jocelyn Croze, praticien hospitalier en Odontologie
  • Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant
  • Céline Grenier, infirmière
  • Françoise Rodary, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Michel Thomas, médecin généraliste
  • Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice
  • Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute
  • Benoît Quentin, kinésithérapeute
  • Christelle Guicherd, psychologue clinicienne
  • Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie
  • Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie
  • Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile
  • Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute
  • Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute
  • Élisabeth Angoujard, radiologue 
  • Hélène Debruyne, orthophoniste 
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Julie Croze, orthophoniste
  • Sylvie Ruiz, infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Mathieu Armessen, ostéopathe
  • Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute 
  • Jocelyne Ndoye, psychologue
  • Sandra Rayer, psychologue
  • Viviane Truel, psychologue clinicienne
  • Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital
  • Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute
  • Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste
  • Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile
  • Catherine Vincent, aide-soignante
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Samuel Reslinger, aumônier hospitalier 
  • Françoise Gaillard, aide-soignante
  • Hervé Bery, auxiliaire de vie
  • Rose-Marie Castello, médecin
  • Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste
  • Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie
  • Julie Lioré, anthropologue
  • Laurent Trémel, sociologue
  • Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi
  • Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales
  • Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche
  • Hervé Laloy, professeur de philosophie
  • Françoise Marie, éducatrice spécialisée
  • Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur
  • Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur
  • Gérard Masselin, enseignant en CPGE
  • Pascal Borde, enseignant en CPGE
  • Sophie Thoron-Salert, enseignante
  • Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles
  • Cécile Mencaglia, professeur des écoles
  • Sandrine Barbelin, professeur des écoles
  • José Mata Diaz, professeur d’Espagnol
  • Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol
  • Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais
  • Christelle Pangallo, professeur d’Anglais
  • Alice Ageron, professeur d’Anglais
  • Pete Barker, professeur d’Anglais
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de Mathématiques
  • Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales
  • Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués
  • Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique
  • Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome 
  • Raphaël Leloup, professeur d’EPS
  • Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe
  • Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue
  • Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique
  • Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI
  • Christine Pinard, professeure de lettres modernes 
  • Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS
  • Frédéric Gobert, enseignant
  • Alain Letombe, enseignant
  • Christianne Joubert, enseignante
  • Tony Marzucchetti, professeur des écoles 
  • Julie Raveau, professeure des écoles
  • Michèle Rey, professeur des écoles retraitée
  • Heike Freire, philosophe et psychologue
  • Valérie Pradier, professeur des écoles
  • Sophie Melilli, professeur des écoles
  • Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol
  • Monique Bernardini, enseignante et responsable associative
  • Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée
  • Isabelle Pruvot, enseignante en lycée
  • Fatma Djoubri, professeure de SES
  • Thierry Flaget, conseiller d’éducation
  • Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie
  • Sandrine Napoléone, professeur des écoles
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques
  • Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie
  • Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré
  • Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale
  • Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres
  • Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences
  • Arthur Roncetto, bibliothécaire
  • Camille Secret, enseignante en CFA
  • Catherine Avice, enseignante
  • Sabine Calvino, enseignante
  • Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne
  • Carole Jensen, AESH en classes ULIS
  • Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS
  • Alaric Titeux, enseignant de la conduite
  • Anne Pajard, ingénieure d’étude
  • Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Pierre-Olav Lego, ingénieur
  • Bernard Cornut, ingénieur
  • Rosolino Lionti, Ingénieur
  • Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
  • Pascale Moro, ingénieur dans le spatial
  • Paolo Musardo, ingénieur électronicien
  • Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique
  • Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF
  • Pauline De Castro, conseillère sociale
  • Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée
  • Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information
  • Sophie Rey, éducation nationale
  • Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale
  • Marion Baillet, architecte
  • Rémi Astier, actuaire



Pour la liberté et contre le pass sanitaire et les obligations vaccinales cachées

Par Nicole Delépine

Ils sont venus, ils sont tous là, au moins tous ceux qui le pouvaient et de plus en plus nombreux de semaine en semaine, passant d’une centaine de villes en juillet à près de 300 le 28 août. Évidemment à 1000 par manif, cela fait encore plus que le chiffre officiel donné la veille (pour dégoûter de se déplacer ?). Nouvelle stratégie des communicants de E. Macron qui n’arrêtent pas d’inventer comment truquer…

Bref, vous regarderez vous-même des centaines de photos ou/et vidéos de la belle mobilisation du 28 août, où tous les Français n’étaient pas encore rentrés de vacances et pour beaucoup n’avaient pas encore réalisé l’ampleur des soucis et parfois des drames que la politique gouvernementale suscite.

De l’augmentation des prix (chauffage, alimentation, etc.) à la suppression des indemnités chômage pour d’autres), aux menaces de licenciement ou de suppression de salaire, à la pression des employeurs soumis aux injonctions gouvernementales minorant les conséquences prud’homales, les recours, etc. Les parents n’en pourront très vite plus non plus et rejoindront les rangs des partisans de la Liberté, harcelés par leurs enfants voulant s’inscrire à la danse ou au foot où les organisateurs soumis eux aussi insisteront pour les faire vacciner.

Ceux — là ne pèseront pas d’emblée (au-delà de leur responsabilité morale), les ennuis successifs liés aux procédures anti-harcèlement auxquelles ils s’exposent, victimes de la propagande. Pourtant celle — ci ne leur donne pas tous les droits et chacun doit bien peser ses responsabilités propres avant de se transformer en harceleur.

Les victimes des pressions à tous les étages

En dehors des labos commercialisant ces poisons pseudovaccins qui ont bien stipulé dans les contrats signés avec l’UE qu’ils seront dégagés de toute responsabilité en cas d’accident, ce n’est évidemment pas le cas de la directrice d’école qui va imposer la vaccination à ses enseignants à force de pression (elle-même pressurisée par le rectorat) ni même du directeur de clinique ou de service hospitalier harcelé par les ARS.

Les sadiques peuvent s’exprimer

Tous les « petits chefs » qui imposent à leur personnel des tests PCR à répétition y compris les vaccinés bien sûr tout aussi contaminants (seule BFM TV ne le sait pas et encore…) seront un jour amenés à répondre de leurs actes complices et sadiques, comme d’empêcher les familles d’accompagner leurs mourants ou même de séparer les vieillards au sein des EHPAD de leur propre chef…

Comme dit cette dame de 97 ans seule dans sa chambre depuis des lustres, pourquoi m’interdire de parler avec ma voisine de la chambre à côté ?1 Du sadisme, de la perversion à l’ombre de ces ordres mortifères.

Certes, tous ne seront pas poursuivis et condamnés, mais quelques-uns se retrouveront devant les tribunaux, le délit de harcèlement au travail étant maintenant bien reconnu. Et les autres trembleront de voir leur tour arriver.

DES MANIFESTATIONS MASSIVES ET JOYEUSES DANS DE TRÈS NOMBREUSES VILLES DE FRANCE

Des chiffres : de 300 000 à environ 3 millions 600 selon des sources policières. Peu importe le chiffre exact, un souffle de liberté se répand dans le pays et bien d’autres aussi comme l’Italie, ou Israël, la Grèce, l’Allemagne, l’Angleterre, etc.

Il ne s’arrêtera plus, car en même temps les conséquences de la politique criminelle de trop de pays occidentaux arrivent au grand jour avec les décès et accidents multiples liés aux pseudovaccins. L’impossibilité d’obtenir une immunité collective via ces substances géniques devient évidente et est même reconnue par des responsables sanitaires et la demande de rappel tous les six mois ouvre des yeux encore mi-clos. Et beaucoup de scientifiques se succèdent pour expliquer les raisons de l’échec. Chaque jour une nouvelle contribution.

28 août

« Le Dr David Bauer révèle les résultats de son étude : plus l’on reçoit de doses, plus notre niveau d’anticorps neutralisants diminue !! Avec 2 doses, on se retrouve avec 5 à 6 fois moins de ces anticorps qui sont les piliers de nos défenses immunitaires !! »2

La prise de conscience des adeptes de la secte Covid est lente, mais certaine, et les peuples se sont réveillés à temps avant que leur Grand Reset ne se soit vraiment installé.

« Ils » avaient juste oublié dans leur société basée sur l’intelligence artificielle — tout sauf intelligente — et les robots, que les humains ne se laisseront pas envoyer à l’abattoir comme les cochons, les vaches ou les poulets et qu’ils s’en trouveraient suffisamment pour être grains de sable capables d’enrayer la machine et de réveiller les endormis et les demi-éveillés. Et les ennuis de leurs familles ou amis vaccinés contribueront aussi à leur prise de conscience, après la nécessaire évocation du hasard et des coïncidences…

Ils avaient oublié l’HOMME.

Quelques images du 28 août

sont visibles, entre autres, sur le compte « anonyme citoyen » de tweeter et de Telegram, des grandes villes aux villages de quelques centaines d’habitants.

Ne vous privez pas d’aller les consulter, c’est bon pour le moral ! Cette vidéo d’un ami pas encore supprimée de YouTube également qui a participé à la manifestation parisienne :

Les nombreux cris de soutien à Raoult à Marseille comme la semaine précédente

Aix-en-Provence

ET LA CHAÎNE HUMAINE : emprunterons-nous la VOIE BALTE ?

La généticienne Alexandra Henrion-Caude nous rappelle la belle idée des Estoniens. Voulant libérer les pays baltes du joug soviétique. Ils ont en 1989 réalisé une chaîne de centaines de km reliant trois villes.

23 août 1989 : plus de deux millions de personnes ont formé une chaîne humaine de 687 kilomètres, partant de Vilnius (Lituanie) en passant par Riga (Lettonie) à Tallin (Estonie) et surnommée « la voie balte »3. Selon les estimations, plus d’un tiers de la population des pays baltes y pris part4.

UN EXEMPLE ACTUEL DES PAYS BALTES 5

« Nous refusons de nous battre les uns contre les autres » 

Aujourd’hui il ne s’agit plus d’obtenir l’indépendance, mais, comme les initiateurs l’annonçaient sur leur site internet (www.balticway2021.com), de montrer que les Baltes, vaccinés ou non, restent unis quoiqu’il arrive :

« Peu importe ce que vous pensez des événements actuels — que vous pensiez que nous avons une urgence médicale ou que la situation de Covid est fabriquée pour l’utilisation d’une politique oppressive et la restriction délibérée de nos libertés par les pouvoirs de contrôle. Vaccinés ou non, peu importe […]

Ils essaient de creuser un fossé entre nous, mais non, cela n’arrivera pas ! Nous refusons de nous battre les uns contre les autres, mais au lieu de cela, nous invitons chacun d’entre nous à se retrouver, à s’aimer et à être unis »

Pour une « société sans intimidation »

Les organisateurs, Rūdolfs Brēmanis (Lettonie), Robertas Vaišnoras (Lituanie), Hando Tõnumaa et Mariann Joonas (Estonie) expliquent ainsi les revendications portées par ce mouvement populaire :

« Nous sommes en faveur de la liberté de choix en matière de vaccination. Chacun a droit à l’intégrité de son corps.Nous sommes en faveur de l’égalité et de l’unité. Une société dans laquelle les gens sont confinés ne crée pas un milieu de vie sûr.Nous défendons une protection ciblée.

Nous devons protéger les groupes à risque de toute maladie et permettre au reste de la société de vivre une vie normale sans violer les droits de l’homme et les libertés. Une personne à risque a également le droit de décider elle-même du type de vie qu’elle souhaite.

Nous sommes favorables à la fourniture de statistiques et de données ouvertes et honnêtes. Une science transparente, un questionnement et un débat ouvert doivent être la base de la prise de décision.Nous voulons que plus d’attention soit accordée à la santé mentale. Nous sommes en faveur de messages positifs, inspirants et encourageants plutôt que négatifs, menaçants et intimidants.

Nous sommes en faveur d’une société sans intimidation. »

SAURONS-NOUS NOUS INSPIRER DE LA VOIE BALTE ?

L’appel du professeur de génétique Alexandra Henrion-Caude a commencé à être entendu le 28 août à Paris, place de la Bourse, mais aussi dans plusieurs villes de France à Morlaix, Bourges, Caen, Nice, une belle manière de resserrer les liens entre nous, les Humains après tant de tentatives de nous éloigner les uns des autres. Merci Alexandra.


[1] Aug 24, 2021

https://twitter.com/ab43395876a/status/1429673268613722115?s=28

[2] #manifs28août via @VSainement »

[3] Le 23 août 1989, cette date célèbre le 50ème anniversaire du pacte Molotov-Ribbentrop. Pourquoi manifester après 50 ans ? Parce que c’est seulement l’année précédente, en 1988, que le contenu de cet accord a été rendu public ! Les mouvements nationaux des trois pays baltes joignent alors leurs efforts pour faire un rassemblement massif : Le Front populaire d’Estonie, Le Front populaire de Lettonie, Le Mouvement réformateur de Lituanie. Ils suscitèrent une grande levée des peuples qui forma cette chaîne humaine avec la population des trois pays baltes. Ils en profitèrent pour réclamer l’indépendance illégalement annexés à l’URSS en juin 1940. ( K dit la Bible ? Deux millions de chaîne humaine — la voie Balte (k-dit-la-bible.com) )

[4] Une chaîne humaine, longue de 687 kilomètres, reliait Vilnius à Tallin, en passant par Riga, en opposition au régime soviétique. https://fr.euronews.com/2019/12/18/il…

[5] Voie Balte 2021 : une chaîne humaine contre la « dictature sanitaire » | Visegrád Post (visegradpost.com)




La vaccination devrait être rendue obligatoire cette semaine en France

[Source et auteur : Nicolas Bonnal]

La vaccination va être rendue obligatoire cette semaine en France (et ailleurs ?). Dixit Attal. Covidtracker.fr réclame 100% de vaccinés sur l’autel de la Bête. On va rigoler. Terreur républicaine en mode turbo tueur. Guerre et extermination au programme.

71.6 % des Français ont reçu au moins une dose de vaccin, 
63.9 % ont reçu toutes les doses requises.

Il reste à vacciner
28.4 % des Français avant d’atteindre un taux de vaccination de 100%.

VaccinTracker Combien de français ont été vaccinés contre la Covid19 ?

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal

INVITÉ RTL – Dans la lignée de ce qu’avait annoncé Emmanuel Macron le 12 juillet dernier, Gabriel Attal n’exclut pas la mise en place de la vaccination obligatoire pour tous les Français.

https://www.rtl.fr/actu/politique/vaccination-obligatoire-contre-le-coronavirus-a-peut-venir-a-un-moment-declare-attal-7900065819

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021.

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021 :

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal (rtl.fr)

Emmanuel Macron avait fait planer la menace d’un recours à la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour tous les Français, le 12 juillet dernier. Depuis, où en est-on ?  « On tend vers les 50 millions de Français ayant reçu une première dose », s’est-il félicité le porte-parole du gouvernement lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI ce dimanche 29 août. 

Interrogé sur la question d’une vaccination obligatoireGabriel Attal a estimé que « ça peut venir à un moment ». « Si on avait abordé cette campagne de vaccination en disant que le vaccin était obligatoire, je ne suis pas sûr qu’on en serait au résultat d’aujourd’hui », a-t-il néanmoins fait valoir. 

Quant aux manifestations contre le passe sanitaire et le vaccin, le porte-parole du gouvernement pointe du doigt « l’instrumentalisation de ces peurs, de ces craintes et de ces doutes à des fins politiques ». Il dénonce « l’hystérisation » faite par les « leaders » de ces mouvements et cite notamment l’ancien bras droit de Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle de 2017 Florian Philippot. 




Chômage | Un massacre social : « Nos dirigeants ont choisi de sacrifier des millions de Français », Benoît Collombat; Samuel Churin

[Source : Aphadolie]

Durée : 34 mn 52 / [1/3]

Certaines mesures de la réforme de l’assurance chômage devaient en vigueur au 1er juillet 2021. Le mode de calcul des allocations a été suspendu par le Conseil d’État mais le président affirme que les dernières mesures s’appliqueront au 1er octobre.

Synopsis :

« Ce qu’il faut bien que les gens comprennent, c’est que cette réforme, c’est la pire des réformes depuis le Conseil National de la Résistance, depuis 1946. C’est la plus grande attaque contre les pauvres. Oser faire plus d’un milliard d’euros d’économie par an sur les plus pauvres d’entre nous, c’est un immense scandale. »

« Sur le fond, cette réforme est un tel scandale que je ne vois pas comment le Conseil d’État pourrait ne pas la retoquer totalement. »

Le Conseil d’Etat a suspendu les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur le 1er juillet. Cette réforme, très décriée par les syndicats, modifie les règles de calcul des allocations chômage et instaure un système de bonus-malus pour les entreprises qui abuseraient des contrats courts. Le gouvernement avance que ce nouveau système luttera contre le recours aux contrats courts qui a explosé ces dernières années.

Cependant dans sa philosophie et surtout dans le contexte de crise économique due au Covid-19, la mise en œuvre de ce mode calcul se traduirait surtout par une précarisation pour des millions des d’intermittents et de précaires.

C’est en tout cas l’avis de Samuel Churin, comédien, porte-parole de la coordination des intermittents et précaires et membre du CNNR. Pour lui cette réforme va provoquer une catastrophe sociale et produire des inégalités de traitement entre les précaires. Ce serait aussi une rupture fondamentale avec le fonctionnement de l’assurance chômage.

La réforme avait déjà été suspendue à plusieurs reprises par le gouvernement à cause Covid-19. Mais l’exécutif reste déterminé à la faire passer. Le conseil n’a pas jugé sur le fond. Le ministère du Travail n’attend pas ce jugement et prépare déjà un autre projet de décret pour appliquer la nouvelle formule de calcul à compter du 1er octobre.


Bonus…

Durée : 1 mn 30 / [2/3]

La crise voulue et souhaitée par les serviles représentants de l’oligarchie – Georges Pompidou (Juin 1967).


Durée : 39 mn 55 / [3/3]

Synopsis :

Le chômage de masse est un choix, et non une fatalité : c’est la conclusion de la longue enquête de Benoît Collombat, journaliste et grand reporter, France Inter. Dans cet entretien, Salomé Saqué interroge le journaliste d’investigation sur ces moments clés où tout a basculé.

Comment et pourquoi les hommes politiques ont « remis les clés » de l’organisation du monde à la finance ?

Récit d’une victoire idéologique, celle du néolibéralisme.


Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Collombat

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15030

https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/nouvelles-regles-d-assurance-chomage/

https://www.journaldunet.com/management/guide-du-management/1197771-reforme-du-chomage-le-nouveau-calcul-suspendu-par-le-conseil-d-etat/

https://travail-emploi.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/assurance-chomage-la-reforme-entre-en-vigueur-ce-1er-juillet-2021

Le site : https://www.blast-info.fr/

Twitter : https://twitter.com/blast_france

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Vidéo :

[1] RÉFORME DU CHÔMAGE : UN MASSACRE SOCIAL – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

[2] L’ultralibéralisme : Georges Pompidou (Juin 1967) – Mr Aphadolie / YouTube

[3] CHÔMAGE : NOS DIRIGEANTS ONT CHOISI DE SACRIFIER DES MILLIONS DE FRANÇAIS – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

Photo :

Pour illustration

Voir notamment :

Lorsque le PDG de la JP Morgan demande à François Hollande de supprimer les droits aux salariés s’il veut que Paris devienne une City




Non, la France ne deviendra pas une « république islamique » !

Par Lucien Samir Oulahbib

Il est vrai que cette crainte d’Éric Zemmour (entre autres…) s’adjoint de deux données non quelconques  : « si Macron est réélu » et « si nous ne l’arrêtons pas ». Questionnons plutôt la seconde, la première étant sans doute probable quoiqu’encore incertaine tant depuis Chirac aucun des présidents suivants n’a fait plus d’un mandat.

Quand bien même diverses failles connues (justice, enseignement en particulier de l’histoire en Afrique, politique familiale, corrélation fausse entre pauvreté et délinquance comme je l’ai démontré…) et des falsifications dans les études démographiques y compris jusqu’aux prénoms en vogue dans les milieux dits « immigrés » — comme l’a montrée Michèle Tribalat à maintes reprises (ne serait-ce que réduire les flux de population en termes d’entrée et de sortie : ainsi l’entrée de 400 000 immigrés et la sortie de 350 000 natifs français ne signifient pas seulement que le « solde » resterait cependant « positif » ce qui est un non-sens politique !) force néanmoins est de constater, comme d’ailleurs le relève Pierre-Yves Rougeyron (Président du Cercle Aristote) que le débat consiste moins à se focaliser sur une « bougnoulophobie » primale (qui somme toute relève de la banale xénophobie qui touche tous les peuples aussi « déconstruits » et griffes ultra-limées soient-elles) que de se demander si l’enjeu premier ne consiste-t-il pas plutôt à se demander comment relever à nouveau la France pour qu’elle redevienne forte, puissante, à même de devenir comme sous Louis XIV, le phare du monde, dotée d’une démographie de plus en plus nombreuse (nos campagnes meurent), car une France de cent millions d’habitants pèsera bien plus ; du moins…

Du moins en effet si le renouveau multidimensionnel advient, à commencer par l’analyse et déjà le simple constat (rapide ici) : n’observez-vous pas que les (très) jeunes générations d’immigrés parlent pratiquement toutes français, même plus « franglais » comme les précédentes, par exemple le rap et autres ? Et même leurs mots grossiers qui il y a à peine 20 ans étaient encore entachés d’argot algérois et qui maintenant, sous couvert de verlan et certes de quelques mots ethniques (le « cheer » ou « bien fait pour toi » et « misquine » ou « minus » étant d’origine kabyle…) sont pour la plupart français, tels « bouffon » et d’autres encore touchant le lexique sexuel (il est vrai mis sous surveillance PC)…

Même les « voilées » avec leur jean moulant, maquillage magnifié, et selfies permanents, sans parler de leur souci de montrer qu’elles « mènent la baraque » en conduisant et en travaillant, montrent qu’elles savent bien qu’en cas de « remigration » leur mode de vie chèrement gagné (alors que leur mère trimait ou était cloîtrée comme encore maintenant néanmoins chez les nouveaux arrivants ou convertis) cette « liberté chérie » ne tiendra pas une seconde… Et, d’ailleurs, dans les actuelles manifestations et soutiens divers contre le totalitarisme hygiéniste et scientiste, certains de ces immigrés sont là, noyés certes dans la masse des « patriotes », mais sans que personne n’y trouve à redire…

Ne parlons pas de ces millions d’immigrés qui ne voient plus leur religion d’origine que comme une tradition culturelle qu’ils ne vont pas avouer évidemment publiquement, même s’ils se font taper du doigt moins par leurs congénères que par ces culturalistes relativistes pourtant autochtones qui, frappés d’orientalisme un tantinet raciste, voient d’un sale œil ces immigrés refuser de rester bamboula ou bougnoule pour devenir français d’esprit même s’ils ne s’appellent pas « Corine »…

En fait, toutes ces populations ont voté avec leurs pieds en fuyant des régimes honnis (mais devant lesquels nos intellectuels et dirigeants se pâment pourtant encore en y voyant pour certains des sommets civilisationnels inégalés). Et ce n’est pas, pour la majorité du moins, en vue de conquérir et « remplacer », mais précisément de vivre en secret, dans l’anonymat urbain, ce qu’elles ont saisi instinctivement des « valeurs occidentales » devenues aujourd’hui universelles du fait même qu’elles correspondent bien aux demandes objectives du développement humain lorsqu’il ne s’agit pas seulement de se conserver, mais aussi de progresser au sens de s’enrichir, s’embellir, atteindre le paroxysme de la puissance maîtrisée et non pas, bien entendu, de s’affaisser, s’amoindrir, se détruire comme le préconisent les défaitistes aujourd’hui au Pouvoir.

Cela coûte cependant pour ces populations immigrées, au sens où — comme l’indique Helmut Schoeck dans L’envie (p.95 par exemple) — leurs coreligionnaires moins chanceux en matière de « réussite sociale » vont rappeler à ceux qui s’intègrent, voire s’assimilent, qu’ils « trahissent » leurs « origines », etc. — autant d’expressions qui passeraient pour « identitaires » si elles étaient prononcées par des « blancs hétéronormés de plus de cinquante ans », mais qui sont reçues sans problème comme « expressions culturelles » par toute cette Secte tenant le Pouvoir, issue du néo-marxisme tiers-mondiste aujourd’hui recyclée dans le néo-léninisme queer et hygiéniste (apologie du « trans » de la transplantation des injections expérimentales), adepte du « variétisme » deleuzien et foucaldien ou comme cultiver l’espèce humaine en variétés diverses et mélangées (apologie du métissage obligatoire) — ce que récusent par ailleurs les fondamentalistes de tous bords. Ceci devient alors pain béni, en réalité, pour leurs idéologues racialistes et religieux qui ne veulent surtout pas voir cette masse immigrée se fondre dans la nation française comme « citoyens », car pour tous ces puristes, soit il s’agit de persister dans le « chacun chez soi », soit « chacun est un autre qui s’ignore » alors que les enjeux majeurs sont bel et bien ailleurs :

Comment faire en effet d’une part de la France à nouveau et déjà un pays qui va bien avant de prétendre autre chose ? Et, d’autre part, comment ce résultat pourrait alors propulser à nouveau notre pays au rang qui lui sied, non pas le premier en soi, mais en tant que singularité porteuse ancestrale d’un message universel (et non pas universaliste) au sens d’être détentrice d’un Code de Conduite capable de déchiffrer les mystères du Vrai, du Bien et du Beau, une emphase, certes, mais qui à l’époque de l’acmé française (17e) allait à l’évidence de soi.

De plus, si l’on veut que le « débat » de la prochaine présidentielle ne soit pas celui « piégeant » du « pour ou contre » l’immigration qui verra un clone de la Secte (encore en gestation comme dans I-robot) triompher au second tour, il conviendrait dès maintenant de ne pas sombrer dans ce défaitisme de fait en parlant de « république islamique » à moins que de part la prégnance du joug nihiliste queer exacerbé par un scientisme devenu fou des pans entiers de la population, y compris d’ailleurs autochtones, préfère en effet s’en protéger en se réfugiant dans le passéisme d’habitudes désuètes au vu de nos acquis civilisationnels montrant que la liberté et la justice restent premières pour le développement humain malgré les assauts conjoints des totalitarismes scientistes et intégristes.

Ceci ne veut cependant pas dire que la France et l’Europe doivent se substituer aux régimes et aux institutions mondiales faillis ou en déroute, ONU comprise, qui refusent de prendre en compte ce vaste problème noyé sous les définitions tronquées de « réfugié » et de « flux migratoires ». Mais il faut savoir hiérarchiser les combats. Du moins en stratégie politique.




LE SUICIDE DE CHARLIE HEBDO qui rejoint la pensée unique officielle

Reçu d’un ami Philippe C que je remercie.

Nicole Delépine

Philippe C. :

Imaginer Charlie Hebdo venir joindre sa voix à l’uniformisation est tout juste incroyable !

Je me réjouis que le CRIIGEN ait accepté d’abriter cette publication de M. Bourdineaud https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(Jean-Paul BOURDINEAUD est titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie. Il est professeur de biochimie et toxicologie environnementales à l’Université de Bordeaux, France. Il est éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et du International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics.)

« Cette confrontation ici entre Charlie Hebdo et un membre scientifique du Crrigen souligne, s’il en était besoin,  la puissance de la pensée unique qui, dans “le contexte”, arrive à assujettir ceux-là mêmes que nous pensions connaitre comme des esprits libres, critiques et indomptables ! »

[Note de Joseph : des esprits libres ou des fanatiques idéologiques antireligieux ?]

Enfin, pour mémoire, et en réponse au Président de la République qui orchestre, revendique et promeut  la discrimination sur les personnes non vaccinés :

– l’Avis rendu par le Conseil d’État le 1er avril 2021, déboutant un plaignant, mais le Juge des Référés (Ordonnance n° 450956) ne manque pas de souligner :

« …la vaccination, qui ne concerne encore qu’une faible fraction des personnes les plus vulnérables, elle n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus… »

Et

« …Les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier… »


Lettre à Charlie • C’est dur d’être vacciné par des cons…




Crise sanitaire : aidons nos proches à sortir de la manipulation

[Source : ripostelaique.com]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les médias ont relayé les prévisions de Ferguson (Oxford) promettant des millions de morts du coronavirus. Les politiques affirmaient que nous allions vivre une épidémie à l’instar des grandes pestes médiévales ou des XVIIe et XVIIIe siècle. Je m’attendais à compter les morts par dizaines de millions dans le monde. J’imaginais que nous aurions une telle surmortalité que nos populations diminueraient, comme lors de ces pestes auxquelles les scientifiques faisaient référence. J’ai douté, quand début 2021, les données démographiques mondiales et françaises m’ont permis de constater deux choses. Les taux de mortalité étaient les mêmes que ceux des quarante dernières années et la population mondiale continuait de croître. Et, en France, ni surmortalité tragique, ni baisse de la population. Aucun signe d’une épidémie au sens des historiens et des démographes, alors que la chose avait été scrupuleusement ancrée dans nos esprits. Nous avons tous été manipulés par la technique de l’ancrage. Elle consiste à donner un premier avis sur un événement ou une personne pour marquer l’esprit. On nous a annoncé une épidémie, il suffisait de compter les morts pour avoir raison. Pour en sortir et aider nos compatriotes, il existe deux méthodes. La première, les aider à sortir de leur fiction en leur apportant d’autres informations. C’est le but de cet article à exploiter autour de vous. La seconde, donner envie d’agir contre les conséquences toujours plus délirantes dont les manipulateurs tirent profit pour imposer leur volonté.

1. La mise en perspective de la mortalité : épidémie ?

Commençons par apporter la preuve de cette réalité démographique par le tableau produit par l’INSEE.

Le taux de mortalité pour 1000 habitants en 2020 (en gras) est semblable à ceux des années 1982 à 1986 et inférieur même à celui de 1983 (10,1). Une épidémie au sens des historiens et des démographes aurait provoqué quelques centaines de milliers ou millions de morts sur un ou deux ans. Cela se traduirait par un taux de mortalité voisinant les 20/1000 habitants avec 1,2 millions de morts par exemple, ou même 40/1000 h. avec environ 2,5 millions de morts. La leçon est là. La démographie est une science des grands nombres et elle a cela de redoutable qu’elle nous met les choses en perspective. Redoutable pour les manipulateurs à la petite semaine.

2. La mise en perspective de la mortalité mensuelle et journalière

Les médias ne cessent de nous traumatiser par le décompte macabre des morts par jour, prenant bien soin de livrer en pâture un chiffre isolé, preuve manifeste d’une œuvre de propagande et de manipulation, puisque le commun des mortels (sans jeu de mot) ne peut rien comprendre de ce qu’il signifie. Faisons ici cet effort. Prenons le nombre de morts moyen des 10 dernières années : 595 000/an. Divisons-le simplement par 365 jours, cela nous donne 1630 décès par jour. Les démographes savent par le suivi depuis des années que ce nombre varie selon les saisons avec un nombre plus élevé l’hiver que l’été par exemple. Évaluons les morts de la Covid annoncés par les journalistes relativement à ces morts journaliers. Quand ils nous parlent de 50 morts, de 100 morts ou même de 150 morts attribués à cette maladie (sans oublier que la moitié de ces morts, ce sont des personnes de plus de 80 ans), nous parlons de 50 ou 100/1630. Il serait plus loyal de suivre ce nombre-là et son évolution en la comparant sur plusieurs années pour apprécier la surmortalité. Exemple, ce jour-ci, cette année, 1677 morts, l’année dernière 1546, l’année précédente 1708. Tout deviendrait plus clair.

Constatons que la surmortalité a été très faible. Sur ces 6 dernières années, les trois mois les plus mortifères sont mars et avril 2020, période où ce virus va tuer des personnes très âgées, mais comparable et même légèrement inférieur à janvier 2017, pic d’une épidémie de grippe sévère. Même avril 2020 (65 900) ne dépasse pas janvier 2017 (66 990).

Cette seconde mise en perspective montre que la mortalité mensuelle n’a pas été épidémique au sens des historiens et démographes. La mortalité journalière de même. Quand les chiffres des démographes démontrent l’inverse de la désinformation au jour le jour. À ce jour, les chiffres de l’INSEE pour les 6 premiers mois de 2021. À l’exception de janvier 2021 (65 500), les mois suivants sont dans la ligne des mois d’hiver (56 000 à 57 000 décès) et mai et juin marquent le reflux (51 200 et 44 300 en juin) totalement comparable aux mois de juin des 6 dernières années.

Les commentaires de l’institut sont sans appel :
« Le nombre moyen de décès enregistrés quotidiennement, qui avait un peu augmenté en janvier 2021 par rapport à fin 2020, a diminué ensuite jusqu’à la mi-mars pour se stabiliser sur un plateau jusqu’à début mai. Il baisse depuis. Au cours du mois de janvier, environ 2 150 décès ont été enregistrés en moyenne chaque jour contre 2 035 la deuxième moitié du mois de décembre. En février, le nombre moyen de décès quotidien diminue et s’établit à 2 040, avec une baisse entre la première quinzaine et la seconde quinzaine. La baisse qui s’était poursuivie la première quinzaine de mars (avec 1 880 décès en moyenne par jour), fait place ensuite à une relative stabilisation jusqu’à début mai (avec 1 900 décès en moyenne par jour entre la mi-mai et la fin avril). La première quinzaine de mai, le nombre moyen de décès s’établit à 1 750 par jour. Il continue de diminuer ensuite et s’établit en moyenne à 1 620 décès par jour la seconde quinzaine de mai, soit un niveau qui se rapproche de celui de 2019.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5404610?sommaire=4487854

Et plus précisément encore, les tranches d’âges les plus jeunes meurent moins,, ce qui rend encore plus absurde les quelques cas exhibés en propagande concernant quelques jeunes décédés de la covid-19, pour ceux-là de manière certaine, évidemment :
« Le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 31 mai 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 12 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 5 %). Il est relativement stable pour les personnes âgées de 50 à 64 ans (+ 2 %). » (Insee)

3. Le critère de létalité

Le législateur comme le Conseil constitutionnel peuvent-ils alors se prévaloir d’une crise sanitaire au seul motif que le nombre de lits ne suffit pas à traiter des nouveaux malades ? Non, il s’agit-là d’une crise capacitaire, d’un mauvais dimensionnement de l’organisation hospitalière, d’un désordre dans le parcours de soin, entre les premiers soins de la médecine de ville, puis les cas graves à hospitaliser. La saturation hospitalière a largement résulté d’un interdit de soin en médecine de ville. N’ouvrons pas cette polémique. Mais y a-t-il un critère justifiant l’épidémie et la crise sanitaire ? Cherchons pour terminer du côté de la létalité. Une crise sanitaire n’a de sens pour limiter les activités économiques et atteindre aux libertés fondamentales, que si elle est de nature à tuer dans des proportions très élevée. C’est la létalité, soit le nombre de morts parmi les personnes ayant contracté la maladie sur une période. L’OMS et l’Institut Pasteur convergent pour un taux entre 0,5 % et 1 %, sachant qu’il varie selon les classes d’âge pour la covid-19. Quelle est la létalité du choléra ou d’Ebola par comparaison : pour le choléra, l’institut Pasteur mentionne deux données : 1,8 % et plus de 6 % pour les régions les plus exposées (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/cholera). Cela signifie, 2 fois plus ou 5 fois plus. Pour Ebola, l’OMS mentionne un taux de 50 %, avec des variations liées à des flambées jusqu’à 90 %. En clair, vous l’avez, vous mourrez. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease). La table des létalités montre que la covid-19 est très très loin derrière ces épidémies dévastatrices. La peste bubonique, à laquelle certains comparaient à la hâte ce nouveau coronavirus à une létalité de 30 à 60 % sans traitement indique l’OMS. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/plague). Bref, chacun voit que les maladies fatales : peste, cholera, VIH (Sida) durant les premières années ont une létalité dramatique, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il en est de même de la contagiosité, vitesse à laquelle une population diffuse en son sein la maladie.
Reste un dernier facteur qui serait celui de l’impuissance médicale. Il y a aussi crise sanitaire, ce qui fut le cas pour durant les premières années du Sida, avant l’avènement des traitements au milieu des années 90. Ce n’est pas le cas non plus.

En conclusion, que pouvons-nous dire sur les critères scientifiques qui permettraient de légitimer un état de crise sanitaire ? Que dire à nos amis encore sous l’emprise de cet ancrage ? Constatons-nous un pic de mortalité qui bouleverse les moyennes ? Non. Il aurait fallu doubler, tripler pour constater que la mortalité journalière explose vraiment. Rien de tout cela ne s’est produit, pas même lors des premiers mois de l’année 2020. Ce recul, nous démontre qu’il n’y a rien d’épidémique au sens premier de cette notion. Ni surmortalité, ni baisse de la population. Enfin, les deux derniers critères de létalité ou d’impuissance temporaire de la médecine n’existent pas. En conséquence, le législateur ne peut pas se prévaloir de critères qui motiverait un état de crise sanitaire du fait d’une hypothétique épidémie. Il faut éclairer nos élus, les députés en tête et plus encore réinformer nos concitoyens. Allez sur les sites, notez les chiffres, posez-leur des questions, dialoguez tranquillement, faites-les douter. Quand on est sous l’emprise d’un ancrage, il faut plusieurs discussions pour accepter d’interroger sa croyance. Il faut « désintoxiquer » nos contemporains.

Pierre-Antoine Pontoizeau




Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

Par Nicolas Bonnal

La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.

Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin ; je vais reprendre ce qu’il écrit sur les vaccins :

« L’un des rares médecins à avoir osé s’élever contre le monopole médical, le Dr Robert Mendelssohn, en accentuant sa position contre la médecine moderne la définissait comme une église aux quatre eaux bénites. La première d’entre elles, la “Vaccination”. Le Dr Mendelsohn l’avait qualifiée de “sécurité douteuse”. Cependant, d’autres médecins ont été plus explicites. »

Mullins fait le lien avec le chevalier « chloros » de l’apocalypse. Il ne faut pas avoir peur de recourir aux symboles, car nos monstres au pouvoir y ont tout le temps recours (cf. la chouette à Macron, voyez vigilantcitizen.com [ou Macron et son hibou]). Mullins donc :

« De ces quatre éléments, que l’on pourrait aussi appeler les Quatre Cavaliers de l’apocalypse; surtout connus pour causer la mort et la destruction dans leur sillage et dont le plus pernicieux avec ses effets à long terme serait sans aucun doute la vaccination. Cette pratique va directement à l’encontre de la découverte des experts médicaux holistiques modernes que le corps à une défense immunitaire naturelle contre la maladie. »

Le vaccin est un sacrement au service des puissances :

« La religion de la médecine moderne prétend que l’unique absolution contre le péril de l’infection est dispensée par l’eau bénite de la vaccination. Donc en injectant dans le système biologique une infection étrangère qui fera alors un miracle médical et conférera une immunité à vie, d’où le terme “immunisation”. La plus grande hérésie qu’un médecin puisse commettre est d’exprimer publiquement tout doute sur l’une des quatre eaux saintes, mais la plus profondément ancrée dans la pratique médicale moderne est sans nul doute cette multitude de programmes de vaccination. »

L’obligation n’est pas venue avec le coronavirus ou autre ; elle a toujours été là :

« Pourtant, dans l’État de Virginie, et dans beaucoup d’autres États, les parents sont obligés de faire vacciner leurs enfants par la profession médicale qui se fait payer pour ce service, mais en fait également des clients et patients potentiels et assure son avenir. L’écrivain se souvient bien des années vingt, alors écolier en Virginie, où pendant des semaines alors qu’aucune obligation de vaccination ne soit ordonnée par les autorités, chaque matin, l’enseignant commençait les cours en demandant : “Clarence, as-tu apporté ton certificat de vaccination aujourd’hui ?” Apparemment, il s’agissait là de la plus urgente question du système éducatif, ayant priorité sur les questions telles que les leçons et les études. »

Et Mullins alors évoque justement le culte de Baal (au culte duquel nous fûmes initiés moi et les enfants de mon âge par la télévision gaulliste) :

« Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la Fraternité De La Mort. Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. »

L’obsession pédophile et sacrificielle est déjà là :

« L’objectif actuel de l’Association Nationale de L’Éducation semble plutôt être la distribution à l’école de préservatifs par les enseignants, que le démarrage des activités de la journée.

L’urgence de ma vaccination n’était pas qu’il y ait une épidémie dans ma ville, Roanoke, ni pour dans les soixante années à venir. L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. »

Puis Mullins s’intéresse aux nombreuses, aux innombrables même morts inexplicables :

« Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle”. Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. »

Mullins écrit même :

« Le Dr Clarke n’a jamais vu de cas de cancer chez une personne non vaccinée. »

Parlant du Sida, Mullins écrit :

« Le monopole médical cherche désespérément une sorte de “vaccination’’ contre ces fléaux, et finira sans aucun doute par concocter un “vaccin plus redoutable que la maladie elle-même’’. Depuis le début, nos experts médicaux les plus éminents nous ont fièrement informés que le SIDA est incurable, ce qui n’est guère l’approche que nous attendons de ceux qui exigent que nous acceptions leur infaillibilité en tout ce qui touche à la médecine. »

La pratique de la vaccination est déjà un danger universel il y a cinquante ans :

« …le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : ”La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’État, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante, mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombres du siècle dernier. »

Et l’on découvre que l’on préfère déjà les porcs aux humains :

« Tout à coup, d’Atlanta, est venu le plan du CDC pour une campagne nationale de vaccination contre la “grippe porcine”. Le fait qu’il n’y ait pas eu un seul cas connu de cette grippe n’a pas dissuadé Big Pharma de suivre le plan. Les éleveurs de porcs avaient été choqués par les démonstrations du vaccin sur quelques porcs, qui s’effondraient et mourraient. On peut aisément imaginer l’angoisse de Big Pharma jusqu’à ce qu’un jeune homme brillant remarque: “Eh bien, si les éleveurs de porcs refusent de l’injecter à leur bétail, notre unique marché restant est de l’injecter aux humains. »

Retour sur la grippe espagnole :

« En conséquence, les hôpitaux militaires ont été remplis, non pas de blessés de combat, mais de victimes du vaccin. L’épidémie s’appelait “la grippe espagnole”, une appellation délibérément trompeuse, qui visait à dissimuler son origine.

Cette épidémie de grippe a fait vingt millions de victimes; ceux qui ont survécu étaient ceux qui avaient refusé le vaccin. »

Et on ne parlera ni de la variole ni de la polio… Je vous laisse découvrir ce livre extraordinaire.

Sources




Hôpital St Jacques, Besançon : Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires

[Source : Aphadolie]

Le 26 août 2021, devant l’hôpital St-Jacques à Besançon, des soignants révoltés ont organisé une action contre le Pass sanitaire pour accéder à l’hôpital ainsi que la vaccination obligatoire. « On ne pensait pas que ça allait finir comme ça », s’exclame une des soignantes en déchirant son diplôme.

Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires



Des soignants continuent de se mobiliser contre le Pass sanitaire et la vaccination obligatoire. 120 personnes se sont rassemblées devant l’hôpital Saint-Jacques, ce jeudi, après l’appel à manifester des syndicats FO, FSU et Sud.

Des infirmières ont ensuite brûlé des diplômes et jeté leur blouse, en symbole.

Une introduction orale avant l’action

Un communiqué commun à trois syndicats (Force ouvrière, Fédération syndicale unitaire et Sud solidaire) a été lu en début d’évènement pour situer leurs prises de positions actuelles dont voici quelques extraits :

« Les participants et participantes sont invitées à apporter un objet emblématique de leur travail méprisé. (…) blouse, équipement de protection, copie de diplôme etc. (…)  Le gouvernement par la loi du 6 août 2021 instrumentalise la crise sanitaire pour attaquer à nouveau le droit du travail. Des dizaines de salariés ayant pourtant fait la preuve de leur dévouement et de leur efficacité il y a peu, contraints et contraintes d’aller au travail sans protection, ont été parfois réquisitionnés malgré leur positivité. (…) se voient maintenant menacés de privation de salaire, de rupture de contrat de travail si elles ou ils refusent le vaccin.

Le gouvernement instrumentalise la crise pour organiser un contrôle et une surveillance généralisée sur la population et diviser la population entre vaccinés et non-vaccinés. Il instrumentalise la crise pour empêcher l’accès aux soins d’un certain nombre de malades ne disposant pas du précieux pass sanitaire. Ne reculant devant aucune remise en cause des droits des salariés, le gouvernement attaque le droit de grève.

Le jeudi 5 août, le ministre de la Santé a déclaré devant la presse lors d’une visite au centre hospitalier d’Aix-en-Provence : “Vient un temps où ces personnes n’auront plus le loisir de faire grève, puisque par définition, cette obligation vaccinale s’appliquera”. (…) En même temps la casse de l’hôpital public continue : suppression des lits, des postes, réorganisation ubuesque des services ».

Des soignants et des patients à protéger

Nous avons pu entrer en contact avec Ludivine Vinel, secrétaire générale de Force ouvrière au CHU de Besançon, qui a lancé le préavis de grève illimitée le 6 août 2021 et qui a organisé l’action du 6 août :

« Je suis indignée par le fait qu’on puisse suspendre mes collègues comme des malpropres, après les deux années particulièrement difficiles que nous venons de vivre. Je suis moi-même vaccinée depuis février, mais à cette époque, on avait la liberté de choisir. Comment ferons-nous sans mes collègues quand auront lieu les prochaines vagues épidémiques automnales et hivernales ? Et même hors période épidémique ! Ils sont essentiels. Vous rendez-vous compte qu’au CHU de Besançon, depuis octobre 2020, il n’y a plus de services de suites et de réadaptation ? Plus de vingt patients ont dû être redirigés ailleurs depuis, faute de médecin ! Et comment peut-on refuser l’accès aux soins à des patients qui n’auraient pas de Pass sanitaire ? C’est intolérable. C’est pour ces raisons que notre syndicat a lancé un préavis de grève illimitée dans le Doubs à compter du 9 août 2021, aux côtés de FSU et Sud Solidaire ».

Une force grandissante

Cette action n’est pas la première et ne sera sans doute pas la dernière, même si certains soignants militants sont actuellement réprimandés, convoqués ou menacés d’être suspendus pour leurs idées. Maria Cloarec, infirmière et membre du collectif soignants du département 05, nous explique que la première a eu lieu le 5 août 2021 à Briançon, qui a été suivie par Digne-les-Bains et Montélimar. Quant à Besançon, une autre action a été annoncée pour le 2 septembre 2021 devant l’espace Mandela pour protester contre le Pass sanitaire dans les lieux culturels et pour soutenir le personnel vacataire précaire qui risquent de perdre leur emploi, quelques jours après la manifestation du samedi 28 août Place de la Libération contre les mesures sanitaires actuelles.

Mobilisation devant l’hôpital St Jacques contre le Pass sanitaire à Besançon



Dans la continuité des actions proposées par l’Intersyndicale (FO 25, FSU25, Solidaires 25).

Les participants sont invités à apporter un objet de leur travail méprisé qui sera brûlé : blouse, équipement de protection, copie de diplôme, etc…


sources :

• nexus.fr/soignants-brulent
• 25.force-ouvriere.org/tous-ensemble-le-lundi-09-aout-a-16-h-30-sur-le-parvis-du-chru-de-besancon
• francebleu.fr/120-personnes-rassemblees-devant-l-hopital-saint-jacques-pour-protester-contre-le-pass-sanitaire




Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants

[Source : Truth11.com]

Open letter addressed to the European Medicines Agency (EMA) and its English equivalent (MHRA) by Holocaust survivors and some of their descendants.(([1] Holocaust survivors send open letter to the MHRA demanding an end to the Covid-19 Vaccine roll-out because they are seeing another Holocaust unfold before their eyes | Truth11.com))

Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants


August 25, 2021

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience. Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 2013 — une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité.

Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Remarque pour (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Remarque pour (b): Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant numéros de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves, ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige : « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains.

Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à tout moment, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, d’une compétence supérieure et d’un jugement prudent exigé de lui, que la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection.

La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thrombo-embolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin.

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils, filles et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.




L’exemple d’un grand Résistant : Stéphane Hessel

[Source : Cairn.info]

La vie miraculeuse de Stéphane Hessel(([1] Ce texte s’inspire d’un discours que l’auteur a tenu au Rotary Club de Cabourg lors de son Meeting du 23.10.2017 au Grand Hôtel de Cabourg.))

De Berlin à Paris : Jules et Jim

Stéphane Hessel est né le 20 octobre 1917 à Berlin, « l’année de la révolution soviétique », aimait-il à rappeler, dans une famille juive convertie au luthéranisme. Son père Franz Hessel ,(([2] En hommage à Franz Hessel un prix franco-allemand de littérature contemporaine a été conçu et organisé par la Villa Gillet à Lyon et la Fondation Genshagen. Depuis 2010 ce prix récompense chaque année de jeunes auteurs d’expression française et allemande. Le prix reçoit le soutien du Délégué du gouvernement fédéral allemand pour la Culture et les Médias (BKM) et du Ministère français de la Culture et de la Communication.)) un écrivain et traducteur, s’installe en 1906 à Paris où il rencontre une jeune peintre allemande, Hélène Grund. Ils se marient à Berlin en 1913, avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale. De ses années parisiennes, Franz Hessel a conservé l’amitié d’Henri-Pierre Roché, peintre, écrivain, collectionneur. La paix revenue, ils se retrouvent lors de vacances en Bavière où Hélène succombe au charme d’Henri-Pierre Roché. La mère de Stéphane aime donc Henri-Pierre Roché qui reste le meilleur ami de son père. En 1924, Hélène Hessel décide de venir vivre à Paris avec ses enfants Stéphane, 7 ans, et son frère Ulrich 10 ans, auprès de son amant. Henri-Pierre Roché a décrit cette relation triangulaire dans un roman Jules et Jim, le livre a paru en 1953. Le film de François Truffaut, sorti en 1962, immortalise « le ménage à trois » des parents de Stéphane Hessel avec Henri-Pierre Roché. Pour mémoire, les acteurs en sont Jeanne Moreau, Oskar Werner et Henri Serre.

Stéphane Hessel est élève de l’École alsacienne où il est reçu au bac philo en juillet 1933. Il n’a pas seize ans. Sa mère l’inscrit ensuite à la London School of Economics où l’on enseigne l’économie et la diplomatie. En juillet 1937, Stéphane Hessel est reçu au concours d’entrée de Normale sup. Le 20 octobre 1937, date de son vingtième anniversaire, il obtient son décret de naturalisation.

De la résistance au camp de concentration de Buchenwald

En 1939, quand le gouvernement décrète la mobilisation générale, il est affecté à l’école des aspirants de Saint-Maixent. La même année il se marie avec Vitia Mirkine Guetzévitch.(([3] Après le décès de Vita Mirkine Guetzévitch en 1985 Stéphane Hessel s’est remarié deux ans plus tard avec Christiane Chabry.)) À peine le mariage scellé, Stéphane Hessel rejoint son régiment près de Forbach. Prisonnier de guerre, il a écouté le discours que le général de Gaulle a prononcé à la radio de Londres le 18 juin 1940 prononcé sur les ondes de la BBC, un appel aux armes dans lequel il demande de ne pas cesser le combat contre le Troisième Reich. L’appel du Général de Gaulle n’avait pas eu un grand écho immédiat. Dans ses Mémoires de Guerre, de Gaulle évoque les prémices de l’Appel du 18 juin et la situation dans laquelle il se trouvait à Londres au début de ce mois de juin 1940 : « Je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendait franchir à la nage. ».(([4] Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, T1, L’Appel 1940-1942, Plon Paris 1959.)) Le gouvernement de Vichy le caricaturait comme « “Colonel en retraite” sans importance… ».

Stéphane Hessel décide sans hésitation de rejoindre la France libre à Londres. Le 20 mars 1941, Stéphane Hessel pose le pied en Angleterre à Bristol. Un mois après son arrivée, il franchit enfin le seuil du siège des Français libres à Carlton Gardens. On le dirige en juin vers Camberley, dans le Surrey, où s’opère le dispatching des volontaires. Durant neuf mois, il suit comme membre des Forces aériennes françaises libres une formation de la Royal Air Force comme navigateur. En mars 1942 il passe l’examen et devient air observer.

Le contingent français qui a suivi le Général de Gaulle en Angleterre n’étant pas très nombreux, celui-ci a pris l’habitude d’inviter de temps en temps – peu importe leur rang militaire – quelques volontaires de l’armée française libre à un déjeuner à sa résidence à Londres, qui se trouvait à l’hôtel Connaught, Carlos Place, Mayfair. Stéphane Hessel a été un des rares qui aient eu en mai 1941 le privilège d’être invité à la table du Général et de Madame de Gaulle. Il décrit en ces termes cette seule rencontre personnelle qu’il ait eue avec le Général : « Je le trouve beau, grand, j’aime bien sa façon de s’exprimer. Il se montre très courtois dans l’écoute de ses invités en prenant garde de ne pas trop écraser le déjeuner de sa présence. ».(([5] Manfred Flügge, Stéphane Hessel – Ein glücklicher Rebell, Aufbau Verlag, Berlin 2012, p. 80.)) En surmontant sa timidité il lui a confirmé l’admiration que les étudiants, et en particulier les normaliens ont exprimée pour son engagement à côté des Alliés et de leur dégout concernant la position prise par le Maréchal. Selon Hessel, la manière dont le Général s’exprimait, plutôt dans une manière littéraire que militaire, a facilité leur rapport. Madame de Gaulle observait une distance sans jamais dépasser les strictes conventions. Pour Stéphane Hessel la pression sur de Gaulle exercée par les autorités britanniques était visiblement énorme. Il a gardé de lui l’image d’un leader fier et jeune…

Ses supérieurs à Camberly jugèrent que ses capacités multilingues pourraient être plus utiles pour la libération de la France que ses connaissances comme navigateur dans les Forces aériennes françaises libres. Après un séjour de trois ans en Angleterre Stéphane Hessel accepte de rejoindre les services du contre-espionnage, c’est-à-dire le Bureau de renseignements et d’action (BCRA). Pour sa mission d’action à Paris où il arrive fin mars 1944 il prend le pseudonyme GRECO. Hélas, son service n’a duré qu’une centaine de jours : le 10 juillet 1944 il se fait arrêter lors d’un piège tendu par la Gendarmerie française au Café des Quatre Sergents, pas loin du cimetière Montparnasse où 70 ans plus tard il est enterré.

Après des interrogatoires – pour ne pas dire tortures – par la Gestapo à son siège parisien, 84 Avenue Foch, Hessel est déporté le 8 août 1944 au camp de concentration de Buchenwald (Weimar) où il arrive le 16 août 1944 comme prisonnier # 10003. Condamné à mort il arrive à survivre grâce à l’intervention incroyable d’un autre prisonnier, Eugen Kogon. Celui-ci, attaché au médecin-en-chef de Buchenwald, arrive à transférer à Stéphane Hessel l’identité d’un autre jeune français, Michel Boitel d’Amiens, mort le 20 octobre 1944 du typhus. Le même jour, son 27e anniversaire, la Ville de Weimar a établi un certificat de décès attestant la mort de « Stéphane Hessel, né à Paris, étudiant de philosophie ». Jusqu’à sa libération en mai 1945, Stéphane Hessel a donc porté le nom de Michel Boitel. Après sa libération, il a déclaré que, à plusieurs reprises que c’était « grâce à sa mort [qu’il avait] pu survivre ». Dans ce contexte macabre, il est étonnant que la même Ville de Weimar, exactement 68 ans plus tard, a refusé de décerner à Stéphane Hessel, devenu une célébrité mondiale, à l’occasion de son 95e anniversaire le 20 octobre 2012 sa citoyenneté d’honneur « par manque de justification des relations particulaires » avec cette ville.

Roland Dumas, ancien ministre et comme Stéphane Hessel lauréat du prix Adam-Mickiewicz, nous a livré le témoignage suivant :

« Stéphane Hessel était un de mes bons amis de la Résistance, de la guerre et de l’Occupation. Nous avons travaillé ensemble dans le Club des 22 survivants de la guerre.Il était marié avec l’une de mes amies. Pour vous dire que je souscris pleinement à votre idée de créer une société à sa mémoire. C’était un héros, il a quitté son pays, il a tourné le dos à l’Allemagne nazie, s’est engagé dans la Résistance et a été déporté.Il m’avait même demandé avant sa mort d’essayer de lui trouver dans les archives allemandes le procès-verbal d’audition qu’il avait eu avec les autorités de l’Occupation quand il a été arrêté. Je n’ai pas pu faire le nécessaire pour arriver à temps, il était mort avant ». (([6] Lettre à l’auteur du 19 octobre 2017.))

À maintes reprises Stéphane Hessel a souligné l’actualité du programme, mis au point de 1943 à 1944, et proclamé, le 15 mars 1944, du Conseil National de la Résistance (CNR) et qui réunissait les différents mouvements de la Résistance, puis les partis, les syndicats d’avant-guerre, etc. C’était un programme de gouvernement pour après la Libération. « Un ensemble de principes et de valeurs sur lesquels reposerait la démocratie moderne de notre pays ». « Ces principes et ces valeurs, nous en avons aujourd’hui le plus grand besoin », note Stéphane Hessel qui ajoute : « Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers ; pas cette société des sans-papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la Sécurité sociale, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance. ».(([7] Stéphane Hessel : « indignez-vous ! », Indigène éditions, Montpellier 2010, p. 7.))

INDIGNEZ VOUS (millebabords.org)

Les rescapés se retrouvent, chaque année, sur le plateau des Glières, haut lieu symbolique de la Résistance, qui avait réussi, en février-mars 1944, à transformer, sur cette plate-forme savoyarde, une défaite des armes en « victoire morale » des maquis de l’intérieur.

Au service de la diplomatie française

Admis, en novembre 1945, au concours des Affaires étrangères, il est affecté en 1946 comme son chef de cabinet auprès d’Henri Laugier, Secrétaire-Général adjoint au siège de l’ONU, qui se trouvait entre 1945-1951 temporairement à Lake Success (Nassau County, N.Y.). Comme secrétaire dans la troisième commission de l’assemblée générale chargée de préparer la rédaction de la charte des droits de l’homme, il est affecté à la section chargée de réunir les documents concernant les questions sociales et les droits de l’homme. Ces cinq années passées à l’ONU ont sans aucun doute marqué à jamais sa manière de voir les problèmes de l’humanité qui constituent le fil conducteur de sa pensée pendant toute sa vie. Et pourtant ayant quitté le siège de l’ONU pour retourner à Paris au Quai d’Orsay, il constate dans son autobiographie qu’il a eu « le sentiment d’avoir perdu la plupart de ses illusions concernant les Nations unies… ». Avant de rentrer à Paris, il a pris un congé de six mois à la campagne à Nemours pour rédiger un texte anthropologique-politique intitulé La société du vouloir-faire, qu’il n’a en fin de compte jamais terminé. Bien sûr, Hessel n’a jamais voulu mettre en doute l’importance de l’ONU, cette « formidable institution », comme il l’appelait. Mais comme idéaliste incorrigible jusqu’à la fin de ses jours, il était impatient devant l’absence d’une volonté politique commune des pays membres de l’organisation mondiale pour attaquer ensemble les problèmes souvent analysés et bien connus auxquels les peuples du monde doivent faire face.

Rentré en France an 1950, il poursuit sa carrière diplomatique dans divers postes, secrétariat des conférences au Quai d’Orsay, liaison avec Matignon, Conseiller aux Ambassades de Saigon et d’Alger, Conseiller auprès du Directeur-Général de l’UNESCO, Administrateur adjoint au PNUD, Ambassadeur et Délégué Permanent auprès de l’ONU et des organisations internationales à Genève. En 1982 il prend sa retraite. À la fin de sa carrière le Président Mitterrand l’a élevé à la dignité d’Ambassadeur de France. Voilà son commentaire ému : « Ça n’a l’air de rien, mais pour un Berlinois devenu français à l’âge de 20 ans, c’est assez formidable. Suprême symbole de ma francité qui me resterait attaché jusqu’à la mort. D’autant plus immérité, d’autant plus savoureux, que mon parcours au ministère avait été peu orthodoxe : aucune grande ambassade, pléthore de multilatéralisme. »

Stéphane Hessel, l’Europe et le Triangle de Weimar

Peut-être à cause de ses racines familiales : La famille paternelle de Stéphane Hessel est d’origine juive-polonaise, il est né allemand et a obtenu dans sa jeunesse la nationalité française. Ce sont sans doute ces racines familiales qui ont fait que la coopération étroite entre la France, l’Allemagne et la Pologne dans le cadre du Triangle de Weimar a eu pour lui une certaine fascination. Ainsi il a bien voulu accepter mon invitation de servir comme membre du Conseil consultatif du Comité pour la coopération franco-germano-polonaise dès sa formation. Il a participé comme orateur à de nombreuses conférences en France, en Allemagne et en Pologne.

L’Ambassadeur Stéphane Hessel, lui-même ancien déporté à Buchenwald, a dit sa déception de voir ce qu’on pourrait faire dans le cadre politique du Triangle de Weimar, lancé dès 1991, et qu’on ne fait pas. « La référence à Weimar doit être prise dans son sens le plus profond : Goethe et Buchenwald sont liés dans l’esprit des anciens et aussi des jeunes. » « Nos trois pays ont souffert du manque de liberté avec des réactions profondes, les mouvements révolutionnaires français, la résistance allemande au nazisme, Solidarnosc… Il y a une tradition de défendre la liberté, une volonté de combat contre tout ce qui opprime. / Il faudrait nommer trois personnes, un petit triangle, avec qui tous les littérateurs et chercheurs pourraient travailler. / Il faut redonner à l’Europe une dimension, une pensée : elle est la patrie du droit et des révoltes contre l’oppression, la patrie de la liberté. ».(([8] Extrait du compte rendu du Colloque trilatéral « Un nouveau souffle pour le Triangle de Weimar », organisé sous l’impulsion du Comité Triangle de Weimar le 2 avril 2009 à l’Ambassade de Pologne à Paris.))

S. Wolf, Maire de Weimar, H. von Moltke, Stéphane Hessel, Z. Najder, R. Süssmuth, KH Standke

En 2012, Stéphane Hessel s’associe à une initiative collective sous les auspices du Comité Triangle de Weimar lancée du Palais Présidentiel à Varsovie par Wladislaw Bartoszewski, Président du Comité Auschwitz-Birkenau, Jack Lang, ancien ministre, Rita Süssmuth, ancienne Présidente du Parlement allemand (Bundestag), Michal Kleiber, ancien ministre, Président de l’Académie des Sciences et moi-même. Cette démarche a permis de faire la collecte d’un montant de 120 000 € pour l’organisation d’une exposition itinérante et le financement d’un catalogue en langue allemande, française et polonaise « Redécouverts ».(([9] Stiftung Gedenkstätten Buchenwald und Mittelbau-Dora, Katalog zur Ausstellung Wiederentdeckt. Zeugnisse in der KZ-Gedenkstätte Mittelbau-Dora, 12. April- 31. Juli 2013, Jens-Christian Wagner (Éd.) im Auftrag der Stiftung Gedenkstätten Buchenwald und Mittelbau-Dora, Göttingen 2013.)) fait de documents et témoignages du camp de concentration de Holzen, disparus lors des marches de la mort du mois d’avril 1945, et qui ont fait une réapparition surprise au cours de l’été 2012 : 200 portraits de détenus et des annotations en provenance du kommando « Hecht », un camp extérieur du camp de Buchenwald près de Holzen, dans la région du Weserbergland. L’exposition, placée sous les auspices du Comité Triangle de Weimar, a été ouverte le 13 avril 2013 au camp de concentration de Mittelbau-Dora par la ministre-présidente de Thuringe, Christine Lieberknecht. Après sa fuite du camp de concentration de Buchenwald, Stéphane Hessel avait repris et envoyé au camp de Mittelbau-Dora où il est resté jusqu’à sa libération en mai 1945.

Stéphane Hessel et le Collegium International éthique, scientifique et politique

En 2002, des théoriciens et chercheurs de renom dans les domaines de la philosophie et des sciences se sont réunis dans le cadre du Parlement européen à Bruxelles pour créer le Collegium International éthique, politique et scientifique pour évaluer les dérèglements mondiaux. Président : Michel Rocard, Vice-Présidents : Stéphane Hessel et Mola Kučan. Secrétaire-Général : Sacha Goldman. www.collegium-international.org.

Mola Kučan. Michel Rocard, Stéphane Hessel

Pour mieux comprendre le « credo » de Stéphane Hessel, il me parait indispensable de situer la dernière décennie de sa vie dans le contexte du Collegium International dont il était un des co-fondateurs. Le texte qui suit nous offre une excellente synthèse de sa pensée :

« Il n’y a plus de temps à perdre. Les défis auxquels nous devons faire face dans l’immédiat sont connus, repérés et décrits. Les responsables sont ceux qui détiennent le pouvoir politique et ceux qui détiennent le pouvoir financier. Ce ne sont pas les mêmes. Les premiers n’ont pas appris à soumettre les seconds.

Nous savons ainsi que les défis sont interdépendants, aussi bien géographiquement que thématiquement. Ils ne concernent pas un pays, même le plus puissant, ni même une région aussi riche qu’elle soit, mais dans leur complexité, la planète tout entière. Le défi de la misère face à la richesse scandaleuse de quelques-uns, le défi de leur surexploitation des ressources de notre Terre, et enfin le défi de la haine des uns et la violence des autres doivent être abolis ensemble. C’est pourquoi il nous faut mettre en place un programme de réformes radicales autour duquel toutes les cultures et les civilisations conjuguent leurs efforts ».

Le Collegium International éthique scientifique et politique s’attèle à cette mission depuis maintenant dix ans. Il s’efforce de faire dialoguer entre eux, se répondre, s’écouter, d’anciens chefs d’États ou membres de gouvernement et des gens qui ont mené une réflexion individuelle forte sur les grands problèmes de l’économie, de la science, du devenir de l’humanité. Quand ils se rencontrent, ils doivent avoir un objectif commun qui est le bien de l’humanité… Attention, cette tâche est ardue mais elle est indispensable. Si on a un autre objectif, cela ne vaut rien. Il faut avoir cet objectif-là et si ces gens réunissent leurs expériences pour essayer d’élaborer la façon dont on peut l’atteindre, ils montreront la voie à suivre.

Leçon de la mondialisation par excellence, aucun État n’est aujourd’hui en mesure de faire respecter un ordre mondial et d’imposer les Indispensables régulations globales. Il faut donc travailler avec des modèles d’organisation alternatifs à l’hégémonie. Prix Nobel ou pas, le président des États-Unis (NB : Barack Obama KHS) n’est plus l’homme le plus puissant de la planète. La fin du rêve impérial américain, ensablé entre Bagdad et Kaboul, fait écho à la dislocation de l’empire soviétique, il y a une vingtaine d’années déjà. Après plus de trois siècles sous le régime westphalien de l’absolutisme des États nationaux, une autre ère s’ouvre dans les relations entre peuples, bousculant le réflexe national sur lequel reposent encore nos cultures politiques modernes.

Catastrophe écologique, récession économique, famines et pénuries, pandémies virales, instabilité politique, menaces terroristes et nucléaire… Il nous faut des réponses mondiales aux problèmes mondiaux. Devant ces crises monétaires, nous devons absolument prendre conscience de notre interdépendance. C’est la survie de l’humanité qui est en jeu ! Et cette survie passe par l’instauration d’une gouvernance mondiale digne de ce nom – pour sortir de la cacophonie décourageante qu’on a malheureusement pu constater à maintes occasions récentes. Car quels que soient les espoirs suscités par la mise en place d’un G20 ou par les gesticulations enthousiastes du président français (NB François Hollande KHS), il n’a, à l’heure actuelle, aucune gouvernance mondiale. Certes, des éléments de régulation internationale et quelques institutions agissent à l’échelle globale, mais la gouvernance mondiale, c’est bien plus : c’est la capacité de s’élever au-delà des marchandages entre intérêts nationaux pour prendre des décisions politiques planétaires – au nom de l’humanité.Hélas ! Aujourd’hui malgré quelques frémissements, la nécessité vitale de ce type de gouvernance n’est pas encore comprise. Les intérêts nationaux, autant dire « les égoïsmes, prévalent encore, transformant chaque rencontre internationale en séance de marchandages sordides. Que ce soit en manière de lutte contre le climat, sur les questions énergétiques, la sécurité collective ou le commerce international, l’incapacité à s’élever au niveau des enjeux est patente. Tous les échecs sont évidemment connectés et il est impensable de les considérer séparément. : dans ce genre de jeu somme nulle, chaque concession est vécue comme une défaite. Cette myopie persistante des acteurs étatiques est la marque d’un terrible échec politique.

Ne nous y trompons pas, ce que révèle, par exemple, l’incapacité des marchés intégrés à prendre en compte les externalités négatives de l’économie mondialisée, ce sont les limites flagrantes d’un système international purement étatique. Plus que jamais, les défis planétaires du XXIe siècle viennent remettre en question La notion de souveraineté étatique et son expression internationale : l’intergouvernementalisme. L’intervention croissante d’acteurs non étatiques (firmes multinationales, réseaux criminels, terroristes ou mafieux, organisations transnationales) a, depuis quelques décennies complètement bouleversé le jeu traditionnel de l’équilibre des puissances. Portant une vision alternative de l’intérêt général, parfois en opposition avec celle que sont censés incarner les États, certaines grandes ONG incarnant même, au niveau global, une nouvelle forme de représentation citoyenne. À l’heure où se joue notre avenir à tous, il est temps d’intéresser les peuples du monde au façonnement de leur propre destin, en tant qu’humanité.

Ainsi, la réforme en profondeur du seul embryon de gouvernance mondiale existant aujourd’hui, l’Onu, semble indispensable. De la Déclaration universelle des droits de l’homme à la proclamation des Objectifs du millénium ou de la Sécurité humaine, les valeurs qui inspirent n’ont jamais eu meilleure pertinence. Il ne s’agit pas uniquement de réformer le Conseil de sécurité des Nations unies, même si c’est nécessaire. Il s’agit d’approfondir, la représentativité, la responsabilité et la légitimité de tous ses organes. Après soixante années de relative hibernation à l’ombre glaçante d’empires totalitaires ou de démocraties impériales, son action peut enfin devenir efficace et contribuer à l’émergence d’une gouvernance politique mondiale.

Bien qu’indispensable, la réforme de cette formidable institution ne suffira pas. Car toute la problématique est de parvenir à dépasser l’intergouvernementalisme. Bien sûr, les États restent légitimes pour représenter leurs peuples, cependant l’heure n’est plus à la souveraineté nationale, mais à la souveraineté mondiale. Au moment où se dessinent les contours d’une véritable société-monde, c’est une double légitimité que nous devons construire : celle de la règle de droit comme principe d’organisation, et celle d’un système d’organes capable de catalyser des décisions politiques planétaires – au nom de l’homme.

Nous en appelons à fonder cette « communauté mondiale » dont il est temps de préciser enfin la stratégie opérationnelle sur les valeurs inaliénables, comme celles qui figurent dans le Préambule des Nations unies. Elle ne peut pas demeurer cette entité vague dénuée d’incarnation politique et trop souvent méconnue comme une forme déguisée de passé colonial.

Légitimité et représentativité des acteurs non-étatiques, souveraineté de l‘humanité, régulations internationales, droit universel… : le chantier de la gouvernance universelle se prête aujourd’hui plus que jamais à une réflexion existentielle profonde et urgente.

Pour finir, voici une pensée qui m’est très chère de Rainer Maria Rilke, qui nous dit : “Nous sommes des abeilles qui butinons le visible pour lui donner toute sa force dans l’invisible.” ».(([10] Stéphane Hessel et al.Le monde n’a plus de temps à perdre. Appel du Collegium International pour une gouvernance mondiale solidaire et responsable avec Mireille Delmas-Marty, Michael W. Doyle, Stéphane Hessel, Bernard Miyet, Edgar Morin, René Passet, Michel Rocard, Peter Sloterdijk.
Coordination éditoriale : Sacha Goldman. LLL Les liens qui libèrent, Paris 2012.))

L’héritage de Stéphane Hessel

Un jour, à Weimar, Stéphane Hessel m’avait confié, plein d’ironie et de sarcasme : « pour être reconnu dans ce monde, on doit passer le cap des 90 ans ». En effet, sa notoriété mondiale a commencé lorsqu’il a publié à l’âge de 93 ans une brochure de quatorze pages qui n’a même pas la longueur d’un script de conférence. Indignez vous(([11] Indigène éditions, Montpellier 2010.)) a obtenu un succès sans précédent. Ce petit livre a fait de lui « une sorte d’icône de toutes les révoltes, un porte-parole des sans-voix, protecteur des justes causes. Son ange gardien n’a même pas eu le temps de le prévenir que SH était hissé au rang de grande conscience internationale réclamé de partout… ».(([12] Jean Michel Helvig, Stéphane Hessel : L’homme du siècle, La Libération, 27 février 2013.
Mars 2012, AFP.)) Selon Stéphane Hessel lui-même, le succès foudroyant de sa brochure, publiée à 4,5 millions d’exemplaires et traduite en quarante langues, « est encore un étonnement pour moi, mais cela s’explique par un moment historique. Les sociétés sont perdues et se demandent comment faire pour s’en sortir et cherchent un sens à l’aventure humaine ». Dans une de ses dernières interviews Stéphane Hessel a répondu à la question « Quels conseils pouvez-vous donner aux jeunes d’aujourd’hui ? » comme suit : « Garder sa faculté d’indignation, de non-acceptation. Les jeunes ne doivent pas accepter l’injustice, la cupidité, le pouvoir non contrôlé. Quelle que soit la cause, ayez le goût de résistance, ne serait-ce pour rester digne… ».

Un hommage national a été rendu le 7 mars 2013 à Stéphane Hessel, aux Invalides. Dans son éloge funèbre, le Président de la République a salué en Stéphane Hessel « une conscience, un grand Français, un Juste ». Les honneurs militaires ont été rendus à l’ancien résistant. Stéphane Hessel a été inhumé au cimetière Montparnasse. Edgar Morin et Michel Rocard ont prononcé les discours d’adieu. Les émouvantes obsèques populaires, à la fois familiales et amicales, ont été marquées par deux discours, l’un de Michel Rocard, l’autre d’Edgar Morin.

Après la mort de Stéphane Hessel un groupe de ses amis a déclaré : « Nous avons maintenant une mission : celle de transmettre ses valeurs, sa pensée qui doivent à tous et particulièrement aux jeunes générations, nous servir de modèle pour l’avenir. » Dans le même esprit des personnalités qui se sentent proches de Stéphane, ses fidèles et ses admirateurs ont répondu favorablement à ma suggestion de fonder en sa mémoire, le 20 octobre 2017, le jour de son 100e anniversaire, une « Société Franco-Allemande Stéphane Hessel – Deutsch-Französische Stéphane-Hessel-Gesellschaft » dont le siège est à Berlin et à Paris.(([13] Parmi les membres fondateurs on trouve les noms de Peter von Becker, Roland Dumas, Sacha Goldman, Hans Herth, Michael Kogon, Jack Lang, Christine Lieberknecht, Hélène Miard-Delacroix, Edgar Morin, Klaus-Heinrich Standke, Hans Stark, Rita Süssmuth, Uwe Thomas, Jérôme Vaillant, Gilles Vanderpooten, Georges Wagner-Jourdain, Jens-Christian Wagner, Nike Wagner, Bernard A. Wolfer et al.
Christiane Chabry-Hessel en a accepté la Présidence d’honneur.))

À l’occasion d’un Dîner solennel donné par Christiane Hessel le 14 novembre 2017 pour le centenaire de la naissance de son mari au Théâtre du Soleil à la Cartoucherie de Vincennes, Edgar Morin a rendu un hommage émouvant à son ami :

« Au centenaire de la naissance de Stéphane, quatre années après son décès, son esprit reste vivant, plus vivant que jamais. Son message profond contient l’indignez-vous mais ne s’y résume pas.Son message profond est d’abord RÉSISTEZ.Résistez comme il l’a fait toute sa vie, après sa résistance contre le nazisme, dans la résistance à l’injustice, à l’humiliation, à toutes les vieilles barbaries renaissantes de domination, haine et mépris et aussi contre la barbarie glacée de la domination du calcul insensible et du profit insatiable née de notre civilisation même.ENGAGEZ-VOUS dans l’aventure incertaine de l’humanité vouée à tant de périls qui nous relie en une communauté de destin planétaire.Engagez-vous pour que s’épanouisse en vous et en autrui la poésie de l’existence qui est communion, ferveur, amour AIMEZ. Dans la lutte gigantesque et infinie entre Éros et Thanatos, prenez hardiment le parti d’Éros, il vous tonifiera comme il a tonifié notre ami le grand Stéphane Hessel. »

Notes




Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]



Robert F. Kennedy Jr. explique dans cette vidéo récente pourquoi nous devons tous nous mobiliser maintenant et résister par la désobéissance civile pacifique.

Maintenant que la FDA a « approuvé » le vaccin Covid de Pfizer, de nombreuses questions restent sans réponse.
Comme de nombreuses études nous le montrent, le vaccin ne présente aucun avantage en terme de mortalité toute cause confondue.

Le vaccin n’a pas d’impact positif sur la mortalité globale et il met en danger les groupes d’âge les plus jeunes.
« Un enfant en bonne santé n’a aucun risque de contracter cette maladie. Et pourtant, le risque lié au vaccin est très élevé. »

Il est devenu clair : il ne s’agit pas de santé. Il s’agit de contrôle.

C’est pourquoi nous devons tous faire entendre notre voix et exprimer notre opposition.


TRANSCRIPTION

0:00:01.2 : Je suis Robert F. Kennedy, Jr. et je suis très heureux d’être de retour parmi vous et d’avoir l’occasion de m’adresser à tous mes amis de Berlin et aux militants et amoureux de la liberté de toute l’Europe. Nous sommes aujourd’hui le 23 août, et je voudrais commencer par vous parler de quelques études qui ont été publiées récemment et dont nous devrions tous avoir connaissance. L’une d’entre elles, probablement la plus importante, est l’essai clinique de MERCK, de Pfizer, pour son vaccin Covid-19. Nous disposons maintenant de six mois de données que Pfizer était tenu de déposer auprès de la FDA et de les montrer au public. Et quiconque qui sait lire peut voir dans ces données la preuve frappante que ce vaccin ne présente aucun avantage en termes de mortalité toutes causes confondues. Cela signifie que les personnes qui ont été vaccinées sont plus nombreuses à mourir que celles qui ont eu le placebo. Et si vous allez dans le detail et l’analyse du vaccin, ce que cette étude montre est que le vaccin empêche un petit nombre de décès dus au Covid-19, mais pour chaque vie sauvée par le vaccin contre le Covid-19, trois personnes sont mortes d’une crise cardiaque. Parmi les vaccinés, il y a eu 20 décès, et dans le groupe placebo, 14 décès.

0:01:46.7 : Cela indique que certains groupes d’âge spécifiques ou certaines personnes avec comorbidités peuvent prendre ce vaccin, mais il serait tout à fait immoral pour un gouvernement ou une entreprise d’imposer ce vaccin à tout être humain réticent à se faire vacciner.

0:02:12.1 : Une autre étude dont je vais vous parler était une version pré-publiée de l’étude du Lancet le 10 décembre. Elle s’appelle Chau et al. C-H-A-U, et elle a été réalisée par l’Oxford Research Group, qui regroupe l’Université d’Oxford et Ho-Chi-Minh-City. Cette étude s’est intéressée aux personnels de santé de première ligne qui ont été confinés pendant plusieurs mois à Ho-Chi-Minh-City pendant la résurgence du variant Delta. L’étude montre que les personnes vaccinées présentaient un nombre très, très élevé du variant Delta dans leur pharynx et leurs narines. En fait, ils avaient une concentration du variant Delta dans leurs narines 250 fois plus importante que quiconque ayant contracté le Coronavirus n’avait avant la vaccination.

0:03:22.1 : Eh bien, cela montre que quelque chose dans le vaccin dégage les pharynges nasales pour faire de vous un porteur… Un porteur pré-symptomatique du Covid, donc au lieu d’arrêter la réplication virale, et au lieu d’arrêter la transmission, le vaccin facilite presque certainement la transmission ! Selon cette étude, ces personnes qui avaient le Covid dans leur nez pouvaient transmettre le Covid à d’autres travailleurs. Et il est presque certain qu’ils le transmettaient aussi à des patients non vaccinés et à d’autres personnes de leur entourage.

Une chose fondamentale à retenir est que les vaccins ne sauvent pas de vies. Nous savons, grâce à la première étude, à l’étude Pfizer et à l’étude d’Oxford, que cela n’empêche pas la transmission, et qu’en fait, cela peut l’augmenter. Ce sont les données scientifiques les plus certaines que nous ayons aujourd’hui.

La troisième étude que je voudrais vous faire connaître est une étude de Johns Hopkins, publiée dans The Lancet. L’étude de Johns Hopkins montre qu’il est pratiquement impossible de trouver un enfant en bonne santé dans le monde qui soit mort du Covid-19. Les enfants ont un risque nul, un enfant en bonne santé a un risque nul avec cette maladie, et pourtant le risque du vaccin lui est très élevé !

0:04:56.8 : En fait, nous constatons qu’avec le vaccin, les personnes les plus susceptibles de tomber malades, ou de mourir, sont les jeunes. Le Covid-19 a tendance à tuer des personnes très âgées avec des comorbidités, mais le vaccin a tendance à blesser, à nuire et à tuer des personnes jeunes, qui sont au début de leur vie. Et les personnes qui ont un infarctus du myocarde à cause de ce vaccin, des maladies du myocarde à cause de ce vaccin, ne guérissent jamais. Leur cœur se transforme simplement en tissu cicatriciel et ne guérit pas.

0:05:33.2 : La raison pour laquelle je parle des études est qu’aujourd’hui, la FDA a promulgué une approbation sans précédent, qu’elle présente de manière très bizarre.

0:05:52.7 : Comme une approbation officielle du vaccin Pfizer. La signification de cette approbation est qu’elle permettra aux gens d’imposer légalement le vaccin dans notre pays. Mais ce qui est étrange, c’est qu’il n’y a eu aucun respect de processus réglementaire… La FDA a ignoré tout le processus réglementaire, elle n’a pas convoqué le comité d’experts extérieurs qui approuve normalement les nouveaux vaccins. Ils n’ont pas créé de notice pour le fabricant. Ils n’ont pas expliqué la science sur laquelle ils se basent. Ils n’ont pas expliqué les données sur lesquelles ils se basent. Ils ne disent même pas techniquement qu’il s’agit d’une approbation. Ils l’encadrent en quelque sorte dans leur lettre comme une extension du processus d’utilisation d’urgence; ils l’encadrent dans leurs communiqués de presse comme une approbation. Et dès que cette mesure prise a été, l’armée américaine a déclaré aux soldats qu’ils devaient être vaccinés avant vendredi ou être renvoyés sans honneur. Et dans tout le pays, les entreprises privées et entreprises publiques imposent maintenant des mandats.

Je vous dis tout cela parce que je veux être clair avec vous… les gens qui poussent ces vaccins, qui ont poussé depuis le début cette étrange entreprise sont sortis du placard, et ont révélé aujourd’hui qu’ils ont abandonné toute prétention de parler de santé publique, de démocratie et de protection du public. Ils ont fait savoir très clairement au public qu’il s’agit de pouvoir, et d’imposer un totalitarisme d’un genre que l’humanité n’a jamais connu. Tous les régimes totalitaires de l’histoire ont cherché à contrôler tous les aspects du comportement humain.

0:08:08.3 : Ils n’ont jamais été capables de le faire parce que, bien sûr, le gouvernement ne pouvait pas lire dans votre esprit, ni vous suivre toute la journée, vous empêcher de parler à certaines personnes, de vous suivre chez vous et savoir ce que vous faites…. A qui vous parlez et ce que vous dites. Mais devinez quoi ? Les gouvernements d’aujourd’hui ont ce pouvoir. Et nous savons qu’ils l’utilisent, et qu’ils utilisent cette urgence comme une excuse pour imposer un contrôle totalitaire sur chacun d’entre nous. Un niveau de contrôle autoritaire qu’aucun gouvernement dans l’histoire n’a eu. Et à ce stade, nous avons maintenant le devoir, à mon avis, de résister. Et de résister à chaque occasion que se présente à vous. Chacun d’entre nous doit s’engager dans de multiples désobéissances simples et pacifiques chaque jour.

0:09:06.5 : Je fais cela depuis de nombreuses années, et je n’ai jamais dit à personne qu’il fallait sacrifier son travail, sa réputation ou ses revenus en sortant et en parlant de ces questions, cela a toujours été dangereux. Depuis 17 ans que je fais cela, j’ai toujours été confronté à la censure, à diverses formes d’intimidation et de punition. Mais j’ai été particulièrement capable, résilient, grâce à d’autres choses que j’ai dans ma vie, mon nom, ma réputation, mon gagne-pain… Le fait que je sois avocat, les avocats ont tendance à être tolérants envers la dissidence. Et donc j’avais une capacité à faire face à ce genre d’attaques d’une manière que beaucoup de gens n’ont pas. Et j’ai toujours évité de dire aux autres, « Vous devez sortir et parler de ce que vous croyez. »

0:10:02.0 : Les gens venaient me voir et me disaient, « Je suis d’accord avec vous, mais j’ai trop peur pour en parler », et je disais, j’ai toujours dit, « C’est bon ». Vous nous soutenez discrètement. Vous n’avez pas besoin de vous exposer.

Et aujourd’hui, je vous dis quelque chose de différent : « nous devons tous commencer à nous exposer » Nous devons dire aux gens dans la rue, « si on vous empêche d’entrer dans un magasin, vous devez parler au propriétaire du magasin ». Ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas être poli, doux et pacifique. Dieu était poli, doux et pacifique et il a quand même résisté. Et nous devons résister de cette façon. Il y a une histoire célèbre où Henry David Thoreau était en prison pour avoir protesté, pour avoir refusé de payer ses impôts parce que l’argent de ses impôts servait à soutenir la guerre hispano-américaine, qu’il considérait comme une guerre injuste. Et le célèbre philosophe qui était son ami, Ralph Waldo Emerson, est venu dans sa cellule de prison dans le Massachusetts, et il a parlé à Thoreau à travers  les barreaux de la fenêtre… Et il a dit, « David, que fais-tu là-dedans ? » Et Henry David Thoreau lui a dit : « Ralph, qu’est-ce que tu fais là dehors ? » Et c’est la question que nous devons maintenant poser à tout le monde, « Que faites-vous là dehors ? » Nous devons tous descendre dans la rue, nous devons tous résister.

0:11:34.0 : Si votre travail vous dit que vous devez vous faire vacciner et que vous ne croyez pas que c’est bon pour votre santé, ne le faites pas ! Faites-vous virer et poursuivez-les en justice ! Nous devons résister. Il s’agit du même type de crise désespérée que celle à laquelle les fondateurs de notre pays ont été confrontés pendant la Révolution américaine, et nombre d’entre eux ont renoncé à leur vie, à leurs moyens de subsistance, à leurs biens, à leur argent, à leur santé afin de nous fournir notre Déclaration des droits de ce pays, la Constitution. Ils savaient qu’il y avait des choses bien pires que la mort : la perte de nos libertés. Et ils ont sacrifié leurs vies et leurs moyens de subsistance, afin que nous puissions avoir cette constitution. Mais au cours des 12 derniers mois, nous avons perdu cette Déclaration des droits, nous avons perdu la possibilité d’avoir des procès avec jury dans notre pays pour les entreprises qui fabriquent des produits imprudents et négligents qui nous blessent. Nous avons perdu les droits de propriété que nous avions autrefois dans ce pays où un million d’entreprises ont été fermées du jour au lendemain sans compensation équitable et sans procédure régulière… Nous avons perdu la capacité de parler librement. Nous avons perdu la possibilité de pratiquer notre culte pendant toute une année, les institutions religieuses et les églises ont été fermées dans notre pays sur simple décision du gouvernement, bien que les magasins d’alcool aient été déclarés commerces essentiels et laissés ouverts.

0:13:03.2 : Mais la Constitution ne protège pas les magasins d’alcool, elle protège les églises. Aujourd’hui, nous avons perdu la capacité de participer à la réglementation. La réglementation est maintenant faite par des non-élus… c’est un docteur qui dirige maintenant le gouvernement américain. Il n’y a pas de processus réglementaire, il n’y a pas d’avis et de commentaires sur les règles. Il n’y a pas de participation du public. Il n’y a pas d’audiences publiques. Toutes les étapes habituelles de la promulgation de notre réglementation, qui exigent la participation du public, ont toutes été abandonnées. Et donc nous avons donc désormais perdu notre démocratie maintenant en Amérique. Et nous l’avons perdue dans toute l’Europe, et nous l’avons perdue au Canada, et nous l’avons perdue en Australie. Et la seule façon de nous défendre contre ces forces très sinistres, les barons voleurs de la Silicon Valley, les grandes institutions bancaires, l’armée et les agences de renseignement qui collaborent à ce processus, à cette prise de pouvoir totalitaire, à ce coup d’État contre la démocratie et la liberté libérale occidentale que nous voyons aujourd’hui. Toutes ces forces collaborent les unes avec les autres pour nous asservir. Et nous devons nous lier les uns aux autres, et nous devons riposter.

Et chacun d’entre vous doit faire au moins trois désobéissances civiles pacifiques par jour ! Et nous devons commencer à faire ça partout, et c’est comme ça que nous allons recruter de nouvelles personnes pour notre cause, et que nous allons commencer à résister !

0:14:55.5 : Je tiens à vous remercier tous pour vos efforts pour venir à Berlin, et je sais que je verrai beaucoup d’entre vous sur les barricades.

Merci !




C’est l’histoire d’une grenouille qui…

Par Diane Vincero

C’est l’histoire d’une grenouille qui… est plongée dans de l’eau très chaude par son maître. Elle bondit d’un coup hors de l’eau :

« mais, ça va pas, non !! »

Son maître la met alors dans de l’eau froide et voilà notre grenouille rassurée.

***

L’eau chauffe très très très doucement et notre grenouille se détend de plus en plus…

La vie est belle : elle a tout ce qui lui faut, une bonne nourriture, sa téléréalité (elle adore observer les mouches et les moustiques qui virevoltent autour d’elle).

Elle adore découvrir le vaste monde,

surfer sur les vagues,

Son maître l’a habituée de la sorte depuis toute petite et cela lui convient très bien !

*

Mais, un jour patatras, tout tombe à l’eau !!

Son maître lui annonce qu’il y a une terrible mouche, très dangereuse qui circule et qu’elle va devoir se cacher bien à l’abri dans sa maison.

Adieu veaux, vaches, cochons !! Plus de distractions

L’eau chauffe très très très doucement.

Notre grenouille se retrouve toute seule dans sa maison et elle compte tous les jours qui s’écoulent comme les grains de sable d’un sablier. Le temps lui semble long, tellement long ! Plus de voyage, plus de surf, plus de téléréalité !!

Et puis un jour, bonne nouvelle, son maître lui dit qu’elle va pouvoir retrouver sa vie d’avant. La grenouille en est toute heureuse !

Mais, son maître lui dit que ce sera à la condition de ne plus sauter, de ne plus bondir.

Peu importe; ce qu’elle veut, c’est voyager à nouveau, surfer sur les vagues, suivre des yeux les mouches et les moustiques !

Cela n’a pas de prix à ses yeux ! Elle s’empresse d’accepter ces conditions et se sent à nouveau libre comme l’air.

La voilà partie ! Tout est redevenu normal !

L’eau chauffe très très très doucement.

Mais à son retour, son maître lui rappelle la fameuse condition qu’elle a acceptée : elle ne devra plus bondir, plus sauter

« Mais, une grenouille, c’est fait pour bondir, pour sauter !! », objecte-t-elle.

Son maître lui apprend alors que si elle n’obéit pas, elle sera privée de nourriture.

La grenouille est affolée ! Privée de nourriture ??!!

Mais c’est impossible, c’est monstrueux !!

L’eau chauffe très très très doucement.

Alors, elle réfléchit et se dit qu’après tout, elle pourra tout de même se déplacer, sans sauter, sans bondir… Ce sera tellement différent de sa vie d’avant, mais, si elle veut pouvoir manger……

Elle se plie alors à l’exigence de son maître.

L’eau chauffe très très très doucement.

Puis, elle s’aperçoit que certaines de ses voisines la surveillent et qu’elles sont prêtes à aller rapporter à son maître si elle bondit ou si elle saute…

Mais que se passe-t-il, se demande-t-elle ??!!!

Avant, les choses n’étaient pas comme ça !!

L’eau chauffe très très très doucement.

Son maître décide alors que c’est sa voisine la plus proche qui devra la priver de nourriture si elle saute ou si elle bondit et que si elle ne le fait pas, elle sera elle-même privée de nourriture…

L’eau chauffe très très très doucement.

Notre grenouille est abasourdie par tant de violence… Le monde lui semble devenu tellement laid. Mais, qu’est devenu le monde d’avant, s’interroge-t-elle??!!!

Que faire devant tant de violence, devant ce harcèlement quotidien ???!!!

Sa voisine surveille chaque grenouille, veillant à ce que toutes les grenouilles autour d’elle obéissent aux ordres.

Elle craint de perdre sa propre nourriture si elle ne le fait pas et préfère obtempérer aux ordres du maître…

L’eau chauffe très très très doucement.

Toutes les grenouilles sont littéralement paralysées par la peur. Elles se sentent harcelées de toutes parts.

Curieusement, certaines grenouilles ont malgré tout, le droit de sauter et de bondir. Deux poids, deux mesures.

La colonie se retrouve clivée. Chacun dans son coin. Finit le temps de la bienveillance et de la convivialité !!

*

Et un jour, notre grenouille entend parler de la légende du petit colibri :

C’était ce petit colibri qui, lors d’un grand incendie, a décidé d’apporter toutes les petites gouttes d’eau qu’il pouvait, en se disant que, si chaque petit colibri faisait de même, ils viendraient tous ensemble, à bout de ce feu.

Notre grenouille se mit à réfléchir et réfléchir encore… Donc, si toutes les grenouilles disaient stop à ce maître, refusant d’obéir à des ordres aussi aberrants, alors, elles retrouveraient le monde d’avant !!!

Notre grenouille fila voir ses voisines et leur raconta la légende du petit colibri. Au début, elles se montrèrent sur la réserve.

Et l’eau de continuer de chauffer…

Puis, elles prirent conscience qu’elles étaient beaucoup plus nombreuses que leur maître et qu’il ne pourrait rien contre elles si elles se fédéraient.

La solution était toute simple, là, devant leurs yeux… se fédérer, et toutes ensemble, dire non !!

À partir de ce jour-là, l’eau s’est arrêtée de chauffer, et la paix est revenue…

Toutes les grenouilles purent à nouveau vivre en paix…

Merci, petit colibri !!

Petit colibri symbole du Collectif Colibri

***

Jusqu’à ce que leur maître leur interdise à nouveau de bondir et de sauter « parce qu’il faut préserver la planète »….

Mais ceci est une autre histoire !!!

Une chose après l’autre, il y a des solutions à tout, et

ensemble, on est plus forts….

Fleur, symbole du Collectif Colibri

par Diane Vincero le 26/08/2021




« Affaire » Mucchielli : misère de la sociologie académique

Par Lucien Samir Oulahbib

Soit donc l’attaque frontale contre les deux articles de Mucchielli (dont un fut censuré par Médiapart) de huit « éminents » sociologues (un de plus que les « 7 mercenaires » et quatre de moins que les « 12 salopards », la différence étant que ceux-là se battaient pour une noble cause). Nos huit janissaires s’en sont donc pris à l’analyse « mucchiellienne » des décès liés supposément aux injections expérimentales — ce qu’ils contestent fortement sans que pour autant l’on sache sur quoi ils s’appuient en réalité (lire la réponse de Mucchielli) puisque selon le site officiel européen comptabilisant les « effets indésirables », AUCUN DÉCÈS n’est en fait signalé, donc tout va bien… 

Une petite anecdote : ayant appris la chose et connaissant l’un de ces huit inquisiteurs (puisqu’ils exigent que le CNRS rappelle « fermement » à l’ordre Mucchielli), je lui fais juste part de mon étonnement (sur un site dédié aux « professionnels ») tout en lui indiquant naïvement sans doute que s’il veut de plus amples informations sur toute la problématique incluant également les diverses études frauduleuses contre les traitements précoces (sur lesquelles nos huit bretteurs sont restés cois, semble-t-il) il peut aller sur le site de FranceSoir.fr afin de visionner les réponses d’éminents spécialistes sur toutes ces questions (ce que nos huit pourfendeurs ne sont pas) et qu’en tous les cas il existe de nombreux témoignages montrant que sur le terrain des médecins ont soigné et sauvé des vies

Patatras ! Que n’ai-je pas dit ?! Et ne voilà-t-il pas qu’il me sort des arguments de café de commerce (avec « passe » sans doute), genre les résultats empiriques ici et là ne comptent pas, que Raoult s’est trompé, que FranceSoir est un site conspirationniste, et enfin que des études très « solides » montrent que les traitements précoces ne marchent pas. Puis il m’indique sur un ton qui se voulait sans doute compatissant qu’il est devenu « membre de l’Académie de Médecine » (alors qu’il est sociologue) et que je suis, moi, plutôt dans une spirale idéologique dangereuse, celle du lavage de cerveau en quelque sorte. Et il le dit sans se rendre compte peut-être qu’il est en fait en train de se décrire, alors que, me concernant, je m’appuie, depuis le début, UNIQUEMENT sur des données et des analyses rassemblées et effectuées par des spécialistes n’ayant aucun conflit d’intérêts et dont les travaux ont été validés par des pairs également incorruptibles.

Mais il y a plus : lorsque je lui ai parlé de l’analyse frauduleuse du Lancet, non seulement il m’a rétorqué qu’elle a été retirée depuis, « ce qui est bien la preuve qu’en science on sait reconnaître ses erreurs » a-t-il écrit effrontément, alors que cela a été fait sur la pression de savants et d’influenceurs outrés de tels mensonges, mais, également, il n’a tenu aucunement compte de l’historique des interdictions des traitements précoces, du fait que les études supposées ont été réalisées avec des surdoses, qu’il existe enfin des enjeux financiers, politiques, stratégiques, que tout cela s’articule avec les restrictions à venir sur cette autre emphase qu’est devenu le « réchauffement climatique » qui serait dû essentiellement « aux activités humaines » (et les nouvelles contaminations aux « non vaccinés », mais oui comme en Israël et ailleurs dans les pays ultra shootés), ce qui n’est toujours pas démontré, pas plus que l’efficacité des quatre injections expérimentales au vu des demandes actuelles d’une » troisième » dose (en six mois), alors que pour la grippe, au moins, il ne s’agit que d’une nouvelle par AN.

Cerise sur le gâteau : comme ce sieur voulait un « débat » serein (je l’avais traité de lyssenkiste à un moment) et que j’avais tenté de lisser mon propos diplomatiquement, ne voilà-t-il pas qu’il me bloque brutalement sur le site dédié, brisant ainsi une relation épistolaire de quelques années, lui qui avait travaillé (et travaille encore) avec des élèves de Raymond Aron (dont la fille est membre des huit juges autoproclamés), lui qui a subi par ailleurs les foudres de toute la Secte des bourdieusiens et foucaldiens (dont fait d’ailleurs partie plus ou moins Mucchielli que j’avais critiqué sur ses analyses quant à la délinquance de l’islam et son refus de voir Alain Bauer créer une section de criminologie à l’Université française, je l’ai fait dans La disparition du crime dans la sociologie contemporaine et dans plusieurs articles), mais ce sociologue qui m’a ainsi rayé de sa carte mentale, ce membre de l’Académie de Médecine, reproduit ce qu’il subit, imitant ses pourfendeurs en exigeant la tête de Mucchielli au lieu d’élever le débat en lui proposant par exemple (je ne parle même pas de moi, illustre inconnu) d’échanger des arguments sur une radio ou une chaîne…

Loin s’en faut ! Fort de son statut d’académicien, sans doute (visant aussi peut-être un poste à l’OMS qui sait…), ce sieur en vient non seulement à refuser les conditions d’un débat serein, mais à préjuger du caractère « conspirationniste » a priori des critiques en considérant que ces dernières ont nécessairement des projets « idéologiques et politiques », alors qu’il s’agit tout simplement de refuser que l’on s’en prenne aux libertés fondamentales sur la base d’une maladie somme toute peu létale et mortelle (du moins si l’on sait compter — mort « du » et non « avec » —, le tout par AN et non de façon cumulée) et, surtout, une maladie qui EST soignable, du moins si l’on met l’argent adéquat pour la recherche préventive, les maladies chroniques, les lits hospitaliers, etc., etc. au lieu de le dépenser inutilement dans des tests, passes, vigiles aux portes des hôpitaux afin que n’y entrent que des gens non malades en quelque sorte (Ubu aurait-il osé ?).

Cette affaire m’a rendu triste, et en même temps confiant, triste parce que des gens si savants sur lesquels, je me disais, qu’« on » aurait pu un peu compter dessus contre les wokes, queers et idiots utiles des djihadistes, non seulement ils s’écroulent à la première charge de ces derniers en rampant et susurrant, mais en plus ils adoubent maintenant la Secte hygiéniste scientiste affairiste globaliste en lui mangeant dans la main (sans compter les Polony, Onfray, Julliard…). Mais cette anecdote m’a rendue aussi confiant parce que cela éclaircit bien le terrain, et ce très rapidement, ce qui permet ainsi à de nouveaux et (très) jeunes et brillants bretteurs de monter au créneau : rira bien qui pourra rire tout en se regardant sans culpabilité dans une glace.




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

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[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
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Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Après la suspension du passe sanitaire dans les Yvelines, obtenez la même chose près de chez vous !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Dans les Yvelines, le passe sanitaire ne sera plus d’application dans les centres commerciaux. Ainsi vient d’en décider le juge des référés du tribunal administratif de Versailles, à la demande d’un habitant du département, lui-même avocat. Cette importante décision fondée sur le principe selon lequel l’État ne peut empêcher les personnes d’accéder aux biens de première nécessité, même sous un motif sanitaire, est facilement transposable sur le reste du territoire national. Voici un mode d’emploi pour demander la même mesure au Préfet de votre département, avec l’aide de Maître X, notre conseillère secrète !


Suspension du passe sanitaire par le tribunal administratif de Versailles from Société Tripalio

Dans les Yvelines, le tribunal administratif se prononçait hier en référé sur la question épineuse de l’instauration du passe sanitaire dans les centres commerciaux. On se souvient que l’avis du Conseil d’Etat avait mentionné la difficulté d’inscrire dans la loi une disposition revenant à exclure une partie de la population de l’accès aux biens de première nécessité. La loi avait finalement prévu de laisser les Préfets instaurer ce passe sanitaire au vu des situations locales… liberté dont le gouvernement a abusé en imposant des mesures générales d’inaccessibilité aux centres commerciaux par décision préfectorale. 

L’avocat Yoann Sibille, habitant des Yvelines, a déposé un recours contre cette mesure en considérant notamment qu’elle portait une atteinte excessive à la liberté d’aller et venir. Le tribunal administratif l’a suivi, en constatant d’abord que Maître Sibille était un habitant des Yvelines, ce qui lui conférait “l’intérêt à agir” contre cet arrêté. Il faut bien s’arrêter sur ce point, car il signifie que vous ne pourrez pas déposer un recours contre un arrêté pris dans un département où vous n’habitez pas…

Un motif transposable à votre département

La juge des référés de Versailles, Julie Florent, a développé une argumentation au fond assez logique pour justifier l’annulation du passe sanitaire dans les centres commerciaux : l’atteinte à la liberté des personnes, notamment à la liberté d’accéder à des biens de première nécessité, est disproportionnée. On ne peut donc fermer un centre commercial purement et simplement aux personnes qui ne détiennent pas un passe sanitaire. Le Préfet doit s’assurer que l’accès aux biens de première nécessité y est garanti (achats alimentaires et pharmacie, en particulier). 

C’est une décision importante, dans la mesure où elle permet de faire jurisprudence ailleurs. Tout centre commercial peut en effet faire l’objet d’une décision identique…

Les bons conseils de Maître X pour obtenir la même décision chez vous

Maître X (elle souhaite conserver l’anonymat, mais j’atteste de sn existence) a rédigé pour vous un courrier à envoyer à votre Préfet de département pour obtenir les mêmes dispositions concernant le centre commercial près de chez vous. 

Elle vous conseille de verser une copie de l’ordonnance du tribunal administratif de Versailles pour étayer votre argumentation. 

La démarche à suivre demande un peu de rigueur :

vous trouvez au Bulletin départemental les références de l’arrêté préfectoral interdisant l’accès des non-vaccinés aux centres commerciaux

vous adaptez le courrier-type suivant :

Mme/M. ………….
Préfet de ………..
……………………..
 ……………………

Concerne – Accès aux biens de première nécessité

TA Versailles 24/8/2021
Recommandé avec A.R.

 

   Madame/Monsieur le Préfet,

   Par un arrêté n° ………………………………..en date du …………………………, vous avez rendu obligatoire le contrôle des “passes sanitaires” à l’entrée de différents centres commerciaux du département.

La liste des centres commerciaux concernés figure dans cet arrêté est la suivante :

  • ….
  • ….
  • ….

   Dans une ordonnance rendue hier en référés par le Tribunal administratif de Versailles, et dont copie en annexe pour votre facilité, il a toutefois été considéré que la restriction de l’accès aux commerces proposant des biens de première nécessité n’était pas conforme aux dispositions légales en vigueur, et notamment la loi n° 2021-689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire modifiée par la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 et le le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 modifié par le Décret n° 2021-1059 du 7 août 2021. En effet, l’application combinée de ces dispositions doit malgré tout garantir l’accès des personnes ne disposant pas de passe sanitaire aux biens et services de première nécessité.

    En conséquence, le tribunal administratif de Versailles, faisant application de la loi, a levé cette mesure avec effet immédiat comme vous le constaterez à la lecture de cette ordonnance.

   Afin d’assurer aux citoyens du territoire l’égalité de traitement notamment consacrée par l’article 1er de la Constitution, il semble dès lors nécessaire, pour le département des Pyrénées Atlantiques, et conformément à la décision rendue, d’ajouter à  votre arrêté du 16 août dernier un arrêté qui prévoira les conditions garantissant l’accès des personnes ne disposant pas de passe sanitaire aux établissements commercialisant des biens de première nécessité situés dans l’enceinte de ces centres commerciaux.

   Vous remerciant par avance de bien vouloir me confirmer que des dispositions seront prises en ce sens, je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, à l’expression de mes salutations distinguées.

vous joignez une copie de l’ordonnance du tribunal de Versailles

Vous envoyez le tout par lettre recommandée

Ne manquez pas de nous tenir informés de vos démarches, cela nous intéresse. 




Pour gagner en liberté, il faut agir librement. La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Par Guy Boulianne

Henry Makow écrit dans son article en date du 24 août dernier : « Les Américains sont pour la plupart complaisants et dociles face à leur disparition imminente. Une pandémie avec un taux de survie de 99,7 % n’est pas une pandémie. Une maladie sans symptômes n’est pas une maladie. À moins que nous ne retrouvions notre bon sens et que nous réalisions que le Covid est une opération psychologique politique et un canular, nous sommes finis. » Je partage avec vous le dernier article du conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, aujourd’hui chroniqueur, Gary D. Barnett. Celui-ci écrit : « L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. » 

Je vous souhaite une bonne lecture.


Gary D. Barnett : Pourquoi je fais ça ?

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J’écris sur ces questions concernant l’indépendance, la liberté et la souveraineté de l’individu depuis plus de deux décennies, et regardez où nous en sommes aujourd’hui. J’ai vu ce pays continuer à empirer chaque année depuis ma naissance, et maintenant nous sommes confrontés au défi ultime, et la seule défense évidente est les efforts d’un petit nombre. Oui, on parle de refoulement et de menaces de ne pas se conformer, mais ce n’est rien de plus que des paroles. Il y a aussi plus de protestations, du moins dans d’autres parties du monde, mais ce qui est nécessaire, ce n’est pas protester après tout, car protester dans la plupart des cas n’est rien de plus qu’un effort futile. Cela dépend de la dépendance d’une population faible à l’égard de leurs geôliers qui les gouvernent, ce qui leur donne un certain soulagement. Pour gagner en liberté, il faut agir librement.

La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression ; cela nécessite juste de la désobéissance et de la dissidence, et un refus de se conformer aux ordres, mandats et tentatives de corruption de ce gouvernement odieux pour vous contrôler.

L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. La stupidité d’esprit qui est nécessaire pour que cette prise de contrôle de la société ait lieu dépasse l’imagination de toute gauche capable de penser même en termes simples. Je suis abasourdi par cette posture, mais je ne suis pas du tout surpris.

Beaucoup m’ont insulté, m’ont dit que j’étais trop dur et brutal dans mon approche, ont dit que je ne parlais que de malheur et ont tenté de me réprimander pour avoir dit la vérité qu’ils ne voulaient pas entendre. J’ai été censuré, menacé, rejeté et maudit, simplement pour avoir mis en garde contre ce qui est maintenant bien en vue. J’ai été étiqueté comme un cinglé du complot et ignoré au milieu des yeux qui roulent. A quoi pensent tous ces gens aujourd’hui en voyant leur vie disparaître ?

Avec la collusion massive de Bill Gates et de la Fondation Gates, de l’industrie pharmaceutique, du gouvernement et des organisations mondiales de « santé », et des autres pires éléments criminels de la société, la FDA a approuvé ce que l’on appelle ridiculement les « vaccins Covid » chez Pfizer et BioNTech, le premier de beaucoup, et maintenant le début de la fin est certainement là pour rester. En quelques instants, New York, la Californie, Porto Rico, et probablement plus au moment où j’écris ceci, exigent que tous se fassent injecter ou sinon. C’est peut-être le bon moment pour dire que je vous l’avais dit !

Préparez-vous, si vous ne voulez pas être un esclave, à recevoir une injection complète de poison mortel pour survivre. Ceux d’entre nous qui ne veulent pas suivre maintenant sont les cibles non seulement de la dictature criminelle et meurtrière des États-Unis, mais de tous nos voisins et soi-disant amis. Bientôt, toute possibilité de voyager, toute entrée dans les magasins, les restaurants, les épiceries, les écoles et un certain nombre de lieux « publics » seront fermés à ceux qui choisissent de ne pas se faire piquer, mais à ce stade, l’agression contre les vrais dissidents intelligents sera portée à un niveau très élevé. Il pourrait facilement devenir — dans un avenir très proche — presque impossible de fonctionner sans conformité. Mais cela ne se terminera pas avec des mandats de « vaccination », cela se terminera par une tyrannie totale et la mort.

La frustration est exaspérante, car savoir où cela se dirigeait depuis des années n’est pas une consolation compte tenu de l’enfer auquel nous sommes confrontés maintenant. Dans les jours, les semaines et les mois à venir, ce pays se sera transformé en un cauchemar totalitaire jamais vécu auparavant dans l’histoire. Tous vos enfants courent de grands risques, et je dis cela non pas pour être sensationnel, mais pour mettre en garde contre la destruction de l’esprit et du corps de tous les jeunes qui a été planifiée et ouvertement annoncée pendant toute cette fausse « pandémie » par cet État méchant, et bien sûr, il a été promu une fois de plus aujourd’hui par le diabolique Biden.

Alors pourquoi je fais ça ? Pourquoi j’écris ? Pourquoi est-ce que je continue mes tentatives pour réveiller les masses pathétiques ? À quoi bon, quand la plupart sont encore endormis et n’ont aucun désir de se protéger ou de protéger leur famille ? Je le fais pour moi et ma famille, parce que si je ne fais rien, ma vie n’aura aucun sens, tout comme la majeure partie de la vie des masses n’aura aucun sens. Je vais donc continuer, mais je crois que plus cette parodie est autorisée à continuer, plus ce sera un grand risque. J’écrirai et je me battrai pour moi-même, ma famille et tous ceux qui ont le courage de défendre ce qui est juste. Je me défendrai à tout prix contre l’agression de l’État et n’acquiescerai jamais à cet État. Quant à ceux qui s’apitoient sur leur sort, refusent de s’exprimer et désobéissent, se cachent de la vérité et s’attendent à être protégés par les autres, vous êtes livrés à vous-même.

Cette société est malade mentalement au point de confusion totale apathique

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la psychose collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Carl Jung

LawrenceArabie


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle ; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.


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[Voir aussi : La clef de la libération]
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Pour ce chirurgien, « vaccination » = génocide

[Source : nrpyrenees.fr]

Par Sophie Loncan/C.Vignes

Dans le cadre de la manifestation qui s’est déroulée samedi dernier à Tarbes, un chirurgien de l’hôpital a qualifié la vaccination de « génocide » et appelé l’auditoire, huit cents personnes environ, à la refuser. L’établissement hospitalier a fait un signalement.

« Nous sommes choqués par les propos de ce praticien. » Le service de communication de l’hôpital de Tarbes indique que la direction de l’établissement a signalé le discours public de l’un de ses chirurgiens orthopédiques, tenu dans le cadre de la manifestation anti-pass et anti vaccin samedi 21 août à Tarbes, auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

Lors de sa prise de parole, le chirurgien orthopédique Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants, déclare : « Cette injection est responsable de… alors on appelle ça des effets indésirables, mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites deux jours après la vaccination. »

Interrogés sur cette affirmation, le service de communication de l’hôpital de Tarbes et Manon Mordelet, directrice de l’ ARS Hautes-Pyrénées, disent « ne pas vouloir aller sur ce terrain et outrepasser le secret médical. » Laurie Lassalle, directrice de la communication du centre hospitalier d’ajouter : » De plus, nous ne savons pas comment il peut affirmer une telle chose. Parle-t-il de patients hospitalisés dans son service ou dans d’autres ? Tout ça est très vague. »

Mais le praticien va plus loin et appelle à un « refus de l’injection » , qu’il qualifie de « génocide. » Interrogé dans l’auditoire à propos de solutions thérapeutiques efficaces, le docteur Huboud-Peron répond que « oui, elles existent. L’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C, tout ça, ça fonctionne, ça marche très bien. Mes collègues en ville qui ont utilisé ces protocoles n’ont hospitalisé aucun patient », a affirmé le professionnel de santé, Des propos qui soulèvent de vives réactions dans la communauté médicale et scientifique.

Indignation et incompréhension

L’affaire est pour le moins « sérieuse », déclare la directrice de l’ ARS 65. « Oui, j’ai pu, comme beaucoup d’autres, visionner les vidéos où le docteur Huboud-Peron. Il y tient des propos qui interrogent sur la déontologie de ce professionnel de santé. Des propos qui devront être minutieusement analysés par le Conseil de l’Ordre, que nous avons immédiatement saisi. Ensuite, il appartient à la direction de l’hôpital de saisir le Centre National de Gestion qui gère les praticiens hospitaliers, et voir quelles sont les suites à donner à cette affaire. »

Chose faite du côté de la direction de l’hôpital qui précise « que les consignes de cette autorité compétente en la matière sont attendues et seront appliquées par l’établissement. Ce praticien est en congés depuis le 16 août et reprend le travail le 30. Nous ne l’avons donc pas revu. »

Pour le docteur Le Coustumier, président de la commission médicale d’établissement, « le docteur Huboud-Peron est un excellent chirurgien qui tient à bout de bras son service, dans des conditions difficiles. Mais il aurait dû se cantonner à son rôle de chirurgien qu’il accomplit parfaitement. Je rappelle que dans notre serment d’Hyppocrathe, la première chose c’est de ne pas nuire au patient. »

Pour l’heure, nous ne sommes pas parvenus à joindre le chirurgien. Un entretien entre Christophe Bouriat, directeur de l’hôpital de Tarbes, et le praticien pourrait se tenir lundi prochain, à leur retour respectifs de congés, selon le service communication du centre hospitalier de Bigorre.

Le chirurgien orthopédique de l’hôpital de Tarbes, Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants.




Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]






L’évêque orthodoxe Mar Mari Emmanuel s’en prend à présent aux fers de lance du Nouvel Ordre Mondial et de la vaccination Covid

[Source : Le libre penseur]



Voir aussi : L’évêque Mar Mari Emmanuel s’adresse au gouvernement Australien




Cri désespéré d’une maman divorcée contre l’accord du père pour l’injection expérimentale !

Par Nicole Delépine

Lue sur Vk (partagé par Penoa A que nous remercions), une lettre d’une maman divorcée désespérée de l’accord unilatéral de son ex-mari pour la thérapie génique expérimentale :

« Bonjour,

J’espère que vous lirez mon message.

Je suis maman d’un garçon de 12 ans. Son père vient de le vacciner contre ma volonté. Je suis effondrée. L’amendement proposé par le député parlementaire Sasha Houlié est inhumain et créé un précédent terrible pour tous les parents séparés ou divorcés, avec l’autorisation de vaccination possible donnée uniquement par l’un des deux parents.

J’ai écrit une lettre de réponse à son père, et je vous la partage ici, en espérant qu’elle donne du courage à beaucoup de parents en souffrance.

Merci pour vos partages nombreux, force et courage, nous vaincrons !

Ainsi tu as décidé seul du destin de notre enfant, honte à toi !

Comment oses-tu faire une telle chose, alors même que tu sais que j’y suis formellement opposée, et que je te l’ai notifié à maintes reprises par écrit ?

Comment oses-tu imposer un essai expérimental à notre fils qui n’a que 12 ans et toute sa vie devant lui ?

Comment oses-tu le mettre en danger alors qu’il est en bonne santé et qu’il n’y a jamais eu autant de morts et d’effets secondaires pour des prétendus vaccins, notamment chez les adolescents ?

Comment oses-tu me dire de ne pas s’en prendre à lui et de t’ériger de la sorte comme le protecteur que tu n’as pas voulu être pour ton unique enfant ?

Honte à toi !

Penses-tu donc que tu as ce pouvoir là tout simplement parce qu’un décret, qui remet en question le principe-même de l’autorité parentale partagée, le stipule ?

Quelles sombres motivations t’animent, pour que tu précipites une vaccination inefficace, dangereuse, et inutile de la sorte ?

Penses-tu donc que lorsque toute cette mascarade sera dévoilée, et les innombrables effets secondaires et morts ne pourront même plus se compter, que les criminels complices seront traduits en justice, penses-tu donc que tu t’en sortiras indemne ?

Penses-tu donc que ton confort est plus important que la sauvegarde de nos libertés pour notre génération et les générations futures ?

Penses-tu donc que les inventeurs mêmes des tests PCR et de l’ARN messager, qui critiquent violemment l’utilisation de leurs inventions dans le cadre de dépistage de masse ou de vaccination, soient des illuminés ?

Penses-tu donc que ton fils, qui te posera des questions dans quelques jours, quelques mois ou même quelques années sur ce que tu as fait pour le protéger, te pardonnera quand il comprendra que tu as failli à ton devoir de protection parentale ?

Penses-tu donc que ton fils ne reviendra pas vers toi pour te demander des comptes l’heure venue, sur tous les dommages possibles sur sa santé ?

Honte à toi !

Tu as fait des choix qui ne t’appartiennent pas, et qui auront possiblement de lourdes conséquences sur son futur.

Tu n’as pas exercé ton devoir d’information impartiale auprès de ton fils des risques encourus, et a préféré privilégier ton confort immédiat et égoïste.

Honte à toi !

Je me décharge par la présente de toutes les conséquences médicales et financières occasionnées par cette thérapie génique que tu as choisi unilatéralement de lui faire injecter et te tiens seul responsable auprès de ton fils de tous les effets secondaires qu’il pourrait encourir à court, moyen et long terme.

J’espère du fond de mon cœur que notre fils sera épargné et qu’il pourra vivre longtemps et en bonne santé.  

»

Comme pédiatre et cancérologue d’enfants et contact de nombreuses familles connues au cours de mon exercice, je partage cette lettre qui reflète le drame vécu par tant de familles séparées et qui voient leur difficultés décupler par cette autorisation unilatérale d’un des deux parents !

Quelle cruauté supplémentaire infligée aux parents séparés ! Parents, vous avez aimé l’autre assez pour donner ensemble la vie à un enfant! Au nom de cet amour maintenant évanoui, respectez l’autre et son avis et ne donnez pas votre enfant comme cobaye à une expérimentation dont lui ne peut rien attendre (le covid n’atteint pas les enfants sans comorbidité sévère (trouble immunitaire, cancers etc.). Et les effets secondaires graves semblent encore plus fréquents que chez les gens âgés comme les atteintes cardiaques.

Laissez votre enfant disposer de sa vie lorsqu’il sera adulte sans lui infliger cette injection morbide, pour des facilités immédiates (voyages, resto, etc.. ) et aux conséquences à long terme inconnues et terrifiantes pour de nombreux généticiens.

Ne laissons pas les décideurs actuels diviser la nation entre vaccinés et non vaccinés, ni entre parents divorcés. Tenons la barre d’une société civilisée.




Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Le jour où j’ai compris la supercherie

[Source : REINFOCOVID]

Par Alain MANET

Dans un contexte dominé par la terreur, la peur, lorsque le vaccin est apparu, inondé par les informations toutes plus alarmistes les unes que les autres, j’ai vu du soleil, même si je me disais « comment est-ce possible, si simple, si vite ? ». Mais comme 100 % des médias disaient c’est formidable et qu’« il n’existe que cela »…

Ma mère, 87 ans, était inquiète, impossible d’avoir un rendez-vous par téléphone pour avoir « son vaccin ». Je prends rendez-vous pour elle par internet. Elle est rassurée. Elle prend sa 1re dose, puis la deuxième… qui la fatigue beaucoup quelques jours…

Puis elle appelle : elle est chez elle, essaie de colmater une hémorragie nasale sans succès. Appel des pompiers. Le médecin présent lui demande ce qui se passe :

« Je crois que c’est un vaccin, en 87 ans je n’ai jamais saigné du nez.
— C’est lequel ?
— Cominarrty, répond-elle.
— Ah, oui, ça ne m’étonne pas ».

Aux urgences, une grosse mèche dans le nez, très douloureuse. Ramenée chez elle, une heure plus tard, 2e hémorragie, sa petite fille arrive, une flaque de sang par terre, tout se déverse par l’autre narine : pompiers, retour à l’hôpital où l’on met une deuxième mèche en expliquant que cela aurait dû être fait avant… ?

Sa petite fille la récupère debout, accolée à un mur dans le couloir d’entrée. Il y a le COVID, faut pas rester là… Je la récupère, car j’habite loin pour la surveiller le week-end, le sang coule, elle prie, elle pense qu’elle va mourir.

J’essaie de refaire des mèches… ça ne tient pas, trop de sang et dès qu’elle touche, ça part. Je vais dans le plus grand hôpital du département. D’abord aux vaccinations. Un monsieur est en train de rassurer les futurs vaccinés :

« vous verrez, c’est sûr à 99 % ».

« Bonjour, je suis les 1 %
— Pardon ?
— Oui ma mère est assise là et elle fait des hémorragies depuis sa vaccination, que fait-on ? »

Le médecin m’attrape vite le bras devant les futurs vaccinés inquiets…

« Mais monsieur, il faut aller aux urgences, ici on ne s’occupe pas de cela ».

À l’autre bout de l’hôpital, les urgences, il faut attendre pour faire l’admission. J’explique. La personne qui fait l’admission lève les bras au ciel :

« Et encore une de plus, ça n’arrête pas, et dire qu’ils veulent que nous, on se vaccine ! Ça ne risque pas !!! ».

Et il donne un coup de coude à sa collègue :

« Tu as vu ? Encore une Pfizer ! ».

Les mèches sont refaites, 18 de tension. On donne donc un médicament pour faire tomber la tension, l’hémorragie se calme.

Je réclame un bilan sanguin, il faut insister, mais il est fait et on repart. Finalement, qu’est-ce que cela veut dire ? J’appelle la pharmacovigilance, il faut saisir un formulaire compliqué.

« Vous ne l’avez pas dans vos données ?
— Non, il faut le saisir vous-même ».

Je fais le dossier sur internet et rappelle :

« Pourriez-vous me dire si vous avez eu beaucoup de cas et si vous avez une solution ?
— Non, le cas de votre maman, on n’a pas vu et il faut qu’elle voie son médecin ».

Mais alors ces fameux centres de pharmacovigilances qui alimentent l’ANSM des cas graves, si l’hôpital ne fournit pas les données, si l’interne dit qu’il ne voit passer que cela alors que le centre de pharmacovigilance n’est qu’à 300 mètres dans le même hôpital….Qu’est-ce que cela veut dire sur la validité des données que l’on communique ? Qu’arrive-t-il aux personnes qui ont des effets graves, vu qu’on leur dit : « circulez ! Allez voir votre médecin » ????

Son médecin :

« Oh ! À votre âge, il faut prendre ces médicaments toute votre vie. C’est plus sûr.
— Mais je n’en ai jamais eu besoin avant. Je ne peux pas arrêter au bout d’un mois ou 2 ?
— Non, c’est dangereux ».

………?????

Nous avons effectivement basculé dans un autre monde, le monde du vaccin incontestable, celui qui ne doit pas poser de problèmes. S’il en pose, il faut cacher les victimes, ne pas les comptabiliser, si elles meurent en silence c’est même mieux. De toute façon, elles gênent le « progrès », celui qui est « en marche ». Si on ne répond pas bien au vaccin, si on le conteste on ne marche pas.

Depuis c’est un combat, car même avec ce témoignage, on peine à convaincre de la dangerosité. Je ne suis même pas arrivé à convaincre mes enfants. L’un est allé, angoissé, dans un centre, car il avait peur qu’on lui interdise d’aller enseigner aux enfants à la rentrée et faire sa première année de professeur… Dans le centre on demande :

« Pour quelle raison venez-vous ?
— Pour le PASS.
— Ah, oui, c’est le cas de tous ceux que j’ai vus aujourd’hui ».

Il était le 1000e piqué de la journée.

« Il faut remplir et signer le formulaire de consentement ».

Consentement de quoi, pour quoi et pour qui ? Pour dire que l’on accepte ce que l’on nous impose ? Quelle est cette mascarade ? Pour que l’État se décharge de toute responsabilité ?

Il ne soigne déjà plus les malades du vaccin, il ne les reconnaît même pas. Il dit qu’ils n’existent pas ! Et que dire des dizaines de millions pour payer les vigiles des hôpitaux payés pour empêcher des malades d’entrer à l’hôpital.

Nous avons en quelque mois inventé le PASS de la HONTE.

Alors, résistons à ce monde dirigé par toute cette cruauté, pour nous, pour nos enfants, pour l’avenir de l’humanité, pour rester libre et pouvoir avoir des choix.

Alain MANET




Les chauffeurs routiers australiens s’engagent à bloquer toutes les routes principales dans le cadre d’une grève radicale contre le confinement

[Source : Aube Digitale]

Alors que les Australiens descendent dans la rue pour protester contre les mesures de confinement prises par le pays, et qu’ils ont récemment affronté la police au cours du week-end, les chauffeurs routiers australiens prévoient de fermer toutes les routes principales du pays et ont conseillé aux gens de faire des provisions.

Un chauffeur, selon le Daily Mail, a déclaré dans une vidéo que les camionneurs « prévoient de fermer le pays » pour « supprimer le gouvernement de m*rde » le 31 août à partir de 9 heures du matin.

« C’est parti. Les camionneurs le font. Les camionneurs vont fermer le pays », dit l’homme, ajoutant : « Ce que cela signifie, c’est que vous devez faire vos courses maintenant, prendre ce que vous pouvez pour la semaine ou les deux semaines à venir, remplissez votre réfrigérateur, vos congélateurs ».

Il a déclaré que les chaînes d’approvisionnement seraient bientôt interrompues et a exhorté les Australiens à faire le plein de produits d’épicerie pour leur permettre de passer les deux prochaines semaines.

Une page GoFundMe a depuis été lancée pour soutenir financièrement les camionneurs qui se préparent à faire grève à partir de 9 heures le mardi 31 août, ce qui impliquera « le blocage de toutes les autoroutes entrant dans chaque État en même temps »

Daily Mail

Selon l’homme, les camionneurs ont discuté avec des personnes du « monde entier » et ont travaillé avec des vétérans de guerre pour mener à bien la manifestation.

« Les camionneurs sont partants, les vétérans sont partants, je suis partant. Je suis prêt à aller en prison pour sauver mon pays et mes enfants », a déclaré l’homme.



On ignore combien de camionneurs sont impliqués dans la manifestation, mais des camionneurs du monde entier ont mis en ligne des conseils sur la manière d’entraver les efforts des autorités pour remorquer leurs véhicules.

Une page GoFundMe, qui semble avoir été retirée, avait recueilli près de 4 000 dollars pour cette action.

Si la manifestation a lieu, ce ne sera pas la première fois que des camionneurs bloquent des routes pour protester contre les restrictions liées à la pandémie. Le mois dernier, plusieurs camions ont protesté contre la fermeture temporaire d’un chantier à Sydney en garant leurs véhicules sur l’autoroute et en faisant retentir leurs klaxons.

Un convoi de camions proteste contre la fermeture temporaire d’un chantier à Sydney le mois dernier.




«Zone libre» : les restaurateurs affichent leur refus de contrôler le passe sanitaire

[Source : Médias Citoyens Diois (mediascitoyens-diois.info)]

Par Paul Sugy

[Illustration : La page Facebook du collectif «Zone libre». Capture d’écran Facebook]

Un collectif veut garantir aux clients que le passe sanitaire ne sera pas contrôlé dans certains établissements. Cette petite «pastille verte» commence à faire des adeptes, au risque d’attirer l’attention des autorités.

Pour ce restaurateur d’une ville de l’est de la France, il était hors de question de contrôler ses propres clients : il n’est «pas leur mère». Avec ou sans passe sanitaire, donc, tous continuent d’être accueillis dans son établissement, et l’entrée en vigueur des mesures estivales n’y a rien changé. Il faut dire que l’irréductible aubergiste n’en est pas à son coup d’essai: pendant le confinement, il continuait de servir trente à quarante couverts par jour, comme si de rien n’était…

Mais voilà : sur fond de contestation grandissante, ce réfractaire tient là un véritable argument marketing. Et les clients du troquet ne s’y sont pas trompés, qui viennent plus nombreux qu’à l’accoutumée siroter avec leur cervoise le goût savoureux de la liberté. «Les gens me connaissent depuis longtemps, explique-t-il. Ils savent que je ne suis pas dans la conformité… Ils se le disent entre eux, ils en parlent, et la rumeur se répand. Ceux qui viennent boire ici aujourd’hui le font en partie parce qu’ils savent que je ne les embêterais pas.»

L’un d’entre eux ajoute tout de même que la configuration des lieux aide aussi à prendre le risque de s’y attabler, même sans passe sanitaire : donnant sur une petite cour, la taverne offre une confortable «issue de secours» au cas où les forces de l’ordre viendraient effectuer une visite impromptue. Quant au risque d’une fermeture administrative, le patron le redoute mais le relativise quelque peu: «Avec un référé-liberté , on peut réduire considérablement le temps de fermeture; mais enfin chaque jour compte, et quand je reste fermé je n’ai pas d’argent qui rentre». Alors, s’il faut en passer par là, il reste toujours les vieilles combines. Comme celle-ci : on peut scanner cinq fois le même QR code pour cinq clients différents. L’application dont disposent les restaurateurs, elle, ne fait pas la différence et le gérant des lieux pourra toujours expliquer s’être fait berner au cas où la patrouille arrive.

Du reste, la ville assure de son côté au Figaro n’avoir «pas connaissance» de cette initiative, et poursuivre malgré tout les contrôles dans les établissements de son territoire soumis à l’obligation de vérifier le passe sanitaire.

«TOUS BIENVENUS»

Ce restaurant qui clame haut et fort son rattachement à la «zone libre» n’est pas le seul; et pour encourager à la désobéissance, un mouvement est même né sur les réseaux sociaux, proposant aux récalcitrants d’appâter les clients non-vaccinés au moyen d’un discret petit macaron vert distribué à qui en fait la demande. «Ici, on respecte votre liberté, votre dignité et le secret médical» peut-on y lire, au milieu d’un slogan, «tous bienvenus», qui forme une drôle de contrefaçon du célèbre «venez comme vous êtes» d’une enseigne de fast-food bien connue.

«Zone libre», proclame ce macaron vert affiché sur la vitrine de certains restaurateurs. Capture d’écran Facebook

À l’origine, l’initiative n’était pourtant pas si insolente que cela: «J’ai eu l’intuition qu’il fallait un message positif pour contrebalancer la morosité des annonces d’Emmanuel Macron», confie l’instigateur du mouvement. Au lendemain de l’introduction du passe sanitaire, il propose alors à ceux des commerçants de son quartier qui ne sont pas soumis à l’obligation de contrôler le passe d’afficher le petit macaron vert, pour rappeler aux clients qu’il subsiste «quelques espaces de liberté». «C’était une façon de fédérer derrière un message réjouissant, mais je n’avais pas en tête de lancer un mouvement de désobéissance civile», ajoute-t-il.

L’appétit vient en mangeant. Alors que l’autocollant connaît un vif succès, il est vite sollicité par des restaurateurs («une vingtaine en quelques jours») qui imaginent déjà en faire l’emblème de leur refus d’appliquer les consignes. Et d’inoffensif qu’il était, voilà le petit macaron vert devenu malgré lui un symbole dissident.

L’ennui, c’est qu’être visible est à double tranchant. De même que l’idée, un temps imaginée par le collectif, de constituer un annuaire des établissements réfractaires, en est toujours au point mort. Et s’il se «garde bien de communiquer les noms et adresses des restaurateurs» qui lui ont demandé des macarons, le fondateur de «Zone libre» admet donc que concilier la volonté de publiciser ces établissements, tout en les préservant d’un contrôle administratif désagréable, constitue un drôle de numéro d’équilibriste. Encore que tous les restaurants concernés n’ont pas le même souci de la discrétion: certains n’hésitent pas même à communiquer auprès de la presse locale, comme ici à l’endroit de nos confrères de La Dépêche .

Pour les plus prudents, le petit rond vert reste néanmoins planqué dans le tiroir-caisse, et on ne le sort que discrètement, pour quelques photos avec des clients de connivence. Beaucoup du reste le reconnaissent: si l’on veut recevoir des clients non-vaccinés sans trop attirer l’attention, le plus sûr reste de compter sur le bouche-à-oreille. Message reçu cinq sur cinq pour beaucoup d’abonnés de la page Facebook du mouvement «Zone libre», qui ne publient que des informations très vagues («Zone Libre à […] chez un restaurateur courageux») et ne communiquent ensuite les bonnes adresses que par message privé.

Paul Sugy




Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir

[Source : journaldemontreal.com]

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Par
LÉO-PAUL LAUZON
 
24 octobre 2013

La société américaine Pfizer est la plus grosse compagnie pharmaceutique au monde et elle n’est pas mal plus importante et plus riche que le Canada. En termes de ressources économiques, le Québec est un nain par rapport à Pfizer et à la tyrannie du cartel pharmaceutique qui font la pluie et le beau temps dans le monde grâce à leurs milliers de lobbyistes, d’universitaires franchisés, de groupes de recherches commandités et d’ex-politiciens à leur emploi. Comme pour les pétrolières, les banques, les chemins de fer, les firmes de génie, etc., et on repassera pour la supposée vive concurrence qu’est censée se livrer les agents économiques de tout marché. Dans plusieurs secteurs économiques, la concurrence et de ce fait l’économie de marché ne sont que des vues de l’esprit.

Mentionnons aussi que comme à l’accoutumée, Québec est chiche envers le monde ordinaire mais très généreux avec la caste supérieure, ce qui se concrétisera par le versement annuel de plusieurs centaines de milliers par année en fonds publics versés par la province à des pharmaceutiques milliardaires. Ça fait que c’est le Québec qui est le plus généreux en aide gouvernementale et où le prix des médicaments est le plus élevé au Canada. Même en leur donnant notre chemise, les mammouths pharmaceutiques en veulent toujours immonde et à flusher des milliards d’employés.

L’éthique et Pfizer

Commençons par une «joke» à vous faire mourir de rire. Elle vient de Scott Wilks, un haut dirigeant de Pfizer Canada, qui a dit très sérieusement, en entrevue au journal Les Affairesdu 7 avril 2012 que : «Il faut payer les médicaments à un prix équitable». Imaginez, faut avoir du front, et un gros en plus de ça, tout le tour de la tête pour nous parler de «prix équitable» des médicaments en particuliers et «d’équité» en général. Franchement, les pharmaceutiques qui détournent des milliards de dollars annuellement dans les paradis fiscaux par le biais de leurs filiales qui y logent et de leurs prix de transfert; des cadeaux princiers qu’ils distribuent aux médecins, aux pharmaceutiques et aux chercheurs universitaires pour services rendues à leur publicité trompeuse et mensongère, etc.

Tiens, prenons le titre de cet article de journal du 8 août 2012 : «Pfizer versera 60 millions$ US pour une affaire de corruption» et de celui-ci du 3 septembre 2009 : «Pfizer paie une amende record pour publicité abusive». Un petit 2,3 milliards$ US en amende auquel, selon moi, il aurait fallu aussi condamner les dirigeants de l’entreprise à la prison. Il y a aussi cet article du 10 décembre 2010 qui nous signale que «Pfizer a embauché des enquêteurs privés chargés de trouver des informations incriminantes sur le ministre de la justice du Nigéria qui poursuivait le géant pharmaceutique pour 75 millions de dollars» et également cet autre du 31 mai 2008 intitulé «Depo-Provera. Le recours collectif contre Pfizer peut aller de l’avant». Et après, ils ont le culot de se faire les apôtres de l’éthique et de la responsabilité sociale.

À genoux devant Pfizer

Contrairement à son engagement pris en 1987 d’investir 10% de leurs revenus en recherche au pays, en échange de subventions et de faveurs comme la durée prolongée de vie des brevets, de façon unilatérale et en vrai petit dictateur, Pfizer met fin à ses belles promesses : «Pfizer remet en question son engagement» (La Presse, 8 décembre 2010). Et nos élus affranchis s’écrasent face à ce comportement despotique.

Et même si c’est le Québec qui leur en donne le plus sur le bras de la population, Pfizer ne fait «pas de promesse pour le Québec» (16 mai 2012). Pfizer peut toutefois aider les provinces à «mieux gérer et prévoir ses coûts lorsque de nouveaux médicaments sont inscrits sur les listes». On appelle ça du mépris. Ce sont ces mêmes canailles qui provoquent intentionnellement des pénuries de médicaments moins rentables afin de vendre au gros prix leurs nouveaux médicaments qui sont quasi identiques aux vieilles pilules.

Des promesses de pertes d’emplois

Contrairement à ce que disent les boss de Pfizer, oui, ils peuvent faire des promesses de…. Pertes d’emplois et soyez assurés qu’ils tiennent parole. Tiens, prenons le titre de ces articles de journal récents : «Autre coup dur pour la recherche à Montréal. Pfizer élimine 150 postes» (3 février 2011). Puis, Pfizer dans Saint-Laurent : Quarante postes abolis» (26 mai 2012) et enfin : «Hémorragie dans l’industrie pharmaceutique. Pfizer sabre 300 emplois, dont la majorité à Montréal» (29 octobre 2012). Pourtant, Stephen Harper nous avait juré que les importantes baisses d’impôt sur le revenu consenties aux entreprises allaient créer des jobs, stimuler l’investissement et la croissance et créer beaucoup de richesse. Un autre mensonge des politiciens.

La recherche fondamentale sous-traitée

Et dire que nos gouvernements récidivent et nous enfoncent encore plus dans les entrailles du cartel pharmaceutique en sortant la recherche fondamentale pour de nouveaux médicaments des universités afin de les sous-traiter à des bineries biotechnologiques privées subventionnées à fonds par des fonds publics et à des fonds d’investissement spéculatifs qui s’associent aux transnationales pharmaceutiques. Ça, ça fait que les affairistes, les spéculateurs et les multinationales s’enrichissent et la population s’appauvrit et devient toujours à la merci du diktat des géants pharmaceutiques. Faut faire comme plusieurs pays et compte tenu de l’importance des médicaments pour le bien-être et la souveraineté de tout peuple et de leurs prix sur les budgets des familles et de la santé publique, faut remettre dans les institutions publiques la recherche fondamentale en santé. C’est trop important pour laisser ça à des gens qui sont principalement guidés par la cupidité bien avant le bien commun et la santé des gens. On a qu’à voir comment l’industrie pharmaceutique est peu émue par les millions de décès reliés aux VIH, s’est comportée en Afrique, ce qui fait dire que dans certains pays on meurt plus du sida que ou, encore, les profits avant la santé.




Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?

[Source : lemediaen442.fr]

Lors de l’émission de Peter Hahne du 01.05.2017, Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire : « Je ne crois plus les médias » ?

« La presse mensongère est en fait une abréviation inexacte. Je voudrais dire quelque chose : c’est bien pire : ils dissimulent. Ils ne font pas ce que l’on attend d’eux, à savoir informer sur la réalité. »

« À cet égard, la véritable catastrophe est que les personnes qui se comptent parmi une élite autoproclamée croient que la vérité est bénéfique pour elles-mêmes, mais visiblement pas pour les autres. »



Transcription :

2017, Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question: a-t-on raison de dire : « Je ne crois plus les médias » ?

Émission de Peter Hahne du 01.05.2017.

Les gens ont-ils raison lorsqu’ils disent : « Je ne crois plus les médias ? »

Norbert Bolz : En tout cas, il y a de bonnes raisons de le dire. Ce n’est pas parce que les médias mentiraient. La presse mensongère est en fait une abréviation inexacte. Je voudrais dire quelque chose : c’est bien pire : ils dissimulent. Ils ne font pas ce que l’on attend d’eux, à savoir informer sur la réalité. Et ils le font, comme vous l’avez dit à juste titre dans l’autre modération, par considération mal comprise. Et apparemment, le sentiment que l’on ne peut pas imposer la vérité aux Allemands, qu’ils réagissent mal à ce qui est vrai, et que nous devons donc l’emballer et la formuler soigneusement.

Moderator : Vous avez également fait des recherches à ce sujet pendant plusieurs décennies, que peut-on attendre de la population ? Combien de vérité le peuple peut-il supporter ?

Norbert Bolz : Je suppose que nos citoyens sont des citoyens matures, qu’ils sont adultes. Et c’est aussi la condition préalable à la démocratie. Si nous n’acceptons plus vraiment et ne partageons plus ce préalable, nous devrons vivre ensemble d’une manière complètement différente. Et je pense que personne ne veut ça.

À cet égard, la véritable catastrophe est que les personnes qui se comptent parmi une élite autoproclamée croient que la vérité est bénéfique pour elles-mêmes, mais visiblement pas pour les autres. Et que les citoyens sont pris pour des imbéciles, ou simplement considérés comme stupides, incapables de faire face à la vérité. Une arrogance incroyable émane de certaines élites, qu’il s’agisse de journalistes ou de politiciens, et l’on constate également une tendance croissante au paternalisme dans d’autres domaines de la vie. En d’autres termes, ils veulent prendre les citoyens par la main d’en haut et leur dire ce qu’il est bon de vivre, au lieu de les laisser décider par eux-mêmes.

À l’époque, il y avait une proportion extrêmement élevée d’Albanais du Kossovo dans certains actes criminels. Le problème est même que l’on y pense, – et je pense que c’est incontestable dans les rédactions; pensez à Cologne, la veille du Nouvel An – que l’on réfléchisse au fait que l’on communique ou non certaines informations vraiment extrêmement pertinentes pour la seule raison – et c’est le motif permanent dans toutes ces situations – de la crainte que l’on attise la xénophobie avec ces informations. Et je pense que cela signifie simplement déclarer les gens immatures.

Certaines personnes, notamment à la télévision publique, dans les grands programmes d’information, ne se contentent pas de proposer des informations, mais les présentent de telle manière que l’on ne peut avoir qu’une seule opinion à leur sujet. Et c’est précisément le problème central. Lorsque vous avez dit tout à l’heure qu’il serait possible d’écouter différentes sources d’information, différentes opinions, afin de se forger la sienne – parfait, ce serait bien. Mais nous sommes de plus en plus souvent confrontés à des sujets, notamment avec le problème des réfugiés, où l’on ne peut avoir qu’une seule opinion si l’on ne veut pas être de droite, voire d’extrême droite, c’est-à-dire nazi.