Observation des injections anticovid

[Source : AGORA TVNEWS]

Jacques Bauer est un pharmacien installé en suisse qui a analysé les produits injectables Pfizer, Moderna, Astrazeneca et de nombreux vaccins, ainsi que le sang des injectés. À ce jour, il a collecté une base de données de 1000 échantillons.

Il a participé aux documentaires censurés Hold-On et Hold-Out, les suites de Hold-UP.

Les images sont authentiques, les produits sont authentiques et ont été manipulés avec précaution pour éviter les contaminations.

Pfizer et Moderna ont refusé de répondre à Pierre Barnerias. Il a ensuite eu des problèmes avec son entreprise de production de cinéma. Des membres d’Agora TV qui sont témoins des observations ont reçu des menaces et la police ne nous protège pas.

Merci de diffuser ce documentaire aux personnes qui croient encore au miraculeux vaccin et qui considèrent les critiques et les victimes de ces produits comme du complotisme.



[NDRL L’observation de graphène, de structures cristallines et de composants biologiques concorde avec ce qu’a rapporté par ailleurs Karen Kingston. Voir :
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Voir aussi Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux et les observations de la Quinta Columna :
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins]




La virologie et le test PCR

[Source : bioanalyticx.com]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Virus, COVID, pandémie, vaccin et tests : fiction, ni réalité ni science !

Par Saeed A. Qureshi, Ph. D. (principal@pharmacomechanics.com)

Salutations d’Ottawa, Canada !

Mon nom est Saeed Qureshi. Je suis un chercheur scientifique à la retraite qui a travaillé pour Santé Canada pendant 30 ans à l’évaluation de la qualité des produits pharmaceutiques à usage humain. En tant que scientifique de laboratoire à Santé Canada, j’étais considéré comme un expert résident chargé de fournir des conseils sur les demandes de commercialisation de produits pharmaceutiques, principalement en ce qui concerne les aspects qualitatifs.

Ces rôles m’ont permis d’interagir avec d’autres organismes de réglementation internationaux, dont la FDA (Food and Drug Administration, organisme fédéral américain qui supervise les autorisations de mise sur le marché des aliments et des médicaments), afin de développer et d’appliquer des normes réglementaires pour évaluer la qualité des produits pharmaceutiques.

J’ai une qualification universitaire avec un doctorat en chimie, plus précisément en chimie organique analytique, ce qui me donne une solide expérience dans le développement, la validation et l’application de tests pour l’évaluation de produits.

J’ai travaillé de façon indépendante dans les domaines de la toxicologie, de la pharmacologie et des produits pharmaceutiques à Santé Canada. J’ai appris la plupart de ces sujets en suivant des cours de premier cycle et de deuxième cycle dans différentes universités. La combinaison de cette formation avec mon expertise en chimie et mes recherches en laboratoire me donne une perspective unique des sujets médicaux et pharmaceutiques, rarement disponible à l’heure actuelle.

En tant que scientifique, j’ai, comme prévu, publié de nombreux articles de recherche et de synthèse dans des revues internationales révisées par des pairs et participé à de nombreuses conférences internationales, dont l’organisation de deux d’entre elles en Amérique du Nord et en Europe.

Depuis cinq ans, j’apporte ma contribution en tant que scientifique indépendant, en faisant des suggestions pour améliorer la qualité des produits et leur mise à disposition efficace au public. Je le fais principalement par le biais de mon blog.

Il y a quelques semaines, j’ai été interviewé sur le thème du coronavirus et du COVID-19, ce qui a été bien accueilli et apprécié. Cependant, il a été suggéré qu’une version plus courte serait également souhaitable pour transmettre le message au public avec peu de détails techniques.

Cette présentation est une réponse à cette demande. Par conséquent, pour cette présentation, je me limiterai aux principes scientifiques de base. Je décrirai ces principes dans un langage simple et un raisonnement logique pour faire comprendre que la science a été déformée pour la pandémie, ce qui a conduit à la peur et à l’alarmisme d’un virus et d’une maladie inexistants.

Mon intérêt pour les pandémies a commencé par l’observation de la peur de contracter la maladie et de la mort potentielle chez les gens. Pour moi, il était clair que la situation était exagérée. À mon avis, le nombre de décès signalés se situait bien dans le taux d’attrition moyen. Cependant, les patients étaient étiquetés COVID sur la base de tests. Comme je l’ai indiqué plus haut, étant un développeur et un utilisateur de tests au cours de ma carrière, le fait d’entendre le mot « test » a naturellement attiré mon attention et ma curiosité pour approfondir l’aspect « test ».

Pour clarifier, je me concentre ici sur le virus, communément appelé SAR-CoV-2 et sur la maladie étiquetée COVID-19 qui lui est associée.

Deux types de tests différents sont couramment mentionnés pour le dépistage du COVID ou du virus. Les tests d’anticorps, qui consistent en un test sanguin et un test par écouvillonnage, avec un prélèvement nasal ou de la gorge. Un test d’anticorps établit vraisemblablement si une infection due au virus s’est produite, il s’agit donc d’un test de suivi. D’autre part, le test sur écouvillon est un test supposé vérifier la présence du virus.

Le test sur écouvillon est généralement appliqué à des fins de dépistage. Par conséquent, je limiterai la suite de ma description au seul test sur écouvillon. Toutefois, les limites et les inconvénients de ce test seront également valables pour les tests d’anticorps.

Le test sur écouvillon est appelé test sur écouvillon, car il commence par le prélèvement d’un échantillon sur écouvillon. Sinon, techniquement, il s’agit d’un test PCR. Il n’est pas essentiel pour un utilisateur quotidien du test de connaître l’aspect détaillé du test PCR, tout comme les détails techniques ne sont pas nécessaires pour un utilisateur de test de grossesse à domicile. Une légère variante du test PCR, connue sous le nom de test RT-PCR, est également couramment citée. Toutefois, à toutes fins utiles, il reste fondamentalement le même que tout test PCR standard.

L’élément essentiel à noter ici est que le test est basé sur la chimie. Notez la mention de la chimie et du test ici ; c’est là que mon expertise entre en jeu. Je peux certainement comprendre et expliquer la pertinence et la validité du test avec un haut degré de précision et de confiance.

À cet égard, pour tout test, l’important est qu’il doit être validé, c’est-à-dire qu’il ait été soumis à un essai avant son utilisation commerciale ou générale pour montrer qu’il est capable de faire ce qu’il est censé faire ou tester.

Pour la validation du test, il y a au moins quatre exigences principales à respecter : (1) il doit être suffisamment sensible pour détecter l’élément qu’il est censé détecter ; (2) le test doit être répétable ou reproductible ; (3) il doit être spécifique, c’est-à-dire qu’il doit être capable de voir l’élément sans l’interférence d’autres impuretés coexistantes ; (4) un produit de référence pur et certifiable doit être disponible, dans ce cas, le virus. L’aspect critique à noter ici est que si la référence ou l’étalon n’est pas disponible, les trois autres éléments mentionnés, c’est-à-dire la spécificité, la sensibilité et la reproductibilité, ne peuvent être établis.

Par conséquent, pour que le test PCR soit valide, il faut un virus de référence (isolé et purifié de manière indépendante).

Or, voilà le problème ! Il n’y a pas d’échantillon isolé et purifié du virus pur disponible auprès d’une tierce partie. Par conséquent, d’un point de vue scientifique, un test PCR valide ne peut être développé.

Autrement dit, le test ne peut pas montrer la présence ou l’absence du virus — point final. Je tiens à souligner et à être direct ici que dire le contraire serait soit le reflet de l’incompétence du sujet, soit une déformation de la science des tests. Une chose est sûre, c’est que la PCR est un test scientifiquement non valable pour le dépistage du virus.

En réalité, cependant, le test PCR est décrit pour tester l’ARN ou l’ADN, c’est-à-dire tester l’ARN/ADN comme marqueur du virus. Que sont l’ARN et l’ADN ? Ce sont des composés chimiques à longue chaîne, comme les protéines, présents dans l’organisme et qui sont également considérés comme étant des parties de virus.

Encore une fois, supposons que l’on affirme que le test PCR mesure l’ARN. Dans ce cas, le test PCR doit répondre aux quatre critères susmentionnés de validation du test avec l’ARN, en particulier la disponibilité de l’ARN du virus. Comme indiqué ci-dessus, le virus n’étant pas disponible, on ne peut pas obtenir son ARN. Par conséquent, le test PCR ne peut être un test valide pour l’ARN et pour le virus par extension.

Par conséquent, la conclusion indiscutable est que nous n’avons pas de test pour le virus parce que le virus n’est pas disponible, qui à son tour n’a jamais été isolé d’aucune source, en particulier des humains.

Avant d’aller plus loin, permettez-moi d’expliquer un concept fantaisiste présenté dans le monde scientifique. Je devrais dire plus précisément dans le monde médical et virologique que la combinaison du test PCR et du séquençage de l’ARN établit la présence du virus et/ou de la maladie.

Permettez-moi d’expliquer ce concept par une analogie. Supposons que l’on trouve des échantillons de caoutchouc sur le lieu d’un accident (d’ailleurs, le caoutchouc est aussi un composé chimique à longue chaîne comme l’ARN ou l’ADN). Après avoir analysé l’échantillon, en trouvant une structure ou une séquence chimique unique du caoutchouc, on considère qu’il peut provenir du pneu d’un véhicule blindé. Une extrapolation est donc faite pour conclure qu’une armée illégale ou une activité armée a pu se produire dans la région. Par conséquent, une telle activité illégale doit être surveillée et contrôlée.

La recherche de virus à l’aide d’un test PCR est similaire, c’est-à-dire qu’il s’agit de trouver des éléments sans rapport entre eux et de construire une histoire à partir de ceux-ci. Ne riez pas, s’il vous plaît. L’analogie que j’ai fournie pourrait avoir une certaine force par rapport au test de virus ou au test PCR, car la substance chimique de l’échantillon de caoutchouc pourrait correspondre à une norme de référence réelle en caoutchouc pur. Le test PCR ou ARN ne dispose jamais d’un échantillon pur d’ARN du virus auquel se comparer.

Le fait est que le test PCR et le séquençage de l’ARN qui lui est associé ne sont pas pertinents et/ou valides pour surveiller le virus. Il ne peut pas détecter ou surveiller le virus ou ses éléments connexes, comme l’ARN, avec précision et validité.

Les gens suggèrent souvent le terme « nombre de cycles », qui reflète le nombre de répétitions de la réaction chimique lors de la réalisation d’un test PCR. En ce qui concerne la précision du test PCR, c’est-à-dire qu’un nombre plus élevé de cycles peut entraîner un problème de faux positifs. Par conséquent, la réduction du nombre de cycles peut résoudre le problème des résultats faussement positifs ou plus positifs. Bien sûr que non. Le problème n’est pas le ou en raison du nombre de cycles, mais le test lui-même. Le test n’a jamais été validé, et il ne peut pas surveiller un virus — Point final. Dieu sait ce qu’un test PCR détecte et surveille — c’est absolument inconnu. Très probablement rien.

Donc, en résumé, le test de virus ou de PCR n’a aucune signification, et à l’heure actuelle, personne ne surveille le virus. Il est essentiel de noter que l’utilisation et/ou la promotion de tests non validés peuvent être considérées comme de la négligence et de l’incompétence et pourrait conduire à des enquêtes aux conséquences graves.

Il est peut-être nécessaire de préciser ici que la littérature scientifique fait souvent référence à l’isolement du virus. Les gens devraient être attentifs aux déformations de la terminologie dans les domaines de la microbiologie et de la virologie. Le mot « isolement » n’est pas utilisé ici dans le vrai sens du terme, mais représente l’obtention d’un mélange de plusieurs ingrédients qui peut éventuellement contenir le virus. Par conséquent, il doit être clair qu’un virus pur n’a jamais été isolé, identifié de manière positive ou disponible sous forme pure.

Et maintenant, qu’en est-il de la maladie qui est vraisemblablement causée par le virus ? Je ne pense pas avoir besoin de répondre à cette question. Il devrait être assez clair qu’il ne peut pas y avoir de maladie liée au virus parce qu’il n’existe pas ou on n’a pas prouvé l’existence. Alors comment peut-il causer la maladie ou être lié à la maladie ? S’il n’y a pas de maladie, alors il ne peut y avoir de pandémie.

Quelques mots sur l’utilisation des masques comme protection contre le virus ou la pandémie : il faut noter qu’il n’y a pas eu de preuve, scientifique ou expérimentale, en faveur de la protection ou non de l’utilisation du masque. Une expérience simple et directe pourrait être menée afin d’établir la pertinence et le bénéfice promu.

Par exemple, on souffle de l’air contenant un virus dans un tube à deux sections séparées par un masque ou son matériau. Il suffit de mesurer le virus des deux côtés du masque pour voir si le virus le traverse ou non. Personne n’a réalisé une expérience aussi simple et ne peut le faire. La raison en est qu’une telle enquête nécessiterait l’échantillon de virus et un test valide pour contrôler le virus. Ces deux éléments n’existant pas, l’utilité des masques ne peut être établie.

Cela devrait être considéré comme une preuve directe et sans détour pour nier l’existence du virus et la validité du test ; cependant, même une expérience aussi simple ne peut être réalisée pour établir la présence et la propagation du virus.

Alors que dire des traitements tels que la vaccination pour lutter contre la maladie. Des vaccins ont été mis au point pour nous protéger du virus. Cependant, comme je l’ai décrit ici, personne ne trouve le spécimen du virus, comment ces vaccins ont été développés et comment a-t-on établi qu’ils tueront le virus et nous protégeront du virus.

La littérature ne fournit pas un seul exemple où il a été démontré que les vaccins tuent effectivement le virus, du moins chez l’homme. Cela ne peut être dû au fait que les spécimens de virus ne sont pas disponibles pour tester les vaccins. Il faudrait un échantillon physique pur du virus, qui n’est pas disponible ou qui n’existe pas.

Il est embarrassant de constater que la science a été banalisée et dégradée pour faire des affirmations aussi fausses. Il est urgent de mener une enquête sérieuse sur l’aspect scientifique du dépistage du virus.

Un autre aspect qui requiert l’attention est que les gens prétendent que les maladies graves et les décès observés sont des preuves de la pandémie virale. Ceci est étrange, car les experts, en particulier les médecins, soutiennent une telle affirmation pour convaincre le public de l’existence du virus et de la pandémie. En réalité, les décès ne sont pas des indicateurs du virus ou de la pandémie. Ce devrait être l’inverse, c’est-à-dire que les tests et les preuves cliniques de la maladie devraient décrire la cause du décès. Si une cause spécifique, confirmée par un test valide, est liée à de nombreux décès, au-delà du taux d’attrition normal, cela devrait indiquer un signe de pandémie. Comme il n’existe pas de test valide pour le virus et sa maladie associée COVID-19, les décès ne peuvent être classés dans la catégorie COVID-19 ou de sa pandémie.

Il semble presque certain que la maladie ou la pandémie n’est pas causée par le virus (SRAS-CoV-2) comme on le suppose généralement. Les raisons en sont les suivantes : (1) le test (PCR) souvent utilisé pour surveiller la maladie/pandémie n’a aucune pertinence ni crédibilité scientifique pour détecter ce virus ou la maladie qui lui est associée, (2) aucune autre preuve n’a été fournie pour établir l’existence du virus.

Alors, comment expliquer le nombre élevé de décès survenus au cours de l’année dernière ? Il est possible qu’ils résultent des conseils peu judicieux donnés par les scientifiques et les experts aux dirigeants politiques. En particulier, les mesures de confinement avec des conseils ou des ordres de rester à la maison et des suggestions de choix de vie malsains. Par exemple :

Concernant, les conseils ou ordres de rester à la maison :

En supposant que, selon l’avis des « scientifiques » et des « experts », la pandémie est une maladie virale, par défaut, les conseils devraient viser à renforcer l’immunité. Les conseils de rester à la maison et les couvre-feux doivent être considérés comme contre-intuitifs, improductifs et restrictifs pour le développement de l’immunité dans la lutte contre le virus. Il est tout à fait possible que l’impact négatif de la politique du « restez à la maison », qui a entraîné une baisse de l’immunité, ait conduit à des taux d’infection généraux plus élevés et peut-être à une augmentation du nombre de décès.

Annulation de chirurgies et de diagnostics électifs :

Il est toujours possible que des retards dans de tels diagnostics et traitements « électifs » puissent entraîner des résultats désastreux, y compris des décès s’ils ne sont pas pris en charge à temps. Dans l’attente d’un nombre plus élevé de « patients pandémiques », la plupart des hôpitaux ont limité leurs services au strict minimum. Pensez-y : cela ne pousserait-il pas les patients vers la mort, en particulier les personnes âgées souffrant de pathologies préexistantes, qui ne pourraient pas convaincre les hôpitaux de programmer les urgences et autres soins médicaux nécessaires ?

Mauvais diagnostic et/ou mauvais traitement :

Il est bien connu qu’une fois que les résultats du test PCR sont positifs, le traitement devient quasiment un non-traitement (c’est-à-dire une quarantaine ou un isolement). Même les traitements prophylactiques avec des médicaments bien connus (avec des profils de sécurité et d’efficacité élevés) sont pratiquement interdits ou bannis. Il est interdit à de nombreux médecins d’utiliser leur expertise et leur jugement professionnels pour prescrire des médicaments appropriés à leurs patients. Apparemment, sur les conseils de certains scientifiques et « experts », les autorités nationales ont interdit ou restreint l’utilisation de médicaments potentiellement pertinents. Ces décisions politiques peuvent avoir provoqué une augmentation des décès, du moins dans une certaine mesure. Il existe une forte possibilité d’erreur de diagnostic, ce qui peut évidemment entraîner des décès injustifiés.

Il s’agit certainement d’un échec colossal de la science médicale, de sa pratique et de la gestion des autorités réglementaires correspondantes. Il est à espérer que quelqu’un assumera la responsabilité de cette mésaventure médicale afin d’éviter qu’elle ne se reproduise à l’avenir.

En conclusion, le test par écouvillonnage ou PCR couramment utilisé pour détecter le virus et sa maladie associée COVID-19 est un test non validé, qui ne peut fournir de résultats pertinents et précis. Le virus n’a jamais été isolé, identifié avec certitude et/ou disponible sous une forme purifiée ; on ne peut donc pas dire qu’il existe. De plus, aucun traitement, y compris un vaccin, ne peut être développé ou utilisé pour quelque chose qui n’existe pas. Il est fort possible qu’un mauvais diagnostic et un mauvais traitement aient entraîné des décès supplémentaires. Cela peut être évité si les médecins ont la liberté d’utiliser leur expertise sans biaiser leur jugement par des rapports de tests PCR erronés.

À l’heure actuelle, le test n’a, d’un point de vue scientifique, aucun sens. Par conséquent, il devrait être abandonné immédiatement. Cela permettra de faire face à l’impact immédiat de la pandémie. (NdT : l’auteur se contredit puisqu’il dit qu’il n’y a pas de virus, il ne peut donc pas y avoir de pandémie)

Le sujet des tests, y compris la PCR et l’isolement du virus, relève de la chimie et devrait être traité selon les principes de la chimie pour évaluer et valider ces techniques. Afin qu’à l’avenir, il sera possible d’éviter de telles mésaventures lors d’une pandémie. (NdT : même remarque que précédemment)

Si vous souhaitez obtenir plus de détails sur la plupart des aspects que j’ai décrits ici, vous pouvez les trouver en visitant mon blog Web. (https://www.drug-dissolution-testing.com/). Je vous remercie de votre attention.

Traduction Jean Bitterlin le 22.12.2022

[Voir aussi :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]




Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

[Source : francemediasnumerique.net]

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine [NDLR en date du 29 février 2020]. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études (…). Voici l’article détaillé de Paul :


Par Paul Doyon

Mon cœur va à la Chine et à tous ses habitants qui ont tant souffert à cause de cette nouvelle « nouvelle » épidémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

Cependant, comme quelqu’un qui était devenu très malade et dont le système immunitaire s’était détérioré et qui était malade pendant six mois à la recherche de réponses avant même de soupçonner que vivre à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire était en fait ce qui causait le problème et le rendait malade, Je sens que je ne peux pas en toute conscience rester silencieux, et je soupçonne fortement que la Chine et le reste du monde cherchent sous la mauvaise pierre ce qui est réellement le problème ici.

À l’heure actuelle, avec 10 000 antennes 5G récemment installées sur sa ville, Wuhan est probablement l’une des villes les plus électropolluées par la 5G de la planète.

Avertissements d’électrosmog des scientifiques depuis plus de 40 ans

Des scientifiques, des chercheurs, des médecins et des militants respectés nous mettent en garde, depuis plus de quarante ans, contre les dangers des rayonnements sans fil et des champs électromagnétiques. En 1977, le reporter Paul Brodeur publie un livre intitulé The Zapping of America. En 1985, le regretté Dr Robert O. Becker (nominé deux fois pour le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la dédifférenciation et la redifférenciation cellulaire dans le processus de guérison) a écrit The Body Electric [Le corps électrique] et a publié plus tard Cross Currents: The Perils of Electropollution , La promesse de l’électromédecine en 1990. En 1995 (et de nouveau plus tard en 2007), B. Blake Levitt, auteur et chercheur, a publié Champs électromagnétiques : Guide du consommateur sur les enjeux et comment se protéger. Depuis lors, de nombreux autres livres et films documentaires ont été publiés sur le sujet. Et la liste continue encore et encore.

Le Dr Leif Stafford, neuro-oncologue suédois, a appelé ce déploiement sans fil :

« la plus grande expérience biologique jamais réalisée. »  1

Et le Dr Robert O. Becker a écrit en 1985 que :

Les dangers de l’électropollution sont réels et bien documentés. Elle change, souvent pathologiquement, chaque système biologique [je souligne]. Ce que nous ne savons pas, c’est exactement la gravité de ces changements, pour combien de personnes. Plus nous, en tant que société, retardons la recherche de ces connaissances, plus les dommages risquent d’être importants et plus il sera difficile de les corriger. (p. 304) 2

Et enfin, le Dr Martin Pall, PhD, et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à la Washington State University a déclaré récemment que :

Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit être l’idée la plus stupide que l’on ait eue dans l’histoire du monde. 3

La BioInitiative

En 2007, un rapport intitulé BioInitiative a été publié, il a été republié à nouveau en 2012, et des mises à jour ont été effectuées entre 2014 et 2019. Son site Web indique que :

le rapport BioInitiative 2012 a été préparé par 29 auteurs de dix pays, dix titulaires de diplômes de médecine (MD), 21 doctorats et trois MsC, MA ou MPH. Parmi les auteurs figurent trois anciens présidents de la Bioelectromagnetics Society et cinq membres à part entière de BEMS. 4

Ce sont des scientifiques très respectés provenant de certaines des universités et instituts les plus respectés au monde. 5

La BioInitiative met en garde :

… que les preuves des risques pour la santé ont considérablement augmenté depuis 2007 en raison des champs électromagnétiques et des technologies sans fil (rayonnement radiofréquence). Le rapport passe en revue plus de 1800 nouvelles études scientifiques…. Les sujets de santé comprennent les dommages causés à l’ADN et aux gènes, les effets sur la mémoire, l’apprentissage, le comportement, l’attention, les troubles du sommeil, le cancer et les maladies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires de toute urgence pour la protection contre les CEM [Champs électromagnétiques] et les expositions sans fil qui apparaissent désormais partout dans la vie quotidienne. 

 Voir plus de recherches scientifiques ici.

Avertissements 5G

Avec l’avènement de la toute dernière technologie sans fil, la 5G, de nombreux chercheurs, médecins et organisations professionnelles et militantes ont lancé des avertissements sanitaires concernant sa mise en œuvre. 7 8 9 10 11 12 13
Voir ici les dangers du rayonnement 5G.

Et même récemment, il y a eu des marches dans les grandes villes du monde entier pour protester contre l’avènement de cette technologie. 14

Malheureusement, pour la majorité de la population, ces avertissements sont tombés dans l’oreille d’un sourd, l’opinion apparemment largement répandue estimant que la 5G est la meilleure chose depuis la crème glacée Ben & Jerry’s ™ Cherry Garcia ™.

Bien sûr, la minimisation des dangers est compréhensible étant donné les avantages et les commodités extrêmes que toute cette technologie a continuellement offerts à une population sans méfiance. Malheureusement, ces personnes sont aussi souvent promptes à ridiculiser et à marginaliser ceux qui essaient de mettre en garde contre ces dangers en les qualifiant de théoriciens du complot luddites portant des chapeaux d’étain, jusqu’à ce que, bien sûr, eux ou un de leurs proches tombent soudainement malades et qu’ils y voient un lien possible avec ces expositions aux CEM, et puis soudain, il y a un changement de ton, et ils se demandent rapidement ce qu’ils peuvent faire pour se protéger : par exemple, comment protéger leurs maisons et leurs bureaux, quels  compteurs CEM acheter.

À Ripon, en Californie, au sud de Sacramento, une antenne 5G a été retirée d’une école primaire, après que certains parents ont commencé à soupçonner qu’elle était liée à un certain nombre de cas de cancer dans l’école. 15

16

L’épidémie de coronavirus

La récente épidémie de COVID-19 a stimulé la peur et l’hystérie de masse à travers la planète, malgré le fait qu’il n’y a eu que 93 décès (au moment d’écrire ces lignes le 29 février 2020) en dehors de la Chine, 2835 des décès 17 et 99% des infections ayant eu lieu en Chine. 18

En fait, les taux de mortalité les plus élevés en dehors de la Chine ont été observés dans des endroits mettant déjà en œuvre la technologie 5G, en Corée du Sud et en Italie, par exemple. L’exception est l’Iran, qui compte actuellement 978 cas et 54 décès, ne l’applique pas officiellement, mais pourrait très bien le tester secrètement étant donné la raison pour laquelle

le 1er décembre 2018, à la demande du gouvernement américain, Meng Wanzhou — la directrice financière de Huawei et fille de son fondateur — a été arrêtée au Canada sur des allégations selon lesquelles elle aurait participé à un complot visant à frauder des banques en lien avec des violations des sanctions contre l’Iran, 19

était en effet parce que Huawei travaillait à vendre sa technologie 5G aux Iraniens. En fait, l’Iran – dans une opération conjointe entre Irancell et Ericsson – avait commencé à tester cette technologie dès septembre 2017. 20 Dans l’article intitulé « Irancell, Ericsson test 5G Systems » (2017) , il est précisé que :

la technologie sera disponible d’ici 2020 et deviendra mondialement accessible un an plus tard.
Lors de l’événement au siège d’Irancell, le PDG de la société, Alireza Dezfouli, a déclaré : « Nous visons à suivre le rythme des opérateurs internationaux. L’Iran ne sera plus en reste. 

En outre, un certain nombre d’articles dans les médias ont déclaré que l’Iran avait effectué des « préparatifs » et était prêt à lancer la 5G. 21 22 23 Eh bien, les préparatifs comprennent généralement des essais. Par conséquent, il est facile de croire que l’Iran a déjà mis en place l’infrastructure 5G et qu’ils l’ont secrètement testée.

La Belgique, en revanche, – qui avait décidé de ne même pas tester la 5G, et encore moins de la mettre en œuvre, en raison de problèmes de radiation 24 – n’a eu jusqu’à présent qu’un seul cas de coronavirus (récupéré) et aucun décès.

En fait, pour la majorité, les symptômes des patients en dehors de la Chine (en particulier ceux qui sont loin de la 5G), pour la plupart, ont apparemment été relativement légers, comme on le verrait très probablement avec un virus du rhume ou de la grippe ordinaire, et beaucoup de personnes [supposément] infectées [NDLR du fait des tests PCR non significatifs] ne présentant aucun symptôme.

Symptômes légers en dehors de la Chine

C’est ce qu’affirme le Dr Maria Van Kerkhove, (responsable du programme d’urgence sanitaire de l’OMS), dans l’article d’Al Jazeera continuellement mis à jour, « Que se passe-t-il si vous attrapez le nouveau virus corona ? » que « certains patients ne présentent aucun symptôme » et que :

« Vous avez des cas bénins, qui ressemblent au rhume, qui présentent des symptômes respiratoires, des maux de gorge, un écoulement nasal, de la fièvre, jusqu’à la pneumonie. Et il peut y avoir différents niveaux de gravité de la pneumonie jusqu’à la défaillance de plusieurs organes et la mort » , a- t-elle déclaré aux journalistes à Genève la semaine dernière.

Cependant, dans la plupart des cas, les symptômes sont restés légers.

« Nous avons vu des données sur environ 17 000 cas et dans l’ ensemble, 82 % d’entre eux sont bénins, 15 % d’entre eux sont graves et 3 % d’entre eux sont classés comme critiques », a déclaré Van Kerkhove. 18

De plus, dans de nombreuses vidéos YouTube 25 26 27 28 29, nous voyons des entretiens avec des patients qui ne présentent apparemment que des symptômes légers.

Un exemple est celui de Rebecca Frazier, interviewée à de nombreuses reprises dans de nombreux programmes d’information, après avoir été admise dans un hôpital de Tokyo après avoir été trouvée infectée par le COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess. Dans l’une des interviews, menée par le programme d’information néo-zélandais sur le réseau Radio New Zealand (RNZ) intitulé « Je ne me suis jamais vraiment sentie mal », par exemple, l’intervieweur déclare ce qui suit, puis poursuit l’interview de Mme Frazier :

« Incapacité, ayant besoin d’aide pour respirer et entouré de médecins en combinaison de protection contre les matières dangereuses, est peut-être l’image de référence des personnes infectées par le coronavirus. Ce n’est pas le cas pour Rebecca Frazier, qui a le Covid-19 comme on l’appelle maintenant. Curieusement, elle a l’air très bien. Elle est isolée dans un hôpital de Tokyo après avoir été testée positive pour le virus, alors qu’elle était à bord du navire de croisière Diamond Princess qui est maintenant amarré à Yokohama, en quarantaine pendant 14 jours…. Rebecca dit qu’elle est choquée d’avoir été testée positive pour le virus mortel étant donné à quel point elle se sent en forme et bien . 

« Je ne peux tout simplement pas y croire. Je ne peux pas croire que cela vous arrive. Euh. Je… Vous savez, je ne suis pas du genre à paniquer…. 

« Vous ne vous êtes pas senti bien ? Vous ne vous sentez pas bien ? 

« Non. Je ne me suis jamais vraiment senti mal. J’ai eu un peu de toux quand ils m’ont dit, et quand je suis arrivé ici, j’ai eu un peu de fièvre, mais tout cela s’est normalisé et je n’ai aucun symptôme…. ” 25

Dans une autre vidéo YouTube, 29 provenant cette fois d’une chaîne de télévision chinoise, on trouve le témoignage d’une infirmière de Wuhan qui a contracté le virus et a décidé de rester à la maison pour récupérer (ce qui aurait très bien pu être ce qui lui a sauvé la vie).

Dans la vidéo, nous la voyons vaquer à ses occupations quotidiennes comme si elle n’était qu’apparemment gênée par ce qui ne serait qu’un virus du rhume normal.

Dans un reportage de la BBC 30 sur Steve Walsh, qualifié de « super épandeur », un homme qui a apparemment été infecté par COVID-19 à Singapour et l’a apparemment propagé à de nombreux autres dans une station de ski en France, nous entendons l’un de ses voisins déclarer que

« Sa femme m’a dit au téléphone qu’en réalité il n’était pas si malade et elle pense que c’est un tas de conneries et que ce n’est pas pire que la grippe. Probablement pas aussi mauvais. » (2:20)

Alors… pourquoi se fait-il que, alors que ces personnes ne manifestent apparemment que des symptômes bénins, de nombreuses personnes en Chine, et en particulier dans la ville de Wuhan (et dans certaines autres provinces), traversent une période si difficile et beaucoup succombent malheureusement au virus, et (à défaut d’une meilleure expression) « tombent comme des mouches » ?

Au moins 10 000 antennes 5G installées à Wuhan seul

Ce qui n’est pas évident dans les reportages, c’est le fait que la Chine, dans sa précipitation pour prendre la tête de la course 5G, avait installé fin 2019 (et surtout au cours des derniers mois précédant l’épidémie de COVID-19) 130 000 antennes 5G dans tout le pays, 31 avec au moins 10 000 antennes installées rien qu’à Wuhan. 32 (À titre de comparaison, les États-Unis ne disposent actuellement que d’environ 10 000 antennes 5G installées dans tout le pays.)

Homme tenant un téléphone pour une connexion 5G

« La ville de Wuhan, la capitale du Hubei, devrait disposer de 10 000 stations de base 5G d’ici fin 2019… » 32

« Selon les rapports précédents, les trois opérateurs s’attendaient à exploiter près de 130 000 stations de base 5G d’ici la fin de 2019. »

Wuhan : l’une des premières villes à tester la 5G

En fait, Wuhan était l’une des 16 premières villes sélectionnées pour tester la 5G en 2018.

China Unicom commencera à tester le réseau 5G dans 16 villes, dont Pékin, Tianjin, Qingdao, Hangzhou, Nanjing, Wuhan , Guiyang, Chengdu, Shenzhen, Fuzhou, Zhengzhou et Shenyang.

China Mobile effectuera des tests externes sur le terrain et installera plus d’une centaine de stations de base 5G dans chacune des cinq villes suivantes : Hangzhou, Shanghai, Guangzhou, Suzhou et Wuhan . 34

D’après l’article « Wuhan 5G Industry Development : Five-Chain Coordination, Three-Wheel Drive » (武汉5G产业发展:五链统筹 三轮驱动), 35 (écrit en chinois) publié le 11 octobre 2019, il devient clair que Wuhan était dans une course avec d’autres villes chinoises pour se positionner à la pointe de la technologie 5G, et avec environ 10 000 antennes 5G, est probablement l’une – sinon la plus – irradiée par la 5G en Chine :

À l’heure actuelle, Wuhan saisit des opportunités de développement majeures dans la commercialisation de la 5G, avec la construction d’un réseau national 5G de première classe comme guide, avec le développement d’une industrie nationale 5G de première classe comme organe principal…

… La ville de Wuhan a pleinement mis en œuvre le « Plan de mise en œuvre de la planification et de la construction de la station de base 5G de Wuhan », avec un effort politique extraordinaire, pour guider et soutenir les entreprises de télécommunications de base et China Tower Corporation pour accélérer la construction de réseaux 5G. Cette année et l’année prochaine, Wuhan construira plus de 20 000 stations de base 5G, formera un réseau de base 5G avec une échelle de premier plan, une qualité de première classe et une démonstration solide pour assurer une couverture complète du réseau 5G dans la ville et être au premier plan parmi les villes similaires dans le pays. 35

Enfin, il a été indiqué dans un article intitulé « Réseau 5G à venir à Wuhan » (16 avril 2018), que « 3 000 macro stations de base et 27 000 micro stations de base » seraient bientôt construits, et que d’ici 2020 , le « réseau 5G couvrira tous les coins de la ville et sera disponible à un prix abordable. 36 Cela signifie qu’il peut en fait y avoir bien plus que 10 000 antennes à Wuhan, bien que 10 000 à elles seules feraient de Wuhan l’une des villes les plus concentrées en 5G au monde.

Systèmes 5G déployés dans les hôpitaux

Ce qui est également préoccupant ici, c’est que la Chine a, depuis environ novembre 2019, installé des systèmes 5G dans ses hôpitaux. 37 38 39 40

” Les principaux hôpitaux chinois, les principaux opérateurs de télécommunications et Huawei ont lancé mercredi un projet visant à établir des normes pour les réseaux basés sur la 5G dans les hôpitaux . » 37

« La Chine a publié une norme pionnière pour ses réseaux hospitaliers 5G, à la suite d’un processus de rédaction et de vérification conjoint entre les secteurs médical et des télécommunications. » 38

Systèmes 5G installés dans les hôpitaux du coronavirus de Wuhan

Recherche scientifique 5G

Et pour ajouter apparemment l’insulte à la blessure ici, Huawei n’a pas tardé à installer des systèmes 5G dans les nouveaux hôpitaux de coronavirus – l’hôpital de Wuhan Volcan Mountain et l’hôpital de Thunder Mountain – les deux hôpitaux connus pour n’avoir été construits qu’en un peu plus d’une semaine. 41 42

Les deux articles cités ici sont ironiquement intitulés, (1) « Huawei installe la 5G dans un hôpital chinois pour lutter contre le coronavirus » et (2) « Huawei construit la 5G à l’hôpital de Wuhan, vise à lutter indirectement contre le coronavirus » car cela pourrait très bien être tout le contraire de ce qu’ils ont effectivement l’intention de faire ici. Il y a aussi une vidéo intéressante sur YouTube intitulée « Les hôpitaux chinois déploient des robots pour aider le personnel médical à lutter contre l’épidémie de coronavirus », 43  démontrant cela en action.

Les télécoms chinois ont commencé à proposer la 5G commercialement en novembre 2019

Les sociétés de télécommunications chinoises ont commencé à proposer des services commerciaux 5G à leurs clients le 1er novembre de l’année dernière.

Les trois principaux opérateurs de téléphonie mobile chinois, China Mobile, China Unicom et China Telecom, commenceront à vendre des services 5G aux consommateurs le vendredi 1er novembre dans 50 grandes villes, dont Pékin et Shanghai, a déclaré Chen Zhaoxiong, vice-ministre du ministère de l’Industrie et de la Chine. Technologies de l’information le jeudi 31 octobre lors d’une conférence à Pékin….

Le gouvernement chinois a fait de la construction de la 5G une priorité nationale, en éliminant les formalités administratives et en réduisant les coûts afin que les trois fournisseurs de services sans fil introduisent la nouvelle technologie le plus rapidement possible. « Ils en ont fait une priorité nationale. Cela fait partie de la capacité du Parti [communiste] à montrer qu’il livre la marchandise », a déclaré Paul Triolo, responsable de la géotechnologie au cabinet de conseil Eurasia Group. « Et au milieu du différend commercial et des actions contre Huawei, il est encore plus important pour la Chine de montrer qu’elle continue d’avancer malgré tous ces défis » , a- t-il ajouté….

Le gouvernement central chinois souhaite que la couverture 5G soit étendue à l’ensemble de Pékin, Shanghai, Hangzhou et Guangzhou d’ici la fin de l’année. Le plus grand opérateur du pays, China Mobile, qui compte 900 millions d’abonnés au téléphone portable, affirme qu’il sera en mesure d’offrir des services 5G dans plus de 50 villes cette année….

Environ 13 000 stations de base 5G ont été installées à Pékin, a annoncé cette semaine l’administration des communications. Environ 10 000 sont déjà opérationnelles. La Chine possède déjà un total de plus de 80 000 stations de base macro 5G, généralement des tours cellulaires avec des antennes et d’autres matériels qui diffusent des signaux sans fil sur de vastes zones, ont déclaré des responsables gouvernementaux. Voir cet article sur les tours 5G.

Ils ont déclaré que la Chine terminerait l’année avec environ 130 000 [stations], tandis que Bernstein Research estime que la Corée du Sud sera à la deuxième place avec 75 000, suivie des États-Unis avec 10 000. Piper Jaffray a estimé que sur les 600 000 stations de base 5G qui devraient être déployées dans le monde l’année prochaine, la moitié le seront en Chine. 31

Cela signifie essentiellement que la Chine avait soudainement activé le commutateur 5G, un peu moins de deux mois avant l’épidémie de COVID-19, recouvrant soudainement de nombreuses villes de ce rayonnement sans fil 5G. Et au moment d’écrire ces lignes, le nombre de cas de COVID-19 en Corée du Sud commence également à monter en flèche. Comme nous pouvons le voir dans l’article ci-dessus, la Corée du Sud possède le deuxième plus grand nombre d’antennes 5G avec 75 000. C’est beaucoup pour un pays de sa taille. Y a-t-il un lien ? Je pense qu’il y a à l’heure actuelle (29 février 2020) également le plus grand nombre de cas de coronavirus (3150) et l’un des taux de mortalité les plus élevés (17) en dehors de la Chine.

Quarante villes buvant le service 5G

Dans l’article en ligne « Ces 40 villes vont boire le service 5G », 44 publié le 7 juin 2019, il a été révélé qu’il avait été décidé que la 5G serait lancée dans 40 villes à travers la Chine en 2019 par China Mobile et China Unicom (avec aucune information spécifique de China Telecom pour le moment).

Les villes de cette liste incluses dans la province du Zhejiang étaient Hangzhou, Ningbo et Wenzhou, sans parler des endroits comme Pékin, Shanghai, Wuhan, Guangzhou, Suzhou et Shenzhen. Le plan initial, semble-t-il, appelé stratégie de déploiement de réseau 5G « 7+33+n », était d’avoir une couverture complète à Pékin, Shanghai, Hangzhou, Guangzhou, Shenzhen, Nanjing et Xiong’an, avec une couverture hotspot dans les 33 autres villes, puis des réseaux 5G personnalisés dans les villes dites « n », bien que cela ait très bien pu changer car d’autres villes voulaient apparemment également une couverture complète (notez l’installation par Wuhan de 10 000 antennes 5G).

Les provinces les plus touchées par le coronavirus après Wuhan :
Zhejiang et Guangdong

Fait intéressant, à un moment donné de cette saga, les deuxièmes provinces les plus touchées (par le COVID-19) étaient les provinces du Zhejiang et du Guangdong (bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le Zhejiang ait maintenant été dépassé par le Henan). 45 Les provinces énumérées ci-dessous, en chinois, et dans l’ordre de la plupart des cas, sont (1) Hubei (湖北), (2) Guangdong (广东), (3) Henan (河南), (4) Zhejiang (浙江) et (5) Hunan .

La situation a été si mauvaise dans la province du Zhejiang que le Japon, le 12 février, a même étendu ses restrictions d’entrée au Zhejiang touché par le virus (à l’époque, il était troisième en nombre de cas de COVID-19).

Il comprend les villes de Hangzhou et Wenzhou, qui comptent parmi les plus fortes concentrations de cas de coronavirus du pays. Hangzhou abrite le siège social d’Alibaba Group Holding, tandis que Wenzhou est connue comme le berceau des petites entreprises. 46

Sur la carte (Wikipédia) ci-dessous 47 , la province du Zhejiang est la province rouge plus foncée à droite et la province du Guangdong est la province rouge plus foncée en bas. La province rouge la plus foncée au milieu est le Hubei avec Wuhan en son centre. La province du Henan est au-dessus de la province du Hubei et la province du Hunan est en dessous.

Attribution : Wikimédiens / CC BY-SA (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)

Ces villes (Hangzhou, Wenzhou et Ningbo) ont également été sélectionnées pour tester la 5G dans la province du Zhejiang.

Ookla 5G Maps 48 suit le déploiement de la 5G dans le monde, le nombre de télécommunications offrant un service 5G dans diverses villes de Chine.

Dans la ville de Hangzhou, les trois télécoms chinois fournissent un service 5G dans la ville ; alors qu’à Ningbo, seuls deux le sont, et à Wenzhou, un seul (China Mobile) l’est.

Les trois villes de la province du Zhejiang avec le plus de cas ont été Hangzhou (168 cas), Ningbo (156 cas) et Wenzhou (503 cas), 50 qui sont aussi curieusement les villes sélectionnées pour tester la 5G. La ville proprement dite de Wenzhou elle-même (bien que lorsque l’on inclut les préfectures extérieures, le total s’élève à 9 millions), par exemple, avec seulement 200 000 habitants, compte un nombre excessivement élevé de personnes infectées par le COVID-19, et la ville a été en confinement.

Mais comme vous pouvez le voir dans certains des articles sélectionnés ci-dessous, il y a eu une poussée majeure dans cette ville pour mettre en œuvre et couvrir leurs villes avec la technologie 5G. 

Dans l’article en ligne « China Tower Built 8400 5G Stations in Zhejiang » 51 (21 octobre 2019), il est révélé que 8400 stations de base 5G ont récemment été installées dans la province du Zhejiang, avec 4775 (sur une commande de 6154) installés rien qu’à Hangzhou, et 3 200 d’entre elles installées en 100 jours (en un peu plus de trois mois).

China Tower a construit 8400 stations 5G dans le Zhejiang

Selon un responsable de China Tower (Zhejiang), depuis cette année, elle a entrepris plus de dix mille demandes de construction 5G. A ce jour, 8397 stations ont été achevées, dont plus de 96 % ont été construites sur les sites des stations de stockage. À Hangzhou, depuis cette année, 6 154 demandes 5G ont été acceptées et 4775 ont été achevées et livrées, dont 93 % sont directement satisfaites et transformées via les sites des stations de stockage.

Dans le centre-ville de Hangzhou, après avoir reçu la demande de construction 5G de trois entreprises de télécommunications, China Tower (Zhejiang), avec le soutien du gouvernement, a achevé 3200 stations de base 5G dans la région pittoresque de West Lake, le centre sportif olympique et d’autres scènes à moins de 100 jours, et ont coopéré avec les entreprises de télécommunications à une installation rapide complète et mise au point de l’équipement, en fonction des salles de télécommunications existantes, des armoires, des installations de soutien électriques et antenne 5G ajoutés sur les sites de la station d’actions, lampadaires de la rue, les bâtiments, etc.  51

Dans un autre article en ligne, publié en chinois, « China Tower installe 8 400 antennes 5G dans le Zhejiang, 96 % sur la base de sites existants », [中国铁塔在浙江建成8400个5G站址,96%基于既有站址], 52 on peut voir China Tower recouvrir Hangzhou d’antennes 5G en très peu de temps.

Dans cet article, il est indiqué que « le Zhejiang est l’une des premières provinces du pays à commencer à construire des réseaux 5G » et que « China Tower Zhejiang Company… a lancé l’accélération de la construction 5G au cours de la première année de commercialisation de la 5G… ». Et de plus , « plus de 10 000 exigences de construction 5G ont été entreprises depuis cette année », avec « 8397 sites… achevés ».

Il devient clair que la province du Zhejiang, qui abrite le géant de la technologie Alibaba, est l’une des provinces qui devrait devenir l’une des premières à introduire la 5G. Dans l’article suivant, « La région du Delta pour construire un hub de communication d’informations de classe mondiale », 53 (Mise à jour : 01-11-2019), il est indiqué qu’avec la commercialisation des services 5G le 31 octobre,

[cinquante] villes ont été sélectionnées pour devenir parmi les premières à accéder aux services commerciaux 5G, dont 10 villes de la région du delta du fleuve Yangtze (YRD), dont la moitié sont dans la province du Zhejiang – Hangzhou , Ningbo, Wenzhou , Jiaxing et Shaoxing.

Il est en outre indiqué que les trois sociétés de télécommunications plus China Tower investiraient dans la région un total de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars US) pour la construction de l’infrastructure 5G afin de « la transformer en un centre de communication d’informations de classe mondiale. 

Selon un plan de développement pour la région publié en 2016, China Telecom, China Unicom, China Mobile et China Tower prévoient d’investir plus de 200 milliards de yuans (28,4 milliards de dollars) dans la construction d’infrastructures 5G dans la région d’ici 2021 pour aider à « la construire en un centre de communication de l’information de classe mondiale » promouvant « l’utilisation pilote du réseau et des applications 5G par la région » et indiquant « clairement que la région YRD sera la première en Chine à effectuer un essai d’utilisation commerciale des services 5G », tout en visant à « réaliser la couverture du réseau 5G dans toute la province d’ici 2025 ». 53

La ville côtière de Wenzhou la plus touchée dans la province du Zhejiang

Dans la province du Zhejiang, les villes de Hangzhou, Ningbo et Wenzhou comptent le plus grand nombre de cas de COVID-19. Ce sont également les principaux endroits où la 5G a été installée jusqu’à présent dans la province.

covid-19

Wenzhou, une ville chinoise relativement faible, a le plus grand nombre démesurément – actuellement 503 – des cas dans la province du Zhejiang, et a été en confinement 54 depuis le 2 février lorsque le nombre de cas a atteint 304.

Wenzhou : Internet et hub 5G

Au cours de la dernière année, il y a eu de nombreuses conférences dans cette petite ville faisant la promotion directe ou indirecte de la 5G. 55 56 57

Par exemple, la Conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie s’y est ouverte en septembre de l’année dernière et la sixième Conférence mondiale sur l’Internet s’y est ouverte en octobre de l’année dernière. La conférence sur l’Internet des objets (IoT) pour l’industrie et l’énergie a présenté les dernières technologies IoT de pointe et les applications 5G pour les technologies Big Data et les plateformes IoT. La sixième conférence Internet mondiale (trois jours) a réuni plus de 1 500 participants de plus de 70 pays et régions, dont des lauréats du prix Nobel et des dirigeants de grandes entreprises technologiques comme Qualcomm, Alibaba et Huawei.

Dans un article intitulé « Experience the construction of 5G base stations under high temperature », publié en chinois (体验高温下5G基站建设) 58 le 26 août 2019, il est indiqué que « Wenzhou est l’un des premiers pilotes 5G villes des trois principaux opérateurs, et la couverture du réseau 5G bat son plein. 

Dans un autre article, « Wenzhou montre une grande ambition dans l’industrie de l’IoT », 59 (10 septembre 2019), il est en outre déclaré :

« Wenzhou est en train de devenir une ville pilote pour la construction de villes intelligentes et les applications 5G en Chine » , a déclaré Chen. « Il existe désormais 13 centres de cloud computing, plus de 500 stations de base 5G et plus de 10 000 bases IoT à bande étroite dans la ville. »

Enfin, en regardant encore un autre article publié environ six mois plus tard intitulé « Le premier cas dans le Zhejiang ! La ligne S1 est la première à atteindre une couverture complète des signaux mobiles 5G » (19 janvier 2020), (également publié en chinois, 浙江首例!S1线率先实现移动5G信号全覆盖) 60 qui se délecte du signal 5G pénétration le long de la «ligne S1 aéroport de Longwan-Wenzhou South High Speed ​​Rail», il devient évident que Wenzhou a également participé à la course 5G pour recouvrir sa ville d’ondes électromagnétiques 5G.

Champs électromagnétiques (CEM) et système immunitaire

Les rayonnements sans fil de 1G à 5G ont tous émis des “champs électromagnétiques de radiofréquence (RF) (CEM)” modulés et il existe littéralement des milliers d’études montrant les effets biologiques des expositions aux ondes électromagnétiques artificielles, et parmi celles-ci, des centaines montrent des effets biologiques sur le système immunitaire.

Pour ne donner qu’un exemple, les recherches de Kolomytseva et coll. (2002) décrit dans l’article « Suppression de la résistance non spécifique du corps sous l’effet d’un rayonnement électromagnétique de fréquence extrêmement élevée et de faible intensité », 61 a constaté qu’avec :

exposition du corps entier de souris en bonne santé à un rayonnement électromagnétique de faible intensité à très haute fréquence (EMR EHF, 42,0 GHz, 0,15 mW/cm2, 20 min par jour)… l’activité phagocytaire des neutrophiles du sang périphérique a été supprimée d’environ 50 % (p < 0,01 par rapport au témoin exposé de manière fictive) en 2-3 h après l’exposition unique à EHF EMR…

et que :

… l’effet a persisté pendant 1 jour après l’exposition, puis l’activité phagocytaire des neutrophiles est revenue à la norme dans les 3 jours.

Et en plus :

une modification significative du profil sanguin leucocytaire chez les souris exposées à l’EHF EMR pendant 5 jours a été observée après l’arrêt des expositions : le nombre de leucocytes a augmenté de 44 % (p < 0,05 par rapport aux animaux exposés de manière fictive), principalement en raison d’une augmentation de la teneur en lymphocytes.

Ils ont conclu que :

les résultats ont indiqué que l’exposition du corps entier de souris en bonne santé à un EMR EHF de faible intensité a un effet profond sur les indices d’immunité non spécifique.

Dans un article 62 (écrit par moi-même avec le professeur Olle Johansson de l’Institut Karolinska) – qui, je crois, offre l’hypothèse la plus solide à ce jour sur les principaux mécanismes par lesquels les CEM désactivent en fait le système immunitaire – un certain nombre de ces effets sur le système immunitaire sont énumérés dans les citations.

Johansson (2012) détaille plus en détail, dans la section 8 de la BioInitiative , « Evidence for EMF Effects on the Immune System », 63  de nombreuses études démontrant ces effets, en particulier en ce qui concerne la façon dont les CEM radiofréquences modifient le système immunitaire.

Dans l’article d’Aljazeera mentionné précédemment 18, il est indiqué qu’une étude publiée dans la revue médicale The Lancet, le 24 janvier, a trouvé :

ce qu’il a appelé une « tempête de cytokines » chez les patients infectés qui étaient gravement malades. La condition est une réaction immunitaire sévère dans laquelle le corps produit des cellules immunitaires et des protéines qui peuvent détruire d’autres organes.

Par conséquent, il convient de noter ici qu’il existe, en fait, de nombreuses études de recherche montrant un effet des CEM sur les cytokines : une recherche PubMed, par exemple, a produit 119 résultats de recherche. 64

En 1998, un biologiste du nom de Roger Coghill a mené une expérience dans laquelle il « a prélevé des globules blancs, appelés lymphocytes, d’un donneur » et les a maintenus en vie grâce à l’utilisation de nutriments tout en les exposant soit aux radiations d’un téléphone portable, soit au champ électromagnétique naturel du corps humain. Il a découvert que parmi les cellules immunitaires exposées aux radiations des téléphones portables, seulement 13 % restaient intactes et capables de fonctionner correctement ; alors que, parmi les cellules exposées uniquement au champ électromagnétique naturel du corps, 70 % sont restées intactes et capables de fonctionner correctement. Naturellement, bien que ses recherches aient fourni un aperçu, il a été attaqué et critiqué par l’industrie du sans fil pour être « non scientifique ».

Le Dr Robert O. Becker (1985) a écrit sur la façon dont le système immunitaire est affaibli par les champs électromagnétiques artificiels via l’induction d’un « stress subliminal » :

Initialement, le stress active le système hormonal et/ou immunitaire à un niveau supérieur à la normale, permettant à l’animal d’échapper au danger et de combattre la maladie. Si le stress persiste, les niveaux d’hormones et la réactivité immunitaire diminuent progressivement pour revenir à la normale. Si vous arrêtez votre expérience à ce stade, vous avez apparemment raison de dire : « L’animal s’est adapté ; le stress ne fait pas de mal. Néanmoins, si les conditions de stress persistent, les niveaux hormonaux et immunitaires diminuent encore, bien en dessous de la normale. En termes médicaux, la décompensation du stress s’est installée et l’animal est désormais plus sensible à d’autres facteurs de stress, notamment la croissance maligne et les maladies infectieuses.

… Un aspect du syndrome était très déroutant. En subissant ces changements hormonaux, un animal serait normalement conscient que son corps était attaqué, pourtant, pour autant que nous puissions en juger, les lapins ne l’étaient pas. Ils ne montraient aucun signe extérieur de peur, d’agitation ou de maladie. La plupart des humains ne seraient certainement pas capables de détecter un champ magnétique de 100 gauss, du moins pas consciemment. Ce n’est que plusieurs années après les travaux de Friedman que quelqu’un a découvert comment cela se produit.

En 1976, un groupe dirigé par JJ Noval au Naval Aerospace Medical Research Laboratory de Pensacola, en Floride, a trouvé la réponse lente chez les rats à des champs électriques très faibles, aussi bas que cinq millièmes de volt par centimètre. Ils ont découvert que lorsque de tels champs vibraient dans la gamme ELF, les niveaux du neurotransmetteur acétylcholine dans le tronc cérébral augmentaient, apparemment d’une manière qui activait un signal de détresse de manière subliminale, sans que l’animal ne s’en rende compte. Le plus effrayant était que les champs utilisés par Noval se situaient bien en deçà des niveaux de fond d’un bureau typique, avec son éclairage au plafond, ses machines à écrire, ses ordinateurs et d’autres équipements. Les travailleurs dans un tel environnement sont exposés à des champs électriques compris entre un centième et un dixième de volt par centimètre et des champs magnétiques entre un centième et un dixième de gauss. (p. 277-278)2

CEM Affaiblissement du système immunitaire

Il suffit de dire que, même si les mécanismes par lesquels les CEM affaiblissent le système immunitaire sont multiples, il ne fait aucun doute que les CEM peuvent effectivement avoir un effet négatif sur le système immunitaire.

La 5G est beaucoup plus puissante et dangereuse que ses prédécesseurs

Le déploiement de la 5G – qu’il s’agisse de la phase d’essai ou de la phase de mise en œuvre – a déjà commencé dans la plupart des grands pays développés du monde, la majorité des autres se préparant apparemment pour ses débuts.

La Commission européenne a demandé à chaque État membre de sélectionner une ville pour être prête pour la 5G d’ici 2020 dans le cadre du plan d’action 5G de l’UE pour un marché unique numérique. La Commission européenne a demandé aux pays membres de l’UE de commencer à tester la 5G dans au moins une ville pour la préparer à la 5G d’ici 2020 dans le cadre de son « Plan d’action 5G pour un marché unique numérique ».

La Belgique a refusé – même la phase d’essai, sans parler de la phase de mise en œuvre – en raison des niveaux de rayonnement plus élevés que la 5G apporterait, ce qui était bien au-dessus de ce que ses normes de rayonnement autorisaient. La Suisse a commencé à la fois avec les essais et la mise en œuvre, et il a été dit qu’elle mettait un terme à la poursuite du déploiement, en raison de toutes les plaintes concernant les effets sur la santé qu’elle produisait, mais semble malheureusement continuer le déploiement. D’autres pays ont apparemment simplement abaissé leurs normes probablement parce qu’ils ne pouvaient pas résister à la meilleure chose à côté de la crème glacée Chunky Monkey de Ben & Jerry. Et les États-Unis et la Chine ont apparemment été dans une course 5G pour couvrir leurs pays de ce rayonnement 5G (et très probablement par inadvertance du coronavirus), la Chine semblant maintenant gagner sur ces deux fronts.

La 5G a été divisée en bandes passantes faible, moyenne et élevée. Les fréquences de bande passante faible à moyenne « sont contiguës et vont de 600 MHz à 6 GHz » 66 et ont été utilisées pour la 1G-4G au cours des quarante dernières années. D’autre part, les bandes passantes d’ondes millimétriques à plus haute fréquence sont de nouvelles fréquences commençant à environ 24 GHz (aux États-Unis en tout cas), et n’ont pas été utilisées pour les services commerciaux de téléphonie cellulaire aux États-Unis jusqu’à récemment, avec l’arrivée de ces services commerciaux 5G.

Pour l’essentiel, à l’heure actuelle, la plupart des 5G se situent désormais dans la plage de bande passante faible à moyenne, avec une couverture limitée en ondes millimétriques élevées, bien que cela changera probablement au fur et à mesure que la technologie se développera et sera mise en œuvre. En outre, la technologie 5G est mise en œuvre parallèlement à la technologie 4G déjà en place. La technologie 5G apporte à la fois des macrostations de base plus grandes et des microstations de base plus petites installées entre les plus grandes stations de macro-base. Et parce que ces microstations de base sont souvent plus proches des maisons des gens dans les zones résidentielles, selon Oram Miller, spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment (EMRS) :

nous mesurons maintenant des niveaux RF plus élevés dans les maisons des clients, en particulier dans les chambres du deuxième étage (lisez l’article de Lloyd sur les CEM dans les chambres), jusqu’à des dizaines à des centaines de milliers de microWatts/mètre carré (uW/m2) à partir de ces nouvelles antennes,

tandis que :

la profession de la biologie du bâtiment et les experts EMF du monde entier affirment que 10 microwatts par mètre carré ou moins sont sans danger pour les zones de couchage (en fait, 0,1 uW/m2 est notre niveau « aucune anomalie » pour les zones de couchage). Voici une liste d’experts EMF .

De plus, alors que nous avons augmenté le spectre de 1G à 5G, à chaque nouvelle génération, il y a eu une modulation accrue, et une modulation accrue signifie des effets biologiques accrus et des dommages biologiques pour toute la vie sur cette planète. La 5G ne fait pas exception. Oram Miller continue d’expliquer :

Toutes ces technologies avancées envoient plus de signaux cellulaires dans le même espace aérien à des vitesses plus rapides avec beaucoup plus de modulation que les technologies cellulaires 4G actuelles.

Et…

Cette modulation des signaux cellulaires transmis dans les bandes basses et moyennes par les nouvelles petites radios et antennes 5G et 4G LTE-Advanced apparaissant partout représente probablement la majorité des personnes vivant à proximité de ces antennes qui signalent l’apparition de symptômes de santé jamais ressentis auparavant.

Dr Martin Pall, Ph.D. (Professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales, Washington State University), – qui a attiré l’attention du monde sur le fait que les CEM causent des dommages biologiques via l’ouverture des canaux calciques voltage-dépendants (VGCC), permettant un flux excessif d’ions calcium à l’intérieur de la cellule et l’incitation à la production d’oxyde nitrique (NO) via la stimulation de l’enzyme oxyde nitrique synthase pour former une multitude d’espèces réactives de l’oxygène via des effets en aval 67 – a averti que le déploiement de la 5G aurait des effets délétères massifs sur la population mondiale , sans parler de toutes les formes de vie. Il pense que la 5G sera beaucoup plus dangereuse pour les raisons suivantes :

1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
2. Les rendements énergétiques très élevés qui seront utilisés pour assurer la pénétration.
3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
4. Les interactions apparentes de haut niveau de la fréquence 5G sur les groupes chargés, y compris vraisemblablement les groupes chargés du capteur de tension. 68

Dans un article récent intitulé « Massive Predicted Effects of 5G » (17 décembre 2019), 69 Pall déclare que « étant donné le niveau de pulsation élevé pour le rayonnement 5G, même de courtes expositions peuvent bien produire des effets biologiques graves », sans parler des densités de puissance jusqu’à 30 fois plus élevées que les systèmes précédents de 1G à 4G et avec une pénétration améliorée via le composant magnétique. Il prédit qu’avec l’activation à part entière de la 5G (par rapport à sa phase d’essai, où il y a encore peu de communication avec la 5G), nous verrons :

  • (1) une diminution de la reproduction humaine,
  • (2) une diminution du cerveau collectif fonctionnelle,
  • (3) une maladie d’Alzheimer à début très précoce,
  • (4) une augmentation de l’autisme et du TDAH,
  • (5) une détérioration du patrimoine génétique humain et
  • (6) une augmentation massive des arrêts cardiaques.

Tout en suivant le déploiement de la 5G, il a suivi de nombreux signes de ses effets biologiques. Par exemple, il a décrit l’augmentation des effets neuropsychiatriques, des effets cardiaques et de l’hypersensibilité électromagnétique, tirée d’articles en ligne suisses, 70 71 comme ce que nous commençons déjà à voir avec l’avènement de cette technologie :
• Augmentation de l’insomnie, des acouphènes, des maux de tête, incapacité à se concentrer et fatigue.
• Augmentation de l’hypersensibilité électromagnétique (EHS).
• Augmentation des arythmies cardiaques.

Il rapporte que bien que ces effets aient été signalés auparavant avec des études d’exposition professionnelle et des études sur les compteurs intelligents, « les effets semblent être beaucoup plus graves après [le déploiement de] la 5G  » avec « une apparence encore plus grave [à publier] 5G neuropsychiatrique. effets [apparaissant] dans le sud de la Californie », avec leur propre déploiement massif récent de la 5G.

En outre, il déclare que « nous avons toutes les raisons de croire que tout système 5G à part entière, communiquant avec ‘l’internet des objets’, produira des effets encore bien plus importants que n’importe laquelle de ces découvertes initiales. » Cela pourrait très bien être ce que nous voyons dans la ville de Wenzhou, dans la province du Zhejiang, en Chine – qui a déjà mis en œuvre cette technologie avec la 5G – avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, avec des taux extraordinairement élevés de coronavirus, et qui sait quelles autres augmentations des effets sur la santé (par exemple, augmentation des problèmes cardiaques, de la cécité, de l’hypersensibilité électromagnétique, etc.) il y a eu qui n’ont pas été rendus publics ?

Il explique plus en détail – en corrélation avec les tests 5G – les suicides des services d’ambulance 5G au Royaume-Uni, 72 les cas de panique chez les bovins aux Pays-Bas, 73 et les comportements bizarres et agressifs chez les bovins et les moutons en Allemagne, 74 les malformations congénitales en Allemagne et en France, 75 76 et des centaines d’oiseaux tombant du ciel en raison d’un arrêt cardiaque soudain pendant trois jours de tests 5G dans un parc près de Rotterdam, 77 et la liste s’allonge encore et inclut également la mort d’insectes et l’augmentation des incendies en Corée du Sud. 78 79

(Voir aussi l’article sur la 5G est-elle dangereuse ? )

[Voir aussi :
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]

La 5G pourrait-elle rendre le coronavirus plus virulent ?

Lorsque nous regardons la vidéo suivante, il devient évident que les formes de vie plus petites comme les insectes sont en effet plus sensibles à ce rayonnement micro-ondes sans fil, cet exemple clair ne provenant que du radar :

Cette photo montre des pucerons sur la feuille d’un oranger. Peu de temps après l’installation du radar dans un aéroport voisin il y a quelques années, j’ai remarqué que toutes les quelques secondes, tous les pucerons se tendaient à l’unisson et faisaient une sorte de petite danse, comme vous le voyez sur la photo. Après une enquête plus approfondie, j’ai trouvé que l’intervalle de temps entre l’activité de chaque danse, coïncidait exactement avec la rotation du dispositif de rotor de radar à l’aéroport, qui était une distance d’environ quatorze milles.

Dans la vidéo suivante, le Dr Dietrich Klinghardt parle d’une expérience au cours de laquelle des moisissures exposées aux CEM ont proliféré :

Je vais maintenant faire le lien avec les champs électromagnétiques. Un médecin suisse que je connais et qui est l’un des principaux chercheurs européens dans le domaine des moisissures a réalisé une belle expérience. Il a fait pousser des cultures de moisissures sous une cage de Faraday ressemblant simplement à un manteau d’argent, qui ressemble à une moustiquaire, faite d’un tissu recouvert d’argent. Il l’a drapé sur la culture de moisissures. Et il a mesuré combien de mycotoxines, combien de toxines, sont produites par ces moisissures sur une base quotidienne. Très facile à faire. Puis il a soulevé la moustiquaire et a exposé la culture de moisissures aux radiations électromagnétiques ambiantes de son laboratoire, causées par les lumières allumées, par l’ordinateur dans le coin, et surtout, comme il l’a découvert plus tard, par les radiations ambiantes des téléphones portables, provenant de la tour de téléphonie mobile voisine qui diffusait des radiations de téléphones portables. Il a découvert que la production de biotoxines dans cette culture a été multipliée par plus de 600. Non seulement la moisissure a soudainement produit beaucoup plus de mycotoxines pour se protéger, mais aussi des mycotoxines beaucoup plus virulentes, beaucoup plus vicieuses, plus toxiques. Et j’ai pris cette expérience comme une grosse ampoule qui s’est allumée pour moi…..

Et si le même genre de chose se produisait avec le rayonnement 5G et le coronavirus ? Pall (2020) énumère dans une version plus récente de son article 80 (précédemment mentionné) un certain nombre d’études qui en fait soutiennent fortement cette théorie.

La question qui est soulevée ici n’est pas de savoir si la 5G est responsable du virus, mais plutôt si le rayonnement 5G, agissant via l’activation du VGCC, peut exacerber la réplication virale ou la propagation ou la létalité de la maladie.

Revenons en arrière et examinons l’histoire récente de la 5G à Wuhan afin d’avoir une certaine perspective sur ces questions. Un article d’Asia Times, daté du 12 février 2019, a déclaré qu’il y avait 31 stations de base 5G différentes (c’est-à-dire des antennes) à Wuhan à la fin de 2018.
Des plans ont été élaborés plus tard, de sorte qu’environ 10 000 antennes 5G seraient en place au fin 2019, la plupart d’entre eux étant équipés de lampadaires intelligents à LED 5G.
Le premier lampadaire intelligent de ce type a été mis en place le 14 mai 2019, mais un grand nombre n’a commencé à être mis en place qu’en octobre 2019, de sorte qu’il y a eu un rythme effréné d’un tel placement au cours des 2 derniers mois et demi de 2019.

Ces résultats montrent que le rythme rapide de l’épidémie de coronavirus s’est développé au moins à peu près à mesure que le nombre d’antennes 5G est devenu extraordinairement élevé. Nous avons donc cette découverte que la première ville intelligente et autoroute intelligente 5G de Chine est l’épicentre de cette épidémie et cette découverte que l’épidémie n’est devenue rapidement plus grave que lorsque le nombre d’antennes 5G a monté en flèche.

Ces résultats sont-ils une coïncidence ou la 5G a-t-elle un rôle causal dans l’exacerbation de l’épidémie de coronavirus ? Afin de répondre à cette question, nous devons déterminer si les effets en aval de l’activation de VGCC exacerbent la réplication virale, les effets de l’infection virale, en particulier ceux qui ont un rôle dans la propagation du virus et également le mécanisme par lequel ce coronavirus provoque la mort. . Ainsi, la réplication de l’ARN viral est stimulée par le stress oxydatif : J Mol Biol. 28 novembre 2008 ; 383 (5) : 1081-96. Modes d’oligomérisation variables dans la protéine non structurale du coronavirus 9. Ponnusamy R, Moll R, Weimar T, Mesters JR, Hilgenfeld R.

D’autres aspects de la réplication virale, y compris ceux impliqués dans la propagation du virus, sont stimulés par l’augmentation du calcium intracellulaire [Ca2+]i, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose, chacun étant augmenté après l’exposition aux CEM. La première citation ci-dessous montre un rôle important de l’activation de VGCC dans la stimulation de l’infection à coronavirus.

  • Virologie. 2 janvier 2020 ; 539 : 38-48. Le deltacoronavirus porcin (PDCoV) module l’afflux de calcium pour favoriser la réplication virale. Bai D, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Calcium cellulaire. 2018 novembre ; 75:30-41. La signalisation Ca2+ dépendante du NAADP régule la translocation du pseudovirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient-coronavirus à travers le système endolysosomal. Gunaratne GS, et al.
  • J Virol. 2011 mai ;85(9) :4234-45. Voies distinctes de lésions pulmonaires aiguës induites par le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère chez deux espèces différentes de primates non humains. Smits SL, et al.
  • Protéome Sci. 8 mars 2011; 9:11. Analyse protéomique de la trachée embryonnaire de poulet et des tissus rénaux après infection in ovo par le coronavirus de la bronchite infectieuse aviaire. Cao Z, et al.
  • Res Vet Sci. Juin 2015 ; 100 : 12-7. Biomarqueurs sériques du stress oxydatif chez les chats atteints de péritonite infectieuse féline. Tecles F, et al.
  • J Infecter Dis. 15 mars 2008;197(6):812-6. Le déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase augmente l’infection par le coronavirus humain. Wu YH et al.
  • J Virol. Juin 1998 ; 72(6) : 4918-24. Le coronavirus de gastro-entérite transmissible induit la mort cellulaire programmée dans les cellules infectées par une voie dépendante de la caspase. Eleouet JF, et al.

La principale cause de décès par ce coronavirus est la pneumonie. La pneumonie est fortement exacerbée par chacun de ces cinq effets en aval de l’activation du VGCC, le calcium intracellulaire excessif, le stress oxydatif, l’élévation de NF-kappaB, l’inflammation et l’apoptose. La première des citations énumérées ci-dessous montre que les inhibiteurs calciques, le même type de médicaments qui bloquent les effets des CEM, sont utiles dans le traitement de la pneumonie. Cela prédit que les CEM, agissant via l’activation du VGCC, produiront une pneumonie de plus en plus grave et que le rayonnement 5G ainsi que d’autres types de CEM pourraient bien augmenter les décès par pneumonie.

  • Zheng et al. 2016 Utilisation avant l’admission d’inhibiteurs calciques et résultats après une hospitalisation pour pneumonie : étude de cohorte rétrospective correspondant à la propension. Suis J Ther. 2017 janv/fév;24(1):e30-e38.
  • Fang et al. 2017 Activation de la calpaïne dépendante de la pneumolysine et sécrétion d’interleukine-1α dans les macrophages infectés par Streptococcus pneumoniae. Infecter Immun. 18 août 2017 ; 85(9). pii : e00201-17.
  • Fettel et al. 2019 La sphingosine-1-phosphate (S1P) induit de puissants effets anti-inflammatoires in vitro et in vivo par la suppression de l’activité 5-lipoxygénase médiée par le récepteur S1P 4. FASEB J. 2019 fév;33(2):1711-1726.
  • Liu et Shi. 2019 Régulateur du canal chlorure activé par le calcium 1 (CLCA1) : Plus qu’un régulateur du transport du chlorure et de la production de mucus. World Allergy Organ J. 2019 Nov 29;12 (11):100077.
  • Sci Rep. 2018 Oct 18;8 (1):15393. La protéine tensioactive D atténue les lésions pulmonaires et rénales aiguës dans la septicémie induite par la pneumonie en modulant l’apoptose, l’inflammation et la signalisation NF-κB. Du J, et al.
  • Curr Neurovasc Res. 28 janvier 2020. Le microARN (miR)-429 favorise les lésions inflammatoires en ciblant le facteur 4 de type kruppel (KLF4) dans la pneumonie néonatale. Zhang L, et al.
  • Science de la vie. 1er juillet 2019 ; 228 : 189-197. L’ARN long non codant SNHG16 cible miR-146a-5p/CCL5 pour réguler l’apoptose et l’inflammation des cellules WI-38 induites par le LPS dans la pneumonie aiguë. Zhou Z, et al.

Tous soutiennent que le rayonnement 5G est susceptible d’exacerber considérablement la propagation du coronavirus et d’augmenter considérablement la létalité des infections qu’il produit. La bonne nouvelle est qu’il est probable que ceux d’entre nous qui vivent dans des zones sans rayonnement 5G et qui évitent les autres CEM dans la mesure du possible échapperont probablement à une grande partie des impacts de cette future pandémie mondiale.

Il est fort probable que l’une des meilleures choses que Wuhan puisse faire pour contrôler l’épidémie dans la ville soit de désactiver le système 4G/5G.

[Note de Joseph : de nombreux articles du dossier Vaccins et virus concourent à démontrer que la virologie n’est pas une science, mais ressemble plutôt à une religion, et que la théorie virale est fallacieuse, voire frauduleuse. Il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de virus pathogènes qui seraient responsables de maladies prétendument virales. Et les apparentes contagions proviennent le plus souvent de l’exposition à une cause toxique commune, comme ici la 5G. Les rares cas d’épidémies apparentes inexplicables par une cause commune peuvent provenir du mécanisme exposé dans l’article Communication entre organismes vivants par biophotons.
Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques (sachant que le corps est très majoritairement composé d’eau).]

Agences capturées et détournement de la science

Et vous pourriez vous demander : « Pourquoi n’ai-je pas entendu parler de ce problème ? » ou vous pourriez vous dire que « les autorités ont certainement à cœur nos meilleurs intérêts lorsqu’elles prennent ce genre de décisions ».
Eh bien, dans une récente critique de livre 81 du livre Triumph of Doubt (de David Michaels, 2020), Kathleen Rest, directrice exécutive, Union of Concerned Scientists (UCS), (14 février 2020) décrit comment la tromperie est utilisée pour fabriquer le doute et l’incertitude dans les manuels de relations publiques de nombreuses industries :

• Attaquer la science. Cette boîte à outils contient de nombreux outils : commander de nouvelles études [prétendument] « scientifiques » pour réanalyser les données existantes avec des méthodologies biaisées vers des résultats prédéterminés ; passer en revue la littérature et les évaluations des risques pour remettre en question le poids de la preuve; publier ces revues et réanalyses dans des revues scientifiques sélectionnées ; magasiner et embaucher des experts dits « indépendants » pour remettre en question la science ; fournir des extraits sonores savoureux et à contre-courant pour les médias et la consommation publique ; et plus.
• Créer et déployer des groupes de façade aux noms anodins pour saper la science, influencer l’opinion publique et accéder aux décideurs politiques tout en maintenant l’illusion d’indépendance.
• Harceler et intimider les scientifiques indépendants dont la recherche démontre ou suggère un préjudice. Ou bien, privilégiez les institutions universitaires et les scientifiques en leur fournissant une forme de soutien financier tout en vernissant leur image d’intérêt public.
• Submerger les organismes de réglementation de commentaires sur les réglementations proposées.
• Utiliser leur argent, leur pouvoir et leur accès démesurés pour influencer les actions/inactions des décideurs politiques élus et des responsables des agences. (Oh, et il y a aussi cette porte tournante bien huilée. Il suffit de regarder combien de dirigeants d’agences et de décideurs de l’administration Trump viennent directement des industries qu’ils sont maintenant censés réglementer.)

Une autre tactique que j’ai remarquée est que ces personnes semblent utiliser est d’inscrire leur matériel sur une liste de discussion pour faire des déclarations complètement farfelues afin que les médias couvrent l’affaire et essaient de faire passer toutes les personnes impliquées pour des fous furieux, ce qu’un public peu méfiant est prompt à consommer et à croire. C’est ce qui semble se passer actuellement avec cette question. En savoir plus sur la dissimulation des CEM.

Certes, la façon dont les gouvernements et les entreprises occidentaux manipulent l’opinion publique est différente de la façon dont cela pourrait être fait en Chine, car dans ce dernier cas, il existe un contrôle gouvernemental strict (par exemple un pare-feu Internet) sur ce qui est autorisé et non autorisé à être consulté sur Internet, etc. Par conséquent, ils n’auront peut-être pas vraiment besoin d’utiliser le manuel ci-dessus et c’est peut-être la raison pour laquelle ils ont pu agir si rapidement pour mettre en œuvre cette technologie. Mais à quel prix ?

« Tout doit être pris en compte.
Si le fait ne correspond pas à la théorie – laissez tomber la théorie… Les vraies preuves sont généralement vagues et insatisfaisantes. Elles doivent être examinées, passées au crible. »

Agatha Christie

Comme le dit Agatha Christie, « Tout doit être pris en compte ». Ignorer – en particulier ignorer volontairement – tous les facteurs de causalité très possibles – en particulier les champs électromagnétiques – à mon humble avis, n’est tout simplement pas une bonne science, si vous pouvez appeler cela de la science.

Selon le Dr Martin Pall, Ph.D. :

L’échec des « directives de sécurité » à prédire les effets biologiques et donc la sécurité signifie que ce ne sont pas des directives de sécurité. Par conséquent, toute affirmation de sécurité faite par l’industrie des télécommunications de plusieurs milliards d’euros sur la base de ces « directives de sécurité » est tout simplement frauduleuse.

Ces échecs des « consignes de sécurité » doivent être considérés au regard du principe qui est au cœur de la méthode scientifique. Ce principe est que lorsque nous avons une théorie scientifique et que nous testons les prédictions de cette théorie et que les prédictions de la théorie se révèlent fausses, alors nous devons rejeter la théorie. Il s’ensuit que lorsque nous avons huit résultats très répétés dont chacun montre que les « directives de sécurité » ne prédisent pas d’effets biologiques et ne prédisent donc pas la sécurité, c’est une exigence scientifique que les « directives de sécurité » soient rejetées. L’échec de l’ICNIRP, de la Commission européenne et de divers organismes de réglementation à rejeter les « directives de sécurité » montre clairement que leurs actions sont à la fois non scientifiques et anti-scientifiques. 65

« Vous n’avez pas droit à votre opinion. Vous avez droit à votre opinion éclairée. Personne n’a le droit d’être ignorant. »

Harlan Ellison

Femme pensant

Et quiconque souhaite avoir un aperçu de la façon dont – ce qui est perçu comme la vache sacrée des organisations internationales de santé – l’OMS a été indûment influencée par l’industrie, ils n’ont pas besoin de chercher plus loin que l’oncologue et professeur suédois, l’article du Dr Lennart Hardell, « World Organisation de la santé, rayonnement radiofréquence et santé – un problème difficile à résoudre (Revue). » 82

Que pouvez-vous faire pour vous protéger ?

Étant donné que, par conséquent, les effets des CEM agissent via l’activation des VGCC avec une augmentation résultante des ions calcium à l’intérieur de la cellule stimulant l’oxyde nitrique synthase pour produire plus d’oxyde nitrique conduisant en aval à la création de radicaux libres (aka espèces réactives de l’oxygène), il est important à, tout d’abord, limiter autant que possible les expositions aux CEM. Comme le recommande Oram Miller :

Réduisez l’utilisation, augmentez la distance et privilégiez les connexions filaires chaque fois que possible. Vous pouvez mettre votre téléphone portable en mode avion, en vous assurant que le Wi-Fi et le Bluetooth sont désactivés en mode avion, et effectuer la plupart des fonctions de votre téléphone portable sur un appareil câblé différent à l’intérieur de votre maison. Cela inclut les conversations, les SMS, les e-mails, le streaming audio et vidéo et l’utilisation de diverses applications. 66 Apprenez-en plus sur la  radioprotection Bluetooth, WiFi et  des téléphones portables ici.

Deuxièmement, embauchez un spécialiste en rayonnement électromagnétique certifié en biologie du bâtiment pour vous aider à mesurer puis à réduire les CEM dans la maison, par exemple, en protégeant votre maison et votre chambre pour bloquer les RF nuisibles à la santé, éliminant ainsi toute erreur de câblage dans la maison pour réduire les champs magnétiques et réduire les sources d’électricité sale. Lisez à propos des champs électromagnétiques sur le câblage ici.

[Voir les liens dans le dossier 5G et ondes pulsées]

Troisièmement, je dirais que la mise en œuvre de ce que j’ai surnommé « Le programme de régime et de suppléments radioprotecteurs ™ » est essentielle.

Il y a deux suppléments principaux que j’ai utilisés au fil des ans qui ont considérablement réduit ma propre sensibilité aux champs électromagnétiques et ce sont (1) le magnésium, car il agit comme un bloqueur naturel du VGCC, en ce qu’il empêche le calcium de pénétrer dans la cellule, et (2) L-lysine, un acide aminé essentiel, qui agit pour calmer la production d’oxyde nitrique (NO), (alors que l’acide aminé arginine est nécessaire à l’oxyde nitrique synthase pour stimuler la production de NO). En savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la sensibilité électrique ici.

La L-lysine présente l’avantage supplémentaire d’agir de la même manière que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) en ce sens qu’elle se lie aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau pour augmenter les niveaux de sérotonine. Prendre ces deux suppléments avant de se coucher devrait également vous aider à mieux dormir.

« Le programme de régime et de supplément radioprotecteur ™ » est essentiellement :

  • (1) un stimulant du système immunitaire,
  • (2) un anti-inflammatoire,
  • (3) un détoxifiant et
  • (4) un anti-radicaux libres. 

Par conséquent, il se compose d’aliments et de suppléments qui soutiennent ces processus dans le corps. Voici un article sur la protection contre les CEM et la nourriture que vous mangez.

Cela impliquerait de prendre, par exemple :

  • de la poudre de lactosérum biologique dénaturée pour augmenter les niveaux de glutathion (le super antioxydant du corps), qui non seulement atténue les radicaux libres, mais aide également à renforcer le système immunitaire et la détoxification, ainsi que des facteurs de transfert ciblés qui renforcent le système immunitaire en augmentant les cellules tueuses naturelles ;
  • anti-inflammatoires comme le gingembre et le curcuma ;
  • aliments détoxifiants comme les oignons, l’ail et le brocoli ;
  • et les fruits et légumes riches en antioxydants ;
  • sans parler des aliments qui reconstituent les hormones et les neurotransmetteurs perdus du fait de l’exposition aux CEM comme la sérotonine, la mélatonine, la dopamine, l’acide gamma amino butyrique (GABA) et la phényléthylamine (PEA) qui comprennent les bananes (tryptophane), l’ananas (sérotonine), les noix de cajou (sérotonine ), jus de cerise acidulée (mélatonine), lait de riz germé (GABA) et chocolat (PEA).

Un autre supplément que je trouve essentiel pour renforcer le système immunitaire, stimuler la détoxification et guérir les intestins qui fuient (et probablement d’autres barrières qui fuient) sont les minéraux humiques.

Il y a eu un certain nombre de publications sur des sites Web de médias sociaux recommandant des herbes et des suppléments censés être efficaces contre le coronavirus. Par exemple, Ty Bolinger énumère un certain nombre de suppléments et d’herbes que l’on peut prendre dans un article qu’il a publié sur son site Web, la vérité sur le cancer, intitulé « Coronavirus : The Good, the Bad, and the Answers ». 83 Et Doris Loh explique pourquoi la prise de vitamine C protégera et renforcera votre système immunitaire dans deux de ses articles. 84 85 Je sais d’après des recherches antérieures que les CEM et les virus épuisent les réserves de vitamine C, donc en compléter semble être une très bonne idée.

Enfin, je dirais que vous exposer à des CEM bénéfiques via la mise à la terre, et également en utilisant une machine CEMP. Personnellement, j’en utilise un qui a pour moi, je pense, (1) stimule le processus de guérison, (2) réduit l’inflammation et (3) renforce mon système immunitaire. Si cette dernière solution vous intéresse, contactez-moi à EMF Refugee .

Conclusion

La Chine est un grand pays avec une population incroyable qui a fait des progrès étonnants en créant un pays moderne très sophistiqué au cours des dix dernières années, surpassant de nombreux autres pays modernes à bien des égards. Cependant, étant donné les faits que :

1. nous avons des données réelles qui montrent en effet que le rayonnement sans fil a un impact sur le système immunitaire ;
2. nous avons de nombreux patients en dehors de la zone 5G ne présentant aucun ou seulement des symptômes légers,
3. il y a eu récemment 10 000 antennes 5G installées et allumées à Wuhan, sans parler de 130 000 antennes 5G installées dans toute la grande Chine ;
4. des systèmes 5G ont récemment été installés dans de nombreux hôpitaux en Chine, sans parler des nouveaux hôpitaux COVID-19 ;
5. nous constatons un nombre plus élevé d’infections au COVID-19 dans des endroits comme Hangzhou et Wenzhou, sans parler de la Corée du Sud, etc. où ils ont également récemment installé de nombreuses antennes 5G ; et
6. aucun test n’a été effectué pour déterminer les implications biologiques de l’exposition de formes de vie à ce rayonnement ;

nous pouvons conclure que le vrai problème ici pourrait très bien être avec le rayonnement électromagnétique 5G qui affaiblit le système immunitaire des gens, sans parler de rendre éventuellement le virus lui-même plus virulent. Et si cela est vrai et si la Chine ne change pas de cap, la 5G pourrait très bien devenir son – et le reste du Titanic du monde – avec le COVID-19 (et d’autres comme lui) ses icebergs.

C’est peut-être ce dont les gens doivent vraiment commencer à s’inquiéter et il est peut-être temps pour le gouvernement chinois, ainsi que les gouvernements du monde entier d’enquêter sérieusement et de traiter les effets possibles de la 5G sur la santé et de mettre un terme au déploiement prématuré de la technologie 5G jusqu’à ce qu’on puisse prouver qu’elle est sûre (ce dont je doute qu’on puisse faire) et jusqu’à ce que des alternatives plus sûres puissent être développées.

Le gouvernement belge ne l’a jamais mis en œuvre [en date de fin février 2020] et il a été question que le gouvernement suisse suspende le déploiement de la 5G, 87 mais ils semblent maintenant aller de l’avant. 88 Et il semble que, à moins que les gens ne s’en rendent compte, la Chine suivra certainement une voie similaire.

Je suis désolé de devoir gâcher votre défilé électromagnétique ici, mais il se pourrait bien que ce soit votre 5G qui contribue à rendre tout le monde malade.

« Les seules personnes en colère contre vous pour avoir dit la vérité, sont celles qui vivent dans le mensonge.
Continuez à la dire. »

Inconnu

« Toute vérité passe par trois étapes : Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, il est violemment opposé. Troisièmement, il est accepté comme allant de soi. »

Arthur Schopenhauer
[NDLR Cette citation est en fait apocryphe.]

Un grand merci à Paul Doyon pour ce billet d’invité.

[À propos de l’auteur]

Paul Raymond Doyon

Paul Doyon est un chercheur, écrivain, enseignant et éducateur de 33 ans, qui s’est impliqué par inadvertance dans des recherches sur la question des CEM après être tombé malade en 2005, alors qu’il vivait à proximité de plusieurs tours de téléphonie cellulaire. Il a passé 27 ans de sa vie adulte à vivre en dehors de son pays d’origine, les États-Unis, à enseigner l’anglais comme langue étrangère (EFL) et l’anglais comme langue seconde (ESL), principalement à l’université, au collège et dans les écoles internationales.
Paul est praticien en biologie du bâtiment (BBP) et spécialiste des rayonnements électromagnétiques (EMRS) à l’  Institut international de biologie et d’écologie du bâtiment (IBE). Il est également le fondateur du site  EMF Refugee .





La responsabilité des injecteurs du pseudovax examinée en justice

Par Nicole Delépine

Un médecin belge est poursuivi. Et maintenant une infirmière américaine condamnée.

« Une vidéo qui montre L. P Russo injectant le vaccin Covid-19 dans le bras d’un adolescent de 17 ans a suscité l’indignation, vidéo partagée sur TikTok en janvier 2022. L’ancienne enseignante de Long Island a été accusée d’avoir injecté un vaccin COVID-19 à un adolescent chez elle à l’insu de ses parents. Elle a été condamnée à des travaux d’intérêt général et à une période de probation ».1

« Début janvier 2022, les CDC ont annoncé que les enfants de 12 à 17 ans devront faire un rappel de vaccin Covid-19 dans un délai de 5 mois après la première dose de pseudovaccination. Et le Dr Rochelle Walensky a prétendu “c’est un moyen de les protéger contre les complications et les maladies graves”.

Ignorait-il que Fin novembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait rappelé que “les bénéfices d’une vaccination anti covid chez les plus jeunes n’étaient pas encore prouvés, les enfants ne présentant pas de facteurs de risques”.

En janvier 2022, cette ancienne enseignante dans un lycée de Long Island a administré une dose de vaccin Johnson & Johnson à un adolescent de 17 ans, fils d’une de ses connaissances, à l’insu des parents de ce dernier. Elle a été arrêtée sur plainte de la mère de l’ado vacciné sans son accord, et accusée de tentative d’exercice non autorisé de la médecine. Lors de sa comparution devant le tribunal de Mineola, New York, elle a plaidé coupable de “conduite désordonnée”. Évitant une accusation de crime qui aurait pu l’envoyer en prison, elle a été condamnée à des travaux d’intérêt général et à une probation.

« Selon le site Newsday, l’ancienne enseignante a obtenu le vaccin lorsqu’elle a demandé à un pharmacien de lui donner les doses expirées afin de les utiliser comme décoration de Noël. Ce qu’elle a fait constitue un véritable délit et normalement, elle devait encourir une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 4 ans. Mais en plaidant coupable, sa sanction a été allégée. »

Pourquoi ce délire activiste entraînant un adolescent dans sa course ?

Nous n’avons pas la version personnelle de l’infirmière. Cette dérive est emblématique des excès auxquels la mystification COVID-19 orchestrée par l’OMS au service de Bill Gates, Big Pharma et le gouvernement mondial de Schwab et cie, oubliant le serment d’Hippocrate et le code de Nuremberg, aura porté une partie de la population sous hypnose à ne plus accepter la liberté de l’autre à exercer leur droit, leur liberté de refuser des injections expérimentales grevées de complications à court et moyen terme aux conséquences lointaines inconnues.

UN MÉDECIN BELGE ÉTONNÉ DE LA PLAINTE D’UNE PATIENTE POUR INOCULATION SANS CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ.

En Belgique début novembre 2022, un médecin s’étonnait d’être poursuivi :

« Un médecin belge accusé d’avoir inoculé un vaccin “expérimental’“à sa patiente.

Un médecin généraliste exerçant dans le Brabant wallon a reçu une citation à comparaître devant le tribunal de première instance de Nivelles fin septembre 2022, à la suite d’une plainte d’une patiente ayant été vaccinée contre le Covid-19, selon une information publiée par le journal Le Soir.2

La plaignante lui reproche de lui avoir inoculé un vaccin anticovid qui ne disposait que d’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché. La plaignante évoque un “empoisonnement par un produit expérimental, mentionnant des effets secondaires d’ordre neurologique. Elle dit ne pas avoir été informée que le vaccin reçu ne disposait alors que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de la part de l’Agence européenne du médicament (EMA) et estime dès lors que son consentement écrit aurait été nécessaire avant l’injection. Toutefois, comme le rappelle Le Soir, si la loi de 2002 sur le droit du patient prévoit que ce dernier soit correctement informé, il n’y est pas fait mention de consentement écrit.

L’Aviq, l’Agence wallonne pour une vie de qualité, responsable de la campagne de vaccination en Wallonie, est également concernée par cette citation à comparaître. »

LE PIRE : LE REFUS DE SOINS AUX NON-VACCINÉS3

L’accès aux soins est-il différent selon que l’on soit vacciné contre le covid ou pas ? Selon plusieurs patients non-vaccinés, la réponse est oui. Plusieurs patients témoignent avoir été refusés par leur médecin à cause de leur statut vaccinal. Soins dentaires, médecine générale, dermatologie : plusieurs domaines concernés. Inès, non-vaccinée pour des raisons d’ordre médical, s’est ainsi vue refuser un rendez-vous chez son dentiste,

« Il n’est pas question de refuser de soigner quelqu’un pour sa couleur de peau. C’est la même chose ici. On ne peut pas refuser les non-vaccinés. »

« On ne peut pas interdire au médecin d’avoir des convictions. Mais ce n’est pas de la philosophie, c’est de la politique. Et la politique, je suis désolé, mais comme la religion, on doit la mettre de côté quand nous soignons les gens », ajoute Philippe Boxho. Même avis du côté du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO). « On ne peut pas accepter cela. Si on devait exclure tous ceux qui ont des comportements qui nous semblent inadéquats, on exclurait beaucoup de monde », explique Paul de Munck, président du GBO.

COMPORTEMENT TOTALITAIRE INCOMPRÉHENSIBLE DANS UNE DÉMOCRATIE

Par quel miracle, tant de concitoyens “normaux” se sont-ils transformés si rapidement en quelques semaines en agents du KGB ou de la STASI français ? Au début du confinement une amie ayant osé sortir son heure autorisée sur un chemin de campagne s’était fait insulter par une voisine d’une fenêtre, car elle passait “trop près” de la maison. Ça promettait déjà !

Puis les injections ont aggravé ce phénomène chez un certain nombre de personnes dont le comportement est devenu très différent et qu’on commence à bien décrire.4

« Les vaccins endommagent les petits capillaires dans le cerveau, outrepassent la barrière hématoencéphalique et causent des lésions cérébrales généralisées qui conduisent souvent à des changements de personnalité extrêmes.

Chez certains qui reçoivent les injections d’ARNm, la volonté est brisée, ce qui n’est pas exactement un effet secondaire normal d’un ‘vaccin’. Qu’est-ce que ces choses font aux gens pour changer la façon dont leur cerveau fonctionne ? C’était le sujet de la discussion, que vous pouvez suivre intégralement ci-dessous. »

« Les gens, mes collègues qui ont été injectés, pensent de manière beaucoup plus dualiste, beaucoup plus rigide — et si vous connaissez la structure du cerveau, cela a du sens », explique Wolf.

« Lorsque la pensée des gens est plus rigide et que les structures neuronales sont endommagées, cela semble être quelque chose à craindre davantage. Je savais aussi que les gens étaient beaucoup plus en colère et moins capables de réguler leurs émotions — ils réagissaient aux provocations de manière beaucoup plus primaire. Les gens ont également dit que les changements sont affectifs — les gens qui étaient chaleureux et aimants sont devenus froids et distants ou ont coupé les autres. »

UNE TELLE SOUMISSION

Tous ceux qui avaient décodé le mythe covid transformant une grippe banale en fléau mondial ont eu du mal à comprendre comment des collègues médecins, des infirmiers, des kinés ou des pharmaciens, toutes professions autrefois “raisonnables” s’étaient précipités dans l’injection à outrance, omettant le consentement éclairé autrefois sacré et accompagné de rituelles signatures d’épais documents.

Certes, le bénéfice financier ne fut pas étranger à la motivation de certains, mais il ne suffit pas à tout expliquer. Dans les services hospitaliers et les EHPAD le personnel fut certes “contraint”, mais on imagine bien que les équipes qui auraient refusé “en bloc” ensemble, par principe de précaution (inscrit dans la constitution !) auraient alors été écoutées par la direction contrainte et forcée de faire tourner la boutique. Les mondialistes du WEF avaient réussi leur opération “peur, terreur” qui permit tout comme depuis des siècles.

LA PEUR ET LES MOUTONS

Est-ce cela l’explication selon le beau texte extrait de “à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde” par Agnès Beaufeuil ?

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées.

Dociles, maladifs, médiocres”, disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Cet Instinct nous pousse tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, “de manière aveugle et sans réflexion”. Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage. »

Au contraire nous dit plus tard l’auteur :

« Dire “je”, exprimer ses pensées et oser s’opposer à un courant commun qui nous maintient en état de subordination, c’est être capable de s’affirmer dans sa singularité. C’est être soi-même ; c’est avoir reconnu ses qualités comme ses défauts. C’est être authentique, être parvenu à être “soi”, “sans mauvaise foi” dirait Sartre. C’est être acteur de sa vie tout autant que metteur en scène et auteur agissant. C’est vivre une vie de rêve. C’est jouer le jeu de la vie où le “je” et le “jeu” s’entrelacent comme dans une danse joyeuse, ainsi que le disait le philosophe Marc-Alain Ouaknin, avec lequel j’ai eu le plaisir d’échanger cet été, en juillet.C’est aussi recevoir la vie comme un cadeau. C’est pouvoir offrir son bonheur de vivre en partage avec un autre tout aussi libre que moi. C’est être délivré de liens pour pouvoir aller vers l’autre librement, vers toutes ces “brebis perdues”. »

La population qui accepte de se soumettre devrait méditer ce proverbe Géorgien qui rappelle :

« Toute sa vie le mouton a peur du loup et confiance en son berger. Mais à la fin c’est son berger qui le mange. »





REVUE DE PRESSE DU 17 DÉCEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La Cour de cassation s’affranchit du pass

En blanchissant l’afficheur varois, la cour fait pencher la balance du côté de la liberté d’expression, tandis que l’académie de médecine s’obstine dans son incohérence et que les mensonges tiennent lieu d’arguments contre la réintégration des personnels suspendus. Les injections anti-covid ne font plus recette, ce qui amène le pouvoir à se déporter sur un autre vaccin, tout aussi inefficace et dangereux et destiné aux enfants, le Gardasil. Un professeur d’immunologie alerte sur la dangerosité de TOUS les vaccins à ARNm présents et à venir tandis que les morts subites sont décuplées en Allemagne, que les cancers sont cent fois plus nombreux après les vaccins anti-covid qu’après tous les autres vaccins depuis trente ans, et que des députés allemands réclament des autopsies chez les décédés après injections.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Analyse des arguments contre les professionnels suspendus

« Toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.
Le Conseil de l’Ordre des médecins n’est pas conforme à la conception démocratique actuelle et au principe d’une justice moderne, impartiale, indépendante et équitable. »

« La liberté n’est pas qu’un privilège : elle est une épreuve. Nulle institution humaine n’a le droit d’en exempter un homme. »

(PIERRE LECOMTE DU NOÜY La dignité humaine)

Toujours suspendus

« L’exception française… ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elles font sens. »

Domination des élites à travers des mensonges généralisés

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/michel-maffesoli-la-puissance-populaire-ne-se-reconnait-plus-dans-cette-elite

« Le vrai mensonge, c’est ce discours officiel des élites, qui parlent de démocratie, des valeurs républicaines, de laïcité, de contrat social… des mots qui ne veulent plus rien dire/le peuple n’adhère pas à cette incantation » et « la puissance populaire » ne se reconnaît plus « dans cette élite » et « se moque de ses mensonges ». »

Le monde se réveille, et découvre les victimes des injections

« L’injection était une énorme arnaque et il est temps d’aider les victimes de dégâts plutôt que de se cacher. »

Influences et pandémies, expériences hasardeuses et tentations autoritaires

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/michel-cucchi-colonisation-appareil-etatique

« Un livre de 200 pages d’un médecin biologiste non inscrit à l’Ordre : le serment d’Hippocrate a été rompu pendant l’épidémie de coronavirus. »

« En aucun cas, affirme ce fonctionnaire, les données scientifiques ne doivent s’imposer à la conscience du médecin et à la volonté du patient. »

ÉTRANGER

ALLEMAGNE — Décès après injections, des élus exigent des autopsies

https://www.mondialisation.ca/deces-apres-vaccin-covid-des-elus-allemands-exigent-des-autopsies/5673563

« Le monde politique allemand — notamment le vice-président du Parlement — réagit à la suite d’une étude montrant que 30 % des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections. Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques ».

AUSTRALIE — Une ancienne députée fédérale, médecin, parle des effets indésirables qu’elle et sa femme ont subis à la suite des injections

https://dailysceptic.org/2022/12/20/top-australian-doctor-reveals-she-is-vaccine-injured-and-says-doctors-are-being-censored/

« Les blessures causées par les vaccins sont un sujet dont peu de membres de la profession médicale ont voulu parler ».

ROYAUME-UNI — Un député accuse la British Heart Foundation de dissimuler le rôle du vaccin anti-covid dans l’inflammation des artères du cœur

https://www.francesoir.fr/politique-france/royaume-uni-un-depute-conservateur-accuse-la-british-heart-foundation-de

« Le député Andrew Bridgen a affirmé qu’un rapport démontrant la relation entre les problèmes cardiaques et le vaccin ARNm anti-Covid a été supprimé par un cardiologue qui tient un rôle de leadership auprès de cette fondation, accusant celle-ci de dissimuler ces effets du vaccin en raison de liens financiers avec Big Pharma. »

USA sur l’oiseau bleu les spécialistes étaient censurés

https://www.laselectiondujour.com/twitter-files-ce-quon-a-trouve-dans-la-cage-de-loiseau-bleu-n1775/

« La censure tue » selon le Professeur Bhattacharya.

USA, fin de l’obligation vaccinale pour les militaires

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-congres-americain-supprime-l-obligation-vaccinale-pour-les-militaires

« La réintégration des exclus en raison du refus de se faire vacciner restera cependant une décision du Pentagone. »

JUSTICE

Un procès révèle que les rats de mères injectées par Moderna sont nés avec des déformations squelettiques

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/

L’étude de Moderna avait rejeté les anomalies, car « non considérées comme indésirables » !

L’académie de médecine réitère en toute incohérence

https://t.palace.legal/nl3/wwOQPx4ikmrEHt2tfpl0Ow

« La méthode scientifique est violée quant à la façon d’évaluer la sécurité et l’efficacité d’un produit, l’avis se contentant du nombre de doses injectées en moins de deux ans, soit 7,3 milliards, comme si par exemple, le nombre de cigarettes consommées par la population dans les années 50 démontrait leur innocuité. »

Cour de cassation, petite victoire, mais grand symbole

https://t.palace.legal/nl3/bOAfcONZOB2j8gPVC0n7RA

L’afficheur varois est blanchi par la cour, car « les photomontages se sont inscrits dans le débat d’intérêt général et la polémique qui s’est développée au sujet du passe vaccinal contre le virus du Covid. »

https://www.lepoint.fr/justice/macron-en-hitler-l-afficheur-varois-blanchi-par-la-cour-de-cassation-13-12-2022-2501686_2386.php

INJECTIONS

Tous les vaccins à ARNm seront dangereux

https://uncutnews.ch/mrna-covid-injektionen-fuehren-bei-einigen-empfaengern-zu-drastischen-persoenlichkeitsveraenderungen-warum/

Selon le Pr BHAKDI, microbiologiste allemand, tout le danger du vaccin vient de la capacité du système immunitaire à reconnaître le non-soi.

Combien de Français ont-ils été vaccinés de force ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/anti-vax-combien-de-francais-ont-ete-vaccines-de-force

« Aujourd’hui, selon VaccinTracker, seulement 13 % de la population française éligible a accepté de recevoir ses quatre doses. Chez les moins de 40 ans, le ministère annonce moins de 3 % de vaccinés.

Nous vivons donc au milieu de 87 % d’anti-vax, même 97 % chez les moins de 40 ans ».

Et :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribune/bien-moins-de-vaccines-en-france-que-pretend-le-ministere

« En utilisant la population des consommants de l’Assurance Maladie au numérateur ET au dénominateur, on obtient alors une estimation homogène des vaccinés et donc des non-vaccinés. C’est cette méthode qui estime la part des non-vaccinés à 13,9 % de la population. »

Après le Covid, le HPV fait recette au plus haut sommet de l’État

https://www.francesoir.fr/politique-france/emmanuel-macron-ouvert-la-vaccination-obligatoire-des-jeunes-contre-les

« Un vaccin controversé qui, selon des experts, est inefficace et peut causer de graves effets indésirables/selon les Docteurs Nicole et Gérard Delépine, contrairement aux espoirs et simulations statistiques, le nombre de cancers du col utérin a augmenté chez les populations vaccinées. »

ET https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ne-vaccinez-ni-filles-ni-garcons-par-gardasil-un-vaccin-dangereux-et-inefficace

« Le lien de causalité exclusive entre infection à HPV et cancer n’est pas démontré. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Rôle de la protéine S vaccinale dans la neurodégénérescence

« Les résultats globaux suggèrent que la neurodégénérescence est en partie due à l’intensité et à la durée de l’exposition aux protéines de pointe, à l’âge avancé du patient. Des infections répétitives et des injections « vaccinales » répétées expliqueraient cette neurodégénérescence. »

Qui est le plus dangereux, le Covid ou le vaccin ?

« La vaccination double le risque de maladies graves. »

100 fois plus de cancers après injections anti-covid qu’avec tous les vaccins depuis 30 ans

https://adversereactionreport-org.translate.goog/research/govt-database-shows-10000-increase-in-cancer-reports-due-to-covid-vaccines/

« dont un nombre important de cas concernant des jeunes de 12 à 20 ans ».

Les morts subites décuplées en Allemagne

https://sentadepuydt.substack.com/p/mort-subite-multipliee-par-10-en

« Effroyables conclusion : la vaccination Covid est tout simplement une hécatombe
En réalité, la planète entière doit se pencher sur ces données, issues d’un des systèmes de santé les plus fiables aumonde et agir en urgence pour mettre fin à cette tragédie. Toutes les agences de santé et instances de gouvernance en Europe sont tenues de réagir. Ne rien faire, c’est être complice. »

Allemagne — les personnes décédées post injection avec un cœur endommagé

https://lesdeqodeurs.fr/des-personnes-sont-mortes-de-coeurs-endommages-par-un-vaccin-a-arnm-une-nouvelle-etude-allemande-evaluee-par-des-pairs-en-apporte-la-preuve-directe/

« Les vaccins à ARNm provoquent une myocardite, en amenant les cellules immunitaires à attaquer le cœur, ce qui peut entraîner une mort subite par tachycardie ou fibrillation ventriculaire. »

Cause des accidents cardiaques graves chez les sportifs infectés ou injectés

https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/jean-marc-sabatier-sportifs-hypoxie

« L’infection par le Covid19 ou l’injection des vaccins anti-covid provoque dans le corps un dysfonctionnement du système rénine-angiotensine, responsable d’un apport insuffisant d’oxygène dans les cellules et tissus, alors que l’effort physique nécessite une augmentation de la consommation d’oxygène, pouvant occasionner détresse respiratoire et arrêt cardiaque »

RÉSISTANCES

Revue d’actualités de J. D. MICHEL n° 6 du 16 décembre 2022



Une note d’optimisme en conclusion.

CSI n° 83 du 15 décembre 2022

https://crowdbunker.com/v/RZbEKv3y
Invités : Emmanuelle Darles, Docteur en informatique, enseignante chercheuse. Vincent PAVAN, Maitre de conférences, mathématicien.
Sujet : Injections Covid19 : Statistiques depuis les données brutes de l’ANSM.



CSI n° 84 du 22 décembre 2022 « évaluation indépendante de l’action publique »

https://crowdbunker.com/v/RWkeRuq5
Invitée : Hélène STROHL, Ancienne Inspectrice générale des affaires sociales (IGAS) pendant plus de vingt ans.
Sujet : De l’évaluation indépendante de l’action publique à sa normalisation.



On doit retrouver l’esprit critique sur tous les vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/xavier-bazin-esprit-critique-vaccin-covid-et-autres-vaccins

« Le leitmotiv : sortir de la religion vaccinale et regarder les faits. Un ouvrage qui arrive à point nommé alors qu’Emmanuel Macron étudie la possibilité de rendre obligatoire la vaccination des jeunes contre les infections à papillomavirus humains (HPV). »




Protégez vos enfants : ne les injectez pas par ce produit génique inefficace et dangereux

Par Nicole Delépine

Dans un avis publié le 19 décembre 20221, la Haute autorité de santé recommande d’élargir la pseudovaccination contre le Covid à certains enfants âgés de 6 mois à 4 ans :

« Si les parents concernés décident de vacciner leur bébé, ce sera avec un vaccin moins dosé et qui se donne en trois injections.2 C’est une première en France : des bébés seront bientôt vaccinés contre le Covid3 ».

FAUX ! De fait quelques milliers de petits ont été déjà injectés sur avis de leur « spécialiste » les trouvant « à risque » et les vigilants ont eu grand mal à trouver le suivi.

« Coupable d’avoir commis un mensonge d’état par omission d’une gravité exceptionnelle pour les enfants de France, revoilà Adrien Taquet !

Par deux fois au cours de cette interview (*), Taquet, alors Secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, a fait semblant d’ignorer les plus de 4500 enfants de moins de cinq ans et les plus de 20 000 enfants âgés de 5 à 11 ans injectés avec des doses adultes en 2021, avant ses déclarations mensongères.

Alors le Premier ministre, vous l’avez entendu, a parlé de nécessité, je crois, en fin de semaine dernière, il y a déjà eu un avis de la Haute autorité de santé, notamment pour les enfants les plus vulnérables, et d’ailleurs, (la) campagne de vaccination pour ces 360 000 enfants atteints de maladies chroniques, de cancers, débute aujourd’hui…”

Il a déjà été décidé d’ouvrir la vaccination pour les enfants fragiles, ça commence aujourd’hui, ça, c’est une certitude, on attend les décisions des autorités de santé… 4

Avec Christèle Gras-Le Guen, sa complice dans la scandaleuse affaire des injections des sérums Pfizer pour adultes sans AMM perpétrées contre près de 30 000 enfants de France en 2021, au cours du printemps prochain, il va présider les Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant ! Adrien Taquet coprésidera le comité d’orientation des Assises de la Pédiatrie et de la Santé de l’enfant”. »5

Et voici ce que l’on sait enfin en France (sûrement très parcellaire)

« 14 enfants de moins de 5 ans (*) gravement malades (dont un enfant décédé) par suite de l’injection non autorisée d’ARNm de Pfizer en France !!! Ces données “brutes” émanent de l’ANSM et sont rapportées par Emmanuelle Darles et Vincent Pavan. Les médecins qui ont piqué ces enfants gravement handicapés ou décédés — sans autorisation de mise sur le marché de ces pseudo “vaccins” pour les enfants de moins de cinq ans — ont-ils été mis en examen ?

Alors que ces données datent de l’été dernier (rapport publié le 8 septembre 2022), l’ANSM dans son rapport du 24 novembre 2022 continue d’ignorer l’existence des plus de 4512 enfants de moins de 5 ans injectés avec des doses adultes avant la mi-novembre 2021 et tous ceux qui ont été injectés avec des doses adultes et/ou pédiatriques depuis lors. Pourquoi ? Dans ce rapport, l’ANSM évoque 15 enfants de moins de 5 ans gravement atteints après vaccination. Et, comme expliqué, au cours du Conseil Scientifique Indépendant du 15 décembre, les données présentées dans les rapports de l’ANSM concernant les enfants sont sous-estimées par rapport aux données brutes. »6

PFIZER PUBLIE LES EFFETS INDÉSIRABLES RECONNUS7

Effets indésirables

1. Résumé du profil de sécurité

Nourrissons âgés de 6 à 23 mois — après 3 doses

« Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 1 776 nourrissons (1 178 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 598 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 6 à 23 mois. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 570 nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (386 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 184 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,3 mois après la troisième dose.

Les effets indésirables les plus fréquents, chez les nourrissons âgés de 6 à 23 mois ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une irritabilité (> 60 %), une somnolence (> 40 %), une diminution de l’appétit (> 30 %), une sensibilité au site d’injection (> 20 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %).

Enfants âgés de 2 à 4 ans — après 3 doses

Dans une analyse de l’étude 3 (phase 2/3), 2 750 enfants (1 835 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 915 ayant reçu le placebo) étaient âgés de 2 à 4 ans. D’après les données de la période de suivi en aveugle, contrôlé contre placebo, jusqu’à la date limite du 29 avril 2022, 886 enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu les 3 doses du schéma de primo-vaccination (606 vaccinés par Comirnaty 3 microgrammes et 280 ayant reçu le placebo) ont été suivis pendant une durée médiane de 1,4 mois après la troisième dose.

Les effets indésirables les plus fréquents, chez les enfants âgés de 2 à 4 ans ayant reçu une dose quelconque du schéma de primo-vaccination, étaient une douleur au site d’injection et une fatigue (> 40 %), une rougeur au site d’injection et une fièvre (> 10 %). »

2. Liste récapitulative des effets indésirables observés dans les études cliniques et dans le cadre de la surveillance après l’autorisation chez les personnes âgées de 6 mois et plus.

Les effets indésirables observés au cours des études cliniques, énumérés ci-dessous, sont classés selon les catégories de fréquence suivantes :

  • très fréquent (≥ 1/10) ;
  • fréquent (≥ 1/100 à < 1/10) ;
  • peu fréquent (≥ 1/1 000 à < 1/100) ;
  • rare (≥ 1/10 000 à < 1/1 000) ;
  • très rare (< 1/10 000) ;
  • indéterminée (la fréquence ne peut être estimée à partir des données disponibles).
Affections hématologiques et du système lymphatique

  • Peu fréquent : lymphadénopathie 1.
Affections du système immunitaire

  • Peu fréquent : réactions d’hypersensibilité (par exemple éruption 9, prurit, urticaire, angio-œdème 2).
  • Indéterminée : anaphylaxie.
Troubles du métabolisme et de la nutrition

  • Peu fréquent : diminution de l’appétit 10.
Affections psychiatriques

  • Très fréquent : irritabilité 11.
  • Peu fréquent : insomnie.
Affections du système nerveux

  • Très fréquent : céphalées, somnolence 11.
  • Peu fréquent : léthargie.
  • Rare : paralysie faciale périphérique aiguë 3.
  • Indéterminée : paresthésie 4, hypoesthésie 4.
Affections cardiaques

  • Très rare : myocardite 4 et péricardite 4.
Affections gastro-intestinales

  • Très fréquent : diarrhée 4.
  • Fréquent : nausées, vomissements 4.
Trouble de la peau et du tissu sous-cutané

  • Peu fréquent : hyperhidrose ; sueurs nocturnes.
  • Indéterminée : Érythème polymorphe 4.
Affections musculo-squelettiques et systémiques

  • Très fréquent : arthralgies, myalgies.
  • Peu fréquent : douleurs des extrémités 5.
Affections des organes de reproduction et du sein

  • Indéterminée : saignements menstruels importants 12. (Ajout lors de la mise à jour du 06/12/2022)
Troubles généraux et anomalies au site d’administration

  • Très fréquent : douleur au site d’injection 11 ; fatigue, frissons, fièvre 6, gonflement au site d’injection 11.
  • Fréquent : rougeur au site d’injection 8.
  • Peu fréquent : asthénie, malaise, prurit au site d’injection.
  • Indéterminée : gonflement étendu du membre vacciné 3, gonflement du visage 7.

1 : une fréquence plus élevée de lymphadénopathie a été observée chez les participants âgés de 5 à 11 ans dans l’étude 3 (2,5 % contre 0,9 %) et chez les participants âgés de 16 ans et plus dans l’étude 4 (2,8 % contre 0,4 %) recevant une dose de rappel par comparaison avec les participants ayant reçu les 2 premières doses.
2 : la fréquence dans laquelle l’angioœdème a été classé est « rare » ;
3 : sur la période de suivi de la sécurité de l’essai clinique jusqu’au 14 novembre 2020, une paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) a été rapportée chez quatre participants dans le groupe vaccin à ARNm contre la covid 19. La paralysie faciale est apparue le jour 37 après la première dose (ce participant n’a pas reçu la dose 2) et les jours 3, 9 et 48 après la dose 2. Aucun cas de paralysie faciale périphérique aiguë (paralysie de Bell) n’a été rapporté dans le groupe placebo ;
4 : effet indésirable déterminé après autorisation ;
5 : fait référence au bras dans lequel le vaccin a été administré ;
6 : une fréquence plus élevée de fièvre a été observée après la deuxième dose par rapport à la première dose ;
7 : des cas de gonflement du visage chez les personnes vaccinées ayant reçu des injections de produits de comblement dermique ont été signalés lors de la phase post-commercialisation ;
8 : la rougeur au site d’injection est survenue plus fréquemment (très fréquente) chez les enfants âgés de 6 mois à 11 ans ;
9 : la fréquence dans laquelle le rash a été classé est « fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
10 : la fréquence dans laquelle la diminution de l’appétit a été classée est « très fréquent » chez les participants âgés de 6 à 23 mois ;
11 : l’irritabilité, la sensibilité au site d’injection et la somnolence concernent uniquement les participants âgés de 6 à 23 mois ;
12 : La plupart des cas se sont révélés de nature non grave et temporaire. »

CONTRATS PERDUS EN ISRAËL, REFUS DE RÉPONDRE AU PARLEMENT EUROPÉEN

À l’heure où le ministère israélien prétend avoir « perdu » les contrats avec Pfizer8, et que le PDG Bourla de Pfizer refuse de répondre aux questions du parlement européen9, les fraudes, les mensonges apparaissent aux yeux du monde entier. Et en même temps l’accumulation dramatique des effets toxiques, mortalité directe liée à l’injection, mais aussi surmortalité globale (toutes causes confondues) dans les pays injectés fortement, témoignent au minimum d’une baisse immunitaire importante.

En Allemagne, les informations arrivent au Parlement et sur les médias mainstream

« À force de persévérance l’analyste allemand Tom Lausen a marqué un beau coup. Après avoir obtenu et analysé les données de la KVB, l’association des caisses d’assurance maladie, qui comprend 72 millions d’assurés, et constaté le décuplement des “morts subites inexpliquées” en 2021 et 2022, soit depuis le début de la vaccination Covid, l’expert est parvenu à faire remonter son dossier explosif jusqu’au niveau fédéral. »

La conférence de presse du 12 décembre, où il a présenté les données indiquant que les chiffres des décès et de différentes autres maladies sont absolument hors-norme, a été suivie d’une interpellation au parlement fédéral par des députés de l’opposition. Les partis de la majorité sont sur la sellette et contre-attaquent en force.

Entretien avec Tom Lausen :

« Bonjour et merci de partager ces informations ailleurs en Europe, c’est très important. Je vous avoue que depuis la conférence de presse et l’interpellation du député Stichert, c’est assez intense. Hier les députés du Bundestag (le parlement fédéral allemand) ont passé plus d’une heure à se réunir au sein de leurs partis pour décider de la stratégie à adopter en réponse à ce scandale. Ils sont dans une position très embarrassante, car les données de la KVB sont vraiment les plus fiables dont on dispose. Elles consolident les informations de tous les médecins d’Allemagne, à l’exception des données provenant des hôpitaux. »10

DES ÉLUS ALLEMANDS EXIGENT LES AUTOPSIES DES DÉCÉDÉS APRÈS VACCIN

Publié le 14 décembre 2022.

Le monde politique allemand — notamment le vice-président du Parlement — réagit à la suite d’une étude montrant que 30 % des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections.

Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques. Et les chercheurs souhaitent mener d’autres investigations pour lever les nombreuses questions encore en suspens.

Le vice-président du Bundestag Wolfgang Kubicki, également vice-président du FDP (Parti libéral-démocrate), veut que l’on s’intéresse de plus près aux éventuels dommages causés par les vaccins Covid.

« Je pense qu’il est indispensable que tout décès inexpliqué survenant dans les 14 jours suivant une vaccination soit automatiquement enregistré comme cas suspect auprès de l’Institut Paul-Ehrlich. Ce n’est manifestement pas encore le cas », a-t-il déclaré au journal Welt.

Une étude aux résultats inquiétants : le politicien s’est référé à une étude récemment publiée par le Pr Peter Schirmacher, pathologiste en chef de l’hôpital universitaire de Heidelberg : à la suite d’autopsies de personnes décédées peu après avoir été vaccinées, il s’est avéré que la vaccination était la cause dans 30 % des cas.11

COMMENT OSER RECOMMANDER L’INJECTION DES BÉBÉS ?

Bébés qui sont à risque zéro du covid, et singulièrement des plus fragiles alors qu’il est maintenant démontré chez les vieillards que les pseudo vaccins, loin de les protéger, les rendent plus vulnérables à toute agression infectieuse ou autre12.

LA RECOMMANDATION HONTEUSE DE LA HAS CONTRAIRE A TOUT BON SENS MÉDICAL

« Seuls les tout-petits à risque de développer une forme grave de la maladie, ou de décès, seront éligibles à l’injection par le Pfizer et BioNTech ». Cela comprend pour la HAS « les enfants qui ont une de ces comorbidités : les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu), les maladies neurologiques, l’immunodéficience primitive ou induite par médicaments, l’obésité, le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose et la trisomie 21. À cela s’ajoutent les cas de cancer récent, maladie rénale chronique ou handicap neurologique. La vaccination est aussi recommandée aux bébés dont l’entourage est à risque de forme grave du Covid. »

Ajouter le cancer à cette liste est particulièrement choquant quand les démonstrations nombreuses de la multiplication de tumeurs malignes chez les vaccinés, dont beaucoup chez les jeunes, et la récidive précoce des cancers en rémission est devenue explosive. Comment ignorer ces observations cliniques mondiales ? 13

LES MENSONGES SE POURSUIVENT MALGRÉ L’EXPLOSION DES RÉVÉLATIONS INTERNATIONALES

Cet avis de la HAS s’inscrit dans un contexte où très peu d’enfants français sont vaccinés contre le Covid, alors que la vaccination est ouverte aux moins de douze ans depuis la fin 2021. Actuellement, à peine 5 % des enfants de cinq à onze ans sont vaccinés en France.

Le mensonge de la Cour des comptes suivant est impressionnant :

« L’échec de la vaccination des enfants contribue à expliquer les moins bons résultats globaux de la vaccination en France par rapport à l’Italie, à l’Espagne et au Portugal », a noté la Cour des comptes dans un récent rapport sur la vaccination anti-Covid en France.

On se demande d’où la Cour des comptes tire son expertise et son affirmation tellement inexacte. Juge-t-elle le résultat médical d’une vaccination au seul pourcentage de vaccinés sans en regarder les résultats médicaux ? Car presque partout dans le monde, plus on est vacciné plus la mortalité est élevée.

Dans aucun pays la vaccination anticovid ou dite telle n’a présenté de résultats positifs. Partout dans le monde, ce sont les victimes de l’injection qui s’accumulent pour une maladie bénigne et à risque zéro chez le jeune et chez l’enfant, maladie de surcroît curable avec des médicaments sans risque et à faible coût (ivermectine, hydroxychloroquine, macrolides, zinc, etc.).

Nous avons déjà listé les effets secondaires importants chez les enfants qui auraient dû conduire à l’interdiction de ce produit toxique14, selon l’avis de nombreux groupes de professionnels anglais, canadiens, etc..

Chaque jour apparaissent de nouvelles études confirmant les inquiétudes : par exemple cette publication portugaise :

Health chiefs call attention to risks of myocarditis/pericarditis in children “within 14 days of Pfizer Covid jabs”—Portugal Resident 15 :

« Les responsables de la santé attirent l’attention sur les risques de myocardite/péricardite chez les enfants “dans les 14 jours suivant les injections Covid de Pfizer”»

Au Portugal, seul le vaccin Pfizer Cominarty est offert aux enfants : les responsables de la santé ont publié aujourd’hui une nouvelle norme sur le site officiel du pays, recommandant aux professionnels de la santé de rechercher « des signes de myocardite et de péricardite chez les enfants au cours des 14 premiers jours » suivant l’administration du vaccin Pfizer Covid. L’autorité sanitaire fait également remarquer que :

« Dans la mesure du possible, un intervalle de deux semaines devrait être respecté en ce qui concerne l’administration d’autres vaccins, quel que soit le vaccin ».

La « norma » « Vaccination contre le Covid-19 : Cominarty Original/Omicron BA, 4-5 5 10μg/dose® de vaccin — Formulation pédiatrique pour les 5 à 11 ans » fait référence à de « très rares cas » de myocardite et de péricardite qui « ont été observés après la vaccination avec Comirnaty » (…) « le plus souvent après la deuxième dose et chez les garçons les plus jeunes ».

Dans la norme, la DGS appelle également les professionnels de la santé, avant la vaccination, à :

« alerter les parents/tuteurs de consulter immédiatement un médecin si (les enfants) développent des symptômes évocateurs d’une myocardite ou d’une péricardite après la vaccination, tels que des douleurs thoraciques aiguës et persistantes, une dyspnée ou des palpitations. »

« Les données disponibles suggèrent que l’évolution clinique de la myocardite et de la péricardite après la vaccination n’est pas différente de celle de la myocardite et de la péricardite en général, c’est-à-dire qu’elle a généralement une évolution bénigne après le repos et/ou le traitement symptomatique », lit-on dans le document.

« Si ce problème survient après l’administration d’une dose de Comirnaty Original/Omicron BA.4-5® 10μg/dose, l’administration de la dose suivante doit être reportée au moins jusqu’à la résolution complète du tableau clinique et le bénéfice de son administration doit être évalué au cas par cas par le médecin traitant », indique le DGS, Terminant par le conseil que « les effets indésirables les plus fréquents sont d’intensité légère ou modérée et disparaissent quelques jours après la vaccination : douleur au site d’injection, fatigue, maux de tête, frissons, douleurs articulaires, fièvre (plus fréquente après la 2e dose par rapport à la 1re), gonflement et rougeur au site d’injection ».

Comment accepter même de rares myocardites chez l’enfant pour une maladie bénigne et curable par de simples médicaments ? Et affirmer que l’évolution de la péricardite ou de la myocardite sera bénigne relève de Mme Soleil. Les lésions ne sont pas réversibles et les séquelles sont impossibles à estimer sans recul.

La plainte posée par un mouvement de protection des enfants portugais n’a toujours pas reçu de réponse. Alors que les autorités sanitaires admettent essayer d’encourager davantage d’enfants et de jeunes à accepter l’offre de vaccins contre le Covid, le mouvement civique « pelas crianças e jovens na pandemia » a déposé une plainte de 36 pages auprès du bureau du procureur général. Il présente des données qui, selon lui, montrent :

« De graves manquements en matière de sécurité dans la transparence de l’information, la pharmacovigilance et la réglementation des médicaments en ce qui concerne les vaccins Covid-19 chez les enfants et les jeunes au Portugal ».

« Le groupe met en évidence les données de pharmacovigilance envoyées par les autorités de ce pays au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) des États-Unis qui, selon lui, ont été “cachées au niveau national”, mais “qui permettent la détection d’indications graves de problèmes avec les vaccins chez les enfants” »

Sur 116 pages, les différents incidents sont donnés dans leur intégralité — y compris les « évanouissements » d’adolescents décrits dans les premiers jours du déploiement du vaccin, les convulsions, la perte temporaire de la vision, la perte de la fonction motrice, la surdité, la mycocardite, etc.

L’enfant de six ans décédé des suites d’une vaccination en janvier figure dans la liste — à la page 82 — la gravité de la réaction répertoriée comme « mortelle ».

« Ils soutiennent qu’en ne signalant pas pleinement les effets indésirables du vaccin dans ce pays, INFARMED et les autorités sanitaires ont essentiellement “caché” ce qui, dans de nombreux cas, est des situations “scandaleusement graves” »

« Une autre question concerne le consentement éclairé. Le groupe se demande pourquoi les parents ne sont pas “dûment informés… en ce qui concerne le caractère génétique et expérimental de ces vaccins” ; les “effets indésirables possibles déjà connus et leur fréquence” ; “l’absence d’études sur les effets indésirables à long terme” ; “l’absence d’études sur les effets sur la grossesse, l’allaitement, l’embryon et le fœtus ; sur les immunodéprimés, sur la génotoxicité et sur la cancérogénicité”. D’où l’appel au procureur général de la République “pour enquêter sur la vérité factuelle”. »

Au Canada

Pourtant des décès symboliques devraient alerter comme celui de ce canadien de 35 ans, fervent adepte de la vaccination mort subitement…16 ou l’annulation des tournées de Justin Bieber et de Céline Dion peu de temps après leur vaccination et leur exigence de vacciner les spectateurs. Certains parlent de karma…

En France et en Europe, les chiffres cachés apparaissent peu à peu

Surmortalité des enfants européens de moins de 15 ans par rapport aux trois années d’avant vaccination (2020 covid sans vaccin en marron, 2021 en bleu foncé, 2022 en bleu clair)

https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps 17

ATTENTION À CETTE ALERTE :
NE FAITES PAS INJECTER VOS PETITS PAR LE PSEUDO VACCIN COVID
et MÉFIEZ-VOUS DE LA SUITE PRÉVUE À ÉVITER ABSOLUMENT !

« Prévenir les parents

Le vaccin Covid va être associé au ROR et tous les enfants recevront ce combo
Publié le 29 Juillet 2022

Maintenant, ils veulent lier le C19-modRNA avec le ROR — La vaccination obligatoire pour les enfants par la porte dérobée. Dès qu’il sera sur le marché, les autres fabricants retireront complètement leur vaccin ROR normal du marché, et il n’y aura alors que des médicaments de thérapie génique MMR-C19modRNA pour les enfants. Dites-le à tous les parents !18 »

ET OBTENIR LA SUPPRESSION DE TOUTES CES INJECTIONS





Une mafia au pouvoir

[Source : voltairenet.org]

Après Bush, Obama et Biden, rétablir la liberté d’expression en Occident

Par Thierry Meyssan

Les présidents républicain George Bush Jr, et démocrates Barack Obama et Joe Biden ont détruit la liberté d’expression en Occident. Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.

L’Alliance atlantique coordonne sa propagande de guerre comme l’ont montré les mensonges de George Bush Jr et Tony Blair.

Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.

On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.



« Si nous n’avons pas la liberté d’expression, alors nous n’avons tout simplement pas un pays libre. C’est aussi simple que cela », a-t-il déclaré au début de sa vidéo. « Si ce droit le plus fondamental est autorisé à périr, alors le reste de nos droits et libertés s’effondrera comme des dominos. Un par un, ils s’abîmeront ».

Il a réitéré qu’il fallait distinguer
 le droit des plate-formes à l’immunité des contenus s’ils se contentent de les véhiculer sans en prendre connaissance,
 de leur responsabilité s’ils se permettent de les noter ou d’en censurer. Dans ce second cas, ils doivent encourir des poursuites judiciaires au même titre que les auteurs des messages qu’ils diffusent.

« Ces dernières semaines, des rapports explosifs ont confirmé qu’un groupe sinistre de bureaucrates de l’État profond, de tyrans de la Silicon Valley, d’activités de gauche et de médias d’entreprise dépravés ont conspiré pour manipuler et faire taire le peuple américain », a déclaré M. Trump.

« Ils ont collaboré pour supprimer des informations vitales sur tout, des élections à la santé publique (…) Le cartel de la censure doit être démantelé et détruit et cela doit se produire immédiatement », a t-il poursuivi.

1- LE 11-SEPTEMBRE 2001

Le mensonge généralisé a débuté en Occident avec la description des attentats du 11-Septembre 2001 aux États-Unis(([1] « Tout donne aujourd’hui raison à Thierry Meyssan », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 août 2021.)). Dès les premières minutes de l’évènement, des médias, sans mener d’enquête et en l’absence de revendication, ont désigné le coupable. Plus tard dans la journée, une journaliste de la BBC a assuré que la Tour 7 venait de s’écrouler alors qu’on la voyait en arrière plan durant encore quelques minutes.

Ce jour-là, si certains journalistes états-uniens ont décrit avec plus de pertinence et d’esprit critique ce qu’ils voyaient, un seul homme a osé dire à la télévision que ce que racontaient les autorités était faux. C’était le promoteur immobilier Donald Trump pour qui les deux premières Tours ne pouvaient s’être écroulées sous l’effet des avions qui les avaient percutées. Il savait d’autant mieux ce qu’il affirmait qu’il employait à l’époque les architectes qui avaient construit le World Trade Center.

Donald Trump, le 11 septembre 2001.

Donald Trump fut assez avisé pour expliquer que les autorités devaient avoir des motifs de sécurité nationale pour cacher la vérité au public. Six mois plus tard, je n’ai pas eu le même habileté en publiant le best seller mondial L’Effroyable imposture.

De cette période, je me souviens d’une journaliste d’une grande revue états-unienne venue m’interviewer à Paris. Lorsque je lui faisais remarquer que, si les avions avaient fait tomber les tours, elles ne se seraient pas effondrées sur elles mêmes comme lors d’une démolition contrôlée, mais latéralement, elle me répondit qu’elle n’avait pas d’opinion parce qu’elle n’était pas experte en la matière. Je me souviens aussi du rédacteur en chef d’un très grand magazine US qui me téléphona pour m’expliquer qu’il ne pouvait rien publier, mais qu’il me soutenait.

Une chape de plomb venait de s’abattre sur l’Occident. Les années qui ont suivi avec le « remodelage du Moyen-Orient élargi » n’ont été qu’une longue suite de mensonges. On a présenté une opération du Pentagone comme une suite d’interventions contre des dictatures ou dans des guerres civiles. Washington détruisait des peuples pour la bonne cause. On n’a pas renâclé à prétendre que l’Iraq disposait de la troisième force militaire du monde et d’armes de destruction massive ; que Mouamar Kadhafi et Bachar el-Assad étaient des dictateurs, etc.

Ces événements furent le début du Fact Checking. Des médias aux ordres assuraient doctement des choses invraisemblables. Le quotidien Le Monde publia des calculs absurdes assurant que tout était clair et logique. Puis vinrent les insultes. Ceux qui réfléchissaient furent qualifiés de « complotistes » et accusés d’être idéologiquement des extrémistes. Deux grands journalistes publièrent un livre sur commande pour assurer que, s’il n’y avait pas de débris d’un Boeing au Pentagone, c’était que l’avion s’était écrasé en « piquet horizontal » (sic)(([2] L’effroyable mensonge. Thèse et foutaises sur les attentats du 11 septembre, Guillaume Dasquié et Jean Guisnel, La Découvert ( 2002).)). Toutes ces absurdités furent répétées à l’envie.

2- LA CAMPAGNE DE 2016 CONTRE LES JACKSONIENS

Le débat que j’avais initié mondialement fut particulièrement long à débuter aux États-Unis. Il aura fallu, qu’en 2004, un intellectuel réputé, David Ray Griffin, décide d’écrire un livre pour réfuter mes allégations et découvre avec stupeur que j’avais raison.

Un des avocats de Donald Trump au colloque Axis for Peace, organisé par Thierry Meyssan en 2005 à Bruxelles

En 2016, par surprise, Donald Trump s’empara du Parti républicain et fut élu à la présidence des États-Unis. La presse aux ordres a interprété cette élection comme une victoire du populisme sur la raison. Mais pourquoi donc le peuple US suivait-il un tel homme sinon parce qu’il refusait le mensonge dominant ?

Donald Trump étant investi par le Parti républicain, mais n’étant pas républicain pour autant, une vaste campagne bipartisane fut organisée pour détruire son image(([3] « Le dispositif Clinton pour discréditer Donald Trump », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 28 février 2017.)). Elle débuta avant même qu’il n’accède à la Maison-Blanche. Elle fut orchestrée au plan international par David Brock et couta au moins 35 millions de dollars.

Pour la première fois, la presse occidentale décrivait le président élu des États-Unis comme un raciste et appelait à l’éliminer avant qu’il ne fasse trop de dégâts. Durant quatre ans, aucune de ses décisions importantes ne furent relayées dans la presse, uniquement des bruits de couloir sur les chamailleries au sein de son équipe. Avez-vous entendu parler du décret présidentiel excluant la CIA du Conseil de Sécurité ou de l’arrêt du financement des jihadistes ?

On a présenté la politique étrangère du président Trump comme la folie inconséquente d’un seul homme alors qu’il agissait dans la lignée d’une école de pensée, celle du président Andew Jackson. Mais avez-vous entendu parler de lui autrement que comme un raciste ?

3- L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ÉTATS-UNIENNE DE 2020

L’élection présidentielle de 2020 est aussi importante que les attentats du 11-Septembre. La relation qui en est faite n’a aucun rapport avec l’évènement. Le problème n’est pas de savoir qui a triché, ni comment, mais de constater qu’elle n’est pas transparente. Les scrutins de plus de la moitié des votants ont été dépouillés sans répondre aux exigences de transparence d’une démocratie.

Seul le documentaire de The Epoch Times, « The real story of January 6 », montre le moment où la manifestation pacifique devant le Capitole s’est transformée en émeute. On y voit distinctement des policiers balancer un des manifestants du haut d’un des étages afin de le tuer. Nous n’avons pas pu acquérir les droits sur ces images.

Le monde entier a assisté à une élection opaque dans un pays qui prétendait être un exemple de démocratie. Ce que Donald Trump a qualifié de « vol » n’en est peut-être pas car nul ne connaît le résultat réel de ce scrutin. Toujours est-il que cette opacité a abouti à la prise du Capitole par des manifestant pacifiques après que la police ait intentionnellement balancé l’un d’entre eux de plusieurs mètres de haut pour le tuer.

4- LA PANDÉMIE DE COVID-19 DE 2020-21

Lors de la pandémie de Covid-19, les administrations Biden et van der Leyen ont volontairement trompé leurs administrés. Il ont en pleine connaissance de leurs mensonges diffusé des chiffres faux et prétendu que :
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus (ce que les fabricants n’ont jamais affirmé).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants (alors qu’ils ne contractent qu’exceptionnellement cette maladie).
 Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients (alors qu’ils provoquent de graves accidents cardiaques chez des hommes de moins de 40 ans).
 Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux (alors que bien d’autres États ont utilisé des médicaments au premier stade de la maladie ou mis au point leurs propres vaccins).

Le président Joe Biden a menti à ses concitoyens sur la Covid-19 en s’abritant derrière les autorités scientifiques de son département de la Santé.

Certains interprètent ces intoxications comme de l’incompétence, d’autres comme de la corruption par les laboratoires pharmaceutiques. Peu importe : dans un cas comme dans l’autre, l’Occident s’est enfoncé dans le mensonge parce que ses moyens de communication sont censurés.

L’ORGANISATION DE LA CENSURE D’ÉTAT

Les documents de Twitter (Twitter Files) révélés par son nouveau propriétaire, Elon Musk, et les e-mails de l’agence de Santé publique états-unienne (CDC) obtenus par l’association trumpiste America First Legal Foundation(([4] « Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux », Réseau Voltaire, 17 décembre 2022.)) attestent que l’administration Biden a secrètement contrôlé et occasionnellement censuré l’ensemble des messages échangés sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello partout dans le monde. Pour ce faire, Washington a disposé de complicités étrangères. Le président Biden a lui-même mis en place une agence de censure, le « Conseil de gouvernance de la désinformation » (Disinformation Governance Board)(([5] « L’Occident renonce à la liberté d’expression », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 8 novembre 2022.)). Certes, il l’a officiellement dissoute face aux critiques, mais elle poursuit son action sous un autre nom.

Cette agence se consacre à censurer les informations sur les « nationalistes intégraux » ukrainiens(([6] « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.)) et sur les crimes du régime de Zelensky(([7] « Volodymyr Zelensky et l’ethnopolitique », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 13 décembre 2022.)). Elle nous intoxique sur les actions de la Russie et de la Chine, de sorte que nous ne percevons pas le basculement du monde contre l’Occident.

Force est de constater que la progression du populisme est avant tout une réponse populaire à l’extension de la censure d’abord aux USA, puis dans tout l’Occident. La liberté d’expression, et donc la démocratie, est morte, tuée par ceux qui avaient la responsabilité de la protéger.

Les efforts de Donald Trump, s’ils sont couronnés de succès, rétabliront la liberté d’expression, mais pas la démocratie. Il est trop tard. Le monde a changé. Durant ces 20 dernières années, l’égalité minimum entre les citoyens a disparu : les écarts de revenus ont été multipliés par plus de 1000 et les classes moyennes ont partiellement été ruinées.

Dans ces conditions, un nouveau régime politique doit être inventé et il ne pourra se construire dans l’intérêt de tous que si chacun dispose de la liberté d’expression.





Petit cadeau de Noël avant l’heure !

[Source : Bizouskes Stefan Cuvelier]

J’avais hâte de vous le partager ! J’espère que ce cadeau vous plaira ! Belles fêtes de fin d’année ! ❤❤

Stefan Cuvelier




Ne touchez pas à nos enfants

[Source : emmanuelle.darles.fr]

Par Emmanuelle Darles

Depuis le début de la crise sanitaire, pas moins de 48 protocoles sanitaires scolaires se sont succédé provoquant mal-être et souffrance chez les enfants et les adolescents.

La vaccination massive des adolescents a, quant à elle, engendré des drames humains totalement ignorés de façon déloyale par les médias ou les journalistes.

Issu de plus de 18 mois de recherches en science des données, cet ouvrage délivre des indicateurs statistiques sur l’impact physiologique et psychologique des protocoles sanitaires en milieu scolaire et dresse un état des lieux des risques concernant la vaccination anti-Covid19 chez les enfants et les adolescents.

Ce livre est dédié à chaque parent qui s’interroge légitimement et propose un éclairage sur les conséquences des mesures sanitaires gouvernementales sur la santé des enfants et des adolescents.

Télécharger la version numérique

Commander – Version brochée dédicacée




Revue d’actualités par Jean-Dominique Michel

[Source : Jean-Dominique Michel]

Au programme : corruption généralisée ; données alarmantes ; plaintes et démarches ; la sagesse populaire et les mensonges des « élites ».






L’Antipresse, un phare dans la nuit : Interview de Slobodan DESPOT

[Source : kairospresse.be]

Slobodan Despot, traducteur, cofondateur des éditions Xénia, photographe, romancier, fondateur de l’Antipresse, « magazine hebdomadaire destiné à nous faire réfléchir », dont paraîtra dimanche 11 décembre la 367e édition, pense le monde loin des chemins balisés où ne s’expriment plus que conformisme et obéissance. Interview autour de sujets « d’actualité » (Ukraine, Covid, « crise climatique »…), qui dessinent des lignes de fond toujours plus profondes puisque mettant en jeu notre rapport à la vérité et au réel, la façon dont se forment nos connaissances sur ce monde, donc aussi les questions de liberté et de démocratie. Slobodan Despot est un phare dans l’obscurité moderne, lucide, qui partage avec nous ce trait essentiel : la sincérité.






Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Un livre en deux tomes, publié chez Nouvelle Terre

Tome 1

« Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien. »

(Voltaire)

L’approche de la médecine qu’adoptent la plupart des systèmes de soins de santé entraîne l’utilisation de la « médecine » pour traiter les maladies humaines. L’idée que résume la citation ci-dessus de Voltaire, le nom de plume de François-Marie Arouet (1694-1778), sera sans aucun doute regardée comme ne s’appliquant pas aux soins de santé du 21e siècle, en particulier au système qu’on appelle aujourd’hui la médecine moderne.

La raison pour laquelle les gens estimeront qu’une telle idée n’a plus aucune pertinence, c’est qu’ils se fondront sur cette supposition qui veut que la « science médicale » a produit des avancées significatives et que les médecins du 21e siècle possèdent par conséquent une connaissance approfondie, si ce n’est pas même assez complète pour ce qui est des remèdes, des maladies et du corps humain. Il s’agit pourtant là d’une supposition qui est malheureusement fausse comme le présent ouvrage va nous le démontrer.

Tome 2

L’approche de la médecine qu’adoptent la plupart des systèmes médicaux contemporains entraîne généralement l’utilisation de « médicaments » pour venir à bout des maladies humaines. L’idée que résume la citation qui précède sera sans aucun doute regardée comme étant sans rapport avec les soins de santé prodigués au 21e siècle, en particulier ceux qui sont aujourd’hui dispensés dans le cadre de la « médecine moderne ».

La plupart des gens estimeront que ce qui est sous-entendu dans cette citation s’applique à des temps révolus, s’appuyant ainsi sur l’hypothèse selon laquelle la « science » médicale a produit des avancées significatives : les médecins du 21e siècle posséderaient par conséquent une connaissance approfondie, si ce n’est même plutôt complète des domaines que recouvrent respectivement les médicaments, les maladies et le corps humain.

Rien ne saurait cependant être plus éloigné de la vérité comme ce deuxième et dernier tome du présent ouvrage va continuer de nous le démontrer, cette hypothèse ayant manifestement et contre toute attente échappé — et ce, depuis fort longtemps ! — au tamis de la déduction et de l’expérience.

[Voir aussi :
Un nouveau paradigme médical
et le dossier Vaccins et virus]




Le vaccin COVID-19 de Pfizer lié à la coagulation du sang, selon la FDA

[Source : crashdebug.fr]

[Illustration : Nathan Howard/Getty Images]

Zachary Stieber

Par Zachary Stieber

Le vaccin COVID-19 de Pfizer a été lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées, selon la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

Les chercheurs de la FDA, qui ont analysé les données d’une base de données de personnes âgées aux États-Unis, ont constaté que l’embolie pulmonaire — la coagulation du sang dans les poumons — avait atteint le seuil initial d’un signal statistique et continuait de répondre aux critères après une évaluation plus approfondie.

Selon les chercheurs, trois autres résultats intéressants — un manque d’oxygène au niveau du cœur, un trouble des plaquettes sanguines appelé thrombocytopénie immunitaire et un autre type de coagulation appelé coagulation intravasculaire — ont initialement déclenché des signaux d’alarme. Des évaluations plus approfondies, telles que des comparaisons avec des populations ayant reçu des vaccins contre la grippe, ont montré que ces trois cas n’atteignaient plus les seuils statistiques d’un signal.

Les chercheurs ont examiné les données concernant 17,4 millions d’Américains âgés qui ont reçu un total de 34,6 millions de doses de vaccin entre le 10 décembre 2020 et le 16 janvier 2022.

L’étude a été publiée dans la revue Vaccine le 1er décembre.

La FDA a déclaré qu’elle ne prenait aucune mesure concernant les résultats parce qu’ils ne prouvent pas que les vaccins sont à l’origine de l’une ou l’autre des quatre conséquences, et parce que les conclusions « sont toujours en cours d’investigation et nécessitent une étude plus solide ».

Le Dr Peter McCullough, conseiller médical en chef de la Fondation Truth for Health, a déclaré à The Epoch Times par courrier électronique que le nouveau document « corrobore les préoccupations des médecins selon lesquelles la forte augmentation des caillots sanguins, la progression des maladies cardiaques athérosclérotiques et les troubles sanguins sont indépendamment associés à la vaccination par le COVID-19 ».

Pfizer n’a pas répondu à une demande de commentaire.

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Un piéton passe devant le siège de Pfizer à New York, dans une photo d’archive.
(Jeenah Moon/Getty Images)

Comment la recherche a été effectuée

Les chercheurs de la FDA, avec l’aide de chercheurs des Centers for Medicare & Medicaid Services (CMS), ont analysé les données de la base CMS. Ils ont inclus les bénéficiaires de Medicare Fee-for-Service âgés de 65 ans ou plus qui ont reçu un vaccin dans le délai imparti, qui ont été inscrits lorsqu’ils ont été vaccinés et qui ont été inscrits pendant une « fenêtre propre » de temps avant la vaccination. Cette fenêtre était de 183 jours ou 365 jours, selon le résultat.

Environ 25 millions de personnes bénéficient du système Medicare Fee-for-Service, mais seulement 17 millions environ ont été vaccinées pendant la période étudiée.

Les chercheurs ont utilisé des tests de probabilité pour détecter un risque accru d’un ou plusieurs des 14 résultats après la vaccination. L’objectif était de voir si la vaccination pouvait augmenter le risque d’effets indésirables, tels que l’embolie pulmonaire, ou la formation de caillots sanguins dans les poumons. Si un résultat atteignait un certain seuil statistique, cela signifiait qu’il pouvait augmenter le risque.

Les premiers résultats de la surveillance de la sécurité ont détecté un risque accru de quatre événements, a annoncé la FDA le 12 juillet 2021. Il s’agit des mêmes quatre événements décrits dans le nouveau document, qui constitue la première mise à jour de l’agence sur le sujet depuis son annonce.

Au 15 janvier 2022, 9.065 cas de manque d’oxygène au cœur — connus sous le nom d’infarctus aigu du myocarde — ont été détectés, ont révélé les chercheurs dans la nouvelle étude. À la même date, 6.346 cas d’embolie pulmonaire, 1.064 cas de thrombocytopénie immunitaire et 263 cas de coagulation ont été détectés.

Un des tableaux du nouveau document.

L’analyse primaire a montré un signal de sécurité pour les quatre résultats. Les chercheurs ont essayé d’ajuster les chiffres en utilisant différentes variables. Par exemple, à un moment donné, ils ont ajusté la variation des taux de base, ou les taux de chaque résultat dans la population générale avant la pandémie. Après certains ajustements — pas tous — l’infarctus du myocarde, la thrombocytopénie immunitaire et la coagulation intravasculaire ont cessé d’être statistiquement significatifs.

L’embolie pulmonaire, en revanche, est restée statistiquement significative, ont indiqué les chercheurs. L’embolie pulmonaire est une affection grave qui peut entraîner la mort.

Les limites de l’étude incluent la possibilité de faux signaux et de signaux manqués dus à des facteurs tels que des paramètres mal spécifiés.

Les conditions qui n’ont pas déclenché de signal comprenaient l’accident vasculaire cérébral, l’inflammation cardiaque et l’appendicite.

Les signaux n’ont été détectés qu’après la vaccination par Pfizer. Les analyses des signaux après la réception des vaccins Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas révélé de problèmes.

Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

Effets secondaires

Les trois vaccins ont été associés à un certain nombre d’effets secondaires. Des experts du monde entier ont confirmé que l’inflammation cardiaque est liée aux vaccins Moderna et Pfizer, tandis que le vaccin de Johnson & Johnson a été associé à des caillots sanguins.

D’autres pathologies, telles que l’embolie pulmonaire, ont été signalées aux autorités et décrites dans des études, bien que certains articles n’aient constaté aucune augmentation du risque après la vaccination.

Environ 4.214 rapports d’embolie pulmonaire post-vaccination, dont 1. 886 après réception du vaccin de Pfizer, ont été signalés au U.S. Vaccine Adverse Event Reporting System en date du 9 décembre.

À la même date, 1.434 rapports d’infarctus du myocarde post-vaccination, dont 736 après réception du vaccin Pfizer, 469 rapports de thrombocytopénie immunitaire post-vaccination, dont 234 après réception du vaccin Pfizer, et 78 rapports de coagulation intravasculaire post-vaccination, dont 42 après réception du vaccin Pfizer, ont été signalés.

Les rapports au système peuvent être faits par n’importe qui, mais la plupart sont déposés par des travailleurs de la santé, selon les études. Le nombre de rapports est un sous-dénombrement, selon les études.

La nouvelle étude indique que la FDA « croit fermement que les avantages potentiels de la vaccination contre le COVID-19 l’emportent sur les risques potentiels de l’infection par le COVID-19. » Aucune preuve n’a été citée à l’appui de cette conviction.

La FDA doit rencontrer son groupe consultatif sur les vaccins en janvier 2023 au sujet de l’avenir des vaccins COVID-19, car les vaccins ont été beaucoup moins performants contre Omicron et ses sous-variantes.

McCullough a déclaré à The Epoch Times : « Une des lacunes du système de surveillance de la CMS est qu’il n’a pas saisi les infections antérieures et ultérieures au SRAS-CoV-2 qui accentuent le risque cumulatif de la vaccination COVID-19. Étant donné le grand nombre d’individus qui ont été vaccinés, la fraction attribuable à la population des problèmes médicaux attribués aux vaccins est énorme. Je m’inquiète de la charge future que représentera pour le système de santé la vaccination massive et indiscriminée contre le COVID-19. »

Source : Theepochtimes.com




Comment le CDC ment sur la sécurité de l’aluminium dans les vaccins

[Source : jeremyrhammond.com]

Par Jeremy R. Hammond — 8 décembre 2022

[Traduction : Jean Bitterlin]

L’affirmation du CDC selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par son programme de vaccination est « sûre » équivaut à une fraude scientifique.

Sommaire :

  1. Introduction
  2. Les raisons de la présence de l’adjuvant aluminium
  3. Absence de groupes témoins placebo et « effets non spécifiques » des vaccins
  4. La « limite de sécurité » de la FDA pour l’exposition à l’aluminium par rapport au calendrier des vaccins
  5. Le « niveau de risque minimal » falsifié de la FDA pour l’aluminium
  6. Aluminium injecté comparé à l’aluminium ingéré
  7. Ignorer la toxicité des particules d’aluminium
  8. Conclusion

1. Introduction

L’une des préoccupations légitimes qu’ont de nombreux parents au sujet de l’adhésion au programme de vaccination systématique des enfants recommandé par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) est que de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium, qui est utilisé comme « adjuvant ».

Sur une page de son site web titré Adjuvants and Vaccines, le CDC explique les raisons de la présence de l’aluminium en disant, « Un adjuvant est un ingrédient utilisé dans certains vaccins qui permet d’obtenir une réponse immunitaire plus forte chez les personnes recevant le vaccin. En d’autres mots, les adjuvants permettent aux vaccins de mieux fonctionner.

Pour rassurer le public, le CDC déclare que « les sels d’aluminium, tels que l’hydroxyde d’aluminium, le phosphate d’aluminium et le sulfate d’aluminium ont été utilisés en toute sécurité depuis plus de 70 ans ». Le CDC dit que les vaccins qui contiennent de l’aluminium « sont testés pour la sécurité et l’efficacité dans des essais cliniques avant qu’ils ne soient autorisés à être utilisés aux États-Unis » et qu’ils sont « surveillés en permanence par le CDC et la FDA une fois qu’ils ont été approuvés ».

La page a été récemment mise à jour pour tenir compte du fait qu’une étude du CDC publiée en septembre 2022 a révélé « une association positive entre l’aluminium cumulé associé aux vaccins avant l’âge de 24 mois et l’asthme persistant entre l’âge de 24 et 59 mois chez les enfants avec et sans eczéma ». Pour les enfants atteints d’eczéma, le résultat était une augmentation de 26 % du risque d’asthme pour chaque tranche de 1 000 microgrammes (NdT :1 millième de gramme) d’aluminium reçu par vaccination.

Cependant, le CDC minimise ces résultats en décrivant l’étude comme ayant trouvé une association « possible », même si le risque accru d’asthme chez les enfants avec et sans eczéma était statistiquement significatif et que les auteurs de l’étude eux-mêmes reconnaissent qu’une « association positive » a été trouvée. Le CDC décrit en outre l’association entre les vaccins contenant de l’aluminium et un risque accru d’asthme comme un simple signal de sécurité « potentiel », plutôt que de reconnaître qu’il s’agit d’un signal de sécurité existant.

Minimisant ainsi le risque accru d’asthme associé à l’exposition à l’aluminium des vaccins, le CDC persiste dans sa politique et dans son affirmation de longue date selon laquelle « la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme ».

« Des recherches scientifiques antérieures ont montré que la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme. »

Pour étayer son affirmation selon laquelle les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés dans le cadre du programme de vaccination systématique des enfants sont « faibles » et que l’aluminium est facilement éliminé de l’organisme sans provoquer d’effets toxiques, le CDC cite une étude réalisée par des chercheurs de la Food and Drug Administration (FDA). Cette étude, menée par Robert J. Mitkus et coll. et publiée dans la revue Vaccine en 2011, est intitulée « Updated aluminum pharmacokinetics following infant exposures through diet and vaccination » (Mise à jour de la pharmacocinétique de l’aluminium après l’exposition des nourrissons par l’alimentation et la vaccination).

La FDA cite également l’étude de Mitkus et coll. comme ayant montré que :

« Le risque pour les nourrissons induit par l’exposition totale à l’aluminium reçue de toute la série recommandée de vaccins infantiles au cours de la première année de vie est extrêmement faible ».

Cependant, cette étude ne soutient pas les affirmations du gouvernement sur la sécurité des vaccins. En effet, les affirmations des CDC et de la FDA servent à illustrer le manque total de fiabilité de l’establishment de « santé publique ».

En réalité, l’aluminium est une neurotoxine connue qui s’accumule dans les tissus et les organes, y compris le cerveau, et qui cause vraisemblablement des dommages neurologiques aux enfants aux niveaux cumulatifs auxquels les enfants sont exposés par le calendrier de vaccination systématique des enfants du CDC.

Les inquiétudes concernant les effets toxiques potentiels sur les enfants ont été soulevées dans la littérature médicale, mais le CDC sélectionne les données pour soutenir ses politiques, comme l’illustre la façon dont il cite l’étude de la FDA tout en ignorant délibérément d’autres recherches démontrant les graves erreurs commises par Mitkus et coll. dans leur analyse.

En effet, le fait que ces agences de « santé publique » s’appuient sur l’étude de la FDA pour prouver que l’aluminium contenu dans les vaccins est « sûr » relève de la fraude scientifique pure et simple.

2. Les raisons de la présence de l’adjuvant aluminium

Comme nous l’avons vu, le CDC indique que l’objectif d’un adjuvant est d’aider les vaccins à « mieux fonctionner » en créant « une réponse immunitaire plus forte ».

Ce que le CDC veut dire, c’est que l’ajout d’un adjuvant fait en sorte que le vaccin suscite une réponse immunitaire plus inflammatoire (elicit a more inflammatory immune response), ce qui entraîne l’induction d’un niveau plus élevé d’anticorps circulants (induction of a higher level of circulating antibodies). Cela permet ensuite aux sociétés pharmaceutiques d’obtenir le niveau d’anticorps requis par la FDA pour être considéré comme suffisamment immunogène et donc pour obtenir l’homologation de leurs produits.

Par exemple, dans son document « Summary Basis of Approval (Résumé des motifs d’approbation) » de 1997 pour le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche acellulaire (DTaP) de GlaxoSmithKline, vendu sous le nom commercial Infanrix et comprenant 0,5 milligramme (mg) — ou 500 microgrammes (μg) — d’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant, la FDA a noté que :

En l’absence d’un corrélat de laboratoire ou sérologique de protection contre la coqueluche, il a été demandé au promoteur de démontrer que les réponses en anticorps aux antigènes coquelucheux chez les enfants américains recevant Infanrix en série primaire de trois doses étaient comparables aux réponses des enfants italiens et allemands immunisés dans les études d’efficacité.

La FDA a souligné une nouvelle fois qu’aucun des tests utilisés pour la mesure des anticorps « n’a montré de corrélation avec la protection » contre la coqueluche. La notice actuelle d’Infanrix (package insert) indique également « qu’un corrélat sérologique de protection contre la coqueluche n’a pas été établi », ce qui signifie qu’il n’existe aucun niveau spécifique d’anticorps dont la corrélation avec la protection immunitaire contre la maladie a été démontrée.

Selon l’agent pathogène et l’individu, avoir un niveau élevé d’anticorps ne signifie pas nécessairement que la personne est protégée contre la maladie, et avoir un faible niveau d’anticorps ne signifie pas nécessairement que la personne n’est pas immunisée. La FDA a néanmoins accepté les mesures du taux d’anticorps comme mesure de substitution de l’immunité (a surrogate measure of immunity) aux fins de l’homologation des vaccins.

3. Absence de groupes témoins placebo et « effets non spécifiques » des vaccins

Pour rassurer le public, le CDC déclare que les adjuvants à base d’aluminium ont été utilisés « en toute sécurité » dans les vaccins depuis plus de 70 ans. Mais cette déclaration est pratiquement dénuée de sens. Ce n’est pas parce que l’aluminium est utilisé comme adjuvant dans les vaccins depuis tant de décennies que ces vaccins n’ont pas provoqué d’effets indésirables chez les enfants. Cette déclaration du CDC pose simplement la question.

Le CDC affirme également qu’il surveille continuellement la sécurité des vaccins après leur homologation par la FDA, mais les données de surveillance post-commercialisation ne remplacent pas les études de sécurité correctement conçues.

Comme le notent les auteurs d’un article (article) publié dans le Journal of Pharmacy and Pharmacology en mars 2015, « l’adjuvant le plus utilisé, l’alun, est utilisé depuis près de 90 ans, mais son mécanisme d’action reste mal compris. De plus, si l’alun produit une puissante réponse anticorps Th2, il ne provoque pas la réponse immunitaire cellulaire nécessaire à l’élimination des infections intracellulaires ou des cancers. »

« L’adjuvant le plus utilisé, l’alun, l’est depuis près de 90 ans, mais son mécanisme d’action reste mal compris. »

Les auteurs de l’étude des CDC établissant un lien entre les vaccins avec adjuvant et l’asthme ont reconnu la possibilité que « l’exposition à l’aluminium par le biais de la vaccination puisse produire un profil immunitaire biaisé vers les cellules Th2 et éloigné des réponses immunitaires des cellules T helper 1 (Th1) ». Cette inclinaison du système immunitaire vers une réponse anticorps au détriment d’une immunité cellulaire déséquilibrée pourrait éventuellement « augmenter le risque de maladies allergiques telles que l’asthme ».

En effet, comme le notent les auteurs d’une critique (review) publiée en 2005 dans l’European Respiratory Journal, « des preuves expérimentales substantielles soutiennent désormais l’idée que les maladies allergiques sont caractérisées par une déviation du système immunitaire vers un phénotype de cellules T auxiliaires de type 2 (Th2). » Comme l’ont observé de manière similaire les auteurs d’une critique intitulée « Immunité des cellules T CD4+ néonatales déséquilibrées (Unbalanced neonatal CD4+ T-cell immunity) et publiée dans Frontiers in Immunology en 2014, le développement de l’asthme est connu pour être associé à « une réponse immunitaire biaisée par les Th2 ».

Les CDC rassurent néanmoins le public en affirmant que tous les vaccins contenant de l’aluminium « sont testés pour leur sécurité et leur efficacité lors d’essais cliniques avant d’être autorisés à être utilisés aux États-Unis ».

Toutefois, cela ne signifie pas que l’innocuité et l’efficacité de ces vaccins ont été testées dans le cadre d’essais randomisés contrôlés par placebo.

Si l’on reprend l’exemple d’Infanrix, le document « Résumé des Motifs d’Approbation de la FDA » révèle qu’aucun placebo inerte n’a été utilisé. Au lieu de cela, la FDA a déterminé que le vaccin DTaP était « sûr » en se basant sur une comparaison des événements indésirables survenus après l’administration de l’ancien vaccin anticoquelucheux à cellules entières (DTP), qui a été retiré du marché aux États-Unis précisément parce qu’il était plus « réactogène » (more « reactogenic »), ce qui a suscité l’inquiétude des parents au sujet des blessures causées aux enfants par le vaccin. (souligné par le traducteur !)

Ce sont en grande partie les procès pour blessures vaccinales intentés aux fabricants du vaccin DTC (NdT : diphtérie, tétanos, coqueluche) qui ont conduit le gouvernement américain à adopter, en 1986, une loi accordant une large immunité juridique aux fabricants contre les procès pour blessures vaccinales et établissant le Programme d’indemnisation des victimes de vaccins (Vaccine Injury Compensation Program—VICP) afin de transférer la charge financière des blessures vaccinales de l’industrie pharmaceutique vers les consommateurs contribuables.

Le vaccin DTC est encore très largement utilisé dans les pays en développement, où des études sur les « effets non spécifiques » des vaccins, terme qui désigne les conséquences involontaires, bénéfiques ou néfastes de la vaccination, ont montré que le vaccin était associé à un taux accru de mortalité infantile. Comme le soulignent les principaux chercheurs dans ce domaine dans une étude publiée en 2017 dans la revue EBioMedicine du Lancet :

« Il faut s’inquiéter du fait que l’effet des vaccinations de routine sur la mortalité toutes causes confondues n’a pas été testé dans des essais randomisés. Toutes les données actuellement disponibles suggèrent que le vaccin DTP pourrait tuer plus d’enfants d’autres causes qu’il n’en sauve de la diphtérie, du tétanos ou de la coqueluche (souligné par le traducteur). Bien qu’un vaccin protège les enfants contre la maladie cible, il peut simultanément augmenter la sensibilité à des infections non liées »

(remarque du traducteur : cette affirmation — que le vaccin protège contre la maladie cible — n’est étayée par aucune étude scientifique).

Cet effet non spécifique préjudiciable s’est avéré vrai pour les vaccins « non vivants » en général (true for “non-live” vaccines generally), qui sont les types de vaccins qui contiennent généralement de l’aluminium comme adjuvant, et l’effet est particulièrement prononcé chez les enfants de sexe féminin. (Les vaccins à virus « vivants » atténués, comme le vaccin contre la rougeole, ne nécessitent pas d’adjuvant pour induire une réponse immunitaire suffisante, car l’exposition à l’antigène du vaccin ressemble davantage à l’exposition au virus viable entier de l’infection naturelle).

« Il est préoccupant de constater que l’effet des vaccinations systématiques sur la mortalité toutes causes confondues n’a pas été testé dans des essais randomisés »

Le document de la FDA relatif à Infanrix décrit curieusement un essai d’efficacité du vaccin DTC comme ayant été « contrôlé par placebo », mais il n’y a aucune mention d’un groupe de contrôle placebo. Au lieu de cela, le « placebo » qui a manifestement été utilisé était le vaccin DTC.

Le problème de l’utilisation courante de substances biologiquement réactives à la place d’un véritable placebo se reflète dans le titre d’une étude publiée dans Annals of Internal Medicine : « Qu’y a-t-il dans les placebos ? Qui sait ? Analyse d’essais contrôlés randomisés » (What’s in Placebos: Who Knows? Analysis of Randomized Controlled Trials). Cette étude soulignait que la plupart des études « ne divulguaient pas la composition du placebo de l’étude » et « qu’aucune réglementation ne régit la composition des placebos, ce qui peut influencer les résultats des études ».

Bien entendu l’utilisation d’un autre vaccin contenant de l’aluminium comme « placebo » pour déterminer la prétendue innocuité d’un autre vaccin contenant de l’aluminium dissimulera le véritable taux de fond d’effets indésirables après la vaccination, ce qui permettra au produit pharmaceutique d’être qualifié « d’inoffensif » par la FDA.

Au lieu d’essais randomisés contrôlés par placebo démontrant l’innocuité à long terme des vaccins contenant de l’aluminium, les chercheurs doivent se fier à des études toxicologiques ou à des études d’observation post-commercialisation.

Cependant, comme l’a reconnu (acknowledged) en 2015 le directeur du Bureau de la sécurité des vaccinations des CDC, Frank DeStefano, « aucune étude épidémiologique de grande envergure n’a examiné spécifiquement les associations entre les problèmes de santé » et les adjuvants à l’aluminium.

D’où le fait que le CDC s’appuie sur l’étude de Mitkus et coll. réalisée par la FDA pour étayer son affirmation sur la prétendue sécurité des vaccins contenant de l’aluminium.

4. La « limite de sécurité » de la FDA pour l’exposition à l’aluminium par rapport au calendrier des vaccins

L’Agence de Protection de l’Environnement (en anglais Environmental Protection Agency ou EPA) a établi un niveau maximal de contamination (maximum contaminant level for aluminum) pour l’aluminium dans l’eau potable de 0,05 à 0,2 milligramme par litre (mg/L), et la propre limite maximale « sûre » de la FDA pour l’eau potable est de 0,2 milligramme par litre, soit 200 microgrammes par litre (µg/L).

En vertu de la réglementation fédérale (federal regulations), pour les médicaments ou thérapies administrés en grande quantité par voie parentérale, c’est-à-dire sans passer par le tube digestif (par exemple par injection intramusculaire ou intraveineuse), la FDA a fixé une limite maximale « sûre » de 25 microgrammes par litre (µg/L).

Ces produits doivent inclure dans leur notice un avertissement indiquant que la teneur en aluminium « peut être toxique » et que « Les recherches indiquent que les patients dont la fonction rénale est altérée, y compris les nouveau-nés prématurés, qui reçoivent par voie parentérale des doses d’aluminium supérieures à 4 à 5 µg/kg/jour accumulent de l’aluminium à des niveaux associés à une toxicité pour le système nerveux central et les os. Une charge tissulaire peut se produire à des taux d’administration encore plus faibles. »

L’Agence pour les Substances Toxiques et le registre des Maladies (en anglais «Agency for Toxic Substances and Disease Registry ou ATSDR»), un département supervisé administrativement par le directeur du CDC et fonctionnant aux côtés du CDC et de la FDA sous les auspices du Department of Health and Human Services (HHS), a également défini un “niveau de risque minimal” (en anglais MRL) pour l’aluminium, qui est ‘une estimation de l’exposition humaine quotidienne à une substance qui est susceptible d’être sans risque appréciable d’effets néfastes (non cancérigène) sur une durée d’exposition spécifiée’.

Le niveau « sûr » pour une « exposition orale chronique (365 jours ou plus) à l’aluminium », selon l’ATSDR, est de 1 mg/kg/jour. C’est ce « niveau de risque minimal » estimé qui a servi de base aux calculs effectués par Mitkus et coll.

Le premier point à souligner concernant la tromperie du CDC est la façon dont il présente cette étude comme ayant examiné « la quantité d’exposition à l’aluminium chez les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé », alors qu’en fait l’étude était limitée aux seules doses de vaccin administrées aux nourrissons pendant leur première année de vie. Les enfants qui suivent le calendrier des CDC continuent à recevoir des vaccins contenant de l’aluminium après leur premier anniversaire, de sorte que la déclaration des CDC est trompeuse. Mais c’est la moindre des tromperies des CDC.

En utilisant le calendrier de 2011, Mitkus et coll. ont examiné « les combinaisons potentielles de vaccins infantiles de routine autorisés par la FDA » pour « déterminer les doses maximales d’aluminium qu’un enfant pourrait recevoir au cours d’une année ».

Le premier jour de leur vie, les nourrissons reçoivent généralement 0,25 mg d’aluminium provenant du vaccin contre l’hépatite B (HepB).

À l’âge de deux mois, puis à nouveau à l’âge de quatre mois, ils peuvent recevoir une dose de vaccin contre l’hépatite B, de vaccin DTaP, de vaccin antipoliomyélitique inactivé (VPI), de vaccin contre l’Haemophilus influenzae de type B (Hib) et de vaccin antipneumococcique (VPC), ce qui, selon les marques choisies, peut entraîner une exposition à 1,2 mg d’aluminium à chacune de ces deux visites chez le médecin.

À l’âge de six mois, les enfants pourraient recevoir le HepB (Hépatite B), le DTaP (Diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) l’IPV (Polio inactivé) et le PCV (Pneumocoque), ce qui entraînerait une exposition à l’aluminium pouvant atteindre 0,975 mg.

Lors de leur visite médicale d’un an, les enfants pourraient recevoir le Hib (Haemophilus influenza type b), le PCV et le vaccin HepA (Hépatite A), ce qui représente une exposition à l’aluminium de 0,6 mg.

L’étude fournit le tableau suivant résumant la quantité maximale d’aluminium à laquelle les nourrissons étaient exposés au cours de leur première année de vie selon le calendrier vaccinal du CDC en 2011 :

Tableau 1

Séquence d’administration des vaccins conduisant à une exposition maximale à l’aluminium chez les nourrissons au cours de leur première année de vie. Basé sur le calendrier de vaccination de l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices—Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation).

Vaccin Âge de l’enfant (jours) Teneur en aluminium
Hep B 0 0,25
DTaP + Hep B + IPV +Hib + PCV 60 1,2
DTaP + Hep B + IPV + Hib + PCV 120 1,2
DTaP + Hep B + IPV + PCV 180 0,975
Hib + PCV + Hep A 365 0,6

La FDA et les CDC nous assurent que cette exposition cumulée à l’aluminium que les enfants suivant le calendrier pourraient recevoir au cours de leur première année de vie — jusqu’à 4 225 microgrammes — représente une « faible » quantité d’aluminium qui est totalement « sans danger ». Cependant, comme l’indique un examen des preuves disponibles sur les adjuvants de l’aluminium et l’autisme publié dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology en avril 2021 (a review), cette étude « était sérieusement défectueuse ». Nous allons maintenant examiner en détail les principales erreurs de l’étude pour illustrer comment l’allégation de sécurité du gouvernement est scientifiquement frauduleuse.

5. Le « niveau de risque minimal » falsifié de la FDA pour l’aluminium

Comme on l’a vu, la conclusion des chercheurs de la FDA selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par les vaccins administrés au cours de la première année de vie présente un « risque extrêmement faible pour les nourrissons » était fondée sur un « niveau de risque minimal » fixé par l’ATSDR à 1 mg/kg/jour, et les expositions inférieures à ce niveau sont considérées comme « sûres » par la FDA.

En utilisant cette limite « sûre », les chercheurs de la FDA ont calculé la « charge corporelle » d’aluminium provenant des adjuvants à base de phosphate d’aluminium (AlPO4) ou d’hydroxyde d’aluminium (Al [OH] 3). Les deux graphiques qu’ils présentent suggèrent que les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés par le calendrier vaccinal sont bien inférieurs à la limite « sûre » de la FDA.

Cependant, le CDC omet d’informer le public que le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA a été calculé sur la base d’une seule étude portant sur l’ingestion de lactate d’aluminium, une forme soluble d’aluminium, chez des souris adultes. (souligné par le traducteur !)

Les problèmes majeurs de l’étude de la FDA ont été observés dans une critique rédigée anonymement, publiée sur le site Vaccine Papers en juillet 2016 et intitulée « Démystifier l’adjuvant aluminium, 2e partie : l’étude erronée de la FDA sur la toxicité de l’adjuvant aluminium » (Debunking Aluminum Adjuvant, Part 2: FDA’s Flawed Study of Al Adjuvant Toxicity (Mitkus 2011)). Comme indiqué dans cet article, le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA « est basé sur une science obsolète et erronée. » Elle a été « dérivée d’une “dose sans effet indésirable observé” (NOAEL) mesurée dans une étude d’alimentation animale ». L’article explique :

Cependant, il y a un problème fatal : 26 mg/kg/jour n’est pas un NOAEL (dose sûre) pour les animaux ((NOAEL pour No Observed Adverse Effect Level—Niveau sans effet indésirable observé). La NOAEL de 26 mg/kg/jour (ingéré) est le fondement de l’analyse de Mitkus, et elle est erronée. Les études scientifiques font état d’effets indésirables (par exemple, lésions cérébrales, troubles cognitifs et inflammation du cerveau) dus à des doses d’aluminium ingéré (et hydrosoluble) de 3,4, 4, 5,6, 6, 10 et 20 mg/kg/jour.

Ces études sont examinées dans un article distinct sur Vaccine Papers intitulé « Le fondement de la sécurité des adjuvants est faux » (The Foundation for Al Adjuvant Safety Is False).

Dans un article publié dans le Journal des Médecins et Chirurgiens Américains en 2016, Neil Z. Miller, auteur du livre Miller’s Review of Critical Vaccine Studies (Révision par Miller des études critiques sur les vaccins), explique de la même manière plusieurs « défauts majeurs dans l’analyse de la FDA », à commencer par l’utilisation d’un niveau de risque minimal qui avait déjà été falsifié par d’autres études animales (c’est nous qui soulignons) :

Pour déterminer un « niveau de risque minimal » (LMR pour limite minimale de risque) d’aluminium pour les humains, une seule étude animale a été utilisée. Cette étude a révélé que les souris pouvaient recevoir jusqu’à 26 milligrammes d’aluminium par kilogramme de poids corporel par jour (26 mg/kg/jour) sans effets indésirables. Après avoir pris en compte les différences entre les souris et les humains (et d’autres facteurs), ce chiffre a été réduit pour créer une marge de sécurité, et une LMR de 1 mg/kg/jour a été établie pour les humains, y compris les nourrissons. Mais il y a un problème : 26 mg/kg/jour n’est pas une quantité d’aluminium sûre pour les animaux. Plusieurs études confirment que des quantités d’aluminium beaucoup plus faibles (de 3,4 à 6,1 mg/kg/jour) sont nocives pour les animaux — et au moins trois de ces études ont été publiées avant le document de la FDA en 2011, de sorte que l’étude de la FDA était fallacieuse dès le départ.

Dans une révision intitulée « Critical analysis of reference studies on the toxicokinetics of aluminum-based adjuvants » (Analyse critique des études de référence sur la toxicocinétique des adjuvants à base d’aluminium), publiée dans le Journal of Inorganic Biochemistry en décembre 2017, Jean-Daniel Masson et coll. expliquent de la même manière que l’étude de Mitkus souffre de plusieurs biais importants. « Le premier problème est qu’« Une LMR orale inappropriée a été utilisée pour définir la courbe de sécurité. » La « LMR orale » utilisée par les chercheurs de la FDA « fixe la courbe de sécurité trop haut ». Citant des études constatant des effets indésirables chez les animaux à des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles, notamment une étude de 2017 observant des effets indésirables avec une exposition de 1,5 mg/kg/jour, les auteurs de l’examen font remarquer :

En utilisant la LMR orale « officielle », Mitkus a donc fixé la courbe de sécurité à un niveau beaucoup plus élevé. Ce niveau a été surestimé d’un facteur allant jusqu’à 17,3 (c’est-à-dire 26/1,5) lorsque l’étude la plus récente a été prise en compte. Il convient de noter que la dose de 1,5 mg/kg/jour n’est même pas une NOAEL puisque des effets ont été documentés à cette dose.

Les auteurs de la révision présentent deux graphiques corrigés, publiés à l’origine par l’auteur de l’article Vaccine Papers, qui montrent comment, « même si l’on utilise des niveaux NOAEL expérimentaux plus élevés pour le calcul, par exemple 3,4 mg/kg/d, la limite de sécurité est atteinte (hydroxyde) ou dépassée (phosphate) par l’aluminium des adjuvants vaccinaux ».

6. Aluminium injecté comparé à l’aluminium ingéré

Il y a pire. Comme indiqué, le niveau de risque minimal utilisé par les chercheurs de la FDA comme base de leurs calculs est issu d’une étude sur l’aluminium ingéré et non injecté.

Comme la FDA le sait parfaitement (the FDA knows perfectly well), « le tractus gastro-intestinal agit comme une barrière efficace à l’absorption de l’aluminium, et relativement peu d’aluminium ingéré atteint effectivement les tissus du corps », alors que « les produits pharmaceutiques administrés par voie parentérale contenant de l’aluminium contournent le mécanisme de protection du tractus gastro-intestinal » et se « déposent dans les tissus humains ».

Mitkus et coll. ont reconnu de la même façon (c’est nous qui soulignons) :

Les expositions potentielles à l’aluminium associées à l’administration de vaccins sont toutefois différentes des expositions alimentaires à l’aluminium, car l’aluminium contenu dans les vaccins n’a pas à traverser les parois du tractus gastro-intestinal, qui constitue une barrière importante à l’absorption systématique de l’aluminium. On s’attend plutôt à ce que la totalité de l’aluminium contenu dans l’adjuvant soit absorbée des muscles dans le sang après la vaccination, bien qu’à un certain taux au fil du temps.

… L’exposition à l’aluminium par voie alimentaire (généralement sous forme de citrate) entraîne l’absorption de petites quantités d’aluminium à partir de l’intestin (inférieur à 1 %) avant d’atteindre la circulation sanguine.

Pourtant, ils n’ont curieusement fait aucun commentaire sur la façon dont le niveau d’exposition « sûr » qu’ils ont adopté comme base de leur analyse était basé sur l’aluminium ingéré par les rongeurs, ce qui pourrait raisonnablement être interprété comme une indication de l’intention de commettre une fraude scientifique.

Comme le commente Miller :

La LMR pour les humains est dérivée de l’aluminium alimentaire donné à des souris. Mais les nourrissons reçoivent de l’aluminium par injection. L’aluminium injecté contourne le tractus gastro-intestinal et possède des propriétés toxiques uniques par rapport à l’aluminium ingéré. Pour déterminer la sécurité de l’aluminium injecté, les scientifiques doivent mener des expériences avec de l’aluminium injecté et non ingéré.

7. Ignorer la toxicité des particules d’aluminium

Ce qui explique peut-être l’incapacité des auteurs à reconnaître l’inapplicabilité de l’étude sur les rongeurs adultes utilisée pour déterminer le « niveau de risque minimal » adopté pour les nourrissons humains, c’est le fait qu’ils n’ont considéré que la quantité d’aluminium qui se dissout et est absorbée dans le sang, d’où il peut ensuite être traité par les reins et excrété dans l’urine, comme contribuant à la « charge corporelle » de la toxicité de l’aluminium ; ils ont complètement ignoré la quantité d’aluminium particulaire qui reste dans les tissus et les organes.

Il s’agit là d’une « erreur critique », comme l’a noté l’auteur de l’article de Vaccine Papers :

L’analyse de Mitkus est un moyen raisonnable d’estimer la toxicité et la rétention de l’aluminium hydrosoluble ingéré (ions Al3+). Mais elle ne peut pas établir la sécurité des particules d’aluminium adjuvantes persistantes et peu solubles…

La LMR est dérivée d’une expérience d’alimentation avec du lactate d’aluminium hydrosoluble, et non des particules d’adjuvant d’aluminium insolubles et persistantes. La sécurité de l’adjuvant d’aluminium injecté ne peut être prouvée que par des expériences avec l’adjuvant d’aluminium injecté (qui comprend des particules insolubles et persistantes). Les études sur l’aluminium ingéré, soluble dans l’eau, ne sont pas un bon substitut. Les études scientifiques ont établi que l’adjuvant d’aluminium injecté a des propriétés toxiques uniques et des façons de se déplacer dans le corps (« cinétique ») qui ne sont pas les mêmes que celles de l’aluminium hydrosoluble. (NdT : cinétique = fonction du temps)

L’erreur consistant à utiliser une étude sur l’ingestion d’une forme soluble d’aluminium est aggravée par le « défaut fatal » supplémentaire consistant à ignorer la toxicité des particules d’aluminium restant dans l’organisme :

Mitkus suppose que l’adjuvant d’aluminium a une toxicité nulle lorsqu’il est sous forme de particules. La « charge corporelle » de Mitkus ne comprend pas les particules d’adjuvant d’aluminium. Dans l’analyse de Mitkus, seuls les ions Al3+ (libérés par la dissolution des particules d’adjuvant) sont toxiques.

C’est pourquoi la courbe de l’adjuvant Al présente une pente ascendante après chaque date de vaccination… Les nanoparticules d’adjuvant Al ne sont pas inoffensives ou inertes. Elles sont biologiquement actives et provoquent une inflammation et une activation du système immunitaire. C’est pourquoi l’adjuvant aluminium est utilisé dans la plupart des vaccins. Les particules d’adjuvant se déplacent vers les tissus qui peuvent être blessés par l’inflammation, comme, par exemple, le cerveau.

L’article présente cette illustration graphique des défauts fatals de l’étude de la FDA ainsi que le commentaire suivant : (titre du schéma : Les hypothèses fatalement erronées de Mitkus)

Ci-dessus : Les nanoparticules d’adjuvant Al injectées voyagent vers des organes distants (rate, cerveau, reins, foie) où elles restent pendant des années, provoquant des inflammations. Mitkus suppose que les particules n’ont aucune toxicité, même lorsqu’elles sont présentes dans des organes sensibles comme le cerveau. Mitkus suppose à tort que seul l’Al3+ dissous est toxique. Il n’existe aucune preuve de cette hypothèse, et les expériences sur les animaux et les études sur la toxicité des autres nanoparticules montrent de manière concluante que celle-ci est fausse (l’hypothèse de Mitkus).

Neil Z. Miller observe de même que « les nanoparticules d’aluminium peuvent être transportées par les cellules à lignage monocytaire vers les ganglions lymphatiques de drainage, le sang et la rate et peuvent également pénétrer dans le cerveau. » Néanmoins, la FDA « suppose, sans preuve, que ces nanoparticules d’aluminium faiblement biodégradables, qui ont été détectées dans les organes du corps jusqu’à un an après la vaccination, sont inoffensives, et elles ne sont pas calculées par la FDA comme faisant partie de la « charge corporelle » d’aluminium jusqu’à ce qu’elles se dissolvent. »

Masson et coll. critiquent également Mitkus et coll. pour ne pas avoir pris en compte la toxicité de l’aluminium particulaire, en faisant remarquer (c’est nous qui soulignons) :

Sous sa forme particulaire, l’aluminium est rapidement capturé puis transporté à distance par les cellules immunitaires. La comparaison entre la toxicité chimique des ions Al3+, tels que ceux absorbés au niveau intestinal, et la toxicité particulaire des sels d’aluminium injectés (par voie intramusculaire) est donc un non-sens. En témoigne la courbe dose-réponse atypique des effets neurotoxiques de l’hydroxyde d’aluminium, avec un transfert cérébral de l’aluminium et un effet clinique observé sélectivement pour les faibles doses, qui se rapproche de celles décrites en toxicologie particulaire. En toute rigueur, les LMR utilisées pour la modélisation du risque vaccinal devraient être définies sur la base d’expérimentations animales réalisées avec des adjuvants d’aluminium, contrôlées pour que leurs paramètres particulaires soient conformes à ceux des vaccins, et injectés (par voie intramusculaire), plutôt que des études avec des formes solubles d’aluminium (chlorure ou lactate) ajoutées à la nourriture ou à l’eau de boisson.

En mentionnant « la courbe dose-réponse atypique des effets neurotoxiques de l’hydroxyde d’aluminium », ils faisaient référence à une étude de Guillemette Crépeaux et coll. intitulée « Non-linear dose-response of aluminium hydroxide adjuvant particles: Selective low dose neurotoxicity » (Réponse dose non linéaire des particules adjuvantes d’hydroxyde d’aluminium : Neurotoxicité sélective à faible dose), qui a été publiée dans la revue Toxicology en 2017.

Comme l’ont noté les auteurs de cette étude de Toxicology, des expériences sur des souris avaient montré « la capture et le transport lent » de particules d’aluminium « par des cellules à lignage monocytaire depuis le muscle injecté vers les organes lymphoïdes et finalement le cerveau. » Leurs conclusions indiquaient que l’adjuvant d’aluminium « injecté à faible dose dans le muscle de la souris peut induire sélectivement une accumulation cérébrale (d’aluminium) à long terme et des effets neurotoxiques. »

Les auteurs ont souligné de façon peu convaincante que « la comparaison de l’exposition à l’adjuvant vaccinal à d’autres expositions à l’aluminium non pertinentes, par exemple l’aluminium soluble et d’autres voies d’exposition, peut ne pas représenter des approches valables. »

À titre d’exemple, ils ont cité Mitkus et coll., dont le modèle de rétention des nourrissons était basé sur « le taux de rétention de l’aluminium observé après des injections intraveineuses de citrate d’aluminium soluble traçable ». Le modèle de la FDA était « basé sur l’hypothèse que les adjuvants d’aluminium sont solubilisés par les ions citrate dans le liquide interstitiel des muscles, sans aucune considération de l’absorption cellulaire rapide de l’adjuvant et de la diffusion systémique à long terme des agglomérats d’adjuvants. » (C’est nous qui soulignons.) Ils ont conclu en suggérant, encore une fois de façon peu convaincante, qu’une « réévaluation » de la sécurité des adjuvants à base d’aluminium est nécessaire.

Pour en revenir à la critique de l’étude de la FDA par Masson et coll., ils ont noté que le modèle mathématique développé par Mitkus et coll. incorporait également une estimation de la rétention d’aluminium chez les enfants basée sur une étude d’un seul adulte ayant reçu une injection intraveineuse de citrate d’aluminium, une forme soluble d’aluminium.

Mitkus et coll. ont souligné que « l’on s’attend à ce que l’aluminium ne soit pas éliminé du sang des nourrissons aussi rapidement que celui des adultes », et ils ont donc tenté d’ajuster leur modèle pour tenir compte de la rétention plus élevée chez les nourrissons.

« La comparaison entre la toxicité chimique des ions Al3+, tels que ceux absorbés au niveau intestinal, et la toxicité particulaire des sels d’aluminium injectés (par voie intramusculaire) n’a donc aucun sens. »

Cependant, comme Mitkus et coll. le reconnaissent également, « Pour les vaccins, l’injection est intramusculaire, l’aluminium est sous une forme insoluble (par exemple, sous forme de phosphate ou d’hydroxyde d’aluminium), et le muscle au site d’injection est considéré comme un dépôt de stockage pour l’aluminium ». Ils reconnaissent que l’une des limites de leur étude est que leur « fonction de rétention » pour l’aluminium est « basée sur les résultats d’une seule personne », alors qu’idéalement elle devrait être basée sur des données pharmacocinétiques chez plusieurs nourrissons.

Pour estimer leur taux d’absorption d’aluminium, qui représente les particules d’aluminium qui « sont solubilisées par les ions citrate dans les fluides interstitiels du muscle » et absorbées dans le sang, ils ont utilisé les données d’une étude portant sur l’absorption d’aluminium administré par voie intramusculaire à deux lapins pour chacun des deux types d’adjuvant d’aluminium utilisés dans les vaccins pour enfants (hydroxyde d’aluminium et phosphate d’aluminium).

Ils ont reconnu les limites de leur étude, mais ils ont insisté sur le fait qu’il y a une « libération lente de l’adjuvant aluminium du site d’injection dans la circulation systémique ». Puisqu’ils ont supposé que seule la quantité d’aluminium absorbée dans le sang contribuait à la charge corporelle de la toxicité de l’aluminium, ils ont interprété ce résultat comme étant rassurant.

Par exemple, ils notent que si 100 % de l’aluminium injecté était instantanément absorbé dans le sang (ce qui serait également le cas pour une injection intraveineuse par opposition à une injection intramusculaire), il y aurait alors « de brèves ”excursions” des niveaux d’aluminium corporels au-dessus de la LMR après la vaccination ». Ils ont raisonné que puisque l’absorption de l’aluminium dans le sang se fait lentement plutôt qu’instantanément, le risque de toxicité est plus faible.

Cependant, ce raisonnement est à nouveau fallacieux puisque l’hypothèse selon laquelle la quantité d’aluminium particulaire restant dans le corps n’est pas toxique est fausse.

Masson et coll. commentent également cet aspect de l’étude de la FDA :

Mitkus et coll. ont tenu compte de la lenteur de l’absorption (solubilisation) de l’aluminium des adjuvants démontrée par Flarend et, ce faisant, ont trouvé une marge de sécurité apparemment élevée. Pour construire leur modèle, Mitkus et coll. ont raisonné comme suit : puisque l’absorption sanguine de l’aluminium était de 51 % pour l’adjuvant phosphate 28 jours après les injections dans l’étude de Flarend, il faudrait 28 jours de plus pour absorber la totalité de la dose d’adjuvant injectée (56 jours au total). De même, étant donné que l’absorption sanguine de l’aluminium était de 17 % pour l’hydroxyde d’aluminium à 28 jours, l’absorption complète prendrait 137 jours supplémentaires (total 165 jours). La quantité cumulée calculée d’aluminium absorbé par les vaccins était significativement plus élevée que l’absorption d’aluminium alimentaire… mais restait inférieure au niveau de sécurité pour le phosphate d’aluminium, et très largement inférieure pour l’hydroxyde d’aluminium. La conclusion de l’auteur est qu’il est peu probable que l’aluminium des vaccins ait une influence significative sur la charge corporelle en aluminium de l’organisme du nourrisson, ce qui implique une bonne sécurité des adjuvants à l’aluminium de 0 à 12 mois.

Cependant, l’étude de la FDA « souffre d’un certain nombre de biais importants ». Comme nous l’avons déjà noté, les chercheurs de la FDA ont utilisé un niveau de risque minimal inapproprié qui avait déjà été falsifié par d’autres études montrant des effets indésirables chez les animaux à des niveaux d’exposition beaucoup plus faibles. Ils ont également ignoré la toxicité des particules d’aluminium qui restent dans le corps plutôt que d’être absorbées dans le sang. De plus, ils ont incorporé dans leur modèle une interprétation erronée de l’étude sur les lapins réalisée par Flarend et coll. (c’est nous qui soulignons) :

Comme Flarend avant lui, Mitkus et coll. n’ont apparemment considéré que seul aluminium soluble a un potentiel toxique. Son estimation de la durée de la translocation complète de l’aluminium du site injecté vers le sang est basée sur un calcul simpliste (voir ci-dessus) qui ne tient pas compte du fait que les courbes de Flarend suggèrent que la fin de la translocation de l’Al vers le plasma est soit en cours (phosphate) soit presque achevée (hydroxyde) au 28e jour (voir ci-dessus). Le corollaire de ce calcul trop simpliste est une sous-estimation du temps de biopersistance de l’aluminium sous une forme particulière. Des études histologiques réalisées après l’injection (intramusculaire) d’hydroxyde d’aluminium ont montré que l’aluminium particulaire et les granulomes qu’il induit sont encore détectables dans le muscle injecté après des mois dans les études animales et plusieurs années (jusqu’à 12 ans) chez les patients adultes atteints du syndrome de fatigue chronique post-vaccinale. Bien que des facteurs génétiques puissent expliquer la faible solubilisation intracellulaire de l’hydroxyde d’aluminium chez les individus sensibles, la sous-estimation par Mitkus de la stabilité à la dissolution des adjuvants d’aluminium est certaine et significative.

L’aluminium des vaccins ne reste pas non plus au site d’injection, mais « peut migrer loin du muscle sous sa forme particulaire ».

Selon l’étude de la FDA, il est « rassurant » de constater que « le dépôt de stockage à long terme » de l’aluminium solubilisé à partir du site d’injection se trouve probablement principalement dans les os et non dans des organes comme le cerveau. En ce qui concerne ce raisonnement, Masson et coll. font également le commentaire suivant (c’est nous qui soulignons) :

En ne considérant que l’aluminium soluble, Mitkus pensait que « le dépôt de stockage à long terme (de l’aluminium solubilisé à partir du site d’injection), est susceptible d’être squelettique et non un système d’organes mous plus sensible est rassurant ». Cette hypothèse rassurante ne prenait pas en compte le devenir de l’aluminium particulaire. De même, une étude récente réalisée chez des prématurés vaccinés à l’âge de 2 mois, ne s’est intéressée qu’à l’aluminium soluble détectable dans les fluides corporels : les auteurs ont curieusement jugé « rassurant » le fait de ne pas avoir constaté d’élévation de l’aluminium dans le sérum et l’urine 24 h après l’administration de vaccins contenant une dose totale de 1200 μg Al (environ 200 μg/kg). L’absence à la fois d’absorption détectable et d’élimination rapide de l’aluminium des adjuvants représente plutôt un motif légitime d’inquiétude, car, en corollaire, elle indique probablement la persistance systémique de particules d’aluminium immunostimulantes et neurotoxiques transférées vers les organes lymphoïdes et atteignant potentiellement le cerveau.

Une étude (study) de Grant McFarland et coll. publiée dans le Journal of Trace Elements in Medicine and Biology en décembre 2019 critique de la même manière l’étude de Mitkus et coll. en la décrivant comme ayant été « minutieusement excoriée comme un simple parcours mathématique basé sur l’hypothèse erronée que des doses orales d’aluminium (d’une forme différente de celles trouvées dans les vaccins) chez des souris adultes pourraient être utilisées pour prédire l’impact des vaccins avec adjuvant, comme si ces données pouvaient être transformées via les mathématiques en données pertinentes pour les formes injectées chez les adultes et les enfants humains ».

Comme le résument McFarland et coll. (c’est nous qui soulignons) :

En bref, l’article de Mitkus fonde une évaluation de l’innocuité des formes d’aluminium injectées non solubles dans l’eau chez les adultes humains sur une seule étude des formes d’aluminium hydrosolubles alimentaires chez les souris adultes. Cette étude, choisie parmi de nombreuses autres par l’ATSDR (Agency for Toxic Substances and Disease Registry—Agence pour les Substances Toxiques et le Registre des Maladies), a été utilisée pour affirmer que les doses d’aluminium utilisées sur les humains sont sûres… Les études qui utilisent l’administration orale d’aluminium en solution de citrate… ne sont pas pertinentes pour l’étude de la toxicité des types d’aluminium provenant des vaccins… Les études sur les animaux sont encore plus limitées en raison de leur incapacité à traiter l’hypothèse d’une variation génétique dans la tolérance à l’aluminium chez les humains.

En ce qui concerne la façon dont les chercheurs de la FDA ont cité l’étude sur les lapins comme offrant une réassurance de la sécurité des adjuvants à base d’aluminium dans les vaccins, Masson et coll. font un commentaire similaire (c’est nous qui soulignons) :

Plutôt que de parler de la nature rassurante de ces résultats, une conclusion inverse aurait dû être faite par les auteurs du point de vue de la sécurité des vaccins, soulignant la faible élimination par dissolution des adjuvants aluminiques, en particulier l’adjuvant à base d’hydroxyde, et la nécessité d’autres études à long terme sur un plus grand nombre d’animaux. Les agences de réglementation elles-mêmes auraient été bien avisées de commander des études toxicocinétiques complémentaires afin d’éviter la propagation d’informations hasardeuses sur l’élimination rapide des adjuvants aluminiques, surtout après avoir pris connaissance d’études ultérieures montrant la phagocytose, la persistance intracellulaire, la migration à distance et la neurotoxicité des adjuvants aluminiques.

8. Conclusion

Maintenant, revoyez comment le CDC cite l’étude de Mitkus et coll. de la FDA comme ayant « démontré » que l’aluminium des vaccins « n’est pas facilement absorbé par le corps ». La conclusion logique inéluctable est que cette affirmation de l’établissement de « santé publique » est une dangereuse désinformation.

Le CDC affirme que l’aluminium contenu dans les vaccins a pour but de les aider à « mieux fonctionner », mais ce que cela signifie en réalité, c’est qu’il permet aux fabricants d’atteindre le niveau d’anticorps circulants requis pour obtenir l’autorisation de la FDA, que ce niveau d’anticorps soit ou non en corrélation avec la protection immunitaire contre la maladie. (souligné par le traducteur)

Le CDC affirme que l’aluminium est utilisé dans les vaccins depuis plus de 70 ans, mais cela ne veut certainement pas dire que les niveaux cumulatifs d’aluminium auxquels les enfants sont exposés aujourd’hui selon le calendrier recommandé par les CDC sont « sûrs ».

Le CDC affirme que chaque vaccin avec adjuvant fait l’objet d’essais cliniques avant d’être homologué, mais la FDA autorise les fabricants de vaccins à renoncer aux essais randomisés contrôlés par placebo en faveur d’une comparaison des taux d’effets indésirables entre les personnes recevant le vaccin expérimental et un autre produit contenant de l’aluminium.

Le CDC affirme que les agences gouvernementales contrôlent les données de surveillance post-commercialisation pour garantir la sécurité des vaccins, mais ces données ne remplacent pas les essais randomisés contrôlés par placebo, et ces agences gouvernementales n’ont tout simplement aucune crédibilité étant donné leur conflit d’intérêts inhérent et leur habitude de déformer la science pour l’adapter à leurs objectifs politiques.

Le Dr Frank DeStefano, auteur principal de la récente étude du CDC admettant une association entre les vaccins avec adjuvant et l’asthme, avait reconnu en 2015 l’absence d’études d’observation examinant spécifiquement les associations entre les problèmes de santé et les vaccins contenant de l’aluminium.

Le CDC affirme que « la quantité d’aluminium à laquelle sont exposées les personnes qui suivent le calendrier vaccinal recommandé est faible et n’est pas facilement absorbée par l’organisme », mais cette affirmation est fondée sur une étude de modélisation de la FDA entachée d’erreurs fatales, qui a basé sa conclusion sur un « niveau de risque minimal » déjà falsifié pour l’exposition à l’aluminium et sur l’ignorance délibérée de la FDA de la toxicité de l’aluminium particulaire des vaccins qui reste dans les tissus et les organes au lieu d’être dissous et absorbé dans le sang, où il peut ensuite être traité par les reins et excrété dans l’urine.

À titre de simple expérience de pensée, imaginez quelle serait la réaction de l’establishment de la « santé publique » et des médias grand public si les résultats d’une telle étude soutenaient au contraire la conclusion selon laquelle la quantité d’aluminium à laquelle les enfants sont exposés par les vaccins provoque des dommages. D’une manière ou d’une autre, chaque étude suggérant que les vaccins peuvent causer des dommages est fatalement erronée, tandis que chaque étude dont les résultats peuvent être interprétés — ou mal interprétés — comme soutenant la politique gouvernementale en matière de vaccins est acceptée sans discussion comme une preuve supplémentaire de la « sécurité » des vaccins, sans tenir compte des limitations méthodologiques ou des énormes disparités entre les conclusions des auteurs et leurs résultats réels.

En résumé, l’affirmation du CDC selon laquelle l’aluminium contenu dans les vaccins s’est avéré « sûr », y compris pour les nourrissons, est un mensonge éhonté et montre à quel point le gouvernement est prêt à commettre une fraude scientifique pour soutenir ses politiques de recommandations actuelles. Le fait que le CDC déforme aussi grossièrement l’état des connaissances scientifiques sur la toxicité de l’aluminium est une illustration claire de son manque de fiabilité. Il est clair que le gouvernement est plus soucieux de servir les intérêts financiers de l’industrie pharmaceutique que de la santé publique.

Traduction Jean Bitterlin 18.12.2022




LE MONDE CHANGE : GRAND RÉVEIL EN MARCHE

Par Nicole Delépine

Reprenons le moral avec le père Noël en avance ! Informons, entre autres, nos politiques en retard d’une guerre qui n’acceptent pas la réintégration des soignants. Et pourtant :

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/le-congres-americain-supprime-l-obligation-vaccinale-pour-les-militaires-20221216

Chers collègues, il faudra bien reconnaître vos torts, cette injection était une énorme arnaque et il est temps d’aider les victimes de dégâts plutôt que de se cacher.

Ainsi en Allemagne :

Allemagne : des milliers de victimes de la « vaccination » Covid appellent à l’aide

« Ils voulaient faire preuve de solidarité, mais maintenant ils sont abandonnés. Grande ruée vers la hotline d’une association médicale, le MWGFD (Médecins et Scientifiques pour la Santé, la Liberté et la Démocratie) pour les victimes de la vaccination en Allemagne.

La Hotline a tout de suite été renforcée, car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point — et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.

En effet les médecins disent :

« nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »

« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers.

En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. »

« Quelques chiffres ? L’État avait prévu pour McKinsey 604 000 euros de budget en 2021. Le cabinet, véritable cerveau de cette crise, a finalement facturé, l’an dernier… 4,4 millions d’euros pour ses précieux conseils en « stratégie vaccinale ». Plus de sept fois la somme prévue ! À lui seul, le cabinet chéri de la Macronie a englouti près de la moitié du budget de consulting prévu par la Direction générale de la santé (DGS) au titre de la crise du Covid-19 (9,5 millions au total). Résultat : les stocks de masques et autres matériels sont énormes… »

https://www.lematin.ch/story/macron-en-hitler-condamnation-annulee-263479768215

La Cour de cassation, la plus haute juridiction française, a annulé mardi la condamnation d’un afficheur qui avait publié des affiches représentant le président Emmanuel Macron en Hitler, estimant qu’il n’a « pas dépassé les limites admissibles de la liberté d’expression ».

il faut poursuivre l’État et les autres pour publicités mensongères (à nos frais)

ET après la vice-présidente (grecque) du Parlement européen derrière les barreaux, la membre de la Commission européenne chargée de la santé, prise sur le fait :

@roger_mm1 sur tweeter (non censuré !)‬‬

EU Health Commissionner Stella Kyriakides (yes, the one signant the Covid deals) received money from Pfizer, AstraZeneca and Johnson&Johnson. Also her account “unexpectedly ended up” with 4 Mio Euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION 11/12/2022 22:35

La commissaire UE à la santé Stella Kyriakides qui a signé les accords Covid a reçu de l’argent de Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson. Et son compte « a terminé de manière inattendue » avec 4 millions d’euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION

https://en.rua.gr/2021/05/05/vaccine-makers-bribed-the-european-commissioner/

MAIS IL FAUT CONTINUER À AVERTIR

Pourquoi les personnes vaccinées meurent ? (reseauinternational.net)

Car les mondialistes en déroute se battent bec et ongles pour poursuivre leur tragique scénario. Le pseudovax covid étant démasqué, un « vaccin » antigrippal à ARNm est déjà autorisé avec évidemment les mêmes inconvénients majeurs que celui anticovid. ET :

Sucharit Bhakdi, qui est venu à la conférence de presse « A Better Way Forward ». Extraits. Mais prenez le temps de lire la conférence dans sa totalité.

« Je suis venu à cette conférence, qui est la première (sur ce sujet), car je sentais que c’était nécessaire, car les choses évoluent dans une direction si alarmante.

 L’OMS, le CDC, la FDA, toutes les agences font pression pour un vaccin basé sur les gènes qui remplacera tous les autres vaccins actuellement utilisés dans le monde : rougeole, oreillons, rubéole, tous les autres vaccins, grippe.

Quand nous avons entendu cela, nous avons pensé “oh mon dieu, c’est ce que nous craignons depuis juin” lorsque j’ai exprimé pour la première fois ma crainte que cela ne se produise.

Ce qui se passe maintenant, c’est que le vaccin corona est lentement, lentement tombé en disgrâce parce que les gens ont vu les effets secondaires graves. Ce qui se passe maintenant, c’est que l’attention est attirée sur la protéine de pointe du vaccin lui-même, qui est le coupable. Et ils disent : “Oh, c’est parce que le vaccin corona code pour la protéine de pointe, et c’est dangereux”, et bla, bla, bla.»

(…)Il ne fait aucun doute que cette protéine de pointe est dangereuse, c’est vrai. Mais ne tombez pas dans le panneau, les amis ! Vous devez comprendre que tout vaccin génétiquement modifié sera dangereux.

« Ce que les gens ne comprennent pas, c’est que ces anticorps qui apparaissent à la suite de la vaccination ne sont pas là pour attraper le virus à l’entrée, car le virus ne pénètre pas dans le sang, mais à la porte d’entrée (c’est-à-dire dans les voies respiratoires), et les anticorps ne sont tout simplement pas là. Ils ne sont pas là. C’est pourquoi toutes ces vaccinations contre le virus corona et aussi contre la grippe ne fonctionneront pas. Ils ne peuvent pas travailler, n’ont jamais travaillé et ne travailleront jamais.

La seule chose qu’ils peuvent faire, c’est vous tuer. Pourquoi ?

Ceci est un vaisseau sanguin. L’un est une paroi vasculaire intacte. »

« Pfizer, Moderna, ont ouvert le système vasculaire créé par la nature, de sorte que des gènes étrangers peuvent pénétrer dans les tissus, le cerveau, le cœur, le foie, les poumons, n’importe quel organe et passer par le même processus, et de bien sûr, c’est le début d’une autre attaque contre vos propres cellules, une autoattaque, un processus auto-immun qui ne peut pas être arrêté. Il ne peut pas être arrêté ! »…

« Il existe maintenant des preuves sans équivoque que les protéines de pointe provoquent une inflammation et des dommages aux parois des plus petits vaisseaux du corps. Lorsque cela se produit dans le cerveau et le cœur, des défauts irréversibles subsistent. »…

« Les médecins remarquent maintenant des changements dans la psyché qu’ils n’ont jamais vue auparavant. La perte d’empathie, m’a-t-on dit, a été remarquée. Les gens perdent le contrôle de leur propre esprit, de leur volonté. L’humanité est brisée. L’essence de l’homme est le cerveau.

Et puis il y a le cœur. Vous voyez tous ces athlètes de haut niveau mourir ou abandonner et vous dites qu’ils ne reviendront jamais. Quand on voit tous ces athlètes, on se rend compte qu’ils ont des problèmes cardiaques ».

Sergio Aguero (star argentine) a été éliminé à la 41e minute lors du dernier match contre Barcelone. Le footballeur souffrait de problèmes respiratoires. En septembre, il recommandait fortement de vacciner les enfants de 12 ans avec le sérum Covid.

« Cela arrive parce que ces athlètes poussent leur cœur au-delà de leurs limites absolues, et comme nous le savons, chaque cellule est soumise à un stress énorme et brûle beaucoup d’oxygène, l’épuisant. Et si vous commencez à obstruer les plus petits vaisseaux, ces cellules mourront. Il n’y a pas beaucoup de cellules qui meurent dans une zone, mais plutôt des îlots de cellules qui meurent occasionnellement ».

ET le virologue termine ainsi :

Comme vous le savez peut-être, le premier vaccin à ARN messager contre la grippe a maintenant été approuvé pour une utilisation en association avec Corona.

Si cela ne peut pas être considéré comme une minute après minuit (c’est-à-dire trop tard), alors je ne sais pas ce que c’est.

EXIGEONS L’ARRÊT IMMÉDIAT DES INJECTIONS
ET INFORMONS NOS AMIS, FAMILLES, ETC. !

GARDONS LE MORAL ET L’ÉNERGIE POUR COMBATTRE :
MÊME DANS LES PIRES DICTATURES LE COMBAT PAYE

LES INFOS SE MULTIPLIENT PROVENANT D’INSTANCES OFFICIELLES

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/

Judicial Watch a annoncé aujourd’hui avoir reçu 699 pages de dossiers du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) concernant les données que Moderna a soumises à la Food and Drug Administration (FDA) sur son vaccin ARNm COVID-19, qui indique un nombre « statistiquement significatif » de rats sont nés avec des déformations squelettiques après l’injection du vaccin à leurs mères. Les documents révèlent également que Moderna a choisi de ne pas mener un certain nombre d’études pharmacologiques standard sur les animaux de laboratoire.

Le « Résumé » indique :

  • Aucune étude d’absorption avec l’ARNm-1273 [utilisé dans le vaccin COVID de Moderna] n’a été réalisée.
  • Aucune étude de métabolisme avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude d’excrétion avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude PK [pharmacocinétique] avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune autre étude pharmacocinétique avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.

Donc si je résume, les rats de laboratoires à l’échelle mondiale, cette fois, c’était des milliards d’humains.

Et certains continuent…

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/ ?

MÊME EN DICTATURE LE COMBAT PAYE : LE GRAND RETOURNEMENT EN CHINE

Après plusieurs semaines de violentes protestations de la part des citoyens chinois, le gouvernement a fini par lâcher sa politique zéro-Covid abandonnée depuis longtemps par tous les autres pays qui l’avaient tentée.

Du jour au lendemain, les Chinois, dont la vie avait été mise en suspens pendant près de trois ans, ont obtenu :

  • L’abandon des mesures de confinement,
  • La réouverture de nombreux magasins, d’hôtels, de restaurants, de cinémas, de banques ou encore de parcs,
  • L’arrêt des placements systématiques de personnes positives dans des centres de confinement,
  • L’abandon des tests PCR « obligatoires » à grande échelle dans plusieurs localités,
  • La possibilité de retourner dans des lieux publics sans devoir présenter un test PCR négatif de moins de 48 heures,
  • L’arrêt de l’application de traçage des déplacements des citoyens,
  • La possibilité de voyager dans le pays sans test PCR requis

Et surtout, un changement radical dans le discours officiel !

Les Chinois y sont parvenus !

En France, par nos combats nous parviendrons aussi à obtenir :

  • La suppression des obligations d’injection covid inutiles de toutes les professions
  • La réintégration des soignants suspendus
  • L’abandon des tests PCR trompeurs et inutiles chez les asymptomatiques
  • La suppression des fichiers de traçage des citoyens
  • L’arrêt des tentatives d’identité numérique des citoyens
  • L’arrêt des mensonges d’état permanents

LE COMBAT PAYE ! Continuons le combat.




Comment l’information sur la Covid-19 a été censurée mondialement sur les réseaux sociaux

[Source : voltairenet.org]

America First Legal Foundation a obtenu, par voie juridique, des documents internes de l’agence fédérale de Santé publique, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d’Atlanta(([1] « AFL Releases More CDC Documents Revealing Bizarre “Equity” Agenda in COVID-19 Vaccination and Slides Discussing the Policy Objective of Injecting Children Even When “Parent Is Not Present” », America First Legal Foundation, December 15, 2022.)). Parmi ceux-ci, certains attestent que le CDC avait accès à un portail secret de Google chargé de centraliser les notifications de nouvelles s’écartant du discours officiel sur la Covid-19.

America First Legal Foundation est présidé par l’ancien speechwriter du président Donald Trump. Son conseil d’administration comprend de hauts responsables de la Maison-Blanche du président Trump. Son budget annuel est de plus de 6 millions de dollars. Cette fondation fait partie, selon le Washington Post(([2] « How a Trump-allied group fighting ‘anti-white bigotry’ beats Biden in court. America First Legal was founded last year by Stephen Miller, the architect of Trump’s immigrant family separation policy », Beth Reinhard & Josh Dawsey, Washington Post, December 12, 2022.)), de l’administration en attente de Donald Trump s’il gagne la prochaine élection présidentielle.

Le portail secret de Google est situé en Indonésie et géré par l’association islamiste de Fact Checking, Mafindo(([3] Site officiel de Mafindo.)). Il centralise la censure sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram, Whatsapp et Hello. Cette association est financée par l’État indonésien.

Le choix des informations considérées « vraies » ou « fausses » est opéré par la Kaiser Family Foundation (KFF)(([4] Site officiel de la Kaiser Family Foundation.)). Contrairement à ce que son nom inique, KFF n’est pas une fondation familiale, mais une société californienne dont le directeur du Los Angeles Times est administrateur. Elle diffuse gratuitement aux journalistes des notes sur les discours hygénistes à tenir. On ignore qui finance cette organisation.

Ce dispositif a notamment permis d’imposer plusieurs allégations mensongères telles que :
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent de la transmission du virus.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) sont recommandés pour les femmes enceintes.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) protègent les enfants.
→ Les « vaccins anti-Covid » (ARN messager) n’ont pas d’effets secondaires notables quels que soient l’âge et la condition des patients.
→ Il n’existe pas d’autre remède efficace contre la Covid-19 que les vaccins occidentaux.

Cette campagne d’intoxication s’est particulièrement concentrée sur les adolescents noirs pour les convaincre de ces inepties.

Les documents obtenus par l’America First Legal Foundation attestent que l’ensemble de ce dispositif est contrôlé par l’administration Biden depuis la Maison-Blanche.





La plus grande réinitialisation — Le film

L’ascension de la Bête.

[NDLR Si la vidéo manifeste un problème technique à environ 1 h 29 min, relancer son affichage, et positionner son curseur vers 1 h 30 pour pouvoir voir la suite.]



VO : https://odysee.com/@FlowerPower2:e/THE-GREATEST-RESET-FULL-MOVIE:cclub de romekissingerklaus schwabla plus grande réinitialisationvatican

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanotechnologie et « vaccins »
Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées
Sur le transhumanisme :
Obsession vaccinale et transhumanisme
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, le gourou liberticide qui chuchote à l’oreille de Klaus Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !]




Bill Gates a préparé la prochaine pandémie qui selon lui ciblera les jeunes et les enfants : « Contagion catastrophique »

[Source : lezarceleurs]

Les enfants et les jeunes ciblés par l’exercice de Bill Gates, « Contagion catastrophique ».

Par Igor Chudov. 11 décembre 2022

Vous souvenez-vous de « Event 201 », un exercice de préparation à une pandémie de coronavirus, mené en octobre 2019 sous les auspices du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates et impliquant le CDC chinois et d’autres ?

Le moment était idéal et la pandémie de COVID-19 a commencé quelques semaines après l’exercice et s’est poursuivie comme prévu.

[NDLR À part que le nombre de morts prévus était de 65 millions, mais la réalité n’a pas marché comme il avait été espéré par les organisateurs de l’exercice. La grosse différence provient peut-être de leur croyance en la théorie virale.]

Contagion catastrophique

Sachez que Bill Gates vient de mener un autre exercice, appelé à juste titre « Contagion catastrophique » (je ne plaisante PAS), le 23 octobre 2022. Bill lui-même s’est présenté : 

Quelle était la planification de « Contagion catastrophique » ? Il prévoyait une pandémie grave, pire que la COVID-19, ciblant les jeunes et les enfants.

Les « leçons apprises » penchent fortement vers une position bien plus ferme contre la « désinformation » que lors de la pandémie de Covid . Après tout, les sceptiques du Covid ont gagné, ce qui n’est PAS acceptable pour Bill Gates. Ainsi, Bill Gates planifie la prochaine pandémie de contagion catastrophique, tuant les plus jeunes, où un contrôle de la désinformation beaucoup plus fort sera entrepris.

C’est logique, non ? Bill Gates et ses partenaires se rendent compte qu’avec les sceptiques du Covid remportant la bataille et prenant le contrôle de réseaux sociaux entiers, les futures batailles contre la « désinformation » devront impliquer des armes beaucoup plus lourdes.

Voici Bill qui parle — aucune trace de ce qu’il a dit n’est disponible.

Bill Gates a prédit une pandémie de variole du singe — au mois près

Bill Gates est un homme brillant et un visionnaire. Il a une incroyable capacité à prévoir les futures pandémies. En plus de se préparer à la pandémie de Covid-19 via l’événement 201 il a également mené un « exercice de préparation contre la variole du singe » en 2021 qui a prédit l’émergence de la variole du singe le  mois exact où il est apparu !

La lettre d’information d’Igor

L’exercice de préparation a pour date de début de la pandémie, le 15 mai 2022.

Voici quelque chose d’intéressant qui est discuté sur Twitter en ce moment (coup de chapeau à Edward Dowd). Un exercice de préparation à la variole du singe a eu lieu en mars 2021. Apparemment, il a « simulé » une date de début de pandémie, à savoir le 15 mai 2022. Devinez quand le véritable battage médiatique sur la variole du singe a commencé en mai ? À peu près le même jour…

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Incroyable timing de l’investissement BioNTech de Bill Gates

El Gato Malo nous a également rappelé que Bill Gates est un brillant investisseur : il a pris des parts dans une startup de biotechnologie à peine connue BioNTech deux mois seulement avant le début de la pandémie de Covid-19 et  qui lui a rapporté bien plus d’un milliard de dollars. N’oubliez pas que BioNTech fournit le vaccin Pfizer Covid — bien qu’il n’ait jamais travaillé sur des vaccins avant la pandémie.

Le timing de son investissement témoigne de sa prévoyance exemplaire ! Il faut se demander… Qu’est-ce que Bill savait ?

Je recommande donc d’écouter attentivement  Bill Gates prédisant une future pandémie. Il sait quelque chose dont nous ne sommes peut-être pas conscients.

Écoutez cette vidéo de 19 secondes de Bill disant :

« Nous devrons nous préparer pour le prochain.
On y prêtera attention cette fois-ci. » !

Je prie pour les jeunes menacés par cet exercice « Contagion catastrophique » et j’espère qu’ils seront sauvés d’une manière ou d’une autre !

Pensez-vous que « la prochaine pandémie approche à grands pas » ?




Décès après vaccin covid : des élus allemands exigent des autopsies

[Source : covidhub.ch]

Le monde politique allemand – notamment le vice-président du Parlement – réagit suite à une étude montrant que 30% des morts suspectes après vaccination sont dues aux injections. Des élus de haut niveau exigent un suivi systématique, une récolte de données sérieuse et des autopsies pour tous les cas problématiques. Et les chercheurs souhaitent mener d’autres investigations pour lever les nombreuses questions encore en suspens. (D’après le journal Welt.de)

Le vice-président du Bundestag (photo), Wolfgang Kubicki, également vice-président du FDP (Parti libéral-démocrate), veut que l’on s’intéresse de plus près aux éventuels dommages causés par les vaccins Covid. « Je pense qu’il est indispensable que tout décès inexpliqué survenant dans les 14 jours suivant une vaccination soit automatiquement enregistré comme cas suspect auprès de l’Institut Paul-Ehrlich. Ce n’est manifestement pas encore le cas », a-t-il déclaré au journal Welt.

Une étude aux résultats inquiétants

Le politicien s’est référé à une étude récemment publiée par le Pr Peter Schirmacher, pathologiste en chef de l’hôpital universitaire de Heidelberg: suite à des autopsies de personnes décédées peu après avoir été vaccinées, il s’est avéré que la vaccination était la cause dans 30% des cas.

« Nous parlons d’un nombre important qui rend nécessaire une approche systématique de ce problème », a-t-il encore déclaré au Welt. Selon lui, les autorités sanitaires devraient autopsier régulièrement toutes les personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination. Il justifie la démarche par le fait que « l’autorisation conditionnelle de ces vaccins a eu lieu sous une énorme pression temporelle ».

Manque de données pertinentes

Selon Tino Sorge (CDU), porte-parole de son groupe parlementaire pour la politique de la santé au Bundestag, l’étude du professeur Schirmacher « est inquiétante – notamment parce qu’elle montre à quel point nous en savons peu sur les risques des vaccins, même après deux ans ».

Il constate que l’Allemagne « manque toujours de données solides et pertinentes, pourtant d’une importance capitale pour l’évaluation des bénéfices et des risques. ».

Appel à des recherches plus poussées

Dans une interview publiée le 12 décembre 2022, le Pr Schirmacher a appelé à mener davantage d’études sur les dommages causés par les vaccins: « Il existe d’importantes questions ouvertes qui devraient être clarifiées soit par un enregistrement complet de tous les effets indésirables, soit dans le cadre de recherches plus générales pour améliorer la vaccination, déterminer quand elle est indiquée et mieux protéger la population ».

Le pathologiste se demande s’il existe « des facteurs génétiques ou certaines maladies préexistantes – par exemple des maladies auto-immunes – qui prédisposent à des conséquences graves de la vaccination ? » En outre, il pose la question de savoir quelles sont les composants du vaccin qui déclenchent quels dégâts et si certains modes d’application jouent un rôle ? Par exemple pour les myocardites.




Comment Rockefeller a créé Big Pharma

[Source : medias-presse.info]

Voici la version en français d’un reportage qui résume comment la famille Rockefeller est à l’origine du cartel pharmaceutique appelé aujourd’hui Big Pharma. Ce reportage nous rappelle également comment des traitements naturels contre le cancer ont été combattus et empêchés d’être mis en circulation parce qu’ils ne convenaient pas aux intérêts financiers du lobby pharmaceutique.



Le contenu du reportage est directement inspiré du remarquable livre d’E. Richard Brown, Les guérisseurs Rockefeller : médecine et capitalisme en Amérique.

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Ce livre raconte l’histoire cachée des manipulations financières, politiques et institutionnelles qui expliquent comment une gamme diversifiée et éclectique de traitements naturels disponibles pour le public nord-américain a été sommairement réduite à un style de médecine singulier qui allait devenir la médecine prédominante du monde occidental et une force majeure dans la culture médicale mondiale au XXe siècle. Cela a été provoqué en grande partie par la collaboration de l’American Medical Association, les pseudo-philanthropies d’Andrew Carnegie et de John D. Rockefeller, et le développement d’un programme révolutionnaire par la Johns Hopkins School of Medicine.

De façon documentée, l’auteur fait ainsi apparaître comment une puissante élite professionnelle a acquis une hégémonie virtuelle sur le théâtre occidental de la guérison en prenant efficacement le contrôle de l’éthos et de la pratique de la médecine occidentale. E. Richard Brown décrit comment, en 1905, le nouveau Council on Medical Education de l’American Medical Association financé par Carnegie et Rockefeller a commencé ses activités. Ils ont employé les services d’Abraham Flexner qui a ensuite visité et «évalué» chaque faculté de médecine aux États-Unis et au Canada. Cela a été suivi d’un véritable bouleversement dans le monde des écoles de médecine partout aux États-Unis.

En 1910, 30 écoles avaient fusionné et 21 avaient fermé leurs portes. Sur les 166 écoles de médecine en activité en 1904, 133 avaient survécu en 1910, se réduisant à 104 en 1915. Quinze ans plus tard, seules 76 écoles de médecine existaient encore aux États-Unis. Toutes uniformisées et proposant le même cursus. Brown montre comment les processus sociaux et politiques ont été consciemment manipulés par une élite médicale agissant de concert avec l’immense richesse des entreprises pour créer un système de médecine qui servait avant tout des intentions économiques et hégémoniques.




Coup de froid pour la doxa

[Source : neosante.eu]

Yves Rasir

Par Yves Rasir

Depuis quelques jours, je suis occupé à relire et peaufiner les articles du Néosanté de janvier avant de les envoyer à la mise en page. Et je peux vous dire que je me régale ! Dans ce numéro que je vous promets passionnant, il y aura notamment de longs entretiens avec les deux « résistants » que j’admire le plus : la merveilleuse chanteuse Ingrid Courrèges et le brillant statisticien Pierre Chaillot. Ce dernier vient d’achever un livre qui explose la doxa du covid et c’est à notre mensuel qu’il a accordé  sa première interview d’auteur. En gros, le spécialiste des chiffres démontre que tout est faux dans la narration officielle de la pseudo-pandémie : mortalité, hospitalisations, tests PCR, efficacité vaccinale, effets secondaires, rien ne résiste à son analyse minutieuse des données émanant pourtant des gouvernements et autorités de santé. Le jeune youtubeur couche ainsi sur papier toutes les révélations qu’il a distillées depuis bientôt trois ans – sa première vidéo remonte en effet à février 2020, c’est dire s’il a vite compris qu’on se foutait de nous –  via sa chaîne Décoder l’Éco et au fil des réunions publiques du Conseil Scientifique Indépendant (*). Je ne vais pas vous résumer l’ouvrage (qui sortira en janvier  chez l’éditeur bien nommé L’artilleur) ni spoiler l’interview, mais je vais partager les deux passages qui sont à mon sens les plus instructifs et les plus explosifs : celui où Pierre Chaillot exprime sa conviction qu’il n’y a pas de facteur causal viral et celui où il explique que le taux d’infection est étroitement lié aux températures, autrement dit que la grippe covid est indubitablement saisonnière et indéniablement  consécutive à un refroidissement des organismes soumis aux circonstances climatiques. L’air de rien, ces deux éléments sont de nature à faire s’écrouler le paradigme médical pasteurien et à jeter les fondations d’une toute autre compréhension des maladies dites infectieuses.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus dont les articles suivants :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Démantèlement de l’hypothèse virale
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Le mythe de la contamination épidémique (Vidéo de Pierre Chaillot)
VIRUS TUEUR ??
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
L’enterrement de la théorie virale]

Cherche contagion désespérément

Sur l’impossibilité que le fléau soit provoqué par la propagation d’un agent infectieux, voici ce que Pierre Chaillot nous a déclaré :

« Les modèles épidémiologiques sont basés sur l’hypothèse d’une contagion et permettent de justifier des politiques coercitives pour contrer une « propagation exponentielle de la maladie ». Le modèle le plus utilisé (et médiatisé) est connu sous l’acronyme SIRD. Ces lettres désignent plusieurs « compartiments » au sein d’une population (les Susceptibles, les Infectés, les Rétablis, les Décédés). Dans ce modèle, le début d’une épidémie correspond à une fonction exponentielle, le résultat de l’équation entraîne généralement des prévisions catastrophistes.

L’épidémiologiste britannique Neil Ferguson est un multirécidiviste en matière de scénario apocalyptique. Son modèle Covid repose sur 940 paramètres, dont bon nombre sont parfaitement arbitraires. Il prétend recréer une réalité virtuelle dans laquelle on simule les déplacements des individus « Susceptibles », leurs rencontres et la probabilité de « transmission » du virus à chaque rencontre. C’est un modèle plus qu’aléatoire qui donne des résultats complètement différents à chaque fois qu’on le lance. Au cours de mes travaux statistiques ces trois dernières années, j’ai vainement essayé de représenter les différentes vagues de l’épidémie de Covid-19 selon les modèles de propagation. Force est de constater qu’il n’y a aucune trace de courbe exponentielle dans aucune des statistiques de mortalité ! L’observation du nombre de décès quotidiens en France depuis 1972 contredit l’hypothèse de propagation comme responsable de l’augmentation des décès : jamais en période déclarée comme épidémique, il n’est possible d’observer une augmentation suffisamment importante de décès d’un jour à l’autre permettant de confirmer une évolution exponentielle. Les accroissements de décès les plus importants se situent lors de périodes non épidémiques, notamment la canicule de 2003. Dans ce modèle, on pourrait ainsi prouver que la chaleur est une maladie contagieuse.. (…)

Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays.  Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Au final, je suis arrivé à la conclusion, cohérente sur le plan statistique, que les conditions climatiques sont un facteur majeur dans la survenue des maladies saisonnières et que l’intervention d’un virus tueur n’est pas forcément nécessaire pour expliquer le phénomène. » 

Le rôle capital du froid

Pierre Chaillot a approfondi cette question du rôle du froid et voilà ce qu’il a répondu à notre journaliste Pryska Ducœurjoly :

« Dans une partie co-écrite avec Jacques Colin de Verdière, ingénieur chimiste, nous montrons que les variations dans les décès correspondent parfaitement aux variations de température. On peut superposer les deux courbes avec une corrélation parfaite, notamment dans la classe d’âge la plus âgée. J’en ai été le premier surpris. On peut même produire des estimations de décès attendus en fonction des courbes de températures. Ces estimations sont bien plus performantes que les modèles épidémiques actuels ! (…)

Que certains soutiennent le fait qu’un virus se propage dans la population, pourquoi pas ?  En revanche, l’analyse statistique ne permet pas de dire que ce quelque chose qui se propage a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Malheureusement, malgré ses multiples failles, l’hypothèse de la contagion virale fait partie des théories non réfutables. [NDLR une théorie non réfutable est par essence non scientifique, puisqu’au contraire toute théorie réellement scientifique admet la discussion, la mise à l’épreuve des arguments, la contre-expérimentation…] On croit fermement que les malades et les morts sont causés par un mystérieux virus et toute déviation des faits par rapport à l’hypothèse sera expliquée par un caprice du virus :
il a muté,
il est en sommeil,
il y a des asymptomatiques,
il se propage non-linéairement,
ils sont en fait plusieurs,
il y a des super-spreaders,
il manque des compartiments dans le modèle, etc.

Mon analyse et celles des auteurs contributeurs ne montrent pas que la baisse de température extérieure est l’élément causal de la mortalité. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher prioritairement parmi les caractéristiques de la personne, dont l’âge est de très loin prédominant, et en second lieu parmi les changements de conditions de vie, notamment celles liées aux saisons. Le changement d’humidité de l’air peut très bien jouer un rôle. Il y a en effet une corrélation presque parfaite entre température extérieure et taux d’humidité.

Nous essayons d’élargir la réflexion pour entrevoir d’autres pistes comme par exemple la prise en compte des conditions d’assèchement de l’air par temps froid qui peuvent favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi bien provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan au moment du début de l’épidémie de coronavirus. Cela permet d’entrevoir des solutions peu coûteuses mais qui ne font pas les choux gras de l’industrie pharmaceutique et de leurs sponsors. On pourrait par exemple installer des humidificateurs d’air dans les hôpitaux et les EHPAD. 

Modifier notre conception des épidémies ne sera pas chose aisée. Nous avons tous été biberonnés à la théorie virale. Dès que plusieurs personnes tombent malades au sein d’un même foyer, on accuse immédiatement un virus. Or cela pourrait simplement être dû au fait qu’on partage les mêmes conditions de vie, qu’on respire le même air ou qu’on est exposé en même temps à un changement climatique. Des études montrent que la composition cellulaire du sang peut varier selon la saison. Il existe très probablement des liens entre « l’état de santé » (le terrain individuel) et les conditions météorologiques. »

Une étude qui tombe à pic

Le hasard faisant toujours bien les choses,  j’avais à peine envoyé à notre graphiste les propos de Pierre Chaillot que je découvrais une publication scientifique traitant de l’influence du froid sur la survenue du rhume et des pathologies grippales. Je me suis  évidemment empressé d’en faire le sujet de ma petite rubrique ZOOM dans la page Santéchos du prochain Néosanté. Vous voulez la lire en primeur ? Allez, puisque c’est bientôt Noël et que le temps hivernal lumineux qui règne actuellement me met toujours de bonne humeur, je vous communique cette réflexion avant son impression dans notre mensuel de janvier :

« Dans son livre (lire pages suivantes), le statisticien Pierre Chaillot démontre que les flambées de grippe covid sont indubitablement et inversement corrélées aux températures :  plus il fait froid dehors, plus les cas de syndromes grippaux attribués au coronavirus augmentent.  Les deux courbes évoluent de manière strictement identique et cela prouve imparablement que la « pandémie » n’était rien d’autre qu’une offensive grippale de moyenne intensité. Cette révélation fracassante tombe à pic car une équipe de scientifiques nord-américains vient justement de découvrir pourquoi le froid facilite le rhume et les autres infections hivernales. Les chercheurs de la Harvard Medical School (USA)  et de la Northeastern University (Canada) ont découvert, à l’intérieur du nez,  une réponse immunitaire jusqu’alors non identifiée à l’égard des virus impliqués dans les troubles des voies respiratoires supérieures.  Selon leur étude publiée en décembre dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology,  cette réponse protectrice est inhibée lorsque les températures sont plus froides, ce qui augmente le risque d’infection.

Jusqu’à présent, la science médicale supposait que la saison du rhume et de la grippe se produisait pendant les mois les moins chauds parce que l’air froid et sec fragilise les muqueuses et parce que les gens se confinent à l’intérieur en accroissant ainsi les occasions de contamination.  Ces nouveaux travaux mettent cependant en évidence une autre explication biologique  – la variation de la réaction immunitaire en fonction du climat  – au caractère saisonnier des infections respiratoires. Bien sûr, les chercheurs sont chaussés de lunettes pasteuriennes et ils imputent la causalité pathogène principale aux particules virales. Leur myopie les empêche également de percevoir que les conflits psycho-émotionnels affectant la sphère ORL et les poumons surviennent fatalement plus souvent lorsque les gens s’enferment dans des espaces clos. Leur découverte d’un mécanisme protecteur  entravé par le froid est néanmoins majeure car elle devrait très logiquement conduire à privilégier la prévention naturelle des refroidissements, vu qu’aucun vaccin ni médicament n’empêchera jamais le mercure de plonger. » 

Comment prévenir les refroidissements ?  Mère Nature nous procure bien sûr toutes sortes de remèdes efficaces. Dans ce même Néosanté de janvier 2023, on vous rappelle les vertus du miel et on vous révèle que des chercheurs belges viennent de vérifier l’efficacité de l’échinacée sur le covid, ce qui n’a rien d’étonnant puisque cette fleur est déjà une parade éprouvée du rhume et de la grippe. De notre point de vue holistique et psychobiologique, ces précautions « matérielles » seront cependant inutiles si vous ne veillez pas particulièrement à votre hygiène émotionnelle et relationnelle durant la saison froide. C’est si –  et seulement si –  vos relations humaines sont refroidies et qu’un conflit existentiel vous contrarie au point de ressentir le climat comme  glacial et l’atmosphère  comme irrespirable que la maladie respiratoire vous guette. Elle vous tombe dessus ?  Restez sereins  car la médecine nouvelle du Dr Hamer enseigne aussi que les symptômes d’une affection surviennent très généralement lorsque la guérison est déjà en chemin. Pour franchir ce cap parfois délicat, pensez à  relire le « protocole anticovid 100% naturel » que nous avons publié dans le Néosanté n° 125 de septembre dernier.

Yves Rasir

(*) Décrypteur infatigable des mensonges officiels,  Pierre Chaillot vient encore de débusquer une  tromperie statistique,  celle du taux de non-vaccinés en France qui est minoré par les autorités et qui est beaucoup plus important qu’elles l’admettent. Dans la dernière visioconférence du CSI, le statisticien revient également sur la dissimulation des effets secondaires du vaccin et de TOUS les vaccins. Vous pouvez visionner cette émission du 8 décembre en cliquant ici.




Bilan 2022, science, guerre, économie, religion : l’euthanasie occidentale

Par Lucien SA Oulahbib

Face par exemple à l’orientalisme ambiant qui sculpte en Occident un islam rose bonbon, quel argument fort pourrait démentir ce produit au fond de l’art contemporain étendu partout (semblable à ces alarmistes coulant leur main dans du bitume) ? Imaginons que les principaux recteurs des mosquées françaises (et européennes) se réunissent pour réclamer la réciprocité religieuse dans leurs pays respectifs d’origine, demandant ainsi que ceux-ci permettent la construction de lieux de culte autre qu’islamique d’une part et que d’autre part aucun de leurs fidèles autres que musulmans ne soit discriminé… Si un tel geste fort était fait, alors là oui il serait possible de parler d’un « islam de France, d’Europe » voire des « Lumières » façon Voltaire et Locke lorsqu’ils défendent la « tolérance »…

Mais ce Geste ne viendra pas, pas plus que la construction d’une vision plus modérée de l’accueil français actuel concernant l’immigration, car cela va à l’encontre de tout un discours qui prétend que celle-ci vit actuellement une situation bien pire que celle d’autres migrations, en niant alors ce que vivaient par exemple les journaliers italiens à la fin du 19e siècle lorsqu’ils étaient chassés à coup de pierre dans les rues d’Arles et traités de « ritals », lorsque les mineurs polonais étaient traités de « polaks », les maçons portugais de « portos », les manœuvres et hommes (femmes) de ménage espagnols de « spingouins », les Asiatiques de « chintocks », etc., etc., sans oublier plus largement les animosités récurrentes entre tribus africaines, la guerre permanente entre sunnites et chiites, japonais et coréens, bref, la xénophobie à tous les étages du genre humain et de ses strates ethniques et politiques, parce que personne n’a envie d’être dominé culturellement ou d’être également mis socialement en concurrence alors que l’emploi se fait soit rare soit reste mal payé…

Cette « xénophobie » de fait (avatar également du sentiment d’appartenance, ainsi l’animosité entre Paris et Marseille) n’a donc rien à voir avec un racisme « systémique » comme on peut le connaître… en pays islamiques justement lorsque ces derniers sont non seulement formellement considérés comme bloc ethnoreligieux fermé (le « national » étant l’Oumma et devant (sollen) rester géo-exclusivement arabe dans la direction de ce qui « l’unit ») se voulant donc bien plus supérieur qu’élu au sens juif d’avoir été choisi par la parole divine pour apporter au monde les Dix Commandements puis d’avoir révélé que le Péché Originel Est pardonné (la venue du Fils ou Verbe pour le dire : et on ne peut aller à l’Esprit du Père que par Lui…)

Or, face à ce désir intrinsèque de supériorité symbolisé ainsi par le refus de voir se construire des lieux de culte autres qu’islamique dans les pays dominés par la direction (sans parler de l’absence, radicale, de théâtre, cinéma, pluralité intellectuelle, ou alors qu’en vernis, pour plaire aux dhimmis onusiens) rien ou si peu a été mis en place en Occident, mis à part, par contre, la violence systémique issue spécialement du totalitarisme léniniste allié de plus en plus (malgré l’expérience fâcheuse iranienne et, en amont, algérienne) à cette direction (que l’on voit maintenant s’effectuer dans des facultés françaises dans des prières clandestines) classant immédiatement « d’extrême droite » toute critique, y compris la plus modérée, l’y interdisant ,la chassant comme une malpropre (tout en larmoyant sur les pendus de Téhéran)… Ou refusant de se demander comment est-il possible qu’un supporter dit « marocain » aille monter sur un balcon belge pour lui enlever son drapeau ? Comme s’il s’agissait de prendre l’étendard de l’ennemi… C’est un acte de guerre au sens strict (comme placer le drapeau marocain sur le fronton d’une mairie). On aimerait d’ailleurs entendre l’avis d’une Françoise Degois voyant dans les excès de ces supporters uniquement de l’excitation festive (idem ou presque Alain Bauer…).

Concernant maintenant les autres thèmes quel bilan ?

Très médiocre pour parler pourtant modérément :

  • l’esprit scientifique basé sur le doute et l’accumulation progressive de certitudes atteintes (ou la connaissance distincte de l’opinion soit le dogme positif) est désormais en perdition, tenu du bout des doigts par une poignée de courageux, mais attaquée sans cesse par des gens corrompus et souvent incompétents en plus, par formation ou par production.
  • Qu’il s’agisse de la santé et du climat par exemple les spéculations ont pris la place des observations et, pis, sont imposées comme « croyance » indépassable (à la façon de Sartre présentant « le » marxisme quasiment ainsi). On entend ainsi partout un « je crois à La Science » posé comme progrès alors qu’il s’agit à l’évidence d’une régression vers un nouveau vaudou et ses amulettes magiques comme le masque et l’injection flash qui n’est au fond que la version médicalisée de la drogue dite illégale : car entre exciter un temps quelques anticorps (ce qui n’a rien à voir avec un vrai « vaccin ») et exciter un temps quelques neurones par cocaïne où est la différence sinon temporelle ?… Au fond, le premier geste semble désormais plus dangereux que le second au vu des effets secondaires (plusieurs millions désormais et nous ne sommes qu’au début, il a fallu des dizaines d’années pour admettre la nocivité de certains médicaments voire du… tabac et de l’alcool pris de façon excessive). Quant au climat on voit bien que les observations par satellite et la paléoclimatologie infirment de plus en plus l’alarmisme d’aujourd’hui.
  • Sur la guerre, en particulier entre L’OTAN (via le régime corrompu dominant à Kiev depuis 2014) et la Russie de Poutine, il s’avère que Minsk n’était que poudre aux yeux comme l’ancienne chancelière Merkel vient de l’avouer…
  • Sur l’économie enfin, on voit bien que le nucléaire et l’agriculture sont sacrifiés sous nos yeux malgré l’apparence du contraire, et que peu à peu, William Saurin aidant, les délocalisations s’accélèrent, même si les marchés des actions flambent puisqu’ils sont surtout liés à la planche à billets des banques centrales et bien moins à l’économie réelle touchée doublement par la globalisation, et surtout l’hégémonie allemande forçant à augmenter les coûts de l’énergie électrique en le basant sur l’éolien et solaire articulés au gaz aujourd’hui rare, ce qui fait que l’attractivité française s’affaisse, seules les grandes villes tirent leur épingle du jeu, laissant la porte ouverte à la fragmentation du territoire laissé à l’abandon et aux expériences d’injections d’immigrés censés redresser la « transition démographique » alors que dans le même temps d’aucuns dont le RN veut sacraliser l’avortement qui devait rester l’exception et non pas la règle lorsqu’il s’agit de se séparer d’une vie à naître alors que tant de couples stériles aimeraient en bénéficier…
  • Si l’altruisme prévaut autant le consacrer aux siens, d’abord ceux de la collectivité nationale française, mais, hélas, plusieurs générations d’enseignants, d’écrivains, de politiques et de journalistes ont tout fait pour la salir comme si c’était la France qui avait inventé le colonialisme et la torture, une dimension repérable hélas y compris dans le film sur Simone Veil où n’est guère expliqué que les femmes poseuses de bombes du FLN ont massacré, assassiné, mutilé des centaines d’innocents, même pas militaires, d’où la nécessité d’aller vite pour stopper les autres poseuses de bombe lors de la « bataille d’Alger » . Mais ces considérations ne sont pas expliquées dans leur complexité aux jeunes générations qui vont alors associer à leur ressentiment endémique, enseigné à l’école de la République et dans les officines wahhabites, un désir de revanche anachronique et « disproportionné » voyant en chaque Français un tortionnaire « systémique »…

Le bilan 2022, s’avère, au fond, non seulement médiocre, mais à mépriser, tant l’enfantement d’un tel monstre n’est guère à la hauteur d’un pays comme la France qui a été le phare du monde, et peut encore le redevenir, si et seulement si cependant l’on écarte la fausse élite qui prétend éclairer. Alors qu’elle l’obscurcit et le tire vers la régression néo-esclavagiste multiforme jusqu’à s’en vanter désormais via la pseudo-sexualité du porno SM chic ou sanitaire (les serveurs avec muselière dans les dîners officiels et sans doute en tenue plus olé olé dans les dîners cocaïnés officieux) jusqu’à cette euthanasie vendue sur catalogue au Canada avec une musique d’ambiance qui cherche à créer une atmosphère forte et envoûtante poussant à la mort les gens fragiles à l’instar de ce cannibale allemand qui avait mis une annonce et reçut 400 réponses… Il est vrai que toute une philosophie cannibale en a fabriqué le fondement.




L’ordre des Médecins : les Bons, les Justes et les Méchants

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Poursuivi par l’Ordre des médecins qui possède une juridiction d’exception qui ne devrait pas exister dans un pays démocratique, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions. Pour moi c’est un tribunal d’exception, car ce sont les mêmes qui définissent ce qu’ils considèrent comme une faute, qui vous poursuivent et qui vous jugent. La justice ne peut être indépendante et donc juste, quand on est à la fois juge et partie. 

J’avais tort : il existe de bons juges, honnêtes, qui ne font pas de politique et jugent sur les faits, contrairement à l’accusation. Si je suis bien tombé, ce n’est malheureusement pas le cas partout, tant il y a de différences d’un département à l’autre, d’une région à l’autre. Ceci n’est pas acceptable, la justice doit être la même pour tous. En effet j’ai rencontré les deux extrêmes : un confrère condamné à 18 mois de suspension pour une ordonnance d’Ivermectine (j’ai écrit une, ce n’est pas un lapsus), et d’autres pour lesquels le département refuse de poursuivre pour 100 prescriptions, au nom de la liberté de prescription, quand celle-ci ne présente pas de danger.

LES MAUVAIS

Je suis convoqué le 17 février 2021 par le CDOM 84, Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins du Vaucluse, par téléphone, « pour parler de mon blog », à la demande du CNOM, Conseil National de l’Ordre des Médecins. Sans plus de précision sur les motifs de la convocation, et ayant besoin d’un justificatif de sortie (confinement), je réclame une convocation écrite, et la reçois par mail 2 jours avant, mail précisant que :

« Le Conseil National nous demande de recueillir vos explications sur les affirmations que vous portez au sujet de certains traitements controversés ».

Je me présente donc à cette réunion, avec 3 « confrères » en face de moi. Comme ils n’avaient aucun élément à me présenter, aucun écrit litigieux de ma part pour que je puisse m’expliquer sur un quelconque manquement, je leur propose de lire un courrier que j’avais fait, à destination du Président du National, afin qu’ils le lui remettent. Ce courrier décrivait ce que je faisais, comment, et dans quel esprit. Ils m’ont coupé avant la fin, pour ne me poser qu’une seule et unique question : « quelle est votre spécialité ?», ce qu’ils savaient parfaitement. Je n’ai jamais eu de réponse à ce courrier, ni à la plainte qu’elle contenait.

Première surprise, au lieu de se contenter de transmettre mes explications, démarche demandée par le CNOM et pour laquelle j’avais été convoqué, le CDOM décide de porter plainte devant la chambre disciplinaire, sans que j’aie pu savoir quelle faute j’aurais pu commettre et sans que je puisse m’en expliquer et donc sans que je puisse m’en défendre !  Ils appellent cela sans doute de la confraternité, l’affaire était entendue, ils n’avaient pas l’intention de m’écouter ni de m’entendre, leur décision était prise d’avance.

Le 8 avril 2021, je reçois un courrier m’avisant que « le Conseil a examiné de nombreux articles » (lesquels ?) que j’ai publié dans le Quotidien du Médecin, et « a décidé de porter plainte, considérant que depuis décembre 2020, dans des billets hautement polémiques, vous vous opposez aux recommandations, que vous appelez à prescrire des thérapeutiques non éprouvées, que les études citées ne font pas la preuve de rigueur scientifique ». On me reproche aussi le fait que le QDM soit accessible au grand public, que je ne suis pas infectiologue, et que je sème le trouble chez les médecins et le grand public.

 Ils joignent à la plainte 4 billets et 11 pièces, le tout ne m’ayant jamais été opposé pour discussion, la première convocation étant censée statutairement être une « réunion de conciliation ».

Billet du 30 janvier 2021, où je reprends ce qu’a écrit l’ANSM dans son mémoire au Conseil d’Etat, rappelant aux médecins qui prescrivent, les lois qu’ils doivent respecter avec un lien sur tous les articles des Codes de la Santé Publique, de la Sécurité Sociale et de Déontologie qu’ils doivent respecter, ainsi que le mémoire de l’ANSM qui les autorise à prescrire. Où est le problème ? Interdit de reprendre ce qu’écrit l’ANSM ? Ce n’est pas précisé.

Billet d’actualités du 7 janvier 2021 où je m’étonne de la création d’un “Conseil des citoyens pour la vaccination”, alors qu’il y a déjà pléthore de Conseils traitant du sujet en en citant une quinzaine, auxquels s’ajoute McKinsey, et je pose la question : “à quoi servent toutes ces administrations et tous ces énarques qui nous coûtent très cher ? ». Je signale également les difficultés de mise en place de la vaccination, citant la presse et Xavier Bertrand. Je fais également le tour de l’actualité sur l’ivermectine, avec l’OMS ayant chargé Andrew Hill d’une méta-analyse, je cite ses résultats, et des articles de presse favorables sur Paris Match, The Times, Daily Mail avec liens correspondants, le tout sans commentaire de ma part. Je cite ensuite une étude intéressante sur la nigelle, proposant de faire des études pour confirmer. Je termine sur les vaccins pour dire que j’ai découvert le possible phénomène ADE (anticorps facilitants), qui est à suivre, et j’évoque l’apparition de variants, à surveiller. Des faits, publiés, et des questions. Où est le problème ? Ce n’est pas précisé.

Troisième billet du 31 décembre 2020 sur les vaccins. Là c’est le scandale, la pièce fournie au dossier a été manipulée à charge ! Nous sommes dans la confraternité ! En effet, c’est un billet édité en 4 pages, et ils n’ont donné que 2 pages contrairement aux autres billets de 4 pages, la première et la dernière. Relisez le billet, je cite les 250 vaccins en cours, je parle de l’intérêt du rapport bénéfice/risque, reprochant des commandes passées avant connaître ce rapport, signalant que les laboratoires, pas fous, n’ont pas voulu assumer le facteur risque. Je décris les différents types de vaccins, je parle des risques possibles, posant plusieurs questions sans rien affirmer. Mais surtout après toutes ces questions, je propose pour rassurer, d’aller sur le site de la Société de pathologie infectieuse, avec un lien vers 4 pages rassurantes sur les vaccins. Ceci n’est bien évidemment pas dans les pages fournies mais écartées. Est-il interdit de poser des questions, de s’inquiéter et de rassurer ? Où est le problème ?

Quatrième billet du 2 février 2021 où je démonte, liens à l’appui, les fact-cheking de l’AFP, de l’Inserm et de la Société Française de Pharmacologie. Chacun cite plusieurs études, moi je détaille ce qui est réellement écrit dans ces études citées, en donnant chaque fois les liens, pour que le lecteur puisse se faire lui-même son opinion. Il s’agit d’un débat, est-ce interdit ? On n’a pas le droit de dire que l’on a une interprétation différente ? Eux ont le droit de donner leur opinion sur ces études et pas moi ? En vertu de quel principe ? Quelle loi ? Le débat est-il interdit ? Comme pour les autres pièces, données sans commentaire, les propos interdits ne sont pas précisés, je ne peux donc argumenter et me défendre.

À ces quatre billets, sont jointes 11 pièces surprenantes, toutes en ma faveur :

L’article de Charlotte BERNIGAUD (montrant l’efficacité à 100% de l’ivermectine en ehpad), notre mémoire pour convaincre le Conseil d’Etat (avec notamment le rapport du Dr Andrew Hill pour l’OMS montrant une division par 4 de la mortalité sous ivermectine), le mémoire de l’ANSM précisant entre autres que les médecins peuvent prescrire, en le soulignant dans le texte), le jugement du référé (sans objet l’ANSM ayant démarré l’évaluation 8 jours plus tôt), un courrier de Me TEISSEDRE apportant des éléments complémentaires promis à l’audience, un article d’Ivmmeta.com (devenu c19ivm.org) signalant 40 études (à l’époque) sur l’ivermectine (dont la moyenne donne 89% de résultat en prophylaxie et 78% sur la mortalité), le pré-rapport de HILL pour l’OMS (aux résultats exceptionnels), un article de Pierre KORY qui dit la même chose, une présentation de Paul MARIK (idem), la méta-analyse de Tess LAWRIE, une lettre de Marc WATHELET, virologue, au Ministre de la santé Belge (qui demande la même chose que nous, avec les mêmes arguments), et l’article de Prescrire pour lequel j’ai déposé plainte (ignorée par l’Ordre). Prescrire cite 2 études positives et 9 « négatives », alors que les conclusions de ces études disent le contraire ! J’avais fait un billet pour le démontrer, que le CDOM s’est bien gardé de donner : le débat contradictoire, béaba de la justice, connaît pas !

Manifestement le CDOM 84, pour démontrer que l’Ivermectine est peu recommandable et ne doit pas être prescrite, n’a lu aucune de ces pièces présentées , car toutes démontrent le contraire ! Ou alors il ne sait pas lire.

Par la suite j’ai présenté un mémoire en défense, démontant toute l’accusation infondée, puis le 21 avril 2021, le CDOM 84 a fait une réponse à notre réponse, ajoutant 2 pièces pour étayer son accusation.

La première est la décision négative de l’ANSM, datée du 1 avril 2021. Comment pouvais-je  avoir connaissance de cette décision 4 mois plus tôt ? Drôle d’accusation s’appuyant sur des éléments postérieurs aux faits ! Ceci serait rejeté par n’importe quel tribunal normal. La seconde tente de faire croire à la toxicité de l’Ivermectine avec un article concernant le centre anti poison de l’Oregon, signalant que des américains avaient pris des formes vétérinaires jusqu’à 10 fois la dose (aucun décès). Quel rapport avec les prescriptions faites par des médecins ? De plus c’est ce qui arrive quand on interdit. Personnellement je regarde plutôt les rapports de pharmacovigilance, qui à l’époque (N°18 du 11 janvier 2021), ne signalaient aucun effet secondaire déclaré pour l’ivermectine, même bénin, contre 219 pour le Lopinavir par exemple.

LES JUSTES

Je me présente donc à l’audience le 13 octobre 2022. En face, un Président, magistrat non médecin, Président honoraire des tribunaux administratifs et des cours d’appel administratives, et 6 juges, médecins. Le Président est venu me voir avant, pour me dire de ne pas en vouloir à mon avocat s’il ne plaidait pas, il n’en avait pas le droit, car c’est une procédure écrite, on ne parle que si les juges posent des questions pour éclaircir certains points. Je lui dis que j’avais préparé une petite intervention de 5-10 minutes, il me répond que c’est 5-10 minutes de trop, pas question. Drôle de procédure depuis le début, où l’accusé ne peut s’exprimer face aux juges.

Le rapporteur présente alors le dossier, tout à fait correct, expliquant qu’en gros, j’avais relaté toutes mes démarches avec l’administration, je le (la en fait) sens favorable. Elle ne posera qu’une question au Président du CDOM 84, pour signaler que l’accès au QDM n’est pas si évident que cela pour le public.

Le Président de la Chambre Disciplinaire s’exprime, il a manifestement bien épluché le dossier de A à Z, je sens qu’il a compris beaucoup de choses sur le fond du problème. Après une petite joute amicale entre spécialistes avec mon avocat, concernant les droits à la défense (à laquelle je ne comprends pas grand-chose), il insiste sur son attachement à la liberté d’expression. À la fin, pour appuyer les remarques du rapporteur au président du CDOM 84, il fera une petite erreur en précisant que pour accéder au QDM, il fallait un n° de RPPS. Erreur excusable pour un non médecin, mais surpris de voir que ni le Président du CDOM 84, ni les 6 assesseurs médecins n’ont relevé l’erreur, ce qui montre que les médecins ne lisent pas beaucoup la presse professionnelle, surtout le CDOM 84 qui m’accuse de quelque chose qu’ils ne connaissent pas.

À la fin, le Président me donne la parole par sympathie, « pour que je ne sois pas déçu de n’avoir pas pu parler ». Correct, je fais au plus court, me contentant de ne relever deux points soulevés en audience par le CDOM 84, signalant d’une part que je ne suis pas responsable si le public peut accéder au QDM, et que c’est le cas pour toutes les revues médicales, même les plus pointues, et qu’ensuite, comme le CDOM insistait sur le fait que je ne suis pas infectiologue, je précise que je n’ai jamais eu cette prétention, mais que par contre je suis un de ceux qui en France connaît le mieux l’ivermectine, avec une bibliographie de plus de 450 articles fournis par Medincell.

Le Président clôt la séance (15 mn en tout), en remerciant de manière appuyée sur le fait que je suis venu seul, dans le calme, qu’il l’avait remarqué et apprécié. Je suppose que certains avaient dû le prévenir qu’il y aurait une manifestation. Au début de son intervention, il avait aussi salué la qualité du dossier “très bien argumenté”.

LE DÉNOUEMENT

Fin novembre 2022 je reçois la décision de la chambre disciplinaire : la plainte du CDOM 84 est rejetée, et une somme de 3 000 € est mise à la charge du CDOM.

Suite mais pas fin, il y a 10 jours je reçois une lettre recommandée, le CDOM 84 fait appel, appel qui est suspensif. Je pensais que cela viendrait du National, non c’est le Départemental qui s’acharne. Je dis s’acharne car lors de l’audience, alors qu’on ne lui demandait rien, le Président du CDOM a dit qu’il ne s’agissait pas d’un acharnement à l’égard du Dr Maudrux. Puisqu’il le dit, je suis bien obligé d’en conclure, que devant un dossier si vide, un jugement clair, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Vengeances syndicales, ordinales, de la part de membres du CDOM ? Je n’en sais rien.

Cette action ne vient pas de patients ou de politiques, mais de confrères qui tentent de salir une carrière complète exemplaire, sans aucun faux pas, au service des patients, des confrères dans le bénévolat total, dévouement reconnu par les patients et par les confrères. Ceci pour avoir défendu une certaine idée de la médecine, pour avoir défendu l’obligation de soigner et la liberté de prescription du médecin, tous deux inscrits dans la Loi et le Code de déontologie, et pour avoir voulu appliquer le Serment d’Hippocrate, le Code International d’Ethique, des déclarations Genève de 1947 d’Helsinki de 1964, toutes signées par l’Ordre, et qui stipulent, je cite : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé».

S’ils sont là pour contrôler et empêcher le mensonge, ils ne sont pas là pour interdire le débat scientifique, inventer un délit d’opinion, ignorer la bonne foi si nécessaire (reconnue par les autres tribunaux), et se prendre pour une police politique, au lieu de faire de la médecine. Les polices politiques sont les images les plus sombres de certains pays, et de certaines périodes chez nous.

Distilbène, Dépakine, Médiator, Lévothyrox, Isoméride, hormone de croissance, Stalinon, chlordécone, amiante, Vioxx et d’autres, toutes des affaires soulevées par la base, médecins, patients, contre des substances « éprouvées », et défendues par les autorités. Avec les méthodes actuelles, tous ces produits auraient fait encore plus de morts.

Je ne sais pas ce que donnera l’appel, le CDOM tentant de se rapprocher des donneurs d’ordre pour juger au National après avoir échoué en province, mais ils ont déjà gagné : deux ans de censure, deux ans de soucis, et des frais correspondants à 2 mois de retraite, et c’est reparti pour un tour. Ils n’ont sans doute pas remarqué, que dans confrères, il y a aussi le mot frères.




L’Humanité est-elle condamnée à la disparition, même sans bombe nucléaire ?

« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1

Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)

« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».

Chute de la fertilité2 affirmée par l’ONU

En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3

Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100

Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.

La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).

Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.

Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?

Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».

Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).

Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.

PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT

Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.

La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…

La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5

Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.

Quels sont les faits avérés ?

En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants

L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.

2 décembre 2022 :

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».

Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…

Aux USA la natalité a baissé aussi depuis 2008 6

« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».

Et en 2022, aggravation probable.

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.

Selon Brighteon.TV :

« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.

Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.

La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »

AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE

L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.

Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.

« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement
. »

La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?

Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.

« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8

https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse

a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9

BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».

Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

Néanmoins il suppute :

« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.

Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11

L’Allemagne et la Suède
L’Espagne

Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12

Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.

En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.

« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »

José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.

Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles

En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.

Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.

En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.

Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?

Beaucoup s’interrogent : @elonmusk

« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »

Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :

« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »





Une organisation suisse veut créer des banques de « sang non-vacciné » contre le Covid

[Source : FranceSoir]

Le rejet du vaccin anti-Covid prend une tout autre forme. « Horrifié » par le sang contenant un vaccin anti-Covid, George Della Dietra, un naturopathe suisse, a fondé Safe Blood Donation (don de sang sain, Ndlr), une organisation à but non lucratif, dont l’objectif est de mettre en relation des demandeurs et donneurs de sang non vaccinés et constituer, à terme, une banque de sang issue des dons de personnes non-vaccinées. En Nouvelle-Zélande, des parents ont refusé que leur enfant malade reçoive du « sang de vacciné » et en ont partiellement perdu la garde mercredi 7 décembre.

George Della Dietra a exprimé dans une déclaration son “horreur” après avoir étudié un sang ayant reçu un vaccin anti-Covid. “Je n’ai jamais vu de sang comme ça. C’était, pour être honnête, la principale raison pour laquelle j’ai commencé tout ça, parce que quand j’ai vu ça, j’étais tellement horrifié”, a-t-il déclaré. Il s’est dit convaincu que « toute cette affaire de vaccination” a pour but de “contrôler les gens”. Il estime ainsi que toute personne n’ayant pas été vaccinée a le droit de recevoir du sang qui ne contient pas de technologie ARNm.

En créant Safe Blood Donation, ce naturopathe explique ainsi sa volonté d’être “une plateforme pour les personnes qui souhaitent avoir le libre choix des donneurs de sang… Qu’ils pensent qu’il existe une véritable théorie du complot, que le Nouvel Ordre Mondial est en train de se produire, ou qu’ils disent simplement qu’ils ne veulent pas de ce sang pour une raison quelconque”a-t-il déclaré.

“Faire pression sur les autorités”

La tâche s’annonce ardue. À se référer au New York Times, environ 71,1 % de la population mondiale a déjà reçu une dose d’un vaccin contre le Covid-19. Aux États-Unis, une étude de septembre 2021 publiée dans le journal de l’American Medical Association affirme que 83,3% des dons de sang avaient des anticorps combinés en raison de la vaccination. “Je reçois des centaines d’e-mails me demandant : ‘Avez-vous du sang, parce que je dois être opéré dans trois semaines’”, a déclaré Della Dietra.

Outre la création de banques de sang “non-vacciné”, SafeBlood Donation, qui compte des membres dans au moins 16 pays, entend “faire pression sur les hôpitaux et les autorités sanitaires du monde entier pour qu’ils autorisent des “dons dirigés” de sang” ne contenant pas de traces du vaccin, explique encore son fondateur. Les membres de cette organisation demandent ainsi aux autorités de modifier leurs politiques. “Dès que nous aurons suffisamment de partenaires médicaux (pour l’application, la collecte et le traitement du sang), nous commencerons par la médiation », affirme son fondateur.

Les autorités médicales n’autorisent effectivement pas ces “dons dirigés”. Les autorités sanitaires de plusieurs pays, comme les États-Unis ou le Canada affirment qu’il y a “aucun risque à recevoir du sang de personnes ayant été vaccinées”. En plus de cela, la réception des dons de sang dans les centres de transfusion n’est pas organisée selon le statut vaccinal des donneurs.

Un couple néo-zélandais perd la garde de son enfant

Les cas de personnes non vaccinées qui demandent un don de sang provenant de personnes non vaccinées, se font de plus en plus entendre depuis l’été dernier. En Nouvelle-Zélande, un couple a perdu mercredi 7 décembre la garde de leur fils de quatre mois en raison de son refus qu’il reçoive du sang provenant de personnes vaccinées avant une opération cardiaque.

Le nourrisson de quatre mois souffre de sténose valvulaire pulmonaire et l’intervention chirurgicale a été retardée. Leur demande de transfuser leur enfant avec un sang « non-vacciné » a été rejetée car les hôpitaux de Nouvelle-Zélande ne séparent pas le sang donné selon le statut vaccinal des donneurs.

Les parents, accusés de « complotisme » par l’avocat de la partie adverse, ont perdu temporairement la garde de leur enfant, les autorités ayant demandé à la justice de leur confier la garde partielle du bébé. Le couple conservera son autorité sur leur enfant à l’exception de ce qui concerne les affaires médicales.




Carte de France des suspendus !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Suspendus : beaucoup plus de monde que ce qu’on nous dit !

Vous êtes suspendu ?
Contactez directement Marius Jacob :



https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?hl=fr&mid=1aGrhoLEC4Sowi-3T-tCJTnZzMbIskGM&ll=47.758316174021616%2C2.087203398463235&z=5

  • Source : Télégram : @mariusjacob7891



REVUE DE PRESSE DU 11 DÉCEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
Fraude, censure et radiations

Partout dans le monde les témoignages affluent au sujet des mécanismes de la censure que viennent renforcer les twitter files, tandis qu’Albert Bourla le PDG de Pfizer refuse toujours de se présenter devant les parlementaires européens, qu’un professeur de médecine japonais dénonce les documents falsifiés et que le projet de gouvernance mondiale de la santé avance à l’OMS. Des voix se lèvent contre le port du masque et les faux positifs, sur fond de graves effets indésirables reconnus par l’ANSM et une explosion mondiale de maladies cardiaques, tandis que certains ordres continuent de radier des médecins pour avoir osé contrer le discours officiel et mensonger.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Il y a une organisation globale pour augmenter la censure, selon le Pr PERRONNE

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/christian-perronne-organisation-globale-augmenter-censure

« Il ne faut pas toucher aux enfants (…) Ils font des formes bénignes et ne transmettent pas le virus (…) Faut rester zen. On va nous sortir d’autres causes de peur pour essayer de continuer à nous asservir, mais les gens doivent se sentir libérés de cette pandémie. »

Le Dr Kierzek défend la réintégration des soignants non vaccinés

https://dissidentofficiel.com/le-dr-gerald-kierzek-defend-avec-brio-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines-ca-ne-fait-plus-aucun-sens-cette-histoire-video-complete/

« Il est revenu sur… le mythe selon lequel ce serait le nombre de contaminations qui serait à prendre en compte, alors que tout le monde sait que c’est en fait la mortalité causée par le virus qu’il faut surveiller. »

Rétablissons les suspendus dans leurs droits

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/science-sans-conscience-et-politique-sans-ethique-par-patrick-de-casanove/

« Réintégrer les soignants non vaccinés pourrait être le premier pas pour démonter la machine infernale que les politiques ont mise en route au prétexte des COVID. »

Pour ne pas s’allier avec le RN, LFI retire sa proposition de texte de loi pour la réintégration des soignants suspendus

https://www.francesoir.fr/politique-france/soignants-suspendus-les-insoumis-refusent-de-defendre-le-texte-avec-le-rn-et

Selon le RN : « Macronistes et Insoumis empêchent donc les soignants suspendus de reprendre le chemin des hôpitaux et autres cabinets médicaux. »

Les fraudes de l’émission Complément d’enquêtes du 17 novembre 2022

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/nicolas-vedrinesla-presentation-des-preuves-de-complement-d-enquete-est-frauduleuse

« “Au moins une dizaine de fake” : c’est le nombre de fausses preuves qu’affirme avoir identifiées Nicolas Védrines, soignant diplômé en ingénierie et passionné par les études de méta-analyses. »

ÉTRANGER

AUSTRALIE — Mécanismes de la censure à l’heure du Covid 19

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/brian-martin

« Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.
Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix/Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l’Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l’auteur de 22 livres et de centaines d’articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d’information et la démocratie.
 »

Le PDG de Pfizer refuse toujours d’être auditionné par le Parlement européen

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-pdg-de-pfizer-refuse-toujours-d-etre-auditionne-par-les-parlementaires-europeens

« Beaucoup de mystères entourent toujours les commandes de vaccins à ARNm de Pfizer-BioNTech passées avec la Commission, qui s’est aussi refusée à communiquer les prix pratiqués.
Les échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, sont tenus encore secrets à ce jour. »

JAPON — Le Pr FUKUSHIMA fustige le ministère de la Santé.

Vidéo sans langue de bois, « le Professeur Fukushima demande à ses interlocuteurs de se baser systématiquement sur les faits réels, l’état clinique, la situation des malades et certainement pas sur tous les documents officiels falsifiés, trafiqués depuis le début de la crise sanitaire. »

Royaume-Uni — La liberté académique est morte

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-liberte-academique-est-morte-un-professeur-de-stanford-raconte-son-enfer

Si « les dirigeants universitaires ne défendent pas la liberté académique, ils ne méritent pas les postes qu’ils occupent. »

La première version du traité de l’OMS sur les pandémies

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/exclu-la-premiere-version-du-traite-oms-sur-les-pandemies/

« Le traité pose donc crûment le “global health governance”, la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie… »

USA — Suite des twitter files

https://www.francesoir.fr/politique-monde/twitter-files-la-journaliste-bari-weiss-devoile-des-listes-noires-qui-limitaient

La journaliste Bari WEISS a cité le cas du Dr Jay Bhattacharya de l’Université de Stanford, qui avait exprimé son opposition au confinement durant l’épidémie de coronavirus en 2020. « Twitter l’a secrètement placé sur une “liste noire des tendances”, empêchant un reach important. »

JUSTICE

Les radiations continuent, avec celle du Dr Marc Girard, expert auprès des tribunaux

« Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre… »

Capsule de Maître X

https://crowdbunker.com/v/ps826jgFZR

Où il est question d’un Conseil de l’Ordre qui rejette une demande d’une CPAM concernant des prescriptions hors AMM, d’un référé qui donne raison à une employée non vaccinée, et d’une plainte auprès de la Cour pénale internationale. Liens sous la vidéo

IRLANDE Enquête sur un décès d’adolescent après vaccin Pfizer

https://www.francesoir.fr/societe-sante/enquete-en-irlande-sur-le-deces-d-un-adolescent-apres-avoir-recu-un-vaccin-pfizer

« L’instruction, qui commençait à la cour de Castlebar, dans le comté de Mayo, en Irlande, pourrait durer des années et aboutir à la mise cause du vaccin du laboratoire américain dans la mort de cet adolescent. »

COVID

Origine du Covid, nouveaux éléments

https://nypost.com/2022/12/03/scientist-with-ny-non-profit-tied-to-wuhan-lab-says-covid-man-made-virus/

« Andrew Huff, qui travaillait pour une organisation à but non lucratif basée à New York qui étudiait les virus, a déclaré que le COVID s’était échappé de l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, il y a plus de deux ans, et a accusé les autorités d’être à l’origine du “plus grand échec du renseignement américain depuis le 11 septembre”, a rapporté samedi le journal britannique The Sun. »

TRAITEMENT et STRATÉGIES

ALLEMAGNE — le président des pédiatres déconseille le port du masque chez les enfants

https://exxpress.at/infektionswelle-praesident-der-kinderaerzte-raet-dringend-von-maskenpflicht-ab/

« C’est précisément le port de masques au cours des 2 dernières années qui a entraîné un affaiblissement du système immunitaire chez les enfants. »

Les masques sont des bâillons inutiles

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-masques-sont-des-baillons-inutiles-et-dangereux-pour-la-sante-mentale-et-physique/

« Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants. »

Le masque est un gadget politique

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/gerald-kierzek-le-masque-est-un-gadget-politique-qui-eclipse-la-crise-generale-du-systeme-de-sante-20221209

« L’obligation du port masque, en particulier dans les transports en commun, n’a plus de sens pour différentes raisons. Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les virus de l’hiver sont particulièrement contagieux, masque ou pas. »

Les tests PCR faux positifs sont nombreux

« Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants/Non Mme de Marval, et l’AFPles résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérablesaux individus et à la société. »

EFFETS INDÉSIRABLES

L’ANSM annonce au 17 novembre 2022 46 989 effets indésirables GRAVES

« Malgré ce massacre de masse, aucune alerte n’a été lancée par l’ANSM qui estime toujours que la balance bénéfice/risque est positive, ce qui est une première dans toute l’histoire de la médecine moderne. »

Les cobayes de Pfizer ne pouvaient pas signaler les effets secondaires graves

« Le produit dit vaccin de Pfizera bien été distribué sans la moindre preuve de non-dangerosité. »

Explosion de maladies cardiaques post-vaccinales

« Les auteurs d’une étude portant sur 25 patients décédés et autopsiés déclarent qu’au cours des “20 dernières années à l’hôpital universitaire de Heidelberg, ils n’ont vu aucune inflammation (!) comparable dans le muscle cardiaque.” »

RÉSISTANCES

FranceSoir fait appel de la décision de retrait de leur agrément

https://twitter.com/france_soir

« Le directeur de la publication, @xazalbertsouhaite apporter de nouvelles informations aux lecteurs et les remercie pour leur soutien. »

Qui veut la peau de FranceSoir ?

« Du jamais-vu depuis la loi de 1881 qui a instauré le droit d’information et la liberté d’expression, à l’exception de l’occupation. »

CSI n° 82 du 8 décembre 2022

https://crowdbunker.com/v/eggDF4HVK5



Invité : Pierre CHAILLOT statisticien et auteur de la chaîne Décoder l’éco
Sujet : le ministère de la Santé avoue que les non-vaccinés sont bien plus nombreux !




Un article du Dr Joseph Mercola — La refonte de notre système alimentaire est un complot de contrôle : « la nourriture est un médicament »

[Source : guyboulianne.info]

John D. Rockefeller

La destruction planifiée de notre système alimentaire est bien engagée, sous la bannière d’une « refonte » pour une plus grande « équité ». Fin septembre 2022, la Maison Blanche a accueilli la Conférence sur la faim, la nutrition et la santé, au cours de laquelle le président Biden a défini un « objectif audacieux » pour « éradiquer la faim et accroître une alimentation saine et l’activité physique d’ici 2030 ».

L’objectif déclaré est de mettre fin aux maladies liées à l’alimentation, tout en « comblant les disparités entre les communautés les plus touchées ». À première vue, il peut sembler que le gouvernement s’intéresse enfin à la nutrition et réalise son impact sur la santé est une excellente nouvelle. Mais les choses ne sont pas du tout ce qu’elles semblent être.

Méfiez-vous du loup déguisé en mouton

Une longue liste d’entreprises et d’organisations civiques, académiques et philanthropiques ont été identifiées lors de cette conférence comme ayant été choisies pour ouvrir une nouvelle voie vers la santé et le bien-être pour tous. Pour mettre en évidence quelques-uns de ces sauveurs présumés, DoorDash, Google et Warner Bros. sont parmi ceux qui ont amélioré l’accès à la nourriture et l’abordabilité. Danone, Dole, Instacart et Walgreens permettront aux consommateurs de faire et d’avoir accès à des choix sains, et la Fondation Rockefeller fait partie du groupe qui s’attaquera à l’amélioration de la recherche sur la nutrition et la sécurité alimentaire.

Je suis sûr que vous vous sentez déjà chaud et confus, sachant que votre santé et votre sécurité alimentaire sont entre de telles mains compétentes et responsables.

Pour commencer, Biden a affecté 8 milliards de dollars pour financer des entreprises qui effectueront des dépistages nutritionnels et intégreront la nutrition dans les soins de santé, des startups axées sur des solutions à la faim et à l’insécurité alimentaire, et une philanthropie qui « améliore l’accès à des aliments nutritifs, promeut des choix sains et augmente l’activité physique ». Mais comme le rapporte le journaliste d’investigation Corey Lynn :

« Le récit est de convaincre tout le monde que cela est dû au COVID et au changement climatique, et par conséquent, ces soi-disant dirigeants inefficaces auront soudainement à cœur l’intérêt du peuple et feront enfin le travail.

« La réalité est que le déclin économique dû aux blocages, aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement manufacturée, à la fermeture de milliers d’entreprises, à l’inflation intentionnelle et aux conditions de santé exploitées pendant et après la pandémie orchestrée est ce qui a créé une perte de revenus, une incapacité à se permettre de la nourriture et du gaz, et une perturbation complète du bien-être de chacun. »

Le triple objectif

Comme l’a détaillé Lynn, l’objectif derrière cette “révolution alimentaire” est triple et n’a rien à voir avec l’amélioration réelle de l’accès à des aliments sains et la réduction du fardeau de la maladie. Il s’agit vraiment de contrôler la population par l’alimentation, en :

1. Faire participer le plus de personnes possible aux programmes SNAP (assistance nutritionnelle supplémentaire) et WIC (femmes, nourrissons et enfants) afin que les achats et les dépenses puissent être contrôlés grâce à des jetons alimentaires numériques. En fin de compte, l’objectif est de faire entrer tout le monde dans un système alimentaire socialiste basé sur des jetons d’aide gouvernementale.

2. Intégrer l’alimentation et la nutrition aux soins de santé afin que les politiques alimentaires et de santé soient regroupées sous un même toit. Cela facilitera la création de nouvelles politiques, le financement et le contrôle dans les deux domaines. Les achats de nourriture et les dossiers médicaux seront liés à votre passeport vaccinal/identité numérique, qui contient également vos dossiers scolaires, vos relevés de voyage, vos relevés de travail et vos comptes bancaires.

« C’est un grand plan directeur. En formant des milliers de médecins à ce nouveau modèle de “la nourriture est un médicament”, en déployant un dépistage nutritionnel, des repas médicaux et en produisant des ordonnances, ils jettent les bases de tout cela », écrit Lynn. « ‘Food is Medicine’ sont LES mots-clés utilisés pour faire campagne, lancer des programmes, modifier les politiques et le financement, agréger les données, lier l’industrie des soins de santé à l’approvisionnement alimentaire et, en fin de compte, dépister, suivre et contrôler les gens par le biais de la nourriture. »

3. Modification des normes alimentaires, des catégories d’aliments et de la nutrition – L’agriculture traditionnelle de céréales et de plantes sera remplacée par la culture verticale en intérieur de semences OGM brevetées, tandis que l’élevage d’animaux sera régulé dans l’oubli afin d’être remplacé par des fermes d’insectes (ce que l’on appelle le micro-élevage), des aliments génétiquement modifiés et de la viande cultivée en laboratoire.

L’histoire se répète

Il peut être tentant pour certains de croire que le gouvernement a finalement changé d’avis et est vraiment déterminé à améliorer la santé publique en abordant la nutrition et en lui donnant le rôle central qu’elle mérite. Si c’est vous, je vous exhorte à considérer l’histoire de la façon dont nous sommes arrivés ici en premier lieu, et comment les mêmes acteurs qui ont détruit notre système alimentaire la première fois prétendent à nouveau être nos sauveurs.

John D. Rockefeller est celui qui a retiré la nourriture de la médecine il y a 112 ans grâce à son financement et à l’ingénierie de mise en œuvre du rapport Flexner. Aujourd’hui, plus d’un siècle plus tard, la Fondation Rockefeller fait semblant de remettre de la nourriture. Cependant, un examen minutieux révèle que la motivation réelle et les objectifs sont identiques.

Il y a un siècle, la nutrition a été éliminée de la médecine afin de prendre le contrôle du système médical et de le rendre dépendant de médicaments brevetés dérivés du pétrole qui ne peuvent pas guérir la cause sous-jacente de la maladie. Maintenant, l’objectif est de contrôler le système alimentaire en le combinant avec la médecine, dont ils ont déjà un contrôle total.

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Le plan de Rockefeller pour monopoliser la médecine, la banque et la nourriture

La famille Rockefeller a une longue histoire de destruction de systèmes fonctionnels afin de les remplacer par quelque chose qui leur profite et/ou résout le problème de la surpopulation mondiale. Par exemple, avec General Motors, Rockefeller a secrètement acheté et démantelé le système de transport public aux États-Unis, pour promouvoir le besoin d’une voiture familiale. Ils ont également remplacé les tramways électriques par des bus gourmands en essence pour développer leur activité pétrolière. En 1902, Rockefeller a financé la création du General Education Board, à travers lequel il avait l’intention de contrôler l’éducation publique. D’autres plans soutenus par le pétrole pour façonner et remodeler le système éducatif américain ont suivi, notamment un plan visant à modifier l’enseignement de l’histoire américaine pour promouvoir une vision du collectivisme, ainsi qu’un programme aboutissant à la transformation de la pratique de la médecine.

La phytothérapie basée sur la naturopathie était la norme à cette époque, et Rockefeller a entrepris de faire évoluer l’industrie médicale vers l’utilisation de produits pharmaceutiques dérivés du pétrole à la place. À cette fin, le Rockefeller Institute for Medical Research a été créé en 1901, dirigé par le Dr Simon Flexner qui, à l’époque, était professeur de pathologie expérimentale à l’Université de Pennsylvanie.

Le frère de Flexner, Abraham, a été engagé pour rédiger un rapport sur l’état du système d’éducation médicale américain, et son étude, The Flexner Report, publiée en 1910, a ouvert la voie à Rockefeller pour une refonte complète du système médical américain. À la suite de ce rapport, pratiquement toutes les thérapies médicales naturelles ont été criminalisées et les praticiens ont été mis hors service et remplacés par des médecins “scientifiques” qui ont appris à prescrire des drogues synthétiques brevetables, inventées dans les propres centres de recherche du cartel pétrolier.

À peu près à la même époque, Rockefeller a également pris le contrôle du système financier américain grâce à la création de la Réserve fédérale, établie en 1913. Depuis lors, les Rockefeller sont des courtiers influents dans le secteur bancaire. Ils ont également cherché à consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire mondial, en utilisant la philanthropie comme couverture. La Fondation Rockefeller a financé la Révolution verte qui a conduit à l’introduction de produits chimiques agricoles à base de pétrole, qui ont rapidement transformé l’agriculture, tant aux États-Unis qu’à l’étranger.

Le programme “Food for Peace” du président Johnson imposait l’utilisation de technologies et de produits chimiques dépendant du pétrole par les bénéficiaires de l’aide, et les pays qui ne pouvaient pas se le permettre ont obtenu des prêts du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale. La Fondation Rockefeller a également financé la “révolution génétique” qui nous a apporté des semences génétiquement modifiées brevetables. Aujourd’hui, la Fondation Rockefeller fait partie du casting de la Grande Réinitialisation (The Great Reset), qui cherche à prendre le contrôle total de chaque personne dans le monde – financièrement, médicalement, physiquement et psychologiquement. Et maintenant, enfin, le rêve de Rockefeller de contrôler tous les aspects du système alimentaire – en plus de la finance, de la médecine, de l’énergie, des transports et de l’éducation – se concrétise.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Comment la Fondation Rockefeller va réinitialiser votre table

En juillet 2020, alors que la pandémie de COVID prenait de l’ampleur, la Fondation Rockefeller a publié un rapport intitulé “Reset the Table: Meeting the Moment to Transform the US Food System” (Réinitialiser la table : rencontrer le moment de transformer le système alimentaire américain). Dans ce document, ils affirment que la pandémie de COVID a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition » aux États-Unis « contrairement à tout ce que ce pays a connu depuis des générations ».

Remarquez, la COVID a été déclaré pandémie le 11 mars 2020, donc au moment de la publication de ce rapport Rockefeller, la pandémie n’existait que depuis quatre mois, et bien que certains groupes à haut risque aient connu l’insécurité alimentaire, comme les enfants dont le repas principal est un déjeuner scolaire, les pénuries alimentaires généralisées, en termes d’étagères vides, n’étaient pas très répandues ou particulièrement graves aux États-Unis. Quoi qu’il en soit, selon la Fondation, la pandémie a révélé de profonds problèmes dans le système alimentaire américain qui doivent être “réinitialisés”. Par coïncidence, “Reset the Table” a été publié juste un mois après que le Forum économique mondial (FEM) a officiellement annoncé ses plans pour une “Grande réinitialisation”, et de nombreux contributeurs au document de la Fondation sont membres du FEM.

Il y a beaucoup de détails intéressants dans ce document. Par exemple, à la page 3, il est indiqué que « 94% des décès dus au COVID-19 chez les personnes atteintes d’une maladie sous-jacente, dont la majorité sont liées à l’alimentation ». Ceci est surprenant, étant donné que le régime alimentaire et la nutrition étaient essentiellement absents des discussions publiques et des reportages sur l’infection.

À la page 10, la Fondation déclare que « la nourriture est un médicament » et qu’en « investissant dans des régimes alimentaires sains et protecteurs », les Américains pourront « prospérer et réduire les coûts de santé étouffants de notre pays ». Le rapport poursuit en appelant à l’expansion des programmes de prescription de produits, car « la santé alimentaire et les résultats du COVID-19 sont clairement liés ».

C’est essentiellement mon enseignement au cours des dernières décennies, et plus encore pendant la pandémie, qui m’a finalement valu l’honneur d’être étiqueté comme étant le principal diffuseur de désinformation aux États-Unis. Pourtant, voici la Fondation Rockefeller, entièrement d’accord – du moins en théorie car en fin de compte, leur définition d’une alimentation saine est diamétralement opposée à la mienne, et probablement à la vôtre aussi.

Bastardiser la notion d’une alimentation saine

Depuis plusieurs années, le FEM promeut l’idée qu’il faut s’habituer à manger des mauvaises herbes et des insectes (lire cet article), car l’élevage d’insectes est beaucoup moins cher, nécessite peu de ressources naturelles comme l’eau et pourrait réduire la pollution agricole de près de 99 %. Pendant des années, le FEM a également promu l’idée que les aliments pour animaux cultivés en laboratoire et les cultures génétiquement modifiées sont le seul moyen de nourrir le monde et de sauver la planète.

Sans surprise, le mot “biologique” n’apparaît pas une seule fois dans le rapport de la Fondation Rockefeller, et le mot “naturel” n’est utilisé qu’en référence aux “catastrophes naturelles”. Ceci malgré le fait que le mot « sain » ait été utilisé 33 fois et le mot « durable » 17 fois.

Le terme “protéines alternatives” apparaît une fois, et il n’y a aucune mention de “nourri à l’herbe”. En d’autres termes, leurs versions d’« alimentation saine » et d’« agriculture durable » n’incluent aucun des critères de base pour un approvisionnement alimentaire vraiment sain, nutritif, durable et régénérateur.

Compte tenu de son réseau étroit avec le FEM, il semble raisonnable de conclure que le “régime sain” auquel la Fondation Rockefeller ne cesse de se référer est celui des mauvaises herbes et des insectes, et que les types de changements à la législation et aux normes qu’ils ont l’intention de faire adopter sont ceux liés à ce qui constitue la “nourriture”.

Comment ils entendent prendre le contrôle de la chaîne d’approvisionnement

“Reset the Table” décrit comment ils entendent prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de la chaîne d’approvisionnement sous couvert d’« équité » et de « protection de l’environnement ». Ce sont exactement les mêmes mots-clés utilisés dans la conférence de Biden sur la faim, la nutrition et la santé.

L’une des clés de cette entreprise est la collecte de données. Ils veulent collecter des données sur les dépenses et les habitudes alimentaires de chacun. À cette fin, la Fondation souhaite que tout bascule dans un environnement en ligne, y compris la médecine et l’achat de nourriture. Ceci, bien sûr, rend tout ce que vous faites beaucoup plus facile à surveiller et à suivre. Comme l’a noté Lynn, faire participer les gens aux programmes SNAP et WIC et utiliser des jetons alimentaires numériques permettra également la surveillance et le contrôle.

Une troisième clé du succès réside dans les « changements de politiques, de pratiques et de normes ». Cela comprend sans aucun doute des campagnes visant à changer l’opinion des gens sur les insectes en tant que source de nourriture et la législation connexe. Enfin, l’objectif est de centraliser le contrôle de l’approvisionnement alimentaire dans un bureau exécutif unique, ce qui est parfaitement conforme à l’idée d’un gouvernement mondial unique.

Dans son article, Lynn poursuit en coupant à travers les écrans de fumée en couches pour démêler les véritables intentions derrière le battage médiatique. Ici, je vais me concentrer sur les deux qui me semblent les plus importants. Je vous encourage à revoir le reste dans l’article de Lynn.

L’écran de fumée “La nourriture est un médicament”

En 2023, un partenariat entre la Fondation Rockefeller, l’American Heart Association et la chaîne de supermarchés Kroger lancera une « Food is Medicine Research Initiative » pour générer des preuves pour les programmes Food is Medicine du secteur de la santé et « accélérer la compréhension et l’utilisation par le public des programmes “la nourriture est un médicament” en tant que partie intégrante du système de soins de santé. » Lynn note :

« Bien sûr, la nourriture est un médicament, mais ce n’est pas la véritable intention de cette initiative. En intégrant la nourriture dans la médecine, imaginez comment cela changera le paysage des mécanismes de contrôle mis en place sous le couvert des soins de santé.

« Ce n’est pas la seule avenue que les Rockefeller utilisent pour orchestrer ce changement dans le contrôle alimentaire. Ils sont également l’un des principaux bailleurs de fonds du Center for Good Food Purchasing, avec la Fondation WK Kellogg… et le 11th Hour Project – le véhicule de subvention de la Fondation de la famille Schmidt – l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

« L’objectif déclaré de ce « Centre » est de gérer le programme d’achat de bonnes denrées alimentaires, qui consiste à amener les institutions à se convertir à leur « transparence de la chaîne d’approvisionnement de la ferme à la fourchette et à passer à un modèle d’achat basé sur les valeurs »

« Blue Cross travaille avec Reinvestment Partners qui gère le programme Eat Well qui fournit des ordonnances de produits aux participants inscrits. Il est lié électroniquement à une carte de fidélité pour un accès à utiliser dans les épiceries participantes… La Fondation Rockefeller finance Reinvestment Partners… »

Le piège de l’assistance alimentaire saine

Le piège qui nous est tendu est celui d’un système alimentaire socialiste contrôlé. Faire participer le plus grand nombre possible aux programmes d’aide alimentaire est la première étape. Bientôt, l’aide alimentaire sera également intégrée à Medicaid. Comme l’a noté Lynn, il ne s’agit pas d’une théorie du complot sans fondement. La cabale révèle ouvertement la véritable intention dans une grande variété de rapports et de documents.

Par exemple, dans le graphique ci-dessous, inclus dans un rapport de 2018 de l’Illinois Blockchain and Distributed Ledger Task Force, ils montrent comment ils ont l’intention de contrôler votre utilisation de « jeton d’alimentation saine » grâce à l’identité numérique et à la monnaie numérique. Dans le cas illustré, un cheeseburger n’est pas autorisé à être acheté, car il est identifié comme un “achat d’aliments malsains”.

Bien que l’exemple implique un demandeur d’aide sociale utilisant des jetons de prestations, ce système s’étendra sans aucun doute pour inclure toutes les personnes et la monnaie courante. C’est juste une question de temps. C’est ainsi que ça commence. Et tandis que les premiers modèles identifieront les fruits et légumes comme des aliments sains, ce qui est « sain » changera à mesure que leur contrôle sur l’agriculture et la fabrication d’aliments s’approfondit.

Rassurez-vous, les recommandations alimentaires saines du gouvernement ne seront jamais exactes et vraies. Pour preuve, je vous donne le Food Compass de la Friedman School of Nutrition Science and Policy, dévoilé fin 2021 comme le dernier et le plus grand en science nutritionnelle, à utiliser désormais pour guider les programmes de soins de santé et d’assistance nutritionnelle dans leurs sélections. Dans cet outil d’orientation nutritionnelle, Lucky Charms, Frosted Mini Wheats, Honey Nut Cheerios, cornets de crème glacée, amandes enrobées de chocolat et M&Ms aux amandes ont tous des scores nutritionnels plus élevés que le fromage cheddar et le bœuf haché.

[En vert : « à encourager ». En jaune : « à modérer ». En rouge : « à minimiser »]

Selon le Food Compass, vous serez en meilleure santé si vous remplacez l’œuf entier, le fromage cheddar et le bœuf haché par des bonbons littéraux. Peut-il y avoir le moindre doute que son but est d’éloigner les gens des aliments naturels sains, vers la malbouffe transformée ? Et CECI est l’outil prévu pour déterminer les types d’aliments que les programmes d’aide à la nutrition et les soins de santé prescriront.

Pourquoi il est si crucial de comprendre le plan

Comme l’a noté Lynn, « Un coup de main est toujours agréable jusqu’à ce qu’il ait des arrière-pensées. » Et quand il s’agit de voir le gouvernement accorder soudainement la priorité à la nutrition en tant que priorité des soins de santé, nous pouvons être sûrs qu’il y a des arrière-pensées à l’œuvre.

« « Bien sûr, l’activité physique pour tous et la réduction du sucre dans les aliments sont des approches bienvenues”, écrit Lynn, “mais le reste de ce programme n’est pas dans le meilleur intérêt des êtres humains ».

« Le problème est qu’en examinant cette fiche d’information [de la Maison Blanche], cela peut sembler être une bonne idée, tout comme l’examen d’un seul livre blanc du FEM pourrait même sembler avoir le potentiel d’être une bonne chose. Cependant, lorsque l’on prend la fiche d’information avec d’innombrables livres blancs, sites Web, financements et autres documents internes et que l’on rassemble le tout, cela dépeint une tout autre histoire.

« Ils savent très bien que la plupart des gens ne rassembleront pas toutes les pièces du puzzle, de sorte qu’ils ne pourront pas voir la réalité de la situation et discerner le véritable programme. C’est pourquoi il est si important de le faire.

« Imaginez si quelqu’un refuse de manger des insectes – il se peut qu’il ne reçoive pas les soins de santé appropriés. Ou que se passe-t-il si l’on refuse de participer au programme de jetons alimentaires et de ne manger que selon les instructions ? Ont-ils simplement perdu leur capacité à recevoir des soins de santé ? … Que se passe-t-il si des vaccins comestibles arrivent sur le marché et qu’ils essaient de les rendre obligatoires dans le cadre de leur régime alimentaire ? …

« Tout comme avec leurs autres programmes qui sont tous liés à celui-ci, le contrôle narratif est assuré par les universités, les associations médicales… et bien d’autres pour apporter une toute nouvelle perspective sur ce à quoi un régime nutritionnel devrait ressembler pour prévenir les maladies… et les gènes. les produits édités, les insectes et les cellules cultivées semblent être la priorité absolue.

« Cela peut sembler être une combustion lente, mais ils mettent en place simultanément plusieurs pièces de la structure, et lorsque cette brûlure atteint enfin l’intérieur des maisons des gens, dans leurs armoires, leurs réfrigérateurs et leurs portefeuilles, il sera trop tard pour annuler toutes les politiques et réglementations qui se sont mises en place. C’est pourquoi il est si important de continuer à diffuser ces informations et à lutter contre ces mécanismes de contrôle. »

SOURCE — Dr Joseph Mercola : « The Redesign of Our Food System Is a Plot for Control ». December 10, 2022 [PDF]


À propos du Dr Joseph Mercola

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé.

En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award.

Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.




Lettre ouverte aux personnes « honnêtes »

Par Lucien SA Oulahbib

Par « honnête » il faut vous l’entendre au sens ancien (1088) de « gentilhomme » qui s’informe du mieux qui soit, sans pédanterie ni forfanterie, sachant que la connaissance se distingue de l’opinion en ce que la première accumule en dogme positif des certitudes irréversibles (la nécessaire distinction entre ce qui « est » nuisible ou ce qui renforce, au-delà de son contenu toujours relatif, la gravitation, la relativité, la distinction entre logique et raison, etc., etc.) alors que la seconde, l’opinion, brasse encore des incertitudes et des sentiments non encore solidifiés par une vérification qui fasse non pas consensus, mais partage, se diffusant peu à peu ou d’un coup à l’instar d’une invention que l’on adopte au fur et à mesure lorsqu’elle prouve son efficience et qu’elle ne se trouve plus hors de portée ; sans cependant mépriser ou accuser l’avis contraire d’activité « réactionnaire » (pour résumer ce qu’en disait Raymond Boudon). Nous sommes bien loin du compte aujourd’hui.

Qu’il s’agisse en effet de ce qui se passe dans le domaine de la santé, de l’économie, l’énergie, « le » climat, « la » situation internationale, ledit « vivre ensemble », l’enseignement, la justice, la solidarité enfin, force est de constater que si vous êtes une personne « honnête » (et vous l’êtes nécessairement sinon vous n’aurez jamais lu ces lignes, ou alors juste pour les dénigrer façon anti-Musk) vous ne vous y reconnaissez plus et depuis longtemps.

Il ne se passe pas un jour sans que l’on apprenne que leurs chiffres sont des leurres tant ils ont été falsifiés ou omis, des courbes simplifiées, des effets naturels diabolisés, des sommes fabuleuses détournées, des contrats corrompus ; sans que l’on ne puisse cependant le prouver encore juridiquement faute d’avoir les processus de falsification sous la main, sinon en découvrant ici et là quelques « vérités » comme l’injection anti Covid-19 qui n’empêche ni la contamination ni l’éclosion des formes graves, pas mieux en tout cas que les traitements précoces interdits et aux vérifications tronquées, ou encore les magouilles FTX avec les régimes « Zelinsky » et Biden (prononcez Biiden)…

Sauf qu’« ils » détournent votre attention en la matière, mesdames et messieurs (dirait la prof de Tango à SciencePo avant de se le faire interdire) sur quelques arbres jetés en pâture (telle cette vice-présidente du Parlement européen en décembre 2022) pour mieux cacher la forêt des contrats au contenu noirci ou occulté comme ceux de ces « vaccins-médicaments » aux effets par ailleurs prétendument positifs alors qu’ils s’avèrent sinon frelatés du moins exagérés et non exempts de graves effets négatifs et dont vous commencez seulement à en connaître le nombre sinon de plus en plus exponentiel du moins excessif (plusieurs millions pour le moment) alors que naguère l’on en stoppait la fabrication pour moins que cela alors que c’est une maladie qui a eu, même au plus fort « pic », un taux de létalité bien inférieur aux infections respiratoires annuelles (plus de quatre millions de morts… par an…)…

La parole « honnête » consisterait, mesdames et messieurs, à mettre tout sur la table, à écouter toutes les parties (Christian Perronne demande ce débat, par exemple) afin de pouvoir distinguer ce qui est encore de l’ordre de l’opinion et ce qui se classe de l’ordre de la connaissance (pour suivre la classification de Raymond Boudon supra). Or, il s’avère que certains intérêts prétendant même parler « au nom de LA Science » (ce qui est un non-sens, cette entité n’existant pas) à l’instar des fanatiques parlant « au nom de Dieu » — ce qui est d’ailleurs un blasphème) font en sorte de faire taire les parties qui contrediraient leurs arguments par la mise à l’Index (donc la mort sociale par quelques faux philosophes en Inquisiteurs) bien loin de la controverse légitime, ce qui est là littéralement malhonnête et donc criminel, méritant alors sanction, comme cela ne va pas tarder, espérons-le, telle cette dite « agence française du médicament » qui vient d’être à nouveau prise la main dans le sac.

D’où cette « lettre ouverte » : il est de plus en plus inconcevable d’accepter que cette situation perdure, à moins de considérer que décidément en Occident sa spécificité, celle de « l’ouverture d’esprit » doit désormais disparaître, dévorée par les anti-démocrates et anti-méritocratie qu’ont toujours été au fond les marxistes-léninistes actuellement à la manœuvre (ces soi-disant critiques de la « démocratie formelle ») ainsi que leurs contraires fascistes satisfaits de quelques lauriers et subsides provenant des peuples non encore résolus d’aller à l’abattoir, mais y allant tout de même tant le trans-courant cybernétique soutenu par les totalitaires de tous bords est fort, se nourrissant même de ce qui le combat (bientôt Macron ira manifester contre le pouvoir… macronien : ne rouspète-t-il pas contre ses ministres ou Biiden alors qu’ils font exactement ce qu’« ils » demandent ?…).

Ces totalitaires (au visage d’ange) sont tous envieux du pouvoir esclavagiste des temps pré judéo-chrétiens et musulman réduisant les corps non marqués par quelques concessions (les dhimmis) à leurs attributs sexués et hygiénistes (le « care ») ce que les nazis commencèrent à accomplir par la purge des impurs, les scientistes d’aujourd’hui finissent cette transformation en cataloguant par exemple de parasites tous ceux qui refusent de se faire injecter ou hara-kiri alors que c’est désormais l’inverse qui prévaut : les injectés sont une menace, déjà pour eux-mêmes, ensuite pour les non-programmés. L’injection est d’ailleurs tout un programme au dire d’un Harari (la version moyenne gamme de la Secte SHAA alors qu’un Enthoven en serait la version bas de gamme, le haut de gamme tirant les ficelles sans le dire…).

Face à cela, l’honnêteté voilà ce qui vous resterait comme aventure dernière, à faire partager dans de réelles « universités populaires »…




« Ça peut pas faire de mal. » — « C’est mieux que rien. » — Masque, peur, sidération, épuisement, etc.

Par Alain Tortosa

Préambule :

Ce texte s’appuie sur l’hypothèse que les trois théories (croyances) suivantes sont vraies :

  • Il existerait des entités virus1 que l’on n’a jamais pu observer in vivo qui se reproduiraient et survivraient en tuant des cellules hôtes.
  • Ces virus seraient contagieux et il y aurait transmission depuis un patient zéro vers une population de plus en plus importante jusqu’à la « vague » suivante.
  • Il serait possible de contrôler ces virus, de contenir, de prévenir, voire de les éradiquer par des mesures pharmaceutiques (médicaments, vaccins, etc.) et non pharmaceutiques (masques, confinements, etc.).

Vous ne pouvez pas croire en l’épidémie de Covid et aux mesures préconisées depuis le début de la crise sans adhérer pleinement à ces trois théories précédentes. Ce texte s’adresse donc principalement à celles et ceux qui y croient.

La « Vérité » :

Les « complotistes » étudient, critiquent, se font leur vérité quand bien même ils se tromperaient. En revanche, la quasi-totalité des vérités des humains lambda semble une adhésion pure et simple à l’information reçue (famille, amis, enseignants, spécialistes, médias, etc.)

Pour dire autrement :

« La vérité du commun des mortels est la vérité de la société. »

Elle n’est en aucune façon le fruit d’une réflexion, d’une critique ou de recherches personnelles.

Plus « l’information » distillée par les médias sera monocorde et plus la vérité sera simpliste et binaire.

Nous en avons eu une preuve flagrante avec les trois sujets suivants :

  • Covid.
  • Guerre en Ukraine.
  • Réchauffement climatique.

Sur ces trois sujets, et il y en a plein d’autres, il y a « consensus ». 100 % des médias mainstream, qu’ils soient dits de gauche ou dits de droite, tiennent exactement le même discours (à un ou deux pour cent près).

Il m’est arrivé de « discuter » avec des membres de l’Église du coronavirus et leur demander de m’expliquer leurs croyances. En entendant leur discours, j’étais inexorablement poussé à leur dire :

« Je ne te demande pas de me répéter le discours de BFM, du Figaro ou de Libération que je connais,
je te demande TON opinion. »

La plupart des humains croient « savoir » alors que dans les faits
ils ne sont que les « croyants » d’une religion inculquée par la société.

Pour être totalement honnête, les « complotistes » ne sont pas à l’abri de la croyance et peuvent parfois basculer dans une « anti-foi ». Ils prendront comme « Vérité » l’exact inverse du discours officiel sans étudier par eux-mêmes pour débusquer des mensonges.

Adhésion :

Hormis les « complotistes », espèce reconnue contagieuse par les autorités qui font tout pour les contrôler en espérant les éradiquer, la population a adhéré dans son ensemble aux mesures gouvernementales de « lutte contre le virus ».

Comme indiqué précédemment, cette adhésion est totalement déconnectée d’un travail de recherche, d’analyse et de critique personnelle.

« Si tout le monde (civilisé, non pas les complotistes malades, antisémites d’extrême droite) le dit et le répète,
c’est que c’est vrai ! »

Vérités :

Le public a donc majoritairement adhéré aux vérités suivantes citées au début de l’épidémie :

  • Le Covid est un virus inconnu « vachement dangereux ». (Dans les faits, il circulait des mois avant la déclaration officielle et n’est devenu dangereux qu’au moment où les médecins se sont vus interdits de soigner comme à l’accoutumée.)
  • Nouveau virus, donc absence de traitements, quand bien même il était d’une catégorie banale (coronavirus).
  • Les confinements sont efficaces – « logique », il suffit de s’isoler pour ne pas croiser de virus. (Ici encore, point de questionnement, point de références aux études passées, point de comparaison entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. La Vérité vient d’en haut et on la croit. »
  • Le masque est « efficace ».
    [Le public qui adhère à l’inefficacité et à la dangerosité du masque en début de crise, grâce aux conseils des autorités, vérité scientifique rapportée par l’OMS, se met à adhérer tout autant à son « efficacité » et à l’obligation de le porter en tout lieu. Preuve s’il en est de l’adhésion aux paroles d’évangile sans la moindre réflexion de fond.]
  • Les gestes barrières sont efficaces.
    (Idem, aucune référence aux études ou aux statistiques. Notez que le spécialiste médiatique affirme et on ne lui demande JAMAIS ses sources.)
  • Le « vaccin » est efficace.
    (Se référer à mes écrits précédents. Il est intéressant de voir comment le public a suivi dès lors que les autorités ont déclaré qu’il était sûr et efficace. Et ce quand bien même l’autorisation de mise sur le marché était conditionnelle, que l’on était encore en phase expérimentale, que l’on vendait une technologie ARNm jamais déployée à grande échelle, et qu’il faut en général 10 ans de recul avant de commercialiser un nouveau vaccin. Ici, rien, même pas peur !)

Tout ceci étant bien entendu martelé 24 heures sur 24 par tous les médias, tout un chacun devenant à son tour le porte-parole de ces « vérités ».

Usure :

Notons qu’il existe un phénomène d’usure et de saturation.

L’objectif de la dictature est de nous maintenir dans la peur pour nous faire adhérer et même réclamer nos chaînes. La peur sidère, ou dit plus simplement, la peur rend con !

Le problème est que notre cerveau se lasse de la peur, il finit par mettre en place des contre-mesures afin de pouvoir se remettre à fonctionner.

Un exemple simple à comprendre est celui du soldat sur un champ de bataille. Je ne l’ai pas vécu, mais nous voyons bien que les premiers jours sont un enfer de chaque seconde.

« Vais-je me prendre une balle, un obus, un gaz mortel, un missile ou pire, une visite de Macron ? »

Impossible de dormir dans ces conditions !

Si vous retournez voir ce pauvre bougre quelques semaines plus tard, et s’il est encore vivant, vous pourrez voir qu’il dort comme un bébé au milieu de l’enfer et du chaos.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il a fait de son quotidien (le champ de bataille) une réalité sur laquelle il n’a pas de prise.

Il en est de même du Covid :

  • Dans un premier temps nos gouvernants nous décrivent l’enfer.
  • Puis ils prennent soin de nous le rappeler au quotidien, le tout avec quelques permissions en dehors du front (faire souffler du chaud et du froid en permanence).
  • Ils nous expliquent enfin que nous pouvons vaincre et que notre survie dépend de nous, de notre capacité à obéir aveuglément aux injonctions, quand bien même celles-ci seraient contradictoires.
    [C’est la même stratégie employée pour la crise de l’énergie. Les coupures aléatoires, pour faire peur, se sont pas « le fait de sanctions énergétiques à l’égard de Poutine, le fait de céder aux lobbies dits écologiques et de fermer des centrales nucléaires », mais de « la responsabilité du public qui doit faire cuire ses pâtes pendant 10 minutes dans de l’eau à 30 °C. »]
  • Semaine A, vous n’avez pas le droit de vous asseoir sur la plage avec le haut-parleur qui vous rappelle la menace et les consignes. Semaine B on vous dit qu’il ne faut surtout pas se déplacer, au risque de se faire contaminer ou de contaminer sur cette plage.
  • Les personnes sont dans la panique, elles obéissent sans se poser la moindre question.

Le battage médiatique est tel que l’être humain ne peut pas dormir dans sa tranchée, maintenu dans une même peur, durant des mois ou des années.

Nous assistons de plus en plus à la perte de peur du Covid.
Pas forcément qu’il est perçu comme « gentil », mais que le phénomène d’usure est là.

On n’y croit plus…

« Vous nous avez dit que si on se confinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on portait un masque on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se faisait tester on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se vaccinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on avait un QR code on le flinguerait ! »

Et là « vous dites qu’il faut faire une deuxième, troisième, quatrième, cinquième dose et vous n’osez plus dire que cela le tuera ! »

« Vous dites qu’il est indispensable de faire un truc auquel vous ne semblez même pas croire et qui ne servira de fait à rien ! »

Les autorités n’osent plus dire qu’une mesure sera efficace, mais juste « nécessaire » !

Il y a une combinaison de « c’est l’enfer » avec « on ne gagnera jamais », affirmant que l’ennemi aura toujours un coup d’avance.

Le discours est :

« il y a une pluie de bombes, prends un antalgique ! »

Raisons pour lesquelles nous avons eu droit à l’Ukraine 24 heures sur 24 et maintenant le réchauffement climatique.

Il n’y a plus que LCI qui fait de l’Ukraine non-stop à la télé.

Bruno Lemaire nous disait il y a plus de huit mois que la Russie serait à genoux avec les sanctions.

LCI continue de le répéter jour après jour.

« Poutine est foutu, l’économie russe est aux aboies, ils n’ont plus de missiles, etc. »

Le Français voit que les prix de l’énergie ou des denrées alimentaires explosent et n’en a plus rien à faire de Poutine. Le « nous allons nous prendre une ogive nucléaire sur la gueule et Poutine va visiter la tour Eiffel avec les troupes » ne fonctionne plus.

Le cobaye humain standard est saturé, il en a marre !

Panne de la vaccination

Une grande partie des Français est lassée et semble ne plus avoir vraiment peur du Covid. Ils ne sont plus convaincus de l’efficacité des mesures et encore moins du « sauveur », l’injection expérimentale ! La preuve en est du taux ridiculement bas d’injections du bivalent2.

Au 4 décembre, il y avait officiellement (chiffres probablement mensongers comme tous les autres) 3,1 % de Français injectés pour 80 % avec une seule dose. Pour ce qui est de la première dose, l’électro-encéphalogramme est plat depuis le début de l’année, plus de candidats à la première.

J’en reviens au bivalent, seuls 10 % des plus de 70 ans sont censés l’avoir reçu. D’autant plus intéressant que les personnes de plus de 80 ans ne sont pas à plus de 10 % non plus.

On sait que c’est une population captive en maison de retraite ou une population qui suit presque aveuglément les conseils de son médecin traitant sans poser de questions. Cette donnée permet ainsi d’affirmer que :

« Les médecins généralistes ont, eux aussi, renoncé au vaccin Covid. »

Relance de l’épidémie ?

Depuis quelques jours le gouvernement essaie de lancer la 9e vague pour introduire de l’angoisse pour les fêtes. Je ne suis pas dans le secret de Satan et je ne sais donc pas si c’est juste pour relancer le marché d’un produit qui n’intéresse plus ou pour relancer la dictature sanitaire.

La relancer ou tout du moins prendre le pouls de la population…

Est-elle prête à gober de nouveau et repartir comme en 14 ? Masques, confinements, vaccination obligatoire, passe sanitaire ? Je ne le sais pas.

Pour autant même les autorités et les corrompus sont bien timides et semblent marcher sur des œufs.

Les spécialistes et les politiques sont de retour, mais pour dire que « les personnes à risque » doivent porter le masque dans les lieux publics. Ils parlent d’une nécessité de rappel vaccinal uniquement pour cette même population. Exit les recommandations pour tout le monde.

Est-ce à dire qu’ils ont peur du procès, peur que les effets secondaires des injections expérimentales leur sautent au visage ? C’est assez crédible.

Le « tous vaccinés, tous protégés » est dans les poubelles de l’histoire, nul n’ose le dire encore.

De là à imaginer qu’ils vont relancer une fausse vague à un niveau biblique avec à nouveau des fausses saturations et des faux morts du Covid, j’ai quelques doutes, même si l’on peut s’attendre à tout de la part de psychopathes. Il n’en demeure pas moins vrai que la situation demeure anxiogène aussi bien pour les covidistes que pour les complotistes.

Les faits suite aux effets d’annonce

Pour autant nous voyons bien que les annonces gouvernementales, aussi bien des autorités que des médecins corrompus (ou avec conflit d’intérêts), ont leur effet.

Le fait est que le nombre de personnes masquées augmente. Je ne pense pas qu’elles soient toutes dans un mode « au secours on va tous mourir ». Le retour du masque chez les paniqués serait d’autant plus étrange que rien ne leur interdisait de continuer de le porter.

Jamais un quelconque responsable politique
ou médecin médiatique n’a annoncé la fin de l’épidémie en France !

Au contraire, le discours sur le retour du Malin en automne est généralisé.

J’entends que le mouton paniqué ne pense pas ou peu, mais quand même, si vous avez vraiment peur de mourir du Covid, d’autant plus que vous avez 5 doses d’un vaccin « efficace », il demeure relativement « logique » de le porter.

Cette augmentation n’est donc pas un effet de panique, mais de « prudence » (cela me fait mal aux tripes d’écrire de telles contre-vérités scientifiques).

J’ai donc, sinon l’intime conviction, la croyance que cette augmentation du nombre de masques repose sur mon titre !

« Ça peut pas faire de mal, c’est mieux que rien. »

C’est pas bien grave ? Là est le danger ! (Pour la santé, nos libertés et la démocratie.)

Nous l’avons croisé si souvent depuis des mois le fameux « c’est pas bien grave ».

  • « Quelques semaines de confinement, c’est pas bien grave si ça peut permettre de se débarrasser du virus. »
  • « Quelques heures de masques par jour c’est pas bien grave si cela permet de contrôler l’épidémie et diminuer les contaminations. »
  • « Scanner un QR code, c’est pas bien grave, après tout qu’est-ce qu’elles (les autorités) en ont à faire de savoir si je suis allé au resto. »
  • « Se faire injecter un produit expérimental c’est pas bien grave si cela peut éviter un séjour en réanimation et de décéder d’une maladie mortelle. »
  • Etc.

Ce qu’il y a de formidable avec l’assujetti, c’est que « rien n’est grave », quel que soit le sujet!

  • Interdire la circulation de véhicules anciens ?
  • Interdire de dépasser le 90 km/h sur autoroute ?
  • Interdire (conseiller, car ils ne peuvent pas contrôler) de chauffer à plus de 19 °C ?
  • Interdire de fumer.
  • Obliger une ceinture de sécurité.
  • Censurer la liberté d’expression.
  • Interdire de prendre l’avion.
  • Obliger un vaccin expérimental pour des millions de personnes en contact avec le public.
  • 11 vaccins obligatoires à la naissance.
  • Faire des délestages d’électricité dont nous serions les responsables.
  • Etc., etc., etc.

Il y a des centaines d’autres exemples que nous ne voyons même plus au quotidien tant nous sommes habitués. Que répondre ?

« C’est pas bien grave ! »

De toutes les façons, pour cette population obéissante, « rien n’est grave » du moment qu’elle a un toit, à manger et qu’elle peut regarder le foot !

Il faut dire que le matraquage est ininterrompu, nous expliquant en novlangue que « la liberté c’est l’interdit ».

« Ça peut pas faire de mal » et « c’est mieux que rien. »

Qu’est-ce qui pousse à l’adhésion aux mesures les plus délirantes ou liberticides ?

Cette masse obéissante n’est pas extrémiste, car :

  • Si la majorité des masqués actuels ne sont pas paniqués à l’idée de mourir du virus.
  • Si la majorité des masqués n’est pas intimement convaincue de l’efficacité de la mesure.
  • Si la majorité des masqués pense que « c’est pas bien grave » de le porter. À noter que le « c’est pas bien grave » pourrait durer pendant 40 ans en l’absence d’opposition…

Le moteur est certainement lié de fait au « ça peut pas faire de mal »

À noter que les croyances sont les mêmes pour les couvre-feux, distanciations, confinements, QR-codes, passe vaccinal, etc., le leitmotiv demeure : « ça peut pas faire de mal ».

La conjonction de « y’a pas besoin d’en faire une affaire d’État »
combiné à « ça peut pas faire de mal » est la porte ouverte à la dictature de masse.

Ce concept de danger lié à des effets secondaires directs ou indirects semble difficilement appréhendable par cette population molle qui obéit sans se poser de (vraies) questions.

Il faut dire que les médias sont « d’une grande aide ».

Tout individu qui émet l’hypothèse d’une dangerosité du confinement,
du masque ou du vaccin et j’en passe,
est immédiatement factchecké, calomnié, censuré puis mis au ban de la société.

C’est d’une grande aide pour ne pas se poser de questions.

Concernant les masques, je pense qu’il est difficile pour le commun des mortels d’y voir une nuisance ou un danger. (Sans même tenir compte des autorités qui rassurent et mentent sur ce sujet).

Ils ne voient qu’un bout de tissu qui semble d’autant plus inoffensif qu’il est notamment utilisé par des chirurgiens. Le fameux argument « imparable ».

Bien heureusement, il est pris soin de passer sous silence :

  • Qu’un chirurgien ne le porte pas douze heures par jour.
  • Qu’il est changé à minima toutes les quatre heures ou entre chaque opération.
  • Qu’il est porté en atmosphère contrôlée, dans un lieu où la température n’excède pas les 19 °C.
  • Qu’il n’est jamais manipulé, enlevé, remis, déplacé.
  • Qu’il est porté par un adulte formé à son usage.
  • Qu’il a pour objet de protéger des bactéries et certainement pas des virus !

Quelques dangers directs ou indirects du masque :

  • Augmente la quantité de CO2 inhalé.
  • Nid à champignons, bactéries qui se développent dans le milieu humide (d’autant plus qu’il est gardé pendant des heures, des semaines ou des mois, rangé dans une poche et manipulé hors protocole).
  • Substances chimiques inhalées dont microparticules qui se retrouvent dans les poumons.
  • Graphène selon les modèles de masque.
  • Perturbations dans la communication non verbale
  • Problèmes d’apprentissage des langues et des émotions.
  • Induction de la peur d’autrui, autrui qui devient potentiellement un danger mortel.
  • Problèmes relationnels, amplification de troubles psychologiques.
  • Détruit la convivialité, la légèreté, le vivre ensemble.
  • Rend visible une épidémie dont on ignorerait l’existence sans les médias ou le masque.
  • Sentiment de sécurité illusoire. (Comme le contrôle technique générateur d’accidents du fait d’un excès de confiance dans un véhicule âgé.)
  • Et pour ceux qui croiraient à son efficacité, dangereux, car il mettrait à mal les défenses immunitaires, exposerait à des maladies et condamnerait le porteur à le garder jusqu’à sa mort.

Le plus délirant est qu’il est déclaré indispensable
pour des personnes qui ont des problèmes respiratoires !

Les faits sur la dangerosité réelle du masque n’entrent pas
dans le processus décisionnel de le porter ou pas.

Quand bien même l’ensemble des dangers sont ou seraient connus, ils ne sont jamais additionnés.

Le porteur pourra dire « oui, c’est vrai » à propos d’une affirmation, mais n’en fera pas un tout, un objet dangereux (sans même parler de son inefficace légendaire).

Penser que le masque c’est dangereux, c’est comme penser que l’excès de sucre c’est dangereux ou que la cigarette est dangereuse. C’est un danger relatif, presque imaginaire !

Paradoxe des peurs et de la réalité de la menace

C’est là que l’on touche du doigt un énorme paradoxe.

Ce public n’a pas peur de porter pendant des heures, des jours,
des semaines, des mois un produit factuellement dangereux.

Une dangerosité dont on peut discuter des conséquences, mais dont nul (honnête) ne peut nier la réalité. Je vous rappelle que nous naissons sans masque et que l’espèce a pu survivre jusqu’à présent. Que le masque est à l’intérieur de notre corps dans nos systèmes de défense contre les agressions extérieures.

La peur de cet objet objectivement dangereux n’est pas conscientisée.

En revanche :

Les porteurs de masque ont peur d’un virus qu’ils n’ont jamais vu
pour lequel ils ont besoin de faire un test pour savoir s’ils sont « malades »
et dont la mortalité est statistiquement anodine.

Qui connaît une personne jeune, en bonne santé, non vaccinée, qui aurait été terrassée par ce virus ? Je pense que je peux répondre sans risque : Personne !

Je peux affirmer que les masqués dans la rue ou dans le bus sont aussi les vaccinés. Vous connaissez peut être une exception sait-on jamais ?!

Plus vous avez de doses de rappels et plus il est probable
que vous ayez peur de ce virus et plus vous êtes masqué.

Et c’est là que l’on touche au merveilleux. Le multi-injecté croit que son vaccin le protège des formes graves. Il en est à ce point convaincu qu’à sa sortie de réa diagnostiqué Covid, il pourra déclarer sans sourciller :

« Heureusement que j’étais vacciné », sous-entendu que le vaccin lui a sauvé la vie.

N’espérons pas faire pénétrer le doute et lui suggérer que le dit vaccin serait totalement inefficace ou pire, à l’origine de ses troubles.

Le multivacciné est donc à la fois intimement convaincu de l’efficacité
de ses injections et en même temps, a d’autant plus peur du Covid qu’il a de doses !
Plus il sera protégé et plus il sera prompt à remettre un masque.

Ce multirécidiviste de l’injection « efficace et inoffensive » se sentira protégé d’un virus mortel par un masque dont la dangerosité réelle sera de fait totalement inexistante.

Parler d’un rapport bénéfice vs risque pour le masque n’a donc pas de sens pour celui qui le porte « volontairement ».

Face à la peur de mourir :

  • La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Tandis que :

  • L’efficacité imaginaire du masque devient réelle, réelle, car anxiolytique.

La question est donc :

Cette masse a-t-elle encore assez peur pour se masquer massivement et exiger plus de dictature ou pas ? L’augmentation du nombre de masques dans la rue ou les magasins n’est pas forcément rassurante, mais il est à mettre en balance avec le taux ridicule de personnes qui ont fait leur bivalent.

Merci.

Alain Tortosa3.
7 décembre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221207-masque-peut-pas-faire-de-mal.pdf




L’opération psychologique spéciale « CoqueVide/19 », l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Publié le 17 novembre 2022

C’est une compilation, pêle-mêle, de tous mes écrits, à la pelle nourricière – et à l’appel des Muses – sur Xochipelli.fr

Voici une présentation de tous mes Essais, Cantos, Traductions, rédigés depuis mars 2020. Ils concernent l’opération psychologique spéciale que j’ai sur-nommée “CoqueVide/19”, l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche. Ils concernent, également, la mise en exergue des différents vecteurs technologiques que les Globalistes tentent de mettre en place afin de chimériser l’Humain. Il s’agit,  principalement, des nano-particules et des nano-technologies – dont la graphénisation universelle de tous les secteurs de la vie quotidienne… en synergie avec le déploiement de la 5G. 

Cette compilation présente 57 liens vers des essais, des dossiers, des Cantos, etc. Elle n’inclut pas 34 très longues monographies médicinales rédigées durant la même période. Manifestement les Muses m’inspirent et je les expire par tous les pores de mon écriture. 

Cette compilation est pêle-mêle du point de vue de la thématique car elle est, strictement, chronologique. En “annexes”, j’ai rajouté deux de mes Cantos satiriques,  de 2018, très prophétiques, si je puis, quant au déroulement des “événements” de ces trois dernières années. J’ai, également, rajouté mes essais portant sur les insectes chimériques, sur l’alimentation insectivore et sur la, mal-nommée, agriculture cellulaire car ces abominations hyper-technologiques, et synthétiques, sont annonciatrices de la Famine en Marche. 

L’objectif de cette compilation n’est pas d’auto-fortifier mes territoires de gratification, comme l’écrivait Henri Laborit… car je suis au Plaisir de la Mère. Il est de faciliter l’accès à une source abondante et généreuse d’informations eu égard à la Guerre ouverte à l’encontre de tous les Peuples. 

Ces informations sont, de plus, totalement gratuites… et je ne propose même pas de T-shirts à la vente. Par contre, quant aux T-shirts, il est vrai que notre fille Laetitia en fait de superbes au service des activistes de France… avec la Jacquerie – très proche, dans l’Ariège, de l’Association Kokopelli. 

Mon dernier ouvrage – publié à l’automne 2019, peu avant le début de la fausse pandémie orchestrée, en France, par la PharMacronie – sera, enfin, bientôt disponible à la vente : Los Cantos de Xochi


“De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales.” Décembre 2022 :

Déclaration d’Intentions

Après avoir posté mon dernier très volumineux dossier sur la Chitinisation des Peuples, et alors que je contemplais, dans l’atmosphère de mon foyer, des volutes de fumée de ganja tentant de contre-balancer les contaminations des chemtrails nano-technologiques – mon Rigpa m’a informé qu’il était fort probable que l’oxyde de graphène, ou toute autre forme de graphène, soit au menu, occulte, des “viandes cellulaires, en 3D”… qui sont annoncées comme étant le summum de la révolution alimentaire durable, circulaire, éco-friendly, blablabla. Et que le graphène soit, sans doute même, au coeur de certaines viandes animales… Je suis alors parti en quête… et cette quête fut fructueuse.

Aujourd’hui, nous assistons à un accroissement cellulaire – hyperbolique et hystérique –  de start-ups se lançant dans l’aventure des viandes cellulaires… et autres abominations, prétendument alimentaires, “cultivées” en cuves métalliques à partir de cellules-souches – de boeuf, de canard, de homard, de crevette… Ces soupes cellulaires sont nourries avec des levures transgéniques chimériques (et moult autres substances industrielles) et elles sont structurées par des hydrogels, ou autres polymères, constitués de nano-substances tout autant industrielles – et toxiques. 

Les “viandes cellulaires” sont, également, dénommées “viandes en 3D”, “viandes cultivées”, “viandes synthétiques”, “viande in vitro”, “viandes de laboratoire”,“fausses viandes”, “fake meats”, et, même, “viandes propres”…

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “New Green Deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?

Les “viandes synthétiques” constituent un élément fondamental de la “4ème révolution industrielle” du dément Klaus Schwab et, tous les jours, je prie la Terre-Mère afin qu’elle active la Grande Réinitialisation, terminale, de cet ignoble eugéniste – une forme de Grand Reset sans Risettes – qui se prend pour le nouveau Messie Vert, et Universel, sur Terre.

Mon intention déclarée et transparente, pour cet essai,  est de mettre en exergue que certains de ces hydrogels, ou autres polymères, sont, déjà, à base d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, ou autres dérivés de graphène, pour la confection et la structuration des dites viandes cellulaires. Il est, également, de mettre en exergue que ces hydrogels, à base de graphène, sont présents, également, dans de nombreuses viandes animales: soit dans les emballages, soit par le biais des “vaccins” animaux anti-grippes, soit en injection directe, soit dans les films “protecteurs” prétendument comestibles. 

J’affirme, de plus, que le graphène va devenir, très rapidement, l’un des éléments essentiels dans la création de tissus musculaires, ou autres tissus, dénommés “viandes cellulaires”, destinés à “l’alimentation humaine”. 

Le 17 novembre 2022, la FDA, aux USA, donnait sa première autorisation concernant la commercialisation de viande cellulaire – en l’occurence, le poulet cellulaire de Upside Foods. [53] Upside Foods fabrique de la viande cultivée par cellules en utilisant des prélèvements d’animaux vivants ainsi que « des animaux récemment abattus qui faisaient déjà partie du système alimentaire ».

Les “prélèvements de cellules d’animaux récemment abattus” ne sont pas sans rappeler le film-culte Soleil Vert que j’ai évoqué, dans mon dernier essai Homo chimericus. Dans le cas de Soleil Vert, les prélèvements des décédés font, également, partie du système alimentaire… des non-décédés.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que la famille du graphène est, déjà, depuis une bonne douzaine d’années, l’un des éléments fondamentaux dans une pléthore d’applications médicales: vaccins, nano-vecteurs de remèdes allopathiques, senseurs, etc… dont – et c’est ce qui nous importe ici – la régénération des tissus des muscles, des os, des cartilages, des nerfs, etc.

En effet, les industriels de la viande cellulaire, ou en 3D, sont intéressés par la grande capacité de différenciation myogénique conférée par l’oxyde de graphène, ou les nano-tubes de carbone – entre autres capacités… réelles ou fabulées. 

Il leur est donc très aisé de s’associer à des firmes opérant dans le secteur des nano-fibres médicales, ou d’utiliser leurs brevets, car ces firmes ont, déjà, une quinzaine d’années de pratiques.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que le graphène – autrefois onéreux car provenant de Chine et concocté à l’aide de technologies coûteuses – est, maintenant, excessivement bon marché à la production depuis que de nouveaux procédés permettent de le fabriquer à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée. 

En janvier 2020, le graphène se vendait encore très cher: entre 67 000 et 200 000 dollars la tonne. 

Et, de le fabriquer, en particulier, grâce aux procédés révolutionnaires inventés, à l’Université Rice de Houston, au Texas, par le chimiste internationalement reconnu, James Tour. 

James Tour est l’un des 5 chimistes les plus mondialement reconnus. Par conséquent, ses prises de position sont tolérées – d’autant plus qu’il possède plus de 600 brevets – malgré qu’il professe un paradigme Yahvéiste, strictement anti-néo-Darwiniste et promouvant, même, le “Dessein Intelligent”/“Intelligent Design”. 

James Tour a totalement raison, dans sa conception de l’Evolution,  si ce n’est qu’il faille remplacer les prétentions du mythe Yahvéiste par les perceptions, et visions, authentiques, et organiques, du monde Gaïen – et, qui plus est, en fusion avec le monde Gaïen. 

Selon James Tour : 

« Le monde jette 30 à 40% de la nourriture, parce qu’elle se dégrade, et les déchets plastiques sont une préoccupation mondiale. Nous avons déjà prouvé que toute matière solide à base de carbone, y compris les déchets plastiques mélangés et les pneus en caoutchouc, peut être transformée en graphène… Essentiellement, nous piégeons les gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane, que les déchets alimentaires auraient émis dans les décharges. Nous convertissons ces carbones en graphène et nous ajoutons ce graphène au béton, réduisant ainsi la quantité de dioxyde de carbone générée par la fabrication du béton. C’est un scénario environnemental gagnant-gagnant grâce au graphène ». 

L’une des méthodes les plus prometteuses pour produire du graphène à grande échelle est l’utilisation de l’exfoliation chimique associée à la réduction chimique pour obtenir de l’oxyde de graphène réduit.

Comme le rapporte la revue Nature, le graphène flash est fabriqué en 10 millisecondes en chauffant des matériaux contenant du carbone à 3000 Kelvin (environ 2726° Celsius). Selon James Tour : 

« Le matériau source peut être presque tout ce qui contient du carbone. Selon M. Tour, les déchets alimentaires, les déchets plastiques, le coke de pétrole, le charbon, les déchets de bois et le biochar sont des candidats de choix. » 

Ainsi qu’il est précisé, le lent processus géologique – par lequel le carbone évolue vers son état fondamental, le graphite – est fortement accéléré par un pic de chaleur mais il est arrêté au bon moment, au stade du graphène.

Selon les promoteurs, et les prometteurs, du graphène, le recyclage des déchets en trésor (de graphène) est le fondement de l’économie circulaire. A savoir que les poubelles constitueraient le graphène du Futur? 

Si le contenu des poubelles quotidiennes, et les déchets en tous genres, constituent les sources du graphène du futur – dont les industriels veulent tous nous imprégner – ils ne pourront pas constituer, en même temps, la bio-masse nécessaire à l’alimentation des insectes pour la production industrielle de protéines “alternatives”. 

La bio-masse se faisant de plus en plus rare, de par la destruction programmée de l’agriculture-élevage, un jour – si les Peuples ne descendent pas dans la rue pour chasser les Prédateurs – il faudra choisir entre transformer les déchet organiques, ou les déchets plastiques, ou en graphène… ou en aliments pour insectes… ou en sources de nécro-carburants. 

Comme les nano-particules de graphène peuvent être produites à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée, il est très aisé de mentionner sur les brevets, ou autres propagandes, afférents aux viandes, et autres aliments, dits “cellulaires”, que leur confection comporte des extraits de “produits naturels” et, surtout, “non-animaux”. 

Voir par exemple cette étude, de 2016, intitulée “Graphene quantum dots from fishbone carbon nanofibers”, [65] qui porte sur la production de points quantiques de graphène à partir de nano-fibres de carbone obtenues en processant des arêtes de poisson. 

En effet, n’importe quelle bio-masse signifie: de la paille de riz, des grains de riz, de la paille de blé, de la pelouse, des excréments de chien, des champignons, des filtres de cigarette, des biscuits, du miel, des écorces d’arbre, du charbon de bois, etc, etc. Tous ces éléments permettent de fabriquer, quasiment instantanément, du graphène ou des points quantiques de carbone. 

Voir la méga-étude récente, de septembre 2021, intitulée “A Review of Graphene: Material Synthesis from Biomass Sources”. [33]

Il existe une autre méthode ayant recours à des températures inférieures à celles utilisées par James Tour au Texas. Durant ce processus, la lumière du soleil est concentrée, par une lentille biconvexe, pour former un point lumineux focalisé, avec une température élevée supérieure à 1000°C, qui peut directement convertir les pelures de fruits en nano-feuilles de graphène – en 2 à 3 secondes.

Voir l’étude, de juillet 2022, intitulée “Concentrated Solar Induced Graphene” [41] qui a recours à des pelures de banane, de melon, de noix de coco, d’orange, etc.

En conclusion de cette Déclaration d’Intentions. Il est possible, aujourd’hui, que je dissémine des informations précieuses, “dans le désert des embouteillages”, comme le chantait Jacques Higelin… dont les hurlements de révolte animèrent notre jeunesse fougueuse…

… et très fugueuse eu égard au paradigme mortifère de la démocratie déliquescente. 

En effet, je comprends fort bien que d’aucuns ne veuillent pas s’intéresser à cette problématique… affirmant qu’ils ne toucheront jamais à cette sorte de “nourriture” que constituent les “viandes cellulaires” – tout autant que les “viandes végétales” et les “viandes insectueuses”. 

Mais se sont-ils posé la question de savoir si les dérivés du graphène ne contamineraient-pas, également, les viandes animales ?

Nonobstant, à moins que l’on ne consomme que des produits agricoles issus de l’agriculture biologique – et encore – il est certain que plus personne, dans nos sociétés modernes, ne peut retracer la totalité des substances qui sont introduites dans la nourriture quotidienne des populations – souvent à leur insu. Et c’est sans évoquer la problématique criminelle des Chemtrails qui constituent, en soi, un énorme dossier d’investigations.

Je précise “et encore” pour l’agriculture biologique car, depuis la rachat d’un très grand nombre d’entreprises bios par la mafia des multinationales alimentaires, on ne peut être sûr de rien… si ce n’est que l’appât du gain soit le moteur de leur rachat. Voir mes quelques essais sur la “Bio Piratée” – sur le blog de l’Association Kokopelli.

Cultivez votre jardin et prenez-en de la graine!

Aujourd’hui, si les multinationales de l’alimentaire, les banques, les fonds financiers, etc, (et autres Banksters), investissent lourdement dans l’industrie des fausses viandes – à base d’insectes, de plantes chimérisées, de levures chimériques, de cellules de souche… – c’est que le mot d’ordre a été lancé. Par qui? Par Klaus Schwab, et son gang de voyous mafieux, du Forum Economique Mondial.

On retrouve, sur la web, des photographies de Klaus Schwab et du président Mitterrand, datant de 1976. Cette fripouille a trainé dans les anti-chambres présidentielles Françaises depuis un demi-siècle. Tout comme son comparse Attali, Jacques a dit, dont le bon élève de l’opposition contrôlée, Juan Branco, sévit sur les réseaux sociaux depuis quelques années – en se prétendant le pourfendeur de Macron et l’avocat des pauvres… sur mode de litanie salvatrice Marxiste, et Bolchévique, perpétuellement réchauffée depuis 1848.  A quand l’invitation de Juan Branco, au titre des Jeunes Leaders adoubés par Klaus Schwab?

Fin 2021, il y avait, déjà, plus d’une centaine d’entreprises de production de viande cellulaire et de produits de la mer cellulaire.  Il y en aura, bientôt, plusieurs centaines si les Peuples laissent le gang de voyous, formés par Klaus Schwab, en position d’Autorités. Et c’est sans évoquer les autres centaines de firmes, dans le monde, produisant, en cuves métalliques, du faux lait, des faux oeufs, de la viande à base de plantes, des faux poissons, des fausses crevettes, de la fausse soie, de multiples produits à base d’insectes, etc, ad nauseam. Sans oublier, la fausse artémisinine et le faux THC!!

Ce sont, ainsi, des milliards d’euros d’argent public qui sont investis dans toutes ces productions industrielles dites alimentaires… pendant que l’orchestration de la destruction du secteur de l’agriculture-élevage est en cours… 

… et, par conséquent, l’Orchestration de la Famine Pandémique. 

Au sujet de l’intitulé de mon nouveau cycle d’essais :
“Orchestration de la Famine Pandémique”

Ce présent essai est le quatrième de ma nouvelle séquence dénommée “Orchestration de la Famine Pandémique”. Le premier essai s’intitule “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?” [78]; le second essai s’intitule “Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté” [77]; et le troisième s’intitule “Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” [76].

Je titre “Orchestration de la Famine Pandémique”, pour mes quatre derniers dossiers, volumineux, publiés en cette année 2022, en redonnant au terme “Pandémie” sa signification étymologique authentique – et essentielle. 

En effet, le terme “Pandémie” signifie, tout simplement, “le Peuple entier”, “tout le Peuple”, “l’intégralité du Peuple” – ou, même, “tous les Peuples”… lorsque notre imagination s’enflamme aux cris de l’Insurrection en Marche. 

“Pandémie” est issu des termes Grecs: “πᾶν, pân” et “δῆμος, dễmos” signifiant “tout” et “Peuple”. 

C’est en 1666, sans plaisanter, qu’est apparu, pour la première fois, le terme “Pandemic” dans l’ouvrage du médecin Anglais, Gideon Harvey (le père), intitulé “Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions” – en relation avec une pathologie qui serait généralisée.

En fait, Gideon Harvey, utilisa deux termes “Pan­demick” et “Endemick”. Endémique, quant à lui, provient du Grec “ἐνδημία/endêmía” signifiant “séjour” et du Grec “ἔνδημος/éndêmos” signifiant “Indigène” – à savoir “ἐν/en pour “dans” et “δῆμος/dễmos” pour “peuple”. Endémique signifie, littéralement, “dans le Peuple”. 

Il est important de souligner la parenté de ces deux termes, Indigène et Séjour, dans l’esprit des travaux de Lev Gumilev sur l’Ethnogenèse.

Le médecin Gideon Harvey l’utilisa une seule fois, plus précisément, dans le texte suivant, au chapitre 1 : «… which instances do evidently bring a Consumption under the notion of a Pan­demick, or Endemick, or rather a Vernacular Disease (a disease alwayes reigning in a Countrey) to England; that is a common disease owing its rise to some common ex­ternal and perennal (lasting all the year) cause of a Countrey; as a Consumptive Air, or a Consumptive Dyet. viz. eating much Flesh, drinking Hopt drink, &c ».

Subséquemment, ce terme “Pandémie” ne serait apparu qu’en 1752, dans la langue Française – dans le dictionnaire de Trévoux. Selon la définition actuelle du Larousse, une pandémie serait une “Épidémie étendue à toute la population d’un continent, voire au monde entier”. 

Cette définition n’a strictement rien à voir avec l’essence de terme “pandémique” et elle ne peut qu’aggraver les syndromes de dissonance cognitive induits, chez les populations, par de multiples campagnes mensongères, et génocidaires, totalement fondées sur la peur. 

Ainsi, par exemple, les manipulations de l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, eu égard à ce concept de “pandémie”, ont été orchestrées par ses directeurs Tedros Adhanom Ghebreyesus et Soumya Swaminathan – la fille de l’archi-criminel Mankombu Sambasivan Swaminathan, le père de la pseudo “Révolution Verte” en Inde, un grand allié de Monsanto et de la Mafia Agro-Pharma.

D’ailleurs, n’est-il pas surprenant, sur le plan des synchronicités pandémiques, que c’est, également, en cette année fatidique, 1666, qu’apparut, ex judaismo – en Turquie, à Izmir – Sabbatai Zevi, un nouveau Messie qui prenait sa tête de Turc pour une incarnation divine… et qui déclencha une nouvelle pandémie, messianique, dans toute l’Europe – dont les répercussions génocidaires se font encore sentir de nos jours.

En effet, certains individus, au comportement très psychopathique, souffrent, manifestement, d’un syndrome virosant de “délégation divine” qui les incite à tout contrôler, à tout réglementer, à tout posséder, à tout voler, à tout spolier – et à eugéniser et génocider les Peuples… selon leur bon vouloir. Il est à noter que les plus virosés d’entre eux se prétendent, même, des êtres humains divinisés sur Terre.

Si d’aucuns ressentent quelque doute concernant ma vision globale, il ne leur est que d’écouter les déclarations récentes de Yuval Noah Harari, le guru psychopathe et  autiste de Klaus Schwab, qui va jusqu’à déclarer que le Forum Economique Mondial a eu tellement de succès, dans ses entreprises, qu’il en a acquis des pouvoirs divins de création et de destruction. Historiquement, cette prétention à un droit divin, sur les Nations, ne date pas de Yuval Noah Harari: elle remonte au Deutéronum mais elle est, aujourd’hui, publiquement, et ouvertement, proclamée – du moins, pour ceux qui ont des oreilles pour entendre.

En fait, Yuval Noah Harari est, intimement, convaincu que lui-même, Klaus Schwab – et d’autres dans leurs rangs et “castes” – n’ont plus besoin d’attendre un quelconque Messie car ils constituent, eux-mêmes, des divinités incarnées sur Terre. Et quelle serait leur mission? 

Leur mission “divine” est “justement”, comme diraient les Tzaddik, de conduire les troupeaux humains bêlants vers un statut, non pas divinisé, mais “augmenté” – à savoir, “augmenté” parce que connecté à la Toile par la 5G. Il s’agit, intrinsèquement, de chimériser la destinée d’une entité, anciennement “humaine”, dont le biologique aura fusionné avec l’électronique par le biais de nano-particules métalliques – dont, principalement, des dérivés du graphène – de dérivés de chitine et, peut-être, même, par le recours à de l’ADN synthétique. 

Klaus Schwab, le grand prêtre du Tikun Olam nano-technologique, au parfum de graphène, a même affirmé que si les Humains l’écoutent : « ils ne posséderont rien, ils seront graphénisés, ils seront fusionnés avec le Réseau… et ils seront Heureux ». 

Production de viande cellulaire, durable, circulaire, nutritive,
éco-friendly, sans souffrances animales, etc.

Que contiennent les viandes cellulaires – en sus, potentiellement, de dérivés de graphène, de chitosane et d’ADN synthétique? 

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation?

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments. 

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire: le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

Tout d’abord, des cellules souches embryonnaires; des cellules mésenchymateuses; des cellules souches totipotentes; des cellules souches multipotentes; des cellules souches pluripotentes; des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription); des cellules souches adultes; des cellules souches satellites; des progéniteurs fibro-adipogéniques; des fibroblastes primaires; des neurones; des cellules gliales; des cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine; des cellules musculaires lisses; des architectures/échafaudages; des protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); de l’activine A recombinante rat, souris, humain; du facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; de l’albumine; du facteur de croissance épidermique; du facteur de croissance humain insulino-like 1; des levures chimériques; des algues chimériques; des bactéries chimériques; du glucose; du galactose; du sucrose; du maltose; des lipides; des hormones; des mycoprotéines; du glucomannane; des polyamines (spermidine, spermine et putrescine); des cytokines; du cholestérol; de la léghémoglobine chimérique; des cyanobactéries.

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour la culture de ces cyanobactéries: nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [71] 

Quant à la léghémoglobine chimérique, c’est l’entreprise Impossible Foods qui a développé une souche de levure chimérique, contenant un gène de soja, afin de produire cette léghémoglobine recombinante. 

Il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des “vaccins” de la Pharmacratie génocidaire.

Des acides aminés: alanine, hydrochlorure d’arginine, asparagine, acide aspartique, cystine, acide glutamique, glutamine, hydrochlorure d’histidine, isoleucine, leucine, hydrochlorure de lysine, méthionine, phénylalanine, proline, sérine, thréonine, tryptophan, sel de disodium de tyrosine, valine. 

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [73] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten. 

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [79]  Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années?

Des vitamines: adénine, biotine, chlorure de choline, pantothénate de calcium, acide folique, inositol, niacinamide, hydrochlorure de pyridoxal, riboflavine, hydrochlorure de thiamine, vitamine B12. 

Des sels inorganiques: ammonium métavanadate, chlorure de calcium, chlorure de cuivre, sulfate de cuivre, citrate de fer, nitrate de fer, sulfate ferrique, sulfate de manganèse, sulfate de magnésium, acide molybdique, chlorure de nickel, chlorure de potassium, nitrate de potassium, bicarbonate de soude, chlorure de sodium, métasilicate de sodium, phosphate dibasique de sodium, sélénite de sodium, chlorure stannique, sulfate de zinc heptahydraté. 

Divers autres intrants: albumine, dexaméthasone, dextrose, éthanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide linoléique, phosphatidylcholine, rouge de phénol, putrescine, pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), insuline humaine recombinante, pyruvate de sodium, acide thioctique, thymidine, transferrine, lactoferrine, fibronectine, laminine. 

Il est très vraisemblable qu’il existe une foultitude d’autres substances “suspectes”, dans les médium de culture, mais les industriels de l’alimentation cellulaire vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas en divulguer la liste. En effet, certains de ces industriels, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [80] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [81] 

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [82] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [83]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques! 

Le Good Food Institute promeut, officiellement, le Graphène, et les nano-tubes de carbone – et même l’ADN synthétique – au menu des viandes cellulaires

Le Good Food Institute, contrairement à ce que sa dénomination pourrait laisser évoquer, n’a pas pour vocation de promouvoir une bonne nourriture saine,  savoureuse, attrayante, équilibrée et non toxique. Sa mission est de promouvoir le secteur de l’industrie des “protéines alternatives”- et, principalement, celui des viandes cellulaires. 

Le Good Food Institute a été créé en 2016. Son budget annuel, provenant de gros dons de fondations (telle la Fondation Bill Gates) et autres industriels, est de l’ordre de 53 à 56 millions de dollars. 

Le Good Food Institute employait, en date de janvier 2022, plus d’une centaine de scientifiques, techniciens, médiatiques, propagandistes, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Le Good Food Institute possède une très mauvaise réputation générée par des accusations, récurrentes, d’environnement de travail toxique. Tellement récurrentes que certains financement se sont taris. [75]

Le Good Food Institute publie une pléthore de rapports sur la production de substances “fausses”: viande, poisson, lait, oeufs à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées – et, aussi, à base de plantes. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur.

Les “experts” auto-proclamés, auto-prophétiques et, surtout, hystériques, du Good Food Institute, annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, les faux poissons, les faux crustacés… Selon le Good Food Institute, ce seraient 1380 millions de dollars levés, auprès d’investisseurs, par les sociétés de production de viande cellulaire durant l’année 2021.

Selon le très célèbre cabinet McKinsey, de toutes les corruptions, impliqué, également, dans les fausses viandes et les faux poissons – en sus de fausses missions au profit de la PharMacronie –  la viande cultivée pourrait représenter un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars, d’ici 2030. [26]

Selon un rapport, fantasmagorique, du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95% moins de terre; elle produirait de 74 à 87% de moins “d’émissions de gaz de serre”; elle générerait 94% en moins de pollution des nutriments, etc. [27]

En ce qui concerne notre dossier présent, à savoir le graphène dans les nano-fibres des viandes en 3D. Dans l’étude récente, du Good Food Institute, de janvier 2022, intitulée “Scaffolding Biomaterials for 3D Cultivated Meat: Prospects and Challenges” [5], il est spécifiquement mentionné, au sujet des échafaudages, de viande en 3D, contenant un tripeptide constitué d’arginine, de glycine et d’acide aspartique, que « l’ajout d’oxyde de graphène a encore amélioré la capacité de différenciation myogénique ».

C’est, en fait, par exemple, ce qu’affirmait, également, cette étude, de 2015, intitulée “Graphene oxide-stimulated myogenic differentiation of C2C12 cells on PLGA/RGD peptide nanofiber matrices”. [21]

L’expression-clé est, ici, “différenciation myogénique”. De nombreuses études, plus anciennes, prétendument pour le secteur médical, ont affirmé que l’oxyde de graphène améliore, fortement, la capacité de “différenciation myogénique” – dans l’ingénierie tissulaire.

“Nano-sized graphene oxide coated nanopillars on microgroove polymer arrays that enhance skeletal muscle cell differentiation”. Décembre 2021. [22]

“Graphene Oxide Scaffold Stimulates Differentiation and Proangiogenic Activities of Myogenic Progenitor Cells”. 2020. [18]

“Myoblast differentiation on graphene oxide”. 2013. [19]

“Three-Dimensional Printable Gelatin Hydrogels Incorporating Graphene Oxide to Enable Spontaneous Myogenic Differentiation”. 2021. [20]

Il ressort de ces quelques études, prises en exemples, que si la confection d’hydrogels, à base d’oxyde de graphène, permet une différenciation myogénique spontanée dans le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles humains, ou autres tissus… elle peut, également, le permettre pour le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles “cultivés” à partir de cellules de vache, de canard, etc. N’est ce pas? 

Pour rappel. Le Good Food Institute fut l’un des sponsors du Pavillon des systèmes alimentaires durant la COP 27 en Egypte qui, rappelons-le, a mis les “protéines alternatives” à l’honneur. Voir mon précédent dossier. 

D’autant plus que le Good Food Institute se permet de mentionner, très clairement, dans son dossier très technique – intitulé “Deep dive: Cultivated meat scaffolding” –  le recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN – et autres polymères synthétiques –  pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire. [51]

« De même, les cellules satellites musculaires peuvent s’auto-renouveler lorsqu’elles sont cultivées dans un substrat qui correspond à la rigidité de leur niche de cellules souches native (Gilbert et al., 2010 ; Safaee et al., 2017). Le réglage de la rigidité peut être obtenu par une réticulation accrue, l’ajout de nano-tubes de carbone (Shin et al., 2012), de graphène (Martín et al., 2017), d’ADN (Chen et Seelig, 2019), ou la modification de matériaux polymères naturels ou synthétiques avec des groupes latéraux photoréticulables. Il est important de noter que ces groupes photoréticulables permettent une polymérisation rapide, ce qui permet l’encapsulation des cellules au cours d’un processus tel que la bio-impression (discuté plus loin). Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité. En effet, des études ont démontré que les propriétés de rigidité d’un seul hydrogel pouvaient orienter les cellules souches vers l’os et la graisse (Freeman et Kelly, 2017). Par ailleurs, l’hydrogel lui-même peut être dissous dans un mélange de milieux de culture cellulaire et de cellules, ce qui favorise la fixation et la propagation des cellules. Mosa Meat décrit l’utilisation d’un hydrogel dissous chargé de cellules pour positionner les cellules dans un appareil dédié à la différenciation ou à la structure cellulaire (Breemhaar et Post, 2019) »[51]

Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites, et synthétiques, qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité.

De plus, dans ce même dossier, le Good Food Institute réitère, très clairement, le recours à des bactéries et à des levures recombinantes, à savoir des bactéries et à des levures chimériques, génétiquement manipulées – communément libellées des OGMs.

« Des expérimentations récentes suggèrent que les protéines de soja texturées peuvent servir d’échafaudage viable pour la fixation des cellules souches bovines (efficacité d’ensemencement >80% sans fonctionnalisation préalable) et leur prolifération (Ben-Arye et al., 2020). Certains polymères synthétiques, comme les PEG, sont également approuvés par la FDA. Comme mentionné précédemment, la majorité de ces polymères n’ont pas de domaines fonctionnels pour l’adhésion cellulaire ; cependant, ils peuvent être fonctionnalisés avec des peptides RGD (arginine, glycine et acide aspartique) ou combinés avec des composants fonctionnels comestibles tels que la gélatine (Enrione et al., 2017). Il est important de noter que ces échafaudages ont également tendance à être abordables et évolutifs en termes de composants de matières premières, les limites d’échelle étant principalement déterminées par la méthode de fabrication (discutée plus loin). Certaines entreprises ont démontré de manière indépendante la production à grande échelle de protéines telles que le collagène à l’aide de levures ou de bactéries recombinantes, ce qui pourrait servir de plateforme future pour la création de biomatériaux utilisés par l’industrie de la viande cultivée. Enfin, nombre de ces biomatériaux ont également été utilisés pour l’ingénierie tissulaire des os (Levengood et Zhang, 2014), ce qui pourrait s’appliquer à la viande cultivée si des produits avec os sont un jour recherchés. »

Faut-il préciser qu’aux USA, parmi les “biomatériaux” comestibles approuvés par la FDA, – pour la réalisation d’échafaudages comestibles pour la culture de viande cellulaire – se trouvent la pectine, la gomme gellane, le chitosane, la gélatine, la cellulose, le glucomannane, l’amidon, le gluten et l’alginate, entre autres… 

En effet, ce n’est pas de chance pour cette grande partie de la population allergique au gluten, par exemple, car la gluténine est utilisée comme ingrédient des échafaudages de la viande cultivée. [23]

Par exemple, selon une étude, la résistance à la traction, des nanofibres de gélatine, est passée de 8,29 ± 0,53 MPa à 21 ± 2,03 MPa après l’incorporation d’oxyde de graphène[29]

De plus… car cela n’est pas tout. Le Good Food Institute – dans sa référence au recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN, etc, pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire – renvoie à l’étude de Sifang Chen et de Georg Seelig, de 2019, intitulée “Programmable patterns in a DNA-based reaction-diffusion system”, dont la présentation ne manque pas de susciter de profondes interrogations. Qu’en pensez-vous?

Est-ce dire que le Good Food Institute promeut l’ajout d’ADN synthétique dans les échafaudages des viandes cellulaires?

Il semble, effectivement, qu’il en soit ainsi. 

« La biologie offre la preuve irréfutable que des “matériaux vivants” macroscopiques peuvent émerger de réactions entre biomolécules diffusantes. Nous montrons ici que l’auto-organisation moléculaire pourrait être une approche tout aussi puissante pour l’ingénierie de matériaux synthétiques fonctionnels. Nous présentons un hydrogel programmable incorporant de l’ADN qui produit des motifs réglables à l’échelle centimétrique. Nous générons ces motifs en mettant en œuvre des réseaux de réactions chimiques par le biais de complexes d’ADN synthétiques, en intégrant les complexes dans l’hydrogel et en les déclenchant avec des brins d’ADN d’entrée appliqués localement. Nous démontrons d’abord la formation de motifs en anneau autour d’une cavité circulaire d’entrée et montrons que la largeur et l’intensité de l’anneau peuvent être réglées de manière prévisible. Ensuite, nous créons des motifs de complexité croissante, y compris des anneaux concentriques et des motifs non isotropes. Enfin, nous montrons des modèles d’interférence “destructifs” et “constructifs”, en combinant plusieurs modules de formation d’anneaux dans le gel et en les déclenchant à partir de sources multiples. Nous montrons également que les simulations informatiques basées sur le modèle de réaction-diffusion peuvent prédire et informer la programmation des modèles cibles ».

Au sujet de l’ADN synthétique. Voir le communiqué de Mik Andersen: “Communiqué de Mik Andersen à propos de nano-tubes d’ADN dans le vaccin CoqueVide de Janssen”. [46]. Voir également le post “BREAKING NEWS!!! La preuve ultime que nous attendions de Mik Andersen: Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN”. [63] Voir également “Communiqué de Mik Andersen au sujet de “nano-points” de Graphène dans les vaccins.” [54]

Comment le grand public peut-il se douter que ces ingénieurs parlent du burger en viande “cellulaire, équitable et circulaire”, qu’il vient d’acheter pour son repas de midi, lorsqu’ils évoquent des composants structurels à l’échelle nano-métrique de 50 à 500 nm? 

Pour mémoire: 1 nm = 1 millionième de millimètre.

« D’autres paramètres tels que la forme, le volume et la rugosité des pores doivent également être pris en compte. Idéalement, la récapitulation de la matrice extra-cellulaire devrait se faire à l’échelle des composants structurels mêmes de le matrice extra-cellulaire (c’est-à-dire à une échelle de 50 à 500 nm de diamètre) tandis que la porosité de l’échafaudage devrait être à l’échelle du micromètre pour permettre l’invasion et la migration des cellules. Ce principe général a été difficile à imiter. Toutefois, des techniques sophistiquées permettant de fabriquer de grands échafaudages d’hydrogel dotés de ces propriétés commencent à faire leur apparition (voir plus loin). Enfin, étant donné qu’un tissu créé pour la consommation n’a pas besoin d’être fonctionnel à l’intérieur d’un corps, un échafaudage conçu pour être moins densément peuplé et organisé par ses propriétés sensorielles en aval peut être plus facile à réaliser. Une fois peuplée, la structure pourrait être comprimée au moment de la récolte ou structurée davantage en un produit final ». [51]

La question se pose, ensuite, de savoir si le passage suivant fait référence à des hydrogels à base de graphène, sous quelque forme… qui serait “biodégradable” sous quelque mode.

« Des considérations de conception minutieuses ont été faites en ingénierie tissulaire pour utiliser des matériaux non immunogènes, biodégradables avec des sous-produits biologiquement inertes (car ils sont destinés à être insérés dans le corps à des fins de médecine régénérative (Bajaj et al., 2014). De même, un échafaudage qui se biodégrade en sous-produits inertes serait souhaitable pour la viande cultivée, non seulement pour éviter que des matériaux non comestibles soient incorporés dans un produit final, mais aussi en permettant aux cellules de remplacer l’échafaudage d’hydrogel par leur propre matrice extra-cellulaire native. En effet, les hydrogels sont généralement des substrats statiques qui, à eux seuls, ne parviennent pas à reproduire dynamiquement les interactions spatio-temporelles entre une cellule et la matrice extra-cellulaire. Une méthode pour surmonter ce problème consiste à incorporer des liaisons transversales dégradables par protéolyse (Khetan et al., 2013 ; Patterson et Hubbell, 2010), qui permettent à des enzymes naturellement sécrétées, telles que les métalloprotéinases matricielles, de dégrader le substrat de l’hydrogel – ce qui permet la migration des cellules et l’établissement de la réciprocité dynamique décrite précédemment. Une série d’autres méthodes, telles que les polymères photodégradables (Kloxin et al., 2009) et les produits chimiques uniques permettant une réticulation médiée par la lumière (Guvendiren et Burdick, 2012), ont également été développées par les bio-ingénieurs, permettant une récapitulation plus précise de la dynamique cellule/matrice extra-cellulaire. ». [51]

Dans les viandes cellulaires commercialisées : des nano-fibres, à base de graphène et de chitosane, qui ne révèlent JAMAIS leur identité

L’une des compilations du Good Food Institute présente, environ, 230 entreprises, de par le monde, impliquées dans la production de fausses viandes et de faux poissons ou autres produits marins – à savoir impliquées directement ou indirectement. [43] [64] 

De nouveau, pour toutes ces viandes cellulaires commercialisées, il est plus que vraisemblable que des dérivés du graphène se cachent dans des nano-fibres qui ne révèlent pas leur identité réelle. 

En fait, le Good Food Institute présente deux compilations qui correspondent à deux niveaux de produits commercialisés dans le secteur des fausses viandes et, plus généralement, dans le secteur de l’agriculture dite cellulaire – et même dans le secteur de l’industrie à protéine d’insectes en ce qui concerne l’un des niveaux. 

La première compilation se nomme “Entreprises axées sur la viande et les fruits de mer cultivés” et elle en décline 153 différentes. Ces sociétés, “en aval”, sont impliquées directement, dans les raffineries produisant les substances terminales, à savoir celles qui sont proposées au grand public: fausse viande, faux lait humain, faux oeuf, faux cuir, fausse soie, faux THC, fausse artémisine, etc, etc.

La seconde compilation se nomme “Entreprises ayant des initiatives dans le domaine de la viande cultivée et des fruits de mer”. Cette dénomination concerne les entreprises qui sont impliquées, “en amont”, dans la production de divers éléments “cellulaires” au bénéfice des ingénieries tissulaires des secteurs alimentaires ou  hospitaliers: cellules embryonniques humaines, architectures/échafaudages, cellules-souche pluripotentes, fibroblastes primaires, neurones, cellules gliales, transferrine, lactoferrine, insuline, protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2), etc, etc.

Donc, aujourd’hui, si l’on veut connaître les éléments authentiques composant les faux produits de l’agriculture cellulaire, il est nécessaire d’enquêter auprès des firmes industrielles, en amont, qui déclinent, sur leur site web, la liste de ce qu’ils proposent, commercialement parlant, à toutes les sociétés industrielles, en aval, dont la fonction est de produire des aliments “alternatifs” en cuves métalliques. 

En effet, les sociétés produisant de faux aliments possèdent des blogs mirobolants avec des discours de propagande sanglotante (durable, circulaire, eco-friendly, sans souffrances animales, etc, etc); des attaques, à peine déguisées, à l’encontre de l’agriculture/élevage; et, même, des photographies de leurs raffineries industrielles, de leurs cuves métalliques – comme si c’était orgasmant d’un point de vue gastronomique  et sensoriel…

Mais, jamais, JAMAIS, avec la liste des ingrédients.

La liste authentique des ingrédients, de la viande cellulaire, est laissée à l’imagination, fertile et fébrile, de tous les nigauds, et autres bobos, qui la consomment en se pâmant et en glapissant qu’ils ont atteint le nirvana de la gastronomie universelle. A quand un Guide Michelin, “Woke”, des grands crus, et autres cuvées légendaires, de fausses viandes en cuves métalliques? 

Qui plus est, le Forum Economique Mondial, souhaite-t-il éliminer, après l’élevage, toutes les vignes du monde – au prétexte d’éliminer le dioxyde de carbone? A quand les vins cellulaires, cultivés dans des cuves métalliques, à partir de levures chimériques? 

Dans le cadre de ce dossier, par trop volumineux, déjà, je ne vais pas m’attarder à étudier les produits cellulaires – et autres prétentions cellulaires – de l’industrie du même nom. Je vais me contenter d’en évoquer quelques unes.

En effet, lorsque l’on a compris l’arnaque intrinsèque, que constitue la viande cellulaire, il est aisé de la repérer car elle est reproductible, et reproduite, par toutes les entreprises du secteur: il s’agit d’une alimentation totalement chimérique, et synthétique (avec mêmes des dérivés de Graphène) enrobée de discours propagandistes fondés sur du fake – au même titre que la fake viande.

J’ai même abandonné de tenter de décrypter les brevets, de toutes ces start-ups, car ils sont libellés de telle sorte à laisser entendre que d’autres éléments peuvent s’ajouter à la liste qu’ils incluent dans leur requête d’exclusivité – grâce à la formule magique  “sans s’y limiter”.

L’une de ces start-up, la première sur une liste, dénommée “3D Bio Tissues”, et issue de l’université Newcastle, [40] présente “son ambition de produire des tissus bio-équivalents pour l’agriculture clinique et cellulaire” en précisant qu’elle « applique de nouveaux processus de fabrication bio-inspirés pour générer des structures complexes ». Ce qu’elle propose: “une modélisation tissulaire en tant que plateforme d’ingénierie interne qui adopte une approche ascendante et bio-inspirée de l’ingénierie tissulaire pour créer des tissus structurés, fonctional et scalables” – à savoir pour des applications médicales ou pour l’agriculture cellulaire, selon ses déclarations. [56] Son co-fondateur, Che John Connon, est un spécialiste des hydrogels. 

Nous sommes au coeur de la nov-langue, tout aussi creuse que ses concepteurs. Il est à noter l’usage récurent du préfixe “bio”: “tissus bio-équivalents”, “approche bio-inspirée”, “bio-impression”, “bio-réacteur”, “bio-fermenteur”, “bio-imagerie”, “bio-compatible”, “bio-matériau”,“bio-résidu”, “bio-composite”, “bio-polymère”, “bio-dégradable”.

Quant à l’expression “agriculture clinique”, est-ce l’erreur d’un stagiaire? Ou s’agit-il, peut-être, d’un aveu de diagnostic quant à l’impact, d’une telle alimentation cellulaire, sur l’organisme humain?

Une autre de ces start-up, dénommée “BioLead” vend des produits cellulaires pour l’agriculture cellulaire, pour les applications médicales, pour les bio-technologies, pour l’immunothérapie et les recherches cellulaires. [44] 

Ils proposent, par exemple, pour le secteur de la viande cellulaire, toute une gamme de substances insolites [45]: transferrine; lactoferrine; insuline; protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); activine A recombinante rat, souris, humain; facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; albumine; facteur de croissance épidermique; facteur de croissance humain insulino-like 1. 

Comme médium de culture cellulaire pour viande, poisson, oeufs, ils proposent les références DMEM, DMEM/F12, L15. Par exemple, DMEM signifie Dulbecco’s Modified Eagle Medium. Les cellules cultivées avec succès, dans ce DMEM, comprennent les fibroblastes primaires, les neurones, les cellules gliales, les cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine et les cellules musculaires lisses.

Il est à noter que certaines sociétés de production de viande cellulaire travaillent à partir d’un échafaudage à base de protéines de soja. Question: s’agit-il, seulement, de protéines de soja?

En effet, l’étude, de 2018, intitulée “Polyphenol-induced cellulose nanofibrils anchored graphene oxide as nanohybrids for strong yet tough soy protein nanocomposites” porte sur la confection de “nano-fibrilles de cellulose induites par des polyphénols et ancrées dans de l’oxyde de graphène comme nano-hybrides pour des nano-composites à base de protéines de soja à la fois solides et résistants.” [36] 

On ne peut clore un tel dossier sans évoquer, en passant, les viandes en 3D qui sont produites – comme des fusils-mitrailleurs, de par le monde – avec des “encres”, ad hoc, et qualifiées, même, de “bio-encres”.

Doit-on présumer qu’elles sont qualifiées de “bios” parce qu’elles participent à des processus alimentaires, prétendument, donc de vie … au contraire de la pléthore d’armes légères et lourdes confectionnables, aujourd’hui, avec une bonne imprimante en 3D – et les substances adéquates… que l’on pourrait qualifier de “nécro-encres”, de par leur fonction.

Le Good Food Institute présente, ainsi, dans ses articles très techniques, un exposé concernant la fabrication des viandes cellulaires, en 3D, qui sont confectionnées grâce au recours à des “bio-encres” pour la “bio-impression”. [51]

« La bio-impression 3D est une technique de fabrication dans laquelle des solutions pré-polymères ou des solutions pré-polymères contenant des cellules (c’est-à-dire une bio-encre) sont déposées sur un substrat couche par couche sous la direction d’un processus de conception assistée par ordinateur. Ces fichiers résultent, généralement, de données de bio-imagerie réelles – telles que des scans de tissus par résonance magnétique et par tomographie  assistée par ordinateur – mais ils peuvent, également, être générés par l’utilisateur pour former des types de géométrie illimités. Des stratégies d’imagerie similaires peuvent être réalisées pour reproduire des morceaux de viande spécifiques. Il existe plusieurs types de bio-impression ».

Une étude, de mai 2021, par exemple, intitulée “Graphene Oxide-Embedded Extracellular Matrix-Derived Hydrogel as a Multiresponsive Platform for 3D Bioprinting Applications” se rapporte à l’utilisation de“bio-encres” à partir d’hydrogels confectionnés avec de l’oxyde de graphène ou de l’oxyde de graphène réduit – pour l’ingénierie tissulaire. [47]

Il existe deux types de “bio-encres”: avec ou sans échafaudage. Une “bio-encre” à base d’échafaudage est, par essence, un hydrogel qui est imprimé avec des cellules. Et ces hydrogels sont, bien souvent, confectionnés à base de graphène.

Par exemple, la société Allevi 3D propose, pour l’ingénierie cellulaire – et, donc, potentiellement pour la production de viandes en 3D – un “bio-matériau”, flexible, conducteur et  “bio-compatible” qui est composé à plus de 90% de Graphène… afin d’élaborer des muscles, des tissus cardiaques, des nerfs, etc… [57] 

Que cachent les nano-fibres des viandes cellulaires commercialisées, par exemple, par Gelatex et Matrix Meats?

En juillet 2022, la société Estonienne, Gelatex Technologies a annoncé développer une nouvelle technologie, révolutionnaire, d’échafaudage de viande cellulaire. [4]

Gelatex a annoncé la possibilité de produire suffisamment d’échafaudages pour soutenir la production annuelle de 300 tonnes de viande cultivée. La technologie de l’entreprise aurait, déjà, permis de réduire le coût des échafaudages de 100 000 euros à 1 000 euros par kilogramme. Les projections futures pourraient aboutir à des coûts d’échafaudage inférieurs à 20 € par kilogramme de viande cultivée, d’ici une décennie. 

Le directeur de Gelatex, Martens, a déclaré que les plus grandes unités d’électrospinning (technologie actuellement utilisée) disponibles sur le marché peuvent produire 360g/h – l’unité semi-industrielle de Gelatex, elle, peut déjà produire jusqu’à 5kg/h. Une telle capacité de production représente suffisamment de nanofibres pour la production de 1300 kg de viande en une seule journée de travail de huit heures. Grâce à ce débit de production beaucoup plus élevé et à une consommation d’électricité réduite de 28%, M. Martens estime que le coût des nanofibres peut être réduit jusqu’à 90%.

Le fondement de cette technologie est l’électrospinning qui selon la définition technique « est un procédé de mise en œuvre des polymères qui, sous l’action d’un champ électrique intense (de l’ordre de 1 kV/cm), permet l’élaboration de membranes nanofibreuses (diamètre de fibres de l’ordre de 50 nm à 1 μm) à partir de solutions de polymères ou de polymères à l’état fondu ». Voir le dossier de l’ICPPES: Electrospinning et Nanofabrication pour la Santé et l’Energie.  [35]

En 2019/2020, Gelatex Technologies, a déposé deux brevets – US20210155764A1 [3] et EP3839120A3 [2] – qui porte sur un matériau constitué de nano fibres, non tissées, à base de gélatine. Ces deux brevets ont été publiés en septembre 2021 mais sont en attente d’acceptation. 

Selon l’intitulé du brevet : 

« Le procédé comprend la production de nanofibres de gélatine ; la production d’un matériau nanofibreux en utilisant les nanofibres de gélatine produites ; et le traitement du matériau nanofibreux par un agent de réticulation pour former des liaisons d’adhésion dans le matériau nanofibreux et pour obtenir le matériau non tissé nanofibreux. »

Selon la description du brevet : 

« De plus, en option, la solution de traitement comprend une charge. Les exemples de charge comprennent, sans s’y limiter, des particules de silice hydrophiles ou hydrophobes, de la terre de diatomée, du carbonate de calcium, du noir de carbone, de la montmorillonite ou d’autres argiles. La concentration de la charge dans la solution de traitement peut aller jusqu’à 75%. »

Il est bien précisé “sans s’y limiter”.

Il est vrai qu’il n’y est nullement précisé que ce matériau de charge, de remplissage, puisse être du graphène ou des nano-tubes de carbone. Cependant, l’un des requérants de ce brevet, au bénéfice de sa société Gelatex Technologie, est Uno Mäeorg – qui est affilié à l’université de Tartu en Estonie. Uno Mäeorg est un spécialiste du graphène. 

J’ai carrément demandé, par e-mail, aux deux propriétaires de Gelatex Technologie, Märt-Erik Martens et Mari-Ann Meigo Fonseca, s’il était avéré que leurs échafaudages de nano-fibres étaient à base de graphène – d’autant plus de par la présence de Uno Mäeorg – mais ils ne m’ont pas encore répondu. En effet, si cela est avéré, c’est à l’insu des consommateurs végan de fausses viandes.

En effet, il est l’auteur, ou le co-auteur, d’une pléthore d’études portant sur le carbone, les nano-particules de graphène, ou autres nano-particules, les nano-tubes de carbone, les aérogels, etc. 

Par exemple, l’étude, de 2018, intitulée “Effect of contact material and ambient humidity on the performance of MWCNT/PDMS multimodal deformation sensors”, qui porte sur des senseurs confectionnés à partir de nano-tubes de carbone à multiples parois, une forme de graphène, comme remplisseurs conducteurs. [1]

Il n’est donc pas nécessaire de déployer d’immenses efforts d’imagination pour concevoir que le graphène, sous toutes ses formes, constitue le matériau de base des nano-fibres de Gelatex, en Estonie, pour sa production annuelle de 300 tonnes de viande cellulaire. 

Il est plus que vraisemblable qu’il en soit de même pour les hydrogels de Matrix Metas aux USA et ce n’est, sans doute, pas une coïncidence que le Food Navigator, US, leur ait consacré un article dans la même foulée: “From mush to meat? Talking edible scaffolfing with Gelatex and Matrix F. T.” [74]

En effet, Eric Jenkusky, le directeur de la société Matrix Meats, (Matrix F. T), lors d’un interview, en août 2021 [24], a déclaré que la technologie de confection de nano-fibres, que sa société utilise pour la confection de viande cellulaire, datait d’une quinzaine d’années et qu’il la licenciait de la société Nanofiber Solutions – qui est dédiée à la dite médecine régénérative à partir de polymères. 

Cela fait, au moins, une bonne douzaine d’années que le graphène est, abondamment, utilisé dans tous les secteurs médicaux de l’ingénierie tissulaire – mais je n’ai pas enquêté sur l’ancienneté d’autres types de nano-fibres utilisées avec les mêmes objectifs. 

Eric Jenkusky évoque des nano-fibres à base de polycaprolactone…  sans en dire beaucoup plus – car, comme pour Gelatex Technologies, il s’agit de “secrets professionnels” fondés sur la technologie de l’électrospinning.

Matrix Meats prétend être en relations de développement actif avec 14 compagnies, de 7 pays, dans le secteur de la viande cellulaire.

Or, il existe de nombreuses études et expérimentations portant sur les composites à base de polycaprolactone, de chitosane… et de graphène. Ainsi, par exemple, cette étude, de février 2022, intitulée “The effect of polycaprolactone/graphene oxide electrospun scaffolds on the neurogenic behavior of adipose stem cells”. [25] 

Selon cette étude, la présence d’oxyde de graphène, dans l’échafaudage en polycaprolactone, augmente l’attachement des cellules, leur prolifération, leur infiltration dans l’échafaudage et leur différenciation neuronale.

Ou cette étude, d’octobre 2022, intitulée “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds” [72] qui précise que :

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane/polycaprolactone. » [72]

Du Graphène dans les viandes animales

Depuis que la Quinta Columna, le professeur Pablo Campra – ainsi que de nombreux autres chercheurs de par le monde – ont informé les Peuples de la présence de graphène, et de nano-technologies, dans les injections CoqueVide/19, des dizaines de milliers de personnes ont entrepris d’analyser microscopiquement une pléthore de substances alimentaires ou médicinales… [34] ou tout simplement d’utiliser des aimants afin de vérifier s’il y existait un phénomène de magnétisation [32]

De nombreux témoignages ont, ainsi, émergé, sur le web, de viandes emballées totalement magnétisées. 

Tout autant que de nombreux témoignages de graphénisation de remèdes, de cosmétiques, d’aliments, etc…

Je rappelle, une nouvelle fois, que des solutions aqueuses, et autres sérums physiologiques, à l’oxyde de graphène, ont été commercialisées depuis 2015, au moins, par des grosses sociétés industrielles Chinoises. Voir mon essai d’août 2021, “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène”. [48]

1. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par des vaccins pour les animaux – par exemple, les vaccins dits à “l’ARNm”, le messager fourre-tout – qui ont été tout autant graphénisés que les vaccins humains… et qui ne contiennent, sans doute, pas plus d’ARN que n’en contiennent les injections CoqueVide.  

Les vaccins humains ont été graphénisés depuis 2019, au moins, mais ils ont été nano-particulés, métalliquement, depuis 2015, au moins. Voir le scandale du VaccineGate en Italie en 2016. [55]

D’ailleurs, dès 2015, en Allemagne, et aux USA, la Mafia Pharmacratique expérimentait, sur des humains, avec des injections ARNm à l’encontre des fabulés virus H10N8 et H7N9. [31] Le saviez-vous?

Il existe, par exemple, depuis quelques années, un vaccin pour porc, à “l’ARNm”, anti-grippal (H3N2 cluster IV), en deux doses, [30] ainsi qu’une vaccin anti-grippe, à “l’ARNm”, pour les volailles. [42] Pour ces deux injections, la firme Harris Vaccines donne les précautions, très explicites, suivantes [49]:

« Ne pas vacciner dans les 21 jours précédant l’abattage. Congeler à -80°C pour une conservation à long terme. Utiliser dans les 7 jours si le produit est conservé à 4°C. Utiliser tout le contenu lors de la première ouverture/perforation. En cas de réactions anaphylactiques, administrer de l’épinéphrine ».

Comme nous avons pu le constater, avec toutes les autres injections anti-CoqueVide, de la Mafia Pharmacratique, les extrêmes basses températures de conservation sont requises afin que le graphène ne commence pas à floculer sous l’effet de la chaleur ambiante. 

Question: que se passe-t-il si la viande est vendue dès la vaccination? Des paysans Espagnols ont, par exemple, mis en ligne une vidéo d’un poulet, prêt à la vente, dont le corps continuait de pulser sous l’effet d’une énergie inconnue. Serait-ce celle de l’oxyde de graphène activé par une source d’énergie proche?

En parlant d’énergie inconnue, avez-vous vu des vidéos filmant des injectés CoqueVide réagir, au point d’injection, à un senseur électrique? En voici une: [58].

2. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par les emballages… car, aujourd’hui, de nombreux emballages contiennent de l’oxyde de graphène au prétexte de protéger les aliments qu’ils contiennent à l’encontre de bactéries, de champignons, etc. Nonobstant, les témoignages de magnétisation de viandes prennent bien soin, également, de les désemballer afin de mettre en exergue ce phénomène “contre-Nature”. 

Au sujet des emballages graphénisés, voir mes divers posts: [37]  [38]  [39].

3. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par l’injection d’une substance structurante, à savoir un polymère à base d’oxyde de graphène – afin d’améliorer la texture, et la présentation commerciale, sur les étals des super-marchés, de viandes (aux hormones de croissance) non structurées et trop molles, en raison des conditions épouvantables de l’élevage hyper-industriallisé, et hyper-pharmaceutique.

A savoir, une injection opérée dans l’objectif de conférer un peu plus d’échafaudage cellulaire –  comme pour la structuration des soupes cellulaires que j’ai évoquée –  afin que la viande cultivée puisse acquérir une structure en 3D.

4. Finalement, ce phénomène pourrait être induit par la présence, de plus en plus fréquente, de “films comestibles”, souvent invisibles, qui recouvrent les viandes, ou d’autres produits, afin de leur conférer des capacités bactéricides, etc – ou d’organiser la transmission d’informations de par leur capacité “smart”.

C’est un dossier à élucider à part, et je vais l’aborder dans la prochaine section, car ces “films comestibles” sont souvent gavés de graphène… afin de gaver les populations d’un vecteur nano-métallique qui puisse les raccorder au réseau – à leur insu et contre leur accord.

Franchement, pourquoi les industriels de la viande animale n’auraient-ils pas recours, libéralement, au graphène  alors qu’ils le font pour les “viandes cellulaires”? 

Du Graphène dans les films comestibles des viandes animales

Pourquoi intégrer du Graphène dans les films comestibles des viandes animales – ou d’autres substances alimentaires? Pour des raisons, prétendument, sanitaires. L’étude ci-dessous mentionnée, de septembre 2020, [70] en présente un bref résumé.

« Aujourd’hui, en plus des emballages biodégradables souhaitables, la recherche mondiale s’intéresse au développement d’emballages alimentaires actifs pour prolonger la durée de conservation, améliorer la sécurité et maintenir les propriétés organoleptiques. Les bio-composites, avec des dérivés de graphène, peuvent présenter une activité antioxydante, antimicrobienne et antifongique, comme l’ont étudié de manière approfondie Carvalho et al. La capacité de piégeage des radicaux d’oxyde de graphène réduit peut apporter une activité antioxydante aux biocomposites. Les films à base de Chitosane, avec 20-33% en poids d’oxyde de graphène réduit, ont montré une augmentation de l’inhibition dans la gamme de 54% à 82% après 8 heures d’incubation et cette activité peut éviter l’oxydation des aliments emballés. 

Les propriétés antimicrobiennes et antifongiques des nano-structures à base de graphène sont fondées sur leur capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire et un stress oxydatif qui compromettent la prolifération et la sporulation bactériennes. Les biocomposites avec des dérivés de graphène ont révélé des propriétés antibactériennes in vitro contre un large spectre de micro-organismes pathogènes (tels que Enterococcus faecalis, Staphylococcus epidermidis, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Staphylococcus haemolyticus, et Bacillus subtilis). La modification de surface des dérivés du graphène avec des huiles essentielles ou d’autres composés métallique – tels que des nano-particules d’argent, d’oxyde de zinc ou de dioxyde de titane – a été adoptée comme stratégie pour améliorer le potentiel antimicrobien inhérent de ces nano-structures.  Récemment, un film, composé de nano-tubes de carbone/acide polylactique/cinnamaldéhyde, a révélé un grand potentiel d’application comme film d’emballage alimentaire antibactérien actif à libération contrôlée avec un effet actif prouvé jusqu’à 21 jours. Des activités antifongiques de biocomposites contenant des nano-structures de carbone contre Aspergillus niger, Cryptococcus neoformans, Candida tropicalis, Candida albicans, Botrytis cinereas, et Rhizopus spp. ont également été décrites. » 

La première question que tout être sensible devrait se poser est la suivante. Si les dérivés du graphène possède une telle capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire, et un stress oxydatif, par exemple chez des bactéries se développant sur de la viande, pourquoi en serait-il autrement en ce qui concerne les éléments de l’organisme humain – les cellules, les bactéries et les virus?

Les mises en gras sont de mon fait afin de mettre en exergue que tout est fondé sur les dérivés de graphène… et sur le Chitosane qui est, rappelons-le, dérivé de la Chitine. Voici quelques autres études portant sur les diverses formes de graphène utilisées dans les films alimentaires – comestibles ou non.

“Edible Films on Meat and Meat Products”. Novembre 2021. [52] Cette étude présente, dans le détail, les divers polysaccharides – tels que le chitosan, la pectine, les gommes, l’amidon, la cellulose, l’alginate, le carraghénane et les furcellaran – qui sont utilisés dans les films comestibles.

Dans la section du furcellaran, cette étude précise ce qui suit:

« Les films de furcellaran présentent un aspect transparent légèrement jaunâtre. Dans de nombreuses applications, les films transparents sont préférés car ils peuvent mettre en valeur le produit emballé et influencer l’intention d’achat du consommateur. L’incorporation d’extrait de thé vert, de yerba mate et de nano-particules d’oxyde de zinc, a rendu la couleur jaune plus intense. Les films de furcellaran avec des nano-charges – points quantiques de carbone, nano-particules d’oxyde de graphène et nano-particules de maghémite – ont indiqué un effet inhibiteur contre la croissance de Salmonella enterica, principalement parce que la matrice polymère contient des groupes sulfate réactifs. Les nano-composites de points quantiques de carbone ont montré un effet inhibiteur sur la croissance de Staphylococcus aureus (Gram positif) et Escherichia coli (Gram négatif). Le furcellaran peut être l’un des composants de base dans la production de films “intelligents” tels que des matériaux d’emballage ayant des propriétés actives et/ou intelligentes. » [52]

Dans la section du chitosan, cette étude précise ce qui suit :

« Le chitosan est un polysaccharide cationique de haut poids moléculaire qui présente une grande capacité de formation de films et des activités antimicrobiennes. Le film de chitosan a été utilisé comme matériau d’emballage pour la conservation de différents aliments, en particulier lorsqu’il est associé à d’autres matériaux filmogènes. L’enrobage des aliments avec des films de chitosan permet d’abaisser la pression partielle d’oxygène dans l’emballage, de maintenir la température avec un transfert d’humidité entre l’aliment et son environnement, de contrôler la respiration et de décliner la déshydratation. En outre, le chitosan est utilisé pour la désacidification, la fixation de la texture, l’amélioration de l’effet émulsifiant, la saveur naturelle et la stabilisation de la couleur des aliments. Les films à base de chitosan sont clairs, flexibles et résistants, ils résistent bien aux graisses, aux huiles et à l’oxygène, mais sont très sensibles à l’humidité »[52]

“Graphene Derivatives in Biopolymer-Based Composites for Food Packaging Applications”. Septembre 2020. [70] Cette étude est extrêmement précise, et technique, eu égard aux différents types de polymères qui sont utilisés pour la préservation des viandes:  argile, cellulose, chitosane, pullulan, gélatine… et, surtout, les “bio-composites”, ou “bio-polymères”, à base de dérivés du graphène comme matériaux d’emballage alimentaire.

La plus grande partie de cette étude est consacrée aux dérivés du graphène. Il est à noter que le facteur de comestibilité est mentionnée, à quelques reprises, pour certains de ces polymères… mais il ne l’est pas pour les dérivés du graphène.

En fait, il ne l’est pas dans cette étude mais, ainsi que mentionnée précédemment, il l’est dans l’étude portant sur le furcellaran fonctionnalisé avec des points quantiques de carbone ou de l’oxyde de graphène.

“Green Coating Polymers in Meat Preservation”. Novembre 2021. [59] Cette étude porte sur le recours à des polymères verts comestibles pour la préservation de la viande. Les polymères verts sont définis comme des polymères biodégradables provenant de ressources de la biomasse ou de voies synthétiques et d’origine microbienne qui sont formés de structures mono ou multicouches.

Ce peut être des polymères “verts”… produits par voies synthétiques. 

“Graphene Oxide Bionanocomposite Coatings with High Oxygen Barrier Properties”. 2016. [60] Cette étude présente le développement de films bio-nano-composites sur du poly(éthylène téréphtalate) possédant des propriétés exceptionnelles de barrière à l’oxygène. Le pullulan et l’oxyde de graphène ont été utilisés comme phase polymère principale et comme bloc de nano-construction, respectivement. 

D’autres nano-particules sont utilisées dans des films comestibles recouvrant la viande: des nano-particules d’argent [69] ou des nano-tubes de dioxyde de titane [61]

Il existe, même, une étude intitulée “Controlled release and antibacterial properties of PEO/casein nanofibers loaded with Thymol/β-cyclodextrin inclusion complexes in beef preservation”, [62] qui porte sur la fabrication de nano-fibres, composées de caséine  et d’oxyde d’éthylène, chargées de β-cyclodextrine et de thymol avec pour objectif, prétendu, de conserver plus longtemps la viande de boeuf. Il n’est pas précisé si ce film de nano-fibres est comestible ou non. 

Annexe 1. Du Graphène dans les Ingénieries tissulaires humaines

Depuis une quinzaine d’années, le graphène, sous toutes ses formes, est omniprésent dans les technologies médicales dont l’objectif est de créer des tissus musculaires, des tissus osseux, etc – chez l’Humain – dans le cadre d’une médecine que les scientifiques déments n’hésitent pas, même, à qualifier de “médecine régénératrice”. 

Pourquoi, donc, le graphène ne serait-il pas, de même, prévalent dans tous les processus technologiques consistant à créer des échafaudages cellulaires dans la fabrication de fausses viandes? A savoir, au même titre que la chitine et le chitosane. 

Le site PubMed, du ministère de la santé US, lorsqu’interrogé avec les termes “Graphene / Tissue / Engineering”, présente plus de 1500 entrées. 

L’étude récente, “Graphene Oxide–Protein-Based Scaffolds for Tissue Engineering: Recent Advances and Applications”, de mars 2022, présente un bon résumé quant à la nature de ces échafaudages cellulaires. [6]

« Le microenvironnement physiologique natif pouvant être adapté localement pour le processus de régénération. pour le processus de régénération, de nombreux biomatériaux ont été étudiés pour permettre l’infiltration, la division et la différenciation des cellules implantées. Les échafaudages sont nécessaires pour imiter le microenvironnement cellulaire du tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules. Les échafaudages doivent imiter le microenvironnement cellulaire d’un tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules, de fournir une morphologie physiologique appropriée et de permettre la co-culture de diverses cellules. D’un point de vue mécanique, les échafaudages fournissent stabilité mécanique et de forme au tissu réparé. D’un point de vue biologique, les échafaudages sont des architectures qui soutiennent le développement de la matrice extracellulaire (MEC) et l’établissement des cellules. En outre, la perméabilité du tissu reconstruit est un élément clé pour permettre le transfert des nutriments des milieux de culture. pour permettre le transfert des nutriments depuis les milieux de culture et favorise l’élimination des produits secondaires nocifs du matériau sans nuire à la santé. secondaires nocifs du matériau sans affecter négativement les conditions de culture. En outre, le nouvel échafaudage doit être stable pendant un certain temps pour permettre au tissu endommagé de se réparer ou de retrouver sa capacité à se développer. endommagé de se réparer ou de retrouver la capacité d’être restauré. La biodégradabilité en fonction du temps est un autre aspect important à prendre en compte pour les échafaudages tissulaires afin de permettre la prise en charge des cellules pour favoriser le processus de guérison. 

Ces dernières années, des polymères synthétiques et naturels ont été utilisés pour l’ingénierie tissulaire, et il a été prouvé que les caractéristiques des échafaudages dépendent de la structure et de la concentration du polymère, de la taille des pores, de la flexibilité, de la rigidité, etc. Les polymères synthétiques tels que l’acide polylactique, l’alcool polyvinylique, le poly (lactique-co-glycolique) et le poly ε-caprolactone ont été utilisés pour la préparation d’échafaudages 3D en raison de leur porosité, de leurs performances mécaniques et de leur temps de dégradation facilement ajustables. Grâce à leur biocompatibilité supérieure, les polymères naturels tels que la gélatine, le collagène, le chitosane, l’alginate, l’élastine et la fibrine ont attiré l’attention des chercheurs pour la préparation d’échafaudages 3D qui reproduisent fidèlement la vascularisation des tissus natifs et les interconnexions des canaux qui permettent la perfusion des nutriments et la diffusion de l’oxygène pendant la régénération.»

L’étude encore plus récente, “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds”, d’octobre 2022, [72] affirme que : 

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane /polycaprolactone…. Les échafaudages d’ingénierie tissulaire préparés avec des matériaux à base de graphène présentent une bonne biocompatibilité, d’excellentes propriétés mécaniques et une forte orientation des cellules, ce qui permet d’induire pleinement la prolifération et la différenciation des cellules d’ensemencement. Cette revue décrit brièvement les matériaux de base pour la préparation des échafaudages d’ingénierie tissulaire, et se concentre sur la préparation, la performance et l’application des matériaux à base de graphène dans l’ingénierie tissulaire, fournissant une compréhension suffisante du graphène appliqué à la médecine régénérative. »

En effet, il est important de souligner que les dérivés du graphène sont utilisés, très souvent, conjointement au chitosane, dérivé de la chitine, dans la fabrication d’échafaudages cellulaires permettant de créer de nouveaux tissus dans le corps humain: l’ingénierie tissulaire chimérique à base d’hydrogels. Il existe une foultitude d’études publiées à cet égard – à savoir plus d’une centaine – depuis l’année 2011. [7]  [8]  [9]  [10]  [11]  [12]

C’est ce que j’ai voulu mettre en exergue dans mes deux derniers volumineux dossiers: les Autorités vont tenter de Graphéniser et de Chitiniser au maximum les Peuples – tout autant que les viandes cellulaires… qui sont supposées remplacer les vraies viandes à terme. 

Le site de PubMed en décline, déjà 23, pour l’année 2022. En voilà quelques-unes:

“Synthesis and Characterization of Chitosan-Containing ZnS/ZrO2/Graphene Oxide Nanocomposites and Their Application in Wound Dressing”. Cette étude porte sur la confection d’un polymère nano-composé d’oxyde de graphène, de chitosane, de sulfure de zinc et de dioxyde de zirconium afin de créer des échafaudages pour des nano-films permettant de réparer, plus rapidement, les lésions cutanées. [68]

“Fabrication of Conductive Tissue Engineering Nanocomposite Films Based on Chitosan and Surfactant-Stabilized Graphene Dispersions”. Septembre 2022. Cette étude porte sur la fabrication de films en nanocomposites de chitosane et de graphène, avec une biomécanique, une électroconductivité, et une biocompatibilité modulables, en ayant recours au polyvidone et au polymere Pluronic F108 comme stabilisateurs d’émulsion pour l’ingénierie tissulaire conductrice. [14]

“Study on Long-Term Tracing of Fibroblasts on Three-Dimensional Tissue Engineering Scaffolds Based on Graphene Quantum Dots”. Septembre 2022. Cette étude porte sur l’utilisation de points quantiques d’oxyde de graphène, de points quantiques d’amino-graphène et de points quantiques de graphène carboxyl pour tracer les  fibroblastes de la peau humaine. [15]

“Effect of carbon based fillers on xylan/chitosan/nano-HAp composite matrix for bone tissue engineering application”. Février 2022. Cette étude porte sur l’analyse de l’effet des charges dérivées du carbone (oxyde de graphène ou oxyde de graphène réduit) sur le potentiel microstructurel, mécanique et ostéoinductif de la matrice composite xylan/chitosan/HAp (hydrocarbures aromatiques polycycliques) pour une application d’ingénierie du tissu osseux. [16]

“Evaluating the effect of graphene oxide PEGylation on the properties of chitosan-graphene oxide nanocomposite scaffold”. Mai 2022. Cette étude porte sur la fonctionnalisation de l’oxyde de graphène avec du polyéthylène glycol (PEG) pour comprendre l’effet de l’oxyde de graphène recouvert de PEG sur les propriétés de l’échafaudage nanocomposite à base de chitosane. [17]

“Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” Novembre 2022

“Récapitulatif de mes divers Vecteurs de Transmission sur la Toile… au plaisir de la Générosité et du Mutualisme”

Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2022

Réseau de nano-communications intra-corporel : récapitulatif des 49 dossiers de Mik Andersen” 

“Récapitulatif de mes 25 articles corrélés aux dossiers de Mik Andersen”

“Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté”. Octobre 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Juin 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mai 2022”

“Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 10. 2022: Orchestration de la Famine Pandémique”La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les  Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin? Avril 2022

“Récapitulatif des preuves irréfutables – en photographies et vidéos – de la présence de graphène et de nano/micro-technologies dans les injections CoqueVide”.  Avril 2022

“Récapitulatif des articles, études et vidéos, prouvant l’inexistence du Sars-CoV-2”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Avril 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mars 2022”

“Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN. Mik Andersen”. Février 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Février 2022”

“Présentation des analyses microscopiques des vaccins CoqueVide Pfizer en Nouvelle Zélande”

“Le Graphène dans l’Atmosphère” Janvier 2022

“Le Graphène dans l’Agriculture” Janvier 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Janvier 2022”

“Los Cantos de Xochi. Au sujet du 666, du Carbone, du Graphène et de la Bête” Janvier 2022

“Dossier d’accompagnement technique des articles du blog C0r0n@ 2 Inspect”. Décembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Décembre 2021”

“Los Cantos de Xochi. L’Enfant-Vaudou sur l’Autel Vaccinal de la PharMacronie” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2021”

“La Fraude du Covid 19 et la Guerre à l’encontre de l’Humanité” Novembre 2021

“VaccineGate. Présentation et Traduction par feu Serge Rader”

“Des encres à base de graphène comme bio-senseurs dans les vêtements, dans les chaussures… et dans les tatoos!” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Rudy Reichstadt: le Guru Conspirationniste de la Meute Médiatique” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Sexe, Vaccins and Rock the Dolls! Le Sperme au Parfum de Graphène: un Terminator de la Fertilité Féminine?” Novembre 2021

“La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène” Octobre 2021

“Toxicité des nano-particules de Graphène pour le système de reproduction des insectes, des poissons et des mammifères” Octobre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2021”

“Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène”. Septembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Sacrement de la Vaccination et le Culte Covidien de l’Enfant-Vaudou” Septembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Septembre 2021”

“Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?” Août 2021

“Los Cantos de Xochi: Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”  Août 2021

“L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”.

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 09” “L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”. Mai 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 02” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 08” Psychose Pulmonaire sur Mode de Coronavirus au Parfum Chimérique de Chauve-Souris avec un Zeste de VIH… et une Pincée d’Ebola? Mars 2020

“Protocoles de Plantes Médicinales pour les Grippes et autres pathologies respiratoires” Février 2020

“Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déhalluciner le Mental” Janvier 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 07” Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire. Décembre 2019

“Los Cantos de Xochi. En Guise de Déguisements Sémantiques et Mantiques” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 06” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Pandémies Planétaires? Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. Un Temple de la Sorcellerie sur les Cendres de la Cathédrale Consumée?” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 05” Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques. Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 04” 2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 03” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 02” Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants… Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 01” La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. Au Festival des Quenelles de l’Humour: Macron dégage!!!”  31 décembre 2018

“Los Cantos de Xochi: Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale!” 20 mars 2018

Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?” Décembre 2017

La loi Biodiversité de juillet 2016 : un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture ?” Août 2016




Les publicités mensongères doivent être poursuivies, particulièrement celles pour les faux-vaccins !

Par le Dr Gérard Delépine

Les gouvernants des pays occidentaux, le président des USA et la Commission européenne ont accordé aux fabricants de vaccins une large impunité pour les éventuelles complications liées à leurs injections expérimentales. Chacun devrait se demander sur quels fondements.

Après la révélation de tant d’effets secondaires — dont certains graves et parfois mortels (plus de 70 000 décès reconnus par les agences officielles américaine (VAERS), anglosaxonne (MHRA) et européenne (eudragivilance pour l’UE) — cela conduit de nombreux groupes de médecins et de citoyens à demander un arrêt pur et simple de ces injections. La vaccination H1N1 avait été stoppée après 53 décès comme celui de la grippe aviaire. Alors des millions de complications et des milliers de décès recensés devraient pour le moins conduire à cet arrêt des injections. On ne peut même plus parler ici de principe de précaution tant il est enterré.

Les fabricants ont obtenu la clause d’impunité sur la « qualité » des produits tant aux USA qu’en UE. Alors que faire ? Ils sont protégés d’avoir fabriqué des médicaments dangereux, mais pas de la publicité mensongère si largement déployée à leurs sujets. C’est ce que pointe le gouverneur de Floride.

PLAINTE EN JUSTICE POUR FAUSSE DÉCLARATION

Lors d’une réunion privée du Parti républicain de Floride1, le gouverneur Ron De Santis a annoncé que son administration prévoyait de tenir les fabricants de vaccins pour responsables d’avoir fait de fausses déclarations concernant les vaccins à ARNm COVID-19 et qu’il les traduirait en justice.2

Selon « Florida’s Voice », le chirurgien général Ladapo, responsable sanitaire de l’état, a conforté ces déclarations en rappelant une étude réalisée en octobre 2022 qui conclut que les pseudo vaccins COVID-19 sont « beaucoup moins sûrs que les autres vaccins » et que « les jeunes adultes n’ont pas besoin de se faire vacciner ».

En France, nous avons subi la même propagande mensongère de Pfizer, de Moderna, Astrazeneca, et du gouvernement par des publicités répétitives sur les écrans de TV (au nom du ministère de la Santé et payées par nos impôts !) par des éditorialistes, des journalistes, des pseudo-experts « médecins » ou « scientifiques », tant sur l’efficacité alléguée que sur l’absence de risques des injections. Pourquoi ne pourrions-nous pas suivre pas l’exemple de la Floride ?

Il faut que cesse la fausse information sur tous sujets à la télévision, sur les fausses pandémies, comme sur le changement climatique, l’efficacité des éoliennes et la guerre en Ukraine. L’éthique rappelée par la charte du journalisme devrait revenir à l’ordre du jour avec la vérification des informations et non la multiplication d’embauches de « fact-checkers » qui ont menti encore plus que les journalistes ordinaires.

En France la loi ne parle pas de publicité mensongère, mais « de pratiques commerciales trompeuses ».

Les « pratiques commerciales trompeuses » sont définies par les articles L121-2 à L121-5 du Code de la consommation comme des informations fausses ou de nature à induire le consommateur en erreur, en omettant une information importante ou en la communiquant de façon ambiguë.3

Ou bien lorsque la publicité fait exprès de ne pas présenter une information pour induire le consommateur en erreur et est susceptible d’avoir des conséquences sur le comportement du consommateur.

Une pratique commerciale peut être déloyale pour une catégorie de personnes et pas pour une autre. C’est le cas si le public visé est vulnérable en raison de son âge, de sa crédulité ou d’une infirmité mentale par exemple.

L’association Réaction19 avec maître Carlo Brusa a d’ailleurs protesté contre la publicité généralisée « tous vaccinés, tous protégés » par le dépôt d’une plainte en avril 2022.4

La propagande qui nous a été imposée en faveur des pseudovaccins a comporté des pratiques commerciales trompeuses, qui se poursuivent encore largement, de la bouche même du nouveau ministre de la Santé ou de la présidente du COVARS qui a remplacé le conseil scientifique au moment où le PR Delfraissy commençait à lâcher quelques vérités à la télévision.

EXEMPLES DES PLUS GROS MENSONGES À PROPOS DU PSEUDOVACCIN

Comment les firmes ont-elles pu prétendre dans leurs communiqués de presse que « l’efficacité de leurs injections dépasse les 90 % », en se basant uniquement sur un taux d’anticorps à deux mois et non pas sur la protection observée qu’elle procurerait aux vaccinés contre la maladie ?

Nous avons tous autour de nous de très nombreux exemples de personnes complètement vaccinées qui ont souffert de covid et même de récidives de covid. Les données publiées par l’OMS montrent d’ailleurs qu’au niveau mondial, la généralisation des pseudo vaccins (13 milliards de doses injectées au 7 12 2022) a été suivie d’une accélération par 3,5 du rythme mensuel des contaminations !

Le slogan « tous vaccinés tous protégés » répété partout et même affiché sur les panneaux des autoroutes est totalement mensonger. La démonstration du caractère trompeur de cette annonce en a été faite dès juillet 2021 par l’exemple du porte-avions HMS Queen Elizabeth. Mais la publicité mensongère s’est poursuivie.

Une forme plus pernicieuse de ce mensonge a été diffusée à l’aide d’une simulation biaisée5 manifestement commandée par le gouvernement canadien prétendant que « les vaccinés pourraient être contaminés par les non-vaccinés » ! Alors qu’un vrai vaccin protège le vacciné de la maladie quel que soient ses contacts et, qu’en cas d’inefficacité, l’injection des non-vaccinés ne peut pas protéger les vaccinés !

D’après les courbes tracées par l’Université John Hopkins illustrant les données publiées par l’OMS, l’incapacité des vaccins à protéger la population est évidente en France, comme dans le reste du monde. Malgré un taux d’injection de plus de 80 %, plus de la moitié des Français ont été infectés alors que les Africains très peu injectés (<10 %) ont été beaucoup moins atteints.

Cette incapacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions et donc à protéger autrui a d’ailleurs été reconnue par le ministère dans son mémoire de défense lors du procès intenté par un octogénaire vacciné qui voulait échapper aux restrictions sanitaires6 :

« Le vaccin… n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

Lorsque les slogans précédents ont été totalement démentis par les faits avérés, la propagande mondiale a prétendu que les injections protégeraient des formes graves7 8 en s’appuyant sur des articles biaisés des promoteurs des injections comme les CDC ou d’Epipharm, d’autant plus suspects que la CADA a récemment répondu qu’aucun groupe défini par son statut vaccinal n’avait été étudié dans notre pays.

Les données officielles de l’OMS montrent d’ailleurs que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves ni de la mort attribuée au covid, puisque les pays les plus vaccinés souffrent d’une mortalité 10 à 100 fois plus élevée que celle observée dans les pays les moins vaccinés.

LE NOMBRE DES EFFETS TOXIQUES DU PSEUDOVAX EST CONSIDÉRABLEMENT PLUS ÉLEVÉ QUE L’ENSEMBLE DE TOUS CEUX LIÉS AUX AUTRES VACCINS

L’un des autres mensonges plus couramment diffusés concerne la tolérance des pseudo vaccins présentés comme sûrs et largement éprouvés, alors qu’ils sont issus d’une technologie jusqu’ici non utilisée en infectiologie, que leurs essais phase 3 ne sont pas terminés et que les signalements tant auprès du VAERS (service américain de recensement des complications post vaccinale) que d’Eudravigilance ( organisme européen de pharmacovigilance) dépassent dès maintenant ce qui a été enregistré dans les décennies précédentes pour tous les autres (vrais) vaccins réunis.

Globalement, effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à l’ensemble de ceux des vaccins administrés en UE de 2010 à NOV. 2022 :

Et aux USA depuis 1990 :

Et que dire de la plaquette publicitaire de la célèbre APHP remise aux femmes enceintes ?

Cette plaquette délivrée par l’APHP dans les maternités des hôpitaux parisiens aux femmes enceintes promeut l’injection génique expérimentale via des affirmations mensongères sur les effets indésirables des vaccins ARN sur elles et sur les fœtus volontairement minimisés, pour les inciter à se faire vacciner pendant leur grossesse.

Dans la plaquette on peut lire : « un peu de fièvre, maux de tête, et quelques réactions allergiques, mais symptômes rares et bénins et aucun effet sur le développement du fœtus » (Exit les thromboses à répétition, les nombreuses fausses couches, les morts in utero, les mort-nés, les malformations, l’empoisonnement du lait maternel passés sous silence et pourtant révélés dans les rapports grossesse de l’ANSM)9 10

ACTEURS ET VICTIMES DE LA PROPAGANDE

Quant aux artistes connus qui ont voulu faire la promotion du pseudovaccin, rendant obligatoire l’injection pour autoriser les fans à assister à leur concert, certains en paient le prix fort.

Justin Bieber11 et Céline Dion12, Bruce Willis qui proclamaient leur foi dans les pseudo vaccins Covid et dont les carrières ont dû être interrompues après leur vaccination, vont-ils suivre l’exemple de Ron De Santis et poursuivre Pfizer pour fausses déclarations concernant les vaccins à ARNm COVID-19  ?

L’avenir nous le dira.





Un nouveau paradigme médical

[Source : quantiquemedia.com]

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche. Le Docteur Saputo nous proposera un nouveau modèle de médecine de santé. Il nous expliquera sa façon de travailler. On peut parler ici de nouveau paradigme médical.

[NDLR L’enregistrement date de plusieurs années, mais la problématique soulevée reste d’actualité.]


Note de Joseph Stroberg

La médecine allopathique, comme beaucoup d’autres réalisations humaines depuis plus de deux siècles, repose sur l’approche matérialiste et existentialiste selon laquelle la conscience naît seulement de la matière et s’éteint à la mort physique de l’individu. Ce dernier tend alors à vouloir jouir au plus vite et au maximum de ce qu’il appelle la vie, ceci sans considération des conséquences pour lui-même ni pour les autres et la planète. La conséquence logique est le chaos et la corruption dans tous les domaines de la société[1], la peur de la mort et la manipulation qu’elle permet[2], l’accaparement des ressources par les plus psychopathes[3] et le totalitarisme[4].

Cette médecine « moderne » ou conventionnelle repose bien sûr sur des fondements inversés par rapport à une vision traditionnelle multimillénaire selon laquelle la vie matérielle est subordonnée à celle de l’Esprit éternel et la conscience est immortelle, survivant à la mort charnelle. Elle confond donc le plus souvent, pour ne pas dire toujours, les causes et les conséquences. Elle vise en particulier à guérir les maladies en s’attaquant aux symptômes plutôt qu’à ses causes fondamentales qu’elle cherche par ailleurs rarement. Elle prend des « exosomes » et autres éléments cellulaires naturels ou résultants d’agressions diverses pour des « virus » pathogènes, alors que selon une vision innovante appuyée sur des faits et des expériences scientifiques rigoureuses, ils sont soit des auxiliaires avertissant d’un danger[5], soit des déchets génétiques (d’ADN endommagé ou d’ARN ayant terminé son travail) expulsés des cellules[6]. Elle croit que les bactéries sont des microbes nuisibles, malgré leur existence par milliards dans notre corps, en nombre même plus grand que celui de nos cellules, et que leur fonction observée est celle de minuscule usine chimique utilisant certaines substances dont elles se nourrissent pour les transformer en d’autres produits, dont nous et d’autres êtres vivants peuvent se nourrir à leur tour ou avoir l’utilité. Dans notre corps, elles permettent notamment d’assimiler des nutriments au niveau des parois intestinales et d’accomplir d’autres fonctions, comme le nettoyage de certains déchets ou de cellules mortes.[7]

Le nouveau paradigme médical existe déjà au moins partiellement au travers de différentes approches médicales assez récentes, comme celle de la médecine fonctionnelle (qui s’efforce de travailler sur les causes « racines » des maladies), de la médecine « holistique » (qui considère l’individu dans son intégralité, à savoir son corps, ses émotions, son mental, mais aussi son esprit), ou même de la naturopathie selon laquelle il y a au moins quatre piliers pour une bonne santé : environnement sain, nourriture saine, exercices physiques suffisants (mais modérés) et absence de stress.

Ce paradigme trouve cependant ses racines dans des pratiques beaucoup plus anciennes aussi bien que dans l’approche de Béchamp par opposition à celle de Pasteur[8]. Les maladies y sont alors vues comme le résultat d’un déséquilibre localisé ou général, sur un plan ou un autre de la vie individuelle comme collective. Et un tel déséquilibre peut être causé d’un côté par une déficience, un manque en certains « nutriments » (au sens général ou symbolique du terme, car il peut aussi bien s’agir de nourriture émotionnelle, mentale, psychique ou même spirituelle). Et d’un autre côté, il peut être causé par un excès de nutriments (toujours au sens général ou symbolique), de substances (celles-ci pouvant plus ou moins rapidement devenir toxiques) ou d’autres agents tels que des champs électriques, des champs magnétiques ou des ondes électromagnétiques, surtout sous des formes auxquelles le corps n’est pas habitué ou préparé. Quant aux apparentes épidémies et contagions, elles sont le plus souvent tout simplement le résultat d’une exposition simultanée aux mêmes facteurs nocifs ou aux mêmes déficiences nutritives, se traduisant en symptômes plus ou moins violents d’abord et plus rapidement chez les individus les plus fragiles et à la plus faible vitalité, puis en dernier chez ceux qui disposent d’un plus grand potentiel vital et d’un meilleur équilibre général. Ceux-ci peuvent même alors ne ressentir aucun symptôme.

Les maladies hivernales proviennent d’un manque d’exposition au Soleil et d’une trop vive ou trop longue exposition au froid, facteurs qui fragilisent l’organisme et le rendent donc plus propice à subir plus facilement les autres causes de déséquilibre.

Certaines maladies peuvent néanmoins se communiquer par contagion, par le biais des biophoton[9] (et non pas par de prétendus « virus » pathogènes ni par des bactéries), lorsqu’il existe un état propice entre plusieurs individus, et pas nécessairement par proximité physique (puisque les biophotons s’affranchissent des distances). La peur peut être un facteur facilitateur. Une forme de complicité énergétique (vitale, émotionnelle ou mentale, par exemple) également.





Le sénateur Australien Gérard RENNICK explose le narratif COVID en 11 minutes

[Source : LeLibrePenseur.org]