France — Fréjus : soignants suspendus, venez témoigner

[Source : nice-provence.info]

Fréjus : soignants suspendus, venez témoigner

Catherine Bouissou - Livre - Achève soignants

Catherine Boussou, auteure du livre « On achève bien les soignants », participera au ciné-débat annoncé ce mardi 29 novembre 2022 à 20 heures au cinema Le Vox à Fréjus lors de la projection du film « Suspendus. Des soignants entre deux mondes ».



Tarif : 6 € et 5 € pour Var Estérel et Aretem 83.

Venez nombreux. Venez témoigner. Venez les soutenir.




NON au retour du Passeport vaccinal !

[Source : leslignesbougent.org]

Déjà plus de 130 280 signatures

Par Florent Cavaler

Destinataire(s) : Emmanuel Macron, Président de la République

Madame, Monsieur, 

Les 15 et 16 novembre dernier, le G20 a eu lieu à Bali.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))

Emmanuel Macron s’y est rendu pour représenter la France. 

Les chefs d’Etat ont discuté pendant deux jours des grandes orientations qu’ils souhaitent pour le monde. 

Ils ont ainsi signé une déclaration commune.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))

L’article 23 de ce document officiel précise que les Etats du G20 soutiennent la création d’une identité numérique internationale vaccinale pour l’ensemble des citoyens du monde.  

Le texte précise même que ce passeport vaccinal numérique peut être fait à partir des pass vaccinaux nationaux créés lors de l’épidémie de COVID-19.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))(([]2] https://sociable.co/business/g20-who-vaccine-passports-digital-identity-b20/))

Tout cela doit se faire en prévision des pandémies futures. 

“C’est pour votre bien” 

L’information a immédiatement été confirmée par un communiqué de la Maison Blanche qui dit ceci :

“ Nous soutenons la poursuite du dialogue international et de la collaboration sur la mise en place de réseaux mondiaux de confiance en matière de santé numérique dans le cadre des efforts visant à renforcer la prévention et la réponse aux futures pandémies, qui devraient capitaliser et s’appuyer sur le succès des normes existantes et des certificats numériques COVID-19 ”.(([3] https://juste-milieu.fr/g20-le-passeport-vaccinal-bientot-en-place-dans-le-monde-entier/))

Si Joe Biden a prévu d’imposer ce pass vaccinal aux Américains, vous pouvez être certains qu’Emmanuel Macron fera exactement la même chose en France. 

Vous serez soumis au pass vaccinal international à moins que vous ne vous y opposiez. 

Ensemble, OPPOSONS-NOUS au projet de passeport vaccinal international !

Sans le passeport vaccinal international, vous ne pourrez plus :  

  • voyager d’un pays à l’autre ;
  • accéder à certains espaces internationaux : gares, aéroports, ambassades, etc. 
  • voter dans le pays où vous résidez si ce n’est pas votre pays d’origine.

Et ce n’est qu’un début. 

Avec un tel pass, votre accès aux magasins, aux restaurants, aux centres sportifs, aux hôpitaux, ou à l’ensemble des services culturels et de santé pourraient être remis en cause. 

Vous serez bannis du monde !

C’est le retour du pass sanitaire, en PIRE. 

Pire parce qu’il s’appliquerait partout dans le monde et pour un nombre illimité de situations. 

Votre liberté serait totalement entre les mains des dirigeants internationaux. 

C’est juste INACCEPTABLE

Nous devons dire NON pour nous-mêmes et pour nos enfants et petits-enfants. 

Les enfants de demain ne peuvent pas grandir entre des grilles. 

Ils ne peuvent pas vivre dans l’effroi constant des pandémies à venir.

Rappelez-vous du mur de Berlin !

Il est tombé alors que personne n’y croyait. 

Là aussi, faisons tomber le mur du pass vaccinal obligatoire. 

Disons NON à la volonté de toute puissance de nos dirigeants

Si nous ne le faisons pas maintenant, après il sera trop tard. 

Vous ne pourrez plus donner votre avis. 

Un grand merci pour votre soutien. 

Je signe la pétition

Sources



Vélocité des Vampires au Pouvoir

Par Lucien SA Oulahbib

Il faudrait avoir les poings du vrai Hulk (aujourd’hui effacé) ou tout le moins de King Kong et à défaut Tyson, Akim, Zembla, Blek le Rock (ce rebelle qui aura réussi, lui) pour briser la table des immondices qui amoncellent (plusieurs dizaines de milliers d’euros par mois pour les plus à plaindre) l’argent maudit de leur corruption salace (« les conflits d’intérêts ») et des substances vénéneuses (je te casse une jambe et te fournis les béquilles) permettant à leurs sbires vampirisés disséminés dans les tentacules du Pouvoir de continuer leur mascarade démentielle, monstrueuse, tous ces pauvres petits porte-flingues en jabots et jarretelles folles et mignons iels dessinés façon Prohibition made in Al Capone et fête de la musique jusqu’au bout de la nuit sous les plafonds dorés de la République française, cette farce de plus en plus bananière mais cybernétique.

Combien de temps encore pour un tel carnaval macabre à l’ombre en fleurs du millefeuille étatique  ?… Nul ne le sait sans doute.

Mais comment ces officines (sau) poudrées et gavées jusqu’à la moelle de subventions et donations diverses effectuées par les nouveaux oligarques de la finance facile (comme il existe une easy listening) empruntant à qui mieux mieux puisque garantis par des banques complices elles-mêmes soutenues par les banques centrales qui leur rachètent les titres émis (alors que le moindre prêt du « sans-dent » est épluché au centuple ou alors octroyé chichement pour un tiers selon les parrainages pour donner le change), comment ces arrivistes nouveaux riches à la recherche de danseuses adéquates (ONG) pour les blanchir dans les Salons faisandés, comment toutes ces Méduses fallacieuses (mais au visage d’ange) peuvent-elles encore pérorer, punir, exclure ?…

Alors que le nombre d’injectés hospitalisés croît bien plus vite que le PIB promis par M. Col Roulé, et ce non pas parce qu’il y a bien plus d’injectés que de non-injectés, mais tout simplement parce que cela ne marche pas, même si cela ne se voit pas pour les Tartufes VIP comme le remarque cet éminent médecin M. Gayet (à 53:04) et qu’au fond l’image d’une médecine égalitaire s’effondre, les gueux remplacent les rats de labo qu’il s’agira aussi de parquer dans leur cage à métaverse (C02 en renfort du Covid-19), les puissants continuant eux leur mascarade multiforme décrite plus haut (« je décale, je décale, je décale ») jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cale du tout : le gigantesque radeau de la méduse peut alors s’élancer mais plutôt façon Titanic, aidé en cela par les nouveaux clowns tueurs de service tous ces pseudo-révolutionnaires en chambre, plastique et papier mâché, contents par exemple de voter en priorité une constitutionnalisation de l’IVG, regrettant sans doute que leurs mères ne l’aient pas effectuées. Ils ne seraient en effet pas là pour systématiser une mesure qui devait rester exceptionnelle et qu’ils brandissent fièrement pour acter l’effondrement démographique du méchant blanc hétérosexuel complotiste en puissance au profit du gentil noir d’Afrique (pas des DOM-TOM trop durs à cuire) qu’il convient de déverser ici et là selon les exigences méta de la cuisine électorale locale (la France et ses 400 kebabs).

Et tout ce « marais » de l’extrême centre (droite comprise) à l’extrême gauche (ultras en « avant-garde ») tout pétri de pudibonderies « anticomplotistes », confié aux émissions propagandistes (bien plus nocives que celles de la 5 G) lève donc haut le menton, ne rabat pas du tout son caquet malgré les démentis cinglants du Réel, bien au contraire, puisqu’il punit « éthiquement » les médecins qui ont soigné, ainsi que les soignants ayant refusé de s’injecter un produit qui ne marche pas et même tue.

Est-ce aussi cette « éthique » qui valide également ces autres énormités statistiques se faisant passer pour de « la » science alors que cela reste des « estimations » concernant par exemple cette impérieuse élimination d’un CO2 qui sans son émission verrait détruire la flore et la faune, la prolifération des déserts, est-ce d’ailleurs l’excès de CO2 qui aurait créé le Sahara, le désert de Gobi, le Sinaï ?… Oui-da, c’est la même moraline…

Mais alors, veut-on vraiment revenir à cette époque post glaciaire où dit-on le froid et les bêtes féroces dominaient si violemment qu’ils empêchaient de se réchauffer et se nourrir convenablement tant il était difficile de faire pousser et élever quelque chose comme nous le relatent les contes et archives ?… L’on se plaint maintenant d’avoir des étés indiens courant jusqu’au 15 novembre en donnant comme exemples nocifs des inondations au Pakistan et au Bangladesh alors qu’elles ont toujours existé et que ce dernier pays a fait de remarquables progrès dans leur canalisation comme le remarque l’éminente climatologue Judith Curry en autres choses.

En fait, toute la lumpen-intelligentsia et autres « naintellectuels » (selon la nouvelle formule judicieuse) issus du marxisme-léninisme et du catholicisme congelé (se prenant aussi pour César au lieu de se contenter d’honorer la révélation du divin) toute cette faune bigarrée voilant ainsi sa fin de course se sait de plus en plus remplacée par l’intelligence artificielle et à terme par les cyborgs « à visage humain » (ou animal : tête de taureau ou de moustique).

Elle cherche donc bien sûr à se recycler, pour s’assurer une belle retraite (de Russie à défaut d’Ukraine…) dans le millénarisme, le catastrophisme, le misérabilisme, se transformant en sorciers et sorcières jetant du haut de leurs citadelles assiégées des boules de sorts faits de mots fétiches pétris d’histoire qu’une huile méta permettra d’enflammer ces boules de suif faites en suies égotistes et affects esseulés, tous ces jeunes-vieux rabougris en un décervelage massif soldé leur ayant enlevé toute logique et raison qui tenait encore un peu debout, toute leur viande dans des habits idéologiques présentables aujourd’hui en lambeaux gringes.

Une belle hécatombe (qui aurait comblé le Comte Dracula psalmodiant les Chants de Maldoror) malgré les resucées trop cuites d’un gaullo-communisme à la sauce marxo-aronienne version chic (dernier numéro de la revue Commentaire) se drapant dans des toges de sénateurs romains qui ressemblent de plus en plus plutôt à des qamis sortis tout droit du Soumission de Houellebecq en vue des « accommodements raisonnables » à l’anglo-saxonne version Hidalgo ou comment manipuler le terme « patrimoine » de telle sorte que tel le gonflement de la grenouille UE ce terme peut absorber tous ceux qui savent faire la différence entre celui qui devient une pièce du puzzle national et celui qui envisage de le dessiner à son seul profit.

Comment se débarrasser d’un tel fléau au Pouvoir ? Déjà en refusant l’ankylose de son endormissement, ensuite en ne cherchant pas à leur plaire, donnant par exemple des gages à leurs sortilèges se justifiant ainsi alors qu’ils sont eux-mêmes ce qu’ils d-énoncent : un amas de séditieux en pleine cavalerie pour éviter la banqueroute ; mais comme le réel s’effondre sous leur galop, ils accélèrent, à coup de cravaches (punitions et exclusions à tout va) croyant ainsi y échapper…




France — Les non-vaccinés sous-estimés par le gouvernement

[Source : Décoder l’éco]




Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19

[Source : aimsib.org]

Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.  

Par Emma Kahn et Hélène Banoun

(Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)

Résumé :
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.
Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.
Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.
Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Introduction

Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prionL’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Principe des vaccins utilisés dans les pays occidentaux

Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier (2) : il prévoyait des effets délétères de l’infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2. Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n’est l’unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-2 (3)(4)(5)(6)(7), donc les EIs des vaccins vont être en rapport avec la toxicité de la spike. (8)

  • Les plus utilisés sont les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna qui injectent le code modifié de la protéine spike de surface du virus et transforment ainsi le vacciné en usine à spike toxique.
  • Les vaccins à adénovirus modifié injectent de l’ADN qui est aussi le code de la spike (Astra Zeneca, Janssen)
  • Les vaccins inactivés type Valneva contiennent la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé chimiquement et donc contiennent la spike ainsi qu’un adjuvant jamais expérimenté.
  • Les vaccins dits classiques sont constitués de la protéine spike injectée avec un adjuvant (qui est en général nouveau ou ayant prouvé sa toxicité) : Novavax, Sanofi, Hipra, …

Donc théoriquement, on injecte une quantité fixe de spike avec ces vaccins « classiques » et on devrait avoir moins d’EI qu’avec l’usine à spike constituée par les vaccins ARN ou ADN mais en fait les mêmes EIs sont détectés et semble-t-il en même quantité, ceci pourrait être dû aux adjuvants qui stimulent exagérément la réaction immunitaire à cette spike déjà capable de déréguler le système Immunitaire ; il se peut qu’intervienne ici le mécanisme des anticorps anti-idiotypes.

En plus de la toxicité de la spike, il faut aussi signaler les phénomènes de facilitation de l’infection par le vaccin qui sont bien connus et ont été soulignés dès le début 2020 par les experts officiels : ils sont spécialement documentés pour les vaccins anti-coronavirus chez les animaux (au cours d’essai clinique et en utilisation commerciale ; et en post-commercialisation chez l’homme pour d’autres virus, par exemple le vaccin contre la dengue).

Les EIs du vaccin reproduisent les pathologies associées à la COVID-19

Risques toxiques comparés de la spike virale et de la spike vaccinale

Les promoteurs de la vaccination ont tendance à exagérer la pathogénicité du virus pour accroître le bénéfice risque du vaccin : ils oublient que toutes les personnes qui rencontrent le virus ne développent pas de COVID-19 sévère, loin de là, et que, par contre, tous les vaccinés sont susceptibles de fabriquer de grandes quantités de spike toxique à l’intérieur de tout l’organisme, voir la conférence des pathologistes allemands, les Prs Arne Burkhardt et Walter Lang (9). Lors d’une infection COVID-19, les effets systémiques du SARS-CoV-2 ne se manifestent qu’en cas de maladie symptomatique sévère et pas chez les personnes infectées légèrement : celles-ci éliminent le virus au niveau des voies respiratoires supérieures grâce à leur immunité innée et ne permettent pas au virus de se multiplier dans l’organisme et donc d’y répandre la spike toxique.(10)

Pourquoi les enfants et beaucoup d’adultes ne sont pas atteints par la COVID-19 ? Le rôle de la réponse immunitaire de l’hôte y est prépondérante. (11) Il faut aussi insister sur les différences d’exposition à la spike toxique selon la gravité de l’infection COVD-19, d’une part, et en comparaison avec la vaccination, d’autre part. Et en effet chez les personnes infectées mais n’ayant pas développé de Covid-19 sévère, on n’observe pas les pathologies associées à la COVID-19. Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement.

Une étude de cohorte prospective et longitudinale a permis de suivre les jeunes membres des Forces armées suisses (FAS). Elle a permis de quantifier l’impact de l’infection par le SRAS-CoV-2 sur la santé cardiovasculaire, pulmonaire, neurologique, rénale, ophtalmologique, reproductive masculine, psychologique et générale, en plus des paramètres de laboratoire. Il n’y avait pas de différences significatives dans les scores du questionnaire psychosocial, les résultats ophtalmologiques, la qualité ou la motilité des spermatozoïdes entre les témoins et les personnes infectées plus de 6 mois auparavant par le SRAS-CoV-2.
Conclusions : Les personnes jeunes, auparavant en bonne santé, se remettent largement d’une infection légère et l’impact multi-système de l’infection est moindre que celui observé chez les patients plus âgés ou hospitalisés. Ces résultats peuvent être extrapolés au personnel de santé et à d’autres jeunes adultes en activité. (12)

Malgré les altérations de la substance blanche du cerveau observées dans une autre étude, une infection légère à modérée par le SRAS-CoV-2 n’était pas associée à une dégradation des fonctions cognitives au cours de la première année suivant la guérison. (13)

ACE et le SRA

Le récepteur ACE2 constitue l’un des maillons du système rénine angiotensine (SRA), un système hormonal essentiel à notre organisme. Le SARS2 suractive le SRA. Le SRA est considéré comme l’un des principaux régulateurs de la physiologie cardiovasculaire en contrôlant l’homéostasie du sodium, le remodelage cardiovasculaire, le maintien du tonus vasculaire et la régulation de la pression artérielle.

En occupant ACE2, le virus de la Covid l’empêcherait de jouer correctement son rôle de régulateur de l’angiotensine 2, un peptide (courte chaine d’acide aminés) qui arriverait ainsi trop massivement sur le récepteur suivant du SRA, AT1R, et pourrait donc susciter des réactions en chaine impactant de nombreux organes, notamment au niveau inflammatoire. La suractivation du SRA provoque également l’induction de signalisations profibrotiques, proapoptotiques et pro-inflammatoires dans les poumons et d’autres organes. Ce mécanisme se caractérise par une tempête massive de cytokines, une hypercoagulation, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et de multiples lésions organiques ultérieures.

Le récepteur ACE2 est essentiel pour l’expression des transporteurs d’acides aminés dans l’intestin : il module l’immunité innée et influence la composition du microbiote intestinal.(14) Dans cet article de 2020, JM Sabatier et ses coauteurs avaient ainsi prévu les maladies liées à la Covid et que l’on retrouve en tant qu’EI des vaccins :
– Hypertension artérielle
– Athérosclérose
– Dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque
– Hypertrophie cardiaque
– Fibrose cardiaque
– Maladie rénale chronique
– Fibrose pulmonaire idiopathique
– Hypertension artérielle pulmonaire
– Lésions pulmonaires aiguës
– Diabète de type 2 / résistance à l’insuline intolérance au glucose / action sur le métabolisme du glucose
– Anosmie / perte d’odorat
– Agueusie / perte de goût
– Inflammation auto-immune du système nerveux central
– Diarrhée
– Glaucome / action sur l’humeur aqueuse
– Thrombose / coagulopathie
– Lésions cutanées / dermatite
– Rétinopathie diabétique / action sur l’humeur aqueuse
– Dysfonctionnement du métabolisme lipidique
– Dysfonctionnement de l’immunité / différenciation et activation des cellules immunitaires
– Maladies auto-immunes (par exemples, sclérose-en-plaques, poly-neuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-Fisher)
– Cancer
– Fibrose hépatique / hypertension portale / cirrhose
– Lésion testiculaire

Mise en garde contre l’ADE

Comme je l’écrivais en mai 2020 (15), tous les experts s’accordaient déjà en 2020 :
–  » Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».
– « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves ».

L’ADE est un cas particulier de ce qui peut se produire lorsque des taux faibles et non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors d’une réinfection, des anticorps en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps se fixent alors au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée du virus dans la cellule et augmentant par la suite l’infectivité du virus.

On ne peut pas différencier une manifestation d’ADE d’une infection virale sans ADE. Donc, quand des maladies ou de décès se produisent dans un court délai après vaccination, on ne peut pas exclure le vaccin comme cause proximale. L’ADE a été démontré dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003 sur les animaux. Les données publiées concernant les vaccins anti-COVID-19 montrent la facilitation et l’aggravation de l’infection juste après l’injection, aussi bien sur les essais cliniques que dans les études observationnelles post-commercialisation et ceci avec tous les types de vaccins (ARN, adenovirus, virus inactivé et vaccin recombinant).

Le mécanisme biologique de l’ADE après infection par le virus a été démontré : les anticorps facilitants sont trouvés chez les patients atteints de COVID-19 graves. (16) Avec l’évolution du virus et l’apparition successive des variants du SARS-CoV-2, les épitopes facilitants sont conservés et les épitopes neutralisants mutent et permettent l’échappement des variants aux anticorps neutralisants, ceci renforçant la possibilité d’ADE après infection ou vaccination contre la souche originelle. (17) Les vaccins ARNm induisent des anticorps plus fortement capables d’interagir par leur fragments Fc que ceux induits par l’infection naturelle : ces anticorps vaccinaux seraient susceptibles de provoquer l’ADE. (18)

Il a été montré, par ailleurs, que les sérums de patients vaccinés par le vaccin Pfizer perdent leur activité neutralisante et acquièrent des propriétés facilitant l’infection avec des variants Delta. (19)
Très récemment, un nouvel article japonais montre que certains sérums provenant de personnes vaccinées avec le vaccin à ARNm ciblant la protéine S ont présenté un potentiel d’ADE contre l’infection par la souche originale. Tous les sérums examinés, y compris les sérums présentant une activité neutralisante contre la souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2, n’ont présenté aucune activité neutralisante contre Omicron. Au contraire, une certaine activité ADE a été observée dans certains sérums. (20) Un article de S Seneff et G Nigh détaillait en 2021 les autres mécanismes biologiques pouvant expliquer les effets indésirables des vaccins à ARNm (21), voir l’analyse en français (22)

L’ARNm des vaccins a été modifié par rapport à celui du virus : il est plus résistant à la dégradation, il code pour une protéine spike modifiée (stabilisée en conformation de pré-fusion ce qui va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; cette stabilisation repose sur une mutation proline mais cette proline augmente sa capacité de liaison à l’ACE2), l’expression de la protéine est augmentée par la proportion augmentée de nucléotides CG dans l’ARN par rapport à un ARN viral classique.

Anaphylaxie et auto-immunité

Le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG).
Certaines protéines virales possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3. Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système ; d’autres protéines pourraient être associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques. L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid mais les asymptomatiques infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné et éliminent le virus sans produire beaucoup d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection IM. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent, de ce fait, faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires.

Des maladies auto-immunes ont aussi été annoncées par d’autres études sur le mimétisme moléculaire : il existe des similitudes entre les protéines du virus SARS-CoV-2 et les protéines humaines. Par exemple, 29 pentapeptides sont communs entre la spike et la protéine cardiaque Titin, dont les altérations sont liées à la mort subite par arrêt cardiaque. (23)

Des auto-anticorps ont été trouvés chez les patients Covid (anti-nucléaires, anti-coagulant du lupus, anti-IFN, anti-MDA5 associés à la dermatomyosite amyopathique. (24) Le mimétisme moléculaire avec les protéines de choc thermique pourrait expliquer les syndromes de Guillain-Barré (25). Il existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et certaines protéines neuronales humaines qui font craindre des maladies auto-immunes. (26)

Il existe un mimétisme peptidique massif entre l’homme et la souris, c’est-à-dire des organismes qui subissent des conséquences pathologiques à la suite d’une infection par la COVID-19. Au contraire, aucun peptide commun ou un nombre très faible de peptides communs sont présents chez les mammifères qui n’ont pas de séquelles pathologiques majeures une fois infectés par la COVID-19 (27).

Pour anticiper les EIs des vaccins, il fallait aussi s’intéresser à la biodistribution des LNP (nanoparticules lipidiques) vectrices de l’ARNm des vaccins. D’après Seneff et Nigh, on savait par des études sur un vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement. D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. (Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé).

Le Dr Robert W. Malone avait expliqué que cette bio-distribution faisait craindre des problèmes de fertilité et de maladies du sang (28).

Ovaires
Deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux, la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

Testicules
L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules. Le vaccin Pfizer diminue la concentration et la mobilité des spermatozoïdes dans le sperme (29) et, contrairement à la conclusion des auteurs, si on se réfère aux résultats du tableau 2 de cette publication, il est clair que cette réduction n’est pas transitoire pour tous les hommes : elle persiste 7 mois après la vaccination.

Nouvel article de 2022 de JM Sabatier sur l’effet de la spike sur la fertilité (30) :

L’ACE2 est impliquée dans la régulation des systèmes reproducteurs masculin et féminin, ce qui suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 et le dysfonctionnement associé du SRA pourraient affecter la reproduction.

Les patients Covid sévères ont des taux d’hormones sexuelles modifiés. Concernant la reproduction chez l’homme, le SRA et l’ACE2 régulent la stéroïdogeneèse, la production de testostérone et la spermatogenèse dans le testicule. L’ACE2 est largement exprimée dans l’ovaire, l’utérus, le vagin et le placenta. L’ACE2 contrôle le développement folliculaire et l’ovulation, ainsi que l’angiogenèse et la dégénérescence lutéale, de même que les altérations du tissu endométrial et le développement de l’embryon. L’ensemble de ces résultats suggère que le système reproducteur féminin, qui exprime l’ACE2, est vulnérable à l’infection par le SRAS-CoV-2, et que la fertilité pourrait donc être affectée. L’expression dynamique du SRA dans les cellules stromales et épithéliales de l’endomètre au cours du cycle pourrait expliquer les modifications du cycle menstruel observées pendant l’infection par le SRAS-CoV-2. La spike vaccinale pourrait reproduire ces altérations du métabolisme reproducteur.

Interaction de la spike avec les récepteurs aux œstrogènes

Des données de bioinformatique ainsi que l’étude de hamsters infectés ont montré que la spike se lie au récepteur des œstrogènes. Les œstrogènes sont responsables de la maturation et du fonctionnement du système reproducteur féminin mais jouent aussi un rôle immunitaire, en particulier dans les voies de signalement utilisées par les macrophages (intervenant dans l’immunité innée anti-infectieuse).

Ceci pourrait aussi expliquer la prédominance de la maladie COVID-19 chez les hommes et l’effet protecteur rapporté d’un traitement anti-oestrogénique sur la prévalence de COVID-19 chez les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ou du sein. (31)

Covid et grossesse, rappel

Aucune des complications obstétriques, n’a montré de différence statistiquement significative entre les femmes enceintes SARS-CoV-2-positives et SARS-CoV-2-négatives admises à l’accouchement. notamment l’anémie, le diabète gestationnel, l’hypertension gravidique, la cholestase intrahépatique, l’hémorragie ante-partum et l’hémorragie post-partum. (32)

À propos de la question de la vaccination des femmes enceintes contre la Covid-19, des chercheurs néo-zélandais ont réinterprété les données d’un article du CDC et montré que l’incidence cumulée des avortements spontanés chez les femmes vaccinées avant 20 semaines de gestation est 7 à 8 fois supérieure à la moyenne habituellement observée, mais ils ont dû retirer leur article sous la pression (33).

Moelle osseuse : leucémies, anémies

Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes.

Purpura thrombopénique
Les LNPs se concentrent dans la rate qui est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (purpura thrombopénie idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm vaccinal dans la rate peut générer des cellules B produisant IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes -cellules souches des plaquettes- par autophagie). Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

Maladies à prion

S Seneff alertait également sur le lien possible avec les maladies neurodégénératives dues au prion, ce sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines.

La S contient 5 motifs GxxxG (glycine) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4. La S vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin, il peut y avoir des fragments d’ARNm induisant la synthèse d’une S incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

L’EMA avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves. (34)

Diabète

Le mécanisme biologique par lequel la spike interagit avec le métabolisme glucidique a été étudié. (35)
Les trois principaux mécanismes qui influencent la manifestation de la maladie COVID-19 chez les diabétiques sont les suivants :

  • (a) l’entrée du virus par les récepteurs ACE-2
  • (b) l’action par la Dipeptidyl-peptidase-4, et
  • (c) l’élévation de la concentration de glucose dans les voies respiratoires par une glycémie élevée.

L’ACE-2 est exprimé dans les cellules épithéliales alvéolaires, le cœur, les épithéliums rénaux-tubulaires et intestinaux et le pancréas. La S-Glycoprotéine à la surface du SRAS-CoV-2 se lie à cette ACE-2 et subit un changement de conformation. Cela permet sa digestion protéolytique par les protéases des cellules hôtes TMPRSS2 et Furin, ce qui entraîne l’internalisation du virus. L’entrée du virus dans les cellules déclenche une réponse inflammatoire des cellules T auxiliaires et, parfois, une « tempête de cytokines », entraînant des lésions organiques.

Le vaccin Covid exacerbe l’hyperglycémie chez les diabétiques, d’après une étude de cas et ce serait dû à l’inflammation induite par le vaccin. (36)

Le vaccin provoque des modifications métaboliques chez des sujets sains et jeunes ne se manifestant pas cliniquement : « La vaccination a influencé divers indicateurs de santé dont ceux liés au diabète, au dysfonctionnement rénal, au métabolisme du cholestérol, aux problèmes de coagulation, au déséquilibre électrolytique, de la même manière que si les volontaires avaient subi une infection.  »  [Liu et al., 2021, p. 9], des altérations cohérentes de l’hémoglobine A1c, des taux sériques de sodium et de potassium, des profils de coagulation et des fonctions rénales ont été notées chez des volontaires sains après la vaccination avec un vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2. Des changements similaires avaient également été signalés chez les patients atteints de l’infection COVID-19, suggérant que la vaccination imitait une infection.  » ([Liu et al., 2021, p. 1] (37)

Manifestations gastro-intestinales, neurologiques, hépatiques

Les récepteurs de l’ACE2 sont surexprimés dans la paroi intestinale, ce qui entraîne une forte perméabilité intestinale aux agents pathogènes étrangers. Une interconnexion entre les poumons, le cerveau et le tractus gastro-intestinal lors d’un COVID-19 sévère a été mentionnée. (38) De nombreux chercheurs ont fait état de troubles intestinaux et neuraux induits par le SRAS-CoV-2. Certains symptômes, notamment les vomissements et les nausées, pourraient être des signes de troubles du système digestif ou du système nerveux. Le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes du système nerveux central et périphérique, tels que l’hyposmie/anosmie, les céphalées, les nausées, les vomissements et les symptômes psychiatriques et psychologiques, chez un pourcentage élevé de patients atteints de COVID-19.

Effet de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur les cellules endothéliales et la barrière hémato-encéphalique

La spike du SRAS-CoV-2 stimule une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau qui peut avoir un effet négatif sur l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et perturber sa fonction. L’altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique augmente considérablement la possibilité d’une invasion neurologique par ce virus, offrant une explication au risque de dommages neurologiques chez les patients atteints de COVID-19. L’une des raisons des complications neurologiques observées chez les patients atteints du COVID-19 est une interaction de la protéine spike ou, plus précisément, du domaine de liaison du récepteur de la protéine spike S1 (SARS-CoV-2 S1 RBD), avec des protéines amyloïdogènes dans le cerveau. Il a récemment été démontré par docking moléculaire que ce domaine peut interagir avec le peptide β-amyloïde, l’α-synucléine, la protéine tau et la protéine prion.

Cancer et spike

Il existe des similitudes cliniques et moléculaires entre le cancer et le COVID-19 : les quatre principales voies de signalisation à l’intersection du COVID-19 et du cancer sont la signalisation des cytokines, de l’interféron de type I (IFN-I), du récepteur des androgènes (AR) et des points de contrôle immunitaire. (39)

Interaction de spike avec les systèmes de réparation de l’ADN humain :
La sous-unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA, selon une analyse bioinformatique pour étudier l’interaction de la protéine de la sous-unité S2 du SARS-nCoV-2 avec les protéines suppresseuses de tumeurs p53 et BRCA-1/2. (40)

Angiogenèse
D’après des autopsies de patients décédés de COVID-19 sévère, la spike favoriserait l’angiogenèse (la prolifération de vaisseaux sanguins). Cette angiogenèse est indispensable à l’oxygénation et à la prolifération des tumeurs malignes. (41)

Analyse de quelques publications d’effets indésirables dûs au vaccin

Cancer

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué : (42)
– Âge – L’âge moyen des échantillons a chuté, avec une augmentation du nombre d’échantillons de personnes âgées de 30 à 50 ans.
– Taille – Habituellement, il était rare de trouver une tumeur de 3 cm. Dans ce nouvel environnement, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois de 12 cm, elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait un sein entier.
– Tumeurs multiples se développent en même temps dans les 2 seins et même dans plusieurs organes. On avait des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons quelques mois après avoir été vacciné.
– Récidive – Il y a eu une augmentation du nombre de patients qui sont en rémission de leur cancer depuis de nombreuses années, ayant soudainement une récidive agressive de leur cancer peu de temps après la vaccination.

Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées (43), un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également (44)

Dérèglement immunitaire induit par le vaccin

1) Suppression immunitaire non spécifique

Dans la maladie- COVID-19, une importante lymphopénie est trouvée chez de nombreux patients atteints de Covid sévère. Avec une perte pouvant aller jusqu’à 80% des cellules T du sang, concomitante avec une prolifération intense du pool de CD8+, cellules T. (45) On a noté une réactivation d’herpès post vaccination Pfizer en Israël chez des patients avec une maladie inflammatoire rhumatologique (cf Seneff et Nigh). Au printemps 2022, la varicelle (due aussi au virus herpès-zona) a connu un pic jamais atteint en France (46).

  • Les vaccins ARNm induisent la production d’anticorps anti-IFN I (anti-interféron). L’interféron participe à l’activité anti-virale du système immunitaire (47)
  • Les vaccins ARNm induisent une chute du taux de lymphocytes cytotoxiques CD8 (48)
  • Dérèglement de l’immunité adaptative (génération aléatoire des parties variables des Ig)

Un article gênant a été retiré (sous le prétexte d’une expérience mal conduite).

Il montrait que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative. La protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, au site des lésions. Ce serait un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et occasionner des EIs potentiels des vaccins à base de spike pleine longueur. (49)

  • Décès par tempête cytokinique après vaccination. (50) Dans 4 cas de décès suivant une seconde dose de vaccin Covid à ARNm, le sang des victimes a été prélevé dans les 24h après la mort et a montré une augmentation de l’expression des gènes liés à l’hyperinflammation : les victimes seraient décédées d’une tempête cytokinique. La fonction immunitaire avait été sensibilisée par la première vaccination et la seconde a pu provoquer un SIRS (Syndrome de réponse inflammatoire systémique)
  • Dérèglement immunitaire induit par les nanoparticules lipidiques (LNPs). Le composant synthétique lipidique et ionisable des LNPs est hautement inflammatoire. Il est connu que certains vaccins et infections peuvent affecter à long terme la réponse innée en augmentant ou diminuant l’activation des cellules effectrices. Une étude sur les souris montre que les LNP d’un vaccin ARNm inhibent les réponses anticorps et augmentent la réponse innée. Le composant lipidique des LNPs Pfizer a une demi-vie de 20 à 30 jours in vivo. L’exposition primaire à des LNPs vides d’ARNm ou codant pour une protéine quelconque inhibe la réponse anticorps lors d’une seconde injection de LNPs vectrices d’un ARNm codant pour l’hémagglutinine du virus grippal. Les niveaux d’anticorps, ainsi que le nombre de centres germinaux de cellules B, sont diminués par cette première sensibilisation. Par contre, la pré-exposition à des LNPs portant un ARNm de protéine sans intérêt augmentent la protection contre une infection grippale ou à Candida chez les souris : les LNPs-ARNm augmenteraient la réponse innée ?

On ne sait pas dans quelle mesure les vaccinations réitérées peuvent aggraver cette dégradation de l’immunité immune. Les données sont contradictoires. Le dérèglement non spécifique de l’immunité induit par les LNP-ARNm est transmissible à la progéniture des souris, sans doute par un phénomène épi-génétique. (51)

2) Dérèglement immunitaire spécifique

Ce sont les conséquences de l’immunosuppression et de l’ADE (elles sont alors immédiates : Covid post injection). On retrouve de nombreux exemples (essai cliniques et études observationnelles post commercialisation)

  • Suppression immunitaire spécifique par le vaccin : en 2021, il avait été montré qu’après une infection par le variant alpha chez un vacciné, la prévalence d’anticorps anti-N détectable est inférieure à celle des non vaccinés. Pour le variant delta, on n’observait pas cette réduction de prévalence mais les taux d’anti-N étaient réduits chez les vaccinés 1 ou 2 doses infectés par les variants alpha et delta par rapport aux taux d’anti-N observés chez les non vaccinés convalescents. (52) Déjà en 2021, Allen et al. avaient noté que chez les vaccinés, après une infection Covid, les taux d’ac anti-N étaient soit nuls, soit inférieurs à ceux des non vaccinés ; cependant cette étude ne concernait que 23 infections post-vaccinales. (53) En octobre 2021, un rapport du gouvernement du Royaume Uni avait aussi noté cette diminution d’anti-N chez les vaccinés infectés. (54)

Les chercheurs du gouvernement britannique affirmaient (p. 23) que leurs tests sérologiques sous-estimaient le nombre de personnes ayant une infection antérieure en raison des « observations récentes des données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Pour info, les « experts » avaient traité de désinformateurs ceux qui avaient remarqué ces données en prétendant que l’absence d’anti-N était due à l’absence de réplication du virus (55) voir ci-dessous, essai Moderna. À nouveau en 2022, une publication d’avril 2022 du NIH et de Moderna vient confirmer ces données dans l’essai clinique Moderna donc avec la souche de Wuhan. (56)

La réponse est orientée vers la spike chez les vaccinés et moins vers la N qui est pourtant moins susceptible de muter et confère une bonne immunité. Les spikes des variants successifs, s’éloignant de plus en plus de la spike originelle de Wuhan sur laquelle sont fondés les vaccins, il aurait été fort utile que les vaccinés développent des anti-N aux mêmes taux (ou plus) que les non-vaccinés. Il se produit l’inverse.

Les auteurs ont analysé « les données de 1 789 participants (1 298 receveurs du placebo et 491 receveurs du vaccin) atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la phase en aveugle (jusqu’en mars 2021). Parmi les participants présentant une maladie de type Covid-19 confirmée par PCR, une séroconversion vers des anticorps anti-N au cours d’un suivi médian de 53 jours après le diagnostic est survenue chez 21/52 (40 %) des personnes ayant reçu le vaccin mRNA-1273 contre 605/648 (93 %) des personnes ayant reçu le placebo (p < 0,001). » Les participants infectés après avoir été vaccinés par le Moderna sont plus de 2 fois moins susceptibles de présenter une réponse anti-N que les non vaccinés. Et ceci n’est pas dû à une moindre réplication du virus chez les vaccinés car à charge virale équivalente, les vaccinés produisent moins d’anti-N.

Chez les personnes infectées avant d’avoir été vaccinées, les taux d’anti-N étaient comparables à ceux des non vaccinés. La protéine N peut générer une réponse cellulaire T robuste, elle est bien conservée et ne se recombine pas fréquemment. L’immunité anti-N est probablement importante. On ne sait pas si les tendances sont les mêmes avec l’omicron ou avec d’autres vaccins COVID.

Le vaccin pourrait empêcher l’acquisition d’une immunité contre la protéine nucléocapside du virus.

L’implication de cette étude serait que plus on vaccine, plus on efface l’immunité naturelle, de sorte que non seulement on attrape toujours le virus, mais qu’on continuera à l’attraper parce qu’on ne peut jamais atteindre une immunité complète, comme on pourrait le faire avec une infection naturelle, sans avoir été inoculé par une thérapie génique qui pousse l’organisme à réagir de manière inappropriée. Il s’agit d’une injection qui empêche l’immunité collective !

La réduction de la capacité à produire des anti-N a été observée après la dose 2 seulement, et non après la dose 1. Que se passe-t-il donc après les doses 3 et 4 ? L’émoussement est-il maintenu, accru ?
Il semble bien que plus on injecte la thérapie génique à ARNm aux gens, plus le virus circule et plus ils sont infectés. Toutes les données provenant du Royaume-Uni (57) semblent indiquer que plus on vaccine, plus on est infecté (les non vaccinés sont plus testés que les vaccinés, sans doute car les employeurs exigent plus de tests chez eux).

Les vaccinés sont plus à risque d’être testés positifs alors qu’ils sont moins testés !
Figure tirée de : https://www.walgreens.com/businesssolutions/covid-19-index.jsp (Walgreens est une entreprise qui vend des tests Covid).

Les dernières données de Walgreens concernent les résultats de 66 000 tests effectués dans tout le pays pendant la semaine du 17 avril 2022. Bien que les personnes non vaccinées aient été soumises au plus grand nombre de tests de toutes les cohortes (probablement en raison des obligations de test des employeurs), elles représentent la plus faible part des résultats positifs hebdomadaires. Il semble que la situation s’aggrave à mesure que l’on augmente les doses et la durée d’exposition à la dose !
Article des CDC de 2022 : Dosage des anticorps-anti-N (dus à infection et pas vaccination) :

Les vaccinés séroconvertissent moins : c’est sans doute dû au péché originel antigénique et non à une quelconque protection. (58)

Quelques exemples d’effets indésirables trouvés dans les publications scientifiques

  • Hépatites : réactivation de virus HBC (59)
  • Hépatite auto-immune, nbx cas, Modification paramètres hépatiques
  • Anémie (60)
  • Aggravation diabète (61)
  • Apparition diabète type 1
  • Myopathie immune nécrosante (62)
  • Thrombose coronarienne (63)
  • AVC (64)
  • Vascularite rénale auto-immune (65)
  • Vascularite nécrosante (66)
  • Thrombose cérébrale veineuse (67)
  • Guillain Barré
  • Hépatite auto-immune
  • Hypertension artérielle
  • Suppression de moëlle osseuse
  • Pemphigoïde bulleux
  • polyneuropathie
  • Altération du sperme
  • Thrombocytopénie (68)
  • Encephalite, épilepsie (69)
  • Myocardites
  • Zona (70)
  • Manifestations oculaires, auditives, neurologiques
  • SEP
  • Venous sinus thrombosis
  • Thyroïdite subaigüe , auto-immune
  • Réaction amyloïde, CJD
  • Défaut du contrôle de la coagulation chez patients sous anti-coagulants AVK
  • Inflammation généralisée

Comparaison des EIG entre vaccins anti-Covid et anti-grippaux : Les risques absolus les plus importants ont été observés pour les réactions allergiques, constitutionnelles, dermatologiques, gastro-intestinales, neurologiques et les douleurs localisées et non localisées. Les risques relatifs les plus importants entre COVID-19 et les vaccins antigrippaux ont été observés pour les réactions allergiques, l’arythmie, les événements cardiovasculaires généraux, la coagulation, les hémorragies, les réactions gastro-intestinales, oculaires, des organes sexuels et la thrombose. (71)

Hélène Banoun
Octobre 2022




A. Houpert et M. Wonner victimes de la chasse aux sorcières. Faire taire les parlementaires est une insulte à leurs électeurs et à la démocratie

Par le Dr Nicole Delépine

Après le sénateur Alain Houpert sanctionné de 18 mois d’interdiction d’exercice, dont neuf avec sursis1, c’est l’ex-députée Martine Wonner qui est scandaleusement suspendue par le conseil de l’ordre du Bas-Rhin2.

Les conséquences de ces décisions vont au-delà du cas personnel de nos représentants, d’autant plus que les conseillers ordinaux qui condamnent les médecins qui parlent ou qui soignent ne font pas la chasse aux conflits d’intérêts non déclarés alors que la loi transparence-santé les en a chargés.

Les Français rejettent les politiques comme en témoigne le taux d’abstention aux dernières élections. Comment pourraient-ils encore croire au jeu représentatif quand ceux qui détournent leurs mandats comme les conseillers de l’ordre des médecins bâillonnent ouvertement les élus courageux qui informent et font leur travail ?

On avait bien compris les jeux d’influence, le politiquement correct, le pas de vague, les discussions de couloir et les pressions pour limiter l’expression de parole des opposants au sein des groupes. Mais réprimer ouvertement la libre expression d’un parlementaire est un pas supplémentaire qui ouvrira peut-être quelques consciences supplémentaires de la marche vers le totalitarisme qui s’installe et dont la seule limite est évidemment le peuple.

🔴🇫🇷 L’ex-députée Martine Wonner, a été suspendue un an par le conseil de l’ordre des médecins.

L’ex-députée du Bas-Rhin entre 2017 et 2022 Martine Wonner, psychiatre de profession a été suspendue vendredi 25 novembre par le conseil de l’ordre des médecins du Grand Est pour une durée d’un an. Elle va faire appel de cette sanction.

L’ancienne députée avait affirmé que le masque « ne servait strictement à rien » et que les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Martine Wonner, qui compte faire appel de cette suspension, a jugé vendredi cette décision « scandaleuse ».3

Que peut conclure un lecteur de cet article de la radio progouvernementale ? La députée s’est opposée au port du masque : on savait déjà qu’elle avait raison, mais la confirmation, par de multiples études internationales de l’inutilité de l’obligation généralisée du port du masque a démontré son rôle de lanceur d’alerte précoce et qu’on aurait dû l’écouter et la remercier.4 5 6

Martine Wonner, fine psychiatre avait compris avant beaucoup d’autres la signification sociétale du port du masque :

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».7

Que ne l’a-t-on pas écouté au lieu de l’humilier dans l’hémicycle comme s’est permis l’ex-ministre Véran ? L’inefficacité antivirale et les innombrables effets pervers du masque, connus d’emblée, se sont malheureusement confirmés dans la pratique. 8

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

LE PORT DU MASQUE, UNE CATASTROPHE POUR UNE GÉNÉRATION

Quant aux conséquences majeures chez les plus jeunes, elles ont été envisagées d’emblée et confirmées dans la réalité 9 :

« Selon un rapport officiel, les mesures de confinement, y compris le port de masques par les adultes, ont laissé une génération de bébés et d’enfants en bas âge avec des difficultés d’élocution et de socialisation.

Les inspecteurs travaillant pour l’Ofsted ont constaté que le fait que les enfants en bas âge soient entourés d’adultes portant des masques pendant de longues périodes au cours des deux dernières années a nui à leurs capacités d’apprentissage et de communication.

Ceux qui atteignent l’âge de deux ans “auront été entourés d’adultes portant des masques pendant toute leur vie et n’auront donc pas pu voir les mouvements des lèvres ou les formes de la bouche aussi régulièrement”, selon le rapport.

Certains prestataires ont signalé que des retards dans le développement de la parole et du langage des enfants les empêchaient de se socialiser avec d’autres enfants aussi facilement qu’ils l’auraient souhaité auparavant”, ajoute le rapport.

En raison de ces restrictions, les tout-petits ont également du mal à ramper, à utiliser les toilettes de manière autonome et à se faire des amis.

Les retards d’apprentissage ont également fait régresser certains enfants au point qu’ils avaient besoin d’aide pour des tâches de base comme mettre leur manteau ou se moucher ».

Une autre étude, menée en Allemagne, a révélé que la capacité de lecture des enfants s’est effondrée par rapport à l’époque pré-COVID, en raison des politiques de fermeture des écoles.

L’orthophoniste Jaclyn Theek a déclaré :

« Le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des demandes de consultation de bébés et de jeunes enfants. Ils ne tentent pas de parler et ne communiquent pas du tout avec leur famille », a-t-elle déclaré, ajoutant que les symptômes de l’autisme sont également en forte hausse.

A speech therapist says her clinic has seen a « 364% increase in patient referrals of babies and toddlers.» « It’s very important kids do see your face to learn, so they’re watching your mouth. » What the hell have we done?! End this cruel insanity10.

Peut-on reprocher à une parlementaire, psychiatre de surcroit d’avoir averti ses collègues de faits avérés par de très nombreuses études et de l’avoir fait dans le cadre de son activité parlementaire pour laquelle elle a été élue ?

« Selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents, les récentes politiques de confinements et de masques imposés par la nation vont créer une génération d’enfants présentant un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales. »

Son devoir n’était-il pas justement d’alerter comme elle l’a fait ?

« Le Dr Mark McDonald a cité une étude réalisée le 11 août par l’Université Brown (PDF), selon laquelle « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie », lors d’un entretien avec l’animatrice Cindy Drukier dans l’épisode du 25 décembre de l’émission The Nation Speaks“ dNTD. NTD est un média frère de The Epoch Times.

Les masques, les « écoles Zoom » et les confinements ont conduit à « une privation générale de contact social, [à] ne pas pouvoir voir les visages, à être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a effectivement causé des dommages au cerveau des jeunes », a-t-il déclaré.

Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions liées à la pandémie et la« peur que nous inspirons aux enfants » ont entraîné une aggravation des problèmes psychologiques.

Heneghan a cité son étude du 2 octobre, qui conclut que« huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou de tout symptôme psychologique ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».11

Même Facebook a reconnu son erreur concernant les masques12. Il y aurait beaucoup à dire sur la censure par fb des informations exactes.13

Errare humanum est, perseverare diabolicum

Tous ces faits avérés et ces drames ne peuvent être ignorés des « juges » de Mme le dr Wonner, ni de France info. Comment osent-ils après deux et demi de recul ? L’erreur est humaine, mais persévérer est diabolique.

LES PSEUDOVACCINS ENTRAÎNENT DES FAUSSES COUCHES, DES TURBOCANCERS ET UNE BAISSE DE L’IMMUNITÉ et DES MORTS

Le second reproche cité par France info serait le suivant :

Les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Eh bien oui, malheureusement Mme le DR Wonner avait raison de le dire. Elle avait simplement consulté les publications du VAERS agence américaine dépendante de la FDA chargée de collecter les effets secondaires qui ont révélé très tôt l’augmentation considérable des fausses couches chez les femmes enceintes malencontreusement vaccinées. Les données d’EUDRAVIGILANCE ont malheureusement confirmé et on se demande comment la direction générale de la santé se permet encore de conseiller l’injection génique aux femmes enceintes après l’accumulation mondiale de données cohérentes sur les risques des pseudovaccins.14 15

LES TURBOCANCERS

Les cancers se sont malheureusement multipliés chez les injectés avec le nombre de rappels : non seulement le réveil de cancers en rémission longue depuis plusieurs années, parfois plus de quinze ans, mais aussi l’apparition de cancers chez des jeunes comme des lymphomes, des cancers du pancréas en particulier. La particularité de tous ces cancers, récidivés ou nouvellement apparus, est leur évolution très rapide et leur insensibilité aux traitements proposés. Ils sont qualifiés de « turbocancers ». La découverte de ces complications terribles au temps où les cancérologues se permettent d’exiger l’injection pour prendre en charge le patient date de plus d’un an déjà et se confirme mois après mois par de nouvelles publications. Comment les médecins juges du Conseil de l’ordre peuvent-ils reprocher cette mise en garde de notre clairvoyante députée ?

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué, plus gros, plus rapides, plus récidivants16. « Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées, un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également », selon l’article de l’AIMSIB qui correspond aux observations de très nombreux médecins.

L’IMMUNODÉPRESSION ET SON TRAIN DE CONSÉQUENCES AUGMENTENT AVEC LE NOMBRE DES INJECTIONS

Quant au SIDA il s’agit du syndrome de déficience immunitaire acquise, donc de perte de l’immunité, suivant une ou plusieurs injections géniques dont la réalité est malheureusement avérée par la pratique clinique et les publications.17

« Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non. La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins. De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement. »

En résumé, les inquiétudes et avertissements de Mme Wonner étaient largement justifiés et on s’étonne que les conseillers ordinaux dûment informés ? Ne serait-ce que par sa longue audition aient pu prendre une telle décision. Quel est leur degré de liberté ? Comment acceptent-ils de se transformer en simples inquisiteurs chargés de condamner les hérétiques qui mettent en doute le dogme gouvernemental ?

Au-delà de la véracité et de l’importance des déclarations de Mme la Députée, le sujet récurrent est celui de la LIBERTÉ, et singulièrement de la liberté d’expression tant bafouée et menacée par les projets de la Milivudes, via une ancienne scientologiste, tentant de faire dénoncer les opposants traités de complotistes.

La liberté d’expression18

Elle fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute.

Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0, on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre « droit de savoir. »

« De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix. »

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. « Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception, » a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socioreligieuses de son environnement. »

Cette liberté d’expression est de plus en plus mise en cause, des condamnations de l’ordre des médecins aux convocations par des commissariats de soignants vaccino prudents.
Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son interview récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker2

Il est intolérable que cet ordre des médecins (créé par vichy et dont les premières mesures ont constitué à exclure les médecins juifs et à demander aux médecins de dénoncer les résistants blessés par balle) ose poursuivre des médecins pour l’expression d’opinions scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée unique.

Cette suppression de la liberté d’expression touche les autres professions comme l’attaque du professeur de philosophie René Chiche ou du mathématicien Vincent Pavan suspendu de ses fonctions et privé de la moitié de son salaire l’ont prouvé récemment.19

Surtout, ne croyez pas le gouvernement qui tente à nouveau de nous faire peur avec une pseudo nouvelle vague.

Reprise de la propagande mensongère fondée sur un nombre stratosphérique de « cas » obtenus à partir du test PCR qui n’est pas fait pour le dépistage selon son inventeur Karry Mullis lui-même et, qui chez les asymptomatiques est faux dans 97 % des cas.20

France-Désinfo martèle : « L’épidémie repart à la hausse avec 40 000 “cas” quotidiens. » Sauf que… les « cas » ne sont pas des « malades » ! Et seuls les nombres de malades et de morts permettent de mesurer l’évolution d’une épidémie.

La vérité est ici : https://covid.irsan.eu. Il y a eu 29 « malades » pour 100 000 habitants pour cette semaine ! Il n’y a donc aucun redémarrage de l’épidémie de covid !





Le lien avec la nature favorise la santé

[Source : anguillesousroche.com]

L’argent ne pousse peut-être pas dans les arbres, mais quelque chose d’encore mieux y pousse.

Dans une nouvelle étude menée par le service des forêts du ministère américain de l’agriculture (USDA), des chercheurs ont constaté que chaque arbre planté dans une communauté était associé à une réduction significative de la mortalité non accidentelle et cardiovasculaire chez les personnes vivant à proximité.

En outre, les auteurs de l’étude concluent que les avantages économiques annuels de la plantation d’arbres dépassent largement le coût de leur entretien, par un facteur de plus de 1 000.

Des études antérieures ont établi un lien entre l’exposition à la nature et toute une série d’avantages pour la santé humaine. L’accès à la nature est un facteur important pour la santé mentale, et il n’est pas nécessaire que la verdure soit une nature vierge. Les recherches montrent que les forêts urbaines et les arbres des rues peuvent offrir des avantages comparables.

Plusieurs études longitudinales ont montré que l’exposition à une végétation plus abondante est associée à une baisse de la mortalité non accidentelle, notent les auteurs de la nouvelle étude, et certaines ont également lié l’exposition à la verdure à une réduction de la mortalité cardiovasculaire et respiratoire.

« Toutefois, la plupart des études utilisent l’imagerie satellitaire pour estimer l’indice de végétation, qui ne distingue pas les différents types de végétation et ne peut être directement traduit en interventions tangibles »explique Payam Dadvand, chercheur à l’Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal) et auteur principal de la nouvelle étude.

Pour leur étude, Payam Dadvand et ses collègues se sont appuyés sur une campagne de plantation d’arbres bien documentée qui s’est déroulée à Portland, dans l’Oregon, entre 1990 et 2019. Au cours de ces trois décennies, le groupe à but non lucratif Friends of Trees a planté 49 246 arbres dans les rues de Portland.

Fait crucial, ils ont tenu des registres indiquant où et quand chaque arbre a été planté. Les chercheurs ont ainsi pu examiner le nombre d’arbres plantés dans un quartier particulier, ou dans un secteur de recensement américain – chacun abritant environ 4 000 personnes – au cours des cinq, dix ou quinze années précédentes.

À l’aide des données de l’autorité sanitaire de l’Oregon, ils ont ensuite associé les données sur les arbres de chaque secteur de recensement à son taux de mortalité, dû à des causes cardiovasculaires, respiratoires ou non accidentelles.

Les résultats révèlent des taux de mortalité plus faibles dans les quartiers où il y a plus d’arbres plantés, et les chercheurs indiquent que cette association négative est significative tant pour la mortalité cardiovasculaire que pour la mortalité générale non accidentelle, en particulier chez les hommes et les personnes âgées de plus de 65 ans.

Selon l’étude, cette association se renforce également avec la taille des arbres. Les arbres plantés au cours des cinq années précédentes étaient liés à une baisse de 15 % de la mortalité, tandis que les arbres plantés au cours des 11 à 15 années précédentes étaient liés à une baisse de 30 %.

Les arbres plus anciens et plus grands étaient donc associés à une plus grande réduction de la mortalité. Ainsi, si planter de nouveaux arbres est une bonne chose, cette découverte suggère que la préservation des grands arbres existants est encore plus importante pour la santé publique (comme pour le bien-être de la faune et de la flore).

Bien que ces liens n’expliquent pas exactement comment les arbres sont bénéfiques pour la santé humaine, la protection apparemment plus grande des grands arbres serait logique, soulignent les chercheurs, puisque la taille augmente la capacité d’un arbre à modérer des facteurs de mortalité connus comme la pollution atmosphérique, la température et le bruit.

« Nous avons observé cet effet à la fois dans les quartiers verts et dans les quartiers moins verts, ce qui suggère que la plantation d’arbres dans les rues est bénéfique pour les uns comme pour les autres »explique Geoffrey H. Donovan, économiste à l’USDA et premier auteur de l’étude.

Si la valeur d’une vie humaine adulte statistique est de 10,7 millions de dollars, comme l’ont déterminé certaines agences fédérales américaines, les chercheurs ont calculé que la plantation d’un arbre dans chacune des 140 zones de recensement de Portland générerait environ 14,2 millions de dollars par an en vies sauvées.

L’entretien de ces 140 arbres coûterait entre 3 000 et 13 000 dollars par an, estiment les auteurs de l’étude.

« Nos résultats fournissent une base de preuves importante pour des interventions tangibles (par exemple, la plantation d’arbres) visant à accroître la longévité des résidents urbains »déclare M. Dadvand.

L’étude a été publiée dans Environment International.

Lire aussi : Passer du temps dans la nature en tant qu’enfant est lié à une meilleure santé mentale à l’âge adulte

Source : Science Alert – Traduit par Anguille sous roche




France — « IVG dans la Constitution : l’Assemblée nationale a voté le texte »

Par Alain Tortosa

Texte uniquement compilé de citations, chacun se fera son opinion.

1

Politique :

« Les députés ont largement adopté, en première lecture, la proposition de loi visant à inscrire le droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution.
Le texte, présenté par La France insoumise dans le cadre de sa journée d’initiative parlementaire, a été voté par les députés de la Nupes et de la majorité, mais aussi avec un certain nombre de voix venues des Républicains et du Rassemblement national.
Le parcours législatif de cette proposition de loi ne fait cependant que commencer2. »

« Un “signal historique”. C’est en ces termes que, non sans émotion, Mathilde Panot (La France insoumise), rapporteure3 de la proposition de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution, a qualifié le vote de l’Assemblée nationale.
Par 337 voix “Pour”, 32 “Contre”, l’adoption — si ce n’est unanime, en tous cas très large —, du texte, a été saluée par le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, qui avait estimé un peu plus tôt “nécessaire” de “graver dans le marbre de notre Constitution le droit fondamental à l’IVG”. »

« Au nom de toutes nos mères qui se sont battues, au nom de toutes nos filles qui n’ont plus jamais à devoir se battre je l’espère, oui, je suis ici pour voter ce texte, et j’espère qu’il sera voté de manière très large aujourd’hui. » Aurore Berger.

« Je suis très très émue à la fois de ce vote et de ce signal historique.

Que l’Assemblée nationale s’honore pour notre pays, mais aussi l’ensemble des femmes du monde… Persuadé que nous faisons acte de progrès pas seulement pour nous-même, mais aussi pour les générations à venir.

Aujourd’hui collègues, l’Assemblée nationale parle au monde, aujourd’hui collègues notre pays parle au monde.
La France en introduisant le droit à l’avortement dans la constitution serait la nation première en matière des droits des femmes. Il est temps que notre pays s’affirme comme à l’avant-garde de la protection des droits sexuels et reproductifs4 ».

Droit :

« Une femme enceinte, y compris mineure, qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut en demander l’interruption. La pratique de l’avortement est réglementée et plusieurs étapes doivent être respectées, avant et après l’intervention. Lors de la consultation, la femme enceinte doit être informée sur les méthodes abortives et a le droit d’en choisir une librement.
Il n’y a pas de condition d’âge à respecter.

Si vous êtes mineure, vous pouvez choisir de demander le consentement de vos parents ou de votre représentant légal et ainsi être accompagnée dans votre démarche d’IVG.
Cependant, si vous souhaitez garder le secret, l’IVG est pratiquée à votre seule demande. Dans ce cas, vous devez vous faire accompagner dans votre démarche par une personne majeure de votre choix.

Les délais dépendent de la méthode choisie :
* L’IVG chirurgicale peut être pratiquée jusqu’à la fin de la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines après le début des dernières règles.
* L’IVG médicamenteuse est pratiquée jusqu’à la fin de la 7e semaine de grossesse, soit au maximum 9 semaines après le début des dernières règles5. »

« L’IMG (Interruption médicale de grossesse) peut être réalisée dans l’un des cas suivants :
* La poursuite de la grossesse met gravement en péril la santé de la femme.
* Il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable6. »

« L’interruption médicalisée de grossesse (IMG) est une interruption de grossesse pratiquée pour des raisons médicales concernant le fœtus ou la mère, sans restriction de délai. Sa réalisation nécessite une attestation médicale et l’accord de la femme enceinte7. »

« La loi française protège l’être vivant qu’est l’homme et interdit de procéder activement au décès de celui-ci (Article L2211-1).
Elle nomme l’Interruption Médicale de Grossesse (IMG), l ’Interruption Volontaire de Grossesse pour motif Médical.
Elle n’a pas de délai et peut être pratiquée à n’importe quel moment de la grossesse.

La loi de modernisation du système de santé supprime le délai pour cause maternelle psychiatrique et Étude de Cas obligatoire de réflexion d’une semaine. En août 2014 est supprimée la notion de « détresse avérée » que la loi VEIL exigeait pour avoir accès à l’Interruption Volontaire de Grossesse (loi VALLAUD-BELKACEM).
Bien que la loi ne reconnaisse pas de droit avant la naissance, elle ne définit pas clairement ce qu’est « le commencement de la vie ». Il reste alors libre à interprétation.
Aujourd’hui en France, le statut du fœtus n’est pas reconnu au niveau juridique.
Il est défini par le Code Civil comme une « Pars Viscerum Matris » (une partie des entrailles de sa mère)

(IMG) Les indications pour motif maternel se divisent en 3 catégories d’après l’Agence de Biomédecine :

– Les pathologies obstétricales (38,9 % des attestations).
– Les pathologies maternelles diagnostiquées avant et pendant la grossesse (33,3 % — incluant les pathologies psychiatriques qui représentent 12,1 % de ces cas).
– Les détresses psychologiques maternelles avec ou sans anomalie fœtale (22,4 %) 4,4 % des attestations délivrées en 2016 pour motifs maternels concernaient des grossesses.
dont le terme était supérieur à 32 semaines d’aménorrhée…

B. BRANGER et coll. (20) comptent que sur 122 demandes faites de 2005 à 2009 dans un établissement privé, que les motifs médicaux représentent 2,4 % des motifs de demande d’IMG ; que 28,6 % des motifs sont psychiatriques et psychologiques en précisant le diagnostic (dépression, trouble bipolaire, tentatives de suicide avant ou pendant la grossesse, vécu difficile de la grossesse dont 1 cas dans un contexte d’antécédent de viol, handicap mental, contexte de suivi psychologique et psychiatrique et d’anorexie mentale) ; et que 5,7 % des motifs sont pour des problématiques addictives8. »

Le fœtus à 14 semaines de grossesse, 16 semaines d’aménorrhée SA

« En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé de 16 SA est de 14 cm et son poids de 110 g.

Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids.
Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée.
Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Son corps n’est plus courbé comme un petit haricot : sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen.

Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tourne les yeux.
L’ossification de son squelette se poursuit.
Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Mais à 16 semaines d’aménorrhée (14 SG), impossible encore pour la future maman de ressentir ces mouvements.
Le cœur du fœtus de 16 SA est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps.

La circulation du fœtus répond à celle de la maman : si celle-ci a une brusque montée de tension, l’afflux d’hormones maternelles entraîne chez le bébé un afflux de sang. Les veines gonflent, créant des reliefs sur sa peau9 . »

« Le fœtus commence à expérimenter son potentiel. Il peut plier ses membres et se mouvoir.
Il esquisse déjà le traditionnel geste de la succion de son pouce.
Quant à son visage, il est capable d’exprimer certaines mimiques.
Ses sens apparaissent. Son goût, son odorat, son ouïe et son toucher se développent. Il est maintenant capable de ressentir les caresses prodiguées sur votre ventre, tout comme les douces paroles qui lui sont chuchotées10. »

« Sa tête s’est vraiment relevée et son visage est très clairement celui d’un petit humain, d’autant plus que, désormais, les muscles faciaux se contractent et provoquent des mimiques semblables à des expressions. Ainsi, le fœtus arrive à froncer les sourcils et peut même ouvrir la bouche. Il fait aussi bouger ses petits doigts et peut serrer ses poings. S’il s’agit d’une fille, des millions d’œufs bourgeonnent dans ses ovaires (ce sont les follicules). Chez les garçons, le gland et le prépuce sont formés11. »

«Un vrai petit bébé !

À ce stade de la grossesse, le développement de votre bébé est bien visible. Si dans les premières semaines, vous aviez du mal à bien le distinguer, au cours de la 14e semaine, les premiers contours de votre enfant se dessinent assez clairement. En d’autres termes, votre bébé grandit.
Il grandit tellement que son poids tourne maintenant autour de 100 g. Il est aussi lourd qu’une tomate, si vous avez besoin de repères visuels.
Sa taille est de 14 cm. C’est encore petit à vos yeux, mais assez grand tout de même pour donner du volume à votre utérus.
Rien à voir donc avec cette image de « têtard » qui vous était servie pendant les premières échographies.

Vous pouvez à présent nettement distinguer les différents membres de votre bébé ; ses jambes étant plus grandes que ses bras. Quant à sa tête, elle est plus élevée que d’habitude, ce qui lui donne plus l’allure du nourrisson que vous tiendrez dans vos bras d’ici peu !
Par ailleurs, même sous ces airs de fragilité, votre bébé développe déjà certaines facultés “d’adulte”. Il peut ainsi serrer le poing comme un “grand”, avaler la salive et bouger ses lèvres. Il développe même déjà le sens du toucher. Lorsqu’il se cogne à la paroi de l’utérus, par exemple, le futur bébé a un mouvement de recul. Il a déjà quelques réflexes lorsqu’il est confronté à l’inconnu ! Car il ne voit pas encore, mais il sent ce qui l’entoure. De même, il commence déjà à bouger dans tous les sens, même si vous ne pouvez pas encore sentir ses coups de pied12. »

Cerveau :

« À 8 semaines
Le risque de perte du fœtus est fortement diminué au début de cette étape.
À ce stade, toutes les structures majeures, incluant les mains, les pieds, la tête, le cerveau, et d’autres organes, sont présentes, mais ils continuent à se développer et deviennent de plus en plus fonctionnels.
Quand l’étape fœtale débute, un fœtus mesure environ 30 millimètres de long, et son cœur bat déjà. Le fœtus arrive à plier la tête, et effectue des mouvements qui impliquent tout le corps.

Le cerveau montre des signes d’activité dès le 54e jour.13 »

« Une forme de conscience, qui n’est pas nécessairement liée à des perceptions extérieures, pourrait même exister chez le fœtus dès la 24e semaine de gestation, comme le suggèrent certaines expériences sur les grands prématurés14. »

« On sait pourtant que les bases du cerveau de l’embryon sont en place très tôt. Dès la quatrième semaine, le tube neuronal préfigurant le système nerveux s’est formé, et les premiers neurones apparaissent : leur nombre explose vers le quatrième mois pour attendre les 100 milliards, à raison de 5 000 nouveaux neurones par seconde15. »

« Au cours du premier trimestre, le cerveau se développe rapidement et représente près de la moitié du poids du fœtus. À titre de comparaison, au moment de la naissance de votre bébé, le cerveau ne représente que 10 % de son poids corporel. Au cours du premier trimestre, le cerveau développera des millions de neurones, qui se connectent à travers les synapses pour diriger le mouvement et la croissance.
La communication entre les neurones est ce qui aide le fœtus à apprendre à bouger, même si pendant le premier trimestre, vous ne sentirez probablement aucun mouvement.

Au deuxième trimestre, le cerveau fœtal commence à diriger la compression des muscles de la poitrine et le mouvement du diaphragme.
Ce sont un peu comme des respirations d’entraînement et sont contrôlées par le tronc cérébral. La succion et la déglutition commencent vers la semaine 16, et à la semaine 21, le fœtus peut avaler du liquide amniotique16. »

« L’ACPeds passe en revue les preuves de laboratoire et cliniques qui indiquent que dès 12 semaines de gestation (et peut-être plus tôt) l’exposition à des stimuli nocifs affecte négativement les êtres humains immatures.
En raison des réponses au stress aigu qui en résultent et des effets négatifs potentiels à long terme qui en résultent, l’ACPeds soutient qu’éviter, atténuer et traiter directement la douleur fœtale, néonatale et pédiatrique est une obligation médicale et éthique…
Beaucoup se sont demandé si la douleur existe pour les êtres humains neurologiquement immatures.
Bien que cette question puisse être controversée lorsqu’elle est soulevée dans le contexte de l’avortement électif, il existe un consensus scientifique important concernant la neuroanatomie et la physiologie fœtales précoces.
La définition de la douleur ne fait cependant pas l’objet d’un consensus similaire.
Certains soutiennent que pour que la douleur soit ressentie, elle nécessite deux composants, un composant sensoriel et un composant émotionnel/conscient.
2 Si cela est vrai, alors la capacité des êtres humains à ressentir la douleur est limitée de la conception aux deux premières années après la naissance en raison de l’immaturité…
Il y a quatre décennies, le consensus médical était que les bébés ne ressentent pas la douleur.
“Jusqu’à la fin des années 1980, les interventions chirurgicales sur les nouveau-nés étaient principalement réalisées sans anesthésie pour des raisons de sécurité et parce qu’on supposait que le nouveau-né n’était pas suffisamment sophistiqué sur le plan neurologique pour ressentir de la douleur”.
Mais en 1987, le New England Journal of Medicine (NEJM) a publié L’article historique des Drs Anand et Hickey montrant des preuves du contraire. Dans la biologie du nouveau-né. »

En d’autres termes, la question de savoir si la douleur peut être perçue par une personne qui n’a pas encore une conscience mature et consciente a obscurci les preuves réelles que la physiologie d’une personne immature est modifiée par la douleur…
Poussée par les données, la pratique médicale en néonatologie, pédiatrie et anesthésiologie a changé ; aujourd’hui, les bébés nés à terme, prématurés ou opérés in utero reçoivent une anesthésie appropriée…
Les bébés prématurés qui avaient déjà été exposés à une stimulation douloureuse montraient des signes d’être plus stressés lorsque la même procédure était répétée que ceux du même âge gestationnel qui n’avaient pas d’expérience préalable…

Des études humaines in vivo réalisées alors qu’elles étaient encore in utero fournissent des preuves supplémentaires que la stimulation nocive n’est pas bloquée.
Gitau et al ont étudié les réponses de fœtus humains qui ont nécessité des transfusions sanguines in utero.
Les niveaux d’hormones de stress lors de l’accès à leur abdomen pour atteindre la veine intrahépatique (IHV) pour leur transfusion sanguine in utero ont été comparés aux niveaux d’hormones de stress de ceux qui ont reçu leur transfusion par le site d’insertion du cordon placentaire (ICP), un site c’est-à-dire sans innervation.
Des augmentations statistiquement significatives des niveaux d’hormones de stress ont été documentées dans le groupe dont la veine intrahépatique était accessible par l’abdomen, avec des « réponses fœtales d’endorphine B apparentes à partir de 18 semaines de gestation et des réponses de cortisol fœtal apparentes à partir de 20 semaines de gestation… cohérentes avec la maturation de l’hypophyse fœtale avant la [glande] surrénale fœtale »…

Malgré les nombreuses preuves et les changements qui en résultent dans la pratique médicale, la définition de la douleur de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) mise à jour en 2020 continue d’exclure les êtres humains immatures…

Derbyshire et Bockmann sont d’accord, déclarant que la définition de l’IASP « restreint la douleur presque exclusivement aux êtres humains assez matures » et que « les preuves… indiquent une expérience de douleur immédiate et irréfléchie médiée par le développement de la fonction du système nerveux dès 12 semaines…

Il est contraire à l’éthique de nuire intentionnellement à un être humain innocent, quelle que soit sa capacité à percevoir la douleur. Cependant, un grand nombre de preuves scientifiques démontrent que la stimulation douloureuse ou nocive affecte négativement les êtres humains immatures, à la fois avant et après la naissance. Cet article met en évidence à la fois où se situait autrefois la norme de soins pour la gestion de la douleur dans cette population, où elle se trouve maintenant, et les preuves qui sous-tendent les changements17. »

Techniques d’IMG ou d’IVG

« 1. La méthode médicamenteuse au 1er et 2e trimestre
a) Le fœticide18
Il est réalisé et recommandé par le CNGOF à partir de 22-24 SA.(36) (16)
L’injection du produit anesthésique intra cordonale est préférable à l’injection intracardiaque,
car elle est indolore. En cas de difficulté technique pour aborder le cordon, l’injection intracardiaque reste une option.
La narcose est obtenue par un barbiturique, le thiopental (Penthotal®) adapté au poids fœtal estimé (10 mg/kg) associé à un analgésique le Sufentanyl (1 μg/kg).
Le fœticide a proprement dit est ensuite réalisé en utilisant soit du Chlorure de potassium à 10 % (KCl) (5 ml par voie funiculaire, 10 ml par voie intracardiaque) soit de la lidocaïne 1 % 10 à 20 ml en intra cordonale ou en intracardiaque.
c) La gestion en salle de travail
Pour diminuer la durée du travail, une attitude active d’amniotomie est recommandée dès que les membranes sont accessibles, quels que soient le terme et la présentation, et même si le col est encore long et postérieur.

2.1 La technique : le curetage
Elle consiste en une dilatation du col suivi d’une évacuation rapide du contenu utérin.
Indication
C’est une technique rapide qui évite à la patiente de vivre un processus d’expulsion.
Elle est donc la technique de choix pour les IMG du premier trimestre ou, la plupart du temps,
la pathologie fœtale est certaine (aneuploïdie, maladie génétique…) et l’examen fœtopathologique n’apporte pas d’information supplémentaire.

Elle reste possible pour des opérateurs entraînés jusqu’à 18-19 SA.(26).
Cependant, les difficultés techniques augmentant proportionnellement avec l’âge gestationnel du fait du volume plus important du fœtus et notamment de son pôle céphalique, la plupart des équipes préfèrent l’induction médicamenteuse passé le terme de 14 SA.

Une bonne préparation cervicale est indispensable afin d’obtenir une dilatation suffisante et de réduire les difficultés d’extraction.
L’anesthésie générale est préférée à la loco régionale.
Après rupture artificielle des membranes, l’extraction se fait à la pince à faux-germes, sous guidage échographique. On peut aussi utiliser une curette pour extraire des fragments fœtaux.
Inconvénients :
Elle ne permet pas au couple de voir le corps du fœtus et ne permet pas non plus d’analyse fœtopathologique du fait du morcellement. Cette technique n’est donc envisageable que si l’examen fœtopathologique n’est pas nécessaire pour le diagnostic…


1.1 Enfant né sans vie

L’état civil
La déclaration à l’état civil n’est pas obligatoire dans le cas des enfants nés sans vie. Elle dépend de la volonté des parents.
Elle n’est cependant possible qu’à partir de 15 SA (ceci excluant alors les IVG et les fausses couches précoces19).
1.2 Enfant né vivant puis décédé : cas de l’accompagnement palliatif.

1.3

L’équipe de Rennes de Mr. Chappé publie en 2015 un article portant sur l’IMG sans fœticide ou 7 centres en France sur 37 participants rapportent leurs expériences de “l’accompagnement palliatif”.
Cet article suscite une vive réaction de la part du bureau Fédération française des centres pluridisciplinaires de diagnostic prénatal.
L’équipe de Mr. Jouannic rappelle en effet que cette situation doit rester de l’ordre de l’exceptionnel et que cette demande parentale ne peut être acceptée que si la pathologie et le terme assurent un décès au cours ou au décours rapide de la naissance, après discussion en staff CPDPN et validation auprès de l’équipe médicale20.(61) »

« Consultations avant l’acte d’IMG
Consultation d’anesthésie…
En fin de consultation, une procédure ayant l’accord du couple sera consignée sur la feuille d’anesthésie comportant notamment la réponse à ces quatre questions :
* Désir d’analgésie : Oui/Non,
* Désir de Péridurale et PCEA : Oui/Non,
* Désir de sédation pour le fœticide : Oui/Non,
* A priori désir d’anesthésie générale d’expulsion : Oui/Non,

Recommandations obstétricales
* 1er Trimestre (< 14 SA)
        * Technique médicale (à privilégier si examen fœto-pathologique souhaité)
                * Expulsion spontanée,
        * Technique chirurgicale
                * Aspiration sous anesthésie générale

* De 14 à 22 SA,
        * Rupture artificielle des membranes dès que possible,
        * Expulsion spontanée,
* Après 22 SA

        * Foeticide
        * Rupture artificielle des membranes dès que possible
        * Délivrance dirigée21. »

Lien vers un site américain anti-avortement montrant des photos de fœtus avortés. J’invite les personnes sensibles à ne pas regarder, chacun est libre de consulter le site ou pas.
De plus je ne suis pas en capacité de prouver si ces photos sont véridiques ou pas.
Enfin je ne suis en rien responsable des publications de ce site22.

Alain Tortosa23.

25 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221125-projet-loi-avortement-constitution.pdf




Incidence non négligeable des myocardites après 3e dose de vax anti-COVID-19

[Source : cardio-online.fr]

Auteur :
Guillaume Le Pessec
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Rouen

Théo Pezel

Relecteur :
Théo Pezel
Membre du Collège des Cardiologues en Formation,
Paris

Albert Hagège

Sous la supervision de :
Albert Hagège
Président du Comité Éditorial de Cardio-online
Nancy

En direct de l’ESC Congress 2022

D’après la présentation de Christian Eugen Mueller (Basel, Switzerland) : « Myocardial Inflammation/Myocarditis After COVID-19 mRNA Booster Vaccination« 

L’essentiel

  • Il n’existait avant cette étude aucune donnée prospective sur les lésions myocardiques post vaccinales lors de la vaccination par un vaccin à ARNm. Seules les myocardites les plus graves hospitalisées ont été rapportées, touchant majoritairement les hommes de moins de 18 ans.
  • L’incidence réelle des lésions myocardiques post-vaccinales sont de 2.8 % vs 0.0035 % de myocardites sur les études rétrospectives.
  • Les lésions myocardiques touchent plus les femmes contrairement à ce qui est décrit dans les études précédentes.
  • La possibilité de doses répétées de vaccin afin de maintenir la couverture vaccinale efficace doit mener à une grande prudence concernant de possibles lésions myocardiques à répétition et leurs impacts sur d’éventuelles complications cardio-vasculaires.

Introduction

Nous savons qu’il existe des effets secondaires potentiellement graves au vaccin ARNm contre le COVID 19 tels que des myocardites.

Dans les données rétrospectives la principale complication cardiaque est la myocardite, qui reste rare avec une incidence de 0.0035 % et touche principalement les hommes jeunes de moins de 18 ans.

Néanmoins il existe un biais de sélection car seuls les cas graves, nécessitant une hospitalisation sont reportés.

L’incidence réelle des lésions myocardiques serait donc probablement beaucoup plus élevée dans la population générale. De plus, du fait de la nécessité de doses répétées et du grand nombre de personnes à vacciner, même rare cette complication n’est pas anecdotique.

Cette étude avait pour but d’évaluer l’incidence réelle des lésions myocardiques lors des vaccinations par un vaccin ARNm dans le COVID 19 de manière prospective et d’évaluer d’éventuelles mesures de prévention et de protection à appliquer chez les patients présentant ces lésions myocardiques asymptomatiques. 

Méthodologie et résultats

Cette étude était prospective monocentrique avec un bras contrôle. La population étudiée était composée d’employés du CHU de Basel en Suisse, ayant reçu une dose de vaccin ARNm Pfizer-BioNTech ou Moderna.

Le critère de jugement principal était la survenue d’une lésion myocardique, définie par une élévation de la troponinémie au-dessus de la norme, dosée à J3 post vaccination.

En cas d’élévation, un nouveau dosage était réalisé à J4 avec possibilité de réaliser de plus amples explorations cardiologiques. De plus, les patients présentant des lésions myocardiques étaient contre-indiqués à l’effort, et ce jusqu’à la décroissance de la troponinémie. Dans tous les cas le suivi était poursuivi jusqu’à J30.

Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la population totale avec des patients ayant été admis pour douleur thoracique sans qu’aucune cause cardiaque ne soit retrouvée. L’appareillement était réalisé sur l’âge, le sexe et les antécédents de coronaropathie et de maladie athéromateuse périphérique.

Le second critère de jugement secondaire était la survenue de MACE à 30 jours (mort d’origine cardiovasculaire, hospitalisation pour insuffisance cardiaque, arythmie ventriculaire et infarctus du myocarde).

Au total, 835 patients ont été inclus, dont 777 ayant bénéficié du dosage de troponinémie à J3, parmi ces patients 40 avait une troponinémie augmentée. Chez 18 d’entre eux il a été identifié d’autres causes que le vaccin pouvant expliquer l’élévation de troponinémie, et chez les 22 restants aucune autre cause que le vaccin était mis en cause. La population étudiée était majoritairement composée de femmes (69 %), la moyenne d’âge était de 37 ans et les patients recevaient très majoritairement leur 3ème dose 92 %. Moins de 2 % d’entre eux avaient des antécédents cardiovasculaires.

Les résultats de l’étude retrouvent que 2,8 % de la population vaccinée présentait des lésions myocardiques, 3,7 % chez les femmes et 0,8 % chez les hommes (Figure 1).

Figure 1.

Cela est une surprise à la vue de la population décrite dans les myocardites hospitalisées. Lors de la comparaison de la population avec des lésions myocardiques versus la population sans lésion myocardique, le seul facteur de risque retrouvé était le sexe féminin (p=0.03).

La comparaison avec le groupe contrôle ne retrouvait pas de différence significative en dehors des antécédents d’infarctus du myocarde et de maladie athéromateuse périphérique.

De plus on peut noter, que la troponinémie dans la population vaccinée semble plus élevée que dans le groupe contrôle sans que le test statistique n’ait été réalisé (Figure 2).

Figure 2.

Conclusion

L’incidence des lésions myocardiques est de 2,8 % soit 800 fois supérieure à l’incidence habituelle des myocardites. Elle survient majoritairement chez les femmes contrairement aux myocardites virales habituelles.

Aucun MACE n’a été rapporté dans la population étudiée à 30 jours, néanmoins du fait de la réalisation de doses répétées, il est intéressant de se demander si cela ne pourrait pas entrainer des séquelles à long terme (insuffisance cardiaque, arythmie). Pour cela un essai randomisé avec un suivi au long cours serait nécessaire.

Les limites évoquées sont la réalisation de la troponinémie à J3, avec une élévation peu importante de la troponinémie, avec possiblement une sous-estimation de l’incidence des lésions précoces à J1 potentiellement déjà normalisées à J3. De plus, devant la faible atteinte myocardique celle-ci ne parait pas possible à détecter en IRM cardiaque. Une autre limite serait l’absence d’inclusion de patient de moins de 18 ans dans la population étudiée.




« Covid-19 : Fraudes et corruption » — Une arnaque au comptage

[Source : Kairos Presse]

Conférence de Pierre Chaillot, statisticien, auteur de la chaîne « Décoder l’éco »

[Voir aussi :
Le mythe de la contamination épidémique]




Hospitalisation, décès et vaccination anti-covid : « Le ministère de la Santé ne dit rien »




Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins

[Source : favoris-alcyonpleiades]

Le Dr Ana Mihalcea explique que les gens se sont vu injecter des technologies très avancées par le biais de ces armes technologiques appelées « injections Covid-19 », qui ne sont pas des vaccins. Ils veulent pirater les humains comme des animaux et contrôler leur esprit.

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
En route vers l’esclavage de l’Humanité ?
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Piratage d’humains – Individus ciblés
Nanotechnologie et « vaccins »
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]






Comment l’argent de Bill Gates et de FTX a acheté le silence scientifique

[Source : aubedigitale.com]

Par Jeffrey A. Tucker Jeffrey A. Tucker

Avec du recul, il est tout à fait étrange que le monde de la science ait pu rester si silencieux alors même que le monde se verrouillait et que des milliards de vies étaient brisées par les gouvernements du monde entier. Le silence était assourdissant. 

Nous sommes passés d’une lettre du 2 mars 2020 signée par 800 experts en santé publique associés à l’université de Yale – qui mettait en garde contre les quarantaines et les fermetures – à une étrange disparition de presque toutes les voix claires quelques semaines plus tard. Et les choses en sont restées là pendant la majeure partie de deux ans.

Les gouvernements ont été autorisés à créer un vaste carnage sur la base d’une expérience inédite n’ayant absolument aucun précédent dans l’histoire et aucune littérature scientifique ne l’étayant. Même le plan de lutte contre la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ne prévoyait rien de tel que le confinement comme solution à un agent pathogène répandu. À l’époque, il était évident pour moi et pour d’autres que ce silence n’était pas dû à un large accord avec les politiques mais à quelque chose d’autre.

Ce quelque chose, malheureusement, c’était l’argent.

Nous découvrons de plus en plus le rôle accru que la bourse de crypto-monnaies FTX a joué dans l’acheminement de l’argent vers les principaux avant-postes de santé publique et les universitaires des universités Johns Hopkins et Stanford, ainsi que ses liens familiaux avec le département de santé publique de l’université Columbia. Et avant l’ouverture de ce robinet de financement, il y avait la Fondation Gates, qui était clairement passée d’une recherche apparemment non partisane à un soutien total aux confinements.

[Voir aussi :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Bien sûr, il n’y a pas une seule explication à ce désastre. L’ensemble de la profession avait déjà été infecté par le virus intellectuel du rationalisme mécaniste et de la modélisation. L’idée était qu’il suffisait d’assembler quelques mathématiques et équations et de laisser l’ordinateur prendre le relais pour obtenir une image de l’évolution de la maladie selon divers scénarios. Ces modèles sont facilement manipulables par de petites modifications des variables.

Deborah Birx s’est entièrement appuyée sur ces modèles pour obtenir de l’administration Trump le feu vert pour le confinement. Et il n’y a plus aucun doute sur cette histoire maintenant que le compte Twitter de Trump est à nouveau vivant. La fin de la censure nous permet de voir comment il a été poussé à rejeter ses meilleurs instincts et à adopter au contraire une politique de confinement, non seulement pendant deux semaines, mais aussi pendant les mois qui ont suivi, jusqu’à critiquer le gouverneur Brian Kemp de Géorgie pour une ouverture que Trump considérait comme « trop précoce. »

(Pour l’anecdote, la restauration du compte de Trump nous permet également de voir que ses deux derniers tweets exhortaient tous les manifestants du 6 janvier 2021 au Capitole à rester pacifiques et à respecter le bleu. Il n’est pas étonnant que l’ancien régime de Twitter ait voulu bloquer son compte et le faire disparaître).

Après avoir étudié de près cette trajectoire, il semble impossible de négliger les motifs politiques ici. Il ne fait aucun doute que de nombreuses élites, en de nombreux endroits, se sont déchaînées au point d’être prêtes à écraser l’ensemble de la société et même à renoncer à deux ans d’éducation pour les enfants afin de chasser Trump du pouvoir. Le complot consistait à l’amener à faire lui-même l’appel initial en lui racontant des mensonges sur la gravité du virus et l’efficacité des confinements. Il ne fait aucun doute qu’il a été trompé.

Cependant, en plus de ces facteurs, on ne peut négliger les facteurs financiers. Il est clair que les subventions accordées à l’époque et pendant les deux années suivantes étaient clairement en faveur des confinements et du Parti démocrate, ainsi que des médias d’élite et de leur ligne narrative selon laquelle l’ouverture équivaut à la mort et les confinements/port de masques/obligations relèvent de l’esprit public.

Un grand nombre de scientifiques qui auraient pu et dû s’exprimer se sont tus ou, pire, ont prêté leur voix pour soutenir le scandale. Cela s’explique en grande partie par le mode de financement de la science au niveau universitaire. Il s’agit d’obtenir la prochaine subvention. C’est tragique, mais il y a là une forte motivation à formuler ses opinions d’une manière qui ouvre la voie à de futures sources de financement.

C’est pourquoi il n’est pas nécessaire que chaque scientifique vendu reçoive des fonds directs de Gates, FTX ou de l’industrie pharmaceutique. Pour contrôler tout un secteur de l’opinion, il suffit de faire courir le bruit qu’une source de financement est là, avec d’innombrables millions, et qu’elle est prête à passer à la caisse.

En conséquence, même les personnes les plus intelligentes et les plus crédibles peuvent être facilement mises au pas. Et il ne fait aucun doute que FTX a rapidement acquis la réputation d’être en quelque sorte préoccupé par la « planification de la pandémie » et que l’ensemble de l’industrie s’est aligné, la main dans le sac. Après tout, FTX a promis 100 millions de dollars de subventions !

C’est pourquoi, selon le Washington Post :

« L’onde de choc de la chute libre de FTX s’est propagée dans le monde de la santé publique, où de nombreux leaders de la préparation à la pandémie avaient reçu des fonds des bailleurs de fonds de FTX ou cherchaient à en obtenir. »

La partie recherche est essentielle ici. Mais la piste de l’argent l’est tout autant. Le FTX a financé les dernières étapes des plus grands essais de thérapies réadaptées pour le COVID. D’innombrables vies étaient en jeu dans ces essais. De nombreux médecins du monde entier avaient obtenu d’excellents résultats dans des circonstances difficiles grâce à des médicaments génériques tels que l’HCQ, l’Ivermectine, la fluvoxamine et d’autres, en particulier lorsqu’ils étaient utilisés avec d’autres vitamines et du zinc. Il était crucial de les tester.

Les résultats ont été soutenus par un blitz médiatique prévisible : ces thérapeutiques ne fonctionnent pas. Entre-temps, l’étude a été sévèrement critiquée, non seulement pour la mauvaise construction de l’étude, mais aussi pour les conflits d’intérêts des chercheurs de haut niveau qui ont également consulté des sociétés pharmaceutiques.

Tout cela est très important, car on a le sentiment que la raison pour laquelle les Instituts nationaux de la santé, la Fondation Gates et les grands médias ont négligé la thérapeutique, en dénigrant tous ceux qui suggéraient qu’il y avait peut-être une meilleure solution, pourrait être liée à la motivation économique de la fermeture des alternatives bon marché aux vaccins.

Le journaliste indépendant Alexandros Marinos a retracé la chronologie de l’étude :

La Fondation Gates a été la première à intervenir, suivie de Rainwater et de FastGrants. FastGrants est un programme établi par la Fondation Charles G. Koch qui a également fini par donner de l’argent au modélisateur Neil Ferguson de l’Imperial College, qui a été le premier à faire la propagande du confinement au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. FTX a calqué son propre programme d’octroi de subventions sur FastGrants, puis a repris le financement plus tard dans le processus. (Il y a une ironie suprême ici : le mensonge partout sur internet était que la Déclaration de Great Barrington était financée par Koch, alors qu’en fait ce flux d’argent allait à l’opposition !).

En outre, le Post note que FTX « a accordé 1,5 million de dollars au Center for Innovation in Global Health de l’Université de Stanford en juillet pour des subventions de démarrage destinées à « catalyser la recherche et les innovations qui préparent et aident à prévenir la prochaine pandémie ».

Également :

« Les engagements du Future Fund comprenaient 10 millions de dollars à HelixNano, une start-up de biotechnologie cherchant à développer un vaccin de nouvelle génération contre le coronavirus ; 250 000 dollars à un scientifique de l’Université d’Ottawa cherchant comment éradiquer les virus des surfaces en plastique ; et 175 000 dollars pour soutenir l’emploi d’un récent diplômé de la faculté de droit au Johns Hopkins Center for Health Security. »

Nous ne savons pas combien d’argent Gates/FTX a donné au Center for Health Security de JHU (qui avait sponsorisé l’événement 201), mais c’était suffisant pour que le directeur du centre, Tom Inglesby, revienne complètement sur sa position antérieure contre les confinements pour en devenir un grand défenseur.

« Dans l’ensemble, le Future Fund [FTX] était une force du bien », a déclaré Inglesby au Post. « Le travail qu’ils faisaient essayait vraiment d’amener les gens à penser à long terme… à renforcer la préparation à la pandémie, à diminuer les risques de menaces biologiques. »

Suivre la piste de l’argent de FTX jusqu’à l’établissement de la santé publique révélera sans doute davantage d’informations, surtout si l’on considère que Gabe, le frère de Sam Bankman-Fried, dirigeait une organisation de lobbying entièrement consacrée à la « planification des pandémies. »

Il ne fait aucun doute que toute cette machine est devenue un mastodonte industriel en deux ans. Lorsque j’ai lancé le Brownstone Institute, mon téléphone et mes e-mails ont commencé à exploser d’offres d’argent et de financement, mais toujours avec une condition. Je devais connecter nos scientifiques avec leur réseau de scientifiques dans un système déjà établi.

Il n’y avait aucun doute dans mon esprit sur ce qui se passait : On me demandait de jouer le jeu en échange de gros chèques pour faire fonctionner cette jeune organisation à but non lucratif. D’une certaine manière, cela m’a étonné : On m’offrait un chemin vers la richesse à condition que je vide la mission de son contenu ! Et cela se passait avant même que nous ayons publié la moindre de nos recherches !

Donc, oui, j’ai vu comment ce système fonctionne de première main. Bien sûr, j’ai complètement rejeté l’idée, tout simplement parce qu’y adhérer aurait été contraire à l’objectif premier de la création d’un institut. Et pourtant, mes interlocuteurs présumaient qu’il ne s’agissait là que d’un autre racket dans un espace qui en regorgeait et que je serais heureux de renoncer à tous mes principes en échange d’un financement généreux. Je ne l’ai jamais envisagé, même un seul instant.

Il y a une tragédie grotesque dans tout cela. De grandes personnes ont renoncé à tous leurs principes et à leur intégrité en échange de subventions et de graisses de la part de gros bonnets qui ont utilisé leur argent et leur pouvoir pour détruire le monde en deux ans, et ils ont pu le faire avec très peu d’opposition professionnelle. Et pourtant, nous en sommes là aujourd’hui. Qui sont les véritables stars du monde scientifique aujourd’hui ? Pas ceux qui sont à la remorque de Gates/FTX. Ce sont les hommes et les femmes qui ont pris leur courage à deux mains pour faire ce qui est juste.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Le collectif ou l’humain ?

Les personnels non vaccinés et la voix de la « raison »

(Traces « éventuelles » de complotisme et de second degré dans le texte.)

Qui n’est pas horrifié par toutes ces personnes qui ne pensent qu’à leur petit confort ?
Le Covid aurait dû réveiller les consciences, mais il a été un révélateur d’une insouciance et d’une inconscience coupable.

Comment peut-on encore se réclamer des « droits de l’homme » ou du « droit de chacun à disposer de son corps » en ce début de 21e siècle rayonnant, tout en ignorant les dangers qui nous guettent ?

Ne serait-il pas temps d’oublier les slogans de mai 68 qui dénotaient un égoïsme et un individualisme forcené ?

Que dire de ces parents déconnectés de la « réalité » qui ne voulaient pas que leurs enfants portent un masque.
Au nom de quoi :

  • D’un prétendu droit à respirer librement ?
  • D’un prétendu risque sur la santé que ferait courir ce qu’ils nomment un préservatif facial ?
  • De problèmes d’apprentissage, de gestion des émotions, de dépressions ou de tentatives de suicides ?

Mais ressaisissez-vous !
Qu’est-ce que ces problèmes rarissimes ou imaginaires comparés au risque qu’ils faisaient et font encore courir aux adultes et à nos aînées ?!

Est-ce la société que nous voulons ?

Une société dans laquelle les enfants ne devraient surtout pas sacrifier
leur petit confort pour protéger les anciens.

Vous, oui vous les parents irresponsables, qu’avez-vous dit à votre enfant coupable d’avoir tué ses grands-parents dans la force de l’âge ?
Pourtant, c’est bien vous, parents, les coupables, coupables d’avoir fêté Noël avec eux au lieu de les parquer dans la cuisine, coupables de ne pas avoir porté de masque pendant le repas et coupables d’avoir laissé vos enfants les embrasser !

Ah ! vous me dites qu’ils voulaient serrer dans leurs bras leurs petits enfants, qu’ils étaient enfermés depuis des mois dans leur EHPAD, qu’ils ne voyaient personne, que les visages des personnels étaient masqués, qu’ils déprimaient, n’avaient pas le droit de se rendre dans le jardin, etc.
La belle affaire !
C’est vous les parents, c’était à vous de les protéger, d’imposer le masque jour et nuit à vos enfants.

Qui va vivre désormais avec la culpabilité d’avoir tué leurs grands-parents, c’est bien vos enfants, non1 ?

La liberté de l’individu doit s’effacer au nom du collectif en toutes circonstances !

Voulons-nous d’une société communiste d’entraide obligatoire pour le bien de tous ou pas ?

Les personnels non vaccinés

Je parle un peu durement, mais je vous avoue que c’est pour cacher ma colère vis-à-vis des soignants non vaccinés.

Rendez-vous compte ! Des soignants, des personnels qui sont là pour prendre soin des plus fragiles et qui refusent une petite piquousette !
Ma pensée est bien entendu la même concernant les pompiers qui ont fait de même au mépris de toute vie humaine.

Ah ils ont beau jeu de nous parler de serment d’Hippocrate, de consentement libre et éclairé ou de « Primum non nocere ».

Je suis d’accord, mais dans notre société ce qui compte avant tout c’est le :

En premier lieu, ne pas nuire aux autres !

La santé de chacun doit passer après la santé du groupe si nous voulons faire société.

Celles et ceux qui s’y opposent doivent bien évidemment être exclus pour maltraitance collective !

Maltraitance, maltraitance, je devrais plutôt dire « comportements criminels ».

Le passe vaccinal est souhaitable et moral et il en sera demain de même du passe carbone.

Les égoïstes en bonne santé, asymptomatiques, qui refusaient le masque et la vaccination Covid seront les mêmes qui refuseront de rester chez eux, de se chauffer à 19 °C maximum, renoncer à leur liberté de mouvement ou d’acheter une voiture électrique pour sauver la planète.

Il n’est pas acceptable, par des comportements égoïstes et irresponsables,
de répandre la mort au nom d’une prétendue liberté.

J’en reviens donc à ces soignants et pompiers criminels qui n’ont pas hésité à tuer pour ne pas se vacciner.

Quels sont leurs arguments fallacieux ?

  • Un prétendu droit à disposer de son corps arguant qu’une vaccination ne peut être défaite.
  • Une prétendue absence de recul quant aux éventuels effets secondaires alors que des milliards de personnes sont vaccinées et que tout va bien.
  • Une prétendue inquiétude quant à la technologie novatrice à ARNm et la prétendue utilisation de graphène.
  • Une prétendue absence d’efficacité contre la contagion alors même qu’il ne pouvaient disposer d’aucune preuve de non-efficacité, cela ayant été confirmé récemment par un représentant de Pfizer précisant que cela n’avait jamais été testé.

Nous voyons bien que ces arguments ne font pas le poids au regard de la mortalité terrible de ce Covid pour lequel il n’existe toujours pas de traitement efficace.

Je vous rappelle que d’un point de vue légal, aucun vaccin n’aurait pu voir le jour s’il y avait eu des traitements au moins aussi efficaces que ces vaccins…

Le fait que l’on ait dépensé des milliards pour les mettre au point alors que l’on aurait pu utiliser
des médicaments génériques est bien la « preuve » qu’aucun traitement ne pouvait fonctionner.

Il y a un autre point que ces soignants complotistes n’arrivent pas à appréhender.

C’est parce que le masque protège, que les gestes barrières protègent,
que l’aération des locaux protège, que le lavage des mains protège et que le vaccin protège.
Pour toutes ces raisons, le soignant DOIT AUSSI faire de même,
au risque de mettre en danger le malade protégé, masqué et vacciné.

N’importe quel primitif pourrait comprendre.

Réintégrer les personnels non vaccinés ?

J’en entends des absurdités, mais celle-ci est totalement délirante.
Je veux bien être bon prince et que l’on réintègre celles et ceux qui reconnaîtraient leur faute sur la place publique en reprenant le parcours vaccinal de la première à la cinquième dose…

Encore faudrait-il que l’on nous explique si les soignants doivent d’abord prendre 3 ou 4 doses du vaccin pour la souche qui n’existe plus puis prendre le bivalent pour une souche plus récente qui n’existerait pas non plus.
Mais si les soignants non vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le vaccin bivalent, pourquoi les non-vaccinés le devraient-ils ?
Mais si les non-vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le bivalent pourquoi devraient-ils être vaccinés pour une souche qui a disparu depuis longtemps et qui ne protège pas ou plus ?

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas le problème, ils doivent se soumettre à l’obligation même si elle est incompréhensible, point final.

Quant aux autres, ceux qui veulent persister dans leur crime, pourquoi devrions-nous les réintégrer ?

Le Président de la République a confié au ministre de la Santé la décision de les réintégrer ou pas, ministre nommé par le 1er ministre, lui-même nommé par le Président.
Dans sa grande sagesse le ministre de la Santé a dit que sa décision reposerait sur le conseil de la Haute Autorité de la Santé, organisme totalement indépendant s’il en est, dont le directeur est nommé par le Président de la République.
Il n’y a donc strictement aucun doute sur le fait que les recommandations de la HAS seront déconnectées de toute pression politique.

Revenons si vous le voulez bien au fond du problème.

On dit ici et là que le Covid est derrière nous alors que nous allons entamer la 8e vague, comme le temps passe…
On dit ici et là que le vaccin ne protégerait pas de la transmission.
Mais quand bien même il ne la bloquerait qu’à 0,3 %, c’est déjà 0,3 % de gagné et comme en plus le produit semble 100 % sans danger, à quoi bon hésiter.

Je vous rappelle que les autorités de santé avaient décrété à juste titre que le rapport bénéfice vs risque pour les enfants était positif quand bien même le risque n’avait pas été évalué spécifiquement pour eux.
Ce qui est logique, le produit étant inoffensif pour les adultes, les enfants étant des mini adultes, il va de soi qu’il était sans danger aussi pour les enfants.
Et quand bien même le risque d’avoir une forme grave pour un enfant en bonne santé était quasi nul, le rapport bénéfice risque était donc positif pour les enfants.
(Le risque est QUASI nul. Il y a donc un risque, et comme le produit est sans danger, CQFD).

Quid de la morale ?

Nous avons de bons soignants qui se sont spontanément injectés par devoir et qui devraient reprendre le travail avec ces monstres d’égoïsme ?

C’est comme si ces non-vaccinés portaient un tee-shirt en salle de soin « rien à branler des autres ».

Vous imaginez l’exemple délétère pour notre belle jeunesse qui a été la première à se masquer et à renoncer à ses interactions sociales pour sauver leurs grands-parents qui seraient par la suite assassinés par des personnels non injectés ?!

Et puis, vous pensez un peu aux patients qui devraient avoir affaire à ces inconscients.

Si vous les réintégrez sans signe distinctif alors les malades vont vivre dans l’angoisse permanente.

« Cette infirmière qui s’approche de moi, qui me soigne,
est-elle vaccinée ou risque-t-elle de me donner la mort ? »

Vous imaginez l’enfer de leur séjour à l’hôpital, un risque d’être tué pendant son sommeil ?

Il existe une alternative qui consisterait à obliger
les soignants non vaccinés réintégrés à porter une blouse jaune.

De fait tout un chacun serait informé de la dangerosité de la personne qui s’approcherait d’elle.

Cette technique éprouvée et séduisante a pourtant ses limites.

Quelle personne saine d’esprit (soignant ou malade vacciné) accepterait
d’être approchée par un non-vacciné ?!

Attendez, je m’emballe.

Vous et moi savons que les hôpitaux sont saturés par les non-vaccinés, bien évidemment.
Vous n’allez quand même pas croire les complotistes qui disent n’importe quoi.
Les médecins qui étaient invités (une fois) puis réinvités (des dizaines de fois) nous disaient bien que seuls les non-vaccinés saturaient leur service.

De fait il y a pléthore de non-vaccinés dans les services qui, débilité oblige, préfèrent être soignés par des non-vaccinés.
Vous voyez où l’extrémisme, la folie devrais-je dire, peut vous amener… attendez ils pourraient même refuser d’être touché par un soignant vacciné !
Ce que je peux vous dire c’est que ce type de complotistes allumés existe et j’en connais.

Il existerait donc une solution parce que nos dirigeants et nos soignants demeurent bons par nature.

J’ai entendu ici ou là quelques colères légitimes de soignants.

« On se casse le cul à sauver la planète de la pandémie,
au début on avait des blouses en sac poubelle,
on a maintenant un vaccin efficace et inoffensif
et ces irresponsables de non-vaccinés vont tout foutre en l’air !
À cause d’eux, on va être obligé de laisser mourir des gens biens (vaccinés)
du fait de la saturation des services par les non-vaccinés. »

De fait, « Laisser crever les non-vaccinés » semblait une hypothèse séduisante et morale.

Je reviens donc à mon idée.
Les non-vaccinés étant légions, il ne serait que justice d’ouvrir dans chaque hôpital un service réservé aux non-vaccinés.
Ce qui n’aurait que des avantages :

  • Permettre aux soignants non vaccinés d’être réintégrés et de s’occuper de ces sous humains.
  • Permettre aux malades et aux soignants vaccinés de ne pas les côtoyer (attention, il faudrait quand même garder la blouse jaune aux soignants non vaccinés et un logo canard jaune pour les malades non vaccinés afin d’éviter tout accident).
  • Permettre aux non-vaccinés de ne pas côtoyer des soignants vaccinés.

Bref du merveilleux pour tout le monde :

Une société inclusive, mais avec des castes.

Aucune indulgence pour les criminels

Certaines voix timides et bien heureusement muselées par les médias sociaux ou la presse mainstream s’élèvent pour « alerter » sur la situation des personnels non vaccinés.

« Les pauvres, ils n’ont plus le droit de travailler depuis plus d’un an. »
« Les pauvres, ils ne touchent plus aucun salaire. »
« Les pauvres, ils n’ont pas droit au chômage. »
« Les pauvres, ils vivent dans une incertitude totale. »

et patati et patata…

Mais pourquoi devrions-nous nous en émouvoir ?
Ils l’ont bien cherché !
Ce n’est pas moi qui les oblige à ne pas travailler, c’est eux qui refusent !

La preuve ?
Il suffit qu’ils remplissent leur devoir, se vaccinent, et ils peuvent recommencer à travailler dès demain !

Ils payent leur obstination et leur manque de civisme et ce n’est que justice.

De toutes les façons, nous voyons bien qu’ils n’ont rien à faire dans cette profession.
Leur égoïsme intégriste prouve à quel point ils ne pensent qu’à eux et que le bien être du patient passe bien après.

Attendez l’autre jour, j’en ai entendu une oser dire « j’ai refusé de vacciner mes patients pour les protéger. »
Elle se fait passer pour une bonne personne arguant qu’ils n’avaient pas reçu « une information juste et exhaustive » et que leur état de santé ne leur permettait pas de donner un « consentement libre et éclairé ».
C’est n’importe quoi !

Il est du devoir de l’État et des soignants de protéger les plus faibles y compris d’eux-mêmes.

Seuls l’État et son bras armé, les soignants, savent
ce qui est bon pour la population et les malades.

Un bon soignant n’a pas la connaissance, l’intelligence, le savoir pour prendre les bonnes décisions, raison pour laquelle les instructions doivent venir d’en haut.

Un bon soignant est là pour obéir, fermer sa gueule
et suivre à la lettre les protocoles.

En l’occurrence, protéger autrui, c’est lui injecter le vaccin Covid quand bien même il est expérimental.

Je ne comprends pas pourquoi il y en a qui n’ont toujours pas démissionné,
Ce geste aurait un minimum de noblesse pour ce qui leur en reste.

La « souffrance » des soignants ?

Nous avons de nombreux témoignages de personnels non vaccinés qui n’en peuvent plus.
Je viens d’apprendre le décès de l’une d’entre-elles qui « se serait suicidée ».

Même si nous ne pouvons pas affirmer que sa suspension en est la cause principale, il nous est impossible de nier que cela aura été de nature à dégrader son état psychologique.

Est-ce à dire que ce que nous pourrions nommer leur interdiction d’exercice et sans salaire une « torture mentale » à leur encontre ?
Notamment le fait qu’ils n’aient aucune projection… « Vais-je être réintégré, vais-je être licencié, cela va se poursuivre combien de temps ? »

Cela pose un problème.

Nous avons vu que l’intérêt du collectif DOIT passer avant l’intérêt de l’individu.

Il ne s’agit pas ici de dire si les mesures prises sont bonnes ou pas, là n’est pas le sujet.

Quand bien même la vaccination serait efficace,
quand bien même le vaccin serait sans effet secondaire,
cela est-il une donnée nécessaire et suffisante
pour imposer la vaccination et suspendre les non-vaccinés ?

Une société qui prône le collectif avant l’individuel ne doit pas se poser cette question !

Imaginez une inondation avec une digue qui a cédé, ce qui pourrait entraîner une coulée de boue pouvant tuer potentiellement 10 000 personnes.
Par « miracle » une voiture s’encastre dans le trou et fait barrage protégeant ainsi la vallée.
Malheureusement il y a dans la voiture une famille avec 3 enfants, dont un bébé de 6 mois.

Ils vont se noyer de façon certaine avec la montée des eaux.
Le seul et unique moyen de les sauver est d’hélitreuiller l’auto avec ses occupants.
Si cela est fait alors la famille est sauvée, mais une coulée de boue risque de tuer 10 000 personnes dont des enfants en bas âge.

Que faites-vous ?

  • Si vous raisonnez en termes de collectif la question ne se pose pas, on laisse la famille se noyer sous nos yeux et le crépitement des flashs des journalistes.
  • Si vous êtes dans l’auto ou de la famille des occupants, vous seriez plutôt pour que l’on vienne les sauver ou au moins les enfants.
  • Si vous êtes dans la vallée, l’idée d’enlever l’auto et de sauver ses occupants ne vous tente guère.

Bien entendu l’idéal serait de sauver tout le monde, mais ce n’est pas toujours possible.

J’en reviens donc aux soignants et en particulier à ce drame
de cette mère qui laisse derrière elle
des enfants en bas âges devenus orphelins « pour le collectif ».

Si nous ne l’avions pas suspendu, on peut raisonnablement supposer qu’elle n’aurait pas mis fin à ses jours et raisonnablement supposer que ses enfants ne seraient pas orphelins.
Est-ce un simple « dommage collatéral » ?

Vous me direz que pour eux le drame est déjà écrit, mais quid des autres ?
Quid de tous ces pères ou mères qui n’en peuvent plus et dont certains vont peut-être passer à l’acte ?
Ils sont comme cette famille dans l’auto.

S’il y avait toujours le Covid, si le vaccin était efficace, s’il avait une mortalité importante, s’il n’y avait pas de traitements ou de possibilités de protéger les plus faibles autrement, si, si, alors on pourrait peut-être se poser la question.

Doit-on suspendre les non-vaccinés au risque de… ?
Ou
doit-on les laisser exercer et voir ce que l’on peut faire autrement ?

Je vous rappelle que depuis l’obligation vaccinale
un médecin n’a même pas le droit de faire de la télémédecine.
Des administratifs non vaccinés qui ne voient jamais les patients sont aussi interdits de travail.

Où est l’intérêt collectif ?

Enfin toutes les affirmations précédentes sur le Covid n’ont pas (ou plus) lieu d’être.
Cela veut dire que ces personnels ne sont pas ou plus une menace pour la société.

Doit-on les pendre en primetime pour l’exemple ?
Doit-on laisser leur corps pourrir et bouffé aux corbeaux pour que lorsque le problème de vaccination obligatoire se posera à nouveau, les soignants soient bien conscients de ce qui les attend s’ils refusent ?

Je vous laisse méditer.

Merci

Alain Tortosa2

23 novembre 202
https://7milliards.fr/tortosa20221123-collectif-ou-individu-obligation-vaccinale.pdf





Effets secondaires des vaccins Covid, état de la « science ». (Et ce n’est pas une blague !)

Par Alain Tortosa

Les antivax à l’origine des effets secondaires des vaccins Covid ?
C’est l’hypothèse « solide » retenue par une étude !

Voici le résumé de l’étude :

« Les vaccins Covid 19 et la mauvaise interprétation de la clarté des effets secondaires perçus sur la sécurité des vaccins1. » de Raymond D. Palmer publié dans la revue médicale Biomedecine

« À l’ère de Covid 19 et des programmes de vaccination de masse, le mouvement anti-vaccination à travers le monde est actuellement à un niveau record. Une grande partie de ce sentiment anti-vaccination pourrait être attribuée aux effets secondaires présumés qui se perpétuent sur les réseaux sociaux par les groupes anti-vaccination.

L’alarmisme et la désinformation colportés par des personnes sans formation scientifique pour terroriser les gens afin qu’ils restent non vaccinéspourraient également causer plus d’effets secondaires observés dans le processus de vaccination.

Cette brève revue offrira des données qui pourraient démontrer que la désinformation perpétuée par le mouvement anti-vaccination peut causer plus de décès et d’effets secondaires pour n’importe quel vaccin.

Une mini revue de la littérature publiée a été menée et a révélé que le stress mental provoque clairement une vasoconstriction et une constriction artérielle des vaisseaux sanguins.

Par conséquent, si les sujets sont paniqués, inquiets, stressés ou effrayés par la vaccination, leurs artères se contracteront et deviendront plus petites au moment de recevoir le vaccin. Ce mécanisme biologique (la constriction des veines, des artères et des vaisseaux sous stress mental) est la cause la plus probable de caillots sanguins, d’accidents vasculaires cérébraux, de crises cardiaques, d’étourdissements, d’évanouissements, d’une vision floue, d’une perte d’odorat et de goût qui peuvent avoir été vécue peu de temps après l’administration du vaccin.

Le stress mental extrême du patient pourrait très probablement être attribué aux tactiques de peur et propos alarmistes utilisés par divers groupes anti-vaccination. »

(Il est précisé dans la suite que l’article n’a pas vocation d’exclure tous les effets secondaires mais insiste sur la forte probabilité du stress induit par les antivax.)

Pour résumer :

La quasi totalité des effets secondaires allant de la perte d’odorat à la crise cardiaque sont « très probablement » causés par le stress induit par les désinformations véhiculées par les antivax.
Il y a des gens pour gober ?

À noter que si les antivax sont coupables de tuer les vaccinés du fait du stress induit artificiellement, il n’en est pas de même du stress induit par le gouvernement pour le Covid.

Autant les antivax sont des criminels mais le gouvernement et les médias qui ont énuméré les morts jours après jours, paniqué, confiné, obligé un masque pour rendre visible une épidémie invisible n’a « probablement pas » été de nature à accroître le stress des malades et précipité leur mort, logique non ?

Merci

Alain Tortosa2
23 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221123-les-antivax-causes-effets-secondaires.pdf





Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…

Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?

On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :

« la réintégration des soignants non vaccinés au Covid-19 reste à ce stade en suspens. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le ministre Braun a assuré qu’il rendrait son avis dans les mois à venir. Mais il prévient : cette situation pose deux problèmes, l’un sanitaire, l’autre d’“éthique professionnelle”.

« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »

Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».

Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.

Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.

Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».

Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2

Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.

Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.

Le ministre a dit :

« On meurt tous les jours en France du covid ».

D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.

Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?

On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :

« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :

Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :

Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana

Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?

Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4

Mais Christine Cotton affirme :

« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5

Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?

On peut lire la définition du Larousse :

Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6

Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :

« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.

On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”, 8

Quels sont les principes de l’éthique médicale ?

L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :

1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.

2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”

3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.

4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”

Qui doit respecter une éthique médicale ?

L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.

L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)

La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »

En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..

Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.

Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .

Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.

L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.9 10

Des pages entières, et de nombreux livres 11 12 13 14 15 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.

LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS

Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.



Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?

Voici les informations en direct du parlement européen :

Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !

Par Médecine du Sens Canal Info

« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »

Plus de 240 témoignages dans ce film :



Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues

Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé

La lettre ICI
L’argumentaire scientifique ICI
Annexe « Obligation vaccinale en Europe » ICI
Annexe « Évaluation vaccins bivalents » ICI

Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni

Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.

C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17

Des sénateurs s’engagent >

Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18

« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.

Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».

Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :

15 sept 2021 – 20 Nov 2022

« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »

Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.

« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.

Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.

Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.

Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.

J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.

À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.

Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.

J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »

Betty Infirmière 19


1 Covid-19 : la réintégration des soignants non vaccinés pose un problème d’« éthique professionnelle », selon Braun Par Dinah Cohen Publié le 20 novembre 2022 à 14 h 45 le figaro

2 https://youtu.be/mfOBQiw3b8w 19 nov. 2022
En direct de la table ronde « Justice pour les suspendus : Réintégrons les intégrés ! » du réseau « On sans pass » avec la sénatrice Laurence Muller-Bronn

3 Spike Protein Syndrome. News | ImunoMedica Clinic (imuno-medica.ro) «  il a été largement identifié ce que le Dr Thomas Levy appelle le “syndrome de la protéine Spike”, une pathologie causée par la propagation de la protéine Spike dans tout le corps, soit à la suite de la maladie COVID-19, soit à la suite de la vaccination COVID. Les symptômes sont principalement des réactions auto-immunes et peuvent inclure : insuffisance cardiaque, lésions cardiaques, crise cardiaque, myocardite ; hypertension pulmonaire, thromboembolie et thrombose pulmonaire, lésions du tissu pulmonaire, fibrose pulmonaire possible ; augmentation des événements thromboemboliques veineux et artériels ; Diabète ; les complications neurologiques, y compris l’encéphalopathie, les convulsions, les maux de tête et les maladies neuromusculaires, ainsi que l’hypercoagulabilité et les accidents vasculaires cérébraux ; dysbiose intestinale, maladie inflammatoire de l’intestin et intestin perméable ; lésions rénales ; altération de la capacité de reproduction masculine ; lésions cutanées ; maladies auto-immunes générales, anémie hémolytique auto-immune ; dommages au foie. »

4 @MullerBronnL @noel_sylviane @SGoyChavent https://t.co/KvjloMKU1w

5 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/24/20210921-cada21v210-covid-diapo3-2021.pdf

6 Komplette Liste auf larousse.fr

7 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2835237-ethique-medicale-definition-exemple-pour-qui-principe/

8 décrit le Pr Régis Aubry, Président la Plateforme national de recherche sur la fin de vie et membre du Comité Consultatif National d’Éthique.

9 EN 2020 LA COVID A BIEN MOINS TUÉ QUE LE DÉFAUT DE SOINS ET LE RIVOTRIL, en 2021 et 2022 arrive le SURMORTALITE VACCINALE, toutes les preuves statistiques d’une pandémie médicamenteuse | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

10 L’académie de médecine a introduit cette notion d’éthique « En conséquence, l’objectif du maintien de leur suspension ne peut être que l’expression d’une volonté politique. Il faut à cet égard écouter l’Académie de Médecine qui considère que, “le refus de se faire vacciner est incompatible avec le métier de soignant”, mais surtout que “réintégrer les soignants non vaccinés serait une faute” et “compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre (les membres de l’équipe soignante) et avec les malades” (avis du 19 juillet 2022). Pour les opposants à la réintégration des personnels non vaccinés, on ne pourrait laisser des personnes soigner alors qu’elles ne croient pas en la science, mettant en doute l’efficacité des vaccins ou encore, parce qu’il serait normal d’exiger de ceux qui prennent soin des autres qu’ils prennent soin d’eux-mêmes. Certains vont jusqu’à dire qu’en refusant de se faire vacciner, ces personnels auraient démontré qu’ils n’adhéraient pas aux valeurs du soin. » « Le refus de réintégrer les soignants non vaccinés trahit une conception scientiste et puritaine de notre droit » (marianne.net)

On peut s’étonner que l’académie transforme la « science » en une croyance !

11 Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Poche 6 janvier 2021, Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! Livre grand format, 31 mars 2021, Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu — Livre grand format, 2 novembre 2022

12 Laurent Toubiana, covid 19 — Une autre vision de l’épidémie : Les vérités d’un épidémiologiste

13 Jean-Loup Isambert, Le scandale Ivermectine, Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid19 22 octobre 2021

14 Didier Raoult Epidémies : vrais dangers et fausses alertes 26 mars 2020 (Michel Lafon), Carnets de guerre — Covid-19 —, 11 février 2021, Au-delà de l’affaire de la chloroquine Broché – Livre grand format, 14 octobre 2021

15 Nicole Delépine et Gérard Delépine : Autopsie d’un confinement aveugle, paru le 15 septembre 2020 ; Les enfants sacrifiés du covid, paru le 24 janvier 2022 et tellement d’autres auteurs et livres importants que nous n’avons pas la place de citer.

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18 Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux | FranceSoir

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https://t.me/LaVeriteCensureeoff




Pour bénéficier de médecins, il faut les libérer ! Les contraintes les font fuir

Par le Dr Gérard Delépine

La liberté est le meilleur stimulant de l’activité médicale et de toute activité. Maintenir l’exclusion des soignants non vaccinés et supprimer la liberté d’installation ne peuvent qu’augmenter le nombre des déserts médicaux.

La tyrannie politique et bureaucratique décourage les médecins

Depuis plus de 20 ans, le mépris des autorités et les contraintes bureaucratiques imposées aux médecins par les ARH puis les ARS, la sécurité sociale ou l’ordre des médecins n’ont cessé de s’alourdir les détournant progressivement de leur sacerdoce.

Durant ces 3 dernières années, les mensonges officiels, les contraintes sans fondement scientifique et les poursuites contre les résistants ont culminé avec des déclarations officielles telles que « En cas de symptômes qui pourraient évoquer le coronavirus, quels qu’ils soient, ne sortez pas, ni pour aller chez le médecin »1, l’interdiction de certaines prescriptions par le ministère de la Santé comme la chloroquine 27 mai 2020 puis de certains antibiotiques, les recommandations voire injonctions du Rivotril pour nos aînés, les poursuites de l’ordre contre les médecins qui ont guéri des malades de covid ou qui ont simplement présenté des faits démentant la propagande officielle.

L’autoritarisme anti-scientifique a atteint un sommet avec l’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés, puis son maintien en France alors que tous les autres pays européens l’ont abandonnée.

Récemment France Assos Santé2, qui collabore avec les agences régionales de santé dont la HAS3, a montré son ignorance des faits avérés et joué le rôle de supplétif du gouvernement en demandant la prolongation de l’obligation vaccinale pour les soignants et pompiers et en réclamant l’assignation autoritaire du lieu de première installation des médecins. Deux grosses erreurs.

L’obligation vaccinale de certaines professions n’a aucun intérêt médical, nous prive de soignants aguerris, et décourage les autres

Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher quiconque d’attraper la maladie et de la transmettre. L’évolution de l’épidémie, décrite par les données de l’OMS, montre en effet qu’on a observé 3,5 fois plus de nouveaux cas mensuels depuis les larges campagnes d’injection (en moyenne 1000 nouveaux cas mensuels avant les injections contre 3500 depuis les larges campagnes de pseudo vaccination)

De même les pseudo vaccins sont incapables de protéger des formes graves contrairement aux affirmations répétitives du pouvoir et collabos, puisque la mortalité mensuelle attribuée au Covid a augmenté depuis les injections alors qu’elle est restée stable ou a diminué dans les pays peu vaccinés.

Comment peut-on prétendre que l’administration de pseudo vaccins inefficaces serait capable de protéger les personnes fragiles au contact des soignants 4 ?

En Europe, tous les autres pays ont officiellement reconnu l’inutilité de cette mesure et l’ont supprimée.

Pourquoi une association qui prétend défendre les patients nie-t-elle la réalité des faits et réclame-t-elle la prolongation de cette obligation dont le seul résultat est de nous priver de soignants et pompiers dont nous manquons si cruellement et de désespérer les autres ?

Par ses déclarations France Assos Santé contribue à aggraver le manque de soignants compétents, responsable de l’état catastrophique de l’hôpital5 et des déserts médicaux !

Combien de temps encore nos autorités nieront-elles les faits avérés reconnus par les autorités sanitaires de la totalité des pays voisins et maintiendront-elles cette mesure politique de censure6 destinée à empêcher que les soignants vaccino prudents trop honnêtes7 puissent faire part de leurs doutes et constatations cliniques aux patients ?

La fin de la liberté d’installation entraînera de nouveaux déserts médicaux

Un médecin, par ses obligations professionnelles et en particulier les consultations urgentes, est contraint d’habiter près de son lieu d’exercice. Lui assigner un lieu d’exercice revient à l’assigner à résidence, mesure normalement décidée jusqu’ici par un juge et qui concerne habituellement une personne mise en examen dans le cadre d’une instruction.

Assimiler les nouveaux médecins à des mis en examen ne constitue pas vraiment un signal encourageant de bienvenue.

France Assos Santé prône l’assignation à résidence des nouveaux médecins sans réaliser qu’une telle mesure peut dissuader de faire des études de médecine et inciter davantage de soignants déjà formés à fuir encore plus vers l’étranger.

Ces annonces impactent fortement le bien-être des étudiants. Quatre étudiants sur cinq (81,1 %) ont l’impression de ressentir davantage d’anxiété. 35 % estiment avoir une santé mentale mauvaise ou plutôt mauvaise alors qu’ils n’étaient que 20 % auparavant et un étudiant sur trois (32,7 %) a pensé à arrêter ses études.

On n’attire pas les mouches avec du vinaigre

Le 17/11/22, à l’occasion de la 4e journée de mobilisation contre la création d’une « dixième année » d’études médicales affectées à des stages dans les déserts médicaux initiée par l’ensemble des syndicats médicaux étudiants (Isnar-IMG, Anemf), et des jeunes médecins (ReAGJIR), soutenus par des syndicats seniors (MG France, CSMF, FMF, SML), Yaël Thomas, président de l’Association Nationale des Étudiants en Médecine de France (Anemf)8 rapporte que 54 % des étudiants réfléchissent de plus en plus à exercer en dehors de la France, quand 5,3 % sont sûrs d’exercer ailleurs. Seuls 11,1 % se disent sûrs de rester dans l’Hexagone

Dr Agnès Giannotti, présidente de MG France :

« Nous avons besoin de jeunes médecins, mais les mesures prises ne peuvent que les faire fuir ! »

Dr Corinne Le Sauder, présidente de la FMF :

« Des médecins qui ont beaucoup donné à ce beau métier vont quitter la profession en raison des mesures toujours plus contraignantes. »

Barbara Begault, porte-parole de l’Isnar-IMG :

« Ça fait deux mois que nous sommes ignorés ! Aux yeux du gouvernement, nous ne sommes pas des étudiants, mais juste de la monnaie d’échange. »

« Et quand on fait valoir notre droit de grève, on nous insulte de terroristes. »

« Malgré le mépris et les menaces, nous ne fléchissons pas !’ »

« Non à la coercition ! »9

Comment éviter que notre médecine ressemble à celui des pays pauvres ?

Ce n’est pas défendre les patients que de prôner des mesures autoritaires qui feront fuir encore plus de soignants. Pour reconstruire l’hôpital et obtenir un maillage national équilibré de médecins, il faut écouter leurs revendications.

Halte aux mesures autoritaires !

Réintégration de tous les suspendus avec paiement des arriérés.

Annulation des jugements iniques du conseil de l’Ordre envers les médecins qui n’ont fait que leur devoir en soignant effectivement les malades et/ou en informant la population.

Honorons dignement les soignants avec des salaires et honoraires proches de ceux pratiqués dans les pays voisins.

Dégraissage de la bureaucratie hospitalière et des agences régionales de santé en renvoyant au chevet des malades les médecins qui s’en sont détournés.

Confirmation des libertés de s’exprimer, de soigner, de prescrire des médecins et pour les malades de choisir leur traitement après un consentement libre et éclairé.

Sans soignants, il n’y a pas de médecine ni de soins. France Assos Santé ne l’a malheureusement pas compris et milite avec le gouvernement pour des mesures qui nuiront à terme aux patients.





Le Great Reset cible les enfants. La mode trans lancée

[Source : LHK]

Le président Biden s’exprime sur les enfants trans.

C’est la RTBF-Info belge qui rapportait en 2018 cette vidéo tournée dans une classe avec un titre alléchant : Les enfants aussi aiment les drag queens. Vidéo qui n’a fait que quelques milliers de vues :

« Depuis 2011, les besoins, enjeux et protocoles de soins destinés aux jeunes trans sont largement documentés et il ressort des travaux récents que ces jeunes sont plus à risque de suicide, discrimination, dépression, que leurs pairs. Or, la compréhension des facteurs causaux a changé, il devient évident que les expériences négatives liées à la discrimination sont responsables de ces difficultés psychiques et relationnelles. Lorsque les enfants sont acceptés et soutenus dans leur genre trans, ils ne diffèrent pas des autres enfants. Les structures de soins adaptées offrant un accompagnement respectueux et acceptant la différence de genre sont nécessaires. Trois axes d’intervention sont identifiés : les traitements hormonaux de retard de puberté, voire de puberté croisée, l’accompagnement des familles et la lutte contre le harcèlement scolaire. »

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2018/revue-medicale-suisse-621/un-futur-pour-les-enfants-et-les-jeunes-transgenres-que-savons-nous-sur-les-besoins-et-les-solutions

Le vernis scientifique est indispensable au programme de l’élite globaliste. Il est tout de suite suivi par des statistiques qui valent ce qu’elles valent :

Curieusement, la Suisse, très active en matière de bricolage de l’humain et de la législation qui l’accompagne, ne figure pas dans ce tableau.

[Voir aussi :
Biden approuve les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie pour les mineurs transgenres
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]]

La Suisse, toujours première de classe s’est préparée dès 2007.

En quoi consistent les traitements hormonaux ? À quel âge commence-t-on le traitement ? Comment s’assure- t- on du bienfondé du diagnostic ? Quel recul a-t-on sur la santé psychologique des enfants traités ?…

Une fondation, Agnodice, qui s’occupe en Suisse de transgenres et de non binaires de moins de 18 ans a été créée dès 2007.

https://agnodice.ch/wp-content/uploads/2021/08/Position_Agnodice_2021_Therapie_transaffirmative_vs-AMQG.pdf
But: la fondation a pour but de promouvoir en Suisse une société considérant la pluralité des genres et de leurs expressions comme une richesse relevant de la diversité humaine: une société qui réponde aux besoins spécifiques des personnes trans, non-binaires ou en questionnement de genre et qui leur offre l’intégralité des droits, responsabilités et opportunités reconnus aux personnes cisgenres. Pour réaliser ce but, la fondation s’efforce notamment de: – Proposer éducation et formation – Faciliter l’accès des personnes concernées aux meilleurs services – Répondre aux demandes des médecins, soignant.x.es, psychothérapeutes, enseignant.x.es, juristes et autres professionnel.x.les – Contribuer au soutien psychologique des personnes concernées et de leurs proches – Protéger la vie privée et professionnelle des personnes concernées – Prévenir et lutter contre l’exclusion sociale, l’exploitation sexuelle et les autres vulnérabilités susceptibles d’affecter les personnes concernées.

Le site de Agnodice a le mérite de jouer la transparence. Et il y est question d’hormonothérapie remboursée par les assurances (l’équivalent de la Sécu française):

Il s’agit d’administrer les hormones sexuelles afin de déclencher la puberté et les changements physiques correspondant au genre désiré. Cette hormonothérapie est précédée d’un bilan sanguin complet et peut prendre différentes formes. Elle est à discuter avec l’endocrinologue ou l’endocrinologue pédiatre. Les effets commencent à se faire ressentir après 2-3 mois et se développent sur plusieurs années. Ce traitement doit être suivi durant toute la vie. Les différentes étapes de ce traitement sont remboursées par l’assurance de base. Si vous rencontrez des problèmes de remboursement, n’hésitez pas à nous contacter rapidement.https://agnodice.ch/portail-enfants-adolescents-proches/vos-droits-suisse/prise-charge-medicale/

Et à qui s’adresse cette fondation? A tous finalement puisque l’âge de leur public-cible est 0 an. Cela va jusqu’à 18 ans. Ca passe forcément par le système scolaire!

https://agnodice.ch/bienvenue/fondation/pour-qui/

La Théorie du genre n’existe pas! Parole de Najat Vallaud-Belkacem.

De l’autre côté de la frontière, on joue la montre politique en jouant sur les mots. Souvenez-vous de M Peillon en 2014.

Les parents d’élèves qui ont osé manifesté sont traités d’intégristes et proches de l’extrême-droite. https://www.lexpress.fr/education/peillon-pas-de-theorie-du-genre-mais-une-education-a-l-egalite-a-l-ecole_1318058.html 2014

Puis en 2016, le pape François met les pieds dans le plat de l’Education française. Selon lui, les manuels scolaires de l’Education nationale française étaient truffés de Théorie du genre.

Le pape François avait déclaré que les manuels scolaires français promouvaient la théorie du genre. La classe politique française lui répond.https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Montée au créneau de la ministre de l’éducation de l’époque qui s’est dit choquée de pareille affirmation.

Au micro de France Inter, Najat Vallaud-Belkacem, « s’est dite « en colère » contre « la parole légère et infondée » du pape François, qui accusait dimanche les manuels scolaires français de propager la théorie du genre. »https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Puis on s’en prend à ceux qui ont envie d’en savoir plus sur l’éducation reçue par les enfants.

« Je n’imaginais pas que le pape François se laisserait embarquer par des intégristes et leur folie mensongère. Ca me met en colère »Najat Vallaud-Belkacem, octobre 2016

La ministre de l’Education a par ailleurs invité le pape à se renseigner d’avantage sur le sujet. « Je conseille au pape de venir à la rencontre d’enseignants de l’école française et de feuilleter les manuels scolaires ». Dire que le Vatican est mal informé… Bon bref, le public est sommé de laisser tomber le sujet.

« Il faut cesser avec ces inepties », a conclu la ministre de l’Education, réaffirmant que « ce sujet n’existe pas ». 

Soutien total de sa collègue Mme Kosciusko-Morizet :

« Les manuels scolaires je les regarde de près, j’ai deux petits garçons qui ont 11 ans et 7 ans (…) et je n’ai jamais rien trouvé qui ressemble à la théorie du genre ».

Ceux qui veulent voir dans ces thèmes des sujets droite-gauche sont mal informées ou ne veulent pas s’informer. Il y a la Haute finance internationale . Point.

Je retiendrai cette phrase de l’ancienne responsable politique:« Les innovations liées aux transitions énergétique et numérique sont là. Mais elles exigent de nouvelles infrastructures pour répondre aux attentes croissantes de proximité et d’autonomie. Nous devons les anticiper dès maintenant pour rendre possible leur déploiement à grande échelle » https://www.lesechos.fr/finance-marches/ma/nkm-se-lance-dans-le-capital-investissement-1314528
Un manifeste à découvrir
https://comitecedif.wordpress.com/qui-sommes-nous/

Et que veut la haute finance internationale pour vos enfants?

Une action planétaire frappe le secteur des jouets. Influencer l’enfant devient un objectif clairement affiché sous des allures d’innocentes poupées

https://www.santeplusmag.com/les-poupees-transgenres-arrivent-desormais-dans-les-magasin-de-jouets/
https://www.femina.fr/article/barbie-sort-sa-premiere-poupee-transgenre-a-l-effigie-de-l-actrice-laverne-cox?fbclid=IwAR3w5SoshDrawolAYpPzti3OWZJ7FdcA8-TIs-YisEwxEzDLpkrM5GXerbc
https://blogs.lexpress.fr/chica-de-paris/2014/12/22/une-poupee-trans-fait-polemique-en-argentine/

Repenser le genre par National geographic

Version Atlantico.

Des enfants de 3 ans sont recrutés pour étudier la santé des transgenres! 3 ans! Le petit garçon qui enfile les escarpins de sa maman ou le collier de sa grande soeur sont ciblés par ce genre de « scientifiques ».

Depuis 2013,
Kristina Olson , psychologue à l’Université de Washington, mène
une vaste étude à long terme pour suivre la santé et le bien-être des enfants transgenres, ceux qui s’identifient comme un sexe différent de celui qui leur a été attribué. naissance.
Depuis le lancement de l’étude, Olson a également entendu parler des parents d’enfants non conformes au genre, qui défient systématiquement les stéréotypes de genre mais n’ont pas fait la transition sociale.
Il peut s’agir de garçons qui aiment porter des robes ou de filles qui jouent avec des camions, mais qui n’ont pas, par exemple, changé les pronoms qu’ils utilisent.
Ces parents ont demandé si leurs enfants pouvaient participer à l’étude.
Olson a accepté.
Au bout d’un moment, elle s’est rendu compte qu’elle avait recruté par inadvertance un groupe important de 85 participants non conformes au genre, âgés de 3 à 12 ans. Et alors qu’elle restait en contact avec les familles au fil des ans, elle a appris que certains de ces enfants avaient fini par faire la transition.
« Suffisamment d’entre eux le faisaient pour que nous ayons cette occasion unique de revoir nos données pour voir si les enfants qui ont fait la transition étaient différents de ceux qui ne l’ont pas fait », dit Olson. https://www.theatlantic.com/science/archive/2019/01/young-trans-children-know-who-they-are/580366/

Promotion active du concept transgenre par les transhumanistes globalistes

McKinsey

https://www.weforum.org/agenda/2021/11/diversity-inclusion-transgender-workplace/

World economic Forum

Jacques Attali vous explique ce thème du great reset

La convergence de ces trois tendances est claire: nous allons inexorablement vers une humanité unisexe, sinon qu’une moitié aura des ovocytes et l’autre des spermatozoïdes, qu’ils mettront en commun pour faire naitre des enfants, seul ou à plusieurs, sans relation physique, et sans même que nul ne les porte. Sans même que nul ne les conçoive si on se laisse aller au vertige du clonage. https://www.slate.fr/story/67709/humanite-unisexe-biologie-immortalite

LHK

Rappel utile

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/17/un-lobbying-pro-pedophilie-qui-fait-fi-de-la-legislation-une-tolerance-problematique-dossier-vincent-held/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Bonus

https://video.wordpress.com/embed/MJjCO6ew?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1

AJOUT

https://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php?fbclid=IwAR1x7EG3PDpKBL33BE7sadanIWgKkk74dyRYqUINpJipy7nRwUDB2_DzT-M

Qu’est-ce que le genre, ce drôle de mot pratiqué des seuls grammairiens ? Il est un complexe outil intellectuel à double face. D’un côté, une grille de lecture pertinente qui questionne les rôles que la société impose à chaque sexe, le plus souvent au détriment des femmes. De l’autre, il abrite une réflexion militante… D’après elle, l’identité sexuelle ne saurait se résumer à notre sexe de naissance ni se restreindre à notre rôle sexuel social. Chacun doit devenir libre de son identité, se choisir, se déterminer, expérimenter… Et basta, l’humanité est arbitrairement divisée en masculin ou féminin.

Les « études de genre », terme traduit de l’anglais gender studies, ne sont pas récentes. Explorées par la fameuse universitaire américaine Judith Butler dans les années 70, elles naissent sous la plume et le bistouri d’un sexologue et psychologue néo-zélandais, John Money. C’est lui qui, en 1955, définit le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisira d’habiter, hors de notre réalité corporelle. Or le personnage est controversé. Spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins, il y étudie les enfants naissant intersexués et s’interroge sur le sexe auquel ils pourraient appartenir. Lequel doit primer ? Celui mal défini que la nature leur a donné ? Celui dans lequel les parents choisiront de les éduquer ? Il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John Money, se rendit responsable.

« Lavage de cerveau »

En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n’a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l’occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l’éducation peut émanciper. Il convainc les parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire – ni à son frère – qu’il est né garçon. Le médecin administre à l’enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.




REVUE DE PRESSE DU 21 NOVEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La vaccination pour l’exemple

On aura donc tout lu, tout vu, tout entendu en matière de justification des mesures dites sanitaires, injections comprises, car le déni l’emporte sur la logique et la science, quand la corruption s’empare du monde de la santé au niveau international. La France est donc l’un des derniers pays à s’arc-bouter sur la non-réintégration des personnels suspendus, alors même que la situation des hôpitaux est catastrophique. L’Ordre continue de s’acharner sur des médecins compétents et intègres, tandis que les injections diminuent l’immunité ou qu’on découvre les graves nodules pulmonaires qui peuvent être causés par les microfibres des masques. Pendant ce temps l’épidémie régresse globalement dans le monde, ainsi que la vaccination, sauf en France qui injecte 4 fois plus que la moyenne.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Confinement, inégalités et psychologie des foules pendant la crise Covid

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/confinements-inegalites-et-psychologie-des-foules-pendant-la-crise-du-covid-19/

« Les processus de groupe et la psychologie des foules prédisent que, particulièrement en temps de crise, les gens seront enclins à s’en remettre aux gouvernements et aux autorités pour guider leur comportement.

Il existe également des données montrant que la crise COVID-19 a augmenté la détresse psychologique qui pourrait être liée aux défenses proximales et distales contre les pensées liées à la mort.

Historiquement, le mélange d’idéologie politique et de science, lorsque l’État réglemente la science, a conduit à des résultats désastreux.

La situation actuelle nécessite une guérison collective ».

Les politiques sanitaires ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

« Corruption mathématique et épidémiologique », par Vincent Pavan, docteur en mathématiques.

« La question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire. Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés/ 

En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques. SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer. Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes. Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires. »

L’art de faire mentir les chiffres

https://www.covidhub.ch/la-fabrique-dune-pandemie/

« Pas d’hécatombe. Pas d’hôpitaux engorgés par le Covid. Pas de vague de malades/à peine 2 % des hospitalisations en 2020/5000 personnes tuées au Rivotril. / La soi-disant efficacité vaccinale s’est effondrée avec la fin du passe sanitaire/lien entre surmortalité et campagne de vaccination »

Dire la vérité, un préalable à la réconciliation

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

Un anthropologue de la santé analyse la crise Covid à l’aune de la corruption systémique du système de santé.

La punition pour l’exemple

« Mme FIRMIN ministre déléguée à la santé, refuse la réintégration des personnels non injectés, non parce qu’ils peuvent contaminer, mais parce qu’ils donnent un mauvais exemple aux personnes fragiles »

Soignants suspendus, des sénateurs accusent le gouvernement

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegrations-des-soignants-suspendus-des-senateurs-accusent-le-gouvernement-d

« “obstination coupable alors que l’hôpital est à l’agonie”

mesurespunitives” et « humiliantes » et en rien « sanitaires ».

Appel aux parlementaires

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Une conception scientiste et puritaine du droit

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

« Ce sont… des arguments principalement moraux qui sont avancés. Ils… traduisent une certaine conception de la santé et de la science. La santé, ce serait avant tout des valeurs du soin — on retrouve en filigrane la théorie du care — et non plus des compétences de soin. Et la science serait une croyance. »

ÉTRANGER

La crise Covid, une hallucination planétaire ?

https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/

« Mise en examen du PDG de l’AFP pour diffamation envers les réalisateurs du documentaire “Hold-Up”/Ouverture d’une enquête Européenne sur l’illégalité supposée des achats de vaccins anti-Covid par l’Union. / La révolte de certains Députés Européens »

AUSTRALIE, les autorités de santé ne recommandent pas la 5e dose

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-responsables-australiens-de-la-sante-rejettent-une-5e-dose-de-vaccin-anti-covid

En raison de son faible impact sur la transmission.

CANADA, Toronto abandonne l’obligation vaccinale

 « La Ville a déclaré qu’elle réviserait continuellement cette politique, guidée par la science et les preuves »

ITALIE, fin de l’interdiction pour les agents de santé non vaccinés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

JUSTICE

Victoire pour le Pr Perronne

« La Chambre Disciplinaire considère que le Pr PERRONNE, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait “l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence”, durant la crise du COVID. »

Son interview « au défi de la vérité »

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/perronne-decision-chambre-disciplinaire-ordre-medecin-retour

Cette victoire mènera-t-elle à la réintégration des soignants suspendus ?

https://www.francesoir.fr/tribunes/decision-chambre-disciplinaire-perronne-consequences-soignants-suspendus

« La liberté d’expression est un droit fondamental de tous les citoyens. / Durant la crise Covid, l’Ordre n’a pas respecté ses missions. »

Rien n’est moins sûr, le Pr Stéphane GAYET a été radié par le Conseil de l’Ordre

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté. »

Et

https://docteur.nicoledelepine.fr/nouvelle-victime-du-conseil-de-lordre-le-dr-s-gayet-pour-avoir-gueri-ses-patients/

Un blâme pour un médecin ayant compromis la « sécurité » des patients

https://t.palace.legal/nl3/typVXMyPwNNkBzNBiY8A4g

La faiblesse de la sanction prononcée trahit la faiblesse des reproches qui avaient été faits à ce médecin.

Loi à caractère criminel, plainte contre X

http://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/11/obligation-vaccinale-contre-la-covid-19.html

Extrait de la lettre du Dr Amine UMLIL :

« Il est aussi constant que l’administration, tout comme le juge, doit lire la loi et le règlement à la lumière du bloc de constitutionnalité, du droit européen et des conventions internationales. En l’espèce, cette loi, instaurant ladite obligation vaccinale est illégale. »

USA, la Cour suprême de New-York réintègre tous les personnels suspendus, avec rattrapage des salaires non versés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

« Car le vaccin n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le virus » 

COVID

Le point sur le Covid et ses variants dans le monde

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/19/covid-situation-mondiale-et-variants/

« Un essaim de sous-variants étroitement liés, dérivant tous de la souche omicron/évolution depuis un an avec peu de soucis.

Cela se vérifie par les chiffres.

Ces dix-huit derniers mois, la mortalité aura été divisée par 10. Seule la vague Omicron dépasse la courbe d’évolution, non par sa virulence, mais par sa contagiosité : 3 à 4 fois plus, plus de cas, donc plus de décès, mais pas 3 ou 4 fois plus. »

Courbe des décès dans le monde 

« On vaccine de moins en moins dans le monde, sauf en France, 4 fois plus que la moyenne ! »

STRATÉGIES et TRAITEMENT

Syndrome d’épuisement induit par les masques et leur rôle dans les Covid longs

https://www.epochtimes.fr/comment-les-masques-ont-contribue-au-covid-long-2140451.html

« Dans plusieurs pays, les masques et les tests nasopharyngés fournis par les gouvernements ont été retirés du marché. Des microplastiques, des nanoparticules (de l’oxyde de graphène, du dioxyde de titane, de l’argent, de l’oxyde d’éthylène, des composés de colorants et du PFAS fluorés) et des métaux lourds ont été trouvés dans les masques et dans les tests nasopharyngés./Les masques et les tests ne font pas tous l’objet de contrôles systématiques. Un rapport de l’Institut néerlandais de santé publique (RIVM) publié en novembre 2021 indique que la sécurité des masques ne peut être garantie”. »

La liberté de soins

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/rendez-nous-la-liberte-de-soins-par-patrick-de-casanove/

« Soigner ne fait pas partie de la stratégie gouvernementale. »

La fin d’un mythe

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel

« L’existence des bactéries “coopérantes” à la réplication d’un virus dans le corps humain est déterminante, avait été découverte par le Pr Montagnier et vient d’être confirmée par le Dr Carlo Brogna, du laboratoire italien CRANIOMED ».

Ceci explique l’efficacité des macrolides et cyclines.

Voir le lien ci-dessous :

Heurs et malheurs de l’hydroxychloroquine au fil de la chronologie du Covid

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/11/hydroxychloroquine-petit-retour-historique/

Au début, l’HCQ fonctionne en ambulatoire. Le politique s’en mêle, la réserve aux hôpitaux (erreur funeste) et l’échec, logique, jette le discrédit sur la molécule. La messe est dite.

INJECTIONS

Les injections diminuent l’immunité

https://www.francesoir.fr/societe-sante/etude-du-lancet-montre-erosion-immunitaire-vaccines-au-fil-des-mois

Étude parue dans le Lancet :

« La fonction immunitaire des individus vaccinés huit mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des individus non vaccinés ».

Et analyse de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS.

Feu vert de l’agence européenne du médicament pour les vaccins dès 6 mois

https://www.francesoir.fr/politique-france/feu-vert-de-l-agence-europeenne-du-medicament-pour-les-vaccins-anti-covid-des-l

Absence de fondement scientifique, le Danemark et la Suède ne recommandent plus les injections chez les enfants.

USA, des enfants de 6 mois à 4 ans, cobayes pour le vaccin bivalent.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/des-enfants-cobayes-pour-le-vaccin-bivalent-aux-usa/

« le Dr John Moore, immunologiste à la Weill Cornell Medicine, avait déjà déclaré que les nouveaux vaccins seraient “peu ou pas du tout meilleurs” que les formulations précédentes. Pour autant, les autorités sanitaires ferment les yeux, les commandes de vaccin ont été passées et continuent de l’être. »

Un premier vaccin sans aiguille

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/17/hexapro-premier-patch-vaccin-anti-covid-teste-en-australie/

« La société de biotechnologie Vaxxas a annoncé le lancement de l’essai clinique de phase I de son premier vaccin sans aiguille nommé HexaPro. La sécurité et l’innocuité du patch font partie des principaux critères d’évaluation. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Contamination par les produits d’excrétion des vaccins

https://www.aimsib.org/2022/11/20/la-contamination-par-les-vaccins-a-arnm-est-elle-biologiquement-plausible-a-partir-dun-sujet-vaccine/

« Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après contact avec des personnes fraîchement vaccinées.

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques.

Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2 : si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. »

Une dose de plus, c’est une dose de trop

« Pour la 2ème fois en une semaine, les meilleurs scientifiques ont rapporté que les boosters d’ARNm Covid “spécifiques à Omicron” sont un gadget marketing. »

RÉSISTANCES

CSI du 10 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/tv1TKqie :



Invité : Denis Rancourt, PhD, Canada

Sujet : Les statistiques, la mort, et leurs manipulations

CSI 17 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/bzrQ1P8r :



Invité : Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet

Sujet : Protection du lanceur d’alerte : quelques règles à connaître

Le véritable Anthony Fauci



Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus. Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts qui prennent position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

HOLD-OUT



« Ce qui est arrivé est impensable, le plus mauvais scenario de science-fiction, et ennuyeux en plus ! »




Abrutis de « complotistes » ?




Appel National à témoignages et hommages aux victimes des injections géniques expérimentales

[Source : Dépêches Citoyennes]

Par Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue Nationale pour la Liberté de Vaccination






Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn envoient une lettre au ministre François Braun pour exiger la réintégration des soignants suspendus

[Source : dissidentofficiel.com]

Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, qui sont intervenues de nombreuses fois au Sénat en faveur de la réintégration des soignants et autres personnels suspendus, réitèrent leur appel en adressant cette fois-ci une lettre directement au ministre de la Santé actuel, François Braun. Le moins que l’on puisse dire en lisant celle-ci est que leurs arguments sont franchement imparables, au point que le ministre n’aura pas le choix d’ignorer le message s’il souhaite persister dans le choix funeste de son prédécesseur Olivier Véran. Malheureusement, le fait que les personnes possédant de hautes responsabilités ne soient jamais confrontées frontalement sur leurs arguments est un problème. Cela ne nous empêche pas toutefois d’apprécier la mobilisation et la continuation du combat pour les libertés par les quelques figures du débat public qui ne cèdent pas à la tyrannie.

C’est le cas des deux sénatrices, qui dans cette lettre, fournissent des arguments très forts en faveur de la réintégration des soignants et des pompiers suspendus. Leur lettre a d’ailleurs été cosignée par plusieurs autres sénateurs de tous bords politiques.




Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

[Source : geopolitique-profonde.com]

L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

  • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
  • De favoriser leur taux de croissance,
  • D’augmenter leur rendement,
  • D’améliorer leur teneur en nutriments.

Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

« Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

« La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

« Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

L’utilisation des herbicides en augmentation constante

Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

Culture pulvérisée aux herbicides

La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

  • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
  • À l’obésité,
  • À la dépression,
  • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
  • À l’autisme,
  • À la maladie d’Alzheimer,
  • À la maladie de Parkinson,
  • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
  • À la sclérose en plaques, au cancer
  • À l’infertilité
  • Aux anomalies du développement.

Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

« Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

« Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




Le véritable Anthony FAUCI — Partie 1

[Source : Quantum Leap Traduction]

Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus.

[Voir Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr. a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts prenant position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

Participants a ce projet :
Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

Viviane
https://odysee.com/@vcuendet:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4

Jeanne Traduction
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Motous
https://odysee.com/@laurent.scalet:b

Akina
https://odysee.com/@AKINA:7

Ainsi que Mika pour sa participation à la traduction






CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale

[Source : aubedigitale.com]

Par JOSHUA STYLMAN

Il semble évident depuis un certain temps que le système monétaire actuel est, au mieux, instable. Au pire, c’est un système de Ponzi dont le temps a expiré. Si c’est le cas, je soupçonne les banquiers centraux et les 0,1 % de le savoir et d’être prêts à introduire le nouveau système avant que l’ancien ne s’effondre sur lui-même – même s’ils le pillent au passage avec le transfert de richesse le plus important de l’histoire humaine.

Pour quiconque prête attention à ces tendances, il semble évident que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) seront ce nouveau système.

[Voir aussi :
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation]

Tout porte à croire que l’arrivée des CBDC est imminente. Mardi, plusieurs banques mondiales ont annoncé un partenariat avec la Réserve fédérale de New York pour piloter des dollars numériques. Étant donné l’omniprésence des cartes de crédit et de débit, des applications de paiement et d’autres systèmes de paiement en ligne, l’argent numérique ne pouvait que se produire depuis un certain temps. Le risque n’est pas la partie électronique, qui est inévitable – c’est le fait qu’une banque centrale supervisera la monnaie numérique.

De mon point de vue, il est impossible de surestimer le risque présenté par les CBDC. Qu’il s’agisse d’une vision utopique fondée sur de bonnes intentions ou d’un sinistre complot visant à écraser notre souveraineté, le résultat peut être le même : le contrôle. Une monnaie numérique de banque centrale présente tous les inconvénients de la monnaie fiduciaire, plus les couches supplémentaires de surveillance et de programmabilité supervisées par l’État.

De nombreuses personnes de l’équipe Reality se sont probablement senties comme des dissidents au cours des dernières années, simplement parce qu’elles remettaient en question la mentalité du troupeau. Poser des questions ou parler à contre-courant de sujets tels que les origines probables du Covid, l’utilité de la méthode PCR, le risque pour la majorité de la population, les avantages d’un traitement précoce, les avantages de l’immunité naturelle, la sécurité et l’efficacité des vaccins, les avantages et les inconvénients des masques et des confinements, et l’utilité des passeports vaccinaux a créé un environnement où les gens étaient stigmatisés, aliénés ou carrément censurés. Imaginez un système monétaire doté de caractéristiques permettant de modifier socialement notre mode de vie. Par exemple :

  • La santé : « Vous n’avez pas pris votre dose de rappel… désolé, vous n’êtes pas autorisé dans les espaces publics. »
  • Énergie : « Vous avez utilisé votre quota énergétique ce mois-ci… désolé, votre voiture électrique ne démarrera pas. »
  • Alimentation : « Vous avez mangé trop de viande cette semaine… désolé, votre argent n’est bon que pour les plantes (ou les insectes). »
  • Épargne : « Si vous ne prenez pas vos rations bientôt… désolé, votre argent expirera à la fin du mois. »
  • Liberté d’expression : « Vous avez partagé une info avec laquelle nous ne sommes pas d’accord… désolé, notre algorithme vous met à l’amende ». (PayPal s’y met déjà).

Si les CBDC deviennent finalement le nouveau système monétaire, leurs caractéristiques essentielles feront en sorte que les gouvernements mondiaux n’auront plus besoin d’un événement tel qu’une crise sanitaire mondiale pour imprimer de la monnaie ou fermer la société. Des lignes de code peuvent façonner notre comportement et faire en sorte que nous soyons obligés de rester chez nous. La plateforme entière sera conçue pour expulser le travail qui n’est plus jugé nécessaire. Alors que je croyais initialement que les interventions pharmacologiques dirigées par l’État étaient une menace isolée et aiguë à cette époque, il est devenu évident qu’elles n’étaient qu’un tentacule d’une bête beaucoup plus grande. Quelles que soient les forces qui insinuent cette direction dans le monde (je t’observe, Davos), elles se sont révélées être implacables dans leur poursuite de la perpétuation de la peur et du pouvoir.

Je suis bien conscient que cela peut sembler insensé, surtout pour ceux qui n’ont pas prêté attention à cette tendance depuis un certain temps. Il y a quelques années, j’aurais pensé que c’était absurde, mais après avoir été témoin des mensonges, des tromperies et des tentatives de contrôle du gouvernement, je crains que ce ne soit la direction que nous prenons. Si l’on considère que les obligations en matière de vaccins n’avaient aucun objectif médicalement justifiable, il est tout à fait plausible qu’elles n’aient été qu’une rampe de lancement pour normaliser une société « papiers s’il vous plaît ». À New York, où je vivais jusqu’à récemment, la plupart des gens acceptaient les passeports vaccinaux et adoraient l’application mobile Excelsior Pass parce qu’elle était pratique. Combien de personnes éprouveront le même sentiment à l’égard de la monnaie numérique, qui apportera sans aucun doute son lot d’avantages ?

La monnaie numérique de la banque centrale permettra aux gouvernements d’imposer un contrôle du haut vers le bas, à la manière du score de crédit social chinois. Certains banquiers centraux disent tout haut ce qu’ils pensent tout bas. Que ce soit ou non l’objectif du programme, y a-t-il déjà eu un moment dans l’histoire où les gouvernements ont rejeté le pouvoir qui leur est donné ? À ce stade, il ne s’agit pas non plus d’une théorie de chapeaux en alu. Il existe de nombreux exemples montrant que ce type de coercition financière est déjà en cours.

  • Le gouvernement demande maintenant aux gens de demander des cartes plastiques « My Number » équipées de puces électroniques et de photos, qui seront liées aux permis de conduire et aux régimes publics d’assurance maladie. Les cartes d’assurance maladie actuellement utilisées, dépourvues de photo, seront supprimées à la fin de 2024. Les personnes devront utiliser les cartes My Number à la place. »
    Source
  • « Le nouveau laissez-passer garantira l’attribution de quotas de carburant sur une base hebdomadaire. Un code QR sera attribué pour chaque numéro de carte nationale d’identité (CNI), une fois que le numéro d’identification du véhicule et d’autres détails auront été vérifiés. »
    Source
  • « Selon un rapport de 9News Queensland, le ministère a décidé que les enseignants non vaccinés qui ont été autorisés à reprendre leur emploi ce trimestre après avoir été placés en congé sans solde, subiront un autre coup financier, avec une ‘réduction de la rémunération’ pour une période de 18 semaines. »
    Source
  • « L’essai, qui est volontaire, utilisera la reconnaissance faciale pour identifier les personnes et le nombre de billets qu’elles possèdent. La technologie pourrait être étendue pour couvrir les achats automatisés aux stands de concession, aux restaurants et aux bars. »
    Source
  • « Dans le cadre des plans récemment annoncés par le gouvernement, l’Ouganda commencera à récolter les données ADN et biométriques de ses citoyens lorsque leurs cartes expireront en 2024, afin de les utiliser dans son programme d’identité numérique remanié. »
    Source

Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et c’est mondial. Comme nous l’avons vu avec les confinements, la Chine est le modèle imité en Occident. Comme la progression vers des mesures autoritaires liées à la santé, des mondialistes non élus ayant des intérêts financiers se cachent en arrière-plan.

J’aimerais bien me tromper sur tout cela. Cependant, jusqu’à preuve du contraire, nous devons nous méfier de tous ceux qui perpétuent cette voie dangereuse, quelles que soient leurs motivations.

Pour approfondir ce sujet, je recommande vivement cet essai de Fabio Vighi sur la politique monétaire du covid à long terme. Edward Dowd a également beaucoup parlé de la relation entre le système monétaire et le Covid, notamment lors de cette présentation qui ouvre les yeux. Ensuite, l’excellent Maajid Nawaz a traité des moteurs des CBDC. D’autres, comme Marty BentSaifedean Ammous et Allen Farrington, ont été les premiers à identifier ces risques. Je partage leur évaluation en réalisant que le bitcoin est susceptible de résoudre ce problème.

Si vous ne l’avez pas encore remarqué, l’un des principaux thèmes de ces trois dernières années (au moins) est « liberté contre contrôle ». Ce n’est donc pas une hyperbole de suggérer que l’avenir doit être décentralisé si nous voulons que nos enfants grandissent dans un monde libre.

Traduction du Daily Sceptic par Aube Digitale




France — Linky non merci !

Site gratuit pour demander le remplacement du Linky par un compteur ordinaire

[Source : retrait-du-linky.org]

Enedis ou ses sous-traitants vous ont mis un compteur communicant Linky alors que vous n’en vouliez pas, ou bien vous avez changé d’avis et vous n’en voulez plus : ce site est fait pour vous. Site gratuit uniquement destiné à demander le retrait des compteurs Linky.

1098 signataires sur la liste

DEMANDER LE REMPLACEMENT DE VOTRE LINKY

POURQUOI LE DEMANDER ?


Modèle de lettre de refus du Linky

Nom, Prénom,

Adresse postale

Lettre Recommandée avec AR

Références Client : à relever sur votre facture EDF

Objet : Signification valant mise en demeure de refus d’installation du compteur connecté numérique Linky.

Votre lettre : réf xxxxxxxxxxxxxxx en date du xx xx xxxx

Bonjour,

Par la présente j’accuse réception de votre courrier en date du xx xx xxxx d’une demande relative au changement de mon système de comptage actuel d’énergie électrique par l’installation d’un nouveau compteur numérique connecté.

Je constate que ce type de comptage numérique connecté nécessite l’injection sur l’énergie électrique 50 Hz que vous me fournissez actuellement d’une nouvelle Fréquence additive appelée Fréquence Intermédiaire en KHz connue sous les termes de Dirty Electricity.

Que l’adjonction de cette fréquence n’est non seulement absolument pas conforme aux termes explicites de mon contrat opposable, mais de plus elle engendre un rayonnement électromagnétique artificiel, de surcroît en champs proches ou très proches ce qui n’est absolument pas compatible avec mon état d’Électro Hyper Sensible (EHS).

En conséquence je vous signifie par la présente que je refuse et m’oppose à l’installation de ce système de comptage connecté par CPL appelé Linky qui porte atteinte à ma santé et à celle de ma famille que je suis obligé de par la loi de protéger car toute mon installation n’est pas blindée contre ce nouveau type de pollution radiative artificielle Electromagnétique en champs proches, ce qui est fondamental et majeur en terme de santé publique.

L’étude des émissions EM du CPL de l’Université Européenne Télécom de Bretagne étant très explicite à ce sujet. http://www.next-up.org/pdf/Linky_Alerte_Sanitaire.pdf

Par contre conformément aux termes de mon contrat actuel opposable, ceci tacitement, je ne m’oppose pas à l’installation de ce système de comptage numérique connecté si vous réalisez préventivement les travaux de mise en conformité de mon installation aux normes CENELEC ENV 50166-2 transcrites et adoptées au Journal Officiel n°C 293 du 13/10/1999 de l’Union Européenne concernant les installations électrodomestiques sans nuisance.
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:51998IR0399
http://www.next-up.org/pdf/PirenneOomsCahierDesChargesSuccinctInstallationElectroDomestiqueSansNuisance022008.pdf

J’attire aussi votre attention que votre responsabilité civile est engagée par rapport à la biocompatibilité de la Dirty Electricity du Linky qui nécessite une mise en conformité des installations par rapport à la Directive Européenne CEE 336/86 concernant la Compatibilité Electromagnétique et au Décret n°2006-1278 du 18 octobre 2006 relatif à la Compatibilité Electromagnétique des équipements électriques et électroniques. Comme le mot « compatibilité » l’indique, il s’agit tout d’abord de deux choses qui peuvent exister simultanément et qui peuvent s’accorder entre elles.

http://www.next-up.org/pdf/Decret_2006_1278_Compatibilite_Electromagnetique_18_octobre_2006.pdf

(Éventuellement rajouter ce paragraphe concernant les servitudes des câbles électriques extérieurs si vous êtes concernés)

Je rajoute que j’ai constaté que la SA Electricité De France (EDF) ou la SA ERDF a engagé depuis le déploiement du système de comptage Linky d’importants travaux dans ses postes de transformations, pour enlever notamment les bouchons destinés à l’injection de la nouvelle fréquence radiative en KHz du CPL du Linky sur la fréquence unique du courant électrique (50 Hz), de plus statutairement ERDF a interdiction de devenir un opérateur télécom via le CPL.

En conséquence je vous signifie que cette opposition est aussi transposable aux câbles électriques des postes sources et postes de transformations (HTB/HTA) assurant la liaison entre les réseaux HTB (225 et 63 kV) et les réseaux HTA (20 ou 15 kV) pour satisfaire aux exigences du système de comptage dit Linky d’ERDF qui alimentent mon quartier et qui sont en servitudes sur la façade de mon habitation pour lesquels j’exige un blindage afin que mes lieux de vie privés ne soient pas soumis à une nouvelle pollution électromagnétique artificielle en KHz non conforme au contrat de servitude, ceci fussent-elles en deçà des normes transposées de l’organisation privée ICNIRP.

Vous en souhaitant bonne réception et compréhension, veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Fait à xxxxxxxxxx

Le (en lettres) Deux mille xxxxxx pour faire valoir et servir ce que de droit

Nom et prénom

Signature


Communiqué de presse conjoint du 27 janvier 2022 – Justice & “Linky”

Cabinet d’avocats
33 rue du Petit Musc
75004 Paris
contact@lexprecia.com
https://linky.palace.legal
01.75.432.432

Association loi 1901 de défense des victimes d’électrohypersensibilité
37A boulevard Léon Gambetta – 68100 Mulhouse
contact@robindestoits.org
https://www.robindestoits.org/
09.70.15.57.21

Victimes des ondes et LINKY :
ENEDIS déclare forfait en cassation

Paris, le 27 janvier 2022. Treize victimes des ondes avaient obtenu la condamnation d’ENEDIS à dépolluer leur électricité, en première instance(([1] https://linky.palace.legal/ressources/TGI-de-Bordeaux.pdf)) comme en appel(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). ENEDIS en avait saisi la Cour de cassation. Mais après analyse de l’argumentaire des victimes – soutenues par l’association Robin des Toits – le promoteur du LINKY annule son recours(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)) pour éviter un rejet. Sa condamnation est ainsi confirmée.

Une victoire par trois fois

Le distributeur d’électricité avait été condamné à dépolluer l’électricité des victimes d’électrohypersensibilité (EHS) sous peine de leur devoir 500 Euros par jour de retard(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). Après son échec en première instance, puis devant la Cour d’appel de Bordeaux, ENEDIS déclare forfait devant la Cour de cassation(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)).

L’épuisement des victimes était en jeu

ENEDIS allait bénéficier de l’épuisement des victimes, lesquelles hésitaient à investir dans une défense devant la Cour de cassation(([4] https://www.robindestoits.org/attachment/2262543/)). C’était sans compter sur l’intervention de l’association Robin des Toits qui décida de les soutenir moralement et financièrement, compte tenu des enjeux sanitaires pour l’ensemble des personnes victimes d’EHS(([5] https://www.robindestoits.org/EHS-ROBIN-DES-TOITS-SOUTIENT-DES-PLAIGNANTS-EHS-EN-CASSATION-23-10-2021_a3084.html)).

Un espoir pour la protection des victimes d’EHS

Pour l’association Robin des Toits :

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette avancée majeure, laquelle nous l’espérons, fera date. Toutefois il s’agit d’une victoire d’étape, et nous devons obtenir non seulement la dépollution des logements d’EHS, mais aussi le remplacement de leurs compteurs Linky abusivement installés, par des compteurs non communicants. Par extension, ces mesures devraient être applicables à tout usager, même non EHS, qui en ferait la demande. »

Patrice Goyaud, Secrétaire de l’association Robin des Toits

L’une des victimes, défendue dans le cadre de cette action en justice, ajoute :

« Alors que notre monde se retrouve aux prises de sociétés ne s’intéressant qu’à leur profit et jamais l’humain et sa pluralité, cette victoire sur Enedis, même si elle semble une goutte d’eau dans l’océan, est porteuse d’espoir pour tous ceux, EHS ou pas, qui souhaitent voir leurs choix en matière de qualité de vie et santé respectés. »

Odile Lurton, victime des ondes ayant gagné contre ENEDIS

Une chance dans la persévérance

Les victimes des ondes doivent ainsi persévérer et exiger la dépollution de leur courant contre les forts champs magnétiques causés par les courant porteurs en ligne(([6] https://linky.palace.legal/ressources/communique-de-presse-linky-fraudes-majeures-moratoire.pdf)). Ces « CPL » sont ajoutés par ENEDIS dans le réseau électrique, via le compteur du client si c’est un LINKY, mais aussi et surtout pour tous les usagers, équipés ou non d’un compteur Linky, via les concentrateurs de quartier, du fait de la circulation des nouveaux CPL sur environ 2400 mètres(([7] https://docplayer.fr/5081565-Specifications-fonctionnelles-du-profil-cpl-linky.html (p. 17) )).

Contacts presse

Association Robin des Toits : Patrice Goyaud contact@robindestoits.org– 09 70 15 57 21
Cabinet Lexprecia : Me Arnaud Durand – contact@lexprecia.com– 01 75 432 432





Ne réintégrons pas les personnels suspendus !

À quoi bon, les hôpitaux ou les casernes de pompiers n’en manquent pas1 !

Par Alain Tortosa

[NRLR Texte utilisant le second degré.]

2

Je ne comprends pas pourquoi des politiques parlent encore des personnels soignants suspendus suite à l’obligation vaccinale, un non-sujet par excellence.

Vous me direz que la France est un des seuls, voir le seul pays qui ne les a pas réintégrés.
Mais ce n’est pas une raison, si les autres pays font n’importe quoi, devrions-nous faire de même ?

Nous n’avons pas à suivre les autres, je vous rappelle que la France, patrie de Rousseau, mère des droits de l’homme, est un phare dans la nuit.

Ayant fait mes armes auprès de France Info « la chaîne de la vérité », je vais vous narrer les faits de telle manière que même Rudy Reichstadt3 serait fier de moi.

Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de le citer4 :

« Le complotisme est un révisionnisme en temps réel. »

Whaouh !!!

Revenons donc sur les « faits » et uniquement les « faits ».

Tout a débuté lorsque notre gouvernement, dans sa grande sagesse, a décidé de rendre obligatoire la vaccination Covid pour tous les personnels en contact avec les plus fragiles d’entre-nous.

Une raison de se réjouir ?
Absolument pas car cela dénote la déliquescence de notre société !
Rendez-vous compte, en arriver à obliger des soignants à se vacciner alors que cela va de soi.

Tout fout l’camp comme dirait l’autre.
Imaginez que pour leur soit disant « liberté », certains décidaient de ne pas se laver les mains en sortant des toilettes !
Cela dépasse l’entendement.

Leur refus de vaccination était, et est, d’autant plus ridicule que le vaccin Covid était, et est, l’unique solution pour se débarrasser définitivement du fléau.

Calamité qui aurait pu décimer la moitié (riche) de la population mondiale si nous n’avions pas usé de mesures de bon sens.

Maladie dont il n’existe à ce jour strictement aucun traitement efficace comme nous avons pu vous le démontrer maintes fois.
J’invite les crédules à regarder l’hécatombe dans des pays comme le Brésil qui ont traité leur population avec des médicaments vétérinaires douteux et freiné la vaccination.

Ne tombez pas dans le piège en vous référant à d’autres contrées sauvages comme la Suède.
Nous savons tous qu’ils comptent très très mal et qu’il est impossible de comparer leur résultats aux nôtres du fait du différentiel de température mais surtout du nombre d’élans.
Rappelons qu’il y en aurait 300 000 en Suède5 versus quelques dizaines en France, c’est dire à quel point il serait ridicule de comparer les deux pays.
Une fois de plus nous touchons du doigt le coté manipulateur et la stupidité des complotistes.

Un vaccin sûr et efficace !

Un vaccin qui, nous ne le dirons jamais assez, ne présente quasi aucun effet secondaire.
Ici encore je me permets de vous remémorer le b-a-ba :

  • Un non-vacciné qui meurt ne peut décéder QUE du Covid dès lors qu’il positif à un test PCR basé sur la (prétendue?) souche canal historique de Wuhan.
  • Un vacciné qui meurt ne peut décéder QUE de maladies autres que le Covid. Qui plus est, il est inutile de faire un test PCR du fait de la preuve de l’efficacité du vaccin ET son décès est dû à toutes les pathologies (connues et non connues) qu’il pouvait avoir et NON du fait de l’injection.

Vous voyez bien que nous disposons de la preuve de la non-dangerosité du produit.

Et comment pourrait-il en être autrement lorsque le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML6, Union Française pour une Médecine Libre, affirme le 14 juillet 20217 :

« Il faut pas tomber dans la facilité, jamais… Il faut se baser sur les vrais lectures scientifiques, savoir qu’on a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui là… il y a 3 milliards de personnes vaccinées… ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels »

Et de préciser sur RMC :

« On a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée. »

À cette date selon le site Ourworldindata8, il y avait 2,03 milliards de vaccinés (et non 3).
2 milliards en 6 mois, on peut dire que c’est l’équivalent de 1 milliard de vaccinés avec un recul de 3 mois. Si l’on multiplie un milliard par 3 mois alors cela fait un recul non pas de quelques milliers d’années mais de 249 millions d’années !

Aujourd’hui selon le même site et avec la même méthode éprouvée de calcul, 5,44 milliards d’individus auraient reçu une dose (nombre dont nous ne pouvons pas douter) après 22 mois depuis le début de la vaccination.

Jérôme Marty continuant à être invité dans les médias sérieux, je peux affirmer sans aucune crainte du ridicule que ;

« Aujourd’hui, nous avons 2,4 milliards d’années de recul sur les effets secondaires des vaccins Covid. »

Si après ça Julien9 et Rudy ne sont pas fiers de moi, c’est à désespérer d’être un scientifique rigoureux.

De la performance du vaccin

Produit efficace à plus de 90% pour empêcher les contaminations et la propagation comme cela a été maintes fois expliqué par nos élites depuis la commercialisation.

Ceci n’a pas été démenti par la représentante de Pfizer au parlement européen10 il y a quelques semaines.
Certains complotistes ont détourné ses propos laissant entendre que Pfizer aurait caché l’inefficacité du produit concernant la transmission.

Mais que nenni !
Elle a simplement répondu :

« Non ! » (le vaccin n’a pas été testé sur sa capacité à stopper la transmission du virus).

Le fait qu’il n’y ait eu strictement aucun test ne prouve en rien l’inefficacité du vaccin dans la transmission, soyons un peu rigoureux que diable !
Bien au contraire même.
La technologie ARNm associée au graphène est tellement novatrice que l’efficacité en devient triviale au même titre qu’une Ferrari EST performante, tests ou pas.

Que faire des « soignants » suspendus ?

Nous devons cesser de les nommer « soignants », ces criminels qui ont refusé l’injection de la vie.

Sans le courage de nos autorités et de notre bien aimé Président qui n’a pas hésité à mouiller sa chemise, ils auraient probablement tués sans vergogne des milliers de petits vieux dans nos hôpitaux.

Le prestigieux Impérial Collège of Médecine11 a démontré en juin 2022 que le vaccin avait sauvé 20 millions de vies !

Je mets au défit quiconque de prouver le contraire.

En revanche je m’étonne d’un chiffre aussi bas, ce qui démontre que les auteurs ont fait preuve d’une extrême prudence.
Un élément de plus, s’il en fallait, montrant que ces irresponsables non vaccinés auraient pu décimer la population hospitalière.

Parler de les réintégrer est totalement indécent !

À mon sens il faudrait plutôt les radier à vie, les déchoir de leur nationalité et les priver de tous les droits (assurance médicale, chômage, etc).

Je vous rappelle que les devoirs de chacun passent avant les libertés individuelles et il n’y a que James Bond qui possède un permis de tuer.

Rappelons quelques données sur l’obligation vaccinale

Elle aurait concerné en France environ 2,7 millions de personnes12.
Parmi lesquelles 1 150 000 personnels soignants.
Il se sont quasi tous vaccinés spontanément comme nous le savons tous.

Le Parisien13 l’a fort bien expliqué dans une publication appelée « Pourquoi la vaccination obligatoire n’a pas provoqué de pénurie de soignants à l’hôpital ».

Ne pouvons-nous pas être un peu rationnel pour une fois ?

Si la suspension de soignants avait pu engendrer la moindre incidence négative dans notre pays en amplifiant une crise de l’hôpital, qui pourrait imaginer qu’il puisse exister un tel taré pour agir de la sorte et imposer leur radiation ?

Ce seul fait de pure logique devrait être de nature à vous démontrer que l’hôpital ne manque pas de personnels ou que les déserts médicaux relèvent du mythe.

Sans compter une prétendue fermeture de services hospitaliers ou d’urgences.

Si nous avons assisté ici ou là à quelques fermetures totales ou tranches horaires, c’est bien la preuve que la population française se porte de mieux en mieux et que cette offre est devenue inutile.

Avouez qu’il faudrait être sacrément con pour imaginer que des soignants en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins au regard d’une situation totalement objective.

C’est aussi débile que d’imaginer le gouvernement faire appel à des pompiers étrangers non vaccinés pour éteindre des incendies de foret cet été en France alors que des pompiers non vaccinés ne seraient pas réintégrés.
Comment pouvez vous gober de telles inepties ?!

Vous et moi savons bien que les un ou deux pompiers non vaccinés de France ne voulaient tout simplement plus exercer leur beau métier et nous pouvons nous réjouir de leur départ.

Donc concernant les soignants, les vrais chiffres sont connus et ne sont nullement contestés par quiconque de sérieux.
Il y a, inutile d’employer le conditionnel, 15000 personnels non vaccinés, soit 5000 soignants14.
Vous noterez ainsi que deux tiers des personnels employées dans des structures médicales sont donc des administratifs, preuve d’une excellente gestion financière.

La déclaration du Ministre de la Santé, François Braun15 n’est donc que du bon sens.

« Je le redis, la réintégration des soignants non-vaccinés n’est pas une solution.
Elle est d’ailleurs rejetée par leurs collègues et leurs patients. »

La composante psychologique est importante !
Réfléchissez un peu, comment de vrais soignants qui n’ont pas hésité une seconde à se faire injecter pour protéger leurs collègues et leurs patients d’une mort quasi certaine, pourraient à nouveau travailler avec ces monstres d’égoïsme et de cruauté.

Alors même que nous étions en guerre contre le Covid, ces déserteurs ont déclaré « Non, pas pour moi ! »

Ceci a été rappelé hier 16 novembre lors de l’excellentissime émission animée par Cyril Hanouna dans laquelle un courageux directeur d’Ehpad (hélas minoritaire et dont je tairais le nom pour ne pas heurter sa modestie) était là pour rappeler des vérités bien peu mises en avant par les médias mainstream.

Le fait est que la réintégration des soignants suspendus en Italie est un échec total !

Et c’est logique, comment des vrais soignants pourraient leur pardonner le trahison mais aussi mettre en péril tout le processus visant à éradiquer le virus maléfique.

Peut-être avez-vous le sentiment que je radote mais toutes les vérités sont bonnes à répéter :

Les « soignants » non vaccinés sont une menace mortelle aussi bien pour les patients que les soignants qui portent un masque et qui en sont à leur quatrième ou cinquième dose d’un vaccin efficace et sans danger.

Ce directeur a bien fait de rappeler que ces non-vaccinés sont des criminels qui devraient être radiés à vie.

Il est donc totalement logique que les services se trouvent totalement perturbés par la réintégration de ces mauvaises personnes qui ne méritent plus le nom de « soignants ».
Je lui suis d’autant plus reconnaissant de ces informations sur l’Italie que je n’ai pu les retrouver dans la presse française bien complaisante à l’égard des non-vaccinés.

Pour celles et ceux qui l’auraient oublié, je vous rappelle l’enthousiasme des soignants et les queues monstres devant les centres de vaccination.
Ici encore ce grand directeur d’Ehpad n’a pas reculé face aux mensonges d’Hanouna laissant entendre que nombre d’entre-eux se sont vaccinés le couteau sous la gorge de peur de perdre leur emploi ou auraient produit de faux passes.
Mais quelle honte de jeter l’opprobre sur ces héros de l’ombre !

Ne croyez pas ces complotistes qui affirment qu’ils auraient été extrêmement nombreux à avoir fait semblant de se vacciner ou que certains regretteraient amèrement leur injection.
Ceci n’est que délire et désinformation.

Comptons

Soyons purement pragmatiques, 5000 soignants sur environ 100 départements cela fait une moyenne de 50 soignants par département français.
Le ministre Braun16 a justement et humainement rappelé le 8 novembre :

« Ce n’est pas un sujet, c’est peanuts. »

Si on regarde le nombre d’établissements17 en France, soit environ 3000, vous voyez bien que cela ne fait qu’un peu plus d’une personne par centre de soins (1,67 pour être précis).

C’est là que l’on se dit que cette vaccination a vraiment fait l’unanimité.

Prenez conscience de cette réalité totalement crédible :

« UNE seule brebis galeuse par établissement ! »

Cela prouve bien que c’est une idée d’extrême droite de vouloir les réintégrer comme l’a rappelé le ministre.

Moi-même, je serais horrifié à l’idée d’être hospitalisé et manipulé par un non-être non-injecté quand bien même je porte un masque et que j’ai mes quatre doses efficaces plus le numéro complémentaire, la grippe !

Désinformation

Mais pour des raisons purement électoralistes des députés comme Mme Rivasi n’hésitent pas à f aire dans le mensonge en affirmant le 14 novembre dernier le nombre délirant de 130 000 personnels suspendus18

Si l’on prêtait foi à ces mensonges, cela correspondrait à 55000 soignants ou personnels hospitaliers.

En revanche, il y a un problème.
Le ministre affirme que 15000 personnels hospitaliers suspendus correspond à 5000 soignants.

D’aucuns disent19 que la proportion de non-soignants/soignants n’est pas de deux-tiers/un tiers mais l’inverse, soit un tiers de non soignants pour deux-tiers de soignants.
De fait il y aurait à minima selon la député, 36 000 soignants suspendus.

Bien évidemment, ne sont cités que les personnels qui sont suspendus c’est à dire, ni ceux qui ont pris une retraite anticipée, ni ceux qui ont démissionné pour pouvoir continuer à travailler, ni ceux qui ont été mis en arrêt maladie.

Nous ne voyons pas en quoi ces quelques dizaines de milliers de personnels en plus ou en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins et constituer un soutien à une profession qui ne manque pas de personnels, ainsi que je l’ai démontré.

Il y aurait donc en France, 1 150 000 soignants.

Selon la fédération hospitalière, la profession d’infirmier comporterait 6,6% de postes vacants20. Imaginons que la moyenne soit de 5% toutes professions médicales confondues, ce qui correspondrait à environ 57 000 postes vacants.

Si l’on prête foi aux affirmations foireuses de la député il y aurait à minima plus de 50 000 soignants suspendus, démissionnaires ou en maladie qui auraient été contraints de quitter leur poste.

Si c’était vrai, et bien heureusement tout ceci n’est que manipulation, la réintégration des soignants serait de nature à résoudre le manque de personnels.

Mensonges comme cela est confirmé par cette même fédération qui affirme que les non-vaccinés représentent 0,3% du personnel (donc environ 3400 soignants).
Soit encore moins que les données annoncées par le ministre.

Ce genre de nouvelles ne peut que réchauffer mon cœur meurtri.
C’est quand même merveilleux, non ?

Un seul non vacciné par établissement de santé et on fait des histoires !

C’est bien la raison pour laquelle je vous confirme qu’il n’y a strictement aucun intérêt à les réintégrer.
Cela n’apporterait strictement rien en terme de personnels mais en revanche serait de nature à perturber les bons soignants.

Une personne qui à elle seule pourrait perturber tout un hopital au point de refuser sa réintégration ? Un peu bizarre, non ?

Merci

Alain Tortosa21

17 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221117-ne-pas-reintegrer-les-non-vaccines.pdf





Appel aux parlementaires et hommes politiques de bonne volonté

Par Karen Brandin

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous avez été nombreux en avril dernier à nous exhorter à aller voter et nous nous sommes rendus aux urnes, même si ce n’est pas aussi massivement qu’attendu.

Vous nous avez ensuite encouragés à écouter attentivement les débats à l’Assemblée Nationale et comme vous, avec vous, nous avons veillé parfois jusque tard dans la nuit, tant nous étions désireux de rester au chevet d’une démocratie que l’on savait depuis des mois déjà, agonisante.

Comme vous nous y aviez encouragés aussi, nous avons joint, écrit à nos députés et nos sénateurs respectifs pour les mobiliser, les assurer de notre vigilance, de notre clairvoyance et les rappeler à leur rôle, leur devoir de porte-voix comme à celui de porte-parole.

En vain trop souvent.

Enfin, lorsque nous avons appris qu’en Italie les soignants non vaccinés allaient être réintégrés puisque c’est le mot consacré, nous avons naïvement cru que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision inique en plus d’être dégradante de bêtise, de priver un personnel simplement vaccino-prudent, de toute existence sociale. Nous avons naïvement espéré que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision absurde de SE priver d’un personnel dévoué et ô combien indispensable.

Nous avons eu la faiblesse de penser un instant que la liberté, l’égalité et la fraternité, à force d’être portées, d’être nourries par des voix discordantes exceptionnelles de courage, d’intelligence aussi, celles de médecins magnifiques dont certains ont abattu pour nous servir un travail d’exégèse titanesque de la littérature scientifique, auraient finalement raison de l’idéologie de l’injection génique, devenue injection magique.

Malheureusement, un an et deux mois plus tard, c’est-à-dire une éternité, la situation semble figée et le temps, comme ces soignants, ces pompiers, bel et bien suspendus. À croire que Carl Gustav Jung avait eu une prémonition et évoquait le gouvernement actuel lorsqu’il déclarait :

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Pire, nous apprenions hier via une communication de l’avocat David Guyon que certains praticiens ont été convoqués dans les commissariats, car suspectés de travail dissimulé. C’est-à-dire que l’on reproche finalement à ces citoyens d’oser survivre quand on souhaiterait de toute évidence les voir agoniser, expiant leur faute dans un dernier râle, suppliant qu’on les pardonne d’avoir osé défendre leur intégrité physique.

Faut-il rappeler qu’un soignant est avant tout un citoyen et qu’en tant que tel, il doit pouvoir, avant de se soumettre à un acte médical intrusif et définitif, donner son consentement « libre et éclairé » ?

Faut-il rappeler que ces soignants n’ont commis aucune faute professionnelle en faisant simplement montre d’une prudence et d’un esprit critique qui les honorent au contraire ? or :

« Si j’exécute ce serment et ne l’enfreins pas, qu’il me soit donné de jouir de ma vie et de mon art, honoré de tous les hommes pour l’éternité. »

(Hippocrate)

« Suspendus ; » le mot est terrible mais tellement réaliste dans un monde désormais de marionnettistes car la vie de ces femmes, de ces hommes de conviction continue bel et bien d’être « suspendue » à un fil : celui du bon vouloir d’un ministre de la santé sous influence de la HAS dont on peut d’ailleurs légitimement douter de l’indépendance. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection, ni de la transmission est pourtant largement admis, mais rien n’y fait : pas davantage les tribunes, les témoignages que les manifestations organisées dans la capitale, rassemblements que le gouvernement semble percevoir comme une curiosité sans importance, un débordement marginal, voire tout au plus un simple gravillon dans sa chaussure. Rien de suffisamment gênant en somme, de suffisamment « collectif » non plus sans doute, pour entraver sa marche funeste.

Il faut bien avoir à l’esprit que parmi ces personnes empêchées de travailler, il y a des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (urgences, chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent impérativement avoir la possibilité d’exercer pour assurer leurs pratiques, affermir leur art et les techniques de prise en charge.

En plus d’une expropriation de biens puisque ces personnes ont été amputées de la totalité de leur salaire, il y a donc une expropriation des savoirs, des savoir-faire et des compétences. C’est inadmissible. C’est inadmissible depuis un an et deux mois.

Bien sûr, des vagues d’indignation naissent aux quatre coins d’une mer déjà tourmentée par un quotidien devenu difficile pour la plupart d’entre-nous, mais malheureusement, elles viennent toutes se briser sur le rivage de nos lâchetés, de notre individualisme.

La France des Lumières devenue France des Ténèbres est donc désormais plongée dans une insondable obscurité qui ne nous honore pas. Alors non, « ce n’est plus Versailles ici ». Ici désormais, c’est la France du mensonge avec sa litanie : « Tous vaccinés, tous protégés, » et celle des rituels, avec : « Je baisse, j’éteins, je décale. »

Il est donc urgent d’agir. Une poignée d’employés de l’entreprise Total a bien réussi le pari de bloquer tout un pays sur des revendications salariales. Comment imaginer, alors que nous sommes des millions, qu’il ne soit pas possible de décider d’une journée France morte où nous porterions collectivement le deuil de notre humanité ; une France figée, silencieuse, recueillie, jusqu’à l’obtention de la réintégration de l’ensemble de ces personnels ? Je compte sur vous et la nécessité de nous rassembler pour que cette action solidaire, loin de toute considération de parti, ne reste pas un vœu pieux.

J’ai conclu ma précédente tribune (https://nouveau-monde.ca/la-parole-en-danger/) par un extrait du célèbre film : « Le cercle des poètes disparus » ; c’est une autre réplique qui me vient aujourd’hui, oh capitaine, mon capitaine :

« Sommes-nous homme ou amibe ? »

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur l’expression de mes sentiments, les plus respectueux.

Karen Brandin

Citoyenne — Enseignante – Docteure en mathématiques




Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Vous avez cru que la pandémie covidienne avec toutes ses folies liberticides, restrictions drastiques, passes sanitaires et Green Pass vaccinal, était derrière vous ? Que nenni, les puissants de ce monde, réunis à Bali pour le sommet annuel du G20, le groupe de 19 pays « aux économies les plus développées » plus l’Union Européenne, en collaboration avec le B20, The Business 20, le forum officiel de dialogue du G20 avec le monde des affaires, vous tiennent et ne veulent pas vous lâcher. La transformation du monde doit s’opérer que les peuples le veuillent ou non ! 

Le B20 a ainsi demandé au G20 d’adopter des passeports vaccinaux selon les normes de l’OMS et de promouvoir les systèmes d’identité numérique. Compte tenu du sommet du Groupe des 20 (G20) du 15 novembre, le Business 20 (B20) a tenu son sommet à Bali, en Indonésie, du 13 au 14 novembre.

Le premier jour du sommet B20, le ministre indonésien de la Santé, Budi Gunadi Sadikin, a déclaré que les pays du G20 devraient adopter un certificat de santé numérique « qui utilise les normes de l’OMS » et qu’il faut essayer d’introduire ce type de passeport vaccinal dans « les réglementations sanitaires internationales » lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé à Genève.

Les futurs déplacements soumis à la détention d’un passeport vaccinal

« Nous avons un certificat de santé numérique reconnu par l’OMS. Si vous avez été vacciné ou testé correctement, vous pouvez vous déplacer », telle est son idée.

« Les pays du G20 se sont mis d’accord sur ce certificat numérique en utilisant la norme OMS et nous le présenterons à la prochaine Assemblée mondiale de la santé à Genève en tant que révision de la législation sanitaire internationale » continue Budi Gunadi Sadikin. « Pour la prochaine pandémie, au lieu de bloquer le mouvement des personnes à 100% […] il sera possible de garantir un certain mouvement de personnes, de biens et de l’économie », a-t-il conclu lors du sommet B20.

Avant de devenir ministre indonésien de la Santé, Sadikin a occupé de hauts postes, non pas dans le milieu médical comme on pourrait s’y attendre, mais dans le milieu bancaire : à la Banque de Bali, à la Banque Mandiri, à l’ABN AMRO Bank Indonesia, à PT Bank Danamon et à IBM. C’est étonnant cette volonté des banquiers de contrôler les déplacements des personnes…

La demande du ministre indonésien de la Santé concernant un certificat sanitaire numérique, qui fait office de passeport pour les vaccins, fait désormais partie des recommandations de politique officielle du B20 au G20.

Selon le communiqué de presse final du B20 Indonesia 2022, de 132 pages, dans le chapitre des Recommandations politiques au G20, les pays membres devraient « promouvoir de nouveaux échanges et une utilisation stratégique et un partage de la science, de la technologie et des données appropriées pour la détection des crises, créant un cadre de coordination mondial pour l’atténuation future des crises ». En clair, voici écrites quelques-unes des dispositions nécessaires pour mettre en place une gouvernance mondiale à l’échelle supranationale. Un nouvel ordre mondial en somme…

Un Nouvel Ordre Mondial en marche 

Ces recommandations politiques comprennent, sans s’y limiter : l’adoption de la documentation numérique des certificats COVID-19 ; la création de directives solides sur la préparation aux urgences sanitaires pour garantir une réponse coordonnée au niveau mondial aux crises futures, renforcées par une infrastructure sanitaire mondiale « toujours active » et rendue possible par la technologie, la mise en place et l’extension de la reconnaissance mutuelle des vaccins covid-19.

Pourtant l’OMS elle-même conteste la fiabilité des vaccins covid-19, et donc des passeports vaccinaux, pour ralentir et contenir une épidémie de coronavirus : en août 2021, elle a publié un guide de 99 pages sur la mise en œuvre de la documentation numérique des certificats COVID-19, alias passeports vaccinaux, indiquant que « un laissez-passer de santé basé uniquement sur le statut de vaccination individuel peut augmenter le risque de propagation de maladies ».

En effet, il n’a jamais été démontré que les « vaccins contre la covid empêchent la transmission ou l’infection, et il est récemment apparu au Parlement européen que Pfizer n’a jamais testé son produit comme moyen de bloquer la transmission.

Mais bien que ces connaissances soient du domaine public, le B20 continue de recommander des preuves de vaccination comme moyen de voyager.

« Ces passeports vaccinaux servent par nature de forme d’identité numérique » soulignait le Forum économique mondial en février 2022. Et peut-être est-ce bien là l’objectif qui pousse ces puissants à imposer des passeports vaccinaux pour voyager.

« Le G20 devrait soutenir la conception de politiques visant à promouvoir les identités numériques en tant qu’élément constitutif de la confidentialité des données et de la confiance numérique » est d’ailleurs une des recommandations politiques du B20 réuni à Bali en cette année 2022.

Une identité numérique comprend tout ce qui vous rend unique dans le domaine numérique et est un système capable de consolider toutes vos données intimes les plus personnelles, y compris les sites Web que vous visitez, vos achats en ligne, vos dossiers médicaux, vos comptes financiers et les personnes avec lesquelles vous êtes ami sur les réseaux sociaux.

Identité Numérique = crédit social

Ce système d’identité numérique, via le passeport vaccinal universel voulu par le B20 peut donner aux gouvernements et aux entreprises le pouvoir d’inciter, de forcer ou de manipuler autrement le comportement humain au sein d’un système de crédit social.

Les identités numériques peuvent être utilisées pour déterminer quels produits, services et informations sont à la disposition du citoyen lambda et peuvent certainement être utilisées par des organismes publics et privés pour lui refuser l’accès à certains biens. Alors que le B20 promeut cette « recommandation politique » au G20 en soutenant que « le G20 devrait demander aux BMD [Banques multilatérales de développement] d’aider les gouvernements à développer et à mettre en œuvre des systèmes d’identité numérique afin de renforcer l’inclusion », le Forum économique mondial, qui ne cache plus son but de contrôle admet :

« Cette identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder – ou, au contraire, ce qui nous est exclu ».




Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

https://t.me/DrDelepine

Un nouveau drame appelle notre vigilance : les malheurs de Chloé « TRANSGENRISME »

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.1 2

[Voir aussi :
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

L’histoire de Chloé3

« Dès l’âge de neuf ans, Chloé Chole a commencé à “se questionner sur son genre”. À douze ans, elle dit à ses parents qu’elle veut “changer de sexe”. Ne sachant pas quoi faire, ces derniers sollicitent une aide médicale.

Un traitement “radical”

À aucun moment les médecins ne repoussent son “désir de transition”. De 13 à 17 ans, Chloé Cole subit un “traitement radical”, hors autorisation de mise sur le marché et “insuffisamment étudié”, comprenant des bloqueurs de la puberté, un traitement par hormones sexuelles croisées et une double mastectomie.

Devenue adulte, elle regrette d’avoir subi “un traitement médical expérimental et irréversible”. “J’ai pris une décision d’adulte quand j’étais enfant” déclare-t-elle ».

Elle va poursuivre l’hôpital et les professionnels qui « ont effectué, supervisé et, ou, conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale ». Elle demande des dommages-intérêts punitifs. Les adultes m’ont mis en danger.

De fait ils ont manipulé les parents par le mythe du suicide qui menace et qui « serait évité » par ce long parcours médical, radical, irréversible qui pourtant mène plus souvent à l’issue fatale que l’inverse. En effet une étude canadienne montre que le taux de tentatives de suicide est de 3 % chez les hétérosexuels, 15 à 25 % chez les gays, lesbiennes et bi, mais dépasse les 45 % chez les trans comme l’illustre le graphique qui suit.

Chloé se bat pour elle, mais surtout pour tous les autres : « Je veux tenir responsables les adultes qui m’ont mis en danger, parce que ce qui m’est arrivé est horrible, mais cela n’est pas arrivé qu’à moi », insiste la jeune femme. « Cela arrive aux enfants partout aux Etats-Unis, partout en Occident, et cela se répand dans le monde entier »

LE TEMPS DES PROCÈS EST ARRIVÉ

Les procès apparaissent en Californie, en Angleterre et des cliniques jusqu’ici fort rentables sont obligées de fermer.

Comment en sont-ils arrivés là dans les pays anglo-saxons, et comment éviter chez nous les mêmes déviances ?. Aujourd’hui en France allons-nous tenter une nouvelle fois de copier, et reproduire les délires d’outre-Atlantique, d’outre-Manche ou scandinaves, alors même que ces pays commencent à en prendre conscience des dangers que leur permissivité fait courir aux adolescents mal dans leur peau. En France toujours deux décennies de retard…

Un rapport de janvier 2022 remis au ministre Véran montre que le nombre de personnes se disant trans ou en parcours de transition représente 0,013 % de la population (8952 personnes parmi plus de 67 millions de Français). Mais la publicité redondante à la télévision, la formation des petits à l’école à leur soi-disant libre choix entraînent des conséquences…

D’après les données de l’Assurance maladie :

« Les demandes de prise en charge de chirurgie mammaire et pelvienne de réassignation ont quant à elles été multipliées par quatre entre 2012 et 2020, avec respectivement 113 et 462 demandes ».

Par ailleurs :

« Le nombre de séjours en établissements de médecine, chirurgie et obstétrique pour transsexualisme a été multiplié par trois entre 2011 et 2020, passant de 536 à 1 615. »

On se demande pourquoi actuellement un feuilleton ou film récent se croit obliger d’insérer un trans dans le scénario, pourquoi le ministre de l’Éducation nationale semble vouloir traiter ces domaines en priorité et pourquoi de multiples articles de journaux pleurent sur ces pauvres soi-disant « victimes de leur sexe » alors qu’ils le deviendront à coup sûr par l’utilisation généralisée de leur drame privé ;

Pourquoi les dirigeants politiques se croient-ils obligés d’afficher la caractéristique trans de tel ou tel ministre alors que cela ne devrait relever que de leur domaine privé.4

Ils ou elles (iel ?) deviendront victimes à coup sûr si elles sombrent dans ce parcours du combattant qui les rendra à jamais dépendants du système médical (par ailleurs défaillant)…

Pour combien de « satisfaits » ? Et pour combien de temps ? L’idée n’est pas de refuser à quelques rares adultes cette reconnaissance et ces actes médicaux, mais d’informer, avertir enfants et adultes de la terrifiante manipulation qui mène des enfants en bonne santé, mais qui se posent avec plus d’acuité que la moyenne leur devenir sexuel à plonger dans ce parcours médical, ce petit monde fermé dans lequel ils trouvent au début une communauté accueillante, mais qui se transforme selon leurs confidences progressivement en un enfermement pour la plupart.

L’argent : cherchez l’argent, toujours

Malheureusement la soi-disant humanité dont on multiplie les faux sens télévisés en mettant in fine sur le trottoir ou dans la drogue des êtres humains, « migrants » désinformés sur les conditions de vie occidentales, et dépouillés de leurs économies pour payer les passeurs, cette soi-disant humanité est la même qui pousse des enfants à la mutilation, pour satisfaire des prédateurs avides d’argent ou de « belles » interventions de modelage d’un pénis chez une femme ou d’un vagin chez un homme… Appât du gain et distraction de la routine de l’appendicite ou du cancer du côlon d’un chirurgien blasé ou les deux ou encore envie de notoriété ? En tous cas le sort de « l’objet » à remodeler, du patient devenu objet n’a probablement pas grand-chose à voir avec la compassion pour l’enfant ou l’adulte angoissé par sa sexualité, du moins dans la majorité des cas…

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons5.

On se demande pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets 6 ou des autorités administratives comme le Défenseur des droits ou le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ?

Les rapports censés orienter les choix de la HAS en matière de recommandations sont confiés à des personnes, tout sauf indépendantes et objectives.7 Plaidant pour leur paroisse et ne tenant aucun compte de l’expérience acquise par les pays pionniers des traitements de transition médicale, et qui justement en reviennent comme la Suède.8

Depuis une vingtaine d’années, la folie du « genre » avait atteint le monde anglo-saxon et scandinave, nous épargnant relativement (en dehors des séries…). Mais récemment la mode « de changer de sexe » dès l’école primaire s’est installée officiellement en imposant aux enseignants d’accepter que l’élève choisisse un nouveau prénom sans l’accord de ses parents.

Le ministre de l’Éducation prétend que l’éducation sexuelle est une priorité dans un pays où les jeunes ne savent plus ni écrire, ni compter, ni calculer même à l’entrée de prépas réputées…

Nous devons nous préoccuper de cette nouvelle dérive pour savoir comment aborder ces sujets délicats, sans braquer, avec nos jeunes, proches, amis, familles, soumis à la pensée unique des réseaux sociaux colonisés par des « militants » d’un seul discours renchéri par France info et co…

Ainsi trop d’adolescents, en recherche d’eux-mêmes se trouvent embarqués dans un parcours de genre, tout malaise étant interprété comme une « dysphorie »9 pourtant rarissime. Les médecins consultés choisis pour leurs « compétences » autoproclamées sont le plus souvent des militants de la transition et orientent systématiquement d’emblée les enfants vers ce type de réponse, oubliant toutes les autres causes de mal être de cette tranche d’âge pour peut traiter moins brutalement.

Un marché juteux et trop de victimes embarquées sans réel diagnostic, sans précaution

Ce serait le règne de l’autodiagnostic ! Une enfant de quatre ans qui se dit garçon a forcément raison et il faut aller dans son sens, c’est ce qu’on explique aux parents perdus et pas préparés à ce genre de déviance, et les enfants de quatorze ans peuvent imposer leur « transition » dans le secret, sans en informer leurs parents.

ON FAIT VOTER AUX DÉPUTÉS LA DÉPATHOLOGISATION DE LA TRANS-IDENTITÉ

Comme si on pouvait choisir son sexe ! Le sexe est une constance biologique déterminée lors de la fécondation par la loterie du mélange des gênes X et Y des parents. Cette reproduction sexuée apporte un avantage biologique à l’espèce qui l’adopte et pour cette raison se retrouve chez toutes les espèces vivantes évoluées. Prétendre qu’on pourrait choisir son sexe ou que celui-ci est uniquement la conséquence d’un apprentissage social est un mensonge éhonté véhiculé parmi les députés, mais surtout les jeunes en souffrance et leurs parents qui ne peuvent plus donner de nécessaires « limites » aux jeunes sans se sentir ou être traités de parents indignes. On ne pourra jamais changer que l’apparence, mais jamais le sexe chromosomique ! Le changement de sexe promis aux jeunes gens est une imposture.

Société de la folie. Essayons de sortir du délire ambiant !

De la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne10 qui ont répété à l’envi que « la transidentité n’était pas une maladie » et « que chacun devait être libre de choisir son identité de genre, sans se laisser imposer “un modèle hétéronormé binaire”11. » Cette revendication n’est pas propre à la France. La dernière version de la classification internationale des maladies éditée par l’OMS (CIM 11) vient de transférer « l’incongruence de genre » du chapitre des affections psychiatriques vers celui de la santé sexuelle.

Alors que les soins à la vue de tous sont de plus en plus compromis par le délabrement continu de notre système de santé, la disparition des médecins de famille, la fermeture récurrente des urgences hospitalières et des blocs opératoires repoussant aux calendes grecques une intervention urgente, l’objectif du gouvernement et de ses instances telles la HAS est de créer un HOMME NOUVEAU avec tous les moyens y compris financiers détournés de la sécurité sociale.

Ainsi pour ces avocats d’un nouveau monde rêvé par Huxley et exposé par Laurent Alexandre, le sexe n’existe plus, c’est un fantasme que vous pensez voir à l’échographie prénatale et à la naissance et seul le GENRE existe… Et c’est bien sûr la sécurité sociale, la solidarité nationale qui doit assumer vos fantasmes ou plutôt vos pseudo-fantasmes bien utilisés par les lobbies fournisseurs de clients à la filière transhumaniste.

Ainsi est affirmé le droit à réquisitionner la médecine et la solidarité nationale afin de transformer et mutiler son corps pour le faire correspondre à ses fantasmes :

« Nous passons à un modèle dans lequel la personne détermine librement et elle-même son genre ainsi que le recours à tel ou tel traitement (…) ». « Il s’agit là aussi de mettre en œuvre des moyens du champ médical non pas pour soigner une pathologie, mais pour concrétiser le droit à disposer de soi-même »

Ainsi alors que le choix revient en totalité à la personne, c’est la société qui doit rembourser à 100 % les frais induits chez un être humain considéré comme normal, non malade, mais classé en affection de longue durée pour remboursement total des interventions et autres traitements médicaux.

Il semble bien que le médecin généraliste soit sommé « d’établir un protocole de soins de transition médicale à la demande de son patient non malade (ne pas confondre, sous peine de sanction pour discrimination), c’est-à-dire de lui prescrire les produits hormonaux réclamés et lui fournir des ordonnances nécessaires à la chirurgie. Pourra-t-il s’y refuser ? Avec la loi du 31 janvier 2022, rien n’est moins sûr ».

En résumé un diagnostic établi par la personne (considérée comme non malade, y compris mineure) sans confirmation médicale et un accès AUTOMATIQUE A LA TRANSITION MÉDICALE ET/OU CHIRUGICALE. !

Un drame social et financier,12 mais surtout individuel d’une personne en souffrance, en mal être13 en raison de ce qu’elle pense suite à ses lectures internet, ses participations à des forums influencés par les lobbies très riches, et la confirmation ou l’acceptation quasi automatique des médecins consultés qui appartiennent automatiquement aux lobbies, puisque la personne est orientée vers les « spécialistes ».

Imaginez un instant : je décrète avoir un cancer des ovaires et me fais enlever les gonades et prescrire un traitement hormonal sans avis médical et avec obligation pour le corps médical de me prescrire ces traitements qui seront automatiquement remboursés.

On peut décliner ce modèle pour se sentir avoir une sclérose en plaques et exiger les traitements ou un lymphome… Cela paraît exagéré, mais c’est exactement cela qui se passe en matière de changement de sexe et de son effroyable parcours qui transforme définitivement la personne en malade chronique, tant les traitements hormonaux à vie et la surveillance des sites opératoires s’imposent à vie, sans même parler de ceux, nombreux, qui feront le chemin inverse (détransition et rebelote pour les hormones inverses et les interventions…).

La prudence minimale enterrée

Des vies perturbées, gâchées au nom d’une pseudo liberté et de décisions privées de la plus élémentaire prudence ne respectant même plus, dans le cadre particulier du changement de sexe, des dispositions protectrices du Code civil et du code de santé publique interdisant les interventions mutilantes14 et les prescriptions hors AMM.

Notre société avide de copier les délires new-yorkais ou californiens est entrée dans un nouveau monde, « le meilleur des mondes » d’Huxley15, où au nom d’une pseudo liberté individuelle accrue, on soumet en réalité les esclaves du net et de la propagande télévisuelle via Netflix et autres, à un avenir lourd de drames personnels via les traitements médicaux lourds et les mutilations irréversibles menant trop souvent au suicide.

CHANGEMENT DE PARADIGME IMPOSÉ PAR NOS GOUVERNANTS

Voici la justification de la détermination du gouvernement à imposer ces pratiques qu’on pourrait aussi considérer comme barbares vers un changement de paradigme :

« Les nombreux échanges réalisés par la mission, les évolutions du contexte international (CIM 11) l’ont convaincue qu’un changement de paradigme dans les parcours de soins des personnes trans est à la fois nécessaire, attendu et possible.

Les changements doivent reposer sur des principes éthiques et politiques : dépathologisation de la transidentité, autodétermination des personnes seules à même de définir leur identité de genre, non-discrimination, égalité géographique et sociale d’accès aux soins. Les travaux à venir de la HAS doivent par ailleurs contribuer à intégrer l’état des connaissances, dans les pratiques de soins »16.

Donc la HAS n’aura aucun autre choix que mettre en pratique l’avis du ministre.

On a, dans le même temps, privé les parents de toute autorité, par conditionnement social et menaces pénales pour une fessée, donnant ainsi la toute-puissance sur les cerveaux de nos petits à une école qui n’enseigne plus le français ni le calcul, mais la sexualité, priorité avouée de notre actuel ministre de « l’éducation nationale »17.

Le rapport de janvier 2022 18 qui sert de base à la réflexion de la HAS sur les recommandations qui seront publiées en septembre 2023 est orienté par les lobbies qui l’ont rédigé et fait cruellement la place centrale au modèle « trans-affirmatif » immédiat, y compris pour les mineurs. Est-ce l’avenir que vous voulez pour vos enfants ? Et pourtant la maturité cérébrale ne serait acquise qu’à 24 ans…

Ces rapports préliminaires de janvier 2022 ainsi que le rapport de la HAS de septembre 2022 sur les futures recommandations ne font guère référence aux drames vécus par ces victimes de la mode et des médecins et seulement de façon insuffisante. La note de cadrage de la HAS de septembre 2022 19 avoue qu’elle a peu d’informations sur les « détransitions ». C’est pourtant un point fondamental, ainsi que la comparaison des suicides dans les tranches d’âge comparables et celles des sujets trans ou en parcours de transition.

Rappelons enfin la « définition du parcours de transition », d’après le rapport de l’IGAS 2022.

Les parcours de transition se déclinent en transition sociale, administrative, et médicale.

La transition sociale est le fait de vivre dans son environnement dans un genre social autre que son genre de naissance (de fait sexe de naissance !).

La transition administrative porte sur la modification du prénom et/ou de la mention de sexe à l’état civil.

« La transition médicale concerne l’ensemble des soins médicaux liés à la transition de genre (hormonothérapie, chirurgies). »

Les parcours de transition médicale désignent les parcours au sein du système de santé d’une personne transgenre, visant à d’obtenir les modifications corporelles souhaitées, à l’aide de soins délivrés par des médecins (hormonothérapie, épilation laser) et/ou chirurgiens (plasties de la poitrine, chirurgie pelvienne, etc.) et/ou d’autres professionnels de santé (orthophonie pour féminisation de la voix).

Ces parcours de transition devraient reconnaître l’autodétermination des personnes, permettre un choix éclairé en améliorant l’accès à l’information, rendre possibles des parcours de transition médicale diversifiés dans leur contenu et leurs modalités, faisant une plus grande place à la médecine de 1er recours et au travail en réseau, dépsychiatriser l’entrée dans les parcours, tout en permettant un accompagnement en santé mentale si nécessaire. La doxa officielle ne veut surtout pas « psychiatriser » alors que tous professionnels et proches conviennent que ces personnes ont besoin de soutien psychologique et souvent psychiatrique.

Dans ce rapport de l’IGAS, on note encore que la prévalence de cette dite dysphorie de genre chez les mineurs n’est pas établie.

« Selon une revue systématique de la littérature, à ce jour, la prévalence de la dysphorie de genre chez l’adolescent (âgés de 12 à 18 ans) ne peut pas être établie. Il y a des preuves d’une augmentation de la fréquence de consultation des adolescents pour traitement ces dernières années et les adolescents de sexe féminin à la naissance sont maintenant majoritaires ».

Enfin les troubles associés sont tout de même reconnus par l’IGAS. D’après une revue générale, la vulnérabilité des jeunes transgenres inclut les risques suicidaires, la dépression, l’anxiété, et l’auto-agressivité, ainsi qu’une persécution à l’école autant chez les garçons que chez les filles. » On aimerait des statistiques !

IL EST CLAIR QUE CES SUJETS MÉRITERONT APPROFONDISSEMENT ET SURVEILLANCE POPULAIRE

En effet dans notre société, est passée subrepticement la légalisation de l’avortement devenu infanticide puisqu’autorisée jusqu’à l’âge de neuf mois en août 2021 au sein de la loi dite de bioéthique, sans prise de conscience populaire qui s’étonne aujourd’hui de cette possibilité en Californie, sans savoir que la disposition existe en France.

Est passée également l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal dans la même loi passée en catimini.

Peut-on citer également l’expérimentation à grande échelle d’une substance génique expérimentale, appelée fallacieusement vaccin, pour tromper les foules, mais évitée chez les animaux en raison de trop de mortalité dans les premiers essais ?

Alors laisserons — nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement lucratif…

Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.


1 13.11.22 https://m.epochtimes.fr/une-adolescente-ex-trans-poursuit-les-medecins-qui-lont-mutilee-alors-quelle-etait-mineure-2158461.html

2 https://www.foxnews.com/media/detransitioned-teen-hold-gender-affirming-surgeons-accountable

3 Transition de genre chez une mineure : des médecins poursuivis. Publié le 15 novembre 2022, revue de presse génétique.

4 Voir par exemple une ministre de Biden dont l’objectivité sera questionnable en ce domaine

Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé

Cette pédiatre devient ainsi la personne transgenre la plus haut placée au sein du gouvernement américain, une première historique. Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé — Allo Docteurs

5 « Seulement les adultes ? Bonnes pratiques en matière de la reconnaissance légale du genre pour les jeunes ; un rapport sur l’état actuel des lois et du plaidoyer des ONG dans huit pays d’Europe, en mettant l’accent sur les droits de jeunes » : https://www.iglyo.com/wp-content/uploads/2019/11/IGLYO_v3-1.pdf

6 Cf par exemple le site de l’association lyonnaise Chrysalide dont les publications sont subventionnées par le ministère des Solidarités et de la Santé, la région Aura, la Métropole de Lyon, alors qu’elles sont très contestables : https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/

7 Voir article La fragile protection des enfants face aux lobbies trans-affirmatifs,

Publié le 25 mars 2022, revue Gènéthique

8 https://www.socialstyrelsen.se/om-socialstyrelsen/pressrum/press/uppdaterade-rekommendationer-for-hormonbehandling-vid-konsdysfori-hos-unga/

9 Le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux — 5e édition) publié en 2015 en version française, définit la dysphorie de genre par : A : la non-congruence marquée entre le genre vécu/exprimé par la personne et le genre assigné, d’une durée minimale de 6 mois et B : le trouble est accompagné d’une détresse cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

10 Article 225-4-13 du Code pénal : « Les pratiques, comportements ou propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ».

11 M. Bastien Lachaud, Compte-rendu de la deuxième séance du 5 octobre 2021

 L’ensemble du parcours médico-chirurgical est financé par l’assurance maladie au titre de la prise en charge d’une affection de longue durée (ALD)

12 « Les soins de transition peuvent, contrairement à ce qu’on observe dans d’autres pays, être pris en charge par la sécurité sociale, pour certains à 100 % en cas d’accès à l’ALD (affection de longue durée). Le nombre de bénéficiaires de l’ALD au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre a fortement augmenté depuis 10 ans, tout en restant relativement modeste : 9 000 personnes sont concernées en 2020 dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013 selon la CNAM). 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans. En 2019, le nombre de demandes et d’avis favorables d’ALD concernant des hommes trans (FtM) a rejoint celui des femmes trans (MtF) » rapport au ministre 2022 ibid 9

13 A-t-on encore le droit de le dire ou de l’écrire sans être accusé de discrimination ?

14 Female to Male (FtM) désigne une femme qui devient homme ; Male to Female (MtF), un homme qui devient femme.

La chirurgie d’affirmation de genre recouvre des interventions de féminisation (création d’un néo-vagin, augmentation mammaire, féminisation du visage…) ; la chirurgie de masculinisation recouvre des interventions des organes génitaux (hystérectomie, métaoidioplastie, phalloplastie…) ou de la poitrine, mastectomie.

15 Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d’anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système.

16 Rapport ibid11 page 6 objectifs imposés : « L’enjeu prioritaire est de renouveler l’organisation des parcours de transition, avec pour principes clefs l’autodétermination, le consentement éclairé, la reconnaissance de la diversité des parcours, une place renforcée des professionnels de santé de premier recours, un travail en réseau et un repositionnement du rôle de la psychiatrie. »

17 Les mesures devraient a priori concerner tous les niveaux scolaires. Elles viseront à lutter contre les « stéréotypes de genre » ainsi que les LGBT-phobies et les violences sexuelles et sexistes.

18 Remis au ministre début 22 rapport_sante_des_personnes_trans_2022.pdf (solidarites-sante.gouv.fr) répond à une saisine du ministre des Affaires sociales et de la Santé faite à deux acteurs de terrain de la prise en charge des personnes, le Dr Hervé Picard, médecin généraliste et médecin de santé publique et Simon Jutant de l’association ACCEPTESS-T, avec l’appui de Geneviève Gueydan de l’IGAS. « Ce rapport intervient un moment qui laisse espérer des progrès possibles ; si la situation et les parcours de soins des personnes trans ont été, et restent encore trop, marqués du sceau de la pathologisation de la transidentité et de sa stigmatisation, des évolutions majeures du contexte peuvent en effet contribuer à de profonds changements. »

19 Parcours de transition des personnes transgenres (has-sante.fr) note de cadrage de la HAS de septembre 2022 en préparation des recommandations prévues pour sept 2023.




Piratage d’humains – Individus ciblés



[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Quel sort pour les « sert-pu-à-rien »* humains dans le Nouvel Ordre Mondial ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste
En route vers l’esclavage de l’Humanité ?
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales
Nanotechnologie et « vaccins »]

Capsule à voir absolument :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

Voici le lien pour vous inscrire à la plateforme Odysee afin d’éviter la censure et obtenir une récompense :
https://odysee.com/$/invite/@Vivresainement:f

Abonnez-vous à ces associations pour entrer dans la résistance :
https://reaction19.fr/
http://www.bonsens.info/
https://reinfocovid.fr/

Questionnaire pour signaler des effets secondaires :
https://bonsens.info/actualites-bonsens-n-2021-21-du-24-mai-2021/
Regardez ce site pour suivre tous les soldats digitaux :
https://reinfovf.com/

France soir, le seul vrai média d’informations :
https://odysee.com/@francesoir:2
https://www.francesoir.fr/

Version originale : https://www.youtube.com/watch?v=jwFR7tjGItQ

Sources :




L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste

[Source : Joe Massot – Traduction (ICTV – La Vérité Diffusée)]

La présentatrice australienne Maria Zeee reçoit l’ancienne employée de Pfizer spécialisée dans la communication en biotechnologies Karen Kingston pour comprendre comment il faut comprendre la crise que nous traversons(1).

Les injections à ARNm ont été observées avec les technologies de microscopie les plus performantes, révélant qu’elles contiennent des produits tels que l’oxyde de graphène et une quantité de métaux divers. Ces observations ont été également reproduites à travers plus d’une douzaine de laboratoires (quelques sources ci-dessous) confirmant la présence de ces matériaux dont l’utilité se trouve être également décrite dans des brevets transhumanistes, permettant d’ouvrir les portes du piratage des cellules humaines avec la technologie CRISPR CAS9 ou ciseaux génétiques.

[Voir aussi :
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays
Nanotechnologie et « vaccins »
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid]

Les inoculations ayant été réalisées en masse, les ingénieurs de ces bio-nano-technologies issues à la fois de l’industrie des télécommunications et de Big Pharma, avec la complicité des gouvernement corrompus, ont désormais en leur possession un moyen de contrôle inédit sur la population injectée, l’éventail des applications est très large, nous ne connaissons pas encore l’étendue des effets concrètement exploitables.

Refusez les injections, résistez !



Quelques sources :

(1) L’émission originale (Vo en anglais):
https://zeeemedia.com/interview/live-extended-interview-covid-19-injection-hacks-your-brain-enslavement-through-ai-with-karen-kingston/

Observations en laboratoire:

Poornima Wagh:
https://www.bitchute.com/video/btuJXs0glmla/

Mike Adams
https://t.me/VeriteDiffusee/13787

Carrie Madej:
https://www.carriemadej.com/

Laurent Montesino
https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/R%C3%A9v%C3%A9lations-sur-l’injection-par-le-Dr-Laurent-Montesino:9?src=embed

La Quinta Columna
https://rumble.com/v1cde8t–franais-communiqu-urgent-de-la-quinta-columna.html

Observations de l’équipe allemande The Working Group for COVID Vaccine Analysis
https://www.documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany

Corrélation de ces propos par le milieu judiciaire:

Raphaël Cohen, directeur du CSAPE:
https://www.csape.international/

Corrélation par le milieu politique

Corrélation sur le but, le fichage par nanopuce, marquage individuels par « points quantiques »
https://t.me/mediainfocitetv/1390

karen kingstonmaria zeeeputschtranshumaniste




Les politiques « sanitaires » ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel.

La présentation qui suit est de la bombe !

Elle émane d’un mathématicien-chercheur de haut vol, mon excellent collègue du Conseil scientifique indépendant, Vincent Pavan. Depuis les débuts de cette « crise sanitaire », Vincent démonte impitoyablement toutes les falsifications mathématiques dont les instances systémiquement corrompues font un usage hélas aujourd’hui généralisé.

En tablant sur deux facteurs favorables majeurs :

a. La corruption institutionnelle systémique qui assure une docilité et une absence d’esprit critique au sein de la « communauté scientifique » : ses membres ne veulent surtout pas avoir d’ennuis avec leur hiérarchie ni avec les milieux privés dont il est aujourd’hui exigé qu’ils participent au financement de la recherche, de l’enseignement et de la pratique médicale hospitalière. Se faire « mal voir » de ces partenaires obligés est un luxe qu’à peu près plus personne ne peut se permettre sans en pâtir de lourdes conséquences. Sous les gloussements ravis des politiques, trop heureux de voir ainsi prospérer les « partenariats public -privé » si au goût du jour et soulageant commodément les finances publiques…

b. La très répandue ignorance des mathématiques. Dès lors que des formules alambiquées et savantes sont mises en avant, le 98 % des lecteurs des articles (médecins, experts, chercheurs, scientifiques) sont en réalité incapables de comprendre ce dont il s’agit et évidemment encore moins de porter une contradiction éclairée.

Ignorance et complaisance combinées forment un cocktail aussi redoutable pour l’intelligence individuelle et collective que le glycérol et l’acide nitrique [NDLR qui servent à fabriquer l’explosif nitroglycérine] !

Il suffit donc que quelques doctes phraseurs mathématiques pondent des formules absconses pour que les sots se mettent à faire des révérences à grands coups de chapeau comme les courtisans à Versailles !

J’ai souvenir d’un échange avec le Pr Didier Pittet avant un bref débat télévisé :

« Je vous donne raison, me concéda-t-il, sur votre critique des modélisations… à l’exception toutefois de celles du Pr Ferguson, qui sont remarquables… »

Le pauvre homme ! Il se trouve que ce sont les plus frauduleuses de toutes ! Il en est ainsi : étant parfaitement incapable (je ne le suis bien sûr pas plus que lui) d’y comprendre que pouic, l’apologiste intéressé de Macron et de sa politique indigne trouvait cette modélisation maousse.

C’est dire s’il est précieux de voir soudain l’intervention d’un mathématicien-chercheur qui, lui, peut décortiquer, comprendre, et évaluer la pertinence des modélisations et des équations proposées.

Le bilan est sévère : on savait, à force d’échecs et de prédictions lamentablement erronées, que l’art de la prévision épidémiologique était fortement dévoyé au sein de la science corrompue.

Seuls quelques rares spécialistes intègres (comme Laurent Toubiana en France, qui annonça à l’avance avec une stupéfiante précision la courbe épidémique de mars-avril 2020) tirent leur épingle du jeu.

Les autres, les Ferguson, Flahault, Cauchemez, Fontanet et autres, sont bien trop compromis avec les intérêts véreux pour proposer autre chose que de fraudes grossières.

Leurs modélisations n’ont plus rien à voir depuis longtemps avec la science, mais avec un pur travail de propagande. Ferguson et Flahault passent leur temps à annoncer les scénarios les plus alarmistes, systématiquement faux, avec pour priorité, semble-t-il, de faite paniquer la population de sorte à pouvoir réclamer à tout prix, mais contre toute bonne science des mesures abusives et destructrices. Ils ont pour particularité complémentaire d’être des multirécidivistes de ce type d’inconduite scientifique grave.

Dans tous les domaines, quand des « experts » se trompent et créent des dommages majeurs à répétition, on les vire !

Pas dans celui-ci : malgré leur bilan catastrophique, on continue de prêter crédit aux élucubrations des deux tristes sires. S’il n’en allait que de questions purement intellectuelles, on s’en taperait le coquillon. Mais las ! le problème est que leur parole entraîne des conséquences immanquablement graves et terriblement destructrices sur la population, au mépris de toute science et de toute éthique en santé publique (laquelle prohibe de tels comportements).

Cauchemez et Fontanet, eux, ont produit de la science frauduleuse pour répondre à la demande du politique. Emmanuel Macron ayant besoin de justifier l’injustifiable (imposer une politique prétendument sanitaire en réalité terroriste), il commanda aux deux compères des « études » pour montrer le bien-fondé de cette ignominie. Lesquels compères s’exécutèrent.

Tout ceci, hélas, donne sens à l’appel solennel du British Medical Journal au mois de novembre 2020 :

« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également.

La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent. »

Cette politisation, répression et corruption de la science sont cela même à quoi se livrent les Ferguson, Flahault, Pittet, Hurst, Trono Cauchemez, Fontanet, Delfraissy et tant d’autres, à vrai dire le milieu tout entier qui s’est laissé curariser par les intérêts corrompus !

Si nous n’avions Vincent Pavan pour plonger au cœur de leurs falsifications, nous aurions mis des années à les repérer. En ce qui le concerne, il aura fallu 9 mois d’effort pour « craquer le code » de l’escroquerie et la révéler.

Faut-il rappeler au passage que Sébastien Cauchemez sévit à l’Institut Pasteur, et Arnaud Fontanet au Collège de France ?! Des milieux qui eux aussi ont versé dans l’indignité — tout comme la plupart des universités et autres académies de médecine.

Pour ces tristes sires, comme pour Ferguson et Flahault, la révocation est la seule issue qui fasse sens.

Au reste, les colloques de Lisbonne et Marseille ont confirmé (si besoin était hélas) l’état actuel de pourriture du monde de la production scientifique.

Lorsque l’on tolère que les « plus prestigieuses revues » publient crapulerie sur crapulerie (le NEJM comme le Lancet et le JAMA nous offrent un festival de poissons pourris, littéralement, depuis trois ans) il n’y a guère à espérer. Surtout quand ensuite des potentats immoraux comme Flahault, le Conseil scientifique en France, la « Task force » en Suisse et tant d’autres font la promotion active du poisson pourri pour maltraiter et empoisonner un peu plus les masses.

Au moins Jean-François Delfraissy en France, certes avec un à-propos douteux, admet-il depuis qu’il n’est plus en fonction avoir lourdement failli, plaidant que le Conseil scientifique avait été « instrumentalisé » par le gouvernement.

Ça ne nous avait pas échappé, mais on voir mal ce qui l’obligeait malgré tout à se compromettre dans la pire politique sanitaire de l’époque moderne — les scandales sont en cours d’émergence et emporteront beaucoup de « sommités compromises » au passage.

À défaut donc de trouver un minimum d’honnêteté intellectuelle et de sens des responsabilités au sein des instances de santé ou chez les privilégiés qui s’y ébattent tout en faisant subir des horreurs à la populace, il reste la voie de la justice, que Vincent Pavan a saisie. Le parquet ne donne pas a priori des gages d’indépendance et de sens de la justice exagérés, les exemples de passe-droits et d’inégalités de traitement sont trop nombreux pour nous laisser grande illusion. Alors que la plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence, etc. contre Cauchemez et Fontanet avait été classée, elle a été relancée depuis par la constitution en partie civile des plaignants.

L’affaire est trop grave pour que nous lâchions.

Si nous voulons que justice soit rendue et que les champs de la recherche scientifique et de la santé publique soient assainis, nous devons dégager les acteurs ou les complices de la fraude, qui ont œuvré au service d’intérêts corrompus en trahissant la population.

Nous y veillerons.


Covid-19 : Corruption mathématique et épidémiologique

Par Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université Aix-Marseille



Retour sur la grippe H1N1 de 2009

Il est nécessaire de commencer par un rappel de la fraude mathématique lors de la fausse épidémie de H1N1 en 2009-2010, et qui a servi de répétition générale pour le Covid-19.

En 2009, l’OMS déclare l’état de pandémie en se basant sur les simulations mathématiques de Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, ce qui conduit à la promotion de faux médicaments comme ce fut le cas du Tamiflu (vendu pour des milliards d’Euros de commandes par la société Roche alors que celle-ci savait pertinemment que le remède n’était pas indiqué) et à l’obsession d’imposer une vaccination, hâtive et insuffisamment testée, à large échelle.

À l’époque, la mauvaise gestion de la crise H1N1 avait donné lieu à un certain nombre d’enquêtes parlementaires, en France et dans d’autres pays. Ces enquêtes avaient abouti à des conclusions qui permettaient de comprendre ce qu’il fallait éviter à tout prix de reproduire à l’avenir.

Or ces avertissements n’ont pas été suivis en 2020, dont notamment les points particuliers d’une enquête du Sénat en 2010 sur le rôle des mathématiques en situation épidémique. Ce rapport dressait un état lucide des erreurs à ne plus commettre en mettant en lumière les points suivants, je cite :

« L’absence de corrélation entre les estimations modélisées et la réalité constatée est frappante. »

« Les auteurs des modèles n’ont pas envisagé l’hypothèse selon laquelle le virus H1N1 pourrait se révéler moins virulent que celui de la grippe saisonnière. »

« Les hypothèses formulées sur la base des modèles n’ont pas de valeur effective. »

• Les autorités de santé et les experts devaient pourtant déjà savoir en 2010 que les prédictions épidémiologistes ne valent rien, car il est épistémologiquement impossible d’appliquer au vivant des modèles mathématiques.

Après la décision d’interroger de manière critique le choix universitaire, les autorités nationales de santé font l’inverse en engageant en 2013, au sein de l’Institut Pasteur, Simon Cauchemez, un ancien élève de N. Ferguson dont la mission est de créer un Institut d’épidémiologie mathématique.

Le loup est ainsi introduit dans la bergerie !

Les mathématiques durant le covid19

C’est à nouveau l’Imperial College qui sort en mars 2020 le Rapport 9 basé sur les simulations de Neil Ferguson et qui prédit 500 000 morts en Angleterre et 2 millions de morts aux USA si rien n’est fait. Or la seule mesure proposée dans ce rapport est le confinement en attendant le vaccin. Neil Ferguson annonce que ce vaccin pourrait mettre 18 mois à arriver(([1] D’habitude il faut 10 ans pour développer un vaccin.)) et que des mesures telles que la distanciation sociale, le port du masque, le couvre-feu, etc. sont des mesures à mettre en place en attendant qu’il soit disponible.

  • Ce Rapport 9 qui est un rapport interne n’a jamais été relu par les pairs et certainement pas les simulations qui y ont été faites.
  • Ce Rapport 9, qui n’est pas un article scientifique va servir à dicter la politique mondiale et celle de l’OMS !

D’où proviennent les simulations de Neil Ferguson ? Elles sont issues d’un code essentiellement non reproductible avec plus de 930 paramètres.

Dans un premier temps N. Ferguson refusa de transmettre le code utilisé pour la simulation. Il le fera finalement six mois plus tard sous la pression des médias anglais et de la justice.

Il ne livrera toutefois que des parties du code qui ne sont pas les originels. Les ingénieurs en mathématique ne pourront rien faire ressortir de ce code à 930 paramètres.

Il faut savoir que les modèles en physique mathématique n’utilisent pas plus de deux ou trois paramètres dans une équation. Pour vous donner un exemple, l’équation de Boltzmann qui explique toute la mathématique des fluides et toute la thermodynamique, et qui est celle avec laquelle je travaille, ne comporte qu’un seul paramètre.

En mathématique, les conclusions ne valent que ce que valent les hypothèses et il est impossible de prendre au sérieux un code qui comprend 930 paramètres, sachant qu’il faut des milliards d’années pour tester uniquement deux valeurs par paramètre.

Ces simulations sont arbitraires et n’ont rien à voir avec la réalité.

Neil Ferguson va transmettre ce rapport à l’OMS ainsi qu’aux gouvernements occidentaux.

En France, c’est Simon Cauchemez, nommé en 2013 pour créer l’Institut d’épidémiologie mathématique au sein de l’Institut Pasteur, qui sera nommé au Conseil scientifique(([2] Le Conseil scientifique étant l’organe qui conseille le président E. Macron dès le début de la crise.)). Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le président déclare le confinement.

Le rapport 9 indique clairement que les INP (interventions non pharmaceutiques) sont la seule solution en attendant les vaccins.

Exemple de INP : confinements, couvre-feu, fermeture des écoles, commerces et/ou restaurants, mesures de « distanciation », masques.

Ces mesures sont reconnues dans la littérature comme n’ayant aucune utilité avérée et donc à éviter, les lourds dommages qu’elles occasionnent étant en revanche certains.

Les meilleures équipes et épidémiologistes (Ioannidis et Bhattacharya à Stanford, Kulldorff à Harvard, S. Gupta à Oxford, Risch à Yale, Hennegan au Center for Evidence-Based Medicine, Toubiana et Perronne en France) ne cesseront de dénoncer la destructivité et le caractère antiscientifique de leur imposition.

Évaluant l’impact des INP en août 2022, Schippers, Ioannidis et Joffe (in Frontiers in Pubvlic Health) confirmeront l’absence d’utilité des INP selon les meilleures méta-analyses, alors que les études concluant l’inverse sont d’un très faible niveau de preuve scientifique et fortement biaisées. Les auteurs soulignent les effets catastrophiques des INP pour la population, avec l’émergence d’une pensée unique ne supportant plus la contradiction et s’imposant par des processus de manipulation psychologique exploitant une mauvaise compréhension de la science. Il en aura résulté la stigmatisation de catégories entières de la population (réticentes aux mesures agressives, avec une aggravation systémique des inégalités notamment socio-économiques, éducatives, ethniques et de genre, conduisant à un véritable traumatisme collectif. Les auteurs soulignent que les processus de gestion des urgences (GU) et d’intelligence collective ont été lourdement défaillants.

Par l’intermédiaire de Simon Cauchemez, le Conseil scientifique accrédite pourtant les simulations de Ferguson (avis du 12 mars 2020) et le Président déclare le confinement.

Dans la stratégie du Rapport 9, appliqué dès mars 2020, ressort un point très important :

« Les confinements ont vocation à être répétés dans le temps jusqu’à la mise à disposition des vaccins ».

• Dès lors, les intéressés savent en mars 2020 qu’il y aura des confinements successifs, à l’encontre de toutes les recommandations et connaissances en santé publique. Le rôle du Conseil Scientifique sera de prouver l’efficacité du premier confinement et des mesures afin de convaincre la population de leur maintien dans la durée.

• Le narratif des autorités ne cessera de parler de « diminution de l’épidémie » après chaque mesure imposée et inversement, afin de maintenir la population dans la croyance en l’efficacité des mesures. L’enjeu est de taille puisque les mesures de confinement, de distanciation et de couvre-feu ont coûté 10 points du PIB soit 250 milliards d’euros. Ceci sans compter le bilan humain, puisque la fermeture de lieux tels que les restaurants a poussé au suicide certains propriétaires en situation de précarité. Il était alors indispensable pour les autorités de maintenir « coûte que coûte » le narratif d’efficacité des mesures.

Pour ce faire, Couchemez et Fontanet, tous les deux membres du Conseil scientifique vont publier en ligne en mai 2020, dans la revue Science, un article censé démontrer l’efficacité des mesures de confinement.

Cet article publié sous le titre « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » est l’une des plus grandes fraudes scientifiques du XXIe siècle. Cela est d’autant plus grave puisque cet article a eu une portée politique mondiale.

De quelle manière l’étude sur l’efficacité du confinement a été truquée

Depuis le début du XXe siècle, on assiste à une succession d’articles qui sont des fraudes scientifiques en particulier dans le domaine de l’épidémiologie.

En 1916, Ronald Ross a ainsi modélisé la transmission du paludisme par les moustiques. Il en a tiré le concept R0 (nombre de cas secondaires), qui est censé être un paramètre permettant de contrôler la diffusion des épidémies. Ce modèle se fondait sur l’idée que si on souhaitait lutter contre la malaria et le paludisme, on n’avait pas besoin de tuer tous les moustiques, car en deçà d’un certain seuil, la diffusion du paludisme disparaissait.

Le modèle de Ross a été utilisé dans le cadre d’un grand programme d’éradication de la malaria entre 1955 et 1969 dans les pays africains et on en a conclu que :

  • Le modèle n’a rien à voir avec la réalité.
  • L’épidémiologie mathématique ne fait pas sens.

Un autre article va servir toute l’épidémiologie mathématique, et en particulier celle qui va être utilisée en 2020, en France, par le Conseil scientifique. Il s’agit de l’article de Kermack & Mc Kendrick, publié en 1927 et portant sur la transmission des maladies respiratoires contagieuses.

De cet article vont être tirés deux indicateurs fondamentaux qui ont pollué le débat médiatique en 2020.

Premier indicateur : Le nombre basic de reproduction (nombre de cas secondaires qu’une personne est capable de contaminer).

Second indicateur : La théorie de l’immunité collective (si plus de 60 % de la population est immunisée, le virus n’est plus contagieux).

Cette théorie est injustifiable d’un point de vue mathématique. Néanmoins elle est utilisée aujourd’hui pour justifier la vaccination et en particulier celle des enfants.

Le narratif consistant à dire que si plus de 70 % des gens sont immunisés de façon artificielle ou naturelle, le virus cessera de se propager PARCE QUE les équations mathématiques le disent.

• C’est sur la base de ces théories frauduleuses que les décisions politiques en santé publique sont prises avec des effets catastrophiques.

L’article publié dans la revue Science et la justification du confinement

L’article « Estimating the Burden of Sars-Cov-2 in France » a été publié en ligne le 11 mai 2020 alors qu’il a été soumis le 20 avril 2020. Il se passe trois semaines entre la remise du papier à la revue et sa mise en ligne.

Ceci est pour le moins étonnant puisqu’il faut à un mathématicien honnête entre un et deux ans pour écrire un article et tout autant pour une relecture par les pairs.

–  problème de rapidité avec laquelle l’article a été écrit ;

–  problème de rapidité avec laquelle il a été accepté pour publication (on en déduit qu’il n’a pas été relu par les pairs et que sa publication a été négociée en urgence avec l’éditeur).

Le 21 avril 2020, tous les médias français relayent ce pré-print comme étant la référence permettant de prouver l’efficacité du confinement, alors même que le confinement n’est pas terminé.

Les auteurs vont transmettre une partie des codes qui leur ont permis de réaliser la simulation permettant de démontrer l’efficacité du confinement. Cependant il s’avère que ces codes n’ont pas été écrits par leurs auteurs.

En effet, quand on regarde le profil des auteurs et que l’on voit le codage, on s’aperçoit de l’impossibilité pour ces auteurs d’avoir écrit ce code, et ce pour la bonne raison que ce qui est codé ne correspond pas à ce qui ressort dans l’article : à savoir que le confinement a permis de réduire de 77 % la diffusion du virus de manière instantanée !

Ceci est la preuve manifeste que des cabinets fantômes, probablement payés par Big Pharma, ont réalisé cette étude mathématique frauduleuse.

Première arnaque : les modèles mathématiques en épidémiologie sont un non-sens épistémologique qui a été démontré à maintes reprises et confirmé par les autorités.

Seconde arnaque : les auteurs savent qu’ils sont obligés de trafiquer les courbes (tableaux ci-dessous) parce qu’elles sous-estiment largement la réalité. En effet, l’hypothèse de réduction de 77 % est totalement fausse.

Quand on fait tourner les codes mathématiques, on s’aperçoit qu’ils ont maquillé les courbes obtenues pour faire croire qu’elles correspondaient à la réalité.

Ils savent qu’il n’y a pas eu de décroissance exponentielle du nombre de cas à partir du 17 mars 2020, et il faudra attendre fin mai 2020 pour observer un taux de contamination qui était celui du 17 mars.

• Quand ils publient l’article, les auteurs savent que son contenu est mensonger. Cependant ils le font de manière sophistiquée de manière à décourager les mathématiciens. J’ai mis 9 mois pour traquer toutes les erreurs. J’ai écrit à la revue Science en motivant ma demande de rétracter l’article suite à la fraude mathématique. À ce jour, je n’ai toujours pas eu de réponse. Je compte les poursuivre pénalement quand bien même la procédure sera longue.

La justification des passes sanitaire et vaccinal

Pour rappel, il y a eu deux décisions antidémocratiques majeures qui ont bouleversé la population : les confinements et le passe sanitaire. Le passe sanitaire étant une discrimination entre les personnes vaccinées (libres de faire ce qu’elles souhaitent et même de transmettre le virus) et les personnes non vaccinées (interdites des lieux sociaux, de prendre le train, etc.).

On savait alors très bien que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de sa transmission et il fallait à nouveau faire illusion. Il a alors été demandé à Cauchemez de faire un modèle prédictif sur la transmission du virus sur une population vaccinée et non vaccinée.

Une fois de plus les mêmes techniques frauduleuses seront utilisées.

Le 28 juin 2021 est publié un pré-print de Cauchemez qui n’a aucune valeur scientifique (et même s’il était irréprochable, nous savons que les modèles mathématiques en épidémiologie sont insensés), qui n’a pas été relu par les pairs et qui pourtant a été diffusé dans les sphères décisionnaires et les médias.

Ce document dit que sur la base de modèles mathématiques, les non-vaccinés sont 12 fois plus contagieux que les autres. On ne sait pas du tout comment ils arrivent à ce chiffre, mais qu’à cela ne tienne !

  • Ce document pré-print est un festival de non-sens « scientifiques ». Les modèles mathématiques sont spéculatifs. Ils sont basés sur des théories mathématiques qu’on sait fausses. Il y a à nouveau plus de 300 paramètres dans le modèle. Les équations sont illisibles. Il y a des problèmes d’homogénéité (c’est comme si d’un côté on avait des choux et de l’autre des bananes). Les résultats sont donnés sans aucune méthode de calcul, etc.
  • Il est le seul document sur lequel le gouvernement se basera pour justifier le passe sanitaire puis vaccinal ! Et ce pour la simple et bonne raison qu’il n’y a jamais eu d’études dans le passé sur le sujet. Il n’y a eu aucune donnée expérimentale sur laquelle appuyer un raisonnement.
  • Sauf action de la justice, personne n’aura jamais les codes, or c’est sur cette base que les passes sanitaires puis vaccinaux ont été justifiés, avec toutes les conséquences économiques et humaines que nous connaissons, dont notamment la « suspension » de 15 000 soignants.

La conclusion parfaitement fallacieuse est que le confinement des non-vaccinés et d’eux seuls peut permettre de stopper la diffusion de l’épidémie.

  • Une plainte a été déposée au parquet de Paris fin août 2021 pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence, etc.
  • Le 6 septembre 2021, la version pré-print disparaît du site web, pour être remplacée par une autre version dans laquelle « 12 fois plus contagieux » est remplacé par « 4 fois plus contagieux ».
  • Personne ne sait comment ni pourquoi.
  • L’association RéinfoLiberté obtient un soutien populaire majeur pour aider au financement de la plainte.
  • L’Institut Pasteur a remis le pré-print initial sur son site et un complément de plainte a été déposé à la suite des changements dans les conclusions de l’article.

Le devenir de la plainte

Pour l’instant, il est difficile d’attendre une collaboration loyale de la part des autorités judiciaires.

  • Mi-novembre 2021 : le parquet de Paris annonce qu’il étudie cette plainte.
  • Janvier 2022 : un nouveau complément de plainte est déposé.
  • 1er trimestre 2022 : le pôle de santé publique de Paris classe l’affaire.
  • Actuellement : continuation de la plainte avec mise en place d’une constitution de partie civile.

Toutefois, les dénonciations mathématiques et les diverses actions judiciaires ne sont pas restées sans effet puisqu’à partir de décembre 2021, toutes les études de l’Institut Pasteur mentionnent en début de texte l’avertissement suivant :

« Ces scénarios sont faits sur la base de données incomplètes et d’hypothèses incertaines. La propagation du virus Sars-Cov-2 est difficile à anticiper ; et la dynamique de l’épidémie peut changer rapidement. Les trajectoires décrites dépendent des hypothèses faites ; si les hypothèses ne se réalisent pas, la dynamique observée pourra être différente des projections. »

Une nouvelle plainte a été déposée suite à l’introduction de cet avertissement. En effet, la question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire.

« Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés. »

(cf. présentation de Pierre Chaillot, « Covid-19 histoire d’une fraude statistique — une arnaque au comptage », Colloques Corruption et fraude au cours de la crise Covid, Lisbonne et Marseille, 2022)

Et toutes les décisions prises en France l’ont été sur la base de prédictions mathématiques qui n’ont fait qu’engendrer la peur.

À la vue de l’insertion de cet avertissement, il est clair qu’ils cherchent à se couvrir en cas de procédure pénale.

Un personnage trouble : Cédric Villani

Cédric Villani, qui est à la fois scientifique et député, a eu l’honneur d’être le vice-président puis le président de l’OPECST (Office Parlementaire pour l’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques)

Il s’agit de la plus haute instance parlementaire française dont le rôle est de conseiller sur les choix scientifiques et technologiques.

En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani était la personne la mieux placée pour faire obstacle à la fraude mathématique du Conseil scientifique, qui elle-même provenait des simulations crapuleuses de Neil Ferguson et de l’Imperial College.

D’autant plus qu’il est, tout comme moi, spécialiste des phénomènes de transports or le virus est un phénomène de transport qu’on appelle le transport collision (les gens se déplacent et quand ils se rencontrent, ils peuvent éventuellement changer d’état viral).

L’article pseudo-mathématique qui est mentionné sur la diapositive suivante, et qui a été approuvé par C. Villani en mai 2020, démontre sa compromission dans la diffusion de fausses informations mathématiques à l’égard du gouvernement pour prendre des décisions sur les confinements. Cela explique pourquoi il n’a jamais souhaité me rencontrer malgré mes nombreuses relances.

• En tant que mathématicien, député et président de l’OPECST, Cédric Villani a fait preuve d’un défaut de vigilance et souhaite clairement échapper à ses responsabilités.

Autres articles avec fraude en mathématiques

Un article pseudo-mathématique par Roux, Massonneau, Crepey, déposé le 27 avril 2020(([3] medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.22.20075705v1.full.pdf)) alors que le confinement était encore en cours :

  • Affirme sur la base d’un « modèle mathématique » que le confinement a sauvé… 61 739 vies !
  • Il s’agit à nouveau d’un pré-print qui n’a jamais été publié ni relu par les pairs, mais a reçu une large médiatisation.
  • Il a été dénoncé publiquement par le Pr Jean-François Toussaint comme irrecevable.
  • J’ai démontré qu’il s’agissait aussi d’une pure escroquerie mathématique.

Cet article est pourtant cité dans une note présentée par l’OPECST comme preuve de l’efficacité des confinements et approuvée en mai 2020 par Cédric Villani.

L’étude Comcor

Le 15 décembre 2020, le Premier ministre Castex annonce que sur la base d’une étude scientifique du Pr A. Fontanet (Conseil scientifique), les bars et restaurants sont des lieux à risque pour la transmission du Sars-CoV-2.

Cette « étude scientifique » est une étude statistique type comparaison « malades/non-malades » sur les habitudes des personnes ayant ou non eu le Covid.

Cette étude est une étude dont il est facile de montrer qu’elle est totalement truquée.

Elle pourtant été acceptée pour publication dans le « Lancet Regional Health » le 16 novembre 2021.

Action judiciaire : cette étude a fait l’objet d’un dépôt de plainte pour faux, usage de faux, escroquerie, trafic d’influence. Ayant été rejetée par le parquet, elle actuellement l’objet de la mise en place d’une constitution de partie civile (CPC).

Le 18 janvier 2022, le Conseil d’analyse économique publie une note… d’épidémiologie.

  • L’étude prétend que le passe sanitaire a permis de gagner des points de vaccination et donc… de sauver des vies.
  • Le pré-print n’est toujours pas publié, 9 mois après avoir été soumis.
  • À partir d’une méthode mathématique totalement arbitraire, les auteurs estiment que 4000 vies ont été épargnées.
  • En réalité, on peut démontrer mathématiquement, à partir de la méthode retenue par les auteurs, que le passe sanitaire a en réalité coûté… entre 1500 et 7000 vies.

L’article a été dénoncé publiquement par mes soins comme étant une fraude le 14 février 2022 lors d’une séance publique du Conseil scientifique indépendant.

Conclusions

  • En France (et dans tous les pays occidentaux), TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques.
  • SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer.
  • Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes.
  • Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires.




Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique

[Source : anna-bellas.com]

Les opérations psychologiques de Covid sont maintenant utilisées pour le changement climatique… VOILÀ COMMENT ils nous prennent pour des cons !!!

Alors que le groupe éco-zélote Just Stop Oil continue d’enfreindre la loi et de semer la pagaille, il est peut-être temps de chercher à savoir qui tire les ficelles de ce mouvement et d’autres faux mouvements populaires. Un simple coup d’œil suffit pour se rendre compte que les personnes qui se cachent derrière ne sont pas des citoyens ordinaires, mais un groupe de milliardaires américains très influents.

Dans une série en quatre parties publiée par The Conservative Woman, Stephen McMurray démontre comment la psychologie et l’argent — et non les faits — sont à la base du récit alarmiste sur le climat au Royaume-Uni. Outre les groupes de psychologues « indépendants », ces tactiques psychologiques sont déployées par le gouvernement britannique sur la base d’un document produit par la commission de l’environnement et du climat. Le célèbre duo de faux narratifs Covid, Chris Whitty et Patrick Valance, fait partie de ce comité.

Stephen McMurray est membre du Free Speech Union. Ce qui suit est un bref résumé des articles de McMurray, vous pouvez lire les quatre articles dans leur intégralité en suivant les liens fournis :

Partie 1 — Argent et idéologie ICI.
Partie 2 — Margaret Klein Salamon ICI.
Partie 3 — La psychologie pour influencer la population ICI.
Partie 4 — Tactiques coercitives de Covid réutilisées pour le récit de la crise climatique ICI.

Selon le site web de Just Stop Oil, leur principale source de financement est le Climate Emergency Fund. Le Climate Emergency Fund fournit « un moyen sûr et légal pour les donateurs de soutenir les protestations perturbatrices ». Les trois membres fondateurs de ce groupe — Aileen Getty de la famille pétrolière Getty, Rory Kennedy, fille du sénateur Robert Kennedy et le philanthrope Trevor Neilson — financent également Extinction Rebellion.

L’attention s’est surtout portée sur les Getty, mais c’est Trevor Neilson qui a le parcours le plus intéressant. Après l’université, il a travaillé comme stagiaire à la Maison-Blanche lorsque Bill Clinton était président. Plus tard, il a travaillé pour la toute nouvelle Fondation Bill et Melinda Gates en tant que directeur de la communication et a également été le porte-parole personnel des Gates. M. Neilson a également été membre de la Clinton Global Initiative, du Council of Foreign Relations et de l’un des Young Global Leaders du Forum économique mondial.

En 2002, elle a cofondé DATA (Debt, AIDS, Trade, Africa) avec Bill Gates, Bono et George Soros.
En 2006, elle a fondé le Global Philanthropy Group, qui a contribué à la création de Make It Right avec Brad Pitt.
En 2015, Neilson a créé des investissements (désormais appelés Net Zero) avec Howard Warren Buffett, petit-fils du milliardaire Warren Buffett, qui siégeait au conseil d’administration de la Fondation Gates. Net Zero est une société d’investissement spécialisée dans les énergies renouvelables.
Parmi les membres actuels du conseil consultatif du Fonds d’urgence pour le climat, on retrouve les thèmes et idéologies habituels qui n’ont rien à voir avec le climat, mais qui sont chaleureusement accueillis par les fanatiques de la crise climatique.

Stephen Kretzmann a fondé Oil Change, une organisation qui milite pour la fin de la production de pétrole. Il est un partisan du mouvement marxiste Black Lives Matter.
Bich Ngoc Cao. Elle fait partie du conseil d’administration du site d’information de gauche Mother Jones. Elle fait également partie du conseil des commissaires de la bibliothèque de la ville de Los Angeles.
Bill McKibben compare les problèmes climatiques au racisme et utilise la mort de George Floyd pour étayer son propos.

Margaret Klein Salamon est psychologue clinique et a donc été impliquée auprès de personnes vulnérables souffrant de niveaux élevés de stress et d’anxiété. Dans son rôle dans l’activisme climatique, elle semble utiliser son expérience pour effrayer les personnes vulnérables. Elle est la fondatrice de Climate Awakening qui est « un projet visant à libérer le pouvoir des émotions liées au climat par le biais de conversations évolutives en petits groupes. » Il est clair que ce site est utilisé pour dire aux enfants qu’ils devraient être terrifiés par la crise climatique et pour s’assurer qu’ils répandent cette terreur à d’autres enfants. Il est méprisable pour une psychologue clinique d’utiliser de cette manière des enfants qui peuvent être dans un état de trouble mental. Elle donne ensuite des instructions à ces enfants pour qu’ils répandent la peur à d’autres et qu’ils fassent la promotion de l’agenda des alarmistes climatiques. C’est totalement contraire à l’éthique. McMurray consacre l’intégralité de la deuxième partie à l’utilisation abusive de la psychologie par Salamon.

Si vous pensez que Margaret Klein Salamon est une curiosité parmi les psychologues, détrompez-vous. De nombreux psychologues sont maintenant montés dans le train de la crise climatique. Il existe une organisation appelée l’Alliance pour la psychologie du climat. Comme Salamon, elle souhaite utiliser son expertise dans le domaine de la psychologie pour inciter les gens à croire à sa vision du monde sur la catastrophe climatique imminente. Ce groupe affirme ouvertement que les « faits » ne persuadent pas vraiment les gens de la réalité de la crise climatique et qu’il doit utiliser la psychologie pour nous pousser à devenir de vrais croyants :

Il est désormais largement admis que les faits et les informations sur le risque de changement climatique, pris isolément, ne favorisent pas le changement. Il est de plus en plus admis que le mouvement pour le changement climatique pourrait être enrichi par l’intégration de perspectives psychologiques plus profondes. Mais la psychologie positiviste dominante fait souvent partie du problème, surtout lorsqu’elle réduit l’être humain à un objet à mesurer, à contrôler et à mettre au service de la machine à profit qui menace aujourd’hui notre avenir collectif.

The problem with psychology, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Ils disent même que l’anxiété climatique est une bonne chose :

Ainsi, au fond, l’anxiété climatique est une bonne chose, car elle est nécessaire pour réveiller les gens. Mais une forte anxiété n’est pas agréable, et s’il n’y a pas assez d’action climatique et de soutien psychosocial, de nombreuses formes d’anxiété climatique deviennent problématiques et il y aura aussi beaucoup de dépression climatique.

Climate Anxiety — What You Need to Know, Climate Psychology Alliance, consulté le 13 novembre 2022.

Par conséquent, il est bénéfique de causer une grande détresse aux membres du public en leur disant que le monde est sur le point de disparaître, à condition qu’il y ait suffisamment de psychologues (qui les ont traumatisés en premier lieu) pour les aider à faire face en les faisant participer à l’action climatique où ils peuvent eux aussi traumatiser d’autres personnes et continuer la chaîne. Quelle façon ingénieuse d’aider à détruire la vie des gens tout en faisant beaucoup d’argent dans le processus.

Ces groupes ne ciblent pas seulement les individus, mais aussi les entreprises. Une organisation appelée Climate Psychologists propose des cours de conseil aux entreprises.

Plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité… Notre plateforme RH propose des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser le bien-être sur le lieu de travail et l’action axée sur les objectifs.

Ce que nous faisons, Climate Psychologists, consulté le 13 novembre 2022.

Le texte ci-dessus est la formulation actuelle qui a été modifiée depuis que McMurray a écrit son article. Comme l’a noté McMurray, le site Web indiquait précédemment :

Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises doivent rester agiles dans leur transition vers la durabilité. Nos psychologues du climat proposent des ateliers, du coaching, un soutien psychologique et des programmes de changement de comportement pour favoriser la maîtrise et la réactivité en période d’incertitude… Découvrez le pouvoir des « Nudges éthiques », qui ont des effets positifs sur votre équipe et votre entreprise, au bureau et dans le monde.

Remarquez qu’ils ne se contentent pas d’offrir un soutien aux employés traumatisés par la « crise climatique », mais qu’ils utilisent des programmes de changement de comportement et des « nudges » éthiques. Ils expliquent aux employeurs comment manipuler subtilement l’esprit de leurs employés pour qu’ils croient à l’urgence climatique. Cela rappelle beaucoup l’équipe SPI-B du gouvernement, qui utilisait la psychologie pour terrifier les gens et leur faire accepter le verrouillage de Covid.

Le mois dernier, la commission de l’environnement et du changement climatique de la Chambre des Lords a publié un rapport intitulé « In our hands: behaviour change for climate and environmental goals ».

Il s’agit d’un document sinistre dans lequel le gouvernement déclare ouvertement que tous les aspects de notre vie doivent être gérés pour atténuer l’impact du changement climatique et que des techniques de contrôle mental, très similaires à celles utilisées pour forcer le public à acquiescer aux verrouillages Covid, doivent être utilisées contre la population.

Chris Whitty — l’un des principaux instigateurs de la politique désastreuse de Covid — fait partie du comité qui a produit le document et un autre collaborateur de Covid, Sir Patrick Vallance, était témoin.

Dans son résumé d’ouverture, le comité indique clairement que chaque département gouvernemental devra utiliser la psychologie comme une arme contre le public pour s’assurer que nous nous comportons conformément aux exigences des alarmistes climatiques.

Plus loin dans le document, il est précisé que non seulement tous les ministères seront ciblés, mais aussi le secteur privé, même s’il n’est pas dans leur intérêt financier de le faire.

Pour souligner à quel point ils veulent contrôler les menus détails de la vie quotidienne, l’un des points clés de la commission est le suivant :

Des politiques prioritaires de changement de comportement sont nécessaires dans les domaines des déplacements, du chauffage, de l’alimentation et de la consommation pour permettre au public d’adopter et d’utiliser des technologies et des produits verts et de réduire la consommation à forte intensité de carbone.

Chambre des Lords : Commission de l’environnement et du changement climatique, Key Messages, 12 octobre 2022, pg. 5

Par conséquent, on vous dira ce que vous pouvez manger, où vous êtes autorisé à aller et comment vous pouvez vous y rendre. Un autre point clé indique clairement qu’ils vous taxeront et légiféreront pour vous faire respecter.

Et, comme le souligne le rapport, ce ne sont pas seulement les entreprises qu’ils essaient d’utiliser pour vous faire changer de comportement. Ils veulent également utiliser les organisations caritatives et les institutions religieuses pour contrôler l’esprit des masses.

Il est évident que les alarmistes climatiques, avec le soutien de milliardaires, de psychologues et du gouvernement, mènent une guerre contre l’esprit des gens afin d’instaurer la dystopie de la Grande Réinitialisation. Ils ont le pouvoir et l’argent de leur côté, mais il est clair que, du fait qu’ils doivent recourir à des techniques de contrôle de l’esprit, ils n’ont pas la vérité. Comme George Orwell est réputé l’avoir dit : « À l’époque de la tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire ».

Il est temps que nous devenions tous des révolutionnaires, car la vérité est que ce n’est pas la crise climatique qui constitue la plus grande menace pour notre bien-être, mais les alarmistes de la crise climatique qui veulent supprimer les derniers vestiges de notre liberté et nous plonger dans un âge sombre sans fin.




Il est inutile d’isoler les asymptomatiques PCR positifs ! FAITS AVÉRÉS

Par Dr Gérard Delépine

Depuis plus de 30 mois, le gouvernement confond volontairement personnes testées PCR positifs et malades et prétend, contre toute logique scientifique, qu’il faudrait qu’elles s’isolent. Une nouvelle affirmation officielle toute récente de cette aberration médicale1 justifie le rappel des faits scientifiques avérés concernant les tests.

Les tests PCR n’ont pas été conçus pour porter un diagnostic de maladie

La Polymerase Chain Reaction consiste à reconnaître un fragment d’ARN d’un virus par la multiplication du matériel génétique recueilli. Kary Mullis, couronné en 1993 par l’académie Nobel inventeur de cette technique d’amplification l’a conçue pour préciser un diagnostic de maladie porté cliniquement et non pas pour permettre à lui seul d’affirmer qu’une personne est malade.

Lors du Corporate Greed & Aids qui a eu lieu le 12 juillet 1997 à Santa Monica Kary Mullis précisa :

« Le PCR est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Pour que ce test conserve une spécificité réelle, il faut qu’il porte sur un fragment d’ARN spécifique et que sa réalisation se limite à un nombre raisonnable de cycles d’amplification. Malheureusement les tests PCR pratiqués en France comme dans de nombreux autres pays pour soi-disant surveiller l’épidémie n’ont pas respecté ces limites.

Un nombre trop élevé de cycles d’amplifications crée des faux positifs

On entend par faux positif un test positif chez une personne qui n’est pas malade (et ne le sera pas à court terme) et qui ne peut contaminer personne, car elle n’est pas porteuse de virus.

La puissance des amplifications est telle qu’un nombre trop élevé de cycles permet de détecter des quantités infimes de matériel, aboutissant à des faux positifs. Les tests standard comportent un nombre de séquences d’amplification supérieur à 30 et déclarent comme positives un grand nombre de personnes incapables de contaminer quiconque.

Le professeur d’épidémiologie Michael Mina (Harvard) a ainsi déclaré au New York Times le 29 aout 2021 que :

« 85 % à 90 % des tests qui se sont révélés positifs en juillet dans le Massachusetts ne l’auraient pas été si le nombre de cycles avait été abaissé de 40 à 30. »

Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat (AP-HP) et membre du Conseil scientifique a d’ailleurs reconnu lors d’un entretien au Monde :

« Il est presque acquis actuellement qu’au-dessous d’une valeur CT de 24, “on est contagieux” et que le risque diminue progressivement au-delà. On pourrait donc considérer que les personnes testées positives avec une valeur CT supérieure à 30 sont très peu, voire pas contagieuses. »

Ce qu’ont confirmé de nombreux spécialistes américains au New York Times qui ne font que rappeler l’article princeps de Rita Jaafar :

« On observe qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients restent positifs en culture et qu’à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. À Ct = 35, la valeur que nous avons utilisée pour rapporter un résultat positif pour la PCR, <3 % des cultures sont positives »2

L’OMS a mis en garde contre les erreurs des tests PCR lorsque le nombre de séquence d’amplification dépasse les 30 et rappelé que la positivité d’un test ne permet pas à elle seule d’affirmer qu’une personne est malade ou contagieuse. Elle a précisé que les asymptomatiques sont rarement contaminants et conseille de n’utiliser les tests que pour confirmer un diagnostic suspecté sur des signes cliniques (chez des malades), car les tests sont inadaptés au dépistage de masse.

Malheureusement, en France, les dépistages sont conseillés, voire imposés (passe sanitaire) chez les asymptomatiques, et réalisés, selon le conseil scientifique, avec entre 40 et 45 cycles d’amplification. Ainsi la quasi-totalité des asymptomatiques dépistés positifs ne sont pas susceptibles d’être contagieux. Leur identification et la recherche de leurs contacts mobilisent inutilement les efforts publics retardant ainsi la mise en quarantaine des malades réellement contagieux3.

Pour connaître le statut contaminant d’une personne, il faudrait effectuer des cultures virales, analyse plus complexe et plus coûteuse qui ne se pratique absolument pas en examen de routine.

Les tests actuels ne portent pas sur un fragment d’ARN spécifique du SARS-CoV-2

Un document publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume.

Dans ce document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR :

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »[11]

Un asymptomatique PCR positif n’est pas un malade ni ne le deviendra : il ne porte pas le virus et n’est pas contagieux !

Un dépistage gigantesque réalisé à l’échelle de la Chine et publié déjà en novembre 2020 confirme définitivement ces données4. Ce dépistage, portant sur près de 10 millions d’habitants de Wuhan a permis de repérer 430 asymptomatiques positifs dont seulement 60 % d’entre eux présentaient aussi des anticorps contre le Covid19 et aucun d’entre eux n’excrétaient de virus entier (tous les positifs ont subi des cultures de virus et aucune n’a poussé). Tous les asymptomatiques positifs et leurs contacts ont été mis en quarantaine ; aucun n’est devenu malade. Si ce dépistage a permis de faire progresser les connaissances scientifiques, il n’a servi à rien pour limiter l’épidémie.

Les dépistages systématiques des asymptomatiques par le test PCR n’ont donc aucun intérêt médical.

Ils sont en réalité conseillés ou imposés pour entretenir la fiction de la poursuite d’une épidémie et terroriser la population afin de la pousser à se faire injecter les faux vaccins expérimentaux.

Un asymptomatique PCR positif n’a aucune raison d’être isolé5

Cela a été jugé officiellement par le tribunal d’appel de Lisbonne6 7 8 9.

À leur arrivée au Portugal quatre touristes allemands avaient été isolés sous contrainte dans un hôtel sous le prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’atterrissage de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été jugée fondée par un premier tribunal, mais les autorités sanitaires, voulant maintenir l’isolement, ont fait appel.

Les principales conclusions juridiques du tribunal d’appel de Lisbonne sont sans ambiguïté :

  • – le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.
  • – le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.
  • – le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens (dont la France). Elle n’est pas respectée, car il n’y a pas eu de consentement éclairé des personnes.

La justice a donc jugé illégal l’enfermement des plaignants, et ordonné leur libération.

Comment notre ministre de la Santé peut-il ignorer les attendus et les conclusions de ce tribunal, largement publiées, et prétendre publiquement le contraire ?

Les traitements précoces permettent de limiter les contaminations

Plutôt que de tester inutilement les asymptomatiques et de les isoler, il est beaucoup plus efficace, pour limiter les contaminations, de conseiller les traitements précoces aux malades et à leurs contacts.

Pour le démontrer, il suffit de comparer le nombre global de contaminations recensées en France à celui des pays qui ont utilisé systématiquement les traitements précoces tels que l’Algérie, la Cote d’Ivoire, Madagascar ou l’Inde :

Les pays adeptes des traitements précoces ont drastiquement limité les contaminations (18 à 200 fois moins que la France) et aussi la mortalité :

Les pays adeptes des traitements précoces bénéficient d’une mortalité 7 à 80 plus faible qu’en France !

Au total

Isoler les asymptomatiques positifs est scientifiquement infondé, médicalement inutile et jugé illégal au Portugal. Il est incompréhensible que le ministre de la Santé prétende le contraire ! Est-il mal renseigné ? Ignorance ? Mensonge d’état ?

La poursuite d’une telle propagande mensongère sape profondément la confiance de la population en ses dirigeants.