Des documents australiens prouvent que les vax anticovid ne servent à rien si ce n’est à rendre encore plus malade

[Source : pgibertie.com]

LES DOCUMENTS INTERACTIFS DU GOUVERNEMENT AUSTRALIEN PROUVENT QUE LES MULTIDOSES REPRESENTENT 99 % DES HOSPITALISÉS (sur six mois)

Par pgibertie

800 cas de covid dans un paquebot de croisière, le Majestic Princess ! Tous les passagers sont isolés à Sydney !… La compagnie n’acceptait que des vaccinés covid !

La croisière se covide au moment où l’on apprend le pire pour les injectés dans la province de Sydney.

Cette analyse est une preuve supplémentaire de la catastrophe médicale cauchemardesque que nous avons entre les mains, le résultat fanatique des ignorants les avertissements de vrais experts :

https://bit.ly/3ujYTQG

Chacun peut facilement vérifier ce qui s’est passé durant l’hiver australien qui est terminé. Quelle que soit la catégorie d’âge en ce moment 100 % des hospitalisés avec Covid sont vaccinés. Sur les six derniers mois, on se retrouve à 99 % de vax.

Rapporté au nombre d’hospitalisations en fonction du statut vaccinal, pour un million de 4 doses et plus on compte de 90 à236 hospitalisés par million de vaccinés quatre doses. On compte de 0 à 1 hospitalisé par million de non vax.

Ces stats sont celles de la province de Sydney qui compte 8,5 millions d’habitants :

LES EXPLICATIONS

Ils se contentent de constater une augmentation temporaire des anticorps pendant quelques semaines après les boosters, pour crier victoire… Et pourtant nous savons maintenant que la protection contre les formes graves ne passe pas essentiellement par les anticorps.

Cette dernière étude de chercheurs de l’Université de Cambridge laisse plus que perplexe. Ils constatent en effet, chez les plus de 70 ans boostés, une augmentation des lymphocytes B circulants « atypiques », une altération des réponses des lymphocytes T à la fameuse spike. Les chercheurs concluent à une neutralisation plus faible, comprenez donc au risque d’une maladie plus grave pour les plus fragiles…

Les plus fragiles ont une sensibilité accrue au Covid après les boosters, une dose de plus c’est une dose de trop qui aggrave la maladie

ET POUR COMPLÉTER :

Les « vaccins » Covid provoquent des myocardites et des péricardites, mais pas les infections Covid. Énorme étude de plus de 500 000 participants. On nous a encore menti. Combien de fois les experts nous ont-ils dit que la myocardite post Covid était pire ?

https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9025013/




Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques

[Source : L’Échelle de Jacob via reseauinternational.net]

Par Professeur Marc Henry.

De multiples études scientifiques le prouvent, les champs électromagnétiques artificiels (Wi-Fi, Bluetooth, téléphone portable, ordinateur, compteur Linky, etc.) perturbent notre biologie interne (impacts sur l’activité du cerveau, modifications neurologiques/neuropsychiatriques, augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique apparente, etc.).

Dans ce webinaire présenté par Mathilde Dufourcq, le Professeur Marc Henry nous explique de manière très concrète et très détaillée comment toutes ces belles technologies (dont nous apprécions pourtant pour beaucoup les avantages qu’elles nous procurent au quotidien) produisent des dégâts sur notre santé.

[Voir aussi :
Communication entre organismes vivants par biophotons,
Les trois émotions qui guérissent
et Dossier 5G et ondes pulsées]

Par bonheur, le Pr Marc Henry nous livre des préconisations avisées des meilleures solutions de protection contre les ondes électromagnétiques extérieures… validées par la science !

https://www.youtube.com/embed/HRKtwI49HiI

Toutes les informations utiles pour trouver le ou les produits [CMO] qui correspondent à vos besoins (et à votre budget) sont sur cette page :

https://www.cem-vivant.com/page-vivovojo,190.html




Certains scientistes veulent vacciner le monde contre la famine

[Source : FranceSoir]

De la gestion de la faim dans le monde par la vaccination de masse

Par Marilis Valo, pour FranceSoir

[Illustration :

« S’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie ».

Pixabay

]

TRIBUNE — Lorsque j’étais enfant, la recherche scientifique, telle qu’on me la présentait, avait pour objectif majeur de trouver des solutions à des problèmes humains cruciaux, en s’attaquant à leur cause.

Aujourd’hui, il semblerait que l’élite scientifique, dans sa vaste majorité, ne s’intéresse plus vraiment aux causes. Pour preuve, cet étonnant article publié le 10 septembre dernier par le Dr Peter J. Hotez dans le magazine Trends in Pharmacological Sciences, intitulé « Malnutrition vaccines for an imminent global food catastrophe » (Face à une catastrophe alimentaire mondiale imminente : des vaccins contre la malnutrition).

Des vaccins contre la malnutrition, donc. Des vaccins pour lutter contre ce que l’auteur considère comme une pandémie de famine quasi inéluctable. L’article commence ainsi :

« Outre le changement climatique, les événements géopolitiques en Ukraine et les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement dues à la pandémie de COVID-19 pourraient provoquer des pénuries alimentaires mondiales, voire des famines de masse. Parmi les nouvelles interventions prometteuses, citons les vaccins destinés à prévenir les causes infectieuses de la malnutrition ou les infections causant de manière disproportionnée la mort des personnes mal nourries. »

Le Dr Hotez développe son argumentaire en précisant que :

« Certaines infections humaines, notamment les infections chroniques, [qui] peuvent provoquer une carence en micronutriments, une dénutrition ou, dans certains cas, les deux formes de malnutrition. »

Et le chercheur d’énumérer les pathogènes et maladies coupables de tant de malheurs, puis de proposer sa vision d’un monde meilleur : des populations entièrement vaccinées et revaccinées contre des infections qu’il semble considérer comme la cause première de leurs carences alimentaires. En tête de peloton : l’ankylostomose, objet favori de ses recherches depuis le tout début de sa carrière ; puis la schistosomiase, la malaria, les shigelles et enfin, la tuberculose.

Pour le Dr Hotez :

« Ces vaccins pourraient être priorisés, tout comme les décideurs mondiaux ont accéléré les vaccins COVID-19 à partir de 2020. Ces actions seraient en accord avec les engagements de la Décennie d’action des Nations unies pour la nutrition lancée en 2016 (et qui s’étend jusqu’en 2025) pour renforcer les systèmes sanitaires et alimentaires nationaux autour des besoins et des urgences nutritionnels. »

Comme nombre de ses collègues adeptes de ce que j’appellerai la « science unique », celle qui ne supporte pas la réflexion critique et s’établit en seule détentrice d’une vérité indiscutable, le Dr Hotez raisonne potentiellement juste, mais sur des bases assurément fausses. Le hiatus proviendrait-il d’une représentation trop simpliste du cycle des causes et des effets ?

Le site de VOICE (the Value Of Immunization Compendium Evidence), ardent avocat de la cause de la vaccination de masse perpétuelle, présente le cycle de la sous-nutrition d’une façon intéressante. Voici ma traduction du diagramme que propose VOICE pour expliquer pourquoi il faut vacciner les personnes sous-alimentées :

Comme vous le voyez, ce diagramme représente un cercle vicieux sans début ni fin, qui ne présente en aucun cas la malnutrition comme étant la cause majeure de la sous-nutrition, de laquelle découlent toutes les autres conséquences.

Mais un article du journal Frontiers in Immunology nous propose un diagramme tout différent pour expliquer le lien entre malnutrition et maladies infectieuses, que je résume ici très succinctement (voir le diagramme complet en anglais) :

La phrase d’introduction de cet article (Mechanisms of Kwashiorkor-Associated Immune Suppression: Insights From Human, Mouse, and Pig Studies) montre que pour ses auteurs, la malnutrition est bel et bien la cause première, la prémisse fondamentale, dont découle le cercle vicieux évolutif décrit par VOICE :

« La malnutrition désigne un apport insuffisant en énergie et/ou en nutriments. La malnutrition présente une relation bidirectionnelle avec les infections, par laquelle la malnutrition augmente le risque d’infections qui aggravent encore la malnutrition. »

[Note de Joseph :
Dans le domaine médical, les assez rares médecins et chercheurs qui appliquent réellement une démarche scientifique en sont venus à démontrer que la théorie virale et même celle des germes ne fonctionnent tout simplement pas, voire relèvent de fraude (comme on peut le voir au travers d’articles du dossier Vaccins et virus). Les maladies prétendument causées par des virus (confondus avec des exosomes et autres composants cellulaires naturels) ou par des bactéries n’apparaissent alors que comme des conséquences de différents facteurs (comme la pollution, les ondes électromagnétiques pulsées, les champs électriques, les pesticides, les émotions négatives telles que la peur et la colère, etc.) dont l’effet premier est soit la malnutrition cellulaire, soit une forme ou une autre d’empoisonnement. Et les apparentes contagions sont alors dues :
► à une exposition commune aux causes de malnutrition et/ou d’empoisonnement ;
► et/ou à une communication biophotonique entre cellules ou ADN des uns et des autres. (voir Communication entre organismes vivants par biophotons).
Avec un tel nouveau paradigme d’essence non plus scientiste, mais scientifique, logique et intuitive, les vaccins se révèlent simplement pour ce qu’ils sont très probablement : des cocktails de différentes substances nocives ou toxiques qui ont bien plus de chances de nuire à la santé des individus que de protéger de quelque maladie que ce soit.]

Nous sommes donc en présence de deux courants distincts parmi les chercheurs : une minorité d’entre eux utilise son sens commun et tente de considérer l’ensemble des causes d’un problème pour en déterminer l’origine véritable, tandis que certains membres de l’élite scientifique choisissent le facteur qui leur convient et le présente comme étant la cause première du problème en question, facilitant ainsi l’acceptation par leurs pairs des solutions technologiques qu’ils proposent.

Et, lorsqu’on néglige de s’intéresser à la cause première d’une situation dramatique, il devient facile de s’attacher à rechercher des solutions purement cosmétiques, qui permettent de masquer la dimension réelle du problème sans avoir à tenter de le résoudre.

L’exemple du Dr Hotez à cet égard me paraît frappant : il fait tout simplement abstraction du fait que la sous-nutrition est causée par la misère des populations (misère elle-même causée par des facteurs économiques, politiques et moraux sur lesquels nous ne nous appesantirons pas), et se concentre sur la recherche d’une technologie permettant de gérer quelques-uns des effets de ladite misère, la rendant ainsi plus présentable. Il s’agit pour moi d’une magnifique illustration de ce qu’est la perversion de la pensée rationnelle, qui est l’apanage de la science unique.

À la lecture de l’article du Dr Hotez, ma première réaction (épidermique, je l’avoue) a été de penser qu’il devait avoir un intérêt financier personnel à poursuivre de telles recherches : imaginez la rentabilité du marché d’un vaccin qui pourrait gérer certains effets de la misère à l’échelle planétaire ! Un marché qui ne pourrait que croître et embellir, puisqu’en masquant partiellement l’horreur de la famine, on pourrait plus facilement se dispenser de s’attaquer aux causes de cette dernière, la faisant ainsi perdurer ad vitam æternam sans le plus petit remords de conscience.

Forte de l’image négative que j’avais initialement formée au sujet du Dr Hotez, image renforcée par son omniprésence médiatique ultra-pro-vaccination tous azimuts aux États-Unis, le fait que son laboratoire ait développé le vaccin anti-Covid Corbevax (voir : extrait de la notice d’utilisation du Corbevax, répertoriant les effets secondaires possibles reconnus par le fabricant indien Biological E. Limited) distribué en Inde, et ses propos extrêmes sur ceux qui souhaitent avoir le choix d’être vaccinés ou non (il qualifie cette prise de position d’« agression anti-science »), j’ai décidé de confirmer mes soupçons au sujet de son éthique professionnelle et ai entrepris quelques recherches. Quelle n’a pas été ma surprise de constater que le patrimoine total estimé du Dr Hotez ne se montait qu’à quatre malheureux millions de dollars, somme raisonnable pour les États-Unis, surtout si l’on tient compte du fait qu’il a trente ans de carrière derrière lui, de multiples casquettes, et qu’il s’est vu décerner de nombreuses récompenses (dont la prestigieuse Scientific Achievement Award de l’AMA, reçu début 2022) qui n’ont pu qu’influencer favorablement sa rémunération. Mais, le plus étonnant, c’est que le docteur Hotez ne cesse de clamer que les chercheurs doivent cesser de breveter les vaccins pour en tirer bénéfice, afin que ces produits soient reproductibles librement et gratuitement dans les pays les plus pauvres. Et, il met scrupuleusement en pratique ce qu’il dit, puisque les vaccins élaborés par son laboratoire sont brevetés de telle sorte qu’ils ne peuvent générer aucun revenu.

Si mes informations sont justes, il semble donc que nous ayons affaire à un homme qui a foi en ce qu’il fait, et pense vraiment aider l’humanité par son travail. Du reste, il est tout à fait possible que ses travaux permettent à un certain nombre de personnes de vivre plus longtemps. Dans la même misère et souffrant toujours de la faim, certes, mais plus longtemps. Car si bien intentionné qu’il puisse être, le Dr Hotez contribue activement à la pérennisation d’un système qui préfère maquiller joliment les problèmes plutôt qu’essayer de les résoudre.

Prenons, par exemple, le cas de ces gouvernements qui, minés par la corruption, ne peuvent empêcher que certains de leurs membres rentabilisent quotidiennement la famine et la maladie qui rongent leurs populations, en détournant les aides financières généreusement octroyées par les organisations mondiales, et en trayant à l’envi les vaches à lait que sont devenues les ONG. Les campagnes vaccinales sont une manne inépuisable pour ces hommes et femmes de pouvoir corrompus, qui ont tout intérêt à ce que la situation ne change pas. Les recherches du Dr Hotez, entre autres, représentent pour eux la perspective d’une source de juteux revenus additionnels.

Et, ceci n’est qu’une illustration parmi d’autres des effets pervers de ce que j’appelle la cosmétisation des actions humanitaires, un agréable fardage de la réalité, facilité par l’influence de cette science unique qui ne souffre pas la controverse.

Les inquiétudes qu’exprimait Rabelais au sujet de la science paraissent aujourd’hui bien désuètes, largement dépassées par la réalité du 21e siècle. Car s’il est chose plus effroyable qu’une science sans conscience, c’est assurément une science qui assume sans complexe le fait que sa conscience soit pervertie.




Les trois émotions qui guérissent

[Source : thierrysouccar.com]

Saviez-vous que les personnes qui expriment leur gratitude sont plus heureuses et vivent plus longtemps que les autres ? D’après des études récentes, en témoignant sa reconnaissance, on améliore non seulement son bien-être physique et émotionnel mais aussi sa santé !

La gratitude, tout comme l’amour et la foi, sont des émotions reines. Emmanuel Duquoc nous invite à les cultiver comme on cultiverait son jardin, à les faire grandir jusqu’à ce qu’elles occupent la place principale – voire toute la place – dans notre corps et notre esprit.

Il nous initie pour cela une pratique respiratoire simple, basée sur des traditions millénaires et scientifiquement prouvée : une nouvelle forme de cohérence cardiaque d’une puissance phénoménale.

  • Vous vous sentirez chaque jour plus heureux de vivre
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Fréquentez ce livre comme un ami de bon conseil. Suivez simplement son écriture lumineuse et votre vie deviendra plus heureuse, sereine, votre santé plus solide pour plus longtemps.

« Ce livre rare, simple et beau est une leçon d’embellissement émotionnel. »

Dr David O’Hare, spécialiste international de la cohérence cardiaque

Extraits




Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous

[Source : Aube Digitale]

Par Marie D. Jones

Le monde des armes non létales a ouvert la porte à des technologies qui permettent de contrôler l’esprit, les pensées, les actions et les comportements d’une personne par le biais d’émissions de micro-ondes pulsées à haute fréquence, de transmissions électriques et d’ondes thermiques et sonores dirigées.

[Voir aussi :
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction]

Ces dispositifs peuvent contourner nos inhibiteurs habituels et pénétrer dans le corps et le cerveau humains à l’insu de la personne ciblée, jusqu’à ce qu’elle en subisse les conséquences.

Ces techniques sont utilisées depuis des décennies, non seulement à des fins de guerre, mais aussi pour mettre un terme aux manifestations et aux émeutes, réduire au silence et neutraliser les dissidents, et maîtriser les foules indisciplinées.

Le LRAD

Depuis des années, les forces de l’ordre utilisent des armes non létales, notamment le LRAD — Long-Range Acoustic Device — qui émet des ondes sonores pour mettre fin aux comportements en désorientant temporairement les victimes visées. Mais si ces dispositifs servent des objectifs pratiques et facilement identifiables pour les militaires et les forces de l’ordre, il existe une utilisation plus insidieuse de ce type de technologie.

En février 2022, les médias alternatifs ont fait état de l’utilisation du LRAD lors de manifestations contre l’obligation de vaccination à Canberra. La police fédérale australienne a admis avoir utilisé l’appareil lors d’un rassemblement du Convoi pour la liberté de Canberra devant le Parlement.

Un certain nombre de vidéos et d’images ont fait le tour des médias sociaux, montrant des personnes souffrant de diverses blessures, telles que des brûlures dues à la chaleur, des éruptions cutanées et ce qui ressemblait à des lésions provoquées par des allergies. Il a également été fait état de coups de soleil et de symptômes d’insolation, de faiblesse et de lésions auditives temporaires ou permanentes.

Au Sénat fédéral australien, le sénateur Alex Antic a soulevé la question de l’utilisation du LRAD par la police lors de la manifestation de Canberra contre les obligations relatives aux vaccins

Le sénateur One Nation Malcolm Roberts et le sénateur libéral Alex Antic ont porté la question devant le Sénat après que le bureau de Roberts ait été inondé de plaintes de manifestants qui avaient assisté à la manifestation. Le sénateur Antic a montré des photos d’un LRAD déployé aux côtés de membres des forces de police.

Les manifestants ont pris des photos de haut-parleurs LRAD sur des voitures près des sites de rassemblement, mais la réponse a été typique. On leur a répondu que le LRAD n’était utilisé que pour diffuser des communications à la foule.

Malgré le nombre important de victimes, la plupart des réponses aux allégations selon lesquelles le LRAD était utilisé pour affaiblir la foule étaient empreintes de dérision. The Conversation a rapporté le 20 février 2022 que les armes soniques telles que le LRAD étaient utilisées pour « le contrôle de la foule et la communication » et que les rapports de blessures étaient « incompatibles avec ce qu’un LRAD peut réellement faire ». Le LRAD a également été employé lors d’une manifestation Black Lives Matter en Nouvelle-Galles du Sud. La police de Nouvelle-Galles du Sud a répondu aux inquiétudes en déclarant lors d’une conférence de presse qu’« il s’agissait d’un haut-parleur normal ».

La première application officielle du LRAD a eu lieu en 2000 sur le destroyer américain à missiles guidés USS Cole, lorsqu’il a été bombardé par un petit bateau lors d’une attaque terroriste. Le personnel naval à bord du Cole a utilisé le LRAD pour héler le bateau, mais sans succès. Depuis lors, le LRAD est devenu une arme de choix pour faire face aux émeutes et aux manifestations. Des unités de LRAD portables ont été photographiées avec la police lors des manifestations du Convoi canadien pour la liberté à Ottawa, au Canada, en février 2022.

Le LRAD est souvent utilisé en mode haut-parleur pour communiquer avec la foule, mais il peut également être activé en mode infrasons et ultrasons pour causer différentes blessures et rendre malades et débilitants les émeutiers ou les manifestants. Comme nous ne pouvons pas entendre les infrasons ou les ultrasons, nous n’avons aucune idée que l’arme est utilisée sur nous jusqu’à ce qu’il soit trop tard.

L’utilisation d’un dispositif acoustique à longue portée pour diriger le son a suscité l’inquiétude des groupes de défense des droits de l’homme en raison des volumes sonores supérieurs à 90 décibels, qui peuvent endommager l’ouïe d’une personne. Comme le faisceau du LRAD ne fait pas de discrimination, toute personne se trouvant sur son chemin sera blessée, y compris des passants innocents et des enfants.

Dans un article intitulé « La police a-t-elle utilisé des armes soniques contre des Australiens qui protestaient pacifiquement contre la tyrannie du Covid ? », Reignite Democracy Australia a averti que l’utilisation du LRAD était « un autre pas vers la suppression militarisée des protestations légales en Australie ».

Ils ont déclaré qu’il s’agissait d’une attaque scandaleuse du gouvernement contre son peuple. Les médias, comme prévu, ont fait de la propagande pour étouffer l’affaire, mais les manifestants de Canberra ont utilisé tous les médias sociaux pour montrer ce qui se passait sur le terrain et, pour eux, à quel point la démocratie en Australie était tombée.

Un coup de chaud

En septembre 2020, le journaliste Matt Novak de Gizmodo a écrit un article intitulé « Les troupes américaines se sont renseignées sur l’utilisation d’une arme à rayon thermique contre les manifestants, selon un lanceur d’alerte ». Selon le témoignage sous serment dudit lanceur d’alerte, les troupes fédérales à Washington, D.C. ont envisagé d’utiliser des canons sonores et des rayons thermiques de haute technologie contre les manifestants devant la Maison-Blanche en juin de cette année-là.

Les armes thermiques n’étaient pas nouvelles en 2020. Le système de déni actif (ADS) est le nom fantaisiste de l’utilisation de faisceaux de micro-ondes invisibles qui provoquent une douleur incroyable en brûlant la peau des gens, même à distance. Les troupes américaines ont utilisé l’ADS pour la première fois en Irak après l’invasion en 2003. Certains pensent que le gouvernement américain les utilise sur son propre sol.

L’ADS produit une chaleur brûlante qui n’est pas conçue pour tuer, mais pour blesser. Comme les armes sonores, les armes thermiques sont considérées comme non létales et destinées à provoquer la douleur pour disperser une émeute ou une grande foule.

Mis au point par l’armée de l’air américaine et construit par Raytheon Technologies, l’ADS peut produire des rafales d’énergie d’une longueur d’onde de l’ordre du millimètre capables de pénétrer de 1 cm dans la peau humaine. Cela suffit à agiter les molécules d’eau dans le derme et à produire une sensation de brûlure suffisamment forte pour empêcher une personne de faire ce qu’elle fait.

L’ADS a une portée de plusieurs centaines de mètres et peut être orienté comme un projecteur. Des tests approfondis ont montré qu’aucun humain ne peut résister au faisceau pendant plus de quelques secondes.

Armes à énergie dirigée

Les armes à énergie dirigée comprennent tout type d’énergie dirigée, que ce soit sous forme de lumière, de son, de chaleur, d’électricité ou d’énergie cinétique, vers une cible ou une personne spécifique. Ces types de dispositifs ne sont pas nouveaux.

La machine russe LIDA, qui utilise des impulsions électromagnétiques pour épuiser une cible ou la priver de sommeil, est utilisée depuis avant les années 1980. La chaîne d’information CNN a diffusé un reportage spécial sur les travaux du Dr Ross Adey, qui a étudié la LIDA Machine et est apparu avec une de ces machines dans l’émission.

Le LIDA peut émettre des impulsions sonores, lumineuses et de chaleur radiante, mais généralement uniquement vers une personne se trouvant à proximité. À cette époque, Adey et son collègue, le Dr Eldon Byrd, étudiaient le LIDA comme une arme potentielle.

Certains des symptômes ou indicateurs d’une attaque par arme à énergie dirigée seraient les suivants :

  • – Réveil soudain à la même heure la nuit, comme s’il était provoqué par une force extérieure
  • – Sensations de piqûres ou d’aiguilles chaudes au plus profond de la chair, en particulier alors que l’on essaie de dormir
  • – Vibration des muscles et des parties du corps ou d’objets immobiles à proximité
  • – Battements de cœur rapides et violents et sifflements dans les oreilles
  • – Chaleur corporelle très élevée malgré un environnement frais et l’absence de fièvre réelle
  • – Fatigue soudaine et extrême

Les « armes à faisceau » à énergie dirigée utilisent la lumière et les ondes radio comme munitions. L’armée américaine étudie ces armes à énergie pulsée depuis des décennies. Un article paru en 2005 sur le site Web de MSNBC, intitulé « Malgré les promesses, les armes à faisceau d’énergie manquent toujours à l’appel », affirme que ces impulsions, qui se comportent un peu comme les phaseurs de Star Trek, peuvent constituer une forme de puissance de feu précise, instantanée et inépuisable sur les futurs champs de bataille — si la technologie est un jour réalisée sur le plan logistique.

Il semblerait que le moment soit venu de concrétiser ce potentiel. Au début de l’année 2022, le Naval Surface Warfare Center de la marine américaine a créé une nouvelle division qui se concentre sur la recherche et le développement d’armes à énergie dirigée à micro-ondes de haute puissance (HPM).

Au cours des cinq dernières années, les armes à énergie dirigée ont constitué une priorité de haut niveau pour le bureau du secrétaire américain à la défense, le financement de la recherche et du développement ayant à peu près doublé au cours de cette période.

D’autres pays admettent qu’ils développent également des armes à micro-ondes et des lasers à haute énergie.

Les projets de lasers à haute énergie et de HPM nécessitent des coûts de développement importants, mais le coût par tir est extrêmement faible comparé au coût de plusieurs millions de dollars d’un missile.

Selon les rapports de presse de la défense, le HPM peut brouiller des dispositifs et détruire physiquement des systèmes électriques. Ces rapports ne révèlent pas ce qu’il fait à un corps humain.

En 2022, on a également annoncé que des systèmes d’armes à micro-ondes à énergie dirigée pourraient être placés sur des drones de transport lourd pour abattre des essaims de drones.

Le syndrome de La Havane

Les armes à énergie dirigée sont peut-être l’étoffe des futures stratégies de champ de bataille, mais pour de nombreux « individus ciblés », qui déclarent avoir été les destinataires de cette guerre invisible, ces technologies sont déjà utilisées pour contrôler, manipuler, terroriser et harceler en dehors du champ de bataille.

En décembre 2016, des diplomates et des agents de la CIA de l’ambassade des États-Unis à La Havane, à Cuba, ont signalé des symptômes mystérieux qui sont apparus sans prévenir. Il s’agissait de maux de tête, de fatigue, de troubles cognitifs, de perte de vision, de perte d’audition, de vertiges, d’acouphènes et de perte de contrôle moteur.

Plus de 200 autres diplomates ont ensuite déclaré avoir ressenti tout ou partie de ces symptômes, ainsi que des responsables américains en Asie, en Europe, en Australie et aux États-Unis.

Selon Nicholas Davis, qui écrit dans « Qu’est-ce que le syndrome de La Havane ? » pour l’American University de Washington, D.C., en juillet 2021, les victimes ont décrit des vagues de pression à l’intérieur de leur tête, des murs de son, des bruits immenses qui ressemblaient à des essaims de cigales dans leur cerveau.

Dans les années qui ont suivi, plusieurs théories et études ont été élaborées par les agences de renseignement américaines, la Maison-Blanche et des experts médicaux travaillant pour ou en dehors du gouvernement. Le consensus était qu’il s’agissait probablement d’attaques par micro-ondes pulsées qui pouvaient expliquer les symptômes (une autre théorie bizarre était l’exposition aux pesticides).

Même 60 Minutes et New York Magazine ont présenté des reportages, tout comme de nombreuses agences de presse internationales, mais tous ont suggéré que le problème crucial était d’analyser les données pour trouver la cause profonde.

Par exemple, 60 Minutes a évoqué un rapport de l’université de Stanford qui a examiné la nature des lésions cérébrales subies par de nombreuses victimes. Le Dr David Relman, professeur de médecine à l’université de Stanford, a contribué à diriger deux groupes d’experts parrainés par le gouvernement pour enquêter sur les blessures.

« Ce que nous avons trouvé était, selon nous, la preuve évidente d’une lésion du système auditif et vestibulaire du cerveau », a déclaré Relman. « Tout, à commencer par l’oreille interne où les humains perçoivent les sons et perçoivent l’équilibre, puis traduisent ces perceptions en signaux électriques cérébraux. »

L’une des victimes était l’ancien chef de cabinet de la sécurité intérieure américaine, Miles Taylor, qui a déclaré à 60 Minutes qu’il avait été ciblé deux fois dans sa maison de Washington, ce qui sent les histoires des nombreuses personnes ciblées qui éprouvent des symptômes débilitants dans leurs propres maisons ou lieux de travail.

En ce qui concerne les plus de 1 000 rapports sur le syndrome de La Havane, le ministère américain de la Défense et les services de renseignement ont fini par admettre qu’ils ne pouvaient pas identifier « un acteur étatique étranger ou un dispositif ou mécanisme externe à l’un de ces cas ».

S’agit-il d’un groupe terroriste ou d’un acteur étatique, ou du fait que les États-Unis testent leur propre technologie d’armement ? Ce qui est effrayant, c’est que cette technologie permet à ceux qui la possèdent de cibler n’importe qui, qu’il s’agisse d’ennemis de l’État ou de personnes qui s’expriment pour protester contre le gouvernement ou les récits qu’il a choisis.

De plus, comme ces armes à énergie dirigée peuvent être activées par télécommande à une source éloignée de la victime visée, il devient très difficile de capturer les auteurs de ces attaques.

Les Tours 5G

Au cours des premiers confinements mondiaux relatifs au COVID-19 au début de 2020, de nombreux pays ont autorisé la pose de tours 5G en dépit des restrictions, les premières tours ayant été érigées à Wuhan, en Chine, près du laboratoire considéré aujourd’hui comme le berceau du virus, ainsi que dans les villes d’Italie qui ont signalé les premiers cas de COVID, puis dans l’ensemble des États-Unis et d’autres nations.

On peut se demander s’il s’agissait de l’industrie des télécommunications qui profitait de l’occasion pour installer des tours près des écoles, des hôpitaux et des maisons sans trop de contrepartie communautaire, ou d’un plan plus sinistre visant à ériger un réseau mortel de micro-ondes qui serait un jour bien plus insidieux qu’un virus.

L’auteur, chercheur et scientifique clinique Robert O. Young affirme que :

« le RADAR mural, “la méthode Havana” ou “l’effet Havana”, est un dispositif de fréquence électromagnétique [EMF] d’intimidation et d’intimidation sur des stéroïdes pour modifier le comportement humain et forcer la conformité en terrorisant une personne par la douleur et la blessure avec l’intention d’inciter, de provoquer et d’aggraver, et conçu pour humilier, faire honte et même tuer ».

Young détaille ensuite l’étendue et la puissance de cette technologie : « Lorsqu’ils sont pulsés à 2,4 GHz (micro-ondes) et à des fréquences plus élevées, sur des ambassades, des bureaux, des maisons et même des humains contenant de l’OG [oxyde de graphite], ils peuvent alors être spécifiquement utilisés pour des dispositifs d’espionnage d’écoute.

Il n’est pas nécessaire d’entrer par effraction pour placer un microphone dissimulé ; l’écoute peut facilement être réalisée en envoyant un signal de radiofréquence à micro-ondes (MWRF) dans un bâtiment, à travers les murs, en direction d’un humain inoculé de GO, avec ou sans ligne de vue directe. L’appareil peut capter n’importe quelle conversation et localiser n’importe qui, n’importe où dans le monde, à partir de n’importe quelle tour cellulaire DEW [arme à énergie dirigée] sur terre ou de plus de 20 000 satellites DEW depuis l’espace. »

En 1975, l’Assemblée générale des Nations Unies a examiné un projet proposé par l’Union soviétique, intitulé « Interdiction de la mise au point et de la fabrication de nouveaux types d’armes de destruction massive et de nouveaux systèmes de telles armes ». Parmi les derniers systèmes d’armes énumérés figuraient :

  • – Des armes radiologiques qui pourraient produire des effets similaires à ceux d’une explosion nucléaire
  • – Des armes à faisceau de particules utilisant des particules chargées ou neutres pour atteindre des cibles biologiques
  • – Des armes à rayonnement acoustique infrasonique
  • – Des armes électromagnétiques fonctionnant à certaines radiofréquences qui auraient des effets néfastes sur les organes humains.

Malheureusement, les nations occidentales n’ont pas réagi.

D’autres traités, tels que l’interdiction des armes biologiques et chimiques (tant sur le champ de bataille que dans les rues civiles), ont été créés et modifiés, mais apparemment aucun ne met fin à l’invasion de l’esprit humain ou à l’utilisation de moyens tels que les DEW pour le harcèlement et le contrôle du comportement des individus et des groupes. Comme ces armes utilisent les forces invisibles du son, de la chaleur et de la fréquence pour créer un nouveau type d’arme de guerre utilisée à distance, il est beaucoup plus facile pour ceux qui ont des intentions sinistres non seulement de s’en tirer, mais aussi de défier les traités ou les lois.

Judy Wall, rédactrice et éditrice du bulletin d’information Resonance des années 1990, dans un article intitulé « Utilisation militaire du son silencieux : Les armes de contrôle de l’esprit », affirme que des armes d’opérations psychologiques (psyops) ont été utilisées pendant la guerre du Golfe. Il s’agissait d’une « technologie subliminale altérant l’esprit… transmise par des émissions de radiofréquence standard ».

Les bulletins d’information de mars 1991 admettaient que les opérations psychologiques avaient été déployées après la destruction du système de commandement et de contrôle militaire de Saddam Hussein. Un article intitulé « La guerre psychologique de haute technologie arrive au Moyen-Orient » décrit une opération psychologique contre les troupes irakiennes pendant l’opération Tempête du désert, au cours de laquelle des émetteurs américains ont neutralisé les stations irakiennes locales et diffusé de la musique patriotique et religieuse ainsi que des « ordres et informations militaires vagues, confus et contradictoires ».

Wall écrit qu’il est possible qu’une technologie subliminale plus puissante soit également à l’œuvre, utilisant :

« Un système électronique sophistiqué pour “parler” directement à l’esprit de l’auditeur, modifier et entraîner ses ondes cérébrales, manipuler l’électroencéphalographe de son cerveau, c’est-à-dire les schémas EEG, et implanter artificiellement des états émotionnels négatifs — des sentiments de peur, d’anxiété, de désespoir et d’impuissance ».

C’est peut-être la raison pour laquelle, comme le fait remarquer Wall, les troupes irakiennes se sont ensuite rendues en masse, y compris des majors et des commandants de brigade qui ont abandonné leurs unités entières. Quels messages ont pu circuler dans le cerveau de ces soldats qui, à un moment donné, se battaient pour leur cause et ont soudainement abandonné ?

L’autrice et chercheuse indépendante Elana Freeland, dans son essai « Cette ère électromagnétique secrète : Les armes à énergie dirigée (DEW) pour le contrôle politique », décrit la longue histoire et les préoccupations actuelles concernant cette technologie, et la façon dont elle est utilisée sur nous de manière secrète, sans aucun rapport avec la lutte contre le terrorisme.

Elle met en garde : il n’est pas nécessaire d’avoir un diplôme en science de la fusée pour comprendre que le suivi par satellite et les technologies de surveillance à distance ne concernent pas seulement les « terroristes ». La torture et les interrogatoires à distance, les souvenirs déclenchés par les questions sur les neurophones et les analyseurs d’ondes cérébrales permettant des « conversations forcées » et des programmations visent à établir des camps de concentration de prisonniers de guerre électroniques dans nos foyers et sur nos lieux de travail. Il s’agit de viols mentaux et de vol de propriété intellectuelle dans nos pensées…

« Les ensembles préparatoires à la radiodiffusion codés sur des faisceaux de micro-ondes produisent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des paralysies, etc. Des maladies comme la grippe sont tirées sur des cibles. Les bâtiments où se réunissent des groupes dissidents sont transformés en points chauds instantanés. Les enlèvements gouvernementaux sont déguisés en enlèvements extraterrestres avec des faisceaux de paralysie suivis de l’effacement des mémoires à court terme et de l’implantation de faux souvenirs… »

Nous pourrions tous être des cobayes potentiels.


À propos de l’auteur

Marie D. Jones est l’auteur de nombreux ouvrages non fictionnels, dont les plus récents pour Visible Ink Press, notamment Disinformation and You : Identify Propaganda and Manipulation. Elle a contribué à des dizaines de magazines et est apparue sur la chaîne History Channel et dans plus de 2 000 émissions de radio dans le monde entier. Son site Web est www.mariedjones.com.




France — Soignants suspendus : Maître Marian vous dit comment réagir à une convocation au commissariat

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Nous avons alerté, hier, sur les convocations de soignants suspendus par la police, pour des motifs douteux qui ressemblent plus à de l’intimidation et de la recherche de renseignements qu’à l’exercice d’une bonne justice. Pour vous épauler dans la solitude de ces moments difficiles, Maître Maud Marian, pénaliste habituée à ce genre d’exercice, vous donne quelques conseils de « survie » à suivre précieusement.

https://www.youtube.com/embed/tRpKtUuxi38

Nous avons révélé hier qu’une discrète campagne se déroulait depuis plusieurs semaines, au cours de laquelle la police convoque des soignants suspendus à la manière dont la police chinoise demande aux dissidents de “passer prendre le thé” au commissariat. 

Le Courrier des Stratèges a demandé à Maud Marian quelques conseils “d’urgence” pour faire face à cette situation délicate. 

Face à la dégradation des libertés publiques, l’association Rester libre ! va accélérer la mise en place de sa caisse de protection juridique et va proposer une liste d’avocats pénalistes à ses adhérents. Le Courrier vous informera prochainement de l’évolution de ce dossier. 

En outre, nous complèterons prochainement notre dossier sur la garde à vue en publiant un plan-type de continuité de l’activité en cas d’arrestation. Tout indique que les institutions se raidissent (ma conviction personnelle est que ces dossiers sont suivis par un cabinet noir proche de l’Elysée), et rien n’exclut qu’une répression féroce ne survienne dans les prochaines semaines. 

Mobilisez-vous !




Politiquement correct et endoctrinement : l’hypnose commence dès l’enfance

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Ulrike Reisner

Changement climatique, guerre en Ukraine, crise énergétique : la pensée critique autonome des enfants doit être empêchée, avant même qu’elle ne puisse se former. Elle est remplacée par des idées endoctrinées. Les plus petits apprennent déjà que celui qui ne se soumet pas à ce diktat ne fait pas partie du groupe !

Outre de nombreuses ONG et organisations internationales, la conférence des Nations unies sur le climat suscite également l’intérêt de l’UNICEF. Dans un article récent(([1] https://www.unicef.de/informieren/aktuelles/blog/-/mit-kindern-ueber-den-klimawandel-sprechen/315994)), les parents sont instamment priés d’agir avec leurs enfants, car

« presque chaque enfant dans le monde est menacé par au moins une des menaces liées au climat ou à l’environnement en ce qui concerne la santé, l’alimentation, l’éducation et le développement, ainsi que sa propre survie. »

Une fois ce scénario de menace posé, il est facile de poursuivre l’argumentation :

« Il est urgent que nous agissions tous activement pour que le monde reste vivable pour nos enfants. Après tout, la crise climatique est une crise provoquée par l’homme. Plus la catastrophe climatique progresse, plus le danger pour les enfants augmente. Comparés à la plupart des adultes, ils sont beaucoup plus vulnérables aux variations de température ou aux maladies et moins capables de survivre à des événements climatiques extrêmes. »

Regarder la télévision au lieu de prendre une douche

Il y a quelque temps, j’ai écrit ici(([2] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/20/les-vaccinations-comment-attraper-les-plus-jeunes/)) sur la manière dont les médias, surtout ceux dirigés par l’État, influencent les enfants et les jeunes pour qu’ils se fassent vacciner contre la maladie de Corona. Ce n’est pourtant que le début. Les agressions de la technostructure et des appareils d’État sur les plus jeunes augmentent massivement — je peux l’affirmer avec certitude pour l’espace germanophone. Un tour d’horizon des offres médiatiques des ministères publics, des institutions éducatives, des ONG et des portails de communication montre que l’éducation au politiquement correct commence dès l’école maternelle. Là où les mots seuls ne suffisent pas, on crée des faits.

Dans la ville allemande de Fribourg, le conseil municipal a récemment décidé à la majorité que les enfants des écoles maternelles et primaires de la ville ne recevraient à l’avenir que des repas végétariens.(([3] https://www.tagesspiegel.de/gesellschaft/fleischlos-trotz-elternkritik-freiburg-beschliesst-vegetarisches-essen-in-kitas-und-grundschulen-8770189.html)) Le débat houleux à ce sujet s’est toutefois davantage concentré sur le fait que les menus seront plus chers à l’avenir que sur la question de savoir comment nourrir de manière équilibrée les enfants en phase de croissance et d’apprentissage.

Outre le changement climatique, la crise énergétique est actuellement très en vogue lorsqu’il s’agit d’endoctrinement précoce. La section enfant de la Radio Télévision Suisse (RTS) explique que la Suisse pourrait connaître un hiver difficile, car

« la majeure partie de l’électricité que la Suisse doit acheter provient normalement de France et d’Allemagne. Mais il n’est plus aussi sûr que ces deux pays puissent fournir cette électricité. En effet : en France, la majeure partie de l’électricité est produite dans des centrales nucléaires. Mais en ce moment, seule la moitié de ces centrales nucléaires fonctionne. L’autre moitié est arrêtée parce qu’elle doit être contrôlée ou réparée. (…) En Allemagne, le problème est qu’une grande partie de l’électricité est produite à partir de gaz naturel. L’Allemagne reçoit normalement la plupart de son gaz de la Russie. Depuis l’attaque de la Russie contre l’Ukraine, cela a changé : L’Allemagne, comme beaucoup d’autres pays, se range du côté de l’Ukraine et demande, comme beaucoup d’autres pays, que la Russie mette immédiatement fin à la guerre. Le gouvernement russe ne voit pas cela d’un bon œil. C’est pourquoi la Russie livre actuellement beaucoup moins de gaz à l’Europe. Il se peut même qu’elle ne livre plus de gaz du tout. »(([4] https://www.youtube.com/watch?v=uDZYxuQ-Y-w))

L’animateur propose également aux enfants une solution à ce scénario de menace en leur faisant résoudre une question de quiz : Qu’est-ce qui nécessite le plus d’électricité ? Dix heures de télévision ou dix minutes de douche ? C’est perfide, non ? Qui a besoin de soins corporels, l’essentiel est de rester en ligne ! Je connais peu d’enfants qui ne donneraient pas un « pouce levé ».

Atteinte à l’intégrité physique

Des études montrent que le temps d’écran chez les enfants augmente rapidement. Selon une méta-étude récente, cela représente 84 minutes de plus par jour et par enfant dans le monde depuis le début de la pandémie. Cela correspond à une augmentation de 52 %.(([5] https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2798256?guestAccessKey=2bb83659-b469-4a2f-b60e-9480451e3616&utm_source=For_The_Media&utm_medium=referral&utm_campaign=ftm_links&utm_content=tfl&utm_term=110722))

Mais comment l’endoctrinement dès le plus jeune âge pourrait-il mieux fonctionner que par le biais des téléphones portables, des tablettes, des ordinateurs, de la télévision ou des jeux vidéo ? Comment mieux influencer les consciences et les comportements le plus tôt possible ? L’éducation à un comportement politiquement correct s’immisce ici impitoyablement dans les domaines les plus intimes des enfants et de leurs familles. Les rôles de genre et les structures familiales sont détruits avant même que l’adolescent ne puisse s’en rendre compte.

Le « Regenbogenportal » (Portail Arc-en-ciel) est un site Internet du ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, des femmes et de la jeunesse en Allemagne. On y explique aux enfants avant la maturité sexuelle qu’ils doivent prendre leur temps et essayer de voir s’ils se sentent plus à l’aise en tant que fille ou garçon. En cas d’incertitude, il est en outre conseillé de discuter des traitements hormonaux avec le médecin :

« Ces médicaments font en sorte que tu n’atteignes pas la puberté. Cela signifie que ton corps ne se développe pas. Ni en direction de la femme. Ni en direction de l’homme. Tu as ainsi plus de temps pour réfléchir. Et tu peux réfléchir tranquillement : Quel corps me convient le mieux ? »(([6] https://www.regenbogenportal.de/leichte-sprache/jung-und-trans-geschlechtlich))

Toute critique de cette manière de procéder est immédiatement étouffée dans l’œuf. Récemment, des biologistes et des médecins se sont exprimés publiquement de manière critique dans le journal « Die Welt » sur l’idéologie transgenre des émissions pour enfants de la radiodiffusion publique allemande.(([7] https://www.welt.de/debatte/kommentare/plus239113451/Oeffentlich-rechtlicher-Rundfunk-Wie-ARD-und-ZDF-unsere-Kinder-indoktrinieren.html)) Les enfants seraient ainsi « sexualisés trop tôt et de manière insistante » et endoctrinés de manière contraire aux faits. Il s’en est suivi un énorme remue-ménage sur les réseaux sociaux et une querelle au sein de la maison d’édition Springer.(([8] https://www.youtube.com/watch?v=UBUcfiUQDu0))

Qu’il s’agisse du changement climatique, de la guerre en Ukraine ou de la crise énergétique, les quelques exemples cités montrent que l’on veut empêcher les enfants de penser de manière critique et autonome avant même qu’ils ne puissent se former. La pensée autonome est remplacée par des idées endoctrinées. Les plus petits apprennent déjà que celui qui ne se soumet pas à ce diktat n’a pas sa place !

Les atteintes à l’intégrité physique des enfants et des adolescents sont particulièrement dramatiques, que ce soit dans le cadre des mesures Corona (ou de la vaccination correspondante) ou en ce qui concerne la maturation sexuelle des jeunes.

Les enfants ont — comme le veut la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant(([9] https://treaties.un.org/pages/ShowMTDSGDetails.aspx?src=UNTSONLINE&tabid=2&mtdsg_no=IV-11&chapter=4&lang=en#Participants)) — un droit à la liberté d’expression, un droit à la santé et un droit à la protection parentale. Ces droits sont bafoués par les organisations gouvernementales et internationales. Elles utilisent — sans aucune légitimité — les moyens du secteur privé de la société civile pour exercer une pression et une contrainte étatiques.

Les plateformes médiatiques et les entreprises de la technostructure encouragent cette politique d’endoctrinement et de division, car c’est le seul moyen de détruire les structures sociales et de diriger la société de manière capitaliste. Les enfants doivent apprendre cela dès leur plus jeune âge, car ils sont l’avenir !





Communication entre organismes vivants par biophotons

Par François Germain

https://www.biotron.fr/communication-entre-organismes-vivants-par-biophotons-p306230.html

Voici l’histoire de la découverte des rayonnements électromagnétiques cohérents dans les organismes vivants…

https://www.biotron.fr/l-adn-electromagnetique-et-la-communication-entre-cellules-p297884.html

Le biophoton est un photon (corpuscule d’énergie électromagnétique) d’origine biologique n’étant pas issu de produits d’une réaction enzymatique spécifique. Autrement dit, c’est l’émission spontanée de lumière d’intensité ultra faible émanant de tous les systèmes vivants1.

[Voir aussi :
Vos pensées contrôlent votre ADN !
RÉALITÉ PARALLÈLE-REPROGRAMMER VOTRE VIE
Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus
Modifier notre ADN via notre conscience !]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton

Biophotons = Photons émis par la matière biologique

https://luc-bodin.fr/evolution/nos-cellules-emettrices-de-lumiere-des-biophotons-pour-communiquer/

Dr Luc Bodin. Oct 27, 2020.

Les cellules du corps humain captent l’énergie lumineuse du soleil constituée de photons, produisant comme chacun sait, un effet bronzant sur notre peau.

Mais ce qui est moins connu est que ces mêmes cellules émettent une énergie lumineuse par leur ADN. Le rayonnement émis présente des doses 1.018 fois plus faibles que ceux des rayons solaires, mais il est tout de même observable. C’est ce que le biochimiste allemand Fritz Albert Popp, dans les années 1970, qui l’a mis en évidence, appelant les photons émis par le corps des « biophotons » (photons émis par la matière biologique).

Les expériences de Kaznacheev

L’incroyable découverte du Pr Luc Montagnier

http://www.orbs.fr/wp-content/uploads/2014/07/Luc-Montagnier-les-ondes-et-la-me%CC%81decine-Extrait-de-Orbs0-www.orbs_.fr-.pdf

Le Prix Nobel de physiologie ou de médecine 2008 affirme avoir mis en évidence une nouvelle propriété de l’ADN : l’émission d’ondes électromagnétiques ! Il nous explique que sa découverte pourrait bien être un moyen révolutionnaire de détection et de traitement des maladies chroniques.

Depuis les années 2000, il s’intéresse aussi aux ondes. Et pas à n’importe quelles ondes. Celles émises par des bactéries, des virus, des fragments d’ADN… Car ces parcelles du vivant rayonnent. Elles sont capables d’émettre des signaux électromagnétiques.

Derrière cette découverte, une autre découverte. Celle de la capacité de l’eau à conserver cette information électromagnétique et à la restituer sous certaines conditions de dilution et de résonance électromagnétique. Le Pr Luc Montagnier poursuit les travaux initiés par l’équipe de Jacques Benveniste, en 1988, sur la mémoire de l’eau.

Méditation et phytothérapie ont un impact sur l’émission de biophotons

https://www.epochtimes.fr/les-biophotons-12797.html

The Epoch Times, le 10 mai 2016.

Le corps humain émet des biophotons d’une visibilité 1000 fois plus faible que la sensibilité de notre œil nu. Les biophotons émis par le corps humain peuvent être libérés par l’intention mentale et moduler les processus au sein de la communication cellule-cellule et ADN.

La recherche a trouvé une différence de stress oxydatif entre les personnes méditant régulièrement et ceux qui ne méditent pas.

Biophoton — État des connaissances en 2019

https://fr.wikipedia.org/wiki/Biophoton#Etat_des_connaissances_en_2019

Biophotons, méditation et guérison

https://triompherducancer.wordpress.com/2018/06/30/biophotons-meditation-et-guerison/

Triomphe du cancer, le 30 juin 2018.

Pour les personnes atteintes du cancer ou d’une maladie dégénérative, il convient de savoir que «les cellules endommagées émettent beaucoup plus de biophotons que des cellules saines» ce qui fait dire à certains chercheurs que cela pourrait être interprété comme un signalde détresse. Il est commun en effet chez les gens atteints du cancer d’avoir un faible taux de globules blancs. Ce phénomène d’instabilité qui pousse l’organisme à produire plus de biophotons est appelé stress oxydatif.

En sachant cela, on peut se demander si l’on peut arrêter la déperdition des biophotons par le seul pouvoir de l’esprit ou de la méditation.

C’est ce que confirment les travaux du biophysicien néerlandais Roeland Van Wijk(([1] Effect of meditation on ultraweak photon emission from hands and forehead. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16086532/
2005 Apr; 12. Eduard PA Van Wijk 1, John Ackermann , Roeland Van Wijk.)) qui ont démontré que les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. Les travaux effectués en ce sens par M. Van Wijk ont révélé que « les personnes plongées dans un état méditatif émettent moins de biophotons que les autres. 35 % de moins en moyenne que dans le groupe témoin ». Pour les malades, la méditation permet donc deréduire la surproduction de biophotons associée au stress oxydatif.

Santé : quand la méditation booste l’immunité

https://www.lesechos.fr/weekend/perso/sante-quand-la-meditation-booste-limmunite-1380794

Les Échos, le 21 janvier 2022.

Une récente étude expérimentale menée à l’université de Floride (PNAS, décembre 2021) : Quelque 106 femmes et hommes, de 40 ans en moyenne, ont été soumis à une retraite de méditation intensive. Résultat, à partir d’analyses sanguines pré et post « cure », pas moins de 220 gènes directement associés à la réponse immunitaire ont été positivement stimulés, remarquent les chercheurs : la quasi-totalité (68) de ceux liés à la production d’interféron, protéine clé impliquée dans la défense de l’organisme (cancers, sclérose en plaques, Covid).

D’où l’intérêt de s’intéresser au petit ouvrage Méditer avec le Dr Steven Laureys, (Odile Jacob, janvier 2022). Ce neurologue de réputation mondiale qui ne se veut « ni maître zen ni donneur de leçons » propose un remarquable carnet de méditation, fruit de sa pratique.

Méditer avec le Dr Steven Laureys

https://www.odilejacob.fr/catalogue/sante-vie-pratique/forme-et-sante/mediter-avec-le-dr-steven-laureys_9782738157713.php
https://www.odilejacob.fr/feuilleter.php?ean=9782738157737

Éditions Odile Jacob. Date de parution : 12 janvier 2022.

MÉDITATION & SANTÉ : 3 BIENFAITS DE LA MÉDITATION SUR LE CORPS

https://facmedecine.umontpellier.fr/2020/communication/meditation-sante-3-bienfaits-de-la-meditation/

Faculté de Médecine. Montpellier – Nîmes, le 11 mai 2020.





Message pour les covidistes, climato-apocalistes et autres adorateurs de Macron

Soyez égoïstes, rendez-vous votre liberté d’expression !

Par Alain Tortosa

1

Vous les terrorisés du Covid, de Poutine ou du changement climatique êtes de toute évidence terrorisés par nous les complotistes, climato-sceptiques, pro Trump ou pro-Poutine.

Si il y a bien un truc dont je ne doute pas, c’est de vos certitudes.

Vous êtes dans la Vérité dans tellement de domaines !

  • Le Covid est ou était largement plus mortel que les infections hivernales habituelles.
  • Il n’y avait pas et il n’y a toujours pas de traitements.
  • Les confinements sont efficaces.
  • Les masques protègent et sont inoffensifs y compris pour les enfants.
  • Il existe un vaccin efficace inoffensif.
  • Il y a un réchauffement climatique dramatique causé par l’homme.
  • Le Coupable (va savoir pourquoi) est le CO2.
  • L’avenir n’est qu’aux énergies (que vous appelez) renouvelables comme l’éolien ou le photovoltaïque.
  • Il faut mettre définitivement fin au pétrole et utiliser des voitures électriques, pardon, des vélos électriques.
  • Il est possible de remplacer le parc automobile par des électriques sans refaire tout le réseau de distribution ni construire des dizaines de centrales nucléaires.
  • Poutine est le Méchant alors que l’acteur Zelensky, Biden, l’Otan ou Van Der machine sont les Gentils.
  • Les sanctions contre les russes sont efficaces et Poutine est foutu.
  • Le prix à payer pour sauver la démocratie est une inflation délirante ou se chauffer à 19°c
  • Etc.
  • Mais surtout :

Vous savez qu’il n’y a pas d’alternatives aux solutions proposées imposées !

Vous avez la chance de ne pas être comme moi, vous ne voyez que Vérité et bon sens dans les domaines cités précédemment.

Hélas, il existe des fous, des mauvais Français (comme moi) qui pensent (qui croient « penser ») exactement le contraire.

J’imagine, l’ayant vécu, que vous êtes totalement désorientés par notre bêtise, notre égoïsme et bien entendu notre extrémisme et antisémitisme2.

Vous pourriez vous en foutre, nous parquer comme lors de la mise en œuvre du passe vaccinal, mais vous savez parce que vous ne doutez pas que :

Nous sommes DANGEREUX pour votre santé, votre sécurité, et même votre survie concernant le réchauffement climatique !

J’ai regardé hier le clip de Marjorie Greene3, candidate républicaine aux USA, une vision apocalyptique pour vous.

Je ne prétends pas être totalement en accord avec elle, mais le seul fait que vous soyez terrorisés et haineux ne peut que la rendre sympathique à mes yeux.

Elle est pour :

  • La liberté de posséder une arme.
  • Contre les mandats de masque ou de vaccin.
  • Contre les mesures pour lutter contre le réchauffement climatique.
  • Contre l’aide à l’Ukraine.

Je pourrais aussi vous parler de Kari Lake :

  • Contre le vote électronique.
  • Pour obliger les journalistes à redevenir journalistes.
  • Et contre toutes ces mesures de bon sens, à vos yeux, et dictatoriales, aux miens.

Rien qu’en lisant ces lignes vous ne pouvez que paniquer.

Et c’est bien ce qui arrive dans le camp démocrate qui fait tout pour que Kari Lake ne soit pas élue en Arizona.

Il n’y a rien d’anormal que le dépouillement ne soit par encore terminé plusieurs jours après les votes alors qu’il a fallu moins de 24 heures en Floride, qui est largement plus peuplée…

Pour ce qui est de Marjorie, c’est raté, elle vient d’être réélue à la chambre des représentants pour un deuxième mandat !

Mais je m’égare mes amis, terme que j’use à escient, car vous ne me voyez certainement pas comme tel.

Je, nous, sommes des dangers.

Vous nous le prouvez depuis des années, mais c’est tellement plus vrai depuis la crise Covid.

Les complotistes sont passés du stade d’illuminés au stade de criminels.

Pour vous le terme « criminel » n’est pas une façon de parler mais une réalité factuelle.

À se demander comment vous pouvez être encore vivants avec des tels débiles autour de vous.

Nous avons essayé de vous tuer, telle est votre vérité (et nous essayons encore toujours selon la même vérité) :

  • En ne mettant jamais de masque !
  • En continuant à voir des amis, les serrer dans nos bras, les embrasser en pleine épidémie.
  • En participant à des manifestations monstres dont vous n’avez pas entendu parler, les médias préférant vous protéger en les cachant sous silence ou en minimisant l’horreur.
  • En ne faisant pas de tests PCR, en ne nous isolant pas et en continuant à vivre, même malades.
  • En prenant les médicaments interdits.
  • En refusant de nous injecter.
  • Etc.

Malgré vos doubles masques qui vous protègent, malgré vos distanciations qui vous protègent, vos passes qui vous protègent, vos cinq injections efficaces qui vous protègent (du premier vaccin au monde qu’il faut refaire tous les 3 mois).

Malgré tout ceci, nous aurions pu réussir à vous tuer et vous n’êtes pas encore totalement sortis d’affaire !

Sans compter Poutine.

Si les décisions étaient prises par référendum il est probable qu’il n’y eu plus la moindre sanction contre lui et que l’acteur ukrainien mis en place par les USA ne reçoive plus un centime de notre part…

Et je ne vous parle pas de la fin du monde climatique :

Alors même que les émissions de CO2 de la France ne représentent que 0,9% des émissions mondiales4.

Alors même que vous faites tout pour qu’elles augmentent en voulant fermer les centrales nucléaires.

Vous risquez de mourir, ou nous allons peut être tuer vos enfants, du fait de notre irresponsabilité qui provoque et amplifie le changement climatique.

Je suis à moi seul un vrai cauchemar en roulant avec une voiture au pétrole de plus de 30 ans dont la consommation vous ferait vomir vos céréales bio équitables importées en avion du Chili !

Ne m’en tenez pas rigueur, je suis inconsciemment jaloux de votre voiture électrique neuve, de votre vélo électrique tout aussi neuf et de vos voyages tous les 6 mois en Martinique dont vous compensez le CO2 en achetant des arbres en Indonésie.

Mais il y a un point encore plus grave !

Vous savez que l’intelligence est rare et que la connerie est contagieuse.

Le monde étant juste par nature, qui pourrait en douter, il est légitime que vous ayez hérité de l’intelligence et mes amis ou moi-même de la bêtise.

Il n’y a donc qu’une solution pour survivre, intelligente comme il se doit :

Censurer au maximum la liberté de parole !

Pour ce faire vous excellez de plus en plus :

  • Contrôle des médias mainstream.
  • Censure à tout va sur les réseaux sociaux.
  • Fermeture de médias criminels comme RT.
  • Campagnes de dénigrement.
  • Mise au ban de la société avec interdiction d’exercer pour servir d’exemple.
  • Faire bien peur à ceux qui auraient l’idée de vouloir l’ouvrir (journalistes, médecins, avocats, politiciens, scientifiques et j’en passe).

Et le petit dernier qui est fort prometteur :

Faire de toute controverse une dérive sectaire qui (vous l’espérez) débouchera sur la psychiatrisation de la parole.

Ceci n’est que logique, car seul un fou pourrait raisonner (j’avais écrit « résonner » dans un premier temps) autrement que vous.

Erreur stratégique s’il en est !

Sur le papier votre méthode peut sembler parfaite, intelligence oblige, mais présente quelques failles majeures.

Le fait est que le contrôle de l’information et de sa diffusion a ses limites.

Plus les médias censurent, plus les réseaux sociaux font de même et plus il y a de solutions alternatives qui s’offrent aux déviants que nous sommes.

Et comme internet est un formidable outil de diffusion de votre vérité mais aussi de contrôle des populations, il va être difficile de le couper purement et simplement.

N’importe qui peut installer un VPN sur son téléphone ou son ordinateur en 5 minutes et regarder RT France si bon lui semble.

Empêcher les candidats complotistes de parvenir au pouvoir a aussi ses limites et même truquer les élections a ses limites.

Peut-être que les amis de Trump vont récupérer la Chambre et le Sénat malgré les efforts démesurés pour les empêcher et le rouleau compresseur médiatique.

Alors à moins de basculer dans une vraie dictature « officielle » et non masquée comme aujourd’hui, vous n’êtes pas à l’abri de mauvaises surprises en vous réveillant un beau matin.

Il n’est pas délirant de penser que les idiots que nous sommes parvenions à accéder au pouvoir.

Saleté de démocratie !

Que deviendriez-vous, vous les intelligents qui comprenez tout ?

Si d’aventure nous vous faisions subir ce que VOUS nous faites subir depuis des années.

Rappelez vous du message de cette candidate républicaine au poste de gouverneur Kari Lake5 qui a déclaré aux journalistes « je vais être votre pire cauchemar ! ».

Cela vous tente-t-il vraiment que nous vous fassions vivre la même censure que vous nous imposez ?

Êtes-vous réjouis à l’idée d’être privés de médias qui pourraient encore débiter vos « vérités » ?

Aimeriez-vous être diffamés, placardisés, privés de votre emploi ?

Si vous êtes bien les intelligents que vous prétendez être, ne voyez-vous pas qu’il serait raisonnable d’envisager la défaite avec peur d’un retour de bâton d’une ampleur comparable à celui que vous nous imposez jours après jours ?

Et bien, vous voulez que je vous dise ?

Je crains que vous ne confondiez narcissisme et intelligence !

Car si vous aviez cette intelligence que vous prétendez avoir, vous prendriez en compte ce facteur risque.

J’ai écrit il y a plusieurs mois un texte affirmant vous aviez tué la vaccination6 pour des dizaines d’années si ce n’est pour toujours.

Pensez-vous que l’on puisse qualifier « d’intelligent » le chantage que vous avez fait subir à chaque français et ce au regard de l’affirmation mensongère d’efficacité du produit ?

Méthode d’autant plus stupide si vous croyez aux vaccins classiques.

Ici encore vous pouvez demeurer dans le déni et dans l’orgueil en affirmant que j’écris n’importe quoi, ce qui serait logique étant donné mon appartenance à la race des crétins.

Mais regardez comment vos vaccins contre le Covid ne font plus recette alors même que vous continuez à essayer de les fourguer !

Je connais de nombreuses personnes qui regrettent leur injection et qui ne feront jamais de rappel !

Êtes-vous en capacité de trouver ne serait-ce qu’un seul individu qui a refusé de se faire injecter la substance expérimentale et qui aujourd’hui regretterait de ne pas l’avoir fait ?

Si vous êtes suffisamment malhonnête, vous pourrez me trouver un menteur, un corrompu ou un acteur prêt à l’affirmer face caméra mais une vraie personne qui était convaincue que c’était prendre un risque inutile ? Jamais !

Le fait est que le nombre de personnes qui gobent votre narratif ne fait que diminuer preuve en est que votre « Vérité » recule et que nos « Mensonges » se répandent !

Ah pas suffisamment à mon goût, je veux bien le concéder.

Mais que ce soit sur le Covid, Poutine ou le réchauffement climatique et demain l’attaque des zombies, vous avez fait le plein de celles et ceux prêt à gober votre Vérité.

Jours après jours vous perdez des troupes et nous en gagnons, c’est inexorable.

Alors je sais que vous ne le ferez pas parce que vous êtes intelligent et que je ne le suis pas…

Mais si vous voulez sauver VOTRE liberté de parole, si vous voulez échapper à la suppression de vos ordres (avocats, médecins, …), si vous voulez échapper au chômage ou la prison, je vous invite à mettre fin à la censure et nous autoriser à NOUS exprimer comme nous vous autoriserons demain à continuer à vous exprimer.

Rendez-nous les droits de l’homme maintenant et cessez de vouloir vous suicider !

Merci

Alain Tortosa7, limité intellectuellement mais borné.

11 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221111-liberez-la-liberte-expression-pour-vous.pdf





ALERTE : des soignants suspendus discrètement convoqués par la police

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Selon nos informations, un peu partout en France la police convoque, de façon perlée, des soignants suspendus pour les interroger et récolter du renseignement sur leur situation et sur leur position en matière de vaccin et de vaccination. Cette pratique proche de l’intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat… Dans le climat de répression qui s’abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernier écrémage avant la purge du dernier carré.

Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat. 

Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques. 

Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension. 

D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine. 

D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”. 

En l’état, un cas de convocation a été signalé à Angoulême, trois autres au Mans, et plusieurs autres cas de convocation sur le reste du territoire sont en cours de vérification. 

Une vague de répression impitoyable

Cette campagne d’intimidation à l’abri des regards s’inscrit dans un contexte de répression féroce contre l’opposition. Après la condamnation de Fabrice Di Vizio, après l’interdiction d’exercer signifiée à Alain Houpert (sénateur mais aussi radiologue), après d’autres sanctions prises plus discrètement contre des médecins, après le défèrement de Didier Raoult, ces convocations sonnent comme des invitations à prendre le thé lancée par la police chinoise aux dissidents. 

Il fut un temps où la France pouvait donner des leçons de Droits de l’Homme à la Chine. Cette époque est décidément révolue, et Emmanuel Macron peut se targuer d’avoir réussi cet exploit historique. 

Le Courrier a par ailleurs interviewé aujourd’hui Martine Wonner, elle-même sous le coup d’une procédure disciplinaire pour avoir publié, lorsqu’elle était députée, plusieurs tweets jugés dérangeants, et pour avoir manifesté, en tant que députée, aux côtés des non-vaccinés. Ce témoignage montre bien comment une répression policière se met en place, rigoureusement, depuis la rentrée de septembre (comme nous l’avions annoncé plusieurs fois, d’ailleurs). 

L’objectif du pouvoir est d’intimider les opposants, et de leur coller les condamnations les plus infamantes possibles pour dégrader leur image publique. Le procédé est bien connu. Son application la plus exemplaire vise Didier Raoult, dont la gestion a été passée au peigne fin pour être finalement transmise à la justice…

Un cabinet noir à l’Élysée ?

La question qui se pose in fine est de savoir quel est le degré d’orchestration de cette campagne de répression qui sévit depuis la rentrée. Certains soulignent que ce durcissement est contemporain de l’arrivée de Frédéric Michel au poste stratégique de “spindoctor” d’Emmanuel Macron, en remplacement de Clément Léonarduzzi, reparti chez Publicis. 

Frédéric Michel n’est pas un enfant de choeur. Il a fait une grande partie de sa carrière dans le groupe Murdoch, ce qui l’a amené à comparaître devant une commission parlementaire qui s’inquiétait de ses méthodes d’influence. Il a par ailleurs oeuvré dans la société “Reputation Inc.”, dont le métier est… la réputation des entreprises. 

Les initiés connaissent les méthodes de ces officines qui commencent à intéresser la France Insoumise. 

Bref, rien n’exclut que l’arrivée de Frédéric Michel corresponde à un durcissement de l’Élysée lui-même vis-à-vis de l’opposition. Le combat de boxe est lancé. 

En tout cas, quelques jours après son arrivée, l’espion en chef de Macron, Ludovic Chaker, dont nous avons parlé plusieurs fois dans nos colonnes, était parachuté dans un placard doré, au sein de la Direction Générale de l’Armement. Le ménage a commencé. 




La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort1

Par Nicole Delépine

Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali, 1981.

Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles »

Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !

« Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (Cese), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain. » 2

Ne nous laissons pas instrumentaliser une nième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux — comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires. »3

Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste..

Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir..

ET MENSONGE INDIGNE DES SONDAGES AU SERVICE DU POUVOIR

Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13 % du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanasie…

Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable,5 l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

CULTE DE LA MORT D’UNE SOCIÉTÉ DÉCADENTE ET AGONISANTE

Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de CO2, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies.6 7

AIDER UN PATIENT À MOURIR A TOUJOURS ÉTÉ VRAI, MAIS DANS LE SECRET DE LA CHAMBRE DU MALADE

Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

Nous écrivions en mai 2022 8 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 2000.10

L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente 11

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’Ined. »12

Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants, dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

« La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid. 13

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

« L’EUTHANASIE PREND SA PLACE DANS LES OUTILS DE GESTION DU GRAND ÂGE ! » 14

L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

« L’euthanasie devient une “proposition sociale” »

« Une liste de “choses concrètes” qui débute par “l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique”, ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale» « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15

CONDITIONNEMENT ET CULPABILISATION DES PERSONNES ÂGÉES ET/OU HANDICAPÉES

Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

« Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que “l’on meurt mal en France”. Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

« UN CONTEXTE JURIDIQUE NOUVEAU » ET ILS REVIENNENT ENCORE ET ENCORE SUR CE SUJET MORBIDE ET MALSAIN, ET POURTANT LES FRANÇAIS N’EN VEULENT PAS 16

Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie »

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE — « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art ».18

« IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS »

Alors « comment notre société et les “progressistes” ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre. »19 de nos préoccupations

Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

MAIS LÉGIFÉRER EST UNE ABERRATION QUI PERMET TOUTES LES DÉRIVES

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

NE JAMAIS LÉGIFÉRER

Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

UNE PRUDENCE COMPLÉMENTAIRE DISCUTABLE, MISE EN CAUSE DE FAIT PAR L’AVIS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, LES DIRECTIVES ANTICIPÉES

Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

« Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D. A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D. A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la “passion de l’égalité” et plus elles produiront des “volontés” qui seront soumises à l’opinion dominante. »

MAIS FINALEMENT LE MÉDECIN A LE DROIT DE NE PAS RESPECTER CES DIRECTIVES ! AVIS DU 10 NOV 2022

Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

« Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge “manifestement inappropriées ou non conformes” à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre. »22





Le manque majeur de soignants et la bureaucratie responsable de la mort d’une malade en CHU

Par Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste
https://t.me/DrDelepine
gerard.delepine@bbox.fr

Tous les chirurgiens orthopédistes considèrent les fractures du fémur comme des urgences vitales. Ce type de fracture entraîne en effet des douleurs intenses, empêche les mouvements et, malgré les antalgiques, gêne le sommeil rendant la vie extrêmement pénible. Retarder l’intervention indispensable accroît le disque de phlébite et d’embolie pulmonaire. Durant mes 45 ans d’expérience chirurgicale, je me suis toujours organisé pour les opérer dans les 48 heures de l’hospitalisation (dès le bilan anesthésique réalisé). Aussi je suis scandalisé par le drame de cette femme de 77 ans, admise dans un CHU pour une fracture du fémur et morte dans des conditions inhumaines après une semaine d’attente d’une opération sans cesse reportée1 2.

Un tel drame témoigne de l’état catastrophique du système hospitalier français

En 2019, la gravité de la crise hospitalière était déjà soulignée par des grèves quasi permanents des personnels des urgences, mouvements qui ont été méprisés, parfois violemment réprimés (aux lanceurs de balles de défense) puis suivis du simulacre de concertation du Ségur de la santé3 n’octroyant que 19 milliards au système hospitalier et 8 aux personnels tout en instaurant un plafonnement de la rémunération des médecins intérimaires entraînant de nombreuses démissions4. La disproportion entre ces aumônes accordées aux hôpitaux et le seul coût des tests PCR inutiles (près de 15 milliards) et non fiables5 ou celui des confinements (plus de 400 milliards) pour « éviter la surcharge du système hospitalier » mesure les conséquences financières désastreuses d’une politique comptable à court terme abandonnant l’hôpital, les soignants et les malades.

Considéré comme le meilleur du monde au début du siècle 6 notre système sanitaire a ainsi été relégué à la 16place lors du classement 2020 de l’institut Legatum7.

Cette chute a été depuis lors aggravée par la politique sanitaire Veran-Macron qui a fermé 5 800 lits en France, en 2020 tandis que la gestion tyrannique des ARS — arcboutées sur leurs certitudes comptables excluants soignants et malades a culminé par l’obligation vaccinale des soignants totalement injustifiée. En plus des soignants et administratifs hospitaliers, exclus sans indemnités ni droit au chômage, cette obligation infondée a entraîné des prises de retraite anticipées et des réorientations professionnelles aggravant lourdement le manque de soignants dans les hôpitaux et multipliant les déserts médicaux.

Actuellement 20 % des lits sont fermés faute de personnel, plus de cent services d’urgence ferment la nuit8 9 10 11 et d’innombrables services de chirurgie opèrent au ralenti faute de personnel.

Mais le pouvoir maintient l’obligation vaccinale totalement injustifiée puisqu’il est maintenant définitivement établi que les faux vaccins n’empêchent pas les contaminations.

C’est le manque de personnel de bloc opératoire qui a entraîné le report dramatique de la malade qui en est décédée.

Le manque de soignants en salle est certainement la cause du défaut d’alimentation de la malade durant une semaine.

La fille de la malade, Murielle accuse l’établissement de ne pas avoir nourri sa mère durant plusieurs jours.

« Elle a eu un bouillon de légumes le 24 au soir et c’est la dernière fois qu’elle s’est nourrie. Quand elle réclamait à manger, ils lui ont dit “non, vous devez être à jeun, vous allez être opérée demain.” Et ça pendant plusieurs jours (…) Sur la porte de sa chambre, il y avait le tableau “à jeun”, continuellement »12.

Le chef de service dans un langage bureaucratique caricatural se défend :

« Je peux vous assurer qu’après chaque report successif, des repas ont été distribués, attribués et ces faits ont été tracés dans le dossier ».

Et on peut lui faire confiance : le protocole a certainement été rigoureusement respecté et surtout tracé. Mais la malade a-t-elle mangé ?

Personne ne peut témoigner qu’un soignant ait fait manger à la malade les repas « distribués, attribués ».Le manque chronique d’infirmières et les « protocoles infirmiers » limitant le temps qu’elles sont autorisées à consacrer à chaque malade les empêchent le plus souvent de nourrir à la cuillère les vieillards qui en ont besoin et qui le plus souvent n’ont pas la force de le réclamer et les malades entravés par des pansements ou autres.

En Italie, les familles savent depuis longtemps que pour être certains que leurs parents âgés mangent elles doivent leur apporter des repas et le leur servir. Le drame de Dijon montre que les familles françaises devraient peut-être aussi adopter cette pratique.

Comment rétablir notre système de santé d’il y a 20 ans ?13

La France dispose encore d’une des meilleures réserves de professionnels de santé au monde. Mais ces soignants ont été éloignés de l’administration du système, privés de leur libre choix de prescription, persécutés par l’ordre des médecins pour l’expression de leur opinion si elle divergeait du crédo gouvernemental et exclus de leur sacerdoce s’ils n’acceptaient pas des injections expérimentales qu’ils savaient inefficaces et potentiellement dangereuses.

Insuffisamment considérés et rémunérés14, souffrant de la déshumanisation technocratique de leur exercice, ils traversent une crise sociale grave15 qui explique les 60 % de burn-out, 30 % de dépression, 25 % d’idées suicidaires et 3 passages à l’acte tous les deux jours16 17 18 et les très nombreuses démissions, retraites précoces ou reconversions responsables des fermetures de service et des déserts médicaux.

Ce constat est partagé par la grande majorité (76 %) des personnes qui considèrent la place accordée au patient dans le système de santé français comme insuffisante19.

Pour redonner au système son lustre d’antan, il faut prendre des mesures très fortes20 :

Libérer les soignants du mammouth administratif dans les hôpitaux21 22 comme en ville.

Supprimer bon nombre de strates administratives, en particulier les agences régionales de santé23, mais aussi une bonne partie des conseils d’administration et de surveillance et plus de la moitié des agences sanitaires qui ne sont plus indépendantes, mais sont devenues des agents trop coûteux de la propagande gouvernementale24.

Limiter la judiciarisation de la médecine qui a entraîné une augmentation forte des primes d’assurance de certaines spécialités,25 mais aussi la prescription de trop d’examens inutiles destinés seulement à protéger la responsabilité du médecin et amène parfois certains collègues à récuser des interventions salvatrices, mais trop risquées pour leur assurance.

Redonner aux médecins la liberté de parler et de soigner selon leur conscience et leurs compétences en supprimant le tribunal d’exception du conseil de l’ordre qui s’attaque maintenant à la liberté d’expression26, fondement de la démocratie

Il ne faut plus que ce soient des énarques qui décident de la manière dont les médecins doivent soigner leurs malades. Les contraintes administratives sont devenues telles qu’elles découragent de devenir médecin.

Il faut supprimer tout numerus clausus institué sous le mauvais prétexte purement financier.

Il faut que les étudiants accèdent beaucoup plus précocement à l’internat27 ce qui leur permettrait d’avoir un réel contact avec des patients et d’acquérir expérience et sens de leurs responsabilités.

Cette liste de mesures indispensables est incomplète, mais sa mise en œuvre permettrait de limiter les dégâts infligés à notre système de santé depuis plus de 30 ans par les politiques de gestion financière à court terme des gouvernements successifs et les derniers coups de boutoir assénés par l’actuel gouvernement, avec une brutalité sans faille.





Débarrasser le corps du graphène

[Source : anna-bellas.com]

[NDLR Les liens renvoient à des pages en anglais.]

Un guide sur la façon d’éliminer de votre corps le graphène, la substance transmise par les vaccinés du COVID aux non-vaccinés…

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

La mauvaise nouvelle pour ceux qui ont jusqu’à présent refusé de recevoir une seule dose de l’injection de Covid-19 est que certains médecins pensent que le graphène est transmis des vaccinés au Covid-19 aux non-vaccinés.

Mais la bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de votre corps et de rétablir votre santé.

Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser plusieurs méthodes différentes simultanément pour obtenir le meilleur effet. Notamment, des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps, et le contrôle des CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique. Il est produit naturellement par le foie et participe à de nombreux processus de l’organisme, notamment la construction et la réparation des tissus, la fabrication des substances chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme, et le système immunitaire. Nous disposons d’une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous permet d’avoir un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans l’organisme, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans l’organisme dépasse la quantité de glutathion, elle provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut se développer rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. Autrement dit, les CEM bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent radicalement dans l’organisme. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes présentant des conditions préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas affecté ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences CEM spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie. En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes ses « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Des patients Covid intubés en soins intensifs ont guéri en quelques heures lorsqu’ils ont été traités avec du glutathion et de la NAC, exemple de Ricardo Delgado

« Nous avons assisté à des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et des radiations 5G ultérieures dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette tache diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisqu’elle serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection pneumococcique, n’est-ce pas ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique. Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe – ou même par voie orale – ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les gens commencent en quelques heures à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un complément qui amène l’organisme à produire du glutathion, elle est connue comme le précurseur du glutathion et amène l’organisme à sécréter du glutathion de manière endogène, comme c’est le cas lorsque vous faites du sport de manière intense. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par l’organisme pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages. Vous pouvez obtenir la NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.

Le zinc, associé à la NAC, est un antioxydant essentiel utilisé pour dégrader l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado affirme qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après inoculation. Il s’agit de personnes ayant reçu deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et qui, après avoir pris ces suppléments, ne présentent plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

[Voir aussi :
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre]

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, veuillez consulter ce LIEN.

Comprendre le lien entre les CEM, la 5G, l’oxyde de graphène, les hydrogels et Covid

L’oxyde de graphène est activé par les CEM, en particulier les fréquences qui font partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce que l’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences envoyées aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui présente des qualités et des applications substantielles. Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreux domaines, dans notre alimentation, dans notre eau, et injectés dans nos corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui s’accrochent à votre ADN et peuvent être contrôlés par des capteurs 5G. Ils permettent de collecter et de manipuler l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent de suivre et de tracer les êtres humains. Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par les pairs qui traitent des hydrogels conducteurs. Nous avons rassemblé une courte liste d’études relatives comme documentation de secours.

Résumé des caractéristiques des hydrogels et de la nanotechnologie des points quantiques – Cliquez pour télécharger

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.

Caractéristiques des hydrogels conducteurs : auto-récupérabilité, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, auto-guérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’ils font certaines choses lorsqu’ils sont touchés par la 5G (ou d’autres fréquences, d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnements CEM provenant des téléphones cellulaires (ou téléphones mobiles), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses régions se mettent également à la 5G et des enquêtes ont été menées pour montrer la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une région. Pour se protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions pour y parvenir : ne vivez pas dans une ville où il y a beaucoup de tours si vous pouvez l’éviter, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection contre les CEM, tels que les appareils à énergie orgonique, qui aident à transformer les rayonnements CEM pour en atténuer les effets nocifs.

Énergie Orgone, protection contre les CEM et oxyde de graphène

Puisque l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous voulez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’ils n’activent pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les CEM. Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des récipients constitués de couches alternées d’acier et de matériau organique non conducteur étaient capables de capter une « énergie cosmique » saine provenant de l’environnement. Il a appelé cette énergie « orgone ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de conserver des échantillons de sang plus longtemps, de faire germer des semis de plantes plus saines et de soulager la douleur des patients qui s’y asseyaient.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite fait d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal, le tout enrobé de résine époxy. Le résultat final est un harmonisateur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, des routeurs Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux domestiques. Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études réalisées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents prélèvements sanguins d’oxyde de graphène EMF

L’étude la plus frappante à la lumière des récentes découvertes sur l’oxyde de graphène se trouve dans le  « test sanguin de Reich  » réalisé par le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgone sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie orgonale. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une période plus longue (c’était comme la fontaine de jouvence du sang).

Lorsqu’un globule rouge est défectueux et commence à mourir, il peut développer ce que l’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections en forme de pics de différentes longueurs dépassent de la cellule. Les images ci-dessous montrent à quoi ressemble la mort d’un globule rouge.

http://wilhelmreich.gr/en/research/microscopic-research/reich-blood-test-blood-disintegration/

Les diapositives ci-dessus montrent la désintégration bionique de la matière vivante et non vivante. La cellule saine possède une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich appelait l’énergie « orgone ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des protubérances pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections de Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations membranaires. Selon l’ouvrage A Laboratory Guide to Clinical Haematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes est le résultat de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui entraînent un déséquilibre entre le contenu en cholestérol et en lipides de la membrane affectent la capacité des GR à se déformer, ce qui se traduit par une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises lors d’une récente analyse de sang [mise à jour le 1er octobre 2021] effectuée par le Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement par les radiations CEM, l’empoisonnement par l’oxyde de graphène. Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines « l’effet corona » et « l’effet protéine de pointe ».

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

Ce comportement est identique à celui des cellules sanguines mourantes dans l’expérience du test sanguin de Reich. Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Le test sanguin de Reich a permis de faire une découverte frappante : les dispositifs d’énergie orgoniques ralentissent et arrêtent la dégradation des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs d’énergie orgoniques protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin de Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de dégradation des cellules est de 5 %. L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de décomposition est de 50 %. Il est clair que l’énergie d’orgone contribue à préserver la force vitale et la santé du sang.

[Article source en anglais :]



France — Le ministre de la Santé irresponsable et devrait être démis

[Source : divizio1]

https://youtu.be/akcdt_yaC3o



La parole en danger

Par Karen Brandin

Ils sont médecins, parlementaires, avocats ou bien encore enseignants, et s’ils ne meurent pas tous, tous sont frappés, visés depuis quelques mois au sein d’un régime malheureusement plus vraiment d’exception, un régime pudiquement qualifié de démocratie dégradée, par des procédures-bâillons et autres mesures vexatoires destinées à sanctionner à grand renfort de blâmes iniques, leurs voix simplement engagées et courageuses, mais décrétées dans le « monde d’après », indésirables, car discordantes. Des voix douces ou fortes, que l’on tente tour à tour de nous les présenter comme irresponsables puis comme carrément « menaçantes » pour notre sécurité, car fleurant bon la dérive sectaire. Bref, voici quelques mois que ces femmes et ces hommes, du simple fait d’une parole libre, se retrouvent marqués du sceau de la lettre écarlate de l’indignité. Et pendant que la libre expression brûle, on regarde ailleurs. 

C’est parce que l’on a attiré mon attention sur la toute récente procédure disciplinaire visant un prof agrégé de philosophie, R. Chiche et certaines réactions de satisfaction qu’ont manifesté sur les réseaux sociaux de courageux… anonymes, que j’ai décidé d’écrire ce simple billet de (mauvaise) humeur. Puissent ces quelques lignes faire office de modeste tremplin et inspirer dans un élan de solidarité nécessaire des collègues aguerris, prompts à produire une tribune de soutien bien plus aboutie à destination de l’ensemble de ces professionnels, héros ordinaires et de ce fait, extraordinaires. 

Ainsi, à toutes ces personnes, souvent parents, j’imagine, qui semblent se réjouir la bave aux lèvres qu’un enseignant, certes non-médecin (c’est ce qui semble être une source d’indignation), mais non moins citoyen éclairé, soit inquiété, car il a fait preuve d’un esprit critique, d’un esprit d’analyse concernant la gestion de la crise sanitaire, j’encourage la lecture du Meilleur des Mondes. En effet, cette société aussi uniforme qu’inhumaine dont vous semblez rêver, Huxley l’a décrite. Une chance pour vous que votre fantasme ait été à l’origine d’un livre ; ce n’est pas toujours le cas après tout ! Pour rappel et vous permettre de ronronner de plaisir, voici un extrait :

« En outre, nous prédestinons et conditionnons. Nous décantons nos bébés sous forme d’êtres vivants socialisés, sous forme d’Alphas ou d’Epsilons, de futurs vendangeurs ou de futurs Directeurs de l’incubation… »

(p37)

Bref, deviens ce que tu es… ; et seulement cela. Il est sans doute utile de rappeler que dans ce roman presque d’anticipation finalement, les êtres non soumis au conditionnement sont qualifiés de « Sauvages. » 

Parce que si l’on comprend bien, ce qui vous semble indécent et qu’il vous paraîtrait tout à fait légitime de sanctionner, c’est qu’un citoyen (un acteur de la cité donc ; Liberté, égalité, fraternité : vous vous souvenez ? Ou vous vous rappelez uniquement de : « Je baisse, j’éteins, je décale » après le : « Tous vaccinés, tous protégés » ?), qui plus est professeur, c’est-à-dire quelqu’un dont le métier est d’instruire, de continuer à s’instruire aussi bien sûr et de participer à la construction des esprits en les stimulant, ait osé rappeler les difficultés immenses qu’avait généré le port du masque en classe et l’obstruction majeure que cela a pu représenter quant à la dispense d’un enseignement de qualité ainsi que la perte de concentration qui en a résulté alors que dans le même temps, aucune étude scientifique n’a pu à ce jour démontrer un quelconque bénéfice sanitaire de cette mesure d’enfermement des visages.

Il vous a aussi semblé indécent qu’il se soit ensuite insurgé comme d’autres, même nous avons été trop peu nombreux, lorsqu’il a été question notamment à la fin de l’été 2021 de discriminer, d’évincer, les élèves non vaccinés alors même que le statut vaccinal relève du secret médical et ne saurait être dévoilé aux chefs d’établissement. Oserais-je ajouter qu’en outre cette injection, parce qu’elle est non immunisant, ne répond pas à la définition d’un vaccin. Sans compter bien sûr qu’en ne faisant pas partie des « vaccinations » obligatoires (Dieu nous en garde), elle ne saurait être exigée et encore moins conditionner à la participation d’une quelconque activité dans le milieu scolaire en particulier. 

Quant à légitimement s’arrêter sur le récit de la multiplication des effets secondaires suite à cette injection au mieux inutile (la population jeune n’étant pas à risque de formes graves sauf cas exceptionnels), effets secondaires notamment d’origine cardiaque, pour le coup largement documentés et décrits par des médecins dont l’expérience et l’expertise scientifiques forcent le respect, c’est une réaction saine en tant qu’homme.

Heureusement que « même un enseignant » a le droit de s’alarmer tout haut et de dire qu’il craint que cette « surmédication » hypothèque lourdement le capital santé de ces jeunes gens et qu’il convient par conséquent de redoubler de prudence. 

Cette propension à se documenter, à interroger le réel comme les spécialistes, devrait pourtant vous rassurer, vous réconforter au contraire, vous parents. Mais Jean-Claude Michéa, dans « L’enseignement de l’ignorance, » nous avait prévenus que ce ne serait plus cette vigilance que l’on attendrait du corps enseignant à l’avenir, mais une soumission résignée, faute d’une soumission heureuse :

« L’enseignement de l’ignorance impliquera donc nécessairement qu’on rééduque les enseignants, c’est-à-dire qu’on les oblige à travailler autrement, sous le despotisme éclairé d’une armée puissante et bien organisée d’experts en sciences de l’éducation. La tâche fondamentale de ces experts sera, bien entendu, de définir et d’imposer les conditions pédagogiques et matérielles de ce que Debord appelait la dissolution de la logique. »

(p 47)

Après 16 années d’enseignement, je suis la première à exhorter les parents à m’inquiéter, croyez bien, mais pour de toutes autres raisons et dieu sait qu’elles sont nombreuses.

Inquiétez-vous que vos enfants en terminale ne puissent plus rédiger un texte de 20 lignes sans une dizaine de fautes de grammaire et qu’il en résulte pour eux de terribles complexes.

Inquiétez-vous que le milieu scolaire soit en passe de devenir un terreau idéologique où le concept de « genre » est évoqué dès le plus jeune âge, cet âge de l’innocence que l’on qualifie pourtant de « tendre. »

Inquiétez-vous de la réforme Blanquer, entérinée par Mr Pap Ndiaye, qui a détruit le lycée et a convaincu les élèves que ces trois années n’avaient finalement plus aucune valeur éducative sinon celle de se soumettre au diktat de ParcourSup.

Inquiétez-vous que les maths aient été reléguées au rang d’option et que nous soyons à la traîne dans l’ensemble des classements internationaux.

Inquiétez-vous que vos enfants abordent la notion de primitives avant celle de continuité d’une fonction parce que le temps manque et qu’il faut parer au plus pressé ; aller à l’essentiel. Inquiétez-vous que le chapitre sur le logarithme népérien soit traité en seulement 6 h quand les mathématiques sont une discipline du temps long.

Inquiétez-vous que les épreuves de spécialité aient été décrétées en mars ce qui laisse craindre une désaffection et un désengagement majeur des lycéens à compter du mois d’avril.

Inquiétez-vous de l’imposture du Grand Oral et que l’on vous vende comme « maths expertes », le chapitre des nombres complexes enseigné pourtant en obligatoire jusqu’en 2020.

Inquiétez-vous si vous envisagez pour vos jeunes une prépa intégrée alors que les chapitres naturellement associés aux maths appliquées — calcul intégral, équations différentielles et fonctions trigonométriques — ne seront évalués qu’en contrôle continu puisque ne faisant pas partie de l’épreuve finale.

Inquiétez-vous si l’on évalue vos enfants via des exercices préenregistrés sur Kwyk où seule compte la réponse numérique et où les élèves passent seulement quelques secondes à raisonner, mais en revanche de longues minutes à repérer les touches sur le clavier pour entrer, dans la syntaxe attendue par le logiciel, les réponses qu’on leur a presque toujours soufflées.

Inquiétez-vous de ces notes automatiques, désincarnées, ces notes à moindre coût simplement destinées à étoffer les dossiers scolaires.

Inquiétez-vous de toutes ces notions apprises tellement rapidement qu’elles sont de fait, condamnées à une obsolescence programmée. Inquiétez-vous pour ces citoyens démunis, hagards que nous sommes en train de former. 

Inquiétez-vous de cette maltraitance intellectuelle, de cette « sobriété et de cette précarité subies » en matière de connaissances, mais désormais trop souvent consentie par des élèves rendus intolérants à l’exigence, à la rigueur, et allergiques à la frustration.  

Inquiétez-vous lorsqu’un président d’université à Strasbourg envisage de rallonger les vacances de Noël et de priver les étudiants de cours en présence pendant toute une semaine en février pour des raisons de restriction énergétique et va même jusqu’à déclarer que la recherche est « énergivore ».

Inquiétez-vous aussi d’une société qui a été capable de soumettre ses adolescents au pass sanitaire.

Inquiétez-vous enfin d’une société qui laisse depuis un an et deux mois des personnes « suspendues » sans salaire après avoir été désintégrées sans aucune justification médicale avérée. 

Bref, inquiétez-vous devant la multiplication des dérives autoritaires et une administration toujours plus tyrannique. 

Vous voyez qu’il y a de quoi être inquiet en effet.

L’historien Christophe Pébarthe et la philosophe Barbara Stiegler sont les créateurs d’une toute jeune pièce de théâtre d’un nouveau genre intitulée :

« Démocratie ! Un spectacle dont vous pourriez être le héros. » 

Alors, inquiétons-nous suffisamment de ce hold-up de notre humanité pour qu’ils n’aient pas à changer le titre d’ici peu en :

« Démocratie ! Un spectacle dont vous auriez pu être le héros. »

Karen Brandin

« Derrière la fausse humanité des modernes se dissimule une barbarie ignorée de leurs prédécesseurs. » 

Engels.

Pour rappel, ce garde-fou extrait d’un film mythique des années 90 : « Le cercle des poètes disparus » pour que les poètes ne disparaissent pas justement…




Comment la fraude et corruption ont été les vraies causes de la crise « sanitaire »

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

J’inaugure ici la série de publications présentant les contributions des différents intervenants aux colloques de Lisbonne et Marseille sur le thème « Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020 ». Je ne commence évidemment pas avec la mienne par nombrilisme, mais parce que la crise dite sanitaire a révélé un degré de gravité sans précédent dans le phénomène (pourtant identifié de longue date) de corruption institutionnelle et systémique des politiques de santé.

La crise que nous avons vécue depuis 2020 n’aura eu en définitive de sanitaire que l’épithète camouflant ses vraies causes. C’est la conclusion à laquelle m’ont conduit les recherches que j’ai menées depuis le mois de février 2020.

J’ai présenté cette hypothèse forte à Lisbonne et Marseille, avec comme toujours une vaste somme de références à l’appui. Comme celles-ci figurent dans le corps de ma présentation, je ne les ai pas répétées dans le texte qui suit. Le lecteur intéressé se référera à mon exposé et/ou au diaporama de celui-ci, dans lequel figurent près de 120 références documentaires. Mon ouvrage « Covid-19 : anatomie d’une crise sanitaire » (paru au mois de mai 2020 aux éditions HumenSciences) ainsi que les différentes présentations que j’ai faites dans le cadre du Conseil scientifique indépendant ou lors du séminaire que j’ai été invité à donner à l’IHU Méditerranée-Infection en contiennent de nombreuses autres…

Les présentations du colloque portant sur les statistiques (Pierre Chaillot), l’épidémiologie et les modélisations (Vincent Pavan), l’informatique (Emmanuelle Darles) ou encore l’histoire de la corruption médicale (Olivier Soulier), ainsi que celles des autres intervenants, complètent ce que je nomme et expose ici. Ces contributions seront rendues publiques au cours des deux semaines à venir.

Les colloques de Lisbonne et Marseille ont été organisés grâce au soutien de généreux donateurs. Qu’il soient ici chaleureusement remerciés !

La corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre Covid : anatomie d’une crise sanitaire(éd. Humensciences), expose depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il est membre du CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connue de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet. Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.



  • Pour visionner la vidéo de la conférence sur Odysee : cliquer ici.

Au mois de décembre 2019, un départ de feu épidémique fut signalé en Chine. Si dans un premier temps, les gouvernements occidentaux semblèrent relativement confiants quant aux risques encourus, les choses tournèrent brusquement entre février et mars 2020. Paniqués par les images dramatiques venant de la ville de Wuhan, puis d’un foyer en Italie du Nord, les gouvernements occidentaux prirent un ensemble de mesures sans précédent et qui avaient pour particularité d’avoir été évaluées comme étant inutiles et dommageables dans toute la littérature en épidémiologie infectieuse.

On expliqua ainsi qu’il fallait confiner la population pour « tasser la courbe » des contaminations, assurant que cela ne durerait que 15 jours et que toutes les mesures seraient levées ensuite. On vit d’autres décisions tout à fait stupéfiantes être prises ensuite, comme la mise en échec du premier rideau (contre les épidémies) des médecins généralistes, l’interdiction faite d’utiliser certains traitements précoces, ainsi que l’injonction de laisser les patients seuls à domicile avec du paracétamol jusqu’à ce qu’éventuellement ils se péjorent au point de nécessiter d’être hospitalisés en urgence.

Ayant très tôt cherché à connaître l’ordre de gravité de l’épidémie, j’avais découvert dès la mi-mars (les informations étaient alors parfaitement disponibles) que le COVID-19 était relativement bénin, d’un ordre comparable à une grippe un peu forte en termes de dangerosité et de létalité. Cette évaluation a été révisée à la baisse depuis, les plus récentes estimations montrant que pour la population âgée de moins de 70 ans, elle aura été équivalente à la grippe annuelle — ni plus ni moins.

Il existait certes un risque particulier pour les personnes plus âgées, mais l’absence de protection et d’accompagnement ne pouvait constituer une réponse adéquate aux besoins de cette tranche d’âge. Les bonnes pratiques en matière de gestion des épidémies prévoient de laisser la société vivre le plus normalement possible tout en protégeant les groupes à risque, avec un ensemble de mesures adaptées. Ici, tous les principes cardinaux furent piétinés au profit de mesures que l’on savait de longue date inefficaces est fortement dommageables pour la population dans son ensemble. Ayant produit un certain nombre de textes et accordé des entretiens je fus surpris de voir qu’ils eurent instantanément une très forte résonance avec un plusieurs millions de lectures en quelques jours — alors que je ne faisais qu’indiquer ce que n’importe quel expert en santé publique raisonnablement compétent pouvait aisément comprendre à partir des données disponibles.

Cette séquence un peu folle ne fut pas suivie d’un retour à la raison, mais à l’inverse d’une sorte de fuite en avant empilant les mesures absurdes les uns sur les autres, avec l’imposition du port du masque en population générale, la fermeture d’écoles, de commerces et de restaurants, des dispositifs de traçage numérique, la fermeture de frontières alors même que le virus était déjà en circulation dans les différents pays, un mésusage généralisé des tests PCR sans contrôle des taux d’amplification — ce qui a comme conséquence de multiplier le nombre de faux malades — et, pour faire bonne mesure, jusqu’à l’imposition plus tard de passes sanitaires et vaccinaux !

On a marché sur la tête

Il faut savoir que le point commun de ces mesures est de ne s’appuyer sur aucune science digne de ce nom. On vit donc un ballet d’absurdités mises en œuvre par des responsables gouvernementaux aussi autoritaires que déboussolés, sous les injonctions d’une caste médico-sanitaire toute-puissante qui multiplia les injonctions arbitraires au mépris de toute science et de toute éthique. Avec in fine une destruction socio-économique infiniment supérieure au risque provoqué par l’épidémie elle-même…

Ces réalités, nous fûmes quelques-uns à les énoncer assez rapidement, rejoints en cours de route par de plus en plus de spécialistes et d’experts. Le British Medical Journal, la moins corrompue des principales revues médicales, se fendit d’un éditorial tonitruant en novembre 2020 en nommant que nous étions en pleine dérive et en pleine corruption, avec pour résultat des conséquences littéralement dramatiques (les passages soulignés en gras le sont de mon fait).

« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique (…)

La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle 

est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir.

Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent. »

Silence et corruption

On aurait évidemment pu s’attendre à ce qu’une mise en garde de cet ordre énoncée par une revue aussi prestigieuse et crédible que le BMJ soit prise sérieusement en considération. Eh bien ici, absolument pas : ce signalement (comme ceux qui suivirent) resta lettre morte, sous une omerta de plomb. Avec notamment un travail de propagande virulent produit par les médias de la presse écrite et audiovisuelle. Lesquels se comportèrent comme les sectateurs d’une idéologie totalitaire ne tolérant aucun débat et aucune contradiction, en transgression de son éthique et de sa déontologie, mais aussi de sa responsabilité sociale.

Si la panique d’une caste médiatico-politique pouvait éventuellement expliquer la somme d’erreurs commises au tout début de la gestion de l’épidémie, cette hypothèse devenait de plus en plus faible au fur et à mesure que le temps passait. On vit apparaître de manière notoire des procédés de disqualification frauduleux des traitements précoces et de négation de la bonne science, avec des visées intéressées évidentes. Notamment, les autorités de santé et les centres hospitalo-universitaires se mirent à recommander des remèdes hyper coûteux, toxiques et même carrément dangereux, tout en disqualifiant des remèdes à l’utilité démontrée par des données probantes de qualité.

Ce motif n’avait toutefois guère de quoi surprendre un œil averti. Étant moi-même un des bons connaisseurs de la corruption systémique dans le domaine de la santé, je me trouvais en terrain connu. La réalité de cette corruption est peu connue du grand public et plus étonnamment peut-être de la plupart des responsables politiques. Pourtant cela fait plus de vingt ans que l’on a identifié de la manière la plus claire qui soit que l’entier des systèmes de soins dans les pays occidentaux est captif de logiques qui font passer la santé et la protection de la population à l’arrière-plan des intérêts lucratifs de l’industrie pharmaceutique.

Celle-ci a infiltré tous les étages décisionnels du système de soins de sorte qu’elle manipule à sa guise, grâce à ses affidés, la recherche et la production de sciences, l’enseignement et la pratique médicale aussi bien que les politiques sanitaires. Ce constat, posé par des autorités aussi incontestables que la Chambre des Communes britanniques le Sénat français, le Rapporteur de la Commission des droits de l’homme des Nations-Unies, la Commission européenne elle-même ou encore les centres d’éthique des plus prestigieuses universités aurait dû mettre la puce à l’oreille. Au lieu de cela, on assista à un déchaînement tous azimuts de la corruption, avec un ensemble de motifs aberrants.

Douce confiance

Comme celui de faire une confiance aveugle à des firmes pharmaceutiques criminelles multirécidivistes : le nombre de condamnations civiles et pénales par exemple, aux États-Unis uniquement, entre l’an 2000 et 2020 se monte à près de 1 000 pour un total cumulé de 56 milliards de dollars d’amendes. Ceci pour un ensemble de crimes et délits allant de la falsification de données jusqu’à l’homicide, en passant par la tromperie sur la marchandise, la corruption d’autorités de santé et de fonctionnaires, les essais cliniques illicites sur les populations ou (selon l’anglicisme consacré) la « charlatanerie ».

Or la caste médico-scientiste unanime annonçait la bouche en cœur que nous devions prendre pour parole d’évangile la production « scientifique » de cette industrie, que l’on sait pourtant génériquement frauduleuse. La dimension systémique de la corruption en santé est aujourd’hui fort bien documentée : on sait comment l’industrie s’y prend pour falsifier la science en usant de toutes sortes de stratagèmes pour, par exemple, disqualifier des traitements efficaces faisant concurrence aux siens ou promouvoir des traitements sans efficacité en faisant croire qu’ils en ont une.

Les médecins et scientifiques sont eux-mêmes pris en tenaille entre deux réalités : la première est qu’aujourd’hui, il serait impossible à quiconque se permettrait de contester cette somme d’inconduites de faire carrière où d’occuper une position de prestige.

L’autre est que l’industrie déploie tout un intense travail de manipulation psychologique et même d’ingénierie sociale envers les médecins pour éviter qu’ils mesurent la gravité de ce à quoi ils participent. Ce thème de la sujétion de la profession médicale s’est manifesté de manière transversale dans la gestion de la « crise sanitaire ».

Des responsables occupant des positions d’autorité, comme Antoine Flahault à l’Institut de « Santé globale » de l’Université de Genève ou encore Samia Hurst, Caroline Samer ou Didier Pittet, professeurs aux Hôpitaux Universitaires de Genève, ont participé activement à la production et à la promotion de contenus relevant de la fraude scientifique. Ceci en désinformant diligemment la population, en transgression de toutes les règles éthiques en santé publique.

Médias de masse

Les mass medias ont joué un rôle particulièrement délétère dans cette affaire, réservant leurs tribunes et plateaux à ces apparatchiks de la corruption et en attaquant avec virulence toutes les voix divergentes. On en est ainsi venu à faire croire à l’existence d’un consensus en faveur des mesures de contrainte présentées abusivement comme sanitaires, consensus qui n’a jamais existé dans la réalité.

À l’inverse, le vrai consensus scientifique international était celui énoncé dans la déclaration de Great Barrington, signé par plus de 65 000 scientifiques et médecins, affirmant qu’il fallait mettre un terme au plus vite à la dérive en cours et revenir aux principes de la santé publique et de son éthique.

Des titres auparavant prestigieux et respectables comme Le Monde et L’Express en France ou Le Temps en Suisse se sont engagés dans un travail de désinformation d’une sidérante systématicité. Comme l’ont relevé nombre d’épidémiologistes de réputation mondiale, les principaux pourvoyeurs de désinformation et autres fake news aujourd’hui ont été ceux-là mêmes qui au sein des rédactions et autres agences de presse prétendaient les combattre.

Ces journalistes ont systématiquement monté en épingle la science la plus falsifiée tout en tirant à boulets rouges sur celle qui, produite selon les règles de l’art, apportait une contradiction documentée au dogme dominant.

Pendant qu’Antone Flahault réclamait à cor et cris les mesures les plus injustes, inefficaces et brutales contre les groupes les plus vulnérables de la population (en particulier les enfants), Caroline Samer cautionnait de son autorité une méta-analyse réalisée par des doctorants, qui constituait une pure escroquerie scientifique.

En France, les épidémiologistes Cauchemez et Fontanet ont pareillement produit des papiers frauduleux à la demande du gouvernement pour justifier les confinements, la fermeture des restaurants puis l’imposition du passe sanitaire. Mon excellent collègue du Conseil scientifique indépendant, le mathématicien chercheur Vincent Pavan a pu détecter dans leurs modélisations où se situaient les fraudes et truanderies. Un dépôt de plainte de pénal à leur encontre s’en est suivi pour production et usage de faux.

Corruption et collusion

Il faut ainsi savoir qu’aujourd’hui, il existe une inconduite gravissime et généralisée dans le milieu médico-scientifique, organisé et dissimulé par la presse, les agences de santé et les plateformes du numérique. Cette collusion, dont la finalité est d’empêcher tout débat digne de ce nom en censurant les scientifiques intègres, a conduit à l’imposition d’une idéologie sanitaire appelée « doxa du COVID » par Laurent Mucchielli, sociologue et directeur de recherche au CNRS. Il a montré que les quatre composantes de cette narration (à savoir, nous vivons une épidémie d’une gravité dramatique ; aucun traitement précoce n’est disponible ; les mesures de contraintes sont nécessaires ; et seul le vaccin nous sauvera) sont entièrement fausses, mais assurent le marché à l’injection génique expérimentale présentée comme un « vaccin ».

Nous l’avons vu, la gravité réelle du Sars-CoV-2 est bénigne. Sans le dévoiement des tests PCR faisant croire à une abondance de cas sans correspondance dans la réalité, l’épidémie aurait été considérée comme terminée dès juillet 2020 selon le meilleur connaisseur des épidémies respiratoires pour la France, l’épidémiologiste Laurent Toubiana.

La palette de traitements précoces disponibles est remarquablement abondante en ce qui concerne le Covid. De récentes études ont montré que le simple fait de prescrire une supplémentation en zinc permettait de réduire de moitié le risque d’hospitalisation. Une supplémentation en vitamine D fait quant à elle baisser ce risque de 80 %, sans même parler des remèdes comme les macrolides (azithromycine en particulier), l’ivermectine (qu’un député socialiste a traité de « remède pour les ânes » alors qu’il figure dans la liste des médicaments essentiels de l’OMS…) ou même l’Artemisia, qui disposent d’une somme de données probantes à l’appui de leur efficacité contre le Covid carrément rare dans la pharmacopée !

Les mesures de contrainte n’ont quant à elles aucune validité avérée (contrairement à leurs effets dommageables), et n’auraient dès lors jamais dû être imposées selon les bonnes pratiques en santé publique. Elles relèvent de la superstition, mais non de la science. L’imposition du port du masque constituant un cas d’école, hélas, puisqu’il provoque bel et bien une asphyxie (hypercapnie), particulièrement risquée chez les jeunes avec un risque de surinfection bactérienne fortement accru.

Enfin, l’injection génique expérimentale, imposée par la manipulation, le harcèlement et même la contrainte (un délit pénal) s’est avérée un fiasco retentissant ! Ne pouvant plus prétendre que l’injection protégeait de la contamination, les autorités ont été réduites à affirmer qu’elle protégeait au moins contre les formes graves, cette assertion étant au final elle aussi démentie par les faits.

Au bout du compte il reste de tout cela un énorme désastre produit par les « mesures » imposées.

Comment cela est-il arrivé ?

Lorsqu’on analyse la manière dont les bonnes réponses sanitaires (et les plans pandémie qui avaient été prévus) ont été mis en échec, on trouve quelques motifs intéressants. Tout d’abord, c’est la Chine qui a dicté les réponses sanitaires mondiales alors même qu’elle employait des méthodes d’une brutalité inouïe et sans validité scientifique probante. L’OMS a ensuite assuré le relais en osant affirmer que les méthodes chinoises constituaient désormais les stratégies sanitaires à appliquer — à l’encontre de tout bon sens, de toute science digne de ce nom ainsi que de la connaissance accumulée depuis plus d’un siècle.

Un autre motif intéressant (qu’une enquête des médias Politico et die Welt a récemment mis en lumière) est que ce sont Bill Gates et ses fondations qui de facto ont été en charge de la réponse mondiale à l’épidémie du COVID, hors de tout contrôle des gouvernements.

Indépendamment du fait que sa philanthropie est plus que douteuse (tant dans ses finalités qu’au regard des moyens employés) selon les connaisseurs, on voit mal en quoi, comment et pourquoi un informaticien phobique doive décider de la réponse sanitaire mondiale à une épidémie respiratoire. Or les fondations de Bill Gates et la fondation Rockefeller sont les principaux bailleurs de fonds de l’OMS. Ce qui a conduit Rony Brauman, l’ancien président de médecins sans frontières, à énoncer tout récemment que :

« L’OMS est aujourd’hui partagée entre le pouvoir de Pékin, le lobby pharmaceutique et celui des financements privés, notamment de la Fondation Bill Gates (…) j’estime que l’OMS se rend complice de cette dérive politico-mafieuse. »

Les autorités de l’état de Genève, elles, préfèrent dédier la cuvée de leur vigne officielle à ce « bienfaiteur de l’humanité » dont l’obsession est de modifier génétiquement la nature ainsi que les humains et à sa fondation vaccinale dystopique, la GAVI !

L’on a vu en effet que toutes les instances de santé prévues et outillées pour faire face à une pandémie ont été mises en échec dans les différents pays comme au niveau international. Avec évidemment des soupçons de corruption particulièrement graves — on pense bien sûr à la présidente de la Commission européenne, Ursula van der Leyen, qui a négocié personnellement, en transgression de toutes les règles, les contrats d’injection génique directement avec le CEO de Pfizer. Ce qui a tout de même conduit le procureur européen à ouvrir une enquête pour corruption…

Fraudes et re-fraudes

Les études à l’appui de l’injection génique sont elles aussi massivement frauduleuses, avec une somme d’incohérences et de falsifications camouflées pour l’essentiel dans les annexes, pour éviter que les médecins, les journalistes ou les politiciens y aient accès !

Malgré ces truanderies, le monde médico-politique a clamé à la ronde dès le mois de décembre les louanges d’un produit forcément « sûr et efficace », alors nous disposions à ce moment-là en tout en pour tout d’un seul mois et demi de recul sur un produit expérimental jamais testé sur l’être humain, et avec les seules données bidouillées (nous l’avons montré) de Pfizer pour en juger…. Les responsables politiques des différents pays qui ont osé affirmer une chose pareille se sont engagés dans un mensonge d’état envers leur population en profanant de manière très grave la parole publique.

On a vu au passage être jeté aux orties tout un ensemble de règles de sécurité et d’éthique pourtant impératives, comme celles de ne pas imposer une expérimentation médicale à la population, de ne pas vacciner pendant une épidémie, de ne pas vacciner les femmes enceintes, de ne pas user de harcèlement, de chantage ou même de contrainte envers les personnes pour qu’elles se soumettent à la vaccination.

Les autorités ont surenchéri dans le mensonge, hélas, en affirmant par exemple que l’ARN messager restait au point d’injection : on en a retrouvé bien au contraire jusqu’à huit semaines plus tard dans tout le corps et même accumulé dans certains organes comme les gonades avec un risque évident pour la fertilité. On a assuré qu’il était impossible qu’il y ait une retranscription de l’ARNm dans l’ADN. Or une étude in vitro a montré que des cellules hépatiques pouvaient connaître ces phénomènes de rétrotranscription, ce qui pose un évident souci d’intégrité du génome pour les injectés !

Enfin, l’on a nié éhontément l’intensité, la sévérité et la fréquence des effets indésirables, très largement supérieurs à tout ce qu’on a connu au cours de l’histoire. Avec des atteintes cardiaques fréquentes et en rien anodines touchant en particulier les jeunes gens.

Évoquant le rôle glauque et opaque des cabinets de conseil dans la gestion sanitaire (McKinsey a « conseillé » la quasi-totalité des gouvernements occidentaux tout en conseillant aussi Pfizer…), la philosophe Barbara Stiegler, philosophe et professeur à l’université Bordeaux-Montaigne a résumé cette somme de forfaitures :

« Ils n’ont pas commis d’erreur… Ils ont juste une excellente maîtrise de l’ingénierie sociale et de la manipulation des masses. Je vous rappelle que ces cabinets sont des experts de l’ingénierie sociale, ils n’ont pas été recrutés pour rien. »

Une épidémie sans gravité, mais des politiques sanitaires dramatiques

La tragique vérité est que l’épidémie de Sars-CoV-2 était sans gravité, mais que les réponses sanitaires faites de corruption et de prédation des ressources publiques, sans égard pour les besoins réels de la population, ont quant à elles produit des effets littéralement dramatiques.

Quelques scientifiques de réputation mondiale (en l’occurrence les Pr Jay Bhattacharya et Peter McCullough) ont proposé un ensemble de principes pour éviter la répétition de dérives d’une telle gravité :

#1. Arrêter de raconter des mensonges, pieux ou autres ; être honnête avec la population.

#2. Cesser de harceler et délégitimer les bons médecins et experts.

#3. Mettre fin aux recommandations dictatoriales, fournir des données transparentes et faire une véritable analyse des données.

#4. Produire une analyse mensuelle des données de sécurité et instituer des comités externes de suivi des données de sécurité.

#5. S’attaquer à l’incompétence épidémiologique du CDC et à son asservissement à l’industrie.

#6. Reconnaître quand on va dans une mauvaise direction, et y remédier.

#7. Renoncer à imposer des obligations et des rappels pour des vaccins inefficaces.

#8. Ne pas conditionner les pédiatres à harceler les parents pour un vaccin inefficace.

#9. Accepter les termes et les conséquences de l’admission tardive par le CDC que les vaccinés ne sont pas différents des non-vaccinés en termes de contagiosité.

#10. Peut-être pas tant comme idée de réforme que comme un besoin inévitable : plus de poursuites judiciaires.

Le constat doit être posé que l’entier du système aujourd’hui a atteint un degré de corruption toxique, au croisement de la malhonnêteté et de la malfaisance des uns et de l’irresponsabilité et la soumission des autres.

Comme le soulignait Primo Lévi, rescapé des camps de la mort :

« Les monstres existent, mais ils sont trop peu nombreux pour être vraiment dangereux, ceux qui sont vraiment dangereux ce sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires prêts à croire et à obéir sans discuter. »

Ce sont eux qui ont asphyxié et traumatisé les enfants, privé de soins les malades, isolé et parfois même achevé les aînés, imposé le port du masque aux parturientes, stigmatisé et brutalisé tous ceux qui avaient préservé leur bon sens et leur esprit critique.

Il est impératif que touts ceux qui ont participé à cette dérive gravissime en semant la destruction, la terreur et la mort dans la population, en s’attaquant en particulier à ses groupes les plus vulnérables, aient à répondre de leurs actes devant la justice, comme il se doit au regard du nombre de lois constitutionnelles, civiles et pénales qui ont été violées par les états au cours de cette crise — comme conséquence de la fraude et de la corruption sévissant dans le domaine de la santé.

  • Pour télécharger la présentation au format PDF : cliquer ici.



Un mythe contagieux

[Source : miriaf.co.uk via RI]

[Traduction : Marie Claire Tellier]

Par Miri

[Note de Joseph : une argumentation profane pleine de bon sens et que l’on peut étayer par des articles sourcés et plus spécialisés présents dans le dossier Vaccins et virus, comme :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Go Virus Go !
et concernant la 5G par des articles du dossier 5G et ondes pulsées comme :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
et Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

« Nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »

Antoine Bechamp

Chaque fois que j’opine sur le sujet de la prétendue pandémie — que tout a été mis en scène, que les tests sont faux, les chiffres truqués —, sans faute, j’obtiens toujours le refrain d’un certain nombre d’individus : « Je suis d’accord que la menace était exagérée et que les restrictions étaient absurdes, mais il y avait bien un virus. J’étais vraiment malade ».

Nous devons donc examiner ces affirmations un peu plus en détail, car si vous êtes conscient de la nature frauduleuse des tests, des chiffres et du vaccin, mais que vous n’avez pas encore vu la fraude épique et la fabrication derrière l’idée du « virus » (et, en fait, des virus en général), vous manquez une partie cruciale du tableau. Peut-être la partie la plus importante, en fait, car si vous continuez à croire qu’« il y avait un virus » et qu’il était responsable de la mauvaise santé des gens, alors vous êtes, en fin de compte, vulnérable pour tomber dans ce genre de canulars à nouveau.

Je vais donc faire un certain nombre d’affirmations plutôt audacieuses, et je vais les étayer.

  1. Il n’y avait, et il n’y a, aucun nouveau virus respiratoire appelé « Covid ».
  2. Comme il n’y avait pas de Covid, il ne causait pas de maladie, non seulement parce que ce virus particulier n’existe pas, mais parce que :
  3. Les virus ne causent pas de maladie.

Ces affirmations sont toutes vraies et relativement faciles à prouver, mais la raison pour laquelle les gens réagissent avec tant de force contre elles n’est pas parce qu’ils ont des preuves solides, crédibles et reproductibles du contraire (ils n’en ont pas, car il n’y en a pas), mais parce que l’idée que les virus causent des maladies est un principe fondamental de la société moderne et quelque chose qui nous est inculqué pratiquement dès la naissance, étant donné que l’une des toutes premières choses que l’on dit aux nouveaux parents est de vacciner leur bébé pour le protéger contre les virus.

Il convient de noter que le système immunitaire d’un nourrisson est généralement trop immature pour produire la réponse en anticorps que les vaccins sont censés produire et, traditionnellement, les nourrissons n’étaient pas vaccinés avant l’âge de deux ans pour cette raison. La raison pour laquelle on les injecte aujourd’hui dès la naissance est, de l’aveu des tsars de la vaccination, de « former les parents » — par exemple, si votre bébé a parfaitement survécu jusqu’à l’âge de deux ans sans aucun vaccin, vous pourriez très bien en conclure qu’il est très bien sans eux. On ne peut pas accepter cela, alors le régime d’injections commence tout de suite, pour faire croire aux parents que leur enfant n’a survécu à la petite enfance que grâce à toutes les injections.

Cette propagande — selon laquelle les virus sont dangereux et nous devons nous en protéger — est ensuite répétée tout au long de notre enfance, lorsqu’on nous dit d’éviter les amis malades au cas où nous « attraperions » quelque chose d’eux, qu’on nous demande de rester à la maison lorsque nous sommes malades afin de ne pas « répandre nos microbes », etc., et qu’on nous endoctrine encore davantage à l’école, non seulement par le biais des cours de biologie et d’histoire où l’on nous apprend à vénérer Edward Jenner, mais aussi par la vaccination qui a désormais lieu dans les locaux scolaires.

Les écoles ne sont pas des environnements cliniques et sont donc des lieux totalement inadaptés à l’application de puissantes interventions médicales, mais elles procèdent quand même à la vaccination : de manière rituelle et dans le cadre du programme contraignant de modification du comportement et de la pensée — en nous convainquant que nous ne parvenons à survivre jusqu’à l’âge adulte que grâce à toutes ces injections.

Inutile de dire que si on vous fait de la propagande, littéralement du jour de votre naissance jusqu’à l’âge adulte, avec l’idée que les virus sont contagieux et causent des maladies, vous allez y croire. C’est aussi mon cas. Pourtant, je peux vous assurer que ce n’est pas vrai et que, comme la plupart de ce qui est enseigné dans les écoles publiques (y compris les écoles de médecine), c’est une propagande sournoise conçue par les classes dirigeantes pour maintenir la plèbe à sa place.

La peur des virus contagieux est une arme tellement épique pour les classes dirigeantes qu’il s’agit vraiment de l’un de leurs plus grands et plus diaboliques coups de maître, qui leur permet de tout faire, de la stérilisation des jeunes (voir les vaccins contre le VPH) à l’euthanasie des personnes âgées (voir les vaccins contre la grippe), en passant par l’imposition d’une tyrannie anti-humaine à la population quand bon leur semble, simplement en déclenchant la peur de la population qu’ils ont créée à propos des « virus mortels ». Rappelez-vous qu’une interprétation du mot PEUR est une fausse preuve qui semble réelle.

Ainsi, pour démonter le canular des « virus mortels » (et c’est un canular), nous devons d’abord examiner comment la théorie conventionnelle des modèles de maladie caractérise les virus. Ils sont dépeints presque comme des méchants de dessins animés, des mercenaires microscopiques capables de sauter dans l’air d’une personne à l’autre, de prendre d’assaut la myriade de défenses complexes de votre corps, puis de commencer à faire des choses ignobles à l’intérieur de vous qui provoquent des maladies redoutables.

Pourtant, un virus n’est pas un être vivant comme l’est, par exemple, un parasite. Un parasite peut en effet vous être transmis par une personne infectée et provoquer toutes sortes de symptômes désagréables, car les parasites sont vivants et ont donc la capacité de se nourrir — d’absorber de l’énergie — ce qui leur donne la possibilité de faire des ravages sur leurs hôtes. La clé pour se débarrasser d’un parasite est donc de l’affamer (les parasites, comme la plupart des entités pathogènes, y compris le cancer, aiment le sucre).

Un virus, en revanche, n’a pas la capacité de se nourrir. Il ne peut pas respirer. Il n’a pas de cerveau ou de système nerveux. Il n’est pas « vivant », quelle que soit la définition raisonnable que l’on donne à ce terme. Dans ce cas, un défenseur de la contagion virale peut-il expliquer comment une entité non vivante, qui ne peut absorber d’énergie pour se nourrir, est néanmoins capable de parcourir d’énormes distances, de vaincre les membranes puissamment protectrices de notre peau, de nos yeux, de notre nez et de notre bouche, de notre système digestif, puis d’avoir ENCORE l’énergie (qu’elle n’avait pas au départ) pour commencer à provoquer de graves symptômes de maladie ?

Pas étonnant qu’ils doivent commencer à nous faire de la propagande avec ce genre de choses à l’âge de cinq ans, sinon personne n’y croirait jamais.

Quelque chose qui n’est pas vivant et qui n’a pas d’alimentation en énergie ne peut pas se comporter de la manière dont la théorie de la « contagion virale » dit que les virus le font. J’ai déjà écrit que l’ensemble du domaine de la vaccinologie est essentiellement une escroquerie, fondée sur une pseudo-science et un charlatanisme dépassés depuis longtemps — tout comme le domaine de la virologie conventionnelle. C’est de la science-fiction, pas un fait fondé sur des preuves. Personne n’a pu prouver — jamais — que les virus volent dans l’air, s’insèrent dans les gens et commencent à causer des maladies.

Tout ce que l’on a pu prouver, c’est que lorsque les gens sont malades, ils sont testés positifs pour certains virus. Si le test est fiable (et c’est un grand « si » — il ne l’est certainement pas s’il s’agit de la PCR), alors tout ce que cela prouve, c’est qu’un virus est présent dans le corps d’une personne au moment où elle est malade. Cela ne prouve pas que le virus est responsable de la maladie ni que la personne a attrapé le virus d’une autre personne.

Donc, revenons aux personnes qui disent « il y avait définitivement un virus. J’étais vraiment malade. »

Le fait que vous étiez malade ne prouve pas qu’il y avait un virus. Cela prouve seulement que vous étiez malade. Même si vous avez été testé positif au test Covid — et même si ce test était fiable (ce qui n’est pas le cas) — cela ne prouve pas qu’un virus est responsable de vos symptômes. Cela montre simplement qu’il est présent lorsque vous êtes malade. C’est un peu comme si vous disiez : « Des déchets ont été jetés dans mon jardin, puis des rats sont apparus. Il est donc clair que les rats sont la cause des ordures dans les jardins. »

La principale raison pour laquelle les gens semblent avoir du mal avec cela — avec l’idée qu’il n’y a pas de Covid et que les virus en général ne causent pas de maladie — est qu’ils sont catégoriques : la maladie qu’ils ont connue en 2020 était « différente de toutes celles que j’ai eues auparavant ».

Écoutez : je n’essaie pas de dévaloriser l’expérience de quiconque en disant cela, mais, sérieusement — j’entends cela CHAQUE année. Chaque année, sans exception, les gens disent qu’ils ont été très malades et qu’ils n’ont jamais été aussi malades de leur vie. Dans certains cas, bien sûr, ils ont raison — à un moment donné, nous sommes plus malades que nous ne l’avons jamais été — mais souvent, les gens oublient à quel point les maladies « normales » peuvent vous faire sentir mal. Un « simple » rhume peut vous faire rester au lit pendant des jours, vous sentir absolument mal et ne pas être en mesure d’accomplir les tâches quotidiennes les plus élémentaires. Nous disons que les rhumes ne sont pas graves, non pas parce qu’ils ne vous font pas sentir sérieusement mal, mais parce qu’ils ne durent pas longtemps et n’ont pas d’effets secondaires graves.

La grippe, quant à elle, n’est certainement pas anodine et peut vous donner l’impression d’être aux portes de la mort — et elle peut entraîner des hospitalisations, en particulier pour les personnes présentant des comorbidités. Il est donc faux de dire « ce n’était pas un rhume ou une grippe normale parce que je me suis sentie très mal ». Les rhumes normaux, et surtout les grippes, peuvent vous rendre très malade.

Il est cependant théoriquement possible que vous ayez vécu quelque chose de différent en 2020, car il est théoriquement possible que les classes dirigeantes aient manipulé l’environnement d’une manière ou d’une autre pour augmenter les symptômes de mauvaise santé, par exemple en augmentant les champs électromagnétiques (lorsque nous sommes allés dans une zone 5G fortement saturée, mon mari a rapidement saigné du nez, le premier et le dernier qu’il ait jamais eu depuis que je le connais), ou en mettant plus de poisons que d’habitude dans l’eau du robinet, comme ils l’ont fait dans le célèbre scandale de l’empoisonnement à l’aluminium de Camelford.

Il est possible qu’ils aient fait cela. Mais — et c’est là le point essentiel, alors pardonnez-moi si je le répète plusieurs fois — il n’est pas possible qu’ils aient libéré un virus qui ait causé des problèmes de santé, car ce n’est pas quelque chose que les virus sont capables de faire.

Si, comme le veut la théorie du complot soutenue par l’establishment, « Covid a été produit dans un laboratoire et libéré », savez-vous ce qui se passerait ? Rien. Si un virus était fabriqué dans un laboratoire et pulvérisé partout, il tomberait par terre et ne ferait rien, et l’histoire s’arrêterait là.

Donc, aucun virus n’a rendu qui que ce soit malade, et personnellement, je doute même qu’il y ait eu une tentative coordonnée ou nationale d’augmenter la maladie par d’autres moyens, parce que ce n’était tout simplement pas nécessaire. La télévision a créé toute la peur, l’hystérie et la conformité nécessaires, chez des personnes en parfaite santé. Ils n’avaient pas besoin d’être rendus malades pour croire à la pandémie et se conformer à la tyrannie.

Cependant, je vais le répéter encore une fois parce que c’est tellement vrai — le pouvoir de l’esprit est exceptionnellement fort. Si vous croyez qu’il existe un virus dangereux et que vous pouvez l’« attraper », vous êtes beaucoup plus susceptible de développer les symptômes de ce prétendu virus que les personnes qui ne croient pas en son existence.

Nous savons tous à quel point l’esprit peut être rusé dans ce domaine. Par exemple, si vous tapez « mal de tête » sur Google, en cinq minutes, vous vous serez convaincu que votre mal de tête bénin dû à la déshydratation est en fait une tumeur cérébrale, car vous avez certainement tous les autres symptômes d’une tumeur cérébrale… C’est tout simplement la vérité que lorsque nous avons certaines croyances sur notre santé, notre corps commence à manifester ces symptômes. Si vous avez cru à l’existence de Covid — même si vous avez vu à travers d’autres parties de la pandémie — que vous étiez simplement plus susceptibles de développer les symptômes que l’on nous a indiqués Covid.

Il est également crucial de noter que rien ne prouve qu’il y ait eu plus de maladies graves en 2020 qu’au cours des autres années. Lorsque je dis « il n’y a pas de Covid », cela est souvent interprété à tort comme si je disais « il n’y a pas de maladies graves et de décès ». Bien sûr qu’il y en a, et bien sûr qu’il y en a toujours eu – des millions de personnes ont été malades en 2020, dont certaines gravement, comme toutes les autres années. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes, comme chaque année. Mais, lorsque vous retirez de l’équation les décès institutionnels induits par les médicaments et les ventilateurs (par exemple, les maisons de soins et les hôpitaux qui tuent des patients qui, avec les traitements appropriés, auraient pu guérir), vous pouvez constater que les taux de maladie et de décès en 2020 n’étaient en rien exceptionnels ou inhabituels.

Pour être clair, il n’y a pas eu plus de patients souffrant de maladies respiratoires graves en 2020 que les années précédentes, c’est juste que les années précédentes, ces patients étaient diagnostiqués avec la grippe et la pneumonie et en 2020, ils étaient diagnostiqués avec le Covid. Alors bien sûr, vous avez pu être malade en 2020, voire très malade. Mais rien ne prouve que vous étiez plus susceptible d’être malade en 2020 qu’en 2019, 2018 ou 2017.

De plus, et c’est un point crucial que l’establishment voulait absolument supprimer au plus fort de la fausse peste, en étant très sévère avec ceux qui l’exposaient, les hôpitaux étaient plus vides qu’ils ne l’avaient jamais été dans l’histoire. Si toutes ces personnes étaient frappées par une nouvelle maladie mystérieuse et grave, où étaient-elles ? Pourquoi les hôpitaux n’étaient-ils pas « débordés », comme on nous l’avait dit ? Pourquoi les débordements d’urgence de Nightingale n’ont-ils jamais été utilisés ?

C’est parce que la grande majorité des personnes malades n’avaient que des maladies saisonnières ordinaires et n’étaient pas assez malades pour aller à l’hôpital — comme chaque année. C’est pourquoi, et c’est un fait incontestable, s’il y avait eu une nouvelle maladie grave, les hôpitaux auraient été pleins à craquer. Ils ne l’étaient pas.

En outre, rappelez-vous tous les ministres « hypocrites » qui enfreignaient toutes les règles, organisaient des fêtes et avaient des liaisons, etc. Demandez-vous si ces célèbres politiciens égoïstes auraient agi de la sorte s’ils avaient cru qu’il y avait le moindre risque qu’ils attrapent « un virus dangereux ».

Boris Johnson lui-même a fait la fête avec les meilleurs d’entre eux, bien qu’il soit censé être « un survivant du Covid » avec un nouveau bébé vulnérable à la maison ! Pensez-vous qu’il s’exposerait, lui et sa famille, à des risques sérieux en se rendant à des événements « super-propagateurs » comme les fêtes s’il existait réellement un virus qu’il pourrait attraper et propager ? Bien sûr que non. Il n’a jamais eu de « Covid », c’était encore une fois du théâtre politique mal joué. Boris et ses coéquipiers savaient tous qu’ils ne couraient aucun risque pour leur santé en faisant la fête et en s’adonnant à la drague, car ils savaient qu’il n’y avait pas de virus. Rien ne se « propageait ». Rien n’avait été « libéré d’un laboratoire ». Tout cela n’était que de la propagande sans fondement destinée à effrayer les gens pour qu’ils se conforment à la loi, car, si c’était vrai, les ministres se seraient recroquevillés dans des combinaisons de protection à l’intérieur de leurs demeures, en pulvérisant du désinfectant sur le facteur — et non en faisant la fête.

Ces députés ont été cloués au pilori dans la presse et par le public pour leur « hypocrisie », mais ils n’étaient pas hypocrites — ils étaient menteurs. Ils ont fait de la propagande en utilisant des techniques de modification du comportement basées sur la peur, pour faire croire à une menace mortelle qu’ils savaient eux-mêmes ne pas exister.

Et c’est parce que c’est tout ce dont l’élite avait besoin. De la peur. Ils n’avaient pas besoin d’un véritable virus, car ils savaient que le simple fait de dire aux gens qu’il y en avait un suffirait : c’est ainsi que fonctionne la psychologie humaine et c’est le message précis de la fable Les nouveaux habits de l’empereur. Les conspiraquats fous comme moi sont l’équivalent du petit garçon impudent qui saute en l’air sur les lignes de touche en criant « mais l’Empereur est nu ! ». Si vous regardez ce qui est réellement là, plutôt que ce que l’État vous dit de voir, il est évident qu’il l’est. Toutes les preuves réelles montrent qu’il l’est. Mais vous n’avez pas le droit de le dire.

Je sais qu’il est très difficile de se faire à l’idée que les classes dirigeantes puissent nous tromper à une échelle aussi colossale, laissant plus d’une personne perplexe demander, mais POURQUOI, je ne comprends pas POURQUOI ils feraient cela.

Pour répondre à cette question, il faut comprendre que nos classes dirigeantes ont un complexe de Dieu pathologique et croient qu’elles peuvent plier la réalité à leur volonté en remplaçant la réalité objective par leurs mirages, leurs illusions et leurs mensonges. Si je disais à un membre de l’élite dirigeante « les virus ne causent pas de maladies », il me répondrait « c’est vrai, mais parce que maintenant le monde entier croit qu’ils le font et se comporte comme s’ils le faisaient, c’est maintenant la réalité. Nous avons créé cette réalité par le pouvoir même de notre propre volonté ».

On peut penser que les élites dirigeantes sont comme le personnage « Christoff » du film The Truman Show — des obsédés du contrôle impitoyables qui croient avoir le pouvoir et le droit de créer des mondes entiers fabriqués autour des gens, de leur mentir sans relâche et de faire des efforts extraordinaires pour obscurcir la vérité — car lorsque vous pouvez persuader les gens d’investir si profondément dans un mensonge, vous avez un contrôle total sur eux. « Ceux qui peuvent vous faire croire des absurdités peuvent vous faire commettre des atrocités. » – Voltaire. Quelqu’un aurait-il imposé une partie de la tyrannie de Covid, y compris administrer et recevoir des injections mortelles, s’il ne croyait pas aux « virus mortels » ? De toute évidence, non, et c’est donc le pouvoir que les classes dirigeantes exercent aujourd’hui en ayant inventé ce canular vieux de plusieurs siècles.

Si vous réfléchissez à la théorie des virus en termes simples, vous pouvez commencer à voir qu’elle ne résiste à aucun examen, car il y a 7 milliards de personnes dans le monde, dont beaucoup sont très mobiles, et qui contiennent toutes sortes de virus (on estime que la personne moyenne en contient au moins cinq). Alors pourquoi tout le monde n’est-il pas constamment malade ? Pourquoi ne sommes-nous pas constamment infectés et réinfectés à chaque fois que nous interagissons avec d’autres personnes ? Pourquoi la personne moyenne n’est-elle malade qu’une ou deux fois par an, même les personnes qui ont une vie très mobile et centrée sur les gens, comme celles qui travaillent dans des pubs et entrent en contact avec des centaines d’inconnus potentiellement « porteurs de maladies » chaque semaine ? Plus précisément, pourquoi les infirmières et les médecins ne sont-ils pas constamment atteints de maladies virales, étant donné qu’ils sont constamment en contact avec des personnes malades qui en sont atteintes ?

C’est parce que l’on n’attrape pas les maladies. Comme Antoine Bechamp nous l’a dit, on les construit.

Vous tombez malade lorsque la toxicité de votre corps (due aux toxines présentes dans la nourriture et les boissons, dans l’air, aux CEM, au stress émotionnel, etc.) atteint un point critique et que votre corps a besoin de l’évacuer. C’est ce qu’est un rhume ou une grippe. Une désintoxication de tout le corps qui expulse toutes les toxines (par la toux, les éternuements, la fièvre, etc.). À ce stade, vos cellules produisent des virus pour faciliter la désintoxication et le nettoyage interne. Vous pouvez considérer les virus comme une sorte de savon, et la terrible ironie est qu’ils ne sont pas des ennemis dangereux et malveillants qui essaient de contrecarrer votre bonne santé, bien au contraire. Ils essaient de vous aider, car (et toute l’industrie pharmaceutique est absolument terrifiée par le jour où les gens réaliseront ce fait ineffable) votre corps n’essaie pas réellement de vous tuer. Au contraire, chaque cellule de votre corps se consacre à vous maintenir en vie, et votre corps possède un large éventail de capacités magistrales exclusivement consacrées à vous protéger et à vous préserver.

Les gens tombent souvent malades au même moment parce que a) les personnes qui vivent ou travaillent ensemble sont exposées aux mêmes toxines, et b) nos corps sont synchronisés et communiquent — voir la synchronisation menstruelle — et un corps qui fait une cure de désintoxication peut envoyer des signaux puissants aux corps voisins pour leur dire que cet environnement est un peu toxique et qu’une cure de désintoxication ne serait pas de refus.

Cela ne signifie pas que quelqu’un a « attrapé » quelque chose d’un autre (je le demande à nouveau : pourquoi les médecins et les infirmières ne sont-ils pas constamment malades ? Après tout, ils sont constamment entourés de personnes malades et, à moins qu’ils ne travaillent en combinaison de protection, ils ne peuvent éviter les contacts étroits).

Si la théorie virale et les modèles de contagion étaient un tant soit peu vrais, alors tout le monde, à part les ermites, serait constamment malade, y compris et surtout les personnes qui ont beaucoup de contacts avec les autres. Et pourtant, il n’existe aucune preuve scientifique montrant que quelqu’un qui travaille dans un pub – rencontrant des centaines de nouvelles personnes par semaine — est plus susceptible de tomber malade que quelqu’un qui travaille dans un bureau — voyant la même petite sélection de personnes chaque jour. Si la théorie virale était vraie, non seulement les emplois en contact avec le public seraient trop dangereux et il serait impossible de retenir les employés (parce qu’ils seraient constamment en arrêt maladie), mais la race humaine n’existerait pas, ayant été éliminée par des contagions virales il y a des lustres. En effet, si la théorie virale était vraie, il n’y aurait plus personne en vie pour y croire.

Soyons clairs, il existe divers poisons dans l’environnement et notre monde est plus toxique qu’il ne l’a jamais été. Alors, bien sûr, les gens tombent malades. Si vous empoisonnez un organisme vivant suffisamment souvent, même avec une faible dose de poison, il finit par tomber malade. Mais cela ne signifie pas qu’il y a, qu’il y a eu ou qu’il pourrait y avoir une épidémie virale. Ce n’est pas une chose qui peut arriver, et la raison pour laquelle l’establishment a investi tant d’argent dans les films de « peste » au cours des dernières décennies (Contagion, Outbreak, World War Z, etc.) est de manucurer l’esprit des gens pour qu’ils y croient. Mais l’idée d’une peste virale contagieuse est tout aussi fictive que n’importe lequel des films susmentionnés, et l’établissement vous le dit assez explicitement.

Lorsque j’ai regardé Contagion en 2019, environ un an avant que Covid ne fasse ses débuts, j’ai immédiatement su ce qu’ils nous disaient et j’ai fait un post prédisant une fausse peste, mise en scène pour contraindre les gens à prendre un vaccin dangereux. Non seulement les réalisateurs de Contagion nous ont dit que cela allait arriver (dans les suppléments du DVD, ils déclarent « Contagion n’est pas une œuvre de fiction, cela va se produire pour de vrai, c’est une question de quand, pas de si »), mais Matt Hancock lui-même a confirmé que le Royaume-Uni a basé sa réponse à la pandémie sur le film.

Les scénaristes de la fausse peste ont ensuite donné le premier vaccin à « William Shakespeare », dont la citation la plus célèbre est « all the world’s a stage » — et en rapportant cette sombre petite blague, Matt Hancock n’a littéralement pas pu garder son sérieux.

Donc, vous l’avez. Les producteurs et réalisateurs derrière « Covid ! The Plague Blockbuster » vous ont dit très clairement et dès le début que ce n’est pas réel, que c’est une mise en scène, un scénario et que cela ressemble à un film — et je ne fais donc que répéter leur révélation (parce qu’ils nous disent toujours ce qu’ils font, un phénomène connu sous le nom de « révélation de la méthode », si vous apprenez simplement à interpréter ce qu’ils disent. Par exemple, ils déclarent que le vaccin est « sûr et efficace ». Mais ils ne disent pas pour qui et de quelle manière. Est-il « sûr » parce qu’ils sont immunisés contre les poursuites judiciaires, et « efficace » parce qu’il fait exactement ce qu’ils voulaient qu’il fasse) ?

Pour reprendre notre véritable pouvoir à ces sorciers sombres et maléfiques (remarque : Hollywood porte le nom du bois de l’arbre Holly, traditionnellement utilisé par les sorciers pour fabriquer des baguettes), il est essentiel que nous voyions à travers leurs illusions et que nous n’investissions en aucune façon dans leurs envoûtements et leur magie noire.

L’idée de « virus mortels contagieux » est un canular. Personne n’a jamais pu prouver que les virus sont directement transmissibles ni qu’ils sont à l’origine des symptômes des maladies, et ils ne pourront jamais le prouver, car ce n’est pas vrai.

Il s’agit d’une introduction relativement brève sur le sujet, et il existe une multitude d’informations complémentaires étonnantes, comme le livre Virus Mania et la série documentaire The Viral Delusion (parce que je sais que les gens répondront à ce commentaire par « mais qu’en est-il d’Ebola ? Et la polio ? » — vous trouverez toutes les réponses que vous cherchez dans ces documents, et bien d’autres encore).

Pour conclure, je voudrais simplement répéter ce qu’Antoine Bechamp nous a dit, il y a des centaines d’années, sur la véritable nature de la maladie — parce qu’en fait, cela aurait pu remplacer tout l’essai — « nous n’attrapons pas les maladies. Nous les construisons. »




Climat, santé, énergies, guerre anti-russe : la dérive sectaire est déjà au pouvoir

Par Lucien SA Oulahbib

Comble de l’absurde, mais déjà vu en Russie ou en Allemagne en 1917 et 1933 : les sectes arrivées au pouvoir décident que toute opposition à leur emprise relève du complot et du sabotage (judéo-maçonnique et bolchevique pour les uns, Blanc et impérialiste pour les autres). Idem aujourd’hui, et comparaison vaut parfois raison, déjà sur ce point, lorsque les situations se ressemblent jusqu’à l’hyperinflation et la crise morale, à l’instar d’une expérience qui se répète avec des résultats sinon identiques du moins similaires et qui la valident : l’idéalisme au pouvoir se transforme en réalisme matérialiste des plus sordides ; n’oublions pas que la pleine puissance anti-complotiste ne se déchaîne pas dès 1933 ou dès 1917, mais peu à peu jusqu’à atteindre son paroxysme plusieurs années après.

Aujourd’hui la campagne sectaire contre les médecines dites douces s’accélère. Dernière en date l’anathème envers la kinesthésie contre la bronchiolite au même moment ou comme par hasard Sanofi (et Pfizer) annoncent un « vaccin » à ce sujet alors que des « liens » d’intérêts entre certains centres et l’industrie pharmaceutique (comme Sanofi…) s’avèrent avérés également là….

Ce qui n’est pas sans rappeler la « diabolisation » brutale de l’hydroxychloroquine classée subitement (en décembre 2019 soit deux mois après la « répétition » générale d’octobre 2019) médicament « vénéneux », au moment même, hasard là encore, où la fabrication d’une injection à ARN (déconseillée pourtant par les spécialistes comme Malone et Henrion-Caude — bien sûr décriés par les chiens de garde de la Secte — puisque réservée plutôt pour le cancer par exemple) était en vue…

Idem pour le « climat » ou l’alarmisme, infondé, et surtout inconsidéré pousse non seulement des jeunes à des actions anti-citoyennes, proches de l’autodafé, de sinistre mémoire, et dangereuses en plus, mais met gravement en danger les populations en les forçant non pas à réguler sagement et qualitativement leur « consommation » mais en les culpabilisant d’en avoir tout bonnement une, de telle sorte que désormais la voiture thermique jusqu’à la vache et a fortiori le paysan lui-même apparaissent comme des « nuisibles » qu’il faut éliminer (deux paysans se suicidant par jour en France depuis déjà plusieurs années).

Le tout fait l’affaire des industries agroalimentaires, pharmaceutiques et du divertissement avides de nous vendre des pilules capables d’être des trois en un : nourrir, calmer, rêvasser…

Enfin, la destruction du nucléaire civil et la volonté d’aller de moins en moins indirectement à la guerre contre la Russie résultent également d’une « dérive sectaire » — les démocrates US faisant par ailleurs subitement et hypocritement marche arrière en appelant aux négociations pour séduire quelques indécis dans leur camp alors qu’ils ont poussé Kiev à refuser les « avancées significatives » à Istanbul en mars 2022 ; tandis que les sectaires français au pouvoir ont sacrifié le nucléaire pour que les beaux yeux germains regardent ailleurs question déficit budgétaire et planches à billet du moment que la France achète de… l’électricité, des éoliennes et des belles voitures…

Tout cela mis bout à bout montre bien où se trouve « la dérive sectaire », certainement pas chez « les » naturopathes (il y a des brebis galeuses partout) et bien plus parmi la gentry au Pouvoir qui se prétend supérieure plutôt par double effet narcissique (se voir sans cesse dans le miroir médiatique couplé à la coco rend irascible…) et intelligence dite « long-termiste » qui revient en fait à imposer une vision millénariste qui va jusqu’à envisager de voiler le soleil pour « refroidir le climat ».

N’en jetez plus, entre les docteurs Knock, Folamour, néo-Mengele (méthode Ropa, etc.) et tous ces redresseurs de torses qui font d’un côté mine de s’apitoyer sur le sort de l’Humanité et de l’autre qui soutiennent ceux qui précisément lui jettent un « sort », il y a, là, tout un paquet de dangereux spécimens qui pourraient être, eux, l’objet d’une réelle commission analysant les « dérives sectaires », sauf qu’ils se trouvent précisément à la tête de celle-ci…

Ou l’Absurdie puissance mille.




L’indispensable censure pour sauver la démocratie

L’indispensable censure pour sauver la démocratie1
Sauvons les Français d’eux-mêmes

[NDLR Voir la note 1]

Par Alain Tortosa

La démocratie est à ce point fragile et précieuse qu’elle ne peut survivre sans la censure qui, de fait, devient garante de celle-ci.

Il est ainsi vital de faire taire les extrémistes et les complotistes.

  • Si l’ennemi de la démocratie était hier celui qui voulait établir une dictature (toujours pour le « bien » du peuple) qu’elle soit d’extrême droite, communiste ou religieuse…
  • Si l’ennemi de la démocratie était hier celui qui appelait à la haine et à vouloir éliminer toutes celles et tous ceux qui n’étaient pas de son avis…

Aujourd’hui le profil de l’ennemi est fort différent et largement plus sournois :

Celui qui est en désaccord avec la pensée unique constitue un danger pour la nation !

Comme j’aime à le répéter, la démocratie d’hier était quand même plus légère.

Elle nous berçait d’illusions, de rêves de liberté, de droits de l’homme, d’ascenseur social ou de grands desseins comme rêver d’aller un jour sur la Lune, etc.

Tout ceci appartient au passé !

L’heure est gravissime et l’avenir se résume à une tentative désespérée de survie de l’espèce.

Les dirigeants de notre belle démocratie sont unanimes, il nous faut désormais nous réjouir de retourner au Moyen-âge.

Vivre en démocratie implique désormais des devoirs qui dépassent de beaucoup les droits.

Le droit étant un espace de plus en plus exigu dont nous devons jouir et ne surtout pas nous plaindre.

Serez-vous obligé de jeter votre voiture en parfait état de fonctionnement parce qu’elle est affublée d’une vignette2 crit’air 4 ?

« Réjouissez-vous, vous pourrez prétendre à une prime de 200 euros pour acheter un vélo électrique si pratique et écologique pour faire ses courses en été sous la canicule, comme en hiver sous la neige ! »

Rappelez-vous, en tant qu’écolo : l’être humain est un nuisible !

Sainte Greta nous a rappelé il y a quelques jours :

« Il est temps de transformer le système capitaliste oppressif et raciste de l’Occident3 »

Elle aurait dû ajouter « hétérosexuel blanc » quand bien même la précision demeure triviale.

Bref ! nous avons basculé dans une ère où l’être humain, le progrès ne sont plus en mesure de proposer un avenir radieux. Nous avons trop martyrisé la Terre.

Le bateau coule et nous pouvons peut-être retarder l’échéance, mais certainement pas l’inéluctable.

Et les sujets ne manquent pas !

Pour survivre à un virus inconnu il nous faut :

  • Nous confiner.
  • Porter un masque.
  • Interdire les interactions humaines.
  • S’injecter un produit expérimental.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant ?

Pour retrouver ensuite nos libertés ?

Non, uniquement pour survivre et tenter de sauver un maximum de personnes !

Le virus va-t-il disparaître ?

Non, jamais !

Son nom va peut-être changer, mais le danger sera toujours présent.

Il y aura toujours une nouvelle menace plus perfide et mortelle que la précédente.

L’humanité est condamnée à avoir systématiquement un train de retard pour tenter de survivre.

Pour survivre à l’attaque-surprise4 de l’odieux Poutine qui veut envahir la France et nous réduire en esclavage, il nous faut :

  • Renoncer à nous chauffer.
  • Rendre hors de prix l’accès à l’énergie (électricité, pétrole, gaz, etc.).
  • Rendre hors de prix l’accès à la nourriture.
  • Détruire ce qu’il reste de notre industrie polluante devenue non rentable.
  • Alimenter une guerre et empêcher toute négociation avec le monstre.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant et faire chuter Poutine ?

(Les dernières décennies devraient nous ouvrir les yeux. Nous avons fait tomber les tyrans en Afghanistan, en Irak, en Libye et j’en passe. Pour quels résultats ?
Oublions aussi que la Russie serait la 2e force nucléaire et imaginons qu’ils aient le désir de perdre un conflit.)

Les Russes vont-ils se réveiller un matin en se disant « j’aimerais bien que nous ayons un Biden, un Macron ou une Van Der Layen à la tête de notre pays » ?

On peut rêver, tout le monde n’a pas notre chance !

Le danger de nouveaux méchants va-t-il disparaître ?

Le nom de l’ennemi changera peut-être, mais nous serons en permanence à lutter contre la prochaine menace que nous n’aurions pas pu circonscrire dans l’œuf.

Pour survivre à l’apocalypse climatique il nous faut :

  • Renoncer à nos libertés.
  • Renoncer à nos moyens de transport (surtout individuels).
  • Renoncer à une énergie abondante et peu onéreuse (dans le présent) comme le pétrole.
  • Renoncer à l’habitat individuel.
  • Renoncer au confort moderne.
  • Renoncer à l’abondance.
  • Etc.

Pour en sortir gagnant ?

Pour retrouver ensuite nos libertés ?

Non, uniquement pour survivre et tenter de sauver ce qu’il est encore possible de l’humanité.

Il nous est répété jour après jour que c’est irrémédiable et que les mesures les plus contraignantes ne seront pas en mesure de nous sauver, mais uniquement de ralentir l’inéluctable.

Bref nous sommes foutus, nous devons nous y résoudre et nous résigner à aller vers le déclin.

Pour survivre à l’attaque zombie ?

Et oui !

Qu’en est-il de la future attaque de zombies ?

Je ne dispose pas encore des éléments, mais tout ce que je sais c’est qu’il va falloir réduire nos libertés et notre confort pour y faire face !

Attention les mesures mises en œuvre pour lutter contre les zombies seront, bien sûr, toutes aussi indispensables qu’inefficaces et assorties d’une absence totale d’alternatives.

L’indispensable menace permanente

Pour que le peuple accepte toutes ces pertes de libertés, tous ces interdits, toutes ces pertes de confort et de sécurité, il est indispensable :

  • Qu’il soit convaincu de la réalité et de l’amplitude de la menace.
  • Qu’il soit convaincu de l’absence d’alternatives aux mesures proposées.

Il est bien entendu que le plan se déroulera sans accroc si vous êtes convaincu que les mesures ne sont ni des pertes de libertés, ni des interdits, mais uniquement du bon sens pour sauver votre peau.

En revanche :

  • Si vous pensez que le Sars-cov2 existe et qu’il est un gentil virus pas plus grave qu’un virus grippal.
  • Si vous pensez que Poutine n’est en rien une menace pour nous et que le conflit est largement de la responsabilité des USA, de l’OTAN et de notre politique.
  • Si vous pensez que le changement climatique est naturel (hormis le danger de chercher volontairement à modifier le climat) et que c’est plutôt une bonne chose pour la vie sur Terre et pour l’humanité.
  • Si vous pensez que l’attaque zombie est un foutage de gueule.

Alors, croyez bien qu’il va être difficile de vous imposer une « démocrature » ou une « dictatocratie » dans laquelle les complotistes pensent que nous évoluons.

Et quand bien même vous penseriez que ces menaces sont des réalités et non des ennemis inventés de toutes pièces pour nous réduire en esclavage, mais :

  • Si vous pensez que ce virus n’est pas dangereux pour les personnes en bonne santé et qu’il existe des traitements efficaces et non onéreux.
  • Si vous pensez qu’il suffit de transformer l’Ukraine en pays neutre et donner le droit aux peuples de l’est de l’Ukraine à l’autodétermination.
  • Si vous pensez qu’il faut s’attaquer aux vrais polluants chimiques et non au gentil CO2 et qu’il n’y a qu’à nous adapter aux modifications climatiques. (Par exemple en récupérant l’eau des inondations dans des retenues artificielles pour ne pas manquer d’eau en été et éviter des drames à la saison des crues.)
  • Si vous pensez qu’il suffit d’arrêter la TV pour mettre fin à l’attaque des zombies.

Alors, croyez bien qu’il va être difficile d’imposer des mesures liberticides s’il existe des solutions alternatives douces.

La censure est par définition la peur de la contagion

Dans ces conditions, il est totalement indispensable de faire taire celles et ceux qui remettent en question la réalité ou la gravité de ces phénomènes cataclysmiques.

Mais aussi ceux qui remettent en cause la légitimité, l’efficacité et l’absence d’alternatives aux solutions imposées pour notre bien commun.

Il faut raison garder.

J’entends que le peuple est par définition totalement stupide et nul ne peut en douter sérieusement.

Il adore les théories du complot du fait de son déficit neuronal flagrant et de son esprit simpliste, mais force est de constater qu’il a été un mouton plus que docile pour la crise du Covid, non ?

Pour autant c’est bien la peur de la contagion qui motive la censure.

« Faire en sorte qu’un minimum de personnes soient corrompues
par des théories ou des solutions alternatives aussi loufoques que dangereuses. »

Concernant nos dirigeants :

  • S’ils étaient certains de la vérité de leurs affirmations apocalyptiques.
  • S’ils étaient certains de l’efficacité de leurs solutions liberticides et surtout de l’absence d’alternatives.
  • S’ils disposaient des preuves crédibles et de bon sens pour leurs affirmations.

Alors, pourquoi vouloir faire taire les voix discordantes ?

Les complotistes savent que nos dirigeants mentent, manipulent, trichent pour parvenir à leur fin.

Les complotistes savent qu’ils n’agissent pas pour le bien du peuple.

Et si les complotistes se trompaient, si nos dirigeants étaient honnêtes, si leurs intentions étaient bonnes et qu’ils étaient compétents ?

Alors ces derniers n’auraient pas à avoir peur de la controverse et peur que des opinions contraires s’expriment largement et publiquement.

Ils ne seraient pas terrorisés par une contagion qui sonnerait le glas de l’adhésion aux mesures de bon sens mises en œuvre par le gouvernement depuis tant d’années.

Le gueux est-il débile par nature (génétiquement) ?

Si nos maîtres ont si peur des complotistes, si peur de la liberté d’expression c’est qu’ils sont intimement convaincus de notre incapacité à avoir les bonnes réflexions pour faire les bons choix (ce qui les oblige ainsi à censurer pour le bien de tous).

Ils savent que nous ne pensons pas « bien ».

Mais alors, pourquoi ne pas rendre les gueux, sinon intelligents, tout du moins moins idiots ?!

Force est de constater que tout est mis en œuvre pour formater les esprits dès le plus jeune âge, lorsque le cerveau est encore bien malléable.

Il faut les sociabiliser à partir de deux ans dans des crèches.

Sans compter les médias qui sont dans la pensée unique pour ne pas perturber nos esprits.

Comment expliquer le fait que toutes ces personnes éduquées, instruites, nourries de vérités absolues par notre grande démocratie soient à ce point faibles et stupides au point de croire les délires de complotistes et autres gourous pervers ?

Ceci est d’autant plus étrange au regard de l’Histoire, des enfants soldats, de braves gens devenus des tortionnaires et plus récemment de l’adhésion aux mesures Covid plus liberticides protectrices les unes que les autres.

Les complotistes pourraient imaginer, à tort, que l’éducation n’arrive pas suffisamment à les décérébrer et que l’homme de la rue disposerait encore de quelques neurones lui permettant de voir que l’on se fout de sa gueule.

Bien entendu, cette hypothèse n’est pas recevable et son relais souligne mon manque d’intelligence.

Qu’à cela ne tienne, je vais donc laisser la parole à des personnes largement plus brillantes que moi et qui seront plus à même de vous éclairer (si vous êtes moins bête que moi).

Voici donc ce que des demi-dieux5 écrivent sur le complotisme :

« L’adhésion à ce type d’explication ne résulte pas d’une rationalité pathologique, mais plutôt d’une série de raisonnements relativement ordinaires, opérés sur la base des données disponibles et du contexte social6. »

Vous voyez, je suis tellement crétin que je ne comprends même pas la phrase.

Attendez voici d’autres explications plus à ma (notre) portée :

« Les personnes qui adhèrent à des récits conspirationnistes y trouvent une “grille interprétative du monde qui confère un sens à leur situation et désigne une cause unique aux injustices dont ils pensent — à tort ou à raison — être victimes”

« En effet, ces formes d’interprétation du monde offrent des réponses, bien que simplistes et souvent fallacieuses7, à de véritables problèmes de société, en donnant l’illusion de pouvoir agir pour parer au danger.

De plus, elles aident à donner du sens, à expliquer un monde de plus en plus complexe, chaotique et incertain : les “récits conspirationnistes consistent toujours en une simplification à outrance des logiques régissant le fonctionnement de nos sociétés et l’enchaînement des faits historiques”, offrant une sorte de réponse manichéenne et mono-causale à ce qui nous affecte négativement »…

« Un monde binaire, avec des gentils et des méchants, c’est reposant cognitivement. »

La vérité est que les gueux et les complotistes sont simplement stupides par nature (et aussi pauvres ce qui n’est que justice) !

Merci d’avoir a minima l’honnêteté de noter que la vision officielle du monde (Covid, Poutine, climat, zombies,…) rapportée par les médias et nos dirigeants n’a strictement rien de simpliste, fallacieuse, mono-causale, manichéenne ou binaire avec des gentils et des méchants.

Nous tous qui regardons les chaînes d’information ou les journaux voyons bien que nous sommes nourris au quotidien par la complexité et par le « ce n’est pas si simple que ça ».

Le slogan de Franceinfo est « Franceinfo ; et tout est plus clair ».

Bref, à y regarder de plus près, le monde est juste !

Les intelligents, les gens bien, les élites sont riches et au pouvoir parce que cela répond à l’ordre naturel.

Cette réalité se suffit à elle-même pour justifier pleinement la nécessité absolue de couper court à la liberté de parole.

Le gueux est con, il faut donc le protéger de lui-même et l’alimenter avec une nourriture intellectuelle bonne pour lui.

Une des raisons pour lesquelles on leur fait croire qu’ils peuvent décider de choisir leurs représentants ainsi que la politique choisie lors des élections.

Ceci prouvant leur nature débile, car il faut vraiment être con pour croire que nos gentilles élites vont être irresponsables au point de laisser les gueux décérébrés décider de l’avenir de la nation.

Pourquoi supprimer la liberté de parole ?

Au stade de l’écriture, la question n’a plus de sens.

Nous avons bien compris qu’ils n’ont pas le choix pour protéger la démocratie en évitant la contagion :

  • Ils ont obligation de censure sur les médias mainstream.
  • Ils ont obligation de fermer des médias mensongers comme RT France ou Rumble.
  • Ils ont obligation de censure sur les réseaux sociaux.
  • Ils ont obligation de discréditer et marginaliser les auteurs déviants.
  • Ils ont notamment obligation de faire taire les médecins, spécialistes, politiciens, scientifiques, etc. qui oseraient remettre en cause la Vérité.

Ils sont à ce point paniqués qu’ils promulguent de plus en plus de lois pour restreindre la liberté de parole ce qui ne peut que nous rassurer et nous réjouir.

Dérive sectaire et complotisme

Il n’est pas possible de parler complotisme sans citer Rudy Reichstadt, acteur incontournable des droits de l’homme :

« Par une lettre de mission du 29 octobre 2019, l’administrateur général du Cnam8, Olivier Faron, a ainsi confié à Rudy Reichstadt, créateur du site Conspiracywatch.info, une mission consacrée au développement d’une offre de formation sur la lutte contre le complotisme et l’antisémitisme9. »

Dissocier le complotisme de l’antisémitisme n’a évidemment pas de sens, les deux se nourrissent du même terreau nauséabond.

Nos autorités prennent le taureau par les cornes et font appel à la Miviludes10 (organisme de lutte contre les dérives sectaires) pour dénoncer et répertorier les déviants, et ce pour notre sécurité et la leur.

« Enfin, presque 4 % des saisines concernent le complotisme et le mouvement antivax (soit 148 dossiers). Ces saisines ont déjà donné lieu à une vingtaine de signalements au Procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure pénale. »

C’est peu, mais c’est un début, 148 bons français auraient donc dénoncé un ami, un voisin ou un membre de leur famille pour dérives complotistes ou antivax.

Une source d’espoir, mais globalement insuffisante.

Et de préciser :

« Le rapport dresse un lien clair entre les phénomènes sectaires et les thèses complotistes. La porosité entre les deux phénomènes et leur interdépendance tend à s’accroître, les théories du complot nourrissant largement les mouvements sectaires. »

« Face à ces constats, Mme Sonia Backès, Secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté, tiendra au début de l’année 2023, les premières assises des dérives sectaires et du complotisme. »

Nous voilà un peu rassurés, le phénomène est enfin pris au sérieux !

11

Encore un petit effort et nous rouvrirons les hôpitaux psychiatriques pour les malades qui n’approuvent pas la doxa.

Le phénomène est suffisamment grave pour s’en préoccuper et le docteur Michael Larrar12 nous éclaire :

« Les complotistes, en réalité, sont gagnés par des mécanismes paranoïaques classiques, et bien connus par les psychanalystes et les historiens…

Dans les complots, il faut toujours un méchant, un génie du mal, tirant les ficelles par cynisme, vice et gourmandise. Gourmandise pour toutes nos pulsions humaines (cupidité, sexualité, agressivité), mais que l’on préfère nier en nous et attribuer, outré, à un autre écœurant.

Une bonne théorie complotiste doit être vicieuse, ingénieuse, mais compréhensible par le plus grand nombre, et ne pas rompre avec les fantasmes communs, afin de rallier la masse et de lui permettre d’y défouler son désarroi…

Depuis longtemps le juif remplit ce rôle de rat dégoûtant, odorant, voleur et salisseur, complotant pour sa meute cachée, tantôt dans la pénombre d’un égout pour l’extrême droite, tantôt au soleil d’un château luxueux pour l’extrême gauche, tantôt armé jusqu’aux dents sur une terre volée pour l’antisémit… pardon antisioniste de toute obédience.

Et bien rassurons-nous, dans ce monde futuriste, certaines choses ne changent pas, car la quasi-totalité des théories complotistes autour du Covid 19 gardent le juif en premier rôle13. »

Il est du rôle de la société et de la médecine de sauver tous ces pauvres malades.
J’espère que je pourrais voir de mon vivant la généralisation des internements d’office en psychiatrie.
Nous pouvons nous en réjouir, car c’est le juste prix à payer pour protéger les libertés et la démocratie.
La censure est le maillon fort pour nous protéger des extrémistes !

Merci

Alain Tortosa14.

7 novembre 2022 https://7milliards.fr/tortosa20221107-censure-sauver-democratie.pdf





Les dits « démocrates » progressistes veulent limiter encore plus drastiquement la liberté d’expression

Par Gérard Delépine

L’Antidote à la Tyrannie est la Liberté1. Sauvons-la

Depuis deux ans, nous avons été abreuvés de mensonges d’état permanents tandis que s’instaurait une censure de plus en plus sévère empêchant tout débat « démocratique » et une persécution des opposants, digne des régimes totalitaires.

Mais cela ne suffit pas à ces prétendus « démocrates ( ??) » qui veulent imposer une censure mondiale plus stricte que jamais et osent même la proposer devant l’ONU !

Quelques exemples des mensonges que l’état nous a assénés

Souvenez-vous de l’épisode tragi-comique du masque d’abord inutile2 3 et impossible à utiliser correctement4 avant de devenir obligatoire pour tous. Pourtant il n’existe aucune étude scientifique qui démontre que le port généralisé du masque par les personnes asymptomatiques diminue les contaminations. La seule étude prospective randomisée publiée sur le sujet (Danmasq19) n’a d’ailleurs pas montré d’avantage significatif au port du masque 5 6.

Nous souffrons encore des séquelles des confinements présentés comme « notre seule option face à l’épidémie de coronavirus Covid-19 ». Depuis tous les experts mondiaux indépendants ont démontré qu’ils n’ont pas ralenti l’épidémie7 8 9 10 et qu’ils ont été la source d’une surmortalité collatérale importante11 et de dégâts sociétaux et économiques considérables. Même Delfraissy l’a reconnu dans un article du Lancet12 censuré par les médias en France.

Un des pires mensonges a été « Les fermetures d’école ont été efficaces ». Cette affirmation était fondée sur de simulations biaisées selon lesquelles les fermetures protégeraient les enfants, les enseignants et la collectivité en général. On savait dès le début de l’été 2020 que c’était faux.

La Suède qui a été le seul grand pays occidental à garder les écoles ouvertes tout au long du printemps 2020 sans masque, sans distanciation sociale, ni test de dépistage a démontré la totale inutilité de cette mesure13. Parmi les 1,8 million d’enfants suédois de 1 à 15 ans, il n’y a eu aucun décès lié à la COVID-19, seulement quelques hospitalisations, et les enseignants ne couraient pas un risque plus élevé de contracter la COVID-19 que la moyenne des autres professions.

Cependant les dégâts psychologiques et sur l’enseignement entraînés par les fermetures d’école ont été considérables14 15avec des retards d’apprentissage importants, de très nombreux décrochages scolaires et des problèmes psychologiques majeurs.

L’affirmation permanente que le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs seraient efficaces pour réduire la propagation de la maladie n’est corroborée par aucune étude scientifique. Au contraire plusieurs études montrent que les tests effectués chez les asymptomatiques se révèlent être des faux positifs dans 97% des cas16 et que les dépistages massifs comme ceux de Wuhan17 sont inutiles, car aucun des asymptomatiques dépistés n’est tombé malade ni n’a contaminé quiconque. Effectuer des tests sur toute la population pour identifier des personnes asymptomatiques par un test biologique qui n’a pas été conçu pour cela est sans précédent dans l’histoire de l’humanité et coûte des sommes considérables18 qui auraient mieux utilisées pour renforcer les hôpitaux. Cette stratégie et a été source d’un absentéisme important à une période ou l’économie essayait de redémarrer.

Rappelez-vous les affirmations officielles que les vaccins seraient«  efficaces à 95%19 20 » et du slogan « tous vaccinés, tous protégés » démenties dès avril 2021 par le ministère lui-même lors de sa défense contre la plainte d’un vacciné qui se plaignait des restrictions21, puis par Jean-François Delfraissy22 « les vaccins protègent assez peu ou mal contre l’infection et la transmission » et surtout par les données officielles de l’OMS sur l’évolution de l’épidémie qui montrent que depuis la généralisation des injections le nombre moyen de contaminations mensuelles a été multiplié par 3.

Autre mensonge d’état auquel les pro-injections se cramponnent encore, la prétendue efficacité contre les formes graves pourtant totalement démentie par l’analyse de la mortalité covid, telle qu’elle est rapportée par les statistiques de l’OMS qui montrent que les pays les plus injectés (80%) d’Europe et d’Amérique souffrent d’une mortalité 25 fois plus élevée (5 millions vs 250000) que celle des Africains très peu vaccinés(<15%).

Et que penser du passe sanitaire présenté comme l’outil de la liberté sans risques, « une nouvelle chance pour la liberté », « une éthique de la liberté » que les membres du Conseil constitutionnel avaient validé « dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19 » avant que son pitoyable échec sanitaire ne fasse abandonner ce moyen de chantage et de discrimination par tous les états qui l’avaient imposé.

Comme le professait Goebbels un mensonge énoncé une fois est un mensonge ; répété mille fois, il devient la vérité. Grâce à l’expérience nazie, les gouvernants se sont rendu compte que les populations étaient capables de croire en n’importe quel message si celui-ci est suffisamment répété sans aucune contradiction sur les médias et toutes les institutions qui transmettent une idéologie, telles que l’école et l’université. Notre gouvernement sur les conseils de McKinsey a appliqué la recette de la propagande nazie et pour la rendre crédible a instauré une censure d’une intensité sans précédent récent.

Censure, diffamation et persécution des opposants dignes d’un état totalitaire

Dans les médias officiels, aucun débat contradictoire n’a été tenu sur le bien-fondé des mesures prétendument sanitaires même les plus idiotes comme l’interdiction de se promener seul en montagne en forêt ou sur les plages, ou l’interdiction de consommer debout…

Le gouvernement qui se sert des médias subventionnés et des agences prétendument indépendantes comme organes de propagande a créé un ministère de la vérité cher à Orwell appelé commission

Les opposants ont été systématiquement traités de complotistes, d’extrême droite et persécutés dans leur profession et parfois leur vie personnelle. Le professeur Perronne a été déchu de sa chefferie de service, l’avocate Virginie de Araujo-Recchia, a été arrêtée et mise en garde à vue23, un professeur interné en hôpital psychiatrique et de nombreux médecins exclus de leur profession pour avoir seulement parlé.

Même les représentants élus de la nation devraient se taire et ne pas dénoncer les mensonges d’état ! Le sénateur Houpert a été sanctionné d’une interdiction d’exercice de 9 mois24 par l’ordre des médecins pour avoir critiqué des aspects de la stratégie gouvernementale25. Martine Wonner ancienne député LREM peut craindre une condamnation ordinale, pour avoir affirmé des faits tels que le masque « ne sert strictement à rien », que les vaccins contre le Covid peuvent déclencher des « fausses couches », « de multiples cancers » et avoir participé au documentaire Hold Up.26

Tous faits pourtant avérés, mais on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, ni demander d’analyser les données scientifiques à des conseillers de l’Ordre auto promus inquisiteurs du dogme officiel. Après la pensée unique, on veut nous imposer la parole unique !

Un état qui réprime autant la liberté de parole est-il encore démocratique ?

La liberté d’expression fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

« L’article 11 de la Déclaration de 1789 va même encore plus loin en formulant  un  mode  d’emploi  concret de cette liberté, rappelant que :

« La libre  communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette  liberté  dans  les  cas  déterminés par la Loi ». 

La  formulation  n’est  pas  seulement  belle  et  solennelle. Elle est  puissante, car elle pose le  principe que la liberté d’expression est l’expression même de la liberté humaine ».27

Reprise depuis par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques ».

Même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie : Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains

Le 16 mars 2020, un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme et d’autres rapporteurs spéciaux de l’ONU ont exhorté les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.

« Tout en reconnaissant la gravité de la crise sanitaire actuelle et en admettant que l’utilisation des pouvoirs d’urgence est autorisée par le droit international en réponse à des menaces importantes, nous rappelons aux États que toute réponse d’urgence au coronavirus doit être proportionnée, nécessaire et non discriminatoire », « certains États et institutions de sécurité peuvent trouver attrayante l’utilisation de pouvoirs d’urgence, car elle offre des raccourcis . Pour éviter que de tels pouvoirs excessifs ne soient intégrés dans les systèmes juridiques et politiques, les restrictions devraient être étroitement adaptées et constituer le moyen le moins intrusif possible pour protéger la santé publique ». 

Mais aux yeux des covidistes, la censure actuelle est insuffisante !

Nous avions déjà évoqué la censure croissante en juillet 202228 et depuis elle tend à s’aggraver. Lors de son discours du 23 septembre 2022 devant l’Assemblée générale des Nations unies, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a appelé à une alliance internationale pour censurer les discours.

Après avoir reconnu la liberté d’expression (qui fait partie intégrante de la charte de l’ONU), elle a présenté un plan pour sa suppression par le biais d’une réglementation gouvernementale29 . Elle a défendu la nécessité d’une telle censure mondiale pour lutter contre ceux qui remettent en question le changement climatique et la nécessité d’arrêter « les rhétoriques et idéologies haineuses et dangereuses ». Pour elle, comme pour de trop nombreux dirigeants de pays qui se prétendent démocratiques toute contestation de leurs religions covidiste ou climatique serait haineuse et dangereuse !

Battons-nous contre les nouveaux tyrans qui avancent masqués

Ne soyons pas dupes des étiquettes ou des discours vantant la démocratie tenus par des dirigeants qui imposent des mesures restrictives des libertés. Ils se comportent en apprentis tyrans comme Hitler en 1936, Mussolini en 1922 ou Staline en 1922. À leur début tous ces dictateurs se présentaient aussi comme socialistes et prétendaient libérer le peuple.

Toute mesure restrictive de liberté est un acte de tyrannie. Aucune censure n’est légitime. Si nos gouvernants croient détenir la vérité, ils doivent pouvoir nous en convaincre et donc favoriser les débats démocratiques qui leur donneraient raison.

Nous gagnerons, car s’ils sont extrêmement puissants, ils ne sont que des milliers et nous sommes des milliards.

Il est encore temps d’empêcher la bête immonde de renaître. Battons-nous pour les libertés que nous ont léguées nos pères et que nous devons transmettre à nos enfants.





L’industrie de la FinTech a placé un homme de confiance à la tête du gouvernement britannique ! Famine et dépopulation probables

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par Vincent Held

[Source : https://www.efinancialcareers.com/news/2022/10/rishi-sunak-goldman-sachs]
Rishi Sunak, premier ministre britannique, est un ancien Goldman Sachs et l’heureux époux de l’héritière du fondateur de Infosys, le partenaire des banquiers centraux chargé de mettre au point les Monnaies centrales numériques. Infosys est aussi un développeur de metaverse. Cette entreprise est donc un des pivots-clés du Nouveau Monde cybernétique hébergeant des cyborgs. https://www.infosys.com/services/metaverse.html Commentaire LHK

Avant-propos :

L’article a été entièrement effacé au moment de sa mise en ligne!

Avec mes excuses qui sont indépendantes de ma volonté.

Bonne soirée!

Il faut une « campagne de type militaire » ! Et même un « état de guerre » ! Tout ceci pour « sauver la planète » !

On connaît le style parfaitement martial avec lequel le tout nouveau roi d’Angleterre enjoint tout un chacun, depuis quelques années déjà, à « réduire les émissions » de gaz carbonique. Ceci en vue de combattre « le changement climatique », comme on l’aura compris.

Un engagement écologiste bien dans l’air du temps et qui n’est manifestement pas pour déplaire à certains milieux d’affaires internationaux. En janvier 2020, celui qui n’était alors encore que prince de Galles avait ainsi été mis à l’honneur par le Forum de Davos en tant que porteur d’un « message vital pour sauver la planète ». Rien de moins ! Le futur Charles III y avait même été gratifié d’une couronne infographique aux couleurs des 17 « objectifs de développement durable » de l’Agenda 2030 de l’ONU. Objectifs qui incluent, bien évidemment, l’inévitable « protection du climat ».

Or voilà que la même année (2020, donc), le ministre des Finances britannique, un certain Rishi Sunak, annonçait l’engagement de son gouvernement en faveur de l’objectif de « zéro émissions nettes [de gaz carbonique] ». Et ce, dans une vidéo publiée non par son ministère ou par le gouvernement britannique… mais bien, là encore, par le Forum de Davos !

Quelques mois plus tard, on retrouvait le même Rishi Sunak à la fatidique COP26, déclarant son ambition de faire du Royaume-Uni « le premier centre financier aligné sur le ‘zéro émission nette’ ».

L’accession à quelques semaines d’intervalle de Charles III à la couronne d’Angleterre et de Rishi Sunak à la tête du gouvernement britannique augure ainsi d’une paupérisation inédite de l’ancien Empire, d’ores et déjà ravalé au rang « d’économie émergente » par les marchés financiers…

Alors que les dirigeants du pays semblent sur le point de déclarer la guerre aux « énergies fossiles », à la viande et à maint autres aliments, produits et activités suspectés de « nuire au climat », des millions de Britanniques sont en effet aujourd’hui placés face au dilemme « heat or eat » : se chauffer ou manger ! L’ancien premier ministre Gordon Brown prévoyant pour sa part déjà le retour d’une société « à la Dickens »

De fait, il est de notoriété publique depuis Malthus (lui-même anglais !) et son célèbre essai de 1798 « sur le principe de population », que la paupérisation (pour ne pas dire la famine) est un puissant facteur de réduction de la natalité – et donc de compression de la démographie.

« Un homme qui naît dans un monde déjà occupé, si sa famille n’a pas le moyen de le nourrir, ou si la société n’a pas besoin de son travail, cet homme, dis-je, n’a pas le moindre droit à réclamer une portion quelconque de nourriture : il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature il n’y a point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s’en aller… » (Un extrait de l’ouvrage susmentionné dans lequel l’auteur – un pasteur anglican, notons-le – expose ses convictions quant à la valeur de la vie humaine)

https://reorganisationdumonde.com/
roduit/civilisationencrise/

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Or, cette approche résolument (et même brutalement) anti-nataliste rejoint parfaitement les préoccupations climatiques de nos oligarques davossiens ! De fait, comme nous avons eu l’occasion de le relever dans notre Civilisation en crise (2020) :

Voilà qui nous offre l’occasion de remettre quelques pendules à l’heure, en soulignant cette évidence : les récentes alertes médiatiques invitant à « réduire la population mondiale » pour « sauver la planète » concernent en réalité avant tout les pays occidentaux ! C’est ce qu’expliquait le quotidien Le Monde en janvier 2010 déjà :

« [L’ONU] a affirmé […] que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale. […] Faut-il pour autant réduire la natalité dans les pays où elle est la plus élevée, à savoir les pays en développement ? Pas forcément […] chaque bébé qui naît aux États-Unis est responsable de [5 fois plus d’émissions de CO2] qu’un bébé [chinois] et 91 fois plus qu’un enfant [né au] Bangladesh. »

Dans le même opus, nous remarquions bien avant les récentes vagues de surmortalité et de dénatalité encore inexpliquées :

« Le World Economic Forum et l’ONU travaillent ainsi sur deux axes complémentaires :
1) la baisse de la natalité et
2) la hausse de la mortalité. »

Une évolution qui, en ce qui concerne la surmortalité tout au moins, ne semble pas être totalement étrangère à la campagne de « vaccination contre le covid » si agressivement promue par nos systèmes politico-médiatiques. La surmortalité de +55% (!) observée en Islande au mois de juillet pouvant par exemple difficilement s’expliquer par « la canicule » de l’été dernier (or il s’agit-là de l’explication-phare p. ex. de BFM TV pour appréhender ce phénomène « mystérieux »…)

Voilà qui pourrait dès lors expliquer l’allégeance enthousiaste du tout nouveau souverain britannique au projet de « Grande réinitialisation » lancé par Davos à la faveur de « la rare opportunité » (dixit Klaus Schwab) offerte par la « pandémie de covid-19 » :

« Il n’y a pas d’alternative. Si nous ne prenons pas les mesures nécessaires pour reconstruire d’une manière plus verte, plus durable et plus inclusive, nous aurons de plus en plus de pandémies et de plus en plus de désastres causés par un réchauffement global et un changement climatique en constante accélération. […] Nous avons une fenêtre d’opportunité inédite […] d’apprendre la leçon et de nous réinitialiser (reset) en empruntant une voie plus durable. » (Allocution du futur Charles III au cours du sommet « The Great Reset », organisé par le Forum de Davos en juin 2020)

Au-delà de la tiers-mondisation annoncée du Royaume, l’avènement du binôme Sunak-Charles III pourrait ainsi bel et bien être le signe avant-coureur d’une intensification à venir des mesures de contrôle social nécessaires à la poursuite d’une « politique sanitaire » de moins en moins présentable.

À cet égard, la proximité avérée de Rishi Sunak avec la Big Tech indienne Infosys pourrait bien nous apporter quelques clés de compréhension tout à fait appréciables.

Infosys : une Big Tech indienne au cœur de la Grande réinitialisation monétaire

Comme on le sait désormais en effet, Rishi Sunak n’est pas simplement le tout nouveau premier ministre britannique. C’est aussi le gendre du milliardaire indien Narayana Murthy, connu pour avoir fondé dans les années 1980 le géant du numérique Infosys, basé à Bengalore. Une entreprise qui emploie « plus de 345’000 personnes » d’après ses propres indications – et qui se retrouve aujourd’hui au cœur de la réorganisation de nos systèmes financiers !

Car Infosys a conclu en 2018 déjà un partenariat avec R3, une société certes bien plus récente (elle a été fondée en 2015) et à la taille nettement plus modeste (elle ne compte pas même 500 employés !), mais qui opère « la plateforme blockchain opensource » Corda. Or il s’agit-là du système qui doit permettre d’opérer les futures monnaies numériques non seulement de la Bank of India, mais encore des banques centrales européenne, française, suisse, canadienne, australienne, japonaise, suédoise, singapourienne, kazakhe, brésilienne, indonésienne… Entre autres exemples connus.

De quoi supposer en tout cas que R3 (avec son « équipe de 180 professionnels »…) n’est en réalité qu’une coquille vide, destinée à distribuer les produits d’Infosys auprès des principaux acteurs (privés et publics) du système financier occidental… pour ne pas dire mondial.
Un échantillon des projets menés dans le cadre du « CBDC Accelerator » de R3/Corda, un service destiné à « aider les banques centrales à accélérer l’émission, la gestion et la distribution des monnaies numériques de banque centrale ».
On notera que R3 conduit certains de ses projets de développement de monnaies numériques de banque centrale (MNBC) en collaboration directe avec la Banque des règlements internationaux (BIS en anglais). Ce qui semble confirmer le rôle central joué par cette PME balbutiante dans la refonte du système monétaire international.
https://reorganisationdumonde.com/produit/test/
L’adoption généralisée des monnaies numériques de banques centrales (MNBC) : une évolution que nous avions annoncée il y a quelques années de cela déjà !

Or voilà qu’en octobre 2021, alors qu’il occupait encore le poste de ministre des Finances britannique, Rishi Sunnak avait justement fait la promotion de ces « monnaies numériques de banque centrale » (MNBC), dont il supervisait alors la création au Royaume-Uni en collaboration avec la Banque d’Angleterre :

« Les monnaies numériques de banque centrale pourraient servir d’argent numérique. [Ce serait] un peu comme des billets numériques qui pourraient être utilisés en plus des billets physiques et des pièces [de monnaie].« 

Un projet d’une actualité aujourd’hui brûlante (rappelons que le « Great Reset » renvoie à l’origine à une notion de « réinitialisation monétaire ») et qui pourrait bien expliquer la manière quelque peu expéditive dont Rishi Sunak a été propulsé au poste de premier ministre par son parti. (On notera en effet que les députés tories ne lui ont pas opposé de rival, alors qu’il n’y avait pas moins de huit candidats à la succession de Boris Johnson au mois de juillet ! A croire qu’il s’agissait d’assurer le coup… et d’accélérer un peu le cours des choses.)

« Le gouvernement indien a annoncé l’introduction de la « roupie numérique » dans les mois à venir en tant que monnaie numérique de banque centrale (MNBC) du pays. […] Infosys Finacle [la filiale du groupe qui travaille sur la plateforme R3/Corda] met à profit ses capacités pour aider à faire de cette vision des monnaies numériques de banque centrale (MNBC) une réalité. » (« La construction des MNBC », Infosys Finacle, 2022)

« Tous les participants [dont R3/Corda] ont confirmé que la fonctionnalité offerte […] permettrait à leurs systèmes […] d’effectuer les paiements en monnaie [numérique] de banque centrale. » (Banque d’Angleterre, juillet 2018)

Malgré une incontestable discrétion, il y a quelque raison de penser que la Banque d’Angleterre pourrait bien, elle aussi, être cliente de R3/Corda pour la création de sa monnaie numérique. (Photo tirée de la visioconférence : « Monnaies numériques de banque centrale : une opportunité de collaboration entre les secteurs privé et public », 12/11/2020)
Un responsable de R3/Corda étrangement présenté par son employeur, logo à l’appui, comme « l’ancien chef de la technologie blockchain d’Infosys Finacle »… De quoi largement confirmer notre impression selon laquelle R3 ne serait en réalité que le faux-nez de la Big Tech indienne, si étroitement liée à Rishi Sunak…

Quoiqu’il en soit, la proximité avérée entre le sémillant nouveau premier ministre britannique et la société Infosys (dont sa femme détiendrait pour quelque 700 millions de dollars d’actions) mérite que l’on se penche un peu plus précisément sur les activités de cette entreprise aussi discrète que tentaculaire.

Grâce à ses actions Infosys, la femme de Rishi Sunak aurait déjà touché l’équivalent de 15,3 millions de dollars en dividendes cette année, à en croire le Times of India. De quoi certainement nourrir l’enthousiasme de son mari pour les monnaies numériques – et les autres domaines d’activité de cette véritable poule aux œufs d’or.

Great Reset (2ème partie) : suppression du cash, crédit social et omni-surveillance au menu ?

Avant tout, il convient de relever que Mohit Joshi, l’actuel président d’Infosys, est un fervent militant de la suppression du cash. Dans une tribune publiée en août 2020 par le Forum de Davos (et cosignée par le président de Deutsche Bank…), celui-ci opposait le caractère pratique des « monnaies numériques de banques centrales » aux risques mortels posés par l’emploi de l’argent liquide :

« Il existe également des inquiétudes crédibles quant au fait que le papier-monnaie puisse transmettre le [corona]virus. Des recherches ont montré que le billet de banque européen moyen abrite environ 26 000 colonies de bactéries. Le virus de la grippe humaine peut survivre jusqu’à 17 jours sur un billet de banque […]

Qui peut alors reprocher à la Banque populaire de Chine (PBOC) d’avoir annoncé en février qu’elle détruirait les espèces collectées dans des environnements à haut risque, tels que les transports publics, les marchés ou les hôpitaux ? »

Et si le prochain épisode de la saga covid représentait l’occasion rêvée d’introduire les « monnaies numériques de banque centrale » tout en suspendant (temporairement, cela va de soi) l’emploi de l’argent liquide ?

« Quand on parle des monnaies numériques de banque centrale (MNBC), on tend à faire une équivalence avec le cash. Mais il y a une grande différence. On ne sait pas par exemple qui utilise un billet de 100 dollars, ou un billet de 1000 pesos. Une des grandes différences avec [les monnaies digitales], c’est que les banques centrales auront le contrôle absolu sur les règles et limitations qui détermineront l’emploi de ces [moyens de paiement] – et ça, ça fait une immense différence par rapport à l’argent liquide. » (Agustin Carstens, président de la Banque des règlements internationaux, janvier 2022)

On rappellera brièvement ici que la Banque des règlements internationaux (BIS en anglais) travaille main dans la main avec R3/Corda au développement des futures « monnaies numériques de banque centrale » (MNBC), dont l’arrivée ne devrait plus trop tarder…

De quoi en tout cas relativiser les déclaration de Rishi Sunak selon lesquelles les monnaies numériques auraient vocation à être utilisées à l’avenir « en plus des billets physiques et des pièces de monnaie »…

Mais au-delà de la suppression programmée de l’argent liquide, il nous faut également relever qu’Infosys propose à ses clients un système « basé sur l’intelligence artificielle » qui doit permettre d’évaluer « si un emprunteur remboursera » une dette. Et ce en se fondant sur « l’analyse des réseaux sociaux », c’est-à-dire en examinant les « publications » des Internautes sur le web.

Grâce à une analyse lexicale de nos publications web, Infosys entend déterminer « en 15 secondes » notre degré de « véracité », autrement dit notre degré d’honnêteté en général.(([1] Nous avons observé par ailleurs que diverses entreprises suisse et allemandes notamment emploient un système très similaire lors de leurs processus de recrutement, ainsi que pour surveiller la manière dont leurs employés communiquent entre eux.)) Autant dire que ces méthodes « d’évaluation des emprunteurs » utilisent des techniques qui ne sont pas sans rapport avec celles du fameux système de « crédit social » chinois. (On notera du reste qu’Infosys est présente en Chine depuis 2003 et qu’elle ne semble pas être exempte de tout lien avec la Banque populaire de Chine.(([2] C.f également le « projet Lionrock » (Hong-Kong / 2019) mené dans le cadre du « CBDC Accelerator » de R3/Corda.)) ) Une observation assez loin d’être anodine, alors que des projets de notation des citoyens sur la base du Big Data sont d’ores et déjà en « phase d’essai » en Europe.

On ne sera ainsi pas trop étonné d’apprendre que la Banque d’Angleterre est elle aussi active dans la collecte de données personnelles sur le web. Et ce depuis bien des années déjà, comme nous l’avions relevé il y a quelque temps de cela dans Après la crise (2018) :

En 2014 déjà, [la Banque d’Angleterre] s’était justement tournée vers les réseaux sociaux (notamment Twitter et Facebook) pour alimenter ses « modèles d’analyse » !

Une information spectaculaire qui avait été révélée par la chaîne de télévision Sky News… en pleines fêtes de Noël ! Au cours de son interview, le chef économiste de la banque centrale britannique avait bien évidemment insisté sur le fait que les données des Internautes seraient entre de bonnes mains.

Les explications d’Andrew Haldane n’étaient pourtant pas exemptes d’une certaine ambigüité. Il apparaissait, par exemple, que la Banque d’Angleterre pouvait décider elle-même si elle voulait – ou non – rendre les données personnelles collectées anonymes

Et le même Andrew Haldane d’ajouter : « Les goûts des gens pour les livres, la télévision et la radio peuvent également offrir une fenêtre sur leur âme. »(([3] Will Big Data Keep Its Promise? – speech by Andrew Haldane, Bank of England, 30.042018))

On constate dès lors que ce sont bel et bien des informations individualisées que la Banque d’Angleterre cherche à glâner sur tout un chacun, supposément en vue d’alimenter ses « modèles d’analyses » macro-économiques. En d’autres termes, la banque centrale britannique est depuis belle lurette entrée dans une logique de surveillance, dont l’établissement d’un système de « crédit social » ne serait, somme toute, que l’aboutissement naturel.

De telle sorte que les velléités de l’administration américaine ou de la Commission européenne de « réguler les réseaux sociaux pour combattre la désinformation » pourraient bel et bien déboucher sur un système de « notation sociale » à la chinoise. Le tout assorti de de sanctions pécuniaires et autres restrictions (accès aux transports publics ? à l’essence ?), chargées de dissuader les mal-pensants de répandre leurs opinions déviantes… (Barack Obama accusait récemment la « désinformation sur les réseaux sociaux » au sujet des vaccins covid de « causer des morts »… La suite n’est pas trop difficile à deviner.)

Dans des temps prochains, la censure pourrait ainsi être pleinement intégrée au cahier des charges des banques centrales. Celles-ci se voyant dès lors chargées d’infliger des amendes aux contrevenants en piochant directement dans leurs avoirs bancaires (et pourquoi pas de bloquer purement et simplement les comptes des plus entêtés, comme cela s’est vu faire récemment au Canada à l’occasion de la manifestation dite « des Truckers »).

« Vacciner le monde entier »… Tout comme ses collègues de la Réserve fédérale et de la Banque d’Angleterre, Christine Lagarde considère la vaccination comme essentielle pour surmonter les « vagues » de covid successives…

Mais cet arsenal de contrôle social numérique serait très incomplet sans la surveillance automatisée de la stricte application des « gestes barrière » dans l’espace public et du « traçage numérique complet » de la population (déjà acté publiquement en Suisse, par exemple). Une « mesure » qui permettra de détecter sans l’accord des intéressés les « contacts avec des personnes infectées » – dans les supermarchés ou les transports publics, par exemple…

Or, là encore, il semblerait qu’Infosys – qui entretient des partenariats avec des Big Tech aussi omniprésentes qu’IBM, Microsoft, Google, SAP, IPSoft… – ait des « solutions » à apporter, grâce à des logiciels de « surveillance » proposant des fonctionnalités telles que la « reconnaissance faciale » et autres système de « reconnaissance biométrique »… Sans compter le développement d’une offre liée à la réalité augmentée (le fameux « métavers »), qui pourrait un jour permettre aux heureux propriétaires de smartphone de « scanner » leur environnement pour détecter, par exemple, des personnes testées « positives » au covid (ou autres « cas contact ») et qui devraient dès lors se trouver en quarantaine. Vous n’êtes pas un délateur, vous vous protégez et vous protégez les autres

Quel que soit le rôle qu’Infosys soit appelée (ou non) à y jouer, on commence en tout cas à entrevoir à quoi pourrait ressembler la « campagne de type militaire » envisagée par le nouveau roi d’Angleterre en vue de « sauver la planète »…

Et pour conclure, nous observerons que si Sky News déplore la « politisation » de Charles III, celle-ci n’en présente pas moins, à notre sens, l’avantage de clarifier ce en quoi consiste, en définitive, l’écologie à la Greta.

Ce n’est du reste sans doute pas un hasard si celle-ci avait démarré sa carrière internationale de prophète de l’Apocalypse juvénile au Forum de Davos, très précisément.

« La planète » est décidément bien petite…

Vincent Held


Annexe – Ce papier qui commence à me poser des problèmes :

https://lilianeheldkhawam.com/2022/09/09/deces-de-elisabeth-ii-un-obstacle-au-reset-leve-refondation-de-la-france/




Le Dr. Stéphane Gayet se révolte contre sa radiation de l’Ordre des Médecins dans un tweet qui énerve les covidolâtres

[Source : dissidentofficiel.com]

Ce samedi 5 novembre, le Dr Stéphane Gayet a été l’auteur d’un tweet à la logique imparable et qui montre à quel point est illégitime sa radiation de l’Ordre des Médecins. Ce message publié par le médecin a certainement énervé à la fois les partisans aveugles des directives sanitaires pendant la pandémie, mais également les représentants d’industrie pharmaceutique et encore plus les médecins de plateaux qui ne déclarent pas leurs conflits d’intérêts. Normal puisqu’il met l’emphase sur comment les traitements médicamenteux qu’il a prescrits ne lui ont rien apporté financièrement, ce qui n’est pas le cas de tout le monde…

Retrouvez le tweet de Stéphane Gayet, aimé déjà plus de 16 000 fois seulement 24 heures après sa publication :

Retrouvez quelques réactions de soutien d’internautes au Dr Gayet :





Faisons-nous face au retour du nazisme ?

[Source : Jean-Dominique Michel]

Conclusion de la présentation que j’ai donnée récemment à Saintes. Si la crise n’était pas sanitaire (létalité égale à celle de la grippe annuelle), comment expliquer ce qui nous est arrivé et continue sous d’autres formes (guerre, énergie, climat) ? Après être resté très longtemps prudent à ce sujet, je me risque à avancer certains éléments de réponse et de formuler certaines hypothèses…

Voir l’ouvrage « L’internationale nazie » d’Ariane Bilheran (éditions Bookelis) dont j’ai rédigé la préface :
https://www.bookelis.com/politique/52258-L-Internationale-nazie.html

Jean-Dominique Michel




Klaus Schwab (WEF) veut nous faire bouffer des insectes d’élevage et de la bidoche artificielle en plastoque !

Par Christine Côte

(Tout cela nous a déjà été présenté des décennies durant, dans divers films de « science-fiction », qui n’étaient pas de la fiction.)

Pouah! dégueulasse!
Poil à la face!
Qu’il les bouffe lui-même
Ses punaises à la crème,

Et qu’il s’étouffe avec
Ses cafards dans le bec
Les poux sur le gésier,
Ses taons dans le gosier,
Poil au râtelier.

Blattes pour mise en bouche
En plat soufflé aux mouches
À merde évidemment
C’est quelqu’un d’important.

En dessert tarte aux mites
Beignets d’araignées frites
Au coulis de frelons,
Poil au côlon.

En connoisseur, en bon vivant
Klausi Schwab, assurément
Nous a prévu de grands festins
La gastronomie, c’est tintin.




La virologie : pseudoscience au service de la domination

[Source : unpeudairfrais.org]

Par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.

La société du spectacle, Guy Debord, 1967

Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : 

fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.

Commentaires sur la société du spectacle, Guy Debord, 1988

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium(([1] « Des composés métalliques toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins contre la COVID analysés par des scientifiques allemands », 25/08/2022, The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/des-composes-metalliques-toxiques-ont-ete-trouves-dans-tous-les-echantillons-de-vaccins-contre-la-covid-analyses-par-des-scientifiques-allemands/?lang=fr)) ).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction) sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycles d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport(([2] « Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020 », 27/11/2020, https://cormandrostenreview.com/report/)) démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentées par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »(([3] « Le test PCR actuel a-t-il une utilité ? », décembre 2020, https://reinfocovid.fr/science/utilite-test-pcr-actuel/))

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés(([4] « Y a-t-il eu un déferlement de malades ? », 3e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-un-d%C3%A9ferlement-de-malades:e)).

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA(([5] https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/)). Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.



Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publique au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement/la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elles n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient(([6] https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/, lire également cet interview https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/)).

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du ”SARS-COV-2” ? Alors, empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 million d’euros »(([7] https://samueleckert.net/isolate-truth-fund/ site censuré par Google mais pas par duckduckgo.com, idem pour les sites des docteurs en médecine Andrew Kaufman et Tom Cowan)).

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréennes, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres(([8] https://unpeudairfrais.org/declaration-sur-lisolement-des-virus-par-morell-cowan-et-kaufman/https://unpeudairfrais.org/ressources-sur-linexistence-des-virus/)).

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020(([9] https://cv19.fr/2021/10/15/candidat-italien-au-prix-nobel-il-nest-pas-sur-que-ce-virus-existe/)) :

« La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus » ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultracentrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire. »(([10] Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/)).

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boîte de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus SRAS-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir(([11] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916#animatedModal)).

Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman(([12] Andrew Kaufman — Red Pill Expo — June 2021, https://odysee.com/@Scamdemic:7/Andrew-Kaufman-Red-Pill-Expo-2021)) qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature(([13] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3)).

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture(([14] Stefan Lanka: « Virus, It’s Time To Go. », https://odysee.com/@Hmanpro:e/Time_To_Go:b, L’enterrement de la théorie virale par Joseph Stroberg, https://cv19.fr/2022/02/03/lenterrement-de-la-theorie-virale/)).

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faite par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022(([15] https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate/)). Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant(([16] Le mythe de la contamination épidémique, 5e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/le-mythe-de-la-contamination:e. Voir également sur la contagion interhumaine : Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine, https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)).

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus(([17] Jaafar et al. 2021, Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates, https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603)). Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dits « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne disent rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des » variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2 » récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus]

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de l’histoire de France(([18] « Y a-t-il eu une hécatombe quelque part ? », 1er épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-une-h%C3%A9catombe-quelque-part:5)). Il n’y a pas eu de saturation hospitalière(([19] « Y a t il eu la saturation hospitalière annoncée ? », 2e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-la-saturation-hospitali%C3%A8re:0)), mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre(([20] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude, 4e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/la-bureaucratie-sanitaire-au-centre-de:e)).

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril(([21] « Morts sous protection sanitaire », 6e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/morts-sous-protection-sanitaire:e)).

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au « virus » qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques, dont la 5G(([22] Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)). D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G(([23] voir le livre de Tom Cowan à partir de la page 21, https://unpeudairfrais.org/wp-content/uploads/2022/06/Le-mythe-de-la-contagion-Tom-Cowan.pdf)).

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Paquet d’ondes radio
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5Ghttps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? La recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un » virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres » virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité(([24] Gain-of-Function Research: Ethical Analysis, Selgelid 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996883/.)).

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan(([25] https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php)).

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont faits l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction »(([26] https://thehighwire.com/videos/the-investigation-into-covid-19s-origin-takes-new-twist/https://thehighwire.com/videos/shocking-gain-of-function-admission-by-faucis-nih/)).

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense(([27] https://childrenshealthdefense.org/defender/documents-reveal-disturbing-details-gain-of-function-experiments/)), et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous nous ne prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre(([28] https://viroliegy.com/2022/10/24/its-gain-of-fiction-story-time-with-rfk-jr-and-friends/)). Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne — 1604-1605 — Le Dominiquin.

Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.





Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Attention aux accusations de dérives sectaires contre les éveillés : la menace de la Miviludes

Par Nicole Delépine

De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2

J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !

Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.

Il est urgent d’informer tout le monde de cette nouvelle dérive du pouvoir, jeunes y compris qui doivent sortir de leur isolement transitoirement protecteur, et de s’opposer de toutes nos forces au système de délation digne des régimes de Vichy, de l’Union soviétique ou le nazi. Relisons Orwell et battons-nous.

Si nous alertons suffisamment contre cette nouvelle attaque de la liberté d’expression, ils reculeront d’autant plus que la Miviludes s’est souvent fait critiquer, a été parfois condamnée en justice et ne jouit pas d’une bonne réputation.



RETOUR SUR SCÈNE DE LA MIVILUDES

La MIVILUDES est la « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ? En clair c’est donc une arme du pouvoir exécutif pour imposer ses choix contre ses opposants.

L’argument d’urgence serait l’augmentation des signalements :

« les confinements répétés et l’angoisse du décompte des morts ont perturbé de nombreux Français. Pour le plus grand bonheur de personnes malintentionnées. En 2021, les saisines de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) ont atteint des sommets. Elles se dénombrent à 4 020 ».3

Notons que vu le nombre de personnes affectées profondément par ces confinements absurdes et injustifiés4, le sommet n’est pas l’Everest dans un pays de 67 millions d’habitants et l’explosion fait pschitt…

Le journal 20 MN ose écrire :

« La pandémie a charrié dans son sillage son lot de complotistes et d’antivax. Un terreau fertile pour le développement de solutions alternatives » qui n’ont aucun fondement scientifique ».

Nous espérons pour eux qu’ils sont bien payés pour tous répéter le même crédo. N’ont-ils pas appris à lire les publications des agences officielles de la FDA, de la MHRA ou de l’EMA qui additionnent plus de 70 000 morts reconnus liés aux injections expérimentales pour une pseudo grippe qui tue en 32 mois a tué moins de 0,000 825 de la population mondiale et essentiellement les personnes âgées dans les pays les plus vaccinés.

Combien de ces donneurs d’alerte sont-ils traités d’« antivax », alors qu’ils sont seulement dubitatifs envers ces injections expérimentales qui ne sont pas des vaccins, et même parfois très provax (comme le Pr Perronne) ont-ils sauvé de vies en les faisant échapper à ces toxiques ? Évidemment le projet des sept milliards d’injectés en a pris un coup et les fidèles de Schwab tentent d’y remédier. Trop tard ! Et comme disait notre avant-dernier prix Nobel de médecine (2008) le Pr Montagnier, les non injectés sauveront l’Humanité.

« Sonia Backès, secrétaire d’État en charge de la citoyenneté, annonce que le gouvernement va organiser des “assises des dérives sectaires et du complotisme”. Objectif : améliorer les signalements à la Miviludes du voisin, du collègue de travail, etc. qui sombrerait dans ces dérives sectaires ou le complotisme…

Nous voilà dans l’ordre moral et politique, dans le contrôle de tous par tous, dans le retour de l’inquisition, dans un fascisme qui ne dit pas son nom »5.

Orwell était visionnaire et les évadés des régimes des pays de l’Est tremblent…

Mme Backès essaie-t-elle de régler ses problèmes personnels, puisqu’elle rappelle candidement que sa mère était membre de la scientologie.6 Trop proche des présumés coupables du futur de la dénonciation, elle devrait comme dans tout bon policier être éloignée de l’enquête pour absence d’objectivité liée à ses antécédents. Les dires de la secrétaire d’État sont particulièrement inquiétants, choquants :

« Dérives sectaires : les saisines de la Miviludes atteignent un nouveau record ! »

Au lendemain de la publication du rapport de la Miviludes, qui fait état de 4 020 signalements en 2021 (+33,6 % par rapport à 2020), S. Backès regrette que « tout ne soit pas signalé ». « Beaucoup de choses passent sous les radars, et on ne sait pas exactement combien de personnes sont réellement concernées » par les dérives sectaires, poursuit-elle. Le dernier chiffre connu date désormais de « quelques années » et fait état de « 500 000 personnes touchées », selon la secrétaire d’État.

« S. Backès s’est dite particulièrement inquiète des “dérives liées à la santé”. “On parle de gens qui se décrètent naturopathes et qui vendent des soins alternatifs aux soins traditionnels et vérifiés”.

Nous aussi sommes inquiets de la disparition de la médecine traditionnelle, individuelle et de la dictature des protocoles qui suppriment tout recours aux traitements éprouvés pour imposer des molécules chères, inefficaces et souvent toxiques. » 7

Il est bien triste que Mme Backès ne souligne pas le sectarisme des médias et du pouvoir qui ont vendu pour vérité révélée les mensonges du Lancet sur la chloroquine de mai 2020 dont l’auteur principal était une actrice porno reconvertie8 9 10. La démonstration du mensonge organisé sur lequel le ministre Véran s’était appuyé pour interdire la chloroquine n’a pas conduit ce dernier à supprimer son ukase mortifère.

Donc où sont les données « vérifiées » de la médecine traditionnelle devenue menteuse, trompeuse, manipulatrice et a de fait perdu la confiance des patients ? Justement les données officielles répandues sur les médias à longueur de journée sans avis contradictoire ne furent jamais vérifiées, telle la soi-disant contamination des grands-parents par les enfants, la soi-disant efficacité des pseudovax, etc. Les résultats affluent (y compris de Pfizer), qui démentent ce que le discours quotidien a martelé dans les têtes des téléspectateurs…

« “La difficulté survient lorsqu’il y a emprise mentale et mise en danger”, poursuit-elle, déplorant par ailleurs les conséquences financières liées à ces dérives. “Derrière, il y a incitation à acheter l’appareil qui fait des jus de légumes, puis la vidéo de ces gourous 2.0 finit par devenir payante”, précise S. Backès, dont la mère a appartenu à la secte de l’Église de la scientologie. “Je sais comment ça se passe, je sais comment on y rentre, je sais comment ils maintiennent les gens sous emprise et je sais toute la difficulté d’en sortir”, explique-t-elle… »

Oui, mais qui a eu emprise de fait sur des milliards de personnes dans le monde, manipulées par les gouvernements qui appliquent les recommandations de l’OMS ? 11 Oui, il y a eu manipulation, emprise, mais à grande échelle et avec des conséquences monstrueuses, au regard desquelles les appareils de jus de légumes sont peanuts. Au 2 novembre 2022, d’après l’OMS, 12 861 382 558 doses de vaccin ont été administrées pour un coût d’environ 250 milliards de dollars, sans effet bénéfique prouvé sur l’épidémie et associés à de très nombreux effets secondaires dont des décès et des handicaps durables, selon les données publiées par les agences officielles (VAERS pour la FDA, EudraVigilance pour l’EMA, MHRA pour les Anglais, etc..)

Qui regarde la lune et qui regarde le doigt qui la montre ?

Des Assises organisées début 2023

Dans ce contexte, des « Assises des dérives sectaires et du complotisme » seront organisées « début 2023 » autour des acteurs de la lutte contre ces phénomènes. Le but, précise Sonia Backès, c’est de réaliser « un état des lieux » et d’aboutir « à un plan d’action très clair ». Parmi les pistes envisagées, la secrétaire d’État dit vouloir simplifier les procédures de signalement, qui consistent actuellement à « remplir un formulaire sur le site de la Miviludes ». Si elle fait parallèlement l’état des lieux des résultats de la politique sanitaire, cela ne sera pas triste…

« Est-ce que c’est suffisant ? Je ne crois pas », ajoute-t-elle. « On a besoin d’une plus grande proximité, de sensibiliser les gens qui sont autour de nous, les gendarmes, les services de proximité pour signaler plus facilement », indique Sonia Backès, qui n’exclut pas de faire évoluer l’arsenal législatif autour des dérives sectaires.

C’est grave, car qui déciderait le cas échéant de définir un « avis » comme dérive sectaire ? Tous ceux qui ont dit que le confinement était inutile se sont révélés avoir eu raison, comme pour l’inefficacité des pseudovax et leurs dangers.12

De fait, nous sommes des milliers, voire des millions à pouvoir signaler à cette dame les énormes dérives sectaires des journaux, des médias et des politiques qui nous ont si bien manipulés que des milliards d’entre nous ont accepté la piqûre infernale, dont on ne connaît pas encore aujourd’hui la totalité des composants, ni la réelle finalité des piquouseurs. On pourrait l’informer déjà par plein de mails ou de lettres avant qu’elle ne coure le danger de séances publiques qui démontreront ces manipulations perverses que peut-être elle ignore.

Alors pourquoi cette réapparition brutale d’une instance contestée et quasiment disparue en octobre 2022 ?



La Miviludes, le complotisme et les dérives sectaires (référence à son rapport annuel 2021)

La Miviludes est-elle réellement indépendante ?

https://www.association-sante-naturelle.info/revelation-pourquoi-la-miviludes-sacharne-contre-la-sante-naturelle/

« LA MIVILUDES EST-ELLE INFORMÉE DE NOTRE PLAINTE QUI VISE LES DÉRIVES SECTAIRES “D’EN HAUT” ?

Est-ce que cela ne vaut que pour les “complotistes” (terme soudainement devenu à la mode, sur toutes les lèvres pour pouvoir discréditer ceux qui osent réfléchir) et non pas pour les comploteurs ? La pensée complexe est-elle désormais interdite ?

Puis ce serait bien entendu à cause des “complotistes” que la population présente un niveau de troubles dépressifs extrêmement élevé depuis le début de la crise, notamment de graves poussées suicidaires chez les jeunes.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont déclaré des confinements forcés pour toute la population. Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont forcé les enfants et les adultes à porter des masques, que même le COVARS a du mal à justifier aujourd’hui.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont refusé le soin et interdit les traitements efficaces.

Ce ne sont pas les “complotistes” qui ont utilisé une politique de stigmatisation des non injectés pour forcer à se soumettre à une expérience médicale. Tout cela serait bien entendu l’œuvre des “complotistes”. »

L’inversion accusatoire est parfaitement pratiquée :

Putsch média se penche aussi sur cet inquiétant projet de la lutte contre « les dérives sectaires et le complotisme et ce plan d’action. Comment on agit ? »13 selon la secrétaire d’État

« Sonia Backes fait référence à deux choses qui semblent très distinctes. D’une part, l’emprise sectaire qui représente aujourd’hui, d’après la Secrétaire d’État, un enjeu majeur de santé publique et de lutte contre le séparatisme”.

D’autre part, il semble beaucoup plus difficile d’appréhender avec objectivité la notion de complotisme, arme fatale du gouvernement, et de certains grands médias et de sachants pour dénigrer de nombreux acteurs de la santé, de la société civile ainsi que certains médias indépendants, jugés complotistes pendant la crise sanitaire ».

Sonia Backes s’appuie sur ce rapport de la Miviludes 14pour lancer cette idée des « Assises des dérives sectaires et du complotisme ».

Pour le président de la Miviludes, Christian Gravel, le « complotisme » ressemble à cette novlangue qui veut sans l’avouer clairement accuser ceux qui ont dénoncé le caractère véritablement « sectaire » des décisions de l’OMS et le forum de Schwab, appliquées aveuglément par la France.

RESTER LIBRE EST UN CHOIX ET UN COMBAT DE TOUS LES INSTANTS

Notons que contrairement à ce qu’ont raconté tous les médias et trop de citoyens soumis, nous aurions pu, comme la Suède, garder notre liberté de penser et donc de choix et de résistance aux mesures délirantes, tels le confinement, la fermeture des écoles et le masque, et l’injection quasi forcée, et avec des résultats sanitaires meilleurs que les nôtres.

Le rapport de la Miviludes analyse donc la crise en ces termes :

« La crise sanitaire a constitué un catalyseur à travers une prolifération de nouveaux acteurs, plus discrets, maîtrisant le web et ses codes, sachant contrôler les esprits, en exploitant les peurs, la perte de repères, la recherche de solutions simples face à des questionnements existentiels, par définition complexes. Les délinquants experts en manipulation savent, pertinemment, instrumentaliser les vicissitudes de nos concitoyens. »

« la crise engendrée par la COVID-19 a déstabilisé de nombreuses personnes en perte de repères dans une société complexe, interconnectée où l’information côtoie la désinformation. La MIVILUDES s’est retrouvée confrontée à des saisines, reflet d’une véritable crise sociale teintée d’isolement, de questionnements, de colères et de craintes ».

L’opposition entre information et désinformation précise l’objectif de ce rapport15 : le complotisme, « notion voisine » du sectarisme. Ce rapport pointe les réseaux sociaux comme principaux accélérateurs de ces « dérives sectaires ».

LE COMPLOTISME VU PAR LA MIVILUDES

« Le complotisme est un mode de pensée antisystème qui s’appuie sur des arguments non falsifiables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent être ni prouvés ni récusés, ou sur une vérité partielle, soumise à une interprétation rationnelle, mais erronée (…) »

La revanche contre les élites comme argument de base !

« Les théories complotistes constituent un discours de revanche contre les élites et contre le système socio-économique dans lequel l’individu vit. Plus celui-ci est indigné de sa situation, plus il trouvera un écho à sa colère dans le complotisme. Si le système est perçu comme injuste, la théorie venant le discréditer sera accueillie positivement. Plus généralement, le manque de confiance dans les élites dirigeantes et le sentiment d’une prétendue opacité de la vie publique ébranlent fortement la confiance de l’individu envers les institutions. Celles-ci sont alors considérées comme immorales et illégitimes ».

Ainsi sans trembler semble-t-il, les rédacteurs de ce rapport nient tout simplement l’opacité de la vie publique, qualifiée de « prétendue » à l’heure où la confiance en les médias en France a chuté derrière des pays supposés dictatoriaux et que la censure est non seulement effective, mais revendiquée par les médias et les grands réseaux comme Facebook, twitter et YouTube.

Ce déni de réalité, caractéristique de la coupure entre pseudoélites au pouvoir, et le peuple est la base de la césure actuelle et de l’aveuglement des dirigeants, coupure illustrée par l’énorme taux d’abstention aux élections.

EN FAIT POUR LA MIVILUDES, LE COMPLOTISME C’EST REFUSER LES UKASES ET LES AFFIRMATIONS SANS PREUVE DU POUVOIR ET DE SES RELAIS.

Ce rapport ne trace aucune frontière bien définie entre la liberté de pensée et les dérives sectaires. Il fait bien le parallèle avec les reproches faits aux médecins poursuivis devant les conseils de l’ordre régionaux. Et les condamnations tombent comme celles du Dr Gayet radié16, et aussi celles des enseignants-chercheurs comme Vincent Pavan, auteur du livre passionnant et instructif, « le débat interdit »17, privé de salaire pendant un an par son université (entre autres nombreuses victimes).18

LA LIBERTÉ DE PENSER ET DE PARLER, D’INFORMER AU CŒUR DU DÉBAT19

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, l’article 9 de la convention européenne des droits de l’homme assurent de ces droits de base constitutionnels bafoués sans vergogne depuis bientôt trois ans. La liberté d’expression

fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ».

Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelles découvertes scientifiques. Pour ces raisons la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

LA MILIVUDES A DE LOURDS ANTÉCÉDENTS

Rappelons quelques exemples :

UNE VICTOIRE DES KINÉSITHÉRAPEUTES EN 2017

« Dans le combat juridique mené conjointement par FasciaFrance (ex-Association Nationale des Kinésithérapeutes Fasciathérapeutes-ANKF) et la société Point d’appui pour faire retirer la fasciathérapie du guide “Santé et dérives sectaires” publié en 2012 par la MIVILUDES, la cour administrative d’appel de Paris a rendu le 07 décembre 2017 l’arrêt suivant : “Les informations concernant la fasciathérapie ne doivent plus figurer dans le guide ‘Santé et dérives sectaires’ publié par la mission interministérielle de vigilance contre les dérives sectaires (MIVILUDES) en avril 2012.”20 (…)

« La justice reconnaît ainsi clairement que la MIVILUDES a commis une erreur d’appréciation et de jugement concernant la fasciathérapie et qu’elle a ainsi porté atteinte aux praticiens exerçant cette approche. FasciaFrance se réjouit donc de cette décision qui rétablit l’honneur des centaines de professionnels de santé qui exercent quotidiennement la fasciathérapie dans le respect de leur métier et de la confiance des patients. »

UNE NOUVELLE CONDAMNATION DE LA MIVILUDES EN 2018 POUR SA PROPAGANDE CONTRE LA SANTÉ NATURELLE 21

Le 13 juillet 2018,La Mission française de lutte contre les sectes (Miviludes) a encore été condamnée par les tribunaux français, pour sa propagande contre la santé naturelle.

« En 2017, la Justice l’avait déjà condamnée pour avoir dit du mal de la fasciathérapie — une thérapie naturelle très sérieuse pratiquée par des kinésithérapeutes. Cette fois, la Miviludes s’en est prise à la “médecine anthroposophique”… et mal lui en a pris ! Car cette médecine naturelle n’a rien de clandestine. Pratiquée par des docteurs en médecine, elle est parfaitement intégrée aux systèmes de santé de l’Allemagne, de l’Autriche ou de la Suisse.

Mais voilà, cette médecine a la particularité d’être holistique. Contrairement à la médecine officielle, elle n’est pas purement “biomédicale”. Elle prend en compte toutes les dimensions de l’être humain : biologique, bien sûr, mais aussi psychologique et même spirituelle. Pour la Milivudes, cela suffit à la rendre suspecte… et à la classer dans sa liste officielle des thérapies “à risque de dérive sectaire”.

Exactement comme l’a fait l’Allemagne nazie le 9 juin 1941, lorsqu’elle a interdit des pratiques “spirituelles” comme… l’anthroposophie et même l’agriculture en biodynamie !

Car il est très important de connaître ses ennemis. Dans ma dernière lettre, je vous ai parlé des Big Business, ces multinationales qui contribuent à ruiner notre santé : Big Pharma, Big Agra, Big Food et Big Chemical. Mais ces Big Business ne pourraient rien sans de solides complicités chez les décideurs politiques et administratifs.

La Miviludes en est un cas d’école… tout simplement ahurissant. Le “naturel”, voilà l’ennemi de la Miviludes

Mais heureusement, la Justice française a condamné la Miviludes dans un jugement rendu le 20 avril dernier 2018 !

Tout ce qui est naturel peut cacher des dérives sectaires”. Voilà, mot pour mot, ce qu’a dit sur Europe 1 le précédent président de la Miviludes, George Fenech22. Au moins, les choses sont claires.

Voilà pourquoi la Miviludes qualifie de “méthode à risque de dérive sectaire” des pratiques comme :

L’EMDR, une technique psychologique validée scientifiquement par l’INSERM et recommandée par des grands médecins comme le regretté David Servan-Schreiber ;

La gemmothérapie, un remède traditionnel issu des “plantes médicinales” ;

La sophrologie, une simple méthode de relaxation ;

Et même la médecine ayurvédique, pratiquée en Inde depuis des millénaires et reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé pour ses bienfaits !

Et le plus révoltant, c’est l’aveuglement de la Miviludes face aux vraies menaces.

Les “salons zen” et les cours de yoga, voilà l’ennemi de la Miviludes

Voici le gros titre du journal Le Monde, le jour où la Miviludes a rendu son rapport :

La santé et le bien-être, des domaines particulièrement sujets au risque de dérives sectaires”. Dès l’introduction du rapport, le président Serge Blisko insiste sur “la nécessaire défense de la pensée rationnelle”, notamment face aux “dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs”.

J’ai lu le rapport en intégralité, et il contient un nombre de bêtises invraisemblable :

Ainsi, en lien avec la question de l’exploitation animale et du véganisme se développe une forme d’extrémisme, comme dans le domaine de l’écologie le mouvement de deep ecology, qui peuvent mettre en danger les adeptes et particulièrement les enfants.”

Attention donc, aux “écolo” et aux végans »… et attention aussi aux très dangereux « Salons ZEN » :

« La promotion des nouvelles pratiques alimentaires se fait largement par Internet et les réseaux sociaux, mais aussi dans les salons bio-zen. (…) Ces salons ouvrent aussi leur espace à de véritables charlatans et à des méthodes dangereuses pour la santé dès lors qu’elles sont mises en œuvre par des personnes qui n’ont pas de connaissances médicales sérieuses ».

Autre menace dans le viseur de la Miviludes, les psychothérapeutes (…).

Alors bien sûr, les charlatans et les gens sans scrupule, cela existe, dans la médecine naturelle comme ailleurs… mais cela n’en fait pas des dérives sectaires pour autant !

Pour la Miviludes, pourtant, même le yoga et de méditation sont terriblement suspects !

« Aujourd’hui, la mode pour la méditation et le yoga et la demande qu’elle crée s’élargit à de nouvelles catégories de personnes, ouvrant des opportunités à des individus sans formation et sans scrupule. » Et des énormités comme celle-là, il y en a sur des pages et des pages.

(…) Guillaume Chopin, Association Santé Naturelle »

Même Libération en 2019 évoque la disparition de la Milivudes :

Sectes : la Miviludes va-t-elle disparaître ?

DES TENSIONS

Depuis le printemps 2020, la Mission est intégrée au Comité interministériel de Prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR) au sein du ministère de l’intérieur.

« Matignon confirme que la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires sera rattachée début 2020 au ministère de l’Intérieur. Pour les acteurs du secteur, cela revient à faire disparaître la Miviludes. »

DU VENT DANS LES VOILES

France Inter citait un acteur associatif : « Depuis quelques semaines presque plus personne ne répond. C’est l’omerta, mais les choses sont déjà pratiquement faites. La Miviludes va être purement et simplement dissoute au sein du ministère de l’Intérieur ». Une information confirmée à la radio par un membre de cabinet ministériel. La Miviludes devrait être fusionnée avec le Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), selon la radio.

Recommandations de la Cour des comptes

Contacté par Check News, le ministère de l’Intérieur confirme que la Miviludes sera bien rattachée, début 2020, au ministère de l’Intérieur. Mais refuse de parler de « disparition ».

En plus de son rattachement à l’Intérieur, la Miviludes sera bien fusionnée avec le secrétariat général du comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (SG CIPDR) : « les champs d’intervention de ces deux organismes ne se recouvrent pas totalement, mais ils ont pour important point commun la lutte contre les nouvelles formes de radicalité et certains phénomènes d’emprise et d’enfermement », selon Matignon.

C’est donc sans surprise que les conseillers de la Miviludes ont appris leur « fusion » avec le SG-CIPDR lundi 30 septembre ».

Mais en 2021 la ministre Schiappa nomme une présidente et renforce les moyens, le confinement ayant aggravé les dérives selon elle.23 06/04/2021

Elle déplore que « de nouveaux gourous » se servent du Covid pour accroître leur influence.

« Vous avez de nouveaux gourous qui se servent de la pandémie pour prêcher des mesures soi-disant de bien-être, mais qui sont des mesures de sujétion psychologique, voire de captation d’argent ou de biens », a dénoncé Marlène Schiappa sur Franceinfo. Elle estime que « plus de 500 nouveaux petits groupes sectaires ont proliféré à la faveur du confinement ». Les dérives sectaires touchent 140 000 personnes, dont 90 000 enfants.

Je multiplie par dix les moyens de la Miviludes : ils sont maintenant d’un montant de 1 million d’euros pour accompagner notamment les associations ». Une magistrate, Hanène Romdhane, a été nommée à la tête de la Miviludes. « Sa nomination a notamment pour but de donner une suite judiciaire à l’ensemble des signalements effectués auprès de la Miviludes : 3 000 rien que sur l’année 2020 dont 40 % dans le domaine de la santé », selon le communiqué.

MAIS EN JUIN 2022

Miviludes : la lutte contre les dérives sectaires a disparu de l’organigramme du gouvernement

Déjà menacée de disparition fin 2019, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires n’est mentionnée nulle part dans les attributions des différents ministères publiées aujourd’hui au journal officiel 24 :

« C’est une suppression de fait. »

OCTOBRE 2022 — Le syndrome Renaissance ?

La MIVILUDES disparaît quasiment, absorbée dans un ministère non précisé et en octobre, branle-bas de combat la secrétaire d’État anciennement liée via sa famille à la scientologie annonce des grandes décisions. Que s’est-il passé à OK Coral ?

Et vous qu’en pensez-vous ? Comme Annette ?

@Annette_LEXA

« je sais pas vous, mais moi, j’ai le sentiment d’être contrainte de vivre dans une secte géante depuis 2 ans 1/2. Si on prend les critères de la #MIVILUDES, le gouvernement actuel coche toutes les cases ».

En tous cas ? les internautes ont rapidement réagi avec une longue liste de #balancetoncomplotiste dont je vous livre quelques exemples :

PLUS NOUS INFORMERONS DE CE PROJET TOTALITAIRE, MOINS ILS POURRONT LE METTRE EN PLACE

D’autant que bien des Français se demandent ce que deviendront les délateurs des soi-disant complotistes qui finalement auront eu raison : le pseudovax ne protège pas de la contamination, a des effets secondaires importants, etc.

INFORMONS !





Les soignants non vaccinés doivent être réintégrés sans délai. Après New York, l’Italie le fait

Par le Dr Gérard Delépine

Après la Belgique, la Grande-Bretagne, la Suisse, l’Alberta et New York, l’Italie vient de décider de réintégrer les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection anti-covid. Combien de temps notre gouvernement continuera-t-il de s’obstiner à maintenir cette discrimination sans aucune justification médicale ?

L’exclusion des soignants vaccino prudents est une mesure médicalement infondée et inutile

Nous avons déjà souligné qu’il n’existait aune étude scientifique apportant le moindre début de soupçon de preuve que la pseudo vaccination des soignants était susceptible de diminuer le risque de contamination de leurs contacts. Ce gouvernement, qui a interdit la prescription de la chloroquine en prétextant qu’il n’existait pas de preuve de son efficacité contre le Covid, a pourtant imposé cette mesure en violation de sa prétention affichée de « suivre la science ». Le caractère infondé de la mesure vient d’être trois fois confirmé durant les trois derniers jours par la Cour suprême de l’état de New York, par le gouverneur de l’Alberta et par le chef du gouvernement italien.

La Belgique n’a jamais imposé d’obligation d’injection covid aux soignants1

L’obligation a été votée malgré l’opposition au projet de loi : « Ce n’est pas un projet de loi vaccination, mais un projet de loi de licenciement des soignants. Votre discours est celui de la brutalité », a dénoncé Catherine Fonck, tandis que Sophie Rohonyi parlait « d’une gifle aux héros de la crise. »

Mais elle n’a pas été appliquée, car jugée « non conforme au principe de proportionnalité », selon la Taskforce Covid, après avoir consulté le Conseil supérieur de la santé et le « Risk Assessment Group » (RAG), dans un avis diffusé le 2 mai 2022.

La Grande-Bretagne non plus

Le gouvernement britannique avait annoncé en novembre 2021 que la vaccination anti-Covid deviendrait obligatoire en avril 2022 pour les soignants. Mais elle a annoncé le 1er mars 2022 qu’elle renonçait à imposer le vaccin contre le Covid-19 à tous les soignants du public2.

L’Alberta a mis fin à l’obligation vaccinale des soignants depuis 6 mois3

Depuis le 10 mars 2022, l’obligation pour les employés de Services de santé Alberta d’être vaccinés a été supprimée. Les employés n’ont plus à présenter une preuve de vaccination ou un résultat négatif à un test rapide pour travailler. Les employés non vaccinés en congé forcé ont repris le travail.

Et depuis la reprise de travail des soignants non vaccinés, aucune poussée d’infection n’a suivi confirmant l’inutilité de l’obligation vaccinale a priori évidente puisqu’aucun des pseudo vaccins injectés n’est capable d’éviter les transmissions.

À New York, la réintégration dans l’emploi des personnels d’assainissement de la ville exclus pour refus des injections anti-covid expérimentales a été ordonnée par le juge Ralph J. Forzio de la Cour suprême de l’État.

New York City a licencié environ 1 700 employés après que le décret d’obligation de vaccination pour tous ses employés, de l’ancien maire Bill de Blasio. La plupart des personnes licenciées étaient des policiers et des pompiers. Le tribunal a estimé le 28/10/2022 que « le fait d’être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le COVID » et précisé :

« rien ne justifie de conserver une obligation vaccinale pour les employés et en même temps d’en exclure certaines professions telles que les athlètes et artistes ; cela est clairement arbitraire et capricieux ». 

Pour ces raisons, le tribunal a ordonné la réintégration des employés non vaccinés avec paiement des arriérés de salaires4 5. Les responsables de la ville ont déposé un recours, de sorte que la réintégration en attente pour le moment. Mais les attendus du jugement sont clairs.

En Italie, Meloni réintègre les soignants vaccino prudents

Le gouvernement de l’ancien Premier ministre Mario Draghi avait rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé en 2021 et l’avait étendue à toutes les personnes de plus de 50 ans en janvier de cette année. Les refus ont été sanctionnés par une exclusion du travail sans solde pour les fonctionnaires, tandis que les Italiens âgés de plus de 50 ans qui refusaient les pseudo vaccins expérimentaux ont été condamnés à des amendes de 100 euros.

Quelques actions en justice contre ces sanctions médicalement infondées avaient obtenu justice. Un médecin avait été réintégré en juillet 2022 en Sardaigne par la juge Eleonora Carsana du tribunal de Tempio Pausania qui avait de plus ordonné qu’elle reçoive les salaires accumulés depuis le jour de sa suspension jusqu’au jour de sa réintégration effective6.

Mais devant l’incapacité démontrée des faux vaccins à empêcher les contaminations et les transmissions et le manque dramatique de soignants, le Premier ministre Melloni vient d’annoncer qu’elle allait réintégrer tous les soignants suspendus pour avoir refusé l’injection avec récupération des salaires. Et allant plus loin dans la dénonciation de la tyrannie sanitaire imposée par le gouvernement précédent, elle a déclaré qu’elle ferait rembourser les amendes dont ont été victimes les personnes âgées qui ont refusé les pseudo vaccins.

Il est troublant de constater que des mesures antidémocratiques majeures décrétées par un gouvernement qui se prétendait démocratique sont abrogées par une Première ministre que les médias français qualifient volontiers de fasciste. La volonté de défendre les libertés aurait-elle changé de camp ?

https://twitter.com/yanof68/status/1587111149216169985?s=43

À ce jour, la France est le seul grand pays européen qui maintient cette exclusion des soignants qui refusent l’injection expérimentale. Contre toute logique puisque l’épidémie n’est plus guère mortifère et que seuls les fabricants de vaccins, leurs mercenaires et les organismes trop liés au pouvoir (haute autorité de santé et académie) osent encore prétendre qu’ils seraient susceptibles d’empêcher les transmissions.

Voir aussi :
Réintégration – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org)

Dans ce contexte mondial où l’échec complet des injections est maintenant patent pour les populations, les pseudo vaccins ne font plus recette, en France comme dans le reste du monde.

Actuellement, malgré une propagande permanente pour faire peur, moins d’un français sur 10 000 se laisse encore injecter quotidiennement.

Alors, pourquoi discriminer les soignants et pompiers qui ont toujours été conscients des enjeux médicaux et ont toujours accepté les vrais vaccins ?

Messieurs et Mesdames les députés, suivez l’exemple du reste du monde, votez une loi qui mette fin au scandale de la suspension des soignants et pompiers qui refusent l’injection expérimentale inefficace.

Leur réintégration est urgente pour tenter de renforcer les personnels hospitaliers, remonter le moral des troupes et stopper la désertification médicale. Ces personnels sont attendus avec impatience par leurs collègues, comme le prouve le dernier communiqué du syndicat National des Médecins Hospitaliers Force Ouvrière :

« IMPERITIE MINISTERIELLE ET COERCITION… Les patients ont besoin de médecins… Le maintien des suspensions, au titre de la loi du 5 août, prend un sens nouveau aujourd’hui : celui d’un acharnement déraisonnable. »





« Corrélation n’est pas causalité », quand cela arrange…

[Source : qg.media]

Alors que la « campagne vaccinale automnale » décidée par le gouvernement a démarré en octobre 2022, on voit fleurir les articles de presse affirmant que le covid-19 est toujours aussi mortel mais qu’heureusement les vaccins sont là pour « sauver des vies ». Lorsque des chercheurs indépendants mettent en évidence des effets indésirables graves suite à la vaccination, ils reçoivent une fin de non-recevoir sur le mode « corrélation n’est pas causalité ». En revanche, lorsqu’il s’agit de « prouver » que les vaccins anti-covid « sauvent des vies », alors là on peut y aller tranquillement. Démonstration à partir des d’articles emphatiques du Figaro et du Monde relayant une étude parue dans Nature Human Behaviour et qui, en réalité, ne prouve rien du tout.

Par Pierre CHAILLOT (statisticien) & Laurent MUCCHIELLI (directeur de recherche au CNRS)

Voici venir l’hiver et son lot de malades. Comme chaque année désormais, la période est propice pour faire peur à la population, et lui vendre des vaccins anti-Covid à ARN messager. Car il s’agit bien d’une vente. Les Français n’en sont pas conscients puisqu’ils ne sortent pas leur carte bancaire au moment de recevoir l’injection. Mais il s’agit d’une (énorme) dépense de l’État, qu’ils payent avec leurs impôts. Ce commerce a ses représentants, les « experts » qui écument les plateaux de télévision pour répandre la peur et promouvoir « la » solution, unique et miraculeuse. Des « scientifiques » publient des « études » dans des revues anglophones pour « prouver mathématiquement » l’efficacité du produit. Les médias, enfin, consacrent cette parodie de science médicale par des « articles » qui ressemblent hélas souvent à des encarts publicitaires.

En l’espèce, voilà ce qu’annonçait en grande pompe Le Figaro le mercredi 19 octobre 2022 :

« Malgré de nombreuses preuves scientifiques, certains doutent encore de la gravité du Covid-19, ou minimisent l’efficacité des vaccins. Ces deux points sont très clairement prouvés par une large étude sur l’espérance de vie moyenne dans 29 pays, entre 2019 et fin 2021, notamment en Europe et aux États-Unis, publiée lundi dans la revue Nature Human Behaviour ».

Et le journal Le Monde, dont le crédo covidiste ne se dément pas, lui emboitait le pas quelques jours plus tard, avec un titre particulièrement catastrophiste :

« En Europe, le Covid-19 a entraîné une baisse de l’espérance de vie sans précédent depuis soixante-dix ans ».

Rien que cela ! Enfin, le 2 novembre, le même quotidien du soir, qui soutient très activement le pouvoir exécutif depuis le début de la crise sanitaire, publiait un éditorial estimant que cette étude démontrait que « la corrélation entre la vaccination et une perte d’espérance de vie moins importante est clairement établie » et que cela « relativise la virulence des critiques portées, pendant la pandémie, contre l’organisation de la santé publique ».

Sans présumer des intentions de leurs auteurs (ni, bien entendu, de celles des chefs de rédactions qui les chapeautent), constatons toutefois que ces articles tombent à pic pour le gouvernement (et les industriels qui leur vendent ces produits), ce dernier venant en effet de lancer officiellement sa « campagne de vaccination automnale contre le covid-19 ». Mais corrélation n’est pas causalité, et il s’agit peut-être d’un simple hasard…

Pour revenir à l’analyse scientifique, nous allons voir que cette étude ne « prouve » ni la gravité du Covid-19, ni l’efficacité des vaccins. Nous allons montrer que les auteurs se servent des statistiques disponibles non pas pour questionner la réalité mais pour chercher à conforter leur théorie préconstruite que l’on peut résumer ainsi : « le Covid-19 c’est très très grave, mais heureusement les vaccins sûrs et efficaces vont nous sauver ».

« C’est le Covid-19 qui tue »

Le Figaro propose cet article de propagande sur la base d’une étude publiée par Nature Human Behaviour. Cette dernière affirme que « la pandémie a fait reculer l’espérance de vie » et que « la vaccination a permis de la remonter ». Une fois n’est pas coutume, cette étude est basée sur les statistiques de décès toutes causes confondues, comme il convient de le faire pour analyser les évènements impactant la mortalité. Du point de vue de la méthodologie scientifique, on regrette toutefois que l’indicateur choisi soit celui de l’espérance de vie, dont nous avons déjà discuté des désavantages. Il convient plutôt d’utiliser un taux de mortalité standardisé (age-standardized mortality rate ou standardized death rate), comme préconisé à la fois par l’OMS comme par Eurostat.

Lorsque l’on respecte cette règle méthodologique on constate que, en réalité, la hausse de mortalité de 2020 a finalement été faible. A condition donc de faire l’effort de standardiser les décès et non de comparer brutalement le nombre de morts d’une année sur l’autre. En effet, les Européens sont de plus en plus nombreux et de plus en plus vieux. Le record du nombre de décès est donc battu presque chaque année. Une fois que l’on standardise les décès pour prendre en compte l’augmentation de la population et son vieillissement, on constate que la hausse de 2020 n’a concerné que quelques pays, et seulement sur les tranches d’âge les plus élevées. En France, par exemple, l’année 2020 est la 6ème année la moins mortelle de toute l’histoire. Pour la totalité des pays d’Europe, 2020 est une année dans la norme de la décennie. C’est, au pire (comme pour la Belgique ou l’Italie), la 10ème année la moins mortelle de toute leur histoire.

Pour certains pays (ceux qui n’ont pas paniqué, comme l’Allemagne et tous les pays scandinaves), 2020 aura même été une année record de sous-mortalité. Arrive alors logiquement cette question : est-ce le virus qui a tué ou bien est-ce la peur du virus, donc les mesures politico-sanitaires ?

« Les faits n’expliquent pas les causes » ou « corrélation n’est pas causalité » signifie qu’on ne peut pas se baser sur la baisse de l’espérance de vie, ou sur l’augmentation du nombre de décès standardisés par âge, pour affirmer que « c’est le virus qui tue ». L’année 2020 n’est pas uniquement marquée par l’arrivée d’un nouveau virus mais aussi, et même surtout, par une incroyable série de dites « mesures sanitaires » ayant complètement désorganisé la chaîne du soin dans certains pays. A contrario, on devrait s’étonner du fait que la pandémie mondiale se soit arrêtée aux frontières de l’Allemagne, qui n’a justement pas mis en place de mesures coercitives en mars 2020, ou encore que la Suède soit proche de battre un record de sous-mortalité. En effet, les données relatives aux « cas de Covid-19 » et aux « décès dus au Covid-19 » montrent que l’Allemagne ou la Suède en ont comptabilisé comme ailleurs. Mais s’ils ont autant de morts « Covid-19 » que les autres, pourquoi n’ont-ils pas plus de morts que les autres années, même plutôt moins ? Si c’était vraiment le virus qui tuait tandis que les mesures protégeaient, on devrait avoir moins de morts dans les pays qui mettent en place des mesures sanitaires coercitives et davantage dans les autres. Or on observe exactement l’inverse.

En fait, l’étude publiée par Nature Human Behaviour avoue que les données estampillées « Covid-19 » sont inexploitables et montrent des incohérences massives : « The inconsistent registration of deaths due to COVID-19 across countries complicates any cause-of-death attribution analysis, including ours. We found lower-than-expected mortality due to non-COVID-19 causes in 2021 in Belgium, England and Wales, France, and Slovenia. Whether these results are an artefact of an overly broad definition of COVID-19-related deaths or point towards a genuine decline in non-COVID mortality (due to, for example, mortality displacement or the lack of flu deaths) is unclear at this point. For France, overcounting COVID-19 deaths seems unlikely, as the underlying data on COVID-19 death counts used here originate from Santé Publique France, which uses a very strict definition of “death due to COVID-19” ». Traduction :

« L’enregistrement incohérent des décès dus au COVID-19 dans les pays complique toute analyse d’attribution des causes de décès, y compris la nôtre. Nous avons trouvé une mortalité plus faible que prévu due à des causes autres que la COVID-19 en 2021 en Belgique, en Angleterre et au Pays de Galles, en France et en Slovénie. On ne sait pas si ces résultats sont le résultat d’une définition trop large des décès liés au COVID-19 ou indiquent une véritable baisse de la mortalité non liée au COVID (en raison, par exemple, d’un déplacement de la mortalité ou de l’absence de décès dus à la grippe). Pour la France, un sur-comptage des décès dus au COVID-19 semble peu probable, car les données sous-jacentes sur le nombre de décès dus au COVID-19 utilisées ici proviennent de Santé Publique France, qui utilise une définition très stricte du décès dû au COVID-19 ».

Nous pouvons facilement répondre aux auteurs que tout le comptage des décès « dus au Covid-19 » est le fruit de règles administratives arbitraires sans lien avec une maladie identifiable (voir nos explications ici). En réalité, ces données sont inexploitables dans tous les pays suivant la nomenclature imposée par l’OMS, dont la France. La disparition statistique de la « grippe » ne signifie qu’une seule chose : on attribue désormais toute la mortalité due aux « infections respiratoires aiguës » au Covid-19, alors qu’on l’attribuait avant à la grippe. Par ailleurs, le « nombre de vies sauvées par restrictions de déplacements » est ridiculement faible par rapport au nombre de soi-disant décès « dus au Covid-19 ». D’un côté on aurait 60 000 morts « du Covid-19 » contre 500 « vies sauvées par restrictions de déplacements ». Au final, nous avons donc montré que les statistiques de décès toutes causes confondues ne permettent pas d’attribuer la cause du décès et que les statistiques « décès Covid-19 » portent des incohérences massives. La Suède, la Norvège ou l’Allemagne nous montrent qu’un pays peut déclarer de nombreux « décès Covid-19 » sans enregistrer la moindre hausse de mortalité générale à la fin de l’année.

En revanche, du côté des mesures, nous disposons de sources fiables et officielles nous permettant d’évaluer les pertes de vies humaines qu’elles ont engendré, ainsi que nous l’avons expliqué dans une interview récente au journal Kairos. Pour résumer l’argumentation :

1) il est normal d’enregistrer une augmentation du nombre de décès à domicile lorsque l’on isole les gens chez eux et qu’on leur déconseille de se rendre à l’hôpital. Le nombre d’interventions pour urgences cardiaques et urgences AVC s’est effondré pendant les confinements. Le nombre de vies qu’on peut estimer perdues à cause de cette décision en mars-avril 2020 est quasiment égal à la surmortalité constatée à domicile sur cette période.

2) il est normal d’enregistrer une hausse de décès à l’hôpital lorsqu’on demande aux gens, en cas de maladie respiratoire, de ne pas consulter de médecin et de laisser la situation s’aggraver. Le nombre de décès « pour Covid-19 » le jour même de l’arrivée à l’hôpital est dramatiquement élevé. La surmortalité hospitalière de mars-avril 2020 est quasiment égale au nombre de personnes décédées dans les 3 jours de leur arrivée à l’hôpital « pour Covid-19 ». C’est qu’elles y sont arrivées trop tard.

3) il est normal d’enregistrer une hausse des décès dans les Ehpad lorsque, en lieu et place des soins habituels, on met en place un « protocole palliatif Covid » en considérant les plus âgés comme « insauvables » et en les accompagnant vers le décès en cas de « soupçon de Covid-19 ». La surmortalité dans les Ehpad sur la période mars-avril 2020 correspond au nombre de « bénéficiaires » du « protocole palliatif Covid » (Rivotril, Valium…).

En additionnant ces trois seules causes de décès, on explique la quasi-totalité de la hausse de mortalité de 2020 en France. Nous ne pouvons donc pas écarter l’hypothèse que, si le gouvernement n’avait pas mis en place ces mesures délétères, nous aurions nous aussi vécu une année de faible mortalité, comme l’Allemagne ou les pays scandinaves.

Donc non, cette étude ne « prouve » en aucun cas que « c’est le Covid-19 qui tue », elle constate simplement que 2020 est une année de hausse de la mortalité dans un certain nombre de pays. Les auteurs font ensuite « l’hypothèse » que cette hausse serait uniquement due au Covid-19, pour faire semblant de conclure que tel serait bien le cas. C’est ce que l’on appelle un raisonnement tautologique et non une démonstration. En réalité, dans certains pays comme la France, la corrélation entre hausse de mortalité et pandémie s’explique surtout par le fait que la panique politico-médiatique a entraîné le plus gigantesque abandon de soin jamais observé.

« C’est le vaccin qui sauve »

À la lumière de ce que nous venons de voir, il est normal que l’année 2021 enregistre une amélioration, puisque la mise en place de la vaccination est concomitante de l’allègement de la plupart des mesures politico-sanitaires les plus coercitives et les plus délétères (un seul confinement en 2021, d’une durée de 28 jours, contre deux confinements en 2020, d’une durée cumulée de 102 jours). La vaccination est corrélée à une « hausse de l’espérance de vie » dans les pays limitant les mesures délétères. En clair, si l’on arrête de nuire aux gens, ils vivent un peu plus longtemps… Encore une fois, la baisse de la mortalité ne signifie en aucun cas que « c’est l’injection qui sauve des vies » car, justement, corrélation n’est pas causalité. Au demeurant, les pays qui ne remontent pas la pente en 2021 ne sont pas « ceux qui vaccinent moins », mais ceux pour lesquels la mise à l’arrêt de l’économie et d’une grande partie de la vie sociale en 2020 a été la plus préjudiciable, notamment les pays d’Europe de l’Est.

Pour s’en rendre compte, regardons le PIB par habitant des pays d’Europe. Les pays où on meurt le plus en 2021 sont en réalité les pays les plus pauvres, donc ceux qui proposent le moins de mécanismes d’amortissement social à leurs populations. Vivement le vaccin anti-pauvreté pour prolonger l’espérance de vie !

Pour conclure

N’en déplaise aux journalistes qui tentent encore de sauver le récit officiel (la doxa) de la « crise du Covid », l’étude publiée par Nature Human Behaviour ne prouve en aucun cas que l’amélioration de l’espérance de vie en 2021 par rapport à 2020 est due au vaccin. En 2021, les mesures politico-sanitaires étaient en revanche moins délétères qu’en 2020 et telle est bien plus probablement la clef d’interprétation. En toute rigueur, les auteurs de l’étude sur laquelle les journalistes se sont jetés ne font aucune démonstration, ils ne font qu’un raisonnement tautologique. D’abord ils présupposent que « le vaccin sauve des vies ». Ensuite, ils attribuent la baisse de mortalité au vaccin. Et ils concluent que « la science confirme que le vaccin sauve des vies ». CQFD… En réalité, cette étude est une pseudo-démonstration statistique, basée sur un « modèle » qui se trouve être biaisé dans ses prémisses mêmes. On en a désormais (hélas) l’habitude.

Au passage, constatons que, lorsque des chercheurs indépendants mettent en évidence des effets indésirables graves suite à la vaccination, ils reçoivent une fin de non-recevoir sur le mode « corrélation n’est pas causalité ». En revanche, lorsqu’il s’agissait hier de « prouver » que les protocoles thérapeutiques proposés par des médecins généralistes ou par ceux de l’IHU de Marseille étaient inefficaces voire dangereux, comme lorsqu’il s’agit aujourd’hui de vendre les vaccins anti-covid, alors là on peut tranquillement déduire la causalité de la corrélation. L’hypocrisie et la malhonnêteté intellectuelle ne sont-elles pas évidentes ?




Et pourtant elle est efficace ! (La chloroquine)

Et soutien à Martine Wonner

Par Dr Gérard Delépine

[Illustration :] Galilée devant ses juges

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

(ONU décembre 1948)

La religion contre la science. Le dogme contre les faits

Lorsque Galilée a été condamné par l’Inquisition parce qu’il affirmait que la terre tournait autour du soleil, il a fait publiquement amende honorable, mais aurait susurré « et pourtant elle tourne ».

Quatre siècles plus tard, de nombreux procès semblables à celui de Galilée se tiennent contre les médecins et scientifiques, enseignants-chercheurs, etc. qui ont osé ne pas répéter la doxa officielle du gouvernement. Peu importe les faits, seul le dogme compte.

Par exemple, la docteur Nicole Delépine vient d’être blâmée comme d’autres collègues, par le conseil de l’ordre régional parisien qui a pourtant relaxé le PR Perronne, pour avoir conseillé les traitements précoces, le conseil arguant que cette affirmation n’était pas avérée malgré les publications internationales démonstratives dès février 2020.

Pourtant les faits avérés et les publications accumulées, confirment ses déclarations, prouvent que la chloroquine et l’azithromycine sont efficaces et démentent le crédo officiel que les traitements précoces seraient inefficaces et les vaccins salvateurs.

Il serait grand temps que les juges du CNOM se comportent enfin en scientifiques, admettent que les progrès en médecine naissent de débats démocratiques et qu’ils analysent les faits avérés au lieu de se comporter en grands inquisiteurs du dogme officiel.

Rappel des données publiées par l’OMS

Tous les pays du monde n’ont pas appliqué la funeste recette de l’OMS (enfermement, interdiction des traitements précoces, injections forcées) et maintenant que l’épidémie est terminée (grâce à Omicron), la comparaison des mortalités selon la stratégie covid de chaque pays permet d’en apprécier la pertinence.

Les pays d’Afrique souffrant de paludisme ont confirmé l’efficacité des antipaludéens

Les pays pauvres d’Afrique ne pouvaient pas s’offrir les injections covid trop onéreuses et les espoirs de l’OMS, de GAVI et de Big Pharma de faire payer les pays riches pour leur offrir ces traitements ont été déçus. Tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins. Or c’est le contraire que nous constatons !

Dans les pays souffrant chroniquement du paludisme, les populations qui prennent chaque jour des antipaludéens ont moins souffert du covid avec une mortalité 20 à 100 plus faible que celle des pays riches très vaccinés !

Il faut fermer les yeux pour ne pas voir que les antipaludéens ont été très efficaces.

Madagascar a prouvé l’efficacité de l’Artémisinine

En avril 2020, face au Covid, les autorités de Madagascar ont décidé d’orienter tous leurs efforts vers la distribution de décoctions de la pharmacopée traditionnelle, l’artémisinine, substance isolée de la plante locale Artemisia Annua, utilisée jusqu’ici en prévention du paludisme.

« Une nette amélioration de l’état de santé des patients ayant reçu ce remède a été observée en 24 heures seulement après la première prise. La guérison a été constatée après sept jours, voire dix jours. Ce remède est naturel, non toxique et non invasif »1.

L’OMS et les fabricants de vaccins ont tout fait pour discréditer ce traitement au prix insignifiant, poussant le président Andry Rajoelina à quitter l’OMS et à déconseiller les pseudo vaccins.

En octobre 2022, l’épidémie est terminée à Madagascar depuis plus de 6 mois et la mortalité cumulée est 40 à 60 fois inférieure à celle des pays riches très injectés.

On pourrait croire que le climat de Madagascar ou la jeunesse de sa population expliqueraient cette différence, mais la comparaison avec les Seychelles contredit cette hypothèse. Madagascar et les Seychelles distantes de 1000 kilomètres partagent le même climat, des populations semblables et des modes de vie similaires. Mais les Seychelles ont suivi les recommandations de l’OMS et ont tenté de sauver leur saison touristique en vaccinant toute leur population. À la fin de l’épidémie, les Seychelles souffrent d’une mortalité 32 fois supérieure à celle de Madagascar très peu vaccinée (<5 %).

Il faut refuser de considérer les chiffres pour ne pas admettre que l’artémisinine a été très efficace :

L’Algérie a prouvé l’efficacité considérable du traitement Raoult, le professeur très malmené par les institutions malgré sa haute réputation internationale2

La comparaison entre la France et l’Algérie est très pertinente, car les populations française et algérienne sont très comparables par leurs facteurs de pronostic covid : mêmes pourcentages de plus de 60 ans, même sex ratio, un peu plus d’obèses en Algérie 23 % vs 17 %, qui ne peuvent donc pas expliquer la différence de mortalité observée.

Dès le 31 mars 2020, le Comité scientifique algérien installé auprès du ministère de la Santé algérien décidait de démarrer le traitement à la chloroquine pour tous les positifs au test PCR et tous les malades symptomatiques. Le 31 mai 2020, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités ».

Et au 31 octobre 2022, les chiffres de l’OMS montrent qu’avec ce traitement, le covid n’a pas été plus mortifère en Algérie qu’une grippe ordinaire : 6881 morts attribuées au covid en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants, alors que la France en compte plus de 156 000 pour 67 millions d’habitants.

Certains pourraient évoquer la différence de climat entre l’Algérie et la France, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, la Tunisie qui partage le même climat que l’Algérie, a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Il faut être aveugle pour ne pas reconnaître que la stratégie Raoult a été très efficace.

La politique du Conseil national de l’ordre paraît se résumer à celle des 3 singes : « Ne rien voir, ne rien entendre et bâillonner ceux qui disent la vérité ».

Le conseil de l’ordre des médecins veut constamment faire taire ceux qui disent une vérité qui dérange le dogme officiel.

En 1986, le conseil de l’ordre des médecins m’avait accusé de « prôner des thérapeutiques non reconnues » parce que j’affirmais que l’amputation pouvait être évitée à la majorité des malades souffrant de cancers des membres. J’ai dû mon salut professionnel à la parution, quelques semaines avant le jugement, d’un audit du ministère de la santé américain confirmant mes dires. Et depuis aucun spécialiste au monde ne défend plus l’amputation.

Mais il ne fait pas avoir trop tôt raison devant le conseil de l’ordre des médecins !

Une fois de plus je refuse de me taire, car mon devoir de médecin m’impose de tout faire pour protéger la vie de mes semblables et ma responsabilité de scientifique me dicte de proclamer la vérité des faits établis, même si elle gêne les intérêts de l’industrie pharmaceutique et de ses nombreux complices au pouvoir pour lesquels la reconnaissance de l’efficacité des traitements précoces signerait la fin du business si rentable des faux vaccins Covid (déjà environ 250 milliards de dollars).

Lors de cette crise Covid, l’attitude quasi religieuse du conseil de l’ordre des médecins a contribué à empêcher les Français de bénéficier des traitements précoces qui auraient vraisemblablement permis d’en sauver plus de 100 000. Sa responsabilité dans cette hécatombe qui aurait pu être évitée, au moins en grande partie, justifie une enquête scientifique indépendante des pouvoirs en place, et pourquoi pas judiciaire, pour mise en danger de la vie d’autrui.

Le conseil de l’ordre des médecins poursuit de nombreux médecins qui ont trop parlé, ou pire, qui ont guéri des malades avec des traitements précoces3. Il est indispensable que la population apporte massivement son soutien à ces héros et défende la liberté d’expression, la liberté de penser et la liberté de traiter les malades.

Que chacun de ces procès iniques se transforme en procès du conseil de l’ordre des médecins qui n’a poursuivi comme il le devait les médecins des plateaux télé ni les médecins de journaux lorsqu’ils vantaient des traitements réellement dangereux et inefficaces, tels le Remdesevir sans mentionner leurs liens d’intérêt comme la loi les y oblige.

La liberté ne persiste que si on la défend. Montrons-nous dignes de nos aïeux !

Des voix s’élèvent dans le monde

Pendant que le gouvernement tente de réhabiliter la milivudes et les délateurs de dérives sectaires et les complotistes, assimilés de fait à la dénonciation des mensonges de la crise covid.

En voici une de qualité :



(vidéo sous-titrée en français)

Écoutez l’émission de Ivan Rioufol sur CNews sur le scandale sanitaire que nous avons vécu :

https://t.me/Canal_Hippocrate/188 vidéo interdite et supprimée par YouEnTube

La voici complète et téléchargeable

Enfin l’énorme scandale de la gestion criminelle de cette crise COVID explose sur CNEWS grâce à Ivan Rioufol :
– ces « vaccins » expérimentaux sont inefficaces et dangereux ;
– il existe des traitements efficaces et inoffensifs qui sont interdits ;
– les scientifiques Lanceurs d’Alertes sont tous censurés par les merdias.
Partagez !

SOUTENONS MARTINE WONNER

En urgence, allez à Nancy soutenir l’ex-députée Martine Wonner psychiatre, un des rares députés à avoir élevé la voix dans l’hémicycle 4 contre la dictature sanitaire qui s’aggravait de jour en jour pendant sa présence à l’assemblée, et malgré les insultes et le mépris réitéré du ministre de la Santé, O. Véran.

[En réponse à 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Le VICE-PRÉSIDENT NATIONAL DE L’UNION NATIONAL DES PORTE – DRAPEAUX DE FRANCE 🇫🇷
À reçu Mandat De soutenir
L’ancienne DÉPUTÉE.
Martine. WONNER. Dans son combat. Pour le rétablissement
De la vérité.
Une députée. Dynamique
Véridique
Doit être. Rétablie. Dans tous Ses Droits.
Liberté 🗽 chérie

Francis Volk
Commandeur de L’Ordre National
Du Mérite. À titre militaire 💥🇫🇷🪂🪂🪂🇫🇷🇫🇷

[Transféré de 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Bonjour à toutes et tous, je vous mets en pièce jointe un courrier que vous pouvez envoyer par mail (en l’adressant de votre part dans le courrier) à la chambre disciplinaire régionale de l’ordre des médecins de Nancy en soutien au Dr Martine Wonner qui y est convoquée ce vendredi 4/11 à 9 h 30. L’association Unic67 a déjà envoyé ce courrier par la poste ainsi que par mail à :
LORRAINE@CROM.MEDECIN.FR
Soutenons notre ancienne députée qui s’est battue pour notre liberté d’expression, pour nos droits, etc., soutenons le Docteur, soutenons la femme… Merci en tout cas de tout ce que vous avez fait pour nous. Alors n’hésitez pas, le courrier est pré-fait et ne vous prendra pas beaucoup de temps, chaque grain de sable est important merci. Cordialement. Secrétaire Unic67.

SOUTENONS JULIEN DEVILLEGER

Pour rappel qui est le cardiologue, initiateur de la pétition au Sénat sur les effets secondaires des injections géniques 
https://t.me/c/1435630116/59347
@JaneOfArc6 #JeSoutiensDrDevilleger Cardiologue convoqué au commissariat pour suspicion d’exercice de la médecine sans respect de l’obligation vaccinale… le 8 novembre 2022

Ex-URSS ? Non, la France !





Médecine du Sens

[Source : conversationpapillon.com via Nathalie Brochard
Fondatrice de Acméditions et partenaire de Conversation Papillon.]

Donnez du sens aux maladies et aux événements de votre vie

Microformation gratuite avec le Dr Olivier Soulier

Médecin, acupuncteur, homéopathe et créateur de la Médecine du Sens

[NDLR Le contenu de l’article est légèrement adapté pour être présenté ici.]

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Le contenu présenté ne constitue pas un enseignement médical, il parle de philosophie, de psychologie et de courant de pensées de la santé. Il est partagé à titre informatif et ne peut se substituer à un diagnostic effectué par un médecin ou un professionnel de santé. Soignez-vous toujours en accord avec votre médecin et les données acquises de la science.

Vidéo 1

Comprendre la maladie pour aider à guérir

La maladie est l’occasion de rentrer dans le sens des choses. Elle survient dans notre vie pour nous dire «Là, il y a quelque chose qui ne vas pas !» Elle survient pour nous informer que nous sommes en perte de cohérence.

Il est important dans la médecine de faire le lien entre la somatisation et le psychique.

La maladie ne survient pas par hasard. Faites l’exercice du fil imaginaire (PDF à télécharger) et vous verrez comment certaines situations sont survenues dans votre vie pour vous parler de «vous», pour vous aider à conscientiser un aspect de vous que vous ignorez.

Vidéo 2

Relier le corps à l’esprit par la conscience

Pourquoi je suis malade? Que dois-je faire pour rester en bonne santé? Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la somatisation n’est pas forcément une mauvaise chose. 

Notre corps exerce une veille permanente. Il est le témoin de la manière dont nous nous accomplissons dans la vie. Avant que la maladie survienne, il nous alerte par de nombreux messages. C’est le signal que quelque chose ne va pas. Que nous sommes en perte de sens. Avant que la masse des incohérences ne s’accumule, il est temps de réagir. Mais comment comprendre et interpréter ce message?

Toute maladie a une fonction d’apprentissage. Elle nous invite aussi à se poser cette question:  sommes-nous la prolongation de l’histoire de nos parents ou plutôt l’auteur de notre propre vie? C’est la porte du transgénérationnel.

Vidéo 3

Le rôle de la psychologie dans le processus de guérison

Le Docteur Soulier évoque ici de nombreux exemples de pathologies, des cas concrets qui nous permettront de faire des liens avec nos propres maladies.

On remarquera qu’il y a trois types de maladies qui ont chacune différentes fonctions. Les maladies aiguës chez les enfants par exemple sont nécessaires pour favoriser son immunité et lui apprendre le monde. Vous découvrirez aussi comment certaines médecines, comme l’homéopathie, la médecine traditionnelle chinoise ou ayurvédique sont d’un apport considérable dans les maladies chroniques et dégénératives.

La santé, c’est la joie d’avancer dans la fluidité et l’acceptation des choses, nous expliquait Spinoza. C’est lorsque nous comprenons, lorsque le sens arrive à notre conscience, que nous pourrons transformer notre vie.

Vidéo 4 | Jeudi 3 novembre  

Vivre en santé et s’accomplir !

Dans cette quatrième et dernière vidéo, le Docteur Olivier Soulier résume ce qu’est la Médecine du Sens et jusqu’où sa découverte peut nous mener. On parlera d’inhibition, d’amour tout autant que de neurosciences. On fera le lien entre émotions et pensées. D’imaginaire et d’intuition… Du lien entre le corps et l’esprit…

Il prendra aussi un moment pour présenter la grande formation en Médecine du Sens pour les personnes qui désirent aller encore plus loin et poursuivre en sa compagnie au cours des mois à venir.

Pratiquer la «Médecine du Sens» c’est bien plus que comprendre le sens des maladies, c’est arriver à donner un sens aux événements dans l’ouverture de la conscience, c’est avancer sur le chemin de la transformation et l’accomplissement de soi.

À propos du Dr Olivier Soulier…

Olivier Soulier est à l’origine en France, depuis plus de 35 ans, du mouvement sur la compréhension du sens des maladies et des événements de notre existence. Depuis, il ne cesse de développer cette analyse dans une vision symbolique plus large, qu’ il applique à des domaines variés comme les microbes, les hormones, l’embryologie, les dents, les désirs alimentaires, les maladies et de tout ce qui fait le quotidien de notre vie.

Il enseigne et donne sa première conférence « A quoi servent les maladies » dès 1988. Son travail, son intuition, ses compétences lui permettent de découvrir de nombreux nouveaux codes.

La spécificité d’Olivier Soulier est d’aller dans l’infiniment petit, de déchiffrer l’embryologie comme un livre nous révélant l’essence de l’infiniment grand. Cette lecture originale permet d’accéder aux clés de compréhension des codes biologiques et symboliques. Enseignée avec le cœur, cette connaissance donne accès aux bases physiques et psychiques de l’être humain, pour approcher le sens de la maladie, le sens de la vie. Elle peut devenir source de guérison.

Les notions médicales que propose Olivier Soulier s’inscrivent à la fois dans une réalité scientifique et symbolique. Sa vision reste très concrète et s’est enrichie d’une pratique régulière en cabinet. Il utilise une vision ouverte de la médecine et s’appuie en même temps sur de solides bases psychologiques et scientifiques. Il sait rendre ces aspects facilement abordables pour tous, par l’utilisation d’exemples et de formes imagées simples.

Ses étudiants témoignent…

Le Dr Olivier Soulier a offert plusieurs conférences, ateliers et  formations sur les ondes de Conversation Papillon. Voici ce que les participants nous ont partagé à la suite à leur expérience…

« Le Docteur Soulier est un être extraordinaire, je lis tout ce qu’il écrit, je l’écoute chaque fois que cela m’est possible, quelle intelligence et quelle intelligence du cœur… merci Docteur. »

Josiane Girardin 

« Je rêve que votre discours puisse être porté et entendu par le « grand » public »

Muriel 

« Conférence très enrichissante et présentée avec grande clarté et gentillesse. Grand merci Dr Soulier et à toute l’équipe. »

Gayatri 

« Merci pour la pertinence de cette conférence, tellement aidante à plus d’un titre. Chacun peut trouver un mot, une citation, une sensation qui résonne en son fort intérieur. Merci infiniment pour ces cadeaux, véritable manifestation d’AMOUR. »

Patricia

« La médecine du bon sens même ! J’adore tout ce que dit Olivier Soulier, c’est tellement logiquevivant, la Vie est intelligence pure, la décoder comme il le fait est pure jouissance! »

Enora

« Merci pour ce beau moment de partage qui donne un éclairage nouveau sur la vie. »

Patricia R

« Excellent ! Tellement juste et sage ! Le titre de sa conférence dit tout. Il s’agit d’une belle invitation au retour à SOI, à l’écoute de soi et à la connexion à notre unité, notre harmonie et en deça de tout, à la Source. TOUT est en nous. En écoutant Olivier, on revient à la vision juste de ce que veut dire « être en santé ». Merci !!! »

Georges

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France — La gestion criminelle de la crise Covid exposée sur une chaîne mainstream






Business de l’avortement (la face cachée de l’iceberg)

[Source : CitoiCitoyen]

Les fœtus humains pour exhausteurs de goût, pour les aliments et les boissons…!?
Les fœtus humains pour des vaccins !?




[Source : iatranshumanisme.com]

Le Figaro — États-Unis : le planning familial accusé de trafic d’organes de fœtus

Une responsable du Planning familial américain reconnaît en caméra cachée revendre des morceaux de fœtus (sous-titrage anglais).

Au bout de trois ans d’enquête, le Center for Medical Progress dévoile les pratiques réelles de la Planned Parenthood Federation (PPF), équivalent américain du planning familial.

Cette vidéo, filmée en caméra cachée lors d’un repas d’affaires, est hélas éloquente : on y voit Deborah Nucatola, directrice des services médicaux, détailler la revente de « pièces » d’embryons humains, non pas incinérés tels des « déchets médicaux », mais bel et bien revendus comme des organes humains. Un trafic d’organes de fœtus issus d’avortements tardifs, ni plus ni moins. Dans cette vidéo, le Dr Deborah Nucatola décrit en détail comment le Planned Parenthood vend des parties du corps de fœtus avortés et reconnaît avoir recours à l’avortement par naissance partielle, pour mieux récupérer des organes et des corps intacts, et ainsi être en mesure de répondre à la demande. Sa description de ses actes médicaux glace le sang : « Nous sommes très bons pour récupérer le cœur, les poumons, les reins intacts », explique-t-elle. La procédure décrite, de guidage par ultra-son pour manipuler le fœtus, est par ailleurs considérée comme illégale aux États-Unis.

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«Beaucoup de gens veulent des cœurs. Hier, on m’a demandé des poumons. Certains d’entre eux veulent des extrémités. Ça, c’est facile. Je ne sais pas ce qu’ils en font, je suppose qu’ils veulent du muscle.»

Le médecin donne également des précisions sur le prix de vente de ces organes qui s’écouleraient de « 30 à 100 dollars le spécimen ». Aux États-Unis, le commerce de tissus fœtaux humains constitue un crime fédéral punissable de 10 ans de prison et de 500 000 dollars d’amende. S’ajoute également l’homicide, car le fait de tuer des bébés « intacts » ayant survécu aux avortements par naissance partielle est placé au même niveau que le meurtre.

Les réactions des autorités ont été immédiates, notamment de la part du gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal qui demande l’ouverture d’une enquête conjointe du FBI et du département de la santé et des hôpitaux sur les pratiques du planning familial.

[Voir la suite sur :] Le Figaro

Le Dr Gatter est montrée, dans cette nouvelle vidéo, en pleine négociation sur le prix des organes vendus…




MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE

[Source : Impellobel]

Un documentaire de long métrage réalisé par Sophie Robert

Qu’est-ce que le transgenrisme ? Sommes-nous face à une épidémie de transidentité ? D’où vient-elle et comment expliquer ce phénomène ? Quelles en sont les conséquences ?

« Mauvais genre – une épidémie mondiale » le premier documentaire critique de l’idéologie du genre en langue française.

[Voir aussi :
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

Ce film est le premier chapitre de la série « Mauvais genre ».
À venir : « MAUVAIS GENRE chapitre 2 UN SCANDALE SANITAIRE ».
Vous pouvez aider Sophie Robert à finaliser la post production du deuxième chapitre « Un scandale sanitaire » en contribuant ici : https://www.dragonbleutv.com/shop/

Source (YT): Dragon Bleu TV