Louis Fouché : « Si on continue comme ça, on va en crever »

[Source : Epoch Times France]

Louis Fouché est médecin anesthésiste-réanimateur, diplômé en éthique de la santé, conférencier, et auteur.

Dans son dernier livre Agonie et renouveau du système de santé, publié aux éditions Exuvie et préfacé par le professeur Didier Raoult, il brosse le tableau d’un système de santé au bord de l’effondrement, incapable de répondre aux besoins des malades et aux aspirations des soignants.

Ayant refusé de se plier à l’obligation vaccinale, Louis Fouché ne peut plus exercer son métier d’anesthésiste-réanimateur depuis plusieurs mois.

« Énormément de professions sont touchées par cette obligation. Non seulement des médecins, mais aussi des pompiers, des secrétaires, des gens qui font le ménage, des aide-soignants, des infirmiers, des ostéopathes, des kinés, des chiropracteurs, etc. […] Ils n’ont droit ni au chômage ni aux congés payés, ni à quoi que ce soit », souligne le praticien.

« Il y a une omerta, mais la députée européenne Michèle Rivasi a dit au Parlement européen qu’il y avait 130 000 professionnels suspendus, tous métiers confondus. »

Selon lui, la suspension des professionnels concernés et le refus de les réintégrer s’inscrit dans le cadre d’un « plan de destruction volontaire du système de santé » de la part de l’État.

« Ça n’a rien à voir avec une question sanitaire, c’est un plan social à pas cher. On peut foutre dehors 130 000 personnes, sans allocations chômage, sans se salir les mains, sur un prétexte pseudo moral », explique-t-il.

« Nous sommes en train de détruire le système de santé, pour réattribuer le monopole du marché des soins aux multinationales […]. Les décideurs publics en matière de Santé sont devenus les agents directs de l’industrie du médicament et des plateformes numériques », poursuit-il.

D’après Louis Fouché, « ce que nous vivons aujourd’hui est le spasme final, l’agonie » d’un système de santé « déjà très largement malade », qui dysfonctionnait depuis plusieurs années.

« Le système de santé doit produire des soins, industriellement, avec efficience. Les soignants y deviennent des rouages d’une logique techno-industrielle et numérique. […] Un bon interne et un bon médecin ne sont plus humains, responsables, bienveillants. Ils sont efficaces, et dociles aux protocoles », souligne le praticien.

Devenue un marché comme un autre, la Santé a ainsi été soumise « à une technocratie managériale » qui « a doucement fait glisser le soin vers “l’extraordinaire banalité du mal”. »

« Notre système de santé valorise les remboursements d’actes invasifs ou liés à des laboratoires pharmaceutiques. On aboutit à une espèce de folie, on en arrive à des soins qui sont complètement aberrants », ajoute-t-il.

Bien que les constats dressés soient amers, Louis Fouché estime que le délitement du système de santé constitue une opportunité pour un renouveau du soin.

« Les artisans de la destruction du système de santé sont en train de nous aider à élaguer les contours d’une institution désirable. […]. Ils convoquent chacun à savoir quel monde il veut arpenter et vivre », observe le quadragénaire.

« Il est absolument impératif que fleurissent partout des propositions de soin différentes, plus humaines, plus attentives, low-tech, préventives, peu coûteuses. […] Il faut travailler à permettre que tous ceux qui veulent quitter le système puissent le faire », ajoute-t-il.

Et Louis Fouché de conclure : « Soit on va vers une médecine transhumaniste administrée par les majors de la data comme Amazon, Google, Facebook, Microsoft, et on sera dans une santé automatique pour les gens riches. Pour les pauvres, tant pis pour vous. Soit on se réempart de la santé nous-mêmes, et c’est déjà en train d’arriver. »

Retrouvez l’analyse intégrale de Louis Fouché dans la vidéo.

00:00 — Introduction
02:02 — Comment faire le deuil d’un métier qui a exigé des années d’études et de sacrifice au service des malades ?
09:25 — Quelle est la proportion de soignants ayant « triché » pour continuer à exercer leur métier ?
17:35 — Les soignants suspendus accepteraient-ils de retourner à l’hôpital s’ils étaient réintégrés ?
24:25 — La tarification à l’acte en vigueur dans les hôpitaux peut-elle avoir des conséquences néfastes pour la santé des malades ?
27:56 — En quoi l’effondrement du système de santé est-il inéluctable ?
35:14 — En quoi les pratiques des acteurs de l’industrie pharmaceutique sont-elles similaires à celles des mafias ?
45:35 — En quoi la prise de conscience de notre responsabilité individuelle dans le désordre du monde est-elle un préalable indispensable à la construction d’une société plus désirable ?
55:41 — Quel peut être le rôle des médecines traditionnelles dans ce renouveau de la santé et du soin ? Que peuvent-elles nous enseigner sur la façon dont nous envisageons la santé, la maladie, la souffrance ou la mort ?
1:09:14:12 — Conclusion




Rencontre entre Guy Boulianne et le général Dominique Delawarde

[Source : Guy Boulianne]

Rencontre entre le journaliste indépendant Guy Boulianne et le général de l’armée française Dominique Delawarde. Cette conférence eut lieu samedi le 7 janvier 2023 à 11H (Montréal) — 17H (Paris).
Information : https://www.guyboulianne.info/?p=79933






« Cause inconnue » : L’exploration pionnière d’Ed Dowd sur les morts subites après le lancement des vaccins contre la COVID

[Source : mondialisation.ca]

Ce qu’Ed Dowd a fait dans son livre, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » [Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022], nous encourage à faire preuve de curiosité et de scepticisme face à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des habitants de la planète.

Note de la rédaction [de Mondialisation.ca] : Il s’agit de la postface du nouveau livre d’Edward Dowd, « Cause Unknown: The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022 » (Cause inconnue : L’épidémie des morts subites en 2021 et 2022).

Par Ed Dowd et Gavin de Becker
The Defender

Une petite expérience de pensée :

Imaginez que des milliers de jeunes Américains en bonne santé meurent soudainement, de façon inattendue et mystérieuse, puis continuent de mourir à un rythme alarmant et croissant. (Il était une fois), cela déclencherait une enquête urgente des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pour déterminer la cause des décès.

Imaginez que des responsables de la santé publique attentifs et curieux découvrent que les défunts ont tous ingéré à plusieurs reprises un médicament nouveau et peu connu. Ensuite, les fonctionnaires déterminent avec certitude que le médicament que ces enfants ont pris a un mécanisme d’action clair pour provoquer une inflammation du cœur et d’autres lésions cardiaques chez certaines personnes.

Ils apprennent que les responsables de la santé publique d’autres pays ont constaté la même chose et ont cessé de recommander ce même médicament aux jeunes. Ensuite, certains des conseillers scientifiques les plus anciens et les plus vénérés du gouvernement américain recommandent publiquement l’arrêt du médicament pour les jeunes.

Enfin, des milliers de médecins du monde entier signent des pétitions et écrivent des articles d’opinion pour s’opposer à ce médicament pour les jeunes. Des experts des universités de Harvard, Yale, MIT, Stanford et Oxford viennent exprimer leurs préoccupations.

Hélas, cette expérience de pensée ne nécessite aucune imagination, car c’est exactement ce qui s’est produit – à l’exception de la partie concernant les fonctionnaires attentifs et curieux des CDC qui se sont précipités pour enquêter. J’ai dû inventer cette partie.

Dans le monde d’avant COVID-19, les journalistes curieux ne se seraient-ils pas lancés à la poursuite d’une telle histoire, et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis n’aurait-elle pas suspendu l’administration du nouveau médicament mystère jusqu’à ce qu’une enquête approfondie soit terminée ?

Et surtout, un tel médicament ne serait-il pas rapideme

D’une certaine manière, ces questions sont devenues rhétoriques.

Mais pas pour Edward Dowd. Son exploration pionnière de ces tristes morts subites a précédé de plusieurs mois l’article du Wall Street Journal (WSJ) sur une énigme mortelle à laquelle sont confrontées les compagnies d’assurance.

Apparemment, au fur et à mesure de la progression de la vaccination de masse en 2021, les demandes d’indemnisation pour excès de décès chez les Américains en âge de travailler ont triplé. Compte tenu de la relation temporelle, pourrait-il y avoir un lien entre les vaccins et ces décès ?

Apparemment non, car l’article du WSJ ne mentionne même pas la vaccination de masse parmi les causes à prendre en considération :

  1. Traitement médical retardé à partir de 2020
  2. La crainte des gens de se faire soigner
  3. Difficulté à trouver des rendez-vous
  4. La toxicomanie et autres problèmes de société
  5. Les gens ne prennent pas soin d’eux-mêmes
  6. Long COVID
  7. Effets à long terme non encore connus de COVID-19
  8. Des personnes qui meurent plus tard « à cause des dégâts causés par la COVID sur leur corps »

Les numéros 1, 2 et 3 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact des confinements et de la peur. Les numéros 6, 7 et 8 sont tous des sous-ensembles du même concept : l’impact de la maladie COVID-19.

En dehors de l’abus de drogues et de la difficulté à obtenir des rendez-vous chez le médecin, est-ce que quelque chose d’autre s’est produit en 2021 qui pourrait peut-être, possiblement, m’appeler fou, mériter d’être pris en considération ?

Les assureurs ont attribué la plupart des décès excédentaires en 2021 aux problèmes cardiaques et circulatoires, aux troubles neurologiques et aux accidents vasculaires cérébraux. C’est une coïncidence, apparemment, que presque tous leurs clients décédés venaient de se faire injecter un produit connu pour provoquer des problèmes cardiaques et circulatoires, des troubles neurologiques et des attaques.

L’incompréhension des PDG et des experts du secteur de l’assurance interrogés pour l’article du WSJ était compréhensible, car, vous savez, comment diable les décès pourraient-ils être liés à un tout nouveau médicament, jamais utilisé auparavant, qui a été testé au minimum, précipité au maximum, administré en masse et, oh oui, et au fait, connu pour causer les problèmes médicaux dont mouraient leurs clients ?

(Si vous avez le moindre doute sur le fait que les vaccins à ARNm provoquent des problèmes cardiaques, consultez l’annexe quatre, page 190, pour un échantillon de 100 articles publiés sur les lésions cardiaques provoquées par les vaccins chez les jeunes.)

Veuillez pardonner trois autres questions rhétoriques :

  • Les Américains n’ont-ils pas beaucoup d’excellentes raisons de se méfier des grandes entreprises pharmaceutiques ?
  • Pourquoi l’industrie pharmaceutique se voit-elle accorder le type de confiance auparavant réservé aux entreprises qui n’ont pas un long passé de fraude criminelle ?
  • Qu’est-ce qui se passe avec ça ?

Un peu d’histoire récente pertinente : En 2021, un jury a reconnu Elizabeth Holmes coupable de fraude médicale. Au cours du procès, elle a admis que son entreprise effectuait des tests médicaux en utilisant les mêmes vieilles machines qui étaient censées être remplacées par sa remarquable nouvelle technologie.

Bien que des personnes aient reçu des résultats médicaux frauduleux et incorrects, l’engouement des médias pour Mme Holmes et Theranos a entretenu la fraude pendant des années, à tel point que la société a finalement été évaluée à 9 milliards de dollars. Ce n’est pas une faute de frappe.

Theranos n’aurait pas été possible si les médias étaient sceptiques ou même curieux lorsqu’il s’agit de médecine et de technologie médicale.

En parcourant ces quelques exemples de promotion par les médias, pensez que le Vioxx, les opioïdes et les vaccins contre la COVID-19 ont tous été introduits dans notre société sur un coussin moelleux de louanges médiatiques, sans examen ni scepticisme.

USA Today :

« Elizabeth Holmes est grande, intelligente et célibataire. Eh bien, peut-être pas vraiment célibataire. Je suppose qu’on peut dire que je suis marié à Theranos, dit Holmes en riant. Seulement, elle ne plaisante pas… Alors que Holmes est milliardaire sur le papier, rien ne semble moins l’intéresser….

« Nous réussissons si, personne par personne, nous contribuons à changer leur vie, déclare Mme Holmes, qui possède une voix douce mais impérieuse qui incite l’auditeur à se pencher comme s’il attendait des ordres de marche. »

New Yorker :

« Bien qu’elle puisse citer Jane Austen par cœur, elle ne consacre plus de temps aux romans ou aux amis, ne sort pas avec des hommes, ne possède pas de télévision et n’a pas pris de vacances depuis dix ans…

Dit-elle : J’ai fait quelque chose, et nous avons fait quelque chose, qui a changé la vie des gens […]. Je préfère de loin vivre une vie qui a un but plutôt qu’une vie dans laquelle je pourrais avoir d’autres choses mais pas cela. »

CNN :

« L’entreprise qu’elle a fondée a le potentiel de changer les soins de santé pour des millions d’Américains. »

Forbes :

« Elizabeth Holmes, 30 ans, est la plus jeune femme à être devenue milliardaire indépendante – et elle l’a fait quatre fois. Ce qui nous anime, c’est la conviction que l’accès à des informations sanitaires abordables et en temps réel est un droit humain fondamental, et c’est un droit civil, dit-elle. »

Comme les médias pouvaient difficilement changer de cap après tout ce culte, ce n’est pas un journaliste qui a défait l’arnaque Theranos. C’est John Ioannidis, professeur à Stanford, qui a accepté de signaler publiquement que Theranos n’avait publié aucune recherche évaluée par des pairs sur ses produits.

(Pour nous ramener un instant au présent, ce même John Ioannidis, médecin, scientifique et épidémiologiste estimé, a été parmi les premiers et les plus virulents critiques des politiques de confinement. Pour cela, il a été la cible d’excoriations et d’annulations par les médias et la cabale médicale/pharmaceutique. Ne vous avisez pas de nous réveiller de notre rêve fiévreux de la COVID-19, professeur !)

Revenons à Theranos : La société a tenté de renforcer sa crédibilité en faisant visiter ses installations par le vice-président Biden. Afin de dissimuler les véritables conditions de fonctionnement du laboratoire, Mme Holmes et son équipe ont créé un faux laboratoire que le vice-président a pu visiter.

L’affaire Theranos devrait nous rappeler que 25 % des médicaments approuvés par la FDA sont ensuite retirés du marché – ils ne peuvent donc pas tous être des médicaments miracles. Pourtant, quoi que dise aujourd’hui un bureaucrate de la santé publique, les médias d’information le répètent, le défendent, puis le consacrent comme un fait.

Jamais leur manque de scepticisme et de curiosité à l’égard de leurs principaux sponsors n’a été aussi visible qu’au cours des deux dernières années, pendant lesquelles ils n’ont cessé de promouvoir et de répéter comme un perroquet les fausses allégations de l’industrie pharmaceutique concernant les nouveaux vaccins et le nouveau traitement contre la COVID-19 de Pfizer, les fausses allégations sur l’ivermectine et toutes les autres fausses allégations de l’industrie pharmaceutique et du gouvernement.

Le véritable journalisme étant absent, nous vivons impuissants dans un monde de conformité plutôt que de science.

Voici un voyage rapide à travers une histoire intentionnellement oubliée : Après l’approbation du Vioxx par la FDA, il y a eu de nombreux litiges liés au fait gênant que le médicament doublait le risque de crise cardiaque. Combien de litiges ?

Oh … 27 000 d’entre eux, mais qui compte ? Le risque de crise cardiaque semble familier, étant donné que des centaines d’études ont maintenant montré que les vaccins à ARNm augmentent le risque de mort cardiaque chez les jeunes hommes. Mais encore une fois, qui compte ?

Merck a finalement été contraint de retirer le Vioxx du marché, et a été condamné à payer des amendes pénales de près d’un milliard de dollars pour avoir exagéré la sécurité du médicament avec un refrain désormais familier : « sûr et efficace ».

Comme aujourd’hui, alors que les CDC et la FDA reçoivent des centaines de milliers de rapports d’effets indésirables des vaccins contre la COVID-19 (par exemple, myocardite, accident vasculaire cérébral, caillots sanguins, décès), Merck a déclaré jury après jury que les décès par crise cardiaque n’avaient absolument rien à voir avec son médicament miracle.

Ils ont intenté des procès comme… eh bien, comme une entreprise pharmaceutique, accusant les plaignants de falsifier les données. Pot/bouilloire.

Lorsqu’un jury a accordé 253 millions de dollars à une veuve, Merck a fait appel, et cette décision a été annulée.

Une série d’autres procès ont suivi, Merck gagnant certains, perdant d’autres – jusqu’à ce qu’une action collective conclue que Merck avait violé la loi en vendant un médicament qui était impropre à la vente, parce que, vous savez, il doublait le risque de crise cardiaque, ou quelque chose comme ça. Et puis…

Merck a accepté un règlement de masse de 4,85 milliards de dollars pour mettre fin à des milliers de poursuites individuelles. Et puis…

Merck a annoncé un règlement avec le bureau du procureur des États-Unis, résolvant l’amende de 950 millions de dollars qui avait été infligée à la société.

Est-ce que ça s’est terminé ? Non, le litige avec sept États reste en suspens aujourd’hui. Mais la vraie chute est…

Le Vioxx revient sur le marché. Oui. Nous pouvons nous attendre à des reportages à couper le souffle sur un autre médicament miracle (probablement renommé), sûr et efficace.

L’histoire du Vioxx n’est pas un récit édifiant ; il s’agit plutôt d’un événement régulier. Un groupe de scientifiques inquiets a écrit à ce sujet en 2017 :

« Pour augmenter la probabilité d’approbation du Vioxx par la FDA, le géant pharmaceutique Merck a utilisé des méthodologies défectueuses et biaisées vers des résultats prédéterminés pour exagérer les effets positifs du médicament. »

Vous voulez dire exactement comme toutes les autres grandes entreprises pharmaceutiques font avec tous les autres médicaments ?

« La manipulation de Merck comprenait également un modèle d’écriture fantôme d’articles scientifiques. Des documents internes révèlent que dans 16 des 20 articles relatant les essais cliniques du Vioxx, un employé de Merck figurait initialement comme auteur principal de la première version. »

Vous voulez dire comme toutes les autres compagnies pharmaceutiques le font avec tous les autres médicaments ?

Un membre de la FDA témoignant de l’incapacité de l’agence à rappeler rapidement le Vioxx a déclaré que cela équivalait à laisser « deux à quatre gros-porteurs » s’écraser chaque semaine pendant cinq ans.

L’analogie avec un gros avion de ligne est à nouveau d’actualité aujourd’hui, et une action de la FDA ne semble pas en vue.

Ce qu’Ed Dowd a fait dans ce livre nous encourage à apporter notre propre curiosité et notre scepticisme à ce moment sans précédent, où de nouveaux produits pharmaceutiques peu testés sont injectés à la majorité des gens sur Terre, des milliards de doses jusqu’à présent, 4 millions de plus chaque jour, incluant de plus en plus d’enfants, même des nourrissons, autorisés par une FDA qui s’est efforcée de garder secrètes les données des essais cliniques de Pfizer.

Pour être plus précis, la FDA était parfaitement disposée et heureuse de divulguer les informations au public, mais elle a demandé 55 ans pour le faire. Pour être encore plus précis, la FDA (rejointe par son partenaire, Pfizer) a ensuite demandé au tribunal de lui accorder 75 ans pour divulguer toutes les informations.

Le fait que la FDA se soit tant battue pour cacher au public les résultats de Pfizer en matière de sécurité vous intrigue-t-il ?

N’attendez aucune réponse de la FDA, désormais dirigée par un homme nommé Robert Califf. En raison de ses conflits avec Big Pharma, M. Califf ne pourrait même pas siéger à un comité consultatif de la FDA, mais il en est néanmoins le commissaire, qui en est à son troisième tour de service à la FDA parce que, eh bien, la porte tournante tourne vite, et lui aussi.

M. Califf a présidé à l’approbation par la FDA de l’utilisation de l’oxycodone chez les enfants dès 11 ans, de médicaments à forte dose d’hydrocodone et aussi du médicament Addyl qui a été rappelé par la suite, parmi plusieurs autres. Pour chacune de ces approbations, la FDA a passé outre son propre comité consultatif d’experts, et M. Califf a donné son approbation.

M. Califf a fondé un groupe pour réaliser des essais cliniques, et plus de la moitié de ses 230 millions de dollars de financement provenaient de … Big Pharma. Presque fini. M. Califf a également été payé en tant que consultant par les 15 plus grandes entreprises pharmaceutiques. Et enfin, bien sûr, il était un pom-pom girl pour le Vioxx.

Alors bien sûr, il est le commissaire de la FDA.

Et ne vous attendez pas non plus à beaucoup de curiosité ou de scepticisme de la part de la directrice des CDC, Rochelle Walensky. La voici en mars 2022, faisant preuve d’une crédulité délibérée à l’égard des allégations de l’industrie pharmaceutique :

« Je peux vous dire où j’étais quand CNN a annoncé que le vaccin était efficace à 95 %. Tant d’entre nous voulaient être pleins d’espoir, tant d’entre nous voulaient dire, ok, c’est notre ticket de sortie, ok, maintenant nous avons fini.

« Je pense donc que nous avons peut-être fait preuve de trop peu de prudence et de trop d’optimisme pour certaines bonnes choses qui nous sont arrivées. Je le pense vraiment. Je pense que nous voulions tous que ce soit fini.

« Personne n’a parlé de déclin de leur efficacité, lorsque vous savez, oh ce vaccin va fonctionner. Oh bien, peut-être que ça va s’estomper [laughs], ça va s’estomper.

« Personne n’a dit ce qui se passerait si… [the vaccine is] n’était pas aussi puissant contre la prochaine variante. »

Elle ne pouvait pas prévoir que les vaccins seraient moins efficaces contre les nouvelles variantes ? Vous voulez dire, comme le fait le vaccin contre la grippe chaque année depuis des décennies ?

Elle ne pouvait pas prédire que le vaccin s’affaiblirait, comme le vaccin contre la grippe le fait chaque année depuis des décennies, comme même les vaccins contre la rougeole et le tétanos ?

Le Dr Walensky a été chef du service des maladies infectieuses dans un hôpital où je ne voudrais jamais être un patient si elle est chef du service des maladies infectieuses. Mais de qui je me moque, elle ne retournera pas dans cet hôpital ; il est plus probable qu’elle rejoigne le conseil d’administration de Pfizer. L’ancien commissaire de la FDA, Scott Gottlieb, est déjà là à l’attendre.

La phrase d’accroche du Dr Walensky, « Trop peu de prudence et trop d’optimisme », pourrait être un texte de la chanson la plus célèbre des CDC, Safe and Effective [sûr et efficace].

Pour mieux comprendre comment l’agence conclut toujours que chaque vaccin est sûr et efficace, prenons l’exemple d’un vaccin si ancien que tous ses facteurs de risque sont déjà connus : le vaccin contre la variole.

Sur le site des CDC, ce matin :

« Le vaccin antivariolique est sûr, et il est efficace pour prévenir la variole. »

Voyons ce que signifie « sûr » pour les CDC :

Effets secondaires graves du vaccin antivariolique :

  • Problèmes cardiaques
  • Gonflement du cerveau ou de la moelle épinière
  • Maladies cutanées graves
  • Propagation du virus à d’autres parties du corps ou à une autre personne. [huh?]
  • Réaction allergique grave après la vaccination
  • Infection accidentelle de l’œil (qui peut provoquer un gonflement de la cornée, entraînant une cicatrisation de la cornée et la cécité).

Les risques d’effets secondaires graves du vaccin antivariolique sont plus importants pour :

  • Les personnes présentant trois des facteurs de risque suivants pour les maladies cardiaques : hypertension artérielle, hypercholestérolémie, diabète
  • Les personnes souffrant de problèmes cardiaques ou de vaisseaux sanguins, y compris l’angine, une crise cardiaque antérieure ou d’autres problèmes cardiaques
  • Les personnes souffrant de problèmes de peau, comme l’eczéma
  • Les femmes enceintes ou qui allaitent.

Cela fait beaucoup de personnes qui risquent un gonflement du cerveau, des problèmes cardiaques et la cécité, sachant que des millions d’Américains ont eu des crises cardiaques « ou d’autres problèmes cardiaques », que 17 millions d’Américains sont enceintes ou allaitent, que 31 millions souffrent d’eczéma, 34 millions de diabète, 76 millions de cholestérol et 109 millions d’hypertension artérielle.

Décrivant les personnes susceptibles de subir les effets secondaires graves du vaccin antivariolique, sûr et efficace, les CDC inclut les personnes ayant des « antécédents familiaux de problèmes cardiaques ».

Vous ne connaissez pratiquement personne qui n’entre pas dans cette catégorie ?

Ainsi, alors que les CDC déclarent définitivement que « le vaccin antivariolique est sûr », il exclut ensuite la majorité des Américains pour lesquels il pourrait être sûr.

Il est clair que le terme « sûr » n’a pas la même signification pour tous les experts. Voici, par exemple, l’avis de la Clinique Mayo sur le même vaccin que les CDC qualifient de sûr :

« Il peut parfois provoquer des effets secondaires graves, comme des infections du cœur ou du cerveau. C’est pourquoi le vaccin n’est pas administré à tout le monde. À moins d’une épidémie de variole, les risques du vaccin l’emportent sur les avantages pour la plupart des gens. »

Mais Gavin, puisqu’il n’y a pas d’épidémie de variole, pourquoi s’inquiéter de ce qui est sur le site des CDC ? Parce que… attendez de voir… les CDC font actuellement la promotion active de ce même vaccin antivariolique pour prévenir la variole du singe, et près d’un million d’Américains ont déjà eu ce plaisir. (Je suppose que ce sont les personnes sans antécédents familiaux de problèmes cardiaques.)

Et pourquoi avoir un seul vaccin contre la variole quand on peut en avoir deux ?

Vous savez maintenant que lorsque les CDC dient « sûr et efficace », c’est parce que les CDC n’ont jamais rencontré un vaccin qu’ils n’aimaient pas. C’est un système de croyance, pas une science.

En lisant attentivement l’analyse détaillée d’Ed Dowd sur les nouveaux décès excédentaires et les handicaps les plus élevés jamais enregistrés chez les Américains, j’ai été frappé par le fait qu’il ne nous demande jamais de le croire sur parole et qu’il nous présente toujours les sources originales sous les yeux.

Malgré tout, et bien qu’il s’agisse d’un analyste brillant qui aborde ce sujet de manière impartiale, peut-on vraiment se fier aux conclusions d’Ed Dowd plutôt qu’à celles des célèbres et puissants Drs. Fauci, Califf, Bourla et Walensky ?

C’était ma dernière question rhétorique.

La source originale de cet article est The Defender
Copyright © Ed Dowd et Gavin de BeckerThe Defender, 2023




À quel point les virus sont-ils morts ?

[Source : wissenschafftplus.de]

Quand bien même l’article date de 2020 (…), voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé (de titre « Die Wurzel » c’est-à-dire « La Racine »), interview qui est, une fois de plus, très intéressante et permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Jean Bitterlin

[Traduction : Jean Bitterlin]

Dr. Stefan Lanka, Biologiste moléculaire et océane

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées

Le procès gagné du virus de la rougeole

Die Wurzel : Cher Stefan, tu es biologiste moléculaire, biologiste marin et scientifique et tu as gagné le procès du virus de la rougeole en démontrant scientifiquement qu’il n’y a pas de virus (de la rougeole) du tout. Quand était-ce ?

Stefan Lanka : J’ai initié le procès sur le virus de la rougeole fin 2011 afin d’empêcher l’introduction de la vaccination obligatoire contre la rougeole. Le procès a débuté en 2012 et a finalement duré jusqu’au début de l’année 2017. Le plaignant qui a perdu a laissé passer le délai pour faire appel de la décision de la Cour fédérale de justice (BGH) du 1er décembre 2016 auprès de la Cour constitutionnelle fédérale. Par cette décision, la BGH a rejeté le pourvoi du requérant contre l’arrêt de la Cour d’Appel (OLG) de Stuttgart du 16.02.2016.

Au détriment de la population…

Au détriment de la population, l’OLG de Stuttgart n’a pas pris en compte les preuves scientifiques issues d’expertises et d’expériences réalisées qui lui ont été présentées, preuves qui réfutaient toutes les affirmations sur l’existence du virus de la rougeole. L’OLG n’a pas non plus rejeté la plainte pour des raisons formelles, comme le prétend encore aujourd’hui le plaignant. Dans la motivation de son jugement, l’OLG s’est retranché derrière le fait que l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’aucune des six publications présentées ne contenait de preuve de l’existence d’un virus.

La virologie privée de sa raison d’être par voie judiciaire

Ce qui est particulièrement explosif ici, c’est que l’une des six publications présentées constitue la base exclusive aussi bien de la rougeole que de toute la virologie. Le jugement du tribunal régional supérieur de Stuttgart du 16 février 2016, confirmé par la Cour Fédérale de justice, prive l’ensemble de la virologie, y compris le battage Corona, de son fondement, car tous les virologues se réfèrent à cette seule publication, dont la jurisprudence allemande affirme qu’elle ne contient aucune preuve de virus. Il s’agit maintenant de mettre en pratique cette jurisprudence sur les virus.

Le tribunal régional supérieur de Stuttgart, afin de protéger l’expert désigné par le tribunal de poursuites pénales pour avoir fait par deux fois de fausses déclarations écrites dans ses expertises, a supprimé la déclaration consignée de l’expert concernant les six publications présentées.

Expert condamné par le juge en cas de faux témoignage

Sous la pression des questions claires d’une jeune juge, l’expert a reconnu son faux témoignage central : Contrairement à ses déclarations écrites, les six publications présentées par le plaignant ne contiennent pourtant aucun test de contrôle pour prouver si la méthode utilisée fonctionne, si le résultat est faussé ou si le résultat souhaité et obtenu est lui-même provoqué ! Les six publications présentées au procès sont donc du papier sans valeur, qui ne peut et ne doit pas être qualifié de scientifique. Car les règles du travail scientifique prescrivent impérativement la réalisation et la documentation exacte d’expériences de contrôle.

Le procès et le procès-verbal de la première instance ainsi que le jugement de la Cour d’Appel de Stuttgart ont doublement privé de fondement les affirmations de l’ensemble de la virologie. Je renvoie à ce sujet à mon article « Der Bundesgerichtshof lässt den Glauben an die Viren untergehen » (La Cour Fédérale de Justice fait disparaître la croyance dans les virus), paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 2/2017 et également consultable en ligne sur le site wissenschafftplus.de.

[Voir Go Virus Go !
pour plus de détails]

Les virus sont un modèle purement intellectuel de « wirrologues »

(NdT : en Allemand « sich wirren » signifie s’embrouiller, s’emmêler les pinceaux. Lanka a fait un jeu de mots).

Erreur de raisonnement des virologues renommés

Die Wurzel : Partout dans les médias, surtout depuis Corona, on entend les virologues les plus renommés, comme le Dr Drosten de la Charité (NdT : La Charité est l’hôpital universitaire de Berlin, un des premiers centres hospitaliers universitaires au Monde) ou le professeur Streeck de Heinsberg, rendre un prétendu virus vivant responsable de toutes sortes de maladies. Pourquoi les virologues croient-ils aux virus alors qu’il n’en existe pas dans l’ensemble des tissus et des cellules vivantes ?

Stefan Lanka : Ces virologues et d’autres n’affirment pas que les virus sont vivants, mais que le brin de patrimoine génétique viral biochimiquement mort (c’est-à-dire le virus) est infectieux. Ils définissent, comme tous les virologues, qu’un virus ne dispose pas de son propre métabolisme et qu’il est biochimiquement mort. Tout au plus parlent-ils du fait que l’on trouve partout (et pas seulement sur les poignées de porte) des fragments de gènes de virus1 qui ne sont pas infectieux. À leurs yeux, seul l’ensemble du patrimoine génétique viral (le virus entier) est infectieux, mais une partie du virus (c’est-à-dire un fragment de gène) ne l’est pas. Ce faisant, ils passent sous silence leur plus grand secret professionnel, à savoir qu’ils n’ont jamais trouvé de brin de patrimoine génétique viral complet (c’est-à-dire de virus complet).

Les virologues confirment : Les virus sont biochimiquement morts !

Non seulement les virologues susmentionnés, mais tous les virologues définissent un virus comme n’ayant pas de métabolisme propre et étant biochimiquement mort.

Cependant, la question de savoir comment quelque chose de mort peut développer la force de pénétrer dans l’organisme à travers les peaux, les fascias (NdT : Les fascias sont des structures de tissu conjonctif qui enveloppent les muscles et les organes) et les cuirs des organes, les revêtements des vaisseaux et à l’encontre du flux de mucus des muqueuses, pour y traverser la masse visqueuse du tissu conjonctif (qui entoure toutes les cellules), n’est plus une question ouverte, mais un mythe réfuté qui s’est développé dans notre histoire.

La virologie s’était déjà réfutée en 1951

Ce que les virologues n’ont pas vu, c’est que la théorie2 sur laquelle repose toute la biologie et la médecine et à partir de laquelle se sont inévitablement développées les théories tout aussi erronées de l’infection, de l’immunité, de la génétique et du cancer, non seulement n’est pas correcte, mais elle est réfutée.

Ils ont également négligé le fait que la virologie médicale s’est autoréfutée en 1951. Et ils n’ont pas vu qu’une nouvelle idée de la virologie s’est développée à partir de 1952, l’idée du virus à brin génétique, qui repose toutefois sur une interprétation erronée chez les bactéries et ne peut pas être transposée à l’homme, à l’animal ou à la plante. Voir à ce sujet mon article « Fehldeutung Virus » dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 (couverture voir page 21).

Die Wurzel : Et jusqu’à quand croyais-tu toi aussi à l’hypothèse largement répandue des virus ?

Stefan Lanka : J’ai cru à cette idée jusqu’à ce que j’isole moi-même une structure marine et que je la caractérise biochimiquement, que j’ai alors mal interprétée comme étant un virus INOFFENSIF. J’ai ensuite appris qu’il ne fallait en aucun cas utiliser le terme « virus », car il signifiait quelque chose comme un poison provoquant une maladie (dans le cadre de la théorie cellulaire réfutée), que l’organisme produirait lui-même.

Aujourd’hui, les chercheurs curieux savent que la vie biologique naît de ces structures3, qui se forment par auto-organisation. Chez les bactéries, ces structures sont appelées phages4, mais elles n’apparaissent en laboratoire que lorsque les bactéries sont individualisées, ce qui appauvrit leur biochimie. À partir d’un certain moment (dans un processus ciblé de métamorphose), l’ensemble de la biomasse bactérienne se transforme en de nombreuses petites structures construites exactement de la même manière.

Ces petites structures ont pour fonction (comme les mini-spermatozoïdes) de mettre leur acide nucléique5 à la disposition des organismes qui en ont besoin. Ces processus ciblés et utiles ont été interprétés négativement à travers les lunettes du bien et du mal de la pathologie cellulaire et comme des poisons pathogènes (virus en latin).

Ces petites structures sont, dans le sens du terme « isolation », très faciles à isoler, à photographier et à étudier biochimiquement. À partir de 1952, de jeunes virologues ignorants (qui ne savaient pas et pourquoi l’ancienne virologie avait abandonné) ont CRU que les virus allégués chez l’homme et l’animal avaient l’apparence et la structure des « phages » (mini spermatozoïdes des bactéries).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

En 1954, une technique a été proposée (l’une des six publications dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole) pour prouver l’existence des virus présumés de l’homme, exactement de la même manière que les phages des bactéries ont été détectés. Ils pensaient que lorsque les tissus mouraient, ils se transformaient en virus, tout comme les bactéries se transformaient en phages. Avec la différence décisive que les phages ont été à chaque fois isolés et photographiés en grand nombre et sous forme pure, et que leur brin de patrimoine génétique, toujours de même longueur et toujours composé de la même manière, a été et est toujours représenté comme un tout. Or, cela n’est pas possible à ce jour pour les virus qui sont seulement hypothétiques.

Les « wirrologues » (NdT : voir plus haut) ne font que recomposer mentalement, à partir de courts fragments de tissus et de cellules décomposés, un modèle de virus qui n’existe pas en réalité (un examen plus détaillé est présenté plus loin).

Les tissus mourants ne se transforment pas en virus

Les virologues refusent les expériences de contrôle

Parce que ce type de virologues méprise encore aujourd’hui les règles fondamentales du travail scientifique et refuse de procéder à des essais de contrôle, ils n’ont pas remarqué que les tissus et les cellules meurent dans l’éprouvette non pas à cause d’un virus présumé, mais parce qu’ils (NdT : les tissus et cellules) sont involontairement affamés et empoisonnés dans la procédure qui précède toute « infection » apparente.

C’est pourquoi les tests génétiques viraux ne détectent que les séquences propres à l’organisme. Comme le test n’indique « positif » que s’il y a suffisamment d’extraits de gènes dans l’échantillon à tester, cela explique pourquoi il y a aussi des résultats de test négatifs. Il est pourtant évident que le corps libère plus de matériel tissulaire, et donc de fragments de gènes, surtout lors de processus inflammatoires que lorsqu’il est en bonne santé ou que le corps ne libère rien du tout à certains moments de la guérison. Il suffit d’augmenter la quantité d’échantillons6 pour que chaque personne, chaque animal et probablement même chaque plante soit testé positif. Dans mon article « Mauvaise interprétation du virus. Partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020), j’appelle à ce que des scientifiques, bio-informaticiens et laborantins honnêtes réalisent et publient enfin ces essais de contrôle qui n’ont jamais été effectués ni publiés. Les preuves ont été présentées au tribunal régional supérieur de Stuttgart dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, mais elles ont été ignorées.

De nombreux scientifiques travaillent de manière non scientifique !

Die Wurzel : Que signifie pour toi un travail scientifique honnête en plus de la réalisation d’essais de contrôle, ce qui fait défaut chez de nombreux scientifiques titulaires d’un doctorat qui travaillent pour l’industrie ?

Stefan Lanka : Le plus important est de vérifier en permanence ses propres hypothèses et celles des autres. Or, la grande majorité des gens ne le font pas, car sinon ils se licencieraient eux-mêmes. Le mécanisme à l’œuvre ici a été identifié et publié dès 1956 par le génie d’exception Eugen Rosenstock-Huessy. J’y fais référence et le cite constamment, entre autres dans la série d’articles n° 1 à 3/2019 du magazine WissenschafftPlus, qui t’ont tant enthousiasmé, cher Michael, et dont tu avais parlé dans ton article de Die Wurzel d’avril 2019.

Die Wurzel : On lit de plus en plus souvent que des scientifiques financés par l’industrie produisent des travaux scientifiques et des statistiques pour répondre aux attentes de leurs clients. Il en résulte constamment des statistiques faussées sur les décès dus aux virus de la rougeole/du coronavirus/de la grippe, etc.. Pourquoi n’existe-t-il pas d’instances de contrôle indépendantes pour surveiller les résultats des études et les méthodes de travail ?

Stefan Lanka : Faute de place, je ne peux pas répondre ici à cette question.

Contrôle citoyen sur la Science et la Politique

Juste une chose : du point de vue de l’idée démocratique, la politique et la science ne peuvent fonctionner que si le donneur d’ordre, c’est-à-dire chaque citoyen, est au courant de ce qui se passe, ce qui signifie qu’il contrôle les processus et les mandataires. Nous sommes très éloignés de cette idée et, pour l’instant, je pense que cela ne peut être réalisé que par une association de groupes qui s’organisent eux-mêmes.

Les seuls qui se sont organisés avec succès jusqu’à présent sont, premièrement, les groupements qui violent manifestement leurs objectifs prédéfinis et ne les réalisent pas. Et deuxièmement, les optimiseurs de profit organisés en entreprises et en associations qui s’attaquent de manière conséquente à leurs objectifs (publics et non publics) et les atteignent. Dans un sens positif, l’entreprise Geox semble l’avoir compris : Elle fonde une nouvelle entreprise chaque fois que l’ancienne a atteint le nombre de 500 collaborateurs. C’est manifestement le nombre de personnes pour lequel une vue d’ensemble, la confiance mutuelle et, sur cette base, un travail en symbiose sont encore possibles.

Transposé aux structures étatiques, le prince du Liechtenstein l’a reconnu et formulé dans son livre « Der Staat im dritten Jahrtausend » (l’État au 3e millénaire). Il réclame l’autogestion de tous les domaines de l’État (là où c’est possible) dans de petites structures, car les structures supérieures perdent toujours la vue d’ensemble et leur administration est inefficace et en même temps toujours trop coûteuse.

Die Wurzel : Selon toi, certains événements de l’histoire scientifique ont conduit à élever certaines spéculations « scientifiques » au rang de faits scientifiques, notamment la preuve de l’existence des virus, bien que rien n’ait été prouvé.

Stefan Lanka : Pour moi, il était et il est toujours important de reconnaître les grandes lignes de développement et les mécanismes qui expliquent comment et pourquoi les choses ont évolué. Je pense y être parvenu en ce qui concerne notre médecine « occidentale ». Voir mon article « Fehldeutung Virus » (Erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020 [Voir La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple, L’interprétation erronée du virus — 2e partie et La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2]. Et je renvoie dans ce contexte à un article sur Eugen Rosenstock-Huessy de Siegfried Mohr paru dans WissenschafftPlus 2/2020 sous le titre « Die Wissenschaft vom Zeitpunkt » (La science du moment), dans lequel l’importance de la reconnaissance des contextes historiques est clairement mise en évidence.

Die Wurzel : Tous les virologues et la science en général s’accordent à dire qu’un virus a pu être isolé, même si ce n’est pas le cas, comme nous l’avons vu plus haut. Peux-tu encore une fois approfondir ce point ?

Les virologues tuent des tissus en laboratoire sans s’en rendre compte

Stefan Lanka : Les virologues n’utilisent pas le mot « isolation » dans le sens de l’isolement et deviennent suspicieusement nerveux lorsqu’on leur en parle. Ils entendent par « isolement » la création d’un effet en laboratoire qu’ils considèrent en même temps comme :

  1. Une infection
  2. La preuve de la présence d’un virus
  3. La preuve de sa multiplication
  4. L’interprétation de la preuve de la puissance destructrice du virus supposé.

En réalité, ils tuent sans le savoir et sans s’en rendre compte des tissus et des cellules en laboratoire — en les affamant et en les empoisonnant, voir mon article « Fehldeutung Virus » (erreur d’interprétation sur les virus) dans le magazine WissenschafftPlus 1/2020.

Die Wurzel : Les virologues pensent que les tissus et les cellules qui meurent se transforment complètement en virus. C’est pourquoi ils qualifient également la mort des tissus et des cellules de multiplication des virus. Ai-je bien raison lorsque je comprends que toute mort de tissus et de cellules génère obligatoirement des prétendus virus, c’est-à-dire des déchets cellulaires, ce qui est dans la nature des processus de formation et de décomposition de l’organisme ?

Les virus ne peuvent pas se multiplier

Stefan Lanka : Pour expliquer cela, je dois d’abord parler des bactéries et des phages. La métamorphose, la transformation des bactéries en phages, ne peut pas être qualifiée de mort cellulaire, mais est un processus très ciblé et utile. Cette observation de la transformation des bactéries en phages a été faite en 1954 sur des tissus humains et animaux : on pensait que les tissus se transformaient en virus lorsqu’ils mouraient au cours d’une expérience d’infection. Tous les autres scientifiques, biologistes cellulaires et autres, ne partent pas du principe que les tissus ou les cellules qui meurent se transforment alors en virus. Au contraire, ils étudient la mort pour comprendre comment elle se produit dans le corps. Ils qualifient alors les mêmes processus que les virologues interprètent mal comme la formation de virus, de mort cellulaire coordonnée (= apoptose) ou d’autophagie (recyclage).

Chez l’homme et l’animal, la construction et la dégradation permanentes se font silencieusement, les tissus et les cellules étant décomposés sur place en petits éléments qui sont ensuite retraités dans les organes7 prévus à cet effet, comme par exemple le foie, pour une utilisation ultérieure.

Le terme « virus » ne doit plus être utilisé à l’avenir. Il est trompeur, chargé d’interprétations erronées et provient de la pensée réfutée du bien et du mal, dont se servent les personnes qui ne peuvent ou ne veulent pas interpréter la complexité autrement.

Die Wurzel : On attribue au virus, quel qu’il soit, une autonomie et une activité propre qui n’existent pas.

Des brins de patrimoine génétique viral construits de manière purement intellectuelle

Stefan Lanka : Oui, le concept entier est erroné et ne peut pas non plus être maintenu par des hypothèses de secours. Parce que les « virologues » croient depuis 1954 que les tissus mourants se transforment en matériel viral lors de ce que l’on appelle les « essais d’infection », ils interprètent également les courts morceaux d’acides nucléiques comme des composants de leurs supposés virus. À partir de ces petits morceaux d’acide nucléique8, ils construisent mentalement les brins de patrimoine génétique viral qui n’existent pas dans la réalité. Mais comme les analystes de séquences trouvent ces séquences prétendument virales à l’intérieur des séquences des chromosomes humains, ils affirment que plus de 50 % de nos chromosomes sont constitués de gènes viraux.

Propriétés meurtrières exagérées et inventées des « virus »

Die Wurzel : D’après ce que tu as dit jusqu’à présent, on comprend de mieux en mieux pourquoi l’industrie pharmaceutique, les médecins, les virologues, les politiciens et les autorités attribuent aux hypothétiques virus une dangereuse capacité de tuer qui n’existe pas, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, et ils le font aussi d’un côté parce qu’ils pensent devoir se donner de l’importance et justifier leur action. Et parce que la médecine est devenue une énorme entreprise économique, soumise à l’obligation de rentabilité, et que rien que pour cela, elle est obligée d’exagérer en permanence. Cette évolution et ce danger de l’obligation d’exagérer, qui finira par tuer tout et tous, ont été soulignés par Ivan Illich en 1976 dans son livre « La Némésis Médicale ». J’ai eu avec lui une rencontre très éclairante en 1995, dont j’ai rendu compte dans notre premier livre sur la vaccination et dans le magazine WissenschafftPlus. L’auteur Seamus O’Mahony, qui a écrit en 2019 l’important livre « La Médecine peut-elle être guérie ? », se réfère de manière tout à fait centrale à Ivan Illich et arrive à la conclusion que la médecine ne peut plus se guérir par ses propres moyens et qu’elle agit de manière de plus en plus destructrice. Il se base sur la médecine des substances qui suppriment les symptômes.

Il dit de l’autre « médecine9 » qu’elle n’a jamais eu la moindre chance d’être appliquée.

Die Wurzel : Comment penses-tu qu’il soit possible de mettre à la disposition du grand public la nouvelle compréhension de la science concernant les virus et les bactéries (ces dernières sont indépendantes), mais à une vitesse telle que cela ne prenne pas 100 ans ?

La crise Corona comme opportunité, comme catalyseur de changement

Stefan Lanka : La réponse est : faire ce qu’il faut au bon moment, voir l’article sur Rosenstock-Huessy dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020 et mon article « La mauvaise interprétation du virus, partie II. Du début et de la fin de la crise des effets Corona » dans ce numéro. Cette contribution peut également être obtenue librement sur notre site wissenschafftplus.de. Cette contribution a le pouvoir (combiné à l’ampleur de la crise Corona, qui a secoué et mis en danger presque toute l’humanité) de provoquer un apprentissage rapide qui ne durera plus 100 ans. De ce point de vue, Corona est une chance pour tous les hommes et pour tous les domaines, et pas seulement dans les domaines des virus, de la médecine, de la politique et de l’économie. [Voir aussi : Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés]

Théorie du virus pour des raisons de débouchés

Die Wurzel : Je pense que l’industrie pharmaceutique veut maintenir la théorie des virus telle qu’elle est crue depuis toujours, sinon elle se priverait de milliards de dollars de chiffre d’affaires (pertes de ventes de médicaments/vaccins). Pour transmettre une nouvelle compréhension des virus, il faudrait dans un premier temps imprimer et appliquer de nouveaux manuels scolaires de biologie et de nouveaux contenus d’études pour les étudiants en médecine/biologie/pharmacie avec les nouvelles connaissances sur les « virus ».

Je pense que seule la majorité des gens comprendra, par l’expérience personnelle, que les virus n’existent pas au sens traditionnel du terme. Ce ne sont pas les virus, les bactéries ou les parasites qui sont responsables des maladies, car la maladie elle-même est l’effort d’autoguérison du système immunitaire ou l’activité de nettoyage de la maison d’un organisme qui a accumulé des scories pendant des décennies et qui n’a pas pu s’en débarrasser faute de jeûne thérapeutique, d’alimentation saine, d’exercice physique, d’ensoleillement, etc. Es-tu du même avis ?

Stefan Lanka : Avant Corona, je pensais aussi que le changement ne pouvait se faire que lentement et par le bas. Maintenant, la dynamique propre de Corona m’a obligé à étudier à nouveau tous les détails décisifs et à les rendre publics. Le résultat est l’article « Erreur d’interprétation des virus, partie II » (voir WissenschafftPlus 2/2020) qui, avec les actions qui s’y rattachent et qui en découlent, a effectivement le pouvoir de générer un bond en avant dans la connaissance plus rapide que je ne le pensais.

Ce qui caractérise les scientifiques c’est plutôt la modestie que l’arrogance

Entre panique et compréhension approfondie

L’Humanité n’est désormais plus confrontée qu’à l’alternative « autodestruction par la peur et la folie » ou « compréhension plus profonde en tenant compte des autres niveaux et connaissances des causes et des interactions refoulés par le matérialisme primitif » et action en conséquence. Je pense que la majorité des gens sentent qu’au sujet de Corona les fondamentaux de la médecine et de la politique ne vont pas. C’est pourquoi je demande aux lecteurs de vérifier à l’avenir les termes tels que « système immunitaire », etc., afin que l’ancienne pensée du bien et du mal ne soit pas emportée dans l’avenir : Je vois l’importance de l’alimentation, en particulier celle du jeûne — mais dans le cadre d’un système de connaissances psychosomatiques fondé et individuel, dont le Dr Hamer a posé la première pierre essentielle. Nous devons veiller à ne pas fonder un nouveau dogmatisme, car de nombreux aspects « spirituels » et « matériels » doivent encore être intégrés dans ce système de connaissance en développement, voir ton article dans Die Wurzel 04/19.

Le plus important, que j’ai appris d’un médecin10, est que nous devons toujours garder à l’esprit que nos idées peuvent être dépassées dès demain. C’est pourquoi je dis toujours dans mes conférences et mes séminaires que la meilleure réponse à une question viendra toujours dans le futur et que celle que nous avons donnée n’est que la deuxième meilleure. En tant qu’êtres humains, nous sommes des acteurs de la vie et c’est pourquoi il nous manque tout simplement une vue d’ensemble. L’humilité fait donc partie de la science, tout comme la remise en question permanente.

Les virus contenus dans les vaccins

Die Wurzel : Cher Stefan, revenons à la théorie des virus, qui est à la base de la vaccination. Les vaccins utilisés pour la rougeole, par exemple, sont appelés vaccins « vivants », bien qu’ils soient tout sauf constitués de virus vivants.

Comment les vaccins « vivants » sont-ils conçus et pourquoi doivent-ils simuler des virus alors qu’il n’existe pas de virus ayant une activité infectieuse autonome ?

Vaccins « vivants » et « morts »

Stefan Lanka : Je comprends maintenant comment tu en es venu à parler de virus « vivants ». Si, en laboratoire, les tissus meurent lors d’une « tentative d’infection » au cours d’une famine et d’un empoisonnement involontaires, les personnes impliquées pensent que ces tissus se sont transformés en virus ou qu’ils libèrent des virus. Comme les fabricants de vaccins (et leurs virologues) partent du principe que la masse de tissus morts (c’est-à-dire leurs prétendus virus) qu’ils utilisent comme vaccin est capable d’infecter, ils parlent de « vaccin vivant ». Ils pensent que le virus vaccinal est toujours infectieux mais qu’il est atténué.

En revanche, les composants de prétendus virus sont qualifiés de « vaccins morts » si, premièrement, ils ne sont pas infectieux ou si, deuxièmement, les tissus en décomposition lors d’une tentative d’infection sont protégés d’une nouvelle décomposition par des « conservateurs » tels que le formaldéhyde, pour être ensuite utilisés comme « vaccin mort », comme par exemple dans le cas de la polio.

Donc : l’idée de virus pathogènes est morte et celle de la vaccination aussi, c’est pourquoi la question « mort » ou « vivant » n’est pas seulement trompeuse, mais fausse comme tout le concept.

Die Wurzel : Et deuxièmement, nous savons qu’un tel virus vaccinal « vivant » ne peut pas exister dans la Nature et n’a donc absolument rien de comparable avec un agent pathogène sauvage, n’est-ce pas ?

Domestication des agents pathogènes sauvages

Stefan Lanka : L’idée d’un type sauvage n’est pas celle d’un virus particulièrement féroce, mais celle que le virus vient d’être recraché de l’enfer de la Nature et qu’il doit d’abord être domestiqué par « culture » en laboratoire pour être ainsi rendu accessible au système de vaccination — c’est de la science-fiction en somme. Il convient également de mentionner ici l’article particulièrement drôle mais profond de Jochen Schamal « Kleine Vampirkunde » (Petite science des vampires) dans le numéro actuel de WissenschafftPlus 2/2020.

Vaccins mortels minimisés

Die Wurzel : Un aveugle peut voir que la composition des vaccins est cruelle. Mais beaucoup ignorent qu’un tel vaccin signifie une mort certaine chez les enfants s’il est injecté par erreur dans une veine plutôt que dans un muscle. Alors pourquoi les autorités gouvernementales qualifient-elles les vaccins de sûrs et inoffensifs, alors que les autorités elles-mêmes ont soi-disant « testé » et approuvé les vaccins ?

Stefan Lanka : L’astuce utilisée par les intéressés pour se tirer d’affaire est très simple : ils définissent les nombreuses substances toxiques comme des substances auxiliaires (= adjuvants) de la substance médicale proprement dite — les prétendues protéines des prétendus virus. Rien qu’en raison de cet acte de définition insoutenable, ces poisons puissants ne sont pas soumis à la stricte législation sur les médicaments.

Les vaccins sans adjuvants sont inefficaces

L’affirmation des manuels selon laquelle les vaccins sont inefficaces sans leurs adjuvants montre à quel point cette affirmation de protection est infondée.

Die Wurzel : Dans toute la littérature « scientifique » aucun virus réel et complet n’apparaît. À quoi devrait ressembler à tes yeux un virus réel et complet, et avec quelles caractéristiques, pour être considéré comme un virus tueur ? Plutôt dans le sens d’une Borrelia qui cherche délibérément un hôte ?

Stefan Lanka : Pour qui a pris connaissance de la biologie, il est impensable d’imaginer un virus et encore moins un virus tueur. Les virologues ont pour modèle les phages (des bactéries) pour leurs virus supposés, mais ce sont des mini-spermatozoïdes avec leur propre alimentation en énergie, qui font activement quelque chose.

L’idée des virologues d’un brin de patrimoine génétique enveloppé ou non, générateur de maladies, repose sur un modèle fou et dangereux de la biologie et de la vie. Cette idée a été postulée en 1858 par Rudolf Virchow11 dans un acte de désespoir, notamment pour se débarrasser d’une énorme montagne de dettes et pour plaire à ses mécènes et mentors.

Il est très important pour moi de dire que toutes les affirmations concernant l’existence de bactéries pathogènes sont également fausses et dangereuses. Une de mes connaissances, sans m’en parler, s’est fait diagnostiquer une borréliose par un gourou de la scène alternative et s’est par la suite fait soigner par la peur et des antibiotiques à large spectre jusqu’à la limite de la viabilité. Avant que l’idée des virus ne soit inventée, les bactéries étaient les méchants universels.

Drosten fait de la bio-informatique au lieu de travailler en laboratoire !

Trouver un consensus sur le virus Corona en quelques clics de souris

Die Wurzel : Le processus de recherche d’un consensus sur ce qui appartient ou non au virus de la rougeole a duré des décennies. Comment se fait-il que pour le prétendu nouveau coronavirus Sars-CoV-2, ce processus de recherche de consensus n’ait duré que quelques clics de souris ? Et sur quelle base scientifique ?

Stefan Lanka : C’est le professeur Christian Drosten de la Charité (NdT : voir ci-dessus) qui a révolutionné la bio-informatique en virologie et l’a complètement détachée du travail de laboratoire. C’est ainsi qu’en 2003, lors de la panique provoquée par le SRAS qu’il a largement contribué à créer, il a été en mesure de proposer un test pour cette fiction deux jours seulement après avoir affirmé que le brin de patrimoine génétique du prétendu nouveau virus du SRAS avait été reconstitué. Il a joué un rôle essentiel dans la terreur de la grippe porcine et de ZIKA12 et n’a cessé d’aller plus vite, plus vite que son ombre…

… Drosten plus rapide que le service d’épidémiologie

Avant même que les virologues du service d’épidémiologie chinois ne se mettent d’accord sur la composition du brin de patrimoine génétique du virus (NdT : le SARS-CoV-2, le virus Covid-19), qui n’était jusqu’à présent que « supposé », Christian Drosten avait déjà développé son test et l’avait mis à disposition de l’OMS le 17 janvier 2020. Par son action, quelques clics de souris, il a mondialisé la panique de masse dangereuse, mais locale, déclenchée par un ophtalmologue à Wuhan. Voir mon article « Erreur d’interprétation des virus, partie II. Du début à la fin de la crise de la Corona » dans le magazine WissenschafftPlus 2/2020, également disponible gratuitement pour diffusion sur notre site wissenschafftplus.de.

Les bio-informaticiens se moquent de la source de la séquence génétique

Lors de la construction de l’idée des brins du patrimoine génétique des virus de la grippe, on blessait encore mécaniquement et on empoisonnait des embryons de poulets et on créait encore péniblement manuellement un modèle à partir des courtes séquences d’acide nucléique du tissu mourant. Aujourd’hui, ce sont des programmes informatiques appropriés qui s’en chargent, dans lesquels on introduit les séquences que les virologues présentent comme virales. Les bio-informaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par « alignement » se fichent de savoir d’où proviennent ces séquences. Erwin Chargaff avait d’ailleurs déjà mis en garde contre cette évolution en 1976 dans un livre intitulé « Le feu d’Héraclite ».

Die Wurzel : La « mise au point » du virus Corona fait maintenant entrer en jeu la construction intellectuelle du « brin de patrimoine génétique viral ».

Stefan Lanka : Lors de la construction du virus Corona actuel (SARS-CoV-2), on a d’abord utilisé uniquement des séquences de gènes provenant d’un lavage de poumons. Après que les données de séquences de très courts morceaux aient été péniblement torturées par plusieurs programmes, un brin complet du patrimoine génétique d’un nouveau virus a été proposé sur la base de ces « données de séquences ». Cette proposition a ainsi été confirmée et élevée au rang de modèle général après que cette construction laborieuse ait été répétée avec les « séquences génétiques » provenant des poumons de trois autres personnes.

Un modèle de virus sans fondement avec séquences génétiques artificielles

Les participants définissent comme preuve réelle de l’existence d’un nouveau virus le fait que le « virus » puisse être « cultivé ».

Pour ce faire, des tissus sont tués en laboratoire en les affamant et en les empoisonnant (involontairement). Et comme un peu de matériel « infecté » est ajouté à ce processus, les participants pensent que les tissus se transforment en virus.

Bien sûr, ils ne se demandent pas pourquoi, contrairement aux phages, il n’est pas possible de voir des milliards de virus, de les isoler et d’isoler leur patrimoine génétique intact. Ils commencent donc à reconstruire le grand ensemble supposé « génome » du virus supposé à partir des courts morceaux de séquence génétique existants. À la différence près que cet acte de culture laisse de grandes lacunes dans la reconstruction du restant de l’ensemble du génome. Celles-ci sont laborieusement comblées en produisant des séquences génétiques artificielles pour combler les lacunes du modèle. C’est une auto-illusion au sein de l’auto-illusion « virologique ».

Die Wurzel : Pourquoi les scientifiques chinois affirment-ils que le Coronavirus -2019 de Chine provient de serpents venimeux ?

Des séquences génétiques Corona dans chaque être vivant

Stefan Lanka : Ils affirment cela parce qu’ils trouvent dans les serpents des séquences qui apparaissent également dans le modèle Corona. Mais ce qu’ils ne disent pas, c’est que dans chaque être vivant apparaissent les mêmes séquences, à partir desquelles on a construit Corona et tous les autres brins de patrimoine génétique viral de manière purement intellectuelle. Cela explique pourquoi les papayes sont également testées « positives ». C’est un message important de Corona : tout et n’importe quoi est positif !

Die Wurzel : Et qu’en est-il exactement des tests du virus ?

Stefan Lanka : Si, à partir de courtes séquences d’acides nucléiques qui sont présentes dans tout organisme, on construit quelque chose de plus long qui n’existe pas, il est évident que les soi-disant méthodes de détection génétique des virus (tests PCR), qui ne détectent que la présence de très courtes séquences, permettent de tester « positivement » tout et n’importe quoi, y compris l’arbre. Ce n’est rien d’autre que de la science-fiction dangereuse en action.

Les courtes séquences d’ADN sont présentes dans tout organisme, y compris dans un arbre ou une papaye. En fait, ces courtes séquences13 sont présentes partout. Mais un génome viral (prononcer virus) est défini comme quelque chose de plus long, composé de plusieurs « gènes ». Lors de la première construction d’un génome viral humain, les « wirrologues » se sont inspirés du génome des phages. Un « virus » a en effet besoin de plusieurs gènes pour former ses prétendues protéines d’enveloppe et ses enzymes. La méthode PCR ne permet de détecter que de petits morceaux, qui ne disent pas (si l’on part du principe que les virus existent) s’il n’y a que des fragments de virus (après une « attaque immunitaire »), que des virus défectueux ou des virus inoffensifs, ou si la quantité de virus est trop faible pour provoquer un massacre. Mais comme il n’y a pas de virus du tout, seulement un modèle, tout cela tombe à l’eau de toute façon.

Sérum fœtal frelaté et contaminé

Du sérum de fœtus humain pour la fabrication des vaccins ?

Die Wurzel : J’ai lu que les vaccins pouvaient contenir des sérums de fœtus humains avortés.

Stefan Lanka : Ce qui a réellement été fait ce sont des tentatives d’infection de tissu et de sérums (sang sans globules) issus de fœtus humains. Ce que je peux m’imaginer, c’est qu’un public aisé et complètement abruti demande — et obtient toujours — selon la devise « vous obtenez ce que vous payez », de tels tissus et sérums pour ses vaccins, mais aussi pour d’autres produits médicaux.

Sérum de fœtus animal dans les vaccins

En revanche, tous les vaccins de masse sont fabriqués à l’aide de sérums fœtaux de bovins et principalement de tissus rénaux de singes ou de tissus d’autres animaux.

Die Wurzel : Un tel sérum fœtal animal, s’il a été utilisé pour des vaccins, peut-il entraîner une quelconque réaction ?

Stefan Lanka : D’après mes connaissances actuelles, une substance ne provoque une allergie/maladie auto-immune que si l’acte de vaccination déclenche un « conflit biologique », c’est-à-dire représente un événement ressenti comme une menace existentielle qui ne peut pas être résolue en temps réel. Je recommande à ce sujet mon article sur les dommages causés par les vaccins et l’apparition de l’autisme dans le numéro 3/2016 de WissenschafftPlus.

Vaccins et virus cultivés en laboratoire

Die Wurzel : Je me rends de plus en plus compte que « virus » et vaccins sont identiques, qu’ils ont tous deux été créés en laboratoire, n’est-ce pas ?

Stefan Lanka : Oui, avec la remarque très importante que les « virus » sont des chimères et que les restes de tissus morts en éprouvette ne sont justement pas des « virus », mais des tissus en décomposition.

D’ailleurs, les tissus ne peuvent être empêchés de mourir et de se décomposer en laboratoire que pendant quelques jours et uniquement grâce à l’utilisation de sérum fœtal. Cela n’est pas possible avec du sérum humain ou animal adulte.

Pour plus de clarté :

Lorsque des organes sont prélevés sur un organisme, ils meurent rapidement et se décomposent, même si on les refroidit. Si l’on prélève d’un organe des tissus pour en étudier la « vie » en laboratoire ou pour « isoler », multiplier ou « cultiver » des virus en laboratoire, ces tissus meurent encore plus vite et se décomposent encore plus vite.

Tissus découpés par la force = cultures cellulaires

Pour travailler prétendument avec des cellules en laboratoire, les tissus, préalablement prélevés sur des organes (d’un fœtus par exemple), sont isolés de force (biochimiquement par des enzymes digestives et mécaniquement). Les personnes concernées pensent alors travailler avec des cellules et qualifient les tissus séparés de force de « cultures cellulaires ». Ils doivent constamment empêcher par la force ces « cellules » de se refondre en tissus. Sans les nombreuses substances contenues dans les tissus fœtaux, mais surtout sans la concentration élevée de « Pi-eau14 » qui s’y trouve, les tissus dans l’éprouvette et les tissus isolés mourraient encore plus rapidement.

Le sérum fœtal est maintenant retiré des « cellules » dans l’éprouvette, en tant que préparation de « l’expérience d’infection » suivante. En conséquence, ces unités de tissu tentent de s’unir encore plus rapidement que d’habitude, mais meurent en « confluant ».

La prétendue culture du virus

Cette confluence est appelée formation de cellules géantes et « effet cytopathique ». Ce résultat de nombreuses étapes violentes et insensées est interprété comme la preuve centrale de « la présence, l’isolement, la multiplication, etc. du virus supposé ». Les personnes concernées affirment alors avoir réussi à cultiver le virus.

Pour couvrir les besoins toujours croissants en sérum fœtal15, on ouvre chaque année 2 millions de vaches gestantes sans les anesthésier, on y ouvre le fœtus non anesthésié et on prélève son sang fœtal dans le cœur battant. Si l’on retirait le fœtus de la mère, on pourrait « récupérer » beaucoup moins de sérum. Si les mères et/ou les fœtus étaient anesthésiés, les anesthésiques dégraderaient rapidement le sérum fœtal, car les anesthésiques ne peuvent pas être retirés du sérum.

Le sérum fœtal est fabriqué à partir de ce type de sang. Il est évident que, pour optimiser les bénéfices, on procède ici à des falsifications, comme pour le vin. Pour économiser de l’argent, les laborantins achètent du sérum bon marché, dont ils savent tous qu’il est encore plus contaminé que le sérum onéreux.

Ce n’est qu’à l’aide de ces sérums fœtaux qu’il est possible de produire des vaccins. Les composants de ces sérums, qui ne peuvent jamais être stériles, nous sont implantés sous forme de vaccins. Je m’étonne depuis longtemps que ce fait bien connu ne soit pas abordé dans le milieu de l’alimentation crue ou Végan. L’alimentation crue et le véganisme excluent la vaccination, l’obtention de sérums fœtaux et les expériences de culture cellulaire.

Les processus de décomposition comme base de la biologie/médecine

Nous sommes dans une situation, non seulement dans le domaine de la vaccination, mais aussi dans l’ensemble de la biologie et de la médecine, où les processus de mort et de décomposition en éprouvette sont mal interprétés en tant que modèles de vie. Et ce n’est qu’un des nombreux points qui expliquent pourquoi, dans le système de l’opinion dominante de la pathologie cellulaire depuis 1858, les biologistes et les médecins ne sont pas en mesure de faire des déclarations raisonnables et utiles sur la vie, la santé, la maladie et la guérison.

Die Wurzel : En 1951/52, la virologie s’était complètement réfutée et abandonnée. Pour quelle raison ?

La virologie doublement réfutée

Stefan Lanka : Tout d’abord, des expériences de contrôle ont été menées, qui ont prouvé que ce qui était autrefois interprété comme des virus (des protéines prétendument dangereuses, comme on l’affirme encore aujourd’hui pour certaines bactéries, malgré une meilleure connaissance) est également libéré lors de la décomposition d’organismes tout à fait sains ou de leurs organes. Et que rien n’a été vu ni trouvé au microscope électronique.

Deuxièmement, parce que l’on a appris que les protéines ne peuvent pas se reproduire elles-mêmes. Avant 1952 encore, l’élément central de la virologie était que la dangereuse protéine virale (= virus, poison pathogène) pouvait soi-disant se reproduire elle-même. Mais en 1952, on s’est rendu compte que c’était l’acide nucléique qui était responsable de la multiplication des protéines. Dès lors, les jeunes chimistes ont considéré que les virus étaient de dangereux morceaux de substance génétique. Ces chimistes n’avaient aucune idée de la biologie, de la médecine et du fait que la virologie médicale avait été abandonnée.

Cette ignorance se prolonge jusqu’à aujourd’hui et a conduit à la crise de Corona. Les virologues d’aujourd’hui ne s’étonnent tout simplement pas de ne pas trouver de virus ni de génome viral. Ils ne s’étonnent pas non plus qu’ils assemblent constamment et toujours mentalement les génomes des virus (les brins de patrimoine génétique des virus) à partir de courts morceaux et les présentent ensuite comme la réalité.

Mettre fin à la crise de la Corona de manière démocratique

Nulle part ailleurs en biologie et en médecine, il n’est aussi clair qu’en virologie qu’une pure construction de l’esprit est présentée comme un fait existant. Lorsque la majorité de la population aura compris cela, la crise de Corona sera terminée de manière purement démocratique. Par conséquent, veuillez distribuer cette interview sur « Virus, sort de là ».

Die Wurzel : Il y a encore tellement de choses à aborder, y compris le modèle des bactéries et des bactériophages. Dans ton article « Mauvaise interprétation des virus », disponible au prix de 5 €, tu abordes tout cela en détail, ainsi que de nombreux autres sujets. Cette interview d’aujourd’hui n’est qu’un tout petit extrait de ton article « Mauvaise interprétation du virus ». C’est pourquoi je recommande à tous les lecteurs cet article, voire le numéro complet de WissenschafftPlus (voir ci-dessous) avec l’article qu’il contient.

Et avec les numéros suivants de WissenschafftPlus, vous restez, cher lecteur, au courant de ce qui s’est déjà passé dans la réflexion sur le virus dans la science en général, etc. Le mieux est de vous abonner à ce magazine trimestriel.

Sur ce, je te remercie, cher Stefan, pour cette interview. Que nous puissions tous travailler ensemble et réaliser de grandes choses dans un collectif positif.

Traduction Jean Bitterlin 6 janvier 2023


1. Extraits de gènes de virus = fragments de virus

2. La théorie de la pathologie des cellules datant de 1858.

3. Dont j’ai découvert, isolé et caractérisé l’un d’entre eux et que Günter Enderlein a prédit.

4. Les bactériophages

5. ADN (DNA) = La biomolécule centrale des chromosomes, sur lesquels se trouvent des modèles informatifs grossiers pour environ 10 % de nos protéines, que l’on appelait autrefois des gènes.

6. Quel que soit le type, frottis, sang, mucus, sperme, matériel de biopsie, etc.

7. S’il existe donc des organes dans lesquels sont concentrées des fonctions qui, sinon, se déroulent toutes en même temps et côte à côte dans les tissus ou les cellules d’organismes « simples », il existe pour cela de tout autres mécanismes de recyclage intracorporel ou intraorganique.

8. Les fragments de gènes de l’ADN.

9. Je préfère l’appeler une autre vision ou tout simplement une biologie que je m’efforce de diffuser, dans laquelle la santé résulte de l’harmonie en moi-même et avec mon environnement.

10. Elle a, en plus de son travail thérapeutique, une mission d’enseignement de la médecine chinoise.

11. Article « Virchow — Ein Stratege der Macht » (Virchow — Un Stratège du Pouvoir) voir WissenschafftPlus édition no 5/2015, le rapport peut être lu en ligne, voir wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Mohr_Virchow.pdf

12. L’affirmation de l’existence des virus ZIKA remonte à 1947, lorsque les virus étaient définis différemment qu’après 1952. Il tire son nom d’une forêt d’Entebbe, en Ouganda, où des singes ont été torturés pour des « expériences d’infection ».

13. Les séquences d’une longueur inférieure à 22 nucléotides (éléments constitutifs de l’ADN/ARN) sont présentes chez tous les mammifères, ne sont pas spécifiques aux virus et sont néanmoins utilisées dans la construction des « génomes viraux ».

14. Alias substance originelle dont nous sommes constitués — voir mon article sur l’eau Pi voir weissschafftplus.de/uploads/article/MW_PI_Wasser_Lanka2.pdf et l’article de Michael Delias dans le WZ 04/19.

15. On cultive même déjà de la « viande » pour la consommation en laboratoire et on suggère que cela est possible sans animaux.




Olivier Véran et l’État macronien encore au pilori pour leur gestion du Covid

[Source : BV]

Par Marc Baudriller

Rapport de l’Igas : Olivier Véran et l’Etat macronien encore au pilori pour leur gestion du Covid

C’est une révélation du Parisien, bravo à la consœur Séverine Cazes qui a réussi à mettre la main sur un épais rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) : 205 pages, toutes tamponnées du mot « confidentiel ». Commandé fin juin 2020 par Olivier Véran lui-même, alors ministre de la Santé, ce document qualifié de « retour d’expérience du pilotage de la réponse à l’épidémie de Covid » a été remis au gouvernement en novembre 2020. Et maintenu au frais, loin de la presse. Le talent de communication d’Olivier Véran a calé…

Pour l’écrire, quatre inspecteurs de l’Igas ont mené des entretiens avec 375 responsables dans les ministères, les agences régionales de santé (ARS), les hôpitaux, ils ont confessé des préfets, des élus, etc. Résultat, un mitraillage en règle qui aurait d’ailleurs été versé au dossier de la Cour de justice de la République (CJR). La CJR se penche en effet sur la responsabilité du gouvernement dans la gestion d’une épidémie qui a fait 160.000 victimes. Elle interroge la pénurie de masques, le retard dans l’activation du centre de crise interministériel, le maintien des élections municipales de mars 2020. Et nos quatre inspecteurs ne font pas de cadeau de Noël ni au ministre Véran, ni à l’équipe gouvernementale, ni à l’administration française. Interrogé à l’issue du Conseil des ministres ce mercredi 4 janvier, Olivier Véran explique qu’à son arrivée au poste de ministre de la Santé, il a dû « faire face à une organisation qui n’était pas suffisamment préparée » pour affronter cette « crise sanitaire sans précédent ». Le problème, c’est que l’Igas ne pointe pas la situation à l’arrivée du ministre mais sa gestion tout au long de la crise.

Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams et collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer, ça dérapait pas mal, donc, en haut lieu.

Reproches de l’Igas : un centre de coordination, le Corruss (Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires et sociales), sous-dimensionné. Un Directeur général de la santé (DGS), chargé de coordonner les réponses à la crise, noyé sous une triple responsabilité stratégique, scientifique et opérationnelle. Une cellule interministérielle de crise activée trop tard. Une incapacité du ministère à « s’organiser de manière structurée et durable » avec plus de 25 organigrammes successifs en trois mois. Manque de compétences, désorganisation au sein de Santé Publique France, bataille entre cet organisme et la Cellule logistique interministérielle, difficultés dans les échanges d’information sur les besoins de l’hôpital pendant que les soignants manquaient de tout, recommandations contradictoires et un léger raté : les 611.000 résidents des maisons de retraite ont été… oubliés au début de la crise, explique l’Igas. N’en jetez plus !

Ce rapport secret confirme ou complète, en plus brutal, les rapports déjà publiés sur la crise par le Sénat, l’Assemblée, la Cour des comptes… Bien sûr, la critique est aisée et l’art de gouverner en période de pandémie n’a rien de facile.

Mais ce rapport tout ce qu’il y a d’officiel met en lumière une caractéristique rémanente du pouvoir macronien qu’on ne retrouve pas chez nos voisins : cette tendance à l’autoritarisme, aux vérités assénées de haut sans la moindre place au doute par une équipe gouvernementale de technos méprisants et brutaux, à une dureté sans précédent, une police de la parole déviante appliquée sans faiblesse. Cette attitude prend un relief particulier quand on découvre que les mêmes donneurs de leçons défaillaient au même moment à grande échelle.

Car il faut ajouter à l’énumération de ces ratés le coûteux recours de l’Etat aux amis de McKinsey qui se seront engraissés comme jamais sur la bête. Ceci, alors que l’Etat français est déjà un des plus coûteux du monde développé et que le nombre de nos fonctionnaires bat des records. Il faut se souvenir du mépris avec lequel Macron et ses affidés traitèrent les autres candidats, Marine Le Pen et Eric Zemmour en tête, durant les deux dernières campagnes présidentielles. Le pouvoir n’a rien fait, mais alors rien, pour susciter la mansuétude lorsque la mer se retire et laisse apparaître, toutes nues, la prétention, l’insuffisance et l’erreur.




Explication plausible du phénomène de combustion spontanée

[Source : observelemonde.com]

Les phénomènes de personnes brûlant « spontanément » pourraient avoir une explication plutôt macabre

Par Observateur

En décembre 2010, un homme de 76 ans est mort brûlé vif sur le sol de son salon en Irlande.

Près d’un an plus tard, un coroner (officier de justice) a officiellement statué qu’il était mort d’un phénomène particulier, a rapporté l’Irish Independent – la combustion humaine spontanée.

Ce phénomène, tel qu’il a été compris au cours des siècles, implique un corps qui s’enflamme soudainement sans être enflammé par une source extérieure.

Généralement, les mains et les pieds de la victime sont intacts, tandis que le torse et la tête sont réduits en cendres, a déclaré Roger Byard, pathologiste à l’Université d’Adélaïde, à Insider. Les meubles à proximité sont souvent peu endommagés.

Mais si la combustion humaine spontanée est un phénomène réel, a ajouté Byard, pourquoi ne se produit-elle pas plus souvent? Il a déclaré qu’environ 200 rapports de tels événements se sont produits au cours des 300 dernières années.

« La réalité est que les gens brûlent – mais pas spontanément », a déclaré Byard.

Les pompiers ont pelleté des décombres à l’endroit où le corps désintégré d’une femme a été retrouvé dans son appartement en Floride en 1951. (Youtube/Saphir au clair de lune)

La combustion humaine « spontanée » au cours des siècles

Au 17ème siècle, un expert en anatomie danois a décrit le premier cas connu de combustion humaine spontanée.

Il est venu d’Italie à la fin du 14ème siècle, quand un chevalier appelé Polonus Vorstius a bu du vin une nuit avant de s’enflammer.

L’idée d’un humain s’enflammant soudainement était souvent associée à une consommation excessive d’alcool.

Charles Dickens a alimenté les flammes du mythe en écrivant à ce sujet dans son roman de 1853 « Bleak House ». Dans celui-ci, un personnage nommé Krook, qui était un alcoolique, prend spontanément feu et brûle à mort.

Charles Dickens’ Bleak House, MacMillan and Co, New-York Londres 1895 page 402

D’autres au fil des ans ont attribué le phénomène à une visite de Dieu, à l’obésité ou aux gaz intestinaux.

Mais Byard a déclaré que ces théories n’ont pas beaucoup de poids scientifique.

Bien que la combustion humaine soit plausible et précise pour plusieurs récits, a-t-il déclaré, l’idée qu’elle se produise spontanément est un abus de langage: « Oui, les corps des gens brûlent, mais il n’y a absolument aucune preuve que cela se produise comme une combustion spontanée. »

Pratiquement tous les comptes ont impliqué une source externe de flamme, a ajouté Byard. Les coupables les plus courants sont les cigarettes allumées, les lampes ou les bougies.

Une illustration d’une édition de 1895 de « Bleak House » de Charles Dickens, représentant la découverte du corps de Krook. (Charles Dickens’ Bleak House, MacMillan and Co, New-York Londres 1895 page 402)

La science dit que les corps peuvent agir comme une bougie

L’explication scientifique dominante de la combustion humaine spontanée est connue sous le nom d’effet de mèche, qui propose que les humains peuvent agir comme le font les bougies.

En 1998, dans le cadre d’une émission de télévision de la BBC, des scientifiques britanniques ont reproduit des conditions similaires avec un cochon mort. Ils ont enveloppé le cochon dans une couverture avant d’y mettre le feu. Les pattes du porc ont été laissées derrière – exactement le résultat de nombreux cas signalés de combustion humaine spontanée.

La théorie de la mèche suggère que la graisse agit comme une source de carburant, et un corps humain est maintenu en flamme par sa propre graisse après avoir été enflammé. Les couvertures et les vêtements, quant à eux, agissent comme une mèche de bougie.

« Vous pouvez imaginer des gens enveloppés dans des couvertures, buvant des spiritueux – et renversant les spiritueux, qui agissent essentiellement comme un accélérateur avec de l’essence ou de l’essence », a déclaré Byard. « Ce qui se passe, c’est qu’ils laissent tomber une cigarette dans cette énorme piscine d’alcool, qui s’enflamme et brûle très lentement. Nous savons que la graisse peut brûler à très basse température. »

Parce que les mains et les pieds ont moins de graisse, ils ne fournissent pas assez de carburant pour être entièrement consommés par les flammes.

« Les gens croient au mythe urbain », a déclaré Byard. « Le mécanisme sous-jacent est beaucoup, beaucoup plus simple que l’intervention divine. »

[NDLR Moralité : surveillez votre ligne, évitez la consommation d’alcool et ne fumez pas. :-)]

Source




Confirmation de la nature de l’arme biologique contenue dans les vax anticovid

[Source : CrowdBunker via profession-gendarme.com]



[Voir aussi :
Karen Kingston : « La FDA a criminellement approuvé une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace. »
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins
Observation des injections anticovid]




« Vaccin » Covid : quelle incidence sur la mortalité au Japon et en France ?

[Source : RL]

Par Alain Lussay

En préalable, rappelons que les Japonais ont une réticence ancienne à l’égard des vaccins, depuis les années 1970, à la suite de plusieurs recours collectifs en justice contre les autorités nippones concernant les effets secondaires imputés à plusieurs vaccins, dont celui contre la variole.

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/japon-une-mefiance-ancienne-a-l-egard-des-vaccins_150643

Au Japon, la première campagne de vaccination contre le Covid a donc démarré tardivement et mollement en février 2021.

Car en 2020, en laissant la liberté de prescription à la médecine de ville, les Japonais ont bien maîtrisé l’épidémie avec seulement 3.500 décès Covid, soit 34 fois moins qu’en France où la clique sanitaire, en interdisant les antiviraux efficaces, a provoqué une hécatombe de 69.000 morts.

Puis en 2021 les incitations à la vaccination se sont accélérées au Japon, en vue des Jeux olympiques de l’été, probablement sous l’influence de l’ancien directeur général de l’Institut national des maladies infectieuses, Ichiro Kurane, qui est un des 12 membres directeurs du conseil d’administration du CEPI, Coalition for Epidemic Preparedness Innovations…

https://cepi.net/about/whoweare/

Il se trouve que le CEPI a été fondé à Davos en 2017 par les gouvernements norvégien et indien, la Fondation Bill & Melinda Gates, et le Forum économique mondial, à la suite d’un consensus selon lequel un plan coordonné, international et intergouvernemental était nécessaire pour développer et déployer de nouveaux vaccins afin de prévenir de futures épidémies. Étrangement prémonitoire !

Puis en 2022, trois campagnes de rappel se sont enchaînées entre janvier et octobre, entraînant à chaque fois une explosion des cas de contaminations suivie par une hécatombe de décès, comme le montre le tableau ci-dessous.

https://www.nippon.com/fr/japan-data/h00901/?cx_recs_click=true

La propagande de la vaccination empêchant les formes graves est donc bel et bien battue en brèche, et conduit à l’hécatombe !

Comme la population du Japon est vaccinée à plus de 83% depuis fin 2021, le nombre cumulé de décès Covid, près de 58.000 au 31/12/2022, a évolué de la manière suivante au fur et à mesure des campagnes :

– année 2020 : 3.500 décès Covid sans vaccination,

– année 2021 : 15.000 décès Covid avec vaccination deux doses,

– année 2022 : 39.000 décès Covid avec rappels 3 et 4.

Alors comment comprendre, au sens de la propagande « Tous vaccinés, tous protégés », que plus on vaccine, plus les contaminations augmentent et plus la mortalité explose ?

En cherchant bien on trouve des informations confirmant que les vaccinés sont des cobayes dont la vie est en jeu, comme à la roulette russe, au gré de la répartition des lots et de la répétition des injections, selon le plan machiavélique de Big Pharma et des élites qui gouvernent le monde. https://ripostelaique.com/pourquoi-vaccine-t-on-les-employes-de-pfizer-avec-des-lots-reserves.html

Ainsi donc au Japon où la pharmacovigilance indique qu’à court terme 70 % des lots sont associés à 1 ou 2 décès par lot, mais que les autres lots sont plus toxiques, de 10 à 50 fois plus, en nombre de décès par rapport aux lots les moins nocifs. Source Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) par https://knollfrank.github.io/HowBadIsMyBatch/batchCodeTable.html

Ainsi, dans la base des 344 lots Pfizer et Moderna proposés à l’inoculation au Japon, de nombreux lots montrent des taux de mortalité post-vaccinatoire exorbitants, comme par exemple les lots FA – FC – EX ci-dessous :

À l’inverse des lots moins nocifs dont les taux de létalité sont faibles, comme par exemple le lot EP ci-dessous :

Voilà sans doute pourquoi le professeur émérite japonais Fukushima a dit vertement ses 4 vérités au ministre de la Santé :

Alors quand on voit les effets immédiats mortels et graves des injections, comment ne pas s’inquiéter des conséquences à moyen terme des anticorps facilitants de la protéine Spike vaccinale et des adjuvants douteux protégés par le secret de fabrication mais révélés par des analyses spectrographiques ? https://odysee.com/@laquintacolumnainternational:7/Voici-ce-que-contient-une-seule-goutte-du-vaccin-de-Pfizer:3

En France, Il n’existe aucun site de pharmacovigilance permettant à chaque vacciné de vérifier la toxicité du lot qu’il a reçu, en cause l’opacité volontairement entretenue par les autorités sanitaires sur les effets indésirables, quand bien même un rapport de juin 2022 au Parlement a révélé 1 décès toutes les 28.300 injections et 1 effet grave toutes les 1.434 injections…

Aujourd’hui, pendant que le Japon se désole de son hécatombe de 58.000 décès Covid, pourtant 5 fois moindre par millions d’habitants qu’en France avec 162.000, Macron et sa bande de criminels se consolent du carnage français en se tressant des lauriers.

Mais il se pourrait bien que ces pantins de l’oligarchie mondialisée, complices et corrompus, autant de l’escroquerie vaccinale que de l’enfumage énergétique, finissent par en payer le prix…




Les Remèdes Naturels qu’«ILS» ne veulent pas que vous connaissiez

[Source : planetes360.fr]

Les Remèdes Naturels qu’«ILS» ne veulent pas que vous connaissiez

Ce livre est la traduction du célèbre livre « Natural Cures « THEY » don’t want you want you to know about », N° 1 des Meilleures Ventes au New York Times (pendant 26 semaines d’affilée), qui s’est vendu à plus de 26 Millions d’exemplaires dans le monde et qui lève le voile sur Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne Veulent Pas que Vous Connaissiez.
Kevin Trudeau est un homme d’affaires américain, auteur à succès et défenseur des droits à la liberté d’expression. Il a décidé de quitter le milieu des initiés pour lever le rideau sur la vérité…

Êtes-vous conscient que l’écrasante majorité de ce que vous mangez chaque jour vous empoisonne ? Saviez-vous que la profession médicale, en partenariat avec l’industrie pharmaceutique, a un énorme intérêt à vous garder malade plutôt qu’en bonne santé ? Vous rendez-vous compte que le Gouvernement Fédéral fait tout ce qui est en son pouvoir pour garder tout cela secret ?

Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne Veulent Pas que Vous Connaissiez est un véritable manuel de santé qui nous dévoile notamment :
– Les petits secrets cachés des gouvernements ;
– Comment le système nous manipule ;
– Pourquoi tout n’est qu’une histoire d’argent, avant tout ;
– Comprendre pourquoi nous tombons malade ;
– Appréhender les remèdes naturels ;
– Savoir quoi faire pour guérir de pratiquement tout et ne plus être malade.

Kevin Trudeau révèle la vérité sur un nid de déceptions et de tromperies, tout en offrant de l’espoir grâce à des réponses claires et des solutions puissantes dans son best-seller révolutionnaire :
– Perdez du poids et n’en reprenez plus jamais ;
– Ne tombez plus jamais malade et restez en bonne santé ;
– Apprenez la cause de toutes les maladies ;
– Découvrez les remèdes naturels spécifiques pour l’herpès, le reflux acide, le diabète, les varices, la dépression, le cancer, les maladies cardiaques, le tda, les allergies et bien plus encore.

[Voir aussi :
Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?
Un nouveau paradigme médical
Les Racines de nos Maladies
Vœux de Joseph pour 2023
Dossier Vaccins et virus]




Témoignage de la journaliste Myriam Palomba un an après son Coup de gueule face à Laurent Alexandre

[Source : reaction19.fr]



Compte Twitter : https://twitter.com/myriampalomba

[Voir aussi :
Coup de gueule de la journaliste Myriam Palomba face à Laurent Alexandre, au sujet des non-vaccinés, du vaccin et du pass vaccinal]




Comparaison Naissances/Vaccinations en Suède






Arthrose : le grand mensonge

[Source : macroeditions.com]

« Le devoir que nous nous sommes fixé est d’aider les autres à s’aider eux-mêmes.
L’objectif est que tous, jusqu’à l’âge le plus avancé, puissent mener une vie saine et sans douleur en conservant leur pleine mobilité ».

« Des milliers de médecins de toutes les spécialités, physiothérapeutes et autres, ainsi que des ostéopathes, ont participé à nos cours de formation. Nombre d’entre eux ont rejoint notre réseau, qui couvre déjà de façon satisfaisante le territoire allemand, autrichien et suisse. Ils sont enthousiastes en constatant à quel point l’aide qu’ils parviennent à apporter à leurs patients en les libérant de la douleur et en les guérissant de l’arthrose est rapide et durable. »

Petra Bracht, Dr. méd., & Roland Liebscher-Bracht


L’équipe Macro Editions

La méthode Liebscher-Bracht, c’est quoi ?

Depuis 1986, nous conduisons des recherches sur la douleur et nous mettons au point des solutions thérapeutiques pour l’éviter et l’éliminer.

Tout notre projet a pris de l’ampleur lorsque nous avons commencé  (2007) à enseigner commentnous traitions la douleur et à formerdes :

  • médecins,
  • ostéopathes,
  • kinésithérapeutes,
  • naturopathes
  • autres thérapeutes.

La méthode Liebscher-Bracht, c’est 30 années de recherches et de développement et c’est la manière de se libérer de façon naturelle des douleurs articulaires, d’arrêter la dégradation et stimuler la reconstruction du cartilage.

Les douleurs de l’arthrose, c’est-à-dire la détérioration du cartilage dans diverses articulations, est quelque chose qui existe indubitablement : ce n’est pas un mensonge, c’est un fait.

Mais pourquoi certaines personnes sont-elles frappées par ce mal ?

Pourquoi leur cartilage s’use-t-il et devient-il toujours plus fin ?

Et pourquoi ces douleurs ?

C’est justement là que les choses sont très différentes de ce que croit la majorité des gens. Nombreux sont ceux qui pensent : « j’éprouve des douleurs parce que j’ai de l’arthrose« . Et ce ne sont pas uniquement les patients qui sont de cet avis : de nombreux spécialistes, médecins, physiothérapeutes ou naturopathes le pensent également.

Et c’est justement là que se situe l’erreur que nous qualifions d’« erreur du siècle de la médecine ». Mais comme le mot « erreur » ne marque pas suffisamment les esprits et peut facilement être écarté d’un haussement d’épaules, nous avons choisi d’utiliser le terme « mensonge », avec ses connotations les plus négatives et provocatrices.

Tout semble si clair : lorsqu’on est jeune, nos articulations fonctionnement parfaitement. Les cartilages sont sains et intacts. Plus on utilise une articulation, plus le cartilage vieillit et se s’use, il subit des lésions et disparaît progressivement. Plus ce processus se prolonge, plus on éprouve de la douleur. Pour alléger la souffrance, il existe des analgésiques de toutes sortes très efficaces. Comme on suppose que le cartilage ne peut pas se régénérer et que le processus de dégénération est inarrêtable, il est nécessaire, tôt ou tard – au plus tard lorsque les os sont en contact direct – de remplacer l’articulation. Heureusement, on a entre-temps mis au point des prothèses « high-tech ». Une fois qu’on a mis en place une articulation artificielle de ce genre, on peut recommencer à vivre normalement. En réalité, mieux encore qu’avant, car la prothèse est constituée de matériaux résistants tels que le métal ou la céramique, qui eux ne s’usent pas.

!! Pour éviter tout malentendu : ce que nous venons d’énoncer (ci-dessus) est l’opinion conventionnelle généralement répandue en matière d’arthrose et de douleurs !!

L’observation des chiffres et des procédures médicales et thérapeutiques conventionnelles donne l’impression qu’il faille se résigner au fait que l’arthrose et les douleurs font partie de la vie, qu’avec les années elles doivent nous frapper toujours davantage et que notre mobilité sera toujours plus compromise. Si nous avons de la chance, nous aurons « seulement » à prendre des antidouleurs, sinon nous devrons avoir recours à la pose d’une « nouvelle articulation ».

Nous pensons que la conception conventionnelle de l’arthrose est une « fausse vérité ». Et nous osons affirmer que ce n’est pas uniquement notre avis, mais la pure réalité. Au terme de trente années de recherche et de développement et de milliers de patients que nous avons soignés avec notre nouvelle thérapie, nous le savons et le démontrons quotidiennement. Selon nous, si nous assistons à des guérisons, c’est que nous avons raison.

Et qu’entendons-nous par le terme « guérison » ? C’est simple : l’élimination de la douleur et l’arrêt de l’arthrose.

arthrose traitement naturel

Et, si c’est encore possible, nous induisons même l’organisme à reconstruire petit à petit le cartilage des articulations et – à très long terme – même à remodeler les os.

Nous vous expliquerons le fonctionnement de notre traitement, de manière à ce que vous puissiez le mettre immédiatement en pratique et sortir au plus vite de l’impasse de la douleur et de l’arthrose.

Et si vous avez la chance de ne souffrir ni de l’une ni de l’autre, peut-être parce que vous êtes jeune ou avez eu la bonne attitude, alors nous vous expliquerons comment ne jamais vous retrouver dans cette impasse.

Pourquoi ce livre sur le traitement naturel de la douleur de l’arthrose ?

Ce livre s’adresse à tous : il a été écrit pour les profanes tout autant que pour les professionnels de la santé spécialisés dans l’arthrose et le traitement de la douleur. C’est pour cela que nous avons choisi d’utiliser généralement un langage compréhensible. Mais (…) nous avons évité de simplifier le langage lorsque cela aurait risqué d’appauvrir la description des phénomènes biomécaniques ou physiologiques.

Lorsque la partie théorique vous aura aidé à prendre conscience de l’importance des exercices, vous aurez également la motivation nécessaire pour consacrer quotidiennement 15 minutes à leur exécution. Vous pouvez également sauter d’un chapitre à l’autre, en commençant par les exercices puis en lisant la partie théorique selon vos besoins. 

Nous avons choisi intentionnellement un titre un peu provocateur : le but est de défier les convictions, d’attirer et conserver votre attention. il y a encore trop de médecins et de thérapeutes qui ne veulent pas comprendre les raisons pour lesquelles notre thérapie de la douleur est aussi efficace et qui ne la prennent donc pas au sérieux.

Et il y a encore trop de patients affligés par la douleur qui n’ont pas connaissance de cette thérapie et ignorent encore que, au lieu de recourir à des analgésiques et aux interventions chirurgicales, ils peuvent se soigner de manière totalement naturelle au sens propre du mot.

comprendre l'efficacité des exerices

Un dernier conseil : avant de débuter votre lecture, nous vous invitons à faire table rase de vos croyances. Il ne s’agit pas de vous débarrasser totalement des connaissances et convictions que vous avez accumulées mais, simplement, de les placer dans un autre compartiment, une sorte de « mémoire externe ».

Un dernier mot pour motiver les médecins, thérapeutes, ostéo, etc. d’oser lire et comprendre votre approche de la douleur ?

Lisez ce livre et pratiquez les exercices pour les articulations sur lesquelles vous souffrez d’arthrose. Testez nos conseils alimentaires qui peuvent contribuer sensiblement à garder la douleur sous contrôle et permettre une régénération rapide du cartilage.

Visitez notre chaîne YouTube Die Schmerzspezialisten (http://youtube.com/channel/UCt3pGaMM9F40McD-SnAym0g), qui regroupe plus de 400 vidéos avec des exercices faciles et de nombreuses réponses aux questions liées au sujet de la « douleur et de l’arthrose ».

Dans la majorité des cas, vous pourrez pratiquer les exercices en regardant la vidéo, car elles ont été conçues à cet effet. Notre site internet Liebscher & Bracht regorge également de ressources diverses, des exercices, des programmes d’entraînement, des conseils de massage… 

Durant les séances, le thérapeute s’appliquera à maintenir les résultats obtenus, tandis que de votre côté vous continuerez à pratiquer les exercices nécessaires pour vivre longtemps sans douleur.

De nouveau ce livre s’adresse à tous :

  • Pour ceux qui se sentent directement concernés par ce livre – que vous soyez un spécialiste ou non – nous vous conseillons de ne pas vous contenter de le lire une seule fois. Nous savons par expérience que la première lecture ne permet souvent pas de prendre pleinement conscience du sens des informations que l’on découvre.
  • Pour les profanes, cette difficulté dépendra des connaissances que vous avez déjà sur le sujet.
  • Pour les professionnels, en fonction de ce que vous avez déjà appris ou entendu dire sur la question, ces informations pourront parfois s’opposer de façon radicale à l’ensemble de connaissances et aux méthodes de travail auxquelles vous êtes habitués depuis des décennies.

Et maintenant, je vous souhaite une agréable lecture mais aussi, et surtout, de vous amuser en expérimentant et mettant en pratique les exercices et les conseils nutritionnels. Ce n’est qu’en mettant en œuvre nos propositions que vous pourrez aller mieux. 


Pour voir directement les vidéos suivantes avec sous-titres en français :

Cliquer sur en bas à gauche de la vidéo.

Vidéos :




PAROLES DE SOIGNANTS SUSPENDUS

Par Marie-Hélène Doré

41 témoignages de « soignants » :
Écoutons enfin ce personnel rejeté et invisibilisé par la société

 « Nous, soignants, applaudis en 2020 et trahis en 2021, encore dans l’oubli en 2022, comprenons tous ceux qui ont cédé car nous vivons la même pression acharnée destinée à nous faire plier devant l’autorité hiérarchique. »

Dans ce livre nécessaire et engagé, Elsa Ruillère décrypte la situation mise en place et les changements de loi qui ont permis cette mise au ban de la société d’un personnel adulé et porté aux nues au début de la pandémie, puis « trahi » : de héros, ils sont devenus bannis du système.

Cet ouvrage dénonce la maltraitance qui s’est abattue sur les professions du soin, du secours, du médico-social et de la Santé, dans les secteurs privés et publics, lorsque le gouvernement a décidé de voter une loi jugée inégale, délétère et discriminante, provoquant la précarité de dizaine de milliers de « soignants ».

Pour la première fois, Elsa Ruillère donne la parole à ces personnes (infirmiers, techniciens de transport, plombiers, étudiants, secrétaires médicales, cuisiniers, cadres administratifs…) : discriminations subies, difficultés financières rencontrées, marginalisation, moyens de pression mis en place par leur hiérarchie pour les faire céder.

Ces témoignages sont essentiels pour nous révéler une réalité passée volontairement sous silence par les médias et par le gouvernement.

Elsa Ruillère, assistante de gestion de formation, a rejoint en 2018 le Groupement Hospitalier Portes de Provence (GHPP), à Montélimar. Elle est représentante du personnel depuis 2020 et son syndicat est le premier à avoir répondu aux annonces de la loi du 5 août 2021 par un préavis de grève et à manifester contre les annonces du 12 juillet 2021. Cette grève sera très médiatisée, ce qui entraînera une multitude d’appels de toute la France. À l’initiative locale du collectif « Unis 2607 », Elsa Ruillère coordonne les Collectifs Unis (site : les-collectifs-unis.info) et est élue à la commission exécutive fédérale CGT Santé depuis début avril 2022.

PAROLES DE SOIGNANTS SUSPENDUS

Elsa Ruillère

Avant-propos de Didier van Cauwelaert, écrivain
Préface de Michèle Rivasi, députée européenne de Europe Ecologie Les Verts
Postface de Maître Maud Marian, avocate en droit des affaires internationales et droit pénal des affaires
Epilogue de Laurent Mucchielli, sociologue et directeur de recherche au CNRS

Guy Trédaniel Editeur

Parution : 12 janvier 2023




Dr Louis Fouché sur la corruption du Système

.




Marc Doyer se porte partie civile dans un procès pour avoir la vérité sur les effets secondaires du vaccin Covid

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

« Je veux savoir pourquoi on nous a menti. Familles de victimes, rejoignez-nous, vous avez droit à la vérité. »

Marc Doyer et deux autres familles de victimes se sont portés partie civile dans un procès qui va se tenir à Paris. Il va appeler toutes les victimes des injections covid qui le souhaitent à se joindre à eux en se constituant partie civile. Marc donnera plus d’informations dans quelques jours sur la façon dont les familles de victimes peuvent rejoindre cette plainte. Faites passer le message, informez autour de vous les personnes susceptibles d’être intéressées.

Pour contacter Vérity France, l’association de victimes du vaccin, fondée par les familles de Maxime, Sofia et Mélanie, dont Marc Doyer est porte-parole, voici le lien : https://www.verity-france.org/contact-adhesion/. Ou par mail :




Usés par l’hôpital français, des soignants se tournent vers la Suisse

[Source : francetvinfo.fr]

[Illustration : La clinique privée Cecil du groupe Hirslanden, à Lausanne, en décembre 2022. (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)]

De plus en plus de soignants, dégoûtés, écœurés par leurs conditions de travail, décident de changer de vie. Ils quittent l’hôpital en France pour aller travailler en Suisse, où les conditions et le salaire sont plus attractifs. 

Par Solenne Le Hen

À Lausanne, la très chic clinique privée Cecil du groupe Hirslanden est installée dans un magnifique bâtiment historique, avec vue sur le lac Léman. Au sein de son service d’urgences, les soignants sont tous français. L’une vient de Haute-Savoie, juste de l’autre côté du lac, une autre de Lorraine, un troisième de Bordeaux et un autre est grenoblois. « On a des collègues d’Auxerre, de Lyon, de Paris, de Nantes, d’Annecy, énumère un soignant. De toute la France, en fait. » 

Parmi eux, le Dr Maurice Raphaël. Il a démissionné il y a deux ans de son poste de chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, en Île-de-France. « On a une certaine idée de ce métier et évidemment c’est très difficile de lâcher les patients, donc on est là tout le temps. Moi j’étais là 28 jours sur 30 à peu près », se souvient-il. « Physiquement, on ne peut pas tenir comme ça longtemps. »

>> « Je n’avais pas signé pour ça » : huit soignants témoignent d’un hôpital public à bout de souffle

« On a le nez dans le guidon et on avance, on avance. Et on ne se rend pas compte qu’on est en train de se détruire. »

Dr Maurice Raphaël

Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)
Le Dr Maurice Raphaël, médecin à la clinique Cecil de Lausanne, ancien chef des urgences de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne). (SOLENNE LE HEN / FRANCEINFO)

Son entourage avait réellement la crainte qu’il se tue à la tâche. « Je ne suis pas parti pour venir en Suisse, explique ce médecin. La plupart des soignants qui sont ici ne sont pas des gens qui sont venus spécialement en Suisse. C’est avant tout pour quitter le système français, pour ne plus subir. » 

Virginie Céria, infirmière aux urgences en Haute-Savoie pendant 15 ans, confirme : c’était la Suisse, ou bien tout laisser tomber et abandonner le métier. « Et pourtant j’ai adoré travailler aux urgences en France, confie-t-elle. Mais au bout d’un moment, je ne me sentais plus capable. Car dans un service d’urgence fait pour 80 passages par jour, on pouvait aller jusqu’à 200 patients, avec des manques de lits d’hospitalisation. Vous vous dites : ‘je ne peux pas vieillir dans ce métier en France’. » Elle envisageait carrément « arrêter d’être infirmière », avant qu’un collègue ne lui parle de la Suisse. 

« Ce n’est pas tout rose, mais c’est tellement mieux »

L’un des avantages de la Suisse, ce sont les salaires, entre 1 000 et 3 000 euros de plus par mois, selon les postes, par rapport au même emploi en France. Mais à la clinique Cecil de Lausanne, la rémunération n’est pas la motivation première des soignants. « Ça n’aurait pas été la Suisse, ç’aurait été le Canada. Sinon, la Belgique », affirme Agathe, infirmière auparavant en Île-de-France. « C’est un peu le chat qui se mord la queue. On n’a pas envie de quitter les soins, on a envie de rester infirmiers, de passer des journées avec des patients. »

« On aimerait être en France, mais on aimerait que ce soit bienveillant. On aimerait qu’ils comprennent que laisser des gens pendant huit heures aux urgences dans des brancards, c’est grave. On ne peut pas se permettre ça. »

Agathe, infirmière à la clinique Cecil de Lausanne

Depuis qu’elle est en Suisse, ses conditions de travail n’ont plus rien à voir. Agathe a trois fois moins de patients à prendre en charge dans son service de médecine-chirurgie. Elle se souvient d’un épisode dans son ancien hôpital francilien : « C’est aux infirmières du matin de prendre les constantes des patients, explique-t-elle. Mais on n’a pas de thermomètre. J’arrive en réunion avec sept médecins, le chef de service qui me dit : ‘Alors, est-ce qu’ils ont chauffé ?’ Eh bien je ne peux pas répondre à cette question parce que je n’ai pas de thermomètre. » Qu’en est-il dans son nouvel établissement ? « Ici, il y a 20 patients, il y a cinq thermomètres. »

Agathe ne regrette pas son exil. Pas plus que Virginie Céria, qui habite côté français et a trois heures de transports chaque jour, aller-retour. Malgré tout, venir en Suisse l’a « réconciliée avec le métier d’infirmière. Elle détaille : On a le temps de prendre en charge les patients, on a le matériel qu’il faut, Ce n’est pas tout rose mais c’est tellement mieux. J’ai trouvé où je vais finir ma carrière. »

+ 10% de soignants frontaliers dans le canton de Vaud chaque année

« Très peu font le chemin inverse », affirme Fanny Lazzarotto, la directrice des ressources humaines des deux cliniques du groupe Hirslanden à Lausanne, qui emploie 250 Français. « S’ils le font, c’est qu’ils ont une contrainte familiale. Mais à ma connaissance, si j’ai peut-être trois ou cinq collaborateurs, ces quinze derniers mois, qui ont du le faire plus que souhaité le faire, c’est le maximum. » Elle embauche chaque année des dizaines de Français. Et elle insiste, elle ne cherche pas à piller l’hôpital français, car en Suisse aussi, il y a pénurie de professionnels de santé. En fait, dit-elle, les CV français tombent pratiquement tout seuls sur son bureau.

« Aujourd’hui, 7 000 soignants – infirmiers et aide-soignants – habitant dans l’Ain et la Haute-Savoie travaillent en Suisse« , détaille Anne Reffet-Rochas, chef de projet Insee Auvergne Rhone Alpes. Elle a participé à une étude récente sur le sujet« Chez ces soignants transfrontaliers, on constate entre 2008 et 2018 une hausse de 200% de ceux qui vont travailler tous les jours vers le canton de Vaud (canton de Lausanne) et 65% vers le canton de Genève. Entre 2016 et 2021, la hausse est même davantage marquée, avec 10% par an de soignants frontaliers de plus allant travailler dans le canton de Vaud et 3% de plus vers le canton de Genève. Mais ces hausses importantes doivent être nuancées, car elles concernent de petits effectifs. »

« On constate néanmoins une omniprésence de ces infirmiers et aide-soignants français en Suisse », ajoute Charles-Julien Giraud, lui aussi auteur de cette étude.

« Dans les cliniques privées du canton de Genève, 79% des soignants ont un diplôme français, et 47% dans les cliniques privées du canton de Vaud. »

Charles-Julien Giraud, chargé d’études à l’Insee

Cet exode des soignants vers la Suisse risque de se poursuivre dans les prochains mois et les prochaines années. Virginie Céria, l’ancienne infirmière de Haute-Savoie, est toujours en contact avec ses collègues de l’époque. « Il y en a beaucoup qui sont partis depuis que je suis partie, pourtant ça ne fait pas longtemps, ça fait un peu moins de trois ans, raconte-t-elle. Ils sont allés en Suisse essentiellement. Il en reste quelques-uns, ils me posent beaucoup de questions, en disant : ‘le jour où j’aurais envie, tu me diras’… En tout cas ils se posent tous la question, ça c’est sûr. » 

Chez ces soignants qui travaillent en Suisse, on sent de la tristesse, souvent un sentiment de culpabilité d’avoir abandonné le « navire-hôpital » en plein naufrage. Pour autant, ils le disent, ils ne veulent plus mal faire leur travail. Aucun ne reviendra en France tant que l’hôpital ira si mal.





Vœux de Joseph pour 2023

Par Joseph Stroberg

Un édifice ou un système, comme le Nouvel Ordre Mondial, peut être détruit d’au moins trois manières :

  1. en enlevant sa pierre angulaire, sa clef de voûte, ce qui produit son effondrement depuis le haut et est l’équivalent d’une décapitation ;
  2. en s’en prenant à ses fondations, ce qui peut être facilité lorsque le système ressemble à un château de cartes ;
  3. en le rongeant partout avec l’équivalent d’un acide (ou en cessant de l’alimenter).

Ronger le Nouvel Ordre Mondial partout simultanément ne peut se faire que par une prise de conscience massive de sa réalité et de son fonctionnement. L’acide est la Conscience éclairée. Il semble bien que l’Humanité en soit actuellement loin, encore trop soumise à la peur (notamment de la mort), ce qui fait qu’elle continue d’alimenter ce système au lieu d’en ronger, désagréger tous les aspects par un changement de mode de vie.

Le Nouvel Ordre Mondial est construit sur le principe de l’inversion de la Création, d’où en particulier l’énorme intérêt des élites pour le transhumanisme, l’artificiel et le renversement naturel de la biologie avec notamment la théorie du genre. Poutine tente de s’attaquer à ces fondations pour rétablir les principes traditionnels accordés sur la Création, mais même avec ses énormes moyens militaires, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir.

Quelle est la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial ?
Ce sans quoi les élites mondialistes n’auraient jamais pu imposer mondialement la distanciation sociale, les confinements, les masques, les tests PCR, les QR codes et les vaccinations : la théorie virale. Or, de plus en plus d’éléments factuels démontrent que celle-ci ne relève pas de science, mais de scientisme, de mauvaise cuisine ou de mauvaise religion, comme le lecteur pourra en avoir un bon aperçu en se plongeant dans les articles du dossier Vaccins et virus, ceci à condition qu’il accepte de remettre en question les croyances massivement entretenues par l’industrie pharmaceutique (qui contrôle notamment l’enseignement des médecins à l’université) et de s’ouvrir aux éléments démonstratifs et révélateurs proposés dans ces articles.

En lisant ces articles, le lecteur découvrira notamment les points suivants :

Les virus pathogènes n’ont jamais été scientifiquement isolés et caractérisés.
À ceux qui répondent que l’absence de la preuve de l’existence de virus pathogènes n’est pas la preuve de leur inexistence, je réponds :

l’absence de la preuve de l’existence d’éléphants roses n’est pas non plus la preuve de leur inexistence,
et l’absence de la preuve de l’existence de Dieu n’est pas non plus la preuve de son inexistence.
Dans le premier cas (celui des éléphants roses), nous avons cependant affaire à du delirium tremens ou à des théories purement fantaisistes, même pour ceux qui pensent qu’il suffit de peindre en rose un éléphant réel pour démontrer l’existence d’éléphants roses.
Dans le second cas, il s’agit d’une croyance d’ordre purement religieux qu’il n’est pas possible de démontrer scientifiquement.

L’effet cytopathique qui prétend démontrer la culture virale s’obtient pareillement sans la moindre présence de tissus biologiques supposés infectés par un virus pathogène, ce qui démontre implacablement que cet effet n’est nullement la démonstration de la présence d’un tel virus, la mort des cellules dites de culture ne résultant que des poisons inclus dans le milieu (antibiotiques et nombreux toxiques censés favoriser la multiplication virale, mais qui en fait tuent les cellules de culture).

Les séquençages de seconde génération qui prétendent ensuite reconstituer le matériel génétique dudit virus sont de véritables farces. Ils partent d’une soupe génétique indifférenciée et non caractérisée qui peut mêler aussi bien des bouts de gènes en provenance du prétendu tissu infecté que des cellules de cultures et d’autres composants biologiques présents dans le milieu. Et cerise sur le gâteau, ils coupent ces bouts de gènes en séquences de quelques cinquantaines ou centaines de codons (ou de bases) et moulinent tant et aussi longtemps qu’ils ne s’approchent pas d’un modèle théorique servant de référence à la reconstitution du puzzle. C’est exactement la même situation grotesque et non scientifique qui consisterait à tenter de reconstituer le roman Germinal de Zola (le modèle, tel que SRAS-CoV-2) à partir du découpage en petits morceaux de papier de milliers de romans pris au hasard dans une bibliothèque. Avec un peu de chances et suffisamment de patience (en faisant tourner suffisamment longtemps la moulinette du séquençage génétique — opération purement logicielle), en collant les petits bouts de papier adéquatement, en reconstituant ainsi des phrases (génétiques), on finira par retrouver 99,7 % du roman Germinal et on prétendra qu’il était bien présent dans la bibliothèque au départ, alors qu’il ne s’y trouvait pas nécessairement.

Le fait que les « virus » soient visuellement semblables aux exosomes ou à d’autres composants cellulaires (par ailleurs eux scientifiquement caractérisés) ne démontre par ailleurs pas qu’ils soient responsables de maladies, pas davantage que la présence de mouches sur des cadavres ne démontre que ces dernières seraient les responsables de la mort des animaux ou des êtres humains concernés.

La théorie virale s’est vue coller tellement de rustines pour tenter d’éviter son éclatement (alors qu’elle aurait dû disparaître il y a près de 70 ans) qu’elle en est devenue incontestable, ce qui de fait la déplace hors du cadre de la science (puisque le propre de toute véritable théorie scientifique est d’admettre ses limites et la possibilité d’être contestée).

Les rares contagions effectives (en dehors de l’exposition à une cause commune, comme le sont les champs électriques et les ondes électromagnétiques, sachant que le corps lui-même est de nature électrique, magnétique et électromagnétique, jusqu’aux niveaux cellulaires et moléculaires) peuvent s’expliquer par la communication et l’influence expérimentalement démontrée entre organismes vivants, par les biophotons.
(Voir Communication entre organismes vivants par biophotons et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques.)

En réponse à l’argument des labos P4, voir C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !.

Mon vœu est que les êtres humains, et spécialement s’ils sont médecins ou travaillent dans le domaine de la Santé, se penchent sérieusement et avec ouverture d’esprit sur la contestation de la théorie virale afin qu’ensuite la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial soit détruite et que ce dernier s’effondre dans la foulée. Un vœu alternatif est qu’à défaut ils soutiennent Poutine face à l’inversion occidentale. Cependant l’approche de la pierre angulaire peut être plus rapide et surtout éviterait bien des morts.

Joseph Stroberg

P.S.

Les prix Nobel, y compris en médecine, sont délivrés à des êtres humains qui ont été particulièrement utiles aux élites mondialistes en vue de l’édification du Nouvel Ordre Mondial, même si leur aide est purement involontaire.
Montagnier a ainsi reçu son prix pour avoir permis de renforcer la légende urbaine des virus pathogènes et Kary Mullis pour l’invention du test PCR qui est bien utile pour inventer des épidémies, spécialement depuis l’invention du concept scientifiquement frauduleux et fallacieux de « malades asymptomatiques ».
(Voir :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Repenser le SIDA
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Pas de fleurs pour le sidarnarqueur
La virologie et le test PCR
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH
L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade
La fraude des anticorps
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies)




REVUE DE PRESSE DU 1er JANVIER 2023

EDITORIAL
Matrix et le légionnaire

Non ce n’est pas le titre d’un thriller (encore que..), mais « l’usine à gaz » du vaccin de Novavax destiné aux réfractaires aux vaccins à ARNm. Une imposture de plus au rayon des vaccins dont on n’en finit pas de décrire les effets indésirables qui augmentent avec le nombre d’injections, qui tuent de plus en plus et en particulier des sujets jeunes, tandis qu’il suffirait de rendre ses lettres de noblesse à l’Ivermectine aussi bien en préventif qu’en curatif. La justice avance dans le monde, l’Inde enquête sur le lien entre les vaccins et les morts brutales, mais en France l’Éducation nationale promeut la vaccination à tout âge alors que la stratégie sanitaire est un échec cuisant. La résistance reste dynamique et s’affiche même à la une de Nexus, qui se préoccupe des « substances » contenues dans les vaccins.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

FranceSoir a déposé un référé suspension contre la décision de non-renouvellement de son agrément

https://www.francesoir.fr/politique-france/francesoir-depose-un-refere-suspension-contre-la-decision-de-la-cppap

« Le rôle de la presse est de servir de contre-pouvoir et qu’il ne relève pas du rôle du ministère de la Santé de s’immiscer dans ce processus de décision censé garantir la séparation des pouvoirs. »

École : incitation à la vaccination, du CP à la terminale

« Le complotisme, ainsi que l’absence de lien de causalité prouvée entre les vaccins et certaines pathologies sont donc utilisés comme arguments principaux pour contrer l’hésitant ou le réfractaire. »

ÉTRANGER

INDE Enquête sur le lien possible entre vaccins et arrêts cardiaques

https://timesofindia.indiatimes.com/india/sudden-cardiac-arrest-icmr-to-probe-covid-link/articleshow/96467046.cms

« Le conseil de la recherche a lancé une vaste étude avec les meilleurs cardiologues pour étudier toutes les causes possibles de cette flambée de morts subites en particulier chez des jeunes, en train de danser, chanter ou se promener dans la rue. »

USA Le sang de « non vaccinés » est très recherché

« Un remake de l’affaire du sang contaminé des années SIDA ? En Nouvelle-Zélande, le bébé Will en est mort. »

USA Comment le Pr Bhattacharya avait été censuré par Twitter

« Si des opinions scientifiquement informées sont supprimées, censurées ou artificiellement interdites d’accès à la sphère publique, comme cela s’est produit fréquemment tout au long de la pandémie de Covid-19, le perdant n’est pas seulement les scientifiques censurés, mais la science elle-même, et le progrès humain plus généralement. »

JUSTICE

Les « injecteurs » mis en cause

« Une enseignante condamnée pour exercice illégal de la médecine, un médecin belge accusé d’avoir inoculé un vaccin expérimental, des médecins accusés de refus de soins parce que non vaccinés. »

USA, Floride La Cour suprême autorise un grand jury à enquêter sur les fabricants de vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-monde/en-floride-la-cour-supreme-autorise-un-grand-jury-enqueter-sur-les-fabricants-de

« Les acteurs de toute la chaîne de vaccination, allant de la conception à sa distribution, en passant par le développement, les tests cliniques et la commercialisation, seront concernés par l’enquête de ce grand jury/Le comité sera constitué de plusieurs professionnels de la santé, dont le Dr Jay Bhattacharya. »

COVID

Comment mettre fin à l’épidémie ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/comment-mettre-fin-l-epidemie-de-covid-19

La prévention, toujours et encore. Avec de l’Ivermectine, preuves à l’appui.

TRAITEMENT

Ivermectine, le traitement de choix du Covid 19, confirmé par son inventeur

https://lemediaen442.fr/le-prix-nobel-de-medecine-satoshi-omura-presente-livermectine-comme-traitement-contre-le-covid/

ET

https://www.theepochtimes.com/health/ivermectin-is-safe-and-effective-the-evidence_4944960.html

« Le fait que ce médicament antiviral extrêmement efficace, sûr et peu coûteux ne soit pas aussi bien connu dans le monde que la pénicilline est ungouffre d’ignorance inexcusable et mortelle que l’ère COVID donne au monde l’occasion de corriger. »

Échec de la stratégie sanitaire française

« Dans le monde réel, les antipaludéens ont limité contamination et mortalité, et le seul bénéfice des pseudo-vaccins a été financier pour les firmes et leurs actionnaires. »

Paludisme et Covid, l’étrange parenté et l’efficacité des antipaludéens

« L’Afrique pratiquement pas injectée a résisté à la covid en utilisant les antipaludéens, macrolides, cyclines, ivermectine et artémisinine. »

INJECTIONS

Preuves que les injections sont des armes biologiques

https://fr.sott.net/article/41503-Nous-avons-toutes-les-preuves-Les-vaccins-contre-le-Covid-sont-bien-des-armes-biologoqies

« Pfizer dit sur son site Web que c’est de la technologie. Les nanoparticules lipidiques sont techniquement appelées microrobots biohybrides. Cela sonne mal, alors ils les appellent des nanoparticules lipidiques pour que cela ne semble pas aussi effrayant. Donc, il y a de la technologie dans les injections Covid-19. »

Le Nuvaxovid pour les nuls

https://merylnass.substack.com/p/novavax-vaccine-contains-1-mg-of

« Ce 5e vaccin anti-Covid-19 autorisé en France a pour but de convaincre les “anti”-ARN messager. La protéinespikedu vaccin est cultivée en modifiant génétiquement desbaculoviruspour produire laspike, puis en infectant des cellules d’insectes pour transformer l’ensemble en une usine de protéinespike… et avec un adjuvant dont on ne connaît rien, le “Matrix-M”…

Dans chaque injection, protéines de pointe, ADN et protéines debaculoviruset cellules du légionnaire d’automne. Le vaccinNovavaxn’est pas suffisamment purifié. Nul ne peut dire comment les contaminants protéiques et ADN d’insectes et virus affecteront les receveurs. Ce n’est pas un vaccin traditionnel, mais un autre “leurre” mis en place uniquement pour attirer les non-vaccinés, car il n’est pas constitué d’ARNm.

Les autorités de réglementation admettent qu’elles n’ont aucune idée de l’efficacité du vaccin ni de sa dangerosité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

À quel moment surviennent les effets indésirables ?

https://www.aimsib.org/2022/12/25/a-quel-moment-surviennent-les-effets-secondaires-lies-a-la-vaccination-anti-covid/

La principale conclusion d’une étude canadienne est que la plupart des événements liés à la santé, tels qu’enregistrés comme des changements dans les dossiers pharmaceutiques des patients, se sont produits au-delà de la période d’observation de 6 semaines, actuellement utilisée par l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Ceci appelle à une extension de cette période et à une révision des directives établies pour la déclaration et les analyses des EI post-vaccination.

Heureux les pauvres qui n’ont pas injecté de booster

« L’Afrique et une partie de l’Asie ont éliminé la Covid, le Japon démontre la nocivité des injection.

Plus on vaccine, plus on a de doses, 3e, 4e, plus on a de décès. On est loin, très loin de la protection des formes graves, ces courbes successives montrent le contraire. »

Efficacité du vaccin bivalent

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1

« Une étude de Cleveland révèle quele risque de COVID-19 a augmenté avec le temps écoulé depuis la dernière maladie COVID-19 et avec le nombre de doses reçues précédemment. »

Un ado sur 30, vacciné trois doses, fait une myocardite

« Avant vaccin Covid : 4 cas de myocardite/million ;
après vaccin Covid chez 13-18 ans et 2 ou 3 doses : 25 000 cas par million !!! »

N’injectez pas les enfants avec ce produit inefficace et dangereux !

Une image qui vaut mille mots :

RÉSISTANCES

Corruption et fraude dans la crise Covid, colloque interdisciplinaire

https://www.kairospresse.be/colloque-interdisciplinaire-corruption-et-fraude-dans-la-crise-covid-depuis-2020/

« Cette intervention montre que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objectives aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux. »

Appel aux dons pour soutenir les personnels suspendus

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/les-heros-c-est-bien-eux-jean-louis

« Il y a déjà eu des suicides dans cette population, on voudrait éviter à tout prix que ça continue. Et surtout il y a des gens qui se retrouvent dans une détresse phénoménale : financière, psychologique, juridique. »

On achève bien les soignants

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/catherine-bouissou-on-acheve-bien-les-soignants

« Déboires, appels au secours et solidarité entre soignants non vaccinés. »

Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font !

https://www.babelio.com/livres/Jacquemin-Ne-leur-pardonnez-pasIls-savaient-trEs-bien-ce-q/1471500

« En fouillant sur les sites gouvernementaux américains, anglais, israéliens, français et ailleurs en Europe, liés à la Santé, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin y a découvert pléthore de documents qui l’ont incité à approfondir le sujet auprès de scientifiques, épidémiologistes, biologistes, généticiens, cancérologues mondialement connus : ils sont unanimes sur les répercussions d’injections expérimentales proposées — imposées. »

NEXUS numéro de janvier 2023



Dr Louis Fouché : « La principale cause de mortalité, au fond, c’est un peu notre système de santé »

[Source : Sud Radio]




Shanghai — Selon le journaliste Andy Boreham, il n’y a pas de queue aux urgences ni de gens qui meurent dans les rues, contrairement à ce que rapportent les médias mainstream

Veulent-ils relancer la peur plandémique ?




Dr Roger Hodkinson : « 20 millions de morts, 2 milliards de blessés graves à cause du vaccin Covid-19 »

[Voir aussi :
Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!
« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans]




L’invention du « virus Ebola »

Par Jean Bitterlin

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ». Les articles provenant de l’OMS ou d’autres sources que l’analyse de l’auteur sont sur fond coloré.

[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie]

Quel que soit le « virus » sur lequel on se penche, on retrouve toujours le même narratif :

  1. L’émergence de « l’épidémie » se fonde sur des maladies préexistantes que l’on attribue à un « nouveau virus ». Pour Ebola il s’agissait du paludisme, de la fièvre typhoïde, de la méningite, de l’hépatite, etc., pour le VIH il s’agissait du sarcome de Kaposi, de la pneumonie cystite carinii auxquels se sont rajoutées près d’une trentaine d’autres maladies et pour le Covid-19 les pneumonies)
  2. Le « virus » en question n’est et n’a jamais été isolé (ce qui rend d’ailleurs impossible la mise au point d’un test) et personne ne l’a jamais vu.
  3. La « preuve de la présence du virus » est toujours indirecte : c’est la présence d’anticorps que l’on prétend être, sans aucun fondement scientifique, spécifiques au « virus ».
  4. Des malades qui ne sont pas porteurs de ces anticorps dits spécifiques et des bien-portants chez lesquels on trouve ces anticorps. Ces bien-portants sont alors appelés porteurs asymptomatiques du « virus », situation qui peut durer des années ! (On peut se demander alors ce que « foutent » ces virus pendant tout ce temps, doivent s’emmerder tapis dans des cellules et prêts à passer à l’attaque.)
  5. Des remèdes ou médicaments qui ont les mêmes effets pathogènes, effets pouvant aller jusqu’au décès, que l’on attribuera au « virus ». Dans le cas d’Ebola il s’agit de la chloroquine, dans le cas du VIH il s’agit de l’AZT…

Voici également une vidéo qui bien que datant mérite d’être visionnée même si les intervenants se situent dans l’hypothèse virale : https://www.dailymotion.com/video/xmq1ka

Le professeur De Harven qui est interviewé dans la vidéo est malheureusement décédé en mars 2019.

Dès le début de cette escroquerie phénoménale qu’est le « virus du SIDA » des voix se sont élevées pour dénoncer les graves incohérences de l’hypothèse d’une épidémie qui allait éradiquer l’Humanité. Qu’un Luc Montagnier ait persisté dans la fraude, n’ait jamais douté et n’ait jamais fait amende honorable malgré les décennies où aucun fait scientifique n’a pu corroborer cette hypothèse me fait dire qu’il est à classer dans la catégorie des pires criminels que l’Humanité ait connue.

Dès le début des années 1990 des voix se sont élevées (le groupe de Perth en Australie, le professeur Stefan Lanka en Allemagne) pour dénoncer l’hypothèse virale qui ne repose sur aucun fondement scientifique. Tous ceux qui, tout en restant dans cette hypothèse virale, ont combattu le narratif officiel du SIDA ont bien malgré eux contribué à la mise en œuvre de l’escroquerie Covid-19. Ne perdons pas 40 années supplémentaires en restant dans cette hypothèse virale. Je suis persuadé que nous devons nous concentrer que sur un seul objectif : balayer cette hypothèse, tout le reste n’a guère d’importance.

À vous de vous impliquer dans cette lutte en diffusant l’information autour de vous et de mettre à la poubelle tout ce qui provient des idiots utiles (à Big Pharma) tels que Perronne, Stuckelberger, Henrion-Caude… et bien d’autres


[Source : https://viroliegy.com/2022/09/26/the-ebola-virus-part-1/]

Par Mike Stone

Mon voyage pour découvrir les mensonges de la théorie du germe

Il y a quelques années, un de mes proches a été mal diagnostiqué et maltraité par notre système médical. Il a été victime de nombreux médicaments toxiques et de procédures médicales invasives inutiles qui lui ont malheureusement coûté la vie après des années de souffrance dans des conditions horribles.

En essayant de découvrir les meilleurs moyens de l’aider à traverser cette difficile crise sanitaire, je suis tombé sur les mensonges de la théorie des germes et sur l’état désastreux de notre système de « santé ». J’ai découvert la bataille entre Antoine Béchamp et le plagiaire Louis Pasteur. J’ai commencé à étudier les différences entre la théorie des germes et la théorie du terrain. J’ai pris conscience de l’influence des Rockefeller sur la création de notre establishment médical. Je me suis plongé dans les travaux de David Crowe, Stefan Lanka, Roberto Giraldo, du Groupe de Perth, de Liam Scheff, Celia Farber et bien d’autres.

En 2020, il est devenu évident que je ne pouvais plus rester sur la touche tout en accumulant ces informations pour moi-même. Le monde s’est passionné pour une « pandémie » fondée sur de nombreux faux prétextes et une désinformation/propagande délibérée. Nous nous sommes retrouvés dans une pandémie de tests entretenue par la PEUR. De trop nombreuses personnes ont agi sur la base d’informations inexactes provenant de sources grand public contrôlées par l’industrie pharmaceutique, sans jamais être conscientes du fait qu’il existe un côté beaucoup plus logique à ce débat. Un côté basé sur la connaissance et non sur la PEUR.

J’ai décidé qu’il était temps de partager cette information sur Facebook avec mes amis, ma famille et tous ceux qui avaient besoin de l’entendre. Malheureusement, cela est devenu de plus en plus difficile face à la censure actuelle. Ce paysage orwellien m’a conduit à la création de ce blog. J’ai l’intention de partager les articles que j’ai rédigés sur les méthodes fallacieuses utilisées en virologie, l’absence de preuves scientifiques valables concernant les « virus » et les anticorps, la supercherie de la génomique, les dangers des vaccins et de diverses interventions médicales, ainsi que de fournir des informations sur les meilleures façons de prendre soin de sa santé naturellement.

Je ne suis pas médecin, virologue, microbiologiste, scientifique, etc. Beaucoup s’en serviront contre moi. J’ai fait des études en sciences de la santé et de l’exercice. J’ai été entraîneur personnel, nutritionniste, et je suis actuellement coach en santé et bien-être. Ce que je partage ici est basé sur des années de recherche et de lecture d’études ou de sources originales. Je ferai toujours de mon mieux pour fournir les sources d’où proviennent les informations. C’est le meilleur conseil que j’ai reçu de Kary Mullis, l’inventeur du test PCR actuellement utilisé à tort dans le monde entier :

« Je pense que c’est de la simple logique. Cela ne nécessite pas que quelqu’un ait une connaissance spécialisée du domaine. Le fait est que s’il existait des preuves que le VIH cause le SIDA — si quelqu’un qui était en fait un spécialiste dans ce domaine pouvait écrire une analyse de la documentation, dans laquelle seraient citées un certain nombre d’études scientifiques qui, seules ou en groupe, pourraient soutenir l’hypothèse que le VIH est la cause probable du SIDA — quelqu’un l’aurait écrite. Il n’y a pas d’article, ni d’analyse de documentation mentionnant un certain nombre d’articles qui, pris ensemble, pourraient soutenir cette affirmation. »

Kary Mullis

J’espère que les informations que j’ai acquises au cours de mon voyage vous aideront dans le vôtre.

Le « virus » Ebola — 1re partie

Un commentaire a récemment été laissé sur l’un de mes articles et a attiré mon attention :

Si vous bande d’idiots (traduction libre !) êtes si sûrs que les virus n’existent pas, allez dans un pays d’Afrique et exposez-vous à Ebola. Faites-moi savoir comment ça se passe pour vous. J’attendrai. Mais encore une fois vous êtes tous trop idiots pour me prouver que j’ai tort.

Pour une raison quelconque, il y a des personnes qui semblent croire que pour prouver que les « virus » n’existent pas (sophisme de la non-existence), il faut soit s’injecter du sang « infecté » soit s’exposer à des individus « infectés ». Ces personnes estiment que la dissection des études qui ont été présentées comme des preuves de l’existence de ces entités pathogènes fictives n’est pas suffisamment convaincante. Dans ce cas précis, on m’a dit d’aller en Afrique et de m’exposer à un patient atteint d’Ebola. Cette personne a fièrement déclaré : « Prouve-moi que j’ai tort en te contaminant toi-même ». Bien sûr, si je tombais malade après m’être exposé à un patient atteint d’Ebola, cela ne prouverait en aucun cas qu’un « virus » en est la cause, car les toxines environnementales, le stress et la fatigue dus aux voyages, les changements dans les habitudes alimentaires et de sommeil, etc. pourraient tous être des facteurs potentiels conduisant à la maladie. Si je ne tombais pas malade, ces personnes se rabattraient sur des dispositifs de secours tels que les anticorps naturels ou les infections asymptomatiques comme explication probable de l’absence de maladie. Ce serait en fin de compte un exercice infructueux.

Malheureusement pour ceux qui font des demandes illogiques comme l’exemple ci-dessus, la charge de la preuve incombe à celui qui fait la déclaration positive. Si quelqu’un affirme qu’un « virus » existe, c’est à cette personne qu’il incombe de prouver l’existence de ce « virus » particulier. La meilleure façon de le faire serait de présenter les études fondamentales relatives à ce « virus ». Je trouve intéressant que ces personnes ne se tournent jamais vers la littérature scientifique pour tenter d’établir que l’existence de ces « virus », tels qu’Ebola, a été prouvée en premier lieu comme on le prétend. Cependant, je comprends leur frustration lorsqu’ils essaient de présenter les études originales comme preuve, car la preuve scientifique n’existe tout simplement pas dans aucun de ces documents.

Quoi qu’il en soit, Ebola est l’un de ce que je considère généralement comme les trois principaux « virus » avec lesquels les gens aiment défier ceux qui critiquent la virologie, les deux autres étant le VIH et la rage, dont j’ai parlé précédemment. Selon leurs exigences, pour réfuter la virologie, nous devons surmonter l’obstacle des « trois grands » en nous exposant physiquement à des patients malades. Malheureusement, même si j’adorerais faire un safari, tout laisser tomber et m’envoler pour l’Afrique afin de m’exposer à des « virus » imaginaires n’est pas vraiment une option réaliste pour moi en ce moment. Cependant, pourquoi engager des frais de voyage alors que je peux simplement démonter les preuves pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence dudit « virus » (que ces personnes ne veulent pas regarder et soumettre elles-mêmes) ?

Cet effondrement de la fraude Ebola sera présenté en deux parties. La première partie se concentre sur « l’isolement » du « virus » Ebola par trois groupes de chercheurs en 1976. J’ai fourni les trois documents soumis, un de chaque groupe, pour voir s’il existe des preuves scientifiques de l’existence d’un « virus » Ebola dans ces documents. Les chercheurs ont-ils respecté la méthode scientifique ? Ont-ils essayé de purifier et d’isoler correctement les particules supposées être le « virus » Ebola directement à partir des fluides d’un hôte malade ? Ces particules purifiées ont-elles été utilisées pour exposer un hôte sensible de manière naturelle ? Les images obtenues au microscope électronique ne montraient-elles que les particules supposées « virales » et rien d’autre ? Les chercheurs ont-ils effectué les expériences de contrôle appropriées ? C’est ce que nous allons découvrir.

La deuxième partie explore les incohérences du rapport de 23 pages publié par l’OMS en 1978, qui résume les recherches menées en 1976. Le récit comporte de nombreuses lacunes qui nécessitent un examen plus approfondi. Nous examinerons également d’autres causes potentielles des symptômes ressentis par les patients qui ont été bizarrement négligées par l’OMS.

C’est quoi le « virus » Ebola ?

Traduction du document du CDC :

Écologie et transmission du virus Ebola

La maladie du virus Ebola est une maladie zoonotique. Les zoonoses concernent les animaux et les humains.

1re colonne : Transmission d’animal à animal

Les preuves suggèrent que les chauves-souris sont les hôtes réservoirs pour le virus Ebola (satanée bestiole — la même qui nous a transmis le virus du Covid-19 !! – NdT). Les chauves-souris porteuses du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, les grands singes, les singes et les duikers (antilopes), tout comme elles peuvent le transmettre aux humains.

2colonne : Événement de débordement

Un « événement de débordement » se produit lorsqu’un animal (chauve-souris, singe, antilope) ou humain devient infecté par le virus Ebola par contact avec l’hôte réservoir. Ce contact pourrait se produire lors d’une chasse ou lors de la préparation de la viande de l’animal pour la manger.

3colonne : Transmission d’humain à humain

Une fois que le virus Ebola a infecté le premier humain, la transmission d’un humain à l’autre peut se produire par contact avec le sang et les fluides du corps des personnes malades ou par contact avec les corps de ceux qui sont décédés d’Ebola (p….. même les morts sont dangereux !!! – NdT)

4colonne : Survivants

Les survivants d’Ebola affrontent de nouveaux défis après la guérison. Certains survivants rapportent des effets tels que la fatigue et des douleurs musculaires et peuvent avoir à affronter la stigmatisation lorsqu’ils retournent dans leurs communautés.

Au milieu : Pratiques funéraires traditionnelles — Travailleurs de la Santé non protégés – Contacts non protégés avec le sang et les fluides corporels.

D’après le CDC, le « virus » Ebola a été découvert au Zaïre en 1976 (après une épidémie de fièvre hémorragique). De temps en temps le « virus » aime occasionnellement faire des apparitions en Afrique. L’on dit qu’il s’est d’abord transmis à l’homme par contact avec un animal infecté. Ensuite, le « virus » se transmet d’homme à homme par contact avec les fluides corporels d’une personne infectée :

« Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République Démocratique du Congo. Depuis lors, le virus infecte de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains. Les scientifiques ne savent pas d’où vient le virus Ebola. Sur la base de virus similaires, ils pensent que la maladie du virus Ebola est transmise par les animaux, les chauves-souris ou les primates non humains étant la source la plus probable. Les animaux infectés porteurs du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, comme les grands singes, les singes, les antilopes et les humains.

Le virus se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus des animaux. Le virus Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie du virus Ebola. Cela peut se produire lorsqu’une personne touche ces fluides corporels infectés ou des objets contaminés par eux. Le virus pénètre ensuite dans l’organisme par les lésions cutanées ou les muqueuses des yeux, du nez ou de la bouche. On peut contracter le virus par contact sexuel avec une personne malade ou guérie de l’EVD. Après la guérison de la maladie, le virus peut persister dans certains fluides corporels comme le sperme. » (NdT : EVD pour Ebola Virus Disease, Maladie due au Virus Ebola)

https://www.cdc.gov/vhf/ebola/about.html

Ministère de la Santé de la République d’Uganda — OMS — Unicef

(Ebola : Signes et symptômes
Fièvre – Vomissements – Sang lors de diarrhée ou dans l’urine – Maux de tête – Affaiblissement du corps – Maux de gorge – Douleur musculaire – Saignements des orifices corporels.)
OMS, l’image du gars qui vomit sur le sol est-elle vraiment nécessaire ?

Selon l’OMS, nous constatons que cette « maladie rare, mais grave, souvent mortelle » ne peut être transmise que par les personnes qui présentent des symptômes. Le « virus » Ebola est associé à une liste de symptômes non spécifiques, et est souvent confondu lors du diagnostic avec de nombreuses autres maladies et même avec une grossesse (!) :

Symptômes

La période d’incubation, qui est l’intervalle de temps entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours. Une personne infectée par Ebola ne peut pas transmettre la maladie avant qu’elle ne présente les symptômes.

Les symptômes de la maladie du virus Ebola peuvent être soudains et incluent :

  • Fièvre
  • Fatigue
  • Douleur musculaire
  • Maux de tête
  • Maux de gorge

Ceci est suivi de :

  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Éruptions cutanées
  • Symptômes d’altération des fonctions rénales et hépatiques
  • Dans certains cas saignements internes et externes (par exemple suintements des gencives ou sang dans les selles)
  • Les résultats des laboratoires comprennent un faible nombre de globules blancs et de plaquettes et des enzymes hépatiques élevées.

Diagnostic

Il peut s’avérer difficile de distinguer cliniquement la maladie du virus Ebola d’autres maladies infectieuses telles que la malaria, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et la maladie Ebola sont également assez similaires. En raison des risques pour la grossesse, les femmes enceintes devraient idéalement être testées rapidement en cas de suspicion d’Ebola.

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Le Dr Piot et les chasseurs du « virus » !

Indépendamment des symptômes non spécifiques et des similitudes de la maladie avec la grossesse, les chercheurs de 1976, constatant les mêmes signes et symptômes de fièvre hémorragique associés à de nombreuses affections, ont eu le sentiment, pour une raison quelconque, qu’ils avaient un nouveau « virus » sur les bras. Pour déterminer s’il s’agissait d’une nouvelle épidémie « virale » au Zaïre, des échantillons prélevés sur une infirmière malade ont été envoyés au Dr Peter Piot en Belgique, un homme qui venait de terminer ses études de médecine en 1976 et qui suivait une formation de microbiologiste clinique. Il est considéré comme l’un des chercheurs qui ont finalement découvert le nouveau « virus », quand bien même si le « virus » qu’il a « trouvé » ressemblait exactement au « virus » de Marburg, un autre « virus » découvert en 1967 qui présente une série de symptômes similaires :

Le scientifique qui a découvert Ebola

« Alors qu’il travaillait dans un laboratoire de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers, en Belgique, Piot a reçu un thermos en plastique bon marché contenant deux flacons de sang et de la glace fondue. À l’intérieur se trouvait également une note manuscrite d’un médecin belge basé au Zaïre (aujourd’hui la République Démocratique du Congo). La note expliquait que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre. Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre avaient été gravement atteintes d’une maladie mystérieuse. Le thermos avait été transporté sur un vol commercial en provenance de la capitale du Zaïre dans l’un des bagages accompagnés du passager ! En ouvrant le thermos, Piot et ses collègues ont été accueillis par un mélange gluant de glace fondue et de sang. Des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé en route.

Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune. L’Institut de Médecine Tropicale était qualifié pour traiter la fièvre jaune. Ils étaient loin de se douter que ce qui devait être appelé virus Ebola se cachait dans le thermos. À cette époque, les protocoles de biosécurité n’étaient pas aussi stricts qu’ils le sont aujourd’hui. Ne portant que de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang dans la fiole intacte et ont procédé à des tests standard. L’échantillon de sang a été soumis à des tests de dépistage de microbes connus, celui de la fièvre jaune et de plusieurs virus de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et dengue. Aucun des microbes ou virus potentiels n’a été trouvé dans le sang. Piot a également injecté à des souris des échantillons du sang de la nonne. Au bout d’une semaine, toutes les souris étaient mortes.

Lorsque les scientifiques ont examiné le sang au microscope, ils ont été surpris par ce qu’ils ont vu. « Nous avons vu une structure vermineuse gigantesque, gigantesque par rapport aux normes virales », explique Piot. Le seul autre virus connu qui avait une taille et une forme similaires était le virus de Marburg. Ce virus est apparu pour la première fois en 1967, lorsque 31 employés de laboratoire ont été atteints de fièvre hémorragique après avoir été en contact avec des singes infectés. En 1976, seules trois installations en dehors de l’Union soviétique étaient qualifiées pour traiter les virus mortels en toute sécurité : Porton Down près de Londres, Fort Detrick dans le Maryland et ce qui est aujourd’hui le CDC à Atlanta. L’Organisation Mondiale de la Santé a ordonné aux scientifiques belges d’envoyer leurs échantillons de sang au laboratoire du CDC, qui était à l’époque le centre de référence mondial pour les virus hémorragiques. Après avoir analysé le virus, le CDC a confirmé que l’échantillon contenait un tout nouveau virus hémorragique. Le Dr Piot dit avoir éprouvé un sentiment « d’excitation incroyable » avec la découverte d’Ebola.

Rétrospectivement, le Dr Piot dit qu’il a eu « de la chance de ne pas être infecté, non seulement dans le laboratoire, mais plus tard, lorsque je prélevais du sang sur les patients et que je les touchais. » Après son travail sur Ebola, le Dr Piot a mené des recherches sur l’épidémie de SIDA en Afrique, puis est devenu le directeur exécutif fondateur d’ONUSIDA, le programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA. Le Dr Piot est actuellement directeur de l’Ecole d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres.

https://www.nature.com/scitable/blog/viruses101/the_scientist_who_discovered_ebola/

Le Dr Piot surpris dans l’art de dormir tout en étant debout.

Il est intéressant de noter que si le Dr Piot a été largement crédité de la découverte du « virus » Ebola, cette affirmation a fait l’objet d’une certaine controverse, car de nombreuses autres personnes auraient été impliquées dans le processus de découverte. Même si le Dr Piot et ses collaborateurs ont affirmé avoir « isolé » le « virus » identique à celui de Marburg dans tous les sens du terme, ils ne savaient pas s’il s’agissait en fait d’un nouveau « virus ». Après l’insistance de l’OMS, des chercheurs du CDC ont reçu des échantillons pour vérifier si l’équipe de Piot avait trouvé quelque chose de nouveau :

L’histoire attribue à cet homme le mérite d’avoir découvert Ebola par lui-même. L’histoire a tort

Mais Pattyn et ses collègues ne savaient pas ce qu’ils regardaient. Ils ont vu un virus en forme de lasso qui ressemblait au virus de Marburg — la cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.

Comme le laboratoire d’Anvers n’était pas équipé pour travailler sur des virus mortels comme celui de Marburg, l’Organisation mondiale de la santé a demandé à Pattyn d’envoyer les échantillons aux laboratoires militaires britanniques de Porton Down. Les scientifiques ont commencé à l’étudier, mais ont également envoyé un échantillon au CDC.

L’équipe d’Atlanta a pu démontrer que l’épidémie de Yambuku était causée par un virus inconnu jusqu’alors, et non par Marburg. Webb a effectué les tests critiques.

« Il est certain que ceux qui devraient avoir le mérite de la découverte savaient en fait qu’ils avaient découvert quelque chose de nouveau », se souvient le Dr Joel Breman, épidémiologiste du CDC en 1976, qui avait dirigé l’enquête de terrain sur l’épidémie à Yambuku. « Savoir ce que c’est, différent de tout le reste — c’est ça la découverte d’un nouvel organisme ».

« Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte d’Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet. Il y avait 15 auteurs en tout. »

« Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

Il a toutefois noté que lui et d’autres membres du laboratoire de Pattyn estimaient avoir le droit de se décrire comme codécouvreurs, en raison du travail qu’ils ont accompli pour isoler le virus à partir de l’échantillon de sang original. »

Qui mérite d’être crédité de la découverte du « virus » Ebola ?
Personne. 

Trois équipes distinctes composées de 15 chercheurs auraient été impliquées dans le processus de découverte du « virus » Ebola. Il y avait le groupe du Dr Piot à Anvers, le groupe militaire britannique à Porton Down et le groupe du CDC à Atlanta. Il a été décidé que le groupe du Dr Piot pouvait prétendre avoir « isolé » le « virus » semblable à celui de Marbourg, tandis que le CDC a eu le dernier mot pour déterminer que « l’isolat » était un nouveau « virus » et non le même vieux Marbourg de 1967. Malgré le drame lié à l’attribution correcte du mérite de la découverte d’Ebola aux bonnes personnes, lorsqu’on examine les trois études soumises au Lancet en 1977 par tous les chercheurs impliqués, on se rend compte que la question ne devrait pas du tout être de savoir qui a le mérite de la découverte d’un nouveau « virus ». Il apparaît clairement à la lecture de ces études qu’aucun de ces chercheurs ne mérite cette reconnaissance, car nulle part dans les articles, les particules supposées être le « virus » Ebola ne sont pas correctement purifiées et isolées directement à partir des fluides d’un hôte malade, et ensuite prouvées être pathogènes de manière naturelle.

Par exemple, dans l’étude du Dr Piot, ce que nous constatons c’est que le sang qu’il a reçu de l’infirmière malade ne contient jamais de « virus ». À aucun moment, l’article ne décrit un quelconque processus de purification (c’est-à-dire centrifugation, filtration, précipitation, etc.), et il n’y a donc aucune preuve de la présence de présumées particules « virales » directement dans les fluides de l’infirmière. Tout ce qui est décrit est le processus habituel de culture cellulaire utilisant des cellules Vero de singes verts africains, du milieu 199 et 7,5 % de sérum de veau. C’est exactement le contraire de la purification et de l’isolement, car de nombreux matériaux étrangers et contaminants ne sont pas séparés, mais au lieu de cela sont ajoutés ensemble dans une boîte de Petri. L’effet cytopathogène (ECP) observé dans les cultures cellulaires a d’abord été considéré comme non spécifique jusqu’à ce que les chercheurs changent le milieu au cinquième jour pour un milieu plus susceptible de produire un ECP et incubent la culture pendant une semaine supplémentaire, créant ainsi l’effet qu’ils voulaient voir. Les études de pathogénicité ont consisté à injecter du sang dans le cerveau et l’estomac de souris nouvellement nées et à affirmer que tout décès était dû au « virus » plutôt qu’à la méthode non naturelle d’injection du sang dans les animaux. Les résultats des anticorps indirects n’étaient pas spécifiques non plus et ont en fait déclenché la fièvre jaune, c’est ce le Dr Piot a déclaré être sa suspicion initiale. Les particules observées en microscopie électronique n’étaient pas de nouvelles entités distinctes et étaient en fait identiques à celles associées au « virus » de Marburg. Aucun contrôle n’a été effectué à l’aide de matériel provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires de la maladie. En conclusion, le Dr Piot et ses collaborateurs ont déclaré qu’il était possible que tout ce qu’ils avaient fait c’était d’avoir « isolé » le « virus » de Marbourg, mais il a émis l’hypothèse qu’il s’agissait peut-être d’un parent distinct d’un point de vue sérologique ou peut-être d’un nouveau « virus » appartenant au même groupe de « virus » que la rage. En d’autres termes, ils ont utilisé les mêmes méthodes indirectes et obtenu des résultats non spécifiques, ce qui a en quelque sorte alerté l’OMS qu’un nouveau « virus » était en cause :

Isolation d’un virus de type Marburg à partir d’un cas de fièvre hémorragique

Une femme de 42 ans (la patiente M. E.) est tombée malade le 23 septembre 1976 à Yambuku, dans la province de l’Équateur, au Zaïre. Elle a été transportée par avion le 25 septembre à Kinshasa, où un syndrome hémorragique s’est progressivement développé. Du sang coagulé prélevé le 5e jour de la maladie a été envoyé sur glace à l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. L’échantillon est arrivé dans la soirée du 29 septembre et a été conservé au réfrigérateur.

Le lendemain matin, le sérum a été inoculé à 6 souris jeunes adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans du milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).

Le sérum a été testé par fixation du complément pour les anticorps du virus de Lassa (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour les anticorps du virus de la fièvre jaune (les anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).

Résultats des inoculations

Chez les souris

Un animal a été trouvé mort au 4jour et un second au 5e. Au 5jour les cerveaux ont été prélevés sur ces animaux et sur les survivants.

Chez les souris nouveau-nées

Au 5jour d’observation, un animal a été retrouvé mort et partiellement mangé dans chaque portée. Dans une portée, plusieurs souris avaient disparu les jours 6 et 7, ne laissant qu’un seul animal. En revanche, dans la deuxième portée, dont les animaux avaient été très sains pendant toute la période d’observation, il ne restait que trois jeunes souris : une morte, une paralysée et une très malade. Les cerveaux de ces animaux ont été prélevés et envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down pour une étude plus approfondie.

Cellules Véro

Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre. Bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique. Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par le milieu tamponné au succinate/acide succinique (tel que décrit par Plaisner et al.1) sans sérum. Selon notre expérience, ce milieu permet l’observation des cellules Vero pendant plusieurs semaines, alors que de nombreux arbovirus produisent un effet cytopathique dans ces conditions. Au 11e jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre. L’effet cytopathique était presque complet au 12e jour. (NdT : effet cytopathique ce sont les altérations métaboliques, biochimiques et morphologiques attribuées à un « virus » qui « infecterait » une cellule hôte)

Résultats de la microscopie électronique

Fig. 1 : Particules virales extracellulaires droites et croisées (agrandies x 112 000)

Le liquide surnageant de trois tubes a été décanté et ceux-ci ont été remplis de glutaraldéhyde à 3 % pendant 30 min. Les cellules ont ensuite été raclées dans une petite quantité de glutaraldéhyde, rincées avec du saccharose tamponné au cacodylate (7,5 %), postfixées dans du tétroxyde d’osmium tamponné au phosphate à 1 % et préparées par la méthode de coagulation à l’albumine. Une coloration de blocage a été effectuée avec de l’acétate d’uranyle à 0,5 %, suivie d’une déshydratation et d’une inclusion dans le milieu à faible viscosité de Spurr. L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et croisées morphologiquement similaires au virus de Marburg (fig. 1). Des nucléocapsides intracellulaires ont également été observées, certaines d’entre elles semblant provenir de vésicules (fig. 2 et 3).

Figure 2 : particules virales provenant des membranes intracellulaires. (Agrandies de x 112 000)
Figure 3 : Particules virales intracellulaires en coupe transversale. (Agrandies de x 112 000)

Au même moment, des sections du foie du patient chez qui ce virus avait été isolé et qui était décédé le 1er octobre sont devenues disponibles. Bien que l’ultrastructure de ce tissu soit très mal conservée, des particules virales similaires ont été observées.

Conclusion

Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le virus de Marburg, soit un virus différent de celui-ci d’un point de vue sérologique, mais appartenant au même groupe de virus, soit le rhabdovirus ou le torovirus.

C’est lui Anthony Fauci ?

L’OMS souhaitant que les résultats soient examinés séparément par des laboratoires mieux équipés pour traiter le « virus » le plus dangereux supposé avoir été identifié à Anvers, il a été fait appel aux militaires britanniques de Porton Down pour confirmer les résultats. Dans le document de Porton Down, nous constatons une fois de plus l’absence de toute mention de la purification et d’isolement des particules supposées être un « virus ». On retrouve les mêmes expériences de culture cellulaire utilisant des cellules Vero que celles de l’équipe de Piot, allant même jusqu’à utiliser du matériel envoyé par Anvers. Porton Down s’est procuré à Anvers le sang de patients en phase aiguë, le matériel de culture cellulaire et les cerveaux de souris inoculées pour ses propres expériences de science folle. Aucun des ingrédients utilisés pour le processus de culture n’a été détaillé et même s’il est fait mention de contrôles, ceux-ci restent indéfinis. Au cours de leurs expériences de culture cellulaire, les chercheurs ont noté de légers effets cytopathogènes qu’ils ont attribués aux matériaux toxiques utilisés pour l’inoculation. Finalement, trois des cultures ont pris une couleur plus acide et ont provoqué des maladies lorsqu’elles ont été injectées dans l’estomac de jeunes cobayes, signalant ainsi aux chercheurs la présence d’un « virus ». Les autres études de pathogénicité réalisées comprenaient l’injection des cerveaux des souris tuées à Anvers dans le cerveau et l’estomac de souris nouveau-nées à Porton Down et la revendication d’un succès lorsque les souris finissaient par mourir.

Bien que les chercheurs aient supposé qu’ils étaient en présence d’un nouveau « virus », les structures observées par microscopie électronique des foies de cochons d’Inde étaient identiques à celles observées chez les cochons d’Inde et les singes inoculés lors des expériences sur le « virus » de Marburg en 1967 et 1975. Le surnageant de la culture cellulaire contenait des structures sinueuses allongées qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de bébé hamster après infection par le « virus » de Marburg. En fait, les chercheurs ont admis que la maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblaient à celles des cobayes inoculés avec les premiers niveaux de passage du « virus » de Marburg. À toutes fins utiles, les chercheurs auraient dû conclure qu’ils avaient « isolé » le « virus » de Marburg. Bien que cette conclusion aurait été tout aussi frauduleuse, elle aurait au moins correspondu à ce que les preuves pseudo-scientifiques indirectes indiquaient :

Fièvre hémorragique virale dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre

Entre juillet et septembre 1976, des cas sporadiques de fièvre avec manifestations hémorragiques ont été signalés dans les régions de Nzara, Maridi et Lirangu dans le sud du Soudan. On pense que les premiers cas se sont produits dans des établissements agricoles. Un foyer d’une maladie similaire a également été signalé dans la zone de Bumba, dans le nord du Zaïre. Alors que l’épidémie s’intensifiait, le pourcentage inquiétant de cas signalés parmi le personnel hospitalier a suggéré une propagation directe de l’infection de personne à personne. La maladie commençait par une fièvre aiguë, des malaises, des maux de gorge, des douleurs musculaires, des vomissements et des diarrhées. Les personnes gravement touchées ont présenté des épistaxis, des hémorragies sous-conjonctivales, des hémoptysies, des hématémèses et le méléna. Certains patients ont également présenté des éruptions cutanées, des tremblements et des convulsions.

Provenance des spécimens

Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton, par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris qui allaitaient et qui avaient déjà été inoculés avec le sérum. Nous avons reçu plus tard un spécimen de foie du même patient et également 5 spécimens de sang en phase aiguë du Zaïre par l’intermédiaire du professeur Pattyn. Les spécimens provenant du sud du Soudan ont été principalement collectés à l’hôpital de Maridi et nous ont été envoyés directement par le Dr Babiker el Tahir, le Dr D. H. Smith, le Dr K. Jones et le Dr M. Cornet, qui étaient sur place pour enquêter. Ils consistaient en 3 prélèvements de gorge, 3 échantillons d’urine, 6 échantillons de sang en phase aiguë et des échantillons de sérum de personnes en convalescence. Ces spécimens ont été envoyés sur de la glace sèche ou dans de l’azote liquide. Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolement d’un virus qui était morphologiquement similaire au virus de Marburg.

Les résultats des tentatives d’isolement du virus

L’isolement du virus à partir du matériel humain original a été tenté dans : (1) des préparations de culture de cellules Vero ; (2) des souris allaitantes inoculées par voie intraparentérale (i.p.) et intracérébrale (i.c.) ; et (3) de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

L’isolement chez les cobayes

Jusqu’à présent, 5 isolations de l’agent étiologique ont été obtenues chez le cochon d’Inde : 4 provenant de spécimens du nord du Zaïre et 1 d’un spécimen du sud du Soudan. Les cobayes inoculés par ces spécimens sont devenus fébriles à 40,5 °C après une période d’incubation de 4 à 7 jours. La maladie fébrile a duré 4 à 5 jours pendant lesquels les cochons d’Inde ne se développaient pas et avaient l’air malade. Un des 12 cochons d’Inde inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation. Les 11 autres cochons d’Inde se sont lentement rétablis et ont ensuite présenté des anticorps détectables par des tests d’anticorps fluorescents à des titres allant de 1/64 à 1/128. Lorsque du sang hépariné entier provenant de cochons d’Inde fébriles a été inoculé par voie i.p. à d’autres cochons d’Inde, cela a entraîné une maladie fébrile similaire chez ces derniers.

Résultats histopathologiques

Foie — Il y avait de nombreux foyers de nécrose qui n’avaient pas de distribution lobulaire cohérente et consistaient en des groupes de cellules hépatiques subissant une dégénérescence hyaline et une nécrose. Dans certaines des cellules en dégénérescence, de petits corps éosinophiles pléomorphes étaient présents dans le cytoplasme qui étaient positifs à l’acide périodique/Schiff et se coloraient en rouge vif avec la technique de Machiavello, mais ne se coloraient pas en métachromie avec le Giemsa. Les cellules de Kupffer étaient hypertrophiées, certains sinusoïdes contenaient des lymphocytes et les zones périportales étaient fortement infiltrées par des cellules lymphoréticulaires.

La rate et les ganglions lymphatiques – Il y avait un appauvrissement généralisé du tissu lymphoïde des follicules, qui contenait de petites zones de nécrose. De nombreux macrophages se sont accumulés dans les sinus.

Poumons — Les changements dans les poumons étaient légers : épaississement localisé et infiltration des septa inter alvéolaires par des cellules lymphoréticulaires.

Autres organes : aucune lésion n’a été détectée dans le cerveau, les reins ou les glandes surrénales.

Microscopie électronique du foie

Figure 1 : Foie de cobaye infecté, canalicules biliaires (réduit de x 40 000) : particules virales bourgeonnant hors de la membrane cellulaire.

De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 %. Des coupes ultrafines ont été colorées à l’acétate d’uranyle et au citrate de plomb et examinées au microscope électronique. La figure 1 montre des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le virus de Marburg.

Isolation chez les souris

Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec du sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers ont été réinoculés dans quatre portées de souris nouveau-nées. Les souris ont commencé à mourir le 5jour et étaient toutes mortes au 9jour. Ce matériel de passage chez les souris n’a pas encore été étudié plus profondément. Nous proposons d’inoculer ce matériel à des cochons d’Inde pour voir si l’infection caractéristique se développe avant que nous ne tentions d’autres études chez la souris.

Études sur les cultures cellulaires

L’isolement à partir des échantillons originaux de sérum et de sang a également été tenté dans des préparations de cellules Vero en culture. Un effet cytopathique partiel a été observé sous examen microscopique à faible puissance. Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète de la membrane cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés. On a toutefois observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures. Au 6e ou 7e jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins. Lorsque de jeunes cobayes ont été inoculés avec ces trois cultures cellulaires, une maladie fébrile s’est développée après 4 à 6 jours.

Figure 2 : fluides de culture de tissus infectés à partir de cellules Vero (agrandis de x 110 000) : aspect interne des particules virales avec une structure en forme d’épaulement.

Figure 3 : Liquide de culture tissulaire infectée de cellules Vero (agrandi x 139 000) particules virales ramifiées.

L’examen au microscope électronique du liquide de culture cellulaire a révélé des structures sinueuses allongées (figures 2 et 3) qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de baby-hamster après infection par le virus de Marburg ».

Conclusion

La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et de matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le virus de Marburg. La maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblent à celles des cobayes inoculés avec des niveaux de passage précoce du virus de Marburg. Les lésions d’un échantillon de foie prélevé lors de l’autopsie d’un des patients du Zaïre étaient très similaires à celles produites dans le foie de cochons d’Inde infectés expérimentalement. Jusqu’à présent, nous ne disposons d’aucun élément positif permettant de penser que les virus isolés dans le nord du Zaïre et le sud du Soudan sont sérologiquement apparentés à la souche du virus de Marburg isolée en 1967. 18 sérums de convalescents collectés au Soudan présentaient des titres d’anticorps fluorescents allant de 1/4 à 1/128 contre l’un des isolats du virus du Zaïre. Bien que cette preuve soit faible, elle suggère que les deux épidémies ont été causées par des virus apparentés, sinon identiques. Des études sont en cours pour déterminer la relation entre les nouveaux isolats du Zaïre et du Soudan et la souche de Marburg isolée en 1967.

Une recherche active du « virus »

L’insistance de l’OMS pour un réexamen des preuves a finalement conduit l’équipe du CDC d’Atlanta à s’impliquer afin d’avoir le dernier mot sur la question de savoir si les « isolats » d’Anvers étaient constitués d’un nouveau « virus » ou non. Dans le document du CDC, il est indiqué que Porton Down a envoyé un aliquot (NdT : petit échantillon) de sang au CDC. Comme dans les études précédentes, ce spécimen a également été inoculé sur des cellules Vero. Une fois de plus, aucune procédure de purification n’a été détaillée et la composition exacte des matériaux utilisés pour la culture des cellules n’a jamais été fournie. Après avoir observé un ECP (NdT : rappel — effet cytopathique) « distinct », le liquide surnageant non purifié a été utilisé pour l’imagerie EM (NdT : Electron Microscopy ou microscopie électronique). Les chercheurs ont déclaré avoir observé un grand nombre de particules filamenteuses, d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm. Il s’agit d’une différence assez importante dans la gamme de tailles des particules, ce qui montre qu’elles ne sont pas homologues et qu’il pourrait s’agir de nombreux « virus » et/ou microbes différents. Les chercheurs ont également noté que, dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas de celles observées lors des précédentes épidémies de « virus » de Marbourg. Même l’examen des tissus hépatiques a révélé les mêmes structures que celles observées dans les foies des humains et des cobayes lors des épidémies de Marbourg de 1967 et 1975. Les seules preuves d’une différence proposée entre ce qui a finalement été déclaré Ebola et le « virus » de Marbourg étaient les résultats des tests d’immunofluorescence indirecte des anticorps qui, comme son nom l’indique, est une forme de preuve INDIRECTE utilisant des réactions chimiques non spécifiques. En fait, les chercheurs admettent qu’il y avait une faible réaction entre les échantillons de Marburg et du Zaïre. Cependant, sur la base des faibles preuves sérologiques (qui contredisaient les résultats antérieurs concernant le « virus » de Marbourg) et malgré les nombreux aveux d’identification des mêmes particules que celles associées au « virus » de Marbourg, le CDC a eu le dernier mot en déclarant que le « virus » Ebola était en fait un nouveau « virus ». Ils l’ont déclaré en dépit du fait qu’il est clair que pas un seul des trois groupes de chercheurs n’a vraiment purifié et isolé un « virus » Ebola pour commencer :

Isolation et caractérisation d’un nouveau virus responsable de la fièvre hémorragique aiguë au Zaïre

Une épidémie de fièvre hémorragique avec un taux de mortalité exceptionnellement élevé s’est produite dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre avec un pic de cas en septembre 1976. Une commission internationale de l’OMS a opéré au Soudan et au Zaïre à partir d’octobre. Des échantillons de sang et de tissus provenant de personnes atteintes de la maladie hémorragique ont été envoyés à des laboratoires en Belgique et en Angleterre, et les résultats de ces laboratoires figurent dans les rapports ci-joints. Pendant que ces spécimens étaient étudiés, Monsieur E. T. W. Bowen (du Microbiological Research Establishment de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un spécimen de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.

Ce spécimen et tous les spécimens aigus ultérieurs ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain). Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondi focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevé pour une microscopie électronique à contraste négatif.

La microscopie électronique des cultures cellulaires

Des grilles recouvertes de carbone ont été successivement mises à flotter sur des gouttelettes de liquide de culture cellulaire, puis sur du silicotungstate de sodium à 2 % de pH 7. De grandes quantités de particules virales filamenteuses ont été observées (fig. 1). Leur diamètre était d’environ 100 nm et leur longueur variait de 300 nm à plus de 1500 nm. Un grand nombre d’entre elles présentaient des boursouflures terminales. Les particules avaient des projections régulières à la surface d’environ 10 nm de long et, après coloration, elles présentaient des stries transversales internes indiquant une structure centrale hélicoïdale (fig. 2). Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du virus de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud). Deux caractéristiques étaient plus marquées dans l’isolat du Zaïre de 1976 : les particules filamenteuses étaient plus ramifiées (fig. 1) et la continuation de l’enveloppe au-delà des extrémités de la structure interne plus rigide était plus évidente (fig. 1, flèche).

Des cellules Vero infectées par le même isolat du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique à coupe fine. On a trouvé des particules virales filamenteuses bourgeonnant de la membrane plasmique des cellules (fig. 3), et de nombreuses cellules contenaient des corps d’inclusion. Ces inclusions intracytoplasmiques étaient complexes et distinctes, et consistaient en une substance finement fibrillaire ou granulaire qui se condensait en structures tubulaires. Ces dernières ont été considérées comme la structure hélicoïdale interne des particules virales matures. Ces tubules ont été sectionnés au hasard, certains en coupe transversale, d’autres linéairement. Les particules virales dans ces sections étaient identiques à celles observées dans les isolats de 1967 et 1975.

SPÉCIMENS DE FOIE POST-MORTEM

Des signes d’infection ont été observés par microscopie optique dans trois échantillons de foie humain post-mortem provenant du Zaïre (reçus dans du formol). L’infection de deux d’entre eux a été confirmée par microscopie électronique. Une nécrose hépatocellulaire éosinophile focale avec une infiltration inflammatoire modeste était proéminente. De grandes inclusions cosinophiles étaient présentes dans de nombreux hépatocytes intacts, en particulier près des sites de nécrose sévère (fig. 4). Ces inclusions plutôt lisses et réfractives étaient si caractéristiques qu’elles ont une signification diagnostique. Les spécimens de nécropsie fixés au formol et inclus dans du plastique ont été examinés au microscope électronique. Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé, on a trouvé un grand nombre de particules virales filamenteuses et de corps d’inclusion (masses de tubules) (fig. 5) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le virus de Marburg étudiés en 1967 et 1975.

Comparaison antigénique avec Marburg

Une différence antigénique entre cet isolat et Marburg 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.). Une suspension de cellules Vero infectées a été placée en gouttes sur des lames, séchée à l’air, puis fixée à l’acétone pendant 10 minutes à température ambiante. Les lames ont été conservées à -70 °C jusqu’à ce qu’elles soient testées. Des lames d’antigène Marburg 67, préparées de la même manière, ont été utilisées pour la comparaison. Les titres réciproques obtenus avec des sérums humains convalescents prélevés au cours des épidémies de 1967, 1975 et 1976 sont indiqués dans le tableau I. À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescent zaïrois, le nouvel isolat était distinct du virus de Marburg. Les titres homologues de Marburg de 128 et 64 obtenus avec les antigènes et antisérums de 67 et 75 étaient comparables à ceux rapportés par Wulff et Conrad.

Un sérum immunisé contre le nouvel agent a été préparé en une seule injection chez le cochon d’Inde, et des tests d’immunofluorescence réciproques ont été effectués avec des réactifs similaires disponibles pour le virus de Marburg. Les titres réciproques (tableau 2) ont confirmé par la suite la distinction entre les deux virus. Bien qu’un des deux sérums de convalescence précoce provenant du Soudan ait donné une réaction positive à l’antigène du Zaïre (tableau I), des travaux supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si les agents de la maladie hémorragique provenant des deux pays sont identiques.

Le Virus Ebola

Avec l’accord du Prof. S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale et de E. T. W. Bowen de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down, le nom de virus Ebola est proposé pour ce nouvel agent. Ebola est une petite rivière du Zaïre qui coule vers l’ouest, au nord de Yambuku, le village d’origine du patient dont le premier isolat a été obtenu. Par respect pour les pays concernés et en raison du manque de connaissances spécifiques sur la source naturelle originale du virus, il est également suggéré de ne pas utiliser de noms de pays ou de villes spécifiques.

Ils cherchent beaucoup ou peu ?

En résumé

  • Le « virus » Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République démocratique du Congo.
  • Depuis lors, le « virus » infecterait de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains.
  • Le « virus » se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus d’animaux.
  • Le « virus » Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie.
  • Cependant, une personne infectée par le virus Ebola ne peut pas propager la maladie tant qu’elle n’a pas développé de symptômes.
  • Il peut être difficile de distinguer cliniquement la maladie d’Ebola d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite.
  • De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires.
  • Les symptômes habituels sont les suivants :
  • Fièvre

    • – Fatigue
    • – Douleurs musculaires
    • – Maux de tête
    • – Maux de gorge
    • – Vomissements
    • – Diarrhée
    • – Éruption cutanée
    • – Symptômes d’altération des fonctions rénale et hépatique. Dans certains cas, saignement interne et externe (par exemple, suintement des gencives ou sang dans les selles).
    • – Les résultats de laboratoire comprennent une faible numération des globules blancs et des plaquettes et une élévation des enzymes hépatiques.

  • En 1976, le Dr Peter Piot a reçu une bouteille thermos contenant des flacons de sang avec une note expliquant que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre.
  • Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre étaient gravement atteintes d’une maladie mystérieuse.
  • Piot et ses collègues ont trouvé un mélange gluant de glace fondue et de sang, car des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé lors du voyage.
  • Le Dr Peter Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune.
  • Portant uniquement de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang de la fiole intacte et ont effectué des tests standards sur celui-ci.
  • L’échantillon de sang a été analysé pour détecter des microbes connus, la fièvre jaune et plusieurs « virus » de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et la dengue.
  • Aucun des microbes ou « virus » potentiels n’a été trouvé dans le sang.
  • Au microscope électronique, le Dr Piot a déclaré : « Nous avons vu un ver gigantesque comme structure — gigantesque par rapport aux normes virales. »
  • Le seul autre « virus » connu qui avait une taille et une forme similaires était le « virus » de Marburg.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues ont trouvé exactement les mêmes particules que celles que l’on prétend être du Marburg, mais ont déclaré qu’ils n’avaient pas trouvé de Marburg dans les échantillons de sang…
  • Rétrospectivement, le Dr Piot a déclaré qu’il avait eu de la chance de ne pas être infecté, non seulement au laboratoire, mais aussi plus tard, lorsqu’il prélevait du sang sur des patients et les touchait…
  • Piot et ses collègues ont vu un « virus » en forme de lasso qui ressemblait au « virus » de Marburg — à cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.
  • Les scientifiques de Porton Down ont commencé à étudier l’échantillon, mais ont également envoyé un échantillon au CDC après avoir été sollicités par l’OMS.
  • L’équipe du CDC d’Atlanta aurait démontré que l’épidémie de Yambuku était causée par un « virus » inconnu jusqu’alors, et non par le Marburg.
  • Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte du virus Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet.
  • Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

  • Le sérum de l’infirmière malade a été inoculé à 6 jeunes souris adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et intrapéritonéale (NdT : injection par le péritoine) et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans un milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).
  • Le sérum a été testé par fixation du complément pour la recherche d’anticorps contre le « virus de Lassa » (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour la recherche d’anticorps contre le « virus » de la fièvre jaune (des anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).
  • Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre et, bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique.
  • Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par un milieu tamponné au succinate/acide succinique (comme décrit par Plaisner et al.1) sans sérum.
  • Au 11jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre et l’effet cytopathique était presque complet au 12jour.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues n’obtenaient pas l’ECP qu’ils voulaient voir, alors le milieu a été changé pour un milieu connu pour produire l’ECP avec des « arbovirus » et au 12e jour, ils ont obtenu l’effet qu’ils voulaient voir.
  • L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et transversales morphologiquement similaires au « virus » de Marburg.
  • Bien que l’ultrastructure du tissu hépatique s’était très mal conservée, des particules de « virus » similaires ont été observées.
  • Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le « virus » de Marburg, soit un « virus » sérologiquement différent de celui-ci, mais appartenant au même groupe de « virus », soit le « rhabdovirus », soit le « torovirus ».

  • Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris de lait qui avaient déjà été inoculés avec le sérum.
  • Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolation d’un « virus » qui était morphologiquement similaire à celui de Marburg.
  • « L’isolation du virus » à partir du matériel humain original a été tentée dans :

    • des préparations de culture de cellules Vero
    • des souris de lait inoculées par voie intrapéritonéale (i.p.) et intracérébrale (i.c.)
    • de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

  • Chez les cobayes inoculés, une maladie fébrile a duré 4-5 jours pendant lesquels les cobayes ne se développaient pas et avaient l’air malades.
  • 1 des 12 cobayes inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation, tandis que les 11 autres cobayes ont lentement récupéré.
  • De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 % et des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le « virus » de Marburg ont été observées.
  • Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec un sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers, ont été réinoculés dans quatre portées de souris de lait.
  • Les souris ont commencé à mourir au 5jour et étaient toutes mortes au 9e jour, mais ce matériel de passage de souris n’avait pas encore été davantage étudié.
  • Dans des expériences de culture cellulaire impliquant des cellules Vero, un effet cytopathique partiel a été observé sous un examen microscopique à faible puissance.
  • Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète du feuillet cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés.
  • On a cependant observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures et, au 6e ou 7jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins (qui n’ont pas été définies).
  • La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et du matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le « virus » de Marburg.
  • Les chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que les « virus isolés » du nord du Zaïre et du sud du Soudan étaient sérologiquement liés à la souche du « virus » de Marburg isolée en 1967.
  • En d’autres termes, ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que le « virus », qui était identique à Marburg à tous les autres égards, n’était pas non plus exactement le même « virus », car ils ont simplement supposé que leurs nouveaux « isolats » étaient différents.
  • Les chercheurs ont admis que, même si leurs preuves étaient minces, elles suggéraient que les deux épidémies étaient causées par des « virus » apparentés, ou même identiques.

  • E. T. W. Bowen (de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un échantillon de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.
  • Ce spécimen et tous les spécimens aigus suivants ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain).
  • Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondissement focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevée pour une microscopie électronique à contraste négatif.
  • Au microscope électronique, on a observé un grand nombre de particules « virales » filamenteuses d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm.
  • Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du « virus » de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud).
  • Les cellules Vero infectées par le même « isolat » du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique en coupe fine et les particules de « virus » dans ces coupes étaient identiques à celles observées dans les « isolats » de 1967 et 1975.
  • Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé lors de l’examen, on a trouvé un grand nombre de particules de « virus » filamenteux et de corps d’inclusion (masses de tubules) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le « virus » de Marburg étudiés en 1967 et 1975.
  • Une différence antigénique entre cet isolat et le Marburg « 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.).
  • À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescence du Zaïre, le nouvel isolat était distinct du « virus » de Marburg.

Lorsque l’on cherche soit à prouver soit à réfuter une affirmation positive, telle que l’existence d’un « virus » Ebola, comme c’était le cas dans ce cas particulier, il faut toujours se tourner vers les documents de base originaux et voir si les preuves scientifiques qui soutiennent l’affirmation existent réellement. En remontant aux origines du « virus » Ebola, j’ai trouvé trois articles différents rédigés par trois équipes de chercheurs différentes dans trois régions différentes du monde. Quiconque comprend les méthodes pseudo-scientifiques employées par la virologie ne sera pas surpris de constater qu’à aucun moment les articles présentés ne respectent la méthode scientifique. Cette dernière est absolument essentielle pour qu’une étude soit considérée comme scientifique. Nulle part dans les articles, le « virus » Ebola n’est correctement purifié et isolé directement à partir des fluides d’un hôte malade et donc il n’existe aucune variable indépendante que les chercheurs peuvent faire varier et manipuler afin de déterminer la cause et l’effet. Sans une variable indépendante valide de particules purifiées/isolées, il ne peut y avoir de véritables études de pathogénicité utilisant une voie d’exposition naturelle, et il ne peut donc y avoir aucune allégation de pathogénicité. Sans contrôles appropriés, il n’y a aucun moyen de déterminer quels autres cofacteurs pourraient aussi potentiellement causer l’effet recherché par l’expérimentation, ce qui rend les résultats obtenus invalides et sans signification.

Ce que font ces chercheurs pseudo-scientifiques, c’est tenter de contourner la méthode scientifique en présentant des preuves indirectes fabriquées à la place des vraies preuves. Ce sont des escrocs qui vendent des résultats contrefaits. Au lieu d’un « virus » correctement purifié et isolé, nous obtenons une soupe de culture cellulaire non purifiée mélangée à de nombreux ingrédients toxiques tels que des cellules Vero, du milieu 199 et du sérum de veau à 7,5 %. Au lieu d’observer le « virus », nous obtenons une mort cellulaire non spécifique, connue sous le nom d’effet cytopathogène, imputée à un agent pathogène invisible qui peut être le résultat de bien d’autres choses qu’un « virus », comme le changement de milieu à mi-parcours pour un milieu plus approprié à la production de l’effet cytopathique désiré. Au lieu de ne visualiser que les particules censées être le nouveau « virus », nous obtenons des images par microscopie électronique de particules filamenteuses non purifiées et non isolées, de forme et de taille très variables, qui étaient auparavant associées au « virus » de Marburg. Nous obtenons des résultats histopathologiques de laboratoire montrant les mêmes résultats que ceux obtenus lors de l’investigation du « virus » de Marburg une décennie auparavant. Nous obtenons des résultats d’anticorps indirects non spécifiques utilisés pour affirmer que le « virus » est un nouveau « virus » de la même famille que le « virus » de Marburg, même si les autres résultats indirects auraient dû conduire à la conclusion qu’ils avaient soit découvert le même « virus » soit que les résultats dans les deux cas étaient frauduleux. En d’autres termes, les chercheurs ont trouvé exactement les mêmes particules dans des images par microscopie électronique associées à des cas présentant exactement les mêmes symptômes de la maladie attribuée à Marburg (et à de nombreuses autres maladies). Pourtant, comme les résultats des anticorps ne concordaient pas, plutôt que de remettre en question la crédibilité des résultats précédents concernant Marburg, les chercheurs ont décidé que ce qu’ils avaient découvert était un nouveau « virus ». Tout pour que l’histoire continue à vivre.

Cependant, si l’on revient en arrière pour enquêter sur le « virus » de Marburg, on constaterait que les mêmes pratiques pseudo-scientifiques ont été employées : aucun « virus » n’a jamais été purifié et isolé et les mêmes particules appartenant à la rage ont été identifiées comme étant celles du Marburg. Si l’on se penche sur le « virus » de la rage, on constate que le même schéma se répète, et ainsi de suite, en remontant aussi loin que possible dans le temps. Le même cycle de tromperie persiste : les mêmes symptômes de la maladie reçoivent un nouveau nom associé à des particules similaires et/ou identiques, sur la base de résultats d’anticorps indirects et contradictoires. Ce que l’on ne trouvera jamais, c’est une preuve directe de l’existence d’un « virus » qui adhère à la méthode scientifique. Tout ce que l’on trouvera c’est une fiction pseudo-scientifique présentée comme un fait scientifique.

Traduction du document ci-dessus :

À qui revient la charge de la preuve ?

Dire que la charge de la preuve n’incombe pas à la personne qui affirme, mais à quelqu’un d’autre qui doit la réfuter.

La charge de la preuve incombe à l’auteur d’une affirmation et ce n’est à personne d’autre de la réfuter. L’incapacité, ou le manque de volonté, de réfuter une affirmation ne la rend pas valide (cependant, nous devons toujours nous baser sur les meilleures preuves disponibles).

Bertrand déclare que la théière est, en ce moment même, en orbite autour du Soleil, entre la Terre et Mars, et que, puisque personne ne peut lui donner tort, son affirmation est donc valable.

Ceci étant dit, je répondrai à tous ceux qui prétendent que nous devons d’abord nous infecter intentionnellement pour pouvoir affirmer qu’il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence d’un quelconque « virus ». C’est absurde et complètement à l’envers. La charge de la preuve incombe à toute personne qui affirme qu’un « virus » existe et c’est à elle de fournir les preuves à l’appui de son affirmation afin de la justifier. Cela exige logiquement que les preuves scientifiques de l’existence du « virus » Ebola soient contenues dans les documents de recherche originaux. J’ai fait le travail difficile pour ces personnes et j’ai retrouvé les études originales utilisées pour prouver l’existence du « virus » Ebola. J’ai montré qu’à aucun moment, la méthode scientifique n’a été respectée et que les particules supposées être Ebola n’ont jamais été correctement purifiées et isolées, ni prouvées pathogènes de manière naturelle. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec cette affirmation, j’ai une proposition à faire. Montrez-moi, dans les trois articles que j’ai cités plus haut, où la méthode scientifique a été appliquée et respectée dès le début. Montrez-moi où les chercheurs ont purifié et isolé le « virus » directement de l’hôte malade. Montrez-moi que les particules dans les images de microscopie électronique ne sont que le « virus » et rien d’autre. Montrez-moi que ces particules purifiées et isolées peuvent rendre un hôte approprié malade de manière naturelle et non par des injections de toxines non purifiées directement dans le cerveau. Montrez-moi où les résultats sont reproduits et répliqués à grande échelle en utilisant les contrôles appropriés comme on devrait s’y attendre dans toute tentative scientifique. Si une personne prétendant l’existence du « virus » Ebola peut me montrer où, dans ces documents, il a été scientifiquement prouvé que le « virus » Ebola existe en suivant la méthode scientifique, alors j’irai en Afrique pour m’infecter intentionnellement à mes frais. Il est vrai qu’à ce moment-là, ils auront prouvé ce qu’ils avancent, ce qui rendra mon voyage en Afrique coûteux, inutile et potentiellement dangereux pour moi. Cependant, s’ils ne peuvent pas démontrer que cette preuve est contenue dans ces trois documents, ils concéderont que la preuve scientifique de l’existence du « virus » Ebola est introuvable et j’envisagerai un voyage gratuit en première classe pour un safari en Afrique.

Y a-t-il des preneurs ?

Le « Virus » Ebola — Partie 2

Dans la première partie de cette analyse de la fraude qu’est le « virus » Ebola, j’ai examiné les trois principales publications de trois équipes de chercheurs différentes qui ont été soumises à The Lancet en 1977 comme preuve de l’existence d’un nouveau « virus » provoquant une fièvre hémorragique en 1976. Les trois équipes, dont l’une était basée au CDC d’Atlanta, se sont coordonnées avec l’OMS afin d’associer le nouveau « virus » aux symptômes non spécifiques de la maladie survenue au Zaïre. Elles ont agi de la sorte alors que toutes les informations obtenues dans le cadre de leurs investigations pointaient vers le « virus » de Marburg, lui-même basé sur l’acquisition de preuves indirectes frauduleuses en 1967.

L’OMS ayant été intimement impliquée dans la coordination de ces trois équipes et dans la détermination du « virus » Ebola comme agent causal, j’ai pensé qu’il serait amusant de parcourir leur propre récit des événements qui ont conduit à cette conclusion. En 1978, l’OMS a eu la gentillesse de publier un rapport de 23 pages qui a servi de résumé des informations recueillies lors de l’enquête sur l’épidémie de fièvre hémorragique survenue dans un hôpital du Zaïre. Comme le rapport est assez long, je vais en donner les points les plus importants. Afin de faciliter la décomposition et la mise en évidence des informations pertinentes, je procède un peu différemment cette fois-ci. Au lieu de présenter les points saillants sous la forme d’un texte continu, les sections fournies du rapport seront séparées par des commentaires et des informations supplémentaires seront insérées en cours de route. Vous trouverez toujours le résumé habituel à la fin ainsi qu’un lien permettant de télécharger le rapport complet pour que chacun puisse le lire s’il le souhaite. Ceci étant dit, allons-y et voyons ce que nous pouvons découvrir sur ce « virus » directement auprès de l’OMS :

La fièvre hémorragique au Zaïre de 1976

« Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique virale aiguë sont survenus dans le nord du Zaïre. L’épidémie était centrée sur la zone de Bumba de la région de l’Équateur et la plupart des cas ont été enregistrés dans un rayon de 70 km autour de Yambuku, bien que quelques patients aient consulté à Bumba, Abumombazi et dans la capitale Kinshasa, où des cas individuels secondaires et tertiaires sont apparus. Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement. »

Je tiens tout d’abord à souligner que dans la section suivante, nous verrons que le dénominateur commun observé dans la grande majorité de ces cas de fièvre hémorragique était l’injection de médicaments comme la chloroquine, un antipaludéen, dans un hôpital du Zaïre. Je discuterai de l’utilisation de la chloroquine un peu plus tard, mais notez que le patient initial a reçu cette injection, car on présumait qu’il était atteint de paludisme en raison de ses symptômes. Après l’injection, ses symptômes sont entrés en rémission clinique, mais il a de nouveau eu de la fièvre 5 jours après le traitement. Alerte spoiler (NdT : avertissement indiquant qu’un détail important du développement de l’intrigue est sur le point d’être révélé) : nous apprendrons plus tard que le patient a subi une hémorragie gastro-intestinale après avoir reçu de la chloroquine et qu’il est finalement décédé le 8 septembre 1976 :

Le cas index de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH). Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme. Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections au même hôpital ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital, soit eu un contact étroit avec un autre cas. La plupart de ces cas sont survenus au cours des quatre premières semaines de l’épidémie, après quoi l’hôpital a été fermé, 11 des 17 membres du personnel étant morts de la maladie. Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles recevaient des injections. Le taux global d’attaque secondaire était d’environ 5 %, bien qu’il ait atteint 20 % chez les proches parents tels que le conjoint, le parent ou l’enfant, le frère ou la sœur.

Notez ci-dessus que les femmes enceintes étaient parmi celles qui présentaient le plus de symptômes de la maladie dite d’Ebola. Vous vous souvenez de cette information de l’OMS dans la première partie ?

« Il peut être difficile de distinguer cliniquement la MVE (NdT : Maladie à Virus Ebola) d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires. »

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Sur le schéma ci-dessous :

EBOLA : Hoquet — Difficulté à avaler. Le hoquet est un symptôme d’Ebola ?!?!

OVERLAPPING SYMPTOMS (Symptômes qui se chevauchent) : Fièvre – Saignements — Maux de tête – Douleurs articulaires et musculaires – Faiblesse et fatigue – Douleurs abdominales, douleurs dans le quadrant supérieur droit – Difficultés à respirer – Vomissements – Diarrhées.

COMPLICATED LABOR (Accouchement compliqué) : Vision floue — Convulsions.

Selon l’OMS, les symptômes de la grossesse imitent ceux d’Ebola. Curieusement, c’est en 1976 que l’incidence de la maladie a été la plus élevée chez les femmes enceintes, qui ont reçu des injections (vraisemblablement de chloroquine, mais ce n’est pas directement indiqué) dans les cliniques prénatales et ambulatoires. Quelle coïncidence !

La surveillance active a révélé que des cas sont apparus dans 55 des quelque 550 villages qui ont été examinés maison par maison. La maladie était jusqu’à présent inconnue des habitants de la région touchée. Les recherches intensives de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et de Maridi, n’ont pas permis de trouver des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba. Néanmoins, il a été établi que les gens peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en quatre jours au maximum : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le virus à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.

Dans ce paragraphe suivant, l’OMS souligne que les symptômes d’Ebola ne sont pas spécifiques. Elle a tenté d’ajouter d’autres affections sous la marque Ebola, telles que l’hépatite, la pancréatite et la coagulation intravasculaire disséminée (un trouble de la coagulation sanguine entraînant des saignements massifs associés à une inflammation, une infection ou un cancer), mais les résultats de laboratoire n’étaient pas concluants :

La période d’incubation et la durée de la maladie clinique étaient en moyenne d’une semaine. Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge de plus en plus sévère, ont développé une éruption maculopapuleuse (NdT :type d’éruption cutanée caractérisé par une zone plate et rouge sur la peau, couverte de petites bosses confluentes), ont eu des douleurs abdominales rebelles et ont commencé à saigner de plusieurs endroits, principalement du tractus gastro-intestinal. Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, on a conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.

Comme je l’ai montré dans la première partie, les particules que l’on prétend être le « virus » Ebola ont été reconnues comme étant morphologiquement identiques à celles associées au « virus » Marburg. Pourtant, l’OMS et leurs homologues du CDC ont déclaré que ces « virus » étaient immunologiquement différents sur la base de résultats d’anticorps indirects non spécifiques (antibody results.). Il est intéressant de noter que le « virus » n’a été « isolé » que dans 8 des 10 cultures cellulaires (cell cultures) réalisées et que les particules n’ont été trouvées que dans les échantillons de foie de trois cas :

Ce syndrome était causé par un virus morphologiquement similaire au virus de Marburg, mais immunologiquement distinct. Il a été nommé virus Ebola. L’agent a été isolé à partir du sang de 8 des 10 cas suspects en utilisant des cultures de cellules Vero. Les titrages d’échantillons en série obtenus chez un patient ont révélé une virémie persistante de 106,5 à 104,5 unités infectieuses du troisième jour de la maladie jusqu’à la mort au huitième jour. Des particules de virus Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. Les survivants de l’infection présentaient des anticorps à fluorescence indirecte contre le virus Ebola à des titres de 1:64-1:256 dans les trois semaines suivant le début de la maladie et ces titres sériques ont persisté avec une légère diminution pendant une période de 4 mois.

Au total, 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps du virus Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées. Deux de ces unités ont été utilisées pour traiter un employé de laboratoire infecté par le virus Ebola. Cette personne s’est rétablie, ce qui suggère que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique.

Notez que dans ce paragraphe suivant, l’OMS admet que la transmission du « virus » s’est arrêtée lors de l’arrêt des injections à l’hôpital.

Comme c’est étrange.

La transmission du virus a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages. L’utilisation de vêtements de protection et de respirateurs, l’isolement strict des patients et l’élimination soigneuse des excréments et des fomites (NdT : objets susceptibles d’être « contaminés » tels que les habits,…) potentiellement contaminés permettront presque certainement de prévenir de futures épidémies majeures. Le virus est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité.

Nous apprenons également que des anticorps anti-Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’ont jamais été malades et n’ont jamais été en contact avec des personnes infectées. Ce que cela signifie en fin de compte, c’est que l’OMS a stratégiquement préparé le terrain afin d’avoir une excuse toute prête pour les cas asymptomatiques d’Ebola lorsque les anticorps dits « spécifiques » sont trouvés chez des personnes chez qui ils ne sont pas censés être trouvés :

Seules des enquêtes écologiques limitées ont été menées, car l’épidémiologie de l’épidémie suggérait fortement que le virus avait été importé dans la zone de Bumba. Le virus Ebola n’a pas été retrouvé dans des échantillons représentatifs de punaises de lit ou de rongeurs (Rattus rattus et Mastomys spp.) ayant un contact plus ou moins étroit avec l’homme. Des anticorps au virus Ebola ont cependant été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie. Si ces résultats peuvent être confirmés par une méthode de test indépendante, ils suggèrent que le virus est en fait endémique dans la région et devraient conduire à des efforts supplémentaires pour découvrir un réservoir viral au Zaïre. »

Si l’on en croit les conclusions telles que présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée voyageant du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient sans méfiance, ce qui a entraîné la propagation de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées.

Dans le paragraphe qui suit, l’OMS plante la graine pour le récit qui va suivre. Il est affirmé que seulement 5 seringues et aiguilles ont été utilisées pour chaque patient tout au long de la journée. Si l’OMS affirme que les aiguilles n’ont pas été stérilisées, elle précise qu’elles ont été rincées dans des casseroles d’eau chaude et/ou bouillies.

Cinq seringues et aiguilles étaient remises chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultations externes, la clinique prénatale et les unités pour patients. Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude. À la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies. Le bloc opératoire disposait de ses propres instruments, seringues et aiguilles, qui étaient conservés séparément et autoclavés après usage.

Contrairement à ce qu’affirme l’OMS, l’utilisation de la chaleur est une forme courante de stérilisation dans les hôpitaux :

« La stérilisation est le processus qui consiste à tuer les micro-organismes et bactéries nocives présents sur un objet en les soumettant à un environnement qu’ils ne peuvent pas supporter.

« La stérilisation peut être effectuée par deux voies principales : l’application de chaleur et les moyens chimiques.

La chaleur est la forme la plus courante de stérilisation et est utilisée dans la plupart des hôpitaux et des cabinets médicaux via un autoclave. »

https://study.com/academy/lesson/how-to-sterilize-a-needle.html

L’OMS indique également que le service de chirurgie a utilisé des seringues et des aiguilles qui sont autoclavées après usage. Nous sommes donc censés croire que l’hôpital du Zaïre avait apparemment des protocoles différents pour la stérilisation des seringues et des aiguilles selon qu’il s’agissait de patients externes, de patients hospitalisés ou du service prénatal, par rapport au service de chirurgie. Bien que possible, est-ce probable ? Est-ce même important ? Comme nous l’avons appris précédemment, l’OMS a déclaré que la transmission « virale » s’est arrêtée lorsque les injections ont cessé à l’hôpital. Elle n’a pas parlé d’injections avec des aiguilles non stérilisées. Ce que l’OMS veut nous faire croire, c’est que la transmission du « virus » s’est arrêtée parce que le « virus » n’a pas été transféré par des injections avec des aiguilles non stérilisées entre les patients. Cependant, comme c’est toujours le cas, il existe un scénario beaucoup plus plausible et probable.

Le patient index a reçu une injection de chloroquine après avoir été diagnostiqué avec le paludisme. En fait, son hémorragie gastro-intestinale n’est apparue qu’après l’utilisation de la chloroquine. Cet antipaludéen est bien connu pour ses effets secondaires toxiques et graves. Pour une liste complète des effets secondaires signalés, vous pouvez cliquer ici, mais je souhaite mettre en évidence quelques-uns des plus importants :

  • douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac
  • selles noires et goudronneuses (NdT : des selles noires ou goudronneuses avec une odeur nauséabonde sont le signe d’un problème dans le tube digestif supérieur. Elles indiquent le plus souvent un saignement dans l’estomac, l’intestin grêle ou le côté droit du côlon.)
  • sang dans l’urine ou les selles
  • fièvre
  • éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons
  • mal de gorge
  • saignement ou ecchymose inhabituels,
  • douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac,
  • vomissements

Relisez maintenant ce paragraphe du rapport de l’OMS :

« Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge progressivement sévère, ont développé une éruption maculopapulaire, ont eu des douleurs abdominales intraitables et ont commencé à saigner de plusieurs sites, principalement du tractus gastro-intestinal. »

On dirait que les symptômes de l’Ebola sévère correspondent parfaitement aux effets secondaires de l’injection de chloroquine. Allez savoir.

Il est intéressant de noter que la chloroquine a été étudiée comme médicament pour traiter les patients atteints d’Ebola, néanmoins sur des modèles animaux elle a entraîné une aggravation de la maladie et la mort :

« Cependant, alors que la chloroquine inhibait la réplication du virus Ebola in vitro, elle a provoqué une aggravation rapide de l’infection par Ebola chez les cobayes et ne faisait aucune différence sur la mortalité chez les souris ou les hamsters. »

« Lorsque la même dose (90 mg/kg) de chloroquine a été administrée à des hamsters infectés par le virus MA EBOV, l’étude a dû être interrompue le deuxième jour après le traitement. Presque tous les animaux traités, aussi bien dans le groupe MA EBOV que dans le groupe simulé, sont morts de toxicité aiguë après l’administration de chloroquine par voie intrapéritonéale, généralement dans les 30 minutes suivant le traitement (Figure 2, panneau B). »

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/21/6/15-0176_article

Nous devons donc nous demander ce qui est le plus logique. Était-ce les aiguilles « non stérilisées » qui ont propagé un nouveau « virus » ou les effets secondaires des injections de médicaments toxiques qui ont entraîné les symptômes que l’on prétend être ceux d’Ebola ?

Injection mortelle

Le paragraphe suivant détaille ce qu’est un cas probable, possible et avéré d’Ebola. Selon l’OMS :

– Probable : vivre dans une zone endémique, avoir reçu une injection ou côtoyé un cas probable ou avéré et être décédé après avoir ressenti 2 symptômes ou plus.

– Prouvé : le « virus » a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique, ou les titres d’anticorps ont été produits dans les trois semaines suivant les symptômes.

– Possible : une personne présentant des maux de tête ou de la fièvre avec ou sans autres symptômes et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré.

Il est intéressant de noter que l’OMS note que les cas possibles ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques afin d’exclure d’autres maladies communes à la région. En d’autres termes, s’ils n’étaient pas un cas probable/prouvé avant le traitement, ils l’étaient très probablement après :

« Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola était une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements, et saignements. Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques. Un cas avéré est une personne chez qui le virus Ebola a été isolé ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps à fluorescence indirecte (IFA) d’au moins 1:64 contre le virus Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes. On a considéré qu’une infection par le virus Ebola était survenue chez des personnes qui présentaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.

Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes. Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région. Les personnes signalant de tels symptômes ont eu un prélèvement sanguin rétrospectivement et leurs sérums ont été testés pour la recherche d’anticorps au virus Ebola. De même, tout cas de fièvre avec hémorragie signalé au ministère de la Santé dans n’importe quelle partie du Zaïre, quelle que soit l’issue clinique, était considéré comme un cas possible, et tous les efforts étaient faits pour établir un diagnostic par des moyens virologiques ou histopathologiques. »

Ce qui est intéressant dans le paragraphe qui suit, c’est la façon dont les équipes de surveillance ont entrepris de trouver des cas de la nouvelle maladie et comment elles ont apparemment éduqué les villageois au sujet d’une maladie qu’ils étaient censés encore essayer d’étudier et de comprendre eux-mêmes. Les équipes auraient été formées au diagnostic différentiel entre Ebola et d’autres maladies :

« Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents, d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie. Dix équipes spéciales de surveillance active ont été recrutées et formées. Chacune était composée de quatre personnes : un chef d’équipe (médecin ou infirmier), deux infirmiers et un chauffeur. Les thèmes abordés lors de la formation étaient le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protection du personnel, les méthodes de recensement des familles et d’enregistrement des cas probables et possibles. Les équipes ont reçu des formulaires standard, un calendrier écrit et des cartes détaillées montrant les villages qu’elles devaient couvrir pendant une période de deux semaines. Chaque équipe s’est vu attribuer un véhicule à quatre roues motrices, dont certains étaient équipés de radios, et a reçu de la nourriture, de l’eau, des blouses, des casquettes, des gants, des bottes, des respirateurs et du matériel pour prélever des échantillons de sang. La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux étaient tous fournis sous forme de comprimés. Un médecin supervisait cinq équipes par de fréquentes visites sur le terrain et des examens administratifs. »

Selon le dictionnaire médical, le diagnostic différentiel est défini comme suit :

1. Une liste de maladies qui peuvent causer un signe clinique ou un symptôme particulier.

2. L’établissement d’un diagnostic par la comparaison des similitudes et des différences entre divers signes cliniques.

https://medical-dictionary.thefreedictionary.com/differential+diagnosis

Traduction du document : Le diagnostic différentiel d’une maladie fébrile aiguë, sévère, à courte incubation, en provenance d’Afrique subsaharienne, comprend :

Paludisme, autres entérites bactériennes, leptospirose, infections à rickettsies, peste, hépatite virale, dengue, Chikungunya, fièvre jaune, fièvre de la vallée du Rift, fièvre de Lassa, fièvre hémorragique de Marburg, grippe sévère, trypanosomiase africaine, pneumonie bactérienne, méningococcie (NdT : infection du sang), EVD (maladie à virus Ebola).

« Beaucoup de ces maladies se présentent de manière non spécifique, souvent avec de la fièvre et des malaises. Dans les cas avancés, l’hémorragie est fréquente, mais elle ne peut être présente que dans environ 50 % des cas d’EVD. Il y a eu au moins 20 cas suspects d’EVD aux États-Unis ; cependant, seul un cinquième de ces cas répondait aux critères de dépistage. Néanmoins, ces cas suspects drainent des ressources limitées en matière de soins de santé en raison de la crainte accrue de l’EVD. Certains des patients ont finalement souffert de paludisme et de grippe ».

https://westjem.com/perspective/ebola-virus-disease-essential-public-health-principles-clinicians.html

Pour diagnostiquer une maladie, il faut qu’il y ait des différences dans les signes et symptômes cliniques. Cela pose un sacré problème, car les symptômes d’Ebola ressemblent à ceux de nombreuses autres maladies plus courantes, comme la grippe, le paludisme, la fièvre typhoïde, la méningite, la fièvre jaune et même la grossesse. Il n’y a pas de différences évidentes dans la symptomatologie, c’est pourquoi le CDC (CDC) et l’OMS (WHO) déclarent tous deux que le diagnostic basé sur les seuls symptômes est difficile (c’est-à-dire impossible) et nécessite des méthodes indirectes de laboratoire pour confirmer l’infection. Les CDC affirment que le diagnostic d’Ebola nécessite l’utilisation de la PCR (requires use of PCR in order to “confirm” a case) pour « confirmer » un cas, ce qui n’était pas à la portée des chercheurs en 1976, la PCR n’ayant été inventée qu’en 1983. Dans le document de l’OMS d’août 2014 intitulé Ebola and Marburg virus disease epidemics : preparedness, alert, control, and evaluation (épidémies des maladies à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, contrôle et évaluation), il est indiqué que les cas doivent être confirmés en laboratoire, en rappelant que cela se fait soit par le biais de la PCR, soit par des tests d’anticorps IgM non spécifiques :

« CAS CONFIRMÉS EN LABORATOIRE :

Tout cas suspect ou probable dont le résultat de laboratoire est positif. Les cas confirmés en laboratoire doivent tester positif pour l’antigène du virus, soit par la détection de l’ARN du virus par la réaction en chaîne de la transcriptase inverse (RT-PCR), soit par la détection d’anticorps IgM dirigés contre le virus de Marburg ou d’Ebola. »

Il est absolument impossible que l’une de ces équipes ait pu établir un diagnostic différentiel sur la base des seuls symptômes cliniques. En fait, les chercheurs de 1976 avaient 15 cas possibles de fièvre hémorragique qui imitaient Ebola :

« Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été investigués à partir de Kinshasa. La fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques. Les diagnostics finaux comprenaient la fièvre typhoïde, l’hépatite virale, l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’intoxication au monoxyde de carbone. »

Ils ont finalement décidé que ces 15 cas de fièvre hémorragique n’étaient pas de véritables cas d’Ebola, car les résultats des méthodes indirectes précédemment établies ont conduit à des diagnostics tels que la fièvre typhoïde, l’hépatite « virale », l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’empoisonnement au monoxyde de carbone. La seule méthode permettant de « diagnostiquer » un cas d’Ebola était soit l’élimination basée sur ces méthodes indirectes précédemment établies pour d’autres maladies associées aux mêmes symptômes, soit les résultats d’anticorps indirects non spécifiques. Il s’agissait de la méthode circulaire permettant de prétendre qu’une personne présentant un ensemble de symptômes est un malade d’Ebola dans un cas, tandis qu’une autre personne présentant les mêmes symptômes est un malade du paludisme dans l’autre (NdT : astuce habituelle utilisée par les autorités sanitaires. Un malade vacciné a forcément une autre pathologie que celle contre laquelle il a été vacciné tandis que le non-vacciné, qui présente les mêmes symptômes, est étiqueté de la maladie). Ils aiment ignorer le fait que, pour que ces tests soient précis, il faut non seulement purifier et isoler le « virus » en question afin de calibrer et de valider les tests, mais aussi connaître la prévalence de la maladie. La prévalence de la maladie ne peut être déterminée que par le diagnostic clinique, en différenciant les symptômes entre ces maladies, ce qui est une impossibilité avouée, et les résultats des cas de 1976 à aujourd’hui sont donc totalement dénués de sens.

Origine et évolution de l’épidémie

Comme je l’ai déjà dit, nous apprenons ici que le premier patient atteint d’Ebola a été diagnostiqué comme souffrant de malaria, qu’il a reçu une injection de chloroquine et que ses symptômes se sont atténués pendant quelques jours avant de réapparaître plus graves qu’auparavant. Le patient est finalement décédé d’une hémorragie gastro-intestinale quelques jours plus tard :

« Le premier cas connu, un homme de 44 ans, instructeur à l’école de la mission, s’est présenté de lui-même à la clinique externe de l’hôpital de la mission de Yambuku (YMH) le 26 août 1976 avec une maladie fébrile que l’on pensait être le paludisme. Cet homme avait parcouru en voiture la zone de Mobaye-Bongo, dans le nord de la région de l’Équateur, du 10 au 22 août, avec 6 autres travailleurs de la mission. Le groupe a visité certaines des plus grandes villes (Abumombazi, Yakoma, Katokoli, Wapinda) le long de la route de Yambuku à Badolit, mais n’est jamais arrivé à ce village, car un pont avait été emporté par les eaux à quelques kilomètres à l’est de la ville. Le 22 août, de la viande d’antilope et de singe fraîche et fumée a été achetée sur la route à environ 50 km au nord de Yambuku. Le patient et sa famille ont mangé de l’antilope en ragoût à son retour, mais pas la viande de singe. Il a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté sans fièvre jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il est de nouveau monté à 39,2 °C. D’autres symptômes et signes ont suivi et il a été admis à l’YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale. Il est décédé le 8 septembre. »

On note également que 9 autres cas de fièvre hémorragique sont survenus au cours de la première semaine et qu’ils avaient tous été traités pour d’autres maladies à l’hôpital. Aucun des diagnostics initiaux de ces 9 cas n’a été enregistré.

Au moins 9 autres cas sont survenus au cours de la première semaine de septembre, tous parmi des personnes qui avaient reçu un traitement pour d’autres maladies à la clinique externe de l’hôpital YMH. Les noms des personnes traitées à la clinique externe et les diagnostics spécifiques n’ont pas été enregistrés. Il a donc été impossible de déterminer si des personnes fiévreuses s’étaient rendues à YMH fin août. Il est toutefois intéressant de noter qu’un homme d’environ 30 ans a été admis dans le service médical le 28 août pour « dysenterie et épistaxis », un diagnostic qui n’avait pas été mentionné au cours des huit mois précédents. Cet homme, répertorié comme résidant à Yandongi, le village chef-lieu de la collectivité situé à environ 7 km de Yambuku, a quitté l’hôpital deux jours plus tard. Il s’est avéré être une personne totalement inconnue des habitants et des autorités de Yandongi.

Toutefois, il a été indiqué que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments :

Les histoires de cas ont rapidement suggéré que YMH était une source majeure de dissémination de la fièvre hémorragique Ebola. On a appris que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments. »

Pour ceux qui ne le savent pas, les injections parentérales sont administrées à travers la peau, généralement de l’une des cinq manières suivantes : sous-cutanée (dans la graisse), intrapéritonéale (dans l’estomac), intraveineuse (dans les veines), intradermique (sous la peau) et intramusculaire (dans le muscle). Ce processus contourne la peau et les muqueuses, ce qui entraîne certains inconvénients notables pour ce mode de traitement, notamment :

  1. L’administration de médicaments par ces voies est irréversible et présente plus de risques que les autres voies.
  2. Il s’agit d’une voie invasive d’administration de médicaments et, par conséquent, elle peut provoquer de la peur, de la douleur, des lésions tissulaires et/ou des infections.
  3. Les injections ont des limites pour l’administration de produits protéiques, en particulier ceux qui nécessitent des niveaux soutenus.
  4. Elle est généralement plus risquée.
  5. La préparation à injecter doit être stérile.
  6. Le médicament administré par voie parentérale, à l’exception de la voie intra-artérielle, peut encore être éliminé par un métabolisme de premier passage dans le foie avant d’être distribué dans le reste de l’organisme.
  7. Une aide est toujours nécessaire pour administrer une forme de dosage parentérale (NdT : le terme « parentéral » décrit toute administration de médicament autre que par voie orale).

https://www.pharmapproach.com/parenteral-route-of-drug-administration-advantages-and-disadvantages/

Cela confirme que les interventions médicales utilisant des injections risquées avec des effets secondaires toxiques connus étaient la source la plus probable de la maladie, y compris des symptômes tels que des saignements gastro-intestinaux. Bien sûr, aux yeux de l’OMS, il n’est pas possible que les injections de médicaments toxiques soient capables de produire lesdits symptômes et qu’elles soient la cause probable de la maladie, car il doit s’agir d’un nouveau « virus ». Cependant, comment ils ont pu conclure cela après aveux ci-dessous me dépasse :

« Tous les âges et les deux sexes ont été touchés (tableau 3), mais les femmes ont légèrement prédominé. Les taux d’attaque par âge/sexe, en utilisant la collectivité de Yandongi comme dénominateur de la population, ont montré que les femmes adultes avaient le taux d’attaque le plus élevé. Une grande partie de cet excès de maladie était associée à la réception d’injections parentérales à l’YMH ou dans l’une de ses cliniques. La distribution de la maladie par groupe d’âge et par type de transmission était essentiellement la même pour les deux sexes, sauf pour la maladie associée à l’injection chez les personnes âgées de 15 à 29 ans. Les femmes représentaient 22 des 24 cas de ce type dans l’étude menée dans 21 villages.

Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’YMH. Les injections reçues en dehors de l’YMH étaient très inhabituelles. D’autres facteurs tels qu’un cas-contact antérieur, une exposition à de la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission. En outre, 149 autres personnes ont contracté la maladie après avoir été en contact avec des patients, généralement dans leur village d’origine, et 43 cas avaient des antécédents de contact avec des patients et d’injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie. Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont eu des contacts à YMH et ont pu y recevoir des injections sans le signaler à leur famille.

La plupart des cas liés à l’injection sont survenus au cours des 4 premières semaines de l’épidémie (Fig. 4). En effet, il semble probable que la fermeture de l’YMH ait été l’événement le plus important dans l’éventuelle fin de l’épidémie.

Plusieurs paramètres ont été comparés pour les personnes ayant respectivement contracté l’infection par contact et par injection. Bien qu’aucune différence statistiquement significative n’ait été constatée en termes de durée des symptômes et des signes de la maladie (tableau 4), aucune personne dont le contact s’est fait exclusivement par injection parentérale n’a survécu à la maladie. »

Selon l’OMS, l’excès de maladie observé était lié aux injections. La maladie chez les femmes de 15 à 29 ans était plus élevée chez celles qui avaient reçu des injections pendant la grossesse. On a appelé ces cas « maladies associées aux injections ». Le seul dénominateur commun à tous les cas était la réception d’une ou plusieurs injections de médicaments capables de produire les symptômes associés à la maladie. Il n’y a eu aucun survivant parmi ceux qui ont reçu les injections et l’épidémie a pris fin après l’arrêt de ces traitements. Même après avoir résumé ces événements, l’injection invasive et les médicaments toxiques n’étaient apparemment pas une préoccupation pour l’OMS. Comme c’est toujours le cas, toutes les autres causes potentielles beaucoup plus logiques ont été écartées au profit de l’ennemi invisible illogique.

« Cinq générations consécutives de transmission de la fièvre hémorragique Ebola ont été documentées dans un cas. Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré. Lorsque la “famille” était définie comme l’ensemble des personnes vivant dans des logements contigus et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 % (tableau 6). »

« En décembre 1976 et janvier 1977, des sérums ont été sollicités auprès du plus grand nombre possible de personnes ; 236 au total ont été obtenus. Trois personnes, dont 2 appartenant à des ménages cliniquement non infectés, qui n’avaient pas présenté de symptômes pendant ou depuis l’épidémie, ont présenté des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Toutes les 3 avaient été en contact avec des cas mortels. » (NdT : IFA pour Indirect Immunofluorescence Assay. Il s’agit d’un test pour déterminer la présence d’anticorps)

Études sérologiques et écologiques

Le test porte la mention « Virus Ebola », il doit donc être spécifique.

Dans les quelques points marquants qui suivent, nous constatons que les mesures d’anticorps, dites spécifiques et utilisées pour le diagnostic, ne le sont pas tant que cela et étaient sujettes à caution. L’OMS a même déclaré qu’elle attendait le développement d’une méthode spécifique au type pour l’interprétation finale des résultats des anticorps. Il est également démontré que des réactions positives aux anticorps ont été trouvées chez des personnes en bonne santé qui n’avaient pas été malades récemment, n’avaient pas eu de contact avec des cas probables ou avérés et n’avaient pas d’antécédents de visite à l’hôpital. En d’autres termes, l’OMS a prétendu avoir trouvé des cas asymptomatiques d’Ebola en utilisant des tests d’anticorps dont elle admet qu’ils ont donné des résultats douteux.

« Des échantillons de sérum ont été obtenus en novembre et décembre 1976 et en janvier 1977 auprès de 984 personnes résidant dans 48 des 55 villes et villages ayant signalé des cas probables de la maladie. Ces personnes ont été classées comme malades cliniquement, non malades, mais en contact avec un cas, ou ni malades ni en contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun ayant plus de 5 cas probables. Ces personnes ont été classées comme étant malades d’un point de vue clinique, non malades, mais ayant été en contact avec un cas ou ni malades ni cas contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun de ces villages ayant au moins 5 cas probables. Des prélèvements de sang ont été effectués sur ces personnes lors de rapides sorties d’enquête, en prenant la famille entière comme unité d’étude. La composition de ces groupes par âge, sexe et caractéristique épidémiologique est donnée dans le tableau 7 ainsi que le nombre et la catégorie de personnes ayant des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Les données de Yamolembia I sont incluses. Trente-huit positifs ont été trouvés. Vingt (16,5 %) des 121 personnes malades ont été confirmées comme ayant eu la fièvre hémorragique Ebola, et 10 (2,5 %) des 404 personnes en contact avec les cas avaient également de tels anticorps. Il y avait 4 personnes positives aux anticorps qui ont admis être ni malades ni avoir été en contact avec des malades. Ces personnes ont été interrogées une deuxième fois et ont subi un nouveau prélèvement sanguin, et il a été confirmé qu’elles avaient des anticorps Ebola IFA. Des anticorps ont également été trouvés dans les sérums de 4 personnes dont l’histoire n’était pas claire et qui n’ont pas pu être retrouvées une seconde fois pour une étude de confirmation.

Dans un effort supplémentaire pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection passée par le virus Ebola, on a prélevé du sang chez 442 personnes dans 4 villages voisins qui n’avaient pas connu de cas mortels de la maladie. Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64. Aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité l’hôpital YMH pendant l’épidémie.

Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola de 1:4 à 1 h 32. La spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’on a constaté que les échantillons de 4 des 200 Indiens San Blas au Panama présentaient également de tels « anticorps » pour le virus Ebola, mais pas pour le virus Marburg. L’interprétation finale de ces données attend la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de type contre ces agents. »

L’excuse de l’infection asymptomatique est encore utilisée aujourd’hui pour dissimuler la découverte de résultats d’anticorps dits « spécifiques » chez des personnes en bonne santé. Extrait d’une étude du Lancet de 2014 :

« Les preuves suggèrent que de nombreuses infections à Ebola sont asymptomatiques, un facteur négligé par les résumés et les projections récentes de l’épidémie. En particulier, les résultats d’une enquête sérologique menée après l’épidémie d’Ebola ont montré que 71 % des personnes séropositives n’avaient pas la maladie ; une autre étude a signalé que 46 % des contacts étroits asymptomatiques de patients atteints d’Ebola étaient séropositifs. »

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(14)61839-0/fulltext

Patients hospitalisés

Nous constatons ici que, dans 3 cas d’EBV à l’hôpital de Ngaliema, les patients ont tous présenté des symptômes similaires dans les premiers temps, notamment de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie, des vomissements, une éruption cutanée, des hémorragies et un mal de gorge sévère. Cependant, après quelques jours, les symptômes ont varié entre les trois patients. Cela peut s’expliquer par le fait que chaque patient a été soumis à des cocktails de traitements toxiques différents, décrits dans le paragraphe ci-dessous. Sans surprise, les trois patients ont succombé à leurs affections après le traitement. Il a été déterminé qu’ils ont tous souffert d’un choc hypovolémique, c’est-à-dire d’une perte de sang soudaine et importante qui empêche le cœur de pomper suffisamment de sang dans tout le corps, ce qui entraîne finalement la défaillance de plusieurs organes. L’une des causes possibles de ce choc est une lésion de l’estomac. Qu’est-ce qui pourrait conduire à un tel résultat chez ces patients ? Peut-être un traumatisme des organes gastro-intestinaux par le biais d’injections multiples de cocktails de médicaments toxiques connus pour endommager l’estomac ?

« Les premiers symptômes et signes chez les 3 patients de l’hôpital de Ngaliema comprenaient de la fièvre, des céphalées, de l’anorexie et des vomissements. Une éruption morbilliforme (NdT : une éruption cutanée qui ressemble à la rougeole) est apparue sur la partie antérieure du tronc chez chacun de ces patients au cinquième ou sixième jour, s’est étendue au dos et aux membres, puis s’est estompée dans les 48 heures. Les hémorragies et les maux de gorge sévères ont commencé entre le quatrième et le septième jour de la maladie.

Un patient a présenté des pétéchies buccales et conjonctivales à partir du quatrième jour, une hématémèse et un melæna à partir du quatrième jour, un saignement gingival le septième jour et un saignement des sites d’injection le huitième jour. Un autre patient n’a présenté que du melæna, à partir du sixième jour de la maladie. Le troisième patient a eu un seul épisode d’hématémèse le 7jour, suivi d’un melæna et d’ecchymoses le jour suivant. Une glossite et une pharyngite progressives débutant le troisième jour ont été notées chez un patient qui a développé un érythème et un œdème sévères du palais mou et du pharynx entraînant une dysphagie prononcée. Les trois patients ont été fébriles pendant toute la durée de la maladie, avec des températures fréquemment supérieures à 39 °C. Deux patients présentaient une tachycardie terminale. Un patient est décédé le 7jour et deux autres le 8jour de la maladie.

Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au virus. La numération leucocytaire du premier patient était de 7600 et 8900/mm3 respectivement aux 5e et 7jours. Les plaquettes aux 4e, 6e et 7jours étaient de 162 000, 150 000 et 150 000/mm; ce sont les jours où une hémorragie franche s’est produite. Pendant ce temps, le SGOT (NdT : enzyme du foie) sérique est passé de 90 à plus de 200 unités/ml et le SGPT (NdT : également enzyme du foie) est passé de 40 à plus de 200 unités/ml. La bilirubine sérique est passée de 25,6 tmol/l au jour 5 à 59,8 tmol/l au 7jour. Le temps de thromboplastine partielle (TTP) était de 47 secondes le cinquième jour. Cette patiente n’a produit que 200 ml d’urine le septième jour et aucune le lendemain, jour de son décès. La deuxième patiente, sur laquelle aucun test de laboratoire n’a été effectué, est devenue anurique au cours des deux derniers jours de sa vie.

Le troisième patient avait un nombre de globules blancs de 9 400 et 12 300/mm3 respectivement aux 7e et 8jours. Le nombre de plaquettes ces jours-là était de 253 000 et 205 000/mm3, tandis que les valeurs P17 étaient de 45 et 50 secondes, respectivement. Les produits de dégradation de la fibrine, mesurés à l’aide d’un kit commercial (Burroughs-Wellcome) ont été enregistrés comme 1+ et 2+ aux 7e et 8jours.

Le premier cas a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux. Le second patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, de l’immunoglobuline, des fluides intraveineux et un médicament expérimental, la moroxydine. De l’entérovioform a été administré pour contrôler la diarrhée, mais sans succès. Le troisième patient a été traité pour une malaria non confirmée pendant les deux premiers jours de la maladie. Lorsqu’il a été démontré que l’agent étiologique de l’épidémie était un virus de type Marburg, le 4jour on lui a administré 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud. Ce plasma avait un titre IFA de 1 h 32. En prévision d’une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD – NDT La coagulation intravasculaire disséminée se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation), elle a reçu 16 000 unités d’héparine le sixième jour et 30 000 unités par jour par la suite. Bien que l’anticoagulation n’ait pas été satisfaisante, comme le montre le TCA normal (NdT : TCA ou Temps de Céphaline Activé est le temps de coagulation d’un plasma pauvre en plaquettes, recalcifié en présence de phospholipides et d’un activateur du système contact de la coagulation.) aux 7e et 8jours, elle a présenté moins de saignements cliniques que les deux autres patients. La veille de son décès, elle s’est plainte d’une douleur thoracique substernale et a présenté une tachycardie de 136 avec un rythme de galop. La digitalisation n’a que légèrement ralenti ce rythme. Elle présentait un œdème marqué du visage et des membres supérieurs.

Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (NdT : baisse du volume total de sang circulant dans l’organisme). Les preuves de la CIVD (NdT : voir ci-dessus) étaient fragmentaires, mais ce syndrome pourrait bien avoir précipité l’hémorragie et le choc dans tous les cas. La biopsie post-mortem du foie dans le premier cas a révélé une nécrose focale marquée des cellules hépatiques avec de grandes inclusions éosinophiles intracytoplasmiques. Des particules semblables au virus de Marburg ont été visualisées au microscope électronique (2).

Le virus Ebola a été retrouvé au jour 6 dans des échantillons de sang du patient 1 et aux jours 3 et 6 chez le patient 2. Les analyses quantitatives du virus sur le sang du troisième patient sont présentées dans le tableau 8. Aucun anticorps IFA contre les virus Ebola ou Marburg n’était présent.

Études rétrospectives sur le terrain

(Échantillon de sérum – Conjugués nanométriques d’anticorps étalon or – Antigènes virus Ebola – Anticorps de contrôle)
Comment ils veulent vous faire croire que les tests d’anticorps sont faits.

Si vous aviez besoin d’une raison supplémentaire pour douter des résultats des anticorps, ne cherchez pas plus loin. Dans cette étude portant sur 231 cas probables, 34 avaient des anticorps IFA. 59 % de ceux qui avaient des anticorps présentaient des symptômes, ce qui laisse 41 % de ces cas probables asymptomatiques. De nombreuses autres personnes qui ont eu un contact direct avec des cas mortels ont déclaré avoir eu des symptômes, mais pas d’anticorps. En d’autres termes, beaucoup de ceux qui étaient malades n’avaient pas d’anticorps et près de la moitié de ceux qui avaient des anticorps n’ont jamais été malades.

Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, 34 personnes chez qui on a découvert des anticorps IFA du virus Ebola et 198 témoins. Le nombre de réponses obtenues pour chaque symptôme et les pourcentages de réponses positives dans ces groupes sont présentés dans le tableau 9. La fièvre et les maux de tête étaient presque invariablement présents. Le mal de tête irradiait souvent vers la colonne cervicale et était associé à des douleurs lombaires irradiant dans les jambes. Le mal de gorge était souvent signalé en association avec une sensation de « boule » dans la gorge. Les douleurs thoraciques et la pleurite étaient rares. Parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes, les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie. De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais ne présentaient pas d’anticorps au virus Ebola. La maladie chez les personnes porteuses d’anticorps était, en général, marquée par une profonde prostration, une perte de poids et une période de convalescence de 1 à 3 semaines. »

Selon l’OMS, un test de protéine urinaire, qui n’est plus utilisé comme diagnostic aujourd’hui, a été utilisé au début de l’épidémie pour diagnostiquer les cas. Combien de ces patients ont été mal diagnostiqués sur la base d’un test défectueux ?

« Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire. Ce test a été rapporté comme étant uniformément positif et a été utilisé comme un critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie.

L’OMS admet que les études virologiques, qui constituent sans doute la partie la plus importante des preuves (pseudo)scientifiques nécessaires pour comprendre un nouveau « virus », étaient limitées. Cela est évident puisqu’elles ont utilisé des échantillons de petite taille où « l’isolement du virus » n’a été tenté que dans 10 cas et où seules 4 biopsies du foie ont été réalisées :

Les études virologiques étaient limitées. Le virus Ebola a été isolé dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) à partir d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés. Ces spécimens ont été prélevés 2 à 13 jours après l’apparition des symptômes. Il est intéressant de noter la détection simultanée du virus et d’anticorps Ebola IFA à un titre de 1 h 32 chez un patient. Cet homme en était au 13e et avant-dernier jour de sa maladie. Des particules de virus Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects. »

Le « virus » Ebola aurait eu le taux de mortalité le plus élevé depuis la rage. Peut-être les cocktails toxiques injectés à ces patients ont-ils contribué à ce taux de mortalité élevé ?

« Aucune épidémie plus spectaculaire ou potentiellement explosive d’une nouvelle maladie virale aiguë ne s’est produite dans le monde au cours des 30 dernières années. Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage. Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant que de nombreuses informations souhaitées n’aient jamais été obtenues. Les retards dans la reconnaissance, la notification aux agences sanitaires internationales et le diagnostic spécifique de la maladie ont largement contribué à ce résultat. Aucun meilleur exemple ne vient à l’esprit pour illustrer la nécessité d’une surveillance nationale des maladies et d’une sollicitation rapide de l’aide internationale, ni la nécessité de développer des ressources internationales, comprenant du personnel, de l’équipement, des transports, des communications et des finances, qui peuvent être mises à disposition en quelques jours pour faire face à de telles urgences.

Il est intéressant de noter que le virus Ebola et la rage sont tous deux liés à des injections dangereuses. Dans le cas de la rage, jusque dans les années 1980, le traitement consistait en une série de piqûres dans l’estomac :

« Il y a eu une confusion parmi le grand public en raison des craintes historiques et des douloureuses injections de vaccin antirabique (vaccin à base de tissu nerveux administré sur l’abdomen) effectuées dans le passé. »

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.who.int/docs/default-source/searo/india/health-topic-pdf/b5010.pdf%3Fsfvrsn%3D619e77a3_2&ved=2ahUKEwian7aUorb6AhXdkIkEHWPEBOg4ChAWegQIFRAB&usg=AOvVaw2S3jACpOqMEg9qBA6fmZj_

En fait, il pourrait y avoir jusqu’à 21 injections dans l’abdomen pour la rage :

« Il y a plusieurs années, le traitement contre la rage comprenait 21 injections dans l’estomac d’une personne. C’était extrêmement douloureux et nécessitait une longue aiguille. Cependant, depuis le début des années 1980, il existe un vaccin antirabique très différent pour traiter les humains exposés à la rage. »

https://www.oklahoman.com/story/lifestyle/health-fitness/2013/07/14/whats-it-like-to-get-a-rabies-shot/60899910007/

Les injections intrapéritonéales (dans la cavité de l’estomac) étant l’une des 5 voies utilisées pour le traitement parentéral, se pourrait-il que ces patients atteints d’Ebola en 1976 aient pu recevoir les médicaments toxiques de cette manière, comme on le faisait pour la rage jusque dans les années 1980 ? L’injection de médicaments toxiques directement dans l’estomac pourrait expliquer l’augmentation des hémorragies gastro-intestinales. Les dommages causés à l’estomac par un traumatisme sont également un facteur de risque de choc hypovolémique comme celui dont ont souffert les patients de l’hôpital de Ngaliema. Malheureusement, l’OMS ne définit pas la voie d’injection parentérale et nous ne pouvons donc que spéculer.

Les quelques paragraphes suivants présentent des éléments d’information aléatoires qui percent des trous dans l’histoire de l’OMS. Tout d’abord, vous verrez l’OMS admettre que les données de laboratoire étaient pratiquement inexistantes pour cette épidémie, mais elle confirme que le tableau clinique ressemblait au « virus » de Marburg. L’OMS pensait que les agents « isolés » au Soudan et au Zaïre étaient identiques, mais elle n’avait pas encore effectué les tests d’anticorps (précédemment admis comme douteux) pour le confirmer. L’OMS a affirmé que la virémie (présence de « virus » dans le sang) était une caractéristique constante du « virus », en se fondant sur une seule étude portant sur un seul patient. Toutefois, l’OMS a ensuite déclaré qu’aucune preuve n’avait été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg, mais elle a averti que cette information était basée sur un échantillon de petite taille. Il semble très clair que l’OMS aime avoir le beurre et l’argent du beurre :

Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le virus Marburg, un virus apparenté. En fait, l’évolution de la fièvre hémorragique Ebola semblait plus inexorable et moins variable que celle de l’infection par le virus de Marburg. Bien que cela soit loin d’être prouvé, nous soupçonnons que le syndrome de défibrination aiguë et la pancréatite étaient les principales caractéristiques du syndrome et qu’une grave maladie du foie était évidente.

Contrairement aux observations faites simultanément au Soudan, la maladie au Zaïre présentait moins de symptômes respiratoires, une évolution clinique plus courte et un taux de mortalité plus élevé (4). On ne sait pas si cela était dû à des différences dans la virulence du virus en soi ou à des variables relatives à l’hôte et à l’écologie, comme le climat (humidité relative). À l’heure actuelle, on pense que les agents récupérés au Soudan et au Zaïre sont identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.

La virémie semble être une caractéristique constante de l’infection par le virus Ebola chez l’homme. Le virus a persisté en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié. La découverte à la fois du virus et d’anticorps dans le sang d’un autre cas agonal 13 jours après l’apparition des symptômes soulève la possibilité, considérée comme improbable, que des complexes antigène-anticorps puissent contribuer à la pathologie de l’infection. Cette question, ainsi qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes, ne peut être traitée pour l’instant que par des études sur des singes. L’une des nécessités les plus urgentes est de trouver un moyen de poser un diagnostic rapide dans les cas suspects de la maladie en recherchant des cellules contenant un antigène viral. Le diagnostic spécifique rétrospectif des cas mortels par examen au microscope électronique de biopsies hépatiques fixées au formol semble très prometteur et devrait être tenté dans tous les cas de maladie hémorragique fébrile aiguë en Afrique.

Aucune preuve de portage viral persistant n’a été obtenue dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le virus de Marburg (5, 6). Mais il faut se rappeler que le nombre de sites appropriés et immuno-séquestrés échantillonnés était très faible. Cependant, le sperme d’un patient infecté par une souche zaïroise du virus Ebola au Royaume-Uni contenait du virus pendant plus de deux mois après l’apparition des symptômes (3).

Dans les derniers points saillants, nous obtenons la version simplifiée des événements de l’OMS qui réitère des points antérieurs qui auraient dû mettre en doute leurs conclusions selon lesquelles un nouveau « virus » était la cause de l’apparition d’une nouvelle maladie. Tout d’abord, l’OMS admet que le « virus » Ebola a un faible taux de transmission secondaire de personne à personne, ce qui signifie qu’il ne se propage pas facilement, même en cas de contact étroit avec des personnes « infectées ». Ils déclarent que l’on ne saura jamais comment le nouveau « virus » est arrivé à l’hôpital, mais ils pensent qu’il a été apporté du Soudan par un être humain. Il a été décidé que le « virus » se propageait par les aiguilles et les seringues contaminées utilisées pour les injections aux patients malades. Une fois que ces injections ont cessé, l’épidémie s’est arrêtée elle aussi :

L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne. Les moyens par lesquels le virus a été introduit dans l’Hôpital de la Mission de Yambuku ne seront probablement jamais connus avec précision, mais il semble possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par un être humain. La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales. L’épidémie s’est calmée lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical. Il a été démontré, lors de la petite épidémie de Kinshasa, qu’une élimination soigneuse des excréments et des fomites contaminés, ainsi que des soins infirmiers stricts utilisant des respirateurs, pouvaient rompre la chaîne de transmission. Des précautions d’isolement encore plus simples et un changement des coutumes culturelles lors des funérailles semblent avoir contribué à l’extinction de l’infection dans les villages.

Il est intéressant de noter que l’OMS a admis que les cas provoqués par l’injection étaient différents et plus susceptibles d’être mortels que ceux qui, selon elle, étaient des cas secondaires contractés sans injection. Ceci est évidemment logique si l’on considère que les symptômes non spécifiques de la maladie étaient le résultat de l’injection contre nature de divers médicaments toxiques directement dans les patients et non l’effet d’un nouveau « virus ». Les cas secondaires n’étaient rien d’autre que la recherche de symptômes similaires chez les villageois et l’utilisation de résultats d’anticorps frauduleux pour prétendre que les symptômes étaient causés par le même « virus » imaginaire.

Bien que les données ne soient pas toujours statistiquement convaincantes, nous avions la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas. La mortalité était plus élevée. Dans une étude, les taux de transmission secondaire étaient également plus élevés à partir de cas index qui avaient été induits par voie parentérale. Il se peut que l’augmentation de la réplication et de l’excrétion du virus à la suite d’une infection parentérale explique tout ou partie de ces différences, mais d’autres causes n’ont nullement été exclues.

L’OMS a ensuite admis que les cas « néonatals » n’étaient pas complètement élucidés. En d’autres termes, elle n’a pas pu expliquer comment les bébés ont contracté la maladie de leur mère. On ne s’est apparemment pas interrogé sur les injections de médicaments nocifs dans les femmes enceintes, susceptibles de provoquer la mort et la maladie chez les nourrissons. Il fallait que ce soit ce « virus » magique qui traverse le placenta et infecte l’enfant à naître :

Les cas « néonatals » observés de la maladie n’ont pas été complètement élucidés. On souhaite savoir si le virus Ebola peut traverser le placenta et infecter le fœtus, et si le virus est présent dans le lait maternel et est infectieux s’il est ingéré.

Enfonçant une fois de plus le dernier clou dans le cercueil du « virus » Ebola, l’OMS nous a rappelé que de meilleurs tests d’anticorps étaient nécessaires pour pouvoir interpréter les résultats. Bien que les résultats frauduleux des tests d’anticorps ne doivent jamais être considérés comme des preuves, ces résultats étaient le seul moyen pour les chercheurs de différencier Ebola de « Marburg » et de nombreux autres « virus », et leur « exactitude » douteuse en dit long. Les résultats de l’IFA étaient essentiels pour démontrer que Marburg et Ebola étaient des « virus » différents, mais l’OMS n’était pas certaine de l’exactitude de ces résultats. Elle ajoute que, comme pour le « virus » Marburg, la source du « virus » Ebola était inconnue. Cela devrait vous dire tout ce que vous avez besoin de savoir :

Enfin, une meilleure méthode de mesure des anticorps du virus Ebola est nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici. Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après un contact avec un cas mortel n’est pas surprenant. La plupart de ces personnes avaient des maladies légères et spontanées, celles-ci étant hautement endémiques dans la région. Mais si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont connu une infection subclinique. En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le virus Ebola pendant l’épidémie soulève la possibilité que l’agent est en fait endémique dans la région de Yambuku et est occasionnellement transmis à l’homme. Une réponse définitive est essentielle pour poursuivre l’exploration écologique de ce qui est maintenant un agent très mystérieux. Comme dans le cas du virus de Marburg, la source du virus Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine. »

EBOLA
Ce qu’on ne vous dit pas

En résumé

  • Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique « virale » aiguë (supposée) sont survenus dans le nord du Zaïre.
  • Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement (c’est-à-dire des résultats d’anticorps non spécifiques).
  • Le patient zéro de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH).
  • Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme.
  • Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections à l’hôpital YMH ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital ou avaient été en contact étroit avec un autre cas.
  • Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles ont reçu les injections.
  • La recherche intensive de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et Maridi, n’a pas permis de détecter des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba.
  • Néanmoins, il a été établi que des personnes peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en moins quatre jours : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le « virus » à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.
  • En d’autres termes, ils n’ont pas pu établir de lien entre les deux épidémies, mais ont tout de même supposé qu’il était possible comme scénario hypothétique qu’un individu inconnu « infecté » porteur d’un nouveau « virus » se rende à l’hôpital et transmette sans le savoir le nouveau « virus » par le biais de la même aiguille utilisée avec d’autres patients.
  • Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients présentent généralement un mal de gorge de plus en plus sévère, une éruption cutanée maculo-papuleuse, des douleurs abdominales irréductibles et des saignements en de multiples endroits, principalement dans le tractus gastro-intestinal.
  • Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, il a été conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.
  • Ce syndrome a été causé par un « virus » morphologiquement similaire au « virus » de Marburg, mais immunologiquement distinct (c’est-à-dire que tout était identique à part les résultats des anticorps non spécifiques).
  • L’agent a été « isolé » du sang de 8 des 10 cas suspects à l’aide de cultures de cellules Vero. (NdT : aucun « virus » n’a jamais été isolé, les débris des cellules Vero utilisées ne permettent pas de dire que le « virus » a été isolé)
  • Des particules du « virus » Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. (NdT : le « virus » n’ayant pas été isolé on peut se demander comment ce « virus » a pu être trouvé).
  • Les survivants de l’infection présentaient des anticorps fluorescents indirects contre le « virus » Ebola.
  • Un total de 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps contre le « virus » Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées et utilisées sur une personne « infectée » qui s’est rétablie, ce qui leur a suggéré que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique (et les anticorps invisibles peuvent n’avoir absolument rien fait pendant que la personne se rétablissait malgré leur utilisation, ce qui revient donc à une spéculation inutile)
  • La transmission du « virus » a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages (c’est-à-dire que l’arrêt des injections de chloroquine a mis fin à la propagation du « virus »…).
  • Ils ont décidé, d’une manière ou d’une autre, que le « virus » est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité (encore une spéculation sans preuve et sans fondement).
    (NdT : l’explication officielle de la « Science » sur la transmission par aérosol est la suivante : les « virus » sont transportées par de minuscules gouttelettes d’eau exhalées qui peuvent « voyager » grâce aux courants d’air. Ces gouttelettes sont soumises à la gravitation terrestre et finissent par retomber au sol ; leur « voyage » dans l’air est estimé à 1 min 50 s environ (en horizontal). En hiver l’air est plus sec et les gouttelettes sont donc plus rares et plus petites. Les « virus » peuvent donc être emportés plus facilement par les courants d’air, d’où une « transmission » plus facile et les « épidémies » !!!!)
  • Des anticorps au « virus » Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie (en d’autres termes, soit les anticorps étaient soit non spécifiques et/ou il y a des patients Ebola asymptomatiques qui se promènent… ou le scénario le plus probable est que tout cela est frauduleux).
  • Cinq seringues et aiguilles ont été distribuées chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultation externe, la clinique prénatale et les salles d’attente.
  • Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude et, à la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies.
  • Cela a conduit les chercheurs à conclure qu’il s’agissait d’un « virus » transmis de personne à personne en raison de l’utilisation de l’aiguille plutôt que du contenu de l’injection.
  • Par ailleurs, les injections de chloroquine, comme celles qui ont été administrées aux patients, sont connues pour provoquer exactement les mêmes symptômes que ceux associés à Ebola : douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac – selles noires et goudronneuses – sang dans l’urine ou les selles – fièvre – éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons – mal de gorge – saignement ou ecchymose inhabituels – douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac – vomissements.
  • Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola est une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements et saignements.
    Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques.
  • Un cas avéré est une personne sur laquelle le « virus » Ebola a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps fluorescent indirect (IFA) d’au moins 1:64 contre le « virus » Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes.
    On a considéré qu’une infection par le « virus » Ebola était survenue chez des personnes qui avaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.
  • Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes.
    Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région.
  • En d’autres termes, dès lors que vous avez présenté un ou deux des symptômes non spécifiques et que vous avez reçu une injection ou que vous avez côtoyé des personnes dont la présence a été jugée probable/prouvée au moyen d’une microscopie électronique indirecte ou de résultats d’anticorps non spécifiques, vous êtes considéré comme un patient Ebola.
  • Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents afin d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie (comment ont-ils éduqué le public sur la nature et les moyens de prévenir un « virus » qu’ils étaient encore censés identifier et étudier ?)
  • Les sujets abordés lors de la formation ont été le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protéger le personnel, les méthodes pour obtenir les données de recensement des familles et enregistrer les cas probables et possibles (comment diagnostiquer de manière différentielle une maladie qui imite de nombreuses autres maladies partageant exactement les mêmes symptômes… et même la grossesse ?)
  • La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux ont tous été fournis sous forme de comprimés (parce que si on ne peut pas trouver des cas naturellement, autant les créer).
  • Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été examinés à partir de Kinshasa et la fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques (c’est-à-dire que les preuves indirectes indiquaient d’autres causes supposées).
  • Les diagnostics finaux étaient les suivants : Fièvre typhoïde —Hépatite « virale » —Amibiase —Œdème pulmonaire aigu —Empoisonnement au monoxyde de carbone.
  • Le premier patient a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté afébrile jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il a de nouveau eu de la fièvre à 39,2 °C.
  • D’autres symptômes ont rapidement suivi et il a été admis au YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale et est décédé le 8 septembre.
  • On a appris que l’injection parentérale (injections dans le corps par différentes voies) était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments.
  • Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’hôpital YMH.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur, l’exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition des symptômes, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur avec un cas, une exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • 43 cas avaient des antécédents de contact avec un patient et de réception d’une injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie.
  • Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont été en contact avec l’hôpital de YMH et il est possible qu’elles aient eu des injections sans le signaler à leur famille.
  • Aucune personne dont le contact était exclusivement une injection parentérale n’a survécu à la maladie.
  • En fait, il semble probable que la fermeture de l’hôpital de Yambuku ait été le seul événement le plus important dans la fin éventuelle de l’épidémie.
  • En d’autres termes, le mode d’injection risqué et non naturel ainsi que les médicaments toxiques capables de produire exactement les mêmes symptômes sont les seuls éléments nécessaires pour expliquer ces cas, et non un nouveau « virus » invisible.
  • Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré.
  • Lorsque la « famille » a été définie comme l’ensemble des personnes vivant dans un logement contigu et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 %.
  • Des efforts ont été faits pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection antérieure par le « virus » Ebola.
  • Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64 et aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité YMH pendant l’épidémie (c’est-à-dire qu’elles étaient asymptomatiques).
  • Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola compris entre 1:4 et 1:32. Néanmoins la spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’il a été constaté que des échantillons provenant de 4 des 200 Indiens San Blas du Panama présentaient également de tels « anticorps » contre le virus Ebola, mais pas contre le « virus » Marburg.
  • L’interprétation finale de ces données attendait la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de ces agents.
  • En d’autres termes, les résultats des anticorps prétendument spécifiques n’étaient pas si spécifiques que cela et les résultats des anticorps devaient être confirmés par une méthode « plus spécifique » qui n’avait pas encore été mise au point.
  • Les premiers symptômes et signes observés chez les trois patients à l’hôpital Ngaliema comprenaient de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie et des vomissements, mais les autres symptômes variaient d’un patient à l’autre.
  • Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au « virus ».
  • Le premier patient a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux.
  • Le deuxième patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, des immunoglobulines, des liquides intraveineux, un médicament expérimental, la moroxydine, et de l’entérovioform pour contrôler la diarrhée, mais sans succès.
  • La troisième patiente a été traitée pour un paludisme non confirmé pendant les deux premiers jours de la maladie et, lorsqu’il s’est avéré que l’agent étiologique de l’épidémie était un « virus » de type Marburg, elle a reçu, le quatrième jour, 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud.
  • Les trois patients sont morts après le traitement.
  • Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (perte rapide de sang pouvant être causée par une hémorragie interne dans les organes abdominaux et le tube digestif).
  • Des particules ressemblant au virus de Marbourg ont été visualisées au microscope électronique dans un cas.
  • Aucun anticorps IFA contre les « virus » Ebola ou Marburg n’était présent chez les 3 victimes.
  • Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, on a trouvé chez 34 personnes des anticorps IFA contre le « virus » Ebola, et 198 témoins parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes (41 % n’avaient apparemment aucun symptôme), les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie.
  • De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais n’avaient aucun anticorps du « virus » Ebola.
  • Nous pouvons voir ici à quel point les résultats des tests d’anticorps ne sont pas fiables lorsque 41 % des personnes ne présentaient aucun symptôme de la maladie et que celles qui ont eu des symptômes après avoir été en contact avec des cas mortels n’avaient aucun anticorps.
  • Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire, qui a été signalée comme étant uniformément positive et utilisée comme critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie (remarque : ce n’est pas un diagnostic utilisé aujourd’hui, ce qui amène à se demander combien de cas précoces ont été mal diagnostiqués en utilisant une méthode défectueuse qui n’est plus utilisée ?).
  • Les études virologiques ont été dites limitées.
  • Le « virus » Ebola a été « isolé » dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) provenant d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés.
  • Des particules de « virus » Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects.
  • Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage.
  • Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le « virus » Marburg, un virus apparenté.
  • À cette époque, on pensait que les agents retrouvés au Soudan et au Zaïre étaient identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.
  • La virémie semblait être une caractéristique constante de l’infection par le « virus » Ebola chez l’homme, car le « virus » persistait en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié (un cas).
  • L’OMS a déclaré qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes ne peuvent être abordées pour l’instant que par des études sur des singes.
  • Aucune preuve n’a été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg.
  • L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne (c’est-à-dire qu’elle n’était ni infectieuse ni transmissible).
  • Selon l’OMS, on ne saura probablement jamais avec précision par quel moyen le « virus » a été introduit dans l’hôpital de la mission de Yambuku, mais il semblait possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par l’homme.
  • La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales (vous voyez comment ils ont parlé d’aiguilles « contaminées » plutôt que du mode d’injection avec de nombreuses toxines ?).
  • L’épidémie a reculé lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical (et donc par l’arrêt des injections de médicaments toxiques).
  • L’OMS avait la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas, car la mortalité était plus élevée.
  • Les cas « néonataux » observés n’ont pas été définitivement élucidés.
  • L’OMS a de nouveau admis qu’une meilleure méthode de mesure des anticorps du « virus » Ebola était nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici (ce qui est un aveu assez troublant lorsque le seul moyen qui leur permettait d’affirmer l’existence d’un nouveau « virus » ainsi que de cas passés et présents était basé sur les résultats des anticorps).
  • Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après avoir été en contact avec un cas mortel n’est apparemment pas une surprise.
  • L’OMS a déclaré que si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont souffert d’une infection subclinique (ces résultats d’anticorps semblent plutôt vagues si l’on en croit l’hésitation constante de l’OMS quant à leur exactitude).
  • En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le « virus » Ebola pendant l’épidémie a soulevé la possibilité que l’agent soit en fait endémique dans la région de Yambuku et soit occasionnellement transmis à l’homme.
  • Comme dans le cas du « virus » de Marburg, la source du « virus » Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine.

Si l’on en croit les conclusions présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée qui a voyagé du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient non suspect, ce qui a entraîné la propagation des symptômes non spécifiques de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées. Cela peut avoir un certain sens pour ceux qui sont encore sous le charme « viral » et qui ne sont pas disposés à creuser un peu plus profondément que le simple fait de gratter la surface. Cependant, pour quiconque examine les preuves présentées de manière critique et logique, il existe une explication beaucoup plus raisonnable à l’apparente épidémie de maladie, autre qu’un « virus » Ebola récemment découvert.

Les symptômes associés au « virus » Ebola ne sont pas spécifiques et imitent d’autres maladies courantes dans la région, notamment la grippe, le paludisme, la fièvre jaune, la typhoïde et même la grossesse ; les symptômes n’étaient donc ni nouveaux ni inédits. Le patient initial a été traité pour le paludisme par une injection de chloroquine. Alors que les symptômes du paludisme disparaissaient cliniquement après le traitement, des symptômes plus graves sont apparus quelques jours plus tard et le patient a finalement succombé à une hémorragie gastro-intestinale. La chloroquine est un médicament toxique connu dont les effets secondaires connus sont des problèmes gastro-intestinaux et des saignements inhabituels. Le mode d’injection parentérale est réputé risqué et, s’il est effectué par la cavité abdominale, il peut entraîner des lésions des organes de l’abdomen. D’autres patients traités à l’hôpital pour des affections non liées présentant des symptômes similaires, y compris des femmes enceintes, ont également reçu des injections de différents médicaments et ont eux aussi développé les symptômes associés à une fièvre hémorragique sévère. De nombreux patients ont reçu des cocktails de nombreux médicaments et antibiotiques par injection parentérale. Toutes les personnes ayant reçu des injections à l’hôpital ont fini par mourir de leur maladie. L’OMS a même noté que les personnes ayant reçu les injections présentaient une présentation différente de la maladie par rapport aux cas n’ayant pas reçu d’injections, la principale différence étant une mortalité plus élevée chez les personnes traitées à l’hôpital. Il a été observé qu’une fois que les injections ont cessé, la transmission de la maladie s’est également arrêtée. Pour quiconque examine cette question de manière logique, il n’est pas difficile de voir le lien entre l’injection de médicaments toxiques et les symptômes de la maladie qui y sont associés. Il n’est pas nécessaire de trouver un nouveau « virus » pour expliquer ce phénomène, mais l’OMS a ignoré la possibilité de chercher du côté des injections parentérales de chloroquine et d’autres médicaments toxiques (et expérimentaux dans un cas au moins) dans le cadre de ses enquêtes.

Si l’on ajoute à cela le fait que les chercheurs n’ont jamais purifié ni isolé de « virus » directement à partir du sang d’un patient malade au Zaïre et que tous les résultats des concoctions de cultures cellulaires qu’ils ont créées en laboratoire présentaient les mêmes preuves indirectes associées au « virus » de Marburg découvert moins de dix ans auparavant, il est tout simplement étonnant qu’ils aient pu conclure à l’existence d’un nouveau « virus ». La seule preuve utilisée par les chercheurs pour affirmer que le « virus » Ebola était en quelque sorte un nouveau « virus » distinct de celui de Marbourg était les résultats du test des anticorps à fluorescence indirecte, dont l’OMS a admis qu’ils étaient loin d’être idéaux. En fait, les résultats des tests d’anticorps étaient très variables, de nombreuses personnes, n’ayant jamais eu de contact avec un patient atteint d’Ebola et n’ayant jamais été malades d’aucune manière, ayant été testées positives pour les anticorps censés être spécifiques au « virus ». Dans le même temps, de nombreuses personnes présentant des symptômes et ayant eu un contact direct avec des malades d’Ebola ne présentaient aucun anticorps. Comment les résultats de ces tests pouvaient-ils indiquer aux chercheurs qu’ils avaient un « virus » unique ? Lorsque l’on comprend la fraude de la recherche sur les anticorps et que l’existence de ces entités théoriques n’a jamais été scientifiquement prouvée, tout comme les « virus », il est facile de voir comment les résultats inexacts peuvent être utilisés pour affirmer ce que les chercheurs veulent bien leur faire dire. Lorsque l’on réalise que les résultats des tests d’anticorps contredisent directement les résultats de la recherche sur le virus de Marburg, démontrant ainsi que ces résultats sont également frauduleux, on comprend que le CDC et l’OMS n’avaient pas d’autre choix que d’essayer de prétendre qu’un nouveau « virus » lié au virus de Marburg était à blâmer afin de maintenir le mensonge sur la « précision » des résultats des tests d’anticorps.

Il est assez clair que toute l’affaire Ebola n’était qu’une gigantesque opération de camouflage des effets secondaires des médicaments toxiques injectés par voie parentérale. Comme les symptômes n’étaient pas spécifiques et correspondaient à de nombreuses autres maladies courantes dans la région, il était facile pour les chercheurs de trouver des personnes présentant des symptômes similaires afin de prétendre qu’elles étaient elles aussi victimes du « virus » pathogène nouvellement « découvert ». Ce schéma consistant à dissimuler des injections toxiques par la découverte d’un nouveau « virus » a été observé une décennie plus tôt avec le « virus » Marburg associé à l’expérimentation de la vaccination contre la polio. Ils ont également utilisé cette même tactique pour dissimuler des empoisonnements au moyen de produits chimiques, comme dans le cas de la polio et du DDT/arséniate de plomb. Lorsque tout le monde reconnaîtra ce schéma, il sera en mesure de voir clair dans la fraude et nous pourrons alors commencer à travailler ensemble pour faire en sorte que ces astuces ne soient plus utilisées pour tromper les crédules et les amener à avoir peur et à s’empoisonner davantage avec des médicaments et des injections toxiques. Ensemble, nous pouvons briser ce cercle vicieux une fois pour toutes.

Traduction Jean Bitterlin 31.12.2022




Pourquoi vaccine-t-on les employés de Pfizer avec des lots réservés ?

[Source : RL]

Par Alain Lussay

Cette question à la suite d’une information qui nous vient d’Australie, mais qui se pose pareillement en France et partout où le lobbying Big Pharma a imposé la vaccination contre le Covid comme seule sortie de crise.

Il se trouve que depuis le 19 décembre 2022, le gouvernement australien a indiqué sur son site du département de la santé que « les informations sur la libération des lots de vaccins Covid-19 sont désormais disponibles ».

Et il se trouve que dans la liste des nombreux lots Pfizer disponibles, 7 sont officiellement réservés aux employés de Pfizer !

Pourquoi donc ?

Ces lots sont-ils sans risque d’effets indésirables graves ou mortels, comme comme le suggère ce tweet :

« Savez-vous quels lots de vaccin n’ont entraîné aucun décès?
Les 7 lots réservés aux employés de Pfizer !
Non, je ne plaisante pas :
FF0884 – FA4598 – FE3064 – FA7338 – FA7812 – FC8736 – FC3558 »

Vérification faite de l’affectation des lots avec cette capture d’écran du site du gouvernement australien : https://www.tga.gov.au/batch-release-assessment-covid-19-vaccines

Voilà donc une nouvelle confirmation que les vaccinés ne sont que des cobayes dont la vie est en jeu, comme à la roulette russe, au gré de la répartition des lots et de la répétition des injections, selon le plan machiavélique de Big Pharma et des élites qui gouvernent le monde.

Voilà pourquoi en France, comme en Australie, Macron et sa bande de criminels continuent, par la terreur et la contrainte, leur propagande d’inoculation de la masse apeurée qui n’a pas encore compris que le risque de cette injection toxique est probablement plus élevé que la contamination est peu létale, d’autant que l’efficacité du soin précoce avec les antiviraux connus est sérieusement vérifiée et documentée.

Alors au moment où l’hôpital est en voie de délabrement, au moment où la médecine de ville revendique, il serait temps que Macron et sa clique sanitaire comprennent, entre autres, que la liberté de prescrire est déjà un pas dans la résolution de l’engorgement du système et de la démotivation des personnels.

Encore faudrait-il que Macron et sa clique de menteurs reconnaissent leur responsabilité dans le détournement au profit de Big Pharma des milliards de cette escroquerie vaccinale inefficace et dangereuse, qui font défaut à notre système de santé en voie d’effondrement.

Mais c’est dans ce but que ces nuisibles sont au pouvoir, et rien ne sera possible tant qu’ils y resteront.




Un ado vaxiné sur 30 fait une myocardite

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Un ado vaxccc sur 30 fait une myocardite ! Les complications cardiaques ne viennent pas des complications post covid, mais des injections ! Télétoubibs, journalistes, politiques, cessez de mentir, vous avez toutes les preuves !

Une fois de plus je fournis les preuves vérifiables et elles s’accumulent face à l’explosion des problèmes cardiaques ils accusent la covid : ILS MENTENT.

Lorsque j’ai entendu sur les plateaux TV que vaccins faisaient moins de myopéricardites que la maladie covid-19, je me suis pincé à plusieurs reprises ; ignares ou menteurs ou corrompus

François Braun : Il n’y a pas d’effets secondaires des vaccins COVID-19

𝒮𝒶𝓇𝒶𝒽(@SarahHRakM)

1 DEPUIS PLUS D’UN AN, ÉLUS ET JOURNALISTES ONT TOUTES LES PREUVES

En 2021 plusieurs études démontraient l’existence de problèmes cardiaques post vaccinaux

2 LES MYOCARDITES, UNE VAGUE MASSIVE en 2022 seuls les ignares et les menteurs ne le reconnaissent pas

Selon cette étude prospective thaïlandaise sur 301 ados de 13-18 ans recevant une 2nde dose de vaccin Pfizer, le taux de myocardite (clinique ou subclinique) est de :
23 255 cas/million !
23 255/1 000 000 = 2,3 %
Équivalent à l’étude reprise par la Société Française de cardiologie qui donnait 2,8 %, soit 800 x la normale…

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36006288/

  • Avant vaccin Covid : 4 cas de myocardite/million
  • Après vaccin Covid chez 13-18 ans et après 2 ou 3 doses : 25 000 cas par million !!!!!!

3 LES INJECTIONS SEULES COUPABLES PAS LES COMPLICATIONS POST COVID

Une vaste étude évaluée par des pairs dans le Journal of Clinical Medicine de l’Université hébraïque de Jérusalem et de l’Université de Tel-Aviv a révélé que…

Une fois guéris les malades non vaccinés infectés par la covid ne connaissent pas de myocardite et de péricardite post infection. Ces maladies n’interviennent que pendant la phase aiguë de la covid pas dans les « covids longs »

L’infection post-COVID-19 n’était associée ni à la myocardite (aHR 1,08 ; IC à 95 % 0,45 à 2,56) ni à la péricardite (aHR 0,53 ; IC à 95 % 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’augmentation de l’incidence ni de la péricardite ni de la myocardite chez les patients adultes se remettant d’une infection au COVID-19.

The Incidence of Myocarditis and Pericarditis in Post COVID-19 Unvaccinated Patients-A Large Population-Based Study

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35456309/

Myocardite les risques sont multipliés par 2,6 pour un vacciné non infecté par rapport à un non-vacc non contaminé ? Pour un contaminé les risques sont majorés de 50 % Les risques supplémentaires de myocardites sont trois fois plus élevés après une vaccination qu’après un covid

Une étude publiée en juin 2022 dans IJMS prouve que c’est la Spike vaccinale qui se fixe sur les cardiomyocytes (cellules cardiaques) pour y causer l’inflammation pouvant être mortelle.

Sur 𝟭𝟱 patients ayant été vaccinés avec Pfizer (11), AstraZeneca (2), Johnson (2) avec des suspicions de myocardites :

𝟭𝟰 cas ont été confirmés et la protéine Spike a été détectée dans les cellules cardiaques de 𝟵 de ces patients.

https://www.mdpi.com/1422-0067/23/13/6940

Une étude de mai 2022 rapporte une augmentation de 25 % de crise cardiaque chez les jeunes hommes et femmes post ARNm de Pfizer tout en insistant sur le fait que l’infection elle-même n’est pas responsable de complications cardiovasculaires !

https://www.israelnationalnews.com/news/328529/

La spike vaccinale est détectée dans les cellules cardiaques des patients ayant développé myocardite après vaccin Origine auto-immune de la réaction inflammatoire

Quantité énorme de spike vaccinale produite dans muscle cardiaque en comparaison patient infecté par le virus

Rappel : essai clinique Pfizer à 6 mois montre 4 x +de risque faire arrêt cardiaque après injection/placébo Efficacité négative des vaccins après 5 mois chez les 5-11 ans ; les enfants infectés ont une protection totale et durable qui disparaît lorsqu’ils sont vaccinés

https://www.marceau2020.info/post/23-octobre-2023




De nombreuses personnes entièrement vaccinées contre le COVID-19 deviennent maintenant aveugles

[Source : anna-bellas.com]

Par bellinaanne

De nombreuses personnes entièrement vaccinées contre le COVID-19 deviennent maintenant aveugles… On en avait parlé l’année passée sur mon blog, mais voila c’est confirmé… et malgré tous ces effets secondaires les Gouvernements poussent encore a la vaccination ?

Des personnes entièrement vaccinées contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) deviennent maintenant aveugles.

Les dernières données issues du système Yellow Card du Royaume-Uni, l’équivalent du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) aux États-Unis, montrent qu’un nombre croissant de personnes entièrement vaccinées perdent la vue.

Au total, 163 personnes ont signalé une cécité totale après l’injection du vaccin Pfizer à ARNm, ainsi que six cas de perte de vision centrale et quatre cas de perte visuelle soudaine. Dans le même temps, 21 personnes ont fait état d’une « cécité passagère », c’est-à-dire d’une perturbation ou d’une perte de la vue dans un œil pendant quelques secondes, voire quelques minutes, après leur vaccination.

« Au total, 8 016 troubles oculaires ont été signalés comme des effets indésirables de la piqûre Pfizer au 6 avril 2022 », indique le Daily Expose dans un rapport.

Un autre vaccin à ARNm, celui de Moderna, a été lié à 1 519 problèmes liés à la vision. Trente-quatre rapports de cécité et 56 rapports de déficience visuelle étaient liés au vaccin à ARNm, ce qui a été attribué au nombre inférieur de doses injectées dans les bras des Britanniques.

Le vaccin AstraZeneca COVID-19 a également été lié à 14 895 troubles de la vision. Au total, 324 rapports de cécité, trois rapports de perte de vision centrale, cinq rapports de perte de vision soudaine et 29 rapports de cécité transitoire ont été liés au vaccin à vecteur adénoviral.

« Au total, si l’on inclut les effets indésirables signalés pour lesquels la marque du vaccin n’était pas précisée, 24 516 troubles oculaires ont été signalés en tant qu’effets indésirables des injections de COVID-19, dont 525 cas de cécité complète. », indique l’Expose.

La question est maintenant de savoir si cela vaut la peine d’être « protégé » contre le COVID-19 pour ensuite devenir aveugle.

Une étude révèle que les vaccins COVID-19 endommagent les yeux
Bien que le mécanisme par lequel les injections de COVID-19 endommagent les yeux ne soit pas entièrement compris, une étude a établi un lien entre les problèmes oculaires et les injections.

En septembre dernier, une étude publiée dans Vaccines a examiné des cas de neuropathie optique après la vaccination au COVID-19. Les auteurs de l’étude ont examiné 45 cas de patients ayant développé des problèmes oculaires liés aux vaccins. « Les patients diagnostiqués avec [une neuropathie optique] étaient plus souvent jeunes », ont déclaré les auteurs, ajoutant que « la vaccination COVID-19 peut être associée à différentes formes de neuropathie optique. »

Ils ont finalement conclu que « tous les sous-types de vaccins COVID-19 — y compris les vaccins à ARNm, à vecteur viral et à virus inactivé — étaient associés à la neuropathie optique. L’association temporelle entre l’administration du vaccin et le développement des neuropathies optiques dans ces cas rend plausible un lien de causalité. »

La Dr Lynell Lowry, ophtalmologiste basée à San Antonio, a quant à elle déclaré à l’Epoch Times qu’elle avait constaté un plus grand nombre de problèmes oculaires inhabituels depuis la mise en place des vaccins COVID-19.

« De nombreuses personnes se présentent avec des troubles visuels que nous ne pouvons pas expliquer », a-t-elle déclaré. « Une patiente voyait sans cesse des tourbillons de lumière dans sa vision. Elle avait environ six semaines après la vaccination quand elle est finalement venue me voir. » Lowry a également partagé qu’une autre patiente a eu une vision double dans les 24 heures suivant l’administration de sa première dose de vaccin COVID-19.

« Je n’ai jamais pensé de ma vie à demander le statut vaccinal. Maintenant, c’est une question standard ».

SOURCES




Elon Musk admet que « presque toutes les théories du complot à propos de Twitter se sont révélées vraies »

[Source : anguillesousroche.com]

Elon Musk, PDG de Twitter, a admis que « pour être tout à fait franc, presque toutes les théories du complot concernant Twitter se sont avérées vraies » et souvent « plus vraies que ce que les gens pensaient ».

Musk s’exprimait dans une vidéo suite à la publication de Twitter Files 9, qui a révélé des détails supplémentaires sur la censure gouvernementale à Twitter et sur d’autres plateformes de médias sociaux.

La CIA faisait partie d’un certain nombre d’agences étatiques de sécurité, dont le département d’État et le Pentagone, impliquées dans la censure de Twitter, selon la neuvième tranche des Twitter Files publiée par Elon Musk, via le journaliste Matt Taibbi.

À la suite de la déclaration bizarre publiée par le FBI, qualifiant le signalement des Twitter Files de « désinformation » diffusée par des « théoriciens du complot » dans le « seul but de discréditer l’agence », M. Taibbi a publié une nouvelle tranche de fichiers internes de Twitter révélant une implication du gouvernement dans la censure encore plus étendue que ce que l’on connaissait jusqu’à présent – ajoutant : « Pourquoi s’arrêter à une seule [agence] ? »

Il n’y a pas que les soi-disant théories du complot sur Twitter et les médias sociaux qui se sont avérées vraies. Au cours des dernières années, le discours de l’élite mondiale s’est effondré et les « théoriciens du complot » ont eu raison sur une longue liste de sujets.



Par exemple, presque toutes les théories du complot que tout le monde avait sur Covid se sont avérées vraies. Vous vous souvenez quand la théorie de la fuite du laboratoire était strictement interdite sur les médias sociaux ? Vous vous souvenez que déclarer que les vaccins Covid ne protègent pas contre la transmission vous valait un bannissement immédiat ?



Compte tenu de l’effondrement du récit de l’élite, il n’est pas surprenant qu’elle intensifie ses attaques contre les « théoriciens du complot ».

Les Nations unies ont déclaré la guerre aux théories du complot, décrivant la montée de la pensée conspirationniste comme « inquiétante et dangereuse », et fournissant au public une boîte à outils pour « pré-bunk » et « debunk » toute personne qui ose suggérer que les gouvernements mondiaux sont tout sauf complètement honnêtes, droits et transparents.

L’ONU veut que vous sachiez que les événements ne sont PAS « secrètement manipulés dans les coulisses par des forces puissantes aux intentions négatives » et si vous rencontrez quelqu’un qui pense que l’élite mondiale conspire pour consolider son pouvoir et dicter les événements mondiaux, vous devez agir.

Le Forum économique mondial (FEM) est également en première ligne de la guerre contre les « théories du complot » qui font dérailler ses plans de domination mondiale. Au début de l’année, le FEM a annoncé qu’il avait recruté des centaines de milliers de « guerriers de l’information » pour contrôler l’internet, en surveillant les médias sociaux et les forums à la recherche de « désinformation » et de contenus conspirationnistes qui seront ensuite systématiquement fermés.

Selon le FEM de Klaus Schwab, la désinformation sur l’internet est une « infodémie » qui est « potentiellement mortelle » et nécessite un « remède ». La définition de la désinformation, selon le FEM, est tout ce avec quoi ils ne sont pas d’accord. Cela signifie que les guerriers de l’information seront essentiellement engagés dans l’acte de faire taire la dissidence.

Le contrôle autoritaire de l’internet, des médias et des médias sociaux par l’élite mondiale a eu des conséquences désastreuses sur nos libertés.

Faire taire les voix dissidentes est catastrophique pour le bon fonctionnement d’une société.




Karen Kingston : « La FDA a criminellement approuvé une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace. »

[Source : businessbourse.com]

Par Greg Hunter

Karen Kingston est une analyste en biotechnologie et ancienne employée de Pfizer qui a effectué des recherches et écrit sur de nombreux aspects relatifs au Covid-19 et des soi-disant vaccins. C’est maintenant devenu évident, avec une augmentation spectaculaire des décès et des blessures, les vaccins contre le Covid-19 étaient des armes biologiques présentées comme des vaccins salvateurs. Kingston a de nombreux documents du gouvernement et des fabricants de vaccins qui permettent de justifier son analyse. Voici ce que Kingston dit :

« En Amérique, on n’a pas le droit de légaliser le meurtre à grande échelle… Initialement, ils devaient soumettre le projet vaccinal à l’approbation de la FDA (pour l’injection Covid-19) en juin 2025. Étant donné qu’ils ont essayé de pousser les obligations vaccinales, alors que les Américains disaient qu’ils ne voulaient pas rendre un produit expérimental obligatoire, ils ont dit, oh, pas de soucis, c’est désormais approuvé par la FDA. Ils ont complètement déplacé cette chronologie de façon inimaginable. La raison pour laquelle cela pose un problème est qu’il est juridiquement distinct d’un produit “à usage d’urgence”. Une fois l’approbation intervenue le 23 août 2021 (Comirnaty [de Pfizer]), qui a brisé le bouclier de responsabilité pour le produit “d’urgence”. Ainsi, la FDA a frauduleusement et criminellement approuvé une arme biologique comme vaccin sûr et efficace… Les gens avaient l’impression qu’ils se faisaient vacciner avec un produit approuvé… En fait, ils se sont fait vacciner avec une arme biologique… S’ils n’avaient jamais fait l’approbation, vous ne pourriez pas porter ces accusations civiles contre Pfizer, et il y en a des douzaines et des douzaines ainsi que des accusations criminelles… Donnez à ces vaccins le nom qu’ils méritent réellement. Ce sont des armes biologiques. Je me fiche de ce que notre gouvernement a dit dans le passé. Je me fiche du petit mémo qu’ils ont reçu du HHS ou de leur employeur. Ce qu’ils ont fait est mal, et ils doivent être tenus de rendre des comptes. »

[Voir aussi :
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins
Observation des injections anticovid]

Kingston poursuit en disant ceci :

« Je sais que les gens disent que quiconque dit qu’il y a de la technologie dans ces projets démentiels est un théoricien du complot ou un fou. Je viens de vous prouver que Pfizer dit sur son site Web que c’est de la technologie. Les nanoparticules lipidiques sont techniquement appelées microrobots biohybrides. Cela sonne mal, alors ils les appellent des nanoparticules lipidiques pour que cela ne semble pas aussi effrayant. Donc, il y a de la technologie dans les injections Covid-19.

Les armes biologiques Covid-19 peuvent avoir divers effets mortels sur la santé. Kingston pense que “25 % des personnes totalement vaccinées pourraient mourir d’une crise cardiaque ou se retrouver avec de graves problèmes cardiaques tels que la myocardite”. »

Kingston énumère de nombreux autres effets mortels ou débilitants de ces armes biologiques, tels que les maladies neurologiques, les maladies auto-immunes, les cancers extrêmes et à propagation rapide et les systèmes immunitaires sont gravement affaiblis, pour n’en nommer que quelques-uns. Les vaccins n’ont fait aucun bien, mais ont plutôt été à l’origine de gros dégâts. Enfin les gens se réveillent aujourd’hui. Selon Kingston, c’est ce que ces armes biologiques Covid-19 étaient censées faire.

Voici ce que dit Kingston :

« Un grand nombre d’experts se réunissent en janvier et ils appellent tous ces vaccins de véritables armes biologiques. Ils vont partager toutes ces preuves récupérées de la part des fabricants et de notre gouvernement. Les gens vont également finir par reconnaître qu’il n’y a jamais eu de virus. Nous avons été attaqués avec une nanoarme… Non seulement le soi-disant vaccin est une arme biologique, mais il est impossible de trouver un vaccin qui puisse combattre une technologie. Tout cela n’était qu’un mensonge. »

Source : usawatchdog.com




Échec de la stratégie sanitaire française. Vive les traitements précoces !

Par Dr Gérard Delépine

Durant cette crise covid, la propagande omniprésente des médias a répété en boucle les messages publicitaires de Big Pharma et du gouvernement : « les traitements précoces sont inefficaces et dangereux ! Les vaccins vous sauveront ». Et le conseil de l’Ordre des médecins, grand inquisiteur du dogme gouvernemental, poursuit opiniâtrement les médecins qui ont osé affirmer le contraire même s’ils sont députés ou sénateurs et sans même considérer les faits établis qui leur donnent raison.

Après 32 mois d’évolution de l’épidémie, le bilan de notre politique sanitaire basé sur ses résultats avérés permet d’examiner la pertinence de ces slogans officiels.

Les mesures sanitaires coercitives et les vaccins ont été dramatiquement inefficaces

Une mesure sanitaire nationale ne peut être évaluée sur des études de commande conçues pour conforter les décisions politiques des gouvernants, mais sur des données nationales vérifiées et publiées. Les données officielles de l’OMS1 sont sans appel : c’est dans les pays qui ont instauré les mesures sanitaires les plus restrictives et imposé le plus brutalement possible les pseudo vaccins que les mortalités covid cumulées par million sont les plus élevées.

Ainsi, au 20 décembre 2022, la mortalité par million atteignait 3366/M à Gibraltar (taux de vaccinés : 115 % !), 3348/M en Grèce (qui a rendu obligatoire la vaccination des plus de 60 ans) et 3102/M en Italie (82 % d’injectés), deux pays ou la dictature sanitaire a été particulièrement brutale, 3217 aux USA, 3157/M en Grande-Bretagne (champion européen du vaccin Astra Zeneca), 2844/M en Belgique (79 % d’injectés) et 2639/M en France (80 % d’injectés), 2501/M au Portugal (87 % d’injectés), 2452/M en Espagne (plus de 90 % d’injectés)… Et à cette mortalité covid officielle des pays riches, il convient d’ajouter d’innombrables « victimes collatérales » liées aux confinements, aux plans blancs et autres restrictions des libertés et des crises économiques qui en ont résulté. Dans aucun de ces pays, les mesures sanitaires et les pseudo vaccins ne sont parvenus à diminuer ou ralentir les transmissions, les hospitalisations ou la mortalité.

À l’opposé les pays peu vaccinés, qui souvent n’ont pas pu confiner leurs populations2, bénéficient d’une mortalité 8 à 300 fois moins élevée : 374/M en Inde, 180/M en Afrique, 153/M en Algérie, 76/M en Ouganda, 70/M au Cameroun, 64/M au Congo, 48/M à Madagascar, 30/M en Côte d’Ivoire, 14/M au Nigéria, 12/M au Bénin, 10/M au Tchad…

Certes la jeunesse de leurs populations explique une réduction de risque des pays pauvres, mais, après correction de ce facteur démographique, la mortalité Covid des pays qui ont imposé la stratégie « tout vaccin » de l’OMS reste 3 à 50 fois supérieure à celles constatées en Afrique ou en Inde alors que ces pays pauvres souffrent d’une insuffisance chronique de médecins, de médicaments et d’hôpitaux.

La stratégie OMS de « confinement, pas de traitement précoce, tout pour les vaccins » a abouti à des désastres sanitaires.

Dans le monde réel, les antipaludéens ont considérablement limité les contaminations

L’équipe de l’IHU Méditerranée3 a montré que la charge virale des malades diminuait rapidement sous traitement par HCQ limitant ainsi le risque de contamination de leurs contacts. Les données de l’OMS, illustrées par les courbes de l’Université John Hopkins confirment totalement leur résultat : les pays qui ont largement utilisé les antipaludéens (pays d’Afrique souffrant de paludisme, Algérie, Madagascar, Inde…) ont fortement limité l’intensité des poussées d’épidémie. En particulier en Inde où la Covid Task Force a recommandé le traitement4 à titre préventif pour les soignants et les membres des familles contaminées avec une efficacité de plus de 90 %5 6.

Au 20/12/22 Gibraltar (610 000/M) et la France (566 000/M), qui ont refusé les traitements précoces se retrouvent avec plus de la moitié de leurs populations contaminées alors que les pays qui ont utilisé les antipaludéens ont protégé leurs nationaux que ce soit Madagascar grâce à l’Artémisinine (2 200/M), l’inde (31 000/M) ou l’Algérie (6 039/M) et la Côte d’Ivoire (3 122/M) adeptes du traitement Raoult.

Les fortes réductions des contaminations observées grâce aux traitements précoces confirment les résultats préliminaires des études publiées et les déclarations des responsables de ces pays au début de la crise, trop souvent ignorées par les médias français. Si nous avions utilisé les traitements précoces (au lieu de les interdire) nous aurions certainement réduit le nombre de malades et la pression sur l’hôpital.

Dans le monde réel les antipaludéens ont fortement limité la mortalité

Bénin, Sénégal, Burkina Faso, Cameroun, Madagascar, Côte d’Ivoire, République Centre Africaine, Nigéria, Tchad… dans ces pays où le système de santé est quasi inexistant, les dirigeants ont généralisé le traitement à base de chloroquine sans attendre les résultats définitifs d’études randomisées honnêtes.

Leur stratégie des traitements précoces et/ou préventifs leur a permis de protéger leur population avec des mortalités 8 à 300 fois inférieures à celle observée dans les pays riches adeptes du tout vaccin.

La comparaison avec l’Algérie est particulièrement démonstrative ; ce pays souffre comme la France d’un taux élevé de plus de 60 ans (27 %), d’une prévalence d’obèses semblable à la nôtre, d’un tabagisme un peu plus faible (17 % VS 25 %), mais le double de diabétiques (10 % vs 4,7 %), soit globalement des facteurs de mauvais pronostic Covid similaires aux nôtres. En Algérie les responsables sanitaires ont conseillé le traitement Raoult et le Dr Mohamed Bekkat membre du comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de Covid-19 a affirmé publiquement :

« Les milliers de cas traités avec ce traitement l’ont été avec succès et sans réactions indésirables ».

Si nous avions suivi leur exemple, nous aurions pu éviter 140 000 à 150 000 décès attribués au covid

Dans le monde réel, les antipaludéens n’ont pas donné de complications notables

Avant le covid les dérivés de la chloroquine avaient été administrés sans toxicité notable à des milliards de personnes pendant plus de 70 ans (depuis 1947)7 8. Brutalement, pour imposer l’autorisation temporaire des pseudo vaccins elle a été déclarée dangereuse, à l’aide d’études bidon comme celle du Lancet Gate9 10 11. Le recul dont on dispose maintenant en Inde12 comme dans les pays africains qui l’ont promu confirme que les antipaludéens n’ont pas donné de complications notables.

Le seul bénéfice des pseudo vaccins a été financier pour les firmes, leurs actionnaires, les politiques et les leaders d’opinion corrompus

Au 13 décembre 2022, les 13 008 560 983 doses de vaccin administrées13 ont rapporté un peu plus de 280 milliards de dollars aux firmes pharmaceutiques dont les bénéfices14 et les marges15 ont explosé et qui en ont probablement reversé suffisamment à leurs mercenaires (fast checkers, épidémiologistes de plateaux télé, certains académiciens et membres de la HAS, cabinets de conseil, décideurs administratifs et politiques corrompus) pour justifier leurs propos mensongers sur la prétendue toxicité et inefficacité des traitements antipaludéens et l’utilité des pseudo vaccins expérimentaux.

L’examen objectif des faits avérés analysés par des chercheurs sans liens d’intérêts avec les firmes ou les gouvernements vaccinolâtres, les données officielles de l’OMS et les courbes de l’université John Hopkins démentent totalement leur propagande marchande.

L’approche scientifique se démarque de l’attitude religieuse par la confrontation permanente des théories du moment aux faits établis ; lorsque les faits constatés ne sont pas en accord avec les théories, ces dernières doivent être abandonnées. Les religions se singularisent au contraire par l’immuabilité du dogme. Il est grand temps que les magistrats du siège et les conseillers de l’ordre des médecins arrêtent de croire aveuglément au dogme covid officiel et qu’ils basent leurs décisions sur l’analyse scientifique des faits constatés.

John Geer, professeur de science politique à l’université Vanderbilt :

« Raconter des mensonges ou refuser d’admettre les faits est fondamentalement antidémocratique. Pour résumer, en niant l’évidence, vous faites courir un risque au fondement même de notre démocratie ».

Quel que soit votre âge, ne craignez plus le covid. Plutôt que de vous faire indéfiniment injecter des traitements expérimentaux peu efficaces, constituez-vous une petite réserve de médicaments (antibiotiques, hydroxychloroquine ou Ivermectine) à prendre dès le début d’une infection compatible !

Vivez normalement sans masque, sans tests et embrassez ceux qui vous sont chers !

Battez-vous pour défendre toutes vos libertés et les soignants scandaleusement ostracisés.

La vie est belle quand on l’aborde sans crainte et qu’on se bat pour le bien commun.





La vérité contre l’ordre

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Je suis à nouveau convoqué par l’ordre des médecins, en Belgique, à Mons, ce 11 janvier 2023, audition à 19h30.

Médecin engagé pour l’utilisation et la diffusion des traitements précoces efficaces du COVID, pour la liberté d’expression, pour le débat scientifique public et équilibré, pour le véritable consentement éclairé des patients, pour un moratoire sur les injections expérimentales faussement appelées vaccins dont la morbi-mortalité actuelle est alarmante, et pour la défense du serment d’Hippocrate rappelé page 14 du livre « La déontologie du médecin » du vice-président national belge Philippe Boxho et notamment ces points :

« Au moment où je deviens membre de la profession médicale, je prends l’engagement solennel d’œuvrer toujours de mon mieux pour une médecine de qualité, au service des personnes et de la société.

Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité.

J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins. (…) J’exercerai ma profession avec conscience et dignité

J’actualiserai et partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient

Je fais ces promesses sur mon honneur… »

Je comparais devant l’ordre des médecins provincial du Hainaut en Belgique pour, selon lui, avoir outrepassé les limites de la liberté d’expression en répandant largement, notamment sur les réseaux sociaux, des allégations qui relèvent davantage de convictions personnelles que de données factuelles et validées par la science.

En quoi un ordre des médecins est-il garant des données factuelles et validées par la science ?

La science, les connaissances évoluent sans cesse.

Comment peuvent-ils ignorer toutes les données factuelles et convaincantes sous-tendant tous mes propos, ainsi que ceux d’illustres confrères de par le monde et ce depuis 2020 ?

Sont-ils les seuls à définir ce que sont les données factuelles et validées par la science ?

En quoi un Ordre des médecins, en principe compétent en matière de déontologie et de rapports entre les médecins et leurs patients, serait-il garant des données factuelles et validées par la science ?

Les rencontrer ne me fait pas peur et j’irai là sans me dédire, sans renier mes propos, en exploitant au contraire cette opportunité pour susciter un débat que les autorités nous ont interdit jusqu’ici.

Comment respecter mon serment d’Hippocrate, prioritaire sur tout le reste ? Comment informer correctement les personnes qui font appel à mes soins, dans un espace où tout débat a été empêché, nié, refusé, repoussé, ridiculisé ?

Je leur poserai la question.

Je suis fier de ce que j’ai fait. Je le referais.

Je suis fier, dès 2020, d’avoir correctement informé mes patients, ces gens dont nous médecins avons la charge de l’information vraie et du soin correct. 

Ma priorité de médecin, mon premier devoir n’était ni de plaire à l’Ordre, ni de suivre des directives politiques ou médiatiques, mais de soigner et d’informer correctement mon patient. Tel est le devoir le plus important d’un médecin.

Ce l’était et ça le sera toujours.

Soyez nombreux à soutenir les médecins inquiétés de par le monde. Soyez des milliers autour de ces médecins courageux.

C’est cela votre force ! Montrer qu’un tel symbole, la recherche et la défense de la vérité, peut encore mobiliser des milliers de citoyens honnêtes et désireux que la démocratie ne soit pas un mot vide. C’est cela notre force : le nombre ! La puissance d’une assemblée citoyenne de personnes éclairées qui reprennent le pouvoir sur leurs vies et leurs santés.

Au travers des institutions officielles comme l’Ordre des médecins, le système veut faire de nous, Alain Colignon, Laurence Kayser, Frédéric Goaréguer, Gaëtane Beeckaert, Éric Beeth, Cécile Andri, moi et d’autres en Belgique, des exemples pour faire peur à l’ensemble des thérapeutes qui ne vont pas dans leur sens unique.

Vous, citoyens, faites de nous des exemples, oui, des symboles d’intégrité, de courage et de vérité. Des modèles, des exemples à suivre.

Ne le faites pas pour nous en tant que personne ou en tant qu’individu, faites-le pour les valeurs que nous défendons pour vous.

J’irai là-bas sans haine, sans colère, sans reproches.

Ce n’est pas une guerre de science, de vérité, ni de justice car tous ces domaines sont largement corrompus. Ce n’est pas une guerre du tout.  

C’est une occasion. Une chance. Un espoir fou de faire évoluer l’humanité.

De petits foyers de courage et d’opiniâtreté s’allument partout dans le monde, en ce moment.

J’irai seul avec la paix qui règne dans mon cœur, avec la volonté de les aider à voir ce qu’ils ne veulent pas voir, avec l’empathie que m’ont enseigné toutes ces épreuves.

Si chacun invite deux personnes, et que chacune d’entre elles invite à son tour deux personnes, imaginez le nombre de voix et de mains, de quoi enfin renverser le rapport de forces et faire que la peur change de camp.

Venez de toute la Belgique ou d’ailleurs, louez des cars, des bus. Faites-cela partout où la vérité, où la bienveillance sont attaquées.

Faites silence quand ils font du bruit de matraque. Faites du bruit quand ils imposent l’omerta.

Soyez unis dans le calme puissant et la solidarité qu’aucun de leurs canons, qu’aucune de leurs agressions ne peuvent briser.

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2022




La chance de l’humanité

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« À l’intérieur du corps existe un agent inconnu
Qui travaille pour le tout et pour les parties,
Qui est à la fois Un et Multiple »

Hippocrate

Nous sommes à l’acmé de cette époque au cours de laquelle toutes les vérités ont été falsifiées, carrément inversées.

Nous y sommes, arrivés au dernier sommet du Kilimandjaro du mensonge travesti en vérité.

Cela ne pouvait marcher qu’en allant de pair avec l’infantilisation extrême de l’être humain, avec son abêtissement progressif qui lui aussi atteint son point culminant.

Tout a concouru à cette destruction de l’intelligence humaine et toutes ses parties, physique, rationnelle, émotionnelle, spirituelle.

Des tirs croisés nourris de bêtises habillées en évidences, de culot, d’arrogance, de mépris, de violences, de distractions, de saturations, de paradoxes, de terreur, de mauvaise foi, de corruptions, de paresse, d’inertie, de stimulations incessantes et de bruits constants…

L’esprit humain est maintenu en ébullition.

Toutes les disciplines ont été contaminées par cette maladie qui consiste à corrompre la vérité, parfois de manière évidente, visible, plus souvent de manière subtile comme un cancer qui épuise aussi lentement que sûrement les capacités de guérison de l’organisme violé à son insu.

Il s’agit d’une vaste coalition de programmes et de décisions, étalée sur plusieurs générations, ce qui, à lui seul, démontre l’intention malveillante organisée derrière cette entreprise de démolition contrôlée du potentiel humain.

En ce sens, que faire ?

Déjà, remarquer puis accepter cette évidence.

Combien tombent encore dans le piège de maintenir un dialogue avec les diffuseurs d’illusions, ces personnes adoubées par le système, autoproclamées tenants de LA vérité, dénommées « experts ». 

Comprenez-bien ce dont il s’agit : « Les experts ne se sont jamais trompés. Ils ont toujours menti. » 

C’est une grosse différence, une importante nuance. Je ne parle pas à un menteur patenté comme je le ferais avec quelqu’un qui se serait juste trompé.

D’ailleurs, je ne parle pas à un menteur patenté. Je démonte ses mensonges et tente, avec tact et douceur, d’alerter mes concitoyens trompés.

Il ne faut pas nécessairement être l’instigateur malveillant du système pour le défendre becs et ongles. D’ailleurs, ceux-là restent souvent en retrait, peu visibles voire invisibles pour la majorité des humains. Ils ont donné leurs ordres, distribué récompenses ou menaces, et assistent ensuite au spectacle.

Beaucoup des défenseurs du système de l’Illusion sont des personnes honnêtes et bienveillantes, trompées ou accrochées à leurs croyances, sans se rendre compte qu’en faisant cela, elles servent involontairement le système qu’elles pensent combattre.

Juddi Krishnamurti(([2] Qui est Krishnamurti ? (krishnamurti-france.org) )) est un sage hindou qui prônait l’indépendance totale vis-à-vis de tout système de pensée qui, aussi valable fut-il pendant un temps, finissait par enfermer ses adeptes dans une vérité devenue obsolète. Tôt ou tard, les tenants de toute école préfèrent ignorer les faits contraires, éviter les débats contradictoires, se focaliser sur ce qui confirme leur vision des choses et basculent obstinément dans la défense de leurs idées, plutôt que de poursuivre la quête de la vérité.

Car la vérité est un objectif inatteignable. C’est une recherche permanente, une remise en question perpétuelle.

La vérité figée en idée, en système de pensées, est comme un ruisseau qui se serait arrêté de couler, transformé en mare stagnante, morte.

Pas d’école.

Pas de système.

Effectivement, quiconque adhère à une école, à un système de pensées, encore plus s’il en est un fondateur, s’accrochera à son école, à son système, même alors que l’évolution des connaissances et de la maturité humaine l’ont rendu caduque, mensonger ou limitant.

L’histoire humaine le prouve.

À moins d’un effort de lucidité et de volonté énorme, il est très difficile de renoncer à des idées auxquelles nous nous sommes identifiés toute notre vie, pour lesquelles nous avons consacré notre vie.

C’est encore plus vrai pour les fondateurs, pour ceux qui gagnent leur vie grâce au mode de pensée qu’ils défendent et vendent, pour ceux qui en retirent pouvoir, renommée, récompenses.

Toutes les écoles de pensées quel que fût leur bienfondé, au début, deviennent des systèmes finis, limitant la vérité qui évolue sans cesse, deviennent des carcans confortables mais trompeurs.

À côté de cela, nous trouvons les imposteurs, les menteurs patentés, ceux qui trafiquent leurs études, volent les travaux des autres.

Le prototype est certainement Louis Pasteur, l’usurpateur, et son antithèse est Antoine Béchamp, véritable chercheur honnête, intègre, passionné, répétant ses travaux des dizaines de fois dans toutes les conditions, sur des années, avant de tirer des conclusions et de les publier, prêt à se remettre en question, comme l’a prouvé sa vie entière.

Pourtant, si vous demandez autour de vous qui connaît Antoine Béchamp, même parmi les médecins que vous connaissez, très peu vous diront oui. Encore moins sauront ce que cet homme tout à la fois extraordinaire et modeste, humble et rigoureux, a mis en évidence.

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
Un nouveau paradigme médical
Les Racines de nos Maladies
Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?]

C’est bien simple.

Il vous invite à oublier complètement tout ce que vous avez cru savoir.

Il vous montre, vous prouve que la vie n’est pas du tout une guerre comme ces « experts » nous la présentent aujourd’hui, encore moins un conflit avec l’extérieur qui serait menaçant.

La vie est une harmonie puissante, yin et yang, entre l’interne et l’externe, maintenue depuis les tréfonds du corps humain lui-même.

Aujourd’hui, la crise du COVID, la guerre en Ukraine (éclipsant toutes les autres créées par l’Occident), les variations de climat utilisées comme alibi à plus de contrôle et d’austérité, les crises énergétiques fabriquées par certains hommes me font dire que si l’humanité ne saisit pas l’occasion, que si un nombre suffisant d’humains ne se lèvent pas non pas pour exiger la fin du système actuel (il se détruit de lui-même) mais pour reprendre le contrôle sur leur vie, leur santé, pour reprendre le chemin vers la vérité, alors, cette humanité aura laissé passer sa chance.

Repartons de vrais modèles de vertu, d’intégrité, de rigueur et de bienveillance.

Parmi ces modèles, Antoine Béchamp nous montre la voie.

Je suis confiant.

« Vous devez apprendre à désapprendre en permanence
tout ce que vous avez appris »

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Comment les faussaires de gauche tuent l’information (Boutcha, Paris…)

Par Lucien SA Oulahbib

Qui se souvient de « Jayson Blair » ce journaliste du New York Times ayant plagié et inventé des évènements ? Ou encore de la manière dont ce même « journal » a par contre occulté les affaires sulfureuses du fils Biden sans oublier son rôle clé et encore actuel sur l’accusation contre Trump de collusion avec la Russie, sans parler de l’assaut du Capitole et de toute la mascarade Covid-19 ?…

Eh bien, ce même fleuron réitère en se targuant d’une enquête de « huit mois » sur ce qui se serait « vraiment » passé à Boutcha en s’appuyant sur des documents fournis par les services zélinskystes, tout en apportant l’ultime preuve :

« (…) à chaque fois, ou presque, qu’un civil meurt à Boutcha, son téléphone est utilisé pour passer des appels en Russie. Cela se passe dans les minutes qui suivent les meurtres. Et tous les coups de fil sont passés à des proches de membres du 234e régiment. Les soldats russes ont interdiction d’utiliser leurs téléphones personnels ou d’appeler leurs familles. Ils se sont donc servis des appareils de leurs victimes pour rassurer leurs femmes ou leurs parents. (…) »

Là, relevons quelques perles : généralement les téléphones ont un code d’accès, et surtout il aurait fallu indiquer à quelle date ces appels auraient été passés alors que l’on sait selon les dires mêmes du maire de Boutcha qu’il n’y avait pas de cadavres dans les rues lorsque les soldats russes se sont retirés (lire à ce propos la longue enquête effectuée à l’époque par FranceSoir sur cette question).

Mais comme l’OTAN s’enlise dans le Donbass, et que les affaires sulfureuses du fils et du clan Biden s’amplifient (en Ukraine y compris), sans oublier l’escroquerie à grande échelle d’une plateforme affairiste (FTX) très proche des démocrates (mais cela n’a pas empêché sa mise en valeur par le même NYT), il fallait bien allumer un contre-feu afin de détourner l’attention sur un média en perdition, quitte à alimenter la détestation antirusse. Celle-ci est assez semblable au fond à celle qui est toujours alimentée, y compris en France, autour d’Israël depuis sa création (Le Clézio en avait fait même ses choux gras distribués au bac de français ces derniers temps), ce qui accentue la division en France et débouche sur l’animosité à sens unique contre les Juifs de France et empêche ainsi toute intégration et assimilation d’une population d’origine musulmane élevée dans de tels mensonges.

Mensonges alimentés également par toute une gauche de plus en plus putride qui voile ses liens avec la vraie « extrême droite » palestinienne (dont un de ses membres a été accueilli en grande pompe récemment) qui a fricoté naguère avec le nazisme, puis avec le totalitarisme soviétique, ensuite khomeyniste (ces « amis » de Soral soutenant le Hamas et le Djihad islamique), et aujourd’hui néo-léniniste (Nupes). Et cette gauche totalitaire en vient maintenant à suspecter la moindre manipulation d’un « loup solitaire » versus celle des services secrets turcs (dernière en date trois assassinats de Kurdes en plein Paris, pourquoi Kurdes si le seul « racisme » était la motivation ?) la corrélant misérablement avec les souverainistes français, cette dite fameuse « extrême droite » que cette gauche fétide appelle sans cesse à dissoudre, alors que ses propres nervis dits « antifa » (ou nettoyeurs vérificateurs) au service de la macronie et de ce qui l’a précédée (l’affairisme sarkoziste sauce hollandaise) salissent, tabassent, détruisent non seulement des concepts, mais aussi des librairies à l’instar de leurs lointains prédécesseurs tchékistes.

Au fond, la vérité éclate sur cette « gauche » affairiste (dernier élément en date la corruption au Parlement européen), hygiéniste (le matraquage autour d’infections qui auraient pu être soignées précocement), au scientisme désormais illuminé (la moindre critique étant maraboutée « complotiste » c’est-à-dire « impure »), considérant la moindre injection et son flash comme la drogue underground du moment à ne pas rater, comme le révèle piteusement Onfray dans son dernier mea culpa ; ou encore véhiculant un prophétisme se métamorphosant en climatologie « people » à la moindre hausse ou baisse des températures (moins 55° actuellement aux USA) et alors que les observations (et non les projections spéculatives) montrent que la prudence doit rester de mise quant aux liens supposés « causaux » entre gaz à effet de serre, météo et climat.

Et plus le fracas sur le Réel (énergies, inflation…) provoqué par une gauche bien nourrie par les émoluments de la République française (si généreuse pour ses ennemis et les non-citoyens, tout en laissant ceux-ci mijoter dans l’injustice européenne et onusienne, les parquant en France avec l’aval du Conseil Constitutionnel français) est retentissant, plus il s’avère douloureux pour un peuple laissé à l’abandon. Celui-ci se clochardise de plus en plus aux dires des organismes de charité, tout en étant constamment harcelé, violé, massacré, et raillé également puisqu’il se laisse faire par tout un tas d’abrutis, à commencer par ce goal argentin qui n’a de cesse de traîner dans la boue l’avant-centre français Mbappé pendant que la gauche dite française n’en dit bien sûr pas un mot ou presque.

À vrai dire, « nous » avons en France et dans le monde ce que nous méritons : une élite médiocre sinon nulle. Mais très maligne, mesquine, nihiliste, cynique, qui peut mener à l’effondrement final comme en 40… Tant et si bien d’ailleurs qu’il ne s’agit même plus pour certains de se demander s’il va venir puisqu’il est déjà là, mais que cela ne se voit pas encore…




Mort subite multipliée par 10 en Allemagne : Les données de 72 millions d’assurés révèlent l’ampleur du désastre de la vaccination Covid

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Nombre de morts subites, selon les données des caisses d’assurance-maladies KBV.

La faillite des organismes de santé

Il a fallu invoquer les droits à l’information et à la transparence pour obtenir auprès de l’association allemande des médecins-conseils des caisses d’assurances maladie les données concernant les différents effets indésirables suivant la vaccination Covid. La KBV, la Kassenartzliche bundesvereinigung, s’est finalement exécutée fin novembre suite à l’insistance du Dr Edgar Franke, un médecin parlementaire de l’opposition au Bundestag qui s’étonnait de ne pas voir de rapport sur cette question à l’Institut Paul Ehrlich. L’institut, chargé de la pharmacovigilance pour les données de vaccination en Allemagne avec l’institut Robert Koch, avait été peu loquace sur la question, arguant un manque de visibilité et de données permettant de faire des rapports concluants. L’analyse des données des caisses d’assurance maladie faisait pourtant partie des missions spécifiques qui lui avaient été conférées, notamment en vertu du paragraphe 13 de la loi pandémie, autorisant le début des vaccinations Covid en Allemagne. Elle reprend les données recueillies auprès de 72 millions d’assurés, lors de consultations privées auprès des médecins généralistes ou spécialistes, en dehors des hôpitaux.

L’institut Paul Ehrlich est un des principaux centres de suivi des politiques vaccinales en Europe, on pourrait dire que c’est l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur en France. Avec l’Institut Robert Kock, il sert de référence dans l’évaluation de l’efficacité et de la qualité des vaccins nécessaires à l’autorisation de mise sur le marché des injections et effectue des missions de pharmacovigilance, ainsi que des recommandations de politiques vaccinales. Cette mission était non seulement d’importance critique pour l’Allemagne, mais aussi dans le cadre du suive des campagnes de vaccination en Europe, puisque les bases de données allemandes sont les plus importantes en nombre et en qualité de données.

Dans une conférence de presse du 14 janvier 2021, donnée par la Dr Brigitte Keller-Stanislawski de l’Institut Paul Erhlich, le programme de surveillance active des vaccinations Covid prévoyait d’effectuer l’analyse des données des caisses assurances, dès le début du 2e trimestre 2021. Pourquoi l’Institut n’a-t-il pas rempli cette mission, qui est d’une importance capitale pour le suivi de la sécurité des vaccins Covid et l’évaluation de la nécessité de poursuivre le programme vaccinal ?

Pourquoi a-t-il fallu attendre qu’un expert indépendant soit mandaté par un parti politique pour « faire le boulot » et faire parler les données ? Sans doute parce que les responsables se doutaient qu’elles laisseraient le monde sans voix.

Des chiffres qui laissent muet

Car après avoir épluché les 90 tableaux fournis par la KBV, l’analyste Tom Lausen est parvenu à une effroyable conclusion : la vaccination Covid est tout simplement une hécatombe.

Certes, la manière dont les données sont recueillies et présentées dans le dédale des classifications médicales internationales ne facilite pas l’analyse et « noie trop souvent le signal ». Ainsi, l’expert a dû naviguer entre les 16 000 codes utilisés pour déclarer les différents effets indésirables, dont beaucoup se recoupent. Par exemple la mort subite sans autre cause connue, est répertoriée sous les codes 146.1 « soudain arrêt cardiaque », mais aussi R96.0 « mort survenant subitement », R96.1 « mort survenant dans les 24 h de la déclaration d’un symptôme, sans autre facteur », R98 « mort sans la présence d’une autre personne », et R99 « mort sans autre cause spécifiée ». Il faut donc consolider ces chiffres pour avoir une idée du nombre de personnes « mortes subitement ».

De manière générale, la base de données comptait environ 1 déclaration d’effet indésirable pour 350 vaccinations jusqu’en 2020, alors que depuis le début de la campagne Covid, ce taux est monté à 1 sur 60.

Ainsi sur 153 750 725 vaccinations (153 millions), 2 487 526 (2,4 millions) de personnes ont rapporté des effets indésirables en consultation médicale.

La différence entre les chiffres rapportés dans le système officiel de pharmacovigilance STIKO du Paul Erhlich Institut (PEI) et ceux rapportés par les caisses d’assurance maladie tient notamment au fait que les chiffres de la KBV se basent sur les effets indésirables ayant fait l’objet de consultations médicales, alors que ceux du système de pharmacovigilance ne tiennent compte que des effets qui font l’objet d’une déclaration obligatoire. Or, dans le cadre spécifique de la loi pandémie la STIKO a spécifié qu’il n’est pas nécessaire d’enregistrer ce qu’elle considère comme « les effets indésirables habituels de la vaccination ». En commentant le tableau ci-dessus au mois établi au mois de mars 2022, la fédération des caisses d’assurances avait précisé ceci :

Le nombre de vaccinations effectuées dans le secteur conventionné pour l’année 2021 n’est pas encore entièrement disponible auprès de l’Institut central pour les soins médicaux conventionnés (Zi), si bien qu’une série de données n’est pas encore reprise dans le tableau ci-dessus.

Pour l’année 2021, le nombre total de vaccinations contre le Covid-19 effectuées dans le secteur conventionné et non conventionné (source : Zi) est comparé aux effets secondaires des vaccins codés dans le secteur conventionné. Les effets secondaires dus à des vaccinations effectuées par exemple dans un centre de vaccination ou par une équipe mobile de vaccination ne sont pas traités ou documentés et déclarés par ces derniers, mais en règle générale par les médecins agréés.

Les données publiées par le PEI sur les effets secondaires des vaccins diffèrent des effets secondaires des vaccins documentés par les médecins agréés via les codes CIM-10 susmentionnés pour les raisons suivantes :

Conformément à l’article 6, paragraphe 1, phrase 1, point 3, de la loi sur la protection contre les infections (IfSG) (« loi pandémie »), toute suspicion d’atteinte à la santé dépassant l’ampleur habituelle d’une réaction vaccinale doit être signalée au PEI. Cette déclaration fait partie des tâches médicales.

Afin de distinguer une réaction vaccinale habituelle d’une atteinte à la santé dépassant l’ampleur habituelle d’une réaction vaccinale — toutes deux documentées par les codes CIM-10 susmentionnés, mais dont seule la deuxième doit être déclarée — la STIKO a développé des critères et défini des caractéristiques pour les réactions vaccinales habituelles, conformément à l’article 20, paragraphe 2, phrase 3 de la loi sur la vaccination. Les réactions vaccinales habituelles, et donc non soumises à déclaration, sont des réactions locales et générales transitoires ne dépassant pas les proportions habituelles, qui doivent être considérées comme l’expression de la confrontation de l’organisme avec le vaccin. La STIKO a développé les critères suivants pour les réactions vaccinales habituelles :

« Rougeur, gonflement ou douleur au site d’injection persistant pendant 1 à 3 jours (parfois plus).

» Pour une durée de 1 à 3 jours, fièvre < 39,5 °C (mesurée par voie rectale), maux de tête et douleurs articulaires, fatigue, malaise, nausées, agitation, gonflement des ganglions lymphatiques régionaux.

« Symptômes à interpréter dans le sens d’une « maladie vaccinale » 1 à 3 semaines après l’administration de vaccins vivants atténués : par ex. un léger gonflement de la parotide, des arthralgies de courte durée ou un exanthème passager après la vaccination contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ou la varicelle ou des troubles gastro-intestinaux légers, par ex. après la vaccination orale contre le rotavirus ou la typhoïde.

» Sont également exclues de la déclaration obligatoire les manifestations de la maladie qui ont manifestement une autre cause que la vaccination.

« Toutes les autres réactions au vaccin doivent être déclarées.

Dans l’information professionnelle de Comirnaty® de BioNTech/Pfizer, par exemple, les effets secondaires les plus fréquemment observés chez les personnes de 16 ans et plus ayant reçu 2 doses et participant à l’étude d’autorisation de mise sur le marché sont les douleurs au site d’injection (> 80 %), la fatigue (> 60 %), maux de tête (> 50 %), myalgie (> 40 %), frissons (> 30 %), arthralgie (> 20) %), fièvre et gonflement au site d’injection (> 10 %), qui étaient généralement d’intensité légère ou modérée et ont disparu dans les jours suivant la vaccination. Une fréquence légèrement plus faible des événements de réactogénicité était associée à un âge plus avancé. Le profil de sécurité global pour la dose de rappel était similaire à celui observé après 2 doses. Les effets indésirables les plus fréquents chez les participants âgés de 18 à 55 ans étaient la douleur au site d’injection (> 80 %), la fatigue (> 60 %), les céphalées (> 40 %), la myalgie (> 30 %), les frissons et l’arthralgie (> 20 %).

Les données concernant le Spikevax® de Moderna, par exemple, sont comparables chez les personnes âgées de 18 ans et plus : Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans l’étude d’autorisation de mise sur le marché étaient la douleur au site d’injection (92 %), la fatigue (70 %), les céphalées (64,7 %), la myalgie (61,5 %), l’arthralgie (46,4 %), frissons (45,4 %), nausées/vomissements (23 %), gonflement/sensibilité des ganglions lymphatiques axillaires (19,8 %), fièvre (15,5 %), gonflement au site d’injection (14,7 %) et rougeur (10 %). Les effets secondaires étaient généralement légers ou modérés et ont disparu dans les jours suivant la vaccination. Les événements réactogènes étaient un peu moins fréquents chez les sujets âgés.

Les effets secondaires de la vaccination les plus fréquemment rencontrés dans les études d’autorisation de mise sur le marché mentionnées ci-dessus sont généralement classés parmi les réactions vaccinales habituelles et ne sont donc pas déclarés par les médecins au PEI, car ils ne sont pas soumis à déclaration obligatoire, comme indiqué ci-dessus. Elles sont cependant

— Dans la mesure où les patients se rendent au cabinet médical pour cette raison ou en font état et/ou ont éventuellement besoin d’un certificat d’incapacité de travail, ils sont documentés par rapport au patient via les codes CIM-10 correspondants. L’étendue de la documentation relative au patient par le biais du code CIM-10, en comparaison avec les vaccins établis depuis des années contre d’autres maladies, doit être adaptée aux spécificités du patient.

Dans le cas d’une nouvelle vaccination soumise à des conditions d’autorisation particulières, comme c’est le cas pour les vaccins Covid 19, il faut s’attendre à ce que les patients et les médecins soient plus attentifs aux réactions vaccinales et à ce qu’ils soient plus motivés à en parler ou à les documenter que dans le cas de vaccins connus depuis des années. La différence entre les réactions vaccinales documentées par les médecins et celles déclarées au PEI est donc compréhensible et attendue.

L’on ne peut que noter la contradiction entre le fait d’attendre une plus grande vigilance de la part des médecins et des patients face à un produit expérimental et le fait de les enjoindre à ne pas enregistrer la plupart des réactions aux vaccins dans le système de pharmacovigilance officiel, sous prétexte qu’elles sont « attendues puisque le fabricant les a lui-même constatées ».

Une phrase telle que « sont également exclues de la déclaration obligatoire les manifestations de la maladie qui ont manifestement une autre cause que la vaccination » ouvre la porte à l’arbitraire. Ceci va à l’encontre des principes fondamentaux de la pharmacovigilance. Il ne s’agit justement pas d’ignorer la majorité des effets indésirables pour ne rapporter que ceux que l’on n’a jamais constatés ou dont la gravité immédiate ne peut exclure une autre cause. Cette disposition invalide complètement le travail de la pharmacovigilance et porte les médecins à sous-déclarer les effets indésirables, y compris ceux qui sont graves. En principe, une surveillance active impose au contraire de tout déclarer afin de détecter des signaux au plus vite et de corriger le tir. Et le fait que l’ensemble des signaux soient déclarés est indispensable pour établir des diagnostics complexes et confirmer ou rejeter un éventuel lien de causalité.

Une interview récente, de l’analyste Tom Lausen le confirme. Il explique avoir interrogé un des experts de l’institut Paul Erlich au sujet des décès rapportés après la vaccination. Selon ce dernier, près de 3000 décès avaient été signalés, mais sans autopsie et dans 90 % des cas, les déclarations avaient été faites par les familles et non par des médecins. Ceux-ci ont par contre augmenté le nombre de déclarations de morts subites « inexpliquées ».

Il a également attiré l’attention sur le fait que près de 400 diagnostics divers ont sont en nette augmentation : l’on note ainsi une flambée des cancers, des troubles neurologiques, des certaines maladies rénales et même d’un nombre croissant de pathologies infectieuses. Il y a donc une diminution globale nette de l’état de santé général de la population depuis le début de la vaccination. Le groupe parlementaire ayant commandité cette enquête exige désormais l’arrêt urgent de la vaccination et un débat sur la vaccination au Bundestag. Il demande à ce que des autopsies soient réalisées et que des investigations soient faites pour avoir des réponses quant aux causes de cette catastrophe sans précédent.

Ils exigent aussi que les instituts Paul Erhlich et Robert Koch se saisissent de ces informations et fassent le travail pour lequel ils ont été mandatés.

En réalité, la planète entière doit se pencher sur ces données, issues d’un des systèmes de santé les plus fiables au monde, et agir en urgence pour mettre fin à cette tragédie. Toutes les agences de santé et instances de gouvernance en Europe sont tenues de réagir. Ne rien faire, c’est être complice.

Sources de l’article : J’ai reçu ces informations d’un avocat allemand et je me suis basée sur la conférence de presse et le powerpoint de l’analyste Tom Lausen. La conférence a été organisée par des parlementaires AFD et la présentation powerpoint est accessible sur leur site. Comme ce parti est considéré d’extrême droite, j’ai préféré ne pas renvoyer le lecteur vers leur site, mais je trouve que ces informations sont trop importantes pour ne pas circuler. C’est pourquoi je les intègre ici :

  • Vous pouvez aussi télécharger les tableaux de la présentation powerpoint ici.

  • Depuis la parution de mon article la conférence de presse a été doublée en français voir le lien ici.

  • Tom Lausen a créé un site au sujet des dommages vaccinaux, sur lequel les données allemandes doivent être accessibles : https://www.corih.de



Selon Me Virginie Araujo, les injections anticovid ont violé la dignité humaine

[Source : RL]

Par Jacques CHASSAING

Rappelons que cette avocate, qui s’est opposée d’emblée à la tragédie de la gestion du coronavirus-Covid en France, a payé un lourd tribut à l’oligopole : arrestation matinale devant ses enfants suivie d’une garde à vue humiliante et puante de 60 heures. 

Heureusement, Virginie a pour mari Sébastien1, un homme qui force l’admiration, à l’instar d’un certain Christophe Dettinger qui a pris la défense et la protection d’une femme jetée à terre et frappée par des forces de l’ordre.

Là s’arrête la comparaison, car Maître Virginie de Araujo-Recchia et son époux connaissent les rouages du droit. 

À Lisbonne, récemment, lors d’une rencontre internationale, organisée par Ariane Bilheran et Vincent Pavan2 (Réinfo Liberté), elle a apporté une importante contribution sur le plus grand scandale en cours de la gestion manipulée du coronavirus-Covid.

En tant qu’avocate en France, elle a fait le point juridique des actions engagées pour le compte de particuliers et d’associations.

Actions aussi en tant qu’avocate internationale auprès de la Cour Pénale de l’opinion publique Le Grand Jury.

Extraits des points d’argumentation développés par l’avocate :

  • c’est un coup d’État mondial de l’oligopole d’organisations supranationales pour installer le contrôle social dans chaque nation ;
  • manipulation mentale de la population par diverses mesures non démocratiques ;
  • atteintes aux libertés publiques et droits fondamentaux inaliénables ;
  • actions contraires aux principes de la médecine ;
  • port des masques inutiles ;
  • confinements forcés ayant entraîné des suicides et des états dépressifs ;
  • des tests non fiables ;
  • obligation et incitation à des produits expérimentaux (substances géniques appelées vaccins) portant atteinte à la vie des citoyens ;
  • décès, souffrances dues aux nombreux effets indésirables menant à des handicaps ;
  • autres traitements à preuve scientifique d’efficacité ont été écartés et décrédibilisés par une collusion entre gouvernements, groupes pharmaceutiques et médias ;
  • les premiers décès suite aux injections de substances géniques Covid-19 auraient dû entraîner la cessation immédiate de l’expérimentation à grande échelle.

Me Virginie Araujo-Recchia se livre alors à la démonstration de la négation des lois non écrites de la nature humaine et de l’inversion de la hiérarchie des normes juridiques. 

Elle développe le principe du respect de la dignité humaine qui exige de sauvegarder la personne humaine contre toute forme d’asservissement ou de dégradation. La personne doit rester maître de son corps et d’elle-même.

« par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre de personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine. 

Le principe de la résistance à l’oppression appartient aux lois non écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale et suprême… il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression »

Et de rappeler Cicéron et Antigone, de Sophocle.

L’avocate énumère ensuite les très concrètes actions et leurs fondements juridiques à l’encontre de tous ceux qui ont organisé et orchestré la peur et la répression autour du Covid. Les juridictions judiciaires et administratives sont visées, jusqu’au Conseil constitutionnel. Un feu d’artifice de responsabilités attribuées !

Virginie de A-R poursuit :

« la sénatrice Éliane Assassi évoque un manque de transparence évident ».

Le logo du ministère des Solidarités et de la Santé était le même que celui de McKinsey pour les besoins de la gestion orientée du Covid. 

En fait, ce sont des copiés-collés qui ont été adaptés à chaque pays.

« D’après nos informations, des dizaines de consultants de McKinsey étaient à l’Agence de Santé publique. McKinsey y est couramment appelé La Firme. »

McKinsey est tentaculaire et relié aux laboratoires pharmaceutiques et certaines  fondations lucratives :  

« ce qui expliquerait  pourquoi certains États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles. Un article, paru dans Vox, explique comment McKinsey s’est introduit dans le monde de la Santé publique mondiale ».

Il est aussi question de United, de la Fondation Gates.

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. »

Au total, 43 minutes d’arguments indispensables à connaître pour le combat contre le totalitarisme qui se verrouille en France :


(1)

(2)

« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » 



L’acteur Tim Robbins regrette de s’en être pris aux personnes non vaccinées et non masquées

[Source : LLP via RI]

Par Aguellid

« Nous sommes devenus des personnes tribales, furieuses et vengeresses ».

Témoignage poignant, très intéressant de l’acteur américain Tim Robbins qui revient sur sa propre gestion de la crise sanitaire et sur comment il estime aujourd’hui avoir glissé complètement dans un monde tyrannique en voulant imposer l’inacceptable aux autres alors qu’il pensait être quelqu’un de bien, quelqu’un d’ouvert et de bienveillant. Cette vidéo est très intéressante car elle nous explique comment les gens ont pu être trompés et quel est le moyen que Tim Robbins a utilisé pour se réveiller, notamment le fait d’observer ce qui se passait ailleurs, en Angleterre en l’occurrence.

Il a également été choqué par la propagande et les mensonges de la presse officielle qui traitait toute personne opposée aux décisions gouvernementales de factieux-nazis-d’extrême-droite-mangeurs-d’enfants-complotistes… Alors qu’il n’en était rien, bien au contraire, il s’agissait de gens tout à fait normaux, il était même question de libéraux respectueux des autres et de la liberté individuelle de chacun.

Mais le plus intéressant dans ce témoignage est le fait d’avoir politisé la vaccination alors que c’est un acte médical. Immédiatement, aux USA, le vaccin anti Covid-19 a été politisé d’une manière extrêmement grossière. Au tout début il était très mal vu par les démocrates gauchistes étant donné qu’il avait été proposé par Donald Trump. Dès que ce dernier eut perdu la présidentielle américaine, le vaccin était devenu tout à fait acceptable !

Tim Robbins va beaucoup plus loin en accusant cette politisation de la crise sanitaire de destruction de la société et des âmes en affirmant : « Je pense que nous avons perdu beaucoup de nous-mêmes pendant cette période. » ! C’est effectivement le cas lorsque la société en arrive à vouloir exclure des services d’urgences les personnes malades non injectées ou de les mettre au chômage sans penser une seconde à comment vont-elles faire pour nourrir leurs enfants ! Tous ces comportements monstrueux et dénués de toute empathie humaine sont bien sûr basés sur un sentiment de justice et de droiture qui devait être imposé à l’autre !

C’est un des plus importants témoignages de star hollywoodienne oscarisée qui va faire beaucoup de bien pour la suite. On imagine qu’à partir de maintenant les langues vont se délier et que d’autres vont suivre également l’exemple d’Éric Clapton concernant son témoignage sur les effets indésirables graves de ces injections criminelles.


Par Joseph Mackinnon

L’acteur gauchiste Tim Robbins est apparu cette semaine sur le podcast de l’humoriste britannique Russell Brand pour dénoncer rétroactivement la politisation des politiques de santé pendant la pandémie et pour exprimer des remords quant à son acceptation non critique du récit médiatique du COVID-19.

Dans l’épisode du 18 décembre du podcast de M. Brand, M. Robbins, acteur oscarisé, a expliqué qu’il était passé d’un respect strict des édits gouvernementaux au début de la pandémie à un doute sur l’inerrance des soi-disant experts de la santé et sur le récit officiel construit autour du COVID-19, de la vaccination, du verrouillage et du masquage.

Bien qu’il ait d’abord « adhéré à l’idée » et « suivi les demandes » qui lui ont été faites, M. Robbins a expliqué que ses rencontres dans la vie réelle étaient en contradiction avec ce qu’on lui avait dit sur la pandémie, les manifestants contre le confinement et les personnes non vaccinées. Cela a généré un sentiment de dissonance cognitive, l’incitant à douter du récit officiel.

Quels sont les détails ?

Robbins a déclaré qu’il vivait à Los Angeles lorsque la pandémie a frappé.

Les écoles, les bars, les gymnases, les églises et les terrains de camping ont été bloqués ou fermés. Les habitants ont été confinés chez eux. Le port du masque a été rendu obligatoire. Le gouverneur démocrate de l’État, Gavin Newsom, a comparé les personnes non vaccinées à des conducteurs ivres. Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a dit aux non-vaccinés de se préparer à perdre leur emploi.

« J’y ai cru. … Je me masquais partout. Je gardais mes distances sociales. J’adhérais aux demandes qui m’étaient faites, et j’étais en colère contre ceux qui ne le faisaient pas », a déclaré Robbins à Brand.

Bien qu’il ait vu des zones prospères qui ne suivaient pas strictement les protocoles sanitaires étatistes lorsqu’il a traversé les États-Unis, ce n’est qu’après avoir visité le Royaume-Uni que Robbins a reconnu la possibilité qu’il ait eu tort d’accepter sans réserve le récit officiel de la pandémie.

En Grande-Bretagne, il a « remarqué que beaucoup de gens n’adhéraient pas à nouveau à ces demandes faites par leur gouvernement. J’ai pensé, eh bien, qu’ils allaient avoir une journée difficile, qu’il y aurait des morts graves ici ».

« Quand j’ai vu qu’il n’y avait pas un taux de mortalité énorme [en Grande-Bretagne], après avoir été témoin personnellement de ce qui se passait, j’ai commencé à me poser de plus en plus de questions sur ce qu’on nous disait et si c’était vrai ou pas ».

La catastrophe pour les non-vaccinés que Robbins et d’autres ont été garantis par les gouvernements occidentaux et les médias ne s’était pas produite. Il a commencé à se demander ce qui n’était pas vrai.

L’acteur se souvient d’avoir traversé une manifestation contre l’enfermement à Londres. Robbins n’avait pas rejoint la manifestation parce qu’il la soutenait, mais plutôt parce qu’il était curieux.

« J’ai vu la façon dont ils étaient décrits dans la presse, et ce n’était pas vrai », a-t-il déclaré. « Ce n’était pas, vous savez, des nazis du Front national. C’étaient des libéraux, des gauchistes et des gens qui croyaient en la liberté individuelle. »

Politiser la pandémie

Robbins a suggéré que la pandémie était particulièrement politisée aux États-Unis.

Brand a abondé dans le même sens, suggérant qu’« il y a beaucoup plus d’idéologie politique en jeu qu’il n’est peut-être sage, prudent ou même honnête lorsque l’on prétend suivre la science ».

Robbins a admis :

« Au début, si vous étiez un démocrate, lorsque Trump était président, eh bien, vous n’alliez pas prendre ce vaccin parce que c’était le vaccin de Trump, et puis cela a semblé changer d’une manière ou d’une autre. C’était un peu orwellien. C’était comme si nous n’étions plus en guerre avec l’Asie de l’Est. »

Cependant, après que les vents politiques ont tourné et que les démocrates ont pris le pouvoir pendant la pandémie, Robbins a noté que « si vous ne preniez pas le vaccin, vous étiez un républicain. »

Le résultat final, selon Robbins :

« Nous nous sommes transformés en personnes tribales, en colère et vengeresses »

Robbins a précédemment déclaré au journaliste d’investigation Matt Taibbi : 

« Je pense que nous avons perdu beaucoup de nous-mêmes pendant cette période. »

« J’ai entendu des gens dire [pendant la pandémie] : « Si vous n’avez pas pris le vaccin et que vous tombez malade, vous n’avez pas le droit à un lit d’hôpital. Cela m’a fait penser au retour à une société où nous nous soucions les uns des autres. Votre voisin était malade, et vous lui apportiez de la soupe. Peu importe leurs opinions politiques, vous êtes leur putain de voisin », a déclaré Robbins.

L’acteur a suggéré à Taibbi que ceux qui déshumanisent et divisent les autres « pensent souvent qu’ils sont vertueux ».

Robbins admet qu’il a lui aussi été emporté dans les rangs des destructeurs sociaux.

« Vous passez de quelqu’un qui est inclusif, altruiste, généreux, empathique, à un monstre. Où vous voulez geler les comptes bancaires des gens parce qu’ils ne sont pas d’accord avec vous », a-t-il dit. « C’est une chose dangereuse. C’est un monde dangereux que nous avons créé. Et je dis ‘nous’, parce que j’en ai fait partie. J’ai adhéré à cette idée très tôt. »

Alors que Robbins et d’autres ont admis leur culpabilité, d’autres préfèrent passer sous silence leur déshumanisation des personnes traitées comme des parias pour avoir tenu tête aux protocoles coercitifs de la pandémie.

TheBlaze a précédemment rapporté qu’Emily Oster, économiste à l’Université de Brown, a demandé une « amnistie pandémique » dans les pages de l’Atlantic.

Contrairement à Robbins, Oster a suggéré que la conformité aveugle aux édits sanitaires et la diabolisation des dissidents « n’étaient pas un défaut moral » et que « nous devons apprendre de nos erreurs et les laisser partir. Nous devons aussi pardonner les attaques ».

source : The Blaze