10 mesures urgentes pour en finir avec la crise COVID en 2022

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Vous êtes nombreux à demander comment sortir concrètement de la crise du COVID, notamment à l’occasion du prochain quinquennat. Je vous propose ici 10 idées de mesures urgents à prendre pour préparer un monde d’après humaniste et libre, et pour entamer le mouvement de recul dont nous avons besoin pour endiguer la domination de la caste. Il s’agit de dix idées urgents et immédiates, qui ne font évidemment pas un programme complet. N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !

Par Éric Verhaeghe

Les mesures qui sont exposées ici sont des mesures “urgentes” et donc très sectorisées, qui visent, durant les cent premiers jours du prochain quinquennat à créer un “choc” sociétal permettant le réveil de la société française face aux libertés menacées par une caste en pleine réaction contre le suffrage universel et ses conséquences. 

On ne trouvera donc pas un problème complet, mais un simple guide des décisions immédiates et urgentes.

Volet sanitaire

1° Abolir la notion d’état d’urgence sanitaire et rétablir les fonctionnements démocratiques normaux : le système macronien de suspension du fonctionnement normal de la démocratie sous un prétexte sanitaire instrumentalisé doit s’arrêter. Le recours à des conseils de défense pour décider de mesures expéditives et liberticides doit être banni. 

2° Rétablir la liberté de prescrire et autoriser les traitements peu coûteux, abandonner la politique du tout-vaccin : la stratégie guidée par les laboratoires pharmaceutiques consistant à ne pas soigner le COVID de façon précoce pour contraindre les Français à recourir à un vaccin dont les effets secondaires sont minorés mène à une catastrophe sanitaire. Les médecins doivent retrouver la liberté de prescrire les traitements qu’ils jugent adaptés, y compris les traitements peu coûteux. 

3° Abolir le passe sanitaire et la politique de crédit social, abroger la loi du 5 août 2021 : l’abrogation de la loi doit être immédiate. Le renoncement à toute politique de crédit social doit devenir un principe général du droit. 

4° Mettre en place une Commission d’enquête spéciale sur l’influence des laboratoires pharmaceutiques durant la crise du COVID et sur la corruption parmi les médecins et chercheurs : sur le modèle du rapport rédigé par deux sénateurs en 2010, l’État doit enquêter sur les coulisses de la stratégie sanitaire menée depuis le début de l’année 2020. Une commission spéciale regroupant des parlementaires et des juges doit être mise en place, avec des pouvoirs d’investigation judiciaire exceptionnels, pour déterminer quels moyens les laboratoires pharmaceutiques ont déployé pendant la crise, y compris au niveau européen. Les personnalités corrompues doivent être durement sanctionnées. 

Volet politique

5° déconcentrer les pouvoirs de l’État et supprimer la bureaucratie : après un an et demi de captation du pouvoir par la bureaucratie, PLUS JAMAIS ÇA ! Démantèlement des ARS, réduction drastique des effectifs de l’administration préfectorale, de l’administration hospitalière, et de la caisse nationale d’assurance-maladie. 

6° dépolitiser la haute fonction publique en obligeant les fonctionnaires à démissionner en cas de passage en cabinet ministériel et en supprimant la garantie de l’emploi pour les 500 postes-clés de la haute fonction publique. Il faut couper le cordon ombilical entre la haute fonction publique et le pouvoir politique. Les postes-clés doivent être soumis à une obligation de réussite contrôlée par le Parlement. Les milliers de hauts fonctionnaires en situation de chômage déguisé et payés par le contribuable doivent être licenciés. 

7° supprimer les aides à la presse : la presse doit vivre de ses lecteurs, pas des faveurs d’un État qui achète son consentement. 

8° entamer un dialogue avec la Commission Européenne pour inverser les transferts de souveraineté : sans initier une réforme des traités, l’inversion de la logique de transfert de la souveraineté nationale vers la Commission européenne doit commencer le plus tôt possible. La logique initiale de subsidiarité européenne doit guider l’action des Etats-membres. 

Volet sociétal

9° desserrer la contrainte exercée par la caste sur la société, en rétablissant la liberté d’enseigner et de soigner : la liberté de l’école à la maison doit être rétablie. La liberté de prescrire et la liberté de rembourser les soins hors des déconventionnements forcés de l’assurance-maladie doivent également l’être. La solidarité spontanée entre les individus doit être restaurée. 

10° défiscalisation et désétatisation progressive de la société française, en plafonnant à terme les recettes publiques à 40% du PIB : la crise du COVID a montré l’emprise que l’État et sa bureaucratie ont tissé au fil des années, grâce à une pression fiscale supérieure à ce que connaissent les pays de l’Union Européenne. Il est temps de recentrer l’Etat sur ses missions régaliennes (police, armée, justice, fisc), et de le faire maigrir sur le reste. 




Une province canadienne publie de nouvelles règles COVID qui permettent au gouvernement de saisir des propriétés privées

[Source : resistance-mondiale.com]

[Photo : Scot Moe, Premier ministre de la Saskatchewan]

Par bertruxskydric

Les fonctionnaires de la Saskatchewan peuvent « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Un gouvernement provincial canadien a promulgué des pouvoirs d’urgence de type orwellien au nom de la lutte contre le COVID qui permettent aux autorités de détenir ou de renvoyer des personnes sans mandat et de saisir des biens personnels à volonté. 

En vertu des  nouvelles ordonnances sanitaires , le ministre de la Saskatchewan peut « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Le gouvernement a également le pouvoir de « provoquer l’évacuation de personnes et le retrait de personnes ou de bétail et de biens personnels de toute région de la Saskatchewan qui est ou pourrait être touchée par une situation d’urgence et de prendre des dispositions pour les soins et la protection adéquats de ces personnes ou du bétail et des biens personnels.

Le nouveau décret d’urgence provincial en vertu  de la Loi sur les plans d’urgence a  été signé le 13 septembre par le premier ministre Scott Moe. Les commandes ont été annoncées par le ministère de la Santé de la Saskatchewan.

Selon le ministère de la Santé, les nouvelles ordonnances sont nécessaires pour « assurer la mobilité de la main-d’œuvre du système de santé grâce à une plus grande flexibilité dans la planification et la réorientation des travailleurs de la santé vers les zones confrontées à des pressions de capacité et dans l’utilisation de ressources supplémentaires ».

Les nouveaux pouvoirs sanitaires d’urgence permettent au gouvernement « d’assumer la direction et le contrôle de l’intervention d’urgence d’une autorité locale ».

Ils donnent également au gouvernement le pouvoir « d’acquérir ou d’utiliser tout bien immobilier ou personnel que le ministre juge nécessaire pour prévenir, combattre ou atténuer les effets d’une situation d’urgence ».

Dans le cadre de cette ordonnance, le gouvernement a réactivé les termes d’une lettre d’entente avec la Saskatchewan Health Authority et un grand nombre de syndicats provinciaux, dont le Saskatchewan Union of Nurses et la Health Sciences Association of Saskatchewan.

La lettre d’entente explique comment le gouvernement peut forcer le « redéploiement temporaire des employés de la santé pour répondre à l’augmentation prévue des besoins en soins de santé liés à la COVID-19 ». 

Toute personne résidant en Saskatchewan est mandatée par la loi pour suivre les nouvelles ordonnances d’urgence ou faire face à des sanctions sévères ou à une peine d’emprisonnement.

Les nouvelles commandes sont intervenues après que le gouvernement a déclaré une « quatrième vague » de COVID-19 stimulée par la « variante Delta ».

La province, qui compte environ un million d’habitants, indique actuellement que 262 personnes sont hospitalisées en raison de COVID-19. 

Le 17 septembre, le Dr Saqub Shahab, médecin hygiéniste en chef de la province, a émis une ordonnance d’isolement provisoire obligatoire et de couverture faciale comme palliatif jusqu’à l’entrée en vigueur du passeport vaccinal de la province en octobre.

Moe a récemment déclaré que son gouvernement était “trop ​​patient” avec ceux qui n’avaient pas reçu les vaccins COVID lors de l’introduction d’ un passeport vaccinal.  

Les mots de Moe contre les non vaccinés comprenaient également une phrase selon laquelle, bien qu’il n’ait jamais voulu « mettre en œuvre » un passeport vaccinal, sa « patience a pris fin » avec les non-piqûres.

À partir du 1er octobre, il faut présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour manger à l’intérieur, se rendre dans des lieux de divertissement, assister à des conférences ou à de grands événements ou participer à des centres de fitness intérieurs.

Toutes les provinces canadiennes ont depuis longtemps le pouvoir d’édicter de telles règles draconiennes, qui limitent en fait les droits des personnes en cas d’urgence, mais utiliser une urgence « sanitaire » pour le faire est du jamais vu dans les temps modernes.

La province de l’Alberta a également récemment déclaré une urgence publique en vertu de sa  Public Health Act Comme en Saskatchewan, le gouvernement peut pénétrer dans des immeubles sans mandat ou saisir des biens personnels. 

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, bien qu’il ait promis que sa province serait ouverte « pour de bon »,  a  récemment introduit un passeport vaccinal COVID-19. Il a également promulgué de nouvelles règles interdisant aux personnes «non vaccinées» de se rassembler dans leurs maisons privées.

John Carpay, président du Justice Center for Constitutional Freedoms (JCCF), a déclaré qu’en « vertu » du gouvernement Kenney limitant les interactions sociales à l’intérieur de pas plus de 10 personnes, le gouvernement « reconnaît que les personnes vaccinées sont propagateurs de virus.

« Sur quelles preuves le gouvernement s’appuie-t-il pour croire que les personnes non vaccinées sont de pires vecteurs de virus que les personnes vaccinées », a déclaré Carpay dans un communiqué envoyé à LifeSiteNews.

« Le premier ministre Kenney s’est joint au premier ministre Trudeau pour faire des boucs émissaires, diaboliser et vilipender la minorité d’individus non vaccinés.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes des liens avec des cellules dérivées de bébés avortés.  

Tous les quatre ont également été associés à de possibles effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez les hommes jeunes et en bonne santé. 

La liste des événements indésirables reconnus par la FDA est passée des réactions anaphylactiques graves aux événements thrombotiques mortels, à la myocardite inflammatoire  et aux maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Pendant ce temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection COVID-19 supérieur à 99,95 % pour les moins de 50 ans. 

Contact:

L’honorable Scott Moe
Premier ministre de la Saskatchewan
226 Édifice législatif
Regina, Saskatchewan
CANADA S4S 0B3

Téléphone : (306) 787-9433
Télécopieur : (306) 787-0885
Courriel :  premier@gov.sk.ca

Traduction de l’article Canadian province issues new COVID rules that let gov’t seize private property – LifeSite (lifesitenews.com)




Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans toute l’Italie contre le pass sanitaire

Par Nicole Delépine



Pour ne rien rater des manifs c’est ici
👉 t.me/AnonymeCitoyen




Reprise des Gilets Jaunes ?

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Puisque les voyous ont profité de la crise pandémique pour reprendre la mains dans un silence général aussi assourdissant que désolant, la seule chose qui pourrait désormais nous arriver de bien, c’est ça :

Pour peu qu’il soit pris acte des “faiblesses” de la saison 1, avec une saison 2, disons, plus énergique, et avec un seul objectif bien précis : virer définitivement les voyous (je ne parle pas des blackblocks, mais des salauds corrompus de la haute), non vraiment, je ne vois pas ce qui pourrait nous arriver de mieux pour en finir avec ce désastre  – que pouvait-il d’ailleurs nous arriver de pire ?




15 octobre 2021 : radiation des soignants = autodafé du Serment d’Hippocrate

Par Lucien Samir Oulahbib

À écouter le dernier Conseil Scientifique indépendant (CSI) qui avait invité un spécialiste du SARS-CoV-2, il semble bien que, selon lui, les Autorités en place aient échoué, d’une part en employant imprudemment une technologie mal maîtrisée (d’où les doses à répétition par ailleurs périmées au bout de six mois), d’autre part en écartant des techniques préventives comme la vitamine D ; elles ont donc aggravé la situation. Alors que cette prévention articulée à une thérapie précoce pour les malades effectifs aurait pu représenter une barrière puissante évitant l’aventurisme affairiste auquel nous assistons actuellement.

Le second exposé, relatif au déni de l’existence de relations de causalité entre injections et effets secondaires, était également d’autant plus intéressant qu’il rappelait en effet que les industries du tabac avaient pendant longtemps rigoureusement nié les corrélations causales entre tabac et cancer du poumon. L’exposé se fragilise cependant inutilement en indiquant aussi comme exemple lesdites négations de « climato-sceptiques » concernant les liens entre hausse des températures (1,5 % sur 150 ans) et élévation de gaz dits à « effet de serre » (CO2, méthane, vapeur d’eau…) liée à l’activité humaine, car là, pour le coup, la démonstration n’est pas faite comme l’a indiqué François Gervais, spécialiste du CO2, en signalant d’une part que les 3/4 de l’augmentation du CO2 a émergé avant les années 1940 (donc avant le boom industriel des années 50-60) et que d’autre part l’on confond CO2 et CO. Le premier est bénéfique pour la végétation, à la différence du second qui du fait d’une combustion non aboutie sécrète des toxines toxiques qui sont cependant éliminées de mieux à mieux (ainsi les nouveaux pots catalytiques les éliminent à 98 %).

Ce qui fait que les relations causales dépendent de l’objet étudié et surtout de l’angle choisi : si l’on adopte par exemple un point de vue purement arithmétique, il est sûr qu’en lissant sur 500 ans le nombre d’incidences criminelles l’on peut trouver que la Cour des Miracles pouvait être plus dangereuse que Place Stalingrad aujourd’hui. Mais cette constatation académique ne vaut rien au niveau politique lorsqu’il s’agit de subir pour tout un chacun des perturbations vitales qui statistiquement pèsent peu alors qu’elles sont si importantes pour les personnes les vivant au quotidien. Il en est évidemment de même pour ces quartiers qui voient les « natifs » être réellement chassés par les nouveaux arrivants comme l’indiquent ces derniers temps ces nombreux exemples relatés par des maires courageux, même si cela ne forme encore qu’une poignée en ratio avec le nombre d’étrangers aux quartiers concernés ; mais dans ce cas, et si cela était si infime que cela, ce serait identique à ce qui est dit aujourd’hui concernant les effets secondaires des injections qui, comparés aux trois milliards de personnes en phase expérimentale, pèseraient peu au vu de leurs remontées encore infimes. Alors que cependant, l’on sait d’une part que des médicaments ont été arrêtés pour moins que cela et que d’autre part l’on ne connaît pas encore les effets à long terme de ces injections à AMM conditionnelle (et qui n’a pas été renouvelée aux dernières nouvelles), comme la prolifération actuelle des maladies auto-immunes et des cancers. C’est du moins ce que relatent plusieurs membres du CSI (à cette même séance) ; tout en espérant, à décharge, que les fonctions immunitaires naturelles des personnes en bonne santé ont en fait éliminé d’emblée cette inoculation (alors que celle-ci accentuerait la fragilité des personnes plus à risques ce qu’il faut creuser).

En tout cas, ce qui est à retenir et ce qui est très grave, c’est que l’on a adopté une technologie qui n’a guère d’effets positifs, car si l’on compare l’été 2020 et l’été 2021 l’écart létal n’est pas significatif avec ou sans injection. En effet, en juin 2020 avant l’arrivée de ce que l’on a appelé plus tard des « variants », causes des remontées de cas et de malades, la courbe était retombée sans injection (voir d’autres comparaisons ici dans l’étude animée par Laurent Toubiana). D’autre part, le fait d’avoir empêché les médecins de prescrire, y compris lorsqu’il n’y avait pas d’injections, est bien la preuve que le Serment d’Hippocrate aura été piétiné et, aujourd’hui mis au feu, puisqu’en cette date désormais maudite du 15 octobre 2021 (au même titre que celles du 5 août et du 12 juillet 2021), les soignants non injectés sont non seulement suspendus, mais interdits de pratiquer, ce qui est un scandale immense, inouï, inédit qui fera date.

Jamais en effet, pour une maladie si peu létale qui plus est, et alors que ces soignants savent prendre leurs précautions, une politique aussi brutale et cruelle, n’a été adoptée, montrant par là toute l’inhumanité d’une Secte sûre de son fait, prétentieuse, alors qu’elle s’est trompée sur toute la ligne (y compris sur l’efficacité supposée des « confinements », battue en brèche), croyant tout savoir sur l’immense complexité de la vie humaine. Alors qu’il faut toujours rester modeste, tant nous savons encore si peu de choses sur ce que le mot « santé » veut dire, du moins si l’on cherche à aller plus loin que cette remarque de Claude Bernard lorsqu’il indiquait pour celle-ci qu’il s’agissait déjà du « silence des organes », ce qui n’est pas rien, certes, mais nécessiterait sans doute de continuer à les sonder, tant le silence, surtout lorsqu’il est abyssal, décèle des causalités insoupçonnées, ce qui peut cependant permettre d’en prévenir les effets à venir si on laisse précisément les médecins faire librement leur travail.

Mais Claude Bernard est oublié. La médecine, les médecins, leurs longues, très longues années d’études et de pratiques, tout est jeté à la « poubelle de l’Histoire » au profit d’une vaste machinerie pseudo scientifique (scientiste en réalité) façon Frankenstein, Folamour, voire Menguele, tant expérimenter par exemple sur des enfants — qui ne font pas partie des catégories à « risques » (censées être par ailleurs « protégées » par l’injection) — s’avère être de plus en plus un crime contre l’Humanité, à tendance génocidaire. Ceci devra être bien sûr durement sanctionné, à commencer par tous ces sophistes de plateau qui sont les premiers responsables à avoir par exemple décrié les traitements précoces et surtout, comme l’indique Didier Raoult dans son dernier ouvrage, sont restés minutieusement silencieux devant ces manipulations de données dignes de pratiques cyniques nihilistes et en fait mafieuses.

C’est ce silence, plus que celui des « organes » qui est devenu inadmissible et doit donc être très durement sanctionné.




Cette dictature sera nécessairement la pire de toutes

[Source : reseauinternational.net]

Par Jean Pierre Aussant.

Cette dictature de l’hygiène présente trois caractéristiques radicalement nouvelles qui la démarquent de celles du passé et qui feront d’elle, et de loin, la plus effroyable de toutes.

La première de ces caractéristiques est qu’elle est mondiale. Cela implique que cette fois la résistance ne pourra compter sur aucun sauveur, aucun allié, aucune grande nation étrangère qui serait susceptible d’intervenir pour une « libération ». Bref, pas d’armée russe ou américaine pour libérer nos Auschwitz et nos Dachau à nous.

La deuxième est que l’immense majorité des esclaves et des opprimés, donnent raison à leurs maîtres. Chose qui rend la résistance du petit noyau d’êtres humains ayant réussi à rester dignes et clairvoyants extrêmement difficile.

La troisième (qui est aussi la plus importante) est que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous avons à faire à une dictature qui évolue dans un cadre culturel essentiellement athée (si les dictatures communistes du passé se réclamaient officiellement de l’athéisme, pour autant les populations- comme nous l’avons vu en ex URSS- étaient, elles, demeurées croyantes). C’est sans doute cette privation du « filet de sécurité » qu’offraient jadis les religions qui bon an, mal an, reconnaissant une dignité transcendantale à l’être humain créé par Dieu, fixaient une sorte de limite dans le mal, qui ouvrira la porte de l’enfer sur terre.

En effet, l’homme postmoderne qui ces dernières décennies et par le truchement de l’athéisme s’est laissé aller à accepter les pires lois d’infamie contre le respect de la création et de la vie « en soi », n’est plus en mesure de croire sérieusement en lui-même. Ayant accepté avec la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’enfant à naître, le principe même de l’écrasement de l’être humain dans ce qu’il a de plus précieux (la vie), il ne peut plus, en creux, croire en lui-même. Il sait désormais au fond de lui, qu’il n’a plus rien à dire. Pour ainsi dire l’acceptation de l’écrasement des autres, l’oblige maintenant à accepter son propre écrasement. Oui, le mépris des autres l’aura in fine conduit à se mépriser lui-même.  C’est pourquoi, au fond, il est devenu incapable de se défendre.




La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !

[Source : Hal Turner Radio Show]

Le 10 septembre 2021, la Maison Blanche a diffusé en direct sur Internet une conférence de presse à laquelle participait l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki.  Une grande partie de cette conférence de presse portait sur l’annonce faite précédemment par le président qu’il allait obliger les entreprises de 100 employés ou plus à faire vacciner leurs employés contre le COVID-19.

Ce mandat met les gens dans une position où ils doivent soit accepter une thérapie génique expérimentale dans leur corps, soit perdre leur gagne-pain.  C’est de la coercition et de l’extorsion.

Depuis cette annonce, de plus en plus d’efforts ont été déployés, tant aux États-Unis qu’à l’étranger, pour obliger les gens à se faire vacciner contre le COVID.  Au Canada, par exemple, les autorités québécoises ne se contentent pas d’exiger que les travailleurs de la santé se fassent vacciner, mais si ces derniers refusent, ils ne seront pas simplement renvoyés de leur emploi, mais leur LICENCE de soins de santé sera révoquée afin qu’ils ne puissent pas aller travailler ailleurs !

Le niveau de « pression » pour prendre cette modification génétique est si fort, et le refus de la prendre est si répandu que l’intimidation draconienne, la coercition et l’extorsion pour prendre la modification génétique, semblent maintenant la norme.

Les raisons pour lesquelles de nombreuses personnes rejettent le vaccin sont valables : Il provoque des caillots sanguins qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques chez de nombreux patients.  Plus de 14 000 Américains sont déjà morts quelques jours seulement après avoir pris le vaccin.  Certains meurent en quelques minutes !

Chez les jeunes, le vaccin a provoqué des myocardites, c’est-à-dire des gonflements du muscle cardiaque… et des péricardites, c’est-à-dire des gonflements de la paroi du cœur.  Statistiquement, les jeunes qui souffrent de myocardite ont un taux de mortalité de vingt pour cent dans l’année et de cinquante pour cent dans les cinq ans.  En d’autres termes, la moitié d’entre eux meurent.  Sur les quelque 9 millions de jeunes qui ont pris le vaccin, 360 000 ont contracté une myocardite.  Statistiquement, la moitié d’entre eux (180 000) seront MORTS dans les cinq ans !
Pourtant, le pouvoir en place continue de faire pression pour que ce vaccin soit administré à un nombre croissant de personnes.   

Dès le début de la distribution du soi-disant vaccin COVID-19, on a appris que les soi-disant « vaccins » ne contenaient pas le contenu typique d’un vaccin.   Habituellement, un vaccin contient une petite quantité du virus réel, soit vivant, soit atténué pour le rendre plus faible.  Ce n’est pas le cas des vaccins COVID.   Habituellement, les vaccins contiennent des versions « ADN recombinant » du virus, où des gènes du virus réel sont génétiquement remplacés par des gènes de levure, de sorte que l’extérieur du virus conserve son apparence, mais que l’intérieur est constitué de levure inoffensive.  Les vaccins COVID ne contiennent pas cela non plus.

La plupart des vaccins COVID contiennent de l’ARN messager (ARNm), l’un des messagers les plus fondamentaux des blocs de construction de l’ADN du corps humain.  L’ADN dit à l’ARN ce qu’il doit faire ; l’ARN dit ensuite à toutes les cellules de notre corps ce qu’elles doivent faire. Étrangement, l’ARN a la capacité de modifier l’ADN par l’action de la transcriptase inverse.   Une fois que l’ADN est modifié, il ne peut jamais – JAMAIS – être remis dans sa forme originale.  Il est modifié à jamais.

Ce fait a conduit certaines personnes à demander :

« Si l’ARNm modifie notre ADN, sommes-nous encore humains ? ». 

D’autres ont demandé,

« puisque la Cour suprême des États-Unis a statué que personne ne peut breveter une substance naturelle, mais peut breveter des substances modifiées, si le fait de permettre à l’ARNm de modifier notre ADN fait de nous la propriété de la société qui a modifié notre ADN ?  Sommes-nous un nouveau produit maintenant ? »

Enfin, certains sont allés jusqu’à demander :

« Notre Créateur, Dieu, nous reconnaîtrait-il comme siens une fois que notre ADN a été modifié ? ». 

C’est cette question que beaucoup de gens ont trouvé la plus troublante, car les croyants de la Bible ont été mis en garde depuis des générations contre « la marque de la Bête ».

Sans entrer dans les interprétations sans fin des passages bibliques, nous présentons simplement ce que dit la Bible :

1 Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
2 La bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité.
3 Une de ses têtes paraissait blessée à mort; mais sa plaie mortelle fût guérie, et toute la terre, saisie d’admiration, suivit la bête,
4 et l’on adora le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête, et l’on adora la bête, en disant:  » Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? « 
5 Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois.
6 Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle et ceux qui habitent dans le ciel.
7 Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation.
8 Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde.
9 Que celui qui a des oreilles entende!
10 si quelqu’un mène en captivité, il sera mené en captivité; si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée. C’est ici la patience et la foi des saints.
11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui portait comme un dragon.
12 Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie.
13 Elle opérait aussi de grands prodiges, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes,
14 et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie.
15 Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête.
16 Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front,
17 et que nul ne pût acheter ou vendre, sil n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom.
18 C’est ici la sagesse! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six.

La Bible indique donc que les habitants de la terre seront séduits [Ndlr : « ensorcelés », « hypnotisés »…] et devront accepter une marque pour pouvoir acheter ou vendre.

Qu’est-ce que le monde voit se dérouler en ce moment même avec la marque du COVID ?   Nous voyons les gens se faire dire qu’ils ne peuvent pas sortir, qu’ils ne peuvent pas entrer dans les magasins (acheter ou vendre) sans quoi ?  Le vaccin !

Et quel est l’un des ingrédients du vaccin COVID ?  « Luciférase »… le nom de Lucifer !

Pourtant, alors qu’une myriade de personnes, même des experts religieux, ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour expliquer aux gens que les vaccins COVID ne sont PAS la « marque de la bête », l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a laissé échapper le contraire.  Lors du point de presse du 10 septembre, Psaki, depuis le podium de la salle de presse de la Maison Blanche, a répondu à une question des journalistes sur le mandat de Biden en disant ce qui suit :

« Ce que vous avez entendu le président transmettre hier, ce sont les prochaines mesures qu’il prend, en utilisant tous les leviers du gouvernement, pour réduire, euh, les maladies, pour réduire les hospitalisations, pour protéger les personnes marquées, et sauver plus de vies. »   [Ndlr : « Marked people » en anglais.]

Elle l’a vraiment dit, PERSONNES MARQUÉES.
PERSONNES MARQUÉES !!!!!!!!

Avancez jusqu’à 1:11:50 dans la vidéo ci-dessous, et vous entendrez la journaliste poser la question à Psaki et vous verrez et entendrez Psaki le dire elle-même :

Personne ne fait une telle erreur.  Personne ne substitue le mot « marqué » [« marked » en anglais] à « plus » [« more » en anglais].  

Pourtant, c’est exactement ce que le secrétaire de presse de la Maison Blanche a dit.  « Des personnes marquées. »

Commentaire d’Hal Turner

Ne vous laissez pas tromper.  Vous connaissez maintenant la vérité.  Vous l’avez entendue de leur propre bouche.
Les vaccinés sont des « personnes marquées ».  Quelle autre marque aurait-elle pu vouloir dire, sinon la marque de la bête ?

Une fois que vous l’aurez entendu de vos propres oreilles, si vous restez assis là, complètement étonnés, vous ne serez pas les seuls.   J’ai été complètement abasourdi de l’entendre moi-même.

C’est aussi clair que le jour.  Aussi clair que le nez au milieu de ma figure.  « Les personnes marquées. »
Un certain nombre d’entre vous m’ont dit que nous vivions dans les derniers jours.   J’ai eu du mal à le croire, mais après cela… wow!… c’est ce que je vois.  

En fait, compte tenu de ce que je vois, il semble maintenant que notre gouvernement national soit dirigé par Satan lui-même.

Non, merci.


[Note de Joseph :
L’élément le plus abondant de la croûte terrestre est la silice (SIO2) composée de silicium et d’oxygène.
Le silicium est la base des puces électroniques qui équipent tous les ordinateurs, tablettes, téléphones prétendument intelligents, et même la plupart des appareils électroniques et électroménagers, jusque dans les voitures.
Il est la base de l’informatique pratique, et se trouve donc derrière le fonctionnement de tous les logiciels sans lesquels une bonne partie des miracles de la technologie moderne ne seraient pas accomplis.
Les États-Unis et leur pouvoir bicéphale (ou bicorne) Démocrate-Républicain représentent la terre de naissance de l’informatique moderne, notamment avec la Silicon Valley.
La Bête de la terre peut donc symboliser à la fois les États-Unis et l’informatique.
La science s’est corrompue en scientisme technologique répandu sur la Terre entière au point de devenir comme une véritable religion mondiale dont les dogmes et croyances ne se discutent pas plus que ceux du catholicisme en nette perte d’influence. Le dogme vaccinal et celui du réchauffement climatique anthropique, par exemple, sont indiscutables aux yeux des grands-prêtres médiatiques qui font office de nouveaux inquisiteurs devant toute déviation de la pensée unique. Les discuter, les remettre en question, c’est s’exposer à l’excommunication de l’église scientiste, voire au bûcher pour sorcellerie.

Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Florian Philippot : « Covid — fin de partie pour cette MAFIA internationale ! »

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Maryse Laurence Lewis, Mondialisation.ca, 2021

Notes – Références :




La prison électronique ou rien?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.

L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…

Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.

Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…

L’histoire de la création chez les Iroquois

La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.

C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.

La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.

Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).

De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…

Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.

Et je commence  derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :

Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?

Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:

 « Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin. 

Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)

Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »

Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :

 « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.

Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.

Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.

Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »

Thalès et la société de surveillance

J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.

 Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.

Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :

« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »

Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?

En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)

C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.

A la question de Durkheim :

« Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » 

Maffesoli répond :

« Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».

Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».

La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.

Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).

C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, 

« contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques  ». 

Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique

[Source : qactus.fr]

VICTOIRE DES SOIGNANTS EN MARTINIQUE !!

Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique. VICTOIRE des soignants en Martinique contre le Pass sanitaire.

Le directeur de l’hôpital de Trinité en Martinique vient d’annuler le Pass sanitaire face à la résistance des soignants. Le Pass sanitaire devait être applicable à partir d’aujourd’hui pour les salariés du CHUM de Trinité en Martinique.

Bravo  !





Voilà comment la Martinique se défend contre l’obligation vaccinale et voilà pourquoi la Martinique a gagné la bataille

Cette vidéo devrait être envoyé à la direction de tous les établissements de santé concernés :




Lapsus révélateur sur un plateau de télé

« Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue » !

Ce monsieur est le directeur du CHU Martinique :




Liza – figure de la résistance – Martinique

Suite à la censure de la vidéo sur Youtube, Liza est de retour sur Viméo.

https://player.vimeo.com/video/623558728?h=f3c78cf83b
Liza – figure de la résistance – Martinique from MAWONAJ on Vimeo.

Le 11/10/2011 en MARTINIQUE

Les syndicats hospitaliers, opposés à l’obligation vaccinale, ont rencontré la direction du CHU de Martinique contre le Pass sanitaire obligatoire dans les hôpitaux.

Le personnel hospitalier, opposé à l’obligation vaccinale, a été reçu par Benjamin Garel, le directeur du CHU de Martinique hier matin (lundi 11 octobre).

Les syndicats hospitaliers ont érigé des barrages devant les entrées des différents hôpitaux de l’île (Fort-de-France, Lamentin, Trinité…).

Benjamin Garel a proposé la mise en place d’un test antigénique à compter de ce mercredi (13 octobre 2021) pour les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner.

Une soignante a exigé de Benjamin Garel qu’il s’engage et ‘assume sa responsabilité pour les effets secondaires du vaccin… mais il n’a pas assumé!!






La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).




Passe sanitaire : pourquoi la bourgeoisie managériale trahit si facilement la démocratie libérale

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire, initialement présenté comme extrêmement limité dans son usage, franchit un nouveau cap aujourd’hui : le gouvernement propose son maintien jusqu’à l’été prochain… Nos lecteurs n’en sont pas surpris, puisque nous annonçons son installation permanente depuis cet été. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi la caste mondialisée ne rencontre aucune opposition dans les couches supérieures de la société face à ce reniement caractérisé de la démocratie libérale. De notre point de vue, l’ère macronienne correspond (mais c’est une tendance mondiale) à l’émergence d’une bourgeoisie managériale formatée pour obéir et structurellement favorable à un système d’apartheid social.

Sur les raisons pour lesquelles le passe “sanitaire” est maintenu jusqu’à l’été 2022, nous nous sommes déjà largement exprimés. Le projet n’a rien de sanitaire, il s’intègre simplement au projet d’identité numérique déployé par la Commission Européenne (le fameux “wallet”). Il s’agit d’organiser un système d’identification et de contact tracking sur un modèle chinois, tel que le Great Reset de Klaus Schwab l’a proposé. 

Tout ceci s’appuie sur des investissements industriels, portés notamment par Thalès, qui cherchent aujourd’hui leur rentabilité sur le marché mondial de l’identité numérique. Donc, face à cette collusion d’intérêts industriels, nous savons que le passe sanitaire n’est pas prêt de disparaître. 

Passe sanitaire et crédit social à la chinoise

Pour le reste, le principe du passe sanitaire correspond à une tendance longue du capitalisme de connivence, fondé sur les relations incestueuses entre la bureaucratie et le management des grandes entreprises transnationales. Face aux menaces létales que le rejet du multilatéralisme (incarné par le Brexit) et du libre-échange (incarné par Trump) représente, ce capitalisme de connivence est bien décidé à utiliser toutes les possibilités technologiques nouvelles pour asseoir sa domination. 

Pour ce faire, il est prêt à se transformer en un capitalisme de surveillance où son pouvoir se fondera sur le crédit social à la chinoise. Les bons citoyens auront des droits que les mauvais citoyens perdront. Nous recommandons ici la lecture du rapport du Sénat, au printemps, sur le sujet, pour comprendre et mesurer l’influence du modèle chinois sur la caste au pouvoir en France. 

L’écrasante culpabilité de la bourgeoisie managériale dans cette rupture

On le comprend peu à peu, nous sommes en train de changer d’ère, de civilisation, mais aussi de régime et de gouvernance. Progressivement, la démocratie libérale cède la place à un système autoritaire que nous avons appelé le régional socialisme dans notre livre sur le Great Reset. 

Ce régional socialisme s’appuie sur deux piliers. Il est régional au sens des régions continentales, avec son obsession de bâtir des ensembles multilatéraux comme l’Union Européenne. Il est socialiste au sens où il subsume le droit individuel sous une couche de “protection collective” : risquez donc votre vie en vous vaccinant pour le bien du groupe ! Et il professe le “big government”, à rebours de la tendance insufflée en son temps par Ronald Reagan. 

Cette nouvelle vision du monde, en rupture avec la démocratie libérale, est essentiellement le fait de ceux qui ont inventé la théorie de la “Start Up Nation”. Ils se rassemblent dans ce que nous pourrions appeler la bourgeoisie managériale, représentante française de la caste mondialisée. Ces gens-là sont des cadres plus ou moins supérieurs, des dirigeants d’entreprise qu’ils n’ont pas créées ou d’administration, parfois des enseignants, qui ont un patrimoine moyen et une aversion générale au risque. 

La bourgeoisie managériale porte toutes les croyances insufflées par “l’altruisme efficace” aux Etats-Unis : culture de l’excuse, culpabilité de l’homme blanc, remplacement du christianisme par la religion de la nature, effacement de l’humanisme au profit du transhumanisme. Au salut de l’âme, elle préfère le sauvetage de la planète, à la béatitude, elle préfère le bien-être. 

Bourgeoisie managériale et manie du contrôle

L’une des caractéristiques de cette caste qui déteste le risque et l’incertitude, c’est l’obsession du contrôle, rebaptisé “protection”. Il faut se protéger de tout : du virus, de la maladie, de la mort, de l’agression, de l’agressivité, de toute forme de menace. On écoutera ici avec attention Sandrine Rousseau, l’égérie d’EELV, pour dévoiler les points saillants de cette caste, qui hait profondément l’ordre spontané des sociétés (parce que masculines, machistes, brutales, injustes, etc.) et souhaite la rebâtir en contrôlant tous ses étages. 

Cette caste-là, qui a pris le pouvoir au fil des années qui nous séparent de Mai 68, mais qui doit beaucoup aux années Mitterrand pour son élaboration intellectuelle, est le réceptacle naturel du capitalisme de surveillance. Comment fait-on pour se protéger, en effet ? Eh bien, on contrôle. Tout : les risques, les menaces, les vies privées, les maladies, et même les eaux calmes car il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. 

Dans cette propension au contrôle, on trouvera l’explication majeure de la facilité avec laquelle la bourgeoisie macronienne plaide pour un pass sanitaire qui discrimine. Ces gens-là sont rassurés, se sentent protégés, lorsqu’ils présentent leur identité vaccinale à l’entrée d’un bar ou d’un restaurant : ils ont besoin d’une vie contrôlée, d’une société sous contrôle. 

Bourgeoisie managériale et apartheid

On nous objectera que l’expression “bourgeoisie managériale” est bien floue. Elle pourrait même être fourre-tout. Et nous partageons assez ce constat : il faudrait être plus précis. 

C’est la caractéristique d’une caste : on y appartient pour des raisons “floues”, ce qui diffère beaucoup d’une classe sociale qui se définit objectivement. Pour forger une caste, il faut passer du temps à dire qui en fait partie, qui n’en fait pas partie. D’où cette obsession propre à la bourgeoisie managériale de s’individualiser par des signes, et d’exclure, de cliver pour bien marquer des frontières dans un paysage incertain. Le passe sanitaire en fait partie : il y a ceux qui l’ont, et qui vont au restaurant, ou à la bibliothèque, et ceux qui ne l’ont pas, qui n’ont plus accès aux mêmes lieux que les “élus”. 

Parce qu’au fond la bourgeoisie managériale ne sait pas trop qui elle est, elle se forge une identité par des exclusions, des “je suis qui je suis en désignant qui je ne suis pas” (on se souvient de la phrase de Griveaux sur la France qui fume des clopes et roule en diesel) et elle exige de tous les postulants le respect de rites initiatiques qu’elle a choisis. Il ne faut pas être baptisé pour en faire partie (le baptême étant universel), il faut être vacciné. 

Bref, c’est une France à deux vitesses dont la bourgeoisie managériale a besoin. 

France de la certitude et France du doute

Au fond, la bourgeoisie managériale veut une France pleine de certitudes confortables. Il faudrait que l’on soit sûr de plein de choses : de notre prospérité, même relative, même décroissante, il ne faut pas qu’elle soit incertaine. Il faut qu’on soit sûr que les maladies n’arriveront plus, que l’on ne croisera pas de gens malades, que l’on n’attrapera pas de cancer en buvant trop, en mangeant trop de viande, trop de saucisson, trop de matière grasse, en fumant, en ne faisant pas assez de sport. Il faut que les experts nous disent quoi faire et comment vivre pour que tout se passe bien. 

C’est le triomphe du conformisme, de la bonne conscience, et du bien-être. 

Face à cette France de la certitude, prend forme peu à peu, la France du doute. Elle a derrière elle le privilège de l’âge, puisqu’elle fut cimentée par ce vieux Descartes qui faisait tabula rasa. Cette France-là aime son risque. Elle ne sait pas ce qui va lui arriver, mais ça lui va bien. Le risque qu’elle ne veut pas courir, c’est que l’Etat la tienne par la paletot en sachant tout d’elle. Elle ne veut pas non plus prendre le risque de recevoir un vaccin sans savoir au juste ce qu’il contient. 

Deux salles, deux ambiances au fond. 

Choisissez la vôtre. 




PCB : Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Il a été rapporté que :

« les évêques mexicains ont publié le 30 août quatre cas dans lesquels leur service de santé ne paiera pas les factures que le prêtre ne peut pas payer lui-même :

– lorsqu’un prêtre s’est exposé imprudemment au Covid ; »

Commentaire : De facto, tout peut être considéré comme imprudent : par exemple, le fait que le prêtre n’oblige pas les fidèles à porter des masques. Ainsi, tout opposant idéologique à la corona-psychose peut être innocemment puni.

« – quand il est testé positif au Covid-19, mais ne prend pas de mesures ; »

Commentaire : le Dr Montanari déclare que les tests PCR sont à 80 % peu fiables et utilisés à des fins de manipulation publique. Le virologue tchèque S. Pekova ajoute qu’un test positif ne signifie pas qu’une personne est malade. De plus, ces tests se sont avérés très dangereux. Ils endommagent les muqueuses, introduisent même des parasites et des nanoparticules dans l’organisme, et il y a eu des cas de rupture de la barrière hématoencéphalique. Les médecins mettent en garde contre ces tests.

– Dr Petrella : « Ne vous faites pas tester ! Une fois testé, vous serez obligé de vous faire vacciner. »

« – quand il n’utilise pas de masques [inutiles] ; »

Commentaire : Les médecins disent : Les personnes en bonne santé n’ont jamais été obligées de porter un masque. Le masque ne protège pas contre le virus ; au contraire, l’immunité chute rapidement. En portant un masque, une personne respire ses propres émissions et souffre d’un manque d’oxygène, ce qui a un impact négatif sur le fonctionnement du cerveau.

Idéologiquement, si un prêtre masqué fait face au peuple pendant la messe, tout cela n’est qu’un coup publicitaire pour tout ce système frauduleux, qui se poursuit avec des tests peu fiables et une vaccination expérimentale. C’est une parodie de Dieu et une manipulation des personnes qui mettent leur confiance dans les prêtres.

« – quand il refuse la « vaccination » [controversée et dangereuse]. »

Commentaire : Les évêques mexicains ont-ils au moins une connaissance élémentaire du vaccin à ARN messager ? Rappelons quelques faits :

  • 1) Qui fait la promotion du vaccin ? Le vaccin est promu par les pouvoirs en place. Pourquoi ? Pas pour le bien de la santé humaine; c’est tout le contraire, comme l’a révélé Bill Gates : « Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % » (dans la première étape). Les évêques mexicains, ainsi que le pseudo-pape Bergoglio, appliquent ce programme de mort à tous leurs prêtres, sous la terreur.
  • 2) Le vaccin à ARN modifié change le génome humain, et c’est un crime contre Dieu le Créateur ! Les évêques mexicains sont-ils conscients qu’ils forcent les prêtres et les croyants à cette rébellion ? À qui servent ces évêques ? Dieu ou Satan ?
  • 3) Le vaccin possède, comme base biologique, des tissus arrachés à un enfant vivant à naître avant qu’il ne soit tué. En imposant des vaccins à ARNm, les évêques mexicains promeuvent le meurtre sadique d’enfants à naître. Sous la morale catholique, ils sont sujets à l’excommunication – l’expulsion de l’Église.
  • 4) Les évêques mexicains savent-ils que le vaccin contient des nanoparticules et fait partie du processus de puçage de l’humanité ? L’Écriture met en garde contre cela, parlant de l’étang de feu. Ces Judas mexicains portant la mitre obligent les prêtres, ainsi que toute la nation mexicaine, à suivre le chemin qui aboutit à l’étang de feu. C’est une tragédie que la hiérarchie catholique apostate soit devenue la meneuse de la nation, et s’oppose au président du Mexique, qui s’oppose à la vaccination obligatoire et aux restrictions de liberté qui y sont associées.
  • 5) Ces loups épiscopaux mexicains déguisés en mouton savent-ils que la vaccination est une expérience interdite sur l’être humain en vertu du Code de Nuremberg, et qu’elle vise la réduction ou le génocide de l’humanité ? Ici, les imposteurs et les criminels religieux, qui vivent en parasites du Corps mystique du Christ, se sont clairement exposés. Ils travaillent astucieusement avec Bergoglio pour détruire l’Église ; non seulement afin de perpétrer un génocide physique, mais aussi pour jeter beaucoup d’âmes qui ont reçu la marque dans l’étang de feu.

Que disent les véritables experts, plutôt que le pseudo-pape Bergoglio ou les médias mensongers, à propos de la vaccination ?

Dr Vladimir Zelenko, États-Unis :

« Le ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. La vaccination nationale a commencé le 20 décembre. Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle et empoisonnée… C’est une arme biologique. Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », son corps devient une usine de production de protéines spike. »

Dr Dolores Cahill, Irlande :

« 90 % des vaccinés mourront dans les deux ans. »

Dr Ryan Cole, États-Unis :

« Le vaccin (à ARNm) est une toxine. Il provoque des micro-caillots, des réponses inflammatoires dans le cerveau, le cœur, les poumons… »

Pr Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et virologue :

« Après la vaccination contre le Covid-19, des caillots sanguins ont été retrouvés dans les vaisseaux. Lorsque vous faites vacciner votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins expérimentaux comme des expériences menées sur les êtres humains, expériences qui sont interdites. » (Voir Code de Nuremberg)

Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse :

« C’est le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. »

Nous demandons de quel droit et sur quelle base les évêques mexicains font du chantage et imposent des sanctions aux prêtres guidés par le bon sens, la conscience et les avertissements d’experts incorruptibles et honnêtes en virologie. Ces clercs sont-ils des experts en médecine ? S’ils scandent « le vaccin pour tous » comme un mantra, faisant appel au pseudo-pape Bergoglio, rappelons que Bergoglio s’est attiré une malédiction multiple, un anathème, pour crimes spirituels commis contre le Christ, l’Église et l’humanité. Il a intronisé le démon Pachamama, violant ainsi le Premier Commandement et introduisant l’idolâtrie païenne, ce qui conduit à l’apostasie du Christ vivant qui est le seul Sauveur. En promouvant la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les homosexuels, Bergoglio non seulement abolit les lois morales, mais attire le châtiment du feu temporel et éternel (2Pt 2:6; Jud 1:7) sur ceux qui se soumettent à lui. Quant au vaccin à ARNm, le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements urgents des meilleurs experts médicaux, et est consciemment impliqué dans le génocide sournois de l’humanité.

Posons une question à ces Judas mexicains : Bergoglio est-il un hérétique et est-il expulsé de l’Église, ou est-il un pape légitime ? « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème) ! »(Gal 1:8-9) Bergoglio prêche un anti-évangile sodomite et du Covid, et donc, il est maudit, expulsé.

Chers évêques mexicains, nous vous demandons de vous repentir publiquement, de vous excuser auprès des prêtres et d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie, l’hérésie et un crime, un crime. Si vous n’êtes pas disposés à vous repentir, laissez les prêtres et les croyants se séparer de vous en tant que plus grands ennemis du Christ et de l’Église, sur base des enseignements de l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 29 septembre 2021

Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Concernant la prière et les vaccins (vidéo)




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Pourquoi tant de personnels soignants préfèrent perdre leur emploi que recevoir le « vaccin »

[Source : CrowdBunker]






Cette révolte des peuples contre la tyrannie sanitaire dont les médias subventionnés ne parlent pas

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Les oppositions à la dictature sanitaire, qui a désormais pris la forme de la vaccination forcée, sont désormais nombreuses et répondues dans tous les pays. Il est important d’en prendre conscience car les médias subventionnés garderont le silence à leur propos tant qu’elles pourront. Peut-être l’Italie va-t-elle représenter un point de basculement, si le pays entre dans une vraie grève générale. Mais il est important de comprendre qu’aucun de ces combats n’est inutile. Ceux-ci font douter la caste au pouvoir. Ils retardent d’autant la possibilité d’imposer une vaccination universelle. Ils laissent à tous ceux qui enquêtent sur le caractère bâclé des vaccins proposés, le temps d’étayer leurs études. Nous devons être optimistes. À la fin les peuples reprendront le contrôle.

Il est 16h22 ce mardi 12 octobre 2022. Avez-vous participé, dans notre fuseau horaire, au Black Out mondial, entre 16h et 16h21, qui voulait que nous cessions de nous servir de nos appareils électriques et électroniques? Vous n’étiez pas au courant? Mais quelles sont vos sources d’information?  Vous n’en aviez pas entendu parler sur BFM TV ni dans le Monde? C’est normal. Vous devriez diversifier vos sources d’information et vous abonner à quelques canaux télégrammes où vous saurez ce qui se passe actuellement dans le monde. Car on assiste à une révolte mondiale des peuples de plus en plus marquée. Il arrivera certainement un moment où cela ne sera plus possible pour les médias subventionnés de dissimuler ce qui se passe. En attendant, proposons un tour du monde. 

La caste est inquiète : elle crie au complot

Les complotistes, dans notre monde, sont d’abord les tenants du système. Lisez bien le tweet publié hier par Madame Haim, correspondante à Washington pour divers médias subventionnés français, se sent obligés de parler de la grève, par refus de la vaccination obligatoire, qui a obligé la compagnie Southwest, la fin de semaine dernière, à annuler 2000 vols. Une grève qui continuait lundi. Il suffit de se documenter en anglais sur internet pour comprendre la gravité de la situation. Au public français, Madame Haim préfère servir sa mauvaise soupe conspirationniste: un peu de trumpisme, un peu de Qanon, et hop, voilà le spectre de l’extrême droite qui débarque. De même, franceinfotv s’est fait l’écho de la la très importante manifestation de Rome, samedi dernier uniquement sous l’angle de “l’ultradroite” et des incidents de fin de manifestation. 

En réalité, si Madame Haim faisait son travail sur ce qui se passe aux Etats-Unis, elle devrait parler de la division croissante entre Républicains et Démocrates sur le sujet de la politique sanitaire.  le gouverneur du Texas a interdit la vaccination obligatoire, y compris chez les employeurs du secteur privé. Quant à l’Italie, on peut se demander dans quelle mesure elle pourrait somber dans le chaos dans les prochains jours. 

L’Italie est-elle proche de la grève générale?

Le compte twitter @AnonymeCitoyen fait un énorme travail d’information de même que de nombreux canaux Telegram. Son animateur juge anormal que les médias subventionnés ne rapportent pas les faits. Mais il s’agit d’un fait bien établi: sinon, ils n’auraient pas besoin de subvention pour survivre, puisqu’ils draineraient assez de lecteurs ou d’auditeurs. Alors, oui, il vaut mieux s’informer aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Et constater que la presse étrangère est souvent moins verrouillée que les médias français établis. La presse italienne, en tout cas, commence à devoir parler de la situation très instable dans le pays. 

Pour la seule journée d’hier, Alitalia a été obligée d’annuler 127 vols. Les lignes du métro de Rome ont été profondément perturbées. Des manifestations fournies ont eu lieu  dans une quarantaine de villes qui ont rassemblé 100 000 personnes dans toute l’Italie. De façon significative, les manifestations s’emparent aussi du sujet des augmentations du prix de l’énergie. Et à Piacenza, un entrepôt d’Amazon a été bloqué. Un million de personnes se sont mises en grèves. 

Ce matin 12 octobre, le port de Gênes était bloqué par les dockers et les routiers. Le port de Trieste était menacé du même sort. Et le bilan social de la journée devrait être équivalent à celui d’hier. 

On est à J-3 du pass sanitaire obligatoire dans toutes les entreprises du pays. Or il y a encore des milliers de policiers non vaccinés et qui ne pourront pas prendre part au maintien de l’ordre puisqu’il refuse de se faire vacciner. Un syndicat de police a voulu rencontrer la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese. Mais elle n’a pas daigné même envoyer un message.  le pays risque-t-il de sombrer dans le chaos vendredi? 

Résistances à travers le monde : pourquoi elles sont utiles

Quand on prend l’habitude se s’informer hors des médias subventionnés, en particulier français, on prend conscience de la multiplication des points de résistance dans la monde. 

Depuis deux semaines, on a recensé des manifestations contre le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire, en Belgique, aux Pays-Bas, en Slovénie, en Israël, en Suisse, en France. Dans notre pays, non seulement les manifestations du samedi continuent mais l’outre-mer est largement mobilisé : AntillesGuyane, Polynésie, Nouvelle Calédonie. 

Un point particulier de fixation a été, ces dernières semaines, l’Australie, celui des pays occidentaux où, sans doute, les attaques du gouvernement contre les Principes du Droit (rule of law) ont été les plus fortes, avec des gouvernements d’Etats poursuivant brutalement un objectif de “Zero Covid” et testant des systèmes de quarantaine surveillée. Des manifestations ont eu lieu qui ont été l’occasion d’une répression policière contestée (en particulier à Melbourne) mais aussi le refus d’une partie de la police d’appliquer les mesures gouvernementales de répression mais aussi la vaccination obligatoire

Bien entendu, les pessimistes souligneront les effets de la coercition – l’acceptation de la vaccination par une majorité de la population. Mais c’est oublier que ce qui se joue n’est pas seulement la vaccination 2021, c’est le risque d’être enfermé dans un système de vaccination récurrente. C’est la généralisation de la vaccination obligatoire. Au moment où je finis cet article, une foule de quelques centaines de personnes s’est rassemblée devant le Sénat, à Paris, pour rappeler aux sénateurs qu’il ne s’agit pas de faire rentrer par la fenêtre le rejet de l’obligation vaccinale qui a eu lieu en Commission le 6 octobre 2021. 

Et puis rappelons-nous qu’un grand nombre de pays, à commencer par l’Inde et des pays africains, sont en train d’apporter la preuve qu’il est possible de vaincre l’épidémie de Covid sans vaccins – par exemple avec l’Ivermectine. Or l’industrie pharmaceutique souhaiterait y imposer des politiques de vaccination généralisée. Résister dans nos pays – en particulier contre les poussées vers la vaccination des enfants – est essentiel pour faire gagner du temps et permettre aux personnes qui font ressortir les effets secondaires graves de vaccins bâclés de gagner en audience. 




Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

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Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



L’heure de la justice

[Source : rumble.com ou odysee.com]

Le Symposium interdisciplinaire sur le covid-19 s’est tenu le 29 et 30 Juillet 2021. À travers une réunion d’experts en médecine, en économie ou encore en journalisme, ce symposium cherche à rétablir la vérité sur les événements auxquels nous assistons depuis bientôt 2 ans. Il essaye de répondre à des questions telles que : D’où vient le SARS-Cov-2 ? Est-il d’origine naturelle ou fabriqué par l’homme ? S’il est fabriqué par l’homme, par qui et pourquoi a-t-il été fabriqué ? Quelle est la réelle efficacité des vaccins ? Y a-t-il un agenda dissimulé derrière ce vaste théâtre « sanitaire » ? Quelles sont les conséquences économiques et sociales des mesures restrictives ? Ont-elles réellement été prises pour des raisons sanitaires ? Quelles solutions avons-nous pour sortir de cette situation catastrophique ?
Des figures comme celles de Reiner Fuellmich, Vera Sharav, Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Denis Rancourt ou Richard Werner nous fournissent des interventions de grande qualité et nous apportent des éléments clefs.

✨ Ce symposium a été réalisé grâce à un partenariat entre :
Doctors for Covid Ethics : https://doctors4covidethics.org
Children’s Health Defense : https://childrenshealthdefense.eu
UK Column :https://www.ukcolumn.org

📝 La traduction a été réalisée par :
Jeanne Traduction : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Mention spéciale à Elo, qui depuis des mois nous apporte son aide précieuse dans la traduction ♥️




































France — La 3e dose vaccinale programmée pour tous les professionnels de santé

[Source : solidarites-sante.gouv.fr]




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




Gabriel Serville : « 70% des Guyanais refusent la vaccination, il faut de la transparence »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que la situation sanitaire s’aggrave aux Antilles, certains dénoncent un manque de volonté de la population à se faire vacciner, tandis que d’autres déplorent une mauvaise gestion de la crise sanitaire : des soignants martiniquais parlent même d’«euthanasie active» dans un contexte de refus de soin.



Récemment élu président de la collectivité territoriale de Guyane, Gabriel Serville a répondu à nos questions sur la situation sanitaire, ainsi que sur les enjeux présents dans sa région de France Outre-mer. Il demande le dialogue en Guyane, il a entre autres mis en place des comités citoyens pour la transparence afin de lutter contre les avis extrêmes et de trouver un équilibre en société.

Ancien proviseur de lycée, maire, et député pendant neuf ans avant d’être élu à son poste actuel, il a fait partie de l’actualité dernièrement avec Christiane Taubira, également guyanaise, à qui a été également reproché de ne pas appeler sans réserve à la vaccination. M. Serville avait expliqué qu’il n’a pas été élu pour ses positions sur la situation sanitaire et qu’il ne souhaite pas confondre tous les sujets. Il appelle à la discussion et à écouter chaque discours, également ceux des médecins antillais critiquant la gestion de la situation sanitaire aux Antilles.

Le président de la CTG revient également sur le développement de la Guyane, il explique formellement qu’il y a toujours une « mainmise coloniale » sur la gestion de ce territoire par l’État français.




Visa prépare un Hold-up

[Source : #holdup visa]

@raleusegentille

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Cette Africaine a laissé Macron sans voix

[Source : H5 Motivation]

Venus de tout le continent, de jeunes Africains ont exprimé sans fard vendredi leurs attentes et frustrations sur la démocratie et la relation avec la France, interpellant directement le président Emmanuel Macron lors d’un sommet inédit à Montpellier (sud) qui privilégiait la parole de la société civile.




APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

Par Nicole et Gérard Delépine

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.(([1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) ))(([2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))(([3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) ))

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com))) est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,(([6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov))) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.(([9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.)) La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA(([10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) ))

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,(([13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) )) et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.(([14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/))

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.(([15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre(([16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose)) selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé(([17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) ))(([18] ? ))

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament(([19] https://adrreports.eu/fr/)):

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.(([20] Réseau Sentinelles — Semaine 39))

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes





BFM et la liquidation des voitures et populations polluantes (suite)

Par Nicolas Bonnal

Une extraordinaire émission (de CO2 ?) de Sud Radio m’a été recommandée par mon ami Pierre Audabram, qui me rappelle au passage que les comptes au-dessus de trois mille euros seront saisis un jour aussi (la presse économique insiste dessus, plus acquise que jamais au Reset) ; cette émission faisait mine de se révolter contre le fait que la moitié du parc automobile français est condamnée à disparaître sous peu. La moitié des Français (les plus pauvres, rassurez-vous) vont se retrouver à poil et à pied parce que leurs caisses de gilets jaunes polluent trop. Cela suffira-t-il pour faire réélire Macron ? Certainement. Les informaticiens aux commandes de ce pays déréalisé feront le travail.

Le vaccin n’est qu’une goutte de sang contaminé dans l’océan de massacres et de perversités qui se produisent – le tout dans l’indifférence et l’abrutissement général justement rappelé par M. Tandonnet. La candidature Zemmour voulue de A à Z par le système oligarque et sa presse aux ordres va habilement dévier la colère de Ran-Tan-Plan. Comme je le dis depuis des années en célébrant de façon récurrente les géniales créations de Goscinny (relisez le Combat des chefs ou le Devin pour comprendre comme on manie la masse de ces Gaulois soi-disant réfractaires), Ran-Tan-Plan sent parfois (pas tout le temps quand même !), sent parfois confusément quelque chose. Là en effet, on le prive de liberté, on le prive de pandémie (où est-elle passée ?), on le prive de consommer, on le prive de travail, et parfois il n’est pas content. Donc on met en scène un chasseur de boucs émissaires, le dénommé Zemmour, dont le système a toléré et promu toutes les provocations historiennes et médiatiques depuis trente ans, et on prépare ce bon peuple plus soumis que jamais à la chasse à l’arabe. On se retrouve dans Dupont-Lajoie de Boisset. Effet de déviation garanti et effet aussi de division chez les antisystèmes qui préfèrent chasser l’arabe que le tyran. Macron sera réélu de toute façon, car le populo catho-bourgeois-centriste-téléphage reste satisfait de son job.

Mais Macron avait été choisi avant d’être élu. Il a été choisi par tout un panel de mondialistes surpuissants, Bilderbergs, OTAN, Trilatérale, GAFAM, ceux contre lesquels l’extrême droite de jadis (Moncomble, Coston) nous mettait en garde ; extrême droite qui a disparu depuis, et qui se fait grand remplacer par qui l’on sait. Macron a été élu pour casser et dépecer le pays, pour l’appauvrir, le morceler, le remplacer, l’abrutir, le culpabiliser, un peu plus rapidement que ses prédécesseurs. Il l’a été aussi pour vacciner ce pays tout entier et sans doute pour le dépeupler. Enfin il a été élu pour le mettre à pied ce peuple et le priver de sa précieuse guimbarde. Ce n’est pas moi qui le dis, mais BFM :

« La plupart des grandes villes françaises vont devenir des ZFE (zones à faibles émissions) d’ici à 2024, avec des plans d’exclusion des véhicules les plus anciens de la circulation. Une décision qui concernerait au moins 12 millions de voitures environ. Principale cible : les Diesel, interdits de circuler dans le Grand Paris dans 3 ans.

C’est un des enjeux importants du projet de loi Climat et résilience en cours d’examen à l’Assemblée nationale : la généralisation des zones à faibles émissions (ZFE), un dispositif déjà en place à Paris, Grenoble et Lyon, et qui concernera bientôt les principales villes de France. »

La France n’est plus un pays, c’est un territoire, un hexagone, un ensemble de zones ; remarquez c’était déjà le cas du temps du gaullisme, pas vrai ? Aménagement du territoire, DATAR, quand tu nous tiens…

On reprend BFM :

« La France comptera déjà en 2021 un total de 10 ZFE. Certaines déjà existantes, comme Grenoble-Alpes Métropole, la Métropole du Grand-Paris, ou Grand Lyon Métropole. Et d’autres prochainement créées : Métropole du Grand Nancy, Métropole d’Aix-Marseille-Provence, Toulouse Métropole, Montpellier Méditerranée Métropole, Métropole Toulon-Provence-Méditerranée, Métropole Rouen Normandie. »

Ces zones seront contrôlées ainsi :

« Concrètement, ces zones pourront appliquer le dispositif des vignettes Crit’Air pour écarter de la circulation les véhicules jugés les plus polluants, en « permanence » (ou plus exactement en semaine de 8h à 20h). C’est le cas actuellement à Paris par exemple pour les véhicules Crit’Air 4 et 5. Cette interdiction peut aussi être ponctuelle, lors des pics de pollution pour pratiquer la circulation différenciée, en pouvant choisir d’exclure jusqu’à un certain niveau de cette vignette. »

Le totalitarisme informatique (on vous photographie puis on se sert sur votre compte bancaire) accompagnera la mise au pas de cette population d’abrutis (désolé, je n’ai plus d’autre mot) :

« Seuls des contrôles des forces de l’ordre peuvent donner lieu pour le moment à une verbalisation, mais le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari a prévenu récemment que la vidéoverbalisation pourrait être mise en place d’ici à la fin de l’année. Le fichier des immatriculations étant lié à celui des cartes grises, il sera ainsi assez simple de déterminer si une voiture a le droit ou non de rouler dans un territoire donné. »

La suite est dans l’infect article de BFM. Rappelons que les non-vaccinés n’auront plus accès à leurs comptes.

Chose extraordinaire, tout le monde s’en fout. On ne les aurait pas informés ? Mais BFM ? Lisez la presse mainstream parfois les petits ! Dans les antisystèmes personne ne parle de ce petit problème, qui va encore plus loin que le vaccin et nous garantit tout : misère incroyable, mais tolérée ; contrôle dystopique de l’espace (« la vie moderne est un mauvais film », disait Deleuze) ; fin des approvisionnements (qui va pouvoir vous livrer sans polluer, bobos électriques ?) ; circulation ubuesque ; contrôle informatisé ; totalitarisme aveugle et satanique, puisque l’œil qui regarde Caïn ne sera pas dans la tombe, mais PARTOUT. Il serait temps de vous réveiller, citoyens, mais en chassant l’arabe le Français de droite pense se défouler intelligemment.

Je sais, je sais, les masses vont se rebeller… Ces masses qui ont intériorisé le fait qu’elles polluent trop et qu’elles sont de trop sur cette terre ?

https://www.bfmtv.com/auto/pourquoi-des-millions-de-voitures-ne-pourront-bientot-plus-rouler-dans-les-grandes-villes_AN-202104100175.html

https://www.youtube.com/watch?v=y1Ft_O7i7w

https://www.bfmtv.com/auto/crit-air-la-videoverbalisation-mise-en-place-avant-la-fin-de-l-annee-en-region-parisienne_AN-202101120143.html

https://lesakerfrancophone.fr/et-si-le-peuple-voulait-du-grand-reset-et-de-la-tyrannie




Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

[Source : Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19.(([1] L’euthanasie de trois chats positifs au Covid-19 fait polémique en Chine (courrierinternational.com) ))

Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats.

Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ». 

Cela vous choque ?

Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien.

Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir.

Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux.

Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire.

Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ?

Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous.

Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique…

… Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles…

… La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick…

Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même.

Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez.

Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes.

Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.

Comment on s’accoutume au poison

Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C.

Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre

Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience.

Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement.

Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses.

Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant.

C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement.

Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui.

Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé !

Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale.

La mithridatisation des esprits

La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume.

On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit.

[Ndlr : Est-ce que l’organisme s’habitue au mercure, au plomb ou à l’arsenic qui s’accumulent dans le corps jusqu’à produire des effets notables et indésirables sur l’organisme, à le rendre malade ou même à le tuer ? Est-ce qu’il peut même s’habituer au cyanure et à des toxines encore plus radicales ? Il est plus prudent de ne pas tenter ce genre d’approche avec tous les poisons, surtout lorsque ceux-ci ne s’éliminent pas naturellement et rapidement du corps. C’est la dose qui fait le poison. N’importe quelle plante médicinale, n’importe quel aliment, même de l’eau, peuvent devenir nocifs à trop haute dose.]

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits.

[Ndlr : il s’agit de ce que d’autres ont appelé la méthode des petits pas qui consiste à aller vers l’objectif par étapes, avec au besoin une halte entre deux étapes données pour laisser le temps de récupérer après la tension imposée lors de l’étape précédente. En physique, que l’on applique une torsion progressive ou rapide à une barre métallique ne change pas grand-chose au résultat : si la tension accumulée devient trop forte, la barre se rompt. En psychologie, si l’on applique une tension trop forte et trop soutenue à un individu, il se brise. En politique, ceux qui veulent amener des changements sociétaux ou structurels doivent veiller à faire redescendre la tension à certains moments s’ils ne veulent pas provoquer une explosion. Et dans le cas de la crise Covid, il y a donc eu des périodes de relâchement des mesures avant de mieux repartir pour de nouvelles encore plus radicales.
Voir aussi Le contrôle mental au temps du Covid]

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA,(([2] Les géants du numérique qui, de fait, contrôlent hors de toute réglementation étatique, l’information et l’économie contemporaines : Google, Amazon, Facebook, Apple.)) nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.    

Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu

Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter :

  • contre la discrimination raciale,
  • contre la discrimination religieuse,
  • contre la discrimination sexuelle,
  • contre la discrimination pour préférences sexuelles…

… ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale.

L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant. 

Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça.

S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café.

Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination

C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation.

L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.  

Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.  

Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an.

Par mithridatisation. Par petites touches.

C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains.

Mais attendez : ce n’est pas terminé.

Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche.

Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination

En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.  

La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure.

Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner.(([3] Annonces du Conseil fédéral – Vaccination: un bon de 50 francs à ceux qui persuadent leurs proches – Le Matin))

A priori ça n’est pas « nouveau ».

Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid.(([4] Covid-19 aux États-Unis. Une bière offerte contre une dose de vaccin dans le New Jersey (ouest-france.fr) ))

Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe.(([5] Un vaccin contre une Tesla, à Hong Kong des loteries pour stimuler la campagne | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

[Ndlr : aux États-Unis et au Québec, des loteries vaccination ont été mises en place, avec possibilité de gagner jusqu’à un million de dollars si on se fait vacciner.]

Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller !

Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre.

À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ?

Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide

Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été :

  • les premiers à vacciner en masse,
  • les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)…
  • et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée.

Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale :

« Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif. »(([6] Deux millions de vaccinés israéliens privés de pass sanitaire s’ils ne prennent pas de 3e dose – 03.10.2021, Sputnik France (sputniknews.com) ))

En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire.

Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient…

Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose

Cela vous choque-t-il ?

Le poison de la lassitude

Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir.

Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible.

Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las.

Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant.

J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose.

Or, c’est précisément là qu’est le danger.

Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !  

Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés.

C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien.

Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ?

Toujours pour la même raison : le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ?

Pour le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ?

Vous ne croyez pas à tout cela ?

Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ?

Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ?

On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire.

La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non.

Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise.

Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe.(([7] Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués.

Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque.

Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé.

Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message.

Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire.

Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison

Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés.

Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre.

Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





Pourquoi deviendrait-il si urgent de faire abolir la peine de mort à l’échelle internationale ??

Par Diane Vincero

Est-ce qu’au vu des milliers de plaintes pour crimes contre l’Humanité, déposées dans tous les pays (à l’échelle nationale, comme européenne, comme internationale), les dirigeants français (entre autres) ne pendraient pas conscience que leur tête est mise à prix, au sens littéral du terme ??

Donc, voilà un abus supplémentaire, une volonté supplémentaire de la part des dirigeants d’aménager les lois dans le sens qui les arrange. Tout cela présenté, une fois de plus, de façon très mielleuse, très onctueuse, en mettant en avant que « la peine de mort est une peine honteuse », et bla-bla…

Et les centaines de milliers de morts et de handicaps graves provoqués par l’obligation vaccinale covid, c’est quoi ??? N’est-ce pas pire qu’un meurtre « habituel », dans le sens où ces meurtres là, par la vaccination, ont été commis SCIEMMENT, sous une apparence mielleuse, onctueuse, de « vouloir protéger le peuple » alors que partout ont été soulevés ces effets catastrophiques de cette vaccination !!!! 

Lorsque les procès éclateront, tous ces dirigeants voudront encore se cacher, comme d’habitude, derrière de « beaux principes, bien mielleux » qui seront : « nous ne savions pas que les vaccins pouvaient entraîner tous ces effets secondaires, on nous l’avait caché. », « Nous avons pris soin de nous appuyer sur la HAS », etc., etc.. 

Mais, ce manège ne tient pas, puisqu’eux et nous savons les liens TRÈS étroits entretenus DEPUIS DES DÉCENNIES entre Big Pharma et toutes ces « autorités de santé », ces conseils de l’ordre des médecins, ces personnalités politiques, etc., etc., etc. qui montrent bien que l’intérêt de toutes ces personnes n’était certainement pas dans la protection du peuple (et ce à l’échelle mondiale). 

D’ailleurs, première décision extrêmement honteuse, scandaleuse qui est d’avoir accordé à Big Pharma, et ce dès 2003 (environ) que les laboratoires pharmaceutiques soient dégagés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires engendrés par leurs vaccins !!!!!! Qui les a dégagés de ces responsabilités ??? Les politiques…….

Mais encore une fois, qui parmi les citoyens ordinaires est dégagé de toute responsabilité sur les conséquences de ses actes ??????!!!! Vous n’avez qu’à regarder la tornade d’amendes qui s’abat actuellement sur les automobilistes qui osent dépasser légèrement les limitations de vitesse drastiques qui viennent d’être mises en place : pour le « moindre clignement d’œil de travers », le citoyen lui est sanctionné. 

Il est question par ailleurs d’augmenter les sanctions pour les non-vaccinés avec des amendes lourdes.

Donc, les dirigeants sont excellents quand il s’agit de donner des leçons, de sanctionner à tout va, en se cachant systématiquement derrière le masque de prétextes onctueux « pour le bien du peuple », mais comme ils devront répondre de leurs actes et décisions, ils anticipent déjà la levée de toute responsabilité….

D’ailleurs, il vient d’être question de dégager les dirigeants français de toute responsabilité dans la campagne covid !!!

Mais arrêtez !!!!!!!!! Cela dépasse l’entendement !!!!! 

Dans les corps de métier régaliens, il y a des devises comme « Force et Honneur », « Honneur et Patrie », etc., etc.  

Donc, on bourre le mou des policiers, gendarmes, militaires, de devises vertueuses, de valeurs, ALORS QUE PENDANT CE TEMPS, LES DIRIGEANTS EUX, BAFOUENT TOUTE ÉTHIQUE, TOUTES LES VALEURS FONDAMENTALES, etc., etc. SOUS NOS YEUX !!!!!!!!!!!! 

Où est leur force ? Où est leur probité ? Où est leur honneur ??? Ils ont été jusqu’à obliger les médecins à ne pas utiliser des traitements qui guérissent du covid, et les ont amenés à vacciner, alors que la devise des médecins est « Primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »).

Au passage, on peut lire dans Wikipedia que

« Un ministère régalien est un ministère qui répond aux fonctions régaliennes de l’État, c’est-à-dire les fonctions dont la responsabilité doit normalement être prise par l’État et qu’il ne doit pas déléguer à des sociétés privées1. »

Alors pourquoi certaines amendes, etc., etc. sont-elles confiées à des sociétés privées ???

STOP !!! STOP !!!

Dirigeants, vous avez dépassé les bornes depuis plus de 18 mois !!!

En conclusion : cessez de vous cacher derrière de prétendues bonnes intentions et assumez vos responsabilités, comme l’éducation nationale l’enseigne aux enfants dès la maternelle….. Vous n’êtes pas des enfants de maternelle, et, vous n’en avez aucunement l’innocence… Si vous avez pu leurrer une catégorie de population, les autres voient clair dans votre jeu !!!! 

La manipulation destructrice fonctionne en 3 étapes : mettre en avant de « beaux principes » avec des arguments tellement onctueux qu’on pourrait y croire. Ensuite, on culpabilise à tout va « vous êtes de mauvais citoyens, des non-vaccinés, des délinquants routiers, vous coûtez cher à la SS, etc., etc., etc. », et enfin, il y a l’argent, le nerf de la guerre ; ici en l’occurrence, les milliards que gagne Big Pharma avec ses vaccins, ses médicaments, etc., etc., etc.

Un exemple, quand on parle du « trou de la SS » : comment expliquer que les médicaments déjà anciens qui ne coûtent plus rien sont retirés du marché, alors qu’ils fonctionnaient très bien chez les patients, et ce, au profit de « nouvelles » molécules qui coûtent très cher ??????? Si on regardait de près ce mode de fonctionnement entre Big Pharma, les dirigeants de la SS et les dirigeants politiques, on serait certainement très surpris de tout ce qui se passe depuis des décennies…




Québec, où ceux qui recommandent des vitamines sont accusés d’exercice illégal de la médecine, mais les journalistes qui poussent à la vaccination ne le sont pas

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Exercice illégal de la médecine pour les pushers de vitamines, mais pas de vaccins

Les journalistes et les élus peuvent-ils dire aux gens « allez vous faire vacciner »? N’est-ce pas un acte réservé aux médecins que de suggérer un traitement médical?

C’est ce qu’a déclaré en mars dernier la juge Duchesneau dans l’affaire Maison Jacynthe, reconnue coupable d’exercice illégal de la médecine.

Dans son jugement, la juge a clairement dit que le simple fait de suggérer un traitement et d’affirmer qu’il améliorerait la santé étaient des actes réservés aux médecins.

Armée de cette jurisprudence, l’auteure de ces lignes a donc vérifié auprès du Collège des médecins en quoi consiste l’exercice illégal de la médecine avant de faire une plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, lesquels ont tous dit aux gens « aller vous faire vacciner ». Mme Bombardier l’a même suggéré au ministre de la Santé, disant qu’il devrait le faire pour « rassurer les autres », alors que M. Martineau est allé jusqu’à dire « vous allez vous sentir bien » après la piqûre.

La responsable des relations avec les médias du Collège des médecins, Leslie Labranche, a confirmé que « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » et que cela comprend « les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume ».

Une fois l’information sur l’exercice illégal corroborée par le Collège, l’auteure a fait parvenir à ce dernier une plainte formelle, laquelle a été immédiatement rejetée par le responsable des enquêtes en exercice illégal de la médecine, Marc Legault, vétéran de la Gendarmerie Royale du Canada et des Forces armées canadiennes.  

Étrangement, le vétéran est incapable de faire la différence entre un ordre et une opinion. Voici sa réponse à la plainte :

« Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

L’auteure a tenté de lui expliquer que l’impératif est employé pour donner des commandements, pas des opinions. Elle lui a rappelé au passage que, dans leurs publicités, il est interdit aux pharmaceutiques de suggérer aux téléspectateurs de prendre les médicaments promus, puisque cela équivaut à prescrire. La prescription est un acte réservé aux médecins, de là la mention systématique dans les publicités : « parlez-en à votre médecin ».

L’auteure a voulu confirmer que s’il est légal pour n’importe quel quidam de dire « allez vous faire vacciner », l’inverse est aussi vrai. Que vous soyez livreur de pizza ou astronaute, vous pouvez dire aux gens de ne pas se faire injecter avec un traitement expérimental dont la « mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne » est passée sous silence dans les médias. Non?

Homme de peu de mots, M. Legault a réitéré sa compréhension très suspecte du langage et sa réponse demeure nébuleuse :

« La section d’exercice illégal de la médecine ne va pas faire enquête sur des gens qui recommandent de prendre le vaccin, ou faire enquête sur des gens qui sont contre le vaccin. »

(Soulignements ajoutés)

Est-ce dire qu’il est légal de suggérer des injections, mais illégal de suggérer le contraire? Est-il légal d’être contre les injections, mais illégal de suggérer de ne pas les prendre?

M. Legault a signifié qu’il n’a « rien d’autre à ajouter », donc la question demeure sans réponse pour l’instant.

Nous vivons à une époque démente où des médecins se font menacer de sanctions parce qu’ils s’expriment sur leur champ de compétences, alors que des journalistes peuvent recommander des traitements expérimentaux à toute la population.

Voici tous les échanges dans l’ordre, lesquels démontrent une fois de plus que chaque jour de la Saga covidienne mélange avec brio l’absurde de Kafka et l’ubuesque de Ionesco.


De : Julie Levesque <XXXXXXX>
Envoyé : 7 juillet 2021 10:01
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>; Info <info@cmq.org>
Objet : Question sur l’exercice illegal de la médecine

Bonjour,

Je suis journaliste indépendante et j’aimerais vérifier avec vous ce qui constitue un exercice illegal de la médecine.

En mars dernier, Maison Jacynthe a été condamnée pour exercice illegal de la médecine. Dans le jugement, on peut lire:

“[43]     Par conséquent, le fait de soigner ou prétendre soigner une personne qui croit ou prétend souffrir d’un problème de la santé par un traitement quelconque lorsque l’on n’est pas médecin constitue de l’exercice illégal de la médecine.

[44]      Il en va de même de poser un diagnostic ou suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé[14]. En fait, le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit[15].

[45]      Diagnostiquer les maladies, déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés[16].”

(Vous trouverez le jugement ici:
https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15)

Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicament vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume?

Je vous remercie d’avance pour votre réponse.

Cordialement,

Julie Lévesque

Montréal, le 3 octobre 2021

Julie Lévesque
XXXXX

Dr Mauril Gaudreault
Président
Collège des médecins du Québec
1250, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 3500,
Montréal (Québec) H3B 0G2

Objet : Plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal pour exercice illégal de la médecine

Monsieur,

À l’émission de Richard Martineau le 16 mars 2021, Denise Bombardier a affirmé à deux reprises que « le ministre [Christian Dubé] devrait aller se faire vacciner […] pour l’exemplarité de la chose, il devrait aller se faire vacciner pour rassurer les gens ».

Richard Martineau lui a répondu qu’« il faut vraiment enfoncer le message que c’est très important de se faire vacciner ». 

Dans sa chronique du 25 mars 2021, M. Martineau a dit : « Allez vous faire vacciner, vous allez vous sentir tellement bien ensuite. »

Dans une publication Facebook le 23 avril 2021, le député de Rosemont Vincent Marissal a écrit : « N’hésitez pas, allez vous faire vacciner! ».

Selon le site du Collège des médecins, ces propos constituent un exercice illégal de la médecine, puisque Mme Bombardier, [M. Marissal] et M. Martineau se livrent à une activité réservée aux médecins.

La juge Nathalie Duchesneau l’a clairement exprimé dans sa décision dans Collège des médecins du Québec c. Limoges : « […] suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé [et] le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit » pour constituer un exercice illégal de la médecine. Elle ajoute : « […] déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés ».

Dans un courriel au Collège des médecins le 7 juillet 2021, j’ai posé la question suivante :

« Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume? »

La réponse de Leslie Labranche, conseillère principale – relations médias de la Direction des communications et des affaires publiques du Collège, est sans équivoque. Elle répond : « C’est exact. »

Si « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » incluant « des médicaments vendus sans ordonnance », cela est d’autant plus vrai en ce qui concerne les vaccins.

Mme Bombardier suggère d’ailleurs que le ministre de la Santé devrait se faire vacciner, non pas pour un quelconque bienfait pour sa santé, mais seulement « pour rassurer les gens ». Je n’ai pas trouvé d’article se rattachant à cette situation particulière dans le Code des professions ni dans la Loi médicale, mais je suppose que si un non-professionnel ne peut pas suggérer un traitement pour pallier un problème de santé, il ne devrait pas pouvoir suggérer à quelqu’un de prendre un traitement uniquement dans le but rassurer d’autres personnes sur son innocuité.

Je souhaite donc déposer une plainte formelle contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, respectivement chroniqueur et chroniqueuse chez Québecor, et député de Rosemont pour exercice illégal de la médecine.

Vous trouverez ci-dessous une copie de mon échange avec Leslie Labranche.

Merci de confirmer la réception de ce courriel et de m’indiquer la marche à suivre pour cette plainte.

Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Julie Lévesque

De : Julie Levesque <XXXXXX>
Envoyé : 5 octobre 2021 12:09
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>
Objet : Objet : Collège des médecins

Bonjour M. Legault,

Merci pour votre réponse rapide.

Je vous envoyais cette plainte à titre de citoyenne, mais maintenant je me questionne à titre de journaliste indépendante et au nom de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple, qui a intenté plusieurs recours contre le gouvernement du Québec en lien avec la crise actuelle.

Je suis un peu confuse puisque votre opinion semble contredire celle de votre collègue Leslie Labranche et de la juge Nathalie Duchesneau, pour qui « suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé » constitue un exercice illégal de la médecine.

Mme Labranche m’a même confirmé que suggérer des médicaments vendus sans ordonnance constitue un acte réservé aux professionnels de la santé. Je comprends mal comment le fait de suggérer un vaccin ne l’est pas.

Vous dites que les trois personnes visées par ma plainte expriment une opinion, mais il s’agit plutôt d’un commandement ou d’une forte recommandation puisqu’elles emploient toutes l’impératif, par exemple, « allez vous faire vacciner ». Selon Le Robert, l’impératif est un « [m]ode grammatical qui exprime le commandement et la défense ».

D’ailleurs, les publicités de médicaments comportent toutes la mention « parlez-en à votre médecin », justement parce qu’une compagnie pharmaceutique « ne peut pas ordonner directement à des téléspectateurs de prendre [un médicament] ».

Le Center for Health Journalism explique clairement cette mention. Il s’agit d’une couverture « éthique » et « légale », puisqu’ordonner à quelqu’un de prendre un médicament équivaut à prescrire :

« What does “Talk to your doctor” (TTYD) mean? Essentially, it’s a legal and ethical security blanket. Only people with medical licenses can prescribe medication or provide care. Pharmaceutical companies can’t directly instruct TV viewers to take Enbrel; that would be prescribing. » 

https://centerforhealthjournalism.org/2015/09/21/world-full-drug-ads-and-online-advice-talk-your-doctor-more-clich%C3%A9

Cela correspond à la définition de la juge Duchesneau :

 « Le mot “prescrire” correspond, dans son sens courant, au mot “recommander[20] et suppose que cette recommandation est faite de manière verbale ou écrite[21]. »

https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15

Parmi les actes réservés aux médecins cités dans l’article 31 de la Loi médicale figurent :

« 2°    prescrire les examens diagnostiques;

4°    déterminer le traitement médical;

5°    prescrire les médicaments et les autres substances;

6°    prescrire les traitements »

Si « ordonner » et « recommander », c’est « prescrire », les trois personnes visées par ma plainte, en ordonnant ou en recommandant aux gens d’aller se faire vacciner, ont prescrit des vaccins, donc ont exercé illégalement la médecine.

Vous dites cependant que ce n’est pas le cas.

Vous dites : « Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

Si je comprends bien votre point de vue, le fait d’ordonner ou de recommander fortement à la population de se faire vacciner parce qu’elle en tirera des bienfaits ou simplement pour rassurer les autres ne constitue pas un exercice illégal de la médecine, mais une simple opinion.

Si c’est le cas, l’inverse est aussi vrai. Une personne qui n’est pas un professionnel de la santé peut ordonner ou suggérer fortement à la population de ne pas se faire vacciner parce que les risques sont plus grands que les bénéfices, puisqu’il s’agit d’une opinion sur les vaccins.

Pourriez-vous me confirmer que c’est effectivement le cas?

Merci d’avance pour vos explications.

Cordialement,

Julie Lévesque




Fact checkers ou désinformateurs ? Trois questions à Jean-Yves Le Gallou

[Source : Observatoire du journalisme (Ojim.fr)]

“Fact checkers”, vérificateurs, décodeursdésintox… Pas un média ne fait désormais l’économie de ces spécialistes, chargés de “débunker” (démystifier) les “fake news” (fausses nouvelles), que ce soit sur internet ou dans la bouche des politiques (de préférence à droite de l’échiquier). Derrière ces anglicismes se cache un appareillage militant où la neutralité passe souvent au second plan. Le dernier exemple en date, lors du débat Zemmour-Mélenchon sur BFMTV, a mis en lumière certaines de leurs pratiques mais également leurs limites.
Jean-Yves Le Gallou est essayiste, haut fonctionnaire et ancien Député européen. Depuis bientôt 10 ans, il dirige la fondation Polémia, “réservoir à idées” particulièrement actif dans le domaine de la critique média. Il anime également depuis plusieurs années l’émission I Média sur TV Libertés, offrant un décryptage de l’actualité médiatique. L’un des derniers épisodes d’I Média portait justement sur le “fact-checking”. L’Ojim a voulu en savoir plus.

Voir aussi : Franceinfo : le Vrai du Faux décode à pleins tubes – Ojim.fr

Vous vous êtes exprimé récemment à propos du “fact checking” réalisé par les équipes de BFMTV à l’occasion du débat Zemmour-Mélenchon. Selon vous, ces “vérificateurs” sont des désinformateurs. Pouvez-vous développer ce point ?

Le « fact checking », la « vérification »  des informations telle qu’elle est effectuée par les journalistes des grands médias a un double objectif :

  • permettre aux journalistes de reprendre le pouvoir et le contrôle de l’information aux dépens de leurs invités, en particulier les politiques,
  • sauver le point de vue politiquement correct des attaques qu’il subit et le protéger des assauts du réel.

J’ajouterais que tous ces anglicismes (“fact checking”, “fake news”, “debunkage”) sont à l’image du salmigondis prétentieux en usage dans les agences de communication, pour donner une impression de sérieux, « un vocabulaire de spécialistes qui ne peuvent se tromper ».

Le « fact checking »  présente un triple biais :

  • dans le choix des personnalités dont on vérifie ou non les affirmations : à ce propos combien de « fact checking » sur les déclarations de Véran, régulièrement approximatives  et non sourcées, sinon carrément mensongères ?
  • dans le choix des questions et des sujets,
  • dans le choix des « experts » : ainsi sur la question de l’immigration pourquoi faire appel à Hervé Le Bras qui prétendait déjà il y a 30 ans que « l’immigration était stable » et « qu’il n’y avait pas de baisse de la fécondité des Françaises » et non à Michèle Tribalat plus lucide et plus rigoureuse, sinon pour tromper l’opinion ?

Qu’est-ce qu’un bon expert ? Ce n’est pas quelqu’un qui dit des choses justes, c’est quelqu’un qui présente de manière pseudo scientifique les affirmations politiquement correctes qu’on attend de lui. Et qui lui permettent d’être réinvité, d’avoir un accès régulier aux grands médias et donc de trouver des éditeurs et des sponsors pour ses travaux.

Voir aussi : Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie – Ojim.fr

Cela pose la question plus large de l’objectivité et du devoir de neutralité : un mythe ?

Il n’y a pas d’objectivité possible car tout article, tout reportage, tout documentaire est « anglé » : il analyse les faits depuis un point de vue. Et celui-ci est par nature subjectif et partiel, sinon partial ! Le point de vue de la victime n’est pas le même que celui du délinquant. Et un chiffre même exact n’a de sens qu’en rapport avec d’autres chiffres.

J’ajoute que dans la pensée européenne – et en dehors des dogmes religieux – il n’est possible d’approcher les vérités que par la libre confrontation des points de vue. La logique du « fact checking » n’est pas celle-là, c’est celle du MINIVER, le ministère de la vérité dans 1984 d’Orwell. Les « fact checkers » sont au service de la vérité officielle de Macron.

Il faut les dénoncer avant qu’ils n’arraisonnent le débat démocratique : imaginez le rôle qu’ils pourraient jouer dans un débat de deuxième tour de l’élection présidentielle où ils ne manqueraient pas de confirmer les dires du candidat « gentil » et de désavouer les affirmations du candidat « méchant ».

Derrière la guerre de l’information, la guerre culturelle ?

Bien sûr : c’est une guerre des représentations. La propagande vise à faire croire des affirmations contradictoires : ainsi « le Grand Remplacement n’existe pas »  mais « la créolisation, c’est formidable ».

Voir aussi : Loi sur les fake news, le point de vue de François-Bernard Huyghe : une loi idéologique – Ojim.fr

Voir aussi : I‑Média n° 364 — Fact-checkers : Les désinformateurs

Ce contenu est mis à disposition selon les termes
de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International.


[Voir aussi :
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
La Presse-Système
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?]




Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !

[Source : Sott.net]

Voici le fameux rapport au format PDF du Dr. Vladimir Zelenko qui a soigné Trump ainsi que d’autres hommes politiques et nombre de patients avec l’hydroxychloroquine entre autres…

zelenko
Dr Vladimir Zelenko

On peut considérer ce document comme l’analyse et le résumé les plus importants de ce qui se passe sur la planète, où ces mondialistes génocidaires entreprennent des meurtres de masse à une échelle sans précédent qui dépasse l’entendement. Nous sommes dans une guerre contre le mal, dont l’objectif principal est le contrôle et la mort.

Existe-t-il des preuves des millions de décès et d’événements indésirables graves résultant des injections expérimentales de COVID-19 ?

Par David John Sorensen & Dr. Vladimir Zelenko, M.D- Septembre 2021.

BUT : L’objectif de ce rapport est de montrer comment, dans le monde entier, des millions de personnes sont mortes et des centaines de millions d’événements indésirables graves se sont produits après des injections de la thérapie génique expérimentale à ARNm. Nous révélons également le risque réel d’un génocide sans précédent.

FAITS : Notre objectif est de ne présenter que des faits scientifiques et de nous tenir à l’écart des affirmations non fondées. Les données sont claires et vérifiables. Des références peuvent être trouvées avec toutes les informations présentées, qui sont fournies comme point de départ pour une enquête plus approfondie.

COMPLICITÉ : Les données suggèrent que nous sommes peut-être en train d’assister au plus grand meurtre de masse organisé de l’histoire de notre monde. La gravité de cette situation nous oblige à poser cette question cruciale : nous lèverons-nous pour défendre des milliards d’innocents ? Ou préférerons-nous le profit personnel à la justice, et serons nous complices ? Des réseaux d’avocats du monde entier préparent des actions collectives en justice pour poursuivre tous ceux qui servent cet agenda criminel. À tous ceux qui ont été complices jusqu’à présent, nous disons : il est encore temps de se retourner et de choisir le camp de la vérité. S’il vous plaît, faites le bon choix.

À L’ÉCHELLE MONDIALE : Bien que ce rapport se concentre sur la situation aux États-Unis, il s’applique également au reste du monde, car le même type d’injections expérimentales avec des taux de mortalité similaires – et des systèmes de corruption comparables pour cacher ces chiffres – est utilisé dans le monde entier. C’est pourquoi nous encourageons tout le monde dans le monde à partager ce rapport. Puisse-t-il être un signal d’alarme pour l’ensemble de l’humanité.

Source de l’article : Le Grand Réveil

N’hésitez donc pas à consulter ce rapport ci-dessous au format pdf :

[Voir aussi :
Le Dr Zelenko qui a soigné 6000 patients de la Covid alerte sur les « vaccins »
Dr Zelenko — l’interview qui révèle tout]




France — 60 % des voitures à éliminer d’ici 6 mois et autres mesures d’étouffement économique du peuple

[Source et auteur : nicolasbonnal.com]

Passe de circulation. Vignette crit’air. Dans six mois 60% des voitures (trop vieilles ou pas assez électriques) vont être interdites sur le territoire. Puis 80%. Livraisons interdites et famine. C’est le passe vert mis en place dans leurs métropoles. Le parc auto finira à la poubelle. C’est sur Sud Radio, pas chez les paranos. Le Grand Reset est donc en place. Les COMPTES AU-DESSUS DE TROIS MILLE EUROS VONT AUSSI être interdits. Que va-t-il se passer ? Mort lente en série ou révoltes ? On verra. Le Français a donné toutes les garanties de soumission au système monstrueux d’extermination de masse qui se met en place là. Vive leur Europe en tout cas. BFM : « La plupart des grandes villes françaises vont devenir des ZFE (zones à faibles émissions) d’ici à 2024, avec des plans d’exclusion des véhicules les plus anciens de la circulation. » Tout est déjà voté : alors révoltez-vous ou dormez/crevez.

Nicolas Bonnal

Crit’Air | Ministère de la Transition écologique (ecologie.gouv.fr)

https://www.linternaute.com/auto/guide-pratique-auto/1313313-vignette-crit-air-les-crit-air-4-interdits-dans-le-Vignette Crit’Air : les Crit’air 4 interdits dans le Grand Paris, comment commander les vignettes ? (linternaute.com)

Vignette ou pastille Crit’Air (certificat qualité de l’air) | service-public.fr

En pleine crise économique, le Gouvernement calcule comment interdire la voiture à la moitié des Français (40millionsdautomobilistes.com)

Pourquoi des millions de voitures ne pourront bientôt plus rouler dans les grandes villes (bfmtv.com)

Interdit de respirer, de rouler, de se soigner, et de travailler…

Un lecteur



Le Portail du Grand Changement: Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien ! »

Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! »

Ivan Rioufol: « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! » (businessbourse.com)

Les individus non vaccinés contre le covid ne pourront plus quitter le Canada par voie aérienne – Egalite et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr)




Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites

Par Alain Tortosa

Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites.
Nous devons nous préparer activement à contrer le fameux « on ne savait pas ».
Quand la dictature va tomber, les responsables
et les complices vont plaider l’obéissance aux ordres et l’ignorance.

Comme après la Deuxième Guerre mondiale : « On savait pas qu’il y avait des camps, si on avait su… ».

J’en appelle à moi-même et à tous les résistants qui œuvrent depuis des mois pour le rétablissement de la vérité scientifique et des droits de l’homme. Lors de la prochaine débâcle nous allons assister à une destruction massive des preuves, à la suppression d’archives et à une tentative inédite de réécriture de l’histoire. À ce titre je voudrais saluer l’initiative de Crowdbunker, parmi d’autres, qui archive de nombreuses vidéos déjà censurées ou qui le seront bientôt. Quand la dictature va se fissurer, un maximum de « collabos » vont retourner leur veste, mentir, détruire des preuves, pour tenter de passer pour des « résistants ». Il est encore temps, car ils se croient invincibles et pensent être à l’abri de toute démocratie.

Nous devons donc archiver toutes les interviews écrites et audiovisuelles qui les incriminent, mais aussi toutes les preuves qui attestent que les données étaient connues depuis le mois de mars 2020 et même avant pour certaines.

Le travail est titanesque, ne serait-ce qu’en France, quand on pense au nombre de médecins, ministres, politiques, personnes d’influences (artistes…), enseignants, journalistes, préfets, juges, policiers, gendarmes, juristes, fonctionnaires, enseignes commerciales… qui ont manipulé, menti, traqué, condamné, pour contraindre les honnêtes gens à accepter l’inacceptable. Nous allons devoir réécouter et relire toutes les interventions télévisuelles ou écrites et archiver toutes les prises de paroles de chacun.

Il y a probablement des dizaines de milliers de complices en lumière ou de l’ombre qui devront répondre devant la justice quand elle sera enfin de retour.

La méthode de défense des personnes incriminées sera double, comme d’habitude…

  • L’obéissance à la hiérarchie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette défense des lâches. Les textes de loi existent déjà et nul ne peut se réfugier derrière sa hiérarchie avec son « je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Nous pourrons d’ailleurs amener la preuve que de nombreux « collabos » sont allés bien au-delà des ordres et des lois scélérates. Ils ont fait du zèle dans tous les échelons de l’administration.
  • Le manque de données. C’est là le gros du travail d’archives. Toutes les pourritures de la plus insignifiante à la plus corrompue, de la plus débile à la plus décorée, ne manqueront pas de dire « on ne savait pas » pour l’ensemble des horreurs qu’ils ont imposé ou encouragé. Il va donc falloir apporter tous les éléments de preuves attestant des mensonges. Ils auront beau chercher, ils n’arriveront pas à prouver l’agissement par ignorance. Soit nous amènerons la preuve que l’on savait, soit nous amènerons la preuve qu’il y avait doute sans consensus. Pour les sujets où il pouvait demeurer ce doute, pourquoi le principe de précaution a-t-il été systématiquement balayé au profit de la mesure la plus dictatoriale possible et dont les conséquences néfastes étaient connues par avance pour un bénéfice hypothétique ? Si nous — résistants, lanceurs d’alerte, soignants, scientifiques, hommes de loi, simples citoyens — savions… alors eux aussi pouvaient disposer des mêmes connaissances et ceci d’autant plus qu’ils étaient proches du pouvoir et des sphères d’influence.

Et les mensonges ne manquent pas !

  • Mensonges et manipulation de l’opinion publique en usant systématiquement de la peur.
  • Mensonges sur l’honnêteté des laboratoires pharmaceutiques, du lobbying et de la corruption.
  • Mensonges en niant la corruption des médecins, soignants, artistes, restaurateurs, entreprises, politiques, fonctionnaires, etc. dont on a acheté le silence à coup de milliards d’euros.
  • Mensonges sur la « certitude » de l’origine du virus.
  • Mensonges sur la prétendue indépendance de l’OMS.
  • Mensonges sur l’ampleur de la crise et son aspect prétendument « exceptionnel ».
  • Mensonges sur les publics touchés, les personnes à risque.
  • Mensonges sur la dangerosité intrinsèque du virus.
  • Mensonges sur le taux d’incidence.
  • Mensonges sur le nombre de vrais malades du Covid..
  • Mensonges sur le nombre d’hospitalisations pour Covid.
  • Mensonges sur le nombre et le pourcentage de personnes en réanimation (soin intensif).
  • Mensonges sur le nombre de morts imputés au Covid.
  • Mensonges sur l’absence de traumatismes chez les enfants.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des gestes barrières.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue innocuité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des confinements.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du couvre-feu.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité de la fermeture des commerces dits non-essentiels.
  • Mensonges sur l’absence affirmée de traitements.
  • Mensonges sur la dangerosité de molécules inoffensives.
  • Mensonges et omerta sur les personnes âgées interdites de traitements et tuées au Rivotril.
  • Mensonges pour promouvoir l’interdiction d’accès aux soins.
  • Mensonges pour interdire aux médecins de prescrire.
  • Mensonges sur la prétendue ouverture de lits d’hospitalisation quand on les fermait.
  • Mensonges pour tuer la réputation de médicaments efficaces et « gratuits ».
  • Mensonges sur l’absence de conflits d’intérêts des « spécialistes ».
  • Mensonges pour promouvoir des molécules dangereuses (et inefficaces).
  • Mensonges sur le mythe de l’immunité vaccinale de masse.
  • Mensonges sur la prétendue impossibilité d’une immunité naturelle de masse.
  • Mensonges pour dénigrer l’AstraZeneca au profit de l’ARN Messager.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des thérapies dites vaccinales.
  • Mensonge sur la prétendue innocuité de ces substances expérimentales et ARNm.
  • Mensonges pour faire croire au public que les tests de sécurité avaient été conduits.
  • Mensonges pour camoufler ou interdire la remontée des effets secondaires graves des injections.
  • Mensonges sur la prétendue absence de mortalité post-vaccinale.
  • Mensonges pour vendre de la 3e dose de vaccins non mis à jour.
  • Mensonges sur les annonces disant qu’il n’y aurait jamais de passe sanitaire.
  • Mensonges identiques concernant l’obligation vaccinale.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du passe-sanitaire qui ne vise que l’obligation vaccinale et l’extorsion du consentement.
  • Mensonges sur le fait que le passe-sanitaire serait devenu naturel et entré dans les mœurs.
  • Mensonges pour dénigrer toute parole autre.
  • Mensonges sur un prétendu consensus scientifique qui n’a JAMAIS existé.
  • Mensonges pour transformer l’annonce et la parole médiatique en « loi ».
  • Mensonges pour faire du résistant un être asocial, débile, complotiste ou antisémite.
  • Mensonges sur le nombre de personnes opposées aux lois liberticides ou sur le nombre de manifestants.
  • Etc.

Pour amener la vérité factuelle historique et scientifique, nous devons mener de front plusieurs travaux majeurs, mais nous devons surtout créer et centraliser :

  • Un fichier des données scientifiques et statistiques par thème (masque, confinement, traitements, vaccins…) Répertorier et dater les données. Ce travail a d’ores et déjà était largement mené notamment par Reinfocovid.
  • Un fichier de lanceurs d’alertes, de scientifiques, de médecins honnêtes et de juristes. Répertorier et dater les déclarations de chacun qui ont été censurées ou dénigrées.
  • Un fichier d’acteurs et de complices de la dictature. Répertorier et dater les affirmations mensongères, tromperies, manipulations, demandes de privations de liberté, conflits d’intérêts de tel ou tel, etc. C’est probablement le plus gros du travail. Ne serait-ce que pour répertorier tous les acteurs.

C’est par recoupement et corrélation des données scientifiques ou statistiques connues à la date de l’affirmation que nous pourrons prouver le mensonge ou la manipulation et contrer le « on ne savait pas ».

Prenons quelques exemples :

  • Le témoignage d’un « médecin » qui à la date du X affirme que sa hiérarchie lui interdit de signaler les effets secondaires des vaccins.
  • Le témoignage d’un médecin qui affirme traiter ses patients avec succès avec les molécules dénigrées ou interdites.
  • Le témoignage d’un soignant menacé par l’ordre des médecins ou l’ARS.
  • Un maire qui lors du 1er confinement va au-delà de la loi et interdit à ses citoyens de sortir à plus de 100m de chez eux.
  • Un préfet qui rend le masque obligatoire dans des écoles alors même que le protocole sanitaire ne l’impose pas.
  • Un directeur d’école qui ne fait pas enlever les masques lorsqu’ils ne sont plus obligatoires ou qui parque des élèves, les punit s’ils portent mal la muselière.
  • Un rectorat qui n’accepte pas les certificats médicaux d’exemption de port du masque.
  • Un journaliste qui dit que la situation est catastrophique en Suède et que l’absence de confinement est un échec.
  • Un enseignant de sport qui oblige ses élèves à porter un masque durant l’activité sportive.
  • Un commerce qui propose des offres aux clients vaccinés.
  • Un médecin qui incite son patient qui n’est pas à risque à se vacciner alors même que les risques de l’injection sont déjà connus et qu’il ne l’informe pas.
  • Un commerce qui impose le masque à l’intérieur alors même que la loi ne l’oblige pas.
  • Une entreprise qui fait pression pour la vaccination de ses employés en dehors de tout cadre légal.
  • Une entreprise qui licencie un employé pour non-port du masque.
  • Un ministre qui affirme que 80 % des hospitalisés sont non vaccinés.
  • Tel journaliste qui le répète comme étant une vérité.
  • Un médecin qui dénigre une molécule inoffensive et qui fait la promotion d’une autre molécule dangereuse et hors de prix.
  • Un enseignant qui harcèle un enfant pour qu’il porte parfaitement la muselière et ignore ses maux.
  • Un médecin qui est invité des centaines de fois dans les médias alors qu’il a des conflits d’intérêts.
  • Un politique qui vote le confinement, la vaccination obligatoire ou l’urgence sanitaire.
  • Un médecin qui affirme que le port du masque en population générale a prouvé son efficacité.
  • Un journaliste qui reprend à son compte les dépêches AFP sans la moindre vérification.
  • Un membre du conseil scientifique qui ment sur des chiffres.
  • Un épidémiologiste qui promet 400 000 morts dont les prévisions sont systématiquement erronées et qui est réinvité à l’infini.
  • Un politique qui affirme que le confinement a sauvé des vies.
  • Un média qui supprime de ses archives une publication ou une interview en fonction des propos « complotistes » qui ont été tenus.
  • Un « vérificateur » de l’information qui se contente d’interroger uniquement les personnes qui affirment La Vérité Officielle pour « prouver » que l’affirmation contraire est donc une « fake news ».
  • Un journaliste qui affirme que le vaccin est la seule voie vers une immunité vaccinale de masse.
  • (Liste non exhaustive).

Ces quelques exemples montrent à quel point l’entreprise est titanesque à l’échelle d’un pays alors imaginez toute la planète.

Mais c’est en listant les faits scientifiques, en listant les déclarations des résistants et en listant les déclarations des incriminés que nous pourrons acquérir les éléments de preuve. Ainsi à la libération nous serons prêts, nos dossiers seront prêts pour les dizaines de milliers de plaintes individuelles et collectives qui seront déposées. Ce n’est pas à nous de les déclarer coupables ni de les juger ou les condamner, mais c’est à nous d’amener et de faire en sorte qu’aucun complice ne soit oublié et que les preuves ne soient pas « égarées ».

J’invite donc toutes les forces de la résistance à se réunir et commencer à travailler d’arrache-pied sur le sujet. Il faudra sans doute créer une plate-forme commune participative pour mener à bien ce juste projet.

Merci.

Alain Tortosa.

8 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211008-collecter-et-sauvegarder-les-preuves.pdf