Un journal britannique publie les « chiffres officiels du scandale »

[Source : profession-gendarme.com]

Londres

Sur une page entière, un journal britannique publie les « chiffres officiels du scandale » des « blessés et morts » par vaccins !

Le journal anglais « The Cheltenham Post » publie le nombre de morts et de blessés, différenciés par diagnostic, région et marque du vaccin génocide !

Rapporte que 6 636 471 personnes ont subi des effets indésirables rien qu’au Royaume-Uni, dans l’Union Européenne et aux États-Unis :

  1. 636 471 personnes blessées et
    40 679 morts à cause du poison OGM.

C’est la conséquence :
que les « vaccins transgéniques » n’ont jamais été utilisés chez l’homme.
Qu’ils ne sont « pas approuvés », mais ont été « approuvés pour une utilisation d’urgence ».

[Ndlr : ceci avec seulement 1 à 10 % des effets indésirables et des décès rapportés, selon le journal.]

Georges Bernanos
“Le divin monstre de la littérature française”
1888 – 1948

« Je pense depuis longtemps déjà que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles de la vengeance qu’elle s’attire… mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. »

Georges Bernanos




Les Secrets du magazine « The Economist : The World ahead 2022 »

[Source : Éditions fractales]




François Asselineau : « Si je suis élu, je supprime le passe sanitaire et le passe vaccinal »

[Source : Sud Radio]




Soutien à Novak Djokovic

[Source : olivierdemeulenaere.wordpress.com]

« Novak est en prison ! Ils veulent l’humilier ! C’est un combat qui concerne le monde entier ! »

Par Olivier Demeulenaere

Cette affaire incroyable, qui a viré à l’affrontement diplomatique entre la Serbie et l’Australie, s’explique par au moins deux raisons :

  1. Novak Djokovic a exprimé dès le début son opposition à la “vaccination” obligatoire et dérange donc fortement la secte mondialiste.
  2. Il est chrétien orthodoxe et ne cache pas ses convictions religieuses. OD

[Source : @LeLibrePenseur.org]




[Source : lemediaen442.fr]

Réagissant à l’affaire Djokovic, le champion du monde de surf Kelly Slater dénonce la mort de 5 proches suite à l’injection

Les langues se délient ! Exempté de vaccination, «  Novak Djokovic participera à l’Open d’Australie et est en route pour l’Australie. Djokovic a demandé une exemption médicale qui a été accordée…  », avait écrit la Fédération australienne de tennis. Pourtant, depuis le 6 janvier, le numéro 1 mondial est à l’isolement dans un hôtel de Melbourne. Il est suspecté de ne pas remplir les obligations sanitaires exigées pour entrer dans le pays.

Il semble que Scott Morrison, Premier ministre australien, a reçu les mêmes consignes que Macron : emmerder les non-vaccinés. Une affaire qui prend des airs d’incident diplomatique. Le président serbe Alexsandar Vucic — qui accuse l’Australie de harcèlement — s’est entretenu avec le joueur.  Il a déclaré sur Instagram : « Je viens de terminer une conversation téléphonique avec Novak Djokovic. J’ai dit à notre Novak que toute la Serbie était avec lui et que nos autorités prenaient toutes les mesures pour arrêter le harcèlement du meilleur joueur de tennis du monde dans les plus brefs délais. Conformément à toutes les normes du droit international public, la Serbie se battra pour Novak Djokovic, pour la justice et la vérité. Soit dit en passant, Novak est fort, comme nous le connaissons tous. »

Novak Djokovic peut compter sur un soutien de taille avec le surfeur professionnel Kelly Slater, champion du monde à onze reprises. L’homme au plus gros palmarès de toute l’histoire du surf répondait sur Instagram sous la publication du New York Times concernant l’affaire Novak Djokovic : « Peut-être que le syndrome de Stockholm peut être renommé syndrome de Melbourne. C’est très triste de voir comment les vaccinés “vertueux” célèbrent la division. Si vous êtes vacciné, pourquoi vous souciez-vous du statut vaccinal des autres ? Le vaccin ne vous protège pas ? Peut-être avez-vous peur d’attraper le covid ou êtes-vous en colère de vous être vacciné ? Trop de lavage de cerveau et de haine dans le cœur des gens concernant la vaccination. »

Kelly Slater va beaucoup plus loin puisqu’il assure que « cinq connaissances sont décédées dans les deux semaines après l’injection du vaccin, deux ont été autopsiées et les familles en sont convaincues, mais les médecins disent que c’est pure coïncidence ». « J’ai le droit de remettre en question tout ce qui est relatif à mon corps, surtout avec quelque chose qui a touché plusieurs amis et qui en a même tué certains. »

Message de Kelly Slater sur Instagram

Une chose est certaine, face à l’attaque directe contre Novak Djokovic, une fronde s’organise, les esprits s’échauffent, le ras le bol devient insupportable. La colère bouillonne contre les mesures sanitaires que les peuples trouvent de plus en plus stupides et dictatoriales concernant un virus qui tue essentiellement les plus de 79 ans.

Le Média en 4-4-2




Réaction du peuple allemand à l’escroquerie vaccinale covidienne

[Source : Silvano Trotta Officiel]






Pfizer – La plus grande escroquerie mondiale détricotée !

[Source : @ExcaliburTraduction]

Voici les preuves implacables, dans une présentation brillante qui démontre, de façon très simple et accessible à tous, à quel point les études de Pfizer sont truquées du début à la fin, avec la complicité des autorités sanitaires, politiques et des médias.
Cet exposé doit devenir viral à l’heure des discussions sur le pass vaccinal. Le monde entier doit connaître la vérité !

Version PDF de la présentation :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/12/The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021.pdf

Vidéo originale sur le site de Canadian Covid Care Alliance :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/

Vidéo sur les sportifs :
https://rumble.com/vpnxkr-are-these-side-effects-extremely-rare.html

Article sur les sportifs décédés ou malades suite aux injections :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-sportler/






Un système d’esclavage à tous les étages

[Source : @quantumleaptraduction]



[Voir aussi :
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]




Les chroniqueurs de TPMP changent de position sur les vaccins

[Source : LLP]

Les chroniqueurs, qui étaient pour la vaccination notamment celles des enfants, sont en train de changer de position aujourd’hui à cause clairement de la faillite de la politique vaccinale et de l’explosion spectaculaire des cas positifs. De plus, que penser d’une chroniqueuse qui va se faire vacciner et qui est en pleurs, c’est contraire à toutes les bases de la déontologie, c’est du jamais vu dans l’histoire humaine. Comment un médecin peut-il vacciner une personne qui n’en veut pas et qui pleure face à lui, terrorisée par l’injection ?! Comment est-ce possible ! Une chose est certaine, aucun des chroniqueurs parents ne veut vacciner ses enfants, à l’instar du Dr Martin Blachier.






Pour rejoindre le paradis, en Allemagne il faut un schéma vaccinal complet

Par Nicole Delépine

Longue vie aux non-vaxx !

Comme dit Pascal Praud chaque soir maintenant sur CNews : « ils sont tous devenus fous ! ils sont cinglés, etc.. »

On est heureux de sa prise de conscience (un peu tardive, mais mieux que rien) parallèle à celle de son invité médical préféré, Martin Blachier. Tous deux nous saoulaient, en temps de croyance au scénario Covid, avec des « il faut sauver des vies ». Maintenant ils ont compris qu’il faut sauver des doses bientôt périmées et des bourses bien pleines de Big Pharma et affidés, et tiennent des discours plus logiques.

Mais attention prévenez-les, la Bourse baisse pour les marchands de vaccin (vilain Omicron)…

Mais là, avec le schéma vaccinal complet, plus un test éventuellement, pour obtenir l’euthanasie, le summum du ridicule, de la folie, de l’intoxication sur le danger de ce petit virus si sensible aux antipaludéens et aux macrolides, dépasse ce qu’on aurait pu imaginer.

Si vous ne croyez pas (je vous comprendrais) lisez quelques extraits hilarants de ce papier venu d’Allemagne dans un sujet pourtant habituellement délicat(([1] Publié le 3 Jan, 2022 Gènéthique magazine))

En Allemagne, l’association Verein Sterbehilfe pratiquant l’euthanasie est catégorique : elle ne recevra pas de clients non vaccinés contre le Covid.(([2] Depuis 2020, le suicide assisté est effectivement légal en Allemagne. Son interdit a été déclaré inconstitutionnel par le Tribunal constitutionnel fédéral. Il s’agirait de protéger le « droit à disposer librement de soi face à sa mort ». L’assistance au suicide est également légale. En mai 2021, deux propositions de loi allant en ce sens ont été déposées au Parlement. Elles ouvriraient l’euthanasie largement, sans se limiter aux personnes en fin de vie.))

Ainsi, pour être euthanasié, il faut présenter un schéma vaccinal complet. La raison (?) invoquée : le « contact humain » nécessaire lors de l’acte d’euthanasie entre les prestataires et le client. Un test devra être effectué avant la « rencontre rapprochée dans un espace confiné ». Donc, ils savent que le pseudovax ne protège pas de la contamination. À leur place, j’aurais plutôt peur de choper la protéine spike provenant des vaxxinés, mais ils ne doivent pas avoir lu les bons auteurs.

Évidemment des twittos ayant découvert le pass à l’allemande (Castex et Macron vont être jaloux) n’ont pas manqué de rivaliser d’imagination : « Pass vaccinal pour l’au-delà », « quand le ridicule ne tue plus », « vous pourriez avoir un peu de chance et éviter de payer pour l’euthanasie si vous mourez du vaccin lui-même ».

Exercez-vous, on doit trouver mieux et on reprendra vos propositions dans un autre article. Vu les temps qui courent, il ne faut pas bouder son plaisir et rire un peu, c’est bon pour l’immunité.

« Avec ses recommandations, Verein Sterbehilfe ne craint pas le paradoxe : mourir de façon choisie, en ayant pris soin de ne pas mourir d’autre chose. Disposer de son corps pour être euthanasié, mais se laisser imposer la vaccination. »

Décidément les psychiatres et tous professionnels du domaine ont du pain sur la planche pour des décennies.




La régression morale, politique et intellectuelle s’accentue

Par Lucien Oulahbib

Au fur et à mesure que la campagne hygiéniste échoue, elle dévoile, peut-être sans le vouloir et sous les coups de boutoir des variants fabriqués par l’injection, qu’il s’agit à la fois d’une mascarade affairiste (avec quatre shoots annuels et bientôt six…). Mais aussi, et surtout, un voile sans doute se déchire, celui d’une stratégie cynique (monstrueuse) de manipulation plastique des chairs humaines singulières pour en faire de la chair à canon expérimentale afin de calibrer la fabrication meccano de corps industriels standards : interchangeables, sans (cent) identité, nationalité, âme ni conscience.

Alors, le fait que la cohorte des non injectés devienne un groupe témoin gênant et doive donc être éliminée « quoiqu’il en coûte », comme l’analyse le Courrier des Stratèges, n’est pas à prendre à la légère. De même que cette volonté affichée par l’OMS de vouloir injecter la planète entière, puisque selon la même antienne portée par les éléments « français » VS (Vigilance Sécuritaire) ce serait aussi « à cause » des nations non injectées, en particulier les moins « développées », que « LE » virus prospérerait, se rechargerait, avant de foncer sur les contrées pourtant hyper injectées.

Ainsi, de même que les belles âmes léninistes excusaient la faillite du « socialisme réel » parce qu’il n’avait pas pu s’étendre sur la planète entière (Deleuze racontait cette curiosité théorique), de même les seconds couteaux de la Vulgate scientiste hygiéniste avalent — surtout lorsqu’ils sont de « gauche » — leur aversion originelle pour l’affairisme affiché afin de participer (tout en se pinçant le nez pour certains) à l’effacement feutré, ici brutal, là du réel antinomique. Le tout est réalisé au profit d’un trompe-l’œil digne des miniatures moyenâgeuses qui mettent minutieusement en scène la place de Grève sur laquelle divers instruments de torture étaient instruits au vu de tous qui les admiraient (sous injonction paradoxale) : mise au pilori, roue, écartèlement, chaux, décapitation, pendaison. Ceci se fait dans leurs versions « modernes », bien sûr, que sont le passage à tabac médiatique et la mort sociale, en amorce du stade supérieur déjà là en nuées de moins en moins lointaines : amendes, incarcérations (mentales, fiscales, sanitaires), en attendant pis…

Tout s’accélère. Et de plus en plus, alors que les chiffres montrent bien plus les dégâts des injections que le contraire, en particulier pour les plus jeunes, tandis que pour les anciens nombre d’exemples montrent que les traitements précoces et préventifs marchent de mieux en mieux.

Ce qui fait que les prothèses chargées de la propagande restent « sans voix » lors de « débats » ou tentent des plaisanteries de corps de garde ou de piliers de comptoir (« j’ai envie d’emmerder jusqu’au bout »), des propos de « tapettes » qui autrefois se faisait écrabouiller à la récré ou dans les guinguettes tant ils suintent le vice des tordus façon scorpion piquant tout de même la grenouille qui avait pourtant accepté de le sauver de la noyade, car telle est sa « nature ». Une tapette est cet entre-deux mauvais qui, petit, massacrait les fourmis ou arrachait les fleurs (mets un kleenex ou un chewing-gum dans les pissotières) et qui aujourd’hui veut piquer tout vivant afin de lui montrer « la Voie »…

Il s’agit de la plus grande expérimentation de manipulation génétique, mentale, morale, politique, économique qui n’ait jamais existé puisqu’il n’y a même plus un monde « libre » pour s’y opposer.

D’où la nécessité non seulement de se hisser à hauteur de jeu, mais d’être en avance de plusieurs coups façon échec et go réunis face à cette régression morale, politique, et intellectuelle inédite…




Prévisions 2022 – Un feu de poubelle à la frontière d’un âge sombre

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par James Howard Kunstler – Le 31 Décembre 2021 – Source kunstler.com

Si 2021 a été l’année de la corruption maximale, de la décadence politique et de la folie dans l’histoire des États-Unis, 2022 ressemblera à un retour convulsif aux rigueurs déchirantes de la réalité, avec des pertes choquantes, des comptes à rendre, et pas mal de châtiments pour les voyous et les réprouvés qui ont conduit notre pays dans le fossé. Les dilemmes abondent maintenant dans les décombres de l’économie, de la culture et de la politique. Les années où « tout va et rien ne compte » sont terminées – même si vous ne le savez peut-être pas encore, à l’aube du vingt-deuxième siècle. Bienvenue au banquet des conséquences. La soupe est servie !

Le peuple américain s’est fait avoir à l’envers et à l’endroit, à l’intérieur et à l’extérieur, en travers et de tout côté, et de haut en bas ; poussé au bord du suicide national par une combinaison d’ennemis à l’intérieur et à l’extérieur. Si le PCC de la Chine voulait tirer le maximum d’avantages d’une Amérique affaiblie et confuse, il n’aurait pas pu trouver de partenaires plus zélés que le séditieux Parti démocrate et le Dr. Anthony Fauci, les entreprises pharmaceutiques meurtrières, les médias malhonnêtes et imprudents, et une foule démoniaque d’agences fédérales, en particulier la « communauté des renseignements » avec ses trois zélateurs – la CIA (Moe), le DOJ (Larry), le FBI (Curley) – plus les nombreuses chambres d’horreur secrètes du Pentagone. Ajoutez à cela les tyrans de Big Tech, les mandarins marxistes des campus et les narcissiques sataniques d’Hollywood. Oh, et n’oublions pas la principauté maléfique de l’arnaque et de l’escroquerie qu’est Wall Street.

Nous ne savons toujours pas exactement quel rôle le PCC et son Armée de libération du peuple ont joué dans les origines de la Covid-19, et nous ne le savons pas parce que le gouvernement américain ne veut pas que nous le sachions – parce qu’il a joué un rôle dans cette affaire – et les médias d’information ne lèveront pas le petit doigt pour le découvrir non plus, parce qu’ils sont le bras propagandiste du régime au pouvoir. Nous en savons beaucoup sur les opérations du Dr Fauci et de ses collègues qui ont financé le développement du virus à Wuhan dans le but d’introduire une série de « vaccins » extrêmement rentables qui, en fait, ont prolongé et exacerbé la pandémie, et ont blessé ou tué des millions de personnes dans le monde entier.

Nous savons également que ce même groupe d’acteurs de la santé publique et de Big Pharma ont truqué les essais cliniques qui ont précédé les autorisations d’utilisation d’urgence qui ont permis de libérer les « vaccins » sur la population, et qu’il a délibérément entravé et supprimé des traitements éprouvés avec des médicaments bon marché et hors brevet qui auraient sauvé des centaines de milliers de vies s’ils avaient été autorisés dans le cadre des soi-disant normes de pratique qui régissent la médecine de nos jours. La même bande a truqué ses rapports statistiques chaque fois que cela était possible, notamment en ne réparant pas le site web VAERS du CDC, qui ne fonctionne pas bien, pour répertorier les réactions indésirables aux « vaccins », mais aussi en créant des conditions qui rendent impossible de distinguer les décès réels dus à la Covid-19 des décès dus aux « vaccins », et des décès causés par des comorbidités ou des événements extérieurs tels que des accidents de la route ou des meurtres par balle.

En 2021, une montagne de preuves a été accumulée sur tous ces méfaits criminels, couronnée par l’énorme livre de Robert F. Kennedy Jr. sur la carrière impie du Dr Fauci à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), un manuel d’accusation virtuel, méticuleusement annoté, qui sera utilisé dans d’innombrables procès contre le Dr Fauci, ses collègues qui lui survivent, et les nombreuses agences et ONG – et peut-être dans les procès criminels de ces criminels très connus.

Voilà où en sont les choses au tournant de la nouvelle année 2022. Qui ne veut pas savoir ce que ce jeu historique va devenir ? Beaucoup de scénarios changent rapidement. Il est évident que l’administration « Joe Biden » veut faire durer la pandémie au moins une année de plus, notamment pour maintenir en place l’arnaque des bulletins de vote par correspondance « d’urgence » qui a perverti les élections de 2020. Mais plus de la moitié du pays a compris cette escroquerie et je prédis que des règles de vote plus rigoureuses seront mises en place – ou, si ces réformes rencontrent une résistance, une bataille si féroce que les élections pourraient même ne pas avoir lieu à la date prévue.

À l’heure actuelle, trop d’Américains en ont déjà assez d’être bousculés par des fonctionnaires censés agir pour leur bien. Ils voient clair dans les méfaits du racket de la Covid-19. Ils ont assisté au viol de l’intérêt public. Ils comprennent que les « vaccins » sont une expérience désastreuse menée en toute illégalité. Ils ont été témoins des dommages causés à eux-mêmes et à leurs proches. Ils sont consternés par le détournement de la science par des gens aussi profanes sur le plan scientifique que les nécromanciens, les astrologues et les inquisiteurs d’antan.

Ils ne se soumettront plus à aucun confinement, à aucune tentative d’interférence et de destruction des petites entreprises. Ils en ont assez des manigances raciales et sexistes qui ont désorganisé la société, ruiné des villes déjà en difficulté, travesti le principe de base de la sécurité publique et forcé les gens à faire semblant autour d’une psychopathologie et d’une dépravation évidentes. Ils ne vont plus jouer le jeu. Ils vont résister et se battre – dans les conseils municipaux, dans les commissions scolaires, dans les tribunaux, et sur les champs de bataille, s’il faut en arriver là.

La pandémie du vieil homme

Il a continué à rouler. Le variant Omicron du coronavirus, moins létal mais plus infectieux, qui déchire actuellement les populations mondiales, semble indiquer que la fin de ce mélodrame vicieux est en vue. Prédisons que la phase de maladie proprement dite de la Covid-19 s’éteindra d’elle-même au plus tard au printemps, à moins que les acteurs malveillants ne disposent d’autres monstres cultivés en laboratoire qu’ils peuvent lâcher dans la population générale dès qu’ils en ont envie. Mais les effets néfastes installés par ces démons dans les vaccins continueront à tuer et à handicaper les gens pendant longtemps.

Nous savons que les protéines de pointe ont été observées cliniquement dans le corps humain jusqu’à quinze mois après une injection d’ARNm, et qu’elles provoquent de nombreux dommages aux vaisseaux sanguins, aux organes et au système immunitaire. Nous venons tout juste de célébrer le premier anniversaire des vaccins – sans compter que des millions de personnes ont reçu des injections supplémentaires et des rappels jusqu’à cette semaine – de sorte que ces protéines de pointe nocives continueront à exercer leur influence pendant toute l’année 2022 et au-delà.

Comme l’a récemment averti le médecin thaïlandais et allemand Sucharit Bhakdi, l’affaiblissement du système immunitaire des personnes vaccinées pourrait provoquer une résurgence à grande échelle de maladies mortelles ancestrales, comme la tuberculose, qui sont toujours présentes en petites quantités dans notre organisme et qui sont généralement supprimées. Les populations d’Asie et d’Afrique sont particulièrement vulnérables car l’assainissement public et l’eau potable y sont plus sommaires. Les vaccins provoqueraient également l’expression de cancers latents, notamment chez les personnes en rémission. La mortalité due aux vaccins pourrait finalement être plus importante que les décès dus au virus lui-même.

En arrière-plan de tout cela se cache cette prédiction inquiétante faite par la société d’analyse militaire Deagel il y a plusieurs années, qui estimait que la population des États-Unis s’effondrerait à 99 millions d’habitants en 2025, contre plus de 330 millions actuellement. Deagel n’a jamais expliqué cela, et ils ont retiré leur page web l’année dernière lorsque leurs prévisions alarmantes ont soudainement commencé à sembler plausibles. Je dis ça comme ça.

Quoi qu’il en soit, l’épisode Covid-19 va bouleverser la vie de plusieurs millions de personnes, en particulier dans les nations de la civilisation occidentale, qui ont été les plus durement touchées en termes de politique gouvernementale autodestructrice. La pandémie a accéléré l’effondrement des économies industrielles, un processus que j’appelle la longue urgence, et qui finira par affecter toutes les nations, même si l’Occident est le premier à sombrer. Les sociétés seront propulsées dans une période de désordre, sûrement plus longue et plus difficile dans certains endroits que d’autres, en fonction des ressources locales. La destination de ce voyage est un endroit où le projet humain est mené à une échelle et à un niveau bien inférieurs à ceux auxquels nous nous sommes habitués à notre époque, avec beaucoup moins de confort et de commodités « modernes », et des pertes choquantes en matière de connaissances et de sciences appliquées. Ce ne sera pas la première fois que cela se produit dans l’histoire de l’humanité, mais les dégâts seront beaucoup plus importants.

Économie, finances et argent

Notre économie est liée à nos ressources énergétiques. Le modèle économique qui consiste à fournir des combustibles fossiles à l’économie mondiale est brisé à bien des égards, et par conséquent, le modèle économique d’une économie de production industrielle de haute technologie est également brisé. L’industrie du pétrole de schiste a été lancée à la faveur d’une marée haute de financements à coûts quasi nuls et, depuis dix ans, elle a produit une énorme quantité de pétrole (bien qu’elle ne soit pas de première qualité, manquant de distillats lourds comme le diesel et le fioul domestique). Dans le processus, les producteurs de pétrole de schiste ont prouvé qu’ils ne pouvaient pas gagner de l’argent avec ces opérations très coûteuses, et nous entrons maintenant dans une période de pénurie de capital qui leur rendra plus difficile d’attirer de nouveaux investissements et de continuer à performer. En outre, ils sont en train d’épuiser les « points chauds » pour le forage et la fracturation.

Ce qui reste après avoir soustrait le pétrole de schiste, ce sont les champs conventionnels qui étaient en fort déclin en 2008, lorsque la campagne de schiste a commencé. En 2022, la production pétrolière américaine devrait tomber en dessous de 9 millions de barils par jour. Nous consommons un peu moins de 20 millions de barils par jour et importons la différence. Vous auriez toutes les raisons de penser qu’une scène mondiale plus désordonnée pourrait interférer avec nos importations de pétrole en 2022. Il faut s’attendre à ce que la consommation baisse également, à mesure que l’activité économique s’affaiblit. Prévoyons une baisse de la consommation à 15 millions de barils par jour. Les marchés pétroliers seront donc désordonnés, avec une oscillation des prix, car les pénuries et la destruction de la demande se poussent et se tirent mutuellement. Rappelez-vous l’équation de base : un pétrole supérieur à 75 dollars le baril affaiblit les économies ; un pétrole inférieur à 75 dollars le baril écrase les compagnies pétrolières.

L’espoir persiste que nous pouvons faire fonctionner les systèmes complexes de la vie moderne avec des sources d’énergie alternatives, mais ce souhait ne se concrétise pas. La prise de conscience de ce fait se répandra dans la société occidentale en 2022 et créera davantage d’anxiété, de pensées désordonnées, de comportements sectaires et d’effondrement des normes sociales. Pour l’instant, l’arène publique est entièrement occupée par la psychose collective qui a d’abord éclaté autour de Donald Trump, puis s’est déplacée vers la Covid-19. Le stress et la tension de ces dynamiques démoralisantes pourraient conduire en 2022 à l’éclatement d’une violence politique qui rendra encore plus difficile l’obtention d’un consensus sur une façon de sortir de nos dilemmes économiques.

Acceptons de comprimer notre histoire économique récente, puisque je l’ai répétée de nombreuses fois dans les articles hebdomadaires du blog Clusterfuck Nation : Nous avons remplacé nos activités de fabrication de biens sur le terrain par ce que l’on appelle la financiarisation, essentiellement la fabrication de dettes – emprunter à l’avenir pour faire fonctionner nos systèmes complexes aujourd’hui, afin de compenser les pertes accumulées par notre modèle économique énergétique défaillant. Tout cela n’était qu’une escroquerie, car on ne peut pas créer la prospérité par la simple gestion d’instruments censés représenter la richesse s’il n’y a pas de production réelle de richesse matérielle derrière. La dette n’est pas une richesse. Vous pouvez jouer avec elle sur les marchés financiers, l’acheter et la vendre, manipuler les taux d’intérêt et les prix pour donner l’impression que les choses fonctionnent. Mais cela ne va pas plus loin, jusqu’au moment où la réalité dépasse l’artifice, et c’est là où nous en sommes. Substituer la dette à la richesse a introduit des perversités dans l’économie. Désormais, il est impossible de connaître la valeur réelle de quoi que ce soit – la « découverte des prix » est désactivée – et cela se répercute également sur le comportement socio-économique. Aujourd’hui, de nombreuses activités commerciales, y compris les domaines de l’enseignement supérieur et de la médecine, censés être éthiques, sont devenues de redoutables rackets, c’est-à-dire des efforts pour gagner de l’argent de manière malhonnête. Nous ne pouvons plus prétendre que tout cela est correct. Nous nous retrouvons avec un gigantesque édifice de dettes qui ne seront jamais remboursées et tout un tas de mauvais comportements qui corrodent notre humanité.

Après avoir passé deux décennies à masquer notre incapacité à payer pour faire fonctionner notre société, la Réserve fédérale a finalement réussi à générer de l’inflation à l’ancienne – la destruction de l’argent lui-même – et pas seulement le gonflement du prix des actions, sa spécialité depuis tant d’années. Ils ont maintenu l’inflation à distance pendant tout ce temps en l’exportant vers d’autres pays qui nous ont envoyé des biens réels en échange de nos promesses en papier : bons du Trésor, billets de banque, obligations. Les confinements et la destruction des entreprises ont finalement tué cet équilibre, puis le malaise croissant entre les États-Unis et la Chine a commencé à tuer les chaînes d’approvisionnement. Maintenant, la mondialisation est sur la corde raide et avec elle, notre capacité à exporter de la monnaie papier du Trésor américain. Tout l’« argent jeté par hélicoptère » injecté dans le système pendant la crise Covid poursuit maintenant les marchandises qui ont un parcours plus difficile jusqu’à leurs points de vente. Les pièces de machines, les voitures et bien d’autres choses deviennent difficiles à obtenir. Les prix augmentent. Les systèmes tombent en panne et leurs défaillances se répercutent sur d’autres systèmes.

Avec une inflation qui tourne officiellement autour de 8 %, et officieusement plutôt autour de 15 %, le taux d’intérêt réel d’un bon du Trésor à dix ans est le taux nominal de 1,49 % moins la différence entre 8 et 15 %, un chiffre profondément négatif. Posséder ce papier est une perte sèche. Si le taux d’inflation continue à suivre le rythme de 2021 en 2022, la perte s’accentuera. Si l’inflation se poursuit à un rythme supérieur à celui de 2021, le papier du Trésor sera comme autant de couvertures contre la variole sur le marché obligataire mondial et l’Amérique frôlera l’inflation galopante à la Weimar. Nous ne pourrons plus offrir d’obligations en échange de marchandises. La Fed devra les manger. Nous importerons l’inflation, les prix des biens continueront d’augmenter. L’Amérique est dans un trou qu’elle a elle-même creusé. Que peut-on faire ?

La Fed a deux choix, tous deux peu prometteurs. 1) « Resserrement ». Par incréments mesurés, la Fed abandonne le QE (assouplissement quantitatif, achat d’obligations, alias « monétisation de la dette »), non seulement par l’achat de papiers du Trésor américain, mais aussi les obligations d’entreprises et les titres adossés à des créances hypothécaires. Il s’agit d’augmenter les taux d’intérêt pour qu’ils soient supérieurs aux taux d’inflation réels afin de redonner aux gens l’ancienne motivation réelle pour acheter des obligations, à savoir un flux d’intérêt fiable supérieur à l’inflation. La dernière fois que l’inflation a menacé l’Amérique, en 1981, le président de la Fed, Paul Volker, a fait grimper les taux des fonds fédéraux (à court terme) jusqu’à 20 %, ce qui a mis un terme aux emprunts pendant un certain temps, provoqué une récession, mais a permis d’y arriver. L’ennui, c’est que la dette nationale et le bilan de la Fed étaient minuscules à l’époque, comparés aux inimaginables milliers de milliards sur les bilans aujourd’hui. Et il restait encore beaucoup d’industries productives dans le pays.

La fin de l’assouplissement quantitatif, combinée à la hausse des taux d’intérêt, ramènerait les marchés à l’équilibre – ce qui revient à dire qu’ils s’effondreraient, car la fin des taux d’intérêt quasi nuls signifierait qu’il ne serait plus possible d’utiliser l’effet de levier (l’argent emprunté) pour acheter des actions, qui sont largement surévaluées après des années et des années de ces manigances. L’offre sur les actions prendrait fin. Pas assez d’acheteurs pour satisfaire les vendeurs. Les marchés baissent. Cela provoque plus de ventes… une ruée vers la sortie… attention à la suite…

Le resserrement des conditions de financement ferait également chuter la valeur des obligations, car la valeur des obligations est inversement proportionnelle aux taux d’intérêt : lorsque ceux-ci augmentent, le prix des obligations diminue. Les détenteurs d’obligations prendraient donc le bouillon. Le resserrement fait en fait disparaître l’argent – phhhtttt ! – car il provoque des défauts de paiement (les gens ne remboursent pas leurs dettes). Dans notre système, l’argent est prêté pour exister et les prêts non remboursés font disparaître l’argent. Les gens et les entreprises font faillite. Des taux d’intérêt plus élevés pousseront également les entreprises à ne pas pouvoir rembourser leurs obligations. Sans accès à plus de dettes, de nombreuses grandes entreprises pourraient être obligées de fermer, de faire faillite, peut-être pour toujours. Le gouvernement, croulant sous les dettes, s’étoufferait sous les paiements d’intérêts plus élevés. À mesure que l’argent disparaît, le capital se raréfie et les petites entreprises, qui dépendent désespérément du crédit renouvelable, font faillite. L’effet net de tous ces dommages sur les marchés financiers est une profonde dépression économique, dans ce cas, le cas d’urgence à long terme, probablement une dépression qui devient permanente puisque la base de cette économie particulière à haute énergie, l’industrie pétrolière, s’effondre avec tout le reste.

Le choix numéro 2) de la Réserve Fédérale est : Ne pas resserrer. Au contraire, continuez à imprimer de l’argent comme un fou, peut-être même plus qu’avant, et continuez à essayer de maintenir les taux d’intérêt bas. Continuer à acheter des obligations, des billets, n’importe quel papier de dette que le système vomit. Ce n’est qu’un vieux stratagème appelé « botter en touche ». Le problème est que nous sommes au bout de la route. L’inflation à l’ancienne a déjà commencé en 2021, suite à deux décennies d’assouplissement quantitatif, qui a ensuite été considérablement aggravée par les dépenses publiques massives pour atténuer la crise Covid. Il n’est plus question de jouer avec les achats d’obligations et les taux d’intérêt, de jouer à cache-cache avec les réserves bancaires, de planquer de l’argent dans des « véhicules à usage spécial » et autres cachettes bancaires qui permettront de maintenir la stabilité et le bonheur. À partir de maintenant, imprimer de l’argent comme un fou ne fait que détruire la valeur de notre argent. Vous aurez beaucoup d’argent, mais il perdra de plus en plus de valeur chaque jour – ce qui n’est qu’une autre façon de faire faillite.

Puis, comme le dollar achète de moins en moins de choses, les dollars détenus à l’étranger sont jetés en échange de tout ce qui est offert : minerais, céréales, produits finis, immobilier américain, métaux précieux, autres monnaies moins endommagées, et ainsi de suite. Mieux vaut posséder des objets de valeur réelle que des dollars qui perdent rapidement leur pouvoir d’achat. Les étrangers se débarrassent également des bons du Trésor américain, car l’inflation détruit leur valeur. Lorsque les étrangers font cela, les dollars retournent aux États-Unis, ce qui provoque encore plus d’inflation. Rapidement, l’Amérique est inondée de dollars et à court de biens que vous pouvez acheter avec ces dollars. Vous êtes riche en dollars mais en même temps fauché.

Le résultat est sensiblement le même dans les deux cas : le niveau de vie en Amérique baisse considérablement. Ce que je prédis pour 2022, c’est que la Réserve fédérale se lancera dans un programme de resserrement tant annoncé, puis l’abandonnera au premier signe de difficulté, l’inévitable baisse du marché boursier. La Réserve fédérale recommencera alors à acheter nos propres titres de créance et tentera de faire baisser les taux d’intérêt, si elle le peut, ce qui ne sera peut-être plus possible. La Fed perdra bientôt tout contrôle sur la monnaie américaine. Elle pourrait essayer de retirer les « vieux » dollars et de les remplacer par de « nouveaux » dollars garantis par quelque chose, l’or et l’argent étant les candidats évidents. Cela conduira à une forte réévaluation à la hausse des deux métaux. Prévoyons que l’or atteindra 5 000 dollars et l’argent 200 dollars d’ici la fin 2022.

Il se peut qu’il y ait une tentative timide d’établir une sorte de monnaie numérique américaine officielle (la rumeur court depuis des années). Les Américains résisteront à l’idée d’être parqués dans ce corral où chacune de leurs transactions financières est traçable, imposable et punissable. Ils auront appris leur leçon à ce sujet des tyrannies Covid-19. Ils en ont assez d’être bousculés. Ils ne font plus confiance aux autorités en matière d’argent, de gouvernement, de médecine, ou de quoi que ce soit d’autre. Quoi qu’il en soit, d’un point de vue pratique, trop d’Américains opèrent déjà en marge du système et dépendent de l’argent liquide pour faire toutes leurs affaires. Beaucoup d’entre eux sont ce qu’on appelle « non bancarisés ». Ils ne peuvent pas participer aux systèmes de paiement informatisés. Ils resteront en dehors de la boucle numérique et feront des affaires avec de l’argent, de l’or ou d’autres objets. Ils fonctionneront comme les Vénitiens du 14ème siècle.

Je doute que le bitcoin et ses imitateurs survivent encore longtemps après que le système financier a été forcé de se réajuster à la réalité. Ils ont prospéré uniquement en tant que cibles spéculatives. La chaîne de blocs est très intelligente, mais en fin de compte, le bitcoin et ses semblables ne représentent… rien… rien du tout. Ils ont attiré beaucoup d’argent qui circulait dans le système pendant les années de pseudo-prospérité artificielle, et c’est fini. Quoi qu’il en soit, ils dépendent totalement de la stabilité d’Internet et du réseau électrique pour fonctionner et vous seriez surpris de la fragilité de ces deux systèmes. Le début de l’année 2022 pourrait être votre dernière chance de sortir du bitcoin avec quelque chose à montrer pour témoigner de cette aventure.

Politique et société

La psychose collective décrite par Mattias Desmet de l’Université de Gand est à l’origine d’une grande partie de ce que nous observons dans la politique américaine depuis quelques années maintenant. Elle a apparemment été déclenchée par l’élection de Donald Trump. Mais il me semble que ce syndrome était préparé et cultivé par l’appareil de sécurité, de surveillance et de renseignement de l’« État profond » américain depuis des décennies. Les libéraux Démocrates n’ont pas eu besoin de Trump pour devenir fous à lier. Ils ont plutôt été manipulés par les agents de l’État profond dans les grands médias, en commençant par l’absurde psy-op de la collusion du RussiaGate et en poursuivant pendant quatre ans des plans infâmes pour désactiver et évincer M. Trump. Bien qu’il ait été présenté comme l’ennemi juré des animaux domestiques et des projets de la gauche – marxisme identitaire, ouverture des frontières – en tant que président, M. Trump était en réalité bien plus une menace pour l’État profond lui-même, et pour sa matrice de richesse, de pouvoir et de privilèges, et ils ont tout mis en œuvre, à l’exception de l’assassinat, pour l’écarter du plateau de jeu.

Sa persévérance et sa résilience face à tout cela furent remarquables. Mais au bout du compte, ses ennemis ont organisé des élections marquées par divers types de fraude et ont réussi à se débarrasser du Golem d’or de la grandeur. La façon dont « Joe Biden », l’enveloppe vide d’un politicien grincheux, a pu être désigné par le parti Démocrate est l’un des plus grands mystères des temps modernes. Sa victoire lors de la primaire du Super Tuesday, qui lui a valu l’investiture, a certainement été truquée par le DNC. Sa campagne, du début à la fin, a été un simulacre public. Si les électeurs avaient pu voir les documents sur son fils, Hunter, et la trace de pots-de-vin enregistrée dans des centaines d’e-mails, de contrats et d’autres documents sur l’« ordinateur portable de l’enfer »« Joe Biden » serait en prison fédérale plutôt qu’à la Maison-Blanche. Mais Facebook, Twitter et Google ont conspiré pour censurer toute mention de cela, et les gens n’ont jamais eu l’information. Alors, et maintenant ?

Eh bien, en ce début d’hiver 2022, les Américains découvrent à quel point ils se sont fait avoir sur la Covid-19, et à quel point « Joe Biden » & Co. ont mal géré les questions économiques et d’autres choses, comme l’invasion quotidienne à travers la frontière mexicaine, et à quel point « JB » & Co. ont mal géré nos relations étrangères – le fiasco du retrait afghan, etc – et généralement quelle figure pathétique « JB » présente au monde… et tout cela ressemble à la danse des fantômes du parti Démocrate. Prédisons que le parti ne survivra pas intact aux élections de mi-mandat de 2022 en tant que faction politique cohérente.

Je donne 70 / 30 chances que « Joe Biden » se retire « pour des raisons de santé » bien avant les élections de mi-mandat. Il est en train de s’effondrer sous nos yeux. Il peut à peine prononcer une phrase compréhensible. Il se ridiculise et ridiculise le pays tous les jours. Ses sondages sont au plus bas…. Donc, ok, il fait un plongeon et se retire de la scène. Kamala Harris prête serment. La présidente Harris nomme Barack Obama comme vice-président. Dites, quoi… !

M. Obama est de retour aux commandes – comme s’il n’avait jamais été aux commandes depuis le 20 janvier 2021, vraiment ? – allant jusqu’à occuper effrontément le Bureau ovale en tant que VIP pour les affaires courantes – reléguant Mme Harris dans un placard à balais. Les Démocrates réclament la démission de Mme Harris et la remise officielle des rênes à M. Obama. (Les présidents sont limités à deux mandats électifs, mais la constitution ne stipule pas une telle nomination circonstancielle au poste). Kamala s’efface gracieusement. Au nom de l’« unité » et de l’équilibre des sexes, M. Obama nomme Liz Cheney comme nouvelle vice-présidente. C’est un scénario possible. Réécrivez cette pièce avec Hillary Clinton à la place de Barack Obama. Les Démocrates vont devoir tenter un geste désespéré pour conserver le pouvoir.

Même ainsi, il est difficile d’imaginer des circonstances dans lesquelles le parti Démocrate conserverait le contrôle effectif du gouvernement. Si les élections de mi-mandat ont lieu, les Républicains reprendront le contrôle de la majorité de la Chambre et du Sénat, avec de nombreux nouveaux visages MAGA parmi eux. Les espoirs et les rêves des Démocrates pour un changement transformateur seront jetés aux toilettes. Le gouvernement au niveau national devient impuissant, inefficace, incapable de s’acquitter de ses fonctions ou de gérer quoi que ce soit – tout cela a été prédit explicitement, soit dit en passant, dans mon livre The Long Emergency (Grove-Atlantic, 2005). Nos adversaires étrangers profiteront-ils de la situation ? Les cinquante États pourront-ils gérer leurs affaires sans les subventions de Washington DC ? Les gouverneurs ont intérêt à se préparer à des temps étranges.

La droite politique s’est montrée prudente et circonspecte depuis la débâcle de la marche du 6 janvier 2021 sur le Capitole. Les pauvres boobs cajolés par les usines du FBI pour s’être introduit dans le bâtiment ont été traités de manière abominable par leur gouvernement, et probablement de manière extra-légale. Mais surtout, le coup du 6 janvier a mis un frein à toute nouvelle action de rue de la droite pendant l’année de mandat de « Joe Biden ». Cela pourrait changer en 2022. L’humeur des personnes politiquement motivées de part et d’autre du spectre doit être aggravée par l’effondrement de l’économie. Et au fur et à mesure que l’année avance, ce ne seront que des Américains affamés, en colère et de toutes sortes qui vont ouvrir les portes de l’enfer parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.

Toute l’anxiété qui alimente la psychose collective, qui s’est d’abord concentrée sur Trump, puis sur la Covid-19 (et les non-vaccinés), pourrait enfin déplacer son énergie vers la source réelle de nos malheurs et de nos chagrins : l’establishment de Washington. Le déclin et la chute de la Covid-19 vont laisser un grand trou dans l’âme anxieuse et perdue de la nation, et il faudra bien le remplir avec quelque chose. Nous sommes propulsés dans une scène qui ressemble à une guerre civile, mais il devient de plus en plus difficile de déterminer qui est de quel côté, ou même quels sont les côtés – ou comme Mick Jagger l’a célèbrement hurlé à Altamont en 69, « Who’s foit-ing an’ whut faw ? » C’est de la pure folie. La loi de Murphy rencontrera Zombieland pendant sept jours en mai.

Géopolitique

Bon sang, qui sait… ? Les Russes sont furieux parce qu’il y a trente ans, après l’effondrement du système soviétique et la tentative de Vlad Poutine de recoller une sorte de nation fonctionnelle à partir des débris, nous leur avions promis en termes clairs de ne pas étendre l’OTAN, puis, année après année, nous avons ajouté de nouveaux pays à l’OTAN, y compris d’anciennes républiques soviétiques s’étendant jusqu’aux frontières de la Russie. Ensuite, les États-Unis, sous la direction de M. Obama, ont mené la « révolution de couleur » en Ukraine, en essayant de forcer cet État pathétique, véritable punching-ball, à se ranger de notre côté… et, cela fait, nous menaçons maintenant de l’intégrer à l’OTAN, ce qui signifie que nous aimerions stationner des fusées, voire des troupes et toutes sortes d’autres équipements militaires sur ce qui a été le paillasson de toutes les tentatives d’invasion de la Russie dans l’histoire moderne. Êtes-vous surpris que la Russie ait tracé une ligne dans le sable à cet endroit ?

On ne peut pas faire confiance au département d’État d’Anthony Blinken ou à l’armée transsexuelle du général Milley pour croire que le fait de mettre la Russie au pied du mur pourrait être bénéfique pour les États-Unis. Si l’on considère à quel point nous sommes économiquement faibles, à quel point nous sommes tragiquement désunis, à quel point nous sommes devenus minces et mous, peut-être que déclencher une guerre pour l’Ukraine n’est pas une si bonne idée. On ne peut qu’espérer.

De l’autre côté, il y a la Chine, l’Empire du Milieu renaissant de l’oncle Xi, avec ses gratte-ciel étincelants, ses nouveaux aéroports et autoroutes éblouissants, son fabuleux système de crédit social pour contrôler son énorme population à la Orwell. La Chine a beaucoup d’atouts, mais ce qui lui nuit n’est pas si évident, à commencer par le fait qu’elle a du mal à s’approvisionner en combustibles fossiles à long terme. La Chine n’a tout simplement pas beaucoup de pétrole ou de gaz naturel, et elle utilise un charbon de qualité de plus en plus médiocre pour faire tourner son industrie. Ses importations de pétrole doivent passer par deux goulots d’étranglement mondiaux, le détroit d’Ormuz et le détroit de Malacca. En bref, malgré les grands progrès réalisés par la Chine pour passer du XIIe siècle à une modernité éblouissante, elle risque de se heurter au dilemme énergétique, comme toutes les autres nations « avancées ».

Ce n’est un secret pour personne que, sous la direction de l’ambitieux empereur marxiste Xi Jinping, la Chine veut occuper le rôle d’hégémon mondial que l’Amérique s’efforce de ne pas abandonner. Le rôle d’hégémon nécessite généralement une expansion géographique. Nous sommes certainement inquiets d’une prise de contrôle de Taïwan, qui est, en fait, l’installation de microprocesseurs offshore de l’Amérique. Il est concevable que la Chine puisse prendre le contrôle de Taïwan par mille petits pas sans tirer un coup de feu – le PCC ayant infiltré la politique, les médias et l’éducation aux États-Unis – ou par la force, ne serait-ce que pour marquer un point théâtral, mais pourquoi risquer un échange nucléaire ?

La Chine s’aventure dans de nombreuses régions reculées du monde depuis des années sans attirer l’attention de la communauté internationale, achetant des terres agricoles et des sites miniers dans toute l’Afrique de l’Est, et maintenant elle lorgne sur des ouvertures dans plusieurs nations sud-américaines riches en ressources qui ont récemment élu des présidents socialistes sympathiques. La Chine a obtenu des contrats pour exploiter les ports aux deux extrémités du canal de Panama, stratégiquement important, il y a plus de vingt ans, et le Panama a signé un protocole d’accord pour rejoindre l’initiative Belt-and-Road de la Chine en 2017. Cela a attiré l’attention de l’administration Trump, qui répondait à l’expansionnisme de la Chine par des tarifs douaniers et des sanctions. M. Trump a fait suspendre plusieurs projets d’infrastructure chinois concernant des ponts, des trains à grande vitesse et des améliorations portuaires dans la zone du canal. « Joe Biden », un important client chinois, regarde maintenant de l’autre côté.

La Chine peut-elle réellement contrôler les terres indisciplinées d’Asie centrale, vitales pour ses ambitions de Nouvelles routes de la soie. Par exemple, l’Afghanistan, où la Chine cherche à établir de gigantesques opérations minières, mais doit encore se frotter aux fougueux talibans. Prévoyons que la Chine de 2022 sera bloquée dans son expansion et paralysée par ses problèmes énergétiques. Ajoutons à cela les problèmes sur ses marchés d’exportation, les États-Unis et l’Europe, qui commencent à imploser financièrement et dont la demande de produits manufacturés chinois diminue.

Ensuite, il y a le marasme bancaire de la Chine, des milliards de prêts irrécouvrables, des entreprises géantes qui vacillent et des garanties sous la forme d’un millier de gratte-ciel construits avec un ciment de si mauvaise qualité que c’est un miracle que les bâtiments tiennent encore debout. Comment le fragile système bancaire chinois pourra-t-il faire face à la contagion des problèmes financiers des États-Unis et de l’Europe ? Prédisons que la Chine se trouve dans une situation économique suffisamment difficile pour que des troubles intérieurs éclatent, que le gouvernement réagisse de manière excessive et qu’elle soit trop paralysée par ses problèmes politiques internes pour faire des dégâts au-delà de ses frontières pour le moment.

Enfin, l’Europe. Oh, la belle Europe, le parc à thème touristique de ma vie avec ses belles villes, ses paysages soignés, ses cafés, ses cathédrales, ses filles à moto, sa fabuleuse culture profonde. On dirait que tout cela est en train de s’écrouler, avec des signes d’un retour aux bouleversements politiques du 20e siècle. D’une manière ou d’une autre, la Covid-19 a poussé l’Autriche et l’Allemagne à revenir à un comportement qui ressemble un peu à ce qui s’est passé pendant les années Hitler. Difficile à croire, je sais, mais regardez-les ! Des tactiques d’état policier ! Vaccinations forcées ! Confinements ! Des punitions sévères pour ceux qui résistent. C’est écœurant, et on dirait que c’est en train de s’installer.

L’économie de l’Euroland est un désastre. Ses problèmes énergétiques sont pires que ceux de la Chine. À l’exception de la Norvège, dont les gisements de pétrole de la mer du Nord s’épuisent, et de quelques mines de charbon épuisées, l’Europe n’a pratiquement rien pour les combustibles fossiles. Le projet « vert » de l’Allemagne en matière d’énergie éolienne et solaire n’a pas fonctionné. Elle est de plus en plus dépendante du pétrole et du gaz russes, et la position de l’Allemagne au sein de l’OTAN la soumet aux machinations des États-Unis contre la Russie, ce qui a entravé l’ouverture du gazoduc russe Nord Stream 2 passant par la mer Baltique. Ils pourraient finir par geler cet hiver et mourir de faim l’hiver suivant. Le système bancaire européen est une fraude risible, car l’UE n’a aucun contrôle sur les décisions fiscales prises par les gouvernements membres qui émettent des obligations de plus en plus sans valeur. L’année s’annonce difficile, avec des gouvernements qui se succèdent et qui trébuchent. La France aura peut-être un peu de chance. Le journaliste franc-tireur Éric Zemmour remporte l’élection présidentielle et fait renaître l’esprit national français. Il est toujours coincé par la pourriture des finances, mais au moins il remonte le moral du pays. Et contrairement aux Allemands, la France n’a pas choisi de fermer son industrie nucléaire, donc les lumières resteront allumées.

Et voilà, habitants de la Clusterfuck Nation. Je ne peux pas faire plus avec ça. Je vous souhaite à tous de la force dans les douze mois à venir, du courage, de la gentillesse et toutes les bonnes choses dont nous sommes capables. Nous en aurons besoin. Il y a encore beaucoup de choses à chérir dans ce pays qui est le nôtre, ces bons vieux États-Unis, et je crois que nous allons les redécouvrir lors de cette « Double-deuce » [Double 2, 22 soit 2022, NdT], ainsi qu’une certaine capacité à nous dire la vérité sur les choses qui comptent et à agir en conséquence ! Excelsior, braves cœurs !

James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Le cynisme d’Anthony Fauci raconté par Steve Kirsch

[Source : stevekirsch-substack-com via etouffoir.blogspot.com]

Comment le jeu est vraiment joué

Pour mémoire, voici la note secrète que Tony Fauci a envoyée aux dirigeants mondiaux expliquant clairement les règles de base de la réponse à la pandémie. Révélé ici pour la première fois.

Par Steve Kirsch

6 859 Ground Rules Photos, Images & amp;  Images libres de droits - iStock

Ce n’est que ma supposition éclairée sur ce que Fauci a probablement dit aux dirigeants mondiaux sur la façon de faire face à la pandémie de COVID. Beaucoup de gens m’ont dit que c’était le meilleur morceau que j’aie jamais écrit.

REMARQUE
Pour ceux qui ont du mal à déterminer s’il s’agit d’un fait ou d’une fiction, la réponse est que le mémo n’a jamais existé, mais s’il y avait un mémo, et si Fauci disait la vérité, c’est ma supposition sur ce qu’il aurait écrit.

À : Dirigeants mondiaux
De : Tony Fauci
Objet : Règles de base pour la santé et la sécurité dans le monde

  1. NE JAMAIS permettre une autopsie appropriée par des personnes capables de déterminer un vaccin. Si une autopsie ne peut être évitée, assurez-vous que le coroner est en sous-effectif, n’a pas les compétences et les tests appropriés et n’a pas le temps de le faire correctement. Offrez également de payer les frais funéraires s’ils sautent l’autopsie. Cela fonctionne généralement. Quoi que vous fassiez, assurez-vous que personne ne lise ce guide pour savoir comment effectuer une autopsie efficace.
  2. Ne permettez jamais à quiconque de faire une analyse sur ce qu’il y a dans les flacons. Dans les rares cas où une analyse a lieu, nous sommes à vos côtés. Nous prétendrons que les personnes qui ont fait l’analyse sont des anti-vaccins qui ont volé des biens du gouvernement et ont délibérément contaminé les flacons avant qu’ils ne soient analysés. Nous avons toutes les bases couvertes.
  3. Assurez-vous que les compagnies pharmaceutiques jouissent d’une immunité totale contre les poursuites. Sinon, on est complètement foutus. Le Congrès est dans notre poche là-dessus. Nous les avons forcés à fournir l’immunité dans les années 1980. Il n’y avait alors que quatre fabricants, et nous nous sommes tous entendus illégalement pour nous assurer qu’à moins que le Congrès n’accepte notre demande ridicule, nous ne fabriquerions plus de vaccins.
  4. Étiquetez toute personne qui s’oppose à nous comme « anti-science ». Cela fonctionne vraiment bien. Même le sénateur Johnson n’aime pas ça.
  5. Assurez-vous que le programme de vaccination contre les blessures (le CCP) ne verse jamais un centime aux victimes du vaccin COVID. Même payer un centime serait une reconnaissance que les vaccins ne sont pas sûrs. Cela provoquerait une hésitation vaccinale. Nous ne pouvons pas avoir cela.
  6. Mandater les vaccins pour tout le monde (sauf le Congrès et la Cour suprême). Donnez-le-leur juste après la naissance. Nous ne voulons pas avoir un groupe de contrôle ici qui ne meurt pas. Si les gens font cette comparaison, nous sommes foutus. C’est pourquoi nous avons éliminé le groupe placebo dans tous les essais cliniques, afin que personne ne sache jamais à quel point ces vaccins sont dangereux. La mort d’un membre du Congrès ou de la Cour suprême sur nous n’aura pas l’air bien. Nous pouvons toujours l’appeler « sans rapport » si cela se produit.
  7. En cas d’incapacités qui surviennent au cours des essais cliniques, modifiez le symptôme lors de la rédaction du rapport d’étude pour la FDA. Donc « paralysie permanente » -> « douleur abdominale légère ». Croyez-moi, cela fonctionne. Maddie de Garay, est notre enfant d’affiche. La presse ne couvrira jamais sa blessure parce que nous leur avons dit de ne pas le faire. Nous pouvons faire de la fraude à la vue de tous et personne ne nous attrape là-dessus, c’est tellement bien contrôlé. C’est incroyable à quel point nous avons bien compris cela.
  8. Si quelqu’un meurt à cause du vaccin au cours d’un essai clinique de vaccin, ne paniquez pas. Écrivez simplement dans le rapport que le décès « n’est pas lié au vaccin ». La FDA ne vous demandera pas comment vous avez déterminé cela. Quiconque pose de telles questions stupides sera renvoyé de la FDA.
  9. Il y aura plus de rapports de décès toutes causes confondues dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, comme près de 25 % de plus (comme dans l’essai Pfizer), mais ne vous inquiétez pas. C’est parce que les vaccins sont super mortels, duh. Cependant, en 1) choisissant des cohortes très saines et 2) en limitant la taille des cohortes, nous pouvons affirmer que la différence de décès n’est « pas statistiquement significative ». Cela trompe tous les « vrais » scientifiques. Ils diront « oh ça a du sens » et ne creuseront pas plus profondément. Cela fonctionne à chaque fois. Les penseurs critiques comme Chris Martenson n’ont pas d’importance parce qu’ils n’ont pas assez d’adeptes pour avoir de l’importance. Et nous avons supprimé Bret Weinstein pour qu’il n’invite plus jamais Robert Malone dans son émission.
  10. La communauté médicale ne vérifiera jamais votre travail si vous travaillez au CDC. Ils subissent un lavage de cerveau dès le premier jour à la faculté de médecine pour toujours faire confiance aux autorités médicales. Nous les transformons essentiellement en moutons et enlevons leurs capacités de pensée critique. Et la médecine est si compliquée qu’ils doivent nous faire confiance parce qu’ils n’ont pas le temps, les compétences ou les outils pour faire des conneries comme regarder la base de données VAERS. C’est ainsi que nos fidèles employés, comme John Su, peuvent s’en tirer avec des présentations des données VAERS sans même mentionner le facteur de sous-déclaration. Personne ne lui pose de questions sur l’URF.
  11. Nous pouvons toujours faire approuver des choses, même si elles sont nocives pour la santé. C’est parce que nous avons demandé à tout le monde sur les panneaux extérieurs de ne jamais interroger les membres de notre personnel sur des choses comme celle-ci. Ils savent qu’on va les expulser du comité comme on l’a fait avec cet imbécile de Martin Kulldorff qui laisse les faits et la science entraver sa réflexion. Et si c’était un expert mondial de Harvard. Experts?!? Nous n’avons pas besoin d’experts. Nous n’avons pas à vous montrer d’experts puants. Nous avons besoin de gens qui suivent les ordres ici et ne remettent pas en cause le récit. Les membres externes du comité ont tous vu ce que nous avons fait à Kulldorff et cela leur envoie un message effrayant qu’ils comprennent tous : respectez nos règles ou faites-vous trancher la tête. Ils ne sont pas stupides. Le respect des règles s’applique également aux employés : nous vous expulserons si vous suivez réellement la science. Découvrez comment nous avons obtenu l’approbation du vaccin pour les adolescents. Rien ne peut m’arrêter. Pas le Congrès. Pas des employés renégats. Pas même les comités extérieurs. Je contrôle tout et ils sont impuissants à m’arrêter.
  12. Bien sûr, il y aura beaucoup d’arrêts cardiaques et les médecins des urgences verront tout cela, mais ils sont trop occupés pour suivre les statistiques et se rendre compte qu’il y a une légère augmentation. Et personne ne trouvera de signal même si les chiffres sont évidents.
« Il est difficile de faire comprendre quelque chose à un homme lorsque son salaire dépend de son incompréhension de cette chose. »
(Upton Sinclair)
  1. Poursuivre agressivement la révocation de la licence médicale de toute personne qui parle contre le récit. Même un seul tweet mettant en garde les gens contre le vaccin ou remettant en question le port du masque devrait être un motif de révocation de licence. Croyez-moi, toutes les commissions médicales le comprennent. Si un médecin prescrit de l’ivermectine pour COVID, il est grillé. Nous ne voulons pas que quiconque découvre que les choses fonctionnent.
  2. NE JAMAIS faire une enquête proactive pour découvrir le dénominateur des événements. En 1985, nous avons soigneusement conçu le système VAERS afin que personne ne connaisse jamais le vrai dénominateur afin que nous puissions affirmer que chaque vaccin est sûr, peu importe à quel point il est dangereux. Cela nous permet de prétendre que tous ces signaux sont rares. Il y a dix ans, nous avons tué le projet ESP-VAERS parce qu’il était trop précis. Bobby Kennedy nous a expliqué cela dans son livre, mais son livre est si long que personne ne le trouvera. C’est à la page 73 du livre (ou recherchez AHRQ si vous avez l’édition Kindle).
  3. Nous utilisons des masques pour surveiller notre niveau de contrôle. Les masques ne fonctionnent pas du tout. On vient d’inventer cette merde. Nous ne sommes pas stupides. Nous savons que les deux essais randomisés n’ont montré aucun effet. L’étude que le CDC cite pour justifier les masques dans les écoles était horriblement confuse, mais elle a montré les résultats que nous voulions voir. Et même quand on nous interpelle à ce sujet dans une superbe vidéo sur YouTube, ça n’a pas d’importance. Nous n’avons même pas eu besoin de YouTube pour extraire la vidéo. Donc ça marche. C’est pourquoi nous nous référons TOUJOURS à cette étude (plutôt qu’aux études randomisées plus définitives dont nous ne parlons pas du tout). Mais croyez-moi, le public ne sait pas que nous ne faisons que leur montrer les études de merde qui soutiennent notre programme. Ils nous font totalement confiance parce que nous sommes les autorités. Ils n’ont pas le temps de faire des recherches. Soyons honnêtes ici. Peu de gens vont acheter le livre « La vérité sur les masques » de Judy Mikovits sur Amazon. Regardez, seulement 82 notes sur un sujet qui touche 300 millions de personnes ! Les masques sont donc notre canari dans la mine de charbon. Si les gens ne se conforment pas à nos conseils ridicules de masquage, c’est un signe que nous perdons le contrôle, nous devons donc durcir l’application en faisant des choses comme criminaliser le fait de ne pas faire ce que nous disons. Ce contrôle sur l’esprit des gens est essentiel à notre succès. On peut même leur faire porter un double masque, ils sont tellement stupides. Ils ne peuvent pas comprendre que 2 x 0 = 0. Ces gens feront tout ce que nous disons.
  4. Nous menons une énorme campagne d’éducation pour faire croire aux gens qu’il s’agit d’une « pandémie de non vaccinés » plutôt que d’une « pandémie de personnes qui n’ont jamais reçu de traitement précoce ». Cela fonctionne totalement. Nous n’avons même pas eu à montrer une seule statistique d’un hôpital. La presse en mange.
  5. Nous disons aux gens « faites confiance à la science ». Cela fonctionne toujours car ils nous considèrent comme les autorités en matière de science. PERSONNE n’a vu le dessin animé Peanuts :
« Faites confiance à la science » est la déclaration la plus anti-science qui soit. Remettre la science en question, c’est comme ça qu’on fait de la science !
  1. Nous versons aux hôpitaux d’énormes primes pour classer les décès comme des décès dus au COVID afin de maintenir la peur en vie. Si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, mais qu’il est testé positif pour COVID (en utilisant un seuil de cycle élevé, c’est généralement comme cela que cela se fait), alors le décès est un décès COVID. L’hôpital gagne de l’argent et nous utilisons les statistiques pour faire passer le COVID comme une urgence.
  2. Les chercheurs apprennent rapidement à réécrire leurs études à l’appui du récit. Considérez l’étude sur les masques danois. Cela montrait que les masques ne fonctionnaient pas. Personne ne le publierait. Ils ont donc rapidement «appris» à manipuler la science pour soutenir le récit. Le rédacteur en chef du BMJ a en fait dénoncé cela, mais heureusement, personne ne l’a lu. S’il fait encore quelque chose de stupide comme ça, on le fera retirer. Les scientifiques qui refusent de se conformer, comme Jessica Rose et Peter McCullough, découvrent que leur article est retiré de la revue par l’éditeur parce que nous avons dit à l’éditeur de le retirer. Ils se sont conformés. Nous contrôlons la science, pas les scientifiques.
  3. Assurez-vous que vos médecins ne sont PAS informés sur la façon de déclarer au VAERS ; n’aggravons pas un problème. Nous ne voulons pas que quelqu’un dénonce. C’est déjà assez grave. Nous allons corriger VAERS pour le faire planter davantage (comme juste avant d’appuyer sur soumettre) et rendre l’UX plus difficile à utiliser, juste au cas où.
  4. Les seuls traitements précoces autorisés sont ceux créés par nos grands sponsors pharmaceutiques. Tout le reste, nous devons poursuivre les médecins et leur retirer leur licence s’ils prescrivent de la merde qui fonctionne comme l’ivermectine. Nous veillerons à ce que personne ne découvre que l’ivermectine est ce que le Japon utilise pour atteindre zéro décès par COVID. On a fait virer Pierre Kory de son travail. D’autres le remarqueront. Cliff Lane est à la tête du comité des directives COVID. Il me rapporte et il est loyal. Il veillera à ce qu’aucun traitement précoce viable ne soit recommandé, à moins qu’il ne provienne de grandes sociétés pharmaceutiques. Avez-vous vu le travail à succès qu’il a fait sur la fluvoxamine? Il s’agit d’un médicament qui réduit de 12 fois le nombre de décès dus au COVID, mais Cliff et son équipe ont rédigé une brillante rédaction du FUD pour donner l’impression que le médicament n’a pas fonctionné. Ces gars sont brillants. L’écriture va tromper tout le monde. Parce que si quelqu’un s’y oppose, nous réduisons leur financement du NIH. C’est pourquoi aucun chercheur aux États-Unis ne va appeler notre bluff sur la cote de fluvoxamine. Ils ne vont jamais se prononcer contre nous ou ils se retrouveront sans financement et sans emploi.
  5. En commercialisant des antiviraux qui fonctionnent partiellement, cela signifie que nous pouvons augmenter notre prix de vente moyen. Maintenant, nous pouvons commercialiser les deux produits pour tout le monde : un vaccin qui ne fonctionne pas et une pilule qui ne fonctionne pas. Et lorsque les gens se plaignent d’être toujours infectés, nous leur disons simplement d’augmenter le dosage des pilules et de se faire booster plus fréquemment. Ces gens sont tellement stupides qu’ils ne comprendront jamais.
  6. Nous devons faire d’Omicron une menace sérieuse, même s’il n’y a que quelques morts. Ceci est nécessaire pour maintenir l’EUA sur les vaccins. Si la pandémie s’en va, on est foutus. Nous devons donc maintenir les États-Unis dans un état d’urgence avec de nouveaux variants plus dangereux. Étant donné que les gens meurent tout le temps avec Omicron (en fait, seulement 1 décès aux États-Unis jusqu’à présent, mais nous ne le mentionnons jamais), nous donnons l’impression qu’ils sont morts « de » Omicron pour maintenir le flux de revenus. Ils ne comprendront jamais cela. Nous disons simplement aux gens qu’ils doivent prendre des mesures désespérées pour éviter cette menace nouvelle et inconnue.
  7. Les médias grand public ont été formés pour ne jamais mentionner que le vaccin pourrait être une cause de décès, même si la personne est décédée dans les heures suivant le vaccin et qu’elle était auparavant en parfaite santé et n’avait aucun antécédent de maladie cardiaque. S’ils meurent dans leur sommeil moins de 24 heures après la vaccination, la presse ne fera que rapporter cela comme une « mort tragique inattendue » et il n’y aura aucune mention du vaccin. Même le NY Times ne dira rien lorsque son meilleur personnel mourra des suites de la vax. Lorsque le rédacteur en chef du NY Times, Carlos Tejada, est décédé à l’âge de 49 ans juste un jour après le coup, sa nécrologie n’en disait pas un mot. C’est exactement ce que nous leur avons dit : n’impliquez jamais le vaccin, peu importe à quel point les preuves sont incriminantes.
  8. Censurer/discréditer/ridiculer quiconque tente de remettre en question le récit, par exemple en faisant un lien entre le vaccin et la mort ou en disant que les masques ne fonctionnent pas ou en prétendant qu’ils sont blessés par le vaccin. C’est parce que vous n’avez pas les faits de votre côté, vous devez donc recourir à d’autres techniques. N’essayez jamais de gagner sur les faits ; c’est une proposition perdante. Remettez en question leur raison, leur motivation, trouvez les erreurs qu’ils ont commises dans le passé, appelez-les un « théoricien du complot », faites remarquer que leur famille pense qu’ils sont fous. Faites tout votre possible pour remettre en question leur crédibilité. Les gens oublieront rapidement les faits.
  9. N’acceptez JAMAIS un débat avec l’opposition. Ce serait dévastateur parce que nous perdrions. Vous devez donc complètement ignorer toute tentative. Même s’ils vous offrent 2 millions de dollars pour venir à la table des débats comme l’a fait le fauteur de troubles Kirsch. Affirmez que cela leur donnerait de la crédibilité. Donc, même pour quelqu’un comme RFK Jr. qui a un best-seller du NY Times, continuez à prétendre qu’il n’a aucune crédibilité comme l’a fait Jake Tapper. Vous ne voulez jamais donner de temps d’antenne aux « manivelles ». Jake est bien entraîné. Lisez cet éditorial du Wall St. Journal qui documente comment Francis Collins et moi contrôlons le récit. C’est ainsi que procèdent les professionnels. Même lorsque nous sommes interpellés par le Wall St. Journal sur nos tactiques d’intimidation, cela ne tient tout simplement pas. Nous sommes comme le Téflon. Nous ne pouvons rien faire de mal.
  10. Continuez à répéter « sûr et efficace ». Dites-le suffisamment de fois pour le croire et cela vous permettra d’ignorer tous les corps tombant comme des mouches autour de vous, y compris des trucs comme des enfants de 3 ans qui meurent d’un arrêt cardiaque moins d’un jour après avoir été vaccinés. Lorsque cela se produit, pensez « c’est juste un coup de chance ».
  11. Nous avons exempté les employés du CDC, d’autres agences et du Congrès de tout mandat. Sinon, nous ne serions pas en mesure de garder quelqu’un d’employé là-bas. Saviez-vous que presque aucun des employés du CDC ne fait vacciner ses enfants ? C’est incroyable que la presse grand public n’ait jamais découvert cela. Au CDC, la devise est « faites ce que nous disons, pas ce que nous faisons ». Les Américains sont si naïfs ; ils pensent que nous marquons le pas. Certainement pas. Nous ne sommes pas stupides.
  12. La grande technologie nous aidera à nous assurer que personne n’apprend la vérité. Comme nous le savons tous, afin de maintenir la formation de masse en place, la censure est requise. Mon bon ami Marc Zuckerberg fera tout ce que je dirai. Les autres PDG d’entreprises de haute technologie boivent également du Kool-Aid. Ils sont bien trop occupés à gérer leur entreprise pour se plonger dans la science. Ils ignorent donc totalement que les vaccins sont mauvais et que les médicaments comme l’ivermectine sont bons. Je leur ai dit à tous de ne pas écouter les gens répandre de fausses informations. Ainsi, aucun des principaux PDG de la Silicon Valley, comme la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, n’entendra jamais la vérité. Ces gens pensent tous qu’ils sont du bon côté de cette bataille et ils pensent qu’ils font ce qui est le mieux pour la société. Ce sont des imbéciles. Ils n’ont aucune idée de la façon dont ils sont utilisés et, mieux encore, ils ne le comprendront jamais. Nous avons tous les réseaux sociaux pour censurer quiconque remet en question le récit : Facebook, YouTube, Twitter, LinkedIn, Medium, etc. Les deux seuls gros que nous n’avons pas encore capturés sont Substack et Quora. Lorsque ceux-ci seront suffisamment importants pour nous en préoccuper, nous les rachèterons simplement et censurerons tout le contenu qui va à l’encontre du récit. Zuck est le meilleur. Supprimer les groupes de blessures vaccinales comptant 250 000 personnes est la bonne chose à faire. Personne ne pourra récupérer ces preuves puisqu’il n’y a pas de FOIA pour les entreprises privées. Ainsi, lorsque les gens posent des questions sur les effets indésirables des vaccins, nous pouvons dire : « Quel blessé ? Quels effets indésirables ? »
  13. J’ai financé le virus, mais personne ne va mettre 2 et 2 ensemble. S’il n’y avait pas eu un connard de sénateur (Rand Paul), personne ne saurait que j’ai financé le gain de la recherche fonctionnelle à Wuhan. Écoutez, je suis le gars qui a causé tout ce gâchis et qu’est-ce qu’ils font ? Ils m’ont chargé de le nettoyer ! Ces gens sont plus bêtes qu’un clou de porte. Je crée la plus grande catastrophe de la planète et on me donne ensuite de l’argent infini à dépenser pour « la nettoyer ». Hé, saviez-vous que n’importe quel président de comité démocrate peut demander mes e-mails non caviardés avec une simple lettre au NIH ? Mais ils ne le feront pas, car cela révélerait qu’ils ne faisaient pas leur travail de surveillance. Nous pouvons littéralement nous en tirer avec un meurtre et PERSONNE ne va nous défier. Ce type, Kirsch, a estimé que nous avons tué plus de 150 000 Américains avec le vaccin jusqu’à présent, mais le nombre réel est plus du double. En gros, nous pouvons nous en tirer avec un meurtre et personne n’est plus sage. Tout se passe à la vue de tous.
  14. Même si nous sommes exposés, personne ne le croira. John Stewart a exposé tout le schéma dans une interview sur The Late Show avec Stephen Colbert. Il a raconté toute l’histoire, jusqu’aux cartes de visite. Mais tout le monde pensait qu’il plaisantait. Juste avant sa mort, le comédien espagnol El Risitas a admis l’ensemble du projet dans une vidéo au monde entier. Tout le monde pensait qu’il plaisantait à l’époque. Regardez la vidéo.
  15. Ne vous inquiétez pas si ce mémo tombe entre de mauvaises mains. Si la presse reçoit ce mémo, elle ne le publiera pas. Et même si tout ce putain de mémo est publié, les gens sont maintenant tellement endoctrinés qu’ils ne le croiront jamais, même s’ils peuvent tout vérifier. Il n’y a donc rien à craindre.

Si vous avez des questions sur l’un de ces points, envoyez-moi un e-mail à tony@mail.nih.gov.

Errata:

  1. Le mandat du président s’applique à toutes les agences HHS. Cela ne s’applique pas au Congrès ou à la Cour suprême.



Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur le risque du pass vaccinal pour notre démocratie, le 7 janvier 2022

Par Nicole Delépine

L’épidémie due au Covid-19 a provoqué au courant de l’année 2020 une situation considérée comme une urgence sanitaire majeure. Devant ce coronavirus inconnu, dont la première forme a été déclarée à Wuhan en 2019, les gouvernements se sont retrouvés face à une situation complexe.

La France a décidé d’appliquer des mesures plus sécuritaires que sanitaires, qui ont affecté une grande partie de nos citoyens : mesures barrières, confinement, couvre-feu, et masques y compris chez les enfants encore aujourd’hui, etc.

Puis, le Gouvernement a choisi d’appliquer une stratégie uniquement « vaccinale » s’appuyant sur des injections de médicaments préventifs géniques expérimentaux, promettant des effets rapides. Une stratégie du « tout vaccinal » s’est alors mise en place, réponse unique aux vagues successives de cas positifs, en interdisant les traitements précoces (pour des raisons qu’il restera à évaluer lors d’autres commissions d’enquête), pourtant utilisés avec succès dans de nombreux pays comme en Inde.

Pseudo-vaccins usant de nouvelles technologies

Ces « vaccins » ne reposent pas, dans leur conception et dans leur action, sur des méthodes traditionnelles d’élaboration des vaccins selon Pasteur. Ces médicaments préventifs géniques expérimentaux utilisent de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager et ADN recombinés, jamais utilisées chez l’homme pour lutter contre une infection.

Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) a été donnée dans le cadre d’une procédure d’urgence, après étude accélérée de phase I et II dont les conditions d’exécution n’ont pas été transparentes. La phase III est toujours en cours, les premiers résultats sont attendus pour 2023 : il s’agit de substances expérimentales dont les effets bénéfiques, s’ils existent, semblent de très courte durée et dont les effets indésirables à long et moyen terme sont inconnus et, pour certains, inquiétants (modification du génome et de l’épigénétique ?).

Du fait de son ampleur même, cette campagne « vaccinale », réalisée en pleine épidémie et à un rythme très soutenu, devrait être suivie d’une campagne de surveillance et de gestion du risque, similaire aux procédés habituels de surveillance et d’évaluation des risques en population générale.

Incertitudes sur les effets secondaires

L’incertitude de sécurité de ces nouveaux « vaccins » utilisés en France s’est confirmée par le suivi des stratégies vaccinales mises en œuvre autant sur notre territoire que sur celui des pays européens voisins.

Le vaccin Astrazeneca, d’abord proposé sans contre-indication particulière à l’ensemble de notre population, a été remis en cause du fait de nombreux cas de thromboses dans de nombreux pays européens, constatant une balance bénéfice de la « vaccination » et risque du Covid, au moins incertaine, si ce n’est négative. Puis, un avis de la Haute Autorité de Santé du 9 juillet a demandé de vacciner par les autres vaccins disponibles. La France a d’ailleurs arrêté de commander ce vaccin.

Concernant le « vaccin » Moderna, après avoir été injecté sans restriction particulière concernant les catégories d’âge ou état de santé, il est maintenant remis en question par des pays voisins européens, en particulier scandinaves (Suède, Norvège, Danemark puis Finlande) et le Japon qui l’ont interdit aux hommes de moins de 30 ans.

Ces revirements dans les stratégies « vaccinales » confirment l’incertitude qui règne sur les effets secondaires de ces injections.

Cette incertitude, illustrée par ces deux revirements, interpelle, car les effets secondaires avérés touchent une population relativement jeune, peu ou pas sujette aux complications du Covid, mais risquant de développer un effet grave post-vaccinal.

Il convient de mettre ces deux faits en perspective des effets secondaires déclarés par différents organismes officiels dépendant des États.

Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 2021 et 20 560 myocardites. Selon le VAERS, les inoculas contre le Covid-19 ont accumulé, en 1 an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

L’agence européenne du médicament (EMA) relève des effets secondaires suspectés d’être associés à cette campagne de vaccination, publiés sur EudraVigilance (base de données de l’EMA, de rapport d’effets indésirables de l’UE hors UK)(([1] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — Décharge de responsabilité (adrreports.eu) )):

les effets indésirables globaux retenus par EudraVigilance sont publiés pour un total de signalements de 1 327 876 observations, au 1er janvier 2022.

Pfizer : 668 442 ; Moderna : 188 082 ; Astra : 428 330 ; Janssen : 43 022.

Et, un total de 36 267 décès susceptibles d’être en rapport avec l’administration de l’injection.

(Pfizer : 16 481 décès ; Moderna : 10 170 décès ; AstraZeneca : 7 371 décès ; Janssen : 2 245 décès).

D’autres chiffres dans le monde interpellent, 50 % des myocardites et des péricardites sont survenues après l’injection de la seconde dose singulièrement chez les moins de 30 ans (chiffres VAERS confirmés en UE, en UK, en Israël) et touchent d’autant plus les plus jeunes (moins de 20 ans).

En France, selon les mots de la directrice générale de l’ANSM, elle-même, lors de son audition au Sénat, le 29 décembre 2021, « on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance ». Malgré tout, elle s’inquiète du taux élevé de déclarations, comparativement aux années précédentes :

« À mi-novembre 2021, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables pour les 4 vaccins antiCovid. Dans une année normale, nous avons 45 000 déclarations tous médicaments confondus ».

Les effets secondaires déclarés à l’ANSM en moins d’un an en France s’élèvent à 121 486 cas dont 24 % graves. Thrombose, myocardite, péricardite, pancréatite aiguë, polyarthrite, troubles du rythme cardiaque, zona et maintenant encéphalites et maladie à prions (dite de la vache folle) sont des complications bien décrites. Plus de 1 100 décès, rien que pour le vaccin Pfizer, sont signalés sur le site de l’ANSM.

On estime habituellement que 10 % seulement des cas sont déclarés.

Cette absence dans le suivi de pharmacovigilance est constatée par nombre de travaux universitaires, soulignant le manque d’informations des soignants, leur temporalité restreinte pour exercer un suivi des patients. Ce déficit de moyens peut entraîner des dérives, comme un fort taux de non-prise en compte d’effets secondaires et l’autocensure des soignants sur les déclarations par méconnaissance du mécanisme compliqué de déclaration en pharmacovigilance.

De plus, les vaccinodromes n’ont pas assuré le service « après-vente », laissant les personnes en situation de détresse et sans réel recours possible.

L’incertitude sur les effets secondaires de ces vaccins doit être levée

Les effets secondaires des pseudo-vaccins ne sont pas pris en compte dans l’action gouvernementale, le ministre de la Santé s’obstinant à nier les décès, pourtant signalés par l’agence gouvernementale française.

Ces déclarations négationnistes sont suivies d’une forte incitation vaccinale de la part du Gouvernement, que ce soit par des discours, mais également par des mesures restrictives de liberté qui ont été votées au sein de l’hémicycle.

La loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 prolonge l’obligation vaccinale pour les soignants et soumet les libertés fondamentales au pass sanitaire pour les citoyens à partir de 12 ans et risque d’être aggravée par le vote de la loi en cours d’examen en ce début janvier, transformant le pass sanitaire en vaccinal.

Actuellement, les autorités sanitaires poussent à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, alors que les enfants de moins de 19 ans risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière ordinaire (zéro risque du Covid chez les enfants sans comorbidités) et que le pseudo-vaccin ne protège pas des contaminations : aucun intérêt individuel ni collectif, mais des effets indésirables qui pourraient se révéler catastrophiques pour notre pays dans un futur proche. Souvenons-nous notamment de la Dépakine et du Dengvaxia de SANOFI qui a causé la mort de centaines d’enfants aux Philippines.

L’action gouvernementale ne prend pas en compte les effets secondaires déclarés liés aux « vaccins » et poursuit une politique de quasi-obligation vaccinale, sans un système de pharmacovigilance proportionné à ces mesures.

Rôle de protection du Parlement

Le rôle du Parlement est de contrôler l’action gouvernementale. Il est aussi de faire le lien entre politiques et citoyens, indispensable à la vie démocratique de notre pays.

Depuis plusieurs mois, ce lien est distendu et une rupture de confiance s’observe entre une partie de la population et le pouvoir. Des manifestations citoyennes d’ampleur et à l’opposé, les mesures attentatoires aux libertés fondamentales du Gouvernement s’accentuent.

L’impératif est d’autant plus grand, au vu de l’échelle de « vaccination », avec pour rappel une troisième dose nécessaire pour la validité du passe sanitaire et bientôt une quatrième et l’élargissement de la vaccination des enfants à partir de 5 ans.

Devant le nombre de décès et d’accidents graves laissant des séquelles à long terme, un moratoire de la « vaccination » est urgent.

Afin d’éviter une catastrophe sanitaire d’ampleur nationale dans les prochaines années, le Sénat se doit, avant de laisser l’exécutif poursuivre sa stratégie d’obligation indirecte de participation à des essais cliniques d’injections géniques, de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme.

Une pétition a été déposée sur le site des pétitions du Sénat, le 7 janvier 2022, par le Docteur Julien Devillerger, demandant un arrêt immédiat des injections et la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale chargée de faire un état des lieux des effets secondaires consécutifs à l’injection vaccinale contre le Covid-19, ainsi que du système de pharmacovigilance français. Elle devrait être ouverte à la signature d’ici une quinzaine de jours.





L’effondrement kazakh et la révolte de nos lecteurs-commentateurs

Par Nicolas Bonnal

Le Kazakhstan ? On oublie le propagandiste ricanant Orlov, ses hypersoniques si performants et surtout inutiles, Escobar et sa Chine toute-puissante, Martyanov et ses insultes aux pygmées européens, et on rappelle une chose : l’État US oligarchique avec son Dow Jones à 37 000 (oui, je sais, il faut acheter de l’or, tout va s’écrouler, etc.) est le patron du monde, il fout le bordel où il veut, il impose le dollar, le vaccin Pfizer-Moderna et le code QR où il veut (surtout en Russie), il ridiculise Poutine et son armée moderne quand il veut, il noyaute (comme je le disais il y a quatre mois) les Talibans comme il veut, et maintenant il s’amuse comme à la parade au Kazakhstan. On laisse à Dedefensa.org le soin de dire que tout est bouffe (l’opéra) et que tout s’écroule dans un occident ruiné et isolé (Escobar, toujours aussi drolatique). Tout s’écroule, mais pas ce que les naïfs croient. Les ordinateurs-dragons, les serpents et les bêtes apocalyptiques ne se sont jamais si bien portés. Les andouilles qui annonçaient la révolution du peuple de la Bastille (cette farce !) contre le totalitarisme sanitaire (bien accepté puisque démocratique, franchouillard et occidental) pourront toujours m’insulter. Faute d’arguments…

Restons au Kazakhstan. J’appelle à la rescousse le résistant pas conditionné par la doxa antisystème qui déraille depuis des années. On écoute des lecteurs-commentateurs d’Égalité et réconciliation alors, qui eux commencent à se fatiguer de la propagande puérile façon Saker (« Poutine te casse quand il veut ta gueule », « les anti-vaccins sont des paranos, des tarés », etc.) ou Moon of Alabama ; et ça donne :

« Malgré ce énième coup d’État, Poutine et Lavrov continueront d’appeler “partenaires” ceux qui l’ont organisé…
Cet événement devrait normalement (NDLR : normalement ! Normalement !) refroidir quelque peu tous ceux qui fanfaronnent sur le nouveau rapport des forces mondial et le déclin des USA, et qui pensent que les missiles hypersoniques chinois et russes ont mis fin à la suprématie américaine et occidentale. Les Russes et les Chinois sont peut-être en ce moment en tête de l’interminable et coûteuse course aux armements, mais on ne met pas fin à une révolution colorée avec des missiles hypersoniques et la seule chose à faire pour empêcher le “partenaire” d’utiliser cette arme non conventionnelle serait de l’employer à son tour, mais voilà les ingénieurs russes et chinois ne savent pas et ne peuvent pas concevoir cette arme au combien plus dévastatrice que les missiles hypersoniques… »

Très bien dit. Je rajoute ce que j’ai déjà dit : l’empire est devenu une matrice totalitaire, QR, woke, hybride, et ça marche. Il a pris l’esprit des hommes comme Tulsa Doom dans Conan et ça marche. Pour ce qu’ils ont d’esprit…

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Tulsa Doom

Un autre lecteur explique que le Kazakhstan est mal géré et dystopique, tout simplement :

« Ayant déjà travaillé dans ce pays, cela ne m’étonne pas. Les inégalités de revenus sont encore plus fortes qu’en Russie. Exemple : quand je prenais mes taxis tous les soirs, une fois sur deux le conducteur était soit un dentiste, ou un chirurgien, ou autre métier qui paye bien chez nous, afin d’équilibrer ses fins de mois et pouvoir s’en sortir. Un me disait qu’il espérait avoir une promotion et passer aux opérations plus complexes comme le ventre, car étant uniquement dédié aux opérations des bras et jambes, son salaire est trop bas pour sa famille. Vous imaginez en France, votre chauffeur Uber vous dirait qu’il est médecin la journée et Uber le soir ?!! »

Vous imaginez surtout des émeutes comme ça en France et en Amérique ? E&R rappelait récemment que l’on n’avait jamais autant consommé aux USA pendant le Black Friday. Rude coup pour ceux qui s’époumonent sur le déclin américain et la chute du dollar (achetez de l’or !)…

Le lecteur conclut :

« C’était en 2017 dans la capitale flambant neuve du pays (NDLR : furieusement satanique et maçonnique), alors imaginez les autres catégories de la population… Malheureusement, je pense qu’il faudra plus de désespoir et d’inégalité en France pour en arriver à ce niveau vu le conditionnement de la population. Que le feu déclencheur soit d’origine interne ou externe… Je ne vis pas dans une bulle, je sais que des gens en France font plusieurs boulots, mais dans la majorité des cas ce sont des petits boulots peu qualifiés, en intérim, etc. »

Notre lecteur se fait insulter (opposition contrôlée, tralala), alors il précise :

« Un autre exemple ? Un collègue y avait rencontré une femme, qui travaillait (employée) dans un centre commercial dans une boutique de montres, boulot de 7 h à 21 h le soir 7j/7, presque tous les jours de l’année, pas de pause déjeuner, très peu de congés, en gros principalement quand le centre ferme, avec un salaire de misère. Dans son petit appartement elle dormait à même le sol sur une couverture, car pas les moyens de se payer un matelas, ou un lit complet ! Il a tellement eu de la peine qu’avant de quitter le pays il lui a payé un lit. »

On conclut !

« En conclusion, tous les éléments pour que ça pète encore plus vite qu’en France, vu le déséquilibre de revenus dans ce pays… »

Un autre lecteur d’E&R (je fais la pub du lectorat, pas de cette inégale revue) écrit sobrement :

« Thierry Meyssan qui affirme comme beaucoup d’autres que les USA sont sur le déclin politique et militaire et récemment il a écrit que la Russie et les USA avaient conclu un nouveau Yalta, ce nouveau coup d’État contre un membre de l’alliance militaire initiée par les Russes le dément. Aussi longtemps que les Américains et leurs complices seront capables d’organiser de tels coups, les Russes ne seront pas en mesure de leur imposer quoi que ce soit. »

L’Iran du reste comme le Hamas et comme le Hezbollah se tient bien sagement, vous ne trouvez pas ? Cela ne rugit même plus. On ne parle pas de mordre), cela aboie…

Petit Eldorado crépusculaire, le Kazakhstan minier, gazier et pétrolier a été dûment pillé, rappelle un autre lecteur :

« Le problème c’est que leurs gisements s’assèchent et les caisses de l’État avec. Ils peuvent prier pour l’avènement du pétrole abiogénique, mais ce dernier n’a, à ce jour, nourri personne sur Terre. On attend toujours le miracle promis (notamment par AS). Les sables bitumineux, c’est désormais officiellement du pipeau qui n’a jamais été rentable, mais le COVID est arrivé au bon moment pour qu’on évite le sujet. Désolé pour les Bad News. »

Un autre lecteur non pas désabusé, mais objectif rappelle :

« Peut-être un essai de révolution de couleur ? Pourtant l’ancien Président Noursoultan Nazarbaïev était déjà un personnage ambigu. Il soutenait Poutine pour sa politique extérieure, mais était intransigeant avec la très importante minorité russe du nord du pays. Nord qu’il repeupla de beaucoup de Kazakhs. Surtout, il semble qu’il soit franc-maçon et il a dû convertir ses subordonnés. Nazarbaïev a fait une capitale qui porte son nom depuis qu’il a quitté le pouvoir. Cette ville c’est Noursoultan. Aller voir les reportages sur internet. Elle comporte de nombreux bâtiments avec une symbolique maçonnique évidente. »

Un rappel aux vivants : lisez nos textes sur le grand effondrement énergétique. D’autres agents croient que cet effondrement énergétique fossile est simplement un montage idéologique réac destiné à nous empapaouter. Ils se trompent en trompant leur maigre lectorat ; et n’ont qu’à lire la mise au point quotidienne qu’en fait — de l’écroulement — mon camarade Patrick Reymond.

https://lesakerfrancophone.fr/2030-dictature-sanitaire-et-reset-ou-grand-effondrement-occidental




Néo-nazisme en phase 1

Par Lucien Oulahbib

  • Construction d’un groupe bouc émissaire (« anti/non/Vax= sous citoyens ») sur lequel le Guide (le « Président ») lâche les chiens :
  • Expérimentations médicales à raison de quatre doses par an pour un produit, de fait (vu le nombre de « rappels ») guère efficace :
  • Suspension d’activité, et radiation, sans indemnité pour les « soignants et assimilés » mis au banc, car refusant ces injections :
  • Constitution d’un PaSS dit « sanitaire » puis « vaccinal » : *
  • Durcissement de l’obtention du PaSS avec doses effectives d’injections + « concordances de documents prouvant l’identité » :
  • Élargissement du PaSS avec vérification d’identité pour l’alimentation de base : (en cours : Leclerc a commencé, certains restaurants également)
  • Réquisition de locaux désaffectés pour interner le groupe bouc émissaire : à faire (mais déjà en cours dans certains pays)
  • Subordination progressive de diverses activités dans le PaSS comme le nombre de voyages en avion et en voiture : en cours
  • Subordination des allocations diverses (et à terme l’allocation universelle dans les tuyaux) à la détention du PaSS : en cours
  • Pour ce faire, suppression à terme de l’argent liquide afin de pouvoir mieux bloquer les personnes récalcitrantes : en cours (Chine)
  • constitution d’une Secte globale : trans-courant, transnationale, « trans » en tant que telle (journaux, académies, institutions) :

On est environ en 1934 (1938 — nuit de cristal) donc (« p… encore ») 4 ans devant nous… Soit 4 fois 4 doses = 16 doses : bonjour les dégâts !

* Deux failles relevées :

  • l’on peut présenter si l’on est un homme le PaSS de sa sœur en prétextant la « dysphorie de genre »… : en cours
  • Un vigile d’origine étrangère censé vérifier la « concordance des documents d’identité » peut être lui-même en situation irrégulière…
  • L’on peut être donc bien plus considéré comme non-citoyen que l’irrégulier injecté (avec un bonus s’il fait partie d’une « minorité ») :



Citation — Le fascisme




Lettre ouverte du Professeur Jean Gabriel Balique aux élus

Par Professeur Jean Gabriel Balique
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

À propos du projet de pass vaccinal
Lettre ouverte.
Le 30 décembre 2021

Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

L’objet de ma lettre est de vous alerter sur les risques de l’obligation du pass vaccinal qui n’est autre qu’une obligation vaccinale déguisée. Je ne peux pas en tant que médecin et citoyen accepter cette mesure injustifiée, inefficace, incohérente, injuste, liberticide et dangereuse pour la santé. Je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins.

MESURE INJUSTIFIÉE

I – IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION SANITAIRE :

en effet contrairement à la catastrophe sanitaire annoncée, le covid 19 n’est pas plus grave qu’une épidémie de grippe. Le covid 19 a entraîné 20 000 décès 2020 en France (loin des chiffres avancés). La mortalité est de 0,02 % (moyenne d’âge : 85 ans) et ne correspond qu’à des personnes à risques. Ces chiffres sont comparables à ceux de la grippe. Le taux des hospitalisations liées au covid a été de 2 % en 2020 (rapport AIHT).

Ce n’est donc pas la grippe espagnole, ni Ebola, ni la diphtérie.

COMME CHAQUE ANNÉE DEPUIS TOUJOURS les services hospitaliers et les réanimations sont débordés par des formes graves, pendant l’épisode aigu. Le taux d’absentéisme est élevé dans tous les secteurs : entreprises, établissements scolaires, commerces… Au bout de quelques jours, tout rentre spontanément dans l’ordre avec l’immunité naturelle. À aucun moment, le pays n’a été paralysé. Il n’y a jamais eu de plan blanc généralisé. Jamais la population n’a été terrorisée et culpabilisée. Mais la grande différence avec cette épidémie de covid c’est que, jusqu’à l’année dernière, ce sont les médecins qui ont toujours géré seuls ces crises en prescrivant suivant leurs connaissances. Il n’y avait jamais eu d’intervention du pouvoir politique ni du conseil de défense, ni d’interdiction de prescrire !

LA CRISE DE L’HÔPITAL DATE DE PLUS DE 30ANS. Les décisions prises : poursuite de fermeture de lits, traitement inhumain du personnel soignant parfois encensé puis rejeté, N ’ONT FAIT QU’AGGRAVER LA SITUATION. On n’a jamais vu autant de départs et si peu de candidatures. La démotivation est telle que les écoles d’infirmières et d’aides-soignants ne se remplissent plus. (voir P.-S. : la crise hospitalière)

Dans ces conditions, pour la grippe, il n’y a jamais eu d’obligation vaccinale ou de pass vaccinal, simplement une recommandation avec des vaccins éprouvés. Il n’y a jamais eu besoin de terroriser la population avec le décompte des cas quotidiens, des hospitalisations, des passages en réanimation et des décès, ni de tests permanents.

II- LE VARIANT OMICRON APPARAÎT TRÈS CONTAGIEUX, MAIS BÉNIN :

un simple rhume, une toux, voire aucun symptôme en cas de découverte par un test systématique. Les formes graves et les décès sont rares comme le montre l’expérience de l’Afrique du Sud. En France malgré l’augmentation vertigineuse des cas, le nombre de patients en soins critiques reste stationnaire autour de 4 000 soit seulement 20 % des 20 000 lits de soins.

POUR CES 2 RAISONS, IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION À UNE OBLIGATION.

UNE MESURE INEFFICACE : FIASCO DES VACCINS

Le vaccin contre le covid 19 proposé en novembre 2020 qui devait nous protéger et nous permettre de reprendre une vie normale, se révèle un fiasco. Personne ne peut nier son inefficacité à protéger du variant Delta et à éviter les contaminations.
Au contraire, tous les pays qui ont largement vacciné ont vu une explosion de l’épidémie. À l’opposé, les pays faiblement ou pas vaccinés comme les pays d’Afrique, l’Inde ont une mortalité 10 fois moindre et l’épidémie est terminée, tout cela grâce aux traitements !
Les faits encore une fois ont contredit les prévisions alarmantes des gouvernants.
Au lieu d’accepter ce constat, on essaye de faire croire que le vaccin évite les rares formes graves.
Contrairement à ce qui est affirmé, il n’y a pas que des non-vaccinés à l’hôpital ou en réanimation. En Israël, en Angleterre, pays où le taux de vaccination est proche de 90 %, les hôpitaux et les réanimations sont remplis de patients vaccinés. Il n’y a qu’en France où il n’y a aucun vacciné ! Mais les dirigeants ne sont plus à un mensonge près. Tout est bon pour forcer la vaccination, comme la mise en scène de faux patients non vaccinés en réanimation qui auraient échappé à la mort et qui supplient de se faire vacciner !

LA TROISIÈME DOSE : UNE MESURE INCOHÉRENTE SANS AUCUN ARGUMENT SCIENTIFIQUE

Le gouvernement veut imposer une troisième dose d’un vaccin INEFFICACE sur le variant Delta et sans aucun argument pour savoir s’il protégera du variant Omicron.
DE PLUS, DE FAÇON INCOMPRÉHENSIBLE, SELON LE BON VOULOIR DU CONSEIL DE DÉFENSE LES DÉLAIS DE RE-INJECTION SONT ÉLASTIQUES SUIVANT LE TAUX DE CONTAMINATION, RÉGULIÈREMENT RÉDUITS : 5 mois, 4 mois et maintenant 3 mois. Quelle improvisation ? Jusqu’à combien d’injections ? Sur quels arguments ?

Le gouvernement propose des doses de rappel sans limite dans le temps, sur décision politique, LA VACCINATION DEVIENT DE FAIT UN TRAITEMENT. Ce qui est certain c’est que ces faits démontrent que L’ON EST BIEN EN PLEINE PHASE EXPÉRIMENTATION À l’ÉCHELLE MONDIALE. Le directeur de l’OMS, lui-même, vient de mettre en garde sur cette stratégie incompréhensible : la répétition des doses n’est pas une solution.

L’IMMUNITÉ NATURELLE, POURTANT LA PLUS EFFICACE ET PROLONGÉE, n’est pas prise en compte contre toute logique médicale ! Du jamais vu en médecine. Au minimum devrait être proposée une vérification du niveau de l’immunité naturelle avant toute proposition de vaccination.

UNE MESURE DISCRIMINANTE ET LIBERTICIDE

Il n’y a finalement plus de différence entre vaccinés et non vaccinés : les deux peuvent contaminer ! Il est donc inadmissible qu’un Premier ministre et un ministre de la Santé, et maintenant une partie de la population conditionnée stigmatisent les non-vaccinés de façon répétée pour leur faire endosser tous leurs échecs et diviser la société. Ils ne peuvent pas supporter qu’ils veuillent garder leur liberté de pensée.
Les personnes non vaccinées ont un esprit civique plus poussé que les vaccinés : en effet elles respectent plus rigoureusement les mesures de prévention en faisant régulièrement des tests.
C’est une discrimination. Le chantage au vaccin se multiplie et est inacceptable, comme par exemple lorsque certains oncologues obligent, alors que l’on ne connaît rien des effets de ces vaccins sur l’immunité, que leurs patients soient vaccinés pour poursuivre leur traitement ! C’est la première fois en médecine qu’il y a du chantage pour bénéficier d’un traitement. Les médecins ont toujours respecté le choix de leurs patients même s’ils refusaient le traitement bénéfique proposé.

UNE MESURE DANGEREUSE : UN «VACCIN » TOUJOURS EN PHASE D’EXPÉRIMENTATION, RESPONSABLE DE COMPLICATIONS ET DE DÉCÈS ANORMALEMENT ÉLEVÉS

Comme vous le savez, ce vaccin n’est qu’une thérapie génique en cours de phase d’expérimentation. Cette phase 3 de mise au point d’un médicament se terminera le 31 janvier 2023. Maintenant que l’on a du recul sur cette phase déclenchée au niveau mondial, les médecins de terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’Agence Européenne du Médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million de graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés.
En France, l’Agence Nationale du Médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. Sachant qu’un dixième des complications est rapporté, ce vaccin n’aurait jamais été mis sur le marché si les règles habituelles avaient été respectées.
TOUTES CES COMPLICATIONS SURVIENNENT PRÉCOCEMENT APRÈS LA VACCINATION CHEZ DES PERSONNES SANS ANTÉCÉDENTS AYANT JUSQUE LÀ UNE VIE NORMALE. De nombreuses complications sont rapportées : myocardites, AVC, maladie de Guillain barré, maladie auto-immune, sans compter des maladies exceptionnelles qui se déclarent et flambent : maladie de Charcot, maladie à prion, développement de cancers jusque-là contrôlés.

Je ne parlerai pas des effets induits : troubles psychologiques, suicides provoqués par les mesures prises, toutes les autres pathologies graves qui ne sont plus détectées ou traitées de façon optimale. Un Doctothon vu par 12 millions de personnes, évidemment occulté par les médias du pouvoir, a permis de voir l’ampleur de ces complications et des situations dramatiques engendrées. Ces complications n’épargnent pas les enfants et adolescents.

N’êtes-vous pas frappé par le nombre anormalement élevé, cette année, de mort subite de sportifs de haut niveau sur les terrains ? Ces sportifs ont tous été vaccinés pour pouvoir vivre leur passion !

Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du covid, seules sont exposées les personnes à risques, c’est pour cette seule population que le « vaccin » peut avoir une certaine protection. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêtée pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Aux USA, le Professeur Scot Youngblmood relève en moyenne 158 décès annuels associés à l’ensemble des vaccins classiques. Depuis l’introduction des vaccins covid 19 il y a plus de 17 000 morts signalés d’après le VAERS (Système de signalement d’effets indésirables des vaccins).

REJETER LE PROJET ET IMPOSER UN MORATOIRE

Dans ces conditions, on ne peut plus laisser la gestion de la crise au gouvernement et à son comité de défense. L’échec est patent. Il est donc urgent de rejeter cette proposition de pass vaccinal et proposer enfin un moratoire où tous les acteurs de la santé puissent être entendus, même s’ils ne font pas partie des ayatollahs scientifiques.
Faites comme au Royaume-Uni qui vient de renoncer à la vaccination obligatoire et à la vaccination des moins de 15 ans, malgré la flambée du variant Omicron. Au Texas, la vaccination des jeunes est interdite. Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques avec une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

EN ATTENDANT, il faut supprimer tous les pass et réintégrer toutes les personnes qui ont été rejetées de la société. Maintenir toutes les mesures de prévention que les Français connaissent bien maintenant : masques, lavage des mains, distanciation, aération des locaux.
L’Uttar Pradesh, état d’Inde de 320 millions d’habitants, a distribué massivement des kits « Ziverdo » à la population à titre préventif entraînant une baisse spectaculaire des contaminations par rapport à l’état voisin du Kerala où aucune mesure n’a été prise.
Tester largement et gratuitement. Renforcer l’immunité naturelle. Réserver ces vaccins aux seules personnes à risques. Respecter la liberté des citoyens sans contraintes.

En cas de contamination ou d’atteinte du Covid : il faut TRAITER. En cas de cas contact, il est possible de traiter préventivement. Pour les cas avérés, il existe des traitements à l’efficacité reconnue scientifiquement, comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine. Ces traitements ont été préconisés et appliqués avec succès par les Pr Perronne et Raoult et utilisés aussi dans de nombreux pays.
Ces professeurs, mondialement reconnus, ont du jour au lendemain été rejetés par quelques scientifiques et les médias aux ordres du pouvoir. De très nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Il est scandaleux qu’en deux ans il n’y ait eu aucune communication sur les traitements et encore plus scandaleux d’interdire aux médecins de les prescrire. Cette interdiction est à l’origine d’une surmortalité.

Il faut que le gouvernement, obnubilé par le nombre de contaminations quotidiennes et les prévisions alarmistes des statisticiens, arrête de terroriser la population comme il l’a fait l’année dernière où il n’y a pas eu la catastrophe annoncée. Spontanément l’épidémie s’éteindra d’elle-même grâce à l’immunité naturelle bien supérieure.

La multiplication des conseils de défense, proportionnelle à la croissance du taux de positivité doit être arrêtée, ainsi que la course inefficace, de plus en plus liberticide, à la prise de mesures souvent irréfléchies et désavouées souvent quelques jours après avoir été reconnues inapplicables.

Avec l’état de guerre, le gouvernement bafoue les libertés individuelles et les valeurs de la République : liberté, égalité et fraternité sans oublier le désastre économique provoqué.
La population commence sérieusement à se poser des questions sur leur compétence et ne supportera pas encore longtemps cette gouvernance. Sachez que vous aurez été informés, je ne suis pas le seul à le faire. Le moment venu, lorsque la vérité éclatera, probablement rapidement compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications et les conséquences sociales de ces décisions, votre responsabilité sera engagée.
Allez-vous encore longtemps accepter, comme l’ensemble de la population, de servir de « cible au jeu tragique de fléchettes » auquel se livrent les dirigeants. Ne votez qu’en votre âme et conscience, il n’y a plus de parti politique qui compte à ce stade, c’est une cause nationale de liberté individuelle et de société.

Je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus, en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

Dernière minute

L’Espagne vient de décider de laisser déferler la vague Omicron, ne propose pas de 3e dose et donne confiance à l’immunité personnelle.

P.-S. : La crise hospitalière n’est pas nouvelle. En 2000, j’ai démissionné de la fonction publique pour les raisons actuelles. Il y a deux mesures fondamentales à prendre :

  • 1 remettre les médecins au centre de la gouvernance de l’hôpital
  • 2 outre l’augmentation de salaire, il est indispensable de mieux considérer et respecter les soignants. Il faut reconstruire des unités à taille humaine où règne un esprit d’équipe, voir familial. L’exemple de l’hôpital de Valenciennes est à ce titre exemplaire. Un hôpital se gère avec le cœur et non avec des tableaux Excel.



Stop aux atteintes aux droits et aux libertés des Français !

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir

TRIBUNE — Alors que le projet de loi sur le pass vaccinal est en cours d’examen à l’Assemblée, 81 avocats appartenant à 27 barreaux en France lancent un cri d’alarme dans une tribune commune à destination de l’ensemble des Français qu’ils enjoignent à réagir contre la liquidation de leurs droits les plus fondamentaux. Ils dénoncent un processus de destruction de l’État de droit et des libertés publiques à l’œuvre depuis maintenant deux ans, qui trouve son expression emblématique dans les derniers propos prononcés par le président de la République lui-même : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, on va continuer de le faire (…) Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »


Nous, avocats, appelons à un sursaut de conscience des Français face au piétinement, depuis bientôt deux ans, de leurs droits et de leurs libertés.

Nous alertons sur le projet de loi du gouvernement du 27 décembre dernier, qui fait à nouveau peser de lourdes menaces sur les droits et libertés des Français.

Nous, avocats, avons juré d’exercer nos fonctions avec « dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ».

Aujourd’hui, c’est au nom de la conscience et de l’humanité attachées à notre ministère que nous lançons cet appel.

Les dernières décisions du gouvernement, toujours aussi liberticides, nous ont révoltés, indignés, mais elles ne nous ont pas surpris.

C’est désormais devenu une habitude de la part de ce gouvernement, au prétexte de préserver la santé des Français, de les maltraiter, de leur manquer de respect, de les infantiliser, de les rudoyer, de les menacer, de leur faire du chantage.

La simple comptabilité de l’épidémie soulève déjà des interrogations. Depuis toujours, la gravité d’une pandémie se mesure au nombre de malades, c’est-à-dire de symptômes médicalement constatés, et au nombre de morts qu’elle provoque.

Il semblerait que désormais, seul le nombre de tests positifs suffit. Mais, comment comprendre que la gravité d’une épidémie se mesure avec comme seul critère le nombre de « cas », c’est-à-dire de simples tests, alors qu’il s’agit de personnes en bonne santé, qui, pour la plupart, ne seront jamais malades ? Ainsi, l’outil de communication choisi par le gouvernement, l’incidence de « cas », ne correspond pas à un nombre de malades, comme l’explique Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’IRSAN. Ceci, d’autant que le nombre de cas est établi au moyen de tests dont la fiabilité ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.

De même, l’expérience a montré que le Covid s’attaque, pour l’essentiel, aux personnes âgées et/ou fragiles. Ainsi, la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et le taux de létalité de la maladie n’est que de 0,04%.

Dès lors, les mesures prises pour lutter contre ce virus apparaissent comme totalement disproportionnées et, ce, dès l’origine. Ainsi, immédiatement après le confinement, dont il est acquis qu’il n’a eu aucun effet en termes sanitaires, les mesures les plus absurdes se sont succédé : port du masque partout, tout le temps, notamment par les enfants, auto-autorisation de sortie, plages dynamiques, fermeture des rayons dits non-essentiels des magasins d’alimentation, ouvertures des stations de ski, mais fermeture des remontées mécaniques ou, désormais, obligation de consommer assis dans les bars et les restaurants, sans parler de la menace de devoir se munir d’un passe vaccinal, d’un masque et d’un test négatif pour entrer dans les lieux publics choisis à la discrétion du gouvernement.

Il serait vain de tenter d’établir une liste complète de ces mesures farfelues et sans aucun intérêt sanitaire, tant elle serait longue et tant elle semble vouloir s’allonger encore.

Une situation inédite et profondément intolérable qui ne semble, pourtant, pas avoir porté ses fruits en termes sanitaires puisque, s’il on en croit le gouvernement lui-même, la situation serait catastrophique.

Pourtant, les chiffres officiels aujourd’hui disponibles permettent un recul qui incite à relativiser les discours alarmistes et les mesures disproportionnées dont ils font le lit. Ainsi, pour ne prendre qu’un seul exemple, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation estime, elle-même, dans son rapport pour l’activité hospitalière de l’année 2020, à 2% les hospitalisations pour Covid sur le total des hospitalisations pendant l’année 2020.

À quoi bon tout cela, alors ?

Il n’empêche, obtus aux faits, le gouvernement poursuit son œuvre destructrice des droits et des libertés des Français à un point extrême.

Le chantage au vaccin s’intensifie, y compris sur les enfants de plus de douze ans que le projet de loi entend soumettre au passe vaccinal pour les activités autres que scolaires, ou encore nos données de santé qui seront accessibles au préfet, lequel voit ses pouvoirs de placement en psychiatrie élargis.

Pourtant, les dernières données de la science montrent, sans que le doute soit plus permis, une efficacité des « vaccins » qui diminue avec le temps, une transmissibilité du virus en dépit de la vaccination et d’aucuns préviennent que les rappels pourraient être inefficaces contre les variants qui circulent actuellement !

De prime abord, la cohorte de mesures absurdes et dommageables prises depuis bientôt deux ans semble avoir été acceptée avec une étonnante docilité par l’ensemble des citoyens. Mais, ce serait faire fi de la pression à la peur et au chantage qui s’exerce sur eux depuis des mois. Or, comme chacun sait, la peur a, de tout temps, été un excellent levier pour s’assurer de l’obéissance de la population. Elle l’est aujourd’hui encore.

Les Français, comme la plupart des citoyens européens, ont été domestiqués, au point d’accepter sans broncher les consignes les plus absurdes, convaincus par des médias « mainstream » ayant abandonné toute intégrité journalistique en se faisant l’écho de la seule voix du gouvernement, que leur survie dépend de leur obéissance.

Il est vrai que l’État a usé sans vergogne de tous les subterfuges : culpabilisation, menaces, chantages, mesures de rétorsion, mensonges, dénonciations, manipulation des chiffres et d’autres encore.

On ne peut que constater avec effroi que l’État a été aidé dans son entreprise par une justice qui, faisant preuve d’une fidélité sans faille, a purement et simplement avalisé les décisions les plus contraires aux principes de droit qui nous régissaient jusque-là. Une justice dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas fait la preuve de l’indépendance que les justiciables sont en droit d’attendre d’elle.

Le Conseil d’État a ainsi approuvé et validé la quasi-totalité des décisions prises par l’exécutif, même les plus insensées, même les plus illégitimes, n’hésitant pas à se dédire à quelques semaines d’intervalle, revenant sans coup férir sur ses propres appréciations !

Du jamais vu !

On rappellera que, dans la mesure où le principe reste encore la liberté et l’interdiction, l’exception, il appartient à l’autorité qui pose une interdiction d’en démontrer, non seulement le bien-fondé, mais également la nécessité et le caractère indispensable.

Or, depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, ces principes, essentiels dans un État de droit, ont été balayés. Non seulement, l’État ne se donne pas la peine de fournir la moindre justification des restrictions inédites des libertés qu’il impose, mais, interrogé par la Commission nationale informatique et libertés, la CNIL, sur l’efficacité des mesures imposées, il reste étonnamment silencieux.

Pour autant, le Conseil d’État ne semble pas s’en offusquer…

Il ne fait aucun doute qu’une fois cette crise passée, certains auront des comptes à rendre, que ce soient les décideurs de ces mesures ou que ce soient ceux qui, par peur, par lâcheté, par indifférence, pour asseoir leur autorité ou par simple esprit moutonnier les auront publiquement défendues, appliquées ou fait appliquer. Ceci, sans aucune remise en cause, aucune distance, sans jamais s’interroger sur leur utilité ou sur leur légitimité. Il en ira de même de ceux qui auront stigmatisé, mis à l’écart, bannis leurs concitoyens pour avoir fait appel à la raison et au discernement ou pour avoir émis des critiques. N’hésitant pas à les faire passer, au mieux, pour des capricieux, au pire, pour des « complotistes », un terme bien vague, ou pour des malades mentaux.

Oui, au moment de faire le bilan, nous aurons la lourde obligation de nous interroger sur ce qui est arrivé et sur ce que nous n’avons pas su, pas pu ou pas voulu empêcher.

Aurait-on jamais pu imaginer que, dans un État démocratique comme le nôtre, de telles dérives puissent être admises ?

Pourtant, force est de constater que tel est le cas.

La majorité de nos concitoyens, tétanisée par la peur soigneusement entretenue par les canaux officiels, s’est laissé dépouiller, impuissante, de tous ses droits et ses libertés fondamentaux.

Il aurait été vain de compter sur la diligence du gouvernement pour ne jamais en arriver là. Bien au contraire. Peu importe le respect des libertés fondamentales, s’il s’agit de préserver la santé, a-t-il tenté de se justifier. Toute autre considération est nulle et non avenue. La détresse d’une part grandissante de la population, la fragilisation du tissu économique, l’abandon de la jeunesse et des personnes vulnérables n’entrent pas dans les savants calculs de ce gouvernement.

Pendant ce temps, au terme de l’adoption d’un nombre inouï de textes, les plus grands principes du droit et les règles qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, ont été invalidés et écartés.

Qu’il s’agisse du libre consentement, de la liberté de disposer de son corps, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de l’autorité parentale, des libertés publiques, de la police administrative, des libertés individuelles et des droits fondamentaux, du droit du travail et de la fonction publique, du droit de la santé, du service public ou encore de la réparation des dommages causés aux victimes d’accidents médicaux.

Et la liste est loin d’être exhaustive.

Ces nouvelles règles infligent une violence sociale inouïe que traduit une multiplication sans précédent des actions en justice relatives à la crise. Et, nous assistons, depuis, dans nos cabinets et dans les prétoires, comme dans le reste de la société à une détresse économique, sociale et psychologique d’une profondeur insondable.

Aujourd’hui, des Français toujours plus nombreux réalisent que ces mesures ubuesques, où le ridicule le dispute à l’absurde, n’ont qu’un très lointain rapport avec la préservation de leur santé.

Ils comprennent enfin que l’on s’est joué d’eux, qu’on leur a menti, qu’on les a manipulés. L’intolérable chantage exercé sur eux leur apparaît maintenant pour ce qu’il est : odieux et illégitime. Et, il est d’autant plus illégitime que les Français ont perdu leurs libertés de citoyen et leurs droits parmi les plus fondamentaux.

Ainsi, la soumission à l’injonction est devenue la condition pour exercer ses libertés, la stigmatisation d’une partie de la population, la règle (aujourd’hui, ce sont les personnes non-vaccinées, mais qui seront les prochains ?). Peut-on l’accepter ?

Liberté, égalité, fraternité ? En est-on toujours aussi certain ?

Comme le dit Bellamy : « Le spectacle des reniements gouvernementaux donne le vertige ».

Ce à quoi les rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, une boussole précieuse en ces temps troublés, auraient pu répondre que

« l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements ».

Il faut à présent que les Français réagissent.

Il est temps !

SIGNATAIRES :

Me Martine BAHEUX, Avocat au Barreau de Nice
Me Laurent CHAVAL, Avocat au Barreau de Grenoble
Me Anne-Claire RIMET, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Anaïs LE FALHER, Avocat au barreau de Paris
Me Stéphanie POUSSARD, Avocat au Barreau de Toulon
Me Olivia MONTEIL, Avocat au Barreau de Paris
Me Viviane SOUET, Avocat au Barreau de Paris
Me Matthieu CORDELIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Paul-Antoine DEMANGE, Avocat au Barreau de Paris
Me Aurélie DUPUY-BOCAGE, Avocat au Barreau de
Me Lorène BOURDIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Shirley DEROO, Barreau de Paris
Me Sabah RAHMANI, Avocate au Barreau de Lyon
Me Amanda N’DOUBA, Avocate au Barreau de Paris
Me M.J Emilie IRIGOIN, Avocat au Barreau de Pau
Me Elisabeth SUISSA-DESSENNE, Avocat au Barreau de Lille
Me Chloé SCHMIDT-SARELS, Avocat au Barreau de Lille
Me François PALLIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Grégory DEL REGNO, Avocat au Barreau de Pau
Me Christine CLAUDE-MAYSONNADE, Avocat au Barreau de Tarbes
Me Maïalen TROTTA, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina SETTEMBRE, Avocat au Barreau de Marseille
Me Delphine Ravon, Avocat au Barreau de Paris
Me Antoine LOUBIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Maïa MONTLUÇON, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Bernard RINEAU, Avocat au Barreau de Nantes
Me Marc GOUDARZIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Stéphane VACCA, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Thibault MERCIER, Avocat au Barreau de Paris
Me François SOUCHON, Avocat au Barreau de Chartres
Me Raoudah M’HAMDI, Avocat au Barreau de Marseille
Me MH MORTON HAMILL, Avocat au barreau de Nice
Me Thibaut ADELINE-DELVOLVE, Avocat au Barreau de Versailles
Me Laure LAYDEVANT, Avocate au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Olivier ARNAUBEC, Avocat au Barreau de Nice
Me Sandrine REBOUL, Avocat au Barreau de Nice
Me Jean-Pierre JOSEPH, Avocat au barreau de Grenoble
Me Laetitia RIGAULT, Avocat au Barreau de Saint-Denis – LA REUNION
Me Dominique GANTELME, Avocat au Barreau de Paris
Me Jean-François REYNAUD, Avocat au Barreau de Montpellier
Me Anne-Victoria FARGEPALLET, Avocat au Barreau d’Avignon
Me Alexandra MANCHES, Avocat au Barreau de Paris
Me Maxellende de la Bouillerie, Avocate au Barreau de Paris
Me Nathalie NOEL, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Hakima SLIMANE, Avocat au Barreau de Paris
Me SPINELLA Marie-Noëlle, Avocate au Barreau de Paris
Me Valérie LEPAGE ROUSSEL, Avocate au Barreau de Paris
Me Marine GRINSZTAJN, Avocat au Barreau de Hauts-de-Seine
Me Camille DIRE, Avocat au Barreau de Nice
Me Romain GUERINOT – Avocat au Barreau de Nice
Me Hélène SEGURA, Avocate au Barreau de l’Eure
Me Karine SHEBABO, Avocat au Barreau de Paris
Me Christophe GUILLAND, Avocat au Barreau de CHAMBERY
Me Lou GODARD, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Philippe BERTHET, Avocat au Barreau de Toulon
Me Fabrice HONGRE-BOYELDIEU, Avocat au Barreau de Versailles
Me Nancy RISACHER, Avocat au Barreau d’Epinal
Me Virginie DE ARAUJO – RECCHIA, Avocat au Barreau de Paris
Me Claire GONIN, Avocat au Barreau de Lyon
Me Arthur de DIEULEVEULT, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina BOUAOU, Avocat au Barreau de l’Essonne
Me Christine CHEVAL, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine LOISEAU, Avocat au Barreau de Paris
Me Samia BOURAHLI, Avocat au Barreau de Marseille
Me Asif ARIF, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine GUENIER, Avocat au barreau de Marseille
Me Hermine MKHITARIAN – SORRENTINO, Avocate au Barreau de Nice
Me Maud MARIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Marie BOISSEAUX, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Lauriane BUONOMANO, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Florian BECAM, Avocat au Barreau de Libourne
Me Blandine RUSSO, Avocat au barreau de Paris
Me Ludivine BOISSEAU, Avocate au Barreau de Lyon
Me Sihem LAOUBI, Avocat au Barreau de Paris
Me Nathalie BEURGAUD BONADA, Avocat au Barreau de Nice
Me Agnès TEISSEDRE, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Me David Libeskind, Avocat au barreau de Paris
Me Vanessa HINDER, Avocat au Barreau de Lyon
Me Pauline RIVIERE, Avocat au Barreau de Chambéry
Me Joëlle Verbrugge, Avocat au Barreau de Bayonne

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir




Lettre ouverte aux sénateurs pour qu’ils défendent nos libertés et refusent le passage à une société orwellienne

Par Docteur Nicole Delépine

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,

Le projet de loi n° 4857 relatif à « un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles », va être présenté dans les prochains jours devant votre assemblée.

Vous avez, dans le vote de ce texte, une responsabilité historique face aux Français.

Sur des prémisses incertaines, les effets du variant circulant débouchant plutôt sur une large immunité naturelle, les effets positifs de la « vaccination » étant manifestement limités (avec booster à trois mois nécessaire), et les premiers chiffres d’effets indésirables très inquiétants, il s’agirait pourtant de réduire dramatiquement nos droits et nos libertés et d’aggraver de façon inédite la répression contre les personnes non vaccinées (au sens très large puisque les personnes non à jour de leur schéma vaccinal — soit trois doses plus quinze jours à l’heure actuelle sont considérées non vaccinées).

Cette future loi inscrirait, dans le marbre de la loi, les pires des discriminations contraires aux Traités internationaux et Convention Internationales ratifiés par la France.

Que se passerait-il si la population découvrait, le temps passant, l’accumulation des effets dramatiques à court, moyen et long terme, aux produits injectés, en particulier sur nos enfants ?

Voudriez-vous prendre une telle responsabilité éventuellement pénale, si des victimes futures vous considéraient être responsables des catastrophes personnelles ?

Les Français comptent sur votre discernement et votre adhésion aux valeurs de la France pour ne pas autoriser ces graves atteintes à ce qui faisait l’essence de la France, et pour que vous rendiez pérennes et inviolables la liberté, l’égalité et la fraternité.

Aujourd’hui, les boucs émissaires sont les non-vaccinés (finalement plus de vingt-cinq millions de personnes au bas mot avec les définitions actuelles). Qui seront les prochains ?

Parlera-t-on d’isoler (comme le prévoirait le projet) les députés qui ne voteraient pas « bien » ? Qui d’autre ?

Madame la Sénatrice, Monsieur Sénateur, les Français suivront par millions les débats sur ce projet, dans lequel nous vous demandons solennellement de ne pas céder à la mise à mort de nos droits et libertés et de l’État de droit.

Il est urgent de revenir à la raison et à la modération que préconisait Descartes.

RENDEZ-NOUS NOS LIBERTÉS ET NOS DROITS FONDAMENTAUX : intégrité physique, liberté d’aller et venir, liberté d’expression, droit au travail.

Espérant que vous aurez entendu l’urgence et l’importance de notre requête, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre parfaite considération.

Docteur Nicole Delépine — pédiatre, cancérologue

P.S. : Nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas. (cf. art. 5 DDH 1789)




Reiner Fuellmich : « nous avons affaire à des psychopathes et des sociopathes »

[Source : Quantumleap]






PCB : Message du Nouvel An pour les évêques de l’Église catholique

Par Patriarcat Catholique Byzantin



Quelle est la situation actuelle, dans le monde et dans l’Église, et quelle est la solution ? L’analyse a été effectuée par l’ancien nonce apostolique américain, l’archevêque Carlo Maria Viganò. En bref, l’Église Profonde (Deep Church), dirigée par le pape non valable Bergoglio, coopère avec l’Etat Profond (Deep State) en ce qui concerne l’affaire du covid. C’est un coup d’État planétaire qui est censé conduire à l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, dont le but est l’enfer sur terre et l’enfer après la mort.

D’où provient cette affaire du covid ? Il semble paradoxal que les racines spirituelles de cette crise profonde soient intimement liées au Concile de Vatican II et à son esprit. Étant donné le système et l’esprit qu’il a introduits dans l’Église, ce Concile ne peut pas simplement être révisé, mais il doit être rejeté comme étant hérétique. La restauration intérieure de l’Église par la repentance, c’est-à-dire par l’acceptation et par l’accent mis sur les vérités fondamentales de la foi et de la moralité, est impossible tant que l’esprit de Vatican II continue de régner au sein de l’Église. Cet esprit protège et privilégie les hérésies du néo-modernisme et du syncrétisme.

Le syncrétisme a provoqué l’invasion du paganisme et l’islamisation de l’Europe. La conséquence de la promotion des religions païennes et de l’amoralisation qui y est associée, fut la légalisation de l’homosexualité dans la législation des nations chrétiennes. Aujourd’hui, le réseau homo est déjà présent jusque dans les plus hauts lieux de l’Église. C’est un mépris flagrant pour l’avertissement de Dieu contre le feu temporel (2P 2:6) et éternel (Jud 1:7). La légalisation de la sodomie est étroitement liée au vol d’enfants par les services dits sociaux. Sous le couvert d’une soi-disant adoption, qui favorise les couples de même sexe, les enfants volés sont maltraités et démoralisés. Rien qu’en Norvège, avec une population de 5,5 millions d’habitants, 70 à 100 de ces enfants se suicident chaque année.

Le Vatican reste notoirement silencieux à propose de ces crimes ! Si seulement il était au moins silencieux sur la vaccination, mais il n’en est rien ! Le Vatican impose aux peuples avec véhémence la vaccination criminelle à ARN messager ! Comment le Vatican apostat et Bergoglio pourraient-ils défendre l’humanité s’ils ne défendent pas les enfants innocents contre la folie du genre ? La promotion intense de la sodomie par Bergoglio fut accompagnée du geste consistant à embrasser les pieds d’un transsexuel. Il a créé le précédent pour un respect extraordinaire pour la pensée perverse et l’immoralité. L’établissement légal d’un mensonge selon lequel un homme est une femme, a marqué un tournant dans la pensée, où chaque réalité a été remise en question. Cela a maintenant culminé avec la mise en place d’un système de mensonges à travers l’affaire du covid et la vaccination génocidaire de masse.

Peu de temps auparavant, le pseudo–pape avait commis une idolâtrie publique avec des sorciers et sorcières amazoniens au Vatican. Il a même intronisé le démon Pachamama dans la basilique principale de Rome. Ce culte païen de la soi-disant Terre Mère est associé à la diabolisation et à l’anéantissement de la planète.

La vaccination à ARNm altère le génome humain, ce qui conduit à l’extinction de la race humaine. C’est un crime contre Dieu le Créateur. De plus, cette vaccination est associée au processus de puçage, qui vise à transformer les gens en robots biologiques et à les priver du libre-arbitre, et donc de la possibilité de repentance et de salut. La Bible met en garde contre le puçage en parlant du châtiment dans l’étang de feu. En même temps, cette vaccination fait partie de l’agenda de dépeuplement, c’est-à-dire du génocide de l’humanité. Cela a été admis par Gates lui-même, le promoteur de la vaccination, qui a déclaré qu’elle devrait contribuer à la réduction de la population de 10 à 15 % au cours de la première étape.

De plus, cette vaccination est associée au crime brutal par lequel un bébé vivant à naître se fait arracher des tissus rénaux du corps, puis est tué. En termes spirituels, le sang de ces enfants assassinés place les gens sous la domination de Satan. C’est donc un anti-baptême satanique. Utiliser une sorte de lignée cellulaire éloignée comme excuse, et ainsi détourner l’attention de l’essence de cet acte, constitue une grossière tromperie du public de la part des autorités ecclésiastiques, et est un crime.

L’archevêque Viganò, d’autre part, a prophétiquement montré l’inadmissibilité absolue du vaccin à ARNm reçu par les chrétiens car il est associé à l’effusion du sang d’enfants à naître assassinés de manière sadique, et il représente spirituellement l’anti-baptême satanique !

L’appel de l’archevêque Viganò à une alliance anti-mondialiste globale avant que l’enfer prévu sur terre ne soit établi, est très opportun et prophétique.

La malédiction qui s’est abattue sur nous en ce moment, est survenue à cause de la trahison de l’Église, donc l’Église doit être la première à se repentir ! Comment ? Elle doit appeler le faux Pape un faux Pape, et se séparer de lui. Il devrait y avoir au moins une poignée d’évêques qui reconnaîtront comme nouveau pape une personne qui a une idée claire de la cause de la catastrophe spirituelle et physique actuelle. Le nouveau pape doit être un homme de Dieu qui a déjà fait ses preuves et s’est bravement opposé au réseau ‘homosexuel dans la hiérarchie de l’église, ainsi qu’à l’idolâtrie publique associée au démon Pachamama.

Mais surtout, le nouveau pape doit être un homme qui s’est héroïquement opposé à la fraude organisée concernant l’affaire du covid et de la vaccination génocidaire. L’archevêque Carlo Maria Viganò est une personne éprouvée. Il est le seul aujourd’hui qui puisse apporter l’Esprit de vérité pour restaurer l’Église. Mais il est impuissant, tout seul ! Il a besoin d’être rejoint par des évêques sincères avec leurs diocèses. Dans ces conditions extraordinaires, la responsabilité d’élire le Pape incombe aux braves évêques, plutôt qu’au conclave officiel qui est entre les mains de la secte Bergoglienne et des francs-maçons. Il n’y a pas d’autre solution dans cette situation.

Bergoglio a abusé de la structure de l’église, et a entraîné l’Église catholique dans un processus rapide d’autodestruction de la doctrine et de la morale. Il transforme l’Église du Christ, par étapes, en une prostituée de l’Antéchrist et une synagogue de Satan. Aujourd’hui, il clair qu’un pape orthodoxe ne puisse pas être officiellement élu. Le Vatican apostat, sous l’influence des francs-maçons, élira François n°2, n°3… continuant dans la ligne de l’autodestruction de l’Église et de l’humanité.

Cher évêque, à moins que vous ne défendiez Carlo Maria Viganò dans cette situation, vous resterez sous la malédiction et, après votre mort, vous serez tenu responsable de ne pas avoir fait ce que vous étiez obligé de faire, et par rapport à ce que la volonté de Dieu était pour vous en ce moment critique ! Vous serez alors tenu pour responsable de tout le mal que vous avez causé par votre trahison et votre lâcheté, et vous perdrez également la couronne de gloire éternelle !

Chers évêques, vous avez maintenant le devoir de séparer l’Église du Christ du système archi-hérétique et autodestructeur. Ce n’est pas un schisme ! C’est une condition pour franchir l’étape du salut, c’est-à-dire pour réunir l’Église du Christ avec le Christ et avec son vrai Vicaire, qui est actuellement Carlo Maria Viganò.

Nous sommes dans une situation d’urgence qui nécessite des mesures de secours d’urgence. Il y a un grand espoir que Carlo Maria Viganò soit suivi par une lignée de papes orthodoxes, bien que ces derniers puissent exister dans une église des catacombes et mourir en martyrs, comme ce fut le cas pour la plupart des papes des trois premiers siècles.

Dans la situation donnée, défendre Carlo Maria Viganò et l’élire en tant que Pape légitime, constitue une condition préalable non seulement pour restaurer l’Église, mais également pour sauver l’humanité.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr                     + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires




Macron vient d’opter pour une dictature de type soviétique. Merci à lui !

[Source : autochtonisme.com]

Par Antonin Campana

Dans 1984, le Parti publie des statistiques de production que tout le monde sait fausses, mais que tout le monde doit tenir pour vraies.

L’Union Soviétique procédait de la même manière. Il ne manquait jamais de chaussures dans l’empire des Soviets puisque le Parti disait qu’il n’en manquait pas !

En Oceania, comme en Union soviétique, la réalité vécue s’incline devant l’imaginaire imposé par la Parti unique : même si les étagères sont vides tout le monde se persuade qu’il ne manque de rien !

Cette hyperréalité impose la création d’un bouc émissaire dont la fonction est d’expliquer les carences trop visibles et susceptibles de faire exploser l’hyperréalité : s’il manque des chaussures, c’est en raison des traîtres à la solde de Goldstein (1984) ou des capitalistes qui ont saboté l’appareil de production. Le Parti, quant à lui,  est exempt de tout reproche : il ne se trompe pas et n’est jamais défaillant.

Il va sans dire que dans un tel cadre, les traîtres, simples victimes émissaires innocentes, sont toujours châtiés.

Nous venons de décrire ici le fonctionnement d’une dictature de type archaïque, d’une dictature à l’ancienne qui, ouvertement et sans finesse, tord le bras à la réalité pour mieux imposer son imaginaire. Or, quittant les horizons habituels de la dictature occidentale soft fondée sur les neurosciences, Macron vient d’adopter définitivement la dictature brutale de type soviétique.

Voyez l’imaginaire qu’il veut imposer, et que ses soutiens répercutent à foison :

« la France ne manque ni de lits d’hôpitaux, ni de soignants / Les vaccins sont efficaces / La stratégie vaccinale est la bonne stratégie / Le Gouvernement ne se trompe pas  / Si les hôpitaux sont saturés, c’est en raison de saboteurs non-vaccinés, véritable non-citoyens, quasi traîtres qui mettent à mal le système hospitalier soutenu par la Gouvernement / Il est normal et légitime que ces gens soient punis / etc. ».

Pourtant la réalité, la vraie, est là :

  • 5700 lits d’hôpitaux ont été supprimés par le gouvernement rien qu’en 2020 et il manque des milliers de soignants suspendus par ce même gouvernement. En raison des politiques gouvernementales, l’Hôpital est saturé de la même manière, tous les ans, à la même période (la preuve en vidéo ci-dessous) ;
  • Les hôpitaux ne sont pas saturés par des non-vaccinés puisque plus de la moitié des lits sont occupés par des… vaccinés. Entre le 22 novembre et le 19 décembre (rapport DREES du 31 décembresur 21030 patients Covid hospitalisés en métropole, 9111 n’étaient pas vaccinés et 11919 étaient vaccinés soit, 56.67% de vaccinés !
  • Le pseudo-vaccin ne marche pas et la stratégie gouvernementale est criminelle.

Mais le réel n’existe plus. Journalistes, médecins de plateaux, politiciens lui préfèrent l’imaginaire gouvernemental : les non-vaccinés saturent les hôpitaux, les non-vaccinés fatiguent nos soignants et il convient désormais de se demander s’il faut porter assistance à cette classe de sous-citoyens déjà soumis à un Droit spécial, en attendant qu’ils soient traités comme des sous-hommes !

Je ne sais plus quel dissident soviétique assimilait la dictature en URSS à un mur, et celle qu’il voyait en Occident à du coton. Il disait en substance qu’il valait mieux le mur car il réveillait les endormis qui s’y cognaient, alors que le coton prolongeait indéfiniment leur léthargie. Macron vient d’opter pour le mur, et il faut nous féliciter de son insondable bêtise.

À tous, je souhaite un prompt réveil et un retour au réel le moins douloureux possible!

Antonin Campana




Macron proclame l’état de guerre civile

[Source : yetiblog.org]

Macron « l’emmerdeur » proclame l’état de guerre civile

Par Pierrick Tillet

Faut-il s’étonner des derniers propos du président Macron se proposant « d’emmerder » les Français non-vaccinés ? Faut-il s’offusquer qu’il les relègue au rang infamant de non-citoyens ?

En proclamant l’état de guerre civile dans son pays alors que celle-ci couve sous la cendre depuis le début de la crise sanitaire, sinon même le début de son quinquennat, Macron ne fait qu’enfoncer une porte fort aventureuse depuis longtemps ouverte.

Parler d’une « stratégie » visant à diviser la population me paraît un brin présomptueux pour qualifier l’attitude de ce crétin dépité par la résistance d’une frange des citoyens. “Stratégie électorale” ? Bof, dans cette 5ème République archi-verrouillée par des gangsters, il y a longtemps que l’avenir du pays ne se joue plus dans une élection, fût-elle présidentielle.

Quand on déclare la guerre à son peuple, il ne faut pas s’étonner d’en subir les conséquences

Penser que cette “stratégie” va achever de convaincre les non-vaccinés de renoncer à leur position relève d’une totale immaturité politique. Penser que Macron va soulever la masse des vaccinés contre le dernier carré des réfractaires à l’injection Big Pharma, c’est comme imaginer qu’on ait pu réduire la Résistance des années 40 en faisant donner les foules pétainistes pétrifiées.

Comme le démontre les premières réactions ouvertement hostiles aux dernières saillies présudentielles, c’est évidemment le contraire qui a toutes les chances de se produire. Les résistants aux vaccins vont se braquer un peu plus… et s’éloigner des solutions pacifiques. Les bons soldats macronistes viendront pleurnicher après contre les menaces de plus en plus directes qui leur tombent déjà dessus.

Quand on déclare la guerre à son peuple, il ne faut pas s’étonner d’en subir les conséquences en retour.




Comment l’État Profond cache les vaccinés morts du COVID

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Le Deep State, nous en avons tous la conviction intime, cache le véritable nombre de décès dus au COVID chez les vaccinés. Intuitivement, nous comprenons pourquoi : pour faire vivre le « narratif » génocidaire du « tout, c’est la faute des non-vaccinés », que des hiérarques paresseux répètent à l’envi, il faut des chiffres établissent sans conteste que le COVID tuent beaucoup plus les non-vaccinés que les vaccinés. Au fil des jours, les comparaisons rétrécissent. Un informateur proche du pouvoir a bien voulu nous fournir son analyse statistique sur la façon dont les services du gouvernement donnent une vision « favorable » des chiffres.

Selon un document interne, également transmis à France-Soir, les analyses de la DREES sont délibérément truquées ou “orientées” pour diminuer intentionnellement les chiffres sur la mortalité du COVID parmi les vaccinés, et pour les gonfler parmi les non-vaccinés. 

Augmenter la mortalité des non-vaccinés, un enjeu essentiel

Nous comprenons tous les raisons pour lesquelles les statistiques tentent de prouver qu’il y a beaucoup plus de non-vaccinés morts, ou malades, que de vaccinés. Tout le “narratif”, comme on dit désormais, sur l’efficacité du vaccin en dépend. 

Il n’en demeure pas moins que les vrais chiffres, c’est-à-dire les chiffres bruts en dehors des proportions et des taux, donnent une vision beaucoup plus nuancée de la réalité que les discours officiels. 

Selon les porte-voix de la caste, en effet, les services de réanimation sont à 80 ou 90% peuplés de non-vaccinés. 

C’est malheureusement (ou heureusement, tout dépend du point de vue) très faux. 

Des réanimations avec 90% de non-vaccinés ?

Dans la pratique, pour le seul mois de septembre/octobre, les vaccinés représentaient un très très gros tiers des lits en réanimation, et la même proportions de décès. 

À cette date, le schéma vaccinal était “tout frais” et les pertes de protection ne se faisaient pas encore sentir. 

Il faudrait reprendre les mêmes chiffres aujourd’hui. 

Toujours est-il que la présentation officielle, qui pondère ces chiffres en rapport avec la population estimée de personnes vaccinés ou non permet des biais “marketing” très différents. Il est en effet possible d’inférer que les vaccinés prennent douze fois moins de risques que les non-vaccinés, sans retenir les éléments extérieurs comme l’âge des personnes. 

Bref, “les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut”. 

Démonstration est faite dans ce document. 

Il n’en reste pas moins que, à la mi-octobre, il n’y avait sans doute pas 90% de non-vaccinés en réanimation, mais beaucoup moins, à un moment où la protection du vaccin était [prétendue, sur la base d’une théorie frauduleuse et d’une autre probable manipulation] la plus forte. 

On comprend mieux pourquoi l’équipe Castex s’efforce de citer des chiffres sans jamais permettre leur vérification. 




Monsieur le Premier Ministre, excusez-vous !

[Source : @vivi19591949]






Combien de milliards de « non vaccinés » au monde se sont-ils sentis insultés ?

Par Nicole Delépine

Alors que la presse internationale regarde de près la présidence française à l’UE depuis le 1er janvier 2022, le président E. Macron s’est permis une interview à haut risque dans un pays malmené, maltraité, angoissé, divisé, bref inflammable.

Déjà le courrier international titrait avant le choc du JDD du 4 janvier : « La présidence de trop ? »

« Des mesures comme le pass vaccinal aggravent les divisions dans nos sociétés », alerte Ana Navarro Pedro. Dans un entretien accordé à Courrier international, la journaliste portugaise basée en France regrette « qu’aucun des camps n’écoute plus l’autre ».

NOS SERVICES

Entretien réalisé avant les déclarations d’Emmanuel Macron publié par Le Parisien le 4 janvier dans lesquelles il dit vouloir faire peser la contrainte sur les non-vaccinés qu’il se dit prêt à « emmerder ».

Courrier international : Le gouvernement a opté pour une stratégie du tout vaccinal alors que le variant Omicron est devenu majoritaire en France. Qu’en pensez-vous ?

Ana Navarro Pedro : Dans des pays où Omicron est déjà majoritaire, on a pu observer que le vaccin n’est pas un rempart très efficace contre la contamination. En Espagne, la troisième dose n’est pas obligatoire. Israël a suspendu la quatrième. Alors que certains gouvernements marquent une pause, la France semble déterminée à avancer, notamment avec le pass vaccinal, une mesure très forte.

Quand la Tunisie a rendu le pass vaccinal obligatoire, Amnesty International a immédiatement interpellé le gouvernement pour atteinte à la liberté de travailler et de se déplacer. C’est un curieux deux poids, deux mesures. En Occident, les mesures qui sont prises pour combattre le virus sont considérées comme acceptables par les pouvoirs publics et la grande partie des médias. Hors de l’espace occidental, en revanche, ces mêmes stratégies font l’objet de critiques. »

Le JDD du 4 janvier en rajoute. Certes Aurore Bergé députée célèbre de LERM nous explique que cette interview ne devait paraître qu’après le vote de la loi du pass vaccinal prévue le 3 janvier.

Mais les députés « irresponsables » d’après le Premier ministre qui les a curieusement insultés le 4 janvier, ont souhaité approfondir un peu plus longuement ce texte fondamental susceptible de modifier notre société démocratique en orwellienne si la loi va au bout de son parcours législatif, ce qui n’est pas encore le cas. Et ils ont refusé de poursuivre l’examen de nuit, en ce premier jour de « débat ».

De nombreux députés de tous bords sentent le danger de cette loi, tant à titre collectif qu’à titre personnel, au moins pour ceux qui rêvent d’une réélection en juin. Il est clair que voter ce texte liberticide ou même s’abstenir de voter contre serait un lourd handicap pour une tentative de réélection. Car si des yeux sont encore fermés aujourd’hui, chaque jour de nouvelles personnes s’éveillent et dans six mois, elles seront plus nombreuses d’autant que les drames des complications des injections se poursuivent.

L’erreur de trop ?

Alors la sortie du président tombe comme une catastrophe supplémentaire de conséquences imprévisibles.

« Un irresponsable n’est plus un citoyen », déclare Emmanuel Macron dans son interview au Parisien. « Comment un Président, garant des institutions, peut-il dire ça ? Pourquoi jouer avec une matière si inflammable ? » Par lilianalemagna

Et la presse internationale s’empare vite du sujet.

En anglais cela donne ça : CNN : Le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’il « voulait vraiment faire chier » les non-vaccinés, dans une interview exclusive au journal Le Parisien le 4 janvier.

Mais l’ensemble du peuple se sent agressé, d’autant que de plus en plus ont compris qu’on est considéré comme vacciné que par de courtes périodes. « Il y a des non-vaccinés, des faux vaccinés et des futurs non-vaccinés » (c’est-à-dire non « boostés ») dans TOUTES les familles de France.

Les propos de Macron concernent potentiellement tous les Français : « tout vacciné est un futur non-vacciné, à trois mois près ! Tout dépend du nombre de doses qu’on accepte de faire et quand on décroche ! »

Nous devons tous être unis contre cette attaque ignoble, tweetent de nombreux twittos. « La réponse à cette nouvelle agression de Macron doit être l’union de tous les Français, vaccinés ou non, l’Union Sacrée ».

Autre journal :

President Macron says he really wants to “piss off” the unvaccinated #MACRON(([1] taype international @taypeinternat))

independent.co.uk

French president Macron says he really wants to ‘piss off’ the unvaccinated Government’s aim is to limit this group’s social life ‘as much as possible’.”

Et il y a de nombreux articles de divers endroits de la planète

« POUR L’ÉTRANGER CES PROPOS SONT UN OUTRAGE MONDIAL »(([2] CET ARTICLE VIENT DES USA… Le président français Macron stupéfie en déclarant que les non-vaxxés ne sont pas des citoyens. Le président français dit vouloir « faire chier » une petite minorité de ses compatriotes qui refusent les médicaments de Big Pharma….POUR L’ÉTRANGER CES PROPOS SONT UN OUTRAGE MONDIAL PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION.))

Ils font d’ailleurs remarquer que 45 % des terriens ne sont pas injectés et donc se sentent solidaires des non injectés français !

Et l’humour n’est pas absent !

La dernière saillie de #Manu va être l’occasion aussi de découvrir comment on dit « #emmerder » dans toutes les langues de la Terre, dans tous les médias de la Terre.

« #Macron donne une bonne image de la France à l’international ! »

#LaClasseInternationale

#TheWorldIsWatching(([3] Bassounov @Bassounov))

« Excellente lettre de Monsieur Charlelie Couture à Macron, Nous sommes en guerre

Lettre à E. Macron par Charlelie Couture…

“NOUS sommes en guerre, oui ! NOUS sommes en guerre, oui ! NOUS, les non-essentiels, NOUS, les inutiles, NOUS, les riens, NOUS, les Lumières plongées dans l’ombre, NOUS, les Gens de l’Esprit et de la Culture, NOUS, les restaurateurs, ceux des plaisirs de la bouche et du plaisir tout court,

Oui, NOUS sommes en guerre,

NOUS, les personnels et techniciens du spectacle, ceux des théâtres et des cinémas, NOUS, les Acteurs et les Comédiens mis aux arrêts forcés, NOUS, les Musiciens,

NOUS tous que vous considérez comme des paresseux, mais ne rêvons que de travailler.

Et tous ceux de la nuit, ce monde qui vit la nuit, cette nuit NOIRE que vous associez au Mal, cette peur médiévale qui accompagne la nuit quand le Diable revient, ce Mal qui grandit quand le soleil s’est couché, — désormais après 20 h —, ce Mal viral dont la définition change au gré de vos humeurs, cette menace invisible d’abord définie comme létale, mais dont la dangerosité s’estime désormais en termes de ‘cas’, (d’où la suggestion de recourir à des tests massifs afin d’obtenir des grands nombres impressionnants), dans l’intention de soumettre à se faire faire inoculer dans l’urgence, une opinion publique de plus en plus sceptique, malgré la pression permanente des médias, elles-mêmes sous surveillance. NOUS, que vous traitez avec un détachement scandaleux,

Oui, NOUS sommes en guerre contre VOUS ! Contre le Janus qui répète qu’il ‘assume’, lui qui se croit doué d’un super pouvoir de séduction absolu, qui lui permet d’envoûter et de berner comme un camelot tous ceux qu’il rencontre, lui le Petit Prince tellement condescendant vis-à-vis du Peuple et de la classe moyenne, Oui.

Nous sommes en guerre contre VOUS cet orphéon de sous-fifres opportunistes qui improvisent au jour le jour une chorale cacophonique, cette ribambelle de technocrates cyniques feignant d’ignorer froidement les drames dans lesquels plongent ceux qui sont concernés par ces décisions cyniques,

VOUS, dont les discours lénifiants et versatiles conjuguent à la fois l’ignorance et l’absurde, contre VOUS, dont les incohérences nous inondent comme des pluies acides sur notre forêt de rêves, contre vos fausses promesses et vos effets d’annonce comme un coup de bluff permanent, affirmant des choses un jour, et le contraire le lendemain avec le même aplomb !

Contre vos fanfaronnades ineptes et vos décisions inopinées, contre vos lois votées en catimini, nous sommes en guerre oui !

Contre les mafias milliardaires et autres géants de Big Pharma, contre votre déni effectif des menaces climatiques au profit d’une consommation capricieuse et sa pollution d’objets inutiles distribués par les géants de la distribution.

En guerre contre une économie de cavalerie et de course en avant qui ‘invente’ des milliards virtuels, et nous entraîne à court terme vers le grand délire d’une économie irréelle, comme une plongée dans un puits sans fond.

La France n’est pas sereine, noyée dans une sorte de chaos et d’écœurement causés entre autres par la surprotection d’une police répressive et les disputes intestines entre spécialistes illuminés aussi malsaines que des bagarres de rues entre bandes de supporteurs alcoolisés.

La France n’est pas en paix avec elle-même, quand les mêmes qui dénonçaient les lois du califat imposant le silence et le voile, oui, les mêmes interdisent de la même manière depuis des mois à la fois le théâtre, la musique, les musées, les rencontres populaires (sportives ou artistiques), et puis les restaurants, les rassemblements de fêtes joyeuses et conviviales, et maintenant Noël en famille et la Saint-Sylvestre…

Conscients que les enfants dans les écoles apprennent à devenir fous, oui, nous sommes en guerre, une guerre secrète, une guerre interne, pour l’heure encore en implosion, mais dont les conséquences seront graves. On devine la colère qui gronde et les gens désespérés sont prêts à exploser, prêts à se faire exploser, suicidaires.

Un pouvoir si puissant soit-il ne tient que par l’acceptation ou le refus du Peuple d’obéir. Désormais NOUS sommes en guerre, oui, pour défendre notre droit à continuer de vivre dignement, pour défendre notre Liberté légitime et notre droit de penser autrement !

Charlélie COUTURE

source : https://ns2017.wordpress.com »





Les malades imaginaires de Molière et la crise sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Vains et peu sages médecins ;
Vous ne pouvez guérir par vos grands mots latins
La douleur qui me désespère :
Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.

J’ai écrit ce texte il y a dix ans, bien avant cette crise sanitaire-totalitaire. Je ne faisais que méditer Molière. J’y parlais de masque sanitaire, de Boulgakov et j’oubliais de citer Watzlawyck, l’auteur du livre immortel : « faites vous-même votre malheur » à coups de dépenses de santé et de terrorisme médical façon Knock. Je recommanderai aussi le film The Road to Wellville d’Alan Parker. Mais citons-nous :

Je me suis levé au milieu de la nuit, j’avais comme un malaise. « Un vent frais m’éveilla, je sortis de mon rêve ». J’ai allumé la télé et au milieu d’autres horreurs je suis tombé sur une émission sur les centenaires. On fait pédaler des petits vieux avec des masques à oxygène, et on nous promet des merveilles. On ne nous promet jamais que des merveilles. Sans parler chiffres, comme toujours. Les gérontologues sont satisfaits et vont filer en première classe à un autre congrès. Dans cinquante ans j’aurai cent ans ! Et dans cent ?

Ce que je vois m’effare. Le monde entier crève comme Argan sous les dépenses de santé. Elles ont explosé en Chine et dans les pays du tiers-monde (j’ai été une fois hospitalisé, et très bien, pour six euros la nuit, en Bolivie !). Elles sont de mille milliards ici, de deux mille milliards là. N’importe quelle opération coûte dix ou cent mille euros, n’importe quelle chambre d’hôpital coûte deux mille euros, et je ne vous parle pas des ambulances ou du prochain forfait — c’est le cas de le dire ! Quant à la consultation à cent euros chez l’éminent spécialiste du coin, j’y ai renoncé.

 J’ai par ailleurs vu assez d’amis mourir et souffrir pour rien dans les chambres des hôpitaux les plus divers et les plus multiculturels pour daigner accorder de l’importance à la médecine d’aujourd’hui qui est en train de ruiner la planète comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV. Au train où cela va, grâce à la dette et tout le reste, nous serons deux milliards d’octogénaires en l’an 2100, bravo le monde moderne et tout son dynamisme ! L’historien chrétien Philippe Ariès nous prévenait déjà il y a quarante ans : on nous privera de notre mort. Et on aura siphonné la société. Le pronom indéfini « on » aura accompli cette énième merveille.

 J’en reviens à Molière, car on a oublié de quoi parle son malade imaginaire, qui a fasciné le grand Boulgakov dans son essai superbe : d’argent.

 Le monde de Molière est un monde bourgeois, et c’est déjà le nôtre : on n’y parle que d’argent, de manières branchées, mariage intéressé, et bien sûr de la santé. On ne croit plus en Dieu, mais on ne veut plus mourir ! On n’aime pas sa femme, mais on ne veut pas vivre seul ! On comprend pourquoi plus nous dégénérons plus nous nous reconnaissons dans ce théâtre de la Fin. Mais laissons parler le maître :

 « Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt. Trois et deux font cinq. “Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif, et rémollient, pour amollir, humecter, et rafraîchir les entrailles de Monsieur.” Ce qui me plaît de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c’est que ses parties sont toujours fort civiles : “les entrailles de Monsieur, trente sols.” Oui, mais, Monsieur Fleurant, ce n’est pas tout que d’être civil, il faut être aussi raisonnable, et ne pas écorcher les malades. »

 Argan n’oublie pas son pharmacien au passage. En attendant Homais… Parler de maladie et de santé, c’est parler chiffres et pognon. Il n’y a que l’argent qui les intéresse, et c’est bien vu de Molière. C’est pourquoi le glissement technologique de la médecine moderne, qui a succédé aux économes vaccins (les médecins aux pieds nus en Chine avaient fait tripler l’espérance de vie, et c’était une bonne espérance de vie, pas une espérance de géronte), a permis de multiplier par dix, parfois par cent, les dépenses de médecine. On ne va pas s’en plaindre, mais c’est comme ça !

 Argan est comme l’homme sans qualité, l’homme qui ne peut plus dormir parce qu’il a quelque chose à se reprocher : sa conscience. Il n’oublie pas d’être un peu scabreux au passage et poursuit son monologue festif et très technique.

 « Avec votre permission, dix sols. “Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif, et somnifère, composé pour faire dormir Monsieur, trente-cinq sols.” Je ne me plains pas de celui-là, car il me fit bien dormir. Dix, quinze, seize et dix-sept sols, six deniers. “Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse récente avec séné levantin, et autres, suivant l’ordonnance de Monsieur Purgon, pour expulser et évacuer la bile de Monsieur, quatre livres.”

 J’ignore jusqu’où ira la médecine et son humanité de vieilles carcasses retapées qui roule avec, et s’en fait tourner. On me parle d’opérations à 300 000 euros, de couvertures à quinze cents milliards… La limite comme toujours, ce sera l’argent, sauf si indéfiniment les as de Goldman Sachs aux commandes en Europe comme en Amérique arrivent à faire bonne impression et à financer nos bicentenaires, comme il est bientôt prévu de le faire. Dette publique à 2 ou 400 % ? En attendant 3000 ? Tout est de toute manière lié à de la bonne volonté mutuelle. Mais continuons, comme dirait l’autre, le génial début de cette pièce sans égale.

 “Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux, s’il vous plaît ; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade : contentez-vous de quatre francs. Vingt et quarante sols.”

 Il me semble que dans sa géniale exclamation Molière met le doigt sur la cible : nous jouons au malade, nous voulons être malades, nous voulons dépenser cet argent, nous doublons ou triplons des dépenses qui pourraient sans cela être maîtrisées. La maladie est un job à plein temps. C’est un hobby, une passion. Mais par ailleurs on sait très bien en plus qu’à part la réparation de garage avec les pièces détachées prélevées sur des morts, en attendant les clones, tout repose sur du vent dans la dépense de santé.

 “Je ne m’étonne pas si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l’autre. Je le dirai à Monsieur Purgon, afin qu’il mette ordre à cela. Allons, qu’on m’ôte tout ceci. Il n’y a personne : j’ai beau dire, on me laisse toujours seul ; il n’y a pas moyen de les arrêter ici.”

 90 % est dans le psychique. Les progrès de la médecine moderne sont les progrès de la dépense publique et donc les progrès de la bêtise humaine, celle qui se sert de la technologie comme de la télévision, parce qu’elle ne veut plus être seule et parce qu’elle a peur. L’homme n’a plus été capable de s’adresser à Dieu, il s’est déshumanisé et technicisé. Et grâce au diable, il est trop tard pour qu’il s’en rende compte. Il mourra inconscient, hagard, perclus de tubes partout, devant une webcam. On comprend pourquoi les zombis sont à la mode dans l’anticulture contemporaine.

 “Est-il possible qu’on laisse comme cela un pauvre malade tout seul ? Drelin, drelin, drelin : voilà qui est pitoyable ! Drelin, drelin, drelin : ah, mon Dieu ! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.”




Ô Macron fol polymorphe !

Par Lucien Oulahbib

Sans doute, ce (te) iel s’avère être plutôt un petit Faust, peut-être Pinocchio, au moment de sa bascule en mauvais garçon (manqué ?). Du moins en apparence, car cette « chose » s’apparenterait plus (« en dernière instance ») au dément de Psychose se prenant pour sa mère qu’il aurait imaginé comme étant l’autre « iel ». Impossible (n’est pas français) ? Les magiciens et sorciers se perdent en conjectures.

En tout cas, sa hargne, si précieuse, à vouloir démanteler minutieusement ce qu’il nomme les « non-vaccinés » (les rescapés de cette démesure en réalité) montre bien que nous avons affaire à un maniériste, chauffeur maniaque des Grands Chemins qui autrefois vous brûlaient les pieds, aujourd’hui la cervelle à coup d’ondes TV et Radio véhiculant leurs halos hagards, vitupérant sur ceux qui refusent de se faire piquer (alors qu’il en reste encore quatre à s’enfiler), en prétextant qu’ils encombreraient les hôpitaux alors que si c’était vrai il aurait suffi de laisser les médecins prescrire et de ne pas leur fermer autant de lits.

Ce fiel, qui comme l’enfer est pavé de bonnes intentions, se déverse telle une lave non seulement totalitaire, mais purificatrice, à la façon de ces fanatiques qui il n’y a pas si longtemps allaient brûler les incroyants (puis on les guillotina et gaza — progressisme oblige — tout en hurlant, vociférant : « Science ! Science ! Science ! », façon horde du Ku Klux Klan nouvelle mouture.

Nous en sommes là donc, à creuser le fond d’une morgue, désormais sans plus aucun autre « garde fou » que le Peuple qui, peut-être, comme autrefois, à Valmy, saura dire NON !!! : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons »… Nous, les impurs…




Pétition pour la destitution du président Macron

[Source : leslignesbougent.org]

Pétition pour la destitution du président Macron

Nous,
citoyens français, demandons une motion de censure à l’Assemblée nationale en vue de la destitution du président Macron et de son gouvernement pour manquement grave à sa fonction présidentielle, maintient d’une population dans un état d’urgence sanitaire abusif, mensonge d’état, corruption, mauvaise gestion de crise, détournement d’argent public à des fins personnelles de campagne électorale, prise d’intérêt, mise en danger de la vie d’autrui, abus de pouvoir, népotisme, cloisonnement et discrimination d’une partie éclairée de la population, décohésion sociale, gouvernement par la peur et la répression, désorganisation de l’appareil constitutif et administratif de la France, accusations calomnieuses à l’égard des services sanitaires du pays, pillage en règle et en bande organisée des richesses de la nation, détournement des médias à des fins de propagande coercitive et nuisible au bien être physique et psychique de ses administrés, empoisonnement par abus et usure d’ustensiles non appropriés au bien-être de tous (masques inutiles et polluants), incitation à l’ostracisme et à la violence, tentative de génocide par obligation d’utilisation de produit non réglementés et dont la dangerosité est avérée (thérapie génique), mensonge par omission et manipulation de masse par des personnes détenant autorité, élitisme, bafouement de la constitution de la 5e république, promulgation par décrets de lois iniques en vue d’asservissement des citoyens, décrédibilisation et destruction du système de santé, utilisation des pouvoirs publics et des forces de l’ordre à des fins de répression, privation des citoyens de leurs libertés fondamentales d’expression, de pensée, de mouvement et d’épanouissement.

Nous demandons également la mise sous tutelle populaire du Sénat, du Conseil Constitutionnel et de l’Assemblée nationale pour prise d’intérêts ainsi que le Conseil de l’ordre médical, la faculté de médecine, la magistrature et les différentes académies qui se sont portés caution de ces agissements.

Nous demandons que ce président restitue les pouvoirs que le peuple lui a confiés au début de son mandant.

Qu’il soit saisi de tous ses biens et avoirs pour rembourser tout ou partie du préjudice susnommé.

De même une interdiction électorale et également une interdiction de pratiquer sur le territoire.

Qu’il soit également dessaisi de ses appointements de retraité de la haute fonction publique après son mandat.

L’abrogation et l’annulation pure et simple de tout son mandat y compris l’annulation des ventes des fleurons technologiques du pays à des puissances étrangères et soit poursuivit pour haute trahison.

Auteur : Luqy

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Di Vizio appelle à la destitution de Macron

[Source : https://twitter.com/DIVIZIO1]




Et si la plus grande expérience de l’histoire sur les êtres humains était un échec ?

[Source : anguillesousroche.com]

Un collègue analyste boursier chevronné m’a envoyé un lien par SMS aujourd’hui, et lorsque j’ai cliqué dessus, j’avais du mal à croire ce que je lisais. Quel titre. « Le PDG d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana affirme que les décès ont augmenté de 40 % chez les personnes âgées de 18 à 64 ans ».

[Ndlr : l’accès à l’article étant visiblement interdit depuis l’UE — signalé par plusieurs utilisateurs —, voici sa capture PDF :]

Ce titre est une bombe de vérité nucléaire se faisant passer pour l’enveloppe de manille sèche d’un agent d’assurance pleine de tables actuarielles.

Des personnes nous écrivent fréquemment, à Jill et à moi-même. Des gens que nous n’avons jamais rencontrés. Ils appellent, ils viennent à la ferme sur rendez-vous ou à l’improviste, ils remplissent nos boîtes aux lettres électroniques de leurs demandes. Ils veulent tous quelque chose : du temps, de l’attention, une interview. Beaucoup veulent nous parler de leurs peurs, de leurs maladies, de leurs cauchemars ou (ce qui semble souvent) de conspirations paranoïaques. Et puis, avec le temps, ces peurs et ces « conspirations » se confirment. Comme me l’a dit récemment Jan Jekielek (rédacteur en chef du Epoch Times), il est de plus en plus difficile de distinguer les théories du complot de la réalité.

Un visiteur de ferme m’a raconté qu’il avait prédit un nombre massif de décès dans les trois années à venir à cause des vaccins génétiques, et que tout cela était lié au « Grand Reset » et au programme de dépeuplement du Forum économique mondial (FEM). J’ai essayé de le rassurer en lui disant que, selon moi, c’était hautement improbable – tout en pensant en privé à la facilité avec laquelle les gens tombent dans ce type d’idées de conspiration, et au fait que je dois faire attention à ne pas tomber dans ce travers lorsque je suis confronté à tant de décisions de santé publique qui semblent soit incompétentes, soit infâmes. À l’époque, je ne connaissais le FEM que comme l’hôte d’une grande fête annuelle à Davos, en Suisse, où les super riches et les hoi oligoi des nations occidentales se rendaient pour assister à des conférences Ted, boire le meilleur vin, voir et être vu. Je suis stupide. Quel long et étrange voyage cela a été. Je doute que même Hunter S. Thompson aurait pu l’imaginer dans son état le plus drogué et alcoolisé. Il suffit de dire que je nomme Ralph Steadman comme illustrateur officiel de la pandémie de SRAS-CoV-2. Ou un Hieronymus Bosch ressuscité.

Mais je m’éloigne d’un point que j’ai peur d’énoncer clairement.

Il commence à me sembler que la plus grande expérience sur les êtres humains de l’histoire a échoué. Et, si ce rapport plutôt sec d’un cadre supérieur d’une compagnie d’assurance-vie de l’Indiana s’avère vrai, alors la campagne de Reiner Fuellmich sur les « crimes contre l’humanité » visant à convoquer de nouveaux procès de Nuremberg commence à sembler beaucoup moins chimérique et beaucoup plus prophétique.

Voici ce que m’a inspiré ce rapport de Margaret Menge, collaboratrice de The Center Square.

« Le directeur de la compagnie d’assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré que le taux de mortalité avait augmenté de 40% par rapport aux niveaux d’avant la pandémie chez les personnes en âge de travailler.

« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l’histoire de cette activité – et pas seulement chez OneAmerica », a déclaré le PDG de la compagnie, Scott Davison, lors d’une conférence de presse en ligne cette semaine. « Les données sont cohérentes chez tous les acteurs de cette activité ».

OneAmerica est une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars dont le siège social se trouve à Indianapolis depuis 1877. La société compte environ 2 400 employés et vend de l’assurance-vie, notamment de l’assurance-vie collective aux employeurs de l’État.

M. Davison a déclaré que l’augmentation du nombre de décès représente « un nombre énorme, énorme », et que ce ne sont pas des personnes âgées qui meurent, mais « principalement des personnes en âge de travailler de 18 à 64 ans » qui sont les employés d’entreprises qui ont des plans d’assurance-vie de groupe par le biais de OneAmerica.

« Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c’est que les taux de mortalité ont augmenté de 40% par rapport à ce qu’ils étaient avant la pandémie », a-t-il dit.

« Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigmas ou d’une année sur 200 correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. « Donc 40 %, c’est du jamais vu ».

Alors, qu’est-ce qui explique cette hausse sans précédent de la mortalité toutes causes confondues ?

« La plupart des demandes de remboursement de décès déposées ne sont pas classées comme des décès COVID-19,

‘Ce que les données nous montrent, c’est que les décès qui sont déclarés comme des décès COVID sous-estiment grandement les pertes réelles de décès parmi les personnes en âge de travailler à cause de la pandémie. Il se peut que tous les décès ne soient pas inscrits sous la rubrique COVID sur leur certificat de décès, mais leur nombre est tout simplement énorme, énorme.’ »

Prenez un moment pour lire l’article en entier. Maintenant. Puis continuons, en supposant que vous l’ayez fait.

AU MINIMUM, d’après ce que j’ai lu, on doit conclure que si ce rapport se tient et est confirmé par d’autres dans le monde aride des actuaires d’assurance-vie, nous avons à la fois une énorme tragédie humaine et un profond échec de politique publique du gouvernement américain et du système HHS américain pour servir et protéger les citoyens qui paient pour ce « service ».

Si cela est vrai, alors les vaccins génétiques si agressivement promus ont échoué, et la campagne fédérale claire visant à empêcher un traitement précoce avec des médicaments vitaux a contribué à une perte massive et évitable de vies.

Au pire, ce rapport implique que les mandats fédéraux de vaccination sur le lieu de travail ont conduit à ce qui semble être un véritable crime contre l’humanité. Des pertes massives de vies chez des travailleurs (présumés) qui ont été forcés d’accepter un vaccin toxique à une fréquence plus élevée que la population générale de l’Indiana.

DE PLUS, nous avons également vécu la campagne de propagande et de censure la plus massive et la mieux coordonnée au niveau mondial de l’histoire de l’humanité. Tous les grands médias de masse et les entreprises de technologie des médias sociaux se sont coordonnés pour étouffer et supprimer toute discussion sur les risques des vaccins génétiques ET/OU des traitements alternatifs précoces.

Si ce rapport est vrai, il faudra rendre des comptes. Il ne s’agit pas seulement d’écraser le premier amendement de la Constitution des États-Unis et de le broyer dans la boue avec une armée d’infanterie lourde alimentée par l’intelligence artificielle. Cet article se lit comme la description sèche d’un événement de masse évitable causé par une procédure médicale expérimentale obligatoire. Une procédure pour laquelle toutes les possibilités pour les victimes de s’informer sur les risques potentiels ont été méthodiquement effacées de l’internet et de la conscience publique par une cabale internationale corrompue opérant sous le drapeau de la « Trusted News Initiative ». George Orwell doit se retourner dans sa tombe.

J’espère avoir tort. Je crains d’avoir raison.

Lire aussi : Malone : Ne prenez pas part au mensonge

Sources : Zero HedgeDr. Robert Malone via Substack




La forteresse Macron se lézarde ! infligez-lui la déroute qu’il mérite

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une dérouté à ce président scélérat.



La forteresse Macron n’est pas encore tombée, mais des fissures, et mêmes des brèches s’ouvrent dans l’édifice, qui laissent à penser que tout est désormais possible. 

Travail de sape dans la forteresse Macron

Hier, les députés se sont rebellés contre le mépris présidentiel pour le débat parlementaire. Il faut dire que les couleuvres commencent à être trop grosses à avaler, même pour un député grouillot qui doit son élection au Président (et qui lui devra, en juin, si les choses continuent, son élimination au premier tour des législatives). 

Déjà, cet été, le Président avait attendu la veille de la Fête Nationale pour annoncer la vaccination obligatoire des soignants et le passe sanitaire. Attendre que les Français soient en vacances pour prendre ce genre de mesure autoritaire n’a rien de glorieux. 

Déjà, cet été, le Président avait exigé des députés qu’ils votassent sans broncher un texte qui en a fait vaciller plus d’un. 

Mais cet hiver, rebelotte. Et cette fois, ce ne sont pas les séjours à la plage qui ont morflé. C’est la trêve sacrée entre le renouveau de la lumière et le changement d’année. 

Il est probable que très peu de conseillers autour d’Emmanuel Macron aient un sens sacré suffisant pour comprendre combien ce genre d’habitude devient déplacée lorsqu’elle touche aux fondements spirituels de la société. Mais nous sommes convaincus que cette maladresse a un impact beaucoup plus important qu’on ne le pense. 

Mais Macron ne s’est pas contenté du prétexte d’une prétendue cinquième vague pour imposer des mesures copiées de l’Italie. Il ne s’est pas contenté de faire travailler les conseillers d’Etat entre Noël et Nouvel An. Il a aussi exigé des députés qu’ils accélèrent les débats jusqu’à ne plus débattre… pour pouvoir tenir un calendrier dont on mesure les sous-entendus politiques. 

Tout ce que Pfizer prend n’est plus à prendre

Qui est dupe, désormais, de la soumission du pouvoir en France aux intérêts de Pfizer ?

L’ampleur des effets secondaires est de plus en plus difficile à nier. Même dans les beaux quartiers parisiens, l’affaire prend une tournure inattendue, comme le montre ce message sur les réseaux sociaux :

Peu à peu, le “narratif” gouvernemental prend l’eau. Les doutes viennent à un nombre grandissant de personnes sur l’empressement que Macron met à refourguer du Pfizer à tour de bras. 

Dans la rue, on entend partout que la troisième dose passe mal. Ceux qui la subissent prennent de façon fréquente de plein fouet des effets secondaires extrêmement désagréables. Il devient difficile de les cacher, et la cécité du ministre de la Santé sur ce point est suspecte. 

Lorsque les “complotistes” en parlaient, on pouvait ricaner. Mais lorsque soi-même on fait l’épreuve de ce moment difficile, l’esprit s’ouvre…

L’annonce d’une quatrième dose, dans ces conditions, a beaucoup fragilisé la crédibilité de la politique menée par Macron. Beaucoup en viennent à se demander ce que cela cache vraiment !

Profitons-en pour contre-attaquer de façon unie

C’est le moment de passer à l’action !

Nous vous proposons une action commune entre Rester libre ! et Bon Sens, l’association créée par Christian Perronne et quelques autres. 

Il s’agit d’expliquer à votre député que vous ferez ce qu’il faut pour qu’il ne soit pas réélu s’il vote le passe sanitaire. 

Je suis très heureux de cette alliance avec Bon Sens pour mener cette action de dissuasion. 

Vous trouverez ici tous les détails sur cette action qui vous prendra 5 minutes. Ces 5 minutes sont vitales pour la démocratie.

De toutes les manières, passez à l’action. Sortez de la mine, descendez des collines. Tout ce que vous ferez ira dans le bon sens. 

Figurez-vous que 2022 peut nous réserver d’excellentes surprises ! et figurez-vous que vous pouvez contribuer à les créer !




Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19

Auteur : « Bon Sens »

Des témoignages, des études, des appels à la prudence mis à mal, quand bien même LES FAITS sont édifiants et prouvés scientifiquement.

Tous ces appels de Médecins, Scientifiques, lanceurs d’alerte ne peuvent plus être ignorés…

Le Conseil mondial de la santé (WCH) appelle à un arrêt immédiat des « vaccins » expérimentaux contre la Covid-19, dans une déclaration qui a été créée et signée par des médecins, des avocats et d’autres personnes aidant à diriger le nouveau Conseil mondial de la santé.

ET CEUX NE SONT PAS DES CONSPIRATIONISTES !

Des experts de renommée mondiale, dont le Dr Paul Alexander, le Dr Byram Bridle, le Dr Geert Vanden Bossche, le Prof. Dolores Cahill et les Drs. Sucharit Bhakdi, Ryan Cole, Richard Fleming, Robert W. Malone, Peter McCullough, Mark Trozzi, Michael Yeadon, Wolfgang Wodarg et Vladimir Zelenko, ENTRE AUTRES, avertissent constamment le monde des effets indésirables résultant des injections expérimentales de Covid-19. ILS mettent également en garde contre leurs effets à long terme, qui ne peuvent être connus pour le moment, car la plupart des essais cliniques ne seront achevés qu’en 2023, et certains jusqu’en 2025.

Le Conseil mondial de la santé a débuté en septembre 2021 dans le but de fournir les derniers avis scientifiques impartiaux. Il s’agit d’une coalition faîtière initialement composée de 45 organisations axées sur la santé du monde entier. Les recommandations élaborées par les médecins sont conçues pour aider le public à prendre les meilleures décisions en matière de santé.

Le Conseil mondial de la santé déclare qu’il est temps de mettre un terme à cette crise humanitaire. En outre, le Conseil déclare également que toute implication directe ou indirecte dans la fabrication, la distribution, l’administration et la promotion de ces injections viole les principes fondamentaux de la common law, du droit constitutionnel et de la justice naturelle, ainsi que le Code de Nuremberg, la Déclaration d’Helsinki et d’autres traités internationaux.

Nous savons maintenant que les enfants sont plus de cent fois plus susceptibles de mourir de ces injections expérimentales que Covid-19.

Les athlètes injectés, dans le monde, s’effondrent sous nos yeux. Malgré le fait que les systèmes de notification soient limités et passifs, des millions d’effets indésirables ont été enregistrés, notamment la mort, la paralysie, les caillots sanguins, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite, la péricardite, les crises cardiaques, les fausses couches spontanées, la fatigue chronique et la dépression extrême…

Déclaration du WCH (World Council for Health) ⬇️⬇️

Déclaration du Conseil mondial de la santé sur Omicron (B.1.1.529) ⬇️⬇️



Une autre déclaration, celle de Barrington, qui regroupe des épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, qui sont vivement préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et ils recommandent une approche qu’ils appellent, la protection ciblée.

Déclaration De Great Barrington ⬇️⬇️

https://gbdeclaration.org/

[Voir aussi :
Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington]




Mussolini, inspirateur de Macron ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Avi Morris

Vu d’Israël, ces polémiques sur la comparaison entre la politique vaccinale actuelle et le statut des juifs de Vichy à la suite du tweet du professeur de philosophie @rene_chiche ne manquent pas de surprendre. D’une part, la comparaison avec les débuts du nazisme fait également partie des éléments d’argumentation avancés par les opposants au passeport sanitaire en Israël – nous aurons l’occasion d’y revenir dans une prochaine contribution ; d’autre part, quand on sait la fascination qu’exerce le philosophe nazi Heidegger sur une partie de l’intelligentsia française, il est toujours amusant de constater les ravages de la bonne conscience à critiquer toute comparaison avec le nazisme.

Ce qui nous paraît nettement plus inquiétant que les tweets du professeur Chiche, c’est le discours des vœux du président Emmanuel Macron le 31 décembre 2021 que, bien évidemment, ceux qui attaquent ce professeur de philosophie, se gardent bien de relever. Comme l’a déclaré le président Macron :

« enfin, nous appuyer sur la responsabilité de chacun, principalement en se faisant vacciner, pour soi et pour les autres. Être un citoyen libre et toujours être un citoyen responsable pour soi et pour autrui ; les devoirs valent avant les droits ».

Cette phrase est très troublante. Pour citer Mussolini :

« Le concept de liberté n’est pas absolu car, dans la vie, il n’y a rien d’absolu. La liberté n’est pas un droit, mais un devoir. Ce n’est pas un cadeau : c’est une conquête ; ce n’est pas une égalité, c’est un privilège. Le concept de liberté change suivant le moment. Il y a une liberté en temps de paix, qui n’est plus la liberté en temps de guerre. Il y a une liberté en temps de richesse, qui ne peut être accordée en temps de misère ».

(Ve anniversaire de la fondation des Faisceaux, 24 mars 1924 ; dans Scritti e Discorsi, vol. IV : Il 1924, Milan, Hoepli, 1934, p. 63, reproduit dans B. Mussolini, La doctrine du fascisme, disponible sur internet).

Pour citer Charles Maurras :

« j’ai toujours cru que le privilège des droits représentait le privilège des devoirs ».

(C. Maurras, Mes idées politiques, Fayard, 1937, p. 125)

Nous avons déjà montré dans un précédent article dans le Courrier des stratèges les références douteuses du président Macron et le scandale que constitue sa déclaration lors de la remise de la légion d’honneur à Jesse Jackson :

« Les valeurs pour lesquelles vous vous êtes battu sont les mêmes que celles de la République française […] Vous êtes notre frère ».

Apparemment, pour 2022, le message est clair : nous n’avons pas encore tout vu dans le déploiement de la rhétorique du Président Macron : les non-vaccinés comme les Juifs en 1940 ne réussiront pas à passer à entre les gouttes. Pendant ce temps, les soutiens du Président préfèrent faire l’autruche et s’en prendre à un professeur de philosophie.